Jalil Lespert : « Mon lien à la Méditerranée est viscéral
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Jalil Lespert : « Mon lien à la Méditerranée est viscéral
Mercredi 31 octobre - n° 5 le point du jour Jalil Lespert : « Mon lien à la Méditerranée est viscéral » Le comédien et réalisateur est présent au Cinemed pour le premier hommage de sa carrière. Photo © Éric Catarina Flash Festival : Comment se passe votre séjour à Montpellier ? Jalil Lespert : Ça se passe très bien. C’est un festival important. Le choix est énorme. Je me laisse porter et l’accueil est très sympa. Je n’ai pas eu le temps de repérer des films, mais je veux en voir. Il y a aussi le plaisir de redécouvrir certains de mes films, au moins les premières minutes. F.F. : Pour vous, que représente la Méditerranée? J.L. : Une partie de mes racines. Ma mère est algérienne et j’allais en Algérie tous les étés. Sicile, Grèce, Maghreb, je me sens un peu partout chez moi. La lumière, le goût, les visages… Nous sommes issus des mêmes peuples. C’est difficile à expliquer. C’est viscéral. F.F. : Deux des quatre films de la carte blanche qui vous est offerte sont italiens. J.L. : Je suis un fou furieux du cinéma italien. Il m’a influencé et il a tellement influencé le cinéma mondial. Par exemple, pour Rome, ville ouverte, Roberto Rossellini avait des choses à raconter. Après la guerre, le cinéma italien était vital. Par la suite, il s’est effondré. Heureusement, il revient de temps en temps. Je pense à Gomorra de Matteo Garrone (2008). L’Italie produit 30 films par an, contre 250 à 300 en France. Quand on connait l’Histoire du cinéma italien, ça fait mal au cœur. F.F. : Et le cinéma algérien, puisque votre mère est algérienne ? J.L. : Je connais mal le cinéma algérien, à part Merzak Allouache. C’est difficile de faire des films. C’est un cinéma qui s’exporte mal. Cas d’étude de fiction F.F. : Y a-t-il des films dans lesquels vous avez joué qui vous paraissent sous-estimés ? J.L. : Les films sont des moments « T » où les faisceaux concordent. Par exemple, Le Promeneur du Champ-de-Mars de Robert Guédiguian (2005) et Ressources humaines de Laurent Cantet (1999) ont marqué les consciences. Mais à d’autres moments, quelque chose fait que le film ne marche pas, alors qu’il mériterait d’être vu et connu. Je pense à Pa-ra-da de Marco Pontecorvo (2008). Ce film italien n’est pas sorti en France. Il y a aussi Vivre me tue de Jean-Pierre Sinapi (2003) et Virgil de Mabrouk El Mechri (2005). Même chose avec Lignes de front de Jean-Christophe Klotz (2010). F.F. : Et pour la suite ? Vos projets en tant qu’acteur et réalisateur ? J.L. : J’ai plusieurs films qui doivent sortir. Un téléfilm italien, un film argentin et un film français. Je travaille aussi sur mon 3e long métrage en tant que réalisateur. Je peaufine le scénario de ce film qui sera un biopic sur Yves Saint-Laurent et Pierre Bergé. J’espère tourner en septembre. Aujourd’hui, à Rabelais, à 12h, Virgil de Mabrouk El Mechri ; à 14h, Œdipe roi de Pier Paolo Pasolini. A 17h, à Joffre 1, table ronde Jalil Lespert. Tom le cancre, un ravissement pour petits et grands Il y a dix ans Manuel Pradal présentait en ouverture du festival son film Ginostra dans lequel il dirigeait déjà deux enfants. Aujourd’hui, il est de retour avec Tom le cancre, le premier film d’aventures avec des enfants de cinq ans. Flash Festival : Votre film détonne dans la proposition habituelle des films pour enfants. D’où est venue l’envie de réaliser un film pour les familles ? Manuel Pradal : J’avais envie d’un film familial dans lequel les parents retrouveraient quelque chose de l’enfance et les enfants seraient face à un miroir qui les portent plus loin. Je voulais aussi sortir du cadre du dessin animé. Et puis je suis père de famille et en regardant des films avec eux, je me suis aperçu qu’il y avait un manque. Les films avec enfants comme Fifi Brin d’acier remontent aux années 70. F.F : Comment est né le projet de Tom le cancre ? M.P. : En amont, j’ai animé un atelier dans des écoles en Ardèche sur Le Kid de Charlie Chaplin. En observant ces enfants si réactifs, j’ai eu envie une fois l’été venu de développer un conte. On avait peu de moyens, juste le matériel mais on a été portés par la qualité du travail des enfants et l’enthousiasme des équipes. Essentiellement tourné en Ardèche, ce film d’aventures nous emmène jusqu’au bord de la mer. C’est un petit chemin de miracles. Photo © E.Catarina F.F. : Comment réussissez-vous un film qui enchantera autant les enfants que les parents ? M.P. : J’avais l’idée d’un conte original qui rassemblerait plusieurs idées de contes où les enfants auraient leurs repères et où les parents retrouveraient leur burlesque. Mais derrière la fable, il y a aussi une morale qui serait le rejet de la différence. Flash Festival : La partition musicale de votre film est signée du grand compositeur de musique Carlo Crivelli qui a travaillé avec Marco Bellocchio et les frères Taviani. M.P. : Oui, Carlo Crivelli a créé un véritable opéra enfantin à la manière de Pierre et le loup. Il a sublimé le conte pour le porter dans le domaine de la fable la plus profonde. Nous n’avions aucun budget mais Carlo a voulu que ce soit « Hollywood en musique ». Un orchestre symphonique de 70 musiciens a joué la musique du film. ■ Tom le cancre de Manuel Pradal. Aujourd’hui, à 14h, à l’Opéra Berlioz, avant-première de Tom le cancre de Manuel Pradal en présence du réalisateur et du compositeur de la musique Carlo Crivelli. Hier, à l’Opéra Berlioz, s’est déroulée la projection Love in the Medina d’Abdelhai Laraki. Aujourd’hui, à 20h, à Rondelet, se déroulera une étude de cas sur le montage d’une co-production en Méditerranée à partir du film en présence du réalisateur. L’étude sera menée par Guillaume de Seille (producteur Arizona Films). Ouvert à tous. ■ Rencontre courts métrages Aujourd’hui, à 18h, se déroulera la projection du programme n°3 de la compétition courts métrages. Omar El Zohairy présentera son film Expiration. Le court Chantiers sera présenté par Karim Bensalah. Anas Khalaf parlera de son premier court métrage Jour Sourd. Sera aussi projeté le film Je ne veux pas en ce moment de Roser Aguilar qui sera là pour le présenter. Marija Apcevska viendra défendre Bardo qui est son film diplôme. Enfin, Alessandro Valori nous parlera de son film Babylone Fast Food. A 20h15, à Joffre 1, ils seront tous présents pour une rencontrediscussion avec le public. ■ Du côté du panorama Aujourd’hui, à 18h30, à l’Opéra Berliz, Jérôme Maldhé présentera son premier long métrage, Vole comme un papillon, sélectionné en panorama longs métrages. ■ Colloque : produire un documentaire en Méditerranée Le monde méditerranéen a connu des bouleversements qui ouvrent un champ nouveau pour la production audiovisuelle et cinématographique dans le monde arabe et au Maghreb. Comment fédérer, inventer, faire connaître, mieux utiliser les outils à la disposition des acteurs de la production, de la création, de la diffusion ? Comment développer des ponts entre les rives de la Méditerranée pour permettre à ces œuvres d’exister ? Autant de questions auxquelles tenteront d’apporter des éléments de réponse : Mohammed Belhaj (Al Jazeera), Reda Benjelloum (2M Maroc), André de Margerie (Arte France), Georges Schoucair (About production, Liban), Fabrice Puchault (France Télévisions), Mohammad Oussama (réalisateur syrien). De 10h30, à 13h, à Joffre 1, ouvert aux professionnels et aux porteurs de badges. ■ Exposition : Plateaux du cinéma italien 1990-2010 Cette année, Voyages en Italie 3. Plateaux du cinéma italien 1991-2010, le troisième et dernier chapitre de Voyages en Italie, vient conclure l’exposition commencée il y a deux ans. Il s’agit des photos de tout le territoire italien qui constituent non seulement des témoignages de l’œuvre de grands cinéastes mais aussi le travail excellent de photographes de plateaux contemporains. Ce qui a facilité la recherche de cette année ce sont les archives de CliCiak, un concours national organisé par le Centro Cinema Città de Cesena, qui vise à collectionner et à promouvoir la photographie des plateaux. L’exposition a lieu dans le hall (niveau 0) du Corum pendant tout le festival. ■ La librairie Sauramps Ouverte de 16h à 20h, la libraire Sauramps propose aux festivaliers un large choix de livres sur le cinéma mais aussi des DVD. ■ France-Algérie : carte blanche à l’INA A l’occasion du 50e anniversaire des accords d’Évian, il a paru intéressant au Cinemed de faire un point, à travers une sélection de films, sur la façon dont le cinéma, fictionnel et documentaire, a pu appréhender l’histoire commune des deux pays. Aujourd’hui, à 16h, à Einstein, Joëlle Olivier de l’Institut National de l’Audiovisuel (INA) présente cinq films des archives télévisuelles qui composent sa carte blanche. Selon Joëlle Olivier, les archives des Actualités Françaises puis celles de la télévision sont révélatrices de l’image officielle diffusée dès la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Sur les routes de Kabylie (1947), un documentaire réalisé pour le compte du gouvernement, montre un pays partagé entre modernité et tradition. Le commentaire insiste sur le rôle de la France dans la modernisation. La télévision reprend à son compte ce discours dans Voyage sans passeport, Kabylie (1959). Dans les années qui suivent l’indépendance de l’Algérie, le magazine Cinq colonnes à la une diffuse le reportage C’étaient les harkis (1963) et montre bien les conditions de vie difficiles de certaines familles installées dans le sud de la France. Un village algérien cinq ans après (1967) et Témoignages de français restés en Algérie (1967) sont des documents rares puisqu’ils donnent la parole aux français qui ont décidé de ne pas quitter l’Algérie. Le deuxième reportage est l’occasion d’évoquer, à travers cette carte blanche, le problème de la censure à la télévision puisque le film de Marcel Trillat, jugé trop « sensible » n’a pas été diffusé sur les antennes de l’ORTF. Le deuxième passage de ces documents exceptionnels aura lieu le samedi 3 novembre, à 14h, au musée Fabre. ■ Huit réalisateurs israéliens et palestiniens assoiffés de paix Il y a deux ans, Yael Perlov venait à Montpellier pour Coffee project. Depuis elle a initié un nouveau film collectif israélo-palestinien composé de sept courts métrages avec pour thème commun : l’eau. Huit réalisateurs, sept films en un, une thématique. C’est à une nouvelle séance très spéciale que vous invitent le Cinemed et la documentariste et fondatrice du Coffee project. Water tourne autour d'un sujet poétique et pastoral, mais aussi très politique et violent, lorsqu'il est replacé dans le contexte du conflit israélo-palestinien. Selon le collectif, « l’eau appartient de façon égale à deux populations en conflit, qui réussissent rarement à dépasser le préjudice et l'intimidation politique ». Sept scénarios composent le film. À la campagne, un jeune couple de Tel Aviv doit partager une fontaine avec un groupe d'ouvriers palestiniens, entre crainte ancestrale et signes de solidarité (Still Waters de Nir Sa’ar et Maya Sarfaty). L'été, un palestinien vendeur d'eau alimente cuves et puits dans la région de Bethléem après que les colons les aient asséchés (The Water Seller de Mohammad Fuad). ■ Un des courts composant le programme Water, Raz and Raja de Yona Rozenkier Un militaire israélien à deux doigts d'une dépression et un paysan palestinien qui défie le couvre-feu pour arroser ses pastèques. Ensemble, ils essaient de dresser un âne. (Raz and Raja de Yona Rozenkier). Un acteur célèbre et ses deux fils ont un rapport singulier, à base d’incompréhensions et de gouttes pour les yeux, avec leur voisine, une vieille dame rescapée des camps de concentration (Eye Drops de Mohammad Bakri). Un vieil arabe qui a vécu aux États-Unis pendant des années, est responsable d'une piscine. Y viennent des colons palestiniens qui n'ont jamais vu la mer, avant qu'arrivent des colons israéliens autoritaires (Kareem’s Pool de Ahmad Bargouthi). Pendant une relâche de son entraînement, un soldat israélien se souvient d'un épisode de son enfance : sa mère lui lavait les cheveux dans la baignoire pendant que son père lui demandait de se dépêcher (Drops de Pini Tavger). Une jeune juive orthodoxe timide attend ses parents qui doivent l'emmener à un Shidduch, rencontre pour arranger un mariage. Entre-temps, elle a une conversation bizarre à travers une porte fermée avec un plombier arabe (Now and Forever de Tal Haring). C’est Yael Perlov qui a assuré le scénario, l’image et le montage de Water. Un film qui se joue à la fois en arabe, en hébreu et en anglais… Ce soir, à 20h30, à Berlioz, en présence de Yael Perlov et des réalisateurs Nir Sa’ar, Maya Sarfaty, Yona Rozenkier, Ahmad Barghouthi. Projection unique. ■ C’étaient les harkis Mercredi 31 octobre berlioz 11 h 00 Padroni di casa de Edoardo Gabbriellini (Italie, 2012), 1 h 30 - VOSTF 14 h 00 Tom le cancre de Manuel Pradal (France, 2012), 1 h 30 - VOFR 16 h 00 Paisa de Roberto Rossellini (Italie, 1946), 2 h 04 - VOSTF 18 h 30 Vole comme un papillon Jour sourd de Rana Kazkaz, Anas Khalaf (Syrie/France, 2011), 15 mn - VOSTF Je ne peux pas en ce moment Bardo 20 h 00 Stromboli de Roser Aguilar (Espagne, 2011), 12 mn - VOSTF de Marija Apcevska (Macédoine, 2011), 14 mn - VOSTF Babylone Fast Food Courts métrages Panorama n° 2 de Cláudia Varejão (Portugal, 2012), 18 mn - VOSST de Emin Alper (Turquie/Grèce, 2012), 1 h 34 - VOSTF 22 h 00 La Main droite du diable 20 h 30 Water einstein 10 h 00 Dictado de Antonio Chavarrías Ocaña (Espagne, 2011), 1 h 35 - VOSTF 10 h 00 La Prise de pouvoir par Louis XIV de Roberto Rossellini (France, 1966), 1 h 30 - VOFR 12 h 00 Un homme médiocre en cette époque de prétendus surhommes de Angelo Caperna (France, 2012), 1 h 18 - VOFR 14 h 00 Tractor, Love and Rock'n Roll 12 h 00 Blancanieves de Branko Djuric (Slovénie/Bosnie/Croatie, 2012), 1 h 40 - VOSTA 14 h 00 La Parade France-Algérie Carte blanche à l'Ina (5 films) de Pablo Berger (Espagne/France, 2012), 1 h 44 - VOSTF de Srdjan Dragojevic (Serbie/Croatie, 2011), 1 h 55 - VOSTF 16 h 00 Djeca, enfants de Sarajevo de Aida Begic (Bosnie/Allemagne/France/Turquie, 2012), 1 h 30 - VOSTF 18 h 00 Courts métrages Compétition n° 3 Expiration de Omar El Zohairy (Égypte, 2011), 20 mn - VOSD Chantier(s) de Karim Bensalah (France, 2011), 21 mn - VOFR 22 h 00 20 h 00 Derrière la colline de Costa-Gavras (États-Unis, 1988), 2 h 07 - VOSTF pasteur de Roberto Rossellini (Italie, 1949), 1 h 47 - VOSTA de Alessandro Valori (Italie, 2011), 13 mn - VOSTF de Jérôme Maldhé (France, 2011), 1 h 29 - VOFR de Nir Sa'ar, Maya Sarfaty, Mohammad Fuad, Yona Rozenkier, Mohammad Bakri, Ahmad Barghouthi, Pini Tavger, Tal Haring (Israël/Palestine, 2012), 1 h 50 - VOSTF 18 h 00 Même pas mal de Nadia El Fani, Alina Isabel Pérez (France, 2012), 1 h 06 - VOSTF 16 h 00 Expérimental Panorama n° 1 (9 films) Get Wild de Yiorgos Nalpantidis (Grèce, 2012), 6 mn - VOSST de Yoav Hornung (Israël, 2011), 15 mn - VOSTA de Joseph Catté, Olivia Leonetti, Valentin Astier, Geoffrey Vattan (France, 2012), 4 mn - VOFR Maqloubeh de Nicolas Damuni (France/Palestine/Égypte, 2012), 10 mn - VOSTF Derrière la fenêtre de Nagham Abboud (Liban, 2011), 13 mn - VOSTA Ça finira par s'arranger Témoignages de Français restés en Algérie de Alain Dhénaut (France, 1967), 17 mn - VOFR Un village algérien cinq ans après de Inconnu (France, 1967), 14 mn - VOFR 14 h 00 Greek Crisis Lexicon Une si belle inquiétude de Brahim Fritah (France, 2011), 12 mn - VOSTA Falaises de Céline Nardou (France, 2012), 3 mn - VOSD Dérives de Cécile Ravel (France, 2012), 17 mn - VOFR Autoportrait de Thanos Psichogios (Grèce, 2012), 13 mn - VOSTF de Nataliya Ilchuk (Ukraine, 2011), 4 mn - VOSD de Juan Gautier (Espagne, 2011), 20 mn - VOSTF de Eleni Kolliopoulou (Allemagne/Grèce, 2012), 6 mn - VOSD de Gaizka Urresti (Espagne, 2012), 14 mn - VOSTF de Guli Silberstein (Palestine/Israël/Royaume-Uni, 2012), 3 mn - VOSD Pornosorcières Agences s'abstenir rabelais 10 h 00 Les Oliviers de la justice 12 h 00 Virgil de Jean-Claude Bringuier (France, 1963), 15 mn - VOFR de Costa-Gavras (France, 2001), 2 h 10 - VOFR Négatif Kabylie - Voyage sans passeport C'étaient les harkis 21 h 00 Amen musée fabre de James Blue (Algérie/France, 1961), 1 h 20 - VOSTF de Solange Peter (France, 1959), 10 mn - VOFR de Roberto Rossellini (Italie, 1948), 1 h 20 - VOSTF Lumière du matin Sur les routes de Kabylie de Inconnu (France, 1947), 21 mn - VOFR 18 h 00 Amore : La Voix humaine & Le Miracle de Mabrouk El Mechri (France, 2005), 1 h 33 - VOFR 14 h 00 Œdipe roi de Pier Paolo Pasolini (Italie, 1967), 1 h 44 - VOSTF 16 h 00 Hanna K. de Costa-Gavras (France, 1983), 1 h 48 - VOSTF Sans Disturbdance Displacement de Liliana Resnick (Croatie/États-Unis, 2012), 7 mn - VOSD Parnasus de Francesca Fini (Italie, 2012), 10 mn - VOSTA 16 h 00 Parasols et crustacés de Laure Pradal (France, 2011), 52 mn - VOFR corum joffre 17 h 00 1 Table ronde Jalil Lespert 20 h 15 Renc. réal. courts mét. Programme n° 3 VOFR = version originale en français ; VF = version doublée en français ; VOSTF = version originale sous-titrée français ; VOSTA = version originale sous-titrée anglais (traduction simultanée) ; VOSST = version originale sans sous-titres (traduction simultanée) ; VOSD = version originale sans dialogues Flash Festival - Quotidien d’information édité par le Festival International du Cinéma Méditerranéen de Montpellier. Tél. 04 99 13 73 73 - Distribué exclusivement sur les lieux du festival. Direction : Jean-François Bourgeot - Rédaction : Géraldine Laporte et Sébastien Nègre, assistés de Nina Alexandraki - Fabrication : Imprimerie du Midi, 34438 Saint-Jean-de-Védas cedex