Renoir, comme un bouchon au fil de l`eau

Transcription

Renoir, comme un bouchon au fil de l`eau
Dimanche 28 octobre 2012 - n°
2
Renoir, comme un bouchon
au fil de l’eau
Nouvelle avant-première ce soir au Cinemed. Les
comédiens Christa Théret et Vincent Rottiers
viennent présenter le nouveau film de Gilles Bourdos, une œuvre sur la filiation au sein d’une grande famille d’artistes.
1915 sur la Côte d'Azur. Au crépuscule de sa vie,
Auguste Renoir est éprouvé par la perte de son
épouse, les douleurs du grand âge et les nouvelles du front. Mais une jeune femme, Andrée, va
lui insuffler une énergie qu'il n'attendait plus.
Éclatante de vitalité, rayonnante de beauté,
Andrée sera le dernier modèle du peintre. Lorsque
Jean revient blessé de guerre, il découvre, fasciné, l'astre roux de la galaxie Renoir. Malgré l’opposition ronchonne du vieux peintre, Jean va aimer
celle qui fera de lui un apprenti cinéaste.
C’est une vision à la fois triste et pleine de vie
qu’offre Renoir. Les images se confondent parfois
avec les tableaux. Une vision floue, colorée, amoureuse des femmes, où la lumière joue un rôle à
part entière. « La dernière période d’Auguste Renoir
refuse toute méditation sur la finitude, résume le
réalisateur Gilles Bourdos. Déterminé à fixer toute la
grâce du désir et toute la joie du vivant, Auguste
Renoir aura peint toute sa vie les femmes, les fleurs
et les enfants. »
Dès son arrivée, la jeune muse, figure centrale du
film, bouleverse tout. « Source de vie du père qui
meurt et du fils « pas encore né », Andrée Heuschling aura été le médium d’une tortueuse circulation de désirs, amoureux autant qu’artistiques,
poursuit Gilles Bourdos. Destin unique dans l’histoire de l’art, elle fut tour à tour modèle et actrice, à la
jonction de la peinture et du cinéma, objet de l’œdipe
artistique d’un père et d’un fils. Andrée, déterminée à
le point
du jour
Le 3e Festival de films lycéens
Vendredi 26 octobre, s’est déroulée la projection des dix
courts métrages réalisés par des lycéens dans le cadre de
leur option cinéma. A l’issue de la séance en présence des
équipes des films, le jury composé de Laurent Lafran,
ingénieur du son, et Benoît Califano, directeur de l’ESJ Pro
Montpellier, ont décerné deux prix. Le prix lycées ItribuGaumont 2012 a été attribué à Sur le fil, court métrage
d’animation réalisé par Charlotte Ashène, Lucile Legros et
David Chardon du lycée Gustave-Courbet à Belfort. Tandis
que le prix Phosphore-Gaumont revenait aux élèves du lycée
Arthur-Rimbaud de Sin-le-Noble pour leur film La Mine aux
torts. ■
Bruno Podalydès à Utopia
Aujourd’hui, le réalisateur Bruno Podalydès est l’invité du
stage Classes L. Les lycéens pourront découvrir son
univers avec les projections de son moyen métrage
Versailles rive-gauche et de Liberté-Oléron. Ce soir, à 20h,
à Utopia, les festivaliers pourront rencontrer le cinéaste et
voir ou revoir un des films les plus réussis de l’année 2012,
Adieu Berthe - l’enterrement de mémé. Présenté à la
Quinzaine des réalisateurs en mai dernier, le film a reçu un
joli accueil à Cannes qui ne s’est pas démenti dans les
salles. Le film réunit la troupe fidèle du réalisateur à
commencer par son frère Denis Podalydès. On retrouve
avec plaisir Isabelle Candelier qui incarne son épouse dont
il n’ose se séparer, sans oublier Michel Vuillermoz et JeanNoël Brouté. Nouvelle venue dans la bande et qui s’intègre
parfaitement dans l’univers fantaisiste du cinéaste : Valérie
Lemercier. Un film où l’on pleure de rire et où les larmes se
mêlent au rire. ■
■ Renoir
devenir actrice, insuffle au jeune homme sa passion
pour le cinéma. Il la laisse décider pour lui, fidèle en
cela à la théorie du père : se laisser porter dans la vie
tel le bouchon au fil de l’eau. »
L’immense Michel Bouquet et les nouvelles étoiles du
cinéma Christa Théret et Vincent Rottiers sont les
trois protagonistes de l’histoire. A ses débuts de réalisateur, Gilles Bourdos avait mis en scène trois
courts métrages : Un cadeau de Noël, L'Eternelle
idole et Relâche. Gilles Bourdos passera au long avec
Disparus (1998) avec Grégoire Colin. Le réalisateur et
le comédien se retrouveront quatre ans plus tard pour
Inquiétudes (2002). En 2008, ce sera Et après avec
et d’après le best-seller de Romain Duris.
« Avec Renoir, je reviens à mes sources, confie
Gilles Bourdos. Né à Nice, je retourne à la Méditerranée. C’est moins une étendue qu’une matière.
Une terre ocre ou un vert sombre, un mistral entêtant ou un bleu de Klein. C’est par lui, mon pays
natal, que ma rêverie cinématographique a pris sa
substance. En braconnant sur les terres des Renoir,
je me suis imprégné d’une pensée de l’eau. » Adapté du livre Le Tableau amoureux de Jacques Renoir,
Renoir a été présenté en mai dernier en clôture d'Un
Certain regard au festival de Cannes.
Aujourd’hui à 21 h, à Berlioz. Avant-première en
présence des comédiens Christa Théret et Vincent
Rottiers. Sortie nationale le 2 janvier 2013 (Mars
Distribution).
Merzak Allouache filme l’impossible oubli
Le cinéaste algérien, fidèle du festival, présente aujourd’hui en avant-première Le Repenti. Il offre à nouveau une profonde réflexion sur la société
algérienne.
Alors que Gad Elmaleh a brillé à l’ouverture dans le film de Costa-Gavras, il ne
faut pas oublier que c’est Merzak Allouache qui lui a offert son premier rôle
dans Salut cousin ! en 1996. Ils se sont retrouvés plus tard pour Chouchou,
grand succès du box-office. Aujourd’hui, Merzak Allouache ne nous livre pas
une nouvelle comédie. Tourné entièrement en Algérie avec de jeunes acteurs,
le cinéaste a choisi de revenir sur la politique de « concorde civile » censée
apaiser le pays qui avait connu des années noires. Après le tournage de Bab
el Oued City en 1992, le cinéaste avait été lui-même contraint de quitter le
pays suite aux événements violents qui ont secoué le pays. Merzak Allouache
raconte : « En 1999, lorsque je suis retourné en Algérie après sept ans d’absence, j’ai retrouvé un pays où régnait un optimisme étonnant et irréel. La violence commençait à s’estomper. Une politique de « concorde civile » était proposée au peuple algérien, pour permettre, semblait-il, l’arrêt total de la violence. La presse nous apprenait que des contacts secrets entre l’armée et les
islamistes qui se trouvaient dans les maquis allaient permettre très vite le
retour de ceux-ci dans leurs foyers et l’arrêt des massacres, des embuscades,
des attentats… Les Algériens découvraient un nouveau mot, « repenti », désignant ceux qui abandonnaient la lutte armée et se plaçaient sous l’autorité de
l’Etat. »
Merzak Allouache s’attache au destin de Rachid, un jeune djihadiste qui quitte la montagne et regagne son village natal. Selon la loi de « pardon et de
concorde nationale », il doit se rendre à la police et restituer son arme. Il bénéficie alors d’une amnistie et devient « repenti ». Mais la loi peut-elle effacer
aussi facilement les crimes et la douleur des familles ?
L’idée du film lui a été inspirée en lisant un article de presse qui racontait la
terrible histoire d’un homme qui, contacté par un « repenti », s’était vu propo-
ser un horrible marché. « Cette histoire m’a tellement hanté que j’ai décidé de
faire ce film dans l’Algérie d’aujourd’hui, où l’amnésie continue alors que l’optimisme artificiel a disparu et que dans certaines régions la violence terroriste est toujours aussi meurtrière avec ses corollaires, la répression et les restrictions de liberté. »
Merzak Allouache viendra demain au centre Rabelais pour présenter son premier film Omar Gatlato, une œuvre choisie par Jalil Lespert pour sa carte
blanche et qui sera lui-même dans la salle.
Aujourd’hui, à 18h, au Diagonal, dans le cadre de Cinemed hors les murs,
avant-première du Repenti en présence du réalisateur et de la comédienne
Adila Bendimerad. (Sophie Dulac Distribution).
■ Adieu Berthe-
l’enterrement de mémé
Deux copies restaurées
de Rossellini
Dans le cadre de la consistante rétrospective Roberto
Rossellini, dix-huit films de cinéma et deux films réalisés
pour la télévision sont programmés. En attendant l’arrivée
de son fils Renzo Rossellini qui donnera une master-class
exceptionnelle le jeudi 1er novembre (14h30, Einstein), les
festivaliers peuvent re(découvrir) aujourd’hui deux œuvres
en copies restaurées. A 14h, à l’Opéra Berlioz, ce sera
l’unique occasion de voir La Machine à tuer les méchants,
film rare sorti en salles en 1952 mais dont la production
avait débuté en 1948. Avec cette histoire de photographe
qui, au moyen de son appareil photo, peut faire disparaître
des hommes diaboliques, le maestro s’aventure sur le
terrain de la comédie. A 16h, les festivaliers pourront
découvrir cette fois-ci un film tourné pour la télévision, La
Prise du pouvoir de Louis XIV dans une copie restaurée de
l’Institut National de l’Audiovisuel (INA). Présenté en avantpremière au Festival de Venise, La Prise de pouvoir par
Louis XIV est diffusée sur la première chaîne française le 8
octobre 1966. Exceptionnellement, le film bénéficiera d'une
sortie en salle ce qui lui permettra de recueillir des critiques
favorables. ■
■ La Prise du pouvoir de Louis XIV
Séance supplémentaire
To Be or Not to Be
Lundi 29 octobre, à 21h30, à l’Opéra Berlioz, les festivaliers
pourront se délecter de la plus célèbre comédie d’Ernst
Lubitsch To Be or Not to Be (Jeu dangereux) présentée en
copie numérique. Le film sorti en 1942 raconte comment,
durant la Deuxième Guerre mondiale, entre Varsovie et
Londres, une troupe de comédiens parvient à déjouer un
plan de la Gestapo... Cette séance est proposée en
remplacement de la soirée CCI. ■
Elisez votre court préféré
Tous les courts métrages de la sélection officielle -22 en
compétition et 15 en panorama - concourent pour le Prix
du public Midi Libre - Titra Film. Vous êtes donc,
spectateurs, doublement mis à contribution. Munissezvous d’un stylo et attribuez une note sur 10 pour chaque
film. Après la séance, déposez le bulletin dans les urnes à
la sortie de la salle (une urne située à la sortie niveau 0 et
deux à la sortie niveau 1). Aujourd’hui, à 18h, à Pasteur,
démarre la compétition courts métrages avec la projection
du programme n°1. ■
La billetterie du festival
Durant tout le festival, dans le hall 0 du Corum, de 9h40 à
12h30 et de 13h30 à 22h, Corinne, Luc et Jean-Marc vous
accueillent pour acheter billets (tarif normal 7€, tarif réduit
6 €), pass et vous renseigner sur les projections du
festival. Le catalogue du festival, compagnon
indispensable, est également à la vente au prix de 9 €. ■
Du côté de la compétition
■ Le Repenti
Le réalisateur Srdjan Dragojevic présente aujourd’hui à
20h, à Pasteur, son film La Parade, où l’organisation
rocambolesque de la première gay pride en Serbie. ■
Le cinéma
d’animation en fête
Le 28 octobre, journée mondiale dédiée au
cinéma d’animation, remonte à la naissance
du cinéma. Le 28 octobre 1892, Emile
Reynaud projette à Paris le premier film
d’animation. Et cela trois ans avant la
naissance du cinéma avec les frères
Lumière ! Pour fêter l’événement, le festival
propose aujourd’hui un programme de huit
films d’animation, à 16h, à Einstein. Ces
films sont tous des créations récentes et
certaines sont des courts signés par des
étudiants en école d’art. Le programme
propose des films en provenance de tout le
pourtour de la Méditerranée, autant de
petites perles à découvrir. Pierre Azuélos,
responsable de la programmation des films
d’animation, souligne avec enthousiasme le
fait que quatre de ces films soient réalisés
par des femmes. Il met aussi l’accent sur le
film syrien Qui veut tuer des millions, un film
un peu particulier dans le programme
puisqu’il ne s’agit pas d’un film d’animation
mais d’un film de marionnettes. C’est une
création militante contre le régime syrien qui
a été postée sur YouTube mais qui mérite
d’être projetée sur grand écran.
Avec ce programme éclectique, on
découvre la technique très intéressante de
Glong, les belles images et la musique du
film français Douce, la simplicité et la
sensibilité du film libanais Les Ruines. Puis
on plonge dans l’univers fantastique de
Lunettes, on est secoué par le très fort
scénario du film espagnol Qui tient le plus
longtemps. Enfin, on se laisse porter par la
poésie du film bulgare et on s’interroge sur
le temps qui passe avec le court israélien
Baleine Bleue.
Ce progamme fait la démonstration que
l’animation n’est pas un art à circonscrire
aux dessins animés pour enfants mais qui
révèle une réelle vitalité artistique. Et il se
pourrait bien que cerise sur le gâteau, un
film surprise, un cartoon musical soit
projeté… ■
■ Lunettes
Neuf documentaires en
compétition pour le Prix Ulysse
Comme chaque année, les documentaires permettent de prendre le pouls des paysages sociaux,
politiques et culturels des différentes rives de la
Méditerranée. Des œuvres souvent graves et touchantes pour regarder la réalité en face.
« Que ce soit sur le fond ou sur la forme, la prise de
risque est finalement le point commun des neuf
films, décrit Hubert Corbin du Cinemed. Et il est difficile de prévoir qui va gagner. »
Aujourd’hui, deux films sont proposés. Même pas
mal de Nadia El Fani et Alina Isabel Pérez évoque un
double combat pour la vie. « Je n'ai d'autre choix
que d'affronter les islamistes, explique Nadia El
Fani, alors qu’en parallèle, je dois faire face à un
second ennemi, le cancer. »
Second film du jour : Au-delà des montagnes. La
réalisatrice Aya Koretzky explique : « Je me plonge
dans les paysages de la région du Mondego où je
suis venue habiter avec mes parents, laissant derrière moi Tokyo, ma ville natale. » Ce parcours
Japon-Portugal montre l’utopie du retour à la campagne et les questions des racines. Aya Koretzky
représente bien ces jeunes réalisateurs qui proposent une approche personnelle et expérimentale du
cinéma.
Les autres documentaires proposent aussi des
sujets et des formes très intéressants. Le Thé ou
l’électricité de Jérôme Le Maire est l’histoire épique
de l’arrivée de l’électricité dans un village isolé et
enclavé au cœur du Haut Atlas marocain. Ce film,
■ Même pas mal de Nadia El Fani et Alina Isabel Pérez
un peu hors norme et très réussi, a demandé trois
ans de tournage. Il donne une idée de la grande
phase d’électrification de la France d’entre-deux
guerres.
Impossible de ne pas évoquer aussi les deux films
israéliens : La Loi de l’occupant de Ra'anan Alexandrowicz et Soldier/Citizen de Silvina Landsmann.
Israël produit énormément de films dont le sujet de
fond est abordé de manière très frontale.
Citons aussi Bertsolari de Asier Altuna, Un Homme
médiocre en cette époque de prétendus surhommes d’Angelo Caperna, Albums de famille de
Nassim Amaouche, Maïs Darwazeh, Erige Sehiri et
Sameh Zoabi et Comme des lions à l’entrée de la
nuit d’Olivier Zuchuat.
Cette année, les membres du jury du Prix Ulysse
sont Lætitia Moreau (réalisatrice, France), Isabelle
Singer (réalisatrice, France) et Thierry Aflalou (producteur, France). Ils dévoileront leur choix samedi
prochain lors du palmarès.
Aujourd’hui à Einstein, à 12h, Même pas mal de
Nadia El Fani et Alina Isabel Pérez, et à 18h,
Au-delà des montagnes de Aya Koretzky.
Dimanche 28 octobre
18 h 00
berlioz
Courts métrages Compétition n° 1
11 h 00
Le Messie
de Sofia Djamaa
(France/Algérie, 2011), 28 mn
VOSTF
de Roberto Rossellini
(Italie/France, 1976), 2 h 25
VOSTF
14 h 00
La Machine à tuer les méchants
Mollement un samedi matin
La Bétonnière
de Liviu Sandulescu
(Roumanie, 2011), 15 mn
VOSTF
19 h 00
Padroni di casa
21 h 00
Renoir
de Gilles Bourdos
(France, 2012), 1 h 51
VOFR
pasteur
12 h 00
Le Sac de farine
Voix off
de Martín Rosete
(Espagne, 2012), 11 mn
VOFR
20 h 00
La Parade
de Srdjan Dragojevic
(Serbie/Croatie, 2011), 1 h 55
VOSTF
22 h 00
Yossi
de Eytan Fox
(Israël, 2012), 1 h 23
VOSTF
einstein
12 h 00
Même pas mal
de Kadija Leclere
(Belgique/Maroc, 2012), 1 h 32
VOSTF
de Nadia El Fani, Alina Isabel Pérez
(France, 2012), 1 h 06
VOSTF
14 h 00
Enfants de Sarajevo
14 h 00
Palestro, Algérie :
histoires d'une embuscade
Djeca, enfants de Sarajevo
de Aida Begic
(Bosnie/Allemagne/France/Turquie,
2012), 1 h 30
VOSTF
16 h 00
Keep Smiling
de Rusudan Chkonia
(France/Géorgie/Luxembourg, 2012),
1 h 31
VOSTF
de John Halas
(Hongrie, 1964), 7 mn
VOSD
de Alain Resnais
(France, 2003), 1 h 55
VOFR
Qui veut tuer des millions ?
de Georges Cassab
(Liban, 2012), 16 mn
VOSTF
de Rémi Lainé
(France, 2011), 1 h 30
VOFR
de Groupe Massasit Matti
(Syrie, 2011), 5 mn
VOSD
Les Ruines
de Charles Choueiry
(Liban, 2011), 5 mn
VOSD
Baleine bleue
de Sivan Kidron
(Israël, 2011), 6 mn
VOSD
Qui tient le plus longtemps
de Gregorio Muro
(Espagne, 2011), 12 mn
VOSTF
La Douce
de Anne Larricq
(France, 2011), 8 mn
VOSD
18 h 00
Au-delà des montagnes
de Aya Koretzky
(Portugal, 2011), 1 h
VOSTF
20 h 00
Europe 51
16 h 00
de Roberto Rossellini
(Italie, 1951), 1 h 50
VOSST
Le Phare
22 h 00
Tractor, Love and Rock'n Roll
Animation - Perles de la
Méditerranée (8 films)
de Velislava Gospodinova
(Bulgarie, 2009), 5 mn
VOSD
17 h 00
Les Oliviers de la justice
de James Blue
(Algérie/France, 1961), 1 h 20
VOSTF
Cambriolage
16 h 00
L'Éternité et un jour
rabelais
de Romain Blanc-Tailleur,
Damien Pelletier
(France, 2008), 7 mn
VOSD
The Hoffnung maestro
de Roberto Rossellini
(Italie, 1948), 1 h 23
VOSTF
de Edoardo Gabbriellini
(Italie, 2012), 1 h 30
VOSTF
Glong !
Fait maison
de Lior Sagi
(Israël, 2012), 18 mn
VOSTA
de Theo Angelopoulos
(France/Italie/Grèce, 1998), 2 h 12
VOSTF
Lunettes
de Nadia Raïs
(Tunisie, 2012), 11 mn
VOSD
de Branko Djuric
(Slovénie/Bosnie/Croatie, 2012), 1 h 40
VOSTA
19 h 00
Pas sur la bouche
21 h 00
Music Box
de Costa-Gavras
(États-Unis, 1989), 2 h 03
VOSTF
musée fabre
11 h 00
Algérie, notre histoire
de Jean-Michel Meurice
(France, 2011), 1 h 29
VOFR
14 h 00
Parasols et crustacés
de Laure Pradal
(France, 2011), 52 mn
VOFR
16 h 00
La Prise de pouvoir par Louis XIV
de Roberto Rossellini
(France, 1966), 1 h 30
VOFR
diagonal
18 h 00
Le Repenti
de Merzak Allouache
(Algérie/France, 2012), 1 h 27
VOSTF
utopia
20 h 00
Adieu Berthe l'enterrement de mémé
de Bruno Podalydès
(France, 2012), 1 h 40
VOFR
VOFR = version originale en français ; VF = version doublée en français ; VOSTF = version originale sous-titrée français ; VOSTA = version originale sous-titrée anglais (traduction simultanée) ;
VOSST = version originale sans sous-titres (traduction simultanée) ; VOSD = version originale sans dialogues
Flash Festival - Quotidien d’information édité par le Festival International du Cinéma Méditerranéen de Montpellier. Tél. 04 99 13 73 73 - Distribué exclusivement sur les lieux du festival.
Direction : Jean-François Bourgeot - Rédaction : Géraldine Laporte et Sébastien Nègre, assistés de Nina Alexandraki - Fabrication : Imprimerie du Midi, 34438 Saint-Jean-de-Védas cedex

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