Dossier : Transparency International, opacité et
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Dossier : Transparency International, opacité et
Dossier : Transparency International, opacité et fumisterie (1/5) Transparency International (TI) est une ONG née en mai 1993 et qui possède son siège social à Berlin, en Allemagne. Elle affiche pour objectif général de lutter contre la corruption et d’influencer les décideurs publics des pays du monde pour qu’ils prennent des mesures dans ce sens et les appliquent concrètement. L’ONG publie très régulièrement divers travaux et rapports et se présente – bien entendu – comme politiquement non-partisane. Au mois de décembre 2014, Transparency International fut présente deux fois dans l’actualité : 1) pour la première fois en France, l’ONG « a dressé la carte des 258 cas de corruption avérée en France » (cf. carte ci-dessous) 2) la publication du 20ème rapport annuel de TI sur son fameux Indice de perception de la corruption (IPC). Le Monde, jamais à court d’inepties, gribouillait sans rire que « L’Ukraine […] est le pays européen où la perception de la corruption est la plus élevée, un héritage du régime du président Viktor Ianoukovitch ». Lutter contre la corruption donc. Tout ceci est très louable. Mais dans les faits, nous verrons que cette ONG fumeuse, une de plus, se révèle tout simplement être la courroie de transmission des intérêts angloaméricains et une arme de guerre économique. Les quelques recherches présentées ici datent du mois de juin 2014, certains postes ont donc peut-être échu à d’autres. Huguette Labelle n’est par exemple plus chairman de TI, et nos informations s’appuient sur le rapport IPC de 2013 (avec juste un rajout du classement de la France selon l’IPC publié en décembre 2014). Le lecteur (ou le journaliste, soyons fous !) pourra actualiser de lui-même en se rendant sur les sites dédiés. Carte de la corruption en France selon Transparency International Deux hypothèses pourraient être proposées pour expliquer l'apparition de TI. 1) Le professeur Joseph Nye a théorisé le soft power en 1990, un an après la chute du Mur de Berlin, dans son essai Bound to Lead. Il invitait à reconsidérer la notion de puissance par l’exercice de l’influence, la capacité de séduire et influencer sans violence physique ( hard power). Pour Nye, le soft power repose sur plusieurs éléments : image ou réputation positive d’un État, son prestige (performances économiques et militaires), capacités de communication, degré d’ouverture de sa société, exemplarité de son comportement intérieur comme extérieur, attractivité de sa culture et de ses idées, rayonnement scientifique et technologique, place au sein des institutions internationales permettant de contrôler l’ordre du jour des débats (et de décider de la légitimité ou non du sujet abordé), et capacité de figer des rapports de puissance au moment où ils sont le plus favorables. En 1991, l’effondrement définitif de l’Union Soviétique consacre la suprématie du modèle économique capitaliste « américain ». En 1993, Transparency International, ONG se réclamant indépendante et avec pour objet de lutter contre la corruption, est fondée par l’Allemand Peter Eigen, ancien directeur de longue date de la Banque Mondiale. Cet homme est devenu par la suite consultant à la Fondation Ford (détenue par Rockefeller), « paravent philanthropique de la CIA ». Peter Eigen officie désormais à la Carnegie Endowment for International Peace, « autre paravent de la CIA » (selon le Réseau Voltaire). La branche américaine de l’ONG fut notamment fondée, outre Frank Vogl (lui aussi ancien de la Banque mondiale), par Michael J. Hershman, officier de renseignement militaire américain, administrateur du Centre pour l’entreprise privée internationale (CIPE). Hershman est actuellement l’un des responsables du recrutement des informateurs du FBI. Vogl, toujours d’après le Réseau Voltaire, a pour sa part mis en place un Comité de personnalités qui a contribué à donner l’impression d’une association issue de la société civile. Notons que le CIPE est une émanation du NED, rejeton de l’USAID, elle-même officine de la CIA. Au vu de ses origines et des responsabilités passées et présentes de ses principaux fondateurs, l’apparition de Transparency International peu après la théorisation du soft power et la dislocation du bloc soviétique, quasi-concomitance dans les trois dates, peut apparaître comme non fortuit. Cet organisme serait susceptible d’être destiné aux activités d’intelligence économique anglo-américaines plus qu’à une lutte contre la corruption. Dès 1995, deux ans seulement après sa création, Transparency International crée son Indice de Perception de la Corruption. A noter ici que des médias de premier plan ont couvert la publication du rapport de 2013 : télévision (France 3, Public Sénat, LCI), radio (France Info, RMC – Les Grande Gueules, Europe 1, RFI), agences (AFP, Reuters), presse écrite et sites Internet (Libération, Le Monde, Le Figaro, Les Echos, etc.). L’émission de Jean-Christophe Victor « Le Dessous des Cartes » lui a même consacré une émission diffusée sur Arte le 8 mars 2014 où l’ONG est bien entendu prise pour parole d’évangile ; de plus l’Indice de Perception de la Corruption y est présenté comme résultant d’enquêtes d’opinion ce qui, nous le verrons, est faux au sens que ce ne sont pas des citoyens qui ont été interrogés. Cette étude annuelle vise à noter la perception de corruption des pays ciblés et d’établir un classement de ces derniers. Chaque année, le classement de Transparency International est pris comme une référence et impacte l’image des États concernés, notamment via les caisses de résonance médiatique. Ces attaques sur l’image, la réputation, l’exemplarité, la meilleure communication etc. semblent calquées sur le soft power de Nye. Les fins économiques pourraient être d’inciter les États à modifier leurs législations afin de les ouvrir au modèle du marché anglo-américain. 2) Hypothèse de l’Executive Intelligence Review de Lyndon LaRouche, volume 26, numéro 11, 12 mars 1999 : « Une version informelle de TI avait été exploitée dans les entrailles de la Banque Mondiale depuis au moins 1989, quand Peter Eigen établit un groupe de dirigeants à l’intérieur de la Banque, qui décida d’intervenir pour remplacer les gouvernements des pays que la Banque Mondiale n’aimait pas. Mais depuis que la politique a violé la compréhension internationale que la Banque Mondiale, autorisée en vertu de la Charte des Nations Unies, avait interdiction de s’ingérer dans les affaires intérieures d’une nation, un groupe de tête devait être créé – et TI naquit officiellement en 1993. « Les agents de TI utilisent l’atmosphère créée par la dépression économique, le sous-emploi, la pauvreté, et l’insécurité, pour diriger la peur et la rage de la population vers des cibles définies par Londres. Cela évite soigneusement aux gens de déterminer la véritable cause de leurs problèmes : l’usure de l’oligarchie financière à sponsor Britannique. Transparency International, avec l’aide de médias contrôlés, fait en sorte que la rage frappe les dirigeants politiques qui sont un obstacle à la marche de l’Empire britannique vers la destruction de l’État-nation. « Corruption » est utilisé comme mot codé pour cette agression. » Le Réseau Voltaire propose une analyse analogue sur cette « très opaque » ONG. Il l’appréhende comme une arme de soft power destinée à faire pression sur les gouvernements réfractaires au modèle économique étatsunien pour les ouvrir à de nouveaux marchés en les engageant à modifier leur législation dans ce sens. Transparency serait un « pseudopode » du NED (National Endowment for Democracy. Pour le Réseau Voltaire, ceci expliquerait que les principaux dirigeants de cette ONG, selon eux faussement non-gouvernementale, soient liés à la CIA et au MI-6 britannique (Peter Eigen, Huguette Labelle, Frank Vogl, Michael J. Hershman). L’apport d’autres membres issus de la société civile servirait d’écran de fumée. TI resterait discret sur ses financements en raison de ses principaux bailleurs de fonds : NED, USAID, Fondation Soros, Fondation Ford (détenue par Rockefeller), Fondation Bill Gates ainsi que des multinationales comme BP-Amoco, Exxon, Rio Tinto, Procter & Gamble, General Electric ou Shell. Pour Thierry Meyssan, TI sert de couverture aux activités d’intelligence économique de la CIA. En 2008, l’ONG fut prise en flagrant délit de falsification d’information à l’encontre de la société PDVSA, liée à Chavez, ennemi des États-Unis. TI refusa de répondre aux questions de la presse latinoaméricaine et de modifier son rapport. Le pedigree de quelques personnalités de la section internationale de l’ONG est parlant (liste non exhaustive) : Huguette Labelle (Canada). Ex-présidente de l’Agence canadienne pour le développement international (équivalent de l’USAID). Membre du bureau de Global Compact aux Nations Unies, membre du bureau des conseillers extérieurs à la Gouvernance de la Banque Mondiale et de la Stratégie anti-corruption. Présidente de TI jusqu’en 2014, remplacée par José Carlos Ugaz. José Carlos Ugaz (Pérou). Selon l’Executive Intelligence Review (EIR) de Lyndon LaRouche Publications de 2001, volume 28, numéro 23, Ugaz signa en 1998 une lettre ouverte en faveur de la légalisation des drogues et pour un arrêt de la guerre contre la drogue, avec Soros, Garcia Sayan (Ministre de la Justice 2000-2001 et Ministre des Affaires étrangères 2001-2002 du Pérou) et Javier Pérez de Cuéllar (secrétaire général de l’ONU 1982-1991, Ministre des Affaires étrangères du Pérou 2000-2001). Abdulatif Al-Hamad (Koweït). D’après les informations du volume 7, numéro 22, de l’EIR de Lyndon LaRouche Publications, 1980 : Al-Hamad fut membre du Conseil d'administration de l'Institut d'études du développement à l'Université de Sussex, la source de la doctrine du Club de Rome (néomalthusien, créé par l’OTAN et les cinglés de l’Institut Tavistock) / Commission Brandt de « technologies appropriées » (sources d’énergie moins chères, désindustrialisation, anti-nucléaire et notamment dissuasion envers les pays du Tiers-Monde pour se procurer cette technologie). Oscar Arias Sanchez (Costa-Rica). Lauréat du Prix Nobel de la Paix (comme Henry Kissinger…) et ancien Président du Costa-Rica. En 1997, l’Observatoire géopolitique des drogues (OGD) publia l’information suivante : « [S]elon des informations recueillies par l’OGD, le pays est toujours un lieu de "vacances" sûr pour les trafiquants latino-américains qui ont besoin de changer d’air. Cependant, un seul cas de corruption lié au narcotrafic a été jugé au Costa Rica. Il concerne Ricardo Alem Leon, responsable du financement de la campagne électorale du Président Oscar Arias en 1986 et nommé ensuite par ce dernier Président de la Banque centraméricaine d’intégration économique qui a son siège au Honduras. Après avoir longtemps échappé à la justice en dépit des charges sérieuses de blanchiment de l’argent de la drogue qui pèsent sur lui depuis la fin des années 1980, il a fallu qu’il soit arrêté en 1995 à Miami en flagrant délit de trafic de cocaïne pour que son pays le condamne par défaut. » Paul Batchelor (Royaume-Uni). Président de Crown Agents (agence pour les opérations noires de la couronne britannique, la plus vieille – depuis 1833) et ancien vice-président de Global Geographies, PricewaterhouseCoopers. Peter Berry (Royaume-Uni). Ancien président de Crown Agents. Informations de l’EIR volume 24, numéro 30, du 25 juillet 1997, au sujet de Crown Agents : « Alors que TI est parmi les membres élus de la Fondation Crown Agents, celle-ci devient rapidement l’instrument-clé pour les opérations directes du British Special Air Services et d’autres forces commando dans les pays de l’Empire britannique. […] Depuis 1833, Crown Agents a fourni des services logistiques et techniques aux colonies de la Couronne Britannique, surtout une fourniture d’armes ; son premier client est l’Administration pour le Développement Britannique OutreMer [British Overseas Development Administration ], i. e., l’administration des ‘anciennes’ colonies. » HRH Prince El Hassan bin Tilal (Talal) (Jordanie). Fondateur de l’Institut Royal des Études Inter-foi (Royal Institute of Interfaith Studies ). Ancien Président du Club de Rome. Frère de l’ancien roi de Jordanie, Hussein. Études à la Summer Fields School, la Harrow School (Angleterre), l’Université d’Oxford (Grande-Bretagne). Fritz Heimann (États-Unis). Membre fondateur de Transparency International. Avocat de General Electric (qui racheta Alstom récemment, racket américain et scandale d’État selon le CF2R) pendant 40 ans. Irene Khan (Bangladesh). Ancienne secrétaire générale d’Amnesty International. Directricegénérale de l’Organisation pour le développement du droit international. Présidente de l’Université de Salford, Royaume-Uni. Études à l’Université de Manchester (GrandeBretagne) et l’Université d’Harvard (États-Unis). Le « Bangladesh » est ici, au vu de son parcours, un bel alibi faussement tiers-mondiste. Tawakkol Karman (Yémen). Lauréate du Prix Nobel de la Paix (Henry Kissinger aussi). Présidente de Femmes Journalistes Sans Chaînes (Women Journalists Without Chains ). Études à l’Université de Sana’a (Yémen), Université d’Alberta (Canada). Même remarque que précédemment. Michael Kirby (Australie). Ancien juge à la Haute Cour. Kirby a travaillé comme Conseiller en bioéthique au Haut Commissariat pour les droits humains aux Nations Unies. Il est partisan des droits des post-humains (cyborgs et robots) développés par la doctrine transhumaniste. Nous lisons dans l’EIR volume 21, numéro 26, 24 juin 1994 : Le Programme de Développement des Nations Unies (UNDP) est intervenu au Malawi. En juillet 1993, Kirby présida une conférence pour l’établissement d’une nouvelle constitution (avec assistance financière britannique). La nouvelle constitution fut créée, sans aucune participation des nationaux malawites. Par ailleurs, d’après l’EIR volume 24, numéro 28, 4 juillet 1997 : « Kirby domina le meeting fondateur du Groupe Parlementaire Australien pour la Réforme du Droit sur la drogue, financé par George Soros. Kirby argumenta que le gouvernement fédéral et d’État devrait légaliser les drogues, suggérant un nouveau sens pour le terme, ‘Haute Cour’. » Pascal Lamy (« France »). Directeur général de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) du 1er septembre 2005 au 31 août 2013. Président de la Fondation Notre Europe. Ancien délégué au commerce de l’Union européenne. A collaboré avec la Rand Corporation (de 1996 à 1998 inclus), think-tank du lobby militaro-industriel américain, et avec l’East-West Institute, qui a pour président d’honneur George Bush senior. Avec Robert Zoellick, ancien président de la Banque Mondiale de 2007 à 2012, Lamy a conduit les négociations de l’Accord général sur le commerce des services (AGCS), dont l’objet est la libéralisation totale de 160 secteurs d’activité, dont la santé (3 500 milliards de dollars à l’échelle mondiale en 2003) et l’éducation (2 000 milliards en 2003). Autres secteurs concernés : aménagement urbain, recherche et développement, tourisme, services postaux, distribution, environnement, énergie, culture. Trois personnes sont à l’origine de l’AGCS : James Robinson III (PDG d’American Express), Hank Greenberg (PDG d’American International Group – AIG) et John Reed (PDG de Citycorp). L’instrument principal de lobbying utilisé est l’US Coalition of Service Industries (USCSI) qui regroupe une soixantaine d’entreprises. Selon le Réseau Voltaire : « L’étendue des domaines à négocier se décide lors des conférences ministérielles qui doivent se tenir au moins tous les deux ans (Genève 1998, Seattle 1999, Doha 2001). La conférence ministérielle de 1999 a révélé qu’elles étaient en partie financées par des firmes multinationales. Un comité d’accueil pour Seattle, le Seattle Hosting Organisation (SHO) a été créé pour l’occasion. Les firmes privées se voient attribuer, suivant les montants versés, les titres de « sponsor de diamant » (150 000 à 200 000 $US), « d’émeraude » (au-delà de 250 000 $US), etc. Sponsors d’émeraude en 1999 : Boeing, Microsoft, General Motors, Ford, Deloitte & Touche qui obtiennent tous un accès direct aux ministres. » Olusegun Obasanjo (Nigeria). Ancien Président du Nigeria. Il siège au Conseil d’administration de la Fondation Ford. Revenu au pouvoir en 1999 après la visite de Jimmy Carter, il est proaméricain et veut une démocratie « calquée sur le modèle de Washington » pour l’Afrique. Président de 1976 à 1979, période où il s’est « personnellement enrichi », et de 1999 à 2007, il a fait construire une prison politique au large de Lagos, sur l’île de Kiri-Kiri (source : « Le "sauveur" élu du Nigéria », de Jean-Philippe Demetz, L’Express, 4 mars 1999). Jessica Tuchman Mathews (États-Unis). Entre autres informations : Présidente du Carnegie Endowment for International Peace, think tank basé à Washington D.C., depuis 1997. Membre du Conseil d’administration d’International Crisis Group, où l’on retrouve également Zbigniew Brzezinski, Moisés Naím, George Soros, Joschka Fischer. Elle était un membre senior du Conseil sur les relations étrangères (Council on Foreign Relations – CFR) de 1993 à 1997 et a servi comme directeur du programme du Conseil de Washington. Membre de la Harvard Corporation, le conseil d'administration principal de l'Université de Harvard. Elle a déjà siégé au conseil de quatre fondations (la Fondation Rockefeller, Rockefeller Brothers Fund, la Fondation Siècle, et la Fondation Joyce), et la Brookings Institution. Membre notamment de l’American Philosophical Society, le Groupe de Bilderberg, l’Initiative contre la menace nucléaire, la Fédération des scientifiques américains Conseil des commanditaires, Obama pour l'Amérique, la Fiduciaire du Fonds Rockefeller Brothers (passé), la Fondation Rockefeller, et Commission Trilatérale. Participante à la réunion du Groupe Bilderberg en 2000, 2001, 2002, 2012 et 2013. Il peut être également utile de donner quelques informations sur le chapitre américain de Transparency International. Notons entre autres : C. Fred Bergsten, directeur du Peterson Institute for International Economics (rappelez-vous : récemment, cet « institut » invitait la France à supprimer l’Elysée). Bergsten participa à la réunion du Groupe Bilderberg en 2002. Stuart Eizenstat. Participant à la réunion du Groupe Bilderberg en 2002. Ancien ambassadeur spécial de l’administration Clinton pour les affaires cubaines. Michael Hershman. Ancien officier des services de renseignement militaire. A été n°2 de l’USAID. Dirige l’unité anti-terroriste de la Chambre de commerce des États-Unis. Administrateur du CIPE. Est l’un des responsables du recrutement des informateurs du FBI. PDG de l’agence de renseignement privée Fairfax Group. John Brademas. Nommé à la tête de NED de 1993 à 2001 par Bill Clinton. Moisés Naím. Membre de la Carnegie Endowment for International Peace. Dirige également le Groupe des 50, qui rassemble les patrons de cinquante multinationales opérant en Amérique latine. James D. Wolfensohn. Ancien président de la Banque mondiale (1995-2005). Participant à la réunion du Groupe Bilderberg en 2001, 2002, 2003, 2012, 2013. Les sources de financement de cette section américaine sont les suivantes [Note pour le lecteur : le classement dit « CI » renvoie à l’Indice anti-corruption des entreprises du domaine de la Défense, qui fait partie du programme Défense et Sécurité lancé par le chapitre britannique de TI et qui sera décortiqué dans un article ultérieur ; les personnes mentionnées dans la case de droite sont membres de TI USA] : Adhérent s (OUI/NON ) Type d’organisation / Poste Travaux publics, ingénierie de travaux publics, entreprise de Nom Bechtel Corporation Montant $50,000 et plus Motifs de financement Classée C au CI de TI-UK (A après info interne). Michael C. Bailey en est construction Fait partie du « Big Four » des cabinets d’audit et de conseil Deloitte Financial Advisory Services LLP $50,000 et plus Société pétrolière et gazière, première compagnie américaine du secteur Fait partie du “Big Four” d’Internet. Est l’une des plus grosses entreprises du marché d’Internet. Société pharmaceutique. Fait partie du “Big Four” des cabinets d’audit et de conseil. Deuxième entreprise pétrolière américaine, derrière Exxon Entreprise financière majeure. Selon le Forbes Global 2000 de 2011, serait la dixième plus grande entreprise mondiale Entreprise dans le domaine de la chimie et de l’énergie, de l’industrie et de l’infrastructure, et de la construction Société de conception et de fabrication d’avions militaires Prestations de services financiers, fabrication d’équipements Exxon Mobil Corporation $50,000 et plus Google, Inc. $50,000 et plus Pfizer, Inc. $50,000 et plus $50,000 et plus Pricewaterhous e Coopers LLP membre. Sponsor du 2013 Integrity Award Dinner. Frederick E. Curry III en est membre. Sponsor du 2013 Integrity Award Dinner. Premier Sponsor du 2013 Integrity Award Dinner. Chevron Corp. $25,000$49,999 Chris Simmons et Glenn Ware (tous deux au CA de TI) en sont membres. Citigroup $25,000$49,999 Fluor Foundation $25,000$49,999 General Dynamics Corporation $25,000$49,999 Seule entreprise classée rang A au CI de TI-UK. General Electric Company $25,000$49,999 Classée C au CI de TI-UK. d’infrastructures, de biens d’équipements domestiques et industriels, d’équipements médicaux, diffusion de chaînes TV Constructeur en aéronautique et aérospatiale Groupe de service aux entreprises, essentiellement dans la gestion de risques Deuxième entreprise agroalimentaire du monde, cinquième par le bénéfice Principalement dans les systèmes de défense et d’électronique et dans l’aérospatiale Conglomérat constituant un des leaders mondiaux dans la conception, la fabrication, la fourniture et l'entretien de solutions de Sécurité Electronique, Protection Incendie et Contrôle des Flux. Fournit des produits et services pour les champs pétroliers dans les zones de forage, d'évaluation, de complétion, de production et d'intervention Lockheed Martin Corporation $25,000$49,999 Entreprise partenaire du secretariat de TI. Classée C au CI de TI-UK (B après info interne). Classée C au CI de TI-UK (A après info interne). Marsh & McLennan $25,000$49,999 PepsiCo, Inc. $25,000$49,999 Sponsor du 2013 Integrity Award Dinner. Raytheon Company $25,000$49,999 Larry Thompson (CA de TI-USA) en est membre. Tyco International, Ltd. $25,000$49,999 Classée C (A après info interne) du CI de TI-UK. Sponsor du 2013 Integrity Award Dinner. Weatherford International $25,000$49,999 Matthew O. Tanzer (comité consultatif de TI-USA) en est membre. Fabrication d’articles de sport Adidas jusqu’à $24,999 Entreprise internationale spécialisée dans les communications en entreprise (téléphonie par Internet, messageries d'entreprise et unifiées, centres d'appels, maintenance de PABX – autocommutateur téléphonique privé) Troisième entreprise agroalimentaire du monde. Boissons non alcoolisées, sodas Entreprise de services pétroliers Avaya jusqu’à $24,999 The Coca-Cola Company jusqu’à $24,999 Baker Hughes Incorporated jusqu’à $24,999 Conseiller en investissement basé dans la Silicon Valley L’un des plus grands producteurs mondiaux de cuivre et d’or Régulation de chauffage, aérospatial, automation du bâtiment (régulation, supervision technique, contrôle d’accès et sécurité), défense (avionique militaire). Egalement fournisseur pour l’industrie Connective Capital Management LLC Freeport McMoRan jusqu’à $24,999 Honeywell jusqu’à $24,999 William B. Jacobson (comité consultatif de TI-USA) en est membre. Sponsor et Premier Sponsor du 2013 Integrity Award Dinner. A remporté le prix. jusqu’à $24,999 Sponsor du 2013 Integrity Award Dinner. automobile Entreprise pharmaceutique. Matériel pharmaceutique et médical, produits d’hygiène, cosmétiques Pétrole et gaz. A noter : Bill Clinton en est l’un des lobbyistes à Washington Secteur de la défense : aéronautique, construction navale, espace, électronique. Quatrième entreprise d’armement dans le monde Entreprise dans le domaine de la chimie et de l’énergie, de l’industrie et de l’infrastructure, et de la construction Prestations de services financiers, fabrication d’équipements d’infrastructures, de biens d’équipements domestiques et industriels, d’équipements médicaux, diffusion de chaînes TV Troisième entreprise agroalimentaire du monde. Boissons non alcoolisées, sodas Entreprise d’informatique et de microinformatique Johnson & Johnson jusqu’à $24,999 Noble Energy jusqu’à $24,999 Northrop Grumman jusqu’à $24,999 Fluor $25,000 Classée B au CI de TI-UK. GE $25,000 Seule entreprise classée rang A au CI de TI-UK. The Coca-Cola Company $15,000$20,000 Leadership sponsor du 2013 Integrity Award Dinner. Microsoft $15,000$20,000 Sponsor et Premier Sponsor du 2013 Integrity Award Dinner. A remporté le prix. Société pharmaceutique Pfizer, Inc. $15,000$20,000 Cabinet d’avocats international Akin Gump Strauss Hauer & Field LLP Bechtel $5,000$10,000 BNSF Railway Foundation $5,000$10,000 $5,000$10,000 Cabinet d’avocats international Cadwalader, Wickersham & Taft LLP Covington & Burling LLP Fait partie du « Big Four » des cabinets d’audit et de conseil Deloitte Financial Advisory Services LLP $5,000$10,000 Société pétrolière et gazière, première compagnie américaine du secteur Entreprise de gestion de risques Exxon Mobil Corporation $5,000$10,000 The Fairfax Group, LLC $5,000$10,000 L’un des plus grands producteurs mondiaux de cuivre et d’or Due diligence FreeportMcMoRan Copper & Gold Inc. $5,000$10,000 James Mintz Group $5,000$10,000 Travaux publics, ingénierie de travaux publics, entreprise de construction Une des sept companies de chemin de fer de classe 1 aux ÉtatsUnis. L’une des plus importantes entreprises ferroviaires américaines Cabinet d’avocats Premier Sponsor du 2013 Integrity Award Dinner. Premier Sponsor du 2013 Integrity Award Dinner. $5,000$10,000 $5,000$10,000 Classée C au CI de TI-UK (A après info interne). Michael C. Bailey en est membre. Sponsor du 2013 Integrity Award Dinner. Peter Clark (CA de TI) en est membre. Alan P. Larson et Stuart Eizenstat en sont membres. Sponsor du 2013 Integrity Award Dinner. Alan P. Larson et Stuart Eizenstat en sont membres. Sponsor du 2013 Integrity Award Dinner. Frederick E. Curry III en est membre. Sponsor du 2013 Integrity Award Dinner. Sponsor du 2013 Integrity Award Dinner. Michael Hershman en est membre. Sponsor du 2013 Integrity Award Dinner. Sponsor du 2013 Integrity Award Dinner. Entreprise de soins personnels. Produits essentiellement à base de papier (comme le Kleenex) Compagnie pétrolière internationale Groupe de service aux entreprises, essentiellement dans la gestion de risques Gouvernance d’entreprise, risque, éthique, mises en conformité Fait partie du “Big Four” des cabinets d’audit et de conseil. Principalement dans les systèmes de défense et d’électronique et dans l’aérospatiale Cabinet d’avocats international Kimberly-Clark Corporation, Inc. $5,000$10,000 Sponsor du 2013 Integrity Award Dinner. Kosmos Energy $5,000$10,000 Marsh & McLennan Companies $5,000$10,000 NYSE Governa nce Services $5,000$10,000 Pricewaterhous e Coopers LLP $5,000$10,000 Raytheon Company $5,000$10,000 Chris Simmons et Glenn Ware (tous deux CA de TI) en sont membres. Steinman & Rodgers LLP $5,000$10,000 Cabinet d’avocats spécialisé dans le domaine de l’Energie Steptoe & Johnson LLP $5,000$10,000 Cabinet d’avocats international Weil, Gotshal & Manges LLP $5,000$10,000 Cabinet d’avocats international Covington & Burling LLP Donations de Biens et Services Cabinet d’avocats international Kirkland & Ellis LLP Donations de Biens et Services Classée C (A après info interne) du CI de TI-UK. Sponsor du 2013 Integrity Award Dinner. Lucinda A. Low et Alan P. Larson en sont membres. Sponsor du 2013 Integrity Award Dinner. Lucinda A. Low et Alan P. Larson en sont membres. Sponsor du 2013 Integrity Award Dinner. Ira Millstein (Conseil consultative de TIUSA) en est membre. Alan P. Larson et Stuart Eizenstat en sont membres. Sponsor du 2013 Sponsor du 2013 Integrity Award Dinner. Cabinet d’avocats. Cabinet d’avocats spécialisé dans le domaine de l’Energie Paul, Weiss, Rifkind, Wharton & Garrison LLP Steptoe & Johnson LLP Donations de Biens et Services Donations de Biens et Services Oui (CA de TI) Bechtel Group, Inc. Michael C. Bailey $4,999$10,000 Oui (CA de TI) Senior Fellow and Director, Economic Policy Initiative at the Roosevelt Institute Senior fellow at Harvard Law School and Harvard School of Government Steptoe & Johnson LLP W. Bowman Cutter $4,999$10,000 Ben W. Heineman, Jr. $4,999$10,000 Alan P. Larson $4,999$10,000 Steptoe & Johnson LLP Lucinda Low $4,999$10,000 Paul, Weiss, Rifkind, Wharton & Garrison LLP Cadwalader Wickersham & Taft LLP Deloitte Financial Advisory Services LLP Columbia University School of Law Mark Mendelsohn $4,999$10,000 Peter Clark $1,000$4,999 Frederick E. Curry III $1,000$4,999 Harvey Goldschmid $1,000$4,999 Fritz Heimann $1,000$4,999 Oui (CA de TI) Oui (Chairma n TI-USA) Oui (CA de TI) Oui (CA de TI) Oui (CA de TI) Oui (CA de TI) Oui (CA de TI) Oui (CA de TI) Oui (CA de TI) The Fairfax Group Michael Hershman $1,000$4,999 Oui (CA Cassidy Levy Kent Charles Levy $1,000- Integrity Award Dinner. Sponsor du 2013 Integrity Award Dinner. Mark Mendelsohn en est membre. Laurie Sherman en fut membre. Sponsor du 2013 Integrity Award Dinner. Lucinda A. Low et Alan P. Larson en sont membres. Sponsor du 2013 Integrity Award Dinner. de TI) (USA) LLP $4,999 Oui (CA de TI) Regulatory DataCorp, Inc. Kevin Ford Jusqu’à $1,000 Oui (CA de TI) Yale University Law School Susan RoseAckerman Jusqu’à $1,000 Qu’est-ce que ce 2013 Integrity Award Dinner ? Pour l’essentiel du document : « Le 22 mars 2012, Hilary Rodham Clinton, secrétaire d’État, recevait l’Integrity Award de TI USA pour son leadership incomparable, pour avoir fait du contrôle de la corruption un élément central de la politique étrangère des États-Unis, attirant l’attention sur les dégâts de la corruption dans les pays développés et en développement ainsi que dans la promotion de réponses efficaces. Elle a usé de sa voix et de sa position pour élever le combat mondial contre la corruption. The Coca-Cola Company reçoit le Corporate Leadership Award de TI-USA pour son engagement à promouvoir la transparence et la lutte contre la corruption en partenariat avec les gouvernements, d’autres entreprises et les ONG à travers le monde. La secrétaire Clinton et la compagnie Coca-Cola rejoignent les anciens lauréats distingués Paul Volcker [ancien chairman de la FED, selon Alan Larson, lettre pdf du 17/02/2009] et GE. Cet évènement est une occasion importante de reconnaître et de soutenir le leadership dans la promotion de la transparence et de l’intégrité, et de souligner l’importance des efforts des individus et des organisations à réduire la corruption dans le monde entier. » Les sponsors de l’événement étaient : Leadership sponsor : GE. Premier Sponsors : The Coca-Cola Company ; DOW ; Weil ; Microsoft ; Ernst & Young ; Pfizer ; PwC. Sponsors : Bechtel ; Blank Rome LLP ; Cadwalader, Wickersham & Taft LLP ; Covington & Burling LLP ; Deloitte Financial Advisory Services LLP ; Exxon Mobil Corporation ; The Fairfax Group, LLC ; Freeport-McMoRan Copper & Gold Inc. ; James Mintz Group ; Kirkland & Ellis LLP ; Kroll Associates, Inc. ; Marsh & McLennan Companies, Inc. ; Paul, Weiss, Rifkind, Wharton & Garrison LLP ; Raytheon Company ; Steinman & Rodgers LLP ; Steptoe & Johnson LLP. Remerciements spéciaux : The Coca-Cola Company ; Gaia Group. Petite cerise sur le gâteau, voici une cartographie que le lecteur du CNC est fortement invité à partager autour de lui et qui expose, au regard de noms et d’organisations connus, l’incontestable indépendance – humour – de Transparency International. Nous y avons mis les noms jugés importants de l’ONG ainsi que certains membres de son chapitre américain. En second, la même avec les drapeaux des nationalités au lieu des noms (l’espèce de ballon avec plusieurs drapeaux signifie que l’organisme a un statut mondial). Thibault Philippe Cartographie : Les réseaux de Transparency International Cartographie bis : Les réseaux de Transparency International (nationalités)