M. CHAMBERLAIN ET LE CHARCEUER HITLER
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M. CHAMBERLAIN ET LE CHARCEUER HITLER
' 0fr.40 F r ADMINISTRATION ET RÉDACTION > 1938 ...... AV. 42* Année. — — 13. Rue du Port. CLERMONT-FERRAND DE N° 16.730 ENDREDI Téléphone t 67.01 et la suite A d t télégraphique : A V EN IR -CLERMONT BALLES — DÉPÊCHES 4 . RUE BLATIN. CLERMONT-Fd TA. 35.48 A BO N N EM EN TS S moi* Puy-de-Dôme et Dép. Emit. Autre* Département* , . . < Etrange* (port en plus). 6adi 33 38 COMPTE COURANT POSTAL ON CAUSE... 62 70 I d e-D ôm e>Allier Cantal • Haute«Loire Puy m 116 122 290 D irectrice: DU PLATEAU CENTRAL M “' A. A veyron • Corrèze Creuse« Loire« Lozère Rédacteur en Chef : M a u r i c e V A L L E T DUMONT M. CHAMBERLAIN ET LE CHARCEUER HITLER La Publicité est reçue dans dar nos BUREAUX, 1 3, rue du Port, et à l’J I*AGENCE HAVAS, 4 2 , «T. due ÉtaU-Unia, Clermont-Ferrand à l’Agence Hevea, La Publicité exti«-réj 62, rue de Richelieu, Paris. Le commandant en chef de l'aviation américaine s’est tué en avion A LA CHAMBRE On n ’a p o in t de re n seig n e m en ts P aris, 22 septem bre. s u r les p rem iers e n tre tie n s de G o L 'a tm o sp h ère p a rlem en ta ire fu t desberg. A la vérité, on n ’en pou va it chargée d'électricité une grande par p a s avoir. Ils c o n tin u e n t : c ’est le tie de la journée. D ans les jou rs cri p rin cip a l. tiques que nous vivons, les stratèges O n d o it so u h a ite r que ces trois de couloirs que rien n'arrête, s 'e m h eu res a ie n t p erm is au m o in s de ploient à m en e r u ne vive cam pagne poser, d a n s ses d onnées com plètes, contre le Cabinet. Avec une ardeur le p roblèm e tchécoslovaque. L ’in s ta n t infatigable, ils travaillèrent tout le n ’e s t plu s a u x in g én io sités n i a u x long du jo u r à répandre le b ruit que d issim u la tio n s. Il fa u t savoir, de p a rt le Cabinet D aladier se disloquait. La e t d ’a u tre , ce que l’on v e u t, e t le frénésie des candidats m in istériels concilier. Ou n o u s d em eu ro n s dans leur donnait du cœ u r au, ventre. des d iffic u lté s d ’où p e u t so rtir le Chacun s'accordait à reconnaître pire. qu'il était vra im en t h onteux, à l'h e u A v a n t de m o n te r en avion, M. re dram atique que nous vivons, que C h a m b e rla in a fa it c e tte déclara les com binards p arlem entaires se tio n : va u tren t com m e à p la isir dans leurs Un règlem ent pacifique du problème sales m anigances habituelles. E xci tchécoslovaque est une condition es tés et encouragés par les co m m u n is sentielle à une m eilleure com préhen tes, ils fo n t à la fois le je u de B erlin sion entre les peuples allem and et an et de Moscou. glais. Cette com préhension est la con ainsi que d ’experts renommés, capa H e-ton, 22 septem bre. bles de consolider l ’Etat dans la grave L 'o n avait fa it courir le bruit de dition indispensable de la paix euro M. C ham berlain a q u itté l'a é ro péenne. J ’espère que mon voyage ou crise de l’Europe Centrale. la dém ission sensationnelle de MM. drom e d ’H eston à 10 h. 47 p o u r Colo v rira la voie qui y conduit. R eyn a u d , M andel et C ham petier de Le n o u v eau m in istè re tchécoslova O n p e u t voir d a n s ces paroles que g ne où son avion a a tte r r i à 12 h. CO. Ribes. L'on y avait m êm e ajouté le que a été co n stitu é sous la présid en A vant de mo^*re r en avion, M. p o u r le p re m ier m in istre b rita n n i nom de M. C am pinchi, m in istre de oe du g én éral Je an Sirovy, inspec C h a m b e rla in a d éclaré : que, le p o in t de vue anglais d o m i la M arine. Celui-ci s'eh défendit su r te u r de l ’arm ée tchécoslovaque. n era to u t le d ébat. La p a ix euro l'heure et déclara p érem ptoirem ent « U n règ lem en t pacifique du pro Voici lc6 p rin cip au x m em bres du p éen n e, ce bien si c h è re m e n t payé et blèm e tchécoslovaque est u ne condi qu'en u n tel m om ent, le devoir de n o u v eau cab in et tchécoslovaque : tout m em bre du G ouvernem ent était après lequel on court depuis d eu x tio n essentielle à u n e m eilleu re com P ré sid e n t d u Conseil et m in istre au contraire de se serrer a u to u r de se m a in es, n ’en serait que la consé p réh e n sio n en tre les p euples a lle de la G uerre : G énéral Je a n S y r o v y son chef. quence. m a n d e t an g lais.C ette com préhension F in an c es : M. K alfues ; A ffaires Q uant a u x trois autres m in istres I l fa u d ra p re n d re garde que H it est la co n d itio n in d isp en sab le de la é tra n g ères : M. C am ille K ro fta ; In l'on pense qu ’ils a vaient songé effec ler, d a n s les proch a in s jours, ne s ’e f paix européenne. J ’espère que m on té rie u r : M. Je an C erny ; m in istre fo rc e de rallier l'A ngleterre à la po voyage o u v rira la voie q ui y con de la S an té publique : M. M endl, p ro LE MAJOR GÉNÉRAL WESTOVER tivem ent d sortir du m in istère et d reprendre leur liberté. Chacun sait litiq u e a llem a n d e. La ta c tiq u e tr a d u it. » fesseu r à la F acu lté de m édecine de que tous les m in istres fu re n t tenus É ^ ÿ É É iife d itio n n e lle de B erlin trouve ici son Coiogne, 22 septem bre. W ash in g to n , 22 septem bre. P rag u e. au courant heure par heure, par M. em ploi. A près av o ir passé en revue la com T ra v au x publics : G énéral U sarek, Le d ép a rtem e n t de la g u erre a n D aladier de tout ce qui se passait, 1 1 L e p o in t obscur est de savoir da n s p a g n ie d ’n o i.iifu r s u r le ch a m p d ’a sous-chef d ’état-m a jo r ; Ju stice : M. nonce que le m ajo r g én éral W esto qu'ils ont pris délibérém ent p arti quelle m esu re les reven d ica tio n s v ia tio n et ta n d is que la fa n fa re V lad im ir F a jn o r, Slovaque et p rési ver, co m m an d a n t en chef l’aviation dans tous les conseils de Cabinet ou hongroises e t polonaises v o n t s’a jo u jo u a it l'h y m n e n a tio n a l an g la is, M. d en t d u trib u n a l suprêm e de Brno. des E tats-U nis, s ’est tué d a n s un dans les conseils de m in istres. Ils te r au p roblèm e s tr ic t des A llem a n d s C h am b erlain , accom pagné de M. von Le cab in et com porte en o u tre tro is accid en t d ’avion su rv en u h ie r p rès ont approuvé à l'u n a n im ité les déci des S u d è te s qui, ju sq u ’à p résen t, fa it R ibbentrop, est m o n té en autom obile m in istres sang portefeuille. de Lo-s Angelès. sions prises ta n t en ce qui concerne seul l’o b je t des propositions fra n c o - p o u r se re n d re à l’hôtel P etersb erg , Un q u atrièm e fau teu il de m in is L ’ap p a reii d an s lequel av a it p ris la politique intérieure qu'en ce qui b rita n n iq u es. De ce côté, to u t n ’est à K oenigsw inter, où il d éjeu n e ra . tre s a n s portefeuille est réserv é à place le gén éral s ’a p p rê ta it à a tte r concerne ia politique extérieure. Et p as d it. La Pologne jo u e l’in tim id a un populiste slovaque. M. C h am b erlain accom pagné de M. r ir lo rsq u ’il s ’a b a ttit en flam m es c'est pourquoi Von s'explique m al le tio n m ilita ire pour ses 200.000 n a tio On sa it que les chefs populistes p rès de l ’aérodrom e de B urbanks. revirem ent qui aurait pu s'effectu er de Riibbentrop et de s a suite an g laise n a u x . C’est assez puéril et d a n g e slovaques doivent a rriv e r ce so ir à L’avion qui v o la it à u n e centaine en eux, à propos d'u n e décision d'ac est a rriv é à l'hôtel P ete rsb e rg à 14 reux. P ra g u e v en a n t de B ratisla v a. On les de m è tres d ’altitu d e a v a it essayé cord avec VAngleterre, dont ils ont heures, s a 'u é p a r les « heil » rete n A Prague, la crise m in istérie lle a t atten d p o u r d ésig n er le titu la ire du d ’év iter deux m aisons, m a is son m o pris eux-m êm es la responsabilité. tis sa n ts des m em bres des sections te n d u e s ’est produite. M. H odzda a d ’a s s a u t et d es Je u n esse s h itlé rie n q u atrièm e fau te u il des m in istres te u r a v a it calé e t u n re to u r de flam Cette responsabilité, q u 'ils le veuil Une vu e générale de la sta tio n balnéaire de Godesberg. cédé le pouvoir à u n g o u v e rn e m e n t sa n s portefeuille. m e s’é ta n t p roduit, l’ap p a re il s’était lent ou non, dem eure, il ne leu r su f où so n t représentées to u te s les fr a c nes sta tio n n é s d ev an t la p o rte de (LIR E LA SUITE EN TR O ISIÈM E PAGE) é crasé a u sol. fira it pas d’opérer u ne défection. Elle tio n s politiques du pays, à l ’ex ce p l’hôtel. m et g én é rale m en t que les en tre tie n s ne constituerait, pour eux, une diver D an s l ’hôtel m êm e, c’est u n va-ettio n des co m m u n istes, e t que préside sion a u x y e u x de quiconque. v itn t discret, m a is co n stan t, d ’offi p o u rro n t ê tre clos d em ain so ir. le général Syrovy, in sp e cteu r g é n é c ie rs de la R eich sw eh r en u n ifo rm es A m id i, parait-il, leu r résolution Le communiqué officiel ra l de l’arm ée. M a il pyLse bistn p ris« . M ais les B e rlin , 22 septem bre. Sa tâ c h e est délicate. Il doit m a in de p a ra d e , ca sq u é s et l’épée a u côté. trois m in isstres Æ éta n t allés de conser PragMfV'fi? -septembre: M. C h a m b e rla in sa lu e la foulç, ser te n ir l’ordre in té rie u r, co m m e la se u Un com m uniqué d u D. N. B. a n ve chez le p résident du Conseil, en Ce m a tin , à 11 h eu res, le C abinet le co nd ition capable de fa c iliter' la re la maiiri à M. de Ri'bbentrop, et n o nce q u ’ap rè s u n e d u rée to tale de sortirent, sans éclat, ne fa isa n t a u conclusion p acifique des pourparlers p én ètre ra p id e m e n t d a n s l’hôtell où 3 h eu res u n q u a rt, les en tre tie n s Hi- H odza a dém issionné p o u r fac ilite r cune déclaration et sans claquer les il déjeune. la cré atio n d ’un C ab in et p lu s la rg e en cours. T o u t m o u v e m e n t v io le n t tler-C h am b e rlaln se so n t term in és avec p a rtic ip a tio n d ’élém ents m ili portes. C 'étaient là des dém issions d éc la n c h era it, en e ffe t, a u to m a ti L’arrivée à Godesberg rentrées. v ers 19 h. 15. ta ires. q u e m e n t l’in te rv e n tio n étrangère. On M. C h am b erlain est rev e n u a u P e In u tile de dire que l'on com m enta G odesberg, 22 septem bre. M. Benès a accepté la dém ission et r e jo in d ra it ainsi le péril d ’u ne g uer fié vreu se m e n t les événem ents in té A 15 h. 45, M. C h a m b e rla in a q u it te rsb e rg , avec le b a ro n von D oern- à a u ssitô t com m encé ses c o n su lta re généralisée. rieurs de Tchécoslovaquie. E t à h u it té P e te rsb e rg p o u r g a g n e r Godes berg, chef du protocole. tio n s p o u r form er le n o u v eau m in is Les m a n ife sta tio n s de rues a n ti- berg, où il va com m encer ses conver D an s le h a ll de l’H ôtel, le ch an ce tère. heures du soir, l'on a tten d a it encore fra n ça ises e t a n ti-a n g la ises c o n ti lie r H itler a p ris congé de son hôte les nouvelles concernant la co n stitu L a ra d io tchécoslovaque a lancé en n u e n t. L ondres rappelle son p erso n sa tio n s avec le ch a n ce lie r H itler. Le b rita n n iq u e . tion du nouveau Cabinet de P rague. p rem ier m in istre é ta it accom pagné même tem ps l ’ap p el s u iv a n t : n e l diplom atique, a fin , vra isem b la de S ir N eville H en d erso n , de M. W ilM. von R ibbentrop, m in istre des P. CH ANTU RGU É. Les tâches nouvelles qui nous incom b le m e n t, d ’év ite r des in c id e n ts qui M arseille, 22 septem bre. gon aux v aleu rs p en d a n t le voyage. bent exigent que la nation soit repré l’obligeraient à des d ém a rc h es assez M. P ie rre Ayme, m écanicien, a Le tr a in de m essag eries rap id es sentée dans les négociations qui vont paradoxales, en ce m o m e n t, près du s’ouvrir par ses représentants politi 4818 N ice-Paris a été atta q u é et dé fait le récit su iv an t de l’a tte n ta t : G o u ve rn em e n t de Prague. ques et ses fonctionnaires les plus qua valisé cette n u it p rès de M arseille — Le train parti de Marseille roulait La F rance va à u n e crise de gou lifiés. Le Gouvernement de la Bépubli- aux en virons de la sta tio n de S aint- à bonne allure lorsque, un peu après la que, à qui le d u r devoir a été imposé de v e r n e m e n t à peu près fa ta le . Elle se station de Saint-Barthélemy, à quelques se soumettre au diktat des puissances B arthélem y. produira dès que les é v é n e m e n ts e x Le comvoi a v a it q u itté la g are dizaines de mètres de la gare, il s’ar occidentales, a résolu hier déjà de pré rêta soudain. Je descendis de ma ma térieu rs p e r m e ttr o n t à la politique senter sa démission au Président de la S ain t-C h arles à 1 h. 46. S u r la loco chine pour parler au chef de train. p a rle m en ta ire de rep ren d re son République. Le Gouvernement a pris m otive se tro u v a ie n t le m écanicien, Meus visitâmes le fourgon. Ne trouvant r y th m e régulier. Voici les c o m m u cette décision en sachant qu’en un mo P ie rre Ayme, 46 ans, d u dépôt d ’A rien, nous pensâmes que la locomotive P aris, 22 septem bre. n istes, les socialistes e t la C.G.T. en m ent de grande tension européenne n vignon, et le ch au ffeu r, A uguste Mou- av ait peut-être une avarie et nous al A la suite de déclarations faites est nécessaire que notre nation con o pposition avec M. D aladier. L ’h eu re lions en chercher la cause. A ce mo centre ses efforts afin de continuer sa n ier, 33 ans, d e m e u ra n t ég alem en t à ment, le chef de train se trouvait près m ercredi soir par M. A rrach art, M. est proche où celu i-ci devra ch a n g e r grande tradition suivant laquelle toutes A vignon. Le chef de tra in é ta it M. du premier wagon en tête du convoi, Charles P om aret, m inistre du T ravail, de m a jo rité , l’é lo ig n e m e n t du péril tentatives qui ont été faites pour l’as E m ile D epousier, 37 a n s, d em eu ran t i Je venais de faire deux ou trois pas précise que si la délégation ouvrière de guerre lib é ra n t les a n ta g o n ism e s servir ont échoué. à M arseille. En g are av a it égalem ent ’ vers la locomotive, lorsque je vis a a offert de reprendre le travail dans de d o ctrin e e t d ’actio n . La re n tré e C’est pourquoi le gouvernement dé p ris p assag e le « fin an c ier », M. quelques mètres de distance une dizai les chantiers de la défense passive, du P a rle m e n t, qui n e pourra p o in t missionnaire a demandé que le nou A chille M asclet, 41 an s, ch arg é plus ne de jeunes gens masqués et armés de c ’e s t aux deux conditions su iv an tes : veau Cabinet soit composé de représen s ’éluder à la d a te prévue, nous m é revolvers. Tous criaient pour nous ef tants de tous les éléments de la nation spécialem ent de su rv e ille r le four- frayer. Avant que nous ayons pu faire 1° Que le caractère de défense pas n age des jou rs d a n g e re u se m e n t d iviun geste ou dire un mot, ils tirèrent sive soit, chantier par chantier, déter sés. d ans notre direction une vingtaine de miné e t accepté par la délégation ou E n a tte n d a n t, voici M M. D aladier coups de revolver. Je me couchai im vrière ; e t B o n n e t voués a u x g ém onies par m édiatem ent près de la locomotive. 2° Que l’augm entation de salaires n o s m oscoutaires, po u r qui l’h o n n e u r Aussitôt ils se précipitèrent vers- le dem andée dès le début du conflit soit n a tio n a l n e se sépare p o in t d ’u n e train. Un seul était resté près de moi, im m édiatem ent imposée pa.r le m inis guerre folle. l’anne à la main. Il me cria : « Chauf MM. Daladier et Bonnet, écrit théâ feur, ne bougez plus ou je vous brû tre aux entreprises trav aillant pour , tralem ent M. Péri dans l'Hum anité, ont le 1 ». Tout en restant allongé, je vis la défense passive. Le m in istre a répondu q u ’il n ac réalisé ce chef-d’œuvre d'ignom inie. les Jeunes gens entrer dans le fourgon Des réfu g iés sudètes q u i ont q u itté leurs villages à la suite des récents Pendant que ces lignes sont écrites, de tête près de la locomotive. Us sor c e p ta it pas ces conditions. d ans les rues et les places de la capi tirent de là d iv îrs colis, des caisses, et in cid en ts, a rriva n t en te irito ire allem and. 11 a indiqué en outre que la mise les transportèrent rapidement sur une en œ uvre de la réquisition ordonnée tale la foule manifeste. Elle exprime automobile qui se trouvait à 5 ou 6 son indignation contre les gouverne Ham S tra n g , de S ir H orace W ilson, A ffaires é tra n g è re s, a accom pagné m ètres de la voie. J’entendis l’un des dès m ercredi se ferait par les soins m ents de P aris et de Londres. Elle sa de S ir W illiam M akin, co n seiller ju M. C h am b erlain ju s q u ’à son au to o r m alfaiteurs dire à haute voix : « Et le de l’autorité m ilitaire, en collabora dirige vers le château de la présidence rid iq u e d u F o re ig n Office, et de M. née des d rap e au x a n g la is et a lle ttuxxisixxttxittttzsziXittutKtstttsttttttsuxtiixixtztxxxis coffre, vous l’avez ? ». Puis quelques tion constante avec le m inistère du pour crier sa foi dans les destinées von D oernberg, ohef d u protocol© de m ands. C’est a u ro u lem en t des ta m jeunes gens entrèrent dans la voiture de la patrie. ca d av res ne q u a tre fem m es et de D’autres testèrent sur les marchepieds T ravail, au rythm e im posé par la si b o u rs des S. S. que M. C h am b erlian Ne*.v-York, 22 septem ore. Dites donc, Bonnet-Daladier, n’eniten- la W ilh elm strasse. tuation présente. deux hom m es o n t été recu eillis su i dez-vous pas un bourdonnem ent tinter M. C h a m b e rla in et ses co llab o ra a q u itté l’hôtel D reesen. L’un d’eux d it . • Il y en a assez L’o u ra g a n (venant des tropiques, Au cours de la m atinée, la police a vos oreilles ? C’est le mépris de lu te u rs, acco m p ag n és de (M. ivon D o ern Les en tre tie n s C ham b erlain -H itler q u i a ép arg n é la F loride, b alay e ac la p lag e. P r^ cque to u tes les m aiso n s m aintenant », et l’automobile d ém an a so n t détruite*. A Boston, le ven t so u f- pour disparaître rapidement dans la a procédé à 32 a rre sta tio n s p o u r e n dém ocratie internationale qui monte berg, chef du protocole, so n t a rriv é s se p o u rsu iv ro n t d em ain à G odesberg. tu ellem en t les côtes d u N ew -E ngland f;e à la vitesse de 170 kilom ètres a ru it. trav es à la liberté du tr a v a il e t refu s vers vous. à l ’hôtel D reesen à 16 h eu res. M. A. et de L ong-Island. H a provoqué des l'h eu re et en p u sie u rs p o in ts de la de circuler. La d ém o cra tie in te rn a tio n a le est H itle r a reçu M. C h am b erlain d a n s (LIR E LA SUITE EN TRO ISIÈM E PAGE) in o n d atio n s, em porté des m aisons, côte, un véritable raz de m a ré e a u n e a b stra ctio n . E t ce b o u rd o n n e le hal'l de l’H ôtel et l ’a co n d u it d a n s Le D. N. B. précise que le conseil m e n t m éta p h o riq u e d o n t on les avise la salle de la conférence au p rem ier le r de lég atio n S chm idt, de la Wi- coupé des ro u tes et d éso rg an ise les cau sé des rav a g es considérables. A Providence, tous les m oyens de est m oins cruel a u x oreilles de nos étage. L a conférence a com m encé Ih elm strasse, e t M. K irk p atric k , se serv ices électriques, plus p a rtic u liè rem en t le téléphone. com m u n icatio n s so n t coupés. Les g o u vern a n ts que les pleurs des m è im m éd iatem en t. c ré ta ire à l’am b assa d e d ’A n g leterre ru e s de la ville basse so n t recouver A N ew -London (Connecticut), six res fra n ça ises d o n t, s ’ils eu ssen t à B erlin ont p ris p a r t à ce p rem ier G odesberg, 22 septem bre. écouté nos révolu tio n n a ires, Us a u e n tre tie n en q u alité d ’in te rp rè te te incendies ont éclaté, et l’on cra in t, tes p a r 1 m. 50 d’eau. A l ’arriivée de M. C h a m b e rla in à de ré d a c te u r d u procès-verbal. s ’ils ne so n t p a s m a îtrisé s d a n s «rue! ra ie n t envoyé sté rile m e n t m o u rir les New-York, 22 septem bre. ques h eu res, que le feu ne se propage fils sur la ligne Sieg fried , p o u r ré l’H ôtel D reesen, à 16 heures, le c h a n C ent (vingt m o rts et p lu sie u rs m il Ve-rs 18 h. 30, d it le D. N. B., le soudre des d iffic u lté s créées en E u celier H itler, en veste b ru n e et p a n ch a n ce lie r H itler s’est re n d u avec à une g ra n J e p a rtie de la ville. P lu s liers de blessés, de san s-ab ri ou de de 12 p erso n n es o n t été blessées. A ta lo n n o ir des chefs politiques d u rope cen tra le p ar des tra ité s m a l d isp a ru s, tel est le bilan actuel d u p a r ti, l’a reçu s u r le p erro n et lui a M. C h am b erlain d an s u n e salle de Nevv-York, ia p ’uie est tombée en vio fa its. conférence au rez-de-chaussée, e t ils lentes ra fa le s p e n d a n t toute la jo u r p lu s violent o u ra g a n que les E tatste n d u co rd ia lem en t la m ain. Les A ccordons que les paroles de MM. U nis a ie n t connu d epuis 50 an s et o n t p o u rsu iv i là le u r e n tre tie n en D aladier e t B o n n et, a ffir m a n t p u b li deux hom m es d’E ta t so n t en tré s en présence de M. von R ibbentrop, m i liée. qui a b alay é p e n d a n t toute la jo u r A W esth am p lo n (L ong-Island), les née d ’h ier les E ta ts d u Nord-Est. q u em e n t que la France, coûte que su ite d a n s le h all de l’H ôtel où ils coûte, tie n d ra it ses en g a g e m en ts lit o n t contem plé p e n d a n t q u elq u es m i n istre d es A ffaires é tra n g ères d u Des q u a rtie rs en tiers de villes et té ra u x à l’égard de la T chécoslova n u tes le p a n o ra m a d u R hin et les a r Reich. des villages ont été d étru its. Les ro u quie, é ta ie n t inconsidérées. E t m e t ra n g e m e n ts de ch ry sa n th èm es. Ils tes sont défoncées et les voies de che tons le d é m e n ti infligé par les fa its so n t en su ite m ontés a u p rem ier é ta «■* * i m in s de fer endom m agées. à ces propos é v id e m m e n t sincères, ge à la salle des conférences, suivis Les garde-côtes estim en t que le d u seul in te rp rè te , M. S chm idt, au x i su r le co m p te d ’u ne in fo rm a tio n in no m bre de b ateaux de pêche et a u s u ffis a n te ou d ’u ne m a n ie verbale lia ire h ab itu el du F ü h re r d a n s ces tres p erd u s, coulés ou jetés au riv a qui sont les faiblesses insignes de occasions. ge p a r le raz de m arée est de 500 à Les a u tre s m em bres des d élég a n o tre diplom atie m inistérielle. 700. D’a u tre p art, on est sa n s n o u tio n s a n g la is e et allem an d e so n t res M aurice V ALLET, velles d u ferry -b o at « P ark -C ity ». tés d a n s le h all de l’hôtel, a rra n g é (LIR E LA SUITE EN TRO ISIÈM E PAGE) en g ra n d e salle de conférences, avec New-York, 22 septem bre. de n o m b reu ses p etite s tab les p o u r . Le nom b re des victim es de l’o uratro is ou q u a tre perso n n es. an q u i s’est ab attu h ier s u r divers A 16 h. 5, la deuxièm e en trev u e Hi!ta-ts de la côte o rien tale s’élève tler-C h am b erlain com m en çait ain si m a in te n a n t à 278 m orts. Il y a en à h u is clos. L’a rra n g e m e n t de cette o u tre de nom breux m an q u an ts. en trev u e donne à p en ser q ue les deux hom m es d ’E ta t v eu len t se m et BERLIN. — Le Roi des Bulgares Boris R oubaix, 22 septem bre. tre d ’accord d ’abord s u r les p rin cip es est arrivé à midi à Berlin, venant de L’u sin e de fila tu re e t tissage Le- m êm es de le u r actio n et q u ’ils con Cobourg. Les fem m es chinoises se préparent à défendre H ankow contre l'in I vam a ire et D illiès à R oubaix, fermée fiero n t en su ite à leu rs ex p erts — qui VIENNE. — Le nouveau dirigeable p en d a n t sio n des arm ées japonaises. Les voici effectu a n t u n exercice pe d ep u is décem bre 1937, bien qu’elle re s te n t à le u r d isposition à l ’é t a g e Graf-Zeppelin a survolé cet après-midi lequel une troupe d 'in fa n te rie se m et à p la t ventre pour éviter de te l u t ch arg ée de l ’exécution de com in fé rie u r — le 6oin d’é lab o rer les iéVienne. Il s’est dirigé ensuite vers L e chancelier W H er s’en treten a n t avec les m in istres hongrois fa ire repérer p a r un e avia tio n ennem ie qui la survolerait m a n d e s I n té r e s s a n t la défense n a Lso lu tio n s p rise s e n t r e e u x . l’ouest. su r la terrasse d u B erg h o f, à Berchtesgaden* D a n s le s m ilie u x A lle m a n d s , o n a d tio n a le , y ie n t d ’ê tre réquisitionnée ont eu un premier entretien qui a duré trois heures un quart Les pourparlers se poursuivront aujourd’hui LE LE CABINET TCHÉCOSLOVAQUE GÉNÉRAL SYROVY A FORMÉ UN NOUVEAU MINISTERE est formé eu Tchécoslovaquie UNTRAIN DE MESSAGERIES EST ATTAQUÉ ET DÉVALISÉ PRÈS DE MARSEILLE PAR DES BANDITS MASQUÉS La grève du bâtiment à Paris VIOLENT OURAGAN SUR LE NORD-EST DES ÉTATS-UNIS Il y a plus de LA DÉFENSE D’HANKÉOU Une usine réquisitionnée à Roubaix S L’AVENIR DU PLATEAU CENTRAL NOS DÉPÊCHES LE PROBLEME LES BANDITS TCHÉCOSLOVAQUE do train de Marseille ont enlevé Des fonctionnaires britanniques sont évacués 182 kilos d’or brut de Prague par avion Paris, 22 septembre. D ’a p rè s le « M atin » (édition dé p arte m en tale ), c ’est 162 kilo« d ’o r b ru t qui o n t été enlevés p a r les b a n dit« a u tr a in de M arseille, v a la n t plu s de sept m illio n s de fran cs. M arseille, 22 septem bre. On confirm e que le b u tin em porté p a r le« b a n d its q u i o n t a tta q u é le tra in de m e ssag e rie re p ré s e n te ra it p lu sieu rs m illions. E n effet, les b a n dits o n t em porté deux p a n ie rs scel lés p a r la do u an e, ch a rg é s en g are de la Jo liette en p ro v en an ce d u Congo belge, et d estin é s à H cboken, en B elgique. Ils co n te n a ie n t p lu sie u rs lin g o ts d ’o r b r u t d ’u n poids to ta l de 180 kilos. En o u tre, les m a lfa ite u rs s ’em p a rè re n t d ’u n a u tre p a n ie r rem p li de bijoux. L ondres, 22 septem bre. L ’avion « H éraclès » des « Impéri&l-Airways », qui ra m e n a it à Lon d re s plusieurs m em bres de la m is sion Runcinrwm, dont M. Stopford, ain si que des fonctionnaires diplom a tiques anglais, a déposé ses p assagers ù. N urem berg, à la suite d ’un ordre que son com m andant av ait reçu par radio. , . A la réception d’un nouvel ordre u rg e n t, l ’avion est reto u rn é à P ra g u e vers la fin de l’après-m idi. On pense q u ’il doit évacuer d’au tre s fonction n aires britanniques. La Presse anglaise n’est pas apaisée Londres, 22 septem bre. a neine la T ch écoslovaq u ie a-t-elle aroepté la proposition franco-brltannl* Sue que le pressentiment de nouvelles exigences allemandes, évoquées p a r la tr e s s e du Reich, soulève, u n e fols e n core, l’ém otion des journaux an g lais. Le ■ T im es » écrit : . La presse allem ande p réten d m a in te n a n t que la cession de la reg io n de Sudètes n est nus su ffisan te et q u ’une so lution • to talitaire » s im pose 11 fa u t ap p arem m en t entendre p a r là le d é sir d une com plète d€5tr,uc^ ° n.t ^ n îr o L e tc h é c o s l o v a q u e , ce q u i se ra it c o n traire * la politique déclarée de M. H M r . se* io n laquelle l'union de to u s es Alle m a n d s doit respecter « le d ro it de v re » des au tres races. » I,e « Daily T elegraph and M orning P o st » écrit dans son éd ito rial : t Ou bien les signes sont trom peurs, o u bien le règlem ent de la question de Tchécoslovaquie réserve en c o re , bien d e s difficultés. 11 sem ble que 1 A llem a g n e a m a in te n a n t l’inten tio n non seu le m en t de d étach er de la R épublique les rég io n s où les P olonais et les H ongrois so n t en m ajorité, m a i s d effacer p u re m en t et sim plem ent la T chécoslovaquie d e la carte d u m onde. Le réd acteu r diplom atique du « M an ch ester G uardian » est pessim iste : « La victoire de M. H itler, écrit-il, est ab solue, non m oins absolue que la c a p itu la tio n des puissan ces occidentales. L a T chécoslovaquie cessera bientôt d 'ê tre une puissance, m ais M. H itler ne s ’intéresse pas seu lem en t à l’Europe d u C entre et d u Sud-Est ; il d o it assu re r ses d e rrières contre une attaq u e, cepen d a n t q u ’il cherche aocès a u x m atières p rem ières d u bassin d an u b ie n . A yant consolidé sa position d a n s ce bassin, il p o u rra avec l’aid e de l’Italie et d u Japon, ses alliés, te n te r l’exécution du p ro g ram m e si claire m e n t an n o n cé d a n s « Mein Kam pf » et to u rn e r son a tte n tio n vers l’ouest. » 400 visitenrs français sont actuellement en Allemagne B erlin , 22 septem bre. 400 F ra n ç a is, m em bres de l'A sso ciation de la P ro fessio n fra n ça ise, se tro u v en t actu ellem en t en A llem agne s u r l’in v itatio n du d o cteu r Ley, cnef du F ro n t du T ra v ail allem an d . Ils so n t divisés en 17 g ro u p es pro fessio n nels d ont q u elques-uns v ien n en t d ’a r riv e r à B erlin. Le groupe n av ig atio n a visité H am bourg et ses environs. Le so ir ils on t été les hôtes de la Société f ra n co-allem ande où ils o nt été reçu s p a r le co n tre-am iral C lausen, vice-prési dent. D ans son allocution le contrea m ira l C lausen a so u lig n é que les vieux an tag o n ism es en tre la F ra n ce et l ’A llem agne o n t d isp a ru et s ’est prononcé p o u r la co llab o ratio n des deux pays. UN POLICIER PARISIEN PARU SOCIAL FRANÇAIS TUE SA FEMME DIMANOHE 1 OCTOBRE BLESSE SON FILS CONGRES REGIONAL DU PARTI SOCIAL FRANÇAIS ET TENTE DE SE SUICIDER D’AUVERGNE P a ris, 22 eeptem bre. Au n ° 119 de la ru e B roca, u n b rig a d ie r de police a tu é sa fem me à coups de revolver et biessé grièv em en t «on fils. Le com m issaire de police du q u a rtie r de la G are a ou v ert u n e enquête. Le m e u rtrie r A lb ert-F ern an d M a gne, né à P a r is le 9 novem bre 1896 in flig e ait depuis fo rt longtem ps A sa fem m e Louise, âgée de 40 an s, et à son jeu n e fils Jean-A lbert, garço n ch a rcu tie r, âgé de 16 an s, de lon gues scènes de violence. Comme a l'h a b itu d e , le b rig a d ie r de police é ta it re n tré ce so ir à 19 h eu res chez lui en com plet é ta t d ’ivresse. Il ch erch a querelle à sa femm e et v o u lu t la fra p p er, q u a n d son fils s ’in terp o sa. L âc h an t prise alo rs, le b rig a d ie r s’en fu t ch erch er son re volver d an s la salle à m a n g e r et re v in t de p lu s en plus furieux, v isa n t sa femme. Celle-ci cep en d a n t p a r v in t à g a g n e r l ’an tich am b re, puis le p alier, oùù elle fu t a b a ttu e à coups de revolver. Police-Secours fu t alertée et lo rs que les agents du q u a rtie r de la G are a rriv è re n t su r les lieux, ilß tro u v è re n t d an s la cuisine le b rig a d ie r M agne b a ig n a n t d an s 6on san g , a tte in t de deux coups de feu q u ’il s ’é ta it tiré s d a n s la tête. Le b rig a d ie r fu t tra n sp o rté à la M aison des g ard ie n s de la p aix où il se tro u v e actu ellem en t d an s le coma. Q u an t a u jeu n e Je a n A lbert, qui a été a tte in t a ’une b alle à la joue, bien q u ’é ta n t grave, 6on é ta t n ’in s p ire pas d ’inquiétude. Les ren seig n em en ts s u r le b rig a d ie r M agne recueillis ta n t au p rè s des vo isin s qu’a u p rè s de se chefs so n t au ssi m a u v ais que possible. 800 anciens combattants allemands à Londres LA BULGARIE a reconnu officiellement le gouvernement nationaliste espagnol Sofia, 22 septem bre. Le g o u v ern em en t b u lg a re a publié le com m uniqué su iv a n t : « Le g o u v ern em en t b u lg a re et le g o u v ern em en t n a tio n a liste espagnol o n t conclu u n accord selon lequel le« deux paya se ro n t rep résen tés l’un au p rè s de l’a u tre p a r des ag en ts gé n éra u x jo u is s a n t des m êm es droits que les chefs de« m issions d ip lo m a tiques. » L ondres, 22 septem bre. 800 an cien s co m b attan ts allem an d s a rriv é s A L ondres a u jo u rd ’h ui o n t été reçu s à W estm isster Halfl, p a r 300 an cien s co m b attan te an g lais. S tr T h o m as In sk ip le u r a so u h aité la bienvenue en d é c la ra n t que c h a cu n espère v o ir la réu n io n de Godes berg a b o u tir à un règ lem en t ju ste et .pacifique de la crise actu elle. A U J O U R D ’H U I — Gaspiller de nouveaux trésors dans une nouvelle guerre plue sévère que la F it e d so u h a ite r : S a in t P a c ifiq u e . /dernièr eserait certes, a-t-il ajouté, une — L e v e r d u so leil 5 h. 39 ; co u ch er hum iliation et un désastre pour la race hum aine. J ’espère que vous rentrerez 17 h. 47. L e v e r de la lu n e 5 h. 10 ; Rome, 22 septem bre. Rome revendique l’iio n n eu r d ’av o ir dans votre pays après avoir affermi de c o u c h e r 17 h. 15. porté le coup décisif à la T chécoslova nouvelles am itiés et oublié les vieilles quie. En effet, l’acceptation d u p lan querelles. PHARMACIENS DE GARDE Rome chante victoire de Londres p ar lo C abinet tchécoslova que est présentée A Rome com m e une grande victoire m u sso ’lnlenne. l a renoncem ent de P ra g u e dlt-on a Rome consacre le trim p h e de la p o li tique révisionniste e t de la d ip lom atie fasciste. La presse exulte et le to n de ses com m en taires est p arfo is a g re ssif : T outes les hésitations et la résistance affirm et-elle se brisero n t co n tre la volonté des p u issan ces de l’ax e. « Q u’on ne se m ép ren n e pas, écrit en p a rtic u lie r «la T rihunn, les rev en d i catio n s polonaises et hongroises n ’ont p a s seulem ent été présentées su r le m ê m e plan que celles des S udètes p a r la volonté des deux p ay s prêts A com b a ttre et A vain cre p o u r la bonne cau se, m ais aussi p a r la so lid arité que l’A llem agne et d’Italie on t ouvertem ent m anifestée. « M ussolini a rem p o rté u n e g ra n d is sim e victoire. » L’inquiétude en Roumanie Les Chinois résistent à la poussée japonaise sur Hankéou H an k éo u , 22 septem bre. Le« tro u p es chinoise« résisten t vic to rie u sem e n t à la poussée ja p o n aise su r H ankéou. S u r le fro n t n o rd du Y ang-Tsé n o tam m en t, elles o n t ré occupé la ville de Sine-C hang. D’a u tre p a r t, s u r le fro n t d u F le u ve Ja u n e , d an « l’extrêm e nord de la p ro v in ce d u H onan, les fra n cs-tireu rs ch in o is o n t coupé le chem in de fer d e Tao-K ing, em b ran ch em en t vers l ’est de la lig n e de P ék in A H ankéou, m e tta n t ain si en d a n g e r les com m u nication« jap o n aises. B ucarest, 22 septem bre. L ’atm osphère roum aine e st depuis tro is jours inquiète et nerveuse. On re sse n t ici des appréhensions encore vagues m ais chacun veut prendre ses précautions. L’opinion, déçue p a r les événem ents de P rague, su it atten tiv e m e n t le développem ent du conflit tchécoslovaque tout particulièrem ent en oe qui concerne les revendications m ag y ares. On s a it en effet qu ’il a un nom bre Im p o rtan t de H ongrois en Roum anie. Toutefois, les nouvelles répandues par certain s milieux intéressés con c e rn a n t le développem ent de m esures de ca ractère m ilitaire s u r le territoire ro u m ain so n t com plètem ent inexac tes. et so n t dém enties catégorique m e n t p ar les cercles officiels. Réunion des ministres anglais L ondres, 22 septem bre. L es m e m b re s d u G o u v e rn e m e n t, q u i s ’é ta ie n t ré u n is a u F o re ig n Of fice a q c o u rs de l’a p rè s -m id i, av ec L o rd H a lifa x , S ir S a m u e l H o a re , S i r J o h n S im o n , S ir T h o m a s In sk ip e t M r M alco lm M a c d o n a ld , « o n t s o r tis à 17 h. 30, a p rè s a v o ir co n fé ré p e n d a n t p lu s de 2 h e u re s . Il e s t p ro b a b le q u e le s p rin c ip a u x m in is tr e s se r é u n ir o n t de n o u v e a u d a n s la s o iré e a fin de p re n d r e co n n a is s a n c e d es m e s s a g e s a tte n d u s de G odesberg. Entrevu« entre syndicalistes anglais «t français L ondres, 22 septem bre. [<* Les m em bres d u C ongrès dea T rad e I ^ u n i o n s et les re p rése n ta n ts d u Conseil ex écu tif du p arti tra v a illiste o n t q uitté ce m a tin à 10 h. 55 l’aéro d ro m e d e Hosto n à d estin atio n du Bourget. lis se ren d en t à P a ris pour a v o ir de nouveaux en tretien s avec les g ro u p es so cialistes e t sy n d ic a u x P a r i« , 22 se p te m b re . A l ’toeue d ’u n e r é u n io n c o m m u n e e n tr e les d é lé g u é s s y n d ic a u x a n g la is e t f r a n ç a is u n c o m m u n iq u é a été p u bUé d is a n t n o ta m m e n t : Las représentants des Trade-Unigot Le Japon n’enverra pas de représentant à la S. D. N. Tokio, 22 eeptem bre. Le général U gaki, m inistre des Af faires étran g ères, n adressé ce m atin à M. Avenol, seorétaire général de la S. D. N., un télégram m e lui expri m ant les reg rets q u ’éprouvait le Ja]X>n de ne pouvoir accepter l’invitaHion qui lui a été faite a ’envoyer un rep résen tan t au p rès du Conseil, pour l’exam en de la requête chinoise Soixante personnes attendaient dans l’antichambre de la guérisseuse Albi, 22 septem bre. A la suite de d én o n ciatio n s et d ’une p lain te déposée p a r le sy n d icats des M édecins d ’Albi, la 8* brigade mobile de Toulouse a effectué une enquête su r les agissem ents de la d am e Vieu, g uérisseuse, à la Brèche, près d ’ALbl. Quelle ne fut pas la stupéfaction des policiers lorsque p én é tran t d a n s l’a n ti ch am b re ils se sont trouvée en présen ce d ’une so ix an tain e de personnes dont les fig u res défaites, les pansem ents, les gém issem ents an n o n çaien t q u ’il s ’alésait de clients. C ertains é ta ie n t deout, d ’a u tre s é ta len t assis, d ’a u tre s e n fin étaien t éten d u s s u r ls sol, m ais tous a tte n d a ie n t avec confiance que la th a u m a tu rg e veuille bien so u lag er leu rs m a u x et su b v en ir à leurs m isères. Et Mme VIeu inlassable, Im posait les m ain s et a d m in is tra it des form ules ca balistiques. La gu érisseu se a in si prise en fla g ra n t délit d ’exercice illégal de la m édecine et de p lus en état de récidive a été lon guem ent Interrogée ain si que son / grotan te clientèle. L 'affaira a été tran sm ise a u P a rq u e t S et de la C.G.T. se «ont m u tu ellem en t inform és su r la position de leurs org an lsatio n s e t ont procédé d an s le p lus cordial esp rit à un échange de vues oomplet s u r la situ atio n in te rn a tio n a le Après cet entretien le b u reau d« la C.G.T. réu n i à nouveau a décidé d ’ef fectuer des d ém arch es au p rès d u Gou vernem ent français. In d iq u o n s p a r a ille u r s crue cette d é m a rc h e a é ra (v ra ise m b la b le m e n t e ffe ctu é s ‘d em ain* uTr.lV W ,5» -*» '■» de 12 h. 16 à 13 h. 46 Mlle C harles, b oulevard Lavoisier. MM. Chibret, ru e Saint-H érein. P ascal, b o ulevard L afayette. SERVICE DE NUIT MÉDECIN. — T éléphoner a u x pom piers, n* 18. PHARMACIEN. — (M. Billot, 17, ru e Sainte-C laire. LA JOURNEE 14 h., 18, ru e P ascal, Ligue de la Mère au Foyer. 18 h., 61, rue M ontlosier, Amicale des ancien s ouvriers et em ployés M ichelin. 20 h., Café Vazeîlle, Cercle d ’échecs. 20 h„ 2, rue G aultier-de-B iauzat, Ra dio-Club d ’Auvergne. 20 h., 62, rue B allainv illiers, cours de p rép a ra tio n m ilitaire. 21 h., H alle aux Blés, cours profes sionnels de coiffure. — --------------------- La R égion d ’A uvergne du P a rti So cial F ra n ç a is tien d ra le dim anche 2 oc tobre 1938 son deuxièm e congrès de pu is la fondation d u P arti. ü n se rap p elle que l’an d ern ier, le prem ier Congrès régional d u P.S.F. a v a it e u lieu à Châtel-Guyon, D avayai et Saint-Pourçain-sur-Siouie devant une afflu en ce considérable. Cette année de Congrès se déroulera A M oulins (séance d ’étude, b an q u et et réunion) et & C lerm ont-Ferrand où l ’après-m idi, à 15 h, 45, se tie n d ra d ans la salle de la M aison d u P euple un g ra n d m eeting privé. Charles Vallln, délégué g én éral â la pro p ag an d e pour da F ran ce e t les Co lonies, m em bre du Comité exécutif, can d id a t du P a rti Social F ran çais à l ’élec tion législative du IX* arro n d issem en t de P a ris, p re n d ra la parole à cette im p o rtan te m anifestation. Au m om ent où la gravité d e la situ a tio n ex térieu re et les difficu ltés in té rieu res ren d en t plus urgentes que ja m ais la réconciliation et l ’union de tous le P a rti Social F ran çais fa it appel a tous les F ran çais p atrio tes et sociaux pour q u ’ils v ien n en t affirm e r leu r vo lonté de v o ir e n fin assu rée la p a ix so ciale e t la p aix ex térieure. Note im portante. — P o u r to u s ren sei gn em ents e t p o u r les cartes d ’entrée s ’ad resser ou écrire a u P .S .F., 14, place Chapel'le-de-Jaude, téléphone 63-39. PROGRAMME DU 00N Q R E 8 REGIONAL P .8 . P. DU 2 OCTOBRE 1938 MOULINS (Allier. — 8 h. 30, salle de l’A rtistic-C inêm a, place G aribaldi : Séance de trav ail. 12 h., Hôtel de l ’A griculture, banquet. 14 h., iMeeting privé à M oulins. CLERIMONT-Fd. — 15 h. 45 salle de la M aison du Peuple, g ran d m eeting privé. OANTON SUD OE CLERMONT • 9 . 38 S LA 7ïRSÎïTÏÏTïïTïïïïïïïTEnïïTnïï5ïîWïJ FAITS DIVERS A S A IS O N j CLERM ONT Trouvaille D ans le c o u ra n t du m ois d ’avril AU GA8INO d e rn ie r fu t tro u v é à C lerm ont tro is titre« de ren te et u n bon d u T résor. AUJOURD’HUI L a p ersonne q u i a p erd u ces va De 11 à 12 h eu res ; de 16 à 17 h. 30, le u rs p eu t les réc lam e r à la S û reté e t de 2 0 h. 30 à 22 h e u re s : C oncerts Clerm ontoise d a n s les locaux du habituels. , . . C o m m issariat ce n tral à la m airie. A 17 heu res : Thé d a n sa n t. A 20 h. 45, ciném a : B a c c a r a , avec M arcelle C hantai, Lucien B aroux, Ju 'e s B erry. A 22 h eu res : Soirée dan san te. ----------- f + 4 ----------- D A N S LA R É G IO N Un tué et plusieurs blessés dans un accident d’auto GRAND CONCERT PAR L’HARMONIE « LES ENFANTS DE CHAMALIERE8 s A 15 h. : M atinée d a n san te. Au ciném a, m atinée à 15 h., soirée a 20 h. 45 : Tarass Doulba, avec H arry B aur, D anielle D arrieux, L arquey A 21 h. : Soirée d a n san te avec le Jazz P éro n n in e t son ensem ble. Jeu de la Boule. — Café G lacier. — Dancing. — B accara. Un car assu re 'a liaison en tre Royat et C lerm ont toutes les dem i-heures à p a rtir de 22 h. 30 ju s q u ’à la ferm eture du Casino. AU MONT-DORE AU CASINO Un garçonnet a la tête écrasée par un camion Vichy, 22 septem bre. A 15 h. 15, h ie r, en tre les villages de Bois-R andenez et Le P e rra u lt, com m une de B ru g h eas, u n jeu n e g arço n c irc u la it à bicyclette, por ta n t s u r le cad re de celle-ci u n a u tre enfant. Au m om ent où le cycliste s ’est a r rêté le second est tom bé s u r la chaussée et a eu la tête écrasée p a r la ro u e d ro ite a rriè re d ’u n cam ion ch arg é de sabie, co n d u it p a r le ---------------------------------------------------------------- e-------------- - ch a u ffe u r F e rd in a n d P a ro d a , a u ser vice de M, G riffet, en tre p re n e u r de tra n s p o rts à Vichy. L a victim e, R obert Momos, dem eu VOUS L ’A C H ETEREZ POUR DIX ANS LAVABLE, IR R ET R E C ISSA B LE , Gtl T E IN T r a n t au Bois-R andenez, é ta it âgée CLBRMONT-Fd I 5 bit, RUI DES ORAt de 12 ans. Une enquête est ovverte p o u r é ta -b lir les responsabilités. CINEMA PARLANT. — M atinée à 14 h. 30, soirée à 20 h. 30. P ie rre L arquey, R oland T outain d a n s Trois artilleurs en vadrouille avec M arguerite P ierry , (Marcel Sim on. Un film d ’u n e folle gaîté où les si tu atio n s com iques abondent. Café glacier. — Jeu de la boule. — U iH E tcH E G tV E THEATRE MUNICIPAL Nous avons donné d ern ièrem en t un aperçu du program rogra m e du Cycle Ch. Baret, saison 1937-1938. Ce program m e contien t d ’excellentes soirées. Lea priucJfew d ont s ’inspire, chaque hiver, la célèbre firm e pour élaborer son rép erto ire d u Cycle res tent les m êm es. 1° C hercher à te n ir a u co u ran t, le m ieux q u ’il lui est possible, le public de nos provinces du m ouvem ent littéraire, d ram atiq u e de l ’année et de lui resti tuer, entre tem ps, les chefs-d’œ uvre des époques passées 2° T rav ailler pour d o n n er aux pièces choisies l’in terp ré tatio n la plus hom o gène ett la m eilleure que l ’on puisse tro u v er 3° Lorsque ln chose est possible, pro d u ire des vedettes éprouvées dans les pièces où elles se sont m anifestées. P o u r donner plus d ’a ttra it à leurs spectacles, les T ournées B aret ont con fié ti M. Emile B ertin, le célèbre pein tre officiel de la Com édie-Française, du Chfttelet, du T héâtre Baty, etc., le soin de brosser des décors pour chaque piè ce et a ssu rero n t ainsi à leurs rep résen tatio n s une décoration égale à celle de la création. C lôture irrévocable de la souscription sam edi 1er octobre. P our tous renseignem ents, s ’adresser au bureau de location du th éâtre m u niclpal, h p a r t ir de m ardi 27 septem bre, de 11 h 30 h 19 heures A Tulle, un repris de justice blesse grièvement deux passants Tulle, 22 septem bre. Hier soir, vers 21 heures, le nommé Capoen, 28 ans, m anœ uvre à Tulle, titulaire de plusieurs condam nations et ancien colon d ’une m aison de cor rection, se prit de querelle d an s un café de Tulle avec d ’au tres consom m ateurs. Ceux-ci ay an t pris peur à la suite de m enaces proférées nnr Ca poen, s ’enfuirent p ar la fenêtre. Celui-ci les ßuivit et croyant se trou ver en leur présence porta des coups de couteau à deux prom eneurs inof fensifs : Albert Dumaine, 17 an s, étu diant, et V inatier, 17 ans, com mis boucher, qui passaien t juste à ce m o m ent devant le café. M. Dumaine, qui a cinq perfora tions de l'intestin, est d ans un état désespéré. Son cam arade est blessé au bas-ventre. Le m eu rtrier a été a r rêté. — • TRIBUNAL CORRECTIONNEL DE CLERMONT P résid en t j M. Fontfreyde. M inistère public : M. Sim êon, subs titut. Police des étrangers. — P lu sieu rs m usiciens d ’un g ra n d café, d ’origine italienne, av aie n t négligé de se m u n ir Union Musicale de ia c arte d ’identité dTétran g er régle et Chorale de Saint-Jacques m entaire. Us sont condam nés chacu n A 1 m ois Voici la fin prochaine des vacances de prison et 100 fr. d ’am ende. aussi bon nom bre de sociétaires et D éfenseurs : iM* Ma brut, M* C alam y, Docteur DEVAL rentré d ’élèves nous reviennent enchantés de du b arreau de Thlêrs. > reprendre leu r habitudes. Ils savent x Le C hinois Li rché T ieng, m a r q u ’ils tro u v ero n t un accueil am ical au chan d am bulant, refoulé plusieurs fols N É C R O L O G IE sein de notre groupem ent et que l ’étu du territo ire français, se retrouve, com de du c h an t choral et de la m usique m e par h asard en Auvergne. M. A ntoine CHAMBRIARD. — Nous in stru m en tale sera pour eux un délas Il est condam né à la m êm e peine que ap p ren o n s, avec un vif regret, la m ort sem ent agréable à leurs soucis et tr a les précédents. vaux scolaires. Les répétitions de la de M. A ntoine C h am b riard , industriel Em ploi de la m ain-d'œ uvre étrangère. à B rioude, an cien p résident du T rib u chorale et de l ’orchestre recom m encent — La com m erçante qui a v a it em ployé, a u jo u rd ’hui ieudi 22 septem bre, à 17 nal de com m erce, père de M. P aul sans se m ettre en règle avec la loi. les C h am b riard , d irecteu r gén éral de la heures, au siège. Il im porte que tous m usiciens sus-indiqués est condam née assisten t à cette réunion en vue des à deux am endes de 50 francs avec bô société anonym e P au l C ham briard. M. A ntoine C h am b riard laissera dans futures m anifestations de la saison. néfice du sursis. la région de B rioude, où 11 était connu Section chorale : nouveaux chœ urs à D éfenseur : M* Calam y. de tous, le so u v en ir d 'u n tra v a ille u r l’étude, section orchestre, constitution Un philosophe. — Léon Coste, 46 ans, e x tra o rd in aire . C’était le mot qui reve de qu atu o rs pour les prochaines com- o rig in aire de St-Plerre-la-B ourlhonnê n a it su r toutes les lèvres lo rsq u ’on ap jétitions, concours, radio brochet, etc. est le type du poivrot invétéré, crasseux nscription des nouveaux élèves pour p rit son décès. ais jovial. P oursuivi p our ivresse «n F o n d ateu r de l'im p o rta n te m aison qui le solfège, chant, violon, piano, m a n m doline, accordéon, banjo, etc. H eures récidive et condam né par d éfau t à 2 porte son nom et q u ’il a v a it dévelop mois de prison et 2 ans de privation pée p atiem m ent, sû rem en t et avec mé des cours comm e suit : Q uartier Saint-Jacques : les Jeudis, de ses droits civiques, il a fait opposi thode, Ju sq u 'à lui d o n n er la prem ière lace p arm i nos in d u stries régionales, à 17 heures, salle des Loisirs-Ciném a. tion Vous avez déjà été condam né cino [. A n n tn e Chnrr,briard n ’av ait pu se rue du D octeur-Vigenaud ; Q uartiers de Loradou, La Raye-Lieu, fois pour ivresse • rem arque le p ré d é sh ab itu er de la vie active et fatigante ^ _ qu i a v a it été la sienne p e n d a n t de lon L achaux : les lundis salle particu lière sident. t ü h t proteste Coste, p our avoir bu du café C ram oisi, Boule des Cham bretgues années. 1» A un âge où d ’a u tre s se reposent de tes, à 16 h. 30 et salle du café Lebourg, un, canon Vous avez fait opposition au der le u r tra v a il a n té rie u r et Jouissent dans route d ’Aubière, à 19 heures. n ier jugem ent p a r défaut, poursuit le -- président, q u ’est-ce que vous dem an le calm e d ’une re tra ite bien m éritée, lui ne pouv ait s ’a rra c h e r A l’activité dez T » fébrile des ch a n tie rs q u ’il a v a it si long DONS GENEREUX « C’est comme vous voudrez m on pré tem ps surveillés et dirigés. sldent. » M. le M aire a reçu : Et lorsque l’âge et la m aladie lé for Vous avez déjà été condam né t De quêtes aux m ariages du 29 août s 2 «m oi cèrent. co ntre sa volonté, à m odérer 9 de prison, observe M Fontfrel son activité. 11 rem it la ch arg e et les 78 fr 35 pour 1<* B ureau de bienfaisance. de, vous ne voudriez pas, tout de mê soucis de la direction de son affaire De quêtes aux m ariages d u 1*» au me. av o ir m oins cette fols. • en tre les m ain s de son fils, revenu du 16 septem bre : 903 fr. 60 p our le B ureau Coste, qui ne veut pas s ’épuiser en fro n t avec le g rad e de chef de b atail de bienfaisance. controverses, ne répond plus. Il se con lon et 1e m ag n ifiq u es citations. Il n ’en M. le M aire a rem ercié et fa it parve ten te de so u rire en h a u ssa n t les épau c o n tin u a p as m oins à s’in téresser acti n ir ces frommes à destination. les d 'u n a ir résigné. vem ent à la m arche q u o tid ienne du ------------------------Le Jugem ent p a r défaut est confirm é. tra v a il d an s l'u sin e, su p p léan t fré P en d an t deux ans la France ne p o u r quem m ent son fils et le rem plaçant ra pas co n n aître l’av is de l’électeur à ia directio n p e n d an t les fréquents dé Coste su r les graves problèm es Intéres placem ents que nécessite a u jo u rd 'h u i sa n t sa destinée ; ce q u i est vraim ent ia conduite d ’une grosse en trep rise in déplorable... dustriellenous donne ton aris Affaire de m œ urs. — L’Espagnol EsSous un abord un peu froid. M. An te bas M..., 32 an s. o u v rier m açon toine C ham briard, qui é ta it la sim pli t u h J O U V E N C E est accusé d 'a v o ir fait des exhibitions cité même, c ach ait une g ran d e servia bilité. 11 n ’est ja m a is resté Insensible im m orales en présence de fem m es et i* » A B B É S O U R Y à l'in fo rtu n e . d ’enfants. Les électeurs co n su laire s le porté Il est condam né 8 15 m ois d e prison (VOIR «N DERNIERE PAGE) re n t un Jour, sp o n tan ém en t, su r une avec sursis. liste et il fut élu Juge, puis président D éfenseur t M* Hobin. du T rib u n al de com m erce de Brioude. Artifice dangereux. — 8... Ernest, 35 Il exerça ces fonctions avec intelligen ans, in gén ieur éiectriolen, a y a n t A fai ce, in tég rité et dignité. Une victoire d« Peter Kan« re un séjour à A ulnat obtint un crédit Q u’il nous soit perm is, d an s cette d ’un hôtelier de cette localité en don douloureuse circonstance, d ’associer nos Liverpool, 22 septem bre. n an t com m e sienne ia voiture q u 'il con respectueux et sincères sentim ent» de d u isatt et qui ne iul « p p a rte n ü t pas. Au cours d ’un m atch com ptant p o u r condoléances à toutes les expressions de sy m p ath ie q u 'o n t d éjà dù "eoèvctr le cham p io n n at du m onde des poids A yant apporté quelque retard 4 solder Mme A ntoine C ham briard, ses en fao ts m ouche, l ’A nglais K ane a b attu le bo sa note d hôtel, l’hôtelier déposa p la in te contré lui. D epuis la to m m e p u e a x e u r Ju rlch au x points. , et toute la famille. & TANTE ANNIE “i J : * extraordinaire du S.P.F. d f W Ä Ä 1 V.u PIm portance de cette réunion et de la discussion qui suivra, nous DTlon& in stam m en t tous les cam arades S P F à b ien vouloir y assister. Films visibles en famille LES El Ja m e d i 24 courant, à 10 heures, per m an en ce au siège, 10, rue de la Treille. (sum DB C. G. T. UNION DEPARTEMENTALE DES SYNDICATS C ongrès d es 24 et 25 septem bre P a r d écision de la com m ission exé cutive ré u n ie le m a rd i 20 septem bre, vu le nom bre im p o rta n t de délégués qui rep résen tero n t leurs syndicats au congrès de l ’U nion in terd ép artem en tale des sy n d icats seuls les délégués régu lièrem en t m a n d atés sero n t adm is d an s la salle du congres. Le bu reau de l ’U n io n in v ite ra à titre au d itif ies secré ta ire s des U nions départem entales voi sin es a in s i que quelques cam arades a y a n t p articip é à l ’activité de l ’Union et qui s'in téresse à la vie de celle-ci. Une com m isison a été désignée pour réd ig er sous le contrôle du bureau du congrès les com m uniqués qui seront re m is a la P resse. Nous p rions nos cam a rad es syndiqués de se conform er à ces in stru ctio n s et de bien vouloir ne pas se p résen ter au congrès s ’ils ne sont pas délégués. P a r contre, nous les ap pelons à assiste r a u m eeting de ce so ir 23 septem bre, à 20 h. 30, 4 la M aison d u P eu p le p o u r entendre le c am a rad e B othereau, secrétaire de la REX. — H ollywood-H ôtcl. PERMANENCE VOX. — Le tunnel, S u r les ailes de Suite a u x in s tru ctio n s qui ont été en voyées au x sy ndicats. Nous inform ons la danse. les délégués que les perm an en ces or ganisées p a r l ’U. D. le sam edi m a tin se tie n d ro n t à la M aison du Peuple. T résorerie. — A la p erm an en ce de l’U. D. C om m ission économ ique. — Salle deuxièm e étage. R enseignem ents p o u r séjour. — Salle Cet a rtic le a é té é c rit p o u r v ous deuxièm e étage. Une d ouleur sourde a u côté droit, Conseil juridique- — S alle d u conseil s ’éten d a n t jusque d an s le dos et ju rid ique, p rem ier étage. l ’épaule (bretelle hépatique), une dou Le com ité de diffusion. — Le com ité leur vive sous les fausses côtes droites, de diffusion tie n d ra sa perm an en ce provoquée p a r la palpation ou p a r un d ans son local, place de la Liberté. m ouvem ent brusque, ne laissent aucun Nous insistons au p rè s de nos c a m a ra doute s u r le u r origine. Il y a conges des délégués p o u r q u ’ils u tilise n t ces tion du foie. Voici quelques-uns des perm anences et év iten t d 'o ccu p er les au tre s sym ptôm es qui accu sen t votre m ilitan ts p e n d an t les tra v a u x a u con foie : les m igraines, nausées, vertigos, grès. vom issem ents, troubles visuels, dém an geaisons de la peau, une constipation BATIMENT ET BOIS o piniâtre a lte rn a n t avec des crises de O om m lssion paritaire. — Les c a m a ra d ia rrh ée épuisante, du ballonnem ent, des gaz, une am ertum e de la bouche, des com posant la com m ission p a rita i La langue chargée, l ’h aleine forte, te re se ré u n iro n t ce so ir vendredi 24 tein t terreux, les yeux jau n es, une n er courant, à 17 h. 30, à la perm anence, vosité extrêm e, des idée6 nôtres, une la com m ission p a rita ire se ré u n ira 4 . g ran d e fatigue, de l'insom nie, une 18 heures. sensibilité exagérée au froid. Tous ces m alaises, bien différents en apparence, SYNDICAT d is p a ra îtro n t du m êm e coup lorsque DES PATISSIERS-CONFISEURft vous prendrez de l ’Hépascol François, M odification à la con ven tion oolleole g ran d rem ède n atu rel du foie. En tive. — Les cam arades m em bres de la voici la preuve : « Je «ouffrais beaucoup d an s le côté délégation ouvrière sont inform és q u ’u nouvelle entrevue doit a v o ir lieu et le rein d ro it — écrit M. M..., à T... ne (M arne). — L'Hépascol F rançois m 'a ce soir vendredi, café Brousse, 4 20 com plètem ent soulagé. J ’ai été déb ar h. 30 rassé en même tem ps de m a consti SYNDICAT DE LA METALLURGIE pation e t d 'u n e foule de m alaises ». — Lettre F. 610. Section d es Anoize* L’Hépascol F rançois d o it sa grande D im anche 18 co u ran t, le S y n d icat efficacité à sa form e liquide concen trée. Les résu ltats sont sensibles dès ch ié tle n de la M étallurgie des Ancizes La prem ière sem aine et vont ensuite av ait organisé, à C hapdes-B eaufort, u ne en s ’accen tu an t ju sq u ’à disparition ré u n io n p our les a d h é re n ts h a b ita n t com plète des douleurs e t m alaises. Le cette localité. La réunion e u t lieu d a n s la salle d u caractère lui-m êm e se m odifie et de vient plus gai. L’Hépascol F rançois rai S yndicat agricole, m ise g rac ie u se m e rt une préparation entièrem ent végétale ; à notre disposition, sous la présidence il n 'a aucune contre-indication. Toutes des cam arad es Revol, p résid en t du pharm acies : 12 fr. 50 le flacon ; Syndicat ch rétien de la M étallurgie, et Chassefière, de l’Union Locale de Cler 19 fr. 75 le double flacon. m ont-F errand, et Mlle Gilles, secré taire. Une q u a ra n ta in e de c am a rad es Jeu nes e t enthousiastes avaier.t répondu à l ’appel. Après diverses questions d 'o rd re tech NOVILTV. - M t tt : Voleur do Pommo«, le ro m a n do P ie rr e F ro n d a i* . a r e c Ju ie» nique, les cam a rad es présents fu re n t vivem ent intéressés p a r 1 exposé a u B e rry , A n n ie D u c au x , J e a n M ax, S a tu rn in F a b re . G ilb e rt G tl. S u ia n n e Deopre». U lan délégiw: de l’Union Locale d# Clerm ontc b f tte B ru n o y e t M arie Lou. - ü n p o in g ... F erran d su r la position de la C. F. T. C. en face des au tres o rg an isatio n s Ooet tou t, a r e c F r a n k ie D a rro , K ane R lcb m o n d , J a c k L a R ue e t F r a n c e G ra n d . - syndicales et dos événem ents aotuvls. Le» A ctualité* m o n d ia le » P a ra m o u n t. Après l’inscription de nouveaux a d h é OAPITOLS. — 90 h. 46: Orage, av ec C h a r rents, la séance fut levée d an s u n e n qui prom et de g ra n d s les B o y er, M ichèle M o rg a n , L ise tte L a n r ln thousiasm e e t J -L. B a r r a u lt. — Leo Oaloté* do l'Xapo- espoirs. iltio n av ec D uvallèa. R a y m o n d C o rd y . Fé Bonne Journée pour la C. F. T. C. des lix O u d a rt, E tc h e p a re e t P a u lin e C arto n Ancizes. LE COTÉ DROIT VOUS FAIT MAL ? DANS LES CINEMAS A c tu a lité » P a th é -J o u rn a l. RIALTO. — 20 h. 30: Un an «ou» l’oocu potion d 'a p r è s B olssière, le ro m a n de P ie r re B en o it a v ec P ie rr e R e n o ir, S p ln e lly . Lu c len N a t, S u r a n n é D esprès. J e a n Y onnel, P a u lin e C a rto n , e tc ... — Ohlpée, u n film fo lle m e n t g a i a v ec V icto r B o u ch e r e t Su z a n n e D eh elly . OAMSO. - 80 h . *5: P lils e t T a b e t d a n s Toi o ’oet m ol, av ec A n d ré B erley , C la u d e M ay, B a ro n fils, J u n le A ster, P a u lin e C a r to n , S a tu r n i n F a b re , H e n r i’ G a ra t. L ise tte L a n v in . R o b e rt A rn o u x dan * ün * fom m* a u volant. VOX. — 80 h. 45: Sur lo* alio* d* la danao avec F red A *talre. G in g e rs R oger*. — Tunnol a v ec J e a n G a b ln , M ad e le in e R en a u d , A n d ré N ox, R a y in o n d e A lla ln , L e v lg a n , P h ilip p e R ic h a rd B ertie , V ictor V ln a e t P ie rr e N ay . — D ern ière* a c tu a lité s P a th é J o u rn a L O lN B M O N Dt. — P e r m a n e n t de 14 heure* a m in u it: B ichon, la pièce de J e a n de Let r a z av ec V ic to r B o u ch e r, M a rg u e rite De val. M arcel V allée. J e a n n e L o u ry , R iv e ra C adet e t D elly D avl» La oourl* b leu e avec H e n ry G a ra t, J e a n n e A u b e rt. M ire ille Peri* y , F é lix O u d a rt, M onique R o lla n d . R o b ert A rn o u x . P tte lle e t M arce lle P ra ln c e . - Lo* d e rn iè re » a c tu a lité * G a u m o n t. RCX. — P erm an en t de 14 heures S m in u it: H ollyw ood Hétol avec Dick Pow el. R osem ary L ao * . Hugh H erbert ot B en ny Goodm an et son Jazz- - Dessin* an im és en couleur*. E clair-Journal. MOZART. — P e rm a n e n t d e 14 h e u re * * m in u it: Vogue* IMS. — A ctualité*. BTOILB - PALAOB MONT» ERRAND. — V e n d re d i, » am ed l, 80 h. 45: d im a n c h e 14 h. 45. 80 h. 45: Olgolott# av ec F lo rell* . G a b rto . Azat». » Sa MaJ**té g ra n d ’mèro. - LIRE DEMAIN NOS PETITES ANNONCES été rem boursée, I« plain te a été le ttré « m ais S... o 'en est pas m oins resté p our suivi pour escroquerie et condam né par d éfau t 4 2 m ois de prison. 11 a fait opposition. Le trib u n al rab at la peine 4 8 jours, accorde le bénéfice du sursis, m ais ajo u te une am ende de 50 francs. D éfenseur t B erthon. n A T in J .P .P . DES INDUSTRIES OHIMIQUES DEMAIN SAMEDI A 20 h. 45, cin ém a : Le r o m a n d e UNION FEDERALE CENTRE-SUD M a r g u e r ite G a u tie r, avec G reta G arbo Nous p rio n s instam m ent les prési Vichy, 22 septem bre. et R obert T aylor. ., ts des groupem ents S.P.F. affiliés A 10 h. 30, u n e auto, conduite p a r A 21 h. : Soirée d a n sa n te avec 1 o r den 1 l ’U.F. de bien vouloir faire connaître Mme P a u lin e P éan , de N euilly-sur- ch estre P éro n n in e t 6on ensem ble. _ j p lu s tô t a u se c ré ta ria t 10, rue de la Seine, d ébouchait de la ru e du BelT reille, le nom bre de num éros spéciaux A ir p o u r s ’en g a g er d an s l’avenue DIMANCHE 25 SEPTEM BRE d u jo u rn a l S.P .F . qui va p a ra ître À A 15 heu res T h erm ale, est en trée en collision l ’occasion d u 2* C ongrès N ational. avec l’au to pilotée p a r M. Dedieu, b rig a d ie r de police, qui é ta it accom pag n é de s a femme. Le choc fut très violent. L ’au to de M. Dedieu fu t projetée s u r un talu s où se tro u v a it M. C laude Degoulange, âgé de 70 an s, em ployé à la voirie. M. D egoulange, ren v ersé et blessé, ne fu t dégagé que très diffi cilem ent de dessous la voiture. T ra n sp o rté à l’hôpital, le m a lh eu reu x y succom ba quelques heures plus ta rd . Mme D edieu, qui a reçu de très sérieuses contusions, a été ég ale m en t tra n sp o rté e à l’hô p ital, com me son m a ri qui, lui, ap rès pansem ent, a pu re g a g n e r son domicile. Mme P é a n et Mme A line F lau n e u i l’ac co m p ag n a i, o n t été attein tes e blessu res légères. A • .P .P . D I LA METALLURG!« (Section d« Riom) A ROYAT A ujourd’hui vendredi 23 septem bre, réu n io n im p o rtan te salle Jean Mermoz, 5, rue d u Lycée, à 20 h. 45. Présence a b solum ent Indispensable de tous les délé gués de q u a rtie rs sans exception. R ival, président d u can to n Sud In siste au p rès de ses ad h éren ts pour q u ’ils rép o n d en t nom breux à cette réu nion. Il les Inform e, d ’a u tre part, que sauf p our des cas exceptionnels, tl ne sera plus envoyé de convocations in d iv id u el les ; elles se feront p a r la voie de la presse locale. Les Abonnements des Tournées Ch. Baret MOUVEMENT social . C.X_K F. % -t . , SECTION SYNDICALE MlOHELIN DES PRODUITS CHIMIQUES (M aîtrisé, em p loyés, d essin ateu rs) lo C ontrairem ent à ce qui a été a n noncé d an s un précédent article la sec tion syndicale m aîtrise M ichelin in fo r me ses ad h éren ts que l'assem blée géné rale a u ra lieu le sam edi 22 octobre 4 8 heures2° Notre cam arade Valleix v ien t de recevoir, ap rès des dizain es d 'a n n é e s de service, la m édaille du trav ail, m o deste récom pense. Q u’il veuille bien tro u v er ici l'e x pression de nos sincères félicitations et la fratern elle sym pathie de tous ceux qui constituent la g ran d e fam ille. 3* Service O. — Nous ap p ren o n s le prochain m ariag e de la ch a rm a n te fille de notre cam a rad e B ourasset. Nos vœux de bonheur au x fu tu rs époux et nos félicitations à n otre vieux cam a rade. --------------------- Société d’Horticuitare d« Viticulture et d’Etudes agronomiques du Puy-de-Dôme La réunion du 2 octobre a u ra lieu à 14 h., à l'A m phithéâtre de la 1> Ré gion. 4 boulevard T rudalne. O rdre du jo u r • Lecture d u procès-verbal de la d e r nière séance. P résen tatio n de m em bres nouveaux. La tom bola sera offerte p a r M. V v cher, m arch an d de v erreries e t porce laines. rue St-E sprit 4 Clerm onVPd. V erreries e* objets d ’a r t MM. les sociétaires e t a m a te u rs de vignobles ou autre* qui d é sireraieu t vi siter la collection de p ro d u cteu rs di rects nouveaux de M C avanat, sont u»vités à se ré u n ir d im anche 25 courant, à 15 h., avenue de Royat, à l'a rrê t du. tram , face à ia clinique St-Amable. Les apports de g rap p es provenant des producteurs d irects seront les blenvénus le jo u r de la réunion de la Société, m êm e présentés p a r des rltic u J té u n ne fa isa n t p as p artie de la Société. Une déclaratif G odej L a d é c la r a tij 4 la p re s s e a i la in : « M. C h am b j m id i, u n e coni^ d e l ’E ta t aller.I à q u a tr e h e u re ! a p r è s se p t h e u » O n se p ro l e n tr e tie n - a e i j » E n tre tem j d e l ’a v is d u q u e to u te s h s o ie n t d é te rm i q u e la s itu a ti( n e so it p a s d< tr e le pro g rès » L e P re m it a p p el a rd e n t c o n trib u e à s ’a b s te n ir de d e n a tu r e à d e n ts . » Gode D ’u n dea l ’A gence H avi L es c o m m ei d a n s le s m iiif r é u n io n d e i «nem ent ré se n te fo is q u e le n o u v e a u pr< d ’é v ite r to u te m a n d e d e naH n é g o c ia tio n s p lo m a tiq u e p lu s difficile j à c ritiq u e d a l p a r des m in o r| g y a re s . C ette q u e s til ê t r e tr a ité e p a n a tio n a le q u i d e s d ir ig e a n t/ p e r de fix e r \\ a u R eich e t h tio n s ; m a is c q u e s a tâ c h e c a lm e , fa u te < p a s s e r a it le tch éc o slo v aq u p lex e. I l n ’e s t pa«J • i M. C ham bc ce p o in t p a r Il aem b le q lu i-m ê m e a i t ] p r e m ie r m in i] s é q u e n c e « <* 'r a i e n t être p a r le s d e m i riou* p a r le s p u b liq u e à ‘ jv e m e n t tch f « li u s i o n l ’appj E n co n séq u j Be tro u v e en d é lic a t q u e ( j fr o n tiè r e s e t l ’o b je t d e s c< m id i, m a is s u s p e n d u e s ij d e n ts . P o u r il c ô té b r ita n n i( m o n tr e r p e s s | L e D .N .B . q u e M. Nevilli tr é ce so ir, è| « p rè s son ei & G odesberg, am b assad eu r les a u tre « p e r] o n t égalem ei L a foule, n a jo u te le D.N m a n ife sta tio n ! d re s se d u prj Avant Goo D a n s le hn berg où La p rj installée, les n is tè re de li ta i e n t h ie r «c au x sollicita u e s s u r le : e vue« g em l l L e sp eak er! clam a tio n f a | l ’acceptation co slo v a q u e tr o u v a ie n t 1 F r a n c e d ’er] p n e g u e rre , n a i t à enter] ge« d e vui g r o is , les r| p a r M. Hitlcl d e B e rc h te a d p l u s à la ré a l a i n s i q u e le j e o r m a is le cl ae su d è te . Il l ’a v o c a t des eo v ie e t de a& isir p ro m j l e u r e s t oft i f r o n tiè r e s tq C ’e st d u p o se auasl m a n d a . Il v< 4* d e l a faç l 'a g i t de y id l let d e p a r f a i t a in s i d é b a rr b lê m e q u i f] t r e la p li l a voie a « nej p u is lo n g te n j m ent des quj L ’a ttitu d e q u ’o n p u isse ■e ré s u m e r à l f a i t m ai* p f u n e fois les j r ie u s e s sa tis] t a n t '’e la « q u e ce règlf C e s t M ir cf d «ff> .ber IV • u li a ts d es C .h am b rrlaii T out a n t, b ffk ie lle 4 [déjà crueKluf fcppréhênsic L’AVENIR DU PLATEAU CENTRAL à la union * tal MATIN ion et rions S.P-F. LES ENTRETIENS DE GODESBERG QUES perreiile. (SUIT* DE LA PREMIÈRE PAG*) uo présiffiliés n aître de la »ciaux Itre à L re n exétinbre, légués ats au îentale régus dans de l ’tisecrées voiarades Union le-ci. e pour eau du ont recanutr a ces ne pas DE sont les apde ce à la dre le de la été enbinons ces orm atin uple. nce de Salle — Salle conseil comité nuiumce berté. ennui rnmà cet uper les au cou- camaraparltaidretli 24 [maneuce, é unira à EURS n colleoires de la biés qu’uivolr lieu Bse, à 20 URGIE Syndicat is Anci7.es ufort, une habitant salle du Iteusemert présidence ident du liurgi«, et e de CleT(les, secréîrades Jeut rép on d u brdre techjnts furent (exposé ou Ctermoidia C. F. tanisations ts actuels, eaux adhéans un engrands . T. C. des OHELIN IQ U E S inateurs) 11 a été an tic le la sec(helin infoririblée généoctobre à vient de s d'années ravail, mo- IX ?r ici l’ex[féllcitatinns e tous ceux mille. siprenons le rrnante fille asset. Nos rs époux et ’leux cama- ure Etudes de-Dôme aura lieu 4 la 17* Re de la derde memar M. Vas et porceermont-Fd. nateurs de reralent vtteurs diat, sont ’n25 courant, l’arrèt du Amable. venant de« les bien ve la Société, uileur* ne té . Services télégraphiques et téléphoniques de I*« Avenir du Plateau C entral» Une déclaration de M. Chamberlain < A LA FRONTIERE polono-tchécoslovaque M A T IN UNE ALLOCUTION L’ATTAQUE DU TRAIN DE M. BENÈS PRÈS DE MARSEILLE (SUITE DE LA PREMIÈRE PAGE) « J'ai mon plan pour tons les cas, Ii nous serait absolument lm pos'Ible déclare-t-il, et je ne me laisse pas do reconnaître les b an l.ts. Nous n ’a vons pu qu’entrevoir . ’automobil« qui dérouter. » était en contre-bas de la voie. LES MANIFESTATIONS CONTINUENT A PRAGUE La cure de rentrée M. DALADIER A REÇU la délégation des Gaudies Manifestation révisionniste à Budapest Avant les entretiens RECTIFICATION Des incidents se seraient produits à la frontière \C A M E O l Tirages financiers Votre tour de chance (SUITE DE LA PREMIÈRE PAGE) Au lieu de récrim iner, de parler à tou» de vo» ennuis, faites le compte de vos chance» futures. Tout ce qui est passé, appelez-le « l ’expérience » et servez-vous de c e . que vous avez appris. La vie pour vous commence dem ain. Ne doutez plus de vous-même. N’oubliez pas que la joie attire la joie 1 On vous recherchera pour votre gaîté, pour votre charme. Ce rayonnement, tous et toute» peuvent l’obtendr, c ’est une question de santé physique. For tifiez-vous I Le Vin de Frileuse fortifie tous les organes et conserve la jeu nesse. Le Vin de Frileuse est le plus fort des fortifiants, souverain dans tous les cas de faiblesse et d ’anémie. Ein une seule cure on est transform é, on est fort, heureux. Le flacon 6 fr. 50 chez votre pharmacien. Ne l’oubliez >as : la santé c ’est le Bonheur. Vive a Vin de Frileuse. Quoi qu’il en soit, il fa u t p ersévé rer d a n s c e tte voie p én ib le q ui m è n e à . la p a ix, e t d o n t le G o u ve rn em e n t de P rague a g ra vi sa p a r t avec u n e désillusion désespérée qui co m m a n d e le respect. L a C. G. T. fa it de la so lu tio n p ro posée p a r L on d res e t Paris, le résu l t a t des e ffo r ts co n ju g u és de la F i n a n c e in te rn a tio n a le, des privilégiés sociaux e t des a m b itie u x politiques. Un a u tre jo u rn a l, qui n 'e st pas co m m u n iste , accuse M. C h a m b erla in de sa u ver su rto u t la fin a n c e anglaise. H élas 1 il n 'e st pas im possible que ces in té rê ts h u m ilia n ts n e se m ê le n t a u x a ve n tu re s p résen tes. M ais la guerre aussi paie ceu x qui l'a lim e n te n t. Le th è m e d u m a rc h a n d de ca n o n s se ra it-il usé ? E t n e p e u t-o n p en ser que, derrière les appels b elliq u eu x lancés au n o m d 'u n h o n n e u r d o n t on f i t h ie r si so u v e n t bon. m a rch é , se p ro file n t le m o n stru e u x espoir des e n rich issem e n ts fa ciles ? La p a ix d o it n o rm a le m e n t so rtir des n ég ociations de G odesberg. M ais il fa u d ra qu'elle dure. Un tra ité n e v a u t que si les p u issa n ces qui l’im p o sen t en a ssu re n t l’ex écu tio n . N ous expions, en ce m o m e n t, l’erreu r qui f i t qu’au le n d em a in m ê m e de la si g n a tu re d u tra ité de Versailles, les G o u ve rn em e n ts des p a ys va in q u eu rs se d isp ersa ien t d a n s leurs égoïsm es e t leurs in co m p réh en sio n s. R en o u ve 1er c e tte fa u te se ra it inexp ia b le. P eu t-o n recréer u n e a tm o sp h ère in te rn a tio n a le où la civilisation m e u rtrie pourra p a n ser e t g uérir ses blessures ? T o u t est là. H itle r lu im êm e, e t M ussolini, d o iv en t le co m p ren d re, ca r leurs régim es n e sau ra ie n t é te rn e lle m e n t résister à la sa gesse e t à l’h u m a n ité . P our nous, n o tre p rin cip a l gage d ’a ve n ir est d a n s n o tre solidité in té rieure. La m eilleu re a rm ée d u m o n de est fa ib le si elle p rotège u n E ta t a n a rch iq u e e t divisé. L e fa it que n o u s d é fe n d o n s n o tre p a ix, in clu se d a n s la p a ix générale, au m o m e n t où sé v isse n t les grèves, est u n para d o xe e ffr a y a n t. Ce sera it fo lle de croire que n o u s pou rro n s le so u te n ir in d é fin im e n t. M aurice V A LLE T. G odesberg, 22 septem bre. Cioszyn, 22 septem bre. En visitant le train ensuite, nous nou» L a d é c la ra tio n su iv a n te a été faite P ra g u e , 22 septem bre. Cieszyn, iviLle polono-tchèque, cou sommes aperçus que la « cl %» de la vi à. la p resse a u nom de M. C ham ber pée en deux p a r la riv iè re O lza et Le P ré s id e n t de la R épublique, M. gie du wagon FF 33 >45 avait été ou p a r la fro n tière d o n t la P olo g n e de E d o u a rd Benès, a p rononcé ce so ir verte. la in : « M. C h am b erlain a eu, cet après- m an d é la rev isio n , v it d a n s l ’expec une allo cu tin o rad io d iffu sée d a n s la Il nou6 a été facile de reconstituer la m id i, u n e con v ersatio n avec le Chef tative. scène : Un des complices avait dû mon quelle il a déclaré en su b sta n c e : ter dans le train en gare de Saint-Charde l’E ta t allem an d qui a com mencé D epuis l ’ac cep tatio n paT la T ché — Ne nous laissons pas em porter par les et s’était caché dans la vigie. Arri à q u a tre h eures et s ’est term in ée peu coslovaquie des p ro p o sitio n s franco- la passion dans cette neure historique. vé à Saint-Barthélemy, il av ait bloque a p r è s sept heures. bri/tanm ques et la cession des Sudè- Nous avons adapté notre action à la les freins à l’endroit même où ses com situation. Je regarde m aintenant le dé » On se propose de re p re n d re les tes à l’Ail ernagne, l ’a tte n te de la po plices l’attendaient. 6ans peur, car j ’ai mon Jusqu’au moment de l’agression nous e n tre tie n -1 d em ain m a tin . pulation. polo n aise des deux côtés de pveloppement lan pour tous les cas et je ne me laisse n ’avions pu nous aperce/> ir de rien et » E n tre tem ps, ce q u i est essentiel, la fro n tière q u i rev en d iq u e la ré u pas aéroarer. Nous désirons une enten le train avait roulé norm alem ent de l ’av is du P re m ie r M in istre, c ’est nion de la Silésie de Cieszyn à la P o te avec tous, m énageant par conséquent Q u an d l ’a tte n ta t se p ro d u isit, M. q u e to u te s les p a rtie s in téressées logne est devenue p lu s fiévreuse, une conciliation complète avec tous voisins, avec la France et l’Angle M asclet, « fin an c ier »t chargé de so ie n t déterm inées à fa ire en sorte d ’a u ta n t p lu s q ue la m u n ic ip a lité de nos terre. v eille r s u r les v aleu rs, é ta it descen q u e la situ a tio n en Tchécoslovaquie la p a rtie p o lo n aise de Cieszyn lan ce La trêve de litiges intérieurs, le sang- d u de son w agon. Il n ’eu t p a s le n e soit p as de n a tu re à com prom ets dep u is h ie r des ap p e ls à la p o p u la froid, la pondération de notre peuple tem p s de s o rtir son revolver et fu t tion l ’in v ita n t à se te n ir p rê te à sa sont co n n js. Il sait qu’il faut lutter. tre le p ro g rè s des négociations. lu e r p lu sie u rs u n ité s de l’arm ée polo L’histoire dira que nous avons procédé b lessé d’u n e balle q u i lu i tra v e rs a le » Le P re m ie r M inistre a d re sse u n n aise p ro v en a n t des m an œ u v res. poignet droit. Son é ta t n ’in sp ire honnêtement. ap p e l a rd e n t à tous p o u r que l’on Je répète que j ’ai m on plan. Notre 11 d ’aille u rs au c u n e inquiétude. Il est pi L 'a rriv é e d e ces u n ité s a v a it été gne co n trib u e à m a in te n ir l ’o rd re et à politique est solide et nous l’adap tom bé s u r la voie et a fa it le m o rt. jlir s ’a b s te n ir de to u te actio n q ui so it fixée to u t d ’ab o rd p o u r h ie r so ir, terons à la situation. Votre émotion Il a en ten d u l ’un des m a lfaite u r» p u is p o u r m id i a u jo u rd ’h u i. E nfin, que je com prends est elle-même profi d ire : « Si q uelqu’u n crie, on tire ». d e n a tu re à prov o q u er des in ci elle a été rem ise à dem ain m atin . table à l'Etat. Nos ennemis guettent dents. » M. M asclet, in terro g é, n ’a p u d o n De n om breuses o rg a n isa tio n s en notre dislocation. Ne gaspillons pas nos n e r au c u n d étail s u r l ’im p o rtan ce d u Godesberg. 22 septem bre. forces, car nous en aurons besoin. Je D’u n des envoyés sp é cia u x de u n ifo rm es (an cien s co m b attan ts, a s répète que nous en aurons besoin. Unis vol. so ciatio n d e s in su rg és de H aute-Silé- entre nous, nous sortirons avec dignité M arseille, 22 septem bre. l ’Agence H avas : sie, an cien s co m b attan ts de l ’arm ée crise européenne. Les d ifféren ts service» de police Les co m m en taires fa its ce so ir p o lo n aise en F ra n ce , etc.), a tte n d e n t deLela Gouvernement vient d ’être formé d a n s les m ilieux b rita n n iq u e s s u r la d ep u is h ie r s u r la p lace d u M arché, avec une collaboration générale. Restez m a rse illa is o n t établi que les m a l ré u n io n de l ’après-m idi so n t ex trê rich em en t décorée l’a rriv ée des rég i tous à vos postes. Méfiez-vous des faus fa ite u rs qui o n t atta q u é le tr a in de ses nouvelles. Attention au x provoca m essag eries étaie n t a u nom bre de m e m e n t réservés. On cro it sa v o ir to u m en ts p olonais. six ou sept. teurs. tefois que le p re m ie r m in istre a de Des m ouvem ents de tro u p es n o t Je conclus en vous d isan t : Ne cralIls n ’o n t em porté que les caisses n o u v e a u p ressé son in te rlo cu te u r rien pour l’avenir. Je term ine par c o n te n a n t de» o b jets précieux, nod ’éviter to u te in itia tiv e m ilita ire alle ■lieu d ep u is le m a tin d a n s les envi fiiez es paroles de Llbuse : « Ma chère n a ta m m m e n t u n e caisse p ro v en a n t du m a n d e d e n a tu re à com pro m ettre les ro n s de Cieszyn. tchèque ne périra pas. Non, elle ne D ifférentes u n ité s de l’arm ée polo ption n é g o c ia tio n s et toute in itiativ e di érira pas et elle surm ontera tous les Congo belge, re n fe rm a n t de l’o r 1 ru t p a rtic u lie r l’a rtille rie malheurs. et deux a u tre s caisses co n te n a n t des p lo m a tiq u e susceptible de re n d re n a ise et en bijoux. Le m o n ta n t du vol est de p lu s difficile encore la situ a tio n dé so n t dirigées du côté de la fro n tière. p lu sieu rs cen tain es de m ille francs. j à critiq u e d a n s les régions h ab itées Selon les estim atio n s de bonne so u r p a r des m in o rité s polonaises ou m a ce, deux divisions a u m o in s se ra ie n t co n cen trées à la fro n tière polonogy ares. tcihèque. L a g a rn iso n n o rm ale de Cette q u estio n p o u rra it en effet, Cieszyn com prend u n ré g im e n t d ’in ê tr e tra ité e p a r la com m ission in te r fan te rie. P ra g u e , 22 septem bre. n a tio n a le q u i d ev ra it, d a n s l ’esp rit Dès ce m a tin , à 7 h eu res, les m a Vos enfants vont bientôt ren trer de d es d irig e a n ts b rita n n iq u es, s ’occu Le Ministre de Pologne a demandé n ife sta tio n s p a trio tiq u e s o n t re p ris vacances, ils viennent de faire des p e r de fixer la cession de te rrito ire s à Prague, pour la minorité polonaise, d a n s les ru e s de P ra g u e . M ais ta n cures d ’air, d e soleil, de bains de mer. n u R eich et les tra n s fe rts de p o p u la ceci est fort bien, ils arriveront dis q u ’h ie r so ir c’é ta ie n t les p etits Tout le même traitement eu bon état physique pour reprendre tio n s ; m a is on tie n t p o u r essentiel b o u rg eo is et em ployés, ce m a tin ce leurs études, m ais il faut penser à que s a tâche s’accom plisse d a n s le que pour la minorité allemande so n t les o u v riers qui afflu en t vers le m aintenir et à consolider la provision calm e, fau te de quoi le problèm e dé cen tre de la ville. D ans un o rd re et de santé qu’ils auront faite pendant P ra g u e , 22 septem bre. p a s s e r a it le c a d re de la question avec u n e d iscip lin e sa n s exem ple, ils leurs vacances. Faites-leur suivre un Le m in istre de P ologne à P rag u e, tchécoslovaque, d éjà p lu s que com régime alim entaire com prenant des M. C a sim ir P ap e, a rem is h ie r u n e d escen d en t p a r ra n g s de v in g t et dé alim ents capables de leur donner des plexe^ filen t a u pied de la s ta tu e d u sa in t Il n ’est p as encore perm is de d ire no te a u m in istre des A ffaires é tra n n a tio n a l W enceslas. E n tê te v ie n n en t calories tel que le sucre sous toutes ses «i M. C ham berlain a été ra s s u ré s u r gères, M. C am ille K rofta. D ans cette les d ra p e a u x trico lo res n a tio n a u x et formes. Vous prolongerez ainsi le bon note, le g o u v ern em en t polonais : effet de leurs vacances, c ’est ce que ce p o in t p a r so n in te rlo cu te u r. u ne p a n c a rte im provisée q ui p o rte 1° D énonce le tra ité tchéco-polo- en c a ra c tè re s tra c é s d ’u n e m a in m a l nous appellerons la cure de rentrée I Il oemble qu e le ch a n ce lie r H itler lui-m êm e a it a ttiré l ’a tte n tio n du n a is s u r le tra ite m e n t des m in o rités habile : « D éfendons nos frontières ». S o u d ain cette m a sse s’im m obilise. p re m ie r m in istre s u r les g rav es con- récip ro q u es, tra ité conclu en 1925 Les tê tes se d éc o u v ran t et, a u m ilieu j^équences des d éso rd res q u i p o u r d a n s le c a d re d e la S.D.N. 2° D em ande p o u r la m in o rité po d ’un silence solennel, un ch a n t s ’élè r a i e n t ê tre créés en T chécoslovaquie •par les d e rn ie rs événem ents e t suir- lo n aise en T chécoslovaquie le m êm e ve, g rav e com m e u n c h a n t religieux. to u t p a r les réa ctio n s de l ’o p in io n tra ite m e n t q u e p o u r la m in o rité al C’est l ’h y m ne n a tio n a l. Tou» lèvent tro is doigts p o u r p r ê te r se rm e n t à p u b liq u e à la dém ission d u gouver lem an d e. P a ris , 22 septem bre. l a R épublique. S u r le tro tto ir des n e m e n t tchèque^ C’e st à ce la q u e fait L a délég atio n des g au ch es com po fem m es sa n g lo te n t et c e rta in s poli a llu s io n l ’appel d u p re m ie r m in istre. ciers q u i co n tien n en t la foule pleu sée de MM. A lbert C hichery, Ju le s E n conséquence, n o n seu lem en t on Moch, A ndré Le T ro cq u er et Florire n t silencieusem ent. æ tro u v e en présence d u problèm e Les m a n ife sta n ts p o u rsu iv en t le u r m ond Bonté est arriv ée vers 15 heu d é lic a t que pose la d élim itatio n des ro u te vers la rive droite, q u a rtie r des res à la présidence du Conseil p o u r fro n tiè re s et qui a c e rtain e m e n t fa it lé g a tio n s et du ch â te au , en c ria n t : s ’e n tre te n ir avec M. D aladier. B u d ap est, 22 s e D te m b r e . l ’o b je t des conversations de l ’aprèsA près le u r en tre tie n avec le p ré Une g ra n d e m a n ifesta tio n révision « Vive l’arm ée » ; « D éfendons nos sid e n t d u Conseil les re p ré se n ta n ts m id i, m a is aes n égociatio n s resten t fro n tières » ; « D éfendons n o tre p a n iste a e u lieu h ie r soir à B udapest. su sp e n d u e s à la possibilité d ’in ci de la délégation de» gauches o n t dé den ts. P o u r le m om ent toutefois, du D um irèe p a r les effigies de / a m ^ai trie » ; en c h a n ta n t d es p assag es de claré : poèm es des poètes n ationaux : « Si tu Côté b rita n n iq u e , on se refuse à se llo rth y , d'A dolf H .tier, de M ussolini « N ous som m es v en u s p o u r m ettre ut d u présid en t Moscicki, une m asse m 'ab an d o n n es je ne périrai pas. Si a u c o u ra n t le p ré sid e n t d u Conseil m o n tre r pessim iste. tu m ’ab an d o n n es tu p ériras ». com pacte de 500.000 p e rs o m ^ s se de l’é ta t d’e s p rit qui e»t celui de» B erlin, 22 septem bre. p r e n a it su r la p lu s g ran d e place de P ra g u e , 22 septem bre. différente g roupes de la d ilé g atio n Le D.N.B. annonce de G odesberg B u d ap est, à l ’en d ro it où se tin t le L ’agence C eteka re la te que de de? gauches. L a nuestion de la con q u e M. Neville C h am berlain est re n congres eu ch aristiq u e. g ra n d e s m a n ife sta tio n s p a trio tiq u e s vocation des C ham bres a été posée tr é ce soir, à 10 h. 37 à P etersb erg , Les divers o ra te u rs q ui se sont m cA près son en tre tie n avec M. H itler cédé t la trib u n « o nt dem andé avec o n t lieu d a n s to u te la T chécoslova av. p résid e n t du Conseil. V à Godesberg. S ir Neville H enderson, violence le d ro it de to u tes les m in o quie. L a pJus im p o rta n te, à H rabec a a lo rs renouvelé la d éc la ra tio n qu’il a m b a ssa d e u r de G rande-B retag n e, et r é e s à d isp o ser d’elles-m êuies, en K ralove, a gro u p é 10.000 p erso n n es. a faite à M. C hichery la veille, c’estP a r to u t les hym nes n a tio n a u x o n t à-dire q u ’il n ’en v isag e ait p as pour le les a u tre s p erso n n alités b rita n n iq u e s p a rtic u lie r p o u r la Slovaquie. reten ti. L a foule a crié : « P ro tég eo n s m om ent cette convocation, m a is que o n t égalem ent reg ag n é P etersb erg . nos fro n tières. M archons avec l ’a r celle-ci a u r a it Peu im m édiatem ent, si L a foule, m assée devant l’hôtel, ;« L'acceptation de Prague mée » et poussé des cris hostiles à la le» événem ents l’ex ig eaien t ». a jo u te le D .N .B., s ’est livrée à des est périmée » F ra n c e et à l’A ngleterre. m a n ife sta tio n s de sy m p ath ie à l’a A N ova P a k a , localité in d u strie lle , dit la Presse hongroise d resse du p rem ier b rita n n iq u e. La population des Etats-Unis les o u v rie rs font grève a u jo u rd ’hui. B udapest, 22 septem bre. W a sh in g to n , 22 septem bre. Un appel au calme L’acceptation de P ra g u e est p é ri L a p o p u latio n des E tats-U n is é ta it mée écriv en t les jo u rn a u x h ongrois du général Syrovy au 1er ja n v ie r 1938 de 129.818.000 h a G odesberg, 22 septem bre. ce m atin . L a situ atio n a évolué. Les bitant», so it u n e au g m en ta tio n de P ra g u e , 22 septem bre. D ans le h all de l ’hôtel de Godes rev en d icatio n s hongroise« e t polo Le g én éral S vrovy, in sp ecteu r gé 941.000 h a b ita n ts su r l’an n é e précé b e rg où la presse in te rn a tio n a le a été naises so n t a u p rem ier p lan de l’in n é ra l de l ’arm ée, a pro n o n cé ce ma- dente. in sta llé e , les h a u t-p a rle u rs d u m i térêt. tin à la ra d io u n e allo cu tio n d an s n is tè re de la P ro p a g a n d e in te rp ré laquelle il a d em andé au x T chécos ta ie n t h ie r 6oir la réponse de P ra g u e ß ux so llicitations fra n co -b ritan n i Les Allemands ont pris possession lovaques de g a rd e r le calm e e t de rev en ir à le u r tr a v a il qui est aussi q u es s u r 1«- ré s u lta ts des échanges du service d'ordre n écessaire à l’arm ée q u ’à la vie n a d e vues germ ano-polono-hongrois. D ans n o tre page c R e n tré e des dans le district d’Eger tionale. Le sp e ak e r a n n o n ç a it q u ’u ne p ro « Si n o u s som m es triste s a u jo u r classes », p arue hier, nous avons, par B erlin, 22 septem bre. c la m a tio n faite à P ra g u e a ttrib u a it d ’hui, a-t-il p o u rsu iv i, ce n ’est p as erreur, fa it fig u rer Z’Ecole C e n trale Les ALlemands Sudètes o n t p ris p o u r to u jo u rs. U nissons-nous, c a r si de R adio, les Cours M ourlevat e t l ’ac cep tatio n du gouvernem ent tché coslovaque à l'im p o ssib ilité où se en m a in le service d ’o rd re d an s le nous ne som m es p a s u n is le d an g e r l’Ecole P igier, d a n s la liste des écoles tro u v a ie n t la G rande-B retag n e et la d istric t J 'E g e r. Ils co llab o ren t avec nous m enace. L ’arm é e est in tacte et d ’e n seig n e m en t o fficiel au lieu de les F ra n c e d ’e n tre p re n d re a u jo u rd ’h ui les o rg an ism es tchécoslovaques. L a est p rête ». fa ire p a ra ître d a n s celle des écoles u n e guerre. E n m êm e teîhps, il don joie est in d escrip tib le, d it le D. N. privées. n a it à en ten d re q u ’a p rè s les é c h a n B. Les d ra p e a u x à croix gam m ée g es de vues germ ano-polono-hon b o ite n t a u x façad es des m aisons. Les g ro is, les rev e n d icatio n s form ulées Sudètes font preuve d’un calm e ipar M. H itler, a u cours de l’entrevue exem plaire. Les policiers tchèques ne Berlin, 22 septembre. d e B erchtesgaden ne co rresp o n d a ien t se m o n tre n t p resq u e plus. Le D. N. B. annonce de Behrenstetn, p lu s à la ré a lité de la situ a tio n . C’est B erlin , 22 septem bre. IACIRE MODERNE à la frontière de Saxe et de Tchécoslo a in s i que le Reich ne se ra it p lu s dé UNE LAQUE On m an d e de E g er a u « D.N.B. » so rm ais le cham pion de la seule c a u que en viron 700 so ld a ts et officiers vaquie, qu’un fonctionnaire tchèque a D'UN COUP DE CHIFFON jeté une grenade à main à Behrenstein se sudète. Il se fe ra it l’in te rp rè te et tchèques avec des b a tte rie s a n ti d an s la foule sudète qui défilait en cor l ’avocat des G ouvernem ents de V ar ta n k s se tro u v a ie n t encore a u jo u r tège pour célébrer « la libération du sovie et de B udapest, soucieux de d ’h u i, à m idi, d a n 3 la casern e du pays ». Des gym nastes sudètes sont s a is ir pro m p tem en t l’occasion q ui 35« ré g im e n t d ’in fan terie. Cette n u it, passés immédiatement à la contre-atta le u r est offerte p a r la rev isio n des de« cam io n s o n t tra n s p o rté à P il que pour « rendre inoffensif le crim i nel ». Au cours de la fusillade, des fro n tiè re s tchécoslovaques. PILLS «t TABET, dano sen , d a n s la ca sern e d u 18» rég im en t m orts et des blessé sont restés sur Je C’est du m oins la thèse q u ’on ex d ’in fan terie, un g ra n d nom bre de terrain du côté tchèque et du côté alle TOI C’EST MOI çiose au ssi d a n s les m ilieux alle caisses de m u n itio n s. Six ta n k s se mand. d ’aprfes la célèbre opérette du th é â tre L’agence officielle allem ande signale de» Bouffes P arisien s, avec André Berley, m a n d s. Il v a de soi q u ’on la p rése n tro u v e n t encore d a n s la casern e du Claude May, Baron Plie, Munie Aetoa, d ’autre p art une fusillade entre soldats te de la façon la pins « é d i r i n t e : il 35 » ré g im e n t d ’in fan terie avec douze Pauline Carton, Saturnin Pabre. l ’a g it de vider com plètem ent l ’abcès c h a rs blindés et p lu sieu rs m itra il et gendarmes tchèques et Allemands En prem ière p artie : Henri Carat, des Sudètes près de Schoenberg, au bu e t de p a rfa ire l'o p ératio n . On a u r a leuses. Lisette Lanvln, Robert Arnoux, d a n s reau de douane de Liebenau. 20 per a in s i d éb a rra ssé l’E urope d’u n p ro U N E F E M M E AU V O L A N T sonnes auraient été blessées par les blèm e qui fa u ssa it les rela tio n s en coups de feu. Des deux côtés on signale Nouvelles prématurées > —»♦— ^ ------------------tr e la p lu p a rt des E ta ts et p rép a re des morts. P rague. 22 septem bre. l a voie à une discussion souhaitée de p u is longtem ps à Berlin d ’un » règle On déclare, à Prague, que les nou Les rapports franco-polonais m e n t des questions p en d an tes ». velles an n o n çan t la prise du pouvoir seront-ils révisés? L ’a ttitu d e allem ande p o u r a u ta n t p ar les Sudètes dans les régions allan t Obligations Communales 1892 q u 'o n puisse la ju g e r d’ici p eu t donc ju sq u ’aux frontières linguistiques so n t Le numéro 232.869 gagne 100.000 fr. V arsovie, 22 septem bre. «e ré su m e r à ceci : in tra n sig ea n ce de inexactes. On signale seulem ent quel Le numéro 143.376 gagne 40.000 fr. P a r la voix d ’u n de le u rs o rg an es f a it m a is prom esse de coopération ques incidents à Bozidaz. où les Sudè a ttitré s 1’ « E x p ress P o ra n n y », les Les 2 numéros suivants gagnent cha cun 10.000 fr. : 308.569, 435.129. u n e fois les exigences les p lu s im pé tes ont occupé le poste de la douane, d irig e a n ts de la politique ex térieu re Les 4 numéros suivants gagnent cha rie u se s sa tisfa it On hausse le m on et à Cheb où ils o n t occupé le b ureau la n c e n t a u jo u rd ’h ui un cun 5.000 fr. : 55.652, 204.380, 345.640, ta n t '’e la « note », m ais on prom et des postes et en ont chassé les em polonaise av e rtisse m en t à la F ra n c e la issa n t 475.215. ' w q u e ce règlem ent ne se ra pas vain ployés tchèques. 30 numéros gagnent chacun 1.000 fr. en ten d re la possibilité d’une revision C ’est s u r ces bases q u ’on c o n tin u ’ L’Agence Ceteka com m unique de ses rapport» d ’alliée, en raiso n cie Obigations Foncières 1895 tl sff’r b e r l’optim ism e q u an t aux ré Un calm e relatif règne d ans les ré l’a ttitu d e prise p a r la F rance à l’é Le numéro 327.806 gagne 100.000 fr. s u lta ts des conversatio n s avec M Le numéro 311.753 gagne 25.000 fr. gions frontières. Cependant, les doua g a rd de» rev en d icatio n s po»onaises. C h a m b e rla in . L»' numéro 72.852 gagne 10.000 fr. T our a n t, on fi évité la réception niers et les gardes-frontières ont été Les trois numéros suivants gagnent TARBES. — I>e nombre des pèlerins (officielle à Cologne, ce qui indique attaq u és en plusieurs endroits p ar venant ou venus à Lourdes dépassera chacun 5.000 fr. : 281.712, 306.093, 3^.851. (déjà oruelques h ésita tio n s et quelques des bandes d ’ém eutiers. Oq ne s i pour 1938 1.500.000. 50 numéros gagnent 1.000 francs. gnale aucune victime. fcppréh entions* f ON CAUSE... SUCCÈS ! SUCCÈS ! V X — à Clermont t SUR LES AILES DE LA DANSE avec Fred Astaire, Ginger Rogers, le couple le plus aimé de l’écran Une m agnifique réalisation : T U N N E L ---Lee deux grandes vedettes françaises Jean CABIN — Madeleine RENAUD Dernières actualités Pathé-Journal SALLE CLIMATISÉE Fédération Républicaine et du Massif Central Sodale PARTI REPUBLICAIN FEDERAL DU PUY-DE-DOME CONGRES^ CANTONAL D’ARDES-SUR-COUZE NOVELTY au O Un grand film Inédit LK SPECTACLE DONT TOUT LE MONDE PARLE LE DIMANCHE 25 SEPTEMBRE VOLEUR DE FEMMES Un appel signé de MM. Auguste Val lon, conseiller d ’arrondissem ent e t Audié de Maitiargues, président de la sec tion d’Ardes-sur-Couze, invite les adhé rents et les sym pathisants du P arti Républicain Fédéral à assister au Con grès cantonal que le P arti tiendra à Ardes-sur-Couze, salle de la Mairie, le dim anche 25 septembre, à trois heures de l’après-midi (heure légale). Prendront la parole : MM. P ierre Gendre, négociant, con-^ seiller m unicipal de Clermont-Ferrand : Votre Fédération et le P etit Commerce. Docteur Marc Blatin, membre du Co mité directeur du Parti : Le franc et notre agriculture. Peut-on les sauver ? Robert Thomas, secrétaire général du P arti : Le rôle utile et opportun de no tre Fédération. Jacques Bardoux, membre de l ’Insti tut de France, président de la Fédérat:on • La situation politique. Le secrétaire fédéral des Jeunesses Républicaines Nationales du Puy-de-Dô me, M. Charles Juilhard, sera présent et prendra contact avec les jeunes qui sont, eux aussi, cordialem ent invités. R éalisation d ’Abei GANCE, d ’ap rès le ro m an de Pierre FRONDAIE, avec JULES BERRY ANNIE DUCAUX JEAN MAX, 8ATURNIN FABRE et MARIE LOU UN POINGC’EST TOUT Supercomédle am usante et sportive Les dernières Actuaires PARAMOUNT CHAQUE LUNDI NOUVEAU PROGRAMME DEMAIN CAPITOLE SAMEDI, MATINEE AVIS D’OBSEQUES Mme BARTHELEMY, et toute la famlUe, prient leurs amis et connaissances de bien vou loir assister aux obsèques de Monsieur Antonin BARTHELEMY « RIALTO UN FAMEUX SPECTACLE Charles Boyer, Michèle Morgan Lisette Lanvin -J.-L. Barrault SALLE MODERNE, CONFORTABLE ! PROJECTION IMPECCABLE ! QUALITÉ DU SON SANS ÉGALE . dans la pièce d ’H enri BERNSTEIN A partir d’aujourd’hui, en matinée 2 GRANDS FILMS FRANÇAIS INÉDITS A CLERMONT ORAGE UN AN L« quintuplé le plus Irrésistible i SOUS L’OCCUPATION Duvallès, Cordy, Félix Oudart Etchepare et Pauline Carton » — DANS — LES GAITÉS DE L1EXPOSITION l ’r . T - e t ’ p i e ™ S SPIN E lLy et Lucien NAT 0* n’eet pae un film de guerre S u zanne DEHELLY et Victor BOUCHER dan» C H I P É E ---Un film follement gai qui n ’a d’autre prétention que d’am user 1 A partir d’aujourd’hui Changement de programme^ __ AVIS. A d re ss e z-v o u s en p erso n n e à vos clien ts en fa is a n t de la p u b lic ité d a n s les jo u rn a u x I TOUS LES JEUDIS EN MATINÉE décédé le 21 septembre 1938. dans sa 81» année. Les obsèques auront lieu demain samedi 24 septembre 1938, à huit heures du matin, en l’église des Minimes. Réunion à la . maison m ortuaire, 31, rue Fontgiève Pas de couronnes. / | AVIS D’OBSEQUES A AUBIERE Mme veuve FRANCIONE et ses enfants ; 1C et Mme CHALAMAUD-BAYLE. représentant ; Mme veuve CHOSSIDON-PLANCHE, ses en fants et petlts-enfants, et les familles PLANCHH et BOUFFARD. et toute la famlUe, ont le douleur de vous faire p art de la perte cruelle qu’ils viennent d’éprouver en la personne de Madame veuve CHALAMAUD Née Maria PLANONS leur mère, belle-mère, grand-mère, soeur, tanta, cousine et parente, décédée dans sa 11* année, munie des Sacrements de l ’Eglise. Et vous prient de bien vouloir assister a u obsèques qui auront lieu demain samedi M sep tembre, A dix heures en l'église d’AUBURE. Réunion maison m ortuaire, 14, rue de Oler« mont. AVIS D’OBSEQUES A RIOM Mme veuve Emile CLUZEL ; Mme Amsbls CLUZEL ; Mme et M. Ferdinand CLUZEL, leurs enfants et petlts-enfants, et toute la famUle, ont la douleur de vous faire p art de la perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la per sonne do Monsieur Emile CLUZEL CINEM0NDE — PERMANENT — SE PLACE CETTE SEMAINE | DE LA B O NN E HUMEUR S O U S LE SIGNE HENRY GARAT et JEANNE AUBERT d an s LA SOURIS BLEUE avec Mireille PERRSV, Péllx OUOART, Monique ROLLAND, Robert ARNOUX, PIZELLA et Marcelle PRAINCE « Danse... C hant... M usique... » « C’est un e cu re d ’optim ism e » VICTOR BOUCHER d a n s son m eilleu r film BICHON la célèbre pièce de Jean de Létrax avec Marguerite DIVAL, Marcel VALLÉE et Jeanne «-OURV c réateu rs de la pièce à P aris, au T h éâtre de la M ichodière, avec River» Cadet et Dolly Davl» Menuisier Anolen combattant leur époux, fils, frère, beau-frère, oncle et pa rent. décédé à Rlom, le 22 septembre 193S, dans sa 63* année, muni des Sacrem ents da l'Eglise. Et vous pr.ent de bien vouloir assister aux obsèques qui auront lieu demain samedi 24 sep tembre, neuf heures trente, en la basilique da Salnt-Amable. Réunion malson mortuaire, faubourg de Mosac, n* 30, à neuf heures quinze. t AVIS D’OBSEQUES A BRIOUDE ET CHAMALIERES (Puy-de-Dôme) Mme Antoine CHAMBRLARD ; M. et Mme Paul CHAMBRLARD et leurs enfants ; Mme et M. Henri PINOEOT et leurs enfants ; Mme et le docteur Maurice JEAN et leurs enfanta ; Mme et M. François HUE et leurs enfanta ; leur famille et le personnel de la Société Paul CHAMBRLARD, ont la douleur de vous faire p art de la perte cruelle qu’ils viennent d'éprou ver en la personne de , Monsieur Antoine CHAMBRIARD R evue d es Jo u rn a u x L* Ru s a . e RHeHPEUTRM. n e v e u t n Ä - nd'aaJ 8sraa 7 o u ^ ,;f c eondse fant’e d une révolution universelle, fille ne a euerre - ne voulait que nous talKnttro mais enfin, aurait-elle eu la v o lo n té de™e battre que c'était là une rsràï nn l’air sans chair ni muscles, une^ espèce de peüte extase militaire, bonne à faire sourire les vrais soldats. C’iasÏÏï/eU e ne peut pas actuellement venir aS secours <fe la Tchécoslovaquie, v niià le fait- Conséquence . Si iam ais un péril grave m enaçait ^ . n « France la Russie des Sovféts — même s i ’ la Tchécoslovaquie dem eurait ce qu’elle était hier - ne pourrait pas nous aider. LES GREVES ET LE PERIL EXTERIEUR l 'intransigeant (Gallus). Hier, deux mille m ilitants syndicaux jf./naoîS narisienne se sont réunis rue d Angou lème. Us constituent les cadres des syn dicats ouvriers. Or ils ont demandé « qu’une action internationale des tra vailleurs » s’exerce en faveur de la Tchécoslovaquie. Ils ont même dé « que des contacts Q u e n t s soient établis par le soin de délégations en tre les travailleurs de Prague et ceux de P aris ». , Ma foi, nous le demandons aussi. Car il est bien évident que les travail leurs de Prague répondraient à ceux de P aris : Camarades, si vous V0UJ£Z der notre pays commencez par ne pas affaiblir le vôtre. Pensez-vous que, pour intim ider un adversaire aussi ré solu que celui qui nous menace- il soit bon de déclencher des mouvements de grève et de vous livrer à des luttes in testines T Camarades, nous avons lu Li PUBLICITE que votre gouvernement se voyait con train t de réquisitionner tous les chan tiers da travaux et de fournitures con cernant la défense passive. Vous em ployez d ’étranges moyens pour vous préparer à la résistance. Ici, nous som mes également partisans des grands principes, des conquêtes sociales et de tout ce que vous croyez défendre. Mais il y a temps pour tout. Il s’agit en ce moment d ’autres * conquêtes ». Vous vous proposez de nous assister, et il nous semble bien que, sans vous en rendre compte, vous nous trahissezVous ne oonnaissez pas les gens d ’en face. Le moindre signe de division in térieure est pour eux un encourage ment. Et la délégation rentrerait à P aris la tête basse. LE POINT GRAVE Le Figaro (W. d ’Ormesson). — Ce n ’est pas l’effondrement d ’une certai ne politique qui nous révolte. Toutes les politiques se revisent. Aucune n ’est éternelle. Non, ce qui est (pave, im pardonna ble, c’est 1 imprévoyance, la légèreté, l’incurie, les contradictions surtout avec lesquelles, depuis longtemps — et surtout depuis le 7 m ars 1936 — on nous a laissé glisser vers cette épreu ve sans rien faire à temps pour la conjurer et où tout d ’un coup nous nous sommes trouvés placés devant l’alter native soit de la guerre, soit d ’une né gociation précipitée, donc lamentable... La paix, oui, il fallait — il faut tou jours la sauver. On n ’a pas le droit de jouer sur un coup de nerfs le sort d ’u ne génération. Mais m aintenant que toutes les lim i tes sont atteintes, ce qu ’il faut sauver c’est une civilisation que nos faibles ses internes, notre manque de pré voyance et notre Incapacité d ’agir au moment opportun n’ont pas su défen dre. DE & L’AVENIR Ancien Industriel Anolen président du Tribunal de oommerse de Brloude leur époux, père, beau-père, grand-père et pa rent, décédé, muni des Sacrements de l'Eglise, le 21 septembre 1938. dans sa 82* année. Et vous prient de bien vouloir assister aux obsèques qui auront lieu en la basilique Salntjulien de BRIOUDE, demain samedi 24 septem bre, à neuf heures trente. Réunion k la malson mortuaire, 3, avenue de Clermont. L’Inhum ation au ra lieu à CHA MALIERES (P.-de-D.), le même Jour, à quatorze heures. NI fleurs, ni couronnes t AVIS D’OBSEQUES A 8AUVAGNAT-8AINTE-MARTME Mme et M. Joseph MELUT et leurs enfanta ; Mme et M. OOURMIER-MELUT et leurs en fan ts ; Mme et M. JOURDAN-MELUT et leurs enfants ; Mlle Marie MELUT ; Mme veuve CHAUTARD ; les famille» COSTILHE». MELUT et MARQUET. ont la douleur de voua faire p art de la perte crueUe qu’lla viennent d'é prouver en la personne de Madame veuve MELUT NéO Eugénie OHAUTARD leur mère, belle-mère, grand’mèra, arrière» grand’mère, belle-sœur, tan te et cousine, -*•*--* dée à Bauvagnat-Salnte-Marthe. le 22 — bre 1938. è l'Age de 18 ans. Les obsèques auront Heu en l'église de «AUVAONAT-SAINTE-MARTHE, demain samedi M septembre, à dix heures • Réunion maison m ortuaire, à VENET, com mune do Sauvagnat. L* présent avis tient lieu de faire-part. ^ OFFICE ANNIVERSAIRE M. BERNARD, ses enfante, et toute la fa mlUe, vous prient de bien vouloir assister à l’office anniversaire de Madame BERNARD Née OOMPAONON qui sera célébré demain samedi M ssptsmBu * A huit heures, en l'église Saint-Eutrope. REMERCIEMENT« M Jean LACOMBE ; Mlle M&rle-Jeaaae la OOMBE. et toute la famlUe. remercient btea sincèrement toutes les personnes qui leur ont témoigné de la sympathie dans la douloureuse circonstance du décès d» Madame Jean LAOOMBE Née Jeanne AUDIOIER L'AVENIR DU PLATEAU CENTRAL ETAT CIVIL DE CLERMONT-Fd du 22 spptem bre 1938 Naissance«. — R ay B erthe-A ntolnetteMarcelle. — C apitan Jean-Denis-V alentin-M arie- — M alfreyt D anielle-M arie. — V idal Roger-Léon-Antoine. — G agnlèro G eorgette Jeannln e. — T h la llle r AndréLéon. — B ouvard A lain-P D rre. Déoès. — B arth élém y A ntonln, 80 ans, 87. rue Fontglève. D A N S LE P U Y - D E - D O M E Les Pèlerinages d’Auvergne Notre-Dame de Baron F avorisée p a r u n tem p s splendide, la fête de Notre-Dam e de B uron s ’est dé roulée, d im an ch e d ern ier, a u m ilieu sio n avec la concours de la « S aintd ’u n e affluence p lu s considérable e n M aurice ». core que les an n ées précédentes. A 16 heures : Défilé des sociétés de Les diverses cérém onies de la Journée Etat civil de la sem aine. — N aissan o n t été présidées p a r M. le ch an o in e Un oonoert de gala par la Fanfare gym nastique : la « aintrM aurice » de ces. MONTFERRAND — Houx Sunone-G erm aine-M arL estrade, d irecteu r des Œ uvres, assisté des trompettes de« Prévoyants de l’Ave Vollore-Viile e t 1* « A vantrG arde » de celle. — S alan d re Miclielle. de M. l ’abbé M agaud, curé de P aren t, ETOILE-PALAOE - MONTFERRANDI nir. — S am edi soir notre excellente fan Coui*plère. P u b licatio n de m a n a g e . — M. PersoDépôt d ’une gerbe de fleurs a u M onu et de M. l ’abbé L avergne, vicaire à Le g ra n d succès po p u laire du rom an | fare d o n n ait, sous la d irection au to haye A ifred-H enri, à C herbourg, et M1.« Royat, a n im a te u r très dévoué du sanc risée de son chef, M. J. D urognon, uii m ent aux Morts. D essaigne Yvonne-Cajnille, sage-fem m e A 16 h. 30 : Séance de gym nastique tu a ire de B uron. De no m b reu x p rêtres concert de g a la a u kiosque de la place dans la cour de l ’écoie libre de g a r à Issoire. o n t ég alem en t p ris p a rt au p èlerinage, avec FLORELLE, GABRIO, AZAIS D uchasseint. Vendredi, Samedi, en soirée 20 h. 45 n o tam m en t M. l ’abbé Clém ent, assis A ce concert, les divers m orceaux im çons. Comme les an n ées précédentes, Pharmacien de garde. — P o u r d im a n Dimanohe m at. 15 h., soirée 20 h. 45 ta n t ecclésiastique d e s œ u v res de Jeu posés a u Concours In tern atio n al de Vi cette fête no-us l ’espérons, a u ra un che et lu n d i : M. M ary, place de la plein succès. Notre petite cité, d ’o rd i nes filles ; M. l ’abbé Villot, dire c te u r chy qui a v ait lieu le lendem ain dim an F E R N A N D E !. R épublique, téléphone 1-29. ETRANGER EN DEFAUT a u G rand-S ém inaire ; M. l’abbé A chard, che fu re n t exécutés en prem ière a u d i n aire si calm e, fera bon accueil aux d a n s ----Collège et Eoole primaire supérieure M a xim o ff Jean. su jet ru sse, a été curé de N onette ; M. l’abbé Jonquet, vi fo rain s e t au x nom breux étran g ers qui tion p o u r nos com patriotes. ’Issoire. — La rentré« des classes est trouve d é m u n i des papiers réglem en caire de M ontferrand ; M. l'ab b é MosUn public ex trêm em ent sym pathique vien d ro n t lu i donner un peu d ’an im a dfixée OHAMALIERE8 au sam edi 1er octobre à 8 heures. taires que doit posséder tout étranger. nier, vicaire à S aint-G erm ain-L em bron; a v a it répondu à l ’appel de la F an fare tion. En supplém ent au program m e : Il fera l'objet d e p o ursuites. L ’exam en d ’en trée en 6* e t les e x a M- l’abbé F leu ry et M. l ’abbé Sol, vi Eooie laïque. — Inscription de« élèves. et jam ais ia form ule « Les absents e u LEZOUX m ens de passage a u ro n t lieu dès ce LE VOYAGE DES SOUVERAINS caires à Saint-G enès-les-Carm es. P lu — Mme« les d irectrices et M. le duréeren t to rt » ne fu t m ieux appliquée. En No« écoles libre«. — Le zoux a le p ri jo u r. BRITANNIQUES EN FRANCE sieu rs sém in a ristes o n t assu ré avec t«ur des écoles laïques de G ham alières effet, ta n t p ar le choix des m orceaux vilège VOLS se ro n t à la d isposition d es p a re n ts p our d ’ a v o ir d eu x écoles libres qui soin l’o rg an isatio n m atérielle du pèle BESSE exécutés que p a r la qualité h o rs p a ir sont en m êm e tem ps p en sio n n at et ex les Inscriptions des n o u v eau x éleves, La no m m ée M ... G ilberte, 28 ans, rin ag e. de l’audition elle-m êm e ce concert peut te rn a t : l ’école T aunn-D ufresse pour Rentrée de» classes. — L ’école Notrele sam edi 24 septem bre e t 1« vendredi fille soum ise, a volé récem m en t u n Dès le m a tin , les fidèles des environs 8auterie du F. C. Riomois. — D an être considéré comme le m eilleur q u ’il les garçons, l’école d u S acré-cœ ur Dame se fait un p la isir d ’a n n o n cer que couteau de poche et quelque» m enus a rriv a ie n t à la chap elle p o u r les m es 30 septem bre, de 15 h. à 17 heures. Il seuses la ren trée des classes, in te rn a t et et dan seu rs, dim anche 25 sep nous fut donné d ’ap p la u d ir a u kiosque pour les jeu n es filles. objets. Une de ses collègues, la fille ses de com m union, célébrées p a r M. est indispensable de se m u n ir d u liv ret depuis de nom breuses années. externat, est fixée au 3 octobre. Comme Les ta rifs les plus réduits, m algré H... Angele, a elle aussi dérobé une l’abbé L avergne et M. l ’abbé Sol, ta n de fam ille ou d’un b u lletin de n ais tem bre, le F. C. R iom ois org an ise pour L’a u d itio n com m ença par un pas re vous la prem ière sauterie de la saison. l’ascension constante d u prix de la p a r le passé, les en fan ts tro u v ero n t som m e de 100 francs et des pièces d 'i dis q u ’une longue file d ’au to ca rs am e san ce d e l'en fan t. doublé, D upleix, bien enlevé e t im m é De 15 heu res à 3 heu res du m atin, diatem ent on e n tra d a n s la difficulté .vie, sont appliqués a u x pensionnaires au p rès de leurs dévouées m aîtresses, dentité. Après avoir été interrogées par n aie n t Ju sq u ’à l’e n trée du village, fleu ORCINE8 avec l ’éducation religieuse, l'in stru c salle de la rue D aurat, le « Sym patic- avec M. B ernard, chef de la Sûreté, elles ri et pavoisé, près de deux cents pèle Polonaise de Concert de F. An- pour une n o u rritu re saine, abondante tion la m eilleure ; un cours su p é rie u r Syndicat de» Producteur* de Jazz », au rythm e endiablé, exécutera drieu.la Ce et une vigilance attentive de tous les ont été présentées a u Parquet. rin s clerm ontois. m orceau qui, le lendem ain, est m êm e prévu. Les succès des ann ées A 11 h eu res, u n e foule dense et re Tous les adhérents a u S y n d icat d O r- les d ern iers succès du jazz. d ev ait valoir à la société les félicita instants. Les nom breux succès obtenus chaque précédentes nous sont un sû r g a ra n t cueillie assiste à la g ra n d ’messe. La cines sont in v ités à se ré u n ir à la m a i A ttraction sen satio n n elle 1-.. P o u r la — PASSE — PRESENT — AVENIR — ch o rale d ’hom m es et de jeu n es gens de rie d im an ch e 25 septem bre, à 11 heu prem ière fois à Riom, en exhibition le tions d ’un ju ry p articu lièrem en t choi an n ée a u brevet élém entaire et aux d« ceux à venir. si, fu t très ap p lau d i p a r nos com pa Saint-A m ant-T allende, accom pagnés à res, pour ex am in er et d o n n e r leu r avis « d ern ier né » de la danse : le « L am triotes. M argarette, un boléro très g ra certificats d ’études (libre e t officiel) l ’h a rm o n iu m p a r son présid en t, M. An s u r 1 o rg an isatio n de la p roduction la i beth W alk « Oï ». cieux vint en su ite et nous perm it d ap nous d ispensent de faire l ’éioge de 1 2 , rue Massillon,. 1 2 (p rem ier étage) to n in T ixier, exécute le pro p re de la tière dans le dép artem en t. précier à leur valeu r la sonorité de nos l’enseignem ent qui y est distribué avec AIGUEPERSE M. B run, tré so rie r de 1 U nion, fera m esse * S alve S an cta P a re n s », et a lte r trom pettes san s oublier le soliste hors a u ta n t de com pétence que de dévoue CLERMONT-FERRAND ne les c h a n ts de l ’O rd in aire avec l’a s une conférence à ce sujet. AUBIAT. — Fête patronale. — La fête p air, q u ’est (M. Guenon. Avec Collines m ent. En raison de l ’im p o rtan ce de cette p atro n ale de la section de P e rsig n at boisées de G adenne, nous retom bions A joutons à cela une éducation soi sistan ce, en traîn é e p a r le» A lou*nNOIRÉTABLE d'A uvergne. D’excellents h au t-p a rleu rs réunion, spécialem ent o rg an isée po<ur est fixée au dim anche 25 septem bre. DANS LE MONDE d an s la m usique ue concours avec tou gnée a u point de vue m oral et re li la défense des in térêts des pro ducteurs perm etten t à tous ceux qui occupent A cette occasion, g ran d bal, sous p a r tes ses difficultés. Les applaudissem ents gieux ; on y form e non seulem ent des Accident d’autos. — De passage d an s — Dites donc . doit-on dire u n ou une tes alen to u rs de la chapelle de suivre de lait, la présence de tous est indis intelligences, m ais au ssi et su rto u t des quet-salon, avec le concours d ’u n chaleureux qui su iv iren t l ’au dition, notre vihe, vendredi dernier, les au to sandu'ich ? p a rfa ite m e n t la cérém onie, et d ’en ten pensable. orchestre réputé. T irs, loteries. m o n trère n t à nos trom pettes que le p u âm es chrétiennes e t des consciences m obilistes R oger E dgar et Rouchouse, — Mai, ça m 'e st égal ; je dis tou droites. d re l ’allo cu tio n prononcée à l’Evangile La Jeunesse des environs est cordiale blic a v a it apprécié leur très gros effort. PONT-DU-OHATEAU de S aint-É tienne, a lla n t en sens in v er jours : P assez-m oi trois sa n d w ich s, i p a r M. le ch an o in e L estrade. La ren trée des classes dans les deux se. ne pu ren t fra n c h ir le to u rn a n t d it Une valse Sous Bols et u n d e rn ie r pas Conseil municipal. — Le 13 septem bre m en t in v itée à v en ir s ’y divertir. p ensionnats-externats a u ra lieu le d i « Chez-B aratin » sa n s s ’accrocher, R etraç a n t l ’h isto ire du culte de la redoublé, R etour du Ilavre, term in èren t MONTAIGUT m anche so ir 2 octobre pour les pen S ain te V ierge en A uvergne, l ’o ra te u r le Conseil m u n icip al s ’est ré u n i sous de belle façon ce m agnifique concert. HISTOIRE DE CHASSE A cause de la m auvaise visibilité à exhorte les p èlerin s de B u ic n à rester le présidence de M. le d o cteu r BesSAINT-ELOY-LES-MINES. — Etat oivll Félicitons n o tre F an fare pour les gros sio n n aires et le lu n d i m atin 3 pour les cet endroit, une collision eut lieu entre Ces cinq chasseurs p a risien s, assez fidèle-s à u n e tra d itio n aussi précieuse, serve, m aire. externes. (du 1 «t au 15 septem bre). — N aissan progrès q u ’elle a réalisé depuis quel Lecture est donnée d u procès-verbal les deux voitures qui fu ren t endom m a u va is tireurs, abordèrent, l'autre et il le u r ad resse u n ém ouvant appel Le bal de « La Fraternelle ». — La m agées. m a tin vers sept heures, cette p laine de à la confiance, p lus nécessaire que ja de la d erniere réu n io n . P u is les ques ces. — W ojcieszak S téphanie, rue Jules- ques années et qui sont l ’œ uvre de son la Sologne, non loin de B om orantin. m ais en des h e u res p articu lièrem en t tions su iv an tes portées à l ’ordre du jo u r Guesde. — P etitallo t Jacques-R ené, au directeur, M. D urognon, qui ne regrette société de gym nastique et sports : « La F ort heureusem ent, il n ’y e u t que des T helx. — M ichaut M arinette, cité de ni son tem ps, ni sa peine pour donner F ratern elle », d o n n ait dim anche d er A onze heures, ils n 'a va ie n t pas en som bres. o n t été étudiées : à notre ville une société que l’on peut n ier son b al annuel. Et dès les prem iè dégâts m atériels. la Côte. coure réussi à abattre le m oin d re gi A ssistances p o u r 1937. — Les charges P u is la procession trad itio n n elle s’é Réunion de la J. A. C. du canton de Décès. — CharvITlat Frédéric-A ntoine, considérer comme une des m eilleures res notes attaquées, • une trè s nom bier et m u rc h u itn t fo rt penauds ! Sou b ran le, suivie p a r cinq à six cents fi d ’ass.stan ce p o u r 1937 s ’élèvent à : breuse assistance a fflu a à n o tre salle Noirétable. — Tous les jeu n es a g ric u l dain, d cinqua n te m ètres, u n lap in dèles, p a rm i lesquels on rem arq u e le 24.778 fr. 40, l’E tat et te d ép artem en t époux de B ouculat Anaïs, 55 ans, route fan fares de trom pettes d u m om ent. teurs du canton so n t invités expressé Le ooncour» de Vichy. — Il fut com des fêtes de la M aison du Peuple. bondit dans L'herbe... Cinq coups de fu groupe de la F édération Jean n e-d ’Arc, y p a rtic ip e n t p o u r 50 %, le contingent de la Chaux. — M eunier F rançois, L’orebestre é ta it excellent, au ssi le m ent à se rendre aux ré u n io n s qui se sil claquèrent en m êm e temp$ et fo u celui des catéchistes m issio n n aires, une com m unal reste donc à : 12.389 fr. 20. époux de O livier M arie, 70 ans, route me nous nous y attendions, u n vérita droyèrent l'anim a l. A ssurances accidents. — Les in dem des Bayons. — B eaulaton Jean-Joseph, ble triom phe p our nos trom pettes, en bal fut-ij plein d ’en train . T out co n tri tiendront sam edi 24 et dim anche 25 repim posante d élégation de S œ urs de StAlors, l'u n des nem rods, qui le ra V incent-de-Paul et un groupe com pact nités d u es a u x v ictim es d ’accidents du époux de B arthoux Angèle-Em ilie, 59 effet, la lecture du palm arès est éd ifian b u e à en faire une très agréable soi tem bre. Sam edi 24, rendez-vous au Collège m a ssa it, assez « serré » et songeant d ’hom m es et Jeunes gens. La statu e >st tra v a il, a y a n t été sen sib lem ent a u g ans, au P u y -B errard . — Bonne Jeanne, te, nous y relevons les prix su iv an ts : rée : les belles toilettes, la g aîté et lw prix de lecture à vue avec un m ax i la bonne c a m a rad erie qui ne cessèrent des Salies. Tu se ra s accueilli d an s la a u x cinq cartouches (7 fr. 50 exacte portée p a r les Jeunes filles d ’Yronde m entées p a r la loi du l«r ju illet dernier, veuve de G aillard Michel, 75 ans, route d ’y rég n er ainsi que la tenue irrép ro cour. A 19 heures : Repas et veillée m e n t usées pour u n seul lapin : la Com pagnie d ’assu ra n c e s q ui couvre des B ayons. — P eyronny M adeleine, m um de 30 points. et Ruron. , Un l*r prix d ’exécution avec un m a x i chable de tous. Il ne se term in a q u 'au x sym pathique. Coucher. — Dire que p our ce prix-là il n ’est Aux accents des can tiq u es de L our les em p.oyés co m m u n au x s o lic ite une célibataire, 68 ans, à V irlet. — P âtre prem ières lu eu rs du Jour, aux gran d s m êm e pas... « enveloppé » ! D im anche 25 : A 7 heures, m esse des, du c h a n t Joclste, et de « P arle, au g m en tatio n de 35 % de la p rim e d 'a s Jeanne-M arie, célibataire, 18 ans, rue m um de 30 points. Avec félicitations du ju ry a u direc regrets des nom breux dan seu rs encore dialogué-e chantée et com m entée. Dé com m ande, règne », le pieux cortège su ran ce, à p a rtir du 1er ju ille t 1939. Jean-Jaurès. — M artin Jean., époux de présents. teur, un prix ascendant, désorm ais ia p arc o u rt les ru e s du village, et rev ien t Le C onseil m u n icip al to u t en reco n n ais P éro n y M arie, 70 ans, cité de la Côte. jeu n er. société est classée en division su p érieu Aussi pouvons-nous écrire que le bal Confias vos dém énagem ents A à la chapelle, où a lieu la v én ératio n s a n t le légitim ité de cette au g m en tatio n 9 heures, cercles d ’étu d es avec Félix M ariages. — Labbay Jean-M arie et re, prem ière section. de « La F raternel« » peut être m is a u Senthiom e, détente su r les terrasses. des reliques. espère que la C om pagnie d ’a ssu ran ces B eaune Yvonne. — Lopez*José et Mu La société des T rom pettes de T hiers ra n g des belles m an ifestatio n s de l’a n A 15 heures, les vêpres de la S ainte vo u d ra b ie n co n sen tir u n ra b a is e t lui noz Rosa. — C hardonnet Jean-M arie et 11 heures, éch an g e de vues p ratiq u es rem porta au ssi le prix de bonne tenue, née. Vierge rassem b len t de nou v eau les pè offre 25 %. su r l'o rg an isatio n d u secteur. Spécialiste D um as M arguerite. prix spécial affecté à la société qui se Convocation du Conseil municipal. — lerin s à la chapelle. En une brève allo 12 heures, dîner, pick-up, jeux visite Jeux su r la place de l’Air. — M. le Publication.' — Déblton Jules, ouvrier p résen terait le m ieux au concours et au PARIS = cution. M. l ’abbé V illot leu r dem ande ré sid e n t e n possession d 'u n e dem ande serru rie r, rue Jean-Jaurès, et M atigner défilé. Notre société thiernoise fut en Le conseil m un rin a l de la com m une .« de l’o rg an isatio n agricole de m aison. Lezoux est convoqué en session o rd i — AUVERGNE d ’em p o rter de B uron u n accroisscm cni Pd'em 14 h 30, cercles d ’études, discussion placem ent p our u n jeu de boules A lfrédine, s. p., cité de la Côte. outre désignée p our donner, au lieu et n aire pour le dim anche 25 septem bre, 1 /2 T a r i f de dévotion à M arie, et le u r m ontre su r la dite place, fa it re m a rq u er que place de la (Musique m ilitaire de l’Air à 10 heures, dans la salle ordinaire su r le tra v a il Je l’année et le 10e a n n i com m ent cette dévotion doit se trad u ire SAINT-GERVAIS Départtfi Paris y Cltram: cîuqis aiard v ersaire de la J. A. C. à P aris. cette p'.ace a été réservée de tous tem ps un concert qui fut suivi, le soir, p ar de ses séances. d a n s le u r vie quotidienne. 6 heures, cérém onie d ’adieux. CHARENSAT. — Grand bal. — L'Am i plus de 6.000 spectateurs et diffusé par I.e salu t du S ain t-S acrem en t, an cours aux m am an s, en fan ts, v ieillard s et à Objet de la séance : D ésignation de P rix de la p articip atio n , 10 francs. duquel les voix fortes et bien exercées toutes p ersonnes v o u lan t g o û ter du cale Laïque de C harensat organise pour les postes d ’Etat. six délégués sénatoriaux et de deux D evant un pareil triom phe nous léli- délégués suppléants (arrêté préfectoral Les adhésions seront reçues ju sq u ’a u des c h a n te u rs de S aint-A m ant font en repos et p ren d re l ’a i r e n toute sécu le dim anche 25 septem bre prochain, 23 septem bre, p a r M. C harles Pilon13, rue St-Ccorgcs, Paris (9•) ten d re n o tam m en t le « Salve, pie Jesu » rité e t tra n q u illité , le C onseil se range salle des écoles de g arçons un g ra n d cito n s très chaleureusem ent notre am i du 16 septem bre 1938). cherv. au x Salles. et u n « T an tu m » à d eux voix, clôture à so n a v is et décide q u ’u n arrêté soit bal. A cette occasion la direction, s ’est M. D urognon, chef de m usique hors 8AINT-RÊMY-SUR-DUROLLJE im m éd iatem en t y in te rd isa n t for assu rée u n orchestre de choix d o n t p a ir et tous ses m usiciens et souhaitons L ’Illustration publie cette sem aine un la p a rtie litu rg iq u e du p èlerin ag e. M pmris Rentrée des classe«. — Les parents ellem ent to u s jeu x de boules, de bal fa it p a rtie le virtuose accordéoniste que les T hiernois n ’atten d en t pas tro p Nos Société». — Le dim anche 2 octo numéro p artic u liè re m e n t docum enté le curé de P a re n t rem ercie to u s ceux lons ou a u tre s, ain si que les acrobaties trè s connu de tous les postes radiopho- longtem ps l’occasion de les ap p lau d ir bre, à l ’occasion de la fête de la Saint- sont inform és que la rentrée a u P en a u r les problèm es de l’actu alité, avec qu i on t contribué à en a ss u re r le suc sionnat Salnt-C narles, école de filles, d es cyclistes. P o u r d o n n e r u n e suite n iq u es d ’E tat, G aston iRlvière. com m e ils le m éritent. Rémy, la société de gym nastique l ’Es a u ra lieu le vendredi 23 septem bre, u n a rtic le de L. N audeau : Après l'u lti cès. Mais, su iv an t une tra d itio n déso rm ais favorable à la d em an d e de la société, Examens Pigler. — Voici les résu l pérance d o n n era, d a n s sa salle, son a u m atin. ------------m a tu m de N urem berg. bien établie, l’Action C atholique a sa il lui e st acco rd é bénévolem ent et ta ts d ’exam ens o btenus a u co u rs de g ran d bal annuel. Que doit-on penser du Racism e ? place d a n s to u tes nos g ran d es m an ifes tem p o rairem en t u n em placem ent côté l ’an n ée ju ille t 1938, sous le p atronage C ham berlain l'Européen. L’o u verture du bal se fera à 20 h. 30, *ud de la place Cottier, m aie il dem eure ta tio n s relig ieu ses ; au ssi M. le c h a de M. Fonte-nille, p résid en t de la C ham avec le concours d ’u n de noa m eilleurs seront donc larg e m e n t sa tisfa its et n o u s L a T chécoslovaquie pourrait-elle ré e n ten d u que la société p lace ra une no in e L estrade et M. l’abbé C lém ent bre de Comm erce. sister, seule, à une attaque a llem a n ne doutons p a s d u succès com plet de Jazz. ont-ils o rg an isé u n e ré u n io n en plein clôture autouT de so n Jeu, afin, d ’év ite r D iplôm es décernés p a r la commission, de ? etc... A m ateurs dp dar.»« e t de m usique cette soirée. En ru b riq u e cin ém ato grap h iq u e d e su a ir p o u r les leunes filles de la F é d éra to u s accidents. de P aris, 53, ru e de Rivoli. C irculation d es v o itu res les Jours de perb es prises de vues d u film Trois tio n Salnte-Jeanne-d'A rc, n o tam m en t Téléph. 1-14 D iplôm e de stén o g rap h ie (100 m ots). Valses a t to u tes les ru b riq u es h ab i p o u r les Jacistes, les E n fa n ts de Ma m arché. — P o u r év iter to u s accidents — Mlles Debizet Gabrielle, D egoulange rie et les Joclstes, que la pro x im ité de la circ u la tio n d es v o itu res do toute» tuell««. M arie, P rad el M auricette, P ouzet MarieVendredi et Samedi, soirée 20 h. 30 le u r m aison de repos de P a re n t a v a it so rtes se ra in te rd ite le s Jours de m a r A., S a n n a ju st Ginette, V isseyrias P a u a ttiré e s à Buron. Dimanohe, 14 h. 30 et 20 h. 30 ché de 9 h. à 12 h. d a n s la ru e du lette, M om traynaud M arcelle, B ardin Cette ré u n io n se d éro u la d a n s un D octeuc-Cham bige, o ù se tie n t p rin cip a Vous lirez, c ette sem aine, d a n s Denise, G rissolange Renée, F aye M arie, g ra n d esp rit de fra te rn ité ch rétien n e lem ent led it m arché. CETTE SEMAINE : Gidon H uguette. et de com préhension m utuelle en tre les R econstruction d ’u n m u r. — Le m u r C ertificat de stén o g rap h ie (80 m ots). J.O.C.F., les J A.C F. et les div ers m ou LA MANDOLE AUVERCNATE — Mme D ucros Yvette, Mlles B arraud ents représentés. Une cau serie très de l’ancien cim etière de Salnte-M artine Concoure de Vichy. — Notre société vem é ta n t en ru in es d e p u is de nom breuses Marie, Bonne y Marie-T., Barge M ar locale d ’orchestre à plectre « I.a Man- in téresan te et p ra tiq u e fu t faite avec a î nées, le conseil m u n icip al décide guerite, T rim oulet Irène, F ournion Un film sensationnel dole A uvergnate » a p ris p a rt, le d im a n beaucoup de sim plicité et d ’esp rit apos que les en tre p re n eu rs de la localité •'3Liiy, M asdorier M arcelle, F rad al P aule, che 18 septem bre, a u C oncours In te rn a tolique p a r la présid en te des J.A.C.F, so n t invités à déposer à la m airie, Grellche Andrée, T roisville Sim one. ’F.nnezat d e v a n t les d eux cents Jeunes tional de M usique de Vichy. Ce con dfilles leu rs offres de soum ission cachetées et présentes. Diplôm e de dactylographie. — Debi co u rs qui g ro u p ait 70 sociétés de m u si charge M. l ’In g én ieu r d u Service vici M. le ch an o in e L estrade et M. l ’abbé La Scala. — Cette sem aine, su r zet G abrielle, D egoulange Marie, P ra que a été pour ce g ro u p em en t l’occa Clém ent ap rès l’appel des groupes clô nal d ’établiT les plans et devis : la s u r sion d ’un succès m a g n ilip e, q a l est tu rè re n t la réu n io n en d o n n a n t les con v eillance d esd its tra v a u x lu i se ra can- l ’é cran du ciném a, une grande produc del M auricette, P ouzet Marie-A., S an tion de W arn er Bros : « La C harge de n a ju s t Ginette, V isseyrias Poulette, fiée u n e Juste récom oense p >ur nos sym pa signes actuelles de l’Action C atholique th iq u es m usiciens m ontferrandai.s. Le b ail d u pacage de la V ortille, seTa la B rigade légère », form idable recons B ardin Demise, G rissolange Renée, e n co u rag ean t les » A louettes d'A u v er titu tio n de la fam euse charge d u 27* T ourlonias Anne-M., S au v ad er L ucienne I>es plus h au te s réco m p en ses le u r ont résilié à la fin de la prem ière période p a r FRANÇOISE AIRELLE. L anciers, en Crimée, où les 600 cav a Bonraay Marie-T., F ra d a l P auie, T ro is été attribuées, à sav o ir : 1er p rix de lec gne » à a lle r to u jo u rs de l ’a v a n t p o u r trien n ale. la rec h ristia n isa tio n de le u r m ilieu. liers de la B rigade légère réu ssiren t à ville Sim one. tu r e à vue avec 27 points, 1er p rix d ’exé Une cérém onie d ’ad ieu x se d éro u la à 8AINT-DIER rom pre le fro n t de l ’artille rie russe cution avec 27 points, le Jury le u r a C ertificat d ’études com m erciales. — h eures d a n s la ch ap elle où devait ESTANDEUIL. — Mariage. — Le devant Sébastopol. d ’a u tre p a rt décerné à l ’u n an im ité un 18 M lles P o u zet M arie, B onnay Marieêtre célébré le len d em ain , su iv an t une prix ascen d an t, qui les classe e n 1" pieuse coutum e, un office p o u r les dé 17 septem bre, en m airie d ’E standeuil, a Thérèse, P rad el M auricette, V isseyrias célébré ie m ariag e de L ina F aure, section de la 3e div isio n . funts de la paroisse, les b ie n faiteu rs été Gonseil municipal. — La séance à P aulette, M ontraynaud Marcelle, S an fille de M. M arius F aure, m aire d ’Es n aju st G inette, Faye M arie, T roisville e La M andole », p o u r son p rem ier de la chapelle et les a n c i e o s pèlerinstan d eu il, et de Ju liette Laroche avec laquelle il sera procédé à la nom ina concours a donc obtenu un ré su lta t un pittoresque article d'ELSA MORNAY, Belle et réco n fo rtan te Journée, qui M. P In itran d Benoit, fils de Mme veuve tion des délégués sén ato ria u x a u ra lieu Sim one, Debizet Gabrielle. m agnifique. Nos Jeunes ex écu tan ts (la In sp irera sans doute à beaucoup de ceux dim anche 25 septem bre, à 10 heures, Union Philharmonique. — Les cours m oitié ont m o in s de 16 an s) bien en ca qui ne co n n aissen t p as B uron la réso P in tra n d , de Jalatogne, com m une d ’Es d an s la salle de la Cham bre de Com de solfège et d ’in stru m en ts recom m en et d es contes d e MARINA PAUL-BOUSQUET, tan d eu il, em ployé d es ch em ins de fer, drés p a r les m em bres fo n d ateu rs de la lution d ’y v e n ir l’a n p ro ch ain . ceront le jeu d i 6 octobre 1938, et au ro n t m erce. CLAUDE J A N , etc... dom icilié à M ontereau. société ont prouvé l ’excellence de l ’in s GUNLHAT lieu tous les lundi et m ercredi <:e La cérém onie civile fu t présidée p ar tru c tio n m usicale di nnée d a n s ce g ro u chaque sem aine à 19 h. 30, salle de M. G attier, adjo in t. Les tém oins é ta ie n t AUZELLES. — Election complémen pem ent. Ainsi q u e d e précieuses rubriques M. F a u re Antoine, n égociant à Saint- taire. — P a r arrêté de M. le sous répétition, place de la M airie ; se faire Une au d itio n des œ uvres m u sicales DidieT-sous-Riverie (R hône), oncle de préfet de T hiers, du 20 septem bre in scrire chez le directeur, 16, rue qui nous ont v alu un au ssi n et succès d e C o n s e ils p r a t i q u e s : s u r les sociétés concurrentes, sera don Société do Mcour» m u tu o li «t Amical« d u la m ariée, et M. P in tra n d Annet, frère 1938, les électeurs de la com m une d ’Au- Auguste-Dum as. n é sal.o Poly d a n s un de nos p ro ch ain s Coloniaux «t T .O .l. du Puyd«-D ôm « (Lea du jeu n e m arié. Ecole municipale mixte de musique. zelles sont convoqués pour le dim an Marsouin«). — Dans sa réunion du 4 sep Le service d ’h o n n eu r, était assuré che 9 octobre prochain, à l ’effet de — Les cours recom m enceront le jeudi concerts tembre 19.T8 le bureau a décidé de convoquer p a r Mlle Georgette F aure, cousine de Nos cours de m usique, solfège, m a n tons procéder à l’élection d ’un conseiller 6 octobre 1938, et a u ro n t lieu tous les sociétaires & l ’apéritif mensuel qui doline, banjo, g u itare, m andole, lu th , sera les offert au siège social, rue Ballalnvll- la m a rié e q u ’acco m p ag n ait M. Pin- m unicipal en rem placem ent de M. Gi- jeu d is de 17 h. à 19 heures, salle du com m enceront le lu n d i 26 septem bre. llers, chez Léontlne le dimanche 2 octobre tra n d Annet. Cercle m usical, m airie, 2* étage. Jeunes don, m aire, décédé. Ils a u ro n t lieu com m e p a r le passé a u x k 10 h 30- Nous prions tou« nos membres La cérém onie religieuse fut célébrée filles e t jeu n es garçons, faites-vous lieus et heures ci-dessous : Section de de bien vouloir y assister. a r l’abbé P o u m arat, curé d ’E standeuil in scrire de suite chez M. Lefont, pro et M ontferrand : les sam ed is de 13 h. à L'U nion CI«rmontol»e (Société do secours e b rilla n t cortège, composé d ’une élé des écoles rap p o rta là som m e de 100 fr. fesseur de m usique, avenue P ierre20 h., salle P a ly ; Section de la P lai mu»uals «t de retraites). — Tous les socié g ante jeunesse, d ’une foule de paren ts Aux fam illes F aure e t P in tra n d et G uérin. n e : les Jeudis de 18 h. à 21 h. au dom i taires sont priés de vouloir bien assister à et d ’am is, a p rès sa ronde eu auto, au x jeunes époux nos m eiheurs vœux. COURPIERE l’assemblée générale qui aura lieu dim an cile d u directeu r, 7, rue de la Bonté ; che courant à dix heures précises dans d an s les d ivers coins de la com m une, VOLLORE-VILLE. — Fête patronale. VIO-LE-GOMTE S ection rue A natole-France : les ven une 25 se ren d it a u je s ta u ra n t T h ia llier où un salle de la Malson du Peuple. F.n rai Salle de« fêtes - Cinéma. D im anche — D im anche 25 septem bre, a u ra lieu dredis de 18 h. h 21 h., an cien café son de l ’importance de la réunion la présen m ag n ifiq u e e t succulent repas les M I N E R V A , notre supplém ent féminin 25 septem bre, soirée à 20 h. 30 : Meg la fête de la « Saint-M aurice ». B ennegent, ru e A natole-France ; Sec ce de tous est Indispensable. atten d ait. P ro g ram m e : Sam edi soir à 20 heu tio n de C hanteran n e-L a F ontcim ag n e P e n d an t le rep a s fort b ien servi, m u l Lem onier, Lyne CleveTs, P ills et T abet res : R etraite aux flam beaux. est en vente p a rto u t: I fr. 25 le numéro. d an s une opérette viennoise : « P rin les m a rd is de 18 h. à 21 h., café F au re. tip les c h a n te u rs e t chanteuses donnè D im anche, à 5 heures : Réveil en Les in scrip tio n s sero n t reçues aux F ontcim agne ; du vice-président Cons- re n t à la soirée, une atm osphère des cesse C zardas ». Jours e t lieus indiqués ci-dessus, ainsi tan ty , 23, rue du Devoir, La P lein e ; e t nius gaies. Max IRegnier, C hrystiane Delyne, Jim fanfare. A 10 heures : G rand’messe, proces que : a u dom icile du p résident, M. Fon- du secrétaire, café M artin, 15, ru e Tu Une quête faite au p ro fit de la caisse G érald d an s « Les C onquêtes de César ». les-Guesde, à M ontferrand. lu p t, 33, allée des A bricotiers à La CLERM O N T Nouvelles =_ « G1GOLETTE » en peu de mots | _ .. s i ■■■ - RIOM IS S O IR E T H IE R S CHAMPIO REX* U .S .C . V P o u r »a pre ferran d , FA. s p ro ch ain su r _ l’U. S. C. Vich: d a n s la compé m aître, en teua lu i, 1 à 1. V ichy possèd( uant un joli asslque, son pa» assez ath lét ml ers rôles dan m oins, Vichy a cize e t dom ina seconde mi-tem à un réflexe n a rriè re s . C’est » u ltat p o u r qui lacem ent quL . re d ’équipe» 1 A prem ier» v beaucoup plue L’A. S. M. e « t son m atch c « era assez diff Son équipe m e n t dim anche céd er u n sec tem ps, a lo rs q a y a n t été blessi’ p a s m a u v a is d rer, lorsque 1’ point, u n e bor. L’e n tra în e u r l ’A. S. M. d e m n o n seulem ent m al» au ssi sui q ues p o u r que ap p a ra isse n t, 1 tie, b eau co u p ï A.S.M.-Vicny.j s e ra su iv i p a r des d eu x club-. SA MAJESTÉ GRAMD’MÉREl t3r « IG N A CE » ^ S 8 M " GERM AIN E LOIRE D ans la mêm d e rug b y pour à leu r sport fa^ ju n io rs A et . leur» ca m a re d ZAt. Prer DESBORDES S ttS K S i U. S. contre C Le 6tade de serai, dim anche ren co n tre de cl jour ses débu e» prem iers ci durolliens. Ce n ’est p o ir «enter les vish probables d u guré toujours groupem ent, il son précédente M oEtferr aidais de to u s comm-’ v o n t a ffro n ter L eu r tâch e est sn n t le u rs pose le u r public, n q u 'ils ré a lise r m anoe. . Coup d ’envoi En lever d» oentr» U. B. A { « L’ILLUSTRATION » AMBERT LA SCALA AM" RT A S M ON TFERRAN D S. contre S MI NE RVA LA CHARGE DE LA BRIGADE LÉGÈRE D im anche 25 nabOiS debuieü cham pionnat, d l ’oppoaera au â bainl-Y orre. b u t ue saison, p a s ligure de fj m oins la ire n i1 A vrai dire, le. ce n t un peu tù équipe ne peu m e ou complèi E nfin, d ’api 6» ehe prochain, ce que l'éqdi faire. Tous le: a p rè s sont prie cises, cale Gai déplacem ent. Agutte«, Ferra: don, R ougier, i L ’équipe sec«, zat (Puy-de-Dô en un m atch a de cette localit h. 80, pour fait train , Roum tv G onnar, Bourd G uittard, C har m aux. U est que6 changem rés a v an t Its qulpe second p ar la c im m b ju g e u ti.s Dé. l«t, J. B aptiste A LAPALI co n tre A.A. L LE ROM AN DE LORETTA Y O U N G |q Belle a u x yeux tristes, TOUS P A N S L’BAIN ! AVIS ET CONVOCATIONS A pprenez à contrôler vos achats culinaires E Refaites la b e a u té d e v o tre logis. F E U IL L E T O N ne V A V E N U “<?8) La rase arrachée I par JEANNE DE COULOMB XIV en t-ce c e s lig n e s q u e C lau d e re n c o n tré e s ? A c e tte idée, Ale se n ti fa ib le ; d e p u is q u e lq u e s u r to u t lo r s q u ’elle é ta i t seu le, ié e s l ’a s s a illa ie n t, l a souffleco m m e ces o is e a u x de n u it q u i jie n t d a n s les g ro tte s o b sc u re s, ’e ffo rç a it de le s c h a s s e r, de ne e» am ener à 1a lu m iè re , p a r e de leur d o n n e r d e s c o n to u rs i ; m a is elle g a r d a i t, d e leur E l e m e n t , l’im p re ss io n d o u lo u que, le jo u r où elle le» v e r r a it ce elle d e v ra it se c ra m p o n n e r de’ divine p o u r en s u p p o r te r la 1our-là a/vait-il lui ? Devant le été sanctuaire, de nouveau, eile formuler ce qui, jusqu’ici, — - p la in e . De lo in , elle re c o n n u t le vo y a g e u r e t elle en re ç u t u n choc brusr q u e a u q u e l elle ne p u t tr o u v e r q u e c e tte e x p lic a tio n : « J ’a i p e u r de ce q u ’il v a m ’a p p re n d r e s u r M ik a et s u r C lau d e ». M ais a lo rs , p o u rq u o i se s e n ta itelle d é b o rd ée p a r u n e im p re ss io n de jo ie ? E lle n ’e s s a y a p a s de d ém êler ce que c a c h a it ce s in g u lie r c o n flit de s e n tim e n ts et, je t a n t so n o u v ra g e , elle d é v a la en c o u r a n t l ’a llée sablée. Q u a n d elle p é n é tr a d a n s le g r a n d s a lo n C la u d e , face à la lu m iè re , re c e v a it l ’a r r iv a n t , e t s o n te in t liv id e d é m e n ta it le p â le s o u rire d ’accu eil q u i é tir a it ses lèv res. L ’A m i, lu i, a u r a i t sem blé to u jo u rs le m êm e s i son re g a r d n ’a v a it eu u n e e x p re ssio n de m é la n c o lie , p lu s p ro fo n d e en c o re . T o u t de su ite , A lvère lu i d e m a n d a des n o u v e lle s de M ika. — E lle v a m ie u x , a ss u ra -t-il. M ais il se m o n tr a tr è s so b re de d é ta i ls s u r R é g asse ; « a n s d o u te, il ne v o u la it p a s m o n te r A v it c o n tre celui-ci. , . . R o b y , lu i, se t a i s a i t s u iv a n t sa c o u tu m e . Il p a r a is s a it m êm e a b s e n t de la c o n v e rs a tio n . M lle D o rig n a c d u t q u itte r le sa lo n p o u r s ’o c c u p e r du th é . L o rs q u ’elle y parc, dans un bosquet dont elle ai re v in t p ré c é d a n t T in a q u i p o rta it 1« m a it la s itu a tio n parce q u e , de là, p la te a u , elle c o n s ta ta q u e C lau d e «lie découvrait la m ontagne et la s 'é t a i t a ss ise , le d o s aux g ra n d e s t a i t v o lo n ta ire m e n t v a g u e d a n s so n e s p r it : « C la u d e a a r r a c h é u n e p a g e de so u p a ssé . Si cette p a g e to m b e so u s les v e u x d e m o n frè re , q u ’a r r iv e r a t-il ? » S es m a in s se jo ig n ir e n t e n co re v e rs la m è re du Bon S e c o u rs et, d a n s u n é la n de son ê tre je u n e et g é n é re u x , elle o ffrit ses p e in e s, se» sac rific e » , s a vie elle-m êm e, p o u r le b o n h e u r «t le s a lu t de» sie n s ; p u is , allé g ée d u d o n q u ’elle v e n a it de d é p o se r d e v a n t l ’a u te l, elle q u it ta le p o rc h e et co u r u t v e rs les p ie r re s , In c ru s té e s d a n s le p e tit m u r, q u i s e r v a ie n t d ’escalier. « L o rsq u e l ’A m i re v ie n d ra , p en sat-elle en les e s c a la d a n t, je v e r r a i b ien to u t de s u ite si, là -b a s, il a a p p ris q u elq u e chose. E t, d a n s ce c a s , il f a u d r a q u ’il m e ra c o n te to u t 1 P o u r g u é r ir u n e m a la d ie , il im p o rte d ’a b o rd de la c o n n a ître ». C la u d e s ’é ta it a rr ê té e p o u r a tte n d re s a b e lle -sœ u r. E lle n e se d o u ta p o in t de ce q u e c o û ta it à celle-ci le b e au s o u r ire q u i c o n tr a s ta it avec s a p â le u r. ... U n sa m e d i de ju in où 1 a i r sen ta i t bon le foin coupé, P a s c a l de L am ire l q u ’on n ’a tt e n d a it p a s en c o re , a r r iv a en a u to av ec A vit e t R oby. A lvère tr a v a il la i t to u t en h a u t du p o rtes-fen êtres. Elle ne p u t donc voir si s a p â le u r p e r s is ta it ; m a is , a u co u rs de s e s allées e t v e n u e s p o u r p r é s e n te r les ta s s e s o u v e rs e r le li q u id e fu m a n t, elle s u r p r i t chez sa belle-6oeur u n ra p id e coup d 'œ il ivers le v is ite u r, occupé à p re n d r e d u s u cre d a n s le s u c r ie r que lui p ré s e n ta i t D ilette, e t ce coup d ’œ il tr a h i s s a i t u n e d é tre sse a n x ie u se . A u n a u tre m o m en t, elle in te rc e p ta u n é c la ir de p itié q u i, to u t à coup, s ’é ta it a l lu m é d a n s les yeux de P a s c a l com m e il r e g a r d a it C laude. « Q ue s a it-il ? p e n s a la je u n e fille. A-t-il a p p ris q u elque chose là-bas ? Souffre-t-elle beaucoup de ce q u ’elle c a c h e ? Mon D ieu 1 M on Dieu 1 Où allons-nous ? U n p eu p lu s ta r d , sous p ré te x te de m o n tre r ie p a rc à le u r hôte, elle s o r ti t avec lu i et, d ’a b o rd , n e lu i p a r la q u e de s a c a d e tte . — V ous a-t-elle la is s é c o m p re n d re q u ’elle é ta it m a lh e u re u s e ? — N on, v o u s la c o n n a is se z ; u n e volonté de fe r soue des a p p a re n c e s folles 1 S a fie rté lu i in te r d it de ae p la in d re . E t elle se ta it. — A vez-vous a u m o in s p rê c h é Maxence ? — O ui et, p e n d a n t cin q à six se m a i nes, J’ai c ru q u e m es re m o n tra n c e s p ro d u ira ie n t q u e lq u e effet ; m a is, ch assez le n a tu r e l, 11 re v ie n t a u g a lop, si l ’â m e n ’a p p ell« p a s à «on se c o u rs le s u r n a tu r e l p o u r lu i b a r r e r le p a s s a g e ... Le m a lh e u re u x s ’est re m is à jo u e r 1 E t m êm e... Il s ’a r r ê ta com m e s ’il n ’o s a it a c h e ver. — Je v o u s en p rie , s u p p lia A lvère, c o n tin u e z ! Je s u is h a b itu é e à tro u v e r d e l ’a m e rtu m e a u fond de to u s les b re u v a g e s q u i m e so n t o fferts. — E h bien 1 a v a n t m o n d é p a rt, il m ’a d e m a n d é u n p rê t d a r g e n t 1 Je n ’a i p a s v o u lu en p a r le r a A vit, p a rc e q u ’il a u r a i t te n u à m e re m b o u rs e r a u s s itô t e t q u e ie n e le v eux p a s I M ais il m ’a sem blé q u e je de v a is v o u s en a v e rtir , c a r, s a n s d o u te , u n jo u r , R é g a sse , à b o u t d ’expé d ie n ts, a u lieu de s ’a d re s s e r à son b e a u -frè re d o n t il re d o u te la d ro ite lo g iq u e, e s s a ie ra de vous ta p e r et, p o u r ê tre p lu s c e rta in de ré u s s ir, n ’h é s ite ra p a s à u s e r de ce q u ’il a a p p r is là-b as. P ro m ettez-m o i q u ’a v a n t d ’en p a r l e r à ceux q u i v o u s e n to u r e n t, v o u s m ’avertL rez... N ous ex a m in e ro n s a lo r s e n sem b le ce q u ’Ü c o n v ie n t de fa ire Ils a tte ig n a ie n t le b o sq u e t, to u t ro u g e de p e tite s ro se s « c rim so n », où le tr ic o t a b a n d o n n é g is a it en c o re s u r Je sa le. A lvère se la is s a to m b e r d an » l u n d e s g ra n d s fa u te u ils ru s tiq u e s o u i a tte n d a ie n t les a m a te u r s d e belles vu es. à peine p e rc e p tib le , ce c h a n ta g e a u r a i t t r a i t à C lau d e ? T o u jo u rs d e b o u t, il fit de la tête u n s ig n e a ffirm a tif. — M ais c o m m en t e x p liq u e r ces ex ce lle n ts re n s e ig n e m e n ts en v o y és de S a ig o n ?... — Us c o n c e rn a ie n t u n e a u tr e d am e G é ra rd d o n t la p e rs o n n a lité a v a it q u e lq u e s t r a it s de re sse m b la n c e avec v o tre b elle-sœ ur. Le m a r i de celle-là, en effet, s ’a p p e la it C lau d e, d é ta il q u i, é v id e m m e n t, a provoqué la confu sion d o n t Mme D o rig n a c a bénéficié — Quelle était la vérité ? Dites-la moi. — C e rta in s d é ta ils m a n q u e n t e n co re à m o n e n q u ê te ... On a p ro m is de m e les fa ire p a rv e n ir. Je vous d e m a n d e r a i donc de g a rd p r le silen ce ju s q u e -là ... E t je m e s e r a is m êm e tu «i je n ’a v a is c r a in t v o tre a ffo le m e n t d e v a n t le» ré v é la tio n s de R ég asse. — Claude est-ella gravement cou pable ? M — Je la crois plus digne de pitié que de colère. — Elle souffre beaucoup, en tout cas I — Je n ’en su is p a s éto n n é. E lle d o it ê tr e ro n g é e p a r le s o u v e n ir du p a ssé , de l ’e - r e u r d o n t elle a p ro filé. Soyez tr è s bon-ne p o u r elle, A lvère ! Je m ’y efforce... Et, chose cu rieuse, à force de m'occuper d’elle, Je — Alors, balbutia-t-elle d’une voix me su is prise d’affection pour cette n a tu r e de sen sitiv e, v r a im e n t a t t a c h a n te ; de son côté, elle ne sem b le p lu s re d o u te r, com m e d a n s les p re m ie rs tem p s, m on in flu e n c e s u r D i lette. Au c o n tra ire , l’a u tr e jo u r , elle m ’a dit : « Si Je v e n a is à m o u r ir , c ’est à vous que je v o u d ra is la co n fier... » M a lh e u re u se m e n t, elle s'é lo i g n e de p lu s en p lu s de la re lig io n . A peine a ssiste-t-elle à la m e sse le d im a n c h e , e t en c o re p o u r n e p a s s c a n d a lis e r s a fille 1 Et q u a n d elle e«t IA, d a n s c ette ég lise o ù l’a u te l surélevé sem ble v ra im e n t le so m m e t du C a lv a ire , elle n e sem b le p a s g o û te r l’im p ressio n de paix q u e v e rs e n t les v o û tes... elle p a ra it, an c o n tra ire , inquiète m al à l’aise. P e n d a n t les co u rtes hom élies de M. -le c u ré elle "este la tête penchée, la m ain au fro n t... On la se n t ép u isée p a r u n e lutte secrète à laq u elle on n e p eu t m ettre fin, p u isq u ’elle s e re fu se aux av e u x ... C ep en d an t, à c e rta in e s heure s » t e n e z 1 l’a u tre jo u r, à S o co rry —- elle p a r a it touchée, e t p u is, le len d em ain . je m ’a p erço is q u ’au tieu d a v a n c e r, elle a recu lé... Oh ! que j ai de peine a lo rs à n e p as m e laiss e r e n v a h ir p a r le d é c o u ra g e m e n t ! Maus J’ai v otre livre, l'A m i, et q u a n d j e n te n d s c h a n te r d a n s m on Ame ! u n e des b d lc s p en sées q u ’il con tien t, je re p re n d s a u s s itô t c o u ra g e , et, m êm e j ’ai la force de s o u rire ... (A suivra.) FOOTBALLm an d e m atch férence le 25 G ilbert, secrét» p h o n e r a u 45. i.'l; I M il |r*1 B par — Non. Et décourage ; nace, plu« fo je veux gué moi ; m ais ce, en »erra doigt« de M a re une vie d en bonheur t en dévouexne de tou» lee it cier et l’alm guérir pour «« A ce» mot» ni» observa pâli, et son creueé ; ccf voix calme, qu ’on parle ¥ - M ais c At»4*1 • VOUA >23 • 9 * L'AVENIR DU PLATEAU CENTRAL 38 < Tennis LES AUDmONS DE T. S. F. Les Championnats de Montiuçon LA VIE S P O R T I V E r hiss iipe-MarpersoIfi m L’OUVERTURE DE U SAISON DE RUGBY CHAMPIONNAT DE LA L A. CHAMPIONNATS DE FRANCE . a H k a n ii A LA P L A IN ! |Ö 1114t 11- P o u r 6a p rem ière ren c o n tre à Montfe rra n d , TA. S. M. recev ra d im an ch e p ro c h a in s u r son te r ra in de la P lain e f’U. S. C. Vichy, q u i v ie n t de d éb u ter d a n s la com p étitio n p a r u n coup de m aître, en te n a n t en échec Decize chez lu i, 1 à 1. Vichy possède u n onze rap id e, p ra ti q u a n t un jo li football de conception classiq u e, son en sem b le n ’est toutefois p a s assez ath létiq u e p o u r lo u e r les pre m iers rô les d a n s le c h am p io n n at. Néan m o in s, Vichy a Im posé son Jeu à De cize e t d o m in a nettem en t, su rto u t en seconde m i-tem ps. 11 d u t so n matcûi n u l a un réflexe m alh eu reu x d ’un de ses A rrières. C’est donc u n très beau ré s u lta t p ou r qui c o n n a ît le difficile dôlacem ent q u ’est Decize, où bon nom re d ’équipes la issero n t des points. A p rem ière vue, Vichy a p p a ra ît être b eaucoup p lu s a u point q u e l’A. S. M. L’A. S. M. est e n période de rodage «t son m atch contre u n Vichy en form e s e ra assez difficile. Son équipe a Joué trè s courageuse m e n t dim an ch e à V auzelles et d u t con céd er un second b u t en seeonde-rmtem ps, a lo rs que Jo u an t à 9 (Lafarge a y a n t été blessé). Ce ré s u lta t n ’est donc p a s m a u v a is d u to u t et p erm et d ’espé rer, lorsque l’A. S. M. se ra p lu s a u p o in t, u n e bonne saison. L’e n tra în e u r qui v ie n t d ’a rriv e r a l ’A. S. M. d e v ra donc p o rte r ses efforts n o n seu lem en t su r le tra v a il in dividuel, m a is au ssi su r les d isp o sitio n s ta c ti q u es p o u r que les lig n es de l’équipe a p p a ra issen t, lors de sa p ro ch ain e so r tie. beau co u p plus soudées. A.S.M.-Vicny, un inatoh équilib ré qui s e ra su iv i p a r les n o m breux su p p o rters des d eu x clubs. U. S. C. Vichy contre A. S. M. de la p rie u re ■ ■ t ’ | he im-s. es ex.v dès ce A MONTÏAJÇON DIUXIEM E DIVISION A BEI MS. — (Reims b a t M ulhouse, 4 à 0. A TROYES. — R ennes b a t T royes, AU S1A DE SAINT-JEAN 5 A 0. A A 2 à A 2 à A Stad« Aurillacois 1 PARIS. — R ed S ta r b a t Nice, 4 à 0. COLMAR — Colm ar e t C.A. P a ris, ( D i v i s i o n d ’e x c e l l e n c e ) contre U. S. Montluçonnaise 2. Boulisme 0 0 N 0 0 U R 8 ENTRE 800IB T A IR E 8 A L U. B. MONTFERRANDAISE C’eat avec un plein, succès que la Dumlop-Sportô a organisé les cham pionnats de tennis de Montiuçon sur ses trois courts. Ils ont duré deux Jours. Sept titres étaien t en leu, Louis Mlc h eau qui fut p e n d an t de longues a n nées le m eilleu r jo u e u r local, a v ait p a r la su ite subi u n e baisse de form e assez n ette, il v ien t de d ém o n trer q u ’il fal la it encore com pter avec lu i en in sc ri v a n t son nom au p alm arès de trois épreuves, le sim ple, le m ixte e t le dou ble. M m e Delooz reste la m eilleure loueu se locale, elle l'a prouvé e n en lev a n t le sim ple e t le m ixte. L efaure, finaliste d u sim ple, a gagné le double en com p ag n ie de M lcheau, tan d is que le plus je u n e des frères H acker a triom phé chez les juniors. Le bureau de l ’U.B.M. rappelle à ses membres actifs et honoraires que son prochain concours entre sociétaires au AU STADE DU DIENAT ra Heu dimanche 25 septembre, sur le terrain de la société au Franc-llozier. Stade Limousin U. C. 1 Les inscriptions et le tirage au sort contre S. C. M. 1 des quadrettes auront lieu u 8 heures précises. A .8. MONTFERRANDAISE (R) OONTRE S.C.M. (2) Nous invitons les sociétair-îs à parti Résultats techniques : P ro g ram m e d ’o u v ertu re de réaile va ciper nombreux à ce concours. Ils sont S im ple M essieurs (Coupe Andréleur, que celui m is s u r p ied p a r le assurés de passer une excellent! Jour Sports). — P rem ier to u r : V oisin b a t née et de gagner en même temps un S.C.M, p our dim anche prochain. P in g u et ; D ubost b a t T rép ard o u x ; Le lever de rid e a u v a u t à lu i seul le très joli prix. BOULOGNE. — A rras b a t Boulogne, L’U.S.M., qui vien t de fo u rn ir une 1. b rilla n te saison d ’athlétism e, o u v rira, NANCY. — N ancy b a t C harleville, dim anche, sa saison de rugby e n rece v an t l ’excellente équipe d.u S ta le Au2 à 0. t A D IEPPE. — D ieppe b a t Nîmes, rillaoois Jard o n , w.-o. C’est là u n choix judicieux, 11 fa u t en d éplacem ent d u D lénat. 3 à 2. D euxièm e to u r : M icheau b at Re o n v e n lr . En effet, l ’équipe seconde du club A M ONTPELLIER — M ontpellier et Les S 'a d is te s a u rillaco is qui, comm e local effectuera un début de saiso n im BOULE AMIOALE BOURBOULIENNE n a rd ; H acker b at R ebiere ; G irard, Toulouse, 2 à 2. ch acu n le sait, opèrent en dlvisio i MM. las m em bres de la B. A. B. sont w.-o.; D ubost b a t F leu ry ; C anonviile A VALENCIENNES. — V alenciennes d ’excellence, o n t b rillé d ’un vif éclat, p ressio n n an t en re n c o n tra n t les actueis cham pions de F rance de la catégorie, p riés d ’assister à la réu n io n qui a u ra b at Jard o u x ; D em aison G. b a t Denis ; b a t T ourcoing. 5 à 0. ia sa iso n passée, au cours de la com c ’est-à-dire l ’A.S. M ontferrandaise, qui lieu le sam ed i 24 co u ran t, à 18 h. 30, L evert b at B arbier ; L efaure b a t Coste. A DUNKERQUE. — D u nkerque b a t pétition n ationale. T roisièm e to u r : M ichaud bat H acker ; v ien t d ’o u v rir sa sa iso n e n b a tta n t la r a u siège (T ouring-H ôtel). Est-il utile de rap p e le r leu r victoire gem ent l ’équipe p rem ière du Stade 19D ubost b at G irard ; D em aison G. bat L ongwy, 4 à 1. C oncours du d im an ch e 25. T ira g e a u C anor.vllle ; Lefaure. w.-o. A ALES. — Alès b at G irondins. 1 à 0. b i p ju le de 5. su r 1 U S.A. P e rp ig n a soirien. so rt des quadrettes. D em i-finales : M icheau b a t Dubost, Le m atch prin cip al opposera les A l ’issue des m atch es d ’a u jo u rd ’hui, nalse, qui devait, quelques m ois plus lard , rem p o rter le titre d<ch am p io n de 4-6, 6-4, 6-3 ; L efaure b a t D em aison G., équipes de Lim oges et d u S p o rtin g lo le c lassem e n t s ’éta b lit comme suit : F ian ce 7 Cette victoire fut nette, in d is cal. Des d eux côtés, les m eilleurs élé 1. Reim s, m points ; z. Reu ô .a r, ' j ; 3. 6-3, 6-2. LE OHALLENGE « 8UZE » F in ale : M icheau bat Lefaure, 6-1, 6-2. Rennes, 9 ; 4. A rras, s ; 5. M ulhouse, 7 ; cutable et l ’in te rp atio n al D esclaux, c a m ents disponibles seront alig n és. Si leb DE MCNTLUÇON p itain e de l’U.S.A.P., reco n n aissait que v isiteu rs peuvent déplacer tous leur» G irondins, 7 ; 7. Nancy, 6 ; V alencien __ (Coupe D unlop). — L a g ran d e m an ifestatio n bouliste S im ples Dames nes, 6 ; 9. C harleville, 6 ; Nice, 6 ; Tou .es cham p ions d ’A uvergne possédaient mi'Mtaires, com m e ils l’espèrent, la for organisée à M ontiuçon, grâce à la gé P re m ie r to u r Mlle P é ro n n in b a t Mme louse, 6 ; C.A. P aris, 6 ; D unkerque, 6 ; un quinze de prem ière valeur e t q.i i o m ation lim ousine a u ra belle a llu re. Eu n érosité des E tablissem ents de la Suze, 14. Boulogne, 5 ; C olm ar, 5 ; 16. Mont a v aie n t nettem ent m érité leur victoire. plus des lo u eu rs d ont nous donnons a obtenu ur.; très g ro s «uccès. Elle fut L efaure. Voilà donc le quinze que les M onilu- les nom s, Il est possible que l’excellent D em i-finales : Mme C anonviile bat pellier, 5 ; 17. H au îm o n t, 4 ; 18. Long Dis-quarts a ile L am othe, qui lo u a it p a rfaitem en t organisée p a r l ’Union des Mlle R enon ; Mme Delooz b a t Mlle wy, 4 ; Nîmes, 4 ; Alès, 4 ; Dieppe, 4 ; çon n ais vont av o ir le p la isir d ’ap p lau dir. dim anche, à S aint-Jean. D evant ce . un d e rn ie r au C.A. B riviste, opèrfe a B oulistes M ontluçonnais qui n ’est pas P éro n n in . 22. T ourcoing, 3 ; 23. T royes, 2. redoutable groupem ent, l ’U.S.M. all- une aile de l ’équipe du S.L.U.C. un club m a is u n o rg an ism e créé p o u r F inale : Mme Delooz b a t Mme CanoDn era ses m eilleurs élém ents disponlAu S.C.M., A utissier. D esrouffet, Bia- cette com pétition e t co m p ren an t tous vllle, 6-1, 6-2. les qui seront, à quelques u n ités près, A ISSOIiRE. — Club Sp ortif Auzarotte, L egoutlère, M atnonière, Beudot, les rep résen tan ts d es sociétés locales. Double m ixte (Coupe L em ouzy). — ceux avec lesquels sera définitivem ent absents p o u r le m atch co n tre O rléans, Le challenge « Suze », qui re v e n a it tois (1) oontre V élo-Sport laaolrlen (1). constituée son équipe prem ière. à la quadrette ^ a8 nante du ch am pion P rem ier to u r : Mme Delooz-M icheau sero n t présents. D im anche p ro ch ain a u r a lieu l ’o u b atten t Mlle Péronnin-D em aison ; Mine • ---------------------Com position de l ’équipe du S. L im ou n at, fut rem porté p a r la q u ad rette Mo el v ertu re de la sa iso n de foo tball des M. C anonviile b a tte n t Mlle Nicolasna ssi, des Boules S portives M ontluçonsin U.C : A BORT-LES-ORCUE8 « bleu et or » du Vélo-Sport lsso irien . Jard o u x ; Mlle R enon-Fauxy battent naises, qui, cette année, collectionne A rrière : C rrere ; trois-quarts : LediA oette occasion, les o rg a n isa te u rs o n t Mme e t M. P inguet. les trophées. C’est u ne équipe d u m êm e ue, G uillerm e, B régéras. M ontastler ; fait appel a u C. S. A uzatois, fin aliste D em i-finales : Mme Delooz-M icheau omis, m êlée : T alabot ; ouverture : Gé- club qui p a rtic ip a à la finale d u c h am S. C. Tulliste 1 l ’a n d e rn ie r de la Coupe S a le rs gagnée rau d ; a v an ts : T rica rt, T lélln, H ey n art, p io n n at tan d is que deux q u ad rettes d es b a tte n t Mme e t M. C anonviile ; Mlle p a r les Isso irien s. Ce m atch am ical contre A. S. Bortoise 1 D lot-Lefaure b a tte n t Mlle R enon-Faury. V ittau, G rousseles, Buzy, Monsso, AyBoules M ontluçonnaise d isp u tè re n t la sera m is à pro fit p o u r c o n stitu er les F inale : Mme Deloux-M icheau b atten t finale de la consolation. Après M ontferrand et A urillac ce sont rnard. équipes p rem ière e t seconde q u i re p ré S.C.M. Mlle D lot-Lefaure. R ésultats techniques : se n te ro n t le V.S.I. d a n s le ch am p io n les T ullistes qui d im anche se re n d ro n t D ans la m êm e enceinte, le s am ate u rs n a t de 2» division e t d a n s lu Coupe à B ort p o u r re n c o n tre r les hom m es de A rrière : B rondeau : tro is-q u arts : Double M essieurs (Coupe Léon-DaP re m ie r to u r : Jolion b a t U rcat, Beu de ru g b y p o u rro n t ég ale m en t a ssiste r Salers. Aussi, tous les Jeunes g en s dé Lom bard. Ce déb u t de saison est u n vé D esrouffet, Beudot, M athonlêre, Re dot bat V ernadot, R ibiere bat G ardot, niel). — P re m ie r to u r : G irard-C anonà le u r sp o rt favori puisque les équ ip es s ira n t p ra tiq u er le football p eu v ent ritab le ré g a l p o u r les sportifs bortois g rain ; dem is, m êlée : A utissier : o u G uillem in b at A uroyer, M onassi bat ville, w.-o. ; G. et P. D em aison batten t Ju n io rs A et B de l’A.S.M. recev ro n t d ’oirès et d éjà se faire in sc rire et a ssis qui a u ro n t la satisfactio n d ’av o ir vu verture, Roy ; a v a n ts : Lacaze, B illaud, G reuzat, D agournet b at L aneurie, Stel R ebiere-Pinguet ; Faury-L evert b atten t le u rs c a m a ra d e s de M oulins et d e Ger- te r à la réu n ion qui a u ra lieu jeu d i évoluer les m eilleures équipes de la B iarotte, L egoutlère, C hartier, Jaw ors- la b at Niotte, R aynaud bat R aym ond, R enard-B arbier ; L efaure-M lcheau b a t zat. 22 septem bre au siège social, café des région, to utes classées en division d ’ex ka, Fargeot, Raclet, Devèze, p lu s Le- C hassagne bat Debezet, G uindolet bat te n t Coste-Hacker. , bon, B atier. T illeuls ; tous les jo u eu rs de la saiso n cellence. D em i-finales : G irard-C anonville b at Dupré, F erre b at V igier, Ruzzi bat ChaLa venue des T ullistes doit être le écoulée sont convoqués. - 4 -4 4 nudet, P e rre t b a t H aour, Diaz bat Ras- te n t G. e t P. D em aison ; L«faure-MiPremière Division clou de celte série de m atches à B ort p ilaire, Ays b a t Amboise, P h ilip p en bat cheau, w.-o. A MAURIAC. — E. 8 . A llanohe 1 oon ca r les v isiteu rs, n o u v eau x prom us en Boudet, V iala b at Desafix, M assebœuf tre S tad e M auriacols 2. F inale : L efaure-M lcheau b a tte n t Gi excellence, v eu len t s ’im poser p lu s que A arvant b a t G irard, L onguon b a t A utissier, Dé rard-C anonville, 11-9, 1-6 et 6-3. A BOURBON-L’ARCHAMBAULT. — Jam ais et si n ous ajo u to n s à cela la ri ni ay et b a t R agor. A- 8 . O. de M ouline oontre Bourbon- v alité sportive des deux clubs nous U. S. Arvant P.-L.-M. Sim ple ju n io rs. — P re m ie r to u r : Ro pouvons a ffirm e r que la rencontre m é Deuxièm e to u r : C hassagne b a t R ay Sportif. rt b a t R enet ; J. Vellay b a t M oulin. contre C. A. S. Durollien naud, S tella b at Beudot, R ibiere bat b eD rite d ’être vueem i-finales : H acker bat R obert ; L’équipe tu lliste est digne des m eil Ruzzi, M onassi bat Jolion, CrUillemin Le stade de la ro u te do B ournoncle P. D em aison bat J. Vellay. G. 8. P. Q. 2 bat U. S. R andan 2, p a r leures, c a r a y a n t conservé tous ses élé bat I.ongeon, Diaz b at G uindolet, Taspra, dim anche, le th éâtre d ’une belle 4 à 0. F inale : H acker A ndré bat P. D em ai m en ts de la saison dernière, elle vient gern et bat Ays, M assebœ uf bat P h ilip ren c o n tre de ch am p io n n a t qui oppose, son, 6-2, abandon. d ’e n reg istrer les ren trées de L achenaud L’c<juipe des jeunes, qu i était à sa pen, V alla bat Demnyet. p o u r ses d éb u ts d a n s la com pétition, D im anche 25 septem bre sera o rganisé Gay, ancien s jo u eu rs prem iers du ------------4 + 4 -----------T roisièm e to u r : M onassi b a t Stella, les p rem iers ch em inots aux couteliers prem ière re n co n tre de la saison, fit et une belle p artie e t n ous laisse prévoir C. A. B riviste, de B ourges, de l’A.S. le G rand P rix Cycliste populaire. d u ro llien s. R em ise des dossards à p a rtir de 14 Ribiere b a t P ê rret, G uillem in b a t Diaz. M ontferrandaise, in te rn a tio n a l m ilitai d ’a u tre s su rp rise s d a n s l’année. Ce n ’est poin t ex ag érer que de p ré heures, à Saint-O urs. P arco u rs : p re M assebœ uf b at C hassagne, V ialla b at Q uelques-uns de ces Jeunes p oulains re et du dem i de m êlée G irard, du S ta m ière étape : S aint-O urs, Le V auriat, T agournet. se n te r les v isiteu rs com m e v ain q u eu rs de C lerm ontois, tous Joueurs de valeur. p ro b ab les d u D istrict. A près av o ir fi com m encent à se d istin g u e r et fero n t Q uatrièm e to u r : V ialla b a t MasseDu côté bortois nous retrouverons P ulvérlères- C hapdes-B eaufort, I es AnAU RAPID POOTBALL-OLUE guré to u jo u rs h o n o rab lem en t d a n s le u r d an s u n e ou deux saisoi s de bons élé encore les m êm es élém ents q u ’aux ren cizes, S aint-Jacques, La Goutelle, soit bœ uf, G uillem in b at R ibiere, M onassi, m en ts p o u r la p rem ière équipe. D ans en d e rn ière réu n io n , 1« R apid g ro u p em en t, ils fin issaien t 2*, la s a i contres p récédentes et que Lom bard en 35 kilom ètres. Une dem i-heure d ’a rrêt, w.-o. so n précédente, d e rriè re l’A. Sportive tra în e de m ain de m aître. Si on en p u is deuxièm e étape. D épart, 16 li- 30 : ■ ♦ ♦ '4 D em i-finales ; M onassi b a t V ialla, a procédé à l’élection de son nouveau b u re a u p o u r la saison 1938-39. M o rtferraid ai6 e. Et ceci n o u s dispense croit les bruits, quelques nouveaux L a G outelle, B rom ont, i ’o u tg ib a u i, 13 à 12 ; G uillem in, w.-o. d e to u s co m m entaires su r l ’équipe que Joueurs cotés d an s le rug b y à quinze C ham bois, La Mlouze, P o n tg ib a u l, StOnt été nommés : F in ale : q u adrette M onassi, Laran, -vont a ffro n te r las hom m es de C hanson. fera ie n t le u r ren trée, m ais la discrétion O urs, le V auriat, soit 35 kilom étrés. Au David P résid en t d ’h o n n e u r : M. Ipousteguy, et G allard bat q u ad rette Guille L eu r tâch e est difficile, m ais connalsto tal 70 kilom ètres, p o u r près de 2.uu0 la plus absolue nous a été cltmaruléc. d irecteu r des H ouillères d u Centre. m in, Fressard frère* et D um as, toutes e an t le u rs possibilités e t Jo u an t d e v a n t fran cs de prix. A u jo u rd ’hui- nous ne pouvons donc en V ice-président d ’h o n n e p r : M. Fele u r public, n ous som m es persuadés P rix p a r étapes : 40, 30. 20. Au classe deux des B. S. M-, par 15 à 12. core rie n dire. n ay ro l, pharm acien. Le challenge « Suze » est donc gagné q u ’ils ré a lise ro n t une belle p erfo r Le coup d ’envol sera donné à 15 heu m en t g énéral (p a r a d d itio n <1« places), P résid en t actif : M. L am bert j vice200, 150, 100, 75, 50, 30, 20, etc., plus nom p a r les B. S. M. m an ce. x Les g ro u p em en ts d é sira n t p a rtic i res. p résident actif : M. L orln ; secrétaire : breuses prim es. Coup d ’envol : 15 heures. ----------- 4-4-4-----------p e r a u ch a m p io n n at d u D istrict du C onsolation M. L au ren t ; secrétaire ad jo in t : M. E n outre classem ent spécial avec prix En lev er de rid e a u : C. 8. A uzat 2 Puy-de-Dôm e, tro isièm e divisio n sont P re m ie r to u r : R ay n au d b a t Veroa- Citon ; tré so rie r a d jo in t : M. A. Stell LES MONTFERRANDAIS ONT p o u r les Jeunes non licenciés. iriés d ’envoyer le u r engagem ent d an s oontre U. 8. A rvant P.-L.-M. 2. m ach e r ; m em bres d u b u re a u : MM. E ngagem ents (5 francs) p our l*'s li d a t, R aspilaire b a t Uscat, H aour bat ie p lu s bref d élai a u secrétariat, 8, ru e UN ENTRAINEUR cenciés à l ’A m icale Cycliste, 1, avenue Desafix, D ebizet b a t D upré, B oudet bat Jadoux, Nledwiez, M arclniak, Pam ole, G eorges-Clem enceau à C lerm o n tF e rD epuis d im an ch e dernier, les foot du C hàtcau-Rouge, sam edi m idi, d er Vigier, C hanudet bat A uroyer, G reuzat Bogackl, L aligue ; com m ission de con A SAINT-YORRE ran d . Les d ates su ivan tes ont été re bat Gadot, A utissier b at Miotté, G irard trôle : M arclniak, Citon. ten u es p o u r la tro isièm e série : 23 oc b alleu rs m o n tferran d ais o n t u-n e n tra î n ie r délai. S. C. Gannatoi* Le cale n d rier com prend des rencon bat Ambrôise, Ragon bat L aneurie. , . tobre, 6 et 27 novem bre, 18 décem bre, n eu r. M. Salnt-A ubln, qui a p ratiqué de CRITERIUM DES VIEUX GRIMPEURS 8 et 22 jan v ie r, 5, 12, 26 février, 5 m ars. D euxièm e lo u r : R aynaud bat H aour, tres im p o rtan tes contre des équipes contre Stade Saint-Y orrais b ien cotées. Noua croyons que ia nou longues ann ées le football à Amiens, x L’Amical Boulny-Club en lé th a r a dù se ré sig n e r à bâcher le sp o rt actif En outre, dim anche, u ne épreuve ré G reuzat b at Debizet, R aspilaire b a t Bou velle form ation du R apid est aussi forte Dirnau« lie 26 septem bre, le S.C. ü an det, R agon b at C hanudet, G irard bat gie d epuis p lu sieu rs an n ées, qui, la servée aux « V étérans » plus de 30 ans, nau>i& d é b u te ra tiu u s bcs m atches <iö p a r su ite d 'u n e blessure. Il n ’a cepen sinon m ieux arm ée que les an n ées pré c h a m p io n n a t de prem ière division qui saison écoulée a rep ris son activité, d a n t pas cessé de s ’in téresser au foot sera organisée su r le p arco u rs : La A utissier. cédentes e t devra se tire r b rillam m en t va d éb u ter en com pétition officielle. T roisièm e to u r : R agon bat RasplG outelle, P on tg ib au d , S aint-O urs (13 l ’oppuaera a u Stade S a in tA o rra ia (1), ball et a m is toute son activité à l'é d u de ces dures t encontre» ; m ais 11 fa u a sain t-Y o rre. E ncore inco m p let ce de Nul doute q u ’il se co m p o rtera très bien c atio n des Jeunes et à l ’e n tra în e m e n t krns). N om breux prix, engagem ents au laire, R aynaud b a t G irard. G reuzat, d ra ren d re les m atches aux graaides d é p a rt qui a u ra lieu à 13 h- 30. w.-o. b u t de saison, le S.C. G an n ato is ne fera et re p ren d ra la place occupée p a r ses des footballeurs. équipes éloignées qui se d ép lacero n t D em i-finales : G reuzat b a t Ragon, a u cours d e la saison à Saint-E loy. p a s figure de luvori, m ais espère n é a n aînés. E n tra în e u r et conseiller des Juniors m o in s la ire m ieux que de se d éfendre. x Les exam ens d ’a rb itre do d istric t am iénois, il a sorti des Joueurs qui R aynaud, w.-o. CIRE GAGNE A SAUXILLANGE8 Or, les tra n sp o rts o n t considérable A vrai dire, les o n a iu p io n n ats com m en a u ro n t lieu très prochainem ent. A nciens p ra tiq u e n t m a in te n a n t dans différentes Finale : q u ad rette G reuzat, des Bou Cette épreuve a obtenu un b rilla n t le* M ontluçonnaise», b a t q u ad rette Ray- m ent augm enté et g rèv en t d ’a u ta n t t e n t un peu tôt celte année, et aucune Joueurs hâtez-vous de poser votre c a n équipes prem ières professionnelles. équipe ne p eu t être réellem en t e n fur- d id atu re. R appelons q u ’à la d ern ière naud, des Boules M ontluçonnaises, p a r les finances du R apid. Le b u reau du Ses ra re s qualités et son dévouem ent succès d ’ailleu rs bien méritéR.F.C. a donc décidé de p o rter les prix m e ou com plète a v a n t c o u ra n t octobre. réunion de b u reau du d istrict, 11 a été lui v a lu ren t par la suite le poste d ’en T out d ’abord félicitons lès dévoués d i 15 à 12. d ’entrée à 3 fr. pour les spectateurs, E nfin, d ’a p iô s le ré su lta t obtenu d im a n décidé q u ’une am ende de 50 francs, tra în e u r chef de l’équipe prem ière p ro rig e a n ts p our av o ir o rganisé d ’une fa -4-442 fr. p o u r les m em bres h o n o raires et che p ro ch ain , n o u s sa u ro n s a peu p ies p ayable en Janvier, sera infligée au x fessionnelle de l’A miens Athlétlc-Club çon p arfaite cette course. dem i-tarif p o u r les dam es, dem oiselles c* que l ’équipe de M. Jio lu t p o u rra groupem ents de prem ière division qui qui, sous ses ordres, obtint les plus I.e d é p a rt est donné à 22 coureurs, et enfants. fa ire . T ous les Joueurs énum ère» ci- n ’a u ra ie n t pas fo u rn i de d ire cte u r de beaux succès ; ce fu t ensuite l'équipe p a rm i lesquels les C lerm ontois Echaa p rè s so n t p ries d 'e tre , à 13 h eu res p ré Jeu. P o u r se d isp en ser de ce paiem en t prem ière de D ieppe qui bénéficia de lier, B run, Lam y, P aq u et ; les CombelNous faiso n s ap p el à la sportivité de cise». cafe ü am b e t, p o u r eirectuur le 11 faut que l’a rb itre donné se déplace ses excellents conseils. 1o is Dos S antos, Clém ente jeune, Gire 8S L E 0T I0N D’UN MONTLUÇONNAIS tous les sp ectateu rs p o u r que le R apid POUR FRANOE-BELGIQUB d ép lac em en t. Pla/.eney, Nud I et 11. régu lièrem en t. n ’éprouve au cu n e difficulté d an s la A ujou rd 'hui, M. Saint-A ubin a pris et Coudert. A guttes, P e rra u lt, M eunier, M artin, Re Dim anche, à P aris, sera disputé le perception on aes des da ro its da ’entrée. antre«, Il u n ’y v a q u ’à p a rtir de l’o u v erture en m ain s la direction de l’en tra în e m e n t Voici le classem ent : 1. Gire (V.S. d o n , R ougier. c a to n , H uguet, B arraq u é. desx cNotons p io n n ats c ’est-à-dire de la se des équipes m inim es, Juniors et seniors C om bellois), les 70 krns en 1 h. 45’ ; p rem ier m atch d ’athlétism e de ju n io rs, p lus de place p o u r les resquilleurs,' la L’équipe seconde se d ép lacera à Gcr- m aineh am des M ontferrandais. Nul doute q u ’il p ro ch ain e la com m ission sp o rti 2. B over (V.S. Combellois) ; 3. Lam y opposant les équipes rep résen tativ es ne vie des cclubs d ép en d an t u n iq u em en t de z a t (Puy-de-Dôm e) p o u r y ren co n trer, ve et des la recette. itre s du Puy-de-Dôm e se obtienne ici les m êm es succès q u ’avec (C lerm ont) ; 4. E chalier (Clerm ont) ; 5. Fran ce e t de Belgique. en u n m atch am ical, l’équipe prem ière ré u n ira régarb les équipes qui, précédem m ent, ont P aq u et (Clermont-, etc... u lièrem en t tous les m ercre La F. F. A. a retenu le jeu n e Mon de cette localité. S ont convoqués, à 12 dis à son siège social, 8, ru e Georges- suivi ses directives. tagne, d u S. C. M ontluçonnais, pour AUX SPO RTS ATHLETIQUES GERh. 30, p o u r faire le d é p lacem en t p a r le Clem enceau à Clerm ont, perm anence le -----------4-44----------S ou h aitons que l’effort fa it p a r le le lancem ent d u Javelot. Bien que ne ZATOI8. — M ariage de n otre dem i tra in , R oum eaux, D élabré, I.ucenay, m êm e Jour, à p a rtir de 18 heures- Télé club jau n e et b leu porte ses fruits et s ’é tan t classé que 3* au ch am p io n n at de gauche e t cap itain e de l ’équipe 1, Mi G o n n ar, B ourduge, M eunier, Jev ad o u x , que les équipes de l’A. S. M. sachent France, M ontagne a été sélectionné en chel B lanchet avec Mlle M arinette LeG u ittard , C Jiarrondièie, Chalet, Gom- phone 58-55. p ro fiter des excellents conseils que M. raison de sa m eilleure p e rfo rm an ce, vedoux. x En fin de saiso n et p o u r p erm ettre m au x . Il est vraisem b lab le quo q uel qui n ’a pas été dépassée en F ra n c e i A L'AMIOALE CYCLISTE ques ch a n g em en ts p o u rro n t être opé aux petites équipes de Jouer encore S aint-A ubin ne m a n q u e ra pas de leur Aux fu tu rs époux, nos m eilleu rs vœ ux ______________________ ré s a v a n t Ils d ép arts, a u ta n t p o u r J'é- quelques dim anches, ré a lise r quelques prodiguer. Notre excursion d u 25 septem bre a u ra cette saison p a r les la n c e u rs de la ca de bonheur. tégorie Juniors. qulpe seconde que pour la prem iere, bonnes recettes le d istric t du Puy-dep o u r b u t la ria n te région de P o n tg i tar la com m ission de m atch, si elle le Dôme o rg a n ise ra encore la Coupe des rô n t ég alem ent apportées m ais nous y baud a fin que les cam arades du groupe C’est un beau sucés p our le Montluuge u ti.s D élégués : MM. Redon, Jio- P etits Clubs, avec le concours du Jour rev ien d ro n s en tem ps utile. AMIOALE CHATEAUDUN. — S ection « cyclo » puissent assister à la concen çom iais qui en est à sa prem ière s a i Voici les dates où elle se d isp u tera : nal le « M oniteur ». lat. J. B aptiste. tratio n de la Goutelle (tom bola, nom son de com pétition et une belle récoin Sp ortive. — T ous les joueurs, anciens 16 23, 30 av ril ; 7 14 21, 28 m ai. L 'en C o n trairem en t à la saison écoulée, p erse p our le S. C. M. qui compte et nouveaux sont priés de passer au te r A LAPALISSE. — S.C.A. C usset 1 et 2 breux prix). cette épreuve ne sera pas ouverte aux gag em en t re sta n t fixé à la som m e m i c o n tre A.A. L apalisse 1 et 2. T rois contrôles sont obligatoires : l*r ainsi dar.s ses ran g s le p rem ier in ter ra in des sports, 55, avenue du C hâteauRouge, à p a rtir de 14 h. 3u, le sam edi équipes secondes de p rem ière division, nim e de cinq fran cs nous som m es cer Le V au riat (café Côte) ; 2* Saint-O urs n atio n al d ’athlétism e à M ontiuçon. ---------de m êm e q u ’aux deux fin alistes de d eu ta in que nom breux seront les petits (café L abourier) ; 3« P o n tg ib au d (café V enant après les titres n atio n au x 24 septem bre, m u n is de leur* équipe clubs qui ch erch ero n t à décrocher la... FOOTBALL-CLUB PAULHAGUET d e xièm e série qui p a r suite de la descen Comtoaineyre) ; a rriv ée : café A ngeller, rem portés p ar ce club, cette prem ière m ents p o u r se m ettre à la disposition m an d e m a tc h soir son te rra in , de p ré te a u to m atiq u e Joueront la saison su i tim bale. P o u r faciliter la tâche du se à la Goutelle, Jusqu’à 11 heures. sélection n ationale m arque bien les ef du cam a rad e Malléo. c ré taria t, prière d ’envoyer l’engage férence le 25 septem bre. S 'a d re sse r à van te en catégorie su p érieu re. Elle m é O rg an isatio n des m atches d u d im a n Rendez-vous de d ép art au siège de forts de la g ran d e société om ni sports m en t d an s le plus bref délai en y jo i rite ra a in si son titre de Coupe des P e G ilbert, secrétaire, P a u lh a g u et, ou télé inontluçonnAise. che contre l ’A m icale L aïque d ’Aubièrel’A. C. C., à 7 h. 30 précises. g n a n t son m ontant. tits Clubs. D 'au tres m od ificatio n s sep h o n er a u 45. PROGRAMMES DU VENDREDI 23 SEPTEMBRE De Ra d io -M a g a z in « R A D IO -P A R IS . — 7 h . ao : D isque». — • t . 6 s D isque*. — t h . 30 : In f o rm a tio n s . — * h . 40 : D isq u es. — 9 h . : In f o r m a tio n » — 9 U. ao t D isques. — 10 h . t t D isq u e » — 10 h. 35 : D isq u es. — U h . s D isq u es. — 11 h . 90 : D isques. — 11 h . 35 i D U q u et. — 19 h . : C au se rie é c o n o m iq u e e t so cia le . — 17 h . 15 : D isq u es. — 12 h . 35 : D isques. — 19 h . 45 : D isq u es. — 13 h . s In f o rm a tio n s . — 13 h . 30 : M élodies. — 13 U. 45 : D isque«. — 14 h . 46 s D isq u es. — 16 h . 16i M élodies. — 16 h. 40 : D isq u es. — 17 h . : M u siq u e d é C h am b re. — i» h . : V iolon. — 1« h . 3» • E m issio n fé m in in » . — 1« J l s D isque». — 19 h . 59 : H e u re . — 90 h . : P o lltlq n » . — 90 b . 15 : M élodies. — 90 h . 30 s E u y B la a — 21 b . 30 : In f o rm a tio n s . — 93 h . 30 i D isq u es. — 92 h . 45 : In f o rm a tio n s . M étéo. — 23 h . s C o n cert. E TABLE ige dans au to- kichouse, lis in w rfn an t d it 'her. i>i’ité à ,“u en tre endomque des lantori de Ml messe f 3 Cyclisme in e. l)é\h ' l-lix pet r ass I s. (pratiques LE GRAND PRIX CYCLISTE du canton de Pontgibaud visite DANS LES_ CLUBS fran s. ju sq u 'a u les P ilon|s p aren ts uu Pend e f ille s , Nouvelles du District du Puy-de-Dôme -•■tembrfl )ts et nous m plet de Athlétlsme Cyclotourisme r i .m .i’ m i lim e n t a tta [e ne sem ble Ians les prem ce s u r Dire jo u r, elle s à m o u rir, rais la cont, elle s’A’oia religion, lin ni' >i'-e le lour n e p as q u a n d elle où l’a u te l le som m et le p a s goûtie v e rsen t i contraire, endnnt les • curé, elle i m ain nu ■e p a r une n ne p e u t refuse au x H a in e s heur , A S o co rry ip u is, le lenq u ’au Meu .. Oh ! q ue hns m e laislu ra p e m e n t î lai. et q u a n d ‘ mon Ame ) q u ’il conco u rn g e, et, lu rire ... m u w u jW jjg u in n K y jn in MNVISIBIiE BEAUTÉ I par Marcelle OAVET xv I IM suw rg.j ,)* i ’ 4 t ' F y l i t 'i l t ) À — Non. Et ne crois p a s que je me décourage ; l’espoir est en moi, te nace, plus fort que tout. Je guérirai ; Je veux guérir. Non seulement pour m oi ; m ais pour elle, fit-il avec for ce, en serrant d a n s les siena les doigta de M arie-A im ée. P o u r lui fai re une vie de râve, pour lui rendre en bonheur tout ce qu’elle me donne en dévouem ent de toutes les heures, de tous les instants ; pour la remer cier et l ’aimer. Et surtout, je veux guérir pour « la revoir » l A ces m ots Jetés avec passion, Ter n is observa Marie-Aimée. Elle avait p âli, et son visage s’était comme creusé ; cependant elle dit, d ’une voix calm e, et comme l’on fait lors q u ’on parle aux enfante : __ Mai* oui, vous guérirez, Ga briel ; vous reiverrez la beauté des choses, la splendeur de la nature, les oeuvres m erveilleuses des artistes, tout ce que vous aim iez tant contem pler... et mes yeux, dans lesquels il n ’y a que votre image. Ternis se dem andait avec stupeur de quelle comédie odieuse ou adm i rable il était le tém oin, et si cette jeune fille au visage sans grâce, m ais à l’âme ardente, sim ulait une ten dresse qu’elle n ’éprouvait pas, ou brûlait toute d’un admirable amour. _ Je suis venu te voir, dit-il à son cam arade, parce que peut-être vaisje t’apporter le moyen de hâter ta guérison. Au cours de mon sépour en Suisse, j’ai fait lâ-bas ta con n ais sance d'un occuliste remarquable. Un savant, dont lee m éthodes, d’a-ton dit, accom plissent des m iracles. Il venait à la m aison de repos où J’étais installé, voir fréquemment une jeune femme atteinte de neurasthé nie aiguë, à laquelle le rattachait des liens de parenté. Nous avions eu 1 oc casion d’échanger quelques paroles, lorsqu’un «oir, à Lausanne où j étais deecendu, Je l’ai rencontré dans un restaurant II est venu vers moi très aim ablem ent, m’a demandé des nouvelles de la m alade qui l’intéreseait, et, tout naturellem ent nous avons diné ensemble. Pendant le re pas, J’ai dû, sur ses in sta n ce^ lui raconter la catastrophe aérienne dont «w— „ .„ ..j été victim es, et au’il con naissait, bien entendu, par les jour naux. Alors, le lui ai parlé de toi, de tes yeux atteinte, des traitem ents «ans résultat« que l’on t'avait fait su bir, et il m’a dit : « Je verrai le ca pitaine de Saint-Veyran avec plai sir. Il y a dans son cas, quelque cho se de très intéressant. Il a subi un choc nerveux dont il doit guérir. Pourrait-il venir Jusau’à moi ? J’ai répondu que oui, tu le penses bien, et nous avons convenu qu’au moment où il se trouverait absolum ent libre de t’exam iner et de te soigner, il m ’en informerait. Je n’ai pas voulu t’écrire tout ceci, pour ne point te donner un espoir, qui, peut-être, pou vait sombrer. Car le docteur Méra passe pour un original, et il aurait pu, fort bien oublier notre conversa tion, ou partir à l’improviste pour un lieu Inconnu, ce qui, paraît-il, lui arrive souvent. Avant mon départ de Suisse, je n’ai pu lui dire adieu ; j’ai laissé un mot à sa clinique, sans beaucoup d’illusion, j’avais tort. Ce matin, je reçois une lettre des plus pressantes ; il t'attend. Veux-tu es sayer cette chance mon ami ? Gabriel eut un cri, un élan ; — Si je veux I... Ah I Ternis I... E t il serrait dans les siennes, à les briser, les m ains de son camarade. — Guérir !... retrouver la lumière... vous voir, Marie-Renée répéta-t-ll avec exaltation. — Calme-toi, Je t’en prie. Je ne t'ai pas dit que le docteur Méra était infaillible. Sa science est grande, m ais il n ’est qu'un homme ; il faut avoir confiance, mon vieux, maie être prêt, m algré tout à supporter une nouvelle désillusion, sinon pro bable, du m oins possible. — Je sais ; du courage, J'en al, j ’en aurai jusqu’à mon dernier souf fle. Et de la oatience, je n’en ai plue pour J’instarit M aintenant que tu m ’as jeté cette espérance, André, le suis comme ivre. Je veux partir, je veux partir... demain, ce soir... tout de suite t... Marie-Aimée posa une petite main caressante sur le beau front qui s ’en fiévrait. — Oui, Gabriel, vous avez raison il faut aller là-bas : ce soir ne me paraît pas m atériellem ent possible, m ais je vous jure que demain tout sera prêt. Et, ajouta-t-elle, hésitante un peu, je vous accompagnerai. Il y eut, sur le visage tourmenté de l’officier une crispation involon taire, et d’un geste instinctif, Il re fusa. — Non Marie-Renée ; pas vous, Je désire pour toutes sortes de raisons, que ce soit Ternis seul qui fasse le voyage avec moi. Tu veux bien, An dré ? — C’est ainei aue Je l’avais com pris. Le docteur Méra attend ma ré ponse ; Je vais la lui faire parvenir d’urgence. Il se leva, posa sur l’épaule du capitaine de Saint-Veyran une main affectueuße et recommanda : . Ne t’agite pas inutilement ; tâche de passer une bonne et calme nuit ; demain eoir nous prendrons le rapi de pour Lausanne. A bientôt mon vieux. je voue accompagne, com m an dant, dit à côté de lui, la petite voix de Marie-Aimée. Ils descendirent l’escalier en silen ce, et quand ils furent dans le hall, devant la porte d’entrée, elle s ’ados sa au mur, et lui fit face, résolu ment. je vous remercie, dit-elle, de n ’avoir pas révélé la vérité à Gabriel. — Mais, c’est que, s’écria-t-il spon tanément, la vérité Mademoiselle, je ne la comprends pas. Elle sourit ; — Il y a une chose tout de même que vous avez compris ; c'est que, la croisière en mer, c’est Marie-Renée qui la fait ? — Evidemment, m ais... — Mais je la remplace ici, tout sim plem ent Ma sœur n ’eet pas fai te pour l’ombre, le silence... — Et le dévouement, osa-t-ll ajou ter. - I II faut comprendre, insista-t-elle et ne pas l ’accuser. Une femme si jeune, si belle, doit éprouver de mul tiples tentations. Enfin, ma sœur a toujours aimé le monde, les distrac tions, la vie trépidante et joyeuse. Et ici, auprès de notre cher mnlade, c’est le calme, l’uniformité, et la m é lancolie. Ce voyage, mon Dieu, il était si naturel qu’elle l’accom plis se 1 Cela ne l’empêche pas d’aim er •on fiancé l Quand Gabriel sera guéri lie iront dans le monde ensemble, et ils seront très heureux, Je vous l’as sure. Une question m onta aux lèvres de l’officier : — Et s’il ne guérit pas Y Elle se troubla quelque peu. — Alors. Je ne crois pas que ma sœ ur se décide à l’épouser. D’ail leurs, lui-même ne voudrait pas 1a lier à un infirme. Ils auront raison de renoncer... Cela vaudra mieux pour tous deux. — Oui, peut-être, murmura-t-iL — En ce moment, pour qu’il ignore le départ de ma sœ ur dont, m algré toute son abnégation, je suis certai ne qu ’il aurait atrocement souffert, j’ai b’en voulu Jouer un rôle. U croit que Marie-Aimée vogue sur la mer bleue. Il croit que Marie-Renée e»t là, toujours là, proche de ses m ains, de ses lèvres... proche de son cœur. Il est heureux. Jam ais, depuis cette horrible catastrophe, il n’a connu un tel bonheur. Je m 'ingénie à le diser ; je lui parle de traire, à r l'avenir ; je lui verse dans l'âme tout l'espoir que Je n'ai pas. Quand il reviendra de Suisse, si ce docteur Méra guérit ses pauvres yeux, il re trouvera ici Marie-Renée , Jamais il ne saura que par pitié, par cha rité, je lui ai menti durant de longs jours. Et quand il sera marié, heu reux, comblé, à peine se souviendrat-il de cette Marie-Aimée, obscure, insignifiante et sa n s charm e. P A R I S - P . T . T . — 7 h . : D isq u es. - 7 h . 15 : D isq u es. — 7 h . 30 : L ’in v ita tio n a u v o y a g e. — 7 h , 45 : D isques. — g h . : C h ro n iq u e . — 8 h . 10 : D isq u es. — 8 h . 90 : O r p h é e a u x e n fe rs. — 8 h. 30 : J o u r n a L — 9 0 . 37 : D isques. — 8 h . 50 : D isque». — 9 h . : J o u r n a l. — 9 h . 7 : P o t p o u rr i. — 11 h . 45 i C o n ce rt. — 12 h . 30 : M élodies. — 12 h. 45 • J o u r n a l. — 13 h , : S u ite d e c o n c e rt. — 13 h . 4ô : C h ro n iq u e d u to u rism e . — 14 h. 90 • L ’h is to ire d e P a r is p a r les r e f r a in s p o p u la ire s . — 14 h . 30 : P a ris -M o n d ia l. - 15 h. 55 : D isques. — 18 h . : M élodie». — 1« h . 3o : C h a n so n s. — 16 h . 45 : D isque». — 17 h .: M u siq u e v a rié e . — 18 h . 30 : M élodie». — 18 h . 45 : P ia n o . — 19 h. : j o u r n a l . — 20 h . 30 : C o n cert. — 92 h . 30 : J o u r n a L I n f o rm a tio n s . — 22 h . 45 s D isques. P O S T S P A R I S I E N . — 18 h . 10 : C o n cert. — 18 h . 50 : C au se rie â b a to n s ro m p u s. — 18 h . 55 : T ro is m in u te s à .... — 19 h . 12 : L e f a it d e la s em a in e . — 19 h . 17 : P a r a d e d u m o n d e . — 19 h . 45 : C o n ce rt. — 90 h . 10 : Le jazz F r e d A dlson. — 20 h . 35 : R éc ré a tio n . — 21 h . : R e tra n s m is s io n . — 24 h . t In f o rm a tio n s . LYON-LA DOUA. — 11 Yl 45 : C o m m u n iq u é» — 12 h. 15 : D isques. — 12 h. 30 : L a v ie a u g r a n d a i r . — 12 b . 45 : L ille . — 13 h . 30 t D isques. — 14 h. : T o u lo u se . — 14 h . 45 : G re n o b le . — 15 h . 45 : N ice. — 17 h . : B o r d e a u x . — 17 h . 45 : O rc h e stre d e la s ta tio n . — 19 h . : D l6ques. — 19 h . 30 : J o u r n a l. — 20 h . : R ev u e d e l a p resse. — 90 h . 13 : Va rié té s . — 90 h . 26 : D isque». — 20 h . 30 : S o irée d » v a rié té s. — 22 h. 45 : In fo rm a r tio n s. RA D IO -T O U LOU SE . — 8 h . : L a m in u te d e bébé. — 8 h . 30 : In f o rm a tio n s . — 8 h. 45 : O rc h e stre d e g e n re . — 8 h . 55 In f o r m a tio n s . — 12 h . : Dan.se. — 12 h . 5 : C h an ts. — 12 h . 20 : In fo rm a tio n s . — 12 h. 30 : B al c h a m iié tre . — 12 h. 45 : Q u a r t d ’h e u re d e* a u d ite u r s . — 13 h. 15 : R ef-.-m » d ’o p é re tte s. — 13 h . 40 : F a n ta is ie ra d io p h o n lq u e . — 13 h . 45 : L a q u a r t d ’h e u r» de» a u d ite u rs . — 13 h . 55 : In fo rm a tio n » .— 14 h .: P resse. — 18 h . : In fo rm a tio n s . — 18 h. 15. A irs d ’o p é re tte s. — 18 h . 40 : M arch e » m i lita ir e s . — 19 h . R e f ra in s m u s e tte . — 19 h. 15 i C h a n s o n n e tte s. — 19 h . 45 ; C o n c e rt v a rié . — 30 h. 9 : in fo r m a tio n s . — 90 h. 30 : C o n cert. — 90 h. 46 : o r c h e s tr e d e s a lo u . 91 h. 15 : F a n ta is e ra d io p h o n lq u » . — 21 h . 33 ; L a c a b a n e c u b a in e . — 22 h. : D em i-h eu r e de» a u d ite u r s . — 22 h . 45 : B al c h a m p ê tre . — 93 h . : G ra n d o rc h e s tre . — 93 h . 15 : L j C av e a u . — 23 h . 30 : E m issio n c o lo n ia le . — 23 h . 55 : In f o rm a tio n s . DEPECHES COMMERCIALES L ondres, 22 se p te m b re Caoutchouc. — O uverture. P a r a dis p o n ib le,.? 3/4. P a ris, 22 septem bre. Sucres. — T endance soutenue. Cou ra n t 3u9 ; p ro ch ain 301,50, 302 ; 3 octo bre 302 , 302,50 ; 3 novem bre 302,50, 803 j 3 Janvier 304,50, 305 ; 3 février 306, to u i payés. Le H avre. 22 septem bre. Cotons. — T endance à peine soute nue. Ja n v ie r 443 ; février 446 ; m a r t 448.50 ; a v ril 456 ; m al 457,50 ; Juin 4G2 ; Juillet 464 ; septem bre 431 ; octobre 431.50 ; novem bre 434 ; décem bre 439. Cafés. — Tendance soutenue. V entes, 3.000 sacs. Jan v ier 239,25 ; février 240,25; m ars 238.50 ; avril 238.50 ; m ai 240.75 ; Juin 242,25 ; Juillet 244.75 ; août incoté; septem bre 232,25 ; octobre 231.75 ; no vem bre 231,75 ; décem bre 235,50. Bourse de Commerce de Paris Cours de clôture du 22 septembre AVOINES. — T endance calm e. Dis ponible cote officielle 107 ; co u ran t 106.75, P. ; prochain 107.25. 107,75 ; no vem bre 107,25; P. ; 3 octobre 107, 107,50 ; 3 novem bre 107, P. ; 3 décem bre 107, 107,50 ; 3 Jan v ier 107,50, 107,75,P. ; 3 février 108, 108,25, P. MAIS. — T endance calm e. C ourant incotô ; p ro c h a in 124, A. ; novem bre 124 A. ;3 octobre 124, A. : 3 novem bre 124! A. ;3 décem bre 124, A.; 3 Janvier 124, A. ;3 février 124. A. FARINES. — Incotées. SEIGLES. — Incotés. ORGES. — T endance calm e. Disponi ble Cote officielle 137. C ourant Incoté; p rochain Incoté ; novem bre 136, A. ; § octobre 137, A. : 3 novem bre 137.75, V. ; 3 décem bre 137.75. V. ; 3 Janvier 137.75, V. ; 3 février 136,75, V. HUILE DF. LIN. — C ourant 395, V. ; irochaln 390. V. ; novembre-décembre proi §90. V ; 4 novem bre 391. V. ; 4 Janvier 392! 396. HUILE DE C O yiK . — Incotéé. La presse française est la m eil leure tribu n e pour annoncer une m arch an dise de Qualité répéta — Et s ’il ne guérit pas il André A i i a r e Ternis. îe ru i» . obstinément as pâles de la jeune fille Les m ains sem blèrent comprimer avec peine lee de «son cœur. Elle leva battem ents — ______ — vers l ’officier ce visage dont eile s'exagérait la disgrâce, et dans le quel à cette minute, il ne vit que le splendide regard. — S ’il ne gu irit pas, dit-elle avec sim plicité, peut-être m’acceptera-t-il pour amie, pour com pagne... peutêtre, ne se souvenant plus que je suis laide, en arrivera-t-il à m aim er. Et de la bouche frém issante, 1 aveu tomba, irrésistible : — Car mol, je l’aime de tout« mon âme. XVI Il y avait à peu près q u in z e Jours q u e Gabriel de Saint-Veyran était parti pour la Suisse, accompagné par son am i, lo rsq u e rue G u y n e m e r, une lettre de Marto-René«, attendus depuis fort longtemps, arriva enfin. — Elle doit annoncer son retour, dit Thérèse brisant l'enveloppe. Cette séparation, qui lui paraît légère, m« devient de jour en jour plu« pénible. Je m ’habltueraJ mal, hélas 1 1« 1« prévois, aux absenoes de m es filles. Elle se mit à Ur«» et à m esure que les ligne» se déroulaient sous •«• yeux, une surprise indicible, une sorte de stupeur, pul« de contrariété, se reflétaient sur son vi«age. . M suivre.j L'AVENIR ÖU PLATEAU CENTRAL 6 BULLETIN FINANCIER V, Y A  H B i M w ù Ë k* ^ - dit TANTE La saison d*automne sera toujours une saison brillante et heureuse pour les femmes en bonne santé, c'est-à-dire pour celles qui font leur cure coutumière de JOUVENCE DE U A B B E SOURY. Ce merveilleux mélange de plantes choisies assure • depuis plus de cent ans - agréablement et à peu de frais, le salut de la femme à chaque chan gement de saison, ainsi qu'à tous les âges de la vie• Pour “remettre le sang dans le bon sens”, il n'y a qu'une Jouvence, la JOUVENCE de l'ABBÉ SOURY. La JOUVENCE d• l ’ABBÉ SO U RY •« fait an liquida ou pilulaa. CA.<* I Exigez bien, dana l ’intérit de votre eanti, la véritable JO U VENCE de l ’A B B É SO U R Y qui doit portât ù portrait de l ’A B B É SO U R Y et, en rouge, ta eignature Mag. DUMONTIER, METRITES -FIBROMES MAUVAISES SUITES DE COUCHES TUMEURS • VARICES PHLEBITES HEMORROÏDES ACCIDENTS DU RETOUR D'AGE CHALEURS - VAPEURS ETOUFFEMENTS Paris, 22 septem bre. L a B ourse a eu a u jo u rd ’h u i u n e allure assez irrégulière, sin o n agitée. A u d é b u t de la séance, à la su ite de b ru its te n d a n c ie u x co n cern a n t la si tu a tio n en Tchécoslovaquie, le m a r ch é a eu u n accès de lo u rd eu r e t les cours d ce m o m e n t, c ’e s t-à -d ire im m é d ia te m e n t après l’o u vertu re, o n t m ê m e flé c h i assez b ru sq u em en t, pu is le ca lm e s’est réta b li e t ju sq u e vers 2 heures, il n e s’e s t p ro d u it au cu n m o u v e m e n t n otable. C’est alors que se p ro d u isit u n red ressem en t qui f u t aussi brusque que l’a va it été le glis se m e n t d u d éb u t. D ’u n e p a rt, la m ise au p o in t des b ru its signalés plus h a u t v in t m o n tre r au m a rch é que son ém o tio n n ’é ta it pas fo n d ée. D ’a u tre p a rt, la co n s ta ta tio n d ’une fo r te a u g m e n ta tio n de la circu la tio n fid u cia ire au b ila n h eb d o m a d a ire de la B a n q u e de F rance p ro d u isit, su r le m a rch é, l’e f fe t d ’u n s tim u la n t. Quoi q u ’il en soit, im p ressio n plus en courageante du côté e x té rieu r ou in te rp ré ta tio n « h au ssière » de l’ac cro issem en t des signes m o n éta ires. L a fin de la séance a ra ch eté p a r l’a m b ia n ce de fe r m e té d o n t elle a été em p re in te la faiblesse d u d éb u t. D ans le fa it, de n o m b reu ses valeurs, ta n t fra n ça ises qu’étrangères, rega g n e n t e n clô tu re to u te ou p a rtie du terra in p a rfo is appréciable perd u au d éb u t. M ais la v e d e tte re v ie n t au Suez, qui te rm in e en h a u sse de 500 fr . su r le d ern ier cours de la veille, e t de quelque 700 fr . su r le p lu s bas de la jo u rn ée. M ines d ’or e t S tr u s ts S u d -A fric a in s b é n é fic ia n t ég a lem en t d ’u n bon co u ra n t de d em a n d e. E n te rm in a n t, m e n tio n n o n s u n e ce rta i n e te n sio n des changes, le dollar, en p a rticulier, re p re n a n t à 37,08 1/2 co n tre 36,96. A te rm e ég a lem en t, les re po rts se te n d e n t quelque peu. MARCHÉ AUX BESTIAUX La Vlllette, 22 septembre. ALLURE GENERALE DU MARCHE GROS BETAIL. — Les arrivages assez amples o nt rendu la vente lente avec cours sim plem ent défendus. On cote à la livre nette : BŒUFS. — Les bœufs blancs charollais, nivernais, bourbonnais, berrichons so u R y ; ont valu en beaux châtrons extra al lant jusqu’à 800 livres de viande nette 4.90 à 5.20 ; bons anim aux de 800 à 1.200 livres 4.50 à 4.80 ; bœufs ordinai res 4.10 à 4.40. Les Salers du Centre et bœufs rou ges divers ont été faits en extra 4.50 à 4.90 ; en bons bœufs 4.10 à 4.40 et en ordinaires 3.70 à 4 fr. Les bœufs du Midi se sont vendus de 4.30 à 4.60 ; bons bœufs 4 à 4.20 ; ordi naires 3.60 à 3.90, et les bœufs gros siers de toutes races de 3.40 à 3.70. VACHES. — En vaches, les jeunes ont changé de m ains de 4.20 à 4.70 ; ordi naires 3.60 à 4.10 ; médiocres 3 à 3.50 ; viande à saucisson 1.50 à 2.50. TAUREAUX. — Jeunes taureaux de ferme ex tra 4 à 4.60 ; bons 3.80 à 4.2 ordinaires 3.20 à 3.70. P aris 21 septembre. J g a ris 21 septembre. VEAUX. — Les besoins étaient fort SITUATION AGRTCOLE. — Le temps modestes et les cours se sont affaiblis Foin toujours difficile à trouver, par malgré l ’offr© moyenne. PUY-DE-DOME Fromages de chèvres, 1.50 â 1.75 ; contre, offres plus abondantes en four est redevenu sec et doux au jourd’hui MONTFERRùND. — M arché de la Ro- fromages de vaches, 1.75 à 2 fr. ; œufs, rages artificiels (luzerne et regain). après plusieurs Journées fraîches et hu On cote à la. livre nette : d ade d u jeudi 22 septem bre. — Bœufs, 7 à 7.25 la douzaine ; 'beurre, 8.50 à Foin en hausse do 5 francs, fourrages mides. Le Sud-Ouest a des alternatives Les veaux m u t à fait extra de 130 à artificiels baisse de 5 francs, en pailles décevantes de pluie et de beau temps. 170 livres de viande des meilleures pro 2 ; vaches, 44, premier« qualité, 5 à 5.50 8.75 la livre. On commence à signaler de légères ge tendance soutenue. le kilo vif; 2» quai. 3.50 à 4.50 >e kilo CANTAL venances ont valu par bandes de 6.50 vif ; 3® qualité, 2.50 le kilo vif. Veaux, 1™ q u a i 2e quai. 3e quai. lées blanches, m ais il ne semble pas à 6.90 et de 6.90 à 8 fr. a u détail. Veaux LA CHAPELLE-LAURENT. — Marché. qu’il y ait eu des dommages bien ap plus ordinaires des bons rayons 6 à 110, de 6.50 à 10 fr. le kilo vif ; moutons, de b.. . 220 à 230 205 à 215 190 à 200 préciables. Les labours d ’automne s ’ef 80, de 4 à 4.50 le kilo vif ; agneaux, — Le m arché dominical a corunu son P. P. de s. .. 225 à 235 210 à 220 195 à 205 fectuent d ’une façon excellente et la 6.40. 190, de 6.50 à 7.50 le kilo vif ; porcs, anim ation habituelle. P d ’av. .. 235 à 245 220 à 230 206 à 215 En veaux à robe blanche on a fait premiers semis donne satis43, de 9.70 à 10 fr. le kilo vif. Voici les cours : Luzerne. . 395 à 406 355 à 375 325 à 345 levée des ou ne laissé aucune crainte, les les m eilleurs de 5.80 à 6.80 et les morLEZOUX. — M arché du 17 septem bre. Beurre, 8 fr. la livre ; œufs, 7 fr. la Regain. . . 390 à 400 350 à 370 300 à 340 faction terres étant meubles, humides et tièdes vandiaux de 5.80 à 6.30 ; lim ousins 6.10 — Bon m arché largem ent approvisionné douzaine ; fromages de la montagne, ■Foin • • . 410 à 420 370 à 390 340 à 360 à souhait. Les travaux se font très ac à 6.50. en légumes, fruits, produits de la ferme 6 fr. la livre ; de chèvres, 1,50 pièce ; Les prix ci-dessus s’entendent aux tivement. Les regains ont à peu près _ et denrées de toutes sortes. Les tra n poulets, 6 fr. la livre ; lapins, 3 fr. la 104 bottes de 5 kilos, rendu franco de tous rentrés et l ’on s’occupe de l'a rra Broutards de ces régions : 4 à 4.50, sactions ont été actives et faciles. Les livre ; vieux coqs et poules, 5 fr. la camionnage et d ’octroi, a u domicile de chage des po-nunes de terre. Laus ie MOUTONS. — Les arrivages étaient m archands forains et étalagistes étaient livre ; pigeons, lu fr. la paire ; canards l’acheteur, dans Paris, pourboire en Mich, les vendanges se sont étendues trop justes pour les besoins, pourtant en nombre. Cours enregistrés ce jo u r : 5 fr. la livre ; lièvres, 6 à 6,50 la livre ; sus. à tous les districts du Languedoc et modestes. Les cours ont pu être rele Halle au blé. — Blé, au cours offi perdreaux, 12 fr. pièce ; lapins de droits d ’octroi de P aris sont aux l ’on constate une bonne qualité p ar vés surtout en seconde. ciel ; avoine, 112 à. 115 fr. ; seigle, 130 garenne, 12 fr. pièce ; écureuils, 3 fr. 100Lesbottes On cote à la livre nette : de 40 francs pour les four tout, en dehors des régions inondées à 135 fr. ; orge, 150 fr. ; pommes de pièce ; veaux, de 3 â 4,50 la livre. récemment. Les cultures maraîchère.» Les agneaux extra faisant jusqu’à 36 rages et de 15 f rancs pour les pailles. terre, de 75 à 80 fr., le tout aux sont norm alem ent avancées et l’on es livres de viande nette ont été traités MURAT. — Marché. — Beurre, 8.50 100 kilos. père de bons rendements pour les four en Southdown 8.70 à 9.20 ; croisés 8.40 à 9 fr. la livre ; œufs, 7,50 à 8 fr. la Marché couvert. — Beurre, de 9 à douzaine ; poulets, 7 à 7,50 la livre ; rages tardifs. à 9.10 ; Dishleys-mérinos 8.60 à 9.20 9.50 la livre ; œufs, 7,50 la donzaine ; poules, 6 à 7 fr. la livre ; pigeons, BLES INDIGENES. — Pour septem bourbonnais, nivernais 8.10 à 8.80 ; ber from ages du pays, de 4 à 4,50 ; Saint- 10 à 12 fr. la paire ; canards, de 22 bre, les producteurs recevront de 182 richons 8 à 8.70. Nectaire, 6 fr. ; Cantal, 5,50 ; bleu d ’Au à 25 fr. l'uni ; lapins, 3,50 A 4 fr. la à 157 francs, selon production. La meu En moutons de ferme on a tenu les P aris 21 septembre. vergne, 6 et 6,25 ; fourme d’Ambert, livre. nerie paye aux organism es vendeurs Dishleys-mérinos 6.70 à 7.40 ; bourbon Les environs de P aris approvision 203 francs et aux contributions indirec 6.50 ; fourme de Noirétable, 7 fr. ; nais, nivernais 6.40 à 7.10 ; berrichons NEUSSARGUES. — Marché. — Le nent toujours norm alem ent le carreau tes, 16 fr. gruyère, 7,50 «à 8 fr. aux 500 gramm es ; m arché du mercredi 21 septembre, a des Halles en sortes de consommation 6.30 à 7 fr. chèvretons, je 2 à 3,50 l’un. SONS ET ISSUES. — La fabrication très important, les cultivateurs s ’y habituelle avec naturellem ent prédomi Les moutons auvergnats m anquent Volailles. — Poulets de grain, de 5 été demeure des plus lentes alors que les étant rendus non seulem ent pour la nance d’Lersteriingen dans la demande limousins 6.40 à 6.70 ; bizets du Plateau à 6 fr. ; poules et coqs, 4,50 ; canards, vente des anim aux, mais aussi pour la ce besoins sont pour le moment réduits qui permet de tenir les prix de cette p ar suite de la situation herbagère Central 6.20 à 6.60 ; lozérots 6.10 à 6.50 ; de 3,80 à 4,25 ; oies, 4,50 à 5 fr. ; din- vente des grains. Les veaux 6e sont variété. ar contre, les hollandes et la assez favorable. gascons et aveyronnals 6.10 à 6.60 donnes, 5,50 , pintades, 6,50 ; lapins, vendus en moyenne de 2,50 à 3,50 la saucisse Prouge les p rix sont plus Puy-de-Dôme m arquent. 2,25, le tout au demi-Kilo poids vif ; livre ; quelques bètes de choix, dits rlevés ont subi udont On cote les sons gros de 82 à 83 et n léger tassement. Sur En brebis on a vendu les Dishleyslapereaux, 6 fr. à la pièce ; pigeons veaux blancs se sont payés de 3,75 à le marché de gros aujourd’hui le volu l ’ôrdinaire, 80 à 81 ; recoupettes, ordi domestiques, 12 fr. ; fuyards, 6,50 à 4.25 la livre ; les moutons valaient de me des affaires a été insignifiant, ce naires, 80 à 81 ; belles, 82 à 83 ; re mérinos 5.10 à 5.50 ; bourbonnaises, nl7 fr. à la paire. 180 à 210 fr. l’un ; les porcs gras de qui s ’explique parfaitem ent par les m oulages ordinaires 94 à 95 ; demi- vernaises 5 à 5.30 ; gasconnes 4.70 à Gibier. — Lapins de garenne, 10 fi 420 à 440 fr. les 50 kilos et les agneaux craintes résultant de la crise in tern a blancs, 105 à 110 ; blancs, 120 à 125 ; 4.90 ; m ères usées 3.50 à 4 fr. 12 fr. ; perdreaux, 9 à 12 fr. ; cailles, de 5 à 6 mois, de 140 â 160 fr. l ’un. Les tionale. extra blancs, 130 à 135. PORCS. — Vente difficile avec recul de 3,50 à 5 fr. ; râles de 4 à 5 fr. à bonnes lentilles du pays se payaient SEIGLES. — Les affaires restent très de dix à vingt centimes au kilo vif Au m arché des Innocents, on cote la pièce ; lièvres, 5,50 la livre. de 400 à 420 fr. les 100 kilos. calmes. Il n ’y a que peu de besoins et pour m archandise en vrac au x 100 ki On cotait au kilo vif : Marché aux bestiaux. — Veaux, de les quelques offres qui so présentent Marché d ’approvisionnem ent : Beurre los, sur wagon départ : 7 à 8 fr., suivant qualité ; porcs gras, Porcs m aigres extra d ’environ 100 trouvent difficilement à se caser. Les 8.50 à 9 ,50 la livre ; fourme et SaintH énaut Loiret 95 à 98 ; P aris 102 à 105 de 9.60 à 9,75 le tout au kilo. kilos vifs 9.80 à 9.90 ; bons maigres de Nectaire, 7,50 ; œufs, 7 à 8 fr. la dou (culture) ; Julie de Bretagne 75 à 80 ; cours sont faiblards. pays 9.60 à 9.80 ; petite m archandise MARINCUES. — Marché du 19 sep zaine ; petits fromages de chèvres de On traite : Beauce, Loiret, Sologne, 8.90 à 9.10 ; cochons un peu épais de tem bre 1938. — Gros marché fortement 1.25 à 1.75 suivant grosseur ; vieux coqs m ayette de Bretagne 65 à 70 ; duchesse 124 à 125 ; Champagne, 126 à 127 ; Loi l’Ouest du Centre 9.50 à 9.70 ; porcs approvisionné. Prix fermes avec légère et poules, 8 à 9 fr. le kilo ; poulets, 12 Bretagne 60. I j i saucisse ronge de Bretagne vaut re Haute-Loire, Vienne, 125 à 126 ; de l’Aveyron, de Corrèze, du Limou hausse sur le beurre et les œufs. Mar à 15 fr. l’un ; canards, de 5 à 5,25 la Bretagne, 126 à 128. en tout venant 55 et en grosse triée 62 sin, du -Midi (culs noirs) 910 à 9.70, ché aux fruits, très alimenté, a connu livre ; lapins, de 3,25 à 3,50 la livre ; à 64 ; Vendée 98 à 100. SARRASINS. — Le m arché semble u ne vente très active. Coches 6.90 à 7.70 ; laitonnes 7.30 a lièvres, 5,50 la livre ; pigeons, de 10 à Etoile du Nord, du Loiret 55. Idéale cette fois stabilisé. Il y a cependant 9.40. Voici les cours pratiqués : 12 fr. la paire ; perdreaux, de 10 à 12 fr. Nord 38. er.co«re peu de demandes. Beurre gros pain 9.50 à 10 fr. ; petits l’un ; pommes ae terre, 1,25 le kilo. Porcelets d ’élevage 230 à 280 fr. la Eersterlingen, Nord 41 à 42 ; Oise 41 La Bretagne tient le septembre 132 à ains 10 à 10.50- fromage du pays 4.50 à à 42 • Somme, Aisne 42 ; Maine-et-Lolr 134 ; octobre 131. Les 6 d’octobre valent pièce suivant grosseur et qualité. HAUTE-LOIRE fr ; fournie du Cantal 5 à 5.50 ; bleu 50 ; Sarthe 48 à 50 ; Loiret 42 à 44 ; 134 à 135. d ’Auvergne 5 à 6 fr. ; Saint-Nectaire BLESLE. — Foire du 20 septembre. — re P aris (culture) 40 à 42. 5 50 à 6 50 ; fourme d’Ambert 6 à 7 fr. ; La foire du 20 septembre, dite ancien AVOINES. — La faiblesse continue de Cours approximatifs Early. Sarthe, Touraine, Poitou 50. cTuyère 7 à 8 fr. ; Saint-Marcelin 6 h nement • Foire des Vendanges », a constatés par kilo poids « vif » Ronde jaune de Pont-Labbé 38 à 40 ; s’accentuer. Il faut vraim ent croire que 6 50 le tout à la livre ; œufs 7 à 7.50 passé presque inaperçue à Blesle. La Sarthe 50 ; Alsace 38 ; Floucke de St- tout le monde s’inquiète de voir que l r® q . 2® q . 3® q . E x t là douzaine ; poulets de grain 6 à 6.50 ; raison en est que les cam pagnes envi Malo 50 nominal. l ’on s’occupera beaucoup trop de déna coas et poules 5 à 5.50 ; oies 4.50 à 5 fr.; ronnantes sont en ce monient-ci en turation en ce qui concerne la» résorp B œ u f s ..................... . 5 88 4 73 3 75 6 39 Rosa, Marne 85 ; Sarthe 82 à 83 ; Loi can ard s 4 à 4-50 ; pintades 5 à 6 fr. ; pleine saison ae battage, et avec le re* 80 ; M arbihan 72 à 73 ; COtes-du- tion des excédents de blé. On ne devra Vaches................. 5 88 4 54 3 40 6 98 dindes 5.50 à 6 fr. ; lapins 2.90 à 3.10, le m auvais iemps de ces jours derniers, pas oublier que les pertes de cours sut T a u r e a u x i... . . . , 4 74 40 7 3 45 5 33 tout à la livre ; pigeons moyens 6 à nos braves cultivateurs n ’ont pas vou Nord 73 à 74. 8 76 7 52 6 32 9 61 l ’avoine viendront tout naturellem ent V e a u x ..................... 7 fr la paire ; gros pigeons de ferme lu perdre une journée. Peu de bétail en déduction du p rix net du blé. M o u t o n s ................. , 8 60 6 63 5 13 9 15 sur le cham p de foire. Quelques porcs 10 A 13 fr. la paire et suivant grosseur; Au marché libre, on a traité au jo u r P o r c s ...................... 9 60 9 » 7 » 9 90 gras qui ont atteint 4 fr. 50 la livre, AMBULANCES CLERMOiNTOlSES d ’hui aux 100 kilos, départ, grise de lanins d ’élevage 6 â 7 fr. la pièce. B r e b i s : 3 .4 4 à 5.17. Gibier — Lièvres 5 â 5.50 la livre ; des petits porcs pour l’élevage qui, printem ps : Beauce, Eure, Brie, 102 à COUCHETTES PNEUMATIQUS ARRIVAGES. - - 1.363 b œ u f s , 9(Æ va tanins de garenne 10 à 13 fr. ; perdreaux pour La plupart ont été invendus, et Suspension spécial* 103 ; gTise d ’hiver, Poitou, Centre, 103 1? à 12 fr. ; cailles 4 à 5 fr. ; râle des quelques moutons et brebis. à 104 ; noires d u Centre 101 à 102 ; jeu c h e s , 22 t a u r e a u x , 1.376 v e a u x , 4.847 ne-blanche RÄ4-103 ; blanches pures, m o u t o n s , 1.284 p o r c s . - LANGEAC. — Mercuriales du 20 sep g A n im a u x d ^ boucherie. — Veau 3.25 tembre. 102 à 103. : . IN V E N U S ., — 25 b œ u f s . 36 v a c h e s , 14 — Beurre, 9 à 10,50 la livre ; à 3 W la livre ; veau extra 3.50 à 4 fr. œufs, 6 à 7 fr. la douzaine ; fromages La Champagne tient les grises 104 ; v e a u x . noires do 107 à 106 ; jaunes-blancbes la livre. du pays, 5 à 6 fr. la livre ; chèvretons, 103. • .>*.-■■■ SAURIER. — Marché aux veaux du 1.25 à 1.50 la pièce ; poulets de grain, __ am enés 40, —. 1. —Km — Veaux ORGES ET ESOOURGEONS/ — Les 6.50 à 7,25 la livre ; poulets, 4,50 à les p o rcs g ra s e t assez b as p o u r les * re. ;« LES SEMAILLES » ® 9 à 4.25 la livre S. ru* J.-SOULACROUF *t 71. n u JOUIS orges de brasserie dénotent encore do 5 fr. la livre ; poules, 9 à 16 fr. la v en d u s 40, de 3.50 l ’incertitude et même de la faiblesse, pièce ; oies, 3 à 3,50 la livre ; dindes, V62LUX. Voici quelques p rix : Ï.300 5 à 6 fr. la livre ; canards, 3,50 à 4 fr. Sommaire du dernier numéro (22* année) Il y a eu peu de demandes. IOTCS V eaux de 3 à 4 fr. la liv re la livre ; pigeons, 6 à 12 fr. la paire ; On traite Beauce. 133 ; Gâtinais, 138 : La charité se concille-t-elle avec une cer Î OS. gras, de 380 à 450 fr. lapins, 2,50 à 3 fr. la livre ; agneaux. taine réserve... blenveilJante T. — Rensei » 1500 tr - l un* A L L .M B eurre, 8,50 la livre ; œ ufs, 7 fr. la Berry, 126 ; Sarthe, Mayenne, 125 à 3 fr. le demi-kilo ; porcs, 4 à douzaine gnements, conseils et note apologétiques au Champagne 133. ; len tilles vertes, de 65 à VICHY — Foire du 21 septembre. — 2.50 4.50 le demi-kilo ; veaux ordinaires, Sur les 4 de janvier, on tient Beau Jour le Jour : pratiques à observer concert double d écalitre (17 kilos). ant « m a » paroisse ; calendrier liturgique 3 à 3,70 le demi-kilo ; veaux première 75Lefr. plero ch ain m a rc h é a u ra lieu le ce 137 ; G âtinais 146 ; Berry 131 ; Cham njusqu’au 25 octobre ; les enfants* catholiques qualité, 4 à 4,75 lé demi-kilo. pagne 143. 27 septem bre. e t l'école libre ; mot de la fin. — Page ex Orge do m outure 123 à 127. ä . CREUSE LEMPDE8. — Marché du 20 septem En escourgeons, les cours sont de pliquée d ’E crlture Sainte : la Parabole du 3.000 tr. • 8™ de 12 â 13 fr. le bre. — Beurre, 8,50 la livre ; fromages, EVAUX-LE8-BAIN8. — M arché d u 19 même plus faibles, faute de voir assez Bon Sam aritain (S. Luc, X.. 25-37). — La » o . » • » > 1 1 2 5 0 * 7.50 la livre ; œufs, 7 fr. la douzaine ; septem bre. — M arché bien app rovision de demandes. diffamation, vilain mot, triste chose l — poulets, 5,50 la livre ; oies, 5,50 la livre ; né. P oulets trè s a b o n d an ts. P ro ch ain On cote en disponible : Beauce 125 Un cas de conscience sur le « choix d’une lapins, 3 fr. la livre ; dindes, 6 fr. la li m arché lu n d i 26 septem bre. ^VILLEFRANCIÂ-D’AIAIER^^— école ». — A propos de l’Evangile de la Champagne 126 ; Brie, 127. vre ; canards, 5.50 la livre ; lapine de Le m alt vaut 250 à 260, départ Nord. messe : les quatre Evangiles remontent-ils Voici le6 p rin cip a u x co u rs ohé du 19 pUgoieillé qui e v a tt garenne, 12 fr. pièce. au premier siècle 1 — Question de catéchis B eurre, com m erce, 16 à 17 fr. le kilo, h in d i de septem b re e . r un marChé Fourme du Cantal, 7,50 la livre ; per^ d étail, 18 à 20 fr. le kilo ; œ ufs, corn me : Dieu voit-il tout t réponse de la rai c o n trib u é à f* jr® miMl fu t v ra im e n t u n drix, 10 fr. pièce ; beurre et œ ufs en m C’est la publicité qui fait Tendre ! son. — Les obstacles « canoniques » au eroe, 7 fr., détail, 7.50 la douzaine abondance. Marché assez bien approvi poulets trè s ab o n d an ts, 10 fr. le kilo m ariage : l'empêchement < dlrtm ant » de sionné. Peu d’étalagistes. parenté spirituelle. — Ce qu'il faudrait con oies, 18 fr. à 22 fr. pièce ; lapins, 3 à h e u re u x de se re ^ o u v e r Adressez-vous en personne à no« naître de l'histoire du christianisme (septiè Voici l e s mercUTiales^. . lapin* •AINT-PAULIEN — Marché du 13 sep 1.20 le kilo ; pigeons, 4 à 5 fr. pièce me article) : une vue d ’ensemble sur les tembre. — Les cours sont à peu près perd reau x , 8 à 9 fr. pièce ; lièvres, 10 clients en faisant de la publicité 70 Lièvres, premières années de l'Eglise. — Con dans les journaux t. les mêmes, c ’est-à-dire très élevés pour fr. le kilo. de parenne‘ •6.7 g .75 à 9.75 ; perdrix rouses. JOUVENCE L'ABBE SOURY FOIRES ET MARCHES FOURRAGES ET PAILLES MARCHÉ AUX GRAINS POMMES DE TERRE RENTRÉE DES C L A 8SES t r GRANDE VENTE RÉCLAME Q U ELQ UES P R I X ----- 1 9 fr. I PARD ESSU S n ou veau té : 99 NORFOLK velours e t drap. PARAVERSE belle qualité. 4 9 7 9 fr. 6 9 f r - I VAREUSE ra tin e bleue : 79 0 9 fr, et q u a n tité d 'a u tre * a rticles à des fr. PRIX PUBLICITAIRES G rand choix de VETEMENTS p o u r HOMMES, JEUNE8 GENS et ENFANTS Puy-d«Auttea CONSORTIUM DES FABRICANTS 1, RUlE DU PORT, PLACE DE LA POTERNE — OLERMONT-FERRAND BOURSE DE PARIS du 22 Septembre 1938 VALEURS C o u rs D e m . p r é c . cour» FONDS D’ETAT VALEURS Cours D em . préc. VALEURS oo uns M. Cours D em préc. co u rs C rédit Foncier (O b lig atio n * ) 76 15 Communales 1879 698 . . 688 . . P.-L-M. fus. anc.. 280 . . 275 . . 76 55 — 3 % 1880 670 . . 655 . . P.-L-M. fus. new . 285 . . 277 » , — 3 % 1891 234 . . 228 . . P .-L -i.6 % 3 2 42 890 . . 886 . . 7*1 35 — 3 % 1892 2 6 7 ... 265 . . P.-0.6 % 1934-49 939 . . 936 ^ 70 40 — 8 % 1899 239 . . 235 . . Est 3 % ancien. . 320 . . 319 . k 95 90 — 3 % 1906 244 50 241 . . Midi 3 % anciea. 298 . . 294 . . 132 40 — 3 % 1912 127 . . 126 . . 6 % 1 9 3 6 .. 864 . . 812 78 50 — 7 % 1927 469 . . 470 . . Nord 3 % ancien. 369 . . 367 . . 78 25 — 4 % 1930 623 . . 609 . . Orléans 3 % anc. 325 . . 327 . . 132 60 — 4 % 1931 630 . . 632 . . Ouest 3 % a n c ... 336 . . 338 . . — 4 % 1931-32 606 . . 614 . . Etat 4 % 1912-14 317 . . 316 ^ 797 . . 4 1 /2 % 1932 645 . . 640 . . Etat 5 % 1919 324 . . 335 . , 735 206 . . 203 ^ 467 . . Fonclèras3% 1879 647 . . 650 •• Als.-Lorraine 194 . . 192 . . — 3 % 1883 208 . . 202 •• Sud France 3 386 •— 3 % 1885 255 . . 250 •• Santa Fé 4 1 / 2 % •• • • 806 -• • •• 269 . . 262 •• — 3 % 1895 Damas-Hama priv. 161 .. 161 ^ 952 -• 254 . . 255 •• 136 . . 140 .* — 3 % 1903 Danube Save Adriat 1008 -— 3 % 1909 125 . . 126 •• 951 -• — 3% %1913 275 . . 265 -981 -— 4 % 1913 440 . . 440 -- VALEURS cotée* en couIlise 944 756 50 Emprunt 5 % 1929 780 . . 775 -• MaUcca ordinaire. 178 50 181 • • 791 -- Foncièr. 4 1 / 2 30 610 . . 614 -• Est asiatique danois 7010 #, 7060 • • 567 #m 574 • » 824 -• Emprunt 5 % 1933 685 . . 690 -- Padang— 993 999 795 •• Emp. 5 1 / 2 % 34 865 . 865 . . Hutchinson. 71 . . Shell ........ 790 m# 775 815 •• Bons à lots 1887. 71 . . 67 50 # # — 1888. 68 . . Tublze privilégiée. 112 109 50 807 685 -- Panama à lots . . . 113 . . 113 . . Union M. Katanga. 4348 # # 43S0 • • Mines d'AIbi........ 503 # , 501 • • 468 . . INDUSTRIELLES (Actione) — de Bruay... 158 #. 154 • • 452 . . , 2055 1 9 9 7 5 .. 2 0 4 8 5 .. Vieille-Montagne... 2045 # 519 . . Suez capital.. Tharsis............... 264 , , 265 ! # 477 . . iuez parts de fond. 1 6 4 8 5 .. 1639 5 .. Tanganyika.......... 58 M 59 75 495 . . — 1/5 p. Soc. clv 5710 . . 5800 . . 496 . . Royal-Dutch 1 /1 0 . 6700 . . 6675 . . Chartered............ 237 50 239 50 883 . . Penarroya .......... 265 . . 268 . . Crown-Mines . . . . 3073 ## 3088 • • 875 . . Boléo.................. 48 25 49 25 De Bcers ord....... 1518 , . 1513 • • — *5% 35 Gafsa.................. 650 . . 648 . . East Rand........... 482 , , 485 •# P .. . Algérie 5 % 1934 ’932 *! Saint-Gobaln........ 1850 . . 1830 . . Goldfields........... 661 , . 660 •• Tunisie 5 % 1934 Italien 3 1 / 2 % . 90 . . Bergougnan........ 475 . . 475 . . Hotchkiss et C *... 600 ## 610 • m 45 75 45 75 2670 . . Thomson... . . . . . 125 . . 125 . . Huanchaca.......... Portugais 3 % ext Algérienne d'tclair. 190 . . 190 . . Jagersfonteln....... !92 50 195 •# Japon 5 % 1907. 574 . . Energie élect S.-O. 567 . . Mozambique........ 43 . . 43 — 4 % 1910. • • • • • Young 5 1 /2 % .. 320 . . 325 ü Force m oi Vienne. 260 . . 254 . . Rand-Mines......... 1685 . # 1694 19 75 19 75 Autriche 5 1/2 33 685 . . 691 . . C* d énergie éiectr. 465 . . 450 . . Shansi................ Egypte unilié 7 % . 3525 . . 3588 . . Hyd.-Elect. d Auver. 780 . . 776 . . Transvaal Land.. 256 #, 260 50 5 25 Russe consol. 4 % 5 50 Lyonnaise des Eaux. 1220 . . 1225 . . Fin. Caoutchoucs.. 248 , . 250 *• 347 , # 34g • • Serbe 4 % 1895. 285 . . 285 . . Energie du Littoral 475 . . 473 . . West Rand........ 57 #. 58 *• 340 . . Pyrénéenne d'éner. 945 . . 936 . . Hydro de la Cère Turquie 7 1 /2 33. 350 , , 1080 M Michelin 1/6 part. 1090 _ __ 180 . . 177 .. Cf* G'* d'Electricité. 1200 . . 1200 . . _ — 328 . . 323 . . Electricité de Paris 597 . . 586 . . Pernod................ 971 #, 973 39 50 38 75 Roumain 4 % 22 149 . . 140 . . Châtillon- Comment 1285 . . 1295 . . Mexican Eagle.. . . 455 . . 463 . . Roan Antelope,. . . 152 50 154 7 % 29 945 . . 920 . . Fourchambault. Trepca M in e s .... 92 #. 91 Pologne 7 % 1927 ............ 2310 . . Forges A lais.. . 544 Mexique 4 % 1910 32 . . 30 . . Marine Homécourt 305 !! 307 !! Brakpan M in es... 536 74 75 72 7Ï 1010 .. 1000 .. Canadian Eagle. . . Suisse 3 % 1890 8570 . . 8540 . . Creusot. London T in ... 28 50 29 281 . . 280 . . JeumonL 257 •• 263 50 Trélileries du Havre 670 . . 668 . . Spring Mines. B A N Q U ES 443 . . 460 . . Flves-Lille 1900 . . 1861 . . BOURSE DE LYON Banque de France. 6225 . . 6200 . . ao. Banque d'Algérie.. 5100 . . 5020 . . Houillères Hte-Lolre 170 . . 170 . . AOTIONS 895 . . 900 . . Union Parisienne.. 408 . . 398 . . OstricourL Comp'* Algérienne. 892 . . 911 . . Maries .’. 380 . . 385 . . Bergougnan.......... Crédit Lyonnais.,. 1471 . . 1472 . . Pontgibaud-........ 1170 . . 1180 . . Hydro-Electr. d’Auv. 780 Comptoir N. d'Esc • 725 . . 719 . . Mokta-el-Hadid. . . 4540 . . 4475 . . ‘ hinev ............. 1465 1450 *E Crédit F o n cier... 2356 . . 2310 . . Rio-Tlnto............. 2290 . . 2273 . . de Lyon ........ 246 „ Société Générale.. 701 . . 697 . . Sosnowice.......... 305 . . 296 . . Automoto............ Banque de P aris.. 1088 . . 1084 . . Sucreries d'Egypte. 822 . . 842 . . Trams de Lyon. . . 269 269 Z Bq. nat. d'Egypte.. 5890 . . 5860 . . Central Mining. . . 4195 . . 4260 . . Mines la Boubla, C. 270 271 r — de Blanzy— B. N. C. 1........... 565 . . 565 . . Wagons-Lits........ 71 75 72 . . Crédit Commercial. 428 . . 424 . . 117 . . 116 . . — Montrambert. Banque Indochine. 3600 . . 3625 . . 1290 . . 1291 . . — de la L oire... •••H Crédit Fonc. Egypt. 4355 . . 4370 . . M i c h e v i l l e . . . . . . . . . . . . 587 . . 592 . . — la Péronnlère. Cie Fer Fr.-Canad.. 3630 . . 3720 . . Denain 4 Anzin.. 1100 .. 1068 . . — de Rochebulle. 1335 Banque du Mexique 152 . . 150 . . Ciments français. 1100 .. 1150 . . — Roche-la-MoL 1335 158 .. Banque Ottomane. 660 . . 658 . . Canadian Pacific. 219 . . 220 . . Papeteries Navarre. Land Bank.......... ... . ........ Montecatini........ 158 . . 160 . . Aut BerlieL........ Rinte ionc........... 323 .! 316 " Gaz du Nord et Est. 506 . . 532 . . Flrmlny............... Banque Transatlant 28 . . 175 . . 179 . . Loire-Centre (AcL). Foncière Lyonnaise 610 611 . . 705 . . 695 . . Casino St-Elienne. 635 635 358 . . 362 . . 593 . 592 . . Kuhlmann....... OBLIGATIONS OBLIGATIONS 571 . . 559 . . Sucreries S ay.. Ville de Parle 1445 . . 1419 . . Péchiney.......... M ichelin 4 1/2% 645 641 . . 440 . . 445 . . 3 % 1871 . . . , , 360 . . 3 6 0 7 .. Dunlop............. • • • e« 703 . . 703 . . Hyd.Aiiv. 41/231 4 % 1875 407 . . 420 . . Rhône Poulenc.. 725 . . 2913 . . 2914 . . Conchon-Quin. 5% 720 4 % 1876 ........ 413 50 415 . . S. K. F ........... 102 . . 104 25 2 1 / 2 % 1 8 9 2 /. 180 . . 181 . . N e s tlé ............. PAYS 2 1 / 2 % 9 4-96. 180 .. 185 . . T R A N SPO R TS (A ction*) 2 % 1898 ........ 228 50 228 50 Angleterre.. . 178 34 178 39 2 % 1899 Métro. 215 . . 215 .. Est..................... 540 . . 535 . . 0 3 États-Unis.. . 36 96 37 08 2 1 / 2 % 1 9 0 4 .. 222 . . 221 . . P.-L-M................ 760 . . 765 . . LUI Allemagne.. . ...................... 2 3 / 4 % 1 9 1 0 .. 190 . . 190 . . Midi................... 552 . . 546 . . Belgique 623 50 625 59 3 % 1 9 1 0 ........ 174 . . 172 .. Nord................... 718 . . 706 . . Danemark. . . 795 75 3 % 1 9 1 2 ........ 230 . . 228 50 Orléans.............. 677 . . 665 . . Z 1 Espagne....... * * 5 % 1928 ........ 692 . . 680 . . O u est................ 605 . . 595 . . < I H o lla n d e.... 1998 25 2000 ., 4 1 / 2 % 1 9 2 9 .. 621 . . 621 . . M éiro................ 819 . . 819 . . Italie........... 194 55 195 II 4 % 1930 mars-av. 702 . . Rosario o r d ........ j Norvège....... • • • • • 895 . . 96 . . 98 . . 4 % 1930 Lots.. 591 . . 596 . . Santa Fé ............ 406 . . 400 . . ü Tchécoslovaq. .................. 4 % 1931 L ots.. 578 . . 576 . . Buénos-Aires---- 450 . . 450 .. 1 Roumanie.... • • • . 4 % 1931 Fortif. 563 . . 571 . . Chem. de 1er Maroc 373 . . 358 . . Suède.......... 920 50 920 50 4 1 / 2 % 1 9 3 2 .. 630 . . 630 . . Tanger à F ez. . . . • • • « • Suisse......... 837 87 838 50 t u 5 1 / 2 % 1 9 3 4 .. 795 .. 790 . . Tunisiens............ 389 . . 385 . . Autriche • • • i 5 % 1934 Fortif. 672 . . 666 . . T.C.R.P............. 932 . . 932 . . J Pologne....... 5 % 1935 ........ 775 . . 780 . . S. I .T .A ............ 925 . . 910 . . J. Argentine.... ................... 3 % perpétuel... 3 % a m o r t........ 3 1/2 % am o rt.. 4 % 1 9 1 7 ........ 4 % 1 9 1 8 ........ 5 % 1920 (am.). 4 % 1925 £ . . 4 1 /2 % 32. A .. 4 1 /2 % 3 2 . B .. Rente 4 1 /2 % 37 Ob. Très. 4 1/2 33 Ob. Très. 4 % 1934 P. T. T. 5 % 1928 P.T.T. 4 1 / 2 % . . P. T. T. 5 % 1934 BonsT.4 l/2 % 3 3 — 5% 33 — 5 % 34 — 4 1 /2 % 34 — 4 % 35 Cais.aut.4 1 /2 % Af.Eq. 5 1 /2 % 33 Àf.0c.5 1 /2 % 33 lndoc.5 1 /2 % 33 Indochine 5 % 34 Madag.5 1 /2 % 33 Maroc 5 % 1934 Créd. NaL 5 % 19 — - . 5 % 20 | 6 % 22 — 1 8 /^ 2 3 — 6^23 — , -6 ^ 2 4 76 50 76 55 .. .. 71 80 70 50 97 . . 131 45 78 70 78 50 131 85 800 . . 742 . . 465 . . 386 . . 810 . . 950 . . 1008 . . 955 . . 980 . . 945 . . 759 50 797 . . 824 . . 805 . . 813 . . 800 . . 688 . . 467 . . 457 . . 5 1 3 .. 483 . . .495 . . 496 . . 883 . . 8 7 5 '.. 695 >.*. 932 . . 88 25 2640 '. . •m La LE C CON f 1 ..... C)1 Cabinet <le M. Je a n ROUX, directeur du C e n tra l Offiee, 1, rue du Onze-Novembre, à Clermont-Ferrand. BULLETIN METEOROLOGIQUE ij Suivant acte sous seing pri vé, en date à Clermont-Fer rand du 8 septembre 1938, en registré le 9 septembre 1938, folio 49, case 13, par M. le Re ceveur qui a perçu les droits, Madame Marguerite - JeanneMadeleine CHAMBON, épouse assistée et autorisée de Mon sieur René-François-Maximilien TINGAUD, a vendu à Ma dam e Agathe BARRIERE, veuve de Monsieur MAZAUDOIS : 1» Le droit au bail d’un fonds de commerce de Librai rie-Papeterie, qu’elle exploi tait à Clermont-Ferrand, 14, place de la Victoire ; 2° Le matériel afférent à la dite Librairie-Papeterie. Selon prix, clauses et condi tions insérés d ans l ’acte. Les oppositions, s ’il y a lieu, seront reçues, à peine de forclusion, dans les dix Jours de la présente insertion, au Cabinet de M. Jean Roux, 1, rue du Onze - Novembre, à Clermont - Ferrand, domicile élu par les parties. L’insertion au B. O. V. F. a été faite le 21 septembre 1938, à Paris. P our deuxième insertion : Jean ROUX. L M ilm M î !( £ / 3 « OI»r mon p. e* o. 1 béore.-rrf. .»• 7 “ «nv-.w.13 * ............. 18 — . . . . . . . . 727 728 727 726 5 4 1 9 643 643 643 643 1 4 2 3 1 h e u r e ....... 7 " r ....... “ » F I T ...... 18 — o * >»• • 13 14 24 19 5 3 6 5 Il 12 14 13 • 2 2 3 Minima • .. . . . . . Maxima.............. 9 9 26 1 1 h e u r e ..« ..,. 7 " 13 — . . . . . . . 18 - ............ 01 86 SI 77 e su eselge de h. à 13 Ù ...,,.« : ... 13 I! r ' (à 13 h . ) . . . . « S.-S -E faible 10 D 15 7 71 78 72 67 ses S.-E. fort Bar. à 13 h. (au niv. de la mer) : 761,3, TEM PS PROBABLE pour le vendredi 23 septembre 1938 Temps nuageux, pluie en montagne. (LIRE U SALLE DES DÉPÊCHES DE « L’AVENIR » IMPUISSANCE I Nous allon. exact de cc clair qu ’aucv p eu t être arr et que le G ou luer les res que les circot poser d em aii Un cas de v ité sans pr a u x c h e fs p p a ys e t à se La F rance le d roit de l e n fa n ts d ant e n tré e de je r e m e n t pou déclarer ù V N ous savo e h e co n tre n tra în era pa colldboratio d itio n s ju ri c o n flit n e m ilita ire qu< D U ., qui n ’e N ous savo U nis n ’e n v e u n sou . ja m a is les vivre da n s e t q u ’a in si l n e p e u t être du 22 septembre Deuxième avis de cession I 1 cours pour les enfants (avec récompenses) : Le Vitrail ; dernier concours. p. s. — On peut se procurer une ou plu sieurs années reliées des • Semailles • : chaque volume de 320 pages, 15 francs (90 fr. pour l’étranger). L’abonnem ent annuel est de 19 francs (pour la France et les colonies), de 15 fr. pour l’étranger, et peut p a rtir de chaque mois. Directeur : Abbé Etienne Oasson, euréarchlprêtre de N.-D. Salnt-Louts, 10, ru e du Béguin, yon ( a P. Lyon 52-79). Lourag a fait’ %, RUE BLATIP — Téléph. 3 5 - 4 8 VIEN T DE PA R A IT R E : NOUVEAUTÉS FISCALES 1938 Ne NOUVELLE LEGISLATION DES LOYERS 10 Nous som m solennelle. Une fois C ham berlaindéception. Les pourpa pus. Des le ttr ù fix e r les p fa it a p p a ra t O n n ’en conr dernière e n tr C hancelier d M in istre angl n o n plus le si lain e t la dél g a g n en t Lon Derrière c qui sont peu m o m e n t, on l’échec des avec H itler, contra in d re fo n d précis d tio n désorm a vaquie. De ce côté s ’est produit P rague vient sation génère C eux qui véc ques de 1914 le ry th m e in 52 m ois de p1 La Pologne plifie pas U q u ’elle m ain tchécoslovaot de im pératir p a rt de la R polonais a à n er M oscou, ù m a n ife ste r B u d a p est, on to u r des Ho race. La p a ix ai d a n s ce chai il considérer co m m e la pi pour interne d ’in q u ié ta n ts pes et d ’avia n o rd -est. L ’iv incendiera l surgir d ’u n v Pour la Fr qui se pose et elle se tro u v flit san g la n t, M. Daladic position de l’e n tre tie n q délégation d‘ cal-socialiste P lusieurs n a y a n t évoqu p o u rp arlers s ou m êm e rom seil a indiqué terre au raien t certer su r les d ra it d ’envisa Tchécoslovaqu agression non p re n d ra it imn d 'assistance n col r + — CULOTTE drap e t velou rs. Les cadav l ’ou ragan o nom breux r dégâta a ’élè dollars. D&r OH. O A U S S A D i f r . - FRANCO : 1 1 f r . Des sept ¥ pète, celui nlllA crr j IMPRIMERIE M 008RNB 13. rua du P o n Le Gérant: H. SAINRAPT» y