Téléchargez le dossier de presse
Transcription
Téléchargez le dossier de presse
Le Pôle Bijou est un Pôle d’Excellence Rurale (PER) situé à Baccarat en Lorraine et géré par la Communauté de Communes des Vallées du Cristal. À ce titre, il favorise le développement du territoire et a reçu un financement de la part de l’Europe, de l'État, du Conseil Régional de Lorraine, du Conseil Général de Meurthe et Moselle, de l’Etablissement Public Foncier de Lorraine, de la Fondation du Patrimoine, de la Fondation Total, de la Fondation Pays de France Crédit Agricole et du Crédit Agricole de Lorraine. La philosophie du Pôle Bijou est de constituer un pôle d’excellence autour des métiers du bijou où chaque acteur et chaque expression du bijou seront valorisés. Le Pôle Bijou Galerie est un bâtiment entièrement dédié à la valorisation de la création autour du Bijou. En ce sens, il organise trois expositions par an sur des thèmes très variés. Pôle Bijou - Galerie 13 rue du port - 54120 Baccarat Le Pôle Bijou : un lieu unique Construit en 1895, l’ancienne crèche de la manufacture des cristalleries de Baccarat a été totalement réhabilitée pour devenir le Pôle Bijou Galerie. Elle a été inaugurée en juillet 2010. Aujourd’hui, la galerie accueille des expositions temporaires de niveau international dans un cadre verdoyant et agréable. La prochaine exposition qui va démarrer le 16 janvier et se poursuivre jusqu’au 9 juin sous le titre « Entre bois et pierres ». 15 créateurs de bijou et plus de 150 pièces exposées (en bois, papier, galets, roches…) venant de toute la France mais aussi d’Italie, de Suisse, des USA et de Turquie nous confient leurs pièces pour illustrer notre thématique. Le bois et la pierre sont à l’origine de l’économie du territoire (le bois des Vosges pour alimenter les fours des usines à feu –verre et céramique, mais aussi pour la production de mobilier et pour la production de papier et puis la pierre avec la carrière de trapp de Raon l’étape ou encore les exploitations de grès rose …). Il s’agit donc de leur rendre hommage, et de témoigner de toutes les richesses qu’ils savent offrir. ANGELA BADUEL CRISPIN – FRANCE Cette collection a été réalisée spécialement pour l’exposition « Entre Bois et Pierres ». Les pièces mettent en valeur le contraste des couleurs, des matières. Les pierres, simples galets naturels, deviennent précieuses par leurs formes uniques, crées par la nature, associées à une matière noble, le bronze, un des premiers métaux de notre histoire à être travaillé. Le mariage des deux s’est fait par une envie de mettre en valeur les bases mêmes du monde minéral. L’acier martelé vient rajouter une touche brute contemporaine par sa force et sa couleur. Rendre précieux quelque chose de commun, utiliser ses mains pour transformer et mettre en valeur des éléments trouvés dans la nature, pour moi, c’est ça le plaisir de la création. Le bronze, sous forme d’argile ou « pâte de bronze », est travaillé de telle sorte à venir se draper sur les galets, puis cuit au four en deux étapes. Les galets doivent donc supporter une température de plus de 800°C. Il s’agit d’un travail délicat et assez technique, où chaque pièce est unique. PIERRE BARIERAUD - FRANCE Il mêle dans son travail, le cuir et les pierres pour créer des objets exceptionnels et très originaux. Il utilise le cuir d'agneau connu pour sa finesse, sa souplesse et sa solidité … Doux, Mais aussi car il est sensuel et chaleureux… Autant de qualité qui le font utiliser dans divers domaines depuis le XIIème. C’est une matière très agréable à porter. Toutes ses créations sont faites à la main, et chaque modèle est personnalisable … en fonction de la pierre choisie, des formes souhaitées, du jeu des matières entre elles, et bien entendu du budget disponible. , afin que vous ayez un bijou personnalisé qui vous ressemble. "Vous créer un bijou original, unique et personnalisé est ma passion." ELA CINDORUK – TURQUIE Née en 1963 à Ankara, aujourd’hui elle vit et travaille à Istanbul. Son travail utilise comme matière première, le papier. Elle a toujours été intéressée par la question de l’ornementation, dans l’espace intime et dans l’espace public. Elle est aussi passionnée par combien les individus utilisent et développent des habitudes d’ornementation par l’interaction avec du matériau “quotidien” comme les napperons en papier … Tout cela est ainsi devenu une source d’inspiration intarissable … Elle joue de toutes ces richesses du quotidien, les mêlant avec des matières précieuses (or, perles fines …) pour créer des objets simples, raffinés et harmonieux . TERESA FARIS – USA Les notions de fragilité et le rapport home/animal sont des thèmes centraux dans son travail. C’est ainsi qu’elle a été attire par l’idée de travailler en collaboration avec un “non humain”, et autrement qu’en y faisant référence, en le représentant ou en utilisant son corps. Elle souhaite éclairer des notions telles que l’universalité ou encore l’équivalence entre tous les êtres vivants. Elle a souvent observé des animaux « non-humains » exécutant des mouvements/activités répétitifs, et se demande s'ils y trouvent les mêmes répercussions relaxantes qu’elle même. La série intitulée "Collaboration avec un Oiseau" démontre aussi son besoin de réparer tous les objets cassés. Les pièces de bois qui ont été répétitivement mâchées par un oiseau sont assemblées dans une nouvelle forme qui est « achevées » par une pièce de métal à la forme inventée. FREDERIC LARDIER – FRANCE Natif de l’île de la réunion, son parcours artistique lui a fait travailler le bois, sculpter l’argile puis enfin aborder le travail des métaux précieux… C’est son maître d’apprentissage, Gilles Herbin, joaillier qui l’a initié et formé aux techniques de la bijouterie. Sa passion pour l’opale et la labradorite l’ont décidé à apprendre les techniques de lapidaire pour tailler les formes libres que lui inspiraient les pierres brutes et ensuite créer des montures à mon goût. Si la labradorite est la pierre qui le porte le plus car ses grands reflets aux allures d’ailes de papillon, du bleu intense au bleu clair avec des traits de doré offrent une palette rare dans les pierres semi précieuses, c’est ici les galets qui seront au centre de son propos. Collectés au bord des plages, ils deviennent l’occasion d’un jeu graphique en se mêlant aux métaux précieux et aux perles de culture. ANGELO LOMUSCIO – ITALIE Sa recherche artistique est très inspirée par la Nature : ses processus évolutifs, les manifestations des genres, des ordres, des espèces, des échelles de grandeur. Il est aussi fasciné par la mécanique et les possibilités chromatiques. Il aime créer des mécanismes qui donnent du dynamisme aux bijoux ; en jouant avec la lumière, pour qu’apparaissent des volumes, des couleurs et des ombres, … que les pièces s'ouvrent, inattendues… entrevues mystérieuses, panoramas secrets dans des espaces auparavant cachés, sombres, muets… Sa curiosité m’a poussé à une confrontation continue entre matériaux, techniques, traditions et expériences. Pourtant son approche est toujours ludique. Il choisit les matériaux et la technique selon les concepts qu’il aborde, mais privilégie les métaux… Ici trois de ses collections seront présentés : les pièces en papier, les pièces en bois et argent issu de crémation et les pièces en damas … toutes au service d’un certain minimalisme. BLANDINE LUCE – FRANCE Pour cette exposition, elle a laissé les matériaux inspirer la conception.. Des branches de cornouiller coupées et abandonnées dans une benne « verte », symboles du cœur et du sang dans la civilisation celte… Du bois tourné par une main anonyme et mis au rebut.. Des pièces de bois récupérées sur un chantier de démolition… Une pierre donnée comme pour marquer la solidité d'un lien… Une autre, brute, dure, lourde, arrachée à la terre… Tous ces éléments utilisés dans leur forme originelle, parfois porteurs des traces de la main de l'homme, de son intervention, parfois polis par les seules forces de la nature lui permettent de créer une relation entre des matériaux symboliquement opposés … le bois matière vivante symbole de sagesse, la pierre symbole de puissance et d'éternité. Ils sont combinés, jouent de l'asymétrie, du contraste pour mettre en valeur la beauté rustique des choses imparfaites, impermanentes et incomplètes. ATELIER SILENE - CLAIRE MAHEY ET PIERRE-DAVID ABT – FRANCE Claire Mahey, commence la peinture sur soie à 18 ans. Peinture, nature, couleur sont les moteurs de son inspiration … avec des grandes passions : l'impressionnisme, la peinture chinoise, la théorie de la couleur. Pierre-David Abt, lui, né dans une famille d'artisans, menuisiers et tisserands d'art, se lance dans le tournage sur bois. La ligne, la courbe, le dessin, la finition et le mélange des matériaux, sont une constante dans son ouvrage. En 2000 Pierre-David accentue le travail du métal, les techniques de feu et découvre l'argent. Formé par un orfèvre de Toulouse (Christian Pitorre), il se découvre une passion pour la bijouterie. Il garde et approfondit sa ligne personnelle, fine et sobre, trouvant la technique idéale pour exprimer sa sensibilité. Dans le même temps, Claire découvre la découpe et sculpture de bois précieux, qui viennent compléter son travail sur la soie. L'influence de la nature ne fait que s'accentuer, leur atelier s’installe au cœur des Cévennes, dans un environnement sauvage, contrasté et lumineux. C’est là qu’en 2003, ils fondent l'atelier Silène, du nom du papillon et de la fleur, comme un lien entre leurs activités différentes et complémentaires. SANDINE MANSOUTRE - FRANCE Ingénieur en Chimie des matériaux et Docteur en physique des Matériaux, spécialisée dans le ciment, elle est dés le début séduite par ce matériau à la fois complexe et généreux. Elle en a fait sa vie. Elle travaille depuis 18 ans dans ce monde très masculin du ciment et des bétons. De 2002 à 2009, elle vit et travaille au Maroc où au contact d'architectes, designers et artistes et découvrant la culture arabe et berbère, elle a l'idée de faire des bijoux en béton. Depuis, ses postes la font voyager dans le monde du ciment (Turquie, Grèce, Bulgarie, Egypte, Kazakhstan, Kuwait, Chypre Italie, Suisse, Sénégal, Egypte, Mauritanie, Inde, Turquie, Kazakhstan, Etats-Unis … Elle y collabore avec les hommes et femmes qui y travaillent, côtoyant au quotidien des individus de langues, cultures, religions différentes … ce contact la fascine, et c’est ce lien de la matière avec les êtres et les émotions qu’elle essaye de transmettre au travers de ses bijoux. Chaque pièce est unique, travaillée dans la masse (pas de peinture en surface, mais que des pigments soigneusement choisis) et met en œuvre les mêmes techniques que celles utilisées sur les chantiers… Toute la difficulté étant de travailler des pièces de petite dimension. PHILIPPE NARBEL ET BASTIEN CHEVALIER – SUISSE Après un parcours professionnel chahuté, Philippe Narbel découvre la bijouterie auprès d’un artisan local à l’âge de 20 ans. S’en suivent quelques années d’approfondissement de sa pratique nonconventionnelle du bijou. N’ayant aucune formation classique, il explore avec plaisir toutes les voies qui l’intéressent. Après 10 ans à ce rythme, et une vie de famille grandissante, il se réoriente dans le monde de la montre, obtenant un diplôme d’horloger. Pourtant, l’attrait du bijou ne l’a jamais quitté, et fait ressurgir une nouvelle période de création. Les années horlogères sont passées par là, le faisant gagner en rigueur et en précision. Il faut maintenant mettre ce bagage au service de sa créativité. Ces bijoux sont le fruit d’une mise en commun de compétences avec Bastien Chevalier, marqueteur d’art à Sainte-Croix (Suisse). Le concept de base est une pièce carrée en ébène qui fait office également de fermoir, par un système de queue d’aigle. Sur sa surface sera marqueté un motif, en bois de loupe de diverses essences. Un carré d’argent paré d’or fin sur sa surface supérieure est le motif central du bijou. Parfois un diamant serti d’or 18 cts vient terminer le bijou, lui apportant un peu de brillance et de lumière. JUAN RIUSECH - FRANCE Pour lui, le bijou est une œuvre d’art. « De la parure à la sculpture, du bijou à l’œuvre d’art, la pièce de joaillerie se trouve libérée de toutes contraintes. Dans ces conditions, le bijou sculpture devient un objet d’art indépendant et intemporel. Souvent appelé sculpture portable, il se libère de son rôle traditionnel, apparaissant comme une œuvre d’art dont le corps est le socle. » Juan Riusech de Haro est né à Barcelone. C’est là qu’il suit une formation en Design Industriel, puis en joaillerie artistique à «L’Escola d’Art del Treball». Installé depuis 2006 dans la Métropole Lilloise, il obtient la même année le Grand Prix des Arts de la SEMA (Société d’Encouragement Aux Métiers d’Art) pour le Département du Nord et la Région Nord-Pas de Calais. Il expose à Paris, Barcelone, Tokyo et Munich… Chacun de ses bijoux est un original… comme ici où le galet inspire la forme, et joue des associations multiples … Il apprécie le mélange de matières, de textures et de formes parfois peu communes dans le monde de la joaillerie, parfois même totalement disparates. NATHALIE ROLLAND HUCKEL - FRANCE Elle est laqueur. Peindre, organiser le foisonnement des motifs, revendiquer l'ornement, jouer avec la laque, révéler ses effets de matière et l'intensité des pigments pour parvenir jusqu’à l'émotion...Magnifier l'infiniment précieux... Chaque objet est unique. Le support est le plus souvent du bois, bois de hêtre, de poirier, d'ébène.... Réalisés par des artisans métiers d'art de sa région (l’Alsace), ils sont dessinés par ses soins. Elle pratique le « vernis gras » ou laque européenne selon les méthodes utilisées en France depuis le 18ème siècle. A base de copal, le vernis est mélangé aux pigments et appliqué au pinceau en couches successives, puis poncé. Le travail de la laque implique des temps d'attente forcés entre les différentes étapes, mais cette lenteur est pour elle précieuse, car quand il s'agit de graver une feuille d'or ou de rehausser au pinceau un minuscule détail, aucune erreur n'est possible. Elle crée les décors petit à petit, ajoutant ici une feuille, là un entrelacs géométrique, là encore un effet d'aventurine. Chaque pièce doit trouver sa cohérence plastique, son équilibre pour devenir source d'émotion pour celui qui le regarde… JACKY SCHWARTZ - FRANCE En 1961, à 15 ans, il réalise un rêve d’enfance en suivant les cours du soir aux Beaux-arts. Puis, il devient apprenti bijoutier chez Michel Louis à Nancy. Il revendique dés lors une rare fidélité à sa passion pour le courant Art Nouveau et l’Ecole de Nancy dont il se considère issu. Marchant humblement dans les pas de ses Maîtres à penser, il aime inviter le public à poser son regard sur une collection qui évoque l’héritage artistique d’un courant, d’une époque, d’une région, d’un pays en perpétuel mouvement, comme une inépuisable source d’inspiration qui n’a jamais fini de livrer ses secrets. Il acquiert ses «lettres de noblesse» en 1999 lors du centenaire de l’Ecole de Nancy où il présente ses premiers Arums à la corolle sculptée dans l’argent ou le vermeil. Dans ses conversations avec la Nature, il puise une inspiration qui lui vaut la reconnaissance de pairs prestigieux et d’un public sensible à sa démarche. Seul joaillier habilité à estamper ses bijoux «Ecole de Nancy», il reçoit en l’an 2000 par le Prix Dunhill Prestige International qui récompense un artisan exerçant un métier rare lié au luxe et au prestige et enchaine prix et récompenses. VINCENT TROGUET – FRANCE Autodidacte, tombé en « amour » du métier de bijoutier au cours d'une rencontre avec Eric Lazarus chez qui il a fait ses premières armes … Il joue à repousser les limites, fuit le « déjà vu » pour laisser s'exprimer l'insolite ... Il y a sans cesse une quête du renouveau dans son travail de recherche personnelle. Ainsi, les bijoux galet... Ces galets ramassés par les vacanciers ou projeté en ricochet sur la Méditerranée lui ont inspiré des bagues, des colliers, des pendentifs ou encore des boucles d'oreilles. Une manière aussi d'allier la beauté d'un bijou à dame Nature. Et d’autres expériences avec des bois qui l’inspirent … Il s’inquiète aussi de l'ergonomie de ses bijoux, et y travaille en collaboration avec son voisin de palier, un kinésithérapeute, histoire de faire corps avec son bijou. CLAUDE VERNET -FRANCE Il a toujours été attiré par la création de forme (entre dynamique et équilibre). « A travers ce qu'elles manifestent, elles participent de la vie du genre humain et influent les états et comportements, avec plus ou moins de conscience, voire à notre insu. » Il vient au bijou dans les années 1980. « Alors que je connaissais les capacités dynamiques des formes, je me suis rapidement rendu compte de ce que le bijou a de magique. Par ces dimensions, il acquière une intimité avec les personnes. » L’atelier s’est rapidement appelé ITINERANCE, car il est assez vite apparu que dans le contexte autodidacte, il importait de faire un chemin, et que la façon de le faire pouvait être déterminante. Travailler et expérimenter devenaient indispensable. Se sont ensuite, les exigences mises en œuvre qui déterminèrent le chemin. Exigences de maîtrise, qualité, recherche, équilibre, justesse, beauté, humilité. Les bijoux conçus sur des techniques peu utilisées, aboutissent à des formes contemporaines, et en même temps intemporelles. Il façonne, repousse, froisse, comprime, recuit, soude et fond à main levée la feuille ou le fil de métal (principalement l'argent). Il l’assemble à d'autres matières susceptibles d'être taillées, sculptées, polies et parfois teintées dans la masse. Les matières sont porteuses de structure et vie animale ou végétale. Relation presse Monique Manoha - 03 83 76 06 99 ou 06 73 48 14 72 [email protected] - www.polebijou.com Informations pratiques Horaires d’ouverture : Mercredi, samedi et dimanche : 10h-12h30 et 13h30-18h Jeudi et vendredi : 13h30-18h Fermeture hebdomadaire les lundis et mardis Ouverture sur réservation pour groupes constitués Tarifs : Entrée adulte plein tarif : 3€ Entrée réduite (enfant, groupe, chômeur, étudiant) : 2€ Gratuité : - de 12ans Pass annuel : 10€ ACCES A LA GALERIE En arrivant dans Baccarat depuis St Dié des Vosges ou Nancy : Suivre la direction "Rambervillers" - Traverser le pont qui enjambe la Meurthe - Au carrefour giratoire en sortie de pont, prendre la 3ème à droite -qui longe l'église St Remy - direction "Lachapelle" - Se garer sur l'immense parking (300 places gratuites) qui est immédiatement après l'église à gauche De là, emprunter la passerelle piétonne qui enjambe la Meurthe, le Pôle Bijou Galerie est le bâtiment juste en sortie de passerelle à gauche. En arrivant dans Baccarat depuis Deneuvre ou Rambervillers : En arrivant au carrefour giratoire juste avant le pont, prendre la 1ère sortie à droite direction "Lachapelle" -qui longe l'église St Remy - - Se garer sur l'immense parking (300 places gratuites) qui est immédiatement après l'église à gauche - De là, emprunter la passerelle piétonne qui enjambe la Meurthe, le Pôle Bijou Galerie est le bâtiment juste en sortie de passerelle à gauche Des visuels libres de droit pourront vous être fournis sur simple demande à [email protected]