le vendangeur - Centre Généalogique de l`Essonne

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le vendangeur - Centre Généalogique de l`Essonne
LE VENDANGEUR
CENTRE GÉNÉALOGIQUE DE L’ESSONNE
SEPTEMBRE 2014- BULLETIN 143
Société Nouvelle des Etablissements DECAUVILLE AINÉ à Evry-Petit-Bourg
Sommaire
14-18 Aspect de l' "Arrière"
4
Paul Amand DECAUVILLE à Evry (1846-1922)
6
La naissance de sœurs siamoises en 1658
16
ISSN 0758-5667
Mariages d'essonniens à Paris 13
ème
en 1860 et 1861
19
Les sorciers de Dourdan ou les croyances populaires
22
Questions - Réponses
24
Les nouveautés du site internet du CGE
28
Les reconnaissez-vous? Nouvelle photo de mariage
32
EDITO
J
usqu'à présent, au sein du CGE, nous échangions des renseignements entre adhérents par le biais de la rubrique Ques-
tions/Réponses ou par des photos de famille. Désormais, si vous
le souhaitez, vous avez la possibilité de faire publier votre arbre
sur le site internet du CGE, ces données étant uniquement accessibles aux adhé-
Du côté de Chamarande
rents. A titre d'exemple, vous pourrez consulter l'arbre de ma grand-mère paternelle
/RXLVH%28&+(5RULJLQDLUHGHODUpJLRQG
(WDPSHV/
H[DFWLWXGHGHVGRQQpHV
Horaires Salle de lecture
2014/2015
ainsi publiées, le sont sous l'entière responsabilité de l'adhérent. Ces données peuvent être retirées à tout moment de la consultation en ligne sur simple demande de
leur auteur. Je vous invite à aller consulter la nouvelle rubrique "Arbres en ligne"
dans laquelle vous trouverez le mode opératoire pour éditer un fichier GEDCOM,
que vous possédiez le logiciel Heredis ou Geneatique. Vous trouverez des explications complémentaires dans les pages 28 à 30 de ce bulletin.
Du 1er novembre au 31 janvier :
Lundi, mardi, mercredi, vendredi
de 9h à 16h45
Un samedi par mois de 9h à 16h45
D'autre part, je vous rappelle que vous avez aussi la possibilité de consulter les photos d'actes correspondant à des périodes manquantes, non publiées sur le site des
AD, à la rubrique "Photos de Registres".
Je tiens à remercier les adhérents qui nous transmettent des articles ou des photos
Du 1er février au 31 octobre :
Lundi, mardi, mercredi, vendredi
de 9h à 17h45
Un samedi par mois de 9h à 16h45
de famille pour publication dans le bulletin.
Fermetures :
Nathalie PROUX
Du 15 mars inclus au 31 mars inclus
Du 24 décembre au 1er janvier inclus
Nouveaux Adhérents
Tél. : 01.69.27.14.14
780
Denise LAURENT-RIOU
Le Bourg 16240 MONTJEAN
Principales familles : DESCROIX, LAURENT (Brières-les-Scellés1830 - 1930), IMBAULT, MURET (Ormoy-laRivière 1775 - 1880), FLEURY, MICHELET, RENAULT (Sermaise 1710 - 1830), BOUCHER, CIRET (Etampes
1750 - 1950), MARCHAND, VIEILLARD (Brouy 1690 - 1880), CLEMENCEAU (Boissy-le-Sec 1770 - 1850)...
781
Michel LE DAIN
16 impasse des Framboisiers 91310 LONGPONT-SUR-ORGE
Principales familles : RUELLE, VIANDON (Etréchy 18e s.), BIRON (Chamarande 18e s.).
782
Eliane BEAU
3 avenue Colbert 91440 BURES-SUR-YVETTE
Principales familles : ROUSSEAU, VALLEE (Chilly-Mazarin 18e s.), DUPONT, HOUDON (Villejust 18e s.).
783
Marie-France DUBROUS
4 square Gutenberg 91000 EVRY
784
Gewa THOQUET
107 rue Danton 92300 LEVALLOIS-PERRET
Réunions 2014 -2015 de 14h00 à 18h00
Samedi 18 octobre :
Méréville
Samedi 15 novembre :
Chilly
Samedi 13 décembre :
Chilly
Samedi 17 janvier :
Chilly
Samedi 7 février :
Chilly
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CENTRE GÉNÉALOGIQUE DE L’ESSONNE
Association régie par la loi de 1901. Déclarée en Préfecture de l’Essonne.
Enregistrée sous le n° 0913005622
MEMBRE FONDATEUR & PRÉSIDENT D’HONNEUR
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10 bis rue Ollivier Beauregard
91380 CHILLY-MAZARIN
MEMBRES FONDATEURS
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 Bernard DEGOUTTE
 Général Joseph DELIVRÉ (donateur)
COMPOSITION DU CONSEIL D’ADMINISTRATION
PRÉSIDENTE
(DIRECTION CENTRE-VILLE, PUIS
CINEMA F. TRUFFAUT)
SNCF/RER, RN20 OU A6, SORTIE
CHILLY
BUS 399 (GARES DE MASSY A JUVISY,
ARRET BEAUREGARD)
Nathalie PROUX
TRÉSORIER
François FORTIN
COURRIEL :
[email protected]
SECRÉTAIRE
Yvette NOUTRE
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Bernard BRACQ
Gérard CHARDON
Pascal HERBERT
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DECES)
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Jacqueline PICHARD
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RESPONSABLE DU SITE INTERNET
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Les articles et documents fournis dans cette revue sont publiés sous l’entière responsabilité de leurs auteurs.
La reproduction même partielle de nos articles est interdite,
sauf autorisation expresse du CGE.
DIRECTRICE DE LA PUBLICATION
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COMITE DE REDACTION
Membres du Conseil d’Administration
MAQUETTE
Nathalie PROUX
Pour être insérés dans le prochain bulletin, tous les textes,
tableaux de cousinage, questions et réponses doivent nous
parvenir
avant le 30 novembre 2014
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14-18 Aspect de l' "Arrière"
Article rédigé par Bernard ROBIN, adh. 215
C
ette guerre, engagée sans véritable préparation, en dépit de la loi dite des "3 ans" et malgré le fameux élan
patriotique, au cri de "A Berlin" accompagnant des chants guerriers, tourna vite au cauchemar.
Dès 1914, il a bien fallu s’organiser, dans divers domaines, pour répondre à la nouvelle situation créée par les hostilités.
Après une mobilisation générale qui privera le pays d’une partie de ses forces actives, il conviendra d’acheminer les
troupes, au travers de la France, vers les zones de combat. Ceci ne manquera pas de provoquer des perturbations
dans la vie des campagnes, par suite des bivouacs improvisés, accompagnés des premières réquisitions.
Le problème de l’évacuation, dans le sens inverse, des
populations du nord et de l’est, résidant dans ces zones,
provoquera un transfert, vers le centre de la France, de
refugiés pour lesquels le ravitaillement et l’hébergement
devront être satisfaits, d’où de nouvelles réquisitions.
Rapidement, en raison des nombreux blessés qui nécessiteront des soins parfois très lourds, prolongés par un
temps de convalescence ou de rééducation, seront alors
créées des structures d’accueil dans des établissements
ayant à l’origine une toute autre destination : hôtels, pensionnats, couvents, etc., réquisitionnés, puis aménagés,
quelques fois sommairement, en centres hospitaliers.
C’est ainsi qu’en Essonne des hôpitaux militaires seront créés à Athis-Mons, Brétigny, Brunoy, Etampes, etc.
A Juvisy, c’est le Collège Saint-Charles, inauguré depuis un
an seulement, et ne comportant pas encore tous les bâtiments prévus, qui verra ses installations, salles de classe,
dortoirs, réfectoire, dès la fin août 1914, occupés par les
blessés.
Répertorié "hôpital auxiliaire 250", de nombreux grands
blessés y seront soignés et une centaine y décèderont, dont
certains reposent au cimetière ancien de Juvisy.
En octobre 1916, un centre de physiothérapie sera créé et ses
baraquements édifiés face au collège.
Sur le terrain actuellement occupé par le parking et l’Hôtel
de police seront effectués des travaux de jardinage et d’horticulture, confiés aux mutilés en guise de rééducation musculaire.
Le Collège rouvrira cependant à la rentrée scolaire de
PDLVVDQVOHVSHQVLRQQDLUHV/HVpOqYHVGHFHWWHpSR
que ont témoigné que les cours étaient assurés dans les
sous-sols!
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Par ailleurs, des dispositions devront être prises pour apporter quelques soulagements à certaines familles durement
éprouvées par suite du conflit.
Un problème particulièrement douloureux se
posait et qui devait trouver rapidement une
solution, tout au moins provisoire, c’est celui
des orphelins.
En effet, de nombreux soldats qui trouvaient
la mort sur le champ de bataille laissaient souvent derrière eux une veuve avec de jeunes
enfants. Bien souvent, ces veuves ne pouvaient plus s’occuper de leurs enfants, car,
avec la faible ressource de l’allocation militaire, elles étaient dans l’obligation, pour subsister, de travailler dans les champs ou les usines.
En 1915, on comptait déjà plus de 300.000 orphelins français.
Des initiatives publiques ou privées organiseront alors la
prise en charge de ces orphelins.
Le Département de Seine qui avait acheté en 1880 le moulin de Villemoisson, accusé d’inonder son domaine de Vaucluse et inutilisé depuis un certain temps, après de multiples affectations, mettra les bâtiments à la disposition du Syndicat des travailleurs municipaux et
départementaux dans le but d’y accueillir les orphelins du personnel
parisien.
Un orphelinat y sera ainsi créé, après quelques aménagements des
locaux et l’adjonction d’une petite ferme agricole.
Inaugurée officiellement le 5 novembre 1916, l’existence de cette institution est relatée jusqu’en 1939, où la trentaine des derniers pensionnaires sera transférée au château de Serres à Parigny-la-Rose
Carte postale éditée par l'œu- dans la Nièvre.
Insigne remis après un
vre de l'Orphelinat des Armées
don
Paul Amand DECAUVILLE à Evry (1846-1922)
Article rédigé par Nathalie Proux, adh, 586
Paul Amand DECAUVILLE, Maire d'Evry, Sénateur de Seine-et-Oise, Officier de la Légion d'Honneur,
propriétaire industriel, demeurant au Château des Tourelles à Evry, a marqué de son empreinte l'aventure
industrielle de l'Essonne. Voici quelques éléments qui ont conduit à faire la notoriété de cette famille et de
cette entreprise mondialement connue.
P
aul Amand DECAUVILLE issu d'une famille de cultivateurs de l'Essonne fut connu
dans le monde entier principalement pour l'invention du chemin de fer portatif. Fils
aîné d'une fratrie de cinq enfants (Cf. détails en page 14), son aïeul Louis Antoine DECAUVILLE né en 1795 à Courcouronnes dans la ferme de Bois Briard sera maire de Courcouronnes. Son père Amand Louis Victor DECAUVILLE, né en 1821 lui aussi à Courcouronnes
dans la ferme de Bois Briard, sera maire d'Evry-Petit-Bourg et Chevalier de la Légion d'Honneur en 1866.
Paul Amand
DECAUVILLE
L'aventure de la famille DECAUVILLE démarre en 1853, lorsqu'Amand DECAUVILLE,
crée au sein de la ferme familiale un atelier de chaudronnerie et de mécanique afin de réaliser sa propre distillerie, car il doit traiter la production de betteraves à sucre sur son domaines de 700 hectares. Dès 1860LOFUppGHPXOWLSOHVDYDQWDJHVVRFLDX[SRXUVHVRXYULHUVMDU
dins d'ouvriers, caisse d'épargne, coopérative, médecine gratuite, etc…
En 1864$PDQGGHPDQGHjVRQILOVDvQp3DXOGHYHQLUO
DLGHUjODVXLWHG
HQQXLVGHVDQWp7UqVYLWHFHGHUQLHUFKHU
che à améliorer le fonctionnement du domaine.
Intérieur de la ferme de Bois-Briard à Courcouronnes
En 1867DILQGHVXUPRQWHUXQHSpQXULHGHPDLQG
œuvre, Amand cherche un moyen de mécaniser le labourage de ses
champs. Il sélectionne un système anglais de l'ingénieur J. Fowler permettant de labourer à l'aide d'une locomobile et
d'une charrue réversible.
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Un atelier de réparation de ces machines vient compléter celui de chaudronnerie. Amand DECAUVILLE décède le
1er novembre 1871 à Auteuil. Cette même année, les ateliers Decauville commencent à réaliser des travaux de chaudronnerie pour la compagnie PLM (Paris-Lyon-Marseille).
Le 9 décembre 18723DXOVHPDULHj3DULVHDYHF/RXLVH0DULH0$5&+$1'ILOOHG
XQFRXSOHGHTXLQFDLOOHUVSDUL
siens. De cette union, naîtra à Evry le 16 novembre 1873*HQHYLqYH/RXLVH'(&$89,//(
Puis, à l'automne 1875, une pluie quotidienne
et une récolte exceptionnelle de betteraves
épuisent ouvriers et animaux chargés de transporter la production dans des conditions épouvantables.
Le débardage des betteraves à Petit-Bourg
Les tombereaux et les charrettes s'enlisent dans
les champs. Il faut décharger, puis après avoir
dégagé l'attelage immobilisé, recharger à nouveau pour recommencer 50 m plus loin. Des
milliers de tonnes de betteraves risquent de
pourrir dans les champs.
Face à cette situation, Paul DECAUVILLE entreprend de poser, le long des rangs de plantes, de petits morceaux de
voies d'un écartement de quarante centimètres afin d'y faire rouler un petit chariot qui porterait un panier pouvant
recevoir les betteraves. Lorsque le rang est fini, quelques hommes suffisent pour déplacer l'installation dans l'autre
rang. Le chemin de fer portatif Decauville est né!
La récolte de 9.000 tonnes de betteraves est sauvée, la nouvelle se répand et les autres producteurs veulent tous acheter le système Decauville, en France, puis dans le monde entier.
Dès 1876OHVDWHOLHUVV
DWWDFKHQWjSHUIHFWLRQQHUOHV\VWqPHGHYRLHHWOHPDWpULHOURXODQW,OHVW
par la même occasion généralisé au sein de la ferme familiale pour l'évacuation du fumier et le
transport de pièces dans les ateliers.
Afin de démontrer l'efficacité de son système de chemin de fer portatif, Paul obtiendra la conces-
Wagonnet permettant
le transport de 500 kg sion du Tramway de Pithiviers (45) à Toury (28) (TPT) qui assurera jusqu'en 1964 un important
trafic betteravier ainsi qu'épisodiquement le transport de passagers.
de matière
Par la suite, l'écartement des voies passe à cinquante, puis à soixante centimètres. Utilisés par l'armée, dans les colonies françaises et à l'étranger, les trains Decauville tirés à l'origine par des chevaux sont ensuite tractés par de petites
locomotives à vapeur dont la première apparaît en 1877 &
HVW O
pSRTXH GHV FRORQLHV HW FH V\VWqPH HVW WUqV SUDWLTXH
pour les nouveaux territoires à développer et à exploiter. Le nombre de client atteint les 292 en France, puis
en Angleterre, en Suisse, en Russie et au Brésil.
Le 1er mars 1876 QDvWUD 5REHUW $PDQG /RXLV '(
CAUVILLE, puis le 27 août 1877, Georges Paul
Amand DECAUVILE, tous deux à Evry.
1878DQQpHGHO
([SRVLWLRQ8QLYHUVHOOHGH3DULVune
voie est mise en place pour le transport des colis des
exposants, et le Jardin d'Acclimatation du Bois de
Boulogne sera parcouru par une ligne aux petits trains
tirés par deux poneys, assurant un trafic mensuel de
jYR\DJHXUV/HRFWREUHGHFHWWHPrPH
année, Paul sera élevé au rang de Chevalier de la
Légion d'Honneur.
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De 1881 à 1892, Paul sera élu maire d'Evry-Petit-Bourg et il deviendra sénateur de Seine-et-Oise de 1890 à 1900.
En 1882 'HFDXYLOOHSURGXLWPHQVXHOOHPHQWj(YU\3HWLW%RXUJXQHFHQWDLQH GHNLORPqWUHV GHYRLHVIHUUpHVHW PLOOH
cinq cent wagonnets.
Le 11 janvier 1882 à Evry, Paul et Louise auront un troisième fils Jacques Pierre Louis DECAUVILLE, qui décèdera
le 4 mars 1919, avec le grade de Lieutenant, mort pour la France.
1883, nouvelle Exposition Universelle de Paris, un chemin de fer Decauville, véritable pré-métro, parcourt l'exposition, du Champ de Mars à l'esplanade des Invalides; il va connaître un trafic intense, avec un personnel considérable
DJHQWV&HWWHOLJQHjWUDFWLRQYDSHXUWUDQVSRUWHUDVXUOHVVL[PRLVTXHGXUHUDO
H[SRVLWLRQSOXVGHVL[PLOOLRQVGH
voyageurs dans 42.500 trains et ce, sans le moindre accident!
Le 29 mai 1884 à Evry, naîtra le dernier enfant du couple Diane Geneviève DECAUVILLE.
En 1885 3DXO '(&$89,//( H[SRVDQW DX FRQFRXUV *pQpUDO $JULFROH DIILFKH j VRQ VWDQG TXH OH PDWpULHO
"fonctionne dans le monde entier chez 3.410 clients".
Paul perd son épouse Louise Marie MARCHAND qui décèdera à Paris le 16 mars 1886.
Le chemin de fer Decauville transportant le vin ou l'artillerie vers le front
durant la guerre de 1914-1918
De 1882 à 1886 la notoriété de l'Entreprise Decauville s'accroît dans le monde entier avec l'installation de voies ferrées
en Tunisie, en Australie, aux Indes et en Chine.
Par la suite, et ce pendant toute la Grande Guerre, on fera appel à la voie de 60 dès le début du conflit, partout où le
front se stabilisera, pour relier les grands réseaux aux unités combattantes, afin de leur assurer vivres et munitions;
pour aussi évacuer les blessés vers l'arrière (en 1915, deuxième année de guerre : 1.000 km; en 1918 : 2.050 km).
En 1889 est constituée la société anonyme des établissements Decauville-Aîné. On y fabrique des voies, des aiguillages, des plaques tournantes et des wagonnets de toutes sortes. A son apogée, l'usine dispose de cinq hectares de bâtiments étalés sur seize hectares de terrain à Corbeil. Elle emploie deux mille ouvriers occupés sur huit cents machines
outils et disposant de dix-huit ponts roulants. Le 29 octobre de cette même année, Paul sera élevé au rang d'Officier
de la Légion d'Honneur en qualité de "constructeur de chemin de fer de circulation intérieure à l'exposition de 1889".
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Exposition universelle de Paris en 1889 - Train Decauville
Paul Decauville cherche d'autres débouchés pour ses nouveaux ateliers et, outre la fabrication de moteurs électriques,
crée une gamme de cycles à partir de 1892&HWWHDFWLYLWpHVWWRXWHIRLVDUUrWpHHQIDXWHG
DYRLUVXFRQTXpULUXQH
clientèle suffisante.
La Société des Etablissements Decauville Aîné est transformée le 8 décembre 1894 en Société Nouvelle des Etablissements Decauville Aîné et Paul DECAUVILLE est tout bonnement écarté de la présidence, démissionnant finalement
l'année suivante.
C'est la fin de l'aventure pour la famille DECAUVILLE, une aventure qui aura duré 42 ans, avec la création d'une
marque de renommée mondiale!
Paul DECAUVILLE se remarie le 10 octobre 1906 à Paris avec Marie Euphrasie Clotilde FAYE et s'éteindra le 29
juin 1922 à Neuilly-sur-Seine.
Epilogue :
Après plusieurs changements de dénomination et d'actionnaires, la "Société Industrielle Decauville" est créée le 26 août 1985.
L'usine de Corbeil est seule conservée.
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Ascendance de Paul Amand DECAUVILLE
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DECAUVILLE Paul Amand °07/06/1846 Evry-Petit-Bourg (91)
† 29/06/1922 Neuilly-sur-Seine (92)
Signature de Paul DECAUVILLE en 1890
Chevalier de la légion d'honneur le 20/10/1878
Officier de la légion d'honneur le 29/10/1889 en qualité de constructeur de chemin de fer de circulation intérieure à l'exposition de 1889
x1 09/12/1872 Paris 4e (75) avec Louise Marie MARCHAND
° 15/06/1851 Paris 8e (75) † 16/03/1886 Paris 8e (75)
fa de Louis Marie MARCHAND et de Clémence Saint Elme TESNIERE quincaillers dt à Paris 4e (75)
1.1 *HQHYLqYH/RXLVH'(&$89,//(ƒ(YU\-Petit-Bourg (91)
x 29/11/1897 Paris 16e avec Paul Octave Prosper DELARBRE
(OLVDEHWK1RsO'(/$5%5(ƒ0DQQHYLOOH
1.2 5REHUW$PDQG/RXLV'(&$89,//(ƒ(YU\-Petit-Bourg (91)
x 17/11/1911 Paris 9e avec Léontine Louise Joséphine Marie Catherine LEFEVRE
1.3 *HRUJHV3DXO$PDQG'(&$89,//(ƒ(YU\-Petit-Bourg (91)
1.4 -DFTXHV3LHUUH/RXLV'(&$89,//(/LHXWHQDQWGDQVOHHU5pJLPHQWGX*pQLH
° 11/01/1882 Evry-Petit-Bourg (91), + 04/03/1919 Paris (75) à l'Hôpital du Val de Grâce
mort pour la France d'une congestion pulmonaire contractée en service
1.5 'LDQH*HQHYLqYH'(&$89,//(ƒ(YU\-Petit-Bourg (91)
x 07/11/1910 Neuilly-sur-Seine (92) avec Georges Ferdinand HERMAN
x2 10/05/1906 Paris 16e (75) avec Marie Euphrasie Clotilde FAYE
DECAUVILLE Amand Louis Victor cultivateur, maire d'Evry-Petit-Bourg en 1854 ° 16/02/1821 Courcouronnes Bois Briard (91) † 01/11/1871 au 12 rue Boileau à Paris Auteuil
Chevalier de la légion d'honneur le 24/08/1866
x 07/05/1843 Vélizy (78)
5$%285',10DJGHOHLQH(ORwVHƒ9LOODFRXEOD\‚3DULV
DECAUVILLE Amand Fidèle Constant cultivateur propriétaire, maire de Courcouronnes, ° 26/12/1795 (5
nivôse an IV) Courcouronnes Bois Briard (91) † 01/05/1859 Courcouronnes (91), dt Corbeil en 1857
x 21/12/1819 Paris (75)
%(51,(5&DPLOOH(OLVDEHWKƒ9LOOHQHXYH-sous-'DPPDUWLQ‚
5$%285',1+HQUL$QWRLQHSURSULpWDLUHƒ)OHXU\-0pURJLVGW9pOL]\-9LOODFRXEOD\‚
9pOL]\
x 29/05/1822 Versailles (78)
*$87+,(50DULH)ORUHQWLQH'pVLUpHƒ9HUVDLOOHV‚3DULV
DECAUVILLE Louis Antoine propriétaire, ° 17/08/1763 Courcouronnes, dt Evry, † 13/03/1831 Evry (91)
x1 24/12/1793 Courcouronnes (91), (x2 13/01/1822 Courcouronnes avec Louise Félicité SORELLE)
/(3$*(0DULH/RXLVHƒ9HUW-le-*UDQG‚&RXUFRXURQQHV
%(51,(5/RXLV&KDUOHV$QWRLQHFXOWLYDWHXUƒ9LOOHQHXYH-sous-Dammartin (77)
† 28/01/1845 Eve (60)
x 19/07/1785 Mitry-Mory (77)
%(12,67$QQH9LFWRLUHƒ0LWU\-Mory (77)
† 1839 Eve (60)
5$%285',1/RXLV)UDQoRLVODE
° 04/10/1760 Fleury-Mérogis (91) † 30/04/1839 Paris 10
x 15/06/1784 Paris 5 (bans à Fleury-Mérogis (91))
DECAUVILLE Victoire Constance ° 25/08/1764 Courcouronnes (91) † 01/04/1841 Vélizy (78)
*$87+,(53LHUUHPDJLVWUDWƒ(IILQFRXUW
† 28/04/1824 Versailles (78)
52*,1(0DGHOHLQHƒ9HUVDLOOHV1RWUH-Dame (78)
† 07/12/1853 Versailles (78)
DECAUVILLE David fermier à Bois Briard,
° 18/02/1727 Villebon (91) † 19/05/1772 Courcouronnes (91)
La ferme de Bois Briard
x 20/02/1759 Juvisy-sur-Orge (91)
0(81,(5'HQLVH(OLVDEHWKƒFD&RXUFRXURQQHV
† 21/08/1777 Courcouronnes (91)
/(3$*(1LFRODVƒ9HUW-le-*UDQG‚GW9HUW-le-Grand (91)
x 15/11/1751 Vert-le-Grand (91)
%(55</RXLVHƒ9HUW-le-*UDQG‚
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%(51,(5/RXLV)UDQoRLVDYRFDWDX3DUOHPHQWDVFHQGDQFHHQ6HLQH-et
-Marne (77)
x 24/11/1757 Villeneuve-sous-Dammartin (77)
21
NAVARRE Marie Jeanne Victoire, ascendance dans la Somme (80)
22
%(12,67(XVWDFKH3LHUUHFXOWƒ0LWU\-0RU\‚
13/09/1816 Mitry-Mory (77)
9pPDUV
23
%28&+$5'0DULH0DUJXHULWHƒFD6W-'HQLV‚
Mitry-Mory (77)
24
RABOURDIN Jean RTS de Fleury-0pURJLVƒ/HV
Granges-le-Roi (91)
25
%28',1270DULH$QQHƒ*HQWLOO\‚
Fleury-Mérogis (91)
26
DECAUVILLE David (Cf. Sosa 16)
27
MEUNIER Denise Elizabeth (Cf. Sosa 17)
29
*$87+,(5-HDQQHƒ(IILQFRXUWDVFHQGDQFHHQ+DXWH
-Marne (52)
30
52*,1($QGUpWDLOOHXUG
KDELWVDVFHQGDQFHGDQVOD0DQFKH
x 18/11/1776 Versailles (78)
31
',$5'0DULH)UDQoRLVH
DECAUVILLE David laboureur à Antony (92) bans à Boullay-les-Troux (91)
x 27/05/1724 Villebon-sur-Yvette (91)
DESEAUX Marie Catherine
0(81,(5)UDQoRLVODERXUHXUj&RXUFRXURQQHV‚
&5(&<'HQLVHƒ(DXERQQH‚
/(3$*(*HUPDLQ‚
x1 CM 10/06/1697 Le Bouchet (91) [AD91 2E 44/81] avec Marie MARSAULT
x2 27/06/1712 Vert-le-Grand (91)
VALET Magdeleine
(x1 26/06/1703 St-Vrain (91) avec Germain GREGOIRE vigneron)
%(55<0DUWLQYLJQHURQƒFDGW9HUW-le-Grand (91)
x 24/11/1722 Vert-le-Grand (91)
'(6)25*(60DULHƒFD
%(12,67&ODXGHODE5760DXUHSDVƒ(]DQYLOOH‚0LWU\-Mory (77)
x 27/04/1717 Mitry-Mory (77)
)2851,(50DULHƒ0LWU\-0RU\‚0LWU\-Mory (77)
%28&+$5'1LFRODV&KDUOHVƒ6XUYLOOLHUVDVFHQGDQFHGDQVOH9DO-d'Oise (95)
RUELLE Anne
RABOURDIN Nicolas laboureur aux Granges-le-5RLSURFXUHXUILVFDOj*XLJQHYLOOH
° 24/01/1677 Dommerville (28) † 08/04/1741 Vert-Saint-Denis (77)
x 16/02/1700 Les Granges-le-Roi (91)
BARON Jeanne 24/06/1671 Les Granges-le-5RL‚9HUW-Saint-Denis (77)
%28',127$QWRLQHODEƒFDGW*HQWLOO\
x 26/05/1727 Wissous (91)
52,19,//(0DULH$QQHƒ:LVVRXV
DECAUVILLE David (Cf. Sosa 32)
DESEAUX Marie Catherine (Cf. Sosa 33)
0(81,(5)UDQoRLV&I6RVD
CRECY Denise (Cf. Sosa 35)
DECAUVILLE David dt Boullay-les-Troux (91)
x 29/11/1692 Les Molières (91)
9$//e(-HDQQHƒ/HV0ROLqUHV
† < 29/05/1724 dt Les Molières (91)
'(6($8;3LHUUHƒ9LOOHERQ
† 20/03/1723 Villebon-sur-Yvette (91)
/+28,//,(5&DWKHULQH‚
&5(&<$QWRLQHODERXUHXUj(DXERQQH
° ca 1668 Villeneuve-le-Roi (94)
† 11/11/1738 Juvisy-sur-Orge (91)
x 03/06/1697 Eaubonne (95)
'$1,(/&ODXGHƒFD‚(DXERQQH
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/(3$*(-XOLHQ‚
x 04/07/1661 Vert-le-Grand (91)
METAIS Marguerite
VALET Marin
0,&+27'HQLVH‚
%(55<$QGUp‚
x 14/04/1692 Vert-le-Grand (91)
LEHOUX Catherine
'(6)25*(69LQFHQW‚
x CM 22/02/1700 Le Bouchet (91) [AD91 2E 44/82]
DURANT Marie
BENOIST Pierre fermier
° 13/09/1665 Mitry-Mory (77) † 20/09/1741 Ezanville (95)
x 13/02/1691 Bouqueval (95)
7,3+$,1()UDQoRLVH
° 28/10/1664 Bouqueval (95) † 06/01/1712 Ezanville (95)
RABOURDIN Liphard lab.
° 26/09/1654 Autruy-sur-Juine (45) † 08/05/1689 Saint-Escobille (91)
x 02/05/1673 Dommerville (28)
%$5%,(5$QQH0DULHƒFD*XLOOHUYDO‚6DLQW-Escobille (91)
BARON Nicolas laboureur RTS
HARDY Marie
%28',127$QWRLQHGW*HQWLOO\‚
028/(0DULH‚!
52,19,//(3LHUUHODEƒ:LVVRXV‚:LVVRXVGW:LVVRXV0RQWMHDQ
x 14/11/1690 Wissous (91)
%(61$5'0DULHƒFD‚:LVVRXV
veuve Pierre RIOUST x1 28/07/1682 Wissous (91)
DECAUVILLE David (Cf Sosa 64)
9$//e(-HDQQH&I6RVD
CRECY Antoine (Cf. Sosa 70)
DANIEL Claude (Cf. Sosa 71)
DECAUVILLE Louis
9$//e('HQLVFDUUH\HXU‚!
0$+(8;-HDQQHƒFD‚/HV0ROLqUHV
'(6($8;$QGUp3URFXUHXUILVFDOGH9LOOHERQƒFD‚9LOOHERQ
%$&+(/(70DULH‚9LOOHERQ
&5(&<&ODXGHODERXUHXUj9LOOHQHXYH-le-Roi (94)
526(0DULHƒFD‚9LOOHQHXYH-le-Roi (94)
'$1,(/*LOOHVODERXUHXUj(DXERQQH‚(DXERQQH
&286,1*HQHYLqYH‚!
5$%285',1/LSKDUGODERXUHXUj'RPPHUYLOOH
° 26/09/1654 Autruy-sur-Juine (45) † 08/05/1689 St-Escobille (91)
x 02/05/1673 Dommerville (28)
%$5%,(5$QQH0DULHƒFD0RQQHUYLOOH‚(VFRELOOH
'(6)25*(6-HDQ‚
x 23/11/1660 Vert-le-Grand (91)
PLUCHET Jeanne
'85$1'&DQWLHQ‚
x 09/11/1666 Vert-le-Grand (91)
CORNU Jeanne
%(12,673LHUUHODEƒ0LWU\-0RU\‚0LWU\-Mory (77)
ascendance à Mitry-Mory (77)
x 16/01/1663 Mitry-Mory (77)
'(&$61LFROHƒ,YHUQ\‚0LWU\-0RU\DVFHQGDQFHj0LWU\-Mory (77)
5$%285',1-DFTXHVODERXUHXUjDXWUX\-sur-Juine (45)
° 07/10/1627 Autruy-sur-Juine (45) † 07/10/1666 Dommerville (28)
x 25/11/1646 Oinville-St-Liphard (28)
/(6$*(%HUWUDQQHƒ2LQYLOOH-Saint-/LSKDUG‚&KDORX-la-Reine (91)
[1RsO%$8'5<[(VWLHQQH%$5%,(5
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%$5%,(5(VWLHQQHO
$LVQpODEƒFD‚&KDORX-Moulineux (91)
'832173DVTXLqUHƒ6DFODV‚0RQQHUYLOOH
52,19,//((WLHQQHYLJQHURQƒ:LVVRXV‚:LVVRXV
/('8&(OLVDEHWKƒFD‚:LVVRXV
%(61$5'/RXLV‚
BLOCEAU Perette
DECAUVILLE Louis (Cf. Sosa 128)
CRECY (Cf. Sosa 140)
ROSE Marie (Cf. Sosa 141)
DANIEL Gilles (Cf. Sosa 142)
&286,1*HQHYLqYH&I6RVD
526(3LHUUHODERXUHXUj(DXERQQHƒ(DXERQQH
RIOUST Marie
RABOURDIN Jacques (Cf. Sosa 192)
LESAGE Bertranne (Cf. Sosa 193)
%$5%,(5(WLHQQHODERXUHXU‚&KDORX-la-Reine (91)
'832173DVTXLqUHƒ6DFODV‚0RQQHUYLOOH
5$%285',1-HKDQO
$LQpODERXUHXUj$XWUX\-sur-Juine (45)
GOURDILLOT Jacquette
/(6$*(0DULQODEƒYHUV5RXYUD\-Saint-'HQLV‚2LQYLOOH-Saint-Liphard (28)
x 13/07/1622 Rouvray-Saint-Denis (28)
CORMASSON Gervaise Mathurine
%$5%,(50DULQƒYHUV5RXYUD\-Saint-Denis (28)
%521/RXLVHƒYHUV5RXYUD\-Saint-Denis (28)
'83217'HQLVODEj6DFODVƒYHUV
352*8,//$5'3DVTXLqUH
52,19,//()UDQoRLVYLJQHURQ
JEAN Marguerite
ROSE Pierre (Cf. Sosa 282)
RIOUST Marie (Cf. Sosa 283)
5$%285',1-HKDQO
$LQp&I6RVD
GOURDILLOT Jacquette (Cf. Sosa 385)
LESAGE Marin (Cf. Sosa 386)
CORMASSON Gervaise Mathurine (Cf. Sosa 387)
BARBIER Marin
BRON Louise
'83217'HQLVODERXUHXUj6DFODV
352*8,//$5'3DVTXLqUH
5$%285',13LHUUHODERXUHXUj6W-3pUDY\-Epreux (45)
GUIOT Anne
LESAGE Liphard laboureur
'83217)pU\
BARBIER Liphard
DUPONT Ferry procureur fiscal de Saclas
%($8'28,1*LOHWWHƒYHUV
352*8,//$5'0LFKHOPHXQLHUj6DFODV
GONTIERE Claudine
RABOURDIN Pierre (Cf Sosa 768)
GUIOT Anne (Cf Sosa 769)
LESAGE Marin (Cf. Sosa 772)
CORMASSON Gervaise Mathurine (Cf. Sosa 773)
BARBIER Liphard
DUPONT Fery procureur fiscal de Saclas (91)
BEAUDOUIN Gillette
352*8,//$5'0LFKHOPHXQLHUj6DFODV
GONTIERE Claudine
5$%285',1-HKDQODERXUHXUj6HUPDLVHV
CHAUMETTE Claude
RABOURDIN Jehan (Cf. Sosa 1536)
CHAUMETTE Claude (Cf. Sosa 1537)
5$%285',1/XFDVODERXUHXUj,QWUpYLOOH
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LESAGE Perrine
RABOURDIN Lucas (Cf. Sosa 3072)
LESAGE Perrine (Cf. Sosa 3073)
RABOURDIN Lucas
MACON Honorine
/(6$*(0LFKHOODERXUHXUj(VWRXFKHV
CHARPENTIER Marion
RABOURDIN Lucas (Cf Sosa 6144)
MACON Honorine (Cf Sosa 6145)
Fratrie de Paul Amand DECAUVILLE
1. DECAUVILLE Paul Amand °07/06/1846 Evry-Petit-Bourg (91) † 29/06/1922 Neuilly-sur-Seine (92)
'(&$89,//(*HRUJHV$QWRLQHƒ(YU\-Petit-Bourg (91)
'(&$89,//(3LHUUH(XJqQHƒ(YU\-Petit-%RXUJ[3DULVDYHF5RVH%ODQFKH-RVp
phine Julie RENCUREL
'(&$89,//((PLOH$OSKRQVH,QJpQLHXUGHV$UWVHW0DQXIDFWXUHV,QGXVWULHOHWSURSULpWDLUHƒ(YU\Petit-Bourg (91), x1 31/07/1886 Marly-le-Roi (78) avec Thérèse Ernestine Claire GRANDMANCHE DE
BEAULIEU), x2 12/04/1890 Evry-Petit-Bourg (91) avec Marie Eugénie Gabrielle DUBUFE
'(&$89,//( 0DULH (XJpQLH ƒ (YU\-Petit-Bourg (91) x 10/07/1882 Evry-Petit-Bourg (91) avec
Adrien Alexis "Abel" COUVREUX ingénieur et entrepreneur des travaux de l'isthme de Panama (témoin :
Ferdinand de Lesseps, Président des canaux de Suez et Panama…), demeurant à Vigneux (91).
Oncles paternels de Paul Amand DECAUVILLE
DECAUVILLE Adrien Auguste °14/01/1826 Courcouronnes (91) † 10/01/1877 Courcouronnes (91) x 22/07/1850
Etampes (91) avec Eugénie BARON ° 17/03/1831 Morigny (91), un fils Armand Eugène cultivateur propriétaire ° 12/06/1851 Courcouronnes (91) x 21/09/1874 Etampes (91) avec Pauline LEFEBVRE ° 26/05/1855
Saint-Escobille (91), une fille Louise DECAUVILLE ° 22/01/1877 Evry (91) x 28/03/1903 Courcouronnes
DYHF3DXO$QGUp+(15<-LEPAUTE (1871-XQSUHPLHUILOV$QGUp'(&$89,//(ƒ
Courcouronnes (91) et un deuxième fils Maurice DECAUVILLE ° 04/12/1886 Courcouronnes (91).
DECAUVILLE Camille François cultivateur, maire de Tigery (91), °02/04/1824 Courcouronnes (91) x Alphonsine
Victoire LEFEBVRE ° ca 1834, un premier fils Alfred Armand DECAUVILLE ° 14/11/1857 Tigery (91) †
7LJHU\XQGHX[LqPHILOV+HQUL9LFWRU'(&$89,//(ƒ7LJHU\XQWURLVLq
me fils Alphonse Adrien DECAUVILLE ° 24/07/1863 Tigery (91).
DECAUVILLE Constant Charles cultivateur °08/05/1822 Courcouronnes Bois-Briard (91), dt Combs la Ville (77) †
17/04/1888 Combs-la-9LOOH(JUHQD\[/LPRXUVDYHF/RXLVH'pVLUpH0$=85(
-1846), un fils Louis Constant DECAUVILLE ° 1846 x Marie TETARD (1857-1905), une fille Marie Louise
DECAUVILLE (1881-1965) x Paul LACASSE (1872-1960), deux enfants LACASSE; x2 29/06/1854
Champdeuil (77) avec Aline GILBON, 3 filles : Marie Charlotte DECAUVILLE ° 01/04/1855 Combs-laVille (77) x 17/03/1874 Armand Louis BEGLET, Marguerite Elizabeth DECAUVILLE ° 24/01/1856
Combs-la-Ville (77), Alice Eloïse DECAUVILLE ° 02/03/1867 Combs-la-Ville (77).
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Résumé des services de M. Paul DECAUVILLE Aîné, agriculteur industriel et constructeur
de matériel de chemin de fer à Petit-Bourg (Seine & Oise) H[WUDLWGHOD%DVH/pRQRUH
Propagation du labourage à vapeur en France (la ferme de Petit-Bourg est cultivée entièrement à la vapeur avec 4
locomotives FOWLER.
Organisation mécanique des transports agricoles et industriels au moyen du demin de fer portatif appelé Porteur
Decauville qui a obtenu :
En 1876 (1ère année) : cinq médailles d'or dans les concours régionaux d'Orléans, Lons-le-Saunier, Tarbes, Rodez
et Rouen.
En 1877 (2ème année) :
HUSUL[PpGDLOOHG
RUj$QJRXOrPHFRQFRXUVUpJLRQDO
En 1878, exposition universelle :
Classe 76 : médaille d'or pour chemin de fer agricole
Classe 64 : médaille d'argent pour chemin de fer à voyageurs à voie étroite
Classe 66 : médaille d'argent pour chemin de fer d'entrepreneurs
Classe 60 : une autre médaille pour appareils de papeterie
Le porteur Decauville a également été imposé en Angleterre, Belgique, Suède, Hollande, et il a obtenu tous les 1ers
prix sans exception en 1876, 1877 et 1878. Il est employé aujourd'hui dans le monde entier et est construit à Petitbourg, à Anvers (Belgique), à Leeds (Angleterre) et à Brünn (Autriche).
Le château des Tourelles à Evry qui fut la propriété de la famille DECAUVILLE
PAGE
16
La naissance de sœurs siamoises en 1658
Texte relevé par Bernard BRACQ, adh. 127
Cet acte relevé dans les archives de l'Eure et
retranscrit par Bernard BRACQ, montre l'intérêt du curé de la paroisse pour cet évènement
exceptionnel.
La transcription est suivie d'un texte rédigé
par Eric SALF, médecin, qui a analysé ce récit
du point de vue historique et médical, lors
d'une communication présentée à la séance du
IpYULHU GH OD 6RFLpWp )UDQoDLVH G
+LV
toire de la Médecine.
Le 19 avril 1658 commune de Verneuil-sur-Avre (27) paroisse de Poisley
Le vendredi saint, environ deux heures après midi, Marguerite CHENU femme de Jean PELERIN laboureur, âgée de vingt neuf à trente ans et demeurante toute proche le lieu presbytéral du dit Poisley accoucha
de deux filles qui quoiqu'elles eussent tous leurs membres comme deux têtes, deux visages, deux cols, quatre pieds, quatre mains, deux natures et autres conduits, n'avaient néanmoins qu'un corps. Depuis le col
jusqu'aux bas des reins, elles se tenaient embrassées l'une l'autre et leurs pieds étaient entrelacés confusément, leurs côtes étaient continues en forme de demi-cercle et les mêmes servaient à toutes deux.
Il n'y avait aucune division ni interruption à l'os qui était immédiatement au-dessous de la gorge, en sorte
que par continuité il passait dans sa figure ordinaire depuis la première épaule d'un de ses enfants et allait
rendre à la dernière épaule du second.
Après que cette rareté fût exposée à tous les habitants de Verneuil jusqu'au soir, messieurs Sébastien MICHEL et Nicolas BUOT maîtres chirurgiens y demeurant, ouvraient ce corps en ma présence et dans mon
presbytère sur les six heures du soir et à la vue de quantité de personnes d'honneur trouvèrent bien de la
confusion dans les parties nobles. Ils ne rencontrèrent qu'un coeur qui même n'était pas dans la situation
ordinaire, qu'un estomac et peu de poumons aussi bien que d'intestins. Un même ombilic leur avait fourni
une assez bonne et ample nourriture parce qu'elles étaient parfaitement bien formées et très belles : jusque
là même, que leurs têtes de cheveux fort épais aussi longs que ceux des enfants de deux mois. Néanmoins
la tête de celle qui sortit la première était bien plus grosse que celle qui l'a suivit.
Mais si ceux qui liront ces choses sont capables de surprise, voici la matière du plus grand étonnement du
monde. Leur mère ne mourut point dans ses tranchées (contractions douloureuses survenant sur l'utérus
vide après l'accouchement) quoiqu'elle souffrit des douleurs indicibles depuis quatre heures du matin jusqu'à deux ou trois de l'après diner, tant pour leur grosseur ordinaire que parce que l'une des têtes étant sortie de la matrice, l'autre s'était courbée contre son épaule qu'on ne peut tirer grâce des violences épouvantables, quoique trois sages-femmes y employaient toutes leurs forces et toutes leur adresse durant le temps cidessus marqué.
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J'estime qu'elles étaient dans le sein de leur mère bouche-à-bouche et nez-à-nez, mais extrêmement à
l'étroit, attendu que leurs deux lèvres d'en haut point fendues par le lieu où elles se touchaient, leurs narines écrasées les unes contre les autres, quoiqu'on ait remarqué leur vie par leur mouvement en sorte que la
première a été baptisée sur la tête en ma présence et suivant mes ordres. L'autre avec condition sur une
main qui paraissait. Néanmoins on a pu les voir vivantes après leur sortie entière du ventre de leur mère.
Pour ce qui regarde la question, si dans ce corps il y avait deux âmes. Je m'y trouve fort embarrassé car si
la difficulté, ce ne sont selon la pensée des deux médecins : il est sans doute, que le cerveau étant le siège
principal de l'âme, y ayant deux têtes parfaitement bien formées et plus grosse que celle des enfants ordinaires. Il faut conclure nécessairement qu'il y avait aussi deux âmes. Que si on se rapporte à la philosophie qui met l'âme principalement dans le cœur il y avait qu'un même esprit qui animait ces deux têtes
quatre pieds.
Quoi qu'il en soit et quoi qu'en pussent dire nos chirurgiens, suivant les médecins et les philosophes, je
crois que dans ce même corps il y avait deux âmes. Attendu qu'avec la partie qu'ils assuraient être le cœur,
j'ai remarqué une autre qui avait les mêmes signes, grosseurs et proportions et pour ce sujet je me suis toujours comporté dans le baptême et la sépulture de ce double corps comme s'il avait été séparé.
En quoi je ne pourrai (ce me semble) être blâmé parce que j'ai toujours penché du côté de la faveur et de la
plus grande apparence.
Tout ce que dessus est certifié comme très contrôlé par moi François LEGENDRE prêtre curé de Notre
Dame de Poisley et bachelier en théologie de la faculté de Paris pour avoir été présent à toute cette action.
Fait le dix huitième jour de mai mille six cent cinquante huit.
signature LEGENDRE
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18
L'Enfant à deux têtes de Poisley (1658)
par Eric SALF
Il y a cinq ans (1986), ma thèse de médecine sur les Geoffroy Saint-Hilaire, m'avait amené à étudier les êtres
monstrueux qu'ils furent les premiers à décrire au début du XIXe siècle, selon les règles toujours actuelles de la Tératologie morphologique qu'ils créaient et ordonnaient alors.
Précédemment, les monstres avaient en général suscité plus de curiosité malsaine que d'observation réellement
scientifique. Des médecins, tel J.L. Petit, ou des prêtres, au XVIIIe siècle, avaient été des précurseurs éclairés. Mais
c'est d'un prêtre du siècle de Descartes dont je vais vous parler aujourd'hui, ou plutôt de ses dons d'observation et de
bon sens.
La lecture des actes de catholicité de la ville de Vernon dans l'Eure dans le cadre d'un DEA d'Histoire sur le passé militaire de cette ville m'a amené l'an dernier à découvrir le relevé d'un acte de naissance de 1658 de la paroisse de
Poisley, paroisse qui fût annexée par le gros bourg de Verneuil-sur-Avre, en 1792. J'ai pensé qu'il était intéressant de
porter à la connaissance du monde médical et de la Société Française d'Histoire de la Médecine cette description
ancienne et méconnue d'un monstre double thoracopage de sexe féminin né le 19 avril 1658.
L'acte en lui-même est déjà une performance. En effet, le curé de Poisley, n'est pas un curé comme les autres. Il
est bachelier en théologie de la Faculté de Paris et, par conséquent, probablement l'homme le plus cultivé de sa paroisse. Aussi remercions le ciel d'avoir fait naître cet enfant à Poisley plutôt qu'ailleurs, où un autre curé n'aurait pas
forcément eu l'idée de consigner l'événement sur ses registres. François Legendre, puisque c'est le nom de notre curé,
par la qualité de son récit et de ses descriptions nous fait presque revivre la scène. Homme de science il semble peu
surpris par cette "bizarrerie" de la nature. Sans doute a t-il déjà entendu parler d'accidents similaires (frères siamois
chez les humains, veaux à deux têtes et moutons à cinq pattes chez les animaux). Il qualifie néanmoins de rareté cet
être particulier qui fut d'ailleurs exposé (mort, puisqu'il ne survécût point au sectionnement du cordon ombilical)
aux habitants de Verneuil. L'enfant n'a qu'un seul corps pour deux têtes, quatre bras et quatre jambes.
Assoiffé de connaissance François Legendre
envoie quérir les chirurgiens pour disséquer l'enfant. Le travail effectué, il n'acceptera pas leurs
conclusions. Il est plaisant d'imaginer les médecins de Molière penchés sur le petit cadavre. Ne
sommes-nous pas au milieu du XVIIe siècle?
L'homme de religion que n'a jamais cessé d'être
François Legendre, réapparaît. Un problème se
pose à lui, terrible cas de conscience :
- l'enfant anormal, créature de Dieu, a-t-il une
âme ou deux ?
- doit-il, lui curé, faire un ou deux baptêmes, un
ou deux enterrements ?
Le choix est délicat : faisant appel à la Philosophie, puis à la Médecine, analysant la situation
d'une façon cartésienne, il optera finalement
pour la solution la plus sage : - deux têtes - deux
cerveaux - deux âmes - deux baptêmes - deux
enterrements.
Quant à la malheureuse mère, il est tout à fait
prodigieux qu'elle ait survécu. En effet cet accouchement se fit dans des douleurs horribles.
Elle aura, plus tard, le 14 avril 1660, un autre
enfant, normal, une fille Marie, après une grossesse et un accouchement ordinaires.
http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx1991x025x003/HSMx1991x025x003x0207.pdf
Mariages d'essonniens à Paris
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Années 1860 et 1861 (XIIIe arrondissement)
Actes relevés par Nathalie PROUX, adh. 586
15/03/1860
Entre François Désiré MALPARTY, employé, ° 18/10/1837 Evry (91)GHPHXUDQWj3DULVe), 1 rue du Chevaleret, fs François Décadi MALPARTY (57 A) et Louise Augustine BOREL (65 A),
et Pierrette GOGUELAT, ° 08/02/1838 Planchez (58), demeurant à Paris (13 e), 2 rue du Chevaleret, fa Dominique
GOGUELAT (44 A) cultivateur et feue Anne GALOIS.
12/05/1860
Entre François Alexandre COUTURIER, corroyeur, demeurant à Paris (13 e UXH 0RXIIHWDUG ƒ Chalou-Moulineux (91)ILV&KDUOHV$LPDEOH'pVLUp&28785,(5$MRXUQDOLHUHWIHXH0DULH-XOLHQQH0$5
CHAND, veuf de Adèle MESSIER,
et Reine GRASSOT, blanchisseuse, demeurant à Paris (même adresse), ° 17/02/1823 Montberthault (21), fa feu
Jean GRASSOT et de Reine GUENEAU SORDOT (78 A).
15/05/1860
Entre Michel Lucien FONTAINE, domestique, ° 17/01/1831 Etampes (91)GHPHXUDQWj3DULVe), 25 boulevard
de la Gare, fs feu Henri Julien FONTAINE et feue Anne Geneviève Virginie MONTEL,
et Marie Madeleine LEROY, demeurant à Paris (13eERXOHYDUGGHOD*DUHƒ'RPqYUHIDIHX
Nicolas LEROY et feue Marie Anne VOINOT.
19/05/1860
Entre Eugène ARSAC, demeurant à Paris (13eUXHGHV*UDQGV'HJUpVƒBruyères (91), fs Louis
Antoine ARSAC (69 A) couvreur et Euprasine JOLY (68 A) demeurant à Bruyères (91),
et Virginie Marcelline MAIRE, lingère, demeurant à Paris (13eERXOHYDUGGHO·+{SLWDOƒ&KROHW
&KULVWRSKH0$,5($HPSOR\pHW0DUFHOOLQH-RVqSKH&$<(7$
05/06/1860
Entre Adolphe Eugène Amable, marchand de vins, demeurant à Ivry (94), ° 17/03/1834 Morigny (91), fs Jean Eutrope GARNIER (54 A) et Marie Adolphe PETIT (50 A),
et Louise Rose GILIBERT, demeurant à Paris (13eUXHGX0RXOLQGHV3UpVƒ*HQWLOO\IDIHX
Michel GILIBERT et feue Rose Marguerite VILDÉ.
18/08/1860
Entre Alexandre Gabriel RICHARD, correcteur, demeurant à Paris (13eUXH*pUDUGƒ3RLVV\
fs feu Jean baptiste RICHARD et Marie Geneviève LEGENDRE (54 A),
et Louise PRÉ, ouvrière en robes, demeurant à Paris (13eUXH*LUDUGƒCorbeil (91), fa Auguste
PRÉ (49 A) et Anne Elisabeth HEMARD (48 A) fruitiers.
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20
13/09/1860
Entre Pascal Damas Didier DUHUY, rentier, ° 14/11/1809 Athis-Mons (91)GHPHXUDQWj3DULVe), 49 boulevard
d’Italie, fs feu Pierre Pascal DUHUY et feue Jeanne Geneviève TRUDON,
et Alexandrine Sophie LATARD, rentière, ° 21/06/1788 Abbéville (80), demeurant à Paris (13 eURXWHG·,WD
lie,veuve de Siméon Macias Scevola AVISSE, fa naturelle de Marie Françoise Godeberte LATARD.
17/11/1860
Entre Pierre GOBILLOT, mécanicien, ° 13/04/1829 Sancoins (18), demeurant à Paris (13 e), 12 rue de Chaillot, fs feu
Etienne Georges GOBILLOT et Etiennette TAILLANDIER (51 A) rentière,
et Louise DEFORGE, couturière, ° 30/01/1840 Corbeil (91)GHPHXUDQWj3DULVe), 3 rue de Chaillot, fa Narcisse
DEFORGE (52 A) mécanicien et Héloïse Charlotte LOUDET (51 A).
08/12/1860
Entre Philippe HEITZ, brasseur, ° 24/04/1833 Holtzheim (67), demeurant à Paris (13 eUXHGX0DUFKpDX[&KH
vaux, fs feu François Joseph HEITZ et feue Catherine HEITZ,
et Constance Joséphine LUPETTE, blanchisseuse, ° 24/04/1843 Juvisy-sur-Orge (91)GHPHXUDQWj3DULVe), 27
rue Croulebarbe, fa Joseph LUPETTE (47 A) journalier et Louise GALLOIS (38 A) blanchisseuse.
29/12/1860
Entre Jean Pierre NOIROT, terrassier, ° 23/12/1792, demeurant à Paris (13 e), 11 rue Campo-Formio, veuf de Marie
SIMONNET, fs feu Pierre NOIROT et feue Jeanne JEANGUY,
et Elisabeth LIOTHIER, ouvrière en corsets, ° 05/02/1807 Lisses (91)GHPHXUDQWj3DULVe), 11 rue CampoFormio, veuve de Nicolas DESMAREST, fa feu Pierre LIOTHIER et feue Elisabeth MALEINE.
11/04/1861
Entre Joseph MULOT, employé au chemin de fer, demeurant à Paris , 27 rue d’Austerlitz, ° 02/05/1834 Paris (75), fs
Jean Baptiste MULOT (49 A) cordonnier et Marie Eléonore GERESME (49 A) demeurant à Marseille, 30 rue Baussinque,
et Marie Eugénie BILLARD, blanchisseuse, demeurant à Paris (13eUXHGX&KHYDOHUHWƒLinas (91),
fa Jean Constant Gabriel BILLARD (48 A) forgeron et Louise Henriette LOMPISSE (48 A) couturière.
13/04/1861
Entre Benjamin Henri JALLIET, serrurier en bâtiments, demeurant à Paris (13eUXH*LUDUGƒMarcoussis (91)YHXIGH0DWKLOGH(XJpQLH%28/2*1(IVIHX3KLOLSSH0DUWLDO'pVLUp-$//,(7HWIHXH5RVDOLH
AGUETA,
et Marie Madeleine RIHN, lingère, demeurant à Paris (13eURXWHG·,WDOLHƒ%HQIHOGIDIHX)UDQ
çois Joseph RIHN et feue Thérèse FREYDER.
20/04/1861
Entre Edouard Philippe François PICOIS, glaisier, demeurant à Paris (13e), 10 rue du Bel-$LUHƒ*HQWLO
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ly (94), fs feu Jacques Louis François PICOIS et feue Emelie ROSE,
et Anne Alexandrine DEVEAUX, blanchisseuse, demeurant à Paris (13e), 10 rue du Bel-$LUHƒVidelles (91)IDQDWXUHOOHGH-HDQ$QGUp)UDQoRLV'(9($8;HW&DWKHULQHVFKRODVWLTXHGpVLUpH0(1(7
25/05/1861
Entre Louis Charles BONNET, menuisier, demeurant à Paris (13eUXHQHXYHGX%DFƒ&KHYUHXVH
IV&KDUOHV&ODXGH%211(7$WHUUDVVLHUHW$QJpOLTXH+HQULHWWH'(/$3/$1($
et Estelle Julie GRANDET, lingère, demeurant à Paris (13eURXWHGH&KRLV\ƒEssonnes (91), fa
François GRANDET (55 A) carrier et Julie TRIBOUX.
15/06/1861
Entre Louis Eugène ROGUE, émailleur, demeurant à Paris (13eURXWHG·,WDOLHƒDannemois (91),
veuf de Romaine Béatrice CABRIT, fs feu Louis Auguste ROGUE et Germaine Catherine BOUCHARD (76 A),
et Zaïde Anastasie Marie LESAGE, ouvrière, demeurant à Paris (13eURXWHG·,WDOLHƒ0RQWMRLH
IDIHX$OH[LV/(6$*(HW9LUJLQLH(XJpQLH/(/$1'$,6$FXOWLYDWULFHGHPHXUDQWj0RQWMRLH
06/08/1861
Entre Louis Alexandre CORCHEPOT, pâtissier, demeurant à Paris (13eUXH&RTXLOOLqUHƒMéréville (91)IV-HDQ)UDQoRLV)UpGpULF&25&+(327$PpJLVVLHUHW0DULH5RVH'(/$728&+($GHPHX
rant à Méréville (91),
et Marie Alexandrine Virginie BOLLE, demeurant à Paris, 69 rue de Lourcine, ° 05/04/1841 Paris (75), fa Jean
Nicolas BOLLE (62 A) entrepreneur de peinture et Marie Madeleine RAIMBAULT (57 A).
10/08/1861
Entre Jean FEUSINE, marchand de vins, demeurant à Paris (13eUXHGHV%RXUJLJQRQVƒ/H0DJQ\
YHXIGH0DULH)UDQoRLV*$87,(5IVQDWXUHOGHSqUHHWPqUHLQFRQQXV
et Louise Faustine PREVOST, lingère, demeurant à Paris (13eUXHGHV%RXUJLJQRQVƒEtréchy (91),
veuve de Louis François LANOIR, fa feu Pierre François Hyacinthe PREVOST et Marie Louise THUILLIER (75
A) demeurant à Etréchy (91).
17/08/1861
Entre Claude RENAUD, garde de Paris, demeurant à Paris à la caserne Lobeau, ° 05/01/1821 Epervans (71), fs feu
François RENAUD et feue Anne MARCEAU,
et Céleste Clémentine DURANDET, domestique, demeurant à Paris, 45 quai d’Austerlitz, ° 18/04/1822 ChalouMoulineux (91), fa feu Jean Pierre DURANDET et feue Marie Jeanne CANET.
19/10/1861
Entre Hippolyte JEANMAIRE, horloger, demeurant à Paris, 244 rue Mouffetard, ° 09/04/1834 Besançon (25), fs
Justin JEANMAIRE (61 A), horloger, et Augustine HOLTZMANN (57 A), demeurant à Besançon (25),
et Angélique Elodie PLANTIN, couturière, à Paris, 244 rue Mouffetard, ° 02/10/1841 Ormoy (91), fa Louis Etienne Alexandre PLANTIN (52 A), journalier, demeurant à Mennecy (91) et feue Sophie Gabrielle REMOND.
Les sorciers de Dourdan ou les croyances populaires
Récit relevé par Nathalie Proux, adh, 586
Voici le récit des avatars des Sorciers de Dourdan, signalés, en 1875, par l’Astrologue de la Beauce et du Perche :
« Vers 1740, il courait par la Beauce d’étranges bruits. Dans les marchés, dans les cabarets, on se répétait à l’oreille
qu’il y avait à Dourdan des sorciers qui étaient en communication avec le diable et avaient le secret de lui faire donner
ou découvrir des trésors.
Plus d’un paysan hochait la tête d’un air incrédule, mais rentrait chez lui fort préoccupé, et, sans en rien dire à ses
voisins, se décidait à faire le voyage de Dourdan, pour consulter Monsieur Jean-Baptiste Potin et ses deux ou trois
acolytes. Ce n’était pas chose aisée d’obtenir de ces puissants personnages qu’ils se déterminassent à faire une évocation ou appel, et une femme de Chartres leur avait vainement offert 2.500 livres pour venir chez elle. Le rendez-vous
était souvent fort loin : un nommé Henri Moutier, de Saint-Arnoult, avait dû aller jusque dans le parc de Versailles,
conduisant sa charrette attelée de cinq chevaux et chargée de six poinçons vides destinés à rapporter le trésor. En général les appels se faisaient aux environs de Dourdan, à minuit, dans quelque lieu écarté. C’était dans un champ de
fèves, derrière la chapelle Saint-Laurent (1); c’était encore dans la « cave de Bistelle » ou bien dans une cave de Rochefort ou de Bullion, ou dans un cabinet de l’auberge du sieur Masseau, à Rambouillet, chez qui le diable avait élu domicile. Il ne fallait pas un mince courage pour assister aux évocations, car il s’y passait des choses effrayantes. A la
clarté de six chandelles, et après avoir brûlé des parfums dont on était presque asphyxié, Potin faisait des cercles avec
une baguette, puis il s’écriait par trois fois d’un ton de maître : « Astaroth, je te fais commandement de la part du
grand Dieu vivant et de la main de gloire que tu aies à paraître devant moi ! ». Et alors le diable se montrait sous la
figure d’un ours, ou bien sous celle d’un homme vêtu de noir ou de blanc avec une mitre d’or, d’argent et de pierreries
sur la tête ; quelquefois seul, quelquefois accompagné d’une cinquantaine de diablotins. Astaroth était exigeant : il
fallait faire un pacte de renonciation au baptême, se piquer le doigt avec une épingle et signer avec son sang. Le diable
signait de son côté avec de l’encre sur un tapis brillant comme du feu. Alors il indiquait un jour pour livrer le trésor, se
faisait payer son voyage, faisait sonner son argent dans des barils à harengs et disparaissait. Quelquefois Astaroth était
méchant, mordait, égratignait et battait les assistants.
La chapelle St Laurent
Carte de Cassini de Dourdan
Il fallait aussi une patience éprouvée et une bourse déjà bien garnie pour tenter pareille aventure. Il était indispensable
de se procurer un exemplaire du livre « des quatre princes », paraphé du diable ; il fallait payer, en attendant minuit, le
souper de la compagnie, payer les chandelles et les parfums, payer, après minuit, les quittances et les engagements, de
Dourdan à Rochefort, de Rochefort à Rambouillet ou à Chartres, ou ailleurs, suivant le lieu indiqué pour la livraison
du trésor. Le diable apportait une statue d’or, les assistants, ne pouvant la partager, demandaient de l’argent monnayé, et c’était à recommencer. Le plus difficile, dans certaines occasions, c’était de trouver un prêtre en habits sacerdotaux, qui voulût bien se charger des péchés de trente ans et saisir le diable avec une étole ou un cordon béni, pour
lui faire rendre des engagements ou des papiers de succession perdus. On n’avait pas d’autre ressource alors que d’aller chez le curé de Bullion, le sieur d’Enfert, qui ne refusait pas son service, mais qui le faisait singulièrement attendre.
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Or, il arriva qu’au commencement de juin 1744, Martin Lorry, meunier à Sonchamp, fut un peu moins patient que
les autres. Il s’agissait pour lui d’un trésor de vingt millions, caché dans un vieux château ; Astaroth le traînait de
rendez-vous en rendez-vous, et l’appel définitif n’arrivait pas. Lorry en était déjà pour plus de mille livres de voyages
du diable, de parfums, de régals à Potin et consorts chez Trouvé, Barré, Guérot, cabaretiers de Dourdan, et chez tous
les aubergistes de la contrée. Il causa un peu et reçut des confidences inquiétantes : Moutier, de Saint-Arnoult, avait
aussi déboursé mille livres ; son voisin, louis Coudron, le vigneron, avait payé tant de voyages qu’il en était réduit à
coucher sur la paille, et Masseau, l’aubergiste, à se faire homme de peine ; Jaudon, l’arpenteur de Rambouillet, avait
donné douze cents livres et de plus sa fille en mariage à un des sorciers, pour le mettre dans ses intérêts ; Laroche de
saint-Arnoult avouait cent cinquante livres ; Lair de Bullion en avait déboursé six cents. Personne n’avait rien reçu.
La chapelle St Laurent
Cadastre napoléonien de Dourdan
L’abbé Buchère, curé de Sonchamp, reçut quelques doléances de son paroissien, il écrivit à M. Védye, lieutenantgénéral de Dourdan (2), et l’affaire prit une autre tournure. Les lieutenants-généraux ne croient pas aux sorciers. Une
enquête fut faite. Lorry servit d’espion, et la cabale fut découverte. Les sorciers de Dourdan n’étaient que des escrocs
ou des fous. Potin avait passé sa vie à jeter des sorts et à prétendre guérir de la colique, hommes et bêtes, avec des
herbes ; il avait déjà fait un bon séjour à Bicêtre. Clespe, jardinier, lui servait de compère, plusieurs autres Dourdannais partageaient la recette comme complices. D’autres, d’abord dupes, étaient entrés dans la compagnie, et l’un
d’eux s’était chargé de faire Astaroth. Un père antonin, sous-prieur de l’abbaye de Clairefontaine, pauvre tête séduite
par le cardinalat avait sacrifié pour cela son pécule de 700 livres et était devenu séducteur pour le regagner. Quant au
sir d’Enfert, c’était un vieux fou qui recevait chez lui une foule de bergers et de vauriens, et était le scandale de sa
paroisse et la désolation de ses supérieurs.
Les prétendus livres mystérieux, montrés aux braves gens, n’étaient simplement que des almanachs, et un grimoire à
demi-brûlé fut repêché dans la rivière par des laveuses. Quand la chose fut ébruitée, il se trouva dans la contrée plus
de trois cents témoins à charge. Les sommes reçues par les sorciers atteignaient un chiffre considérable, et l’on murmurait les noms de vingt bourgeois des meilleures familles de Chartres qui attendaient encore des trésors.
Grande fut l’émotion de la population de Dourdan quand, sur un mandat d’amener de M. le lieutenant-général, les
sorciers, escortés par la maréchaussée, firent leur entrée dans la grosse tour, et quand on vit pendant de longues journées, à la barre de l’auditoire, ces personnages redoutés répondre de leurs méfaits, tout comme des voleurs ; C’est
par des huées que Potin, Clespe et compagnie furent salués, le 22 août 1744, quand iles montèrent en charrette, pour
faire le voyage de Bicêtre, avec le brigadier, porteur des lettres de cachet paraphées du roi. Ce qui n’empêcha pas
plus d’une bonne âme, de se signer ne les voyant partir, et de saluer bien bas quand vint à passer, nombre d’années
après, quelqu’un d’entre eux, sorti, à la prière d’une grande dame, de l’hôpital général de la bonne ville de Paris ».
Le folklore de la Beauce et du Perche par Félix Chapiseau 1968 pages 231 - 237
(1) La chapelle Saint-/DXUHQWDQFLHQQHPHQWVLWXpUXH6DLQW-/DXUHQWIXWGpWUXLWHHQ
3LHUUH9pG\HILOVGH3LHUUHHWGH0DULH$QQH%RXUGRQ['RXUGDQ6W*HUPDLQDYHF0DUJXHULWH
Dehemery fille de François et de Marie Anne Cartide, x2 08/01/1737 Dourdan St Germain avec Henriette Charlotte Boutet fille de Noël et de Charlotte Le Boistel.
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C
Questions - Réponses
ette rubrique est réservée en priorité aux questions concernant directement l’Essonne.
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Tableau des signes généalogiques
Pensez à utiliser les signes généalogiques pour rédiger
vos questions ou réponses :
° : naissance
b : baptême
† : décès
(†) : inhumation
x : mariage
x1 : premier mariage
QUESTIONS
Q. 143/01
BAUDOUIN - HOULLIER
Région Saclas (91), rech. Asc. & mariage (ou tout acte
justifiant la filiation) de Nicolas BAUDOUIN x Marie
HOULLIER.
Benoît MAURY, adh. 72
Q. 143/02
BEAUMONT - PINEAU
Région Villeconin (91), Sermaise (91), Roinville (91) ou
Marolles-en-Beauce (91), rech. B & S de Louis BEAUMONT (° ~ 1715, † ~ 1790), fs de Germain et de Simone RABOURDIN, x 27/07/1739 Villeconin (91) Elisabeth PINEAU/PINOT († 04/04/1791 Sermaise (91) à
78A), fa de René et de Jeanne CAILLET. Un fils Pierre
BEAUMONT ° 22/09/1743 Sermaise (91).
Micheline JARDIN, adh. 385
Réponse :
Une piste de recherches :
Le couple Germain BEAUMONT x Simone RABOURDIN a eu une autre fils Jacques BEAUMONT ° Rouvres
(45) et x 05/07/1734 Boissy-la-Rivière (91).
L'Amicale du CGE
Q. 143/03
DEBONNEHEURE
Région St-Chéron (91) ou Roinville (91), rech. B de
Jeanne DEBONNEHEURE († 28/11/1771 Roinville
(91) à 95A), fa de Thierry et de Jeanne COUDRET, x
03/02/1705 St-Chéron (91) avec Thomas CAPY.
Micheline JARDIN, adh. 385
Q. 143/04
DELAIR - BAUDET
Région Saclas (91), rech. Asc. & M de Michel DELAIR
x > 1650 Simone BAUDET.
Benoît MAURY, adh. 72
x2 : deuxième mariage
cm : contrat de mariage
)( : divorce
s.p. : sans postérité
s.a. : sans alliance
ca : environ
y : même lieu que acte précédent
fa : fille
fs : fils
Q. 143/05
DELAROUSSIE
Région Autruy-sur-Juine (45) ou Pannecières (45), rech.
B < 1779 de Madeleine DELAROUSSIE x1 Jacques
PIGÉ, x2 Charles BRECHEMIER.
Jean-Paul DORAT, adh. 279
Q. 143/06
DORAT/DORET
Rech. S de Eloy DORAT/DORET laboureur °
23/10/1674 Autruy-sur-Juine (45) x 09/01/1703 Autruysur-Juine (45) avec Anne BUTET ° 21/03/1683 Pannecières (45).
Jean-Paul DORAT, adh. 279
Réponse :
Eloy DORAT † 07/08/1758 Thignonville (45).
Anne BUTET † 19/01/1761 Thignonville (45).
L'Amicale du CGE
Q. 143/07
DORAT/DORET
Rech. B de Marie DORAT/DORET x 11/01/1734 Estouches (91) avec Charles MARCHAIS laboureur.
Jean-Paul DORAT, adh. 279
Q. 143/08
DORAT
Rech. S de Jean Louis DORAT ° 18/07/1838, fs de
Jacques Désiré et de Victoire Célestine PETIT, x
14/03/1866 Autruy-sur-Juine (45) avec Pauline BEAUVALET.
Jean-Paul DORAT, adh. 279
Q. 143/09
DORAT
Rech. B de Jean DORAT † < 1735 Autruy-sur-Juine
(45).
Jean-Paul DORAT, adh. 279
SEPTEMBRE
2014
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BULLETIN
143
Q. 143/10
GAUTIER - TARDIF
Région Saclas (91), rech. Asc. & M de Michel DELAIR x >
1650 Simone BAUDET.
Benoît MAURY, adh. 72
Q. 143/11
HOUET - DUFRESNE
Région Bruyères-le-Châtel (91), rech. Asc. & M de françois
HOUET († 28/11/1771 Roinville (91) à 95A), fa de Thierry
et de Jeanne COUDRET, x ca 1635 avec Catherine DUFRESNE.
Pierre RAOULT, adh. 681
Q. 143/12
LOCHARD - LERABLE
Rech. Asc. & 1er mariage de Pierre LOCHARD, x2
26/02/1691 Chamarande (91) avec Michèle LERABLE, x3
03/06/1710 Saulx-les-Chartreux (91) avec Marie GAUDIER.
Geneviève BRIAT, adh. 640
Q. 143/13
MARTIN - MERLET
Rech. Asc. de Jean MARTIN († 01/1707 Boissy-le-Cutté) x
Jeanne MERLET († 19/10/1685 Boissy-le-Cutté). Un fils
Toussaint MARTIN (° 28/05/1663 Boissy-le-Cutté) x
02/08/1689 Auvers (91) avec Gabrielle BRUNEAU
Geneviève BRIAT, adh. 640
Q. 143/14
NAUDET - THOMIN
Rech. Asc. & BMS de Pierre NAUDET x Renée THOMIN (TOMIN) † 24/01/1673 Guillerval (91) à 60A. Une
fille Magdeleine NAUDET x 30/06/1676 Saclas (91) avec Jacques AUCLERE.
Geneviève BRIAT, adh. 640
Réponse :
Renseignements concernant ce couple :
Pierre NAUDET a eu deux frères : Pierre NAUDET l'Ainé x
Germaine BOUCHER et Germain NAUDET x Mathurine
LEMOUX.
Renée THOMAIN a eu un frère : Thomas THOMAIN x Marguerite DESROZIERS dt à Soisy.
Pierre NAUDET était laboureur à Guillerval et était décédé
lors du mariage de son fils Pierre (° 17/09/1643 Guillerval) le
21/10/1669 à Saclas (91) avec Marguerite CORBIN.
Le couple NAUDET/ THOMAIN a eu aussi une fille : Jeanne
NAUDET (° 28/01/1641 Guillerval) x 04/10/1660 Guillerval
avec Jacques RETOURNÉ.
L'Amicale du CGE
Q. 143/15
PINEAU - CAILLET
Région Les granges-le-Roi (91), Villeconin (91) ou Marollesen-Beauce (91), rech. B de René PINEAU (° ~ 1676, †
27/10/1726 Villeconin (91)), fs de René et de Andrée CONS-
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TANCIEN, x 24/11/1704 Marolles-en-Beauce(91) avec
Jeanne CAILLET († > 27/10/1726), fa de Pierre et Cantienne VEDY.
Micheline JARDIN, adh. 385
RÉPONSES
AMORY - PETITPOT (Q 122/04, Q 142/01)
02
03
HAMORY Pierre sonneur, bedeau
† 22/04/1695 Maisse Notre-Dame (91)
x 18/10/1667 Maisse Notre-Dame (91)
PETITPOT Jeanne
† 04/06/1685 Maisse Notre-Dame (91) 34A
L'Amicale du CGE
FEUILLU (Q 135/10)
François FEILLU marié le 20/10/1755 à Auvers-St-Georges
(91) avec Marie Marguerite JOTTON, est décédé le
27/03/1776 à Auvers-St-Georges (91) à l'âge de 45ans.
L'Amicale du CGE
GUERIN (Q 142/24)
Maître Charles LEVASSOR, notaire à ETAMPES de
1688 à 1699 - Cote 2 E 66/108 à 130
Contrat de Mariage entre Germain CHARPENTIER
et Elisabeth BOIVIN (Cf. sosa N° 84 & 85 de la réponse parue dans le bulletin 142).
Cote 2 E 66/128
Du 21 février 1696, furent présents Germain CHARPENTIER, laboureur demeurant à ALLAINVILLE, fils de
Jean CHARPENTIER, receveur de la terre et seigneurie du
dit ALLAINVILLE, et « d’Antoinette ? » PAYEN sa femme,
ses père et mère, pour lui, en son nom, d’une part ; et Pierre CHARPENTIER, laboureur demeurant à Villesauvage
paroisse St Martin d’ETAMPES, stipulant pour Marie Elisabeth BOIVIN sa pupille, fille de défunt « Michel ? » BOIVIN, laboureur demeurant au dit Villesauvage, et d’Elisabeth
CHARPENTIER sa femme, ses père et mère, et de son
consentement, aussi pour elle et en son nom, d’autre part ;
lesquelles parties, de l’avis et consentement de leurs parents
et amis ci-après nommés, savoir de la part du dit futur de
ses dits père et mère, Jean CHARPENTIER, Elisabeth
CHARPENTIER, frère et sœur, Marie CHARPENTIER femme de François « BORO ? » aussi sœur, Louis GENTY beau
-frère à cause de Jeanne CHARPENTIER sa femme, Valentin
RONCE aussi beau-frère à cause de Renée CHARPENTIER
sa femme, Jean FOUGERON cousin germain du côté maternel à cause de Marie BOUDET sa femme, Jean PAYEN aussi
cousin germain du dit côté, François et Germain GENTY
neveux, Charles BAUDET cousin germain paternel, Rémy
BERRUER aussi cousin du dit côté, Simon GUYARD cousin
germain du côté maternel, Germain LAURENT parrain, et
Thomas GENTY ami ; et de la part de la dite future
épouse [de Pierre CHARPENTIER son tuteur stipulant
(partie rayée)] et Marie ALEPS sa femme, présente, aïeule,
Françoise, Antoinette, Marie, Elisabeth, Etienne, Madeleine et
Renée BOIVIN ses frères et sœurs, Jean MOREAU, archer
huissier en la maréchaussée d’ETAMPES y demeurant, grand
oncle à cause de Denise ALEPS sa femme, Marie ALEPS femme de Lazare ALIMÉ sa tante, Louis CHARPENTIER (un espace blanc), Maître François VENARD notaire royal à SACLAS, ami, Perrine TARADA femme de Pierre NAUDET, et
le dit NAUDET présent, cousin germain maternel, Michel
BOIVIN cousin germain du côté paternel, Jacques
« DRAMARD ? » cousin issu de germain demeurant Fenneville, et Michel GIRARDEAU maître tailleur, cousin …. fait et
passé au dit Villesauvage en la maison du dit CHARPENTIER
tuteur de la dite future épouse, l’an 1696, le 21 février, avant
midi, présents André LAUREAU et Joachim SEDILLOT,
clerc, témoins.
Ont signé : CHARPENTIER, J. CHARPENTIER, Marie BOIVIN veuve DOUSSE, R. CHARPENTIER, L. GENTY, J. RICHAULT, F. GENTY, GENTY, P. GENTY, Jean « PARIS ? »,
Marie ALEPS, CHARPENTIER, P. NAUDET, RABOURDIN,
MINAU, BOIVIN, Noël BOIVIN, N. BOIVIN, Jean POMMIER, Marie DUNNE, PAYEN, GIRARDEAU, VENARD, LE
SOURD, « D. MESTIVET ? », LAUREAU, PETIT, SEDILLOT.
Véronique BELLARDENT, adh.407
LEGRAIN - BEAUVALLET (Q 142/26)
02
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LEGRAIN François dt Longueville (91)
x CM 17/11/1682 Vayres-sur-Essonne (91)
BEAUVALLET Marguerite dt Vayres (91)
LEGRAIN Pierre † < 17/11/1682
ROUSSEAU Perrine
BEAUVALLET Jean † < 17/11/1682
AUDENET Marguerite
En complément, consulter le règlement de succession du
09/03/1692 à La Ferté-Alais (91) [AD91 2E 46/67] concernant les héritiers de Marguerite BEAUVALLET x2
RAYMOND.
Bernard BRACQ, adh.127
PETIT - ROUX (Q 113/43)
Concernant l'ascendance possible de Marie ROUX :
Eloy ROUX est le parrain le 23/11/1655 à St-Cyr-la-Rivière
(91) de Marie PETIT fille de Pasquier PETIT et de Marie
ROUX. Il est dit fils de Louis ROUX de Charmont (45).
Eloy se marie le 02/06/1659 à St-Cyr-la-Rivière (91) avec
Anne COLLEAU. Il est fils de Louis ROUX et de Toussainte
DUTARTRE (Toussine DUTERTRE). Ce couple a eu une fille
Marie ROUX née le 08/11/1624 à Autruy (45).
L'Amicale du CGE
ROUILLARD - PINASSON (Q 111/33)
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03
04
ROUILLARD Louis dt Maisse (91)
° 27/07/1693 Buno (91)
† 12/03/1756 Maisse St-Médard (91)
x CM [AD91 2E 61/62] 26/01/1717 Maisse (91)
x 26/01/1717 Maisse Notre-Dame (91)
PINASSON Marie dt Maisse (91)
† 14/02/1740 Maisse St-Médard (91) 42A
ROUILLARD Louis
° 13/11/1667 Buno (91)
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† < 26/01/1717
14/10/1692 Buno (91)
AMAURY Elisabeth
° 04/03/1670 Buno (91)
PINASSON Théodore laboureur dt Maisse (91)
† 11/10/1723 Maisse Notre-Dame (91) 70A
x1 CM 21/02/1696 [AD91 2E 61/55] à Maisse (91)
(x2 CM 28/04/1705 [AD91 2E 61/58] à Maisse (91)
avec Marie CRITTON)
DELACOUR Jeanne dt Maisse (91)
† 27/05/1704 Maisse Notre-Dame (91)
ROUILLARD Philippe
† 15/05/1711 Buno (91) 72A
x 01/02/1667 Buno (91)
JACQUEAU Anne
† 23/12/1684 Buno (91) 43A
AMAURY Simon
CHEVALLIER Michelle
PINASSON François dt Maisse (91)
† < 21/02/1696
x1 Marie PELLETIER
x2 CM 1659 [AD91 2E 61/45] à Maisse (91)
COILLARD Françoise dt Maisse (91)
DELACOUR Georges
† < 21/02/1696
INGRAIN Jeanne
ROUILLARD Jean
† < 01/02/1667
JOULAIN Françoise
JACQUEAU René
† < 01/02/1667
LABORDES Marguerite
COILLARD Georges
MERIGAU Françoise
† < 1659
L'Amicale du CGE
SAUNIER - DURAND(Q 126/29)
Une piste de recherche si le prénom de l'épouse a évolué
d'un acte à l'autre :
02
SAUNIER Charles ° ca 1676
x 27/11/1706 Massy (91)
03
DURANT Marthe ° ca 1683
04
SAUNIER Fiacre
05
LEBEAU Michelle
06
DURANT Guillaume
07
SANGLIER Marie
L'Amicale du CGE
Filière TIERCELIN
Acte de mariage le 11/09/1753 à Mormant (77) entre Pierre
TIERCELIN fils majeur de Jean TIERCELIN manouvrier et de
défunte Claudine SOYER de la paroisse de Bruyères-leChâtel avec Marguerite LAGRAVOIR fille mineure de défunt
Antoine LAGRAVOIR vivant bourrelier et de défunte Marie
GRILLON ses père et mère de cette paroisse. Le consentement du père du marié passé devant maitre Laurent BOULLE notaire royal de Montlhéry pour la résidence du prieuré
d'Arpajon y demeurant, contrôlé au dit Arpajon le
03/09/1753.
Bernard BRACQ, adh. 127
SEPTEMBRE
2014
-
BULLETIN
143
PAGE
27
Filière TALLYE
Acte de mariage le 01/06/1677 à Verneuil l'Etang (77) entre Marin TALLYE fils de feu François et de Michelle BLIN de la paroisse de St-Hilaire avec Jeanne GUIOT fille de Pierre et de feue Jeanne HANOT de cette paroisse .
Bernard BRACQ, adh. 127
Promesses de mariage à Nainville-les-Roches (91) [E dépôt 40 2E1]
Actes de mariage relevés par Ghislaine BATTEREAU, adh.321
03/02/1793 LEBLANC Louis, veuf de † Marguerite MARÉCHAL, fs de † Simon, et
RENAUD Marie Marguerite (majeure) de Parthes (77), fa Etienne Gervais (vigneron)
et † Marie Anne ARDOUIN.
08/09/1794 DELANOUE Pierre, charretier, demeurant à Nainville (91), fs Pierre (tailleur de pierres) et Marie CASTILLEUX, demeurant à Champcueil (91), et
PARIS Marie Anne (majeure), fa de † Etienne et † Marie Anne PRIEURÉ.
21/04/1797 CHAUMETTE Nicolas 25 ans, vigneron, fs Claude (vigneron à Villabé) et Marie Louise Thérèse FEUILLERAT, et
FAVEROT Catherine 25 ans, domestique à Auverneaux (91), fa Pierre et Geneviève CAQUET.
01/07/1797 BOIRON Barthélémy 63 ans, vigneron à Nainville (91), veuf de † Marie LEGRAIN, fs de † Jean et † Marie Anne
BUTÉ, et
BOISSAC Thérèse 62 ans, vignronne à Saint-Fargeau (77), veuve de † Jacques MATHIEU, fa Antoine et Denise
REGUIN.
04/06/1808 LAURAIN Jean Antoine 24ans, menuisier à Paris (75) - 49 rue du Faubourg St Denis, fs Antoine et Catherine
THIERY demeurant à Nainville (91), et
CHENON Antoinette Louise Agathe, demeurant à Paris (75) - 33 rue du Faubourg St Denis, fa Antoine Gabriel (charpentier) et Rose DENIZOTE, demeurant à Paris (75).
LES NOUVEAUTÉS DE LA BASE TRACE
AU 3ème TRIMESTRE 2014
Tables des naissances
Communes
Bruyères-le-Châtel
Nombre d'actes
8 955
Périodes
1618 - 1904
&RPSOpPHQWV
Tables des mariages Données corrigées et rendues filiatives
Bruyères-le-Châtel
D'Huison
2 033
1640 - 1904
)LOLDWLIVHWFRPSOpPHQWV
645
1660 - 1905
)LOLDWLIVHWFRPSOpPHQWV
1640 - 1904
&RPSOpPHQWV
Tables des décès
Bruyères-le-Châtel
7 950
Actes en vrac mis en ligne au 30/09/2014
Chaque trimestre de nouveaux actes sont saisis et ceux récemment intégrés dans la base Trace en sont retirés.
Cette base contient 9.950 actes B ou N & 13.365 actes CM ou M & 14.915 actes S ou D.
LES NOUVEAUTÉS DU SITE INTERNET DU CGE
AU 3ème TRIMESTRE 2014
Un accès simplifié aux bases de données
Jusqu'à présent, l’accès à chacune des bases de données naissances, mariages et décès nécessitait la saisie du compte de
l’adhérent et la saisie d’un mot de passe.
Désormais, une seule connexion sera nécessaire pour accéder à l'ensemble des bases de l’espace "accès adhérents Bases de
Données du CGE".
Les différentes bases sont alors accessibles en direct voir ci-dessous :
Une nouvelle fonctionnalité : les arbres en ligne
Lors de la dernière Assemblée Générale, il avait été annoncé la mise en ligne d’un nouveau service : la publication d’arbres d’adhérents. C’est désormais chose faite.
Les adhérents qui le souhaitent pourront faire publier sur notre nouvel espace adhérents leur arbre et le mettre à disposition des autres adhérents.
Cette fonctionnalité permettra de renforcer le partage des informations entre les adhérents de notre association. Rappelons que l’objectif de notre association est de favoriser les échanges et l’entraide, ainsi que de participer à la collecte des
informations pour le bénéfice de l’ensemble des adhérents.
Après les réunions de consultation et le bulletin avec sa rubrique questions/réponses, cette mise en commun d'arbres
d'adhérents est une brique supplémentaire de communication du CGE.
Nous espérons que vous participerez nombreux à cette nouvelle rubrique.
Comment faire publier son arbre ?
A partir de votre logiciel de généalogie, effectuer une extraction au format GEDCOM contenant uniquement les ascendants. puis, envoyez un mail, en mettant le fichier GEDCOM en pièce jointe, à l’adresse du CGE :
[email protected]
Votre fichier sera publié sur le site après avoir été traité informatique par le CGE. Le détail de la procédure est disponible
sur le site du CGE.
Les données seront publiées sous l’entière responsabilité de l’adhérent, le CGE publiant en l’état, les données fournies.
L’arbre est la propriété de l’adhérent et celui-ci peut sur simple mail ou courrier demander la suppression de sa publication sur le site du CGE. Le CGE s’engage à détruire le fichier fourni.
Comment visualiser les arbres publiés ?
Se connecter sur notre site : genealogie91.fr
Cliquer sur « Bases de données », « Bases de données du CGE », « Accès aux arbres » :
Vous accédez à l’écran suivant où vous pourrez sélectionner dans une liste, l’arbre que vous souhaitez consulter. A ce
jour, à titre d'exemple, l'arbre de la grand-mère paternelle de Nathalie Proux a été publié sur notre site.
On trouve en premier le nom de l’adhérent (Nathalie Proux), suivi du nom de l’ascendant (Louise Boucher), puis la date
de mise à jour de l’arbre (21/09/2014).
Vous pourrez envoyer une mise à jour de votre arbre, celle-ci remplaçant la version précédente de votre arbre avec un
nouvelle date de publication.
La page d’accueil comporte les informations suivantes : l’ascendant de l’adhérent (Louise Boucher), le nom et le numéro
de l’adhérent, ainsi que son adresse mail afin de permettre les échanges au sein du CGE.
L’accès aux données se fait par les menus en bleu en haut de l’écran :
« Individus »
« Lieux »
« Etats »
Un exemple d’écran :
SEPTEMBRE
2014
-
BULLETIN
143
PAGE
31
Debout derrière les mariés: M. BARBIER Directeur de l'école de Bruyères le Châtel, frère de lait du marié et témoin. A droite de ODPDULpHHQERXWGHILOHVRQIUqUH&KDUOHV1(9(8'LUHFWHXUGH
l'école d'Allainville, en dernier sa femme Marie COSSE (de Ballancourt). Par rapport au marié : à gauche la mère de son épouse Victorine NEVEU (couturière, d'où la beauté des robes) le père de
l'épouse Charles NEVEU Directeur de l'école de Ballancourt, puis les parents de Marie COSSE. La mariée, outre l'enseignement, était spécialiste de la sténo DUPLOYE, elle fut la 1ère femme sténo à
la Chambre des Députés, avant son mariage. Elle quitta l'enseignement pour être fermière à Champcueil. Aucune indication du Studio qui a réalisé cette photo.
La mariée: Victorine NEVEU 34 ans institutrice à Bruyères le Châtel, son époux : Bénoni Edmond JULLEMIER 35 ans fermier de la Grande Ferme à Champcueil (91).
Mariage des grands-parents de Madame Gisèle JULLEMIER (adh. 567) le 16 janvier 1909 à Bruyères-le-Châtel (91)