M. CHAMBERLAIN ET LE CHARCEUER HITLER

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M. CHAMBERLAIN ET LE CHARCEUER HITLER
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ADMINISTRATION ET RÉDACTION
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1938
......
AV. 42* Année. —
—
13. Rue du Port. CLERMONT-FERRAND
DE
N° 16.730
ENDREDI
Téléphone t 67.01 et la suite
A d t télégraphique : A V EN IR -CLERMONT
BALLES
—
DÉPÊCHES
4 . RUE BLATIN. CLERMONT-Fd
TA. 35.48
A BO N N EM EN TS
S moi*
Puy-de-Dôme et Dép. Emit.
Autre* Département* , . . <
Etrange* (port en plus).
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33
38
COMPTE COURANT POSTAL
ON CAUSE...
62
70
I
d e-D ôm e>Allier
Cantal • Haute«Loire
Puy
m
116
122
290
D irectrice:
DU PLATEAU CENTRAL
M “'
A.
A veyron • Corrèze
Creuse« Loire« Lozère
Rédacteur en Chef : M a u r i c e V A L L E T
DUMONT
M. CHAMBERLAIN ET LE CHARCEUER HITLER
La Publicité est reçue dans
dar nos BUREAUX,
1 3, rue du Port, et à l’J
I*AGENCE HAVAS,
4 2 , «T. due ÉtaU-Unia, Clermont-Ferrand
à l’Agence Hevea,
La Publicité exti«-réj
62, rue de Richelieu, Paris.
Le commandant en chef
de l'aviation américaine
s’est tué en avion
A LA CHAMBRE
On n ’a p o in t de re n seig n e m en ts
P aris, 22 septem bre.
s u r les p rem iers e n tre tie n s de G o­
L 'a tm o sp h ère p a rlem en ta ire fu t
desberg. A la vérité, on n ’en pou va it
chargée d'électricité une grande par­
p a s avoir. Ils c o n tin u e n t : c ’est le
tie de la journée. D ans les jou rs cri­
p rin cip a l.
tiques que nous vivons, les stratèges
O n d o it so u h a ite r que ces trois
de couloirs que rien n'arrête, s 'e m ­
h eu res a ie n t p erm is au m o in s de
ploient à m en e r u ne vive cam pagne
poser, d a n s ses d onnées com plètes,
contre le Cabinet. Avec une ardeur
le p roblèm e tchécoslovaque. L ’in s ta n t
infatigable, ils travaillèrent tout le
n ’e s t plu s a u x in g én io sités n i a u x
long du jo u r à répandre le b ruit que
d issim u la tio n s. Il fa u t savoir, de p a rt
le Cabinet D aladier se disloquait. La
e t d ’a u tre , ce que l’on v e u t, e t le
frénésie des candidats m in istériels
concilier. Ou n o u s d em eu ro n s dans
leur donnait du cœ u r au, ventre.
des d iffic u lté s d ’où p e u t so rtir le
Chacun s'accordait à reconnaître
pire.
qu'il était vra im en t h onteux, à l'h e u ­
A v a n t de m o n te r en avion, M.
re dram atique que nous vivons, que
C h a m b e rla in a fa it c e tte déclara­
les com binards p arlem entaires se
tio n :
va u tren t com m e à p la isir dans leurs
Un règlem ent pacifique du problème
sales m anigances habituelles. E xci­
tchécoslovaque est une condition es­
tés et encouragés par les co m m u n is­
sentielle à une m eilleure com préhen­
tes, ils fo n t à la fois le je u de B erlin
sion entre les peuples allem and et an ­
et de Moscou.
glais. Cette com préhension est la con­
ainsi que d ’experts renommés, capa­
H
e-ton,
22
septem
bre.
bles de consolider l ’Etat dans la grave
L 'o n avait fa it courir le bruit de
dition indispensable de la paix euro­
M. C ham berlain a q u itté l'a é ro ­
péenne. J ’espère que mon voyage ou­
crise de l’Europe Centrale.
la dém ission sensationnelle de MM.
drom e d ’H eston à 10 h. 47 p o u r Colo­
v rira la voie qui y conduit.
R eyn a u d , M andel et C ham petier de
Le n o u v eau m in istè re tchécoslova
O n p e u t voir d a n s ces paroles que g ne où son avion a a tte r r i à 12 h. CO.
Ribes. L'on y avait m êm e ajouté le
que a été co n stitu é sous la présid en A
vant
de
mo^*re
r
en
avion,
M.
p o u r le p re m ier m in istre b rita n n i­
nom de M. C am pinchi, m in istre de
oe du g én éral Je an Sirovy, inspec­
C
h
a
m
b
e
rla
in
a
d
éclaré
:
que, le p o in t de vue anglais d o m i­
la M arine. Celui-ci s'eh défendit su r
te u r de l ’arm ée tchécoslovaque.
n era to u t le d ébat. La p a ix euro­
l'heure et déclara p érem ptoirem ent
« U n règ lem en t pacifique du pro­
Voici lc6 p rin cip au x m em bres du
p éen n e, ce bien si c h è re m e n t payé et blèm e tchécoslovaque est u ne condi­
qu'en u n tel m om ent, le devoir de
n o u v eau cab in et tchécoslovaque :
tout m em bre du G ouvernem ent était
après lequel on court depuis d eu x tio n essentielle à u n e m eilleu re com ­
P ré sid e n t d u Conseil et m in istre
au contraire de se serrer a u to u r de
se m a in es, n ’en serait que la consé­ p réh e n sio n en tre les p euples a lle ­
de la G uerre : G énéral Je a n S y r o v y
son chef.
quence.
m a n d e t an g lais.C ette com préhension
F in an c es : M. K alfues ; A ffaires
Q uant a u x trois autres m in istres
I l fa u d ra p re n d re garde que H it­ est la co n d itio n in d isp en sab le de la
é tra n g ères : M. C am ille K ro fta ; In ­
l'on pense qu ’ils a vaient songé effec­
ler, d a n s les proch a in s jours, ne s ’e f­ paix européenne. J ’espère que m on
té rie u r : M. Je an C erny ; m in istre
fo rc e de rallier l'A ngleterre à la po­ voyage o u v rira la voie q ui y con­
de la S an té publique : M. M endl, p ro ­ LE MAJOR GÉNÉRAL WESTOVER tivem ent d sortir du m in istère et d
reprendre leur liberté. Chacun sait
litiq u e a llem a n d e. La ta c tiq u e tr a ­ d u it. »
fesseu r à la F acu lté de m édecine de
que tous les m in istres fu re n t tenus
É ^ ÿ É É iife
d itio n n e lle de B erlin trouve ici son
Coiogne, 22 septem bre.
W ash in g to n , 22 septem bre.
P rag u e.
au courant heure par heure, par M.
em ploi.
A près av o ir passé en revue la com ­
T ra v au x publics : G énéral U sarek,
Le d ép a rtem e n t de la g u erre a n ­ D aladier de tout ce qui se passait, 1 1
L e p o in t obscur est de savoir da n s p a g n ie d ’n o i.iifu r s u r le ch a m p d ’a ­
sous-chef d ’état-m a jo r ; Ju stice : M. nonce que le m ajo r g én éral W esto­ qu'ils ont pris délibérém ent p arti
quelle m esu re les reven d ica tio n s v ia tio n et ta n d is que la fa n fa re
V lad im ir F a jn o r, Slovaque et p rési­ ver, co m m an d a n t en chef l’aviation dans tous les conseils de Cabinet ou
hongroises e t polonaises v o n t s’a jo u ­ jo u a it l'h y m n e n a tio n a l an g la is, M.
d en t d u trib u n a l suprêm e de Brno. des E tats-U nis, s ’est tué d a n s un dans les conseils de m in istres. Ils
te r au p roblèm e s tr ic t des A llem a n d s C h am b erlain , accom pagné de M. von
Le cab in et com porte en o u tre tro is accid en t d ’avion su rv en u h ie r p rès ont approuvé à l'u n a n im ité les déci­
des S u d è te s qui, ju sq u ’à p résen t, fa it R ibbentrop, est m o n té en autom obile
m in istres sang portefeuille.
de Lo-s Angelès.
sions prises ta n t en ce qui concerne
seul l’o b je t des propositions fra n c o - p o u r se re n d re à l’hôtel P etersb erg ,
Un q u atrièm e fau teu il de m in is­
L ’ap p a reii d an s lequel av a it p ris la politique intérieure qu'en ce qui
b rita n n iq u es. De ce côté, to u t n ’est à K oenigsw inter, où il d éjeu n e ra .
tre s a n s portefeuille est réserv é à place le gén éral s ’a p p rê ta it à a tte r ­ concerne ia politique extérieure. Et
p as d it. La Pologne jo u e l’in tim id a ­
un populiste slovaque.
M. C h am b erlain accom pagné de M.
r ir lo rsq u ’il s ’a b a ttit en flam m es c'est pourquoi Von s'explique m al le
tio n m ilita ire pour ses 200.000 n a tio ­
On sa it que les chefs populistes p rès de l ’aérodrom e de B urbanks. revirem ent qui aurait pu s'effectu er
de Riibbentrop et de s a suite an g laise
n a u x . C’est assez puéril et d a n g e­
slovaques doivent a rriv e r ce so ir à L’avion qui v o la it à u n e centaine en eux, à propos d'u n e décision d'ac­
est a rriv é à l'hôtel P ete rsb e rg à 14
reux.
P ra g u e v en a n t de B ratisla v a. On les de m è tres d ’altitu d e a v a it essayé cord avec VAngleterre, dont ils ont
heures,
s
a
'u
é
p
a
r
les
«
heil
»
rete
n
­
A Prague, la crise m in istérie lle a t­
atten d p o u r d ésig n er le titu la ire du d ’év iter deux m aisons, m a is son m o­ pris eux-m êm es la responsabilité.
tis sa n ts des m em bres des sections
te n d u e s ’est produite. M. H odzda a d ’a s s a u t et d es Je u n esse s h itlé rie n ­
q u atrièm e fau te u il des m in istres te u r a v a it calé e t u n re to u r de flam ­ Cette responsabilité, q u 'ils le veuil­
Une
vu
e
générale
de
la
sta
tio
n
balnéaire
de
Godesberg.
cédé le pouvoir à u n g o u v e rn e m e n t
sa n s portefeuille.
m e s’é ta n t p roduit, l’ap p a re il s’était lent ou non, dem eure, il ne leu r su f­
où so n t représentées to u te s les fr a c ­ nes sta tio n n é s d ev an t la p o rte de
(LIR E LA SUITE EN TR O ISIÈM E PAGE)
é crasé a u sol.
fira it pas d’opérer u ne défection. Elle
tio n s politiques du pays, à l ’ex ce p ­ l’hôtel.
m
et
g
én
é
rale
m
en
t
que
les
en
tre
tie
n
s
ne constituerait, pour eux, une diver­
D
an
s
l
’hôtel
m
êm
e,
c’est
u
n
va-ettio n des co m m u n istes, e t que préside
sion a u x y e u x de quiconque.
v itn t discret, m a is co n stan t, d ’offi­ p o u rro n t ê tre clos d em ain so ir.
le général Syrovy, in sp e cteu r g é n é ­ c ie rs de la R eich sw eh r en u n ifo rm es
A m id i, parait-il, leu r résolution
Le communiqué officiel
ra l de l’arm ée.
M a il pyLse
bistn p ris« . M ais les
B e rlin , 22 septem bre.
Sa tâ c h e est délicate. Il doit m a in ­ de p a ra d e , ca sq u é s et l’épée a u côté.
trois m in isstres
Æ éta n t allés de conser­
PragMfV'fi? -septembre:
M. C h a m b e rla in sa lu e la foulç, ser­
te n ir l’ordre in té rie u r, co m m e la se u ­
Un com m uniqué d u D. N. B. a n ­
ve chez le p résident du Conseil, en
Ce m a tin , à 11 h eu res, le C abinet
le co nd ition capable de fa c iliter' la re la maiiri à M. de Ri'bbentrop, et n o nce q u ’ap rè s u n e d u rée to tale de
sortirent, sans éclat, ne fa isa n t a u ­
conclusion p acifique des pourparlers p én ètre ra p id e m e n t d a n s l’hôtell où 3 h eu res u n q u a rt, les en tre tie n s Hi- H odza a dém issionné p o u r fac ilite r
cune déclaration et sans claquer les
il
déjeune.
la
cré
atio
n
d
’un
C
ab
in
et
p
lu
s
la
rg
e
en cours. T o u t m o u v e m e n t v io le n t
tler-C h am b e rlaln se so n t term in és avec p a rtic ip a tio n d ’élém ents m ili­
portes. C 'étaient là des dém issions
d éc la n c h era it, en e ffe t, a u to m a ti­
L’arrivée à Godesberg
rentrées.
v ers 19 h. 15.
ta
ires.
q u e m e n t l’in te rv e n tio n étrangère. On
M. C h am b erlain est rev e n u a u P e­
In u tile de dire que l'on com m enta
G odesberg, 22 septem bre.
M. Benès a accepté la dém ission et
r e jo in d ra it ainsi le péril d ’u ne g uer­
fié vreu se m e n t les événem ents in té ­
A 15 h. 45, M. C h a m b e rla in a q u it­ te rsb e rg , avec le b a ro n von D oern- à a u ssitô t com m encé ses c o n su lta­
re généralisée.
rieurs de Tchécoslovaquie. E t à h u it
té P e te rsb e rg p o u r g a g n e r Godes­ berg, chef du protocole.
tio n s p o u r form er le n o u v eau m in is­
Les m a n ife sta tio n s de rues a n ti- berg, où il va com m encer ses conver­
D an s le h a ll de l’H ôtel, le ch an ce­ tère.
heures du soir, l'on a tten d a it encore
fra n ça ises e t a n ti-a n g la ises c o n ti­
lie r H itler a p ris congé de son hôte
les nouvelles concernant la co n stitu ­
L a ra d io tchécoslovaque a lancé en
n u e n t. L ondres rappelle son p erso n ­ sa tio n s avec le ch a n ce lie r H itler. Le b rita n n iq u e .
tion du nouveau Cabinet de P rague.
p rem ier m in istre é ta it accom pagné
même tem ps l ’ap p el s u iv a n t :
n e l diplom atique, a fin , vra isem b la ­ de S ir N eville H en d erso n , de M. W ilM. von R ibbentrop, m in istre des
P. CH ANTU RGU É.
Les
tâches
nouvelles
qui
nous
incom­
b le m e n t, d ’év ite r des in c id e n ts qui
M arseille, 22 septem bre.
gon aux v aleu rs p en d a n t le voyage.
bent exigent que la nation soit repré­
l’obligeraient à des d ém a rc h es assez
M.
P
ie
rre
Ayme,
m
écanicien,
a
Le tr a in de m essag eries rap id es
sentée dans les négociations qui vont
paradoxales, en ce m o m e n t, près du
s’ouvrir par ses représentants politi­ 4818 N ice-Paris a été atta q u é et dé­ fait le récit su iv an t de l’a tte n ta t :
G o u ve rn em e n t de Prague.
ques et ses fonctionnaires les plus qua­ valisé cette n u it p rès de M arseille
— Le train parti de Marseille roulait
La F rance va à u n e crise de gou­
lifiés. Le Gouvernement de la Bépubli- aux en virons de la sta tio n de S aint- à bonne allure lorsque, un peu après la
que, à qui le d u r devoir a été imposé de
v e r n e m e n t à peu près fa ta le . Elle se
station de Saint-Barthélemy, à quelques
se soumettre au diktat des puissances B arthélem y.
produira dès que les é v é n e m e n ts e x ­
Le comvoi a v a it q u itté la g are dizaines de mètres de la gare, il s’ar­
occidentales,
a
résolu
hier
déjà
de
pré­
rêta soudain. Je descendis de ma ma­
térieu rs p e r m e ttr o n t à la politique
senter sa démission au Président de la S ain t-C h arles à 1 h. 46. S u r la loco­ chine pour parler au chef de train.
p a rle m en ta ire de rep ren d re son
République. Le Gouvernement a pris m otive se tro u v a ie n t le m écanicien, Meus visitâmes le fourgon. Ne trouvant
r y th m e régulier. Voici les c o m m u ­
cette décision en sachant qu’en un mo­ P ie rre Ayme, 46 ans, d u dépôt d ’A­ rien, nous pensâmes que la locomotive
P aris, 22 septem bre.
n istes, les socialistes e t la C.G.T. en
m ent de grande tension européenne n vignon, et le ch au ffeu r, A uguste Mou- av ait peut-être une avarie et nous al­
A la suite de déclarations faites
est nécessaire que notre nation con­
o pposition avec M. D aladier. L ’h eu re
lions en chercher la cause. A ce mo­
centre ses efforts afin de continuer sa n ier, 33 ans, d e m e u ra n t ég alem en t à ment, le chef de train se trouvait près m ercredi soir par M. A rrach art, M.
est proche où celu i-ci devra ch a n g e r
grande tradition suivant laquelle toutes A vignon. Le chef de tra in é ta it M. du premier wagon en tête du convoi, Charles P om aret, m inistre du T ravail,
de m a jo rité , l’é lo ig n e m e n t du péril
tentatives qui ont été faites pour l’as­ E m ile D epousier, 37 a n s, d em eu ran t i Je venais de faire deux ou trois pas précise que si la délégation ouvrière
de guerre lib é ra n t les a n ta g o n ism e s
servir ont échoué.
à M arseille. En g are av a it égalem ent ’ vers la locomotive, lorsque je vis a a offert de reprendre le travail dans
de d o ctrin e e t d ’actio n . La re n tré e
C’est pourquoi le gouvernement dé­ p ris p assag e le « fin an c ier », M. quelques mètres de distance une dizai­ les chantiers de la défense passive,
du P a rle m e n t, qui n e pourra p o in t
missionnaire a demandé que le nou­ A chille M asclet, 41 an s, ch arg é plus ne de jeunes gens masqués et armés de
c ’e s t aux deux conditions su iv an tes :
veau Cabinet soit composé de représen­
s ’éluder à la d a te prévue, nous m é ­
revolvers. Tous criaient pour nous ef­
tants de tous les éléments de la nation spécialem ent de su rv e ille r le four- frayer. Avant que nous ayons pu faire
1° Que le caractère de défense pas­
n age des jou rs d a n g e re u se m e n t d iviun geste ou dire un mot, ils tirèrent sive soit, chantier par chantier, déter­
sés.
d ans notre direction une vingtaine de miné e t accepté par la délégation ou­
E n a tte n d a n t, voici M M. D aladier
coups de revolver. Je me couchai im­ vrière ;
e t B o n n e t voués a u x g ém onies par
m édiatem ent près de la locomotive.
2° Que l’augm entation de salaires
n o s m oscoutaires, po u r qui l’h o n n e u r
Aussitôt ils se précipitèrent vers- le dem andée dès le début du conflit soit
n a tio n a l n e se sépare p o in t d ’u n e
train. Un seul était resté près de moi, im m édiatem ent imposée pa.r le m inis­
guerre folle.
l’anne à la main. Il me cria : « Chauf­
MM. Daladier et Bonnet, écrit théâ­
feur, ne bougez plus ou je vous brû­ tre aux entreprises trav aillant pour
,
tralem ent M. Péri dans l'Hum anité, ont
le 1 ». Tout en restant allongé, je vis la défense passive.
Le m in istre a répondu q u ’il n ac­
réalisé ce chef-d’œuvre d'ignom inie.
les Jeunes gens entrer dans le fourgon
Des réfu g iés sudètes q u i ont q u itté leurs villages à la suite des récents
Pendant que ces lignes sont écrites,
de tête près de la locomotive. Us sor­ c e p ta it pas ces conditions.
d ans les rues et les places de la capi­
tirent de là d iv îrs colis, des caisses, et
in cid en ts, a rriva n t en te irito ire allem and.
11 a indiqué en outre que la mise
les transportèrent rapidement sur une en œ uvre de la réquisition ordonnée
tale la foule manifeste. Elle exprime
automobile qui se trouvait à 5 ou 6
son indignation contre les gouverne­ Ham S tra n g , de S ir H orace W ilson, A ffaires é tra n g è re s, a accom pagné
m ètres de la voie. J’entendis l’un des dès m ercredi se ferait par les soins
m ents de P aris et de Londres. Elle sa de S ir W illiam M akin, co n seiller ju ­ M. C h am b erlain ju s q u ’à son au to o r ­
m alfaiteurs dire à haute voix : « Et le de l’autorité m ilitaire, en collabora­
dirige vers le château de la présidence rid iq u e d u F o re ig n Office, et de M. née des d rap e au x a n g la is et a lle­
ttuxxisixxttxittttzsziXittutKtstttsttttttsuxtiixixtztxxxis
coffre, vous l’avez ? ». Puis quelques tion constante avec le m inistère du
pour crier sa foi dans les destinées von D oernberg, ohef d u protocol© de m ands. C’est a u ro u lem en t des ta m ­
jeunes gens entrèrent dans la voiture
de la patrie.
ca d av res ne q u a tre fem m es et de D’autres testèrent sur les marchepieds T ravail, au rythm e im posé par la si­
b o u rs des S. S. que M. C h am b erlian
Ne*.v-York, 22 septem ore.
Dites donc, Bonnet-Daladier, n’eniten- la W ilh elm strasse.
tuation présente.
deux hom m es o n t été recu eillis su i
dez-vous pas un bourdonnem ent tinter
M. C h a m b e rla in et ses co llab o ra­ a q u itté l’hôtel D reesen.
L’un d’eux d it . • Il y en a assez
L’o u ra g a n (venant des tropiques,
Au cours de la m atinée, la police
a vos oreilles ? C’est le mépris de lu te u rs, acco m p ag n és de (M. ivon D o ern ­
Les en tre tie n s C ham b erlain -H itler q u i a ép arg n é la F loride, b alay e ac­ la p lag e. P r^ cque to u tes les m aiso n s m aintenant », et l’automobile d ém an a
so n t détruite*. A Boston, le ven t so u f- pour disparaître rapidement dans la a procédé à 32 a rre sta tio n s p o u r e n ­
dém ocratie internationale qui monte berg, chef du protocole, so n t a rriv é s se p o u rsu iv ro n t d em ain à G odesberg.
tu ellem en t les côtes d u N ew -E ngland f;e à la vitesse de 170 kilom ètres a ru it.
trav es à la liberté du tr a v a il e t refu s
vers vous.
à l ’hôtel D reesen à 16 h eu res. M. A.
et de L ong-Island. H a provoqué des l'h eu re et en p u sie u rs p o in ts de la
de circuler.
La d ém o cra tie in te rn a tio n a le est H itle r a reçu M. C h am b erlain d a n s
(LIR E LA SUITE EN TRO ISIÈM E PAGE)
in o n d atio n s, em porté des m aisons, côte, un véritable raz de m a ré e a
u n e a b stra ctio n . E t ce b o u rd o n n e­ le hal'l de l’H ôtel et l ’a co n d u it d a n s
Le D. N. B. précise que le conseil­
m e n t m éta p h o riq u e d o n t on les avise la salle de la conférence au p rem ier le r de lég atio n S chm idt, de la Wi- coupé des ro u tes et d éso rg an ise les cau sé des rav a g es considérables.
A Providence, tous les m oyens de
est m oins cruel a u x oreilles de nos étage. L a conférence a com m encé Ih elm strasse, e t M. K irk p atric k , se­ serv ices électriques, plus p a rtic u liè ­
rem en t le téléphone.
com
m u n icatio n s so n t coupés. Les
g o u vern a n ts que les pleurs des m è ­ im m éd iatem en t.
c ré ta ire à l’am b assa d e d ’A n g leterre
ru
e
s
de la ville basse so n t recouver­
A
N
ew
-London
(Connecticut),
six
res fra n ça ises d o n t, s ’ils eu ssen t
à B erlin ont p ris p a r t à ce p rem ier
G odesberg, 22 septem bre.
écouté nos révolu tio n n a ires, Us a u ­
e n tre tie n en q u alité d ’in te rp rè te te incendies ont éclaté, et l’on cra in t, tes p a r 1 m. 50 d’eau.
A l ’arriivée de M. C h a m b e rla in à de ré d a c te u r d u procès-verbal.
s ’ils ne so n t p a s m a îtrisé s d a n s «rue!
ra ie n t envoyé sté rile m e n t m o u rir les
New-York, 22 septem bre.
ques h eu res, que le feu ne se propage
fils sur la ligne Sieg fried , p o u r ré­ l’H ôtel D reesen, à 16 heures, le c h a n ­
C
ent
(vingt
m o rts et p lu sie u rs m il­
Ve-rs
18
h.
30,
d
it
le
D.
N.
B.,
le
soudre des d iffic u lté s créées en E u ­ celier H itler, en veste b ru n e et p a n ­ ch a n ce lie r H itler s’est re n d u avec à une g ra n J e p a rtie de la ville. P lu s liers de blessés, de san s-ab ri ou de
de
12
p
erso
n
n
es
o
n
t
été
blessées.
A
ta
lo
n
n
o
ir
des
chefs
politiques
d
u
rope cen tra le p ar des tra ité s m a l
d isp a ru s, tel est le bilan actuel d u
p a r ti, l’a reçu s u r le p erro n et lui a M. C h am b erlain d an s u n e salle de Nevv-York, ia p ’uie est tombée en vio­
fa its.
conférence au rez-de-chaussée, e t ils lentes ra fa le s p e n d a n t toute la jo u r p lu s violent o u ra g a n que les E tatste
n
d
u
co
rd
ia
lem
en
t
la
m
ain.
Les
A ccordons que les paroles de MM.
U nis a ie n t connu d epuis 50 an s et
o n t p o u rsu iv i là le u r e n tre tie n en
D aladier e t B o n n et, a ffir m a n t p u b li­ deux hom m es d’E ta t so n t en tré s en­ présence de M. von R ibbentrop, m i­ liée.
qui a b alay é p e n d a n t toute la jo u r­
A W esth am p lo n (L ong-Island), les née d ’h ier les E ta ts d u Nord-Est.
q u em e n t que la France, coûte que su ite d a n s le h all de l’H ôtel où ils
coûte, tie n d ra it ses en g a g e m en ts lit­ o n t contem plé p e n d a n t q u elq u es m i­ n istre d es A ffaires é tra n g ères d u
Des q u a rtie rs en tiers de villes et
té ra u x à l’égard de la T chécoslova­ n u tes le p a n o ra m a d u R hin et les a r ­ Reich.
des villages ont été d étru its. Les ro u ­
quie, é ta ie n t inconsidérées. E t m e t­ ra n g e m e n ts de ch ry sa n th èm es. Ils
tes sont défoncées et les voies de che­
tons le d é m e n ti infligé par les fa its so n t en su ite m ontés a u p rem ier é ta ­
«■*
*
i
m in s de fer endom m agées.
à ces propos é v id e m m e n t sincères, ge à la salle des conférences, suivis
Les garde-côtes estim en t que le
d u seul in te rp rè te , M. S chm idt, au x i­
su r le co m p te d ’u ne in fo rm a tio n in
no m bre de b ateaux de pêche et a u ­
s u ffis a n te ou d ’u ne m a n ie verbale lia ire h ab itu el du F ü h re r d a n s ces
tres p erd u s, coulés ou jetés au riv a ­
qui sont les faiblesses insignes de occasions.
ge p a r le raz de m arée est de 500 à
Les a u tre s m em bres des d élég a­
n o tre diplom atie m inistérielle.
700. D’a u tre p art, on est sa n s n o u ­
tio n s a n g la is e et allem an d e so n t res­
M aurice V ALLET,
velles d u ferry -b o at « P ark -C ity ».
tés d a n s le h all de l’hôtel, a rra n g é
(LIR E LA SUITE EN TRO ISIÈM E PAGE)
en g ra n d e salle de conférences, avec
New-York, 22 septem bre.
de n o m b reu ses p etite s tab les p o u r
. Le nom b re des victim es de l’o uratro is ou q u a tre perso n n es.
an q u i s’est ab attu h ier s u r divers
A 16 h. 5, la deuxièm e en trev u e Hi!ta-ts de la côte o rien tale s’élève
tler-C h am b erlain com m en çait ain si
m a in te n a n t à 278 m orts. Il y a en
à h u is clos. L’a rra n g e m e n t de cette
o u tre de nom breux m an q u an ts.
en trev u e donne à p en ser q ue les
deux hom m es d ’E ta t v eu len t se m et­
BERLIN. — Le Roi des Bulgares Boris
R oubaix, 22 septem bre.
tre d ’accord d ’abord s u r les p rin cip es
est arrivé à midi à Berlin, venant de
L’u sin e de fila tu re e t tissage Le- m êm es de le u r actio n et q u ’ils con­
Cobourg.
Les fem m es chinoises se préparent à défendre H ankow contre l'in
I vam a ire et D illiès à R oubaix, fermée fiero n t en su ite à leu rs ex p erts — qui
VIENNE. — Le nouveau dirigeable
p en d a n t
sio n des arm ées japonaises. Les voici effectu a n t u n exercice pe
d ep u is décem bre 1937, bien qu’elle re s te n t à le u r d isposition à l ’é t a g e
Graf-Zeppelin a survolé cet après-midi
lequel une troupe d 'in fa n te rie se m et à p la t ventre pour éviter de te
l u t ch arg ée de l ’exécution de com ­ in fé rie u r — le 6oin d’é lab o rer les iéVienne. Il s’est dirigé ensuite vers
L e chancelier W H er s’en treten a n t avec les m in istres hongrois
fa ire repérer p a r un e avia tio n ennem ie qui la survolerait
m a n d e s I n té r e s s a n t la défense n a ­ Lso lu tio n s p rise s e n t r e e u x .
l’ouest.
su r la terrasse d u B erg h o f, à Berchtesgaden*
D a n s le s m ilie u x A lle m a n d s , o n a d tio n a le , y ie n t d ’ê tre réquisitionnée
ont eu un premier entretien qui a duré trois heures un quart
Les pourparlers se poursuivront aujourd’hui
LE
LE
CABINET
TCHÉCOSLOVAQUE
GÉNÉRAL
SYROVY
A
FORMÉ
UN NOUVEAU MINISTERE
est formé eu Tchécoslovaquie
UNTRAIN DE MESSAGERIES
EST ATTAQUÉ ET DÉVALISÉ
PRÈS DE MARSEILLE
PAR DES BANDITS MASQUÉS
La grève du bâtiment
à Paris
VIOLENT OURAGAN
SUR LE NORD-EST DES ÉTATS-UNIS
Il y a
plus
de
LA DÉFENSE D’HANKÉOU
Une usine réquisitionnée
à Roubaix
S
L’AVENIR DU PLATEAU CENTRAL
NOS DÉPÊCHES
LE PROBLEME
LES BANDITS
TCHÉCOSLOVAQUE do train de Marseille
ont enlevé
Des fonctionnaires
britanniques sont évacués 182 kilos d’or brut
de Prague par avion
Paris, 22 septembre.
D ’a p rè s le « M atin » (édition dé­
p arte m en tale ), c ’est 162 kilo« d ’o r
b ru t qui o n t été enlevés p a r les b a n ­
dit« a u tr a in de M arseille, v a la n t
plu s de sept m illio n s de fran cs.
M arseille, 22 septem bre.
On confirm e que le b u tin em porté
p a r le« b a n d its q u i o n t a tta q u é le
tra in de m e ssag e rie re p ré s e n te ra it
p lu sieu rs m illions. E n effet, les b a n ­
dits o n t em porté deux p a n ie rs scel­
lés p a r la do u an e, ch a rg é s en g are
de la Jo liette en p ro v en an ce d u
Congo belge, et d estin é s à H cboken,
en B elgique. Ils co n te n a ie n t p lu ­
sie u rs lin g o ts d ’o r b r u t d ’u n poids
to ta l de 180 kilos.
En o u tre, les m a lfa ite u rs s ’em p a­
rè re n t d ’u n a u tre p a n ie r rem p li de
bijoux.
L ondres, 22 septem bre.
L ’avion « H éraclès » des « Impéri&l-Airways », qui ra m e n a it à Lon­
d re s plusieurs m em bres de la m is­
sion Runcinrwm, dont M. Stopford,
ain si que des fonctionnaires diplom a­
tiques anglais, a déposé ses p assagers
ù. N urem berg, à la suite d ’un ordre
que son com m andant av ait reçu par
radio.
,
.
A la réception d’un nouvel ordre
u rg e n t, l ’avion est reto u rn é à P ra g u e
vers la fin de l’après-m idi. On pense
q u ’il doit évacuer d’au tre s fonction­
n aires britanniques.
La Presse anglaise
n’est pas apaisée
Londres, 22 septem bre.
a neine la T ch écoslovaq u ie a-t-elle
aroepté la proposition franco-brltannl*
Sue que le pressentiment de nouvelles
exigences allemandes, évoquées p a r la
tr e s s e du Reich, soulève, u n e fols e n ­
core, l’ém otion des journaux an g lais.
Le ■ T im es » écrit :
. La presse allem ande p réten d m a in ­
te n a n t que la cession de la reg io n de
Sudètes n est nus su ffisan te et q u ’une
so lution • to talitaire » s im pose 11 fa u t
ap p arem m en t entendre p a r là le d é sir
d une com plète d€5tr,uc^ ° n.t ^ n îr o L e
tc h é c o s l o v a q u e , ce q u i se ra it c o n traire
* la politique déclarée de M. H M r . se*
io n laquelle l'union de to u s es Alle­
m a n d s doit respecter « le d ro it de
v re » des au tres races. »
I,e « Daily T elegraph and M orning
P o st » écrit dans son éd ito rial :
t Ou bien les signes sont trom peurs,
o u bien le règlem ent de la question de
Tchécoslovaquie
réserve en c o re , bien
d e s difficultés. 11 sem ble que 1 A llem a­
g n e a m a in te n a n t l’inten tio n non seu le­
m en t de d étach er de la R épublique les
rég io n s où les P olonais et les H ongrois
so n t en m ajorité, m a i s d effacer p u re­
m en t et sim plem ent la T chécoslovaquie
d e la carte d u m onde.
Le réd acteu r diplom atique du « M an­
ch ester G uardian » est pessim iste :
« La victoire de M. H itler, écrit-il, est
ab solue, non m oins absolue que la c a ­
p itu la tio n des puissan ces occidentales.
L a T chécoslovaquie cessera bientôt d 'ê ­
tre une puissance, m ais M. H itler ne
s ’intéresse pas seu lem en t à l’Europe d u
C entre et d u Sud-Est ; il d o it assu re r
ses d e rrières contre une attaq u e, cepen­
d a n t q u ’il cherche aocès a u x m atières
p rem ières d u bassin d an u b ie n . A yant
consolidé sa position d a n s ce bassin,
il p o u rra avec l’aid e de l’Italie et d u
Japon, ses alliés, te n te r l’exécution du
p ro g ram m e si claire m e n t an n o n cé d a n s
« Mein Kam pf » et to u rn e r son a tte n ­
tio n vers l’ouest. »
400 visitenrs français sont
actuellement en Allemagne
B erlin , 22 septem bre.
400 F ra n ç a is, m em bres de l'A sso­
ciation de la P ro fessio n fra n ça ise, se
tro u v en t actu ellem en t en A llem agne
s u r l’in v itatio n du d o cteu r Ley, cnef
du F ro n t du T ra v ail allem an d . Ils
so n t divisés en 17 g ro u p es pro fessio n ­
nels d ont q u elques-uns v ien n en t d ’a r ­
riv e r à B erlin.
Le groupe n av ig atio n a visité H am ­
bourg et ses environs. Le so ir ils
on t été les hôtes de la Société f ra n ­
co-allem ande où ils o nt été reçu s p a r
le co n tre-am iral C lausen, vice-prési­
dent. D ans son allocution le contrea m ira l C lausen a so u lig n é que les
vieux an tag o n ism es en tre la F ra n ce
et l ’A llem agne o n t d isp a ru et s ’est
prononcé p o u r la co llab o ratio n des
deux pays.
UN POLICIER PARISIEN PARU SOCIAL FRANÇAIS
TUE SA FEMME
DIMANOHE 1 OCTOBRE
BLESSE SON FILS
CONGRES REGIONAL
DU
PARTI
SOCIAL FRANÇAIS
ET TENTE DE SE SUICIDER
D’AUVERGNE
P a ris, 22 eeptem bre.
Au n ° 119 de la ru e B roca, u n
b rig a d ie r de police a tu é sa fem ­
me à coups de revolver et biessé
grièv em en t «on fils. Le com m issaire
de police du q u a rtie r de la G are a
ou v ert u n e enquête.
Le m e u rtrie r A lb ert-F ern an d M a­
gne, né à P a r is le 9 novem bre 1896
in flig e ait depuis fo rt longtem ps A
sa fem m e Louise, âgée de 40 an s, et
à son jeu n e fils Jean-A lbert, garço n
ch a rcu tie r, âgé de 16 an s, de lon­
gues scènes de violence. Comme a
l'h a b itu d e , le b rig a d ie r de police
é ta it re n tré ce so ir à 19 h eu res chez
lui en com plet é ta t d ’ivresse.
Il ch erch a querelle à sa femm e et
v o u lu t la fra p p er, q u a n d son fils
s ’in terp o sa. L âc h an t prise alo rs, le
b rig a d ie r s’en fu t ch erch er son re ­
volver d an s la salle à m a n g e r et re ­
v in t de p lu s en plus furieux, v isa n t
sa femme. Celle-ci cep en d a n t p a r ­
v in t à g a g n e r l ’an tich am b re, puis
le p alier, oùù elle fu t a b a ttu e
à
coups de revolver.
Police-Secours fu t alertée et lo rs­
que les agents du q u a rtie r de la
G are a rriv è re n t su r les lieux, ilß
tro u v è re n t d an s la cuisine le b rig a ­
d ie r M agne b a ig n a n t d an s 6on san g ,
a tte in t de deux coups de feu q u ’il
s ’é ta it tiré s d a n s la tête.
Le b rig a d ie r fu t tra n sp o rté à la
M aison des g ard ie n s de la p aix où
il se tro u v e actu ellem en t d an s le
coma.
Q u an t a u jeu n e Je a n A lbert, qui a
été a tte in t a ’une b alle à la joue,
bien q u ’é ta n t grave, 6on é ta t n ’in s ­
p ire pas d ’inquiétude.
Les ren seig n em en ts s u r le b rig a ­
d ie r M agne recueillis ta n t au p rè s des
vo isin s qu’a u p rè s de se chefs so n t
au ssi m a u v ais que possible.
800 anciens combattants
allemands à Londres
LA BULGARIE
a reconnu officiellement
le gouvernement nationaliste
espagnol
Sofia, 22 septem bre.
Le g o u v ern em en t b u lg a re a publié
le com m uniqué su iv a n t :
« Le g o u v ern em en t b u lg a re et le
g o u v ern em en t n a tio n a liste espagnol
o n t conclu u n accord selon lequel le«
deux paya se ro n t rep résen tés l’un
au p rè s de l’a u tre p a r des ag en ts gé­
n éra u x jo u is s a n t des m êm es droits
que les chefs de« m issions d ip lo m a­
tiques. »
L ondres, 22 septem bre.
800 an cien s co m b attan ts allem an d s
a rriv é s A L ondres a u jo u rd ’h ui o n t
été reçu s à W estm isster Halfl, p a r
300 an cien s co m b attan te an g lais.
S tr T h o m as In sk ip le u r a so u h aité
la bienvenue en d é c la ra n t que c h a ­
cu n espère v o ir la réu n io n de Godes­
berg a b o u tir à un règ lem en t ju ste et
.pacifique de la crise actu elle.
A U J O U R D ’H U I
— Gaspiller de nouveaux trésors dans
une nouvelle guerre plue sévère que la
F it e d so u h a ite r : S a in t P a c ifiq u e .
/dernièr eserait certes, a-t-il ajouté, une
— L e v e r d u so leil 5 h. 39 ; co u ch er
hum iliation et un désastre pour la race
hum aine. J ’espère que vous rentrerez 17 h. 47. L e v e r de la lu n e 5 h. 10 ;
Rome, 22 septem bre.
Rome revendique l’iio n n eu r d ’av o ir dans votre pays après avoir affermi de c o u c h e r 17 h. 15.
porté le coup décisif à la T chécoslova­ nouvelles am itiés et oublié les vieilles
quie. En effet, l’acceptation d u p lan querelles.
PHARMACIENS DE GARDE
Rome chante victoire
de Londres p ar lo C abinet tchécoslova­
que est présentée A Rome com m e une
grande victoire m u sso ’lnlenne.
l a renoncem ent de P ra g u e dlt-on a
Rome consacre le trim p h e de la p o li­
tique révisionniste e t de la d ip lom atie
fasciste.
La presse exulte et le to n de ses com ­
m en taires est p arfo is a g re ssif : T outes
les hésitations et la résistance affirm et-elle se brisero n t co n tre la volonté des
p u issan ces de l’ax e.
« Q u’on ne se m ép ren n e pas, écrit
en p a rtic u lie r «la T rihunn, les rev en d i­
catio n s polonaises et hongroises n ’ont
p a s seulem ent été présentées su r le m ê­
m e plan que celles des S udètes p a r
la volonté des deux p ay s prêts A com­
b a ttre et A vain cre p o u r la bonne cau ­
se, m ais aussi p a r la so lid arité que
l’A llem agne et d’Italie on t ouvertem ent
m anifestée.
« M ussolini a rem p o rté u n e g ra n d is­
sim e victoire. »
L’inquiétude en Roumanie
Les Chinois résistent
à la poussée japonaise
sur Hankéou
H an k éo u , 22 septem bre.
Le« tro u p es chinoise« résisten t vic­
to rie u sem e n t à la poussée ja p o n aise
su r H ankéou. S u r le fro n t n o rd du
Y ang-Tsé n o tam m en t, elles o n t ré­
occupé la ville de Sine-C hang.
D’a u tre p a r t, s u r le fro n t d u F le u ­
ve Ja u n e , d an « l’extrêm e nord de la
p ro v in ce d u H onan, les fra n cs-tireu rs
ch in o is o n t coupé le chem in de fer
d e Tao-K ing, em b ran ch em en t vers
l ’est de la lig n e de P ék in A H ankéou,
m e tta n t ain si en d a n g e r les com m u­
nication« jap o n aises.
B ucarest, 22 septem bre.
L ’atm osphère roum aine e st depuis
tro is jours inquiète et nerveuse. On
re sse n t ici des appréhensions encore
vagues m ais chacun veut prendre ses
précautions. L’opinion, déçue p a r les
événem ents de P rague, su it atten tiv e­
m e n t le développem ent du conflit
tchécoslovaque tout particulièrem ent
en oe qui concerne les revendications
m ag y ares.
On s a it en effet qu ’il a un nom bre
Im p o rtan t de H ongrois en Roum anie.
Toutefois, les nouvelles répandues
par certain s milieux intéressés con
c e rn a n t le développem ent de m esures
de ca ractère m ilitaire s u r le territoire
ro u m ain so n t com plètem ent inexac­
tes. et so n t dém enties catégorique­
m e n t p ar les cercles officiels.
Réunion des ministres anglais
L ondres, 22 septem bre.
L es m e m b re s d u G o u v e rn e m e n t,
q u i s ’é ta ie n t ré u n is a u F o re ig n Of­
fice a q c o u rs de l’a p rè s -m id i, av ec
L o rd H a lifa x , S ir S a m u e l H o a re ,
S i r J o h n S im o n , S ir T h o m a s In sk ip e t M r M alco lm M a c d o n a ld , « o n t
s o r tis à 17 h. 30, a p rè s a v o ir co n fé ré
p e n d a n t p lu s de 2 h e u re s .
Il e s t p ro b a b le q u e le s p rin c ip a u x
m in is tr e s se r é u n ir o n t de n o u v e a u
d a n s la s o iré e a fin de p re n d r e co n
n a is s a n c e d es m e s s a g e s a tte n d u s de
G odesberg.
Entrevu« entre syndicalistes
anglais «t français
L ondres, 22 septem bre.
[<*
Les m em bres d u C ongrès dea T rad e
I ^ u n i o n s et les re p rése n ta n ts d u Conseil
ex écu tif du p arti tra v a illiste o n t q uitté
ce m a tin à 10 h. 55 l’aéro d ro m e d e Hosto n à d estin atio n du Bourget. lis se
ren d en t à P a ris pour a v o ir de nouveaux
en tretien s avec les g ro u p es so cialistes
e t sy n d ic a u x
P a r i« , 22 se p te m b re .
A l ’toeue d ’u n e r é u n io n c o m m u n e
e n tr e les d é lé g u é s s y n d ic a u x a n g la is
e t f r a n ç a is u n c o m m u n iq u é a été p u
bUé d is a n t n o ta m m e n t :
Las représentants des Trade-Unigot
Le Japon n’enverra pas
de représentant à la S. D. N.
Tokio, 22 eeptem bre.
Le général U gaki, m inistre des Af­
faires étran g ères, n adressé ce m atin
à M. Avenol, seorétaire général de la
S. D. N., un télégram m e lui expri­
m ant les reg rets q u ’éprouvait le Ja]X>n de ne pouvoir accepter l’invitaHion qui lui a été faite a ’envoyer un
rep résen tan t au p rès du Conseil, pour
l’exam en de la requête chinoise
Soixante personnes attendaient
dans l’antichambre de la guérisseuse
Albi, 22 septem bre.
A la suite de d én o n ciatio n s et d ’une
p lain te déposée p a r le sy n d icats des
M édecins d ’Albi, la 8* brigade mobile
de Toulouse a effectué une enquête
su r les agissem ents de la d am e Vieu,
g uérisseuse, à la Brèche, près d ’ALbl.
Quelle ne fut pas la stupéfaction des
policiers lorsque p én é tran t d a n s l’a n ti­
ch am b re ils se sont trouvée en présen
ce d ’une so ix an tain e de personnes dont
les fig u res défaites, les pansem ents, les
gém issem ents an n o n çaien t q u ’il s ’alésait de clients. C ertains é ta ie n t deout, d ’a u tre s é ta len t assis, d ’a u tre s e n ­
fin étaien t éten d u s s u r ls sol, m ais
tous a tte n d a ie n t avec confiance que la
th a u m a tu rg e veuille bien so u lag er leu rs
m a u x et su b v en ir à leurs m isères. Et
Mme VIeu inlassable, Im posait les
m ain s et a d m in is tra it des form ules ca­
balistiques.
La gu érisseu se a in si prise en fla g ra n t
délit d ’exercice illégal de la m édecine
et de p lus en état de récidive a été lon­
guem ent Interrogée ain si que son / grotan te clientèle.
L 'affaira a été tran sm ise a u P a rq u e t
S
et de la C.G.T. se «ont m u tu ellem en t
inform és su r la position de leurs org an lsatio n s e t ont procédé d an s le p lus
cordial esp rit à un échange de vues
oomplet s u r la situ atio n in te rn a tio n a ­
le Après cet entretien le b u reau d« la
C.G.T. réu n i à nouveau a décidé d ’ef­
fectuer des d ém arch es au p rès d u Gou
vernem ent français.
In d iq u o n s p a r a ille u r s crue cette
d é m a rc h e a é ra
(v ra ise m b la b le m e n t
e ffe ctu é s ‘d em ain*
uTr.lV W ,5» -*» '■»
de 12 h. 16 à 13 h. 46
Mlle C harles, b oulevard Lavoisier.
MM. Chibret, ru e Saint-H érein.
P ascal, b o ulevard L afayette.
SERVICE DE NUIT
MÉDECIN. — T éléphoner a u x pom ­
piers, n* 18.
PHARMACIEN. — (M. Billot, 17, ru e
Sainte-C laire.
LA JOURNEE
14 h., 18, ru e P ascal, Ligue de la
Mère au Foyer.
18 h., 61, rue M ontlosier, Amicale des
ancien s ouvriers et em ployés M ichelin.
20 h., Café Vazeîlle, Cercle d ’échecs.
20 h„ 2, rue G aultier-de-B iauzat, Ra­
dio-Club d ’Auvergne.
20 h., 62, rue B allainv illiers, cours de
p rép a ra tio n m ilitaire.
21 h., H alle aux Blés, cours profes­
sionnels de coiffure.
—
---------------------
La R égion d ’A uvergne du P a rti So­
cial F ra n ç a is tien d ra le dim anche 2 oc­
tobre 1938 son deuxièm e congrès de­
pu is la fondation d u P arti.
ü n se rap p elle que l’an d ern ier, le
prem ier Congrès régional d u P.S.F.
a v a it e u lieu à Châtel-Guyon, D avayai
et Saint-Pourçain-sur-Siouie devant une
afflu en ce considérable.
Cette année de Congrès se déroulera
A M oulins (séance d ’étude, b an q u et et
réunion) et & C lerm ont-Ferrand où
l ’après-m idi, à 15 h, 45, se tie n d ra d ans
la salle de la M aison d u P euple un
g ra n d m eeting privé.
Charles Vallln, délégué g én éral â la
pro p ag an d e pour da F ran ce e t les Co­
lonies, m em bre du Comité exécutif, can­
d id a t du P a rti Social F ran çais à l ’élec­
tion législative du IX* arro n d issem en t
de P a ris, p re n d ra la parole à cette
im p o rtan te m anifestation.
Au m om ent où la gravité d e la situ a ­
tio n ex térieu re et les difficu ltés in té ­
rieu res ren d en t plus urgentes que ja ­
m ais la réconciliation et l ’union de tous
le P a rti Social F ran çais fa it appel a
tous les F ran çais p atrio tes et sociaux
pour q u ’ils v ien n en t affirm e r leu r vo­
lonté de v o ir e n fin assu rée la p a ix so­
ciale e t la p aix ex térieure.
Note im portante. — P o u r to u s ren sei­
gn em ents e t p o u r les cartes d ’entrée
s ’ad resser ou écrire a u P .S .F., 14, place
Chapel'le-de-Jaude, téléphone 63-39.
PROGRAMME
DU 00N Q R E 8 REGIONAL P .8 . P.
DU 2 OCTOBRE 1938
MOULINS (Allier. — 8 h. 30, salle de
l’A rtistic-C inêm a, place G aribaldi :
Séance de trav ail.
12 h., Hôtel de l ’A griculture, banquet.
14 h., iMeeting privé à M oulins.
CLERIMONT-Fd. — 15 h. 45 salle de
la M aison du Peuple, g ran d m eeting
privé.
OANTON SUD OE CLERMONT
• 9 . 38 S
LA 7ïRSÎïTÏÏTïïTïïïïïïïTEnïïTnïï5ïîWïJ
FAITS DIVERS
A
S A IS O N j
CLERM ONT
Trouvaille
D ans le c o u ra n t du m ois d ’avril
AU GA8INO
d e rn ie r fu t tro u v é à C lerm ont tro is
titre« de ren te et u n bon d u T résor.
AUJOURD’HUI
L a p ersonne q u i a p erd u ces va­
De 11 à 12 h eu res ; de 16 à 17 h. 30,
le u rs p eu t les réc lam e r à la S û reté e t de 2 0 h. 30 à 22 h e u re s : C oncerts
Clerm ontoise d a n s les locaux du habituels.
, .
.
C o m m issariat ce n tral à la m airie.
A 17 heu res : Thé d a n sa n t.
A 20 h. 45, ciném a : B a c c a r a , avec
M arcelle C hantai, Lucien B aroux, Ju 'e s
B erry.
A 22 h eu res : Soirée dan san te.
----------- f + 4 -----------
D A N S LA R É G IO N
Un tué et plusieurs blessés
dans un accident d’auto
GRAND CONCERT PAR L’HARMONIE
« LES ENFANTS DE CHAMALIERE8 s
A 15 h. : M atinée d a n san te.
Au ciném a, m atinée à 15 h., soirée a
20 h. 45 : Tarass Doulba, avec H arry
B aur, D anielle D arrieux, L arquey
A 21 h. : Soirée d a n san te avec le Jazz
P éro n n in e t son ensem ble.
Jeu de la Boule. — Café G lacier. —
Dancing. — B accara.
Un car assu re 'a liaison en tre Royat
et C lerm ont toutes les dem i-heures à
p a rtir de 22 h. 30 ju s q u ’à la ferm eture
du Casino.
AU MONT-DORE
AU CASINO
Un garçonnet a la tête écrasée
par un camion
Vichy, 22 septem bre.
A 15 h. 15, h ie r, en tre les villages
de Bois-R andenez et Le P e rra u lt,
com m une de B ru g h eas, u n jeu n e
g arço n c irc u la it à bicyclette, por­
ta n t s u r le cad re de celle-ci u n a u tre
enfant.
Au m om ent où le cycliste s ’est a r ­
rêté le second est tom bé s u r la
chaussée et a eu la tête écrasée p a r
la ro u e d ro ite a rriè re d ’u n cam ion
ch arg é de sabie, co n d u it p a r le
---------------------------------------------------------------- e-------------- - ch a u ffe u r F e rd in a n d P a ro d a , a u ser­
vice de M, G riffet, en tre p re n e u r de
tra n s p o rts à Vichy.
L a victim e, R obert Momos, dem eu­
VOUS L ’A C H ETEREZ POUR DIX ANS
LAVABLE, IR R ET R E C ISSA B LE , Gtl T E IN T r a n t au Bois-R andenez, é ta it âgée
CLBRMONT-Fd I 5 bit, RUI DES ORAt de 12 ans.
Une enquête est ovverte p o u r é ta ­
-b lir les responsabilités.
CINEMA PARLANT. — M atinée à 14
h. 30, soirée à 20 h. 30. P ie rre L arquey,
R oland T outain d a n s Trois artilleurs
en vadrouille avec M arguerite P ierry ,
(Marcel Sim on.
Un film d ’u n e folle gaîté où les si­
tu atio n s com iques abondent.
Café glacier. — Jeu de la boule.
—
U iH E tcH E G tV E
THEATRE MUNICIPAL
Nous avons donné d ern ièrem en t un
aperçu du program
rogra m e du Cycle Ch.
Baret, saison 1937-1938.
Ce program m e contien t d ’excellentes
soirées. Lea priucJfew d ont s ’inspire,
chaque hiver, la célèbre firm e pour
élaborer son rép erto ire d u Cycle res­
tent les m êm es.
1° C hercher à te n ir a u co u ran t, le
m ieux q u ’il lui est possible, le public de
nos provinces du m ouvem ent littéraire,
d ram atiq u e de l ’année et de lui resti­
tuer, entre tem ps, les chefs-d’œ uvre des
époques passées
2° T rav ailler pour d o n n er aux pièces
choisies l’in terp ré tatio n la plus hom o­
gène ett la m eilleure que l ’on puisse
tro u v er
3° Lorsque ln chose est possible, pro­
d u ire des vedettes éprouvées dans les
pièces où elles se sont m anifestées.
P o u r donner plus d ’a ttra it à leurs
spectacles, les T ournées B aret ont con­
fié ti M. Emile B ertin, le célèbre pein­
tre officiel de la Com édie-Française, du
Chfttelet, du T héâtre Baty, etc., le soin
de brosser des décors pour chaque piè­
ce et a ssu rero n t ainsi à leurs rep résen ­
tatio n s une décoration égale à celle de
la création.
C lôture irrévocable de la souscription
sam edi 1er octobre.
P our tous renseignem ents, s ’adresser
au bureau de location du th éâtre m u
niclpal, h p a r t ir de m ardi 27 septem bre,
de 11 h 30 h 19 heures
A Tulle, un repris de justice
blesse grièvement deux passants
Tulle, 22 septem bre.
Hier soir, vers 21 heures, le nommé
Capoen, 28 ans, m anœ uvre à Tulle,
titulaire de plusieurs condam nations
et ancien colon d ’une m aison de cor­
rection, se prit de querelle d an s un
café de Tulle avec d ’au tres consom ­
m ateurs. Ceux-ci ay an t pris peur à
la suite de m enaces proférées nnr Ca
poen, s ’enfuirent p ar la fenêtre.
Celui-ci les ßuivit et croyant se trou­
ver en leur présence porta des coups
de couteau à deux prom eneurs inof­
fensifs : Albert Dumaine, 17 an s, étu­
diant, et V inatier, 17 ans, com mis
boucher, qui passaien t juste à ce m o­
m ent devant le café.
M. Dumaine, qui a cinq perfora­
tions de l'intestin, est d ans un état
désespéré. Son cam arade est blessé
au bas-ventre. Le m eu rtrier a été a r ­
rêté.
—
•
TRIBUNAL CORRECTIONNEL
DE CLERMONT
P résid en t j M. Fontfreyde.
M inistère public : M. Sim êon, subs­
titut.
Police des étrangers. — P lu sieu rs
m usiciens d ’un g ra n d café, d ’origine
italienne,
av aie n t négligé de se m u n ir
Union Musicale
de ia c arte d ’identité dTétran g er régle­
et Chorale de Saint-Jacques
m entaire.
Us sont condam nés chacu n A 1 m ois
Voici la fin prochaine des vacances de prison et 100 fr. d ’am ende.
aussi bon nom bre de sociétaires et
D éfenseurs : iM* Ma brut, M* C alam y,
Docteur DEVAL rentré
d ’élèves nous reviennent enchantés de du b arreau de Thlêrs.
>
reprendre leu r habitudes. Ils savent
x Le C hinois Li rché T ieng, m a r­
q u ’ils tro u v ero n t un accueil am ical au chan d am bulant, refoulé plusieurs fols
N É C R O L O G IE
sein de notre groupem ent et que l ’étu­ du territo ire français, se retrouve, com­
de du c h an t choral et de la m usique m e par h asard en Auvergne.
M. A ntoine CHAMBRIARD. — Nous in stru m en tale sera pour eux un délas­
Il est condam né à la m êm e peine que
ap p ren o n s, avec un vif regret, la m ort sem ent agréable à leurs soucis et tr a ­ les précédents.
vaux
scolaires.
Les
répétitions
de
la
de M. A ntoine C h am b riard , industriel
Em ploi de la m ain-d'œ uvre étrangère.
à B rioude, an cien p résident du T rib u ­ chorale et de l ’orchestre recom m encent — La com m erçante qui a v a it em ployé,
a
u
jo
u
rd
’hui
ieudi
22
septem
bre,
à
17
nal de com m erce, père de M.
P aul
sans se m ettre en règle avec la loi. les
C h am b riard , d irecteu r gén éral de la heures, au siège. Il im porte que tous m usiciens sus-indiqués est condam née
assisten t à cette réunion en vue des à deux am endes de 50 francs avec bô
société anonym e P au l C ham briard.
M. A ntoine C h am b riard laissera dans futures m anifestations de la saison. néfice du sursis.
la région de B rioude, où 11 était connu Section chorale : nouveaux chœ urs à
D éfenseur : M* Calam y.
de tous, le so u v en ir d 'u n tra v a ille u r l’étude, section orchestre, constitution
Un philosophe. — Léon Coste, 46 ans,
e x tra o rd in aire . C’était le mot qui reve­ de qu atu o rs pour les prochaines com- o rig in aire de St-Plerre-la-B ourlhonnê
n a it su r toutes les lèvres lo rsq u ’on ap ­ jétitions, concours, radio brochet, etc. est le type du poivrot invétéré, crasseux
nscription des nouveaux élèves pour
p rit son décès.
ais jovial. P oursuivi p our ivresse «n
F o n d ateu r de l'im p o rta n te m aison qui le solfège, chant, violon, piano, m a n ­ m
doline,
accordéon, banjo, etc. H eures récidive et condam né par d éfau t à 2
porte son nom et q u ’il a v a it dévelop­
mois de prison et 2 ans de privation
pée p atiem m ent, sû rem en t et avec mé­ des cours comm e suit :
Q uartier Saint-Jacques : les Jeudis, de ses droits civiques, il a fait opposi­
thode, Ju sq u 'à lui d o n n er la prem ière
lace p arm i nos in d u stries régionales, à 17 heures, salle des Loisirs-Ciném a. tion Vous avez déjà été condam né cino
[. A n n tn e Chnrr,briard n ’av ait pu se rue du D octeur-Vigenaud ;
Q uartiers de Loradou, La Raye-Lieu, fois pour ivresse • rem arque le p ré ­
d é sh ab itu er de la vie active et fatigante
^
_
qu i a v a it été la sienne p e n d a n t de lon­ L achaux : les lundis salle particu lière sident.
t ü h t proteste Coste, p our avoir bu
du café C ram oisi, Boule des Cham bretgues années.
1»
A un âge où d ’a u tre s se reposent de tes, à 16 h. 30 et salle du café Lebourg, un, canon
Vous avez fait opposition au der
le u r tra v a il a n té rie u r et Jouissent dans route d ’Aubière, à 19 heures.
n ier jugem ent p a r défaut, poursuit le
-- président, q u ’est-ce que vous dem an
le calm e d ’une re tra ite bien m éritée,
lui ne pouv ait s ’a rra c h e r A l’activité
dez T »
fébrile des ch a n tie rs q u ’il a v a it si long­
DONS GENEREUX
« C’est comme vous voudrez m on pré
tem ps surveillés et dirigés.
sldent.
»
M. le M aire a reçu :
Et lorsque l’âge et la m aladie lé for­
Vous avez déjà été condam né t
De quêtes aux m ariages du 29 août s 2 «m oi
cèrent. co ntre sa volonté, à m odérer
9 de prison, observe M Fontfrel
son activité. 11 rem it la ch arg e et les 78 fr 35 pour 1<* B ureau de bienfaisance. de, vous ne voudriez pas, tout de mê­
soucis de la direction de son affaire
De quêtes aux m ariages d u 1*» au me. av o ir m oins cette fols. •
en tre les m ain s de son fils, revenu du 16 septem bre : 903 fr. 60 p our le B ureau
Coste, qui ne veut pas s ’épuiser en
fro n t avec le g rad e de chef de b atail­ de bienfaisance.
controverses, ne répond plus. Il se con­
lon et 1e m ag n ifiq u es citations. Il n ’en
M. le M aire a rem ercié et fa it parve­ ten
te de so u rire en h a u ssa n t les épau­
c o n tin u a p as m oins à s’in téresser acti­ n ir ces frommes à destination.
les d 'u n a ir résigné.
vem ent à la m arche q u o tid ienne du
------------------------Le Jugem ent p a r défaut est confirm é.
tra v a il d an s l'u sin e, su p p léan t fré­
P en d an t deux ans la France ne p o u r
quem m ent son fils et le rem plaçant
ra pas co n n aître l’av is de l’électeur
à ia directio n p e n d an t les fréquents dé­
Coste su r les graves problèm es Intéres­
placem ents que nécessite a u jo u rd 'h u i
sa n t sa destinée ; ce q u i est vraim ent
ia conduite d ’une grosse en trep rise in­
déplorable...
dustriellenous donne ton aris
Affaire de m œ urs. — L’Espagnol EsSous un abord un peu froid. M. An­
te bas M..., 32 an s. o u v rier m açon
toine C ham briard, qui é ta it la sim pli­
t
u
h
J
O
U
V
E
N
C
E
est accusé d 'a v o ir fait des exhibitions
cité même, c ach ait une g ran d e servia­
bilité. 11 n ’est ja m a is resté Insensible
im m orales en présence de fem m es et
i*
»
A
B
B
É
S
O
U
R
Y
à l'in fo rtu n e .
d ’enfants.
Les électeurs co n su laire s le porté
Il est condam né 8 15 m ois d e prison
(VOIR «N DERNIERE PAGE)
re n t un Jour, sp o n tan ém en t, su r une
avec sursis.
liste et il fut élu Juge, puis président
D éfenseur t M* Hobin.
du T rib u n al de com m erce de Brioude.
Artifice dangereux. — 8... Ernest, 35
Il exerça ces fonctions avec intelligen
ans, in gén ieur éiectriolen, a y a n t A fai­
ce, in tég rité et dignité.
Une victoire d« Peter Kan«
re un séjour à A ulnat obtint un crédit
Q u’il nous soit perm is, d an s cette
d ’un hôtelier de cette localité en don­
douloureuse circonstance, d ’associer nos
Liverpool,
22
septem
bre.
n an t com m e sienne ia voiture q u 'il con
respectueux et sincères sentim ent» de
d u isatt et qui ne iul « p p a rte n ü t pas.
Au
cours
d
’un
m
atch
com
ptant
p
o
u
r
condoléances à toutes les expressions
de sy m p ath ie q u 'o n t d éjà dù "eoèvctr le cham p io n n at du m onde des poids A yant apporté quelque retard 4 solder
Mme A ntoine C ham briard, ses en fao ts m ouche, l ’A nglais K ane a b attu le bo­ sa note d hôtel, l’hôtelier déposa p la in ­
te contré lui. D epuis la to m m e p u e a
x e u r Ju rlch au x points.
, et toute la famille.
&
TANTE ANNIE
“i J : *
extraordinaire du S.P.F. d f W Ä Ä
1 V.u PIm portance de cette réunion et
de la discussion qui suivra, nous DTlon&
in stam m en t tous les cam arades S P F
à b ien vouloir y assister.
Films visibles en famille
LES El
Ja m e d i 24 courant, à 10 heures, per­
m an en ce au siège, 10, rue de la Treille.
(sum DB
C. G. T.
UNION DEPARTEMENTALE
DES SYNDICATS
C ongrès d es 24 et 25 septem bre
P a r d écision de la com m ission exé­
cutive ré u n ie le m a rd i 20 septem bre,
vu le nom bre im p o rta n t de délégués
qui rep résen tero n t leurs syndicats au
congrès de l ’U nion in terd ép artem en tale
des sy n d icats seuls les délégués régu­
lièrem en t m a n d atés sero n t adm is d an s
la salle du congres. Le bu reau de l ’U­
n io n in v ite ra à titre au d itif ies secré­
ta ire s des U nions départem entales voi­
sin es a in s i que quelques cam arades
a y a n t p articip é à l ’activité de l ’Union
et qui s'in téresse à la vie de celle-ci.
Une com m isison a été désignée pour
réd ig er sous le contrôle du bureau du
congrès les com m uniqués qui seront re­
m is a la P resse. Nous p rions nos cam a­
rad es syndiqués de se conform er à ces
in stru ctio n s et de bien vouloir ne pas
se p résen ter au congrès s ’ils ne sont
pas délégués. P a r contre, nous les ap­
pelons à assiste r a u m eeting de ce
so ir 23 septem bre, à 20 h. 30, 4 la
M aison d u P eu p le p o u r entendre le
c am a rad e B othereau, secrétaire de la
REX. — H ollywood-H ôtcl.
PERMANENCE
VOX. — Le tunnel, S u r les ailes de
Suite a u x in s tru ctio n s qui ont été en­
voyées au x sy ndicats. Nous inform ons
la danse.
les délégués que les perm an en ces or­
ganisées p a r l ’U. D. le sam edi m a tin
se tie n d ro n t à la M aison du Peuple.
T résorerie. — A la p erm an en ce de
l’U. D.
C om m ission économ ique. — Salle
deuxièm e étage.
R enseignem ents p o u r séjour. — Salle
Cet a rtic le a é té é c rit p o u r v ous
deuxièm e étage.
Une d ouleur sourde a u côté droit,
Conseil juridique- — S alle d u conseil
s ’éten d a n t jusque d an s le dos et ju rid ique, p rem ier étage.
l ’épaule (bretelle hépatique), une dou­
Le com ité de diffusion. — Le com ité
leur vive sous les fausses côtes droites, de diffusion tie n d ra sa perm an en ce
provoquée p a r la palpation ou p a r un d ans son local, place de la Liberté.
m ouvem ent brusque, ne laissent aucun
Nous insistons au p rè s de nos c a m a ra ­
doute s u r le u r origine. Il y a conges­ des délégués p o u r q u ’ils u tilise n t ces
tion du foie. Voici quelques-uns des perm anences et év iten t d 'o ccu p er les
au tre s sym ptôm es qui accu sen t votre m ilitan ts p e n d an t les tra v a u x a u con­
foie : les m igraines, nausées, vertigos, grès.
vom issem ents, troubles visuels, dém an­
geaisons de la peau, une constipation
BATIMENT ET BOIS
o piniâtre a lte rn a n t avec des crises de
O om m lssion paritaire. — Les c a m a ra ­
d ia rrh ée épuisante, du ballonnem ent,
des gaz, une am ertum e de la bouche, des com posant la com m ission p a rita i­
La langue chargée, l ’h aleine forte, te re se ré u n iro n t ce so ir vendredi 24 tein t terreux, les yeux jau n es, une n er­ courant, à 17 h. 30, à la perm anence,
vosité extrêm e, des idée6 nôtres, une la com m ission p a rita ire se ré u n ira 4
.
g ran d e fatigue, de l'insom nie, une 18 heures.
sensibilité exagérée au froid. Tous ces
m alaises, bien différents en apparence,
SYNDICAT
d is p a ra îtro n t du m êm e coup lorsque
DES PATISSIERS-CONFISEURft
vous prendrez de l ’Hépascol François,
M odification à la con ven tion oolleole g ran d rem ède n atu rel du foie. En
tive. — Les cam arades m em bres de la
voici la preuve :
« Je «ouffrais beaucoup d an s le côté délégation ouvrière sont inform és q u ’u ­
nouvelle entrevue doit a v o ir lieu
et le rein d ro it — écrit M. M..., à T... ne
(M arne). — L'Hépascol F rançois m 'a ce soir vendredi, café Brousse, 4 20
com plètem ent soulagé. J ’ai été déb ar­ h. 30
rassé en même tem ps de m a consti­
SYNDICAT DE LA METALLURGIE
pation e t d 'u n e foule de m alaises ». —
Lettre F. 610.
Section d es Anoize*
L’Hépascol F rançois d o it sa grande
D im anche 18 co u ran t, le S y n d icat
efficacité à sa form e liquide concen­
trée. Les résu ltats sont sensibles dès ch ié tle n de la M étallurgie des Ancizes
La prem ière sem aine et vont ensuite av ait organisé, à C hapdes-B eaufort, u ne
en s ’accen tu an t ju sq u ’à disparition ré u n io n p our les a d h é re n ts h a b ita n t
com plète des douleurs e t m alaises. Le cette localité.
La réunion e u t lieu d a n s la salle d u
caractère lui-m êm e se m odifie et de­
vient plus gai. L’Hépascol F rançois rai S yndicat agricole, m ise g rac ie u se m e rt
une préparation entièrem ent végétale ; à notre disposition, sous la présidence
il n 'a aucune contre-indication. Toutes des cam arad es Revol, p résid en t du
pharm acies : 12 fr. 50 le flacon ; Syndicat ch rétien de la M étallurgie, et
Chassefière, de l’Union Locale de Cler­
19 fr. 75 le double flacon.
m ont-F errand, et Mlle Gilles, secré­
taire.
Une q u a ra n ta in e de c am a rad es Jeu­
nes e t enthousiastes avaier.t répondu
à l ’appel.
Après diverses questions d 'o rd re tech ­
NOVILTV. - M t tt : Voleur do Pommo«,
le ro m a n do P ie rr e F ro n d a i* . a r e c Ju ie» nique, les cam a rad es présents fu re n t
vivem
ent intéressés p a r 1 exposé a u
B e rry , A n n ie D u c au x , J e a n M ax, S a tu rn in
F a b re . G ilb e rt G tl. S u ia n n e Deopre». U lan délégiw: de l’Union Locale d# Clerm ontc b f tte B ru n o y e t M arie Lou. - ü n p o in g ... F erran d su r la position de la C. F.
T. C. en face des au tres o rg an isatio n s
Ooet tou t, a r e c F r a n k ie D a rro , K ane R lcb
m o n d , J a c k L a R ue e t F r a n c e G ra n d . - syndicales et dos événem ents aotuvls.
Le» A ctualité* m o n d ia le » P a ra m o u n t.
Après l’inscription de nouveaux a d h é­
OAPITOLS. — 90 h. 46: Orage, av ec C h a r­ rents, la séance fut levée d an s u n e n ­
qui prom et de g ra n d s
les B o y er, M ichèle M o rg a n , L ise tte L a n r ln thousiasm e
e t J -L. B a r r a u lt. — Leo Oaloté* do l'Xapo- espoirs.
iltio n av ec D uvallèa. R a y m o n d C o rd y . Fé­
Bonne Journée pour la C. F. T. C. des
lix O u d a rt, E tc h e p a re e t P a u lin e C arto n Ancizes.
LE COTÉ DROIT
VOUS FAIT MAL ?
DANS LES CINEMAS
A c tu a lité » P a th é -J o u rn a l.
RIALTO. — 20 h. 30: Un an «ou» l’oocu
potion d 'a p r è s B olssière, le ro m a n de P ie r ­
re B en o it a v ec P ie rr e R e n o ir, S p ln e lly . Lu
c len N a t, S u r a n n é D esprès. J e a n Y onnel,
P a u lin e C a rto n , e tc ... — Ohlpée, u n film
fo lle m e n t g a i a v ec V icto r B o u ch e r e t Su­
z a n n e D eh elly .
OAMSO. - 80 h . *5: P lils e t T a b e t d a n s
Toi o ’oet m ol, av ec A n d ré B erley , C la u d e
M ay, B a ro n fils, J u n le A ster, P a u lin e C a r­
to n , S a tu r n i n F a b re , H e n r i’ G a ra t. L ise tte
L a n v in . R o b e rt A rn o u x dan * ün * fom m*
a u volant.
VOX. — 80 h. 45: Sur lo* alio* d* la danao
avec F red A *talre. G in g e rs R oger*. — Tunnol a v ec J e a n G a b ln , M ad e le in e R en a u d ,
A n d ré N ox,
R a y in o n d e A lla ln ,
L e v lg a n ,
P h ilip p e R ic h a rd B ertie , V ictor V ln a e t
P ie rr e N ay . — D ern ière* a c tu a lité s P a th é J o u rn a L
O lN B M O N Dt. — P e r m a n e n t de 14 heure*
a m in u it: B ichon, la pièce de J e a n de Let r a z av ec V ic to r B o u ch e r, M a rg u e rite De val.
M arcel V allée. J e a n n e L o u ry , R iv e ra C adet
e t D elly D avl» La oourl* b leu e avec
H e n ry G a ra t, J e a n n e A u b e rt. M ire ille Peri* y , F é lix O u d a rt, M onique R o lla n d . R o b ert
A rn o u x . P tte lle e t M arce lle P ra ln c e . - Lo*
d e rn iè re » a c tu a lité * G a u m o n t.
RCX. — P erm an en t de 14 heures S m in u it:
H ollyw ood Hétol avec Dick Pow el. R osem ary
L ao * . Hugh H erbert ot B en ny Goodm an et
son Jazz- - Dessin* an im és en couleur*. E clair-Journal.
MOZART. — P e rm a n e n t d e 14 h e u re * *
m in u it: Vogue* IMS. — A ctualité*.
BTOILB - PALAOB MONT» ERRAND. —
V e n d re d i, » am ed l, 80 h. 45: d im a n c h e 14 h.
45. 80 h. 45: Olgolott# av ec F lo rell* . G a b rto .
Azat». » Sa MaJ**té g ra n d ’mèro.
-
LIRE DEMAIN
NOS PETITES ANNONCES
été rem boursée, I« plain te a été le ttré «
m ais S... o 'en est pas m oins resté p our­
suivi pour escroquerie et condam né par
d éfau t 4 2 m ois de prison.
11 a fait opposition. Le trib u n al rab at
la peine 4 8 jours, accorde le bénéfice
du sursis, m ais ajo u te une am ende de
50 francs.
D éfenseur t
B erthon.
n A T in J
.P .P . DES INDUSTRIES OHIMIQUES
DEMAIN SAMEDI
A 20 h. 45, cin ém a : Le r o m a n d e
UNION FEDERALE CENTRE-SUD
M a r g u e r ite G a u tie r, avec G reta G arbo
Nous p rio n s instam m ent les prési­
Vichy, 22 septem bre.
et R obert T aylor.
.,
ts des groupem ents S.P.F. affiliés
A 10 h. 30, u n e auto, conduite p a r
A 21 h. : Soirée d a n sa n te avec 1 o r­ den
1 l ’U.F. de bien vouloir faire connaître
Mme P a u lin e P éan , de N euilly-sur- ch estre P éro n n in e t 6on ensem ble.
_ j p lu s tô t a u se c ré ta ria t 10, rue de la
Seine, d ébouchait de la ru e du BelT reille, le nom bre de num éros spéciaux
A ir p o u r s ’en g a g er d an s l’avenue
DIMANCHE 25 SEPTEM BRE
d u jo u rn a l S.P .F . qui va p a ra ître À
A 15 heu res
T h erm ale, est en trée en collision
l ’occasion d u 2* C ongrès N ational.
avec l’au to pilotée p a r M. Dedieu,
b rig a d ie r de police, qui é ta it accom ­
pag n é de s a femme.
Le choc fut très violent. L ’au to de
M. Dedieu fu t projetée s u r un talu s
où se tro u v a it M. C laude Degoulange, âgé de 70 an s, em ployé à la
voirie. M. D egoulange, ren v ersé et
blessé, ne fu t dégagé que très diffi­
cilem ent de dessous la voiture.
T ra n sp o rté à l’hôpital, le m a lh eu ­
reu x y succom ba quelques heures
plus ta rd .
Mme D edieu, qui a reçu de très
sérieuses contusions, a été ég ale­
m en t tra n sp o rté e à l’hô p ital, com me
son m a ri qui, lui, ap rès pansem ent,
a pu re g a g n e r son domicile.
Mme P é a n et Mme A line F lau n e
u i l’ac co m p ag n a i, o n t été attein tes
e blessu res légères.
A
• .P .P . D I LA METALLURG!«
(Section d« Riom)
A ROYAT
A ujourd’hui vendredi 23 septem bre,
réu n io n im p o rtan te salle Jean Mermoz,
5, rue d u Lycée, à 20 h. 45. Présence a b ­
solum ent Indispensable de tous les délé­
gués de q u a rtie rs sans exception.
R ival, président d u can to n Sud In­
siste au p rès de ses ad h éren ts pour
q u ’ils rép o n d en t nom breux à cette réu ­
nion.
Il les Inform e, d ’a u tre part, que sauf
p our des cas exceptionnels, tl ne sera
plus envoyé de convocations in d iv id u el­
les ; elles se feront p a r la voie de la
presse locale.
Les Abonnements
des Tournées Ch. Baret
MOUVEMENT social
. C.X_K F. % -t . ,
SECTION SYNDICALE MlOHELIN
DES PRODUITS CHIMIQUES
(M aîtrisé, em p loyés, d essin ateu rs)
lo C ontrairem ent à ce qui a été a n ­
noncé d an s un précédent article la sec­
tion syndicale m aîtrise M ichelin in fo r­
me ses ad h éren ts que l'assem blée géné­
rale a u ra lieu le sam edi 22 octobre 4
8 heures2° Notre cam arade Valleix v ien t de
recevoir, ap rès des dizain es d 'a n n é e s
de service, la m édaille du trav ail, m o­
deste récom pense.
Q u’il veuille bien tro u v er ici l'e x ­
pression de nos sincères félicitations
et la fratern elle sym pathie de tous ceux
qui constituent la g ran d e fam ille.
3* Service O. — Nous ap p ren o n s le
prochain m ariag e de la ch a rm a n te fille
de notre cam a rad e B ourasset. Nos
vœux de bonheur au x fu tu rs époux et
nos félicitations à n otre vieux cam a­
rade.
---------------------
Société d’Horticuitare
d« Viticulture et d’Etudes
agronomiques du Puy-de-Dôme
La réunion du 2 octobre a u ra lieu à
14 h., à l'A m phithéâtre de la 1> Ré­
gion. 4 boulevard T rudalne.
O rdre du jo u r •
Lecture d u procès-verbal de la d e r­
nière séance. P résen tatio n de m em ­
bres nouveaux.
La tom bola sera offerte p a r M. V v
cher, m arch an d de v erreries e t porce­
laines. rue St-E sprit 4 Clerm onVPd.
V erreries e* objets d ’a r t
MM. les sociétaires e t a m a te u rs de
vignobles ou autre* qui d é sireraieu t vi­
siter la collection de p ro d u cteu rs di­
rects nouveaux de M C avanat, sont u»vités à se ré u n ir d im anche 25 courant,
à 15 h., avenue de Royat, à l'a rrê t du.
tram , face à ia clinique St-Amable.
Les apports de g rap p es provenant des
producteurs d irects seront les blenvénus le jo u r de la réunion de la Société,
m êm e présentés p a r des rltic u J té u n ne
fa isa n t p as p artie de la Société.
Une déclaratif
G odej
L a d é c la r a tij
4 la p re s s e a i
la in :
« M. C h am b j
m id i, u n e coni^
d e l ’E ta t aller.I
à q u a tr e h e u re !
a p r è s se p t h e u
» O n se p ro l
e n tr e tie n - a e i j
» E n tre tem j
d e l ’a v is d u
q u e to u te s h
s o ie n t d é te rm i
q u e la s itu a ti(
n e so it p a s d<
tr e le pro g rès
» L e P re m it
a p p el a rd e n t
c o n trib u e à
s ’a b s te n ir de
d e n a tu r e à
d e n ts . »
Gode
D ’u n dea
l ’A gence H avi
L es c o m m ei
d a n s le s m iiif
r é u n io n d e i
«nem ent ré se n
te fo is q u e le
n o u v e a u pr<
d ’é v ite r to u te
m a n d e d e naH
n é g o c ia tio n s
p lo m a tiq u e
p lu s difficile
j à c ritiq u e d a l
p a r des m in o r|
g y a re s .
C ette q u e s til
ê t r e tr a ité e p a
n a tio n a le q u i
d e s d ir ig e a n t/
p e r de fix e r \\
a u R eich e t h
tio n s ; m a is c
q u e s a tâ c h e
c a lm e , fa u te <
p a s s e r a it le
tch éc o slo v aq u
p lex e.
I l n ’e s t pa«J
• i M. C ham bc
ce p o in t p a r
Il aem b le q
lu i-m ê m e a i t ]
p r e m ie r m in i]
s é q u e n c e « <*
'r a i e n t être
p a r le s d e m i
riou* p a r le s
p u b liq u e à ‘
jv e m e n t tch f
« li u s i o n l ’appj
E n co n séq u j
Be tro u v e en
d é lic a t q u e ( j
fr o n tiè r e s e t
l ’o b je t d e s c<
m id i, m a is
s u s p e n d u e s ij
d e n ts . P o u r il
c ô té b r ita n n i(
m o n tr e r p e s s |
L e D .N .B .
q u e M. Nevilli
tr é ce so ir, è|
« p rè s son ei
& G odesberg,
am b assad eu r
les a u tre « p e r]
o n t égalem ei
L a foule, n
a jo u te le D.N
m a n ife sta tio n !
d re s se d u prj
Avant
Goo
D a n s le hn
berg où La p rj
installée, les
n is tè re de li
ta i e n t h ie r «c
au x sollicita
u e s s u r le :
e vue« g em l
l
L e sp eak er!
clam a tio n f a |
l ’acceptation
co slo v a q u e
tr o u v a ie n t 1
F r a n c e d ’er]
p n e g u e rre ,
n a i t à enter]
ge« d e vui
g r o is , les r|
p a r M. Hitlcl
d e B e rc h te a d
p l u s à la ré a l
a i n s i q u e le j
e o r m a is le cl
ae su d è te . Il
l ’a v o c a t des
eo v ie e t de
a& isir p ro m j
l e u r e s t oft i
f r o n tiè r e s tq
C ’e st d u
p o se auasl
m a n d a . Il v<
4* d e l a faç
l 'a g i t de y id l
let d e p a r f a i t
a in s i d é b a rr
b lê m e q u i f]
t r e la p li
l a voie a « nej
p u is lo n g te n j
m ent des quj
L ’a ttitu d e
q u ’o n p u isse
■e ré s u m e r à l
f a i t m ai* p f
u n e fois les j
r ie u s e s sa tis]
t a n t '’e la «
q u e ce règlf
C e s t M ir cf
d «ff> .ber IV
• u li a ts d es
C .h am b rrlaii
T out a n t,
b ffk ie lle 4
[déjà crueKluf
fcppréhênsic
L’AVENIR DU PLATEAU CENTRAL
à la
union
* tal­
MATIN
ion et
rions
S.P-F.
LES ENTRETIENS DE GODESBERG
QUES
perreiile.
(SUIT* DE LA PREMIÈRE PAG*)
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rrnante fille
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’leux cama-
ure
Etudes
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de la derde memar M. Vas et porceermont-Fd.
nateurs de
reralent vtteurs diat, sont ’n25 courant,
l’arrèt du
Amable.
venant de«
les bien ve­
la Société,
uileur* ne
té .
Services télégraphiques et téléphoniques de I*« Avenir du Plateau C entral»
Une déclaration de M. Chamberlain
<
A LA FRONTIERE
polono-tchécoslovaque
M A T IN
UNE ALLOCUTION L’ATTAQUE DU TRAIN
DE M. BENÈS PRÈS DE MARSEILLE
(SUITE DE LA PREMIÈRE PAGE)
« J'ai mon plan pour tons les cas, Ii nous serait absolument lm pos'Ible
déclare-t-il, et je ne me laisse pas do reconnaître les b an l.ts. Nous n ’a ­
vons pu qu’entrevoir . ’automobil« qui
dérouter. »
était en contre-bas de la voie.
LES MANIFESTATIONS
CONTINUENT A PRAGUE
La cure de rentrée
M. DALADIER A REÇU
la délégation des Gaudies
Manifestation révisionniste
à Budapest
Avant les entretiens
RECTIFICATION
Des incidents se seraient
produits à la frontière
\C
A M E O l
Tirages financiers
Votre tour de chance
(SUITE DE LA PREMIÈRE PAGE)
Au lieu de récrim iner, de parler à
tou» de vo» ennuis, faites le compte
de vos chance» futures. Tout ce qui
est passé, appelez-le « l ’expérience »
et servez-vous de c e . que vous avez
appris. La vie pour vous commence
dem ain. Ne doutez plus de vous-même.
N’oubliez pas que la joie attire la joie 1
On vous recherchera pour votre gaîté,
pour votre charme. Ce rayonnement,
tous et toute» peuvent l’obtendr, c ’est
une question de santé physique. For­
tifiez-vous I Le Vin de Frileuse fortifie
tous les organes et conserve la jeu­
nesse. Le Vin de Frileuse est le plus
fort des fortifiants, souverain dans tous
les cas de faiblesse et d ’anémie. Ein
une seule cure on est transform é, on
est fort, heureux. Le flacon 6 fr. 50
chez votre pharmacien. Ne l’oubliez
>as : la santé c ’est le Bonheur. Vive
a Vin de Frileuse.
Quoi qu’il en soit, il fa u t p ersévé­
rer d a n s c e tte voie p én ib le q ui m è n e
à . la p a ix, e t d o n t le G o u ve rn em e n t
de P rague a g ra vi sa p a r t avec u n e
désillusion désespérée qui co m m a n d e
le respect.
L a C. G. T. fa it de la so lu tio n p ro ­
posée p a r L on d res e t Paris, le résu l­
t a t des e ffo r ts co n ju g u és de la F i­
n a n c e in te rn a tio n a le, des privilégiés
sociaux e t des a m b itie u x politiques.
Un a u tre jo u rn a l, qui n 'e st pas co m ­
m u n iste , accuse M. C h a m b erla in de
sa u ver su rto u t la fin a n c e anglaise.
H élas 1 il n 'e st pas im possible que ces
in té rê ts h u m ilia n ts n e se m ê le n t a u x
a ve n tu re s p résen tes. M ais la guerre
aussi paie ceu x qui l'a lim e n te n t. Le
th è m e d u m a rc h a n d de ca n o n s se­
ra it-il usé ? E t n e p e u t-o n p en ser
que, derrière les appels b elliq u eu x
lancés au n o m d 'u n h o n n e u r d o n t
on f i t h ie r si so u v e n t bon. m a rch é , se
p ro file n t le m o n stru e u x espoir des
e n rich issem e n ts fa ciles ?
La p a ix d o it n o rm a le m e n t so rtir
des n ég ociations de G odesberg. M ais
il fa u d ra qu'elle dure. Un tra ité n e
v a u t que si les p u issa n ces qui l’im ­
p o sen t en a ssu re n t l’ex écu tio n . N ous
expions, en ce m o m e n t, l’erreu r qui
f i t qu’au le n d em a in m ê m e de la si­
g n a tu re d u tra ité de Versailles, les
G o u ve rn em e n ts des p a ys va in q u eu rs
se d isp ersa ien t d a n s leurs égoïsm es
e t leurs in co m p réh en sio n s. R en o u ve
1er c e tte fa u te se ra it inexp ia b le.
P eu t-o n recréer u n e a tm o sp h ère
in te rn a tio n a le où la civilisation
m e u rtrie pourra p a n ser e t g uérir ses
blessures ? T o u t est là. H itle r lu im êm e, e t M ussolini, d o iv en t le co m ­
p ren d re, ca r leurs régim es n e sau
ra ie n t é te rn e lle m e n t résister à la sa
gesse e t à l’h u m a n ité .
P our nous, n o tre p rin cip a l gage
d ’a ve n ir est d a n s n o tre solidité in té ­
rieure. La m eilleu re a rm ée d u m o n
de est fa ib le si elle p rotège u n E ta t
a n a rch iq u e e t divisé.
L e fa it que n o u s d é fe n d o n s n o tre
p a ix, in clu se d a n s la p a ix générale,
au m o m e n t où sé v isse n t les grèves,
est u n para d o xe e ffr a y a n t. Ce sera it
fo lle de croire que n o u s pou rro n s le
so u te n ir in d é fin im e n t.
M aurice V A LLE T.
G odesberg, 22 septem bre.
Cioszyn, 22 septem bre.
En visitant le train ensuite, nous nou»
L a d é c la ra tio n su iv a n te a été faite
P ra g u e , 22 septem bre.
Cieszyn, iviLle polono-tchèque, cou­
sommes aperçus que la « cl %» de la vi­
à. la p resse a u nom de M. C ham ber­ pée en deux p a r la riv iè re O lza et
Le P ré s id e n t de la R épublique, M. gie du wagon FF 33 >45 avait été ou­
p a r la fro n tière d o n t la P olo g n e de­ E d o u a rd Benès, a p rononcé ce so ir verte.
la in :
« M. C h am b erlain a eu, cet après- m an d é la rev isio n , v it d a n s l ’expec­ une allo cu tin o rad io d iffu sée d a n s la ­ Il nou6 a été facile de reconstituer la
m id i, u n e con v ersatio n avec le Chef tative.
scène : Un des complices avait dû mon­
quelle il a déclaré en su b sta n c e :
ter dans le train en gare de Saint-Charde l’E ta t allem an d qui a com mencé
D epuis l ’ac cep tatio n paT la T ché­
— Ne nous laissons pas em porter par les et s’était caché dans la vigie. Arri­
à q u a tre h eures et s ’est term in ée peu coslovaquie des p ro p o sitio n s franco- la passion dans cette neure historique.
vé à Saint-Barthélemy, il av ait bloque
a p r è s sept heures.
bri/tanm ques et la cession des Sudè- Nous avons adapté notre action à la les freins à l’endroit même où ses com­
situation.
Je
regarde
m
aintenant
le
dé­
» On se propose de re p re n d re les tes à l’Ail ernagne, l ’a tte n te de la po­
plices l’attendaient.
6ans peur, car j ’ai mon
Jusqu’au moment de l’agression nous
e n tre tie n -1 d em ain m a tin .
pulation. polo n aise des deux côtés de pveloppement
lan pour tous les cas et je ne me laisse n ’avions pu nous aperce/> ir de rien et
» E n tre tem ps, ce q u i est essentiel, la fro n tière q u i rev en d iq u e la ré u ­ pas aéroarer. Nous désirons une enten­ le train avait roulé norm alem ent
de l ’av is du P re m ie r M in istre, c ’est nion de la Silésie de Cieszyn à la P o ­ te avec tous, m énageant par conséquent
Q u an d l ’a tte n ta t se p ro d u isit, M.
q u e to u te s les p a rtie s in téressées logne est devenue p lu s fiévreuse, une conciliation complète avec tous
voisins, avec la France et l’Angle­ M asclet, « fin an c ier »t chargé de
so ie n t déterm inées à fa ire en sorte d ’a u ta n t p lu s q ue la m u n ic ip a lité de nos
terre.
v eille r s u r les v aleu rs, é ta it descen­
q u e la situ a tio n en Tchécoslovaquie la p a rtie p o lo n aise de Cieszyn lan ce
La trêve de litiges intérieurs, le sang- d u de son w agon. Il n ’eu t p a s le
n e soit p as de n a tu re à com prom ets dep u is h ie r des ap p e ls à la p o p u la ­ froid, la pondération de notre peuple tem p s de s o rtir son revolver et fu t
tion l ’in v ita n t à se te n ir p rê te à sa­ sont co n n js. Il sait qu’il faut lutter.
tre le p ro g rè s des négociations.
lu e r p lu sie u rs u n ité s de l’arm ée polo­ L’histoire dira que nous avons procédé b lessé d’u n e balle q u i lu i tra v e rs a le
» Le P re m ie r M inistre a d re sse u n n aise p ro v en a n t des m an œ u v res.
poignet droit. Son é ta t n ’in sp ire
honnêtement.
ap p e l a rd e n t à tous p o u r que l’on
Je répète que j ’ai m on plan.
Notre 11 d ’aille u rs au c u n e inquiétude. Il est
pi
L 'a rriv é e d e ces u n ité s a v a it été gne
co n trib u e à m a in te n ir l ’o rd re et à
politique
est solide et nous l’adap­ tom bé s u r la voie et a fa it le m o rt.
jlir
s ’a b s te n ir de to u te actio n q ui so it fixée to u t d ’ab o rd p o u r h ie r so ir, terons à la situation. Votre émotion Il a en ten d u l ’un des m a lfaite u r»
p
u
is
p
o
u
r
m
id
i
a
u
jo
u
rd
’h
u
i.
E
nfin,
que
je
com
prends
est elle-même profi­ d ire : « Si q uelqu’u n crie, on tire ».
d e n a tu re à prov o q u er des in ci­
elle a été rem ise à dem ain m atin .
table à l'Etat. Nos ennemis guettent
dents. »
M. M asclet, in terro g é, n ’a p u d o n ­
De n om breuses o rg a n isa tio n s en notre dislocation. Ne gaspillons pas nos n e r au c u n d étail s u r l ’im p o rtan ce d u
Godesberg. 22 septem bre.
forces,
car
nous
en
aurons
besoin.
Je
D’u n des envoyés sp é cia u x de u n ifo rm es (an cien s co m b attan ts, a s ­ répète que nous en aurons besoin. Unis vol.
so ciatio n d e s in su rg és de H aute-Silé- entre nous, nous sortirons avec dignité
M arseille, 22 septem bre.
l ’Agence H avas :
sie, an cien s co m b attan ts de l ’arm ée
crise européenne.
Les d ifféren ts service» de police
Les co m m en taires fa its ce so ir p o lo n aise en F ra n ce , etc.), a tte n d e n t deLela Gouvernement
vient d ’être formé
d a n s les m ilieux b rita n n iq u e s s u r la d ep u is h ie r s u r la p lace d u M arché, avec une collaboration générale. Restez m a rse illa is o n t établi que les m a l­
ré u n io n de l ’après-m idi so n t ex trê­ rich em en t décorée l’a rriv ée des rég i­ tous à vos postes. Méfiez-vous des faus­ fa ite u rs qui o n t atta q u é le tr a in de
ses nouvelles. Attention au x provoca­ m essag eries étaie n t a u nom bre de
m e m e n t réservés. On cro it sa v o ir to u ­ m en ts p olonais.
six ou sept.
teurs.
tefois que le p re m ie r m in istre a de
Des m ouvem ents de tro u p es n o t
Je conclus en vous d isan t : Ne cralIls n ’o n t em porté que les caisses
n o u v e a u p ressé son in te rlo cu te u r
rien pour l’avenir. Je term ine par c o n te n a n t de» o b jets précieux, nod ’éviter to u te in itia tiv e m ilita ire alle­ ■lieu d ep u is le m a tin d a n s les envi­ fiiez
es paroles de Llbuse : « Ma chère n a­ ta m m m e n t u n e caisse p ro v en a n t du
m a n d e d e n a tu re à com pro m ettre les ro n s de Cieszyn.
tchèque ne périra pas. Non, elle ne
D ifférentes u n ité s de l’arm ée polo­ ption
n é g o c ia tio n s et toute in itiativ e di­
érira pas et elle surm ontera tous les Congo belge, re n fe rm a n t de l’o r 1 ru t
p a rtic u lie r l’a rtille rie malheurs.
et deux a u tre s caisses co n te n a n t des
p lo m a tiq u e susceptible de re n d re n a ise et en
bijoux. Le m o n ta n t du vol est de
p lu s difficile encore la situ a tio n dé­ so n t dirigées du côté de la fro n tière.
p lu sieu rs cen tain es de m ille francs.
j à critiq u e d a n s les régions h ab itées Selon les estim atio n s de bonne so u r­
p a r des m in o rité s polonaises ou m a ­ ce, deux divisions a u m o in s se ra ie n t
co n cen trées à la fro n tière polonogy ares.
tcihèque. L a g a rn iso n n o rm ale de
Cette q u estio n p o u rra it en effet, Cieszyn com prend u n ré g im e n t d ’in ­
ê tr e tra ité e p a r la com m ission in te r ­ fan te rie.
P ra g u e , 22 septem bre.
n a tio n a le q u i d ev ra it, d a n s l ’esp rit
Dès ce m a tin , à 7 h eu res, les m a ­ Vos enfants vont bientôt ren trer de
d es d irig e a n ts b rita n n iq u es, s ’occu­ Le Ministre de Pologne a demandé n ife sta tio n s p a trio tiq u e s o n t re p ris vacances, ils viennent de faire des
p e r de fixer la cession de te rrito ire s à Prague, pour la minorité polonaise, d a n s les ru e s de P ra g u e . M ais ta n ­ cures d ’air, d e soleil, de bains de mer.
n u R eich et les tra n s fe rts de p o p u la­
ceci est fort bien, ils arriveront
dis q u ’h ie r so ir c’é ta ie n t les p etits Tout
le même traitement
eu bon état physique pour reprendre
tio n s ; m a is on tie n t p o u r essentiel
b o u rg eo is et em ployés, ce m a tin ce leurs études, m ais il faut penser à
que s a tâche s’accom plisse d a n s le
que pour la minorité allemande so n t les o u v riers qui afflu en t vers le m aintenir et à consolider la provision
calm e, fau te de quoi le problèm e dé­
cen tre de la ville. D ans un o rd re et de santé qu’ils auront faite pendant
P ra g u e , 22 septem bre.
p a s s e r a it le c a d re de la question
avec u n e d iscip lin e sa n s exem ple, ils leurs vacances. Faites-leur suivre un
Le
m
in
istre
de
P
ologne
à
P
rag
u
e,
tchécoslovaque, d éjà p lu s que com ­
régime alim entaire com prenant des
M. C a sim ir P ap e, a rem is h ie r u n e d escen d en t p a r ra n g s de v in g t et dé­ alim ents capables de leur donner des
plexe^
filen
t
a
u
pied
de
la
s
ta
tu
e
d
u
sa
in
t
Il n ’est p as encore perm is de d ire no te a u m in istre des A ffaires é tra n ­ n a tio n a l W enceslas. E n tê te v ie n n en t calories tel que le sucre sous toutes ses
«i M. C ham berlain a été ra s s u ré s u r gères, M. C am ille K rofta. D ans cette les d ra p e a u x trico lo res n a tio n a u x et formes. Vous prolongerez ainsi le bon
note, le g o u v ern em en t polonais :
effet de leurs vacances, c ’est ce que
ce p o in t p a r so n in te rlo cu te u r.
u ne p a n c a rte im provisée q ui p o rte
1° D énonce le tra ité tchéco-polo- en c a ra c tè re s tra c é s d ’u n e m a in m a l­ nous appellerons la cure de rentrée I
Il oemble qu e le ch a n ce lie r H itler
lui-m êm e a it a ttiré l ’a tte n tio n du n a is s u r le tra ite m e n t des m in o rités habile : « D éfendons nos frontières ».
S o u d ain cette m a sse s’im m obilise.
p re m ie r m in istre s u r les g rav es con- récip ro q u es, tra ité conclu en 1925
Les tê tes se d éc o u v ran t et, a u m ilieu
j^équences des d éso rd res q u i p o u r­ d a n s le c a d re d e la S.D.N.
2° D em ande p o u r la m in o rité po­ d ’un silence solennel, un ch a n t s ’élè­
r a i e n t ê tre créés en T chécoslovaquie
•par les d e rn ie rs événem ents e t suir- lo n aise en T chécoslovaquie le m êm e ve, g rav e com m e u n c h a n t religieux.
to u t p a r les réa ctio n s de l ’o p in io n tra ite m e n t q u e p o u r la m in o rité al­ C’est l ’h y m ne n a tio n a l. Tou» lèvent
tro is doigts p o u r p r ê te r se rm e n t à
p u b liq u e à la dém ission d u gouver­ lem an d e.
P a ris , 22 septem bre.
l a R épublique. S u r le tro tto ir des
n e m e n t tchèque^ C’e st à ce la q u e fait
L a délég atio n des g au ch es com po­
fem m es sa n g lo te n t et c e rta in s poli­
a llu s io n l ’appel d u p re m ie r m in istre.
ciers q u i co n tien n en t la foule pleu­ sée de MM. A lbert C hichery, Ju le s
E n conséquence, n o n seu lem en t on
Moch, A ndré Le T ro cq u er et Florire n t silencieusem ent.
æ tro u v e en présence d u problèm e
Les m a n ife sta n ts p o u rsu iv en t le u r m ond Bonté est arriv ée vers 15 heu­
d é lic a t que pose la d élim itatio n des
ro u te vers la rive droite, q u a rtie r des res à la présidence du Conseil p o u r
fro n tiè re s et qui a c e rtain e m e n t fa it
lé g a tio n s et du ch â te au , en c ria n t : s ’e n tre te n ir avec M. D aladier.
B u d ap est, 22 s e D te m b r e .
l ’o b je t des conversations de l ’aprèsA près le u r en tre tie n avec le p ré ­
Une g ra n d e m a n ifesta tio n révision­ « Vive l’arm ée » ; « D éfendons nos sid e n t d u Conseil les re p ré se n ta n ts
m id i, m a is aes n égociatio n s resten t
fro
n
tières
»
;
«
D
éfendons
n
o
tre
p
a
­
n
iste
a
e
u
lieu
h
ie
r
soir
à
B
udapest.
su sp e n d u e s à la possibilité d ’in ci­
de la délégation de» gauches o n t dé­
den ts. P o u r le m om ent toutefois, du D um irèe p a r les effigies de / a m ^ai trie » ; en c h a n ta n t d es p assag es de claré :
poèm
es
des
poètes
n
ationaux
:
«
Si
tu
Côté b rita n n iq u e , on se refuse à se llo rth y , d'A dolf H .tier, de M ussolini
« N ous som m es v en u s p o u r m ettre
ut d u présid en t Moscicki, une m asse m 'ab an d o n n es je ne périrai pas. Si a u c o u ra n t le p ré sid e n t d u Conseil
m o n tre r pessim iste.
tu
m
’ab
an
d
o
n
n
es
tu
p
ériras
».
com pacte de 500.000 p e rs o m ^ s se
de l’é ta t d’e s p rit qui e»t celui de»
B erlin, 22 septem bre.
p r e n a it su r la p lu s g ran d e place de
P ra g u e , 22 septem bre.
différente g roupes de la d ilé g atio n
Le D.N.B. annonce de G odesberg B u d ap est, à l ’en d ro it où se tin t le
L ’agence C eteka re la te que de de? gauches. L a nuestion de la con­
q u e M. Neville C h am berlain est re n ­ congres eu ch aristiq u e.
g ra n d e s m a n ife sta tio n s p a trio tiq u e s vocation des C ham bres a été posée
tr é ce soir, à 10 h. 37 à P etersb erg ,
Les divers o ra te u rs q ui se sont m cA près son en tre tie n avec M. H itler cédé t la trib u n « o nt dem andé avec o n t lieu d a n s to u te la T chécoslova­ av. p résid e n t du Conseil. V
à Godesberg. S ir Neville H enderson, violence le d ro it de to u tes les m in o ­ quie. L a pJus im p o rta n te, à H rabec a a lo rs renouvelé la d éc la ra tio n qu’il
a m b a ssa d e u r de G rande-B retag n e, et r é e s à d isp o ser d’elles-m êuies, en K ralove, a gro u p é 10.000 p erso n n es. a faite à M. C hichery la veille, c’estP a r to u t les hym nes n a tio n a u x o n t à-dire q u ’il n ’en v isag e ait p as pour le
les a u tre s p erso n n alités b rita n n iq u e s p a rtic u lie r p o u r la Slovaquie.
reten ti. L a foule a crié : « P ro tég eo n s m om ent cette convocation, m a is que
o n t égalem ent reg ag n é P etersb erg .
nos fro n tières. M archons avec l ’a r ­ celle-ci a u r a it Peu im m édiatem ent, si
L a foule, m assée devant l’hôtel,
;« L'acceptation de Prague
mée » et poussé des cris hostiles à la le» événem ents l’ex ig eaien t ».
a jo u te le D .N .B., s ’est livrée à des
est périmée »
F ra n c e et à l’A ngleterre.
m a n ife sta tio n s de sy m p ath ie à l’a ­
A N ova P a k a , localité in d u strie lle ,
dit la Presse hongroise
d resse du p rem ier b rita n n iq u e.
La population des Etats-Unis
les o u v rie rs font grève a u jo u rd ’hui.
B udapest, 22 septem bre.
W a sh in g to n , 22 septem bre.
Un
appel
au
calme
L’acceptation de P ra g u e est p é ri­
L a p o p u latio n des E tats-U n is é ta it
mée écriv en t les jo u rn a u x h ongrois
du général Syrovy
au 1er ja n v ie r 1938 de 129.818.000 h a ­
G odesberg, 22 septem bre.
ce m atin . L a situ atio n a évolué. Les
bitant», so it u n e au g m en ta tio n de
P ra g u e , 22 septem bre.
D ans le h all de l ’hôtel de Godes­ rev en d icatio n s hongroise« e t polo­
Le g én éral S vrovy, in sp ecteu r gé­ 941.000 h a b ita n ts su r l’an n é e précé­
b e rg où la presse in te rn a tio n a le a été naises so n t a u p rem ier p lan de l’in ­
n é ra l de l ’arm ée, a pro n o n cé ce ma- dente.
in sta llé e , les h a u t-p a rle u rs d u m i­ térêt.
tin à la ra d io u n e allo cu tio n d an s
n is tè re de la P ro p a g a n d e in te rp ré ­
laquelle il a d em andé au x T chécos­
ta ie n t h ie r 6oir la réponse de P ra g u e
ß ux so llicitations fra n co -b ritan n i­ Les Allemands ont pris possession lovaques de g a rd e r le calm e e t de
rev en ir à le u r tr a v a il qui est aussi
q u es s u r 1«- ré s u lta ts des échanges
du service d'ordre
n écessaire à l’arm ée q u ’à la vie n a ­
d e vues germ ano-polono-hongrois.
D ans n o tre page c R e n tré e des
dans le district d’Eger
tionale.
Le sp e ak e r a n n o n ç a it q u ’u ne p ro ­
« Si n o u s som m es triste s a u jo u r­ classes », p arue hier, nous avons, par
B
erlin,
22
septem
bre.
c la m a tio n faite à P ra g u e a ttrib u a it
d ’hui, a-t-il p o u rsu iv i, ce n ’est p as erreur, fa it fig u rer Z’Ecole C e n trale
Les ALlemands Sudètes o n t p ris p o u r to u jo u rs. U nissons-nous, c a r si de R adio, les Cours M ourlevat e t
l ’ac cep tatio n du gouvernem ent tché­
coslovaque à l'im p o ssib ilité où se en m a in le service d ’o rd re d an s le nous ne som m es p a s u n is le d an g e r l’Ecole P igier, d a n s la liste des écoles
tro u v a ie n t la G rande-B retag n e et la d istric t J 'E g e r. Ils co llab o ren t avec nous m enace. L ’arm é e est in tacte et d ’e n seig n e m en t o fficiel au lieu de les
F ra n c e d ’e n tre p re n d re a u jo u rd ’h ui les o rg an ism es tchécoslovaques. L a est p rête ».
fa ire p a ra ître d a n s celle des écoles
u n e guerre. E n m êm e teîhps, il don­ joie est in d escrip tib le, d it le D. N.
privées.
n a it à en ten d re q u ’a p rè s les é c h a n ­ B. Les d ra p e a u x à croix gam m ée
g es de vues germ ano-polono-hon­ b o ite n t a u x façad es des m aisons. Les
g ro is, les rev e n d icatio n s form ulées Sudètes font preuve d’un calm e
ipar M. H itler, a u cours de l’entrevue exem plaire. Les policiers tchèques ne
Berlin, 22 septembre.
d e B erchtesgaden ne co rresp o n d a ien t se m o n tre n t p resq u e plus.
Le D. N. B. annonce de Behrenstetn,
p lu s à la ré a lité de la situ a tio n . C’est
B erlin , 22 septem bre.
IACIRE MODERNE
à la frontière de Saxe et de Tchécoslo­
a in s i que le Reich ne se ra it p lu s dé­
UNE LAQUE
On m an d e de E g er a u « D.N.B. »
so rm ais le cham pion de la seule c a u ­ que en viron 700 so ld a ts et officiers vaquie, qu’un fonctionnaire tchèque a
D'UN COUP DE CHIFFON
jeté
une
grenade
à main à Behrenstein
se sudète. Il se fe ra it l’in te rp rè te et tchèques avec des b a tte rie s a n ti­ d an s la foule sudète qui défilait en cor­
l ’avocat des G ouvernem ents de V ar­ ta n k s se tro u v a ie n t encore a u jo u r­ tège pour célébrer « la libération du
sovie et de B udapest, soucieux de d ’h u i, à m idi, d a n 3 la casern e du pays ». Des gym nastes sudètes sont
s a is ir pro m p tem en t l’occasion q ui 35« ré g im e n t d ’in fan terie. Cette n u it, passés immédiatement à la contre-atta­
le u r est offerte p a r la rev isio n des de« cam io n s o n t tra n s p o rté à P il­ que pour « rendre inoffensif le crim i­
nel ». Au cours de la fusillade, des
fro n tiè re s tchécoslovaques.
PILLS «t TABET, dano
sen , d a n s la ca sern e d u 18» rég im en t m orts et des blessé sont restés sur Je
C’est du m oins la thèse q u ’on ex d ’in fan terie, un g ra n d nom bre de terrain du côté tchèque et du côté alle­
TOI C’EST MOI
çiose au ssi d a n s les m ilieux alle­ caisses de m u n itio n s. Six ta n k s se mand.
d ’aprfes la célèbre opérette du th é â tre
L’agence officielle allem ande signale
de» Bouffes P arisien s, avec André Berley,
m a n d s. Il v a de soi q u ’on la p rése n ­ tro u v e n t encore d a n s la casern e du
Claude May, Baron Plie, Munie Aetoa,
d
’autre
p
art
une
fusillade
entre
soldats
te de la façon la pins « é d i r i n t e : il 35 » ré g im e n t d ’in fan terie avec douze
Pauline Carton, Saturnin Pabre.
l ’a g it de vider com plètem ent l ’abcès c h a rs blindés et p lu sieu rs m itra il­ et gendarmes tchèques et Allemands
En prem ière p artie : Henri Carat,
des Sudètes près de Schoenberg, au bu­
e t de p a rfa ire l'o p ératio n . On a u r a leuses.
Lisette
Lanvln, Robert Arnoux, d a n s
reau de douane de Liebenau. 20 per­
a in s i d éb a rra ssé l’E urope d’u n p ro ­
U N E F E M M E AU V O L A N T
sonnes auraient été blessées par les
blèm e qui fa u ssa it les rela tio n s en­
coups de feu. Des deux côtés on signale
Nouvelles prématurées
> —»♦— ^ ------------------tr e la p lu p a rt des E ta ts et p rép a re
des morts.
P rague. 22 septem bre.
l a voie à une discussion souhaitée de­
p u is longtem ps à Berlin d ’un » règle­
On déclare, à Prague, que les nou­
Les rapports franco-polonais
m e n t des questions p en d an tes ».
velles an n o n çan t la prise du pouvoir
seront-ils révisés?
L ’a ttitu d e allem ande p o u r a u ta n t p ar les Sudètes dans les régions allan t
Obligations Communales 1892
q u 'o n puisse la ju g e r d’ici p eu t donc ju sq u ’aux frontières linguistiques so n t
Le numéro 232.869 gagne 100.000 fr.
V arsovie, 22 septem bre.
«e ré su m e r à ceci : in tra n sig ea n ce de inexactes. On signale seulem ent quel­
Le numéro 143.376 gagne 40.000 fr.
P a r la voix d ’u n de le u rs o rg an es
f a it m a is prom esse de coopération ques incidents à Bozidaz. où les Sudè­ a ttitré s 1’ « E x p ress P o ra n n y », les Les 2 numéros suivants gagnent cha­
cun
10.000 fr. : 308.569, 435.129.
u n e fois les exigences les p lu s im pé­ tes ont occupé le poste de la douane, d irig e a n ts de la politique ex térieu re
Les 4 numéros suivants gagnent cha­
rie u se s sa tisfa it
On hausse le m on­ et à Cheb où ils o n t occupé le b ureau
la n c e n t a u jo u rd ’h ui un cun 5.000 fr. : 55.652, 204.380, 345.640,
ta n t '’e la « note », m ais on prom et des postes et en ont chassé les em ­ polonaise
av e rtisse m en t à la F ra n c e la issa n t 475.215.
' w
q u e ce règlem ent ne se ra pas vain ployés tchèques.
30 numéros gagnent chacun 1.000 fr.
en ten d re la possibilité d’une revision
C ’est s u r ces bases q u ’on c o n tin u ’
L’Agence Ceteka com m unique
de ses rapport» d ’alliée, en raiso n cie
Obigations Foncières 1895
tl sff’r b e r l’optim ism e q u an t aux ré­
Un calm e relatif règne d ans les ré­ l’a ttitu d e prise p a r la F rance à l’é­
Le numéro 327.806 gagne 100.000 fr.
s u lta ts des conversatio n s avec M
Le numéro 311.753 gagne 25.000 fr.
gions frontières. Cependant, les doua­ g a rd de» rev en d icatio n s po»onaises.
C h a m b e rla in .
L»' numéro 72.852 gagne 10.000 fr.
T our a n t, on fi évité la réception niers et les gardes-frontières ont été
Les trois numéros suivants gagnent
TARBES. — I>e nombre des pèlerins
(officielle à Cologne, ce qui indique attaq u és en plusieurs endroits p ar venant
ou venus à Lourdes dépassera chacun 5.000 fr. : 281.712, 306.093, 3^.851.
(déjà oruelques h ésita tio n s et quelques des bandes d ’ém eutiers. Oq ne s i­ pour 1938 1.500.000.
50 numéros gagnent 1.000 francs.
gnale aucune victime.
fcppréh entions*
f
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SUCCÈS ! SUCCÈS !
V
X
—
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SUR LES AILES DE LA DANSE
avec Fred Astaire, Ginger Rogers,
le couple le plus aimé de l’écran
Une m agnifique réalisation :
T U N N E L ---Lee deux grandes vedettes françaises
Jean CABIN — Madeleine RENAUD
Dernières actualités Pathé-Journal
SALLE CLIMATISÉE
Fédération Républicaine et
du Massif Central
Sodale
PARTI REPUBLICAIN FEDERAL
DU PUY-DE-DOME
CONGRES^ CANTONAL
D’ARDES-SUR-COUZE
NOVELTY
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O
Un grand film Inédit
LK SPECTACLE DONT TOUT LE
MONDE PARLE
LE DIMANCHE 25 SEPTEMBRE
VOLEUR
DE FEMMES
Un appel signé de MM. Auguste Val­
lon, conseiller d ’arrondissem ent e t Audié de Maitiargues, président de la sec­
tion d’Ardes-sur-Couze, invite les adhé­
rents et les sym pathisants du P arti
Républicain Fédéral à assister au Con­
grès cantonal que le P arti tiendra à
Ardes-sur-Couze, salle de la Mairie, le
dim anche 25 septembre, à trois heures
de l’après-midi (heure légale).
Prendront la parole :
MM. P ierre Gendre, négociant, con-^
seiller m unicipal de Clermont-Ferrand :
Votre Fédération et le P etit Commerce.
Docteur Marc Blatin, membre du Co­
mité directeur du Parti : Le franc et
notre agriculture. Peut-on les sauver ?
Robert Thomas, secrétaire général du
P arti : Le rôle utile et opportun de no­
tre Fédération.
Jacques Bardoux, membre de l ’Insti­
tut de France, président de la Fédérat:on • La situation politique.
Le secrétaire fédéral des Jeunesses
Républicaines Nationales du Puy-de-Dô­
me, M. Charles Juilhard, sera présent
et prendra contact avec les jeunes qui
sont, eux aussi, cordialem ent invités.
R éalisation d ’Abei GANCE, d ’ap rès
le ro m an de Pierre FRONDAIE,
avec JULES BERRY
ANNIE DUCAUX
JEAN MAX, 8ATURNIN FABRE
et MARIE LOU
UN POINGC’EST TOUT
Supercomédle am usante et sportive
Les dernières Actuaires
PARAMOUNT
CHAQUE LUNDI
NOUVEAU PROGRAMME
DEMAIN
CAPITOLE
SAMEDI,
MATINEE
AVIS D’OBSEQUES
Mme BARTHELEMY, et toute la famlUe,
prient leurs amis et connaissances de bien vou­
loir assister aux obsèques de
Monsieur Antonin BARTHELEMY
« RIALTO
UN FAMEUX SPECTACLE
Charles Boyer, Michèle Morgan
Lisette Lanvin -J.-L. Barrault
SALLE MODERNE, CONFORTABLE !
PROJECTION IMPECCABLE !
QUALITÉ DU SON SANS ÉGALE .
dans la pièce d ’H enri BERNSTEIN
A partir d’aujourd’hui, en matinée
2 GRANDS FILMS FRANÇAIS
INÉDITS A CLERMONT
ORAGE
UN AN
L« quintuplé le plus Irrésistible i
SOUS L’OCCUPATION
Duvallès, Cordy, Félix Oudart
Etchepare et Pauline Carton
»
— DANS —
LES GAITÉS
DE L1EXPOSITION
l ’r . T - e t ’ p i e ™ S
SPIN E lLy et Lucien NAT
0* n’eet pae un film de guerre
S u zanne DEHELLY
et Victor BOUCHER dan»
C H I P É E ---Un film follement gai qui n ’a d’autre
prétention que d’am user 1
A partir d’aujourd’hui
Changement de programme^ __
AVIS.
A d re ss e z-v o u s en p erso n n e à vos
clien ts en fa is a n t de la p u b lic ité
d a n s les jo u rn a u x I
TOUS LES JEUDIS EN MATINÉE
décédé le 21 septembre 1938. dans sa 81» année.
Les obsèques auront lieu demain samedi 24
septembre 1938, à huit heures du matin, en
l’église des Minimes.
Réunion à la . maison m ortuaire, 31, rue
Fontgiève
Pas de couronnes.
/
|
AVIS D’OBSEQUES A AUBIERE
Mme veuve FRANCIONE et ses enfants ; 1C
et Mme CHALAMAUD-BAYLE. représentant ;
Mme veuve CHOSSIDON-PLANCHE, ses en­
fants et petlts-enfants, et les familles PLANCHH
et BOUFFARD. et toute la famlUe, ont le
douleur de vous faire p art de la perte cruelle
qu’ils viennent d’éprouver en la personne de
Madame veuve CHALAMAUD
Née Maria PLANONS
leur mère, belle-mère, grand-mère, soeur, tanta,
cousine et parente, décédée dans sa 11* année,
munie des Sacrements de l ’Eglise.
Et vous prient de bien vouloir assister a u
obsèques qui auront lieu demain samedi M sep­
tembre, A dix heures en l'église d’AUBURE.
Réunion maison m ortuaire, 14, rue de Oler«
mont.
AVIS D’OBSEQUES A RIOM
Mme veuve Emile CLUZEL ; Mme Amsbls
CLUZEL ; Mme et M. Ferdinand CLUZEL, leurs
enfants et petlts-enfants, et toute la famUle,
ont la douleur de vous faire p art de la perte
cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la per­
sonne do
Monsieur Emile CLUZEL
CINEM0NDE
— PERMANENT —
SE PLACE CETTE SEMAINE |
DE LA B O NN E HUMEUR
S O U S LE SIGNE
HENRY GARAT
et JEANNE AUBERT d an s
LA SOURIS BLEUE
avec Mireille PERRSV, Péllx OUOART,
Monique ROLLAND, Robert ARNOUX,
PIZELLA et Marcelle PRAINCE
« Danse... C hant... M usique... »
« C’est un e cu re d ’optim ism e »
VICTOR BOUCHER
d a n s son m eilleu r film
BICHON
la célèbre pièce de Jean de Létrax
avec Marguerite DIVAL,
Marcel VALLÉE et Jeanne «-OURV
c réateu rs de la pièce à P aris, au T h éâtre
de la M ichodière,
avec River» Cadet et Dolly Davl»
Menuisier
Anolen combattant
leur époux, fils, frère, beau-frère, oncle et pa­
rent. décédé à Rlom, le 22 septembre 193S,
dans sa 63* année, muni des Sacrem ents da
l'Eglise.
Et vous pr.ent de bien vouloir assister aux
obsèques qui auront lieu demain samedi 24 sep­
tembre, neuf heures trente, en la basilique da
Salnt-Amable.
Réunion malson mortuaire, faubourg de Mosac, n* 30, à neuf heures quinze.
t
AVIS D’OBSEQUES A BRIOUDE
ET CHAMALIERES (Puy-de-Dôme)
Mme Antoine CHAMBRLARD ; M. et Mme
Paul CHAMBRLARD et leurs enfants ; Mme
et M. Henri PINOEOT et leurs enfants ; Mme
et le docteur Maurice JEAN et leurs enfanta ;
Mme et M. François HUE et leurs enfanta ;
leur famille et le personnel de la Société Paul
CHAMBRLARD, ont la douleur de vous faire
p art de la perte cruelle qu’ils viennent d'éprou­
ver en la personne de
,
Monsieur Antoine CHAMBRIARD
R evue d es Jo u rn a u x
L* Ru s a . e RHeHPEUTRM. n e v e u t
n
Ä
- nd'aaJ 8sraa 7 o u ^ ,;f c eondse
fant’e d une révolution universelle, fille
ne a euerre - ne voulait que nous talKnttro mais enfin, aurait-elle eu la
v o lo n té
de™e battre que c'était là une
rsràï nn l’air sans chair ni muscles,
une^ espèce de peüte extase militaire,
bonne à faire sourire les vrais soldats.
C’iasÏÏï/eU e ne peut pas actuellement
venir aS secours <fe la Tchécoslovaquie,
v niià le fait- Conséquence .
Si iam ais un péril grave m enaçait
^ . n « France la Russie des Sovféts — même s i ’ la Tchécoslovaquie
dem eurait ce qu’elle était hier - ne
pourrait pas nous aider.
LES GREVES ET LE PERIL
EXTERIEUR
l 'intransigeant (Gallus).
Hier, deux
mille m ilitants syndicaux
jf./naoîS
narisienne se sont réunis rue d Angou
lème. Us constituent les cadres des syn­
dicats ouvriers. Or ils ont demandé
« qu’une action internationale des tra ­
vailleurs » s’exerce en faveur de la
Tchécoslovaquie. Ils ont même
dé « que des contacts Q u e n t s soient
établis par le soin de délégations en­
tre les travailleurs de Prague et ceux
de P aris ».
,
Ma foi, nous le demandons aussi.
Car il est bien évident que les travail­
leurs de Prague répondraient à ceux de
P aris : Camarades, si vous V0UJ£Z
der notre pays commencez par ne pas
affaiblir le vôtre. Pensez-vous que,
pour intim ider un adversaire aussi ré­
solu que celui qui nous menace- il soit
bon de déclencher des mouvements de
grève et de vous livrer à des luttes in­
testines T Camarades, nous avons lu
Li
PUBLICITE
que votre gouvernement se voyait con­
train t de réquisitionner tous les chan­
tiers da travaux et de fournitures con­
cernant la défense passive. Vous em­
ployez d ’étranges moyens pour vous
préparer à la résistance. Ici, nous som­
mes également partisans des grands
principes, des conquêtes sociales et de
tout ce que vous croyez défendre. Mais
il y a temps pour tout. Il s’agit en ce
moment d ’autres * conquêtes ». Vous
vous proposez de nous assister, et il
nous semble bien que, sans vous en
rendre compte, vous nous trahissezVous ne oonnaissez pas les gens d ’en
face. Le moindre signe de division in­
térieure est pour eux un encourage­
ment.
Et la délégation rentrerait à P aris
la tête basse.
LE POINT GRAVE
Le Figaro (W. d ’Ormesson). — Ce
n ’est pas l’effondrement d ’une certai­
ne politique qui nous révolte. Toutes
les politiques se revisent. Aucune n ’est
éternelle.
Non, ce qui est (pave, im pardonna­
ble, c’est 1 imprévoyance, la légèreté,
l’incurie, les contradictions surtout
avec lesquelles, depuis longtemps — et
surtout depuis le 7 m ars 1936 — on
nous a laissé glisser vers cette épreu­
ve sans rien faire à temps pour la
conjurer et où tout d ’un coup nous nous
sommes trouvés placés devant l’alter­
native soit de la guerre, soit d ’une né­
gociation précipitée, donc lamentable...
La paix, oui, il fallait — il faut tou­
jours la sauver. On n ’a pas le droit de
jouer sur un coup de nerfs le sort d ’u­
ne génération.
Mais m aintenant que toutes les lim i­
tes sont atteintes, ce qu ’il faut sauver
c’est une civilisation que nos faibles­
ses internes, notre manque de pré
voyance et notre Incapacité d ’agir au
moment opportun n’ont pas su défen­
dre.
DE
&
L’AVENIR
Ancien Industriel
Anolen président du Tribunal de oommerse
de Brloude
leur époux, père, beau-père, grand-père et pa­
rent, décédé, muni des Sacrements de l'Eglise,
le 21 septembre 1938. dans sa 82* année.
Et vous prient de bien vouloir assister aux
obsèques qui auront lieu en la basilique Salntjulien de BRIOUDE, demain samedi 24 septem­
bre, à neuf heures trente.
Réunion k la malson mortuaire, 3, avenue
de Clermont.
L’Inhum ation au ra lieu à CHA MALIERES
(P.-de-D.), le même Jour, à quatorze heures.
NI fleurs, ni couronnes
t
AVIS D’OBSEQUES
A 8AUVAGNAT-8AINTE-MARTME
Mme et M. Joseph MELUT et leurs enfanta ;
Mme et M. OOURMIER-MELUT et leurs en­
fan ts ; Mme et M. JOURDAN-MELUT et leurs
enfants ; Mlle Marie MELUT ; Mme veuve
CHAUTARD ; les famille» COSTILHE». MELUT
et MARQUET. ont la douleur de voua faire
p art de la perte crueUe qu’lla viennent d'é­
prouver en la personne de
Madame veuve MELUT
NéO Eugénie OHAUTARD
leur mère, belle-mère, grand’mèra, arrière»
grand’mère, belle-sœur, tan te et cousine, -*•*--*
dée à Bauvagnat-Salnte-Marthe. le 22 —
bre 1938. è l'Age de 18 ans.
Les obsèques auront Heu en l'église de «AUVAONAT-SAINTE-MARTHE, demain samedi M
septembre, à dix heures
•
Réunion maison m ortuaire, à VENET, com­
mune do Sauvagnat.
L* présent avis tient lieu de faire-part.
^
OFFICE ANNIVERSAIRE
M. BERNARD, ses enfante, et toute la fa­
mlUe, vous prient de bien vouloir assister à
l’office anniversaire de
Madame BERNARD
Née OOMPAONON
qui sera célébré demain samedi M ssptsmBu *
A huit heures, en l'église Saint-Eutrope.
REMERCIEMENT«
M Jean LACOMBE ; Mlle M&rle-Jeaaae
la OOMBE. et toute la famlUe. remercient btea
sincèrement toutes les personnes qui leur ont
témoigné de la sympathie dans la douloureuse
circonstance du décès d»
Madame Jean LAOOMBE
Née Jeanne AUDIOIER
L'AVENIR DU PLATEAU CENTRAL
ETAT CIVIL DE CLERMONT-Fd
du 22 spptem bre 1938
Naissance«. — R ay B erthe-A ntolnetteMarcelle. — C apitan Jean-Denis-V alentin-M arie- — M alfreyt D anielle-M arie. —
V idal Roger-Léon-Antoine. — G agnlèro
G eorgette Jeannln e. — T h la llle r AndréLéon. — B ouvard A lain-P D rre.
Déoès. — B arth élém y A ntonln, 80 ans,
87. rue Fontglève.
D A N S LE P U Y - D E - D O M E
Les Pèlerinages d’Auvergne
Notre-Dame de Baron
F avorisée p a r u n tem p s splendide, la
fête de Notre-Dam e de B uron s ’est dé­
roulée, d im an ch e d ern ier, a u m ilieu
sio n avec la concours de la « S aintd ’u n e affluence p lu s considérable e n ­
M aurice ».
core que les an n ées précédentes.
A 16 heures : Défilé des sociétés de
Les diverses cérém onies de la Journée
Etat civil de la sem aine. — N aissan­
o n t été présidées p a r M. le ch an o in e
Un oonoert de gala par la Fanfare gym nastique : la « aintrM aurice » de ces.
MONTFERRAND
— Houx Sunone-G erm aine-M arL estrade, d irecteu r des Œ uvres, assisté
des trompettes de« Prévoyants de l’Ave­ Vollore-Viile e t 1* « A vantrG arde » de
celle. — S alan d re Miclielle.
de M. l ’abbé M agaud, curé de P aren t, ETOILE-PALAOE - MONTFERRANDI
nir. — S am edi soir notre excellente fan ­ Coui*plère.
P u b licatio n de m a n a g e . — M. PersoDépôt d ’une gerbe de fleurs a u M onu­
et de M. l ’abbé L avergne, vicaire à Le g ra n d succès po p u laire du rom an |
fare d o n n ait, sous la d irection au to ­
haye A ifred-H enri, à C herbourg, et M1.«
Royat, a n im a te u r très dévoué du sanc­
risée de son chef, M. J. D urognon, uii m ent aux Morts.
D
essaigne
Yvonne-Cajnille, sage-fem m e
A 16 h. 30 : Séance de gym nastique
tu a ire de B uron. De no m b reu x p rêtres
concert de g a la a u kiosque de la place
dans la cour de l ’écoie libre de g a r­ à Issoire.
o n t ég alem en t p ris p a rt au p èlerinage, avec FLORELLE, GABRIO, AZAIS
D
uchasseint.
Vendredi, Samedi, en soirée 20 h. 45
n o tam m en t M. l ’abbé Clém ent, assis­
A ce concert, les divers m orceaux im ­ çons. Comme les an n ées précédentes,
Pharmacien de garde. — P o u r d im a n ­
Dimanohe m at. 15 h., soirée 20 h. 45
ta n t ecclésiastique d e s œ u v res de Jeu­
posés a u Concours In tern atio n al de Vi­ cette fête no-us l ’espérons, a u ra un che et lu n d i : M. M ary, place de la
plein
succès.
Notre
petite
cité,
d
’o
rd
i­
nes
filles
;
M.
l
’abbé
Villot,
dire
c
te
u
r
chy qui a v ait lieu le lendem ain dim an­
F E R N A N D E !.
R épublique, téléphone 1-29.
ETRANGER EN DEFAUT
a u G rand-S ém inaire ; M. l’abbé A chard,
che fu re n t exécutés en prem ière a u d i­ n aire si calm e, fera bon accueil aux
d a n s ----Collège et Eoole primaire supérieure
M a xim o ff Jean. su jet ru sse, a été curé de N onette ; M. l’abbé Jonquet, vi­
fo rain s e t au x nom breux étran g ers qui
tion p o u r nos com patriotes.
’Issoire. — La rentré« des classes est
trouve d é m u n i des papiers réglem en­ caire de M ontferrand ; M. l'ab b é MosUn public ex trêm em ent sym pathique vien d ro n t lu i donner un peu d ’an im a­ dfixée
OHAMALIERE8
au sam edi 1er octobre à 8 heures.
taires que doit posséder tout étranger. nier, vicaire à S aint-G erm ain-L em bron;
a v a it répondu à l ’appel de la F an fare tion.
En supplém ent au program m e :
Il fera l'objet d e p o ursuites.
L ’exam en d ’en trée en 6* e t les e x a­
M- l’abbé F leu ry et M. l ’abbé Sol, vi­ Eooie laïque. — Inscription de« élèves.
et
jam
ais
ia
form
ule
«
Les
absents
e
u
­
LEZOUX
m ens de passage a u ro n t lieu dès ce
LE VOYAGE DES SOUVERAINS
caires à Saint-G enès-les-Carm es. P lu ­ — Mme« les d irectrices et M. le duréeren t to rt » ne fu t m ieux appliquée. En
No« écoles libre«. — Le zoux a le p ri­ jo u r.
BRITANNIQUES EN FRANCE
sieu rs sém in a ristes o n t assu ré avec t«ur des écoles laïques de G ham alières
effet, ta n t p ar le choix des m orceaux vilège
VOLS
se
ro
n
t
à
la
d
isposition
d
es
p
a
re
n
ts
p
our
d
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a
v
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ir
d
eu
x
écoles
libres
qui
soin l’o rg an isatio n m atérielle du pèle­
BESSE
exécutés que p a r la qualité h o rs p a ir sont en m êm e tem ps p en sio n n at et ex­
les Inscriptions des n o u v eau x éleves,
La no m m ée M ... G ilberte, 28 ans, rin ag e.
de l’audition elle-m êm e ce concert peut te rn a t : l ’école T aunn-D ufresse pour
Rentrée de» classes. — L ’école Notrele
sam
edi
24
septem
bre
e
t
1«
vendredi
fille
soum ise, a volé récem m en t u n
Dès le m a tin , les fidèles des environs
8auterie du F. C. Riomois. — D an­ être considéré comme le m eilleur q u ’il les garçons, l’école d u S acré-cœ ur Dame se fait un p la isir d ’a n n o n cer que
couteau de poche et quelque» m enus a rriv a ie n t à la chap elle p o u r les m es­ 30 septem bre, de 15 h. à 17 heures. Il seuses
la ren trée des classes, in te rn a t et
et dan seu rs, dim anche 25 sep­ nous fut donné d ’ap p la u d ir a u kiosque pour les jeu n es filles.
objets. Une de ses collègues, la fille ses de com m union, célébrées p a r M. est indispensable de se m u n ir d u liv ret
depuis de nom breuses années.
externat, est fixée au 3 octobre. Comme
Les
ta
rifs
les
plus
réduits,
m
algré
H... Angele, a elle aussi dérobé une l’abbé L avergne et M. l ’abbé Sol, ta n ­ de fam ille ou d’un b u lletin de n ais­ tem bre, le F. C. R iom ois org an ise pour
L’a u d itio n com m ença par un pas re ­
vous la prem ière sauterie de la saison.
l’ascension constante d u prix de la p a r le passé, les en fan ts tro u v ero n t
som m e de 100 francs et des pièces d 'i­ dis q u ’une longue file d ’au to ca rs am e­ san ce d e l'en fan t.
doublé,
D
upleix,
bien
enlevé
e
t
im
m
é­
De 15 heu res à 3 heu res du m atin, diatem ent on e n tra d a n s la difficulté .vie, sont appliqués a u x pensionnaires au p rès de leurs dévouées m aîtresses,
dentité. Après avoir été interrogées par n aie n t Ju sq u ’à l’e n trée du village, fleu­
ORCINE8
avec l ’éducation religieuse, l'in stru c ­
salle de la rue D aurat, le « Sym patic- avec
M. B ernard, chef de la Sûreté, elles ri et pavoisé, près de deux cents pèle­
Polonaise de Concert de F. An- pour une n o u rritu re saine, abondante tion la m eilleure ; un cours su p é rie u r
Syndicat de» Producteur* de
Jazz », au rythm e endiablé, exécutera drieu.la Ce
et une vigilance attentive de tous les
ont été présentées a u Parquet.
rin s clerm ontois.
m
orceau
qui,
le
lendem
ain,
est m êm e prévu. Les succès des ann ées
A 11 h eu res, u n e foule dense et re­ Tous les adhérents a u S y n d icat d O r- les d ern iers succès du jazz.
d ev ait valoir à la société les félicita­ instants.
Les nom breux succès obtenus chaque précédentes nous sont un sû r g a ra n t
cueillie assiste à la g ra n d ’messe. La cines sont in v ités à se ré u n ir à la m a i­
A ttraction sen satio n n elle 1-.. P o u r la
— PASSE — PRESENT — AVENIR — ch o rale d ’hom m es et de jeu n es gens de rie d im an ch e 25 septem bre, à 11 heu­ prem ière fois à Riom, en exhibition le tions d ’un ju ry p articu lièrem en t choi­ an n ée a u brevet élém entaire et aux d« ceux à venir.
si, fu t très ap p lau d i p a r nos com pa­
Saint-A m ant-T allende, accom pagnés à res, pour ex am in er et d o n n e r leu r avis « d ern ier né » de la danse : le « L am ­ triotes. M argarette, un boléro très g ra ­ certificats d ’études (libre e t officiel)
l ’h a rm o n iu m p a r son présid en t, M. An­ s u r 1 o rg an isatio n de la p roduction la i­ beth W alk « Oï ».
cieux vint en su ite et nous perm it d ap­ nous d ispensent de faire l ’éioge de
1 2 , rue Massillon,. 1 2 (p rem ier étage) to n in T ixier, exécute le pro p re de la tière dans le dép artem en t.
précier à leur valeu r la sonorité de nos l’enseignem ent qui y est distribué avec
AIGUEPERSE
M. B run, tré so rie r de 1 U nion, fera
m
esse
*
S
alve
S
an
cta
P
a
re
n
s
»,
et
a
lte
r­
trom pettes san s oublier le soliste hors a u ta n t de com pétence que de dévoue­
CLERMONT-FERRAND
ne les c h a n ts de l ’O rd in aire avec l’a s­ une conférence à ce sujet.
AUBIAT. — Fête patronale. — La fête p air, q u ’est (M. Guenon. Avec Collines m ent.
En raison de l ’im p o rtan ce de cette p atro n ale de la section de P e rsig n at boisées de G adenne, nous retom bions
A joutons à cela une éducation soi­
sistan ce, en traîn é e p a r le» A lou*nNOIRÉTABLE
d'A uvergne. D’excellents h au t-p a rleu rs réunion, spécialem ent o rg an isée po<ur est fixée au dim anche 25 septem bre.
DANS LE MONDE
d an s la m usique ue concours avec tou­ gnée a u point de vue m oral et re li­
la
défense
des
in
térêts
des
pro
ducteurs
perm etten t à tous ceux qui occupent
A cette occasion, g ran d bal, sous p a r­ tes ses difficultés. Les applaudissem ents gieux ; on y form e non seulem ent des
Accident d’autos. — De passage d an s
— Dites donc . doit-on dire u n ou une tes alen to u rs de la chapelle de suivre de lait, la présence de tous est indis­
intelligences,
m
ais
au
ssi
et
su
rto
u
t
des
quet-salon, avec le concours d ’u n chaleureux qui su iv iren t l ’au dition,
notre vihe, vendredi dernier, les au to ­
sandu'ich ?
p a rfa ite m e n t la cérém onie, et d ’en ten ­ pensable.
orchestre réputé. T irs, loteries.
m o n trère n t à nos trom pettes que le p u ­ âm es chrétiennes e t des consciences m obilistes R oger E dgar et Rouchouse,
— Mai, ça m 'e st égal ; je dis tou
droites.
d
re
l
’allo
cu
tio
n
prononcée
à
l’Evangile
La Jeunesse des environs est cordiale­ blic a v a it apprécié leur très gros effort.
PONT-DU-OHATEAU
de S aint-É tienne, a lla n t en sens in v er­
jours : P assez-m oi trois sa n d w ich s, i p a r M. le ch an o in e L estrade.
La ren trée des classes dans les deux se. ne pu ren t fra n c h ir le to u rn a n t d it
Une valse Sous Bols et u n d e rn ie r pas
Conseil municipal. — Le 13 septem bre m en t in v itée à v en ir s ’y divertir.
p ensionnats-externats a u ra lieu le d i­ « Chez-B aratin » sa n s s ’accrocher,
R etraç a n t l ’h isto ire du culte de la
redoublé,
R
etour
du
Ilavre,
term
in
èren
t
MONTAIGUT
m anche so ir 2 octobre pour les pen­
S ain te V ierge en A uvergne, l ’o ra te u r le Conseil m u n icip al s ’est ré u n i sous
de belle façon ce m agnifique concert.
HISTOIRE DE CHASSE
A cause de la m auvaise visibilité à
exhorte les p èlerin s de B u ic n à rester le présidence de M. le d o cteu r BesSAINT-ELOY-LES-MINES. — Etat oivll
Félicitons n o tre F an fare pour les gros sio n n aires et le lu n d i m atin 3 pour les cet endroit, une collision eut lieu entre
Ces cinq chasseurs p a risien s, assez fidèle-s à u n e tra d itio n aussi précieuse, serve, m aire.
externes.
(du
1
«t
au
15
septem
bre).
—
N
aissan­
progrès
q
u
’elle
a
réalisé
depuis
quel­
Lecture est donnée d u procès-verbal
les deux voitures qui fu ren t endom ­
m a u va is tireurs, abordèrent, l'autre et il le u r ad resse u n ém ouvant appel
Le bal de « La Fraternelle ». — La m agées.
m a tin vers sept heures, cette p laine de à la confiance, p lus nécessaire que ja ­ de la d erniere réu n io n . P u is les ques­ ces. — W ojcieszak S téphanie, rue Jules- ques années et qui sont l ’œ uvre de son
la Sologne, non loin de B om orantin. m ais en des h e u res p articu lièrem en t tions su iv an tes portées à l ’ordre du jo u r Guesde. — P etitallo t Jacques-R ené, au directeur, M. D urognon, qui ne regrette société de gym nastique et sports : « La
F ort heureusem ent, il n ’y e u t que des
T helx. — M ichaut M arinette, cité de ni son tem ps, ni sa peine pour donner F ratern elle », d o n n ait dim anche d er­
A onze heures, ils n 'a va ie n t pas en­ som bres.
o n t été étudiées :
à notre ville une société que l’on peut n ier son b al annuel. Et dès les prem iè­ dégâts m atériels.
la Côte.
coure réussi à abattre le m oin d re gi­
A
ssistances
p
o
u
r
1937.
—
Les
charges
P u is la procession trad itio n n elle s’é­
Réunion de la J. A. C. du canton de
Décès. — CharvITlat Frédéric-A ntoine, considérer comme une des m eilleures res notes attaquées, • une trè s nom ­
bier et m u rc h u itn t fo rt penauds ! Sou­ b ran le, suivie p a r cinq à six cents fi­ d ’ass.stan ce p o u r 1937 s ’élèvent à :
breuse assistance a fflu a à n o tre salle Noirétable. — Tous les jeu n es a g ric u l­
dain, d cinqua n te m ètres, u n lap in dèles, p a rm i lesquels on rem arq u e le 24.778 fr. 40, l’E tat et te d ép artem en t époux de B ouculat Anaïs, 55 ans, route fan fares de trom pettes d u m om ent.
teurs du canton so n t invités expressé­
Le ooncour» de Vichy. — Il fut com ­ des fêtes de la M aison du Peuple.
bondit dans L'herbe... Cinq coups de fu ­ groupe de la F édération Jean n e-d ’Arc, y p a rtic ip e n t p o u r 50 %, le contingent de la Chaux. — M eunier F rançois,
L’orebestre é ta it excellent, au ssi le m ent à se rendre aux ré u n io n s qui se
sil claquèrent en m êm e temp$ et fo u ­ celui des catéchistes m issio n n aires, une com m unal reste donc à : 12.389 fr. 20. époux de O livier M arie, 70 ans, route me nous nous y attendions, u n vérita­
droyèrent l'anim a l.
A ssurances accidents. — Les in dem ­ des Bayons. — B eaulaton Jean-Joseph, ble triom phe p our nos trom pettes, en bal fut-ij plein d ’en train . T out co n tri­ tiendront sam edi 24 et dim anche 25 repim posante d élégation de S œ urs de StAlors, l'u n des nem rods, qui le ra ­ V incent-de-Paul et un groupe com pact nités d u es a u x v ictim es d ’accidents du époux de B arthoux Angèle-Em ilie, 59 effet, la lecture du palm arès est éd ifian ­ b u e à en faire une très agréable soi­ tem bre.
Sam edi 24, rendez-vous au Collège
m a ssa it, assez « serré » et songeant d ’hom m es et Jeunes gens. La statu e >st tra v a il, a y a n t été sen sib lem ent a u g ­ ans, au P u y -B errard . — Bonne Jeanne, te, nous y relevons les prix su iv an ts : rée : les belles toilettes, la g aîté et
lw prix de lecture à vue avec un m ax i­ la bonne c a m a rad erie qui ne cessèrent des Salies. Tu se ra s accueilli d an s la
a u x cinq cartouches (7 fr. 50 exacte­ portée p a r les Jeunes filles d ’Yronde m entées p a r la loi du l«r ju illet dernier, veuve de G aillard Michel, 75 ans, route
d ’y rég n er ainsi que la tenue irrép ro ­ cour. A 19 heures : Repas et veillée
m e n t usées pour u n seul lapin :
la Com pagnie d ’assu ra n c e s q ui couvre des B ayons. — P eyronny M adeleine, m um de 30 points.
et Ruron.
,
Un l*r prix d ’exécution avec un m a x i­ chable de tous. Il ne se term in a q u 'au x sym pathique. Coucher.
— Dire que p our ce prix-là il n ’est
Aux accents des can tiq u es de L our­ les em p.oyés co m m u n au x s o lic ite une célibataire, 68 ans, à V irlet. — P âtre
prem ières lu eu rs du Jour, aux gran d s
m êm e pas... « enveloppé » !
D im anche 25 : A 7 heures, m esse
des, du c h a n t Joclste, et de « P arle, au g m en tatio n de 35 % de la p rim e d 'a s­ Jeanne-M arie, célibataire, 18 ans, rue m um de 30 points.
Avec félicitations du ju ry a u direc­ regrets des nom breux dan seu rs encore dialogué-e chantée et com m entée. Dé­
com m ande, règne », le pieux cortège su ran ce, à p a rtir du 1er ju ille t 1939. Jean-Jaurès. — M artin Jean., époux de
présents.
teur,
un
prix
ascendant,
désorm
ais
ia
p arc o u rt les ru e s du village, et rev ien t Le C onseil m u n icip al to u t en reco n n ais­ P éro n y M arie, 70 ans, cité de la Côte.
jeu n er.
société est classée en division su p érieu ­
Aussi pouvons-nous écrire que le bal
Confias vos dém énagem ents A à la chapelle, où a lieu la v én ératio n s a n t le légitim ité de cette au g m en tatio n
9 heures, cercles d ’étu d es avec Félix
M ariages. — Labbay Jean-M arie et re, prem ière section.
de
«
La
F
raternel«
»
peut
être
m
is
a
u
Senthiom e, détente su r les terrasses.
des reliques.
espère que la C om pagnie d ’a ssu ran ces B eaune Yvonne. — Lopez*José et Mu­
La société des T rom pettes de T hiers ra n g des belles m an ifestatio n s de l’a n ­
A 15 heures, les vêpres de la S ainte vo u d ra b ie n co n sen tir u n ra b a is e t lui noz Rosa. — C hardonnet Jean-M arie et
11 heures, éch an g e de vues p ratiq u es
rem porta au ssi le prix de bonne tenue, née.
Vierge rassem b len t de nou v eau les pè­ offre 25 %.
su r l'o rg an isatio n d u secteur.
Spécialiste
D um as M arguerite.
prix spécial affecté à la société qui se
Convocation
du
Conseil
municipal.
—
lerin s à la chapelle. En une brève allo ­
12 heures, dîner, pick-up, jeux visite
Jeux su r la place de l’Air. — M. le
Publication.' — Déblton Jules, ouvrier p résen terait le m ieux au concours et au
PARIS =
cution. M. l ’abbé V illot leu r dem ande
ré sid e n t e n possession d 'u n e dem ande serru rie r, rue Jean-Jaurès, et M atigner défilé. Notre société thiernoise fut en Le conseil m un rin a l de la com m une .« de l’o rg an isatio n agricole de m aison.
Lezoux
est
convoqué
en
session
o
rd
i­
— AUVERGNE d ’em p o rter de B uron u n accroisscm cni Pd'em
14 h 30, cercles d ’études, discussion
placem ent p our u n jeu de boules A lfrédine, s. p., cité de la Côte.
outre désignée p our donner, au lieu et n aire pour le dim anche 25 septem bre,
1 /2 T a r i f de dévotion à M arie, et le u r m ontre su r la dite place, fa it re m a rq u er que
place de la (Musique m ilitaire de l’Air à 10 heures, dans la salle ordinaire su r le tra v a il Je l’année et le 10e a n n i­
com
m
ent
cette
dévotion
doit
se
trad
u
ire
SAINT-GERVAIS
Départtfi Paris y Cltram: cîuqis aiard
v ersaire de la J. A. C. à P aris.
cette p'.ace a été réservée de tous tem ps
un concert qui fut suivi, le soir, p ar de ses séances.
d a n s le u r vie quotidienne.
6 heures, cérém onie d ’adieux.
CHARENSAT. — Grand bal. — L'Am i­ plus de 6.000 spectateurs et diffusé par
I.e salu t du S ain t-S acrem en t, an cours aux m am an s, en fan ts, v ieillard s et à
Objet
de
la
séance
:
D
ésignation
de
P rix de la p articip atio n , 10 francs.
duquel les voix fortes et bien exercées toutes p ersonnes v o u lan t g o û ter du cale Laïque de C harensat organise pour les postes d ’Etat.
six
délégués
sénatoriaux
et
de
deux
D evant un pareil triom phe nous léli- délégués suppléants (arrêté préfectoral Les adhésions seront reçues ju sq u ’a u
des c h a n te u rs de S aint-A m ant font en­ repos et p ren d re l ’a i r e n toute sécu­ le dim anche 25 septem bre prochain,
23 septem bre, p a r M. C harles Pilon13, rue St-Ccorgcs, Paris (9•)
ten d re n o tam m en t le « Salve, pie Jesu » rité e t tra n q u illité , le C onseil se range salle des écoles de g arçons un g ra n d cito n s très chaleureusem ent notre am i du 16 septem bre 1938).
cherv. au x Salles.
et u n « T an tu m » à d eux voix, clôture à so n a v is et décide q u ’u n arrêté soit bal. A cette occasion la direction, s ’est M. D urognon, chef de m usique hors
8AINT-RÊMY-SUR-DUROLLJE
im m éd iatem en t y in te rd isa n t for­ assu rée u n orchestre de choix d o n t p a ir et tous ses m usiciens et souhaitons
L ’Illustration publie cette sem aine un la p a rtie litu rg iq u e du p èlerin ag e. M pmris
Rentrée des classe«. — Les parents
ellem ent to u s jeu x de boules, de bal­ fa it p a rtie le virtuose accordéoniste que les T hiernois n ’atten d en t pas tro p
Nos Société». — Le dim anche 2 octo­
numéro p artic u liè re m e n t docum enté le curé de P a re n t rem ercie to u s ceux lons
ou a u tre s, ain si que les acrobaties trè s connu de tous les postes radiopho- longtem ps l’occasion de les ap p lau d ir bre, à l ’occasion de la fête de la Saint- sont inform és que la rentrée a u P en ­
a u r les problèm es de l’actu alité, avec qu i on t contribué à en a ss u re r le suc­
sionnat Salnt-C narles, école de filles,
d es cyclistes. P o u r d o n n e r u n e suite n iq u es d ’E tat, G aston iRlvière.
com m e ils le m éritent.
Rémy, la société de gym nastique l ’Es­ a u ra lieu le vendredi 23 septem bre,
u n a rtic le de L. N audeau : Après l'u lti­ cès.
Mais, su iv an t une tra d itio n déso rm ais favorable à la d em an d e de la société,
Examens Pigler. — Voici les résu l­ pérance d o n n era, d a n s sa salle, son a u m atin.
------------m a tu m de N urem berg.
bien établie, l’Action C atholique a sa il lui e st acco rd é bénévolem ent et
ta ts d ’exam ens o btenus a u co u rs de g ran d bal annuel.
Que doit-on penser du Racism e ?
place d a n s to u tes nos g ran d es m an ifes­ tem p o rairem en t u n em placem ent côté
l ’an n ée ju ille t 1938, sous le p atronage
C ham berlain l'Européen.
L’o u verture du bal se fera à 20 h. 30,
*ud
de
la
place
Cottier,
m
aie
il
dem
eure
ta
tio
n
s
relig
ieu
ses
;
au
ssi
M.
le
c
h
a
­
de M. Fonte-nille, p résid en t de la C ham ­ avec le concours d ’u n de noa m eilleurs seront donc larg e m e n t sa tisfa its et n o u s
L a T chécoslovaquie pourrait-elle ré­
e
n
ten
d
u
que
la
société
p
lace
ra
une
no
in
e
L
estrade
et
M.
l’abbé
C
lém
ent
bre de Comm erce.
sister, seule, à une attaque a llem a n ­
ne doutons p a s d u succès com plet de
Jazz.
ont-ils o rg an isé u n e ré u n io n en plein clôture autouT de so n Jeu, afin, d ’év ite r
D iplôm es décernés p a r la commission,
de ? etc...
A m ateurs dp dar.»« e t de m usique cette soirée.
En ru b riq u e cin ém ato grap h iq u e d e su ­ a ir p o u r les leunes filles de la F é d éra­ to u s accidents.
de P aris, 53, ru e de Rivoli.
C irculation d es v o itu res les Jours de
perb es prises de vues d u film Trois tio n Salnte-Jeanne-d'A rc, n o tam m en t
Téléph. 1-14
D iplôm e de stén o g rap h ie (100 m ots).
Valses a t to u tes les ru b riq u es h ab i­ p o u r les Jacistes, les E n fa n ts de Ma­ m arché. — P o u r év iter to u s accidents
— Mlles Debizet Gabrielle, D egoulange
rie
et
les
Joclstes,
que
la
pro
x
im
ité
de
la circ u la tio n d es v o itu res do toute»
tuell««.
M
arie, P rad el M auricette, P ouzet MarieVendredi et Samedi, soirée 20 h. 30
le u r m aison de repos de P a re n t a v a it so rtes se ra in te rd ite le s Jours de m a r­
A., S a n n a ju st Ginette, V isseyrias P a u ­
a ttiré e s à Buron.
Dimanohe,
14
h.
30
et
20
h.
30
ché de 9 h. à 12 h. d a n s la ru e du
lette, M om traynaud M arcelle, B ardin
Cette ré u n io n se d éro u la d a n s un D octeuc-Cham bige, o ù se tie n t p rin cip a­
Vous lirez, c ette sem aine, d a n s
Denise, G rissolange Renée, F aye M arie,
g ra n d esp rit de fra te rn ité ch rétien n e lem ent led it m arché.
CETTE SEMAINE :
Gidon H uguette.
et de com préhension m utuelle en tre les
R econstruction d ’u n m u r. — Le m u r
C ertificat de stén o g rap h ie (80 m ots).
J.O.C.F., les J A.C F. et les div ers m ou­
LA MANDOLE AUVERCNATE
— Mme D ucros Yvette, Mlles B arraud
ents représentés. Une cau serie très de l’ancien cim etière de Salnte-M artine
Concoure de Vichy. — Notre société vem
é
ta
n
t
en
ru
in
es
d
e
p
u
is
de
nom
breuses
Marie, Bonne y Marie-T., Barge M ar­
locale d ’orchestre à plectre « I.a Man- in téresan te et p ra tiq u e fu t faite avec a î nées, le conseil m u n icip al décide
guerite, T rim oulet Irène, F ournion
Un film sensationnel
dole A uvergnate » a p ris p a rt, le d im a n ­ beaucoup de sim plicité et d ’esp rit apos­ que les en tre p re n eu rs de la localité •'3Liiy, M asdorier M arcelle, F rad al P aule,
che 18 septem bre, a u C oncours In te rn a ­ tolique p a r la présid en te des J.A.C.F, so n t invités à déposer à la m airie,
Grellche Andrée, T roisville Sim one.
’F.nnezat d e v a n t les d eux cents Jeunes
tional de M usique de Vichy. Ce con­ dfilles
leu rs offres de soum ission cachetées et
présentes.
Diplôm e de dactylographie. — Debi­
co u rs qui g ro u p ait 70 sociétés de m u si­
charge M. l ’In g én ieu r d u Service vici­
M.
le
ch
an
o
in
e
L
estrade
et
M.
l
’abbé
La Scala. — Cette sem aine, su r zet G abrielle, D egoulange Marie, P ra ­
que a été pour ce g ro u p em en t l’occa­ Clém ent ap rès l’appel des groupes clô­ nal d ’établiT les plans et devis : la s u r­
sion d ’un succès m a g n ilip e, q a l est tu rè re n t la réu n io n en d o n n a n t les con­ v eillance d esd its tra v a u x lu i se ra can- l ’é cran du ciném a, une grande produc­ del M auricette, P ouzet Marie-A., S an ­
tion de W arn er Bros : « La C harge de n a ju s t Ginette, V isseyrias Poulette,
fiée
u n e Juste récom oense p >ur nos sym pa
signes actuelles de l’Action C atholique
th iq u es m usiciens m ontferrandai.s.
Le b ail d u pacage de la V ortille, seTa la B rigade légère », form idable recons­ B ardin Demise, G rissolange Renée,
e
n
co
u
rag
ean
t
les
»
A
louettes
d'A
u
v
er­
titu
tio n de la fam euse charge d u 27* T ourlonias Anne-M., S au v ad er L ucienne
I>es plus h au te s réco m p en ses le u r ont
résilié à la fin de la prem ière période
p a r FRANÇOISE AIRELLE.
L anciers, en Crimée, où les 600 cav a­ Bonraay Marie-T., F ra d a l P auie, T ro is­
été attribuées, à sav o ir : 1er p rix de lec­ gne » à a lle r to u jo u rs de l ’a v a n t p o u r trien n ale.
la
rec
h
ristia
n
isa
tio
n
de
le
u
r
m
ilieu.
liers de la B rigade légère réu ssiren t à ville Sim one.
tu r e à vue avec 27 points, 1er p rix d ’exé­
Une
cérém
onie
d
’ad
ieu
x
se
d
éro
u
la
à
8AINT-DIER
rom pre le fro n t de l ’artille rie russe
cution avec 27 points, le Jury le u r a
C ertificat d ’études com m erciales. —
h eures d a n s la ch ap elle où devait
ESTANDEUIL. — Mariage. — Le devant Sébastopol.
d ’a u tre p a rt décerné à l ’u n an im ité un 18
M lles P o u zet M arie, B onnay Marieêtre
célébré
le
len
d
em
ain
,
su
iv
an
t
une
prix ascen d an t, qui les classe e n 1" pieuse coutum e, un office p o u r les dé­ 17 septem bre, en m airie d ’E standeuil, a
Thérèse, P rad el M auricette, V isseyrias
célébré ie m ariag e de L ina F aure,
section de la 3e div isio n .
funts de la paroisse, les b ie n faiteu rs été
Gonseil municipal. — La séance à P aulette, M ontraynaud Marcelle, S an­
fille
de
M.
M
arius
F
aure,
m
aire
d
’Es­
n aju st G inette, Faye M arie, T roisville
e La M andole », p o u r son p rem ier
de la chapelle et les a n c i e o s pèlerinstan d eu il, et de Ju liette Laroche avec laquelle il sera procédé à la nom ina­
concours a donc obtenu un ré su lta t
un pittoresque article d'ELSA MORNAY,
Belle et réco n fo rtan te Journée, qui M. P In itran d Benoit, fils de Mme veuve tion des délégués sén ato ria u x a u ra lieu Sim one, Debizet Gabrielle.
m agnifique. Nos Jeunes ex écu tan ts (la In sp irera sans doute à beaucoup de ceux
dim anche 25 septem bre, à 10 heures,
Union Philharmonique. — Les cours
m oitié ont m o in s de 16 an s) bien en ca­ qui ne co n n aissen t p as B uron la réso­ P in tra n d , de Jalatogne, com m une d ’Es­ d an s la salle de la Cham bre de Com­ de solfège et d ’in stru m en ts recom m en­
et d es contes d e MARINA PAUL-BOUSQUET,
tan d eu il, em ployé d es ch em ins de fer,
drés p a r les m em bres fo n d ateu rs de la lution d ’y v e n ir l’a n p ro ch ain .
ceront le jeu d i 6 octobre 1938, et au ro n t
m erce.
CLAUDE J A N , etc...
dom icilié à M ontereau.
société ont prouvé l ’excellence de l ’in s­
GUNLHAT
lieu tous les lundi et m ercredi <:e
La cérém onie civile fu t présidée p ar
tru c tio n m usicale di nnée d a n s ce g ro u ­
chaque
sem
aine
à
19
h.
30,
salle
de
M.
G
attier,
adjo
in
t.
Les
tém
oins
é
ta
ie
n
t
AUZELLES. — Election complémen­
pem ent.
Ainsi q u e d e précieuses rubriques
M. F a u re Antoine, n égociant à Saint- taire. — P a r arrêté de M. le sous répétition, place de la M airie ; se faire
Une au d itio n des œ uvres m u sicales
DidieT-sous-Riverie (R hône), oncle de préfet de T hiers, du 20 septem bre in scrire chez le directeur, 16, rue
qui nous ont v alu un au ssi n et succès
d e C o n s e ils p r a t i q u e s :
s u r les sociétés concurrentes, sera don­
Société do Mcour» m u tu o li «t Amical« d u la m ariée, et M. P in tra n d Annet, frère 1938, les électeurs de la com m une d ’Au- Auguste-Dum as.
n é sal.o Poly d a n s un de nos p ro ch ain s Coloniaux «t T .O .l. du Puyd«-D ôm « (Lea du jeu n e m arié.
Ecole municipale mixte de musique.
zelles sont convoqués pour le dim an­
Marsouin«). — Dans sa réunion du 4 sep­
Le service d ’h o n n eu r, était assuré che 9 octobre prochain, à l ’effet de — Les cours recom m enceront le jeudi
concerts
tembre 19.T8 le bureau a décidé de convoquer p a r Mlle Georgette F aure, cousine de
Nos cours de m usique, solfège, m a n ­ tons
procéder à l’élection d ’un conseiller 6 octobre 1938, et a u ro n t lieu tous les
sociétaires & l ’apéritif mensuel qui
doline, banjo, g u itare, m andole, lu th , sera les
offert au siège social, rue Ballalnvll- la m a rié e q u ’acco m p ag n ait M. Pin- m unicipal en rem placem ent de M. Gi- jeu d is de 17 h. à 19 heures, salle du
com m enceront le lu n d i 26 septem bre. llers, chez Léontlne le dimanche 2 octobre tra n d Annet.
Cercle m usical, m airie, 2* étage. Jeunes
don, m aire, décédé.
Ils a u ro n t lieu com m e p a r le passé a u x k 10 h 30- Nous prions tou« nos membres
La cérém onie religieuse fut célébrée
filles e t jeu n es garçons, faites-vous
lieus et heures ci-dessous : Section de de bien vouloir y assister.
a r l’abbé P o u m arat, curé d ’E standeuil
in scrire de suite chez M. Lefont, pro­
et
M ontferrand : les sam ed is de 13 h. à
L'U nion CI«rmontol»e (Société do secours
e b rilla n t cortège, composé d ’une élé­ des écoles rap p o rta là som m e de 100 fr. fesseur de m usique, avenue P ierre20 h., salle P a ly ; Section de la P lai­ mu»uals «t de retraites). — Tous les socié­ g ante jeunesse, d ’une foule de paren ts
Aux fam illes F aure e t P in tra n d et G uérin.
n e : les Jeudis de 18 h. à 21 h. au dom i­ taires sont priés de vouloir bien assister à et d ’am is, a p rès sa ronde eu auto, au x jeunes époux nos m eiheurs vœux.
COURPIERE
l’assemblée générale qui aura lieu dim an­
cile d u directeu r, 7, rue de la Bonté ; che
courant à dix heures précises dans d an s les d ivers coins de la com m une,
VOLLORE-VILLE. — Fête patronale.
VIO-LE-GOMTE
S ection rue A natole-France : les ven­ une 25
se
ren
d
it
a
u
je
s
ta
u
ra
n
t
T
h
ia
llier
où
un
salle de la Malson du Peuple. F.n rai­
Salle de« fêtes - Cinéma.
D im anche — D im anche 25 septem bre, a u ra lieu
dredis de 18 h. h 21 h., an cien café son de l ’importance de la réunion la présen­ m ag n ifiq u e e t succulent repas les
M I N E R V A , notre supplém ent féminin
25 septem bre, soirée à 20 h. 30 : Meg la fête de la « Saint-M aurice ».
B ennegent, ru e A natole-France ; Sec­ ce de tous est Indispensable.
atten d ait.
P ro g ram m e : Sam edi soir à 20 heu­
tio n de C hanteran n e-L a F ontcim ag n e
P e n d an t le rep a s fort b ien servi, m u l­ Lem onier, Lyne CleveTs, P ills et T abet res : R etraite aux flam beaux.
est en vente p a rto u t: I fr. 25 le numéro.
d
an
s
une
opérette
viennoise
:
«
P
rin
­
les m a rd is de 18 h. à 21 h., café F au re.
tip les c h a n te u rs e t chanteuses donnè­
D im anche, à 5 heures : Réveil en
Les in scrip tio n s sero n t reçues aux F ontcim agne ; du vice-président Cons- re n t à la soirée, une atm osphère des cesse C zardas ».
Jours e t lieus indiqués ci-dessus, ainsi tan ty , 23, rue du Devoir, La P lein e ; e t nius gaies.
Max IRegnier, C hrystiane Delyne, Jim fanfare.
A 10 heures : G rand’messe, proces­
que : a u dom icile du p résident, M. Fon- du secrétaire, café M artin, 15, ru e Tu
Une quête faite au p ro fit de la caisse G érald d an s « Les C onquêtes de César ».
les-Guesde,
à
M
ontferrand.
lu p t, 33, allée des A bricotiers à La
CLERM O N T
Nouvelles =_
« G1GOLETTE »
en peu de mots |
_
.. s i ■■■
-
RIOM
IS S O IR E
T H IE R S
CHAMPIO
REX*
U .S .C . V
P o u r »a pre
ferran d , FA. s
p ro ch ain su r _
l’U. S. C. Vich:
d a n s la compé
m aître, en teua
lu i, 1 à 1.
V ichy possèd(
uant un joli
asslque, son
pa» assez ath lét
ml ers rôles dan
m oins, Vichy a
cize e t dom ina
seconde mi-tem
à un réflexe n
a rriè re s . C’est
» u ltat p o u r qui
lacem ent quL .
re d ’équipe» 1
A prem ier» v
beaucoup plue
L’A. S. M. e
« t son m atch c
« era assez diff
Son équipe
m e n t dim anche
céd er u n sec
tem ps, a lo rs q
a y a n t été blessi’
p a s m a u v a is d
rer, lorsque 1’
point, u n e bor.
L’e n tra în e u r
l ’A. S. M. d e m
n o n seulem ent
m al» au ssi sui
q ues p o u r que
ap p a ra isse n t, 1
tie, b eau co u p ï
A.S.M.-Vicny.j
s e ra su iv i p a r
des d eu x club-.
SA MAJESTÉ GRAMD’MÉREl
t3r « IG N A CE » ^
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M " GERM AIN E
LOIRE
D ans la mêm
d e rug b y pour
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ju n io rs A et .
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ZAt.
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DESBORDES S ttS K S i
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Ce n ’est p o ir
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probables d u
guré toujours
groupem ent, il
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M oEtferr aidais
de to u s comm-’
v o n t a ffro n ter
L eu r tâch e est
sn n t le u rs pose
le u r public, n
q u 'ils ré a lise r
m anoe.
. Coup d ’envoi
En lever d»
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« L’ILLUSTRATION »
AMBERT
LA SCALA AM" RT
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LA CHARGE
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D im anche 25
nabOiS debuieü
cham pionnat, d
l ’oppoaera au
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b u t ue saison,
p a s ligure de fj
m oins la ire n i1
A vrai dire, le.
ce n t un peu tù
équipe ne peu
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E nfin, d ’api 6»
ehe prochain,
ce que l'éqdi
faire. Tous le:
a p rè s sont prie
cises, cale Gai
déplacem ent.
Agutte«, Ferra:
don, R ougier, i
L ’équipe sec«,
zat (Puy-de-Dô
en un m atch a
de cette localit
h. 80, pour fait
train , Roum tv
G onnar, Bourd
G uittard, C har
m aux. U est
que6 changem
rés a v an t Its
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F E U IL L E T O N ne V A V E N U “<?8)
La rase arrachée I
par JEANNE DE COULOMB
XIV
en t-ce c e s lig n e s q u e C lau d e
re n c o n tré e s ? A c e tte idée, Ale se n ti fa ib le ; d e p u is q u e lq u e
s u r to u t lo r s q u ’elle é ta i t seu le,
ié e s l ’a s s a illa ie n t, l a souffleco m m e ces o is e a u x de n u it q u i
jie n t d a n s les g ro tte s o b sc u re s,
’e ffo rç a it de le s c h a s s e r, de ne
e» am ener à 1a lu m iè re , p a r
e de leur d o n n e r d e s c o n to u rs
i ; m a is elle g a r d a i t, d e leur
E l e m e n t , l’im p re ss io n d o u lo u que, le jo u r où elle le» v e r r a it
ce elle d e v ra it se c ra m p o n n e r
de’ divine p o u r en s u p p o r te r la
1our-là a/vait-il lui ? Devant le
été sanctuaire, de nouveau, eile
formuler ce qui, jusqu’ici, — -
p la in e . De lo in , elle re c o n n u t le vo
y a g e u r e t elle en re ç u t u n choc brusr
q u e a u q u e l elle ne p u t tr o u v e r q u e
c e tte e x p lic a tio n :
« J ’a i p e u r de ce q u ’il v a m ’a p ­
p re n d r e s u r M ik a et s u r C lau d e ».
M ais a lo rs , p o u rq u o i se s e n ta itelle d é b o rd ée p a r u n e im p re ss io n de
jo ie ? E lle n ’e s s a y a p a s de d ém êler
ce que c a c h a it ce s in g u lie r c o n flit de
s e n tim e n ts et, je t a n t so n o u v ra g e ,
elle d é v a la en c o u r a n t l ’a llée sablée.
Q u a n d elle p é n é tr a d a n s le g r a n d
s a lo n C la u d e , face à la lu m iè re , re ­
c e v a it l ’a r r iv a n t , e t s o n te in t liv id e
d é m e n ta it le p â le s o u rire d ’accu eil
q u i é tir a it ses lèv res.
L ’A m i, lu i, a u r a i t sem blé to u jo u rs
le m êm e s i son re g a r d n ’a v a it eu
u n e e x p re ssio n de m é la n c o lie , p lu s
p ro fo n d e en c o re .
T o u t de su ite , A lvère lu i d e m a n d a
des n o u v e lle s de M ika.
— E lle v a m ie u x , a ss u ra -t-il.
M ais il se m o n tr a tr è s so b re de d é ­
ta i ls s u r R é g asse ; « a n s d o u te, il ne
v o u la it p a s m o n te r A v it c o n tre celui-ci.
, .
.
R o b y , lu i, se t a i s a i t s u iv a n t sa
c o u tu m e . Il p a r a is s a it m êm e a b s e n t
de la c o n v e rs a tio n .
M lle D o rig n a c d u t q u itte r le sa lo n
p o u r s ’o c c u p e r du th é . L o rs q u ’elle y
parc, dans un bosquet dont elle ai­ re v in t p ré c é d a n t T in a q u i p o rta it 1«
m a it la s itu a tio n parce q u e , de là, p la te a u , elle c o n s ta ta q u e C lau d e
«lie découvrait la m ontagne et la s 'é t a i t a ss ise , le d o s aux g ra n d e s
t a i t v o lo n ta ire m e n t v a g u e d a n s so n
e s p r it :
« C la u d e a a r r a c h é u n e p a g e de
so u p a ssé . Si cette p a g e to m b e so u s
les v e u x d e m o n frè re , q u ’a r r iv e r a t-il ? »
S es m a in s se jo ig n ir e n t e n co re v e rs
la m è re du Bon S e c o u rs et, d a n s u n
é la n de son ê tre je u n e et g é n é re u x ,
elle o ffrit ses p e in e s, se» sac rific e » ,
s a vie elle-m êm e, p o u r le b o n h e u r
«t le s a lu t de» sie n s ; p u is , allé g ée d u
d o n q u ’elle v e n a it de d é p o se r d e v a n t
l ’a u te l, elle q u it ta le p o rc h e et co u ­
r u t v e rs les p ie r re s , In c ru s té e s d a n s
le p e tit m u r, q u i s e r v a ie n t d ’escalier.
« L o rsq u e l ’A m i re v ie n d ra , p en sat-elle en les e s c a la d a n t, je v e r r a i b ien
to u t de s u ite si, là -b a s, il a a p p ris
q u elq u e chose. E t, d a n s ce c a s , il
f a u d r a q u ’il m e ra c o n te to u t 1 P o u r
g u é r ir u n e m a la d ie , il im p o rte d ’a ­
b o rd de la c o n n a ître ».
C la u d e s ’é ta it a rr ê té e p o u r a tte n ­
d re s a b e lle -sœ u r. E lle n e se d o u ta
p o in t de ce q u e c o û ta it à celle-ci le
b e au s o u r ire q u i c o n tr a s ta it avec s a
p â le u r.
... U n sa m e d i de ju in où 1 a i r sen ­
ta i t bon le foin coupé, P a s c a l de L am ire l q u ’on n ’a tt e n d a it p a s en c o re ,
a r r iv a en a u to av ec A vit e t R oby.
A lvère tr a v a il la i t to u t en h a u t du
p o rtes-fen êtres. Elle ne p u t donc voir
si s a p â le u r p e r s is ta it ; m a is , a u
co u rs de s e s allées e t v e n u e s p o u r
p r é s e n te r les ta s s e s o u v e rs e r le li­
q u id e fu m a n t, elle s u r p r i t chez sa
belle-6oeur u n ra p id e coup d 'œ il ivers
le v is ite u r, occupé à p re n d r e d u s u ­
cre d a n s le s u c r ie r que lui p ré s e n ­
ta i t D ilette, e t ce coup d ’œ il tr a h i s ­
s a i t u n e d é tre sse a n x ie u se . A u n a u ­
tre m o m en t, elle in te rc e p ta u n é c la ir
de p itié q u i, to u t à coup, s ’é ta it a l­
lu m é d a n s les yeux de P a s c a l com m e
il r e g a r d a it C laude.
« Q ue s a it-il ? p e n s a la je u n e fille.
A-t-il a p p ris q u elque chose là-bas ?
Souffre-t-elle beaucoup de ce q u ’elle
c a c h e ? Mon D ieu 1 M on Dieu 1 Où
allons-nous ?
U n p eu p lu s ta r d , sous p ré te x te de
m o n tre r ie p a rc à le u r hôte, elle s o r ­
ti t avec lu i et, d ’a b o rd , n e lu i p a r la
q u e de s a c a d e tte .
— V ous a-t-elle la is s é c o m p re n d re
q u ’elle é ta it m a lh e u re u s e ?
— N on, v o u s la c o n n a is se z ; u n e
volonté de fe r soue des a p p a re n c e s
folles 1 S a fie rté lu i in te r d it de ae
p la in d re . E t elle se ta it.
— A vez-vous a u m o in s p rê c h é Maxence ?
— O ui et, p e n d a n t cin q à six se m a i­
nes, J’ai c ru q u e m es re m o n tra n c e s
p ro d u ira ie n t q u e lq u e effet ; m a is,
ch assez le n a tu r e l, 11 re v ie n t a u g a ­
lop, si l ’â m e n ’a p p ell« p a s à «on se­
c o u rs le s u r n a tu r e l p o u r lu i b a r r e r le
p a s s a g e ... Le m a lh e u re u x s ’est re m is
à jo u e r 1 E t m êm e...
Il s ’a r r ê ta com m e s ’il n ’o s a it a c h e ­
ver.
— Je v o u s en p rie , s u p p lia A lvère,
c o n tin u e z ! Je s u is h a b itu é e à tro u v e r
d e l ’a m e rtu m e a u fond de to u s les
b re u v a g e s q u i m e so n t o fferts.
— E h bien 1 a v a n t m o n d é p a rt, il
m ’a d e m a n d é u n p rê t d a r g e n t 1 Je
n ’a i p a s v o u lu en p a r le r a A vit,
p a rc e q u ’il a u r a i t te n u à m e re m ­
b o u rs e r a u s s itô t e t q u e ie n e le v eux
p a s I M ais il m ’a sem blé q u e je de­
v a is v o u s en a v e rtir , c a r, s a n s d o u te ,
u n jo u r , R é g a sse , à b o u t d ’expé­
d ie n ts, a u lieu de s ’a d re s s e r à son
b e a u -frè re d o n t il re d o u te la d ro ite
lo g iq u e, e s s a ie ra de vous ta p e r et,
p o u r ê tre p lu s c e rta in de ré u s s ir,
n ’h é s ite ra p a s à u s e r de ce q u ’il a
a p p r is là-b as. P ro m ettez-m o i q u ’a ­
v a n t d ’en p a r l e r à ceux q u i v o u s e n ­
to u r e n t, v o u s m ’avertL rez... N ous ex a ­
m in e ro n s a lo r s e n sem b le ce q u ’Ü
c o n v ie n t de fa ire
Ils a tte ig n a ie n t le b o sq u e t, to u t
ro u g e de p e tite s ro se s « c rim so n », où
le tr ic o t a b a n d o n n é g is a it en c o re s u r
Je sa le.
A lvère se la is s a to m b e r d an » l u n
d e s g ra n d s fa u te u ils ru s tiq u e s o u i
a tte n d a ie n t les a m a te u r s d e belles
vu es.
à peine p e rc e p tib le , ce c h a n ta g e a u ­
r a i t t r a i t à C lau d e ?
T o u jo u rs d e b o u t, il fit de la tête
u n s ig n e a ffirm a tif.
— M ais c o m m en t e x p liq u e r ces ex­
ce lle n ts re n s e ig n e m e n ts en v o y és de
S a ig o n ?...
— Us c o n c e rn a ie n t u n e a u tr e d am e
G é ra rd d o n t la p e rs o n n a lité a v a it
q u e lq u e s t r a it s de re sse m b la n c e avec
v o tre b elle-sœ ur. Le m a r i de celle-là,
en effet, s ’a p p e la it C lau d e, d é ta il q u i,
é v id e m m e n t, a provoqué la confu­
sion d o n t Mme D o rig n a c a bénéficié
— Quelle était la vérité ? Dites-la
moi.
— C e rta in s d é ta ils m a n q u e n t e n ­
co re à m o n e n q u ê te ... On a p ro m is
de m e les fa ire p a rv e n ir. Je vous d e­
m a n d e r a i donc de g a rd p r le silen ce
ju s q u e -là ... E t je m e s e r a is m êm e tu
«i je n ’a v a is c r a in t v o tre a ffo le m e n t
d e v a n t le» ré v é la tio n s de R ég asse.
— Claude est-ella gravement cou­
pable ?
M
— Je la crois plus digne de pitié
que de colère.
— Elle souffre beaucoup, en tout
cas I
— Je n ’en su is p a s éto n n é. E lle
d o it ê tr e ro n g é e p a r le s o u v e n ir du
p a ssé , de l ’e - r e u r d o n t elle a p ro filé.
Soyez tr è s bon-ne p o u r elle, A lvère !
Je m ’y efforce... Et, chose cu ­
rieuse, à force de m'occuper d’elle, Je
— Alors, balbutia-t-elle d’une voix me su is prise d’affection pour cette
n a tu r e de sen sitiv e, v r a im e n t a t t a ­
c h a n te ; de son côté, elle ne sem b le
p lu s re d o u te r, com m e d a n s les p re ­
m ie rs tem p s, m on in flu e n c e s u r D i­
lette. Au c o n tra ire , l’a u tr e jo u r , elle
m ’a dit : « Si Je v e n a is à m o u r ir ,
c ’est à vous que je v o u d ra is la co n ­
fier... » M a lh e u re u se m e n t, elle s'é lo i­
g n e de p lu s en p lu s de la re lig io n .
A peine a ssiste-t-elle à la m e sse le
d im a n c h e , e t en c o re p o u r n e p a s
s c a n d a lis e r s a fille 1 Et q u a n d elle
e«t IA, d a n s c ette ég lise o ù l’a u te l
surélevé sem ble v ra im e n t le so m m e t
du C a lv a ire , elle n e sem b le p a s g o û ­
te r l’im p ressio n de paix q u e v e rs e n t
les v o û tes... elle p a ra it, an c o n tra ire ,
inquiète m al à l’aise. P e n d a n t les
co u rtes hom élies de M. -le c u ré elle
"este la tête penchée, la m ain au
fro n t... On la se n t ép u isée p a r u n e
lutte secrète à laq u elle on n e p eu t
m ettre fin, p u isq u ’elle s e re fu se aux
av e u x ... C ep en d an t, à c e rta in e s heure s » t e n e z 1 l’a u tre jo u r, à S o co rry
—- elle p a r a it touchée, e t p u is, le len­
d em ain . je m ’a p erço is q u ’au tieu
d a v a n c e r, elle a recu lé... Oh ! que
j ai de peine a lo rs à n e p as m e laiss e r e n v a h ir p a r le d é c o u ra g e m e n t !
Maus J’ai v otre livre, l'A m i, et q u a n d
j e n te n d s c h a n te r d a n s m on Ame
! u n e des b d lc s p en sées q u ’il con­
tien t, je re p re n d s a u s s itô t c o u ra g e , et,
m êm e j ’ai la force de s o u rire ...
(A suivra.)
FOOTBALLm an d e m atch
férence le 25
G ilbert, secrét»
p h o n e r a u 45.
i.'l; I M il |r*1
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par
— Non. Et
décourage ;
nace, plu« fo
je veux gué
moi ; m ais
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en bonheur t
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guérir pour ««
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L'AVENIR DU PLATEAU CENTRAL
38
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Tennis
LES AUDmONS DE T. S. F.
Les Championnats de Montiuçon
LA VIE S P O R T I V E
r
hiss iipe-MarpersoIfi
m
L’OUVERTURE DE U SAISON DE RUGBY
CHAMPIONNAT DE LA L A. CHAMPIONNATS DE FRANCE
. a
H k a n ii
A LA P L A IN !
|Ö 1114t 11-
P o u r 6a p rem ière ren c o n tre à Montfe rra n d , TA. S. M. recev ra d im an ch e
p ro c h a in s u r son te r ra in de la P lain e
f’U. S. C. Vichy, q u i v ie n t de d éb u ter
d a n s la com p étitio n p a r u n coup de
m aître, en te n a n t en échec Decize chez
lu i, 1 à 1.
Vichy possède u n onze rap id e, p ra ti­
q u a n t un jo li football de conception
classiq u e, son en sem b le n ’est toutefois
p a s assez ath létiq u e p o u r lo u e r les pre­
m iers rô les d a n s le c h am p io n n at. Néan­
m o in s, Vichy a Im posé son Jeu à De­
cize e t d o m in a nettem en t, su rto u t en
seconde m i-tem ps. 11 d u t so n matcûi n u l
a un réflexe m alh eu reu x d ’un de ses
A rrières. C’est donc u n très beau ré­
s u lta t p ou r qui c o n n a ît le difficile dôlacem ent q u ’est Decize, où bon nom re d ’équipes la issero n t des points.
A p rem ière vue, Vichy a p p a ra ît être
b eaucoup p lu s a u point q u e l’A. S. M.
L’A. S. M. est e n période de rodage
«t son m atch contre u n Vichy en form e
s e ra assez difficile.
Son équipe a Joué trè s courageuse­
m e n t dim an ch e à V auzelles et d u t con­
céd er un second b u t en seeonde-rmtem ps, a lo rs que Jo u an t à 9 (Lafarge
a y a n t été blessé). Ce ré s u lta t n ’est donc
p a s m a u v a is d u to u t et p erm et d ’espé­
rer, lorsque l’A. S. M. se ra p lu s a u
p o in t, u n e bonne saison.
L’e n tra în e u r qui v ie n t d ’a rriv e r a
l ’A. S. M. d e v ra donc p o rte r ses efforts
n o n seu lem en t su r le tra v a il in dividuel,
m a is au ssi su r les d isp o sitio n s ta c ti­
q u es p o u r que les lig n es de l’équipe
a p p a ra issen t, lors de sa p ro ch ain e so r­
tie. beau co u p plus soudées.
A.S.M.-Vicny, un inatoh équilib ré qui
s e ra su iv i p a r les n o m breux su p p o rters
des d eu x clubs.
U. S. C. Vichy contre A. S. M.
de la
p rie u re
■ ■ t ’
| he im-s.
es ex.v
dès ce
A MONTÏAJÇON
DIUXIEM E DIVISION
A BEI MS. — (Reims b a t M ulhouse,
4 à 0.
A TROYES. — R ennes b a t T royes,
AU S1A DE SAINT-JEAN
5 A 0.
A
A
2 à
A
2 à
A
Stad« Aurillacois 1
PARIS. — R ed S ta r b a t Nice, 4 à 0.
COLMAR — Colm ar e t C.A. P a ris,
( D i v i s i o n d ’e x c e l l e n c e )
contre U. S. Montluçonnaise
2.
Boulisme
0 0 N 0 0 U R 8 ENTRE 800IB T A IR E 8
A L U. B. MONTFERRANDAISE
C’eat avec un plein, succès que la
Dumlop-Sportô a organisé les cham­
pionnats de tennis de Montiuçon sur
ses trois courts. Ils ont duré deux
Jours.
Sept titres étaien t en leu, Louis Mlc h eau qui fut p e n d an t de longues a n ­
nées le m eilleu r jo u e u r local, a v ait p a r
la su ite subi u n e baisse de form e assez
n ette, il v ien t de d ém o n trer q u ’il fal­
la it encore com pter avec lu i en in sc ri­
v a n t son nom au p alm arès de trois
épreuves, le sim ple, le m ixte e t le dou­
ble.
M m e Delooz reste la m eilleure loueu­
se locale, elle l'a prouvé e n en lev a n t
le sim ple e t le m ixte. L efaure, finaliste
d u sim ple, a gagné le double en com ­
p ag n ie de M lcheau, tan d is que le plus
je u n e des frères H acker a triom phé
chez les juniors.
Le bureau de l ’U.B.M. rappelle à ses
membres actifs et honoraires que son
prochain concours entre sociétaires au­
AU STADE DU DIENAT
ra Heu dimanche 25 septembre, sur le
terrain de la société au Franc-llozier.
Stade Limousin U. C. 1
Les inscriptions et le tirage au sort
contre S. C. M. 1
des quadrettes auront lieu u 8 heures
précises.
A .8. MONTFERRANDAISE (R)
OONTRE S.C.M. (2)
Nous invitons les sociétair-îs à parti
Résultats techniques :
P ro g ram m e d ’o u v ertu re de réaile va­ ciper nombreux à ce concours. Ils sont
S im ple M essieurs (Coupe Andréleur, que celui m is s u r p ied p a r le assurés de passer une excellent! Jour­ Sports).
— P rem ier to u r : V oisin b a t
née et de gagner en même temps un
S.C.M, p our dim anche prochain.
P in g u et ; D ubost b a t T rép ard o u x ;
Le lever de rid e a u v a u t à lu i seul le très joli prix.
BOULOGNE. — A rras b a t Boulogne,
L’U.S.M., qui vien t de fo u rn ir une
1.
b rilla n te saison d ’athlétism e, o u v rira,
NANCY. — N ancy b a t C harleville, dim anche, sa saison de rugby e n rece­
v an t l ’excellente équipe d.u S ta le Au2 à 0.
t
A D IEPPE. — D ieppe b a t Nîmes, rillaoois
Jard o n , w.-o.
C’est là u n choix judicieux, 11 fa u t en d éplacem ent d u D lénat.
3 à 2.
D euxièm e to u r : M icheau b at Re­
o
n
v
e
n
lr
.
En effet, l ’équipe seconde du club
A M ONTPELLIER — M ontpellier et
Les S 'a d is te s a u rillaco is qui, comm e local effectuera un début de saiso n im ­ BOULE AMIOALE BOURBOULIENNE n a rd ; H acker b at R ebiere ; G irard,
Toulouse, 2 à 2.
ch acu n le sait, opèrent en dlvisio i
MM. las m em bres de la B. A. B. sont w.-o.; D ubost b a t F leu ry ; C anonviile
A VALENCIENNES. — V alenciennes d ’excellence, o n t b rillé d ’un vif éclat, p ressio n n an t en re n c o n tra n t les actueis
cham pions de F rance de la catégorie, p riés d ’assister à la réu n io n qui a u ra b at Jard o u x ; D em aison G. b a t Denis ;
b a t T ourcoing. 5 à 0.
ia sa iso n passée, au cours de la com ­ c ’est-à-dire l ’A.S. M ontferrandaise, qui lieu le sam ed i 24 co u ran t, à 18 h. 30, L evert b at B arbier ; L efaure b a t Coste.
A DUNKERQUE. — D u nkerque b a t pétition n ationale.
T roisièm e to u r : M ichaud bat H acker ;
v ien t d ’o u v rir sa sa iso n e n b a tta n t la r ­ a u siège (T ouring-H ôtel).
Est-il utile de rap p e le r leu r victoire gem ent l ’équipe p rem ière du Stade 19D ubost b at G irard ; D em aison G. bat
L ongwy, 4 à 1.
C
oncours
du
d
im
an
ch
e
25.
T
ira
g
e
a
u
C anor.vllle ; Lefaure. w.-o.
A ALES. — Alès b at G irondins. 1 à 0. b i p ju le de 5. su r 1 U S.A. P e rp ig n a soirien.
so rt des quadrettes.
D em i-finales : M icheau b a t Dubost,
Le m atch prin cip al opposera les
A l ’issue des m atch es d ’a u jo u rd ’hui, nalse, qui devait, quelques m ois plus
lard
,
rem
p
o
rter
le
titre
d<ch
am
p
io
n
de
4-6, 6-4, 6-3 ; L efaure b a t D em aison G.,
équipes de Lim oges et d u S p o rtin g lo ­
le c lassem e n t s ’éta b lit comme suit :
F
ian
ce
7
Cette
victoire
fut
nette,
in
d
is­
cal. Des d eux côtés, les m eilleurs élé­
1. Reim s, m points ; z. Reu ô .a r, ' j ; 3.
6-3, 6-2.
LE OHALLENGE « 8UZE »
F in ale : M icheau bat Lefaure, 6-1, 6-2.
Rennes, 9 ; 4. A rras, s ; 5. M ulhouse, 7 ; cutable et l ’in te rp atio n al D esclaux, c a ­ m ents disponibles seront alig n és. Si leb
DE MCNTLUÇON
p
itain
e
de
l’U.S.A.P.,
reco
n
n
aissait
que
v
isiteu
rs
peuvent
déplacer
tous
leur»
G irondins, 7 ; 7. Nancy, 6 ; V alencien­
__ (Coupe D unlop). —
L a g ran d e m an ifestatio n bouliste
S im ples Dames
nes, 6 ; 9. C harleville, 6 ; Nice, 6 ; Tou­ .es cham p ions d ’A uvergne possédaient mi'Mtaires, com m e ils l’espèrent, la for­ organisée à M ontiuçon, grâce à la gé­ P re
m ie r to u r Mlle P é ro n n in b a t Mme
louse, 6 ; C.A. P aris, 6 ; D unkerque, 6 ; un quinze de prem ière valeur e t q.i i o m ation lim ousine a u ra belle a llu re. Eu n érosité des E tablissem ents de la Suze,
14. Boulogne, 5 ; C olm ar, 5 ; 16. Mont­ a v aie n t nettem ent m érité leur victoire. plus des lo u eu rs d ont nous donnons a obtenu ur.; très g ro s «uccès. Elle fut L efaure.
Voilà donc le quinze que les M onilu- les nom s, Il est possible que l’excellent
D em i-finales : Mme C anonviile bat
pellier, 5 ; 17. H au îm o n t, 4 ; 18. Long­
Dis-quarts a ile L am othe, qui lo u a it p a rfaitem en t organisée p a r l ’Union des Mlle R enon ; Mme Delooz b a t Mlle
wy, 4 ; Nîmes, 4 ; Alès, 4 ; Dieppe, 4 ; çon n ais vont av o ir le p la isir d ’ap p lau ­
dir. dim anche, à S aint-Jean. D evant ce . un d e rn ie r au C.A. B riviste, opèrfe a B oulistes M ontluçonnais qui n ’est pas P éro n n in .
22. T ourcoing, 3 ; 23. T royes, 2.
redoutable groupem ent, l ’U.S.M. all- une aile de l ’équipe du S.L.U.C.
un club m a is u n o rg an ism e créé p o u r
F inale : Mme Delooz b a t Mme CanoDn era ses m eilleurs élém ents disponlAu S.C.M., A utissier. D esrouffet, Bia- cette com pétition e t co m p ren an t tous vllle, 6-1, 6-2.
les
qui
seront,
à
quelques
u
n
ités
près,
A ISSOIiRE. — Club Sp ortif Auzarotte, L egoutlère, M atnonière, Beudot, les rep résen tan ts d es sociétés locales.
Double m ixte (Coupe L em ouzy). —
ceux avec lesquels sera définitivem ent absents p o u r le m atch co n tre O rléans,
Le challenge « Suze », qui re v e n a it
tois (1) oontre V élo-Sport laaolrlen (1).
constituée
son
équipe
prem
ière.
à la quadrette ^ a8 nante du ch am pion­ P rem ier to u r : Mme Delooz-M icheau
sero n t présents.
D im anche p ro ch ain a u r a lieu l ’o u ­
b atten t Mlle Péronnin-D em aison ; Mine
•
---------------------Com position de l ’équipe du S. L im ou­ n at, fut rem porté p a r la q u ad rette Mo­ el
v ertu re de la sa iso n de foo tball des
M. C anonviile b a tte n t Mlle Nicolasna ssi, des Boules S portives M ontluçonsin U.C :
A BORT-LES-ORCUE8
« bleu et or » du Vélo-Sport lsso irien .
Jard
o u x ; Mlle R enon-Fauxy battent
naises,
qui,
cette
année,
collectionne
A
rrière
:
C
rrere
;
trois-quarts
:
LediA oette occasion, les o rg a n isa te u rs o n t
Mme e t M. P inguet.
les
trophées.
C’est
u
ne
équipe
d
u
m
êm
e
ue,
G
uillerm
e,
B
régéras.
M
ontastler
;
fait appel a u C. S. A uzatois, fin aliste
D em i-finales : Mme Delooz-M icheau
omis, m êlée : T alabot ; ouverture : Gé- club qui p a rtic ip a à la finale d u c h am ­
S. C. Tulliste 1
l ’a n d e rn ie r de la Coupe S a le rs gagnée
rau d ; a v an ts : T rica rt, T lélln, H ey n art, p io n n at tan d is que deux q u ad rettes d es b a tte n t Mme e t M. C anonviile ; Mlle
p a r les Isso irien s. Ce m atch am ical
contre
A.
S.
Bortoise
1
D
lot-Lefaure
b a tte n t Mlle R enon-Faury.
V
ittau,
G
rousseles,
Buzy,
Monsso,
AyBoules M ontluçonnaise d isp u tè re n t la
sera m is à pro fit p o u r c o n stitu er les
F inale : Mme Deloux-M icheau b atten t
finale de la consolation.
Après M ontferrand et A urillac ce sont rnard.
équipes p rem ière e t seconde q u i re p ré ­
S.C.M.
Mlle D lot-Lefaure.
R ésultats techniques :
se n te ro n t le V.S.I. d a n s le ch am p io n ­ les T ullistes qui d im anche se re n d ro n t
D ans la m êm e enceinte, le s am ate u rs n a t de 2» division e t d a n s lu Coupe à B ort p o u r re n c o n tre r les hom m es de
A rrière : B rondeau : tro is-q u arts :
Double M essieurs (Coupe Léon-DaP
re
m
ie
r
to
u
r
:
Jolion
b
a
t
U
rcat,
Beu­
de ru g b y p o u rro n t ég ale m en t a ssiste r Salers. Aussi, tous les Jeunes g en s dé­ Lom bard. Ce déb u t de saison est u n vé­ D esrouffet, Beudot, M athonlêre, Re­ dot bat V ernadot, R ibiere bat G ardot, niel). — P re m ie r to u r : G irard-C anonà le u r sp o rt favori puisque les équ ip es s ira n t p ra tiq u er le football p eu v ent ritab le ré g a l p o u r les sportifs bortois g rain ; dem is, m êlée : A utissier : o u ­ G uillem in b at A uroyer, M onassi bat ville, w.-o. ; G. et P. D em aison batten t
Ju n io rs A et B de l’A.S.M. recev ro n t d ’oirès et d éjà se faire in sc rire et a ssis­ qui a u ro n t la satisfactio n d ’av o ir vu verture, Roy ; a v a n ts : Lacaze, B illaud, G reuzat, D agournet b at L aneurie, Stel­ R ebiere-Pinguet ; Faury-L evert b atten t
le u rs c a m a ra d e s de M oulins et d e Ger- te r à la réu n ion qui a u ra lieu jeu d i évoluer les m eilleures équipes de la B iarotte, L egoutlère, C hartier, Jaw ors- la b at Niotte, R aynaud bat R aym ond, R enard-B arbier ; L efaure-M lcheau b a t­
zat.
22 septem bre au siège social, café des région, to utes classées en division d ’ex­ ka, Fargeot, Raclet, Devèze, p lu s Le- C hassagne bat Debezet, G uindolet bat te n t Coste-Hacker.
, bon, B atier.
T illeuls ; tous les jo u eu rs de la saiso n cellence.
D em i-finales : G irard-C anonville b at­
Dupré, F erre b at V igier, Ruzzi bat ChaLa venue des T ullistes doit être le
écoulée
sont
convoqués.
- 4 -4 4 nudet, P e rre t b a t H aour, Diaz bat Ras- te n t G. e t P. D em aison ; L«faure-MiPremière Division
clou de celte série de m atches à B ort
p
ilaire,
Ays
b
a
t
Amboise,
P
h
ilip
p
en
bat
cheau, w.-o.
A MAURIAC. — E. 8 . A llanohe 1 oon­ ca r les v isiteu rs, n o u v eau x prom us en
Boudet, V iala b at Desafix, M assebœuf
tre S tad e M auriacols 2.
F inale : L efaure-M lcheau b a tte n t Gi­
excellence, v eu len t s ’im poser p lu s que
A arvant
b
a
t
G
irard,
L
onguon
b
a
t
A
utissier,
Dé­
rard-C anonville, 11-9, 1-6 et 6-3.
A BOURBON-L’ARCHAMBAULT. — Jam ais et si n ous ajo u to n s à cela la ri­
ni
ay
et
b
a
t
R
agor.
A- 8 . O. de M ouline oontre Bourbon- v alité sportive des deux clubs nous
U. S. Arvant P.-L.-M.
Sim ple ju n io rs. — P re m ie r to u r : Ro­
pouvons a ffirm e r que la rencontre m é­
Deuxièm e to u r : C hassagne b a t R ay­
Sportif.
rt b a t R enet ; J. Vellay b a t M oulin.
contre C. A. S. Durollien
naud, S tella b at Beudot, R ibiere bat b eD
rite d ’être vueem i-finales : H acker bat R obert ;
L’équipe
tu
lliste
est
digne
des
m
eil­
Ruzzi,
M
onassi
bat
Jolion,
CrUillemin
Le stade de la ro u te do B ournoncle
P. D em aison bat J. Vellay.
G. 8. P. Q. 2 bat U. S. R andan 2, p a r leures, c a r a y a n t conservé tous ses élé­
bat
I.ongeon,
Diaz
b
at
G
uindolet,
Taspra, dim anche, le th éâtre d ’une belle 4 à 0.
F inale : H acker A ndré bat P. D em ai­
m en ts de la saison dernière, elle vient
gern et bat Ays, M assebœ uf bat P h ilip ­
ren c o n tre de ch am p io n n a t qui oppose,
son, 6-2, abandon.
d
’e
n
reg
istrer
les
ren
trées
de
L
achenaud
L’c<juipe
des
jeunes,
qu
i
était
à
sa
pen,
V
alla
bat
Demnyet.
p o u r ses d éb u ts d a n s la com pétition,
D im anche 25 septem bre sera o rganisé
Gay, ancien s jo u eu rs prem iers du
------------4 + 4 -----------T roisièm e to u r : M onassi b a t Stella,
les p rem iers ch em inots aux couteliers prem ière re n co n tre de la saison, fit et
une belle p artie e t n ous laisse prévoir C. A. B riviste, de B ourges, de l’A.S. le G rand P rix Cycliste populaire.
d u ro llien s.
R em ise des dossards à p a rtir de 14 Ribiere b a t P ê rret, G uillem in b a t Diaz.
M ontferrandaise, in te rn a tio n a l m ilitai­
d
’a
u
tre
s
su
rp
rise
s
d
a
n
s
l’année.
Ce n ’est poin t ex ag érer que de p ré ­
heures, à Saint-O urs. P arco u rs : p re­ M assebœ uf b at C hassagne, V ialla b at
Q uelques-uns de ces Jeunes p oulains re et du dem i de m êlée G irard, du S ta ­ m ière étape : S aint-O urs, Le V auriat, T agournet.
se n te r les v isiteu rs com m e v ain q u eu rs
de
C
lerm
ontois,
tous
Joueurs
de
valeur.
p ro b ab les d u D istrict. A près av o ir fi­ com m encent à se d istin g u e r et fero n t
Q uatrièm e to u r : V ialla b a t MasseDu côté bortois nous retrouverons P ulvérlères- C hapdes-B eaufort, I es AnAU RAPID POOTBALL-OLUE
guré to u jo u rs h o n o rab lem en t d a n s le u r d an s u n e ou deux saisoi s de bons élé­ encore les m êm es élém ents q u ’aux ren ­ cizes, S aint-Jacques, La Goutelle, soit bœ uf, G uillem in b at R ibiere, M onassi,
m
en
ts
p
o
u
r
la
p
rem
ière
équipe.
D ans en d e rn ière réu n io n , 1« R apid
g ro u p em en t, ils fin issaien t 2*, la s a i­
contres p récédentes et que Lom bard en­ 35 kilom ètres. Une dem i-heure d ’a rrêt, w.-o.
so n précédente, d e rriè re l’A. Sportive
tra în e de m ain de m aître. Si on en p u is deuxièm e étape. D épart, 16 li- 30 :
■
♦ ♦ '4
D em i-finales ; M onassi b a t V ialla, a procédé à l’élection de son nouveau
b u re a u p o u r la saison 1938-39.
M o rtferraid ai6 e. Et ceci n o u s dispense
croit les bruits, quelques nouveaux L a G outelle, B rom ont, i ’o u tg ib a u i, 13 à 12 ; G uillem in, w.-o.
d e to u s co m m entaires su r l ’équipe que
Joueurs cotés d an s le rug b y à quinze C ham bois, La Mlouze, P o n tg ib a u l, StOnt été nommés :
F in ale : q u adrette M onassi, Laran,
-vont a ffro n te r las hom m es de C hanson.
fera ie n t le u r ren trée, m ais la discrétion O urs, le V auriat, soit 35 kilom étrés. Au David
P résid en t d ’h o n n e u r : M. Ipousteguy,
et
G
allard
bat
q
u
ad
rette
Guille­
L eu r tâch e est difficile, m ais connalsto
tal
70
kilom
ètres,
p
o
u
r
près
de
2.uu0
la plus absolue nous a été cltmaruléc.
d irecteu r des H ouillères d u Centre.
m
in,
Fressard
frère*
et
D
um
as,
toutes
e an t le u rs possibilités e t Jo u an t d e v a n t
fran
cs
de
prix.
A u jo u rd ’hui- nous ne pouvons donc en­
V ice-président d ’h o n n e p r : M. Fele u r public, n ous som m es persuadés
P rix p a r étapes : 40, 30. 20. Au classe­ deux des B. S. M-, par 15 à 12.
core rie n dire.
n ay ro l, pharm acien.
Le challenge « Suze » est donc gagné
q u ’ils ré a lise ro n t une belle p erfo r­
Le coup d ’envol sera donné à 15 heu­ m en t g énéral (p a r a d d itio n <1« places),
P résid en t actif : M. L am bert j vice200, 150, 100, 75, 50, 30, 20, etc., plus nom ­ p a r les B. S. M.
m an ce.
x Les g ro u p em en ts d é sira n t p a rtic i­ res.
p résident actif : M. L orln ; secrétaire :
breuses prim es.
Coup d ’envol : 15 heures.
----------- 4-4-4-----------p e r a u ch a m p io n n at d u D istrict du
C onsolation
M. L au ren t ; secrétaire ad jo in t : M.
E n outre classem ent spécial avec prix
En lev er de rid e a u : C. 8. A uzat 2 Puy-de-Dôm e, tro isièm e divisio n sont
P re m ie r to u r : R ay n au d b a t Veroa- Citon ; tré so rie r a d jo in t : M. A. Stell­
LES MONTFERRANDAIS ONT p o u r les Jeunes non licenciés.
iriés d ’envoyer le u r engagem ent d an s
oontre U. 8. A rvant P.-L.-M. 2.
m
ach e r ; m em bres d u b u re a u : MM.
E ngagem ents (5 francs) p our l*'s li­ d a t, R aspilaire b a t Uscat, H aour bat
ie p lu s bref d élai a u secrétariat, 8, ru e
UN ENTRAINEUR
cenciés à l ’A m icale Cycliste, 1, avenue Desafix, D ebizet b a t D upré, B oudet bat Jadoux, Nledwiez, M arclniak, Pam ole,
G eorges-Clem enceau à C lerm o n tF e rD epuis d im an ch e dernier, les foot­ du C hàtcau-Rouge, sam edi m idi, d er­ Vigier, C hanudet bat A uroyer, G reuzat Bogackl, L aligue ; com m ission de con­
A SAINT-YORRE
ran d . Les d ates su ivan tes ont été re­
bat Gadot, A utissier b at Miotté, G irard trôle : M arclniak, Citon.
ten u es p o u r la tro isièm e série : 23 oc­ b alleu rs m o n tferran d ais o n t u-n e n tra î­ n ie r délai.
S. C. Gannatoi*
Le cale n d rier com prend des rencon­
bat Ambrôise, Ragon bat L aneurie.
,
.
tobre, 6 et 27 novem bre, 18 décem bre, n eu r.
M. Salnt-A ubln, qui a p ratiqué de CRITERIUM DES VIEUX GRIMPEURS
8 et 22 jan v ie r, 5, 12, 26 février, 5 m ars.
D euxièm e lo u r : R aynaud bat H aour, tres im p o rtan tes contre des équipes
contre Stade Saint-Y orrais
b ien cotées. Noua croyons que ia nou­
longues ann ées le football à Amiens,
x L’Amical Boulny-Club en lé th a r­ a dù se ré sig n e r à bâcher le sp o rt actif
En outre, dim anche, u ne épreuve ré­ G reuzat b at Debizet, R aspilaire b a t Bou­ velle form ation du R apid est aussi forte
Dirnau« lie 26 septem bre, le S.C. ü an det, R agon b at C hanudet, G irard bat
gie
d
epuis
p
lu
sieu
rs
an
n
ées,
qui,
la
servée
aux
«
V
étérans
»
plus
de
30
ans,
nau>i& d é b u te ra tiu u s bcs m atches <iö
p a r su ite d 'u n e blessure. Il n ’a cepen­
sinon m ieux arm ée que les an n ées pré­
c h a m p io n n a t de prem ière division qui saison écoulée a rep ris son activité, d a n t pas cessé de s ’in téresser au foot­ sera organisée su r le p arco u rs : La A utissier.
cédentes e t devra se tire r b rillam m en t
va
d
éb
u
ter
en
com
pétition
officielle.
T
roisièm
e
to
u
r
:
R
agon
bat
RasplG
outelle,
P
on
tg
ib
au
d
,
S
aint-O
urs
(13
l ’oppuaera a u Stade S a in tA o rra ia (1),
ball et a m is toute son activité à l'é d u ­
de ces dures t encontre» ; m ais 11 fa u ­
a sain t-Y o rre. E ncore inco m p let ce de­ Nul doute q u ’il se co m p o rtera très bien c atio n des Jeunes et à l ’e n tra în e m e n t krns). N om breux prix, engagem ents au laire, R aynaud b a t G irard. G reuzat, d ra ren d re les m atches aux graaides
d é p a rt qui a u ra lieu à 13 h- 30.
w.-o.
b u t de saison, le S.C. G an n ato is ne fera et re p ren d ra la place occupée p a r ses des footballeurs.
équipes éloignées qui se d ép lacero n t
D em i-finales : G reuzat b a t Ragon, a u cours d e la saison à Saint-E loy.
p a s figure de luvori, m ais espère n é a n ­ aînés.
E n tra în e u r et conseiller des Juniors
m o in s la ire m ieux que de se d éfendre.
x Les exam ens d ’a rb itre do d istric t am iénois, il a sorti des Joueurs qui
R
aynaud,
w.-o.
CIRE GAGNE A SAUXILLANGE8
Or, les tra n sp o rts o n t considérable­
A vrai dire, les o n a iu p io n n ats com m en­ a u ro n t lieu très prochainem ent. A nciens p ra tiq u e n t m a in te n a n t dans différentes
Finale : q u ad rette G reuzat, des Bou­
Cette épreuve a obtenu un b rilla n t le* M ontluçonnaise», b a t q u ad rette Ray- m ent augm enté et g rèv en t d ’a u ta n t
t e n t un peu tôt celte année, et aucune Joueurs hâtez-vous de poser votre c a n ­ équipes prem ières professionnelles.
équipe ne p eu t être réellem en t e n fur- d id atu re. R appelons q u ’à la d ern ière
naud, des Boules M ontluçonnaises, p a r les finances du R apid. Le b u reau du
Ses ra re s qualités et son dévouem ent succès d ’ailleu rs bien méritéR.F.C. a donc décidé de p o rter les prix
m e ou com plète a v a n t c o u ra n t octobre. réunion de b u reau du d istrict, 11 a été lui v a lu ren t par la suite le poste d ’en­
T out d ’abord félicitons lès dévoués d i­ 15 à 12.
d ’entrée à 3 fr. pour les spectateurs,
E nfin, d ’a p iô s le ré su lta t obtenu d im a n ­ décidé q u ’une am ende de 50 francs, tra în e u r chef de l’équipe prem ière p ro ­ rig e a n ts p our av o ir o rganisé d ’une fa­
-4-442 fr. p o u r les m em bres h o n o raires et
che p ro ch ain , n o u s sa u ro n s a peu p ies p ayable en Janvier, sera infligée au x fessionnelle de l’A miens Athlétlc-Club çon p arfaite cette course.
dem i-tarif p o u r les dam es, dem oiselles
c* que l ’équipe de M. Jio lu t p o u rra groupem ents de prem ière division qui qui, sous ses ordres, obtint les plus
I.e d é p a rt est donné à 22 coureurs,
et enfants.
fa ire . T ous les Joueurs énum ère» ci- n ’a u ra ie n t pas fo u rn i de d ire cte u r de beaux succès ; ce fu t ensuite l'équipe p a rm i lesquels les C lerm ontois Echaa p rè s so n t p ries d 'e tre , à 13 h eu res p ré­ Jeu. P o u r se d isp en ser de ce paiem en t prem ière de D ieppe qui bénéficia de lier, B run, Lam y, P aq u et ; les CombelNous faiso n s ap p el à la sportivité de
cise». cafe ü am b e t, p o u r eirectuur le 11 faut que l’a rb itre donné se déplace ses excellents conseils.
1o is Dos S antos, Clém ente jeune, Gire 8S L E 0T I0N D’UN MONTLUÇONNAIS tous les sp ectateu rs p o u r que le R apid
POUR
FRANOE-BELGIQUB
d ép lac em en t. Pla/.eney, Nud I et 11. régu lièrem en t.
n ’éprouve au cu n e difficulté d an s la
A ujou rd 'hui, M. Saint-A ubin a pris et Coudert.
A guttes, P e rra u lt, M eunier, M artin, Re­
Dim anche, à P aris, sera disputé le perception
on aes
des da ro its da ’entrée.
antre«, Il
u n ’y
v a
q u ’à p a rtir de l’o u v erture en m ain s la direction de l’en tra în e m e n t
Voici le classem ent : 1. Gire (V.S.
d o n , R ougier. c a to n , H uguet, B arraq u é. desx cNotons
p io n n ats c ’est-à-dire de la se­ des équipes m inim es, Juniors et seniors C om bellois), les 70 krns en 1 h. 45’ ; p rem ier m atch d ’athlétism e de ju n io rs, p lus de place p o u r les resquilleurs,' la
L’équipe seconde se d ép lacera à Gcr- m aineh am
des
M
ontferrandais.
Nul
doute
q
u
’il
p ro ch ain e la com m ission sp o rti­
2. B over (V.S. Combellois) ; 3. Lam y opposant les équipes rep résen tativ es ne vie des cclubs d ép en d an t u n iq u em en t de
z a t (Puy-de-Dôm e) p o u r y ren co n trer, ve et des
la recette.
itre s du Puy-de-Dôm e se obtienne ici les m êm es succès q u ’avec (C lerm ont) ; 4. E chalier (Clerm ont) ; 5. Fran ce e t de Belgique.
en u n m atch am ical, l’équipe prem ière ré u n ira régarb
les équipes qui, précédem m ent, ont P aq u et (Clermont-, etc...
u
lièrem
en
t
tous
les
m
ercre­
La F. F. A. a retenu le jeu n e Mon­
de cette localité. S ont convoqués, à 12 dis à son siège social, 8, ru e Georges- suivi ses directives.
tagne, d u S. C. M ontluçonnais, pour
AUX SPO RTS ATHLETIQUES GERh. 30, p o u r faire le d é p lacem en t p a r le Clem enceau à Clerm ont, perm anence le
-----------4-44----------S ou h aitons que l’effort fa it p a r le
le lancem ent d u Javelot. Bien que ne ZATOI8. — M ariage de n otre dem i
tra in , R oum eaux, D élabré, I.ucenay, m êm e Jour, à p a rtir de 18 heures- Télé­
club
jau
n
e
et
b
leu
porte
ses
fruits
et
s ’é tan t classé que 3* au ch am p io n n at de gauche e t cap itain e de l ’équipe 1, Mi­
G o n n ar, B ourduge, M eunier, Jev ad o u x ,
que les équipes de l’A. S. M. sachent
France, M ontagne a été sélectionné en chel B lanchet avec Mlle M arinette LeG u ittard , C Jiarrondièie, Chalet, Gom- phone 58-55.
p
ro
fiter
des
excellents
conseils
que
M.
raison de sa m eilleure p e rfo rm an ce, vedoux.
x
En
fin
de
saiso
n
et
p
o
u
r
p
erm
ettre
m au x . Il est vraisem b lab le quo q uel­
qui n ’a pas été dépassée en F ra n c e i
A L'AMIOALE CYCLISTE
ques ch a n g em en ts p o u rro n t être opé­ aux petites équipes de Jouer encore S aint-A ubin ne m a n q u e ra pas de leur
Aux fu tu rs époux, nos m eilleu rs vœ ux
______________________
ré s a v a n t Ils d ép arts, a u ta n t p o u r J'é- quelques dim anches, ré a lise r quelques prodiguer.
Notre excursion d u 25 septem bre a u ra cette saison p a r les la n c e u rs de la ca­ de bonheur.
tégorie
Juniors.
qulpe seconde que pour la prem iere, bonnes recettes le d istric t du Puy-dep o u r b u t la ria n te région de P o n tg i­
tar la com m ission de m atch, si elle le Dôme o rg a n ise ra encore la Coupe des rô n t ég alem ent apportées m ais nous y baud a fin que les cam arades du groupe
C’est un beau sucés p our le Montluuge u ti.s D élégués : MM. Redon, Jio- P etits Clubs, avec le concours du Jour­ rev ien d ro n s en tem ps utile.
AMIOALE CHATEAUDUN. — S ection
« cyclo » puissent assister à la concen­ çom iais qui en est à sa prem ière s a i­
Voici
les
dates
où
elle
se
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isp
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tera
:
nal le « M oniteur ».
lat. J. B aptiste.
tratio n de la Goutelle (tom bola, nom ­ son de com pétition et une belle récoin Sp ortive. — T ous les joueurs, anciens
16
23,
30
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C o n trairem en t à la saison écoulée,
p erse p our le S. C. M. qui compte et nouveaux sont priés de passer au te r­
A LAPALISSE. — S.C.A. C usset 1 et 2
breux prix).
cette épreuve ne sera pas ouverte aux gag em en t re sta n t fixé à la som m e m i­
c o n tre A.A. L apalisse 1 et 2.
T rois contrôles sont obligatoires : l*r ainsi dar.s ses ran g s le p rem ier in ter­ ra in des sports, 55, avenue du C hâteauRouge, à p a rtir de 14 h. 3u, le sam edi
équipes secondes de p rem ière division, nim e de cinq fran cs nous som m es cer­ Le V au riat (café Côte) ; 2* Saint-O urs n atio n al d ’athlétism e à M ontiuçon.
---------de m êm e q u ’aux deux fin alistes de d eu ­ ta in que nom breux seront les petits (café L abourier) ; 3« P o n tg ib au d (café
V enant après les titres n atio n au x 24 septem bre, m u n is de leur* équipe­
clubs
qui
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t
à
décrocher
la...
FOOTBALL-CLUB PAULHAGUET d e­ xièm e série qui p a r suite de la descen­
Comtoaineyre) ; a rriv ée : café A ngeller, rem portés p ar ce club, cette prem ière m ents p o u r se m ettre à la disposition
m an d e m a tc h soir son te rra in , de p ré ­ te a u to m atiq u e Joueront la saison su i­ tim bale. P o u r faciliter la tâche du se­ à la Goutelle, Jusqu’à 11 heures.
sélection n ationale m arque bien les ef­ du cam a rad e Malléo.
c
ré
taria
t,
prière
d
’envoyer
l’engage­
férence le 25 septem bre. S 'a d re sse r à van te en catégorie su p érieu re. Elle m é­
O rg an isatio n des m atches d u d im a n ­
Rendez-vous de d ép art au siège de forts de la g ran d e société om ni sports
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en
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d
an
s
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plus
bref
délai
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rite
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titre
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Coupe
des
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G ilbert, secrétaire, P a u lh a g u et, ou télé­
inontluçonnAise.
che contre l ’A m icale L aïque d ’Aubièrel’A. C. C., à 7 h. 30 précises.
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Clubs.
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sep h o n er a u 45.
PROGRAMMES DU VENDREDI
23 SEPTEMBRE
De Ra d io -M a g a z in «
R A D IO -P A R IS . — 7 h . ao : D isque». —
• t . 6 s D isque*. — t h . 30 : In f o rm a tio n s .
— * h . 40 : D isq u es. — 9 h . : In f o r m a tio n »
— 9 U. ao t D isques. — 10 h . t t D isq u e »
— 10 h. 35 : D isq u es. — U h . s D isq u es. —
11 h . 90 : D isques. — 11 h . 35 i D U q u et. —
19 h . : C au se rie é c o n o m iq u e e t so cia le . —
17 h . 15 : D isq u es. — 12 h . 35 : D isques. —
19 h . 45 : D isq u es. — 13 h . s In f o rm a tio n s .
— 13 h . 30 : M élodies. — 13 U. 45 : D isque«.
— 14 h . 46 s D isq u es. — 16 h . 16i M élodies.
— 16 h. 40 : D isq u es. — 17 h . : M u siq u e d é
C h am b re. — i» h . : V iolon. — 1« h . 3» •
E m issio n fé m in in » . — 1« J l s D isque». —
19 h . 59 : H e u re . — 90 h . : P o lltlq n » . —
90 b . 15 : M élodies. — 90 h . 30 s E u y B la a
— 21 b . 30 : In f o rm a tio n s . — 93 h . 30 i
D isq u es. — 92 h . 45 : In f o rm a tio n s . M étéo.
— 23 h . s C o n cert.
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TABLE
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Cyclisme
in e. l)é\h ' l-lix
pet r ass I s.
(pratiques
LE GRAND PRIX CYCLISTE
du canton de Pontgibaud
visite
DANS LES_ CLUBS
fran s.
ju sq u 'a u
les P ilon|s p aren ts
uu Pend e f ille s ,
Nouvelles du District
du Puy-de-Dôme
-•■tembrfl
)ts et nous
m plet de
Athlétlsme
Cyclotourisme
r
i .m .i’ m i
lim e n t a tta [e ne sem ble
Ians les prem ce s u r Dire jo u r, elle
s à m o u rir,
rais la cont, elle s’A’oia religion,
lin ni' >i'-e le
lour n e p as
q u a n d elle
où l’a u te l
le som m et
le p a s goûtie v e rsen t
i contraire,
endnnt les
• curé, elle
i m ain nu
■e p a r une
n ne p e u t
refuse au x
H a in e s heur , A S o co rry
ip u is, le lenq u ’au Meu
.. Oh ! q ue
hns m e laislu ra p e m e n t î
lai. et q u a n d
‘ mon Ame
) q u ’il conco u rn g e, et,
lu rire ...
m u w u jW jjg u in n K y jn in
MNVISIBIiE
BEAUTÉ
I
par Marcelle OAVET
xv
I
IM suw rg.j
,)* i ’ 4 t ' F y l i t 'i l t )
À
— Non. Et ne crois p a s que je me
décourage ; l’espoir est en moi, te­
nace, plus fort que tout. Je guérirai ;
Je veux guérir. Non seulement pour
m oi ; m ais pour elle, fit-il avec for­
ce, en serrant d a n s les siena les
doigta de M arie-A im ée. P o u r lui fai­
re une vie de râve, pour lui rendre
en bonheur tout ce qu’elle me donne
en dévouem ent de toutes les heures,
de tous les instants ; pour la remer­
cier et l ’aimer. Et surtout, je veux
guérir pour « la revoir » l
A ces m ots Jetés avec passion, Ter­
n is observa Marie-Aimée. Elle avait
p âli, et son visage s’était comme
creusé ; cependant elle dit, d ’une
voix calm e, et comme l’on fait lors­
q u ’on parle aux enfante :
__ Mai* oui, vous guérirez, Ga­
briel ; vous reiverrez la beauté des
choses, la splendeur de la nature, les
oeuvres m erveilleuses des artistes,
tout ce que vous aim iez tant contem­
pler... et mes yeux, dans lesquels il
n ’y a que votre image.
Ternis se dem andait avec stupeur
de quelle comédie odieuse ou adm i­
rable il était le tém oin, et si cette
jeune fille au visage sans grâce, m ais
à l’âme ardente, sim ulait une ten­
dresse qu’elle n ’éprouvait pas, ou
brûlait toute d’un admirable amour.
_ Je suis venu te voir, dit-il à son
cam arade, parce que peut-être vaisje t’apporter le moyen de hâter ta
guérison. Au cours de mon sépour
en Suisse, j’ai fait lâ-bas ta con n ais­
sance d'un occuliste remarquable.
Un savant, dont lee m éthodes, d’a-ton dit, accom plissent des m iracles.
Il venait à la m aison de repos où
J’étais installé, voir fréquemment une
jeune femme atteinte de neurasthé­
nie aiguë, à laquelle le rattachait des
liens de parenté. Nous avions eu 1 oc­
casion d’échanger quelques paroles,
lorsqu’un «oir, à Lausanne où j étais deecendu, Je l’ai rencontré dans
un restaurant II est venu vers moi
très aim ablem ent, m’a demandé des
nouvelles de la m alade qui l’intéreseait, et, tout naturellem ent nous
avons diné ensemble. Pendant le re­
pas, J’ai dû, sur ses in sta n ce^ lui
raconter la catastrophe aérienne dont
«w— „ .„ ..j été victim es, et au’il con­
naissait, bien entendu, par les jour­
naux. Alors, le lui ai parlé de toi,
de tes yeux atteinte, des traitem ents
«ans résultat« que l’on t'avait fait su­
bir, et il m’a dit : « Je verrai le ca­
pitaine de Saint-Veyran avec plai­
sir. Il y a dans son cas, quelque cho­
se de très intéressant. Il a subi un
choc nerveux dont il doit guérir.
Pourrait-il venir Jusau’à moi ? J’ai
répondu que oui, tu le penses bien,
et nous avons convenu qu’au moment
où il se trouverait absolum ent libre
de t’exam iner et de te soigner, il
m ’en informerait. Je n’ai pas voulu
t’écrire tout ceci, pour ne point te
donner un espoir, qui, peut-être, pou­
vait sombrer. Car le docteur Méra
passe pour un original, et il aurait
pu, fort bien oublier notre conversa­
tion, ou partir à l’improviste pour
un lieu Inconnu, ce qui, paraît-il, lui
arrive souvent. Avant mon départ
de Suisse, je n’ai pu lui dire adieu ;
j’ai laissé un mot à sa clinique, sans
beaucoup d’illusion, j’avais tort. Ce
matin, je reçois une lettre des plus
pressantes ; il t'attend. Veux-tu es­
sayer cette chance mon ami ?
Gabriel eut un cri, un élan ;
— Si je veux I... Ah I Ternis I...
E t il serrait dans les siennes, à les
briser, les m ains de son camarade.
— Guérir !... retrouver la lumière...
vous voir, Marie-Renée répéta-t-ll
avec exaltation.
— Calme-toi, Je t’en prie. Je ne
t'ai pas dit que le docteur Méra était
infaillible. Sa science est grande,
m ais il n ’est qu'un homme ; il faut
avoir confiance, mon vieux, maie
être prêt, m algré tout à supporter
une nouvelle désillusion, sinon pro­
bable, du m oins possible.
— Je sais ; du courage, J'en al,
j ’en aurai jusqu’à mon dernier souf­
fle. Et de la oatience, je n’en ai plue
pour J’instarit M aintenant que tu
m ’as jeté cette espérance, André, le
suis comme ivre. Je veux partir, je
veux partir... demain, ce soir... tout
de suite t...
Marie-Aimée posa une petite main
caressante sur le beau front qui s ’en­
fiévrait.
— Oui, Gabriel, vous avez raison
il faut aller là-bas : ce soir ne me
paraît pas m atériellem ent possible,
m ais je vous jure que demain tout
sera prêt. Et, ajouta-t-elle, hésitante
un peu, je vous accompagnerai.
Il y eut, sur le visage tourmenté
de l’officier une crispation involon­
taire, et d’un geste instinctif, Il re­
fusa.
— Non Marie-Renée ; pas vous, Je
désire pour toutes sortes de raisons,
que ce soit Ternis seul qui fasse le
voyage avec moi. Tu veux bien, An­
dré ?
— C’est ainei aue Je l’avais com­
pris. Le docteur Méra attend ma ré­
ponse ; Je vais la lui faire parvenir
d’urgence.
Il se leva, posa sur l’épaule du
capitaine de Saint-Veyran une main
affectueuße et recommanda : .
Ne t’agite pas inutilement ; tâche
de passer une bonne et calme nuit ;
demain eoir nous prendrons le rapi­
de pour Lausanne. A bientôt mon
vieux.
je voue accompagne, com m an­
dant, dit à côté de lui, la petite voix
de Marie-Aimée.
Ils descendirent l’escalier en silen ­
ce, et quand ils furent dans le hall,
devant la porte d’entrée, elle s ’ados­
sa au mur, et lui fit face, résolu­
ment.
je vous remercie, dit-elle, de
n ’avoir pas révélé la vérité à Gabriel.
— Mais, c’est que, s’écria-t-il spon­
tanément, la vérité Mademoiselle, je
ne la comprends pas.
Elle sourit ;
— Il y a une chose tout de même
que vous avez compris ; c'est que, la
croisière en mer, c’est Marie-Renée
qui la fait ?
— Evidemment, m ais...
— Mais je la remplace ici, tout
sim plem ent Ma sœur n ’eet pas fai­
te pour l’ombre, le silence...
— Et le dévouement, osa-t-ll ajou­
ter.
- I II faut comprendre, insista-t-elle
et ne pas l ’accuser. Une femme si
jeune, si belle, doit éprouver de mul­
tiples tentations. Enfin, ma sœur a
toujours aimé le monde, les distrac­
tions, la vie trépidante et joyeuse. Et
ici, auprès de notre cher mnlade,
c’est le calme, l’uniformité, et la m é­
lancolie. Ce voyage, mon Dieu, il
était si naturel qu’elle l’accom plis­
se 1 Cela ne l’empêche pas d’aim er
•on fiancé l Quand Gabriel sera guéri
lie iront dans le monde ensemble, et
ils seront très heureux, Je vous l’as­
sure.
Une question m onta aux lèvres de
l’officier :
— Et s’il ne guérit pas Y
Elle se troubla quelque peu.
— Alors. Je ne crois pas que ma
sœ ur se décide à l’épouser. D’ail­
leurs, lui-même ne voudrait pas 1a
lier à un infirme. Ils auront raison
de renoncer... Cela vaudra mieux
pour tous deux.
— Oui, peut-être, murmura-t-iL
— En ce moment, pour qu’il ignore
le départ de ma sœ ur dont, m algré
toute son abnégation, je suis certai­
ne qu ’il aurait atrocement souffert,
j’ai b’en voulu Jouer un rôle. U croit
que Marie-Aimée vogue sur la mer
bleue. Il croit que Marie-Renée e»t
là, toujours là, proche de ses m ains,
de ses lèvres... proche de son cœur.
Il est heureux. Jam ais, depuis cette
horrible catastrophe, il n’a connu un
tel bonheur. Je m 'ingénie à le diser ; je lui parle de
traire, à r
l'avenir ; je lui verse dans l'âme
tout l'espoir que Je n'ai pas. Quand
il reviendra de Suisse, si ce docteur
Méra guérit ses pauvres yeux, il re­
trouvera ici Marie-Renée , Jamais
il ne saura que par pitié, par cha­
rité, je lui ai menti durant de longs
jours. Et quand il sera marié, heu­
reux, comblé, à peine se souviendrat-il de cette Marie-Aimée, obscure,
insignifiante et sa n s charm e.
P A R I S - P . T . T . — 7 h . : D isq u es. - 7 h .
15 : D isq u es. — 7 h . 30 : L ’in v ita tio n a u
v o y a g e. — 7 h , 45 : D isques. — g h . : C h ro ­
n iq u e . — 8 h . 10 : D isq u es. — 8 h . 90 : O r­
p h é e a u x e n fe rs. — 8 h. 30 : J o u r n a L — 9 0 .
37 : D isques. — 8 h . 50 : D isque». — 9 h . :
J o u r n a l. — 9 h . 7 : P o t p o u rr i. — 11 h . 45 i
C o n ce rt. — 12 h . 30 : M élodies. — 12 h. 45 •
J o u r n a l. — 13 h , : S u ite d e c o n c e rt. — 13 h .
4ô : C h ro n iq u e d u to u rism e . — 14 h. 90 •
L ’h is to ire d e P a r is p a r les r e f r a in s p o p u ­
la ire s . — 14 h . 30 : P a ris -M o n d ia l. - 15 h.
55 : D isques. — 18 h . : M élodie». — 1« h .
3o : C h a n so n s. — 16 h . 45 : D isque». — 17 h .:
M u siq u e v a rié e . — 18 h . 30 : M élodie». —
18 h . 45 : P ia n o . — 19 h. : j o u r n a l . — 20 h . 30 : C o n cert. — 92 h . 30 : J o u r n a L I n f o rm a
tio n s . — 22 h . 45 s D isques.
P O S T S P A R I S I E N . — 18 h . 10 : C o n cert.
— 18 h . 50 : C au se rie â b a to n s ro m p u s. —
18 h . 55 : T ro is m in u te s à .... — 19 h . 12 :
L e f a it d e la s em a in e . — 19 h . 17 : P a r a d e
d u m o n d e . — 19 h . 45 : C o n ce rt. — 90 h . 10 :
Le jazz F r e d A dlson. — 20 h . 35 : R éc ré a ­
tio n . — 21 h . : R e tra n s m is s io n . — 24 h . t
In f o rm a tio n s .
LYON-LA DOUA. — 11 Yl 45 : C o m m u n iq u é»
— 12 h. 15 : D isques. — 12 h. 30 : L a v ie a u
g r a n d a i r . — 12 b . 45 : L ille . — 13 h . 30 t
D isques. — 14 h. : T o u lo u se . — 14 h . 45 :
G re n o b le . — 15 h . 45 : N ice. — 17 h . : B o r­
d e a u x . — 17 h . 45 : O rc h e stre d e la s ta tio n .
— 19 h . : D l6ques. — 19 h . 30 : J o u r n a l. —
20 h . : R ev u e d e l a p resse. — 90 h . 13 : Va­
rié té s . — 90 h . 26 : D isque». — 20 h . 30 :
S o irée d » v a rié té s. — 22 h. 45 : In fo rm a r
tio n s.
RA D IO -T O U LOU SE . — 8 h . : L a m in u te
d e bébé. — 8 h . 30 : In f o rm a tio n s . — 8 h.
45 : O rc h e stre d e g e n re . — 8 h . 55 In f o r­
m a tio n s . — 12 h . : Dan.se. — 12 h . 5 :
C h an ts. — 12 h . 20 : In fo rm a tio n s . — 12 h.
30 : B al c h a m iié tre . — 12 h. 45 : Q u a r t
d ’h e u re d e* a u d ite u r s . — 13 h. 15 : R ef-.-m »
d ’o p é re tte s. — 13 h . 40 : F a n ta is ie ra d io p h o n lq u e . — 13 h . 45 : L a q u a r t d ’h e u r» de»
a u d ite u rs . — 13 h . 55 : In fo rm a tio n » .— 14 h .:
P resse. — 18 h . : In fo rm a tio n s . — 18 h. 15.
A irs d ’o p é re tte s. — 18 h . 40 : M arch e » m i­
lita ir e s . — 19 h . R e f ra in s m u s e tte . — 19 h.
15 i C h a n s o n n e tte s. — 19 h . 45 ; C o n c e rt v a ­
rié . — 30 h. 9 : in fo r m a tio n s . — 90 h. 30 :
C o n cert. — 90 h. 46 : o r c h e s tr e d e s a lo u . 91 h. 15 : F a n ta is e ra d io p h o n lq u » . — 21 h .
33 ; L a c a b a n e c u b a in e . — 22 h. : D em i-h eu ­
r e de» a u d ite u r s . — 22 h . 45 : B al c h a m p ê ­
tre . — 93 h . : G ra n d o rc h e s tre . — 93 h . 15 :
L j C av e a u . — 23 h . 30 : E m issio n c o lo n ia le .
— 23 h . 55 : In f o rm a tio n s .
DEPECHES COMMERCIALES
L ondres, 22 se p te m b re
Caoutchouc. — O uverture. P a r a dis­
p o n ib le,.? 3/4.
P a ris, 22 septem bre.
Sucres. — T endance soutenue. Cou­
ra n t 3u9 ; p ro ch ain 301,50, 302 ; 3 octo­
bre 302 , 302,50 ; 3 novem bre 302,50, 803 j
3 Janvier 304,50, 305 ; 3 février 306, to u i
payés.
Le H avre. 22 septem bre.
Cotons. — T endance à peine soute­
nue. Ja n v ie r 443 ; février 446 ; m a r t
448.50 ; a v ril 456 ; m al 457,50 ; Juin 4G2 ;
Juillet 464 ; septem bre 431 ; octobre
431.50 ; novem bre 434 ; décem bre 439.
Cafés. — Tendance soutenue. V entes,
3.000 sacs. Jan v ier 239,25 ; février 240,25;
m ars 238.50 ; avril 238.50 ; m ai 240.75 ;
Juin 242,25 ; Juillet 244.75 ; août incoté;
septem bre 232,25 ; octobre 231.75 ; no­
vem bre 231,75 ; décem bre 235,50.
Bourse de Commerce de Paris
Cours de clôture du 22 septembre
AVOINES. — T endance calm e. Dis­
ponible cote officielle 107 ; co u ran t
106.75, P. ; prochain 107.25. 107,75 ; no­
vem bre 107,25; P. ; 3 octobre 107, 107,50 ;
3 novem bre 107, P. ; 3 décem bre 107,
107,50 ; 3 Jan v ier 107,50, 107,75,P. ; 3
février 108, 108,25, P.
MAIS. — T endance calm e. C ourant
incotô ; p ro c h a in 124, A. ; novem bre
124 A. ;3 octobre 124, A. : 3 novem bre
124! A. ;3 décem bre 124, A.; 3 Janvier
124, A. ;3 février 124. A.
FARINES. — Incotées.
SEIGLES. — Incotés.
ORGES. — T endance calm e. Disponi­
ble Cote officielle 137. C ourant Incoté;
p rochain Incoté ; novem bre 136, A. ;
§ octobre 137, A. : 3 novem bre 137.75,
V. ; 3 décem bre 137.75. V. ; 3 Janvier
137.75, V. ; 3 février 136,75, V.
HUILE DF. LIN. — C ourant 395, V. ;
irochaln 390. V. ; novembre-décembre
proi
§90. V ; 4 novem bre 391. V. ; 4 Janvier
392! 396.
HUILE DE C O yiK . — Incotéé.
La presse française est la m eil­
leure tribu n e pour annoncer une
m arch an dise de Qualité répéta
— Et s ’il ne guérit pas
il André
A i i a r e Ternis.
îe ru i» .
obstinément
as pâles de la jeune fille
Les m ains
sem blèrent comprimer avec peine lee
de «son cœur.
Elle leva
battem ents —
______ —
vers l ’officier ce visage dont eile
s'exagérait la disgrâce, et dans le­
quel à cette minute, il ne vit que le
splendide regard.
— S ’il ne gu irit pas, dit-elle avec
sim plicité, peut-être m’acceptera-t-il
pour amie, pour com pagne... peutêtre, ne se souvenant plus que je suis
laide, en arrivera-t-il à m aim er.
Et de la bouche frém issante, 1 aveu tomba, irrésistible :
— Car mol, je l’aime de tout« mon
âme.
XVI
Il y avait à peu près q u in z e Jours
q u e Gabriel de Saint-Veyran était
parti pour la Suisse, accompagné
par son am i, lo rsq u e rue G u y n e m e r,
une lettre de Marto-René«, attendus
depuis fort longtemps, arriva enfin.
— Elle doit annoncer son retour,
dit Thérèse brisant l'enveloppe. Cette
séparation, qui lui paraît légère, m«
devient de jour en jour plu« pénible.
Je m ’habltueraJ mal, hélas 1 1« 1«
prévois, aux absenoes de m es filles.
Elle se mit à Ur«» et à m esure que
les ligne» se déroulaient sous •«•
yeux, une surprise indicible, une
sorte de stupeur, pul« de contrariété,
se reflétaient sur son vi«age.
. M
suivre.j
L'AVENIR ÖU PLATEAU CENTRAL
6
BULLETIN FINANCIER
V,
Y
A
 H
B i
M
w ù
Ë k* ^
-
dit TANTE
La saison d*automne sera toujours
une saison brillante et heureuse pour
les femmes en bonne santé, c'est-à-dire
pour celles qui font leur cure coutumière de
JOUVENCE
DE U A B B E SOURY.
Ce merveilleux mélange de plantes
choisies assure • depuis plus de cent
ans - agréablement et à peu de frais,
le salut de la femme à chaque chan­
gement de saison, ainsi qu'à tous les âges de la vie•
Pour “remettre le sang dans le bon sens”, il n'y a qu'une Jouvence,
la JOUVENCE de l'ABBÉ SOURY.
La JOUVENCE d• l ’ABBÉ SO U RY •« fait an liquida ou pilulaa.
CA.<* I
Exigez bien, dana l ’intérit de votre eanti, la véritable JO U VENCE de l ’A B B É SO U R Y qui doit portât
ù portrait de l ’A B B É SO U R Y et, en rouge, ta eignature Mag. DUMONTIER,
METRITES -FIBROMES
MAUVAISES
SUITES DE COUCHES
TUMEURS • VARICES
PHLEBITES
HEMORROÏDES
ACCIDENTS
DU RETOUR D'AGE
CHALEURS - VAPEURS
ETOUFFEMENTS
Paris, 22 septem bre.
L a B ourse a eu a u jo u rd ’h u i u n e
allure assez irrégulière, sin o n agitée.
A u d é b u t de la séance, à la su ite de
b ru its te n d a n c ie u x co n cern a n t la si­
tu a tio n en Tchécoslovaquie, le m a r­
ch é a eu u n accès de lo u rd eu r e t les
cours d ce m o m e n t, c ’e s t-à -d ire im ­
m é d ia te m e n t après l’o u vertu re, o n t
m ê m e flé c h i assez b ru sq u em en t, pu is
le ca lm e s’est réta b li e t ju sq u e vers
2 heures, il n e s’e s t p ro d u it au cu n
m o u v e m e n t n otable. C’est alors que
se p ro d u isit u n red ressem en t qui f u t
aussi brusque que l’a va it été le glis­
se m e n t d u d éb u t. D ’u n e p a rt, la m ise
au p o in t des b ru its signalés plus
h a u t v in t m o n tre r au m a rch é que
son ém o tio n n ’é ta it pas fo n d ée.
D ’a u tre p a rt, la co n s ta ta tio n d ’une
fo r te a u g m e n ta tio n de la circu la tio n
fid u cia ire au b ila n h eb d o m a d a ire de
la B a n q u e de F rance p ro d u isit, su r
le m a rch é, l’e f fe t d ’u n s tim u la n t.
Quoi q u ’il en soit, im p ressio n plus
en courageante du côté e x té rieu r ou
in te rp ré ta tio n « h au ssière » de l’ac­
cro issem en t des signes m o n éta ires.
L a fin de la séance a ra ch eté p a r
l’a m b ia n ce de fe r m e té d o n t elle a été
em p re in te la faiblesse d u d éb u t.
D ans le fa it, de n o m b reu ses valeurs,
ta n t fra n ça ises qu’étrangères, rega­
g n e n t e n clô tu re to u te ou p a rtie du
terra in p a rfo is appréciable perd u au
d éb u t. M ais la v e d e tte re v ie n t au
Suez, qui te rm in e en h a u sse de 500
fr . su r le d ern ier cours de la veille,
e t de quelque 700 fr . su r le p lu s bas
de la jo u rn ée. M ines d ’or e t S tr u s ts
S u d -A fric a in s b é n é fic ia n t ég a lem en t
d ’u n bon co u ra n t de d em a n d e. E n
te rm in a n t, m e n tio n n o n s u n e ce rta i­
n e te n sio n des changes, le dollar, en
p a rticulier, re p re n a n t à 37,08 1/2 co n ­
tre 36,96. A te rm e ég a lem en t, les re­
po rts se te n d e n t quelque peu.
MARCHÉ AUX BESTIAUX
La Vlllette, 22 septembre.
ALLURE GENERALE DU MARCHE
GROS BETAIL. — Les arrivages assez
amples o nt rendu la vente lente avec
cours sim plem ent défendus.
On cote à la livre nette :
BŒUFS. — Les bœufs blancs charollais, nivernais, bourbonnais, berrichons
so u R y ;
ont valu en beaux châtrons extra al­
lant jusqu’à 800 livres de viande nette
4.90 à 5.20 ; bons anim aux de 800 à
1.200 livres 4.50 à 4.80 ; bœufs ordinai­
res 4.10 à 4.40.
Les Salers du Centre et bœufs rou­
ges divers ont été faits en extra 4.50
à 4.90 ; en bons bœufs 4.10 à 4.40 et en
ordinaires 3.70 à 4 fr.
Les bœufs du Midi se sont vendus de
4.30 à 4.60 ; bons bœufs 4 à 4.20 ; ordi­
naires 3.60 à 3.90, et les bœufs gros­
siers de toutes races de 3.40 à 3.70.
VACHES. — En vaches, les jeunes ont
changé de m ains de 4.20 à 4.70 ; ordi­
naires 3.60 à 4.10 ; médiocres 3 à 3.50 ;
viande à saucisson 1.50 à 2.50.
TAUREAUX. — Jeunes taureaux de
ferme ex tra 4 à 4.60 ; bons 3.80 à 4.2
ordinaires 3.20 à 3.70.
P aris 21 septembre.
J g a ris 21 septembre.
VEAUX. — Les besoins étaient fort
SITUATION AGRTCOLE. — Le temps modestes et les cours se sont affaiblis
Foin toujours difficile à trouver, par
malgré
l ’offr© moyenne.
PUY-DE-DOME
Fromages de chèvres, 1.50 â 1.75 ; contre, offres plus abondantes en four­ est redevenu sec et doux au jourd’hui
MONTFERRùND. — M arché de la Ro- fromages de vaches, 1.75 à 2 fr. ; œufs, rages artificiels (luzerne et regain). après plusieurs Journées fraîches et hu­
On cote à la. livre nette :
d ade d u jeudi 22 septem bre. — Bœufs, 7 à 7.25 la douzaine ; 'beurre, 8.50 à Foin en hausse do 5 francs, fourrages mides. Le Sud-Ouest a des alternatives
Les veaux m u t à fait extra de 130 à
artificiels baisse de 5 francs, en pailles décevantes de pluie et de beau temps. 170 livres de viande des meilleures pro
2 ; vaches, 44, premier« qualité, 5 à 5.50 8.75 la livre.
On
commence
à
signaler
de
légères
ge­
tendance
soutenue.
le kilo vif; 2» quai. 3.50 à 4.50 >e kilo
CANTAL
venances ont valu par bandes de 6.50
vif ; 3® qualité, 2.50 le kilo vif. Veaux,
1™ q u a i 2e quai. 3e quai. lées blanches, m ais il ne semble pas à 6.90 et de 6.90 à 8 fr. a u détail. Veaux
LA CHAPELLE-LAURENT. — Marché.
qu’il y ait eu des dommages bien ap plus ordinaires des bons rayons 6 à
110, de 6.50 à 10 fr. le kilo vif ; moutons,
de b.. . 220 à 230 205 à 215 190 à 200 préciables. Les labours d ’automne s ’ef­
80, de 4 à 4.50 le kilo vif ; agneaux, — Le m arché dominical a corunu son P.
P. de s. .. 225 à 235 210 à 220 195 à 205 fectuent d ’une façon excellente et la 6.40.
190, de 6.50 à 7.50 le kilo vif ; porcs, anim ation habituelle.
P d ’av. .. 235 à 245 220 à 230 206 à 215
En veaux à robe blanche on a fait
premiers semis donne satis43, de 9.70 à 10 fr. le kilo vif.
Voici les cours :
Luzerne. . 395 à 406 355 à 375 325 à 345 levée des
ou ne laissé aucune crainte, les les m eilleurs de 5.80 à 6.80 et les morLEZOUX. — M arché du 17 septem bre.
Beurre, 8 fr. la livre ; œufs, 7 fr. la Regain. . . 390 à 400 350 à 370 300 à 340 faction
terres étant meubles, humides et tièdes vandiaux de 5.80 à 6.30 ; lim ousins 6.10
— Bon m arché largem ent approvisionné douzaine ; fromages de la montagne, ■Foin • • . 410 à 420 370 à 390 340 à 360 à souhait. Les travaux se font très ac­ à 6.50.
en légumes, fruits, produits de la ferme 6 fr. la livre ; de chèvres, 1,50 pièce ;
Les prix ci-dessus
s’entendent aux tivement. Les regains ont à peu près
_
et denrées de toutes sortes. Les tra n ­ poulets, 6 fr. la livre ; lapins, 3 fr. la 104 bottes de 5 kilos, rendu franco de tous rentrés et l ’on s’occupe de l'a rra ­ Broutards de ces régions : 4 à 4.50,
sactions ont été actives et faciles. Les livre ; vieux coqs et poules, 5 fr. la camionnage et d ’octroi, a u domicile de chage des po-nunes de terre. Laus ie
MOUTONS. — Les arrivages étaient
m archands forains et étalagistes étaient livre ; pigeons, lu fr. la paire ; canards l’acheteur, dans Paris, pourboire en Mich, les vendanges se sont étendues trop justes pour les besoins, pourtant
en nombre. Cours enregistrés ce jo u r : 5 fr. la livre ; lièvres, 6 à 6,50 la livre ; sus.
à tous les districts du Languedoc et modestes. Les cours ont pu être rele­
Halle au blé. — Blé, au cours offi­ perdreaux, 12 fr. pièce ; lapins de
droits d ’octroi de P aris sont aux l ’on constate une bonne qualité p ar­ vés surtout en seconde.
ciel ; avoine, 112 à. 115 fr. ; seigle, 130 garenne, 12 fr. pièce ; écureuils, 3 fr. 100Lesbottes
On cote à la livre nette :
de 40 francs pour les four­ tout, en dehors des régions inondées
à 135 fr. ; orge, 150 fr. ; pommes de pièce ; veaux, de 3 â 4,50 la livre.
récemment. Les cultures maraîchère.» Les agneaux extra faisant jusqu’à 36
rages et de 15 f rancs pour les pailles.
terre, de 75 à 80 fr., le tout aux
sont norm alem ent avancées et l’on es­ livres de viande nette ont été traités
MURAT. — Marché. — Beurre, 8.50
100 kilos.
père de bons rendements pour les four­ en Southdown 8.70 à 9.20 ; croisés 8.40
à 9 fr. la livre ; œufs, 7,50 à 8 fr. la
Marché couvert. — Beurre, de 9 à douzaine ; poulets, 7 à 7,50 la livre ;
rages tardifs.
à 9.10 ; Dishleys-mérinos 8.60 à 9.20
9.50 la livre ; œufs, 7,50 la donzaine ; poules, 6 à 7 fr. la livre ; pigeons,
BLES INDIGENES. — Pour septem­ bourbonnais, nivernais 8.10 à 8.80 ; ber­
from ages du pays, de 4 à 4,50 ; Saint- 10 à 12 fr. la paire ; canards, de 22
bre, les producteurs recevront de 182 richons 8 à 8.70.
Nectaire, 6 fr. ; Cantal, 5,50 ; bleu d ’Au­ à 25 fr. l'uni ; lapins, 3,50 A 4 fr. la
à 157 francs, selon production. La meu­ En moutons de ferme on a tenu les
P aris 21 septembre.
vergne, 6 et 6,25 ; fourme d’Ambert, livre.
nerie paye aux organism es vendeurs Dishleys-mérinos
6.70 à 7.40 ; bourbon­
Les environs de P aris approvision­ 203 francs et aux contributions indirec­
6.50 ; fourme de Noirétable, 7 fr. ;
nais, nivernais 6.40 à 7.10 ; berrichons
NEUSSARGUES. — Marché. — Le nent toujours norm alem ent le carreau tes, 16 fr.
gruyère, 7,50 «à 8 fr. aux 500 gramm es ;
m arché du mercredi 21 septembre, a des Halles en sortes de consommation
6.30 à 7 fr.
chèvretons, je 2 à 3,50 l’un.
SONS ET ISSUES. — La fabrication
très important, les cultivateurs s ’y habituelle avec naturellem ent prédomi­
Les moutons auvergnats m anquent
Volailles. — Poulets de grain, de 5 été
demeure
des
plus
lentes
alors
que
les
étant rendus non seulem ent pour la nance d’Lersteriingen dans la demande
limousins 6.40 à 6.70 ; bizets du Plateau
à 6 fr. ; poules et coqs, 4,50 ; canards, vente des anim aux, mais aussi pour la ce
besoins
sont
pour
le
moment
réduits
qui permet de tenir les prix de cette p ar suite de la situation herbagère Central 6.20 à 6.60 ; lozérots 6.10 à 6.50 ;
de 3,80 à 4,25 ; oies, 4,50 à 5 fr. ; din- vente des grains. Les veaux 6e sont variété.
ar contre, les hollandes et la assez favorable.
gascons et aveyronnals 6.10 à 6.60
donnes, 5,50 , pintades, 6,50 ; lapins, vendus en moyenne de 2,50 à 3,50 la saucisse Prouge
les p rix sont plus
Puy-de-Dôme m arquent.
2,25, le tout au demi-Kilo poids vif ; livre ; quelques bètes de choix, dits rlevés ont subi udont
On cote les sons gros de 82 à 83 et
n
léger
tassement.
Sur
En brebis on a vendu les Dishleyslapereaux, 6 fr. à la pièce ; pigeons veaux blancs se sont payés de 3,75 à le marché de gros aujourd’hui le volu­ l ’ôrdinaire, 80 à 81 ; recoupettes, ordi­
domestiques, 12 fr. ; fuyards, 6,50 à 4.25 la livre ; les moutons valaient de me des affaires a été insignifiant, ce naires, 80 à 81 ; belles, 82 à 83 ; re ­ mérinos 5.10 à 5.50 ; bourbonnaises, nl7 fr. à la paire.
180 à 210 fr. l’un ; les porcs gras de qui s ’explique parfaitem ent par les m oulages ordinaires 94 à 95 ; demi- vernaises 5 à 5.30 ; gasconnes 4.70 à
Gibier. — Lapins de garenne, 10 fi 420 à 440 fr. les 50 kilos et les agneaux craintes résultant de la crise in tern a­ blancs, 105 à 110 ; blancs, 120 à 125 ; 4.90 ; m ères usées 3.50 à 4 fr.
12 fr. ; perdreaux, 9 à 12 fr. ; cailles, de 5 à 6 mois, de 140 â 160 fr. l ’un. Les tionale.
extra blancs, 130 à 135.
PORCS. — Vente difficile avec recul
de 3,50 à 5 fr. ; râles de 4 à 5 fr. à bonnes lentilles du pays se payaient
SEIGLES. — Les affaires restent très de dix à vingt centimes au kilo vif
Au
m
arché
des
Innocents,
on
cote
la pièce ; lièvres, 5,50 la livre.
de
400
à
420
fr.
les
100
kilos.
calmes.
Il
n
’y
a
que
peu
de
besoins
et
pour m archandise en vrac au x 100 ki­
On cotait au kilo vif :
Marché aux bestiaux. — Veaux, de
les quelques offres qui so présentent
Marché d ’approvisionnem ent : Beurre los, sur wagon départ :
7 à 8 fr., suivant qualité ; porcs gras,
Porcs m aigres extra d ’environ 100
trouvent
difficilement
à
se
caser.
Les
8.50
à
9
,50
la
livre
;
fourme
et
SaintH énaut Loiret 95 à 98 ; P aris 102 à 105
de 9.60 à 9,75 le tout au kilo.
kilos vifs 9.80 à 9.90 ; bons maigres de
Nectaire, 7,50 ; œufs, 7 à 8 fr. la dou­ (culture) ; Julie de Bretagne 75 à 80 ; cours sont faiblards.
pays 9.60 à 9.80 ; petite m archandise
MARINCUES. — Marché du 19 sep­ zaine ; petits fromages de chèvres de
On traite : Beauce, Loiret, Sologne, 8.90 à 9.10 ; cochons un peu épais de
tem bre 1938. — Gros marché fortement 1.25 à 1.75 suivant grosseur ; vieux coqs m ayette de Bretagne 65 à 70 ; duchesse 124
à
125
;
Champagne,
126
à
127
;
Loi­
l’Ouest du Centre 9.50 à 9.70 ; porcs
approvisionné. Prix fermes avec légère et poules, 8 à 9 fr. le kilo ; poulets, 12 Bretagne 60.
I j i saucisse ronge de Bretagne vaut re Haute-Loire, Vienne, 125 à 126 ; de l’Aveyron, de Corrèze, du Limou­
hausse sur le beurre et les œufs. Mar­ à 15 fr. l’un ; canards, de 5 à 5,25 la
Bretagne,
126
à
128.
en
tout
venant
55
et
en
grosse
triée
62
sin, du -Midi (culs noirs) 910 à 9.70,
ché aux fruits, très alimenté, a connu livre ; lapins, de 3,25 à 3,50 la livre ;
à 64 ; Vendée 98 à 100.
SARRASINS. — Le m arché semble
u ne vente très active.
Coches 6.90 à 7.70 ; laitonnes 7.30 a
lièvres, 5,50 la livre ; pigeons, de 10 à
Etoile du Nord, du Loiret 55. Idéale cette fois stabilisé. Il y a cependant 9.40.
Voici les cours pratiqués :
12 fr. la paire ; perdreaux, de 10 à 12 fr. Nord 38.
er.co«re
peu
de
demandes.
Beurre gros pain 9.50 à 10 fr. ; petits l’un ; pommes ae terre, 1,25 le kilo.
Porcelets d ’élevage 230 à 280 fr. la
Eersterlingen, Nord 41 à 42 ; Oise 41
La Bretagne tient le septembre 132 à
ains 10 à 10.50- fromage du pays 4.50 à
à 42 • Somme, Aisne 42 ; Maine-et-Lolr 134 ; octobre 131. Les 6 d’octobre valent pièce suivant grosseur et qualité.
HAUTE-LOIRE
fr ; fournie du Cantal 5 à 5.50 ; bleu
50 ; Sarthe 48 à 50 ; Loiret 42 à 44 ; 134 à 135.
d ’Auvergne 5 à 6 fr. ; Saint-Nectaire BLESLE. — Foire du 20 septembre. — re
P aris (culture) 40 à 42.
5 50 à 6 50 ; fourme d’Ambert 6 à 7 fr. ; La foire du 20 septembre, dite ancien­
AVOINES. — La faiblesse continue de
Cours approximatifs
Early. Sarthe, Touraine, Poitou 50.
cTuyère 7 à 8 fr. ; Saint-Marcelin 6 h nement • Foire des Vendanges », a
constatés par kilo poids « vif »
Ronde jaune de Pont-Labbé 38 à 40 ; s’accentuer. Il faut vraim ent croire que
6 50 le tout à la livre ; œufs 7 à 7.50 passé presque inaperçue à Blesle. La Sarthe 50 ; Alsace 38 ; Floucke de St- tout le monde s’inquiète de voir que
l r® q . 2® q . 3® q . E x t
là douzaine ; poulets de grain 6 à 6.50 ; raison en est que les cam pagnes envi­ Malo 50 nominal.
l ’on s’occupera beaucoup trop de déna­
coas et poules 5 à 5.50 ; oies 4.50 à 5 fr.; ronnantes sont en ce monient-ci en
turation en ce qui concerne la» résorp­ B œ u f s ..................... . 5 88 4 73 3 75 6 39
Rosa,
Marne
85
;
Sarthe
82
à
83
;
Loi­
can ard s 4 à 4-50 ; pintades 5 à 6 fr. ; pleine saison ae battage, et avec le re* 80 ; M arbihan 72 à 73 ; COtes-du- tion des excédents de blé. On ne devra Vaches................. 5 88 4 54 3 40 6 98
dindes 5.50 à 6 fr. ; lapins 2.90 à 3.10, le m auvais iemps de ces jours derniers,
pas oublier que les pertes de cours sut T a u r e a u x i... . . . , 4 74 40 7 3 45 5 33
tout à la livre ; pigeons moyens 6 à nos braves cultivateurs n ’ont pas vou­ Nord 73 à 74.
8 76 7 52 6 32 9 61
l ’avoine viendront tout naturellem ent V e a u x .....................
7 fr la paire ; gros pigeons de ferme lu perdre une journée. Peu de bétail
en déduction du p rix net du blé.
M o u t o n s ................. , 8 60 6 63 5 13 9 15
sur
le
cham
p
de
foire.
Quelques
porcs
10 A 13 fr. la paire et suivant grosseur;
Au marché libre, on a traité au jo u r­ P o r c s ......................
9 60 9 » 7 » 9 90
gras qui ont atteint 4 fr. 50 la livre, AMBULANCES CLERMOiNTOlSES d ’hui aux 100 kilos, départ, grise de
lanins d ’élevage 6 â 7 fr. la pièce.
B r e b i s : 3 .4 4 à 5.17.
Gibier — Lièvres 5 â 5.50 la livre ; des petits porcs pour l’élevage qui,
printem ps : Beauce, Eure, Brie, 102 à
COUCHETTES PNEUMATIQUS
ARRIVAGES. - - 1.363 b œ u f s , 9(Æ va
tanins de garenne 10 à 13 fr. ; perdreaux pour La plupart ont été invendus, et
Suspension spécial*
103 ; gTise d ’hiver, Poitou, Centre, 103
1? à 12 fr. ; cailles 4 à 5 fr. ; râle des quelques moutons et brebis.
à 104 ; noires d u Centre 101 à 102 ; jeu ­ c h e s , 22 t a u r e a u x , 1.376 v e a u x , 4.847
ne-blanche RÄ4-103 ; blanches pures, m o u t o n s , 1.284 p o r c s .
- LANGEAC. — Mercuriales du 20 sep­
g A n im a u x d ^ boucherie. — Veau 3.25 tembre.
102 à 103.
: .
IN V E N U S ., — 25 b œ u f s . 36 v a c h e s , 14
— Beurre, 9 à 10,50 la livre ;
à 3 W la livre ; veau extra 3.50 à 4 fr. œufs, 6 à 7 fr. la douzaine ; fromages
La Champagne tient les grises 104 ; v e a u x .
noires
do
107
à
106
;
jaunes-blancbes
la livre.
du pays, 5 à 6 fr. la livre ; chèvretons,
103.
•
.>*.-■■■
SAURIER. — Marché aux veaux du 1.25 à 1.50 la pièce ; poulets de grain,
__
am
enés
40,
—. 1. —Km
—
Veaux
ORGES ET ESOOURGEONS/ — Les
6.50 à 7,25 la livre ; poulets, 4,50 à les p o rcs g ra s e t assez b as p o u r les
* re. ;« LES SEMAILLES »
®
9
à 4.25 la livre
S. ru* J.-SOULACROUF *t 71. n u JOUIS
orges de brasserie dénotent encore do
5 fr. la livre ; poules, 9 à 16 fr. la
v en d u s 40, de 3.50
l ’incertitude et même de la faiblesse,
pièce ; oies, 3 à 3,50 la livre ; dindes, V62LUX.
Voici quelques p rix :
Ï.300 5 à 6 fr. la livre ; canards, 3,50 à 4 fr.
Sommaire du dernier numéro (22* année)
Il y a eu peu de demandes.
IOTCS
V eaux de 3 à 4 fr. la liv re
la livre ; pigeons, 6 à 12 fr. la paire ;
On traite Beauce. 133 ; Gâtinais, 138 : La charité se concille-t-elle avec une cer­
Î
OS.
gras,
de
380
à
450
fr.
lapins, 2,50 à 3 fr. la livre ; agneaux.
taine réserve... blenveilJante T. — Rensei­
» 1500 tr - l un* A L L .M
B eurre, 8,50 la livre ; œ ufs, 7 fr. la Berry, 126 ; Sarthe, Mayenne, 125
à 3 fr. le demi-kilo ; porcs, 4 à douzaine
gnements, conseils et note apologétiques au
Champagne 133.
;
len
tilles
vertes,
de
65
à
VICHY — Foire du 21 septembre. — 2.50
4.50 le demi-kilo ; veaux ordinaires,
Sur les 4 de janvier, on tient Beau­ Jour le Jour : pratiques à observer concert
double d écalitre (17 kilos).
ant « m a » paroisse ; calendrier liturgique
3 à 3,70 le demi-kilo ; veaux première 75Lefr. plero ch
ain m a rc h é a u ra lieu le ce 137 ; G âtinais 146 ; Berry 131 ; Cham­ njusqu’au
25 octobre ; les enfants* catholiques
qualité, 4 à 4,75 lé demi-kilo.
pagne 143.
27
septem
bre.
e t l'école libre ; mot de la fin. — Page ex­
Orge do m outure 123 à 127.
ä
.
CREUSE
LEMPDE8. — Marché du 20 septem­
En escourgeons, les cours sont de pliquée d ’E crlture Sainte : la Parabole du
3.000 tr. •
8™ de 12 â 13 fr. le bre. — Beurre, 8,50 la livre ; fromages,
EVAUX-LE8-BAIN8. — M arché d u 19 même plus faibles, faute de voir assez Bon Sam aritain (S. Luc, X.. 25-37). — La
» o . » • » > 1 1 2 5 0 * 7.50 la livre ; œufs, 7 fr. la douzaine ; septem bre. — M arché bien app rovision­ de demandes.
diffamation, vilain mot, triste chose l —
poulets, 5,50 la livre ; oies, 5,50 la livre ; né. P oulets trè s a b o n d an ts. P ro ch ain
On cote en disponible : Beauce 125 Un cas de conscience sur le « choix d’une
lapins, 3 fr. la livre ; dindes, 6 fr. la li­ m arché lu n d i 26 septem bre.
^VILLEFRANCIÂ-D’AIAIER^^—
école ». — A propos de l’Evangile de la
Champagne
126
;
Brie,
127.
vre ; canards, 5.50 la livre ; lapine de
Le m alt vaut 250 à 260, départ Nord. messe : les quatre Evangiles remontent-ils
Voici le6 p rin cip a u x co u rs
ohé du 19
pUgoieillé qui e v a tt garenne, 12 fr. pièce.
au premier siècle 1 — Question de catéchis­
B eurre, com m erce, 16 à 17 fr. le kilo,
h in d i de septem b re e . r un marChé
Fourme du Cantal, 7,50 la livre ; per^ d étail, 18 à 20 fr. le kilo ; œ ufs, corn
me : Dieu voit-il tout t réponse de la rai
c o n trib u é à f* jr® miMl fu t v ra im e n t u n drix, 10 fr. pièce ; beurre et œ ufs en m
C’est la publicité qui fait Tendre ! son. — Les obstacles « canoniques » au
eroe, 7 fr., détail, 7.50 la douzaine
abondance. Marché assez bien approvi poulets trè s ab o n d an ts, 10 fr. le kilo
m ariage : l'empêchement < dlrtm ant » de
sionné. Peu d’étalagistes.
parenté spirituelle. — Ce qu'il faudrait con­
oies, 18 fr. à 22 fr. pièce ; lapins, 3 à
h e u re u x de se re ^ o u v e r
Adressez-vous en personne à no« naître de l'histoire du christianisme (septiè­
Voici l e s mercUTiales^.
. lapin*
•AINT-PAULIEN — Marché du 13 sep­ 1.20 le kilo ; pigeons, 4 à 5 fr. pièce
me article) : une vue d ’ensemble sur les
tembre. — Les cours sont à peu près perd reau x , 8 à 9 fr. pièce ; lièvres, 10 clients en faisant de la publicité 70
Lièvres,
premières années de l'Eglise. — Con
dans les journaux t.
les mêmes, c ’est-à-dire très élevés pour fr. le kilo.
de parenne‘ •6.7
g .75 à 9.75 ; perdrix rouses.
JOUVENCE
L'ABBE SOURY
FOIRES ET MARCHES
FOURRAGES ET PAILLES MARCHÉ AUX GRAINS
POMMES DE TERRE
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PARAVERSE belle qualité.
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fr.
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BOURSE DE PARIS du 22 Septembre 1938
VALEURS
C o u rs D e m .
p r é c . cour»
FONDS D’ETAT
VALEURS
Cours D em .
préc.
VALEURS
oo uns
M.
Cours D em
préc. co u rs
C rédit Foncier
(O b lig atio n * )
76 15 Communales 1879 698 . . 688 . . P.-L-M. fus. anc.. 280 . . 275 . .
76 55 — 3 % 1880 670 . . 655 . . P.-L-M. fus. new . 285 . . 277 » ,
— 3 % 1891 234 . . 228 . . P .-L -i.6 % 3 2 42 890 . . 886 . .
7*1 35 — 3 % 1892 2 6 7 ... 265 . . P.-0.6 % 1934-49 939 . . 936 ^
70 40 — 8 % 1899 239 . . 235 . . Est 3 % ancien. . 320 . . 319 . k
95 90 — 3 % 1906 244 50 241 . . Midi 3 % anciea. 298 . . 294 . .
132 40 — 3 % 1912 127 . . 126 . .
6 % 1 9 3 6 .. 864 . . 812
78 50 — 7 % 1927 469 . . 470 . . Nord 3 % ancien. 369 . . 367 . .
78 25 — 4 % 1930 623 . . 609 . . Orléans 3 % anc. 325 . . 327 . .
132 60 — 4 % 1931 630 . . 632 . . Ouest 3 % a n c ... 336 . . 338 . .
— 4 % 1931-32 606 . . 614 . . Etat 4 % 1912-14 317 . . 316 ^
797 . .
4 1 /2 % 1932 645 . . 640 . . Etat 5 % 1919
324 . . 335 . ,
735
206 . . 203 ^
467 . . Fonclèras3% 1879 647 . . 650 •• Als.-Lorraine
194 . . 192 . .
— 3 % 1883 208 . . 202 •• Sud France 3
386 •— 3 % 1885 255 . . 250 •• Santa Fé 4 1 / 2 %
•• • •
806 -• • ••
269
.
.
262
••
— 3 % 1895
Damas-Hama priv. 161 .. 161 ^
952 -•
254
.
.
255
••
136
.
.
140
.*
—
3
%
1903
Danube Save Adriat
1008 -— 3 % 1909 125 . . 126 ••
951 -•
— 3%
%1913 275 . . 265 -981 -— 4 % 1913 440 . . 440 -- VALEURS cotée* en couIlise
944 756 50 Emprunt 5 % 1929 780 . . 775 -• MaUcca ordinaire. 178 50 181 • •
791 -- Foncièr. 4 1 / 2 30 610 . . 614 -• Est asiatique danois 7010 #, 7060 • •
567 #m 574 • »
824 -• Emprunt 5 % 1933 685 . . 690 -- Padang—
993
999
795 •• Emp. 5 1 / 2 % 34 865 . 865 . . Hutchinson.
71 . . Shell
........ 790 m# 775
815 •• Bons à lots 1887. 71 . .
67
50
#
#
—
1888. 68 . .
Tublze privilégiée. 112
109 50
807
685 -- Panama à lots . . . 113 . . 113 . . Union M. Katanga. 4348 # # 43S0 • •
Mines d'AIbi........ 503 # , 501 • •
468 . . INDUSTRIELLES (Actione)
— de Bruay... 158 #. 154 • •
452 . .
, 2055
1 9 9 7 5 .. 2 0 4 8 5 .. Vieille-Montagne... 2045 #
519 . . Suez capital..
Tharsis............... 264 , , 265 ! #
477 . . iuez parts de fond. 1 6 4 8 5 .. 1639 5 .. Tanganyika..........
58 M 59 75
495 . . — 1/5 p. Soc. clv 5710 . . 5800 . .
496 . . Royal-Dutch 1 /1 0 . 6700 . . 6675 . . Chartered............ 237 50 239 50
883 . . Penarroya .......... 265 . . 268 . . Crown-Mines . . . . 3073 ## 3088 • •
875 . . Boléo.................. 48 25 49 25 De Bcers ord....... 1518 , . 1513 • •
— *5% 35
Gafsa.................. 650 . . 648 . . East Rand........... 482 , , 485 •#
P .. .
Algérie 5 % 1934
’932 *! Saint-Gobaln........ 1850 . . 1830 . . Goldfields........... 661 , . 660 ••
Tunisie 5 % 1934
Italien 3 1 / 2 % .
90 . . Bergougnan........ 475 . . 475 . . Hotchkiss et C *... 600 ## 610 • m
45 75 45 75
2670 . . Thomson... . . . . . 125 . . 125 . . Huanchaca..........
Portugais 3 % ext
Algérienne d'tclair. 190 . . 190 . . Jagersfonteln....... !92 50 195 •#
Japon 5 % 1907.
574
.
.
Energie élect S.-O.
567 . . Mozambique........
43 . . 43
— 4 % 1910. • • • • •
Young 5 1 /2 % .. 320 . . 325 ü Force m oi Vienne. 260 . . 254 . . Rand-Mines......... 1685 . # 1694
19 75 19 75
Autriche 5 1/2 33 685 . . 691 . . C* d énergie éiectr. 465 . . 450 . . Shansi................
Egypte unilié 7 % . 3525 . . 3588 . . Hyd.-Elect. d Auver. 780 . . 776 . . Transvaal Land.. 256 #, 260 50
5 25
Russe consol. 4 %
5 50 Lyonnaise des Eaux. 1220 . . 1225 . . Fin. Caoutchoucs.. 248 , . 250 *•
347 , # 34g • •
Serbe 4 % 1895. 285 . . 285 . . Energie du Littoral 475 . . 473 . . West Rand........
57 #. 58 *•
340 . . Pyrénéenne d'éner. 945 . . 936 . . Hydro de la Cère
Turquie 7 1 /2 33. 350
, , 1080 M
Michelin
1/6
part.
1090
_
__
180 . . 177 .. Cf* G'* d'Electricité. 1200 . . 1200 . .
_
—
328 . . 323 . . Electricité de Paris 597 . . 586 . . Pernod................ 971 #, 973
39 50 38 75
Roumain 4 % 22 149 . . 140 . . Châtillon- Comment 1285 . . 1295 . . Mexican Eagle.. . .
455 . . 463 . . Roan Antelope,. . . 152 50 154
7 % 29 945 . . 920 . . Fourchambault.
Trepca M in e s .... 92 #. 91
Pologne 7 % 1927 ............ 2310 . . Forges A lais.. .
544
Mexique 4 % 1910 32 . .
30 . . Marine Homécourt 305 !! 307 !! Brakpan M in es... 536
74 75 72 7Ï
1010 .. 1000 .. Canadian Eagle. . .
Suisse 3 % 1890 8570 . . 8540 . . Creusot.
London
T
in
...
28
50
29
281
.
.
280
.
.
JeumonL
257 •• 263 50
Trélileries du Havre 670 . . 668 . . Spring Mines.
B A N Q U ES
443 . . 460 . .
Flves-Lille
1900 . . 1861 . . BOURSE DE LYON
Banque de France. 6225 . . 6200 . .
ao.
Banque d'Algérie.. 5100 . . 5020 . . Houillères Hte-Lolre 170 . . 170 . .
AOTIONS
895 . . 900 . .
Union Parisienne.. 408 . . 398 . . OstricourL
Comp'* Algérienne. 892 . . 911 . . Maries
.’. 380 . . 385 . . Bergougnan..........
Crédit Lyonnais.,. 1471 . . 1472 . . Pontgibaud-........ 1170 . . 1180 . . Hydro-Electr. d’Auv. 780
Comptoir N. d'Esc • 725 . . 719 . . Mokta-el-Hadid. . . 4540 . . 4475 . . ‘ hinev ............. 1465
1450 *E
Crédit F o n cier... 2356 . . 2310 . . Rio-Tlnto............. 2290 . . 2273 . .
de Lyon ........
246 „
Société Générale.. 701 . . 697 . . Sosnowice.......... 305 . . 296 . . Automoto............
Banque de P aris.. 1088 . . 1084 . . Sucreries d'Egypte. 822 . . 842 . . Trams de Lyon. . . 269
269 Z
Bq. nat. d'Egypte.. 5890 . . 5860 . . Central Mining. . . 4195 . . 4260 . . Mines la Boubla, C. 270
271 r
—
de
Blanzy—
B. N. C. 1........... 565 . . 565 . . Wagons-Lits........
71 75 72 . .
Crédit Commercial. 428 . . 424 . .
117 . . 116 . . — Montrambert.
Banque Indochine. 3600 . . 3625 . .
1290 . . 1291 . . — de la L oire...
•••H
Crédit Fonc. Egypt. 4355 . . 4370 . . M i c h e v i l l e . . . . . . . . . . . .
587 . . 592 . . — la Péronnlère.
Cie Fer Fr.-Canad.. 3630 . . 3720 . . Denain 4 Anzin.. 1100 .. 1068 . . — de Rochebulle.
1335
Banque du Mexique 152 . . 150 . . Ciments français. 1100 .. 1150 . . — Roche-la-MoL 1335
158 ..
Banque Ottomane. 660 . . 658 . . Canadian Pacific. 219 . . 220 . . Papeteries Navarre.
Land Bank.......... ... . ........ Montecatini........
158 . . 160 . . Aut BerlieL........
Rinte ionc........... 323 .! 316 " Gaz du Nord et Est. 506 . . 532 . . Flrmlny...............
Banque Transatlant
28 . .
175 . . 179 . . Loire-Centre (AcL).
Foncière Lyonnaise 610
611 . .
705 . . 695 . . Casino St-Elienne. 635
635
358 . . 362 . .
593 . 592 . .
Kuhlmann.......
OBLIGATIONS
OBLIGATIONS
571 . . 559 . .
Sucreries S ay..
Ville de Parle
1445 . . 1419 . .
Péchiney..........
M
ichelin
4
1/2% 645
641 . .
440 . . 445 . .
3 % 1871 . . . , , 360 . . 3 6 0 7 .. Dunlop.............
• • • e«
703 . . 703 . . Hyd.Aiiv. 41/231
4 % 1875
407 . . 420 . . Rhône Poulenc..
725 . .
2913 . . 2914 . . Conchon-Quin. 5% 720
4 % 1876 ........ 413 50 415 . . S. K. F ...........
102 . . 104 25
2 1 / 2 % 1 8 9 2 /. 180 . . 181 . . N e s tlé .............
PAYS
2 1 / 2 % 9 4-96. 180 .. 185 . .
T R A N SPO R TS (A ction*)
2 % 1898 ........ 228 50 228 50
Angleterre.. . 178 34 178 39
2 % 1899 Métro. 215 . . 215 .. Est..................... 540 . . 535 . . 0 3 États-Unis.. . 36 96 37 08
2 1 / 2 % 1 9 0 4 .. 222 . . 221 . . P.-L-M................ 760 . . 765 . . LUI Allemagne.. . ......................
2 3 / 4 % 1 9 1 0 .. 190 . . 190 . . Midi................... 552 . . 546 . .
Belgique
623 50 625 59
3 % 1 9 1 0 ........ 174 . . 172 .. Nord................... 718 . . 706 . .
Danemark. . . 795 75
3 % 1 9 1 2 ........ 230 . . 228 50 Orléans.............. 677 . . 665 . . Z 1 Espagne.......
* *
5 % 1928 ........ 692 . . 680 . . O u est................ 605 . . 595 . . < I H o lla n d e.... 1998 25 2000 .,
4 1 / 2 % 1 9 2 9 .. 621 . . 621 . . M éiro................ 819 . . 819 . .
Italie........... 194 55 195 II
4 % 1930 mars-av.
702 . . Rosario o r d ........
j Norvège....... • • • • • 895 . .
96 . .
98 . .
4 % 1930 Lots.. 591 . . 596 . . Santa Fé ............ 406 . . 400 . . ü
Tchécoslovaq. ..................
4 % 1931 L ots.. 578 . . 576 . . Buénos-Aires---- 450 . . 450 ..
1 Roumanie.... • • • .
4 % 1931 Fortif. 563 . . 571 . . Chem. de 1er Maroc 373 . . 358 . .
Suède.......... 920 50 920 50
4 1 / 2 % 1 9 3 2 .. 630 . . 630 . . Tanger à F ez. . . . • • • « •
Suisse......... 837 87 838 50
t
u
5 1 / 2 % 1 9 3 4 .. 795 .. 790 . . Tunisiens............ 389 . . 385 . .
Autriche
• • • i
5 % 1934 Fortif. 672 . . 666 . . T.C.R.P............. 932 . . 932 . . J
Pologne.......
5 % 1935 ........ 775 . . 780 . . S. I .T .A ............ 925 . . 910 . . J. Argentine.... ...................
3 % perpétuel...
3 % a m o r t........
3 1/2 % am o rt..
4 % 1 9 1 7 ........
4 % 1 9 1 8 ........
5 % 1920 (am.).
4 % 1925 £ . .
4 1 /2 % 32. A ..
4 1 /2 % 3 2 . B ..
Rente 4 1 /2 % 37
Ob. Très. 4 1/2 33
Ob. Très. 4 % 1934
P. T. T. 5 % 1928
P.T.T. 4 1 / 2 % . .
P. T. T. 5 % 1934
BonsT.4 l/2 % 3 3
—
5% 33
—
5 % 34
— 4 1 /2 % 34
—
4 % 35
Cais.aut.4 1 /2 %
Af.Eq. 5 1 /2 % 33
Àf.0c.5 1 /2 % 33
lndoc.5 1 /2 % 33
Indochine 5 % 34
Madag.5 1 /2 % 33
Maroc 5 % 1934
Créd. NaL 5 % 19
— - . 5 % 20
| 6 % 22
— 1 8 /^ 2 3
—
6^23
— , -6 ^ 2 4
76 50
76 55
.. ..
71 80
70 50
97 . .
131 45
78 70
78 50
131 85
800 . .
742 . .
465 . .
386 . .
810 . .
950 . .
1008 . .
955 . .
980 . .
945 . .
759 50
797 . .
824 . .
805 . .
813 . .
800 . .
688 . .
467 . .
457 . .
5 1 3 ..
483 . .
.495 . .
496 . .
883 . .
8 7 5 '..
695 >.*.
932 . .
88 25
2640 '. .
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La
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1
.....
C)1
Cabinet <le M. Je a n ROUX,
directeur du C e n tra l Offiee,
1, rue du Onze-Novembre, à
Clermont-Ferrand.
BULLETIN METEOROLOGIQUE
ij
Suivant acte sous seing pri­
vé, en date à Clermont-Fer­
rand du 8 septembre 1938, en­
registré le 9 septembre 1938,
folio 49, case 13, par M. le Re­
ceveur qui a perçu les droits,
Madame Marguerite - JeanneMadeleine CHAMBON, épouse
assistée et autorisée de Mon­
sieur René-François-Maximilien TINGAUD, a vendu à Ma­
dam e Agathe BARRIERE,
veuve de Monsieur MAZAUDOIS :
1» Le droit au bail d’un
fonds de commerce de Librai­
rie-Papeterie, qu’elle exploi­
tait à Clermont-Ferrand, 14,
place de la Victoire ;
2° Le matériel afférent à la
dite Librairie-Papeterie.
Selon prix, clauses et condi­
tions insérés d ans l ’acte.
Les oppositions, s ’il y a
lieu, seront reçues, à peine de
forclusion, dans les dix Jours
de la présente insertion, au
Cabinet de M. Jean Roux, 1,
rue du Onze - Novembre, à
Clermont - Ferrand, domicile
élu par les parties.
L’insertion au B. O. V. F. a
été faite le 21 septembre 1938,
à Paris.
P our deuxième insertion :
Jean ROUX.
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1 béore.-rrf. .»•
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727
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Minima • .. . . . . .
Maxima..............
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TEM PS PROBABLE
pour le vendredi 23 septembre 1938
Temps nuageux, pluie en montagne.
(LIRE U
SALLE DES DÉPÊCHES
DE « L’AVENIR »
IMPUISSANCE
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du 22 septembre
Deuxième avis de cession
I
1
cours pour les enfants (avec récompenses) :
Le Vitrail ; dernier concours.
p. s. — On peut se procurer une ou plu­
sieurs années reliées des • Semailles • :
chaque volume de 320 pages, 15 francs (90
fr. pour l’étranger).
L’abonnem ent annuel est de 19 francs
(pour la France et les colonies), de 15 fr.
pour l’étranger, et peut p a rtir de chaque
mois.
Directeur : Abbé Etienne Oasson, euréarchlprêtre de N.-D. Salnt-Louts, 10, ru e du
Béguin, yon ( a P. Lyon 52-79).
Lourag
a fait’
%, RUE BLATIP — Téléph. 3 5 - 4 8
VIEN T DE PA R A IT R E :
NOUVEAUTÉS FISCALES 1938
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NOUVELLE LEGISLATION
DES LOYERS
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Le Gérant: H. SAINRAPT»
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