Journal du 1° semestre 2013
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Journal du 1° semestre 2013
(Ouvert : tous les jeudis de 9h30 à 17h00) ACMAD (1er semestre 2013) 16 QUAI DU ROCH 09200 SAINT-GIRONS : 05 61 66 34 40 Email : [email protected] LA GALETTE DES ROIS à LA FRANGIPANE Il nous faut : -100gr de sucre fin -2 œufs -1 jaune d’œuf - 2 pâtes feuilletées -1 sachet d’amandes en poudre -75gr de beurre mou Les ingrédients La cuisson : 25mn au four 170/180°C A présent suivez les étapes : Bon appétit. Prendre soin de soi : c’est se faire plaisir, le plaisir de se faire belle, le plaisir de toujours plaire. En 1815, dans le Périgord, Jacquou Ferral est un garçon de huit ans. Son père, Martissou est métayer du comte de Nansac qui exploite son personnel, tout en résidant au Château de l'Herm. Un jour, Nansac fait condamner Martissou à tort pour le meurtre de son régisseur Laborie et fait déporter l’infortuné métayer aux galères, où il meurt peu après. Jacquou reste un temps seul avec sa mère qui finit elle aussi par décéder. Orphelin, il est recueilli par le curé Bonnal qui s’occupe de son éducation. Devenu adulte, Jacquou n’aura de cesse de combattre l’injustice dont sa famille a été victime et rêve de se venger. Les circonstances l’amèneront vite à devenir le principal meneur d’une révolte paysanne contre le comte de Nansac. Il saura ainsi transformer son désir de vengeance en un combat contre l’injustice. «Quelle injustice pour cette femme et son fils ! Il ne faut pas se laisser faire !» «Papayou ! il a froid le petit. Avant à la maison j’allumais le feu, ça me réchauffait les mains» «J’avais lu le livre de Jacquou le croquant. Quand, c’est passé à la télévision, j’ai regardé tous les épisodes». «Ce pitchou, il m’a fait de la peine. Quand il sera grand, il n’oubliera pas ce qu’il a vécu» Peindre ce n’est plus penser. C’est être soi tout simplement. Cela fait du bien de venir ici, de se détendre et d’occuper ses mimines ! (Mme Gisèle) Silence ! on peint. Silence, la queue du chien danse : les deux pattes sur la balance ! (Mme Gisèle) On ne cherche pas à faire du beau mais à s'offrir du vrai. arie aime manger un croissant et boire un café ou bien un jus de fruits. isèle préfère manger une chocolatine et boire un chocolat chaud ou bien un jus de fruits. ierre aime manger un croissant et boire un café ou bien un verre d’eau. enriette aime manger tous les gâteaux mais sans sucre et boire de l’eau ou de la tisane. Nous avons confectionné un panier garni d’œufs en chocolat pour Pâques. Du résumé du livre par Mr Teychenné Pierre Le soleil est sous le toit, lorsque mes enfants et mes petits enfants viennent à la maison. Mes filles, elles sont toujours là, quand j’ai besoin d’elles. C’est aussi ça le bonheur. J’ai une fille qui est à Pau, l’autre vit au Mas d’Azil, et j’habite chez la plus jeune à Loubersenac. Résumé du livre : à Saintes, dans la vieille maison de famille, Margot, une femme de cinquante ans, divorcée, et M. Pomerel, son père, veuf et très âgé, attendent les enfants. Les enfants, ce sont Caroline, la fille unique de Margot, son mari Thierry et leurs trois petites filles. Ils ont loué sur la côte pour le mois d'août et promis de faire étape à Saintes. La maison ronronne de bonheur: on attend les enfants! Hélas, quelques heures avant leur arrivée, Caroline téléphone: ils ne viendront pas : Immense déception. Commence alors, pour Margot, une sorte de cheminement intérieur. A son âge, le milieu de la vie à quoi sert-elle? En quoi les enfants, occupés d'eux-mêmes et de leurs propres enfants, ont-ils besoin de sa présence? Un après-midi, à Pontaillac, M. Pomerel retrouve une vieille amie de son âge, Mme de Brizambourg. Tous deux renouent et Margot se sent encore plus inutile: même son père se passe d'elle! Laissée seule dans la vieille maison, Margot finit par admettre qu'elle n'est pas la gardienne des enfants ni de son père, mais uniquement celle du bonheur. N'est-ce pas ce qui compte: protéger le bonheur? Etre un chaînon solide entre les générations? Tâche humble, en apparence modeste, invisible, en fait immense. A la quine ou au carton plein : on boulègue ! Mme Letouzey Gisèle et Nadine ont animé le loto. Le 23 mai, nous avons organisé le loto à l’accueil de jour de St Girons. Nous avons invité un groupe de 6 personnes de la résidence Gustave Pédoya de La Bastide de Sérou. C’est Henriette (Mme Dupuy) qui a gagné. Elle a remporté un lot : c’est une trousse de toilette. Aujourd’hui la chance était avec moi, d’habitude je ne gagne jamais (Henriette). Pour faire un petit pompon avec une fourchette, il nous faut : une fourchette une pelote de laine une paire de ciseaux Accrochez le début du fil de laine à la première dent de la fourchette avec un double nœud. Enroulez le fil autour de la fourchette de nombreuses fois. Une fois une belle épaisseur de laine obtenue autour de la fourchette, coupez le fil. Coupez un long fil de laine et nouez-le autour de la laine, au milieu de la fourchette. Serrez fort le double nœud pour que le centre soit le plus réduit possible (comme un nœud papillon). Gardez de la longueur de fil de chaque côté du nœud pour nouer ces extrémités ensemble et former le lien d’accroche du pompon. Coupez aux ciseaux les côtés de la laine, à l’extérieur des dents de la fourchette, pour former les franges du pompon. Une fois tout coupé, le pompon est prêt ! C’est une cocarde. Avant, à la fête du village, on épinglé une cocarde en forme de fleur (Gisèle). Oui, et Il fallait donner un sou (Henriette). Et en plus, des fois on se piquait (Pierre). On dirait la médaille des soldats (Marie).