Résumé Pensée H`assidique
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Résumé Pensée H`assidique
Chabbat Parachat Korah’ – 27/28 Sivan 5769 Pirke-Avot Chapitre 4 C בסד hnat-Hakel 28 Leilouy Nichmat Rav Gabriel Noah’ et Rivka Holtsberg HYD Pour recevoir LEHAIM , connectez vous a [email protected] ou tel: 054.808.15.84 Horaires de Chabbat Tel-Aviv: 19.27 Jérusalem: 19.12 20.33 20.30 Sefer-Hamitsvot Mitsva positive N.19 Il s’agit de l’ordre qui nous a été enjoint de rendre grâce a D… après chaque repas. Hayom-Yom 20 Sivan L’un des proverbes de mon grand père (le Rabbi Maharach) « La structure de l’intellect et des sentiments d’un H’assid dépend de la première entrevue qu’il a eu avec son Rabbi. La première entrevue dépend du caractère du H’assid. C’est en fonction de celui-ci que le Rabbi lui prescrira le moyen de servir D… qui lui convient ». Résumé • Korah’, cousin germain de Moche et Aaron et grand Talmid H’ah’am, revendique lui aussi une fonction honorable. Voyant que cela n’aboutit pas, il entraine le peuple a se révolter contre Moche et Aaron. Au total, 250 personnes le suivent. La plupart font partie de la tribu de Reouven (qui sont les voisins directs de Korah’). H prend la défense de Moche et ouvre la terre qui engloutit les 250 personnes. H fait ainsi la preuve que Moche et Aaron ont bien été choisis par lui et qu’ils n’ont pas agi de leur propre chef. • Le peuple en veut a Moche d’avoir provoque la mort. H envoie une épidémie pour les punir, Aaron s’empresse de s’interposer entre l’ange de la mort et les Bne Israël. Mais 14.700 personnes ont déjà péri. • La Thora fait ensuite mention des 24 cadeaux qu’un juif doit réserver aux Cohanim. • La Paracha se termine par les détails concernant la Mitsva de Pidyone Haben (le rachat du premier ne). Tout premier ne doit être racheté au Cohen par le père du bébé en échange de la valeur de 5 pièces d’argent. Cela se fait lorsque l’enfant a 30 jours. Celui qui n’a pas accompli cette Mitsva a ce moment doit le faire le plus tôt possible, quelque soit son âge, même s’il est grand père. Pensée H’assidique Ce n’est pas parce que tu as raison, que l’autre a forcement tort, et ce n’est pas parce que l’autre a tort, que tu as forcement raison!!! 28 Sivan 1941 Le Rabbi et la Rabbanit arrivent en Amérique. Attention CHABBAT MEVARH’IM n’oubliez pas de dire tous les Tehilim. Roch H’odech Tamouz (Dimanche soir) Lundi 22 et Mardi 23 Juin Cette Sidra est dédiée Leilouy Nichmat Mazal Tov Bat Baya Kouka Bat Chimone Prière de ne pas lire cette feuille pendant la Tefila Merci de votre compréhension Pendant la seconde guerre mondiale, le Rabbi et la Rabbanit se trouvaient en France occupée par les Nazis. Le Rabbi Rayats fit de n ombreuses démarches pour les en libérer et leur permettre de rejoindre les États Unis. Ils obtinrent un visa et ils partirent vers le Portugal puis l’Espagne. Du fait de son état de sante fragile, le Rabbi Rayats ne put venir les accueillir, mais il envoya une délégation composée de quatre Rabbanim. La veille de leur arrivée, le Rabbi Rayats les convoqua puis leur dit « Je vous fais mes émissaires pour aller accueillir mon gendre, je vais vous révéler qui il est. Il dit le Tikoun Hatsot chaque nuit, connait par cœur le Talmud de Babylone avec les commentaires de Rabbenou Nissim, du Roch et du Rif, le Talmud de Jérusalem avec ses commentaires, le Rambam et le Likoute Thora avec toutes les références auxquelles il renvois. Allez maintenant l’accueillir. » Lettre du Rabbi L’une de vos connaissances m’a transmis que votre état de sante n’est pas brillant. Je viens donc vous souligner, bien que ceci ne soit vraisemblablement pas nouveau pour vous, que chacun d’entre nous est personnellement soumis a la divine providence du créateur, bénit soit son nom. En conséquence, s’imaginer que quelqu’un cherche a vous nuire n’est rien d’autre qu’une illusion, car pareille chose est inconcevable. Il faut donc témoigner a D… de sa confiance la plus parfaite. Tout comme il dirige le monde, il se préoccupe également de vous et de votre corps. . . . .Il est bon que vous récitiez chaque jours quelques Psaumes. Le roi David put obtenir que ceux-ci soient considérés comme l’étude des passages les plus ardus de la Thora. Ce texte présente donc a la fois les qualités de la prière et de la Thora. Je vous adresse ma bénédiction de prompt rétablissement et de bonne sante et j’attends de vos bonnes nouvelles. Commentaires sur Pirke Avot Michna 1 Chapitre 4 Ben Zoma dit « Qui est considéré comme un homme fort ? Celui qui est capable de maitriser son (mauvais) penchant.. » De même, lorsqu’un voleur se présente chez quelqu’un, il peut soit le faire fuir (en criant) soit l’arrêter. (Ou encore mieux, lui faire faire Techouva.) Mais alors que dans le premier cas, le voleur est toujours en liberté et risque a n’importe quel moment de revenir, dans le second cas (ou le dernier cas), le danger est définitivement écarté. La Michna ne demande pas de tuer son Yetser Hara, elle demande de le maitriser. Ce niveau est bien plus élève (et bien plus dur a atteindre) que le précédent. La Michna précise ici que l’homme fort maitrise son Yetser Hara, pas celui de son ami. En effet, de nombreuses personnes passent leur vie a essayer de maitriser le Yetser Hara des autres! Il n’y a rien d’héroïque a savoir gérer le Yetser Hara des autres. Se séparer du monde est une préparation indispensable, mais elle ne peut en aucun cas être considérée comme un but en soit. La guerre la plus dure a laquelle un homme est confronte durant sa vie … c’est la guerre contre ses pulsions et ses désirs. Lorsqu’on tue son Yetser Hara, il ne nous dérange plus, mais il ne nous aide pas non plus pour réaliser notre mission. En revanche, lorsqu’on arrive a le maitriser, on peut ainsi profiter de ses forces! La Thora n’a été donnée que dans le but d’aider l’homme a changer sa nature profonde. Un homme voyageait en calèche, lorsqu’un de ses deux chevaux refusa d’avancer. Il essaya par tous les moyens, impossible de le faire avancer. Il commença a détacher le cheval réfractaire pour pouvoir avancer (plus lentement soit) avec l’unique cheval prêt a tirer sa calèche. Soudain son ami le rejoignit et lui dit « Il est certainement plus facile de se séparer du (mauvais) cheval, mais si tu arrives malgré tout a le « convaincre » d’avancer, tu arriveras beaucoup plus vite a destination. Ainsi, se débarrasser de se défauts est certes une bonne chose, les transformer nous permettra de les utiliser pour le bien. Les bons traits de caractère n’ont de valeur que parce que nous nous sommes fatigues pour y arriver. Celui qui n’a pas encore change son caractère (même s’il fait les Mitsvot) n’a pas encore commence a servir D… Plus une personne s’élève dans la Thora et les Mitsvot, plus son Yetser Hara se renforce. Si on constate que notre mauvais penchant est très grand, il ne faut pas s’en impressionne, cela signifie que notre bon penchant est, lui aussi très fort. Commentaires sur la Paracha Pourquoi Korah s’en prit il a Moche et a Aaron ? Il leur reprochait de vouloir s’accaparer toutes les hautes fonctions. Le Midrach nous enseigne que Korah et son assemblée furent enterres vivants, afin de pouvoir faire Techouva. Pourquoi a-t-il attendu tellement longtemps avant de réagir, alors que Moche avait déjà annonce que Aaron serait le Cohen Gadol ? Korah savait que Moche et Aaron étaient plus élevés que tout le peuple, mais lorsque Moche nomma Elitsafane ben Ouziel a sa place, il se sentit vexe. Dans les Pirke Avot, lorsqu’on eut nous parler d’une dispute qui n’est pas pure, donne l’exemple de la dispute de Korah et son assemblée. Cela demande des explications. En effet, la Michna aurait du dire la dispute de Korah et Moche? En fait, la Thora nous apprend par la que Moche n’avait pas du tout alimente la dispute, c’est pourquoi on ne cite pas son nom, pour ne pas l’associer a la dispute. Tout celui qui se révolte contre son Rav est considéré comme s’il s’était révolté contre H’. Parmi le groupe de Korah, se trouvait un homme, One Ben Pelete. Il fut le seul (avec les enfants de Korah) a être épargné. En effet, sa femme lui conseilla de ne pas prendre part a la révolte contre Moche. Elle lui dit :Qu' as tu a gagner de cette dispute, soit c est Aaron le Cohen, soit c est Korah. Dans tous les cas, tu n auras rien, alors pourquoi tout cela ! Elle mit du somnifère dans le verre de son mari, et au moment ou les envoyés de Korah sont venus le chercher, elle s assit a l entrée de sa maison et se découvrit les cheveux. En voyant cela, ils s éloignèrent, et c est comme cela que One fut sauve. Korah lui fut perdu a cause de sa femme. Elle lui répétait sans cesse : « Tu ne vois pas que Moche veut s accaparer tous les honneurs, lui, son frère…Mais toi, tu es aussi un Tsadik et un grand Haham, il n y a pas de raison que tu sois mis de cote…. » A ce propos, les H'ah'amim nous enseignent qu’une femme intelligente construit sa maison ! La Thora nous enseigne que, quiconque se révolte contre son maitre est considéré comme s’il se révoltait contre H’. Il est rapporte dans le Talmud qu’il vaut mieux introduire une statue dans le Beth Hamikdach plutôt que de causer des querelles parmi le peuple juif. Il arriva une fois qu’un petit groupes de personnes mal intentionnées décida de s’en prendre a Rabbi Levi Ytsh’ak de Berditchev. Alors qu’il dut s’absenter, ils prirent sa femme et ses enfants et les jetèrent tout simplement dehors de chez eux. Lorsque les fideles apprirent ce qui s’était passe, s’empressèrent de se rendre chez Rabbi pour lui demander de prier pour qu’H’ punisse les coupables d’un tel acte. Mais lorsqu’il entendit quelle était la demande, il répondit qu’il ne pouvait pas faire ce qu’on lui demandait, expliquant « La Tefila de Rabi Levi Ytsh’ak m’a devance, il a implore H’ de ne pas faire de mal a ces pauvres juifs??? » Récit H’assidique Ma belle-sœur, après avoir été mariée un an, décida de quitter son mari, avec qui la vie était devenue insupportable. Il va sans dire, qu’après seulement un an de mariage, son mari n’était absolument pas prêt à mettre un terme aussi rapidement à sa vie de couple. Elle quitta le domicile conjugal et vint s’installer chez mon mari (son frère) et moi-même afin d’échapper au foyer familial. Dès lors, s’engagea entre eux, une vraie guerre. Jamais une conversation normale n’a pu avoir lieu, jamais une mise au point sur leur couple n’avait pu être faite et à aucun moment, une tentative de réconciliation n’était envisageable. Ce que vous devez savoir, c’est qu’au milieu de ce désastre, était née une petite fille. De ce fait, ils étaient obligés de se voir régulièrement pour que cette petite fille puisse être aussi bien avec sa maman qu’avec son papa. A chaque rencontre, et ce, quelque soit l’endroit, leur conversation se transformait en hurlements, en crise de nerfs et de larmes, en injures et menaces ! Son mari lui promit même de lui rendre la vie impossible. Le temps passa. Leur mésentente ne changea pas. Leurs rencontres étaient toujours aussi prévisibles et insupportables, pleines de haine et de violence. Profitant parfois de quelques moments d’accalmie, ma bellesœur essayait de lui parler du guet (l’acte de divorce religieux qu’une femme divorcée doit recevoir si elle envisage de fonder un nouveau foyer). Elle voulait lui expliquer que ce n’était pas une vie, ni pour elle, ni pour lui. Qu’ils savaient tous les deux pertinemment qu’ils ne reprendraient jamais la vie conjugale et, par conséquent, qu’ils ne pouvaient vivre plus longtemps comme cela. Pas une seule fois, elle ne put aller au bout de ses explications. Il refusait Systématiquement de l’écouter, lui jurant que, jamais il ne lui donnerait le guet ! Sayada Déménagements Pour tous vos déménagements France/ Israël Containers Que si l’occasion se présentait pour lui, il préfèrerait vivre une relation interdite plutôt que de lui rendre sa liberté ! Et connaissant la position de ma belle-sœur à cet égard, il savait que sans le guet, jamais elle n’aurait envisagé de refaire sa vie… il la retenait prisonnière Dans une vie solitaire et sans avenir ! De mon côté, j’eus la chance de gagner un goral (tirage au sort) qui m’offrait la possibilité de me rendre sur le Ohel du Rabbi de Loubavitch, à New York, afin d’y représenter la communauté dans laquelle j’habitais et de demander au Rabbi d’exaucer, pour chacun d’entre eux, leurs prières. Évidemment, ma belle-sœur me supplia de penser très fort à elle et, connaissant toute son histoire, elle me demanda de tout raconter au Rabbi et de lui demander d’intervenir en sa faveur, ce que bien sûr je fis de toutes mes forces, lors de mon pèlerinage auprès du Rabbi. Dès mon retour à Paris, ma belle-sœur me téléphona, toute ébranlée. Elle me demanda où je me trouvais le vendredi vers 9 h du matin (heure française). Je faisais rapidement le calcul dans ma tête et lui répondit que nous étions, mon mari et moi, sur le Ohel du Rabbi. Elle me rétorqua : « Ce n’est pas possible ! Tu ne peux pas imaginer ce qui m’est arrive à cette heure précise. » Son mari l’avait appelé, lui proposant un rendez-vous dans un square. Ils se sont assis, tous les deux tranquillement, et son mari lui dit : « J’ai bien réfléchi. Tu as raison, ce n’est pas une vie pour tous les deux. J’ai téléphoné au consistoire et j’ ai pris rendez-vous. Nous devons nous y présenter lundi après-midi et sur place, je te donnerai le guet ! Elle n’en revenait pas et moi, encore moins ! Nous pensions qu’il changerait d’avis d’ici Lundi et nous étions donc tous stresses, mais tout se passa comme prévu. Et oui, cette histoire aura duré près de cinq ans ! Cinq années de guerre sans merci et qui prirent fin au moment même… où nous étions sur le Ohel du Rabbi, lui priant d’intervenir pour ma bellesœur afin de mettre un terme à cette situation, ce qu’il fit, sans aucun délai ! 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C’est précisément a ce moment que Korah’ pensa se révolter contre Moche. Korah’ pensait qu’il était normal que Moche prenne la direction du peuple car il connaissait sa profonde érudition, il était donc normal qu’il soit le chef. Mais si l’action est primordiale, alors il n’y a pas de raison pour que Moche et Aaron s’élèvent au dessus du peuple. En effet, la Thora enseigne que dans l’étude, il existe des différences entre les personnes. Certains comprendront plus, d’autres, moins. Par contre, au niveau de l’action, il n’y a pas de différences entre la Mitsva des Tefiline d’un Tsadik et celle d’ un simple juif . En entendant cela, Korah’ se leva et demanda « Si l’action est supérieure a l’étude, et si nous sommes tous identiques devant l’action, pourquoi alors Moche et Aaron s’élèvent ils au dessus du peuple? Ce a quoi Moche répondit qu’il n’y a dans l’action aucune différence, mais dans les Kavanot (intentions), il existe effectivement plusieurs niveaux. Or pour qu’une Mitsva soit entière, elle doit être accompagnée de Kavanot. Comme le disent nos maitres, « Une Mitsva sans Kavana est comme un corps sans Nechama. » Guimel Tamouz Le 27 Adar 1992, le Rabbi fut victime d’une commotion cérébrale. Deux ans plus tard, exactement a la même date, le Rabbi fut a nouveau victime d’une commotion cérébrale (d’une intensité encore plus grande que la première fois) Il fut partiellement paralyse et fut prive de l’usage de sa parole On le vit apparaitre au 770 sur une chaise roulante, derrière un rideau sur le balcon spécialement aménagé a cet effet Mais le Rabbi n’avait rien perdu de son enthousiasme, ni de sa clarté d’esprit. Il continuait d’encourager le chant des milliers de Hassidim venus passer les fêtes de Tichri avec lui. Il répondait maintenant aux questions de ses Hassidim par un signe de la tête. La souffrance des Hassidim et de tout le peuple juif plus très grande, mais les initiatives pour renforcer le judaïsme continuèrent et même augmentèrent. Chacun voulait apporter sa participation pour la guérison complète du Rabbi. Des millions de Tehilim furent récités a travers le monde, chacun prenait sur lui d’améliorer son comportement, que ce soit dans l’étude de la Thora, l’accomplissement des Mitsvot ou alors sur ses rapports avec les autres. Chacun se cassait la tête pour trouver ce qu’H’ attendait de lui. Le 3 Tamouz 1994, le Rabbi se voila a nos yeux. Depuis, notre seul désir est de revoir le Rabbi avec la Geoula. Les Hassidim ont l’habitude d’étudier chaque jour le Rambam, certains un chapitre par jour, d’autres , trois chapitres par jour. Le Rabbi participait lui aussi a cette étude. Mais quelques temps avant la première attaque cérébrale, sans aucune explication, le Rabbi commença a prendre de l’avance sur les H’assidim. Mais lorsque le Rabbi se remit de son attaque, et qu’il fut a nouveau en mesure d’étudier le Rambam, il était a jour. Le Rabbi savait. Alors que, pendant quarante ans, le bureau du Rabbi fut envahi de dizaines de livres éparpillés, la veille de son attaque cérébrale, le Rav Groner trouva le bureau impeccablement range. Seul une série de quatre livre se trouvait sur le bureau, c’était l’atlas de H'abad dans le monde, autrement dit de récapitulatif de tous les Beth H'abad situes aux quartes coins du monde. Le Rav Groner n’y prêta pas attention, ce n’est que après le 3 Tamouz qu’il comprit enfin, le Rabbi savait. Quelques jours après le 3 Tamouz, le Rav Groner dévoila certains secrets. Il expliqua entre autre que les derniers jours, le Rabbi avait beaucoup pleure, et répétait sans cesse « Pourquoi n’y a-t-il donc pas d’Ahavat Israël entre les Hassidim ? » Le jour ou le Rabbi s’est voile a nos yeux tombe la semaine ou nous lisons la Parachat Korah’, décrivant la Mah’loket (discorde) de ce dernier contre Moche Rabbenou. Les H’ah’amim nous disent combien la dispute est dévastatrice. Le message est clair. C’est le 3 Tamouz que Yochoua arrêta le soleil lors de la conquête de Yerih’o Dans une Sih’a bien connue, le Rabbi parle du « décès » du Rabbi précédent. Il explique en détails ce que « nos yeux ont vu » puis il termine en disant que tout cela n’est que « le travail » du Yetser Hara pour nous affaiblir dans notre confiance en la venue du Machiah’. Puis le Rabbi ajoute que ce même épisode s’est déjà produit lorsque les Bne Israël étaient installes au pied de la montagne en attendant Moche qui était parti étudier la Thora auprès d’H’. La, H’ voulut mettre les juifs a l’épreuve et montra au peuple le cercueil de Moche flottant dans les airs. Le peuple crut que Moche était mort et décida…. Les H’ah’amim expliquent la faute des ne Israël ainsi Puisque Moche leur maitre leur avait dit qu’il reviendrait, ils auraient du le croire, quoiqu’il arrive. Même ce qu’ils ont vu n’aurait pas du troubler leur foi en Moche. Nous avons-nous aussi reçu la promesse du Rabbi qu’il nous conduirait a la Geoula, rien ni personne ne doit nous décourager. Seule une confiance et une soumission parfaite dans le chef de la génération nous permettrons de mener a bien notre mission, faire venir le Machiah’! Machiah’ Si trois juifs au moins s’entêtaient et demandaient Machiah’ sincèrement, Machiah’ serait certainement déjà la. » Avion, hôtel, voiture Sandrine Directline 054.977.39.31 DJ Mariage/Bar-Mitsva Laurent 054.427.74.63 GUIMEL TAMOUZ Renseignez vous auprès du Beth H'abad le plus proche de chez vous Pour connaitre les horaires des différentes cérémonies. Tous transports Israël/Aéroport Haim 054.219.42.03 Tous travaux d’intérieur Yaacov 054.84.21.476 Cours de Mathématiques Rahel 054.646.35.13 Quelques coutumes liées au jour de la Hilloula Le Rabbi a fixe un certain nombre de coutumes a respecter a l’occasion de la Hilloula du Rabbi précédent. Ce sont les mêmes coutumes qui ont été reprises pour le 3 Tamouz. En voici quelques une. Le Chabbat précédent dette date, on s’efforcera de monter a la Thora. On allumera une bougie de 24 heures. (Ner Nechama) Pendant chacune des trois prières de la journée, on allumera cinq bougies devant l’officiant. Le matin, on donnera de la Tsedaka au nom de chacun des membres de sa famille, pour une institution du Rabbi. On consacrera un moment de la journée pour parler du Rabbi et de sa grande Ahavat Israël a sa famille et a son entourage. On étudiera des Michnayot correspondant aux lettres qui constituent le nom du Rabbi. (Menahem Mendel Ben Hanna) On étudiera les enseignements du Rabbi. On rédigera un Pan, une lettre de demande de bénédictions en y précisant son prénom et le prénom de sa mère. On rajoutera dans les Mivtsaim (prendre de son temps libre pour renforcer le judaïsme autour de soit) On étudiera le H’itat H'oumach (du jour), Tehilim (selon leur répartition mensuelle) Tanya (selon sa répartition annuelle) On fera tout ce qui est en notre pouvoir (et même plus) pour renforcer l’amour entre les juifs. (Ahavat Israël) MACHIAH’ NOW … WE WANT MACHIAH’ NOW … WE WANT