Untitled - Dar Sabra Hotel Marrakech
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Untitled - Dar Sabra Hotel Marrakech
PARAÎTRE OU ÊTRE... Photos : © Dar Sabra - DR Sommes nous au Mexique, dans la sierra, dans une hacienda ? Non, au royaume du Maroc, à DAR SABRA. Une oasis sculptée au cœur de la palmeraie de Marrakech. Á DAR SABRA, TOUT UN ART DE VIVRE. Au Maroc, au cœur de la mythique palmeraie de Marrakech, DAR SABRA, hôtel avant-gardiste dévolu à l’art contemporain, est devenu un lieu où l’on cultive aussi l’art de recevoir. Un lieu unique, à l’architecture cubiste et futuriste, dessinée « À la manière de Barragan », conçu pour servir d’écrin à la sculpture et aux œuvres du temps présent. Des œuvres monumentales, réalisées par des artistes de renommée mondiale et qui sont destinées à rester « in situ ». Elles offrent aux hôtes, le temps d’un séjour, une parenthèse cultivée où le beau se conjugue avec le bien et l’être. Premier tableau : Art et Architecture, une si belle relation ! Photos : © Dar Sabra - DR À l’entrée, un clin d’œil, une vache, œuvre de Richard Di Rosa vous accueille. Le ton est donné, à Dar SABRA l’art ne s’impose pas, il interpelle !! Derrière la sobriété d’un mur en pisé ocre rose, rien ne laisse encore deviner la spectaculaire mise en scène intérieure qui a été orchestrée par le maître de maison François Chapoutot. ON DÉCOUVRE. Une collection d’œuvres d’Art internationales. La mise en place des sculptures contemporaines a été faite pour qu’elles s’inscrivent dans la nature comme une écriture. La pyramide blanche du Hollandais Marc Brusse Dar Sabra en lettres de l’Argentin Leopold Maler La lecture en est universelle et intemporelle. Le puissant gorille du Mexicain Rodrigo Solorzano La sculpture à métamorphoses du Français Guy de Rougemont Décryptable par tous, elle a le pouvoir de s’adresser à chacun en particulier. Deuxième tableau : Etat de sièges. Photos : © Dar Sabra - DR Une succession de fauteuils, avec les dossiers en volutes vert cru, telles les crosses de fougères arborescentes, s’inscrit dans le cadre de la terrasse. Ils sont une invitation à la contemplation. Alignement de fauteuils baroques, profusion de cactées, la répétition des objets, monnaies africaines, céramiques d'Erro… sont des récurrences qui, au-delà de leur apparence esthétique, ponctuent les demeures pour leur donner une âme. ON SE POSE. Qu’il soit unique ou multiplié, le fauteuil reste la pièce maîtresse d’un tableau que l’on compose à son gré, en fonction de l’envie de se poser. Devant la cheminée, le confort d’un profond canapé blanc immaculé, invite à vous asseoir dans le salon d’hiver. Plus stylisée, avec une touche africaine, la banquette noire du salon extérieur s’offre comme un reposoir pour les soirs d’été. Troisième tableau : La chambre de vos désirs. Photos : © Dar Sabra - DR Sublime raffinement, dans un décor d’une douceur et d’une sobriété extrême, la chambre devient celle de nos rêves les plus doux. Dans celle de la villa privée, le monacal, propice au repos, n’exclut pas la touche de volupté donnée par une fourrure sauvage simplement posée au pied du lit. ON SE REPOSE. « Ce voyage n’était qu’un rêve, nous ne sommes jamais sortis de la chambre de nos pensés » André Gide, « le Voyage d’Urien » La préciosité de la chambre indienne L’écrin carminé de la chambre afghane Les chambres nomades nous transportent dans des voyages immobiles et lointains, ceux de nos rêves et aussi de nos pensées. L’authenticité de la chambre marocaine La zénitude de la chambre asiatique Quatrième tableau : Un baiser dans l’eau. Photos : © Dar Sabra - DR Le regard, l’œil est constamment sollicité, étonné. Entre ombre et lumière, le paysage se modifie. Les œuvres exposées se métamorphosent. Les matières densifient leurs couleurs. L’arc qui enjambe la piscine, réalisation de l’Italien Mauro Staccioli, en se reflétant dans l’eau, offre un ovale rouge et parfait comme un baiser. En toile de fond, écran géant, le mur spécialement tagué par le célèbre artiste américain Seen s’impose avec insolence. Il flamboie, s’embrase et noie de sanguine les murs en pisé. ON SE BAIGNE. Omniprésence de l’eau, les piscines et bassins de nage se multiplient à l’infini pour d’infinis plaisirs. À la densité des murs, répond la verticalité des colonnes réalisées par l’artiste japonais Saturo Sato. La piscine des chambres nomades est un pur résumé de l’architecture à Dar Sabra. Au bord d’une vague figée, une des « bathing beauty », œuvres de l’Allemand Peter Klasen, semble allongée au bord d’une plage de galets. Luxe suprême, la villa possède un bassin de nage pour se baigner, en toute intimité, sous le regard d’une héroïne d'Erro. La piscine des suites, divine aux moments où le soleil est à sa plénitude, mais aussi le soir au clair de lune. Cinquième tableau : des nuits plus belles que les jours. Photos : © Dar Sabra - DR Dans les nouvelles suites, intérieur extérieur se mêlent. Jeu de reflets, les larges baies vitrées laissent pénétrer la lumière et, comme par effraction, un visage de femme, céramique de l’Islandais Erro, s’invite dans la chambre. Présence sensuelle et décalée, elle devient la touche de couleur qui rompt un instant la sérénité de l’espace. ON SE REPOSE. Alors, il suffit d’entrer et de se reposer dans le jardin intérieur de sa chambre. L’olivier et la composition d’Erro viennent se transplanter dans le décor de la chambre. La bande dessinée et l’estampe japonaise se juxtaposent. Blanc et brun, ce duo de couleurs s’imposait pour simplement souligner dans les suites la pureté de la décoration, la perfection du fini. Boîte précieuse incrustée de nacre, linge de bains en pur coton… La beauté du détail a la plus grande importance. Sixième tableau : un déjeuner de soleil. Photos : © Dar Sabra - DR Dès les premiers beaux jours ou par un soleil brûlant, les repas se prennent côté jardin, à l’ombre fraîche du restaurant d’été. Les héroïnes de Erro s’imposent encore sur les murs. Des Barbarellas venues d’un autre monde, facétieuses et gourmandes, qui s’invitent à votre table le temps d’un déjeuner. ON SE RETROUVE. Restaurant, bar, salon ou salle à manger, pour des moments à partager. Le décor est volontairement épuré pour laisser l’œuvre culinaire s’exprimer. Un art que maîtrise parfaitement Saïda, la cuisinière marocaine. Le bar, éclairé comme une luciole, attire les papillons de nuit. C’est le moment divin pour venir se désaltérer à tous les nectars. Dans le salon intérieur, on peut se réchauffer au coin du feu en présence d’une sculpture du peintre gnaoua Tabal. La longue table de la salle à manger est une table d’hôte qui invite à se retrouver pour un repas en toute convivialité. Septième tableau : Le spectacle est dans le jardin. Photos : © Dar Sabra - DR À la tombée du soir, dans l’infinie perspective du jardin, devant le rectangle du bassin éclairé se dresse le totem bleu du suisse Peter Stampfli. De sous l’olivier, un gorille, oeuvre du mexicain Rodrigo Solorzano, va surgir. La sculpture réalisée par l’artiste irlandais Michael Warren apparaît telle une colonne d’albâtre. Peu à peu les sculptures disséminées dans le parc se dévoilent sous les étoiles. Comme des acteurs sortant des coulisses de l’ombre, elles entrent en scène pour nous interpréter une « Nuit des Rois ». PUR EXERCICE DE STYLE. « À la manière de ! ». Dar Sabra s’est inspiré des grands architectes mexicains Barragan et Legorreta : aussi insolite que surprenant ! Dans un univers volontairement dépouillé, le linéaire de la façade en pisé rose, souligné par le vert des cactées, prend toute sa dimension. Des pans de murs, des rectangles, une géométrie sans concession à la courbe. Juste une structure pure, qui sort de sa gangue et tranche sur le bleu du ciel. Envers – endroit, la construction s’aligne, se juxtapose et se déroule dans un parfait équilibre. Au milieu de palmiers et d’oliviers centenaires, Dar Sabra émerge. Palais futuriste, composition abstraite qui aurait pu inspirer les peintres Paul Klee et De Staël. POUR LE BIEN-ÊTRE. À Dar Sabra, le Bien et l’Être sont conjugués. Au spa, rien ne manque pour s’offrir des instants de bien être dans un univers ultra raffiné, consacré à la beauté : hammams version contemporaine, salles de massage et un bassin de nage dans lequel se dédouble le portrait du poète portugais Fernando Pessoa, œuvre de son compatriote Pomar. À la salle de sport très high-tech, on pédale devant la grande baie vitrée, on fait sa musculation matinale, ses abdos, toute une culture physique bonne pour le mental, à cultiver chaque jour. Photos : © Dar Sabra - DR INFORMATIONS PRATIQUES. Maison principale : 7 chambres nomades et une piscine Grand salon, salon marocain Salon de lecture et salle de jeux Grande salle à manger Salle de projection Villa privée : 2 chambres avec jardin et piscine Nouvelle aile : 8 suites avec patio privé Une piscine et 8 solariums Dans le jardin : Une grande piscine Un restaurant d’été Un bar Espace bien-être : Salle de gym, un spa avec hammams, salles de massage et bassin de nage. La chambre double et petit-déjeuner à partir de 250 euros la nuit Réservation : [email protected] Contact Relation Presse, Paris : Françoise Kuijper Tel, 06 63 11 62 24 / 09 79 39 09 43 Photos libres de droit pour utilisation presse [email protected] DAR SABRA Douar Abbiad, La Palmeraie 40 000 Marrakech. Maroc Tel + 212 (0) 524 329 172 ou +212 (0) 661 133 684 (ouvert toute l’année) www.darsabra.com