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N°143
Septembre-octobre
2014
GRAND ANGLE
MIRAMAS
CHOISIT
LA RÉUSSITE
ÉDUCATIVE
P. 18
Sommaire
JEUNESSE
>>>
CM2 UNIS
>>> LES
PAR LE SPORT
N° 143
Septembre-octobre 2014
LA VISITE DU PRÉFET
C'EST MA VIE
STAR D'UN JOUR
>>>
C'EST MA VILLE
L’Édito du maire
ARRÊT SUR IMAGES
P. 4
> Des votives sous le signe du fantastique
> Libération
> 14 juillet, les Miramasséens rassemblés
C’EST MA VIE
P. 7
>%FTWBDBODFTËMBDBSUF
> ÀDIBDVOTPOÏUÏ
> L’Été jeunes fait le plein
>4PJSÏF*CJ[BTIPXEFWBOU
>3FODPOUSFTFVSPQÏFOOFT
> Star d’un jour
> Tremplin musical gagnant
>$.VOJTQBSMFTQPSU
>8BUFSQPMPQSJYEVGBJSQMBZ
>1PVSBQQSFOESFËOBHFS
> Le service civique,
une expérience marquante
>$MÏNFOU.BSUJODIBNQJPOEF'SBODF
> Le bel âge de Kléber Béridot
> La vie en bleu de Mme Bador
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C’EST MA VILLE
> Miramasséens du monde
> Amir El Mardi, le grand frère
>1IPUPEFGBNJMMF
> L’état civil
GRAND ANGLE
P. 18
>.JSBNBTDIPJTJUMBSÏVTTJUFÏEVDBUJWF
ÉCONOMIE
P. 24
>&NQMPJVOFDIBODFTVQQMÏNFOUBJSF
> En route vers l’alternance
> Enquête
> Les brèves de l’emploi
COMMERCES
P. 26
MES LOISIRS
>-BCPOOFNBSDIFEVNBSDIÏ
> Les brèves du commerce
> Vallière, imprimeur éco-responsable
VIVRE ENSEMBLE
vous fait redécouvrir la cuisine
P. 28
SAN
TRIBUNE
P. 41
AU FIL DES VIES
P. 42
$POUBDUF[MFTFSWJDF
communication avant le :
20 septembre pour novembre-décembre,
20 novembre pour janvier-février…
Renseignements à la maison
des associations : 04 90 17 30 21.
P. 40
> Linge trié, linge récupéré
FAIRE PARAÎTRE
DES INFOS
BANDEROLES
ASSOCIATIVES
P. 39
>.4$PPLJOH
> La zone bleue active en octobre
>%FTDIFNJOTKBMPOOÏT
>6ODPODPVSTRVJTFOUCPOMB1SPWFODF
> Le bilan touristique
[email protected]
[email protected]
[email protected]
P. 30
> Un préfet aux sommets
> Travaux, une rentrée anticipée
> La carto travaux
>6ODIBOUJFSJOUFSOBUJPOBMËMB1PVESFSJF
>6OFCBHVFËMBQBUUFQPVSMFDJHPHOFBV
> L’éco-conseil du mois
>%JUFTTUPQËMBQVC
> Des composteurs disponibles
> Un jardin sans entretien
> Miramas, terre saine
>*MNBSDIFQPVSMFQBUSJNPJOF
MIRAMASINFO N° 143
Hôtel de ville, 13140 Miramas.
Tél. : 04 90 58 79 79
%JSFDUFVS EF MB QVCMJDBUJPO 'SÏEÏSJD 7JHPVSPVY t
Directrice de la communication : Véronique Barbetti
t +PVSOBMJTUFT .JDIFMMF $PMPOOB #FUUZ 3FCPVM t
$SÏEJUTQIPUPT.BSJPO#PVJMMFU.JDIFMMF$PMPOOB
+FBO1BVM 0MJWF $ISJTUPQIF $BTUJMMP $ISJTUJOF
'BMDP (%*% %3 t 4UBHJBJSF (ÏSBME 7FEPWJOJ t
(SBQIJTNF ɨ
BMBNVT t *NQSFTTJPO *NQSJNFSJF
7BMMJÒSF t5JSÏ Ë FYFNQMBJSFT t *NQSJNÏ TVS
QBQJFSSFDZDMÏt%ÏQÙUMÏHBMTFQUFNCSF
Frédéric Vigouroux
Maire de Miramas
édito
FORMATION :
MIRAMAS S’ENGAGE
Tout faire pour améliorer la formation des Miramasséens,
initiale ou professionnelle, pour les jeunes ou les moins jeunes,
est une constante de l’action municipale.
Mieux se former, c’est être plus libre, plus épanoui, plus
SFTQPOTBCMFQMVTDJUPZFO
.JFVYTFGPSNFSDFTUBVTTJVOFNFJMMFVSFHBSBOUJFEBDDÏEFSË
MFNQMPJQVJTEFMFQÏSFOOJTFS
7PJMËQPVSRVPJMBNVOJDJQBMJUÏTFOHBHFSÏTPMVNFOUBVYDÙUÏT
de la communauté éducative pour construire un grand projet
EFGPSNBUJPOË.JSBNBTEFMBDSÒDIFËMVOJWFSTJUÏFOQBTTBOU
par la formation professionnelle, pour ceux qui suivent une
scolarité traditionnelle ou pour ceux qui ont besoin d’une
EFVYJÒNFDIBODF
3ÏOPWBUJPO FU EÏWFMPQQFNFOU EF OPT ÏDPMFT EF OPT DPMMÒHFT
FU EF OPT MZDÏFT &YQÏSJNFOUBUJPOT JOOPWBUJPOT FU NFJMMFVST
NPZFOT QÏEBHPHJRVFT 1BSUFOBSJBU ÏUSPJU FOUSF MB WJMMF FU MFT
établissements scolaires. Accueil de nouvelles filières. Nous
TPNNFT TVS UPVT MFT GSPOUT QPVS RVF DIBRVF .JSBNBTTÏFO
USPVWFJDJPVËQSPYJNJUÏVOFSÏQPOTFËTFTCFTPJOT
"JOTJ.JSBNBTQBSJFTVSVOBWFOJSHBHOBOU
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
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ARRÊT SUR IMAGES
VOTIVES
SOUS LE SIGNE
DU FANTASTIQUE
La météo capricieuse n’a pas privé les Miramasséens de leur rendez-vous annuel
EFTGÐUFTWPUJWFT-FDPSTPGBOUBTUJRVFOBZBOUQVTÏMBODFSMFWFOESFEJFOSBJTPO
EFTGPSUFTQMVJFTBBNFOÏMFMVOEJVOQVCMJDOPNCSFVYFUFOUIPVTJBTUFKVTRVBV
QMBOEFBV-ËVOTQFDUBDMFQZSPUFDIOJRVFEFIBVUFWPMÏFBGBJUCSJMMFSMFTZFVY
EFTHSBOETDPNNFDFVYEFTQFUJUT$MPVTEFTUSPJTKPVSTEFGFTUJWJUÏTMBQBSBEF
GVUVSJTUFBWFDTFTDSBDIFVSTEFGFVÏDIBTTJFSTESBHPOTHÏBOUTNVTJDJFOTFUMFGFV
d’artifice resteront dans les mémoires. Ils ne sont que la face émergée d’un iceberg
qui rassemblait des animations telles que les apéritifs concerts et les grands bals,
MFTCFDFSSBEFTPSHBOJTÏFTQBS0VFTU1SPWFODFMFDPODPVSTEFDIBOU4UBSEVO
KPVSMJSFFOQBHFΉ
MFTDPVSTFTDZDMJTUFTFUMFTDPODPVSTEFQÏUBORVFMFTUSBEJUJPOOFMTNBOÒHFTJOTUBMMÏTTVSMBQMBDF+PVSEBO&ODPSFVOHSBOEDSVNBSRVÏQBS
des rendez-vous familiaux et l’ambiance apportée par les penas qui ont animé les
terrasses des cafés et des restaurants.
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MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
ARRÊT SUR IMAGES
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
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ARRÊT SUR IMAGES
LIBÉRATION
MIRAMAS LIBÉRÉE, MIRAMAS EN FÊTE
Autour de blindés et de tractions de la FFI, le
ɨÏÉUSFEFSVFEFM6"*$'BEPOOÏVOÏMBOË
la Libération de Miramas, le 23 août dans la
TPJSÏF4BZOÒUFTEJTUSJCVUJPOEFQPNNFTËEPT
d’âne, Petit vin blanc et autres succès d’époque
avec le groupe vocal Nuances, fabrication de
DPDBSEFTUSJDPMPSFTBWFDMB.+$UPVTMFTCÏOÏ-
voles, fondus dans le public ont permis que la
fête soit belle. D’autant que ces dames avaient
pu se faire coiffer au salon Exotismes pour colMFSËMBDUVBMJUÏEFTBOOÏFTRVBSBOUF
La cérémonie au monument aux morts a donné l’occasion au maire Frédéric Vigouroux de
s’exprimer sur les conflits passés et actuels,
saluant tous les soldats qui œuvrent pour la
paix dans le monde. Après la reconstitution
EFRVFMRVFTTDÒOFTEFMJFTTFBVTPOEF3BEJP
Londres, place a été donnée aux musiciens
pour un bal aux accents américains.
14 JUILLET, LES MIRAMASSÉENS RASSEMBLÉS
Le 14 juillet, fête nationale, célèbre un peuple qui a rassemblé
TFTEJêÏSFODFTQPVSNBSDIFSËMVOJTTPOFUQBSWFOJSËTFTëOT
-B NÏNPJSF EFT DJUPZFOT EÏGFOTFVST EF MB 3ÏQVCMJRVF RVJ TF
TPOUMFWÏTQPVSEÏGFOESFOPUSFQBZTBÏUÏTBMVÏFEVOEÏQÙUEF
gerbes par l’Union locale des anciens combattants et associations patriotiques, et par le maire Frédéric Vigouroux, assisté
EF+FBO.BSJF1BTDBMBEKPJOUEÏMÏHVÏBVYBODJFOTDPNCBUUBOUT
6
Devant le monument aux morts de la place Henri-Barbusse, en
présence des autorités civiles et militaires, le maire a souligné
l’importance des valeurs républicaines, qui nous font vivre et
HBHOFSFOTFNCMF*MBJOWJUÏMBQPQVMBUJPOËTJHOFS“ de nouveau
le pacte national qui nous permettra d’ écrire ensemble un avenir
aussi fertile que notre Histoire”.
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C’EST MA VIE !
JEUNESSE
DES VACANCES À LA CARTE
En juillet et août, les centres sociaux,
l’office municipal des sports, la MJC
s’occupent de vos enfants. La municipalité
a elle aussi prévu des activités, des séjours
divers et variés. Qui mieux que les
intéressés pour en parler ?
Léa, une ado dans les parcs
1MVUÙU SÏTFSWÏF FU TPMJUBJSF FOUSBÔOÏF QBS
une amie, Léa a voulu tester les séjours
de vacances. À 14 ans, la jeune fille
SFWJFOU FODIBOUÏF EF TB UPVSOÏF EFT i1BSDT
d’attractions” avec la mairie de Miramas :
“Nous avons visité le Futuroscope, Disneyland
Paris, que je connaissais déjà. Nous sommes
aussi allés au Puy du Fou, au Parc Astérix et
au studio Disney. En groupes de huit, choisis
par affinités, c’ était sympa.” Les dernières
IFVSFTEVTÏKPVSPOUSBNFOÏMFTiDPMPOTwWFST
la capitale, le jour de l’arrivée du Tour de
France : “On était sur les Champs- Élysées mais
trop loin pour voir les cyclistes”.&OSFWBODIF
ils ont pu admirer des sculptures au Louvre.
“Entre les sorties après lesquelles on avait des
ampoules, et les veillées, on n’a pas du tout eu le
temps de s’ennuyer ! D’ailleurs, je me suis fait des
copains” DPODMVU-ÏBËTPOSFUPVS
Cathy, la grande évasion sportive
$PVSDIFWFMMBOFJHFBVYTPNNFUTFUQBSGPJT
QBTQMVTEF¡-FTWBDBODFTPOUÏUÏGSBÔDIFT
pour le groupe, mais pleines de souvenirs
TQPSUJGT FU DPOWJWJBVY $BUIZ Ë BOT
n’en démord pas : “Treize jours de camping
dans le froid, le premier jour c’est dur, mais
on s’ habitue vite. Rando, parapente, sports
nautiques, tout était super. Après trois jours,
on se connaissait par cœur, même les Parisiens
qu’on a rejoints là-bas. Tout ça a donné une
ambiance géniale et soudée avec les moniteurs et les autres jeunes, des veillées devant
des feux de camp, la guitare, des animations
sportives pas faciles, mais nous étions heureux
de franchir les obstacles. La vie au camp, la
haute montagne nous ont aussi appris l’autonomie et le sens des responsabilités”.$BUIZB
DIPJTJ DF TÏKPVS QBSDF RVFMMF HBSEF VO FYcellent souvenir de celui de l’an dernier,
mais ce sera le dernier pour elle, comme
iDPMPOw ® BOT FMMF QBTTFSB TPO #BGB FU
TPO CSFWFU EF NBÔUSFOBHFVS TBVWFUFVS $F
TFSB BMPST Ë TPO UPVS EFODBESFS MFT FOGBOUT
de Miramas.
À CHACUN
SON ÉTÉ
5PVUBÏUÏQSÏTFOUÏQFOEBOU$BQTVS
MÏUÏBDUJWJUÏTËUIÒNFTEBOTMFTDFOUSFT
TPDJBVYMB.+$MFTBDDVFJMTEFMPJTJST
Ë$BCBTTFPVË(ÏSBSE1IJMJQFQPVSMFT
plus petits, les espaces dédiés aux sports,
M²UÏ+FVOFTUPVUBÏUÏQFOTÏQPVSRVF
vos enfants ne s’ennuient pas cet été
Ë.JSBNBT-FTTÏKPVSTRVJMTBJFOUÏUÏ
sportifs, aventuriers en montagne ou
au bord de la Grande bleue, merveilleux
dans les parcs d’attraction, ont reçu
MBWJTJUFEFTUFDIOJDJFOTEFMBEJSFDUJPO
éducation jeunesse pour s’assurer de
leur bon déroulement. Vos enfants
OFTPOUQBTMÉDIÏTEBOTMBOBUVSFFU
DFTWÏSJëDBUJPOTJOTJUVQFSNFUUSPOUË
la municipalité d’affiner les propositions
ou de les reconduire.
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
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C’EST MA VIE !
JEUNESSE
L’ÉTÉ JEUNES FAIT LE PLEIN
Scindé en deux périodes cette année, l’Été
Jeunes a fait le plein en juillet. À l’heure où
nous imprimons, il est trop tôt pour établir un bilan précis des dix jours d’août. La
fréquentation et la diversité de la première
session dresse un constat positif.
Tout a commencé le 27 juin sur l’esplanade
EVUIÏÉUSF1PVSMBTPJSÏFJOBVHVSBMFMFTUSBDFVST EF 1BSLPVSTBOH BWBJFOU CBMJTÏ VO
périmètre de sécurité pour évoluer en toute
liberté entre monuments, obstacles et bo-
8
CJOFTEFDIBOUJFS&UUPVUËDPVQFOMFWBOUMFT
ZFVY VO TQFDUBDMF EVOF QPÏTJF JOëOJF WPVT
IBQQBJU &TDBMBEFVSBSUJTUF IPNNF EF MBJS
Antoine Le Ménestrel s’est emparé de la faÎBEF EV UIÏÉUSF QPVS ÏWPMVFS KVTRVË DFMMF
EVMZDÏF&OUSFWPMUJHFFUEBOTFM²UÏ+FVOFT
DPNNFOÎBJUFOQSFOBOUEFMBIBVUFVS
Du sport, de la danse, plus calmement de la
lecture et du dessin, des jeux informatiques
et vidéos, du laser game, une buvette tenue
par les jeunes des centres sociaux, des soirées
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
Ë UIÒNF FU EFT DPODFSUT BWFD MFT SÏWÏMBUJPOT
EF MB .+$ EV DJOÏNB M²UÏ +FVOFT B
tenu ses promesses : le record d’affluence a
ÏUÏ CBUUV BWFD BVUBOU EF .VMUJ1BTT WFOEVT
en quinze jours que pendant l’été 2013. Les
1 075 cartes ne sont que partiellement représentatives puisqu’elles recensent uniquement
MFTQBSUJDJQBOUTBVYBDUJWJUÏT$FTUTBOTDPNQter le public nombreux qui a profité des soirées
de cinéma en plein air et des concerts.
C’EST MA VIE !
JEUNESSE
-²UÏ+FVOFTBWFOEV
EFT.VMUJ1BTTDPOUSF
le montant d’un euro.
$PNNFUPVTMFTBOT
la somme récoltée pendant
MÏUÏTFSBSFWFSTÏFËVOF
œuvre caritative.
-FQVCMJDEFM²UÏ+FVOFT
est majoritairement
miramasséen, avec
1 012 cartes distribuées
BVYIBCJUBOUTEFMBWJMMF
en juillet. Soixante-trois
venaient de villes voisines
FUQBSGPJTEF.BSTFJMMF1BSJT
.POUBHOBD-ZPO.FU[
ou d’Espagne…
Des familles en vacances
DIF[OPVTFURVJQSPëUFOU
aussi de ce que Miramas
QSPQPTF
SOIRÉE IBIZA SHOW DEVANT
Face au succès de la précédente édition, la
mousse, la neige et le son électro ont une
OPVWFMMF GPJT FOWBIJ MB QMBDF +FBO+BVSÒT
pour le plus grand plaisir des petits et des
grands. Une soirée désormais très attendue
par le public, où la jeunesse aime se
rassembler dans cette ambiance festive. La
première partie de soirée, au nom évocateur
d’Apocalypse Tour, a tenu ses promesses :
une déferlante de musique électronique
TPVUFOVF QBS EFT TIPXT MBTFST EFT FêFUT
spéciaux, des performances, comme celles
EFTÏDIBTTJFST-FTKFVOFT.JSBNBTTÏFOTPOU
rapidement investi la piste pour danser dans
MB NPVTTF +PJF EÏDVQMÏF QBS MFT DBEFBVY
lancés par les organisateurs lors du blindUFTUFUEVLBSBPLÏ
%+,SJTT&WBOTBQSJTMBSFMÒWFBWFDTPOTIPX
Call me Fantasy, pour transformer la place
FO EJTDPUIÒRVF HÏBOUF Ë DJFM PVWFSU EJHOF
EFTQMVTHSBOETDMVCTCSBODIÏT-FTCSBTTF
sont levés pour accompagner la musique,
applaudir la prestation et attraper les bâtons
MVNJOFVY $% FU BVUSFT DBEFBVY 3FOEF[
WPVTFTUQSJTQPVSMBOOÏFQSPDIBJOF
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
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C’EST MA VIE !
JEUNESSE
Culture
Le premier spectacle du 15 août,
Célébrons Offenbach, a réuni
sur scène plus de cent jeunes qui
ne se connaissaient pas dix jours
auparavant. Le talent du metteur
en scène, de la chorégraphe et
des musiciens a su faire sortir le
meilleur d’eux-mêmes pour une
représentation drôle et rythmée.
MIRAMAS
AU CENTRE DE L’EUROPE
Près d’une soixantaine de jeunes Européens, dont quelques Miramasséens, ont pris leurs
quartiers d’été à Miramas. Ils partagent les mêmes passions : culture et rencontres. Cette
résidence artistique “Rencontres européennes en Provence” a été ponctuée de plusieurs
spectacles.
&OSÏTJEFODFQPVSMBQSFNJÒSFGPJTË.JSBNBT
(les deux années précédentes, l’association
$ZNF PïDJBJU Ë 4BJOU3ÏNZEF1SPWFODF
EBOT MF TJUF FODIBOUFVS EF 'POUMPOHVF MFT
KFVOFT&VSPQÏFOTEPOUMBNPZFOOFEÉHFTF
situe autour de 23 ans, se sont réunis autour
d’un projet artistique commun. En trois seNBJOFTEBUFMJFSTEFUIÏÉUSFEFDIBOUFUEF
EBOTFJMTPOUCBMBZÏVOSÏQFSUPJSFDMBTTJRVF
NÉUJOÏEFRVFMRVFTOPUFTEFQPQSPDL
Dans l’établissement disponible pendant
MFT WBDBODFT $ZNF B USPVWÏ VO MJFV RVJ
SFTTFNCMF Ë VOF WJMMÏHJBUVSF .BJT RVPO
OF TZ USPNQF QBT -FT QFOTJPOOBJSFT SFO-
GPSDÏT Ë NJQBSDPVST QBS VOF ÏRVJQF EVOF
cinquantaine d’autres Européens en résiEFODF Ë 3JPNMÒT.POUBHOFT POU TVJWJ MFT
répétitions, pratiqué les arts martiaux, tenu
EFT EJTDVTTJPOT QIJMPTPQIJRVFT UBRVJOÏ MF
pinceau, la perceuse et le marteau. Quant
aux pianos, outre celui du studio de danse,
ils ont aussi utilisé celui de la cuisine, lors
d’ateliers de découvertes gustatives où la
QSPEVDUJPOMPDBMFÏUBJUQSJWJMÏHJÏF$FUUFSÏsidence s’est soldée par plusieurs spectacles,
FNQSFJOUT EIVNPVS FU EÏNPUJPO BWFD
la complicité de grands professionnels du
DIBOUFUEFMBEBOTF
#JFOEJTQPTÏFËGBJSFEF.JSBNBTTBSÏTJEFODFFTUJWBMFQSJODJQBMF$ZNFBFOUSFQSJTVO
QBSUFOBSJBUBWFD'POUMPOHVFDPNNFODÏDFUÏUÏBWFDMFQBZTBHJTUF.BSD'ÏSBVE
“Les équipes pédagogiques du lycée vont utiliser la venue des Rencontres pour dessiner et
construire un théâtre de verdure. En principe, l’ été prochain, vous assisterez aux spectacles
dans ce nouvel espace paysager.”
10
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
Le programme Erasmus+ de l’Union euroQÏFOOF B QFSNJT Ë $ZNF EF QSPQPTFS USPJT
semaines de résidence pour 30 €. Les autres
partenaires : villes de Miramas, d’Arles, de
4BJOU3ÏNZEF1SPWFODFMFDPOTFJMHÏOÏSBMMF
conseil régional, le Musée départemental de
l’Arles antique, Fontlongue, l’Esprit de la vioMFUUFM&TQSJUDVMJOBJSF&VSP$VMUVSF
.ÐNF TJM QBSMF VO BOHMBJT QBSGBJU MF DIFG EF
DI”VS +VMJFO 3F[BL DPOOBÔU VOF MBOHVF VOJverselle : “Grâce à la musique, on peut s’exprimer
en plusieurs langues. Elle a une grande valeur
culturelle, elle exprime des époques, des caractères,
elle réunit des populations d’origines différentes.”
-*UBMJFOOF $BNJMMB USPVWF EBOT DFT 3FOcontres : “du plaisir, cette expérience interculturelle est très motivante”.
²MÒWFBV$POTFSWBUPJSFEF4PëB#PZBOQBSUJcipe pour “apprendre, pratiquer, échanger et me
nourrir de différents savoir-faire dans une Europe
pleine d’opportunités”.
1PVSMF.BSUJOJRVBJT+ÏSÏNZ“L’Europe représente les échanges de savoir et de cultures qui nous
permettent d’évoluer”.
“On part de leurs compétences et on essaye de mener un projet à bien pour les jeunes, par les jeunes.
Nous surmontons les difficultés et nous avons eu
des surprises formidables” Laurent Festas, directeur artistique et metteur en scène.
“Je suis heureux de les accueillir dans mon établissement, ainsi mis en valeur et utilisé l’été. Nous
sommes au service de la population, au service
d’un territoire. Ces initiatives permettent aux Européens de se connaître, avec comme axe majeur
la culture générale et cela fait reculer la bêtise.”
ɨJFSSZ2VFSÏEJSFDUFVSEF'POUMPOHVF
C’EST MA VIE !
TREMPLIN
MUSICAL
GAGNANT
Le 28 juin, la MJC-MPT était le
théâtre de la finale du Tremplin musical. LRM remporte ce concours et Lya
Musik obtient le Coup de cœur Nuits
Métis.
GENS D’ICI
Talents
STAR D’UN JOUR
Surmontant leur trac, dix candidats se sont présentés le samedi 26 juillet devant le jury
de Star d’un jour, présidé par Cécilia Pascal, concurrente remarquée de The Voice 2013.
À l’issue de cette prestation, six ont obtenu la faveur des jurés, qui le dimanche, n’en ont
récompensé que quatre. La dure loi des sélections devant un public conquis !
CÉCILIA PASCAL
*MZBQFVMBQSÏTJEFOUFEVKVSZÏUBJUËMBQMBDFEFTDBOEJEBUT“Ils m’ont demandé des conseils, je
sais combien c’est important pour eux, je suis passée par là.”$ÏDJMJB1BTDBMBSÏTFSWÏVOFTVSQSJTFBV
vainqueur, la première partie d’un de ses concerts : “J’attends d’avoir une belle salle pour l’inviter
lors de ma tournée Rock Story. Jason a été un vrai coup de cœur.”
“Je prépare un album pour lequel je compose et j’ écris. Il sera jazz, soul, rock acoustique, avec quelques
reprises « clin d’œil ». Je vais là où on ne m’attend pas”FYQMJRVFMBDIBOUFVTFEFBOTUSÒTÏDMFDUJRVF
dans ses goûts musicaux. Elle possède un talent incontestable et depuis, s’est créé un univers très
QFSTPOOFMRVJBTÏEVJUMFTKVSÏTEFɨ
F7PJDFy&UMFQVCMJDEF4UBSEVOKPVS
JASON, STAR DE 14 ANS
4B GBNJMMF FU TFT BNJT ÏUBJFOU UPVT BVUPVS EV KFVOF IPNNF EF BOT QPVS MFODPVSBHFS
-ÏNPUJPOEFMBWJDUPJSFQBTTÏFFUMFTMBSNFTEFKPJFTÏDIÏFTJMOPVTBMJWSÏRVFMRVFTNPUTËMB
WFJMMFEFTBQSFTUBUJPOFOQSFNJÒSFQBSUJFEFMPSDIFTUSF"MNÏSBTiC’est incroyable ! Je suivais
Cécilia Pascal et la soutenais pendant The Voice, aujourd’ hui je chante devant elle. J’aimerais aussi
participer à cette émission. Je m’entraîne dès que j’ai le temps, avec maman.” Un bon cadeau le soir
EFTPOBOOJWFSTBJSF$FOPVWFBVTVDDÒTOFNQÐDIFQBTMFHBSÎPOEFHBSEFSMFTQJFETTVSUFSSF
“Je rentre en 3e et ai bien l’ intention de faire des études”.
LES FINALISTES
+BEF-FWBO.BSJPO"MMPVDIF#FOKBNJO/JDPMBTFUMFWBJORVFVS+BTPO.BSJO
DES TALENTS HORS CONCOURS
-FEVP-FT"DDSPDTDPNQPTÏEF;BDIFU7ÏSPOJRVFMFTBNFEJ,BSJOBFU+BOJRVFEFMB.+$
MFEJNBODIFPOUBTTVSÏMFTJOUFSNÒEFTNVTJDBVYFUNBJOUFOVMBNCJBODFËMFTQBDF#FMFZQFOEBOU
MFTEÏMJCÏSBUJPOTEVKVSZ
Quatre groupes se sont partagé la scène
en plein air dans la douceur estivale
EVOF OVJU EF KVJO $FVY RVJ POU SFUF
nu l’attention des jurés, parmi la vingUBJOFRVJPOUDIBOUÏFUKPVÏEBOTMBTBMMF
EFMB.+$EFQVJTMFNPJTEFOPWFNCSF
Attirés par les Tremplins, des groupes
EJWFST OIÏTJUFOU QBT Ë QBSDPVSJS EFT
LJMPNÒUSFT EFQVJT UPVUFT MFT WJMMFT EF
MB 3ÏHJPO QPVS UFOUFS EF SFNQPSUFS MF
EÏTPSNBJT DÏMÒCSF USPQIÏF -3. B TÏ
EVJU MF KVSZ BWFD TPO SPDL JOTQJSÏ QBS
+JNJ )FOESJY -FTQSJU GFTUJG NÐMBOU IB
CJMFNFOUÏMFDUSJRVFFUBDPVTUJRVFEF-ZB
Music a convaincu l’association Nuits
.ÏUJTEFMVJBUUSJCVFSTPOQSJY$PVQEF
D”VS -F HSPVQF NFOÏ QBS $IBSMPUUF
$IBCCFSU TF QSPEVJSB MPST EV QSPDIBJO
festival en juin 2015 et côtoiera les têtes
EBï
DIF EV GFTUJWBM -FT WBJORVFVST SF
QBSUFOUBWFDVOCPOEBDIBUEFΉǎ
Ë VUJMJTFS EBOT VO NBHBTJO EF NVTJRVF
et pourront enregistrer un titre dans un
studio professionnel.
"WFDTFT5SFNQMJOTMB.+$EPOOFMPD
DBTJPOËEFKFVOFTUBMFOUTEFTFQSPEVJSF
sur scène, tout en bénéficiant d’une
structure et de l’entourage de professionOFMTUPVKPVSTFODMJOTËBDDPNQBHOFSMFT
FTQPJSTÏNFSHFOUTFUËTFSÏKPVJSEFMFVST
succès. Ils sont pris en main, encadrés,
conseillés dans une structure qui remplit
son rôle d’animation et de découvreur
de talents. L’année 2015 donnera d’ailleurs l’occasion de les réentendre lors du
Tremplin des Tremplins qui réunira tous
les vainqueurs pour les quarante ans de
MB.+$
.+$.15CJTCPVMFWBSE
Aristide-Briand. Tél. : 04 90 50 05 18
$PVSSJFMNQU!PSBOHFGS
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
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1
1
C’EST MA VIE !
JEUNESSE
Sport
CM2 : UNIS PAR LE SPORT
En 2004, Kofi Annan, alors secrétaire général des Nations Unies, déclarait : “La
langue universelle du sport a un pouvoir
fédérateur et apprend l’esprit d’équipe et la
tolérance”. Une devise qui correspond bien
aux valeurs de l’Usep et du monde sportif
en général.
Les enfants attendent les manifestations de
M6TFQBWFDJNQBUJFODF1PVSMFT0MZNQJBEFT
de fin d’année, près de deux cent cinquante
ÏMÒWFT EF $. POU GBJU MF EÏQMBDFNFOU BV
stade des Molières. Une fois de plus, l’association a pu compter sur l’engagement de ses béOÏWPMFTEFTFTQBSUFOBJSFTDPNNF3ÐWFT²EVDBUJPO OBUJPOBMF EFT BOJNBUFVST EF M0.4
EFT ÏEVDBUFVST UFSSJUPSJBVY EFT BDUJWJUÏT QIZTJRVFT FU TQPSUJWFT FU EFT NBÔUSFTOBHFVST EF
MBWJMMF"VQSPHSBNNFCBTLFUNJOJIBOEFU
BUIMÏUJTNF%FTBDUJWJUÏTTQPSUJWFTEÏDPVWFSUFT
12
tout au long de l’année selon les projets validés
en concertation avec les Étaps, le conseiller pédagogique de circonscription, les enseignants
FUM6TFQ$FUUFBOOÏFQPVSUPVTMFTFOGBOUT
BZBOUFVVODZDMFQJTDJOFMPSTEVQSFNJFSUSJmestre, une activité aquatique a été proposée
avec des jeux d’eau et un relais en natation.
4BMVPOTEBJMMFVSTMBDMBTTFEF+FBO.BDÏRVJ
a obtenu le meilleur score en natation et remQPSUFDFT0MZNQJBEFT
1PVSMFTFOGBOUTDPNNFQPVSMFDPSQTFOTFJgnant, l’ambiance durant cet événement diffère du reste de celle de l’année. Ne dit-on pas
RVFMFTQPSUGBWPSJTFMFTÏDIBOHFT 6OFJOTUJtutrice, supportrice, fait entendre ses encouSBHFNFOUTFUTFTEJSFDUJWFTËTFTKFVOFTÏMÒWFT
le tout dans une ambiance bon enfant : “Allez,
placez-vous ! Il faut attaquer ! Passe la balle !…”
Un agréable moment pour les enfants venus
QBSUJDJQFS FO OPNCSF $FUUF KPVSOÏF B ÏUÏ
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
l’occasion de faire des rencontres et de se lancer dans la compétition.
$ÙUÏ ëMMFT “On aime bien s’encourager mutuellement car on a l’impression que si on ne se
parle pas, on ne va pas faire de bons résultats”
SBDPOUF$BNJMMF1PVS4BCSJOBFOSFWBODIFMF
sport est un parfait outil pour occulter les problèmes : “Quand on est sur le terrain, on oublie
qu’on est fâchés !”
C’EST MA VIE !
JEUNESSE
Sport
“La section est fréquentée par vingt-huit élèves.
Ce sport, pratiqué en équipe, développe l’esprit de
solidarité, de respect des règles et des adversaires.
La mixité proposée en milieu scolaire est très bien
admise et favorise l’accès aux pratiques sportives
des filles. Les élèves débutent souvent en 6e et
restent fidèles à cette activité car l’ambiance y est
très bonne. Les rapports réguliers et intenses liés
aux contextes compétitifs permettent de tisser des
relations privilégiées entre le prof et les jeunes. Ce
sont des moments riches en relation de complicité,
de confiance et de respect. Pour les enseignants,
c’est aussi l’occasion de découvrir des facettes de
ces élèves que nous mettons en valeur au sein de la
communauté éducative du collège.”
LE PRIX DU FAIR-PLAY
POUR LE WATERPOLO DE CAMUS
Les élèves de l’équipe waterpolo du
collège Albert-Camus ont participé au
championnat de France UNSS à Échirolles.
S’ils ne sont pas montés sur le podium, ils
ont rapporté le trophée du fair-play. Un prix
bien plus cher à nos yeux, qui véhicule des
valeurs fondamentales.
"WFD TJY NBUDIT EJTQVUÏT MÏRVJQF FTU QBSWF
OVFËEÏDSPDIFSMFQSJYEVGBJSQMBZ$FUUFEJT
UJODUJPONFUFOWBMFVSVOFDPOEVJUFIPOOÐUF
dans le jeu, exemplaire pour le respect de l’adversaire, des règles, des décisions de l’arbitre,
du public et de l’esprit du jeu, mais aussi la
MPZBVUÏMBNBÔUSJTFEFTPJFUMBEJHOJUÏEBOTMB
victoire comme dans la défaite. Saluons ainsi
le comportement de ces jeunes, mais aussi des
enseignements qu’ils ont reçus pendant cette
année sportive.
#FSOBSE#PDIFUQSPGFTTFVSE&14ÏEVDBUJPO
QIZTJRVFFUTQPSUJWF
FUBOJNBUFVSTQPSUJGEV
DPMMÒHF $BNVT TFDUJPO OBUBUJPO XBUFSQPMP
L’équipe fair-play : Bilel Bouadi, +FBO'JTDIFS
'MPSJBO .PSBUB %ZMBO "SNBOE 4JNPO
.BUFP"OOF-BVSF#PVNFEBE'BOOZ'FOPMM
0DÏBOOF 3PDDIJB FU *TNBFM #PVMUBNF KFVOF
arbitre officiel).
POUR APPRENDRE À NAGER
L’activité natation de l’école municipale de sport est plébiscitée au point
RVFMBNBJSJFBVHNFOUFMBDBQBDJUÏEBDDVFJMEFTFOGBOUTEFËBOT
&O KVJMMFU EÏKË MF DPOTFJM NVOJDJQBM PVWSBJU TPJYBOUF QMBDFT
En septembre de la même année, il élargissait sa jauge pour accueillir quatre-vingt-dix enfants. La demande étant en constante augmentation, ce sont désormais cent trente-cinq futurs nageurs qui pourront
bénéficier de l’apprentissage et du perfectionnement en natation pendant
USPJTDSÏOFBVYMFNFSDSFEJBQSÒTNJEJEFIËIEFIË
IFUEFIËI%FTHSPVQFTEFRVJO[FTFSPOUDPOTUJUVÏTTPVTMB
TVSWFJMMBODFEVONBÔUSFOBHFVSTBVWFUFVSFUEFUSPJTBVUSFTQPVSMBQÏ
EBHPHJF-FUBSJGBOOVFMTÏMÒWFËǎQBSFOGBOUTPJUDFOUJNFTQPVS
DIBDVOFEFTWJOHUTFQUTÏBODFTQSPQPTÏFT
Renseignements au service municipal des sports :
avenue du Maréchal-Juin. Tél. : 04 90 50 02 11.
Ouvert du lundi au vendredi de 8 h 30 à 12 h et de 13 h 30 à 17 h.
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C’EST MA VIE !
JEUNESSE
Initiatives
LE SERVICE CIVIQUE,
UNE EXPÉRIENCE MARQUANTE
Implantée à Miramas depuis quatre ans, l’association Unis-cité permet aux jeunes de
16 à 25 ans de s’engager dans le service civique, un dispositif soutenu par le ministère de
la Jeunesse et des Sports. Elle a accompagné, pendant huit mois, seize volontaires et trois
d’entre eux ont déjà trouvé un emploi.
“Cette année a vraiment été bonne, confie
.BSMÒOF )ZWFSU MB SFTQPOTBCMF EF MBOUFOOF
miramasséenne. Les jeunes ont dépassé nos
attentes, ils se sont totalement investis dans
leurs missions, en enchaînant les initiatives personnelles. Ils ont par exemple été présents lors
du festival Nuits Métis en animant un stand
de prévention sécurité routière et santé, équipé
d’alcootests, d’ éthylotests et de préservatifs…
Aux Jardins Fleuris, ils ont réalisé un vrai travail d’accompagnement avec les personnes âgées.
Leur tenir compagnie, partager des moments,
proposer des soins esthétiques. Leur implication
nous a vraiment touchés, les rapports humains
ressentis sont particulièrement positifs.” Les
volontaires sont, entre autres, intervenus lors
EV5ÏMÏUIPOBVQSÒTEFTQFSTPOOFTJTPMÏFTJMT
POUÏHBMFNFOUQBSUJDJQÏËEFTBUFMJFSTEFTFOTJbilisation au surpoids dans les écoles de la ville
avec le programme Vitaminés.
Unis-Cité à Miramas :
21, rue Roumanille, Molières 2.
Tél. : 06 58 13 48 22.
Site : www.uniscite.fr
-FTFSWJDFDJWJRVFTÏUFOETVSVOFEVSÏFEFIVJUNPJTËSBJTPOEFWJOHUTFQUIFVSFT
IFCEPNBEBJSFTFUTBESFTTFBVYKFVOFTEFËBOTNPUJWÏT4FJ[FQPTUFTTPOUË
QPVSWPJSQPVS-FTSFDSVUFNFOUTTFUFSNJOFOUËMBNJPDUPCSF
14
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
Nous sommes unanimes, les différentes missions
que nous avons effectuées ont eu un réel impact
sur nos vies. Que ce soit au niveau culturel, social
ou professionnel. Si quelqu'un me demande mon
avis sur le service civique, je lui dis de foncer.
Cédric, volontaire.
Grâce à mon service civique, j’ai pu établir de
nombreux contacts et j’ai grandement pu élargir mes horizons. J’ai acquis un certaine stabilité personnelle tout en développant mon projet
professionnel. Ça m’a vraiment ouvert des portes.
Patricia, volontaire.
Les volontaires reçoivent une formation citoyenne et sont amenés à effectuer une réflexion
sur leur avenir professionnel. Seuls comptent la
motivation et l’engagement.
Martine Arfi, conseillère municipale déléHVÏFËMBQPMJUJRVFEFMBWJMMFFUWJDFQSÏTJEFOUF
EF0VFTU1SPWFODF
Vous pouvez être fier de vous, de ce que vous avez
accompli ! Un travail largement porté par tous
nos partenaires que nous souhaitons également
remercier.
Matthieu Galland,
directeur régional d’Unis-cité.
C’EST MA VIE !
LE BEL ÂGE
DE KLÉBER BÉRIDOT
Kléber Béridot a atteint l’âge respectable de
102 ans le 26 juin dernier. Il a fêté cette date
marquante entouré de sa famille et accueilli
en mairie.
GENS D’ICI
Portrait
CLÉMENT MARTIN
CHAMPION DE FRANCE
Après seulement six ans de pratique de taï jitsu, Clément a été sacré
champion de France junior 2014 lors des derniers championnats.
Un jeune homme décontracté qui révèle son véritable visage sur les
tatamis.
&O$MÏNFOUEÏDJEFEFTVJWSFMFYFNQMFQBUFSOFMFOTJOTDSJWBOU
BVDMVCEFKVEP&OBMPSTRVJMTFSFOEËVONBUDIEFIBOEBV
DPTFD$PODPSEFJMQBTTFEFWBOUMFEPKPPáTFOUSBÔOFOUMFTNFNCSFTEV
5BÕ+JUTV$MVC*MFTUJOWJUÏËGBJSFVOFTTBJFUMBNBHJFPQÒSFMBNCJBODF
amicale et l’état d’esprit lui conviennent parfaitement. La pratique
EF DF TQPSU RVJ FTU VOF DPOUJOVJUÏ EV KVEP BWFD MF LBSBUÏ DPNNF
composante principale, lui permet de canaliser son énergie, de s’armer
de patience et surtout de prendre confiance en lui. Les résultats du début
EFMBOOÏFMPCUFOUJPOEFMBDFJOUVSFOPJSFFUMFUJUSFEFDIBNQJPOEF
1SPWFODF MBJTTBJFOU EÏKË QSÏTBHFS VO CPO DMBTTFNFOU BV DIBNQJPOOBU
EF'SBODF1PVSDFUUFQSFNJÒSFDPNQÏUJUJPOOBUJPOBMFJMQBSUDPOëBOU
accompagné de ses professeurs qui l’ont préalablement préparé de façon
JOUFOTFFUNJOVUJFVTF$FMZDÏFOEFre scientifique ne rencontre pas de
SÏFMMFTEJïDVMUÏTTVSMFTUBUBNJTFUFODIBÔOFMFTWJDUPJSFTEFWFOBOUBJOTJ
DIBNQJPOEF'SBODFKVOJPS®BOT$MÏNFOUFTUUPVDIFËUPVUJMKPVF
de la guitare, pratique la voile, joue sur son ordinateur. “Clément est un
garçon décontracté, enthousiaste, discret, doté de beaucoup d’ humour. Il
rêve de partir à l’ étranger et prend des cours approfondis d’anglais. Il préfère
regarder les films en version originale, et plus particulièrement ceux de
Quentin Tarantino !”DPNNFOUF)ÏMÒOFTBNBNBO.JDIFMTPOQBQB
révèle le secret de sa réussite sportive : “Ces entraînements ne seraient rien
sans une alimentation diététique, dont seul Clément a le secret : chips et pâte
à tartiner matin, midi et soir, avec double ration le week-end !”
Souvent, les édiles se déplacent pour saluer leurs
administrés. Le plus que centenaire toujours vert
a renversé la tendance en étant reçu dans son
bureau par le premier magistrat. Il est reparti
avec la médaille de la Ville et des produits locaux.
Frédéric Vigouroux et Kléber Béridot se sont
USPVWÏTVOFQBTTJPODPNNVOFMFSVHCZ$FEFSOJFS
l’a pratiqué depuis son plus jeune âge et a participé
BVYDIBNQJPOOBUTEF'SBODFEBOTMFTBOOÏFTUSFOUF
/BUJGE"QUMFDIFNJOPUWBVDMVTJFOFTUSBUUBDIÏBV
dépôt de Miramas en 1937. Il ne quittera plus sa ville
EBEPQUJPOEPOUJMBPCTFSWÏUPVTMFTDIBOHFNFOUT
“J’ai connu l’hôtel qui était à la place de la mairie,
à cette époque, on y croisait des dames aux mœurs
légères”. Il évoque également les arènes voisines et
détruites depuis. Mais après 77 ans passés dans
OPUSFDJUÏVOBSUJDMFOFTVïSBJUQBTËÏWPRVFSUPVUFT
les évolutions.
“Il est né l’année du Titanic, mais heureusement, a
connu une plus grande longévité” TF QMBJTFOU Ë EJSF
ses deux enfants, quatre petits et cinq arrièreQFUJUTFOGBOUT&TUDFMFTQPSUMBNPVSEVDIBOUFU
EF MB EBOTF RVJ MPOU NBJOUFOV FO GPSNF “On le
surnomme Paso tant il aimait danser le paso doble,
toutes les semaines au bal” remarque sa petiteëMMF "OOJF 0V TB QBTTJPO QPVS MF CSJDPMBHF “Il
démontait les moteurs, réparait tout, faisait de la
plomberie et de l’électricité, fabriquait des jouets
gravés et sculptés pour nous. Je me souviens d’un sabre
en bois qu’il m’avait offert quand je pratiquais les arts
martiaux”BKPVUF"OOJF3FUSBJUÏËΉBOTWSBJNFOU
BDUJG KVRVË ,MÏCFS #ÏSJEPU FTU UPVKPVST SFTUÏ
attentif aux siens, n’écoutant que très peu les
recommandations des médecins et ne suivant pas
UPVKPVST TDSVQVMFVTFNFOU MFVST QSFTDSJQUJPOT 0O
MBVSBDPNQSJTMIPNNFFTUEPUÏEVODBSBDUÒSFCJFO
trempé. “Il aime la vie” affirme sa famille. En lui
permettant d’avoir traversé un siècle, il semblerait
qu’elle le lui rende bien.
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
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C’EST MA VIE !
avait un esprit créatif très développé, mettant
du raffinement dans tout ce qu’elle touchait”
SBDPOUF3FOÏ/P[FSBOMVOEFTBODJFOTQSÏTJEFOUTEFM6"*$'
Femme de caractère, elle a su imposer sa prestance jusque dans la maison de retraite qui
l’accueillait depuis deux ans : “Elle a été élue
déléguée au conseil de la vie sociale des résidents”
relate sa fille.
Mme Bador adorait le bleu, celui de la douceur,
de l’infini du ciel.
Elle laisse quatre enfants, onze petits-enfants
et neuf arrière-petits-enfants. Elle laisse aussi
MFTBEIÏSFOUTEFM6"*$'FUMFTëEÒMFTEV5ÏMÏUIPOEBOTMBQFJOF4BGSÐMFTJMIPVFUUFOPVT
NBORVFEÏKË
GENS D’ICI
Hommage
LA VIE EN BLEU
DE Mme BADOR
Personne n’aurait songé appeler Jeanine
Bador autrement que “Madame” ni oser le
tutoiement. Cette grande dame, qui nous
a quittés le 13 juillet, forçait le respect et la
sympathie. Avec charme et naturel.
-6"*$'BUPVSOÏVOFQBHFBVEÏCVUEFMÏUÏ
L’un de ses piliers le plus solide s’en est allé,
après 44 ans au service discret et non moins
efficace au sein de l’association. Si elle ne l’a jamais présidée, c’est qu’elle n’appartenait pas au
NPOEFDIFNJOPU&MMFÏUBJUMÏQPVTFEVONBSJONJMJUBJSFRVJBUFSNJOÏTBDBSSJÒSFBV$&"
&OVOUFNQTPáMFTBDUJWJUÏTÏUBJFOUQMVTSBSFTË
Miramas, Mme Bador a inscrit une de ses
RVBUSF FOGBOUT BVY BOJNBUJPOT EF M6"*$'
“Elle y a été présente et impliquée comme elle
était attentive au suivi de notre scolarité, très
investie chez les parents d’ élèves”, se souvient
TBëMMF"OOF-JTF0OMBBVTTJCFBVDPVQSFODPOUSÏF DIF[ MFT EPOOFVST EF TBOH PV TVS MF
5ÏMÏUIPOEFQVJTTBDSÏBUJPOFUFMMFBQSJTVOF
QBSUUSÒTBDUJWFBV$POTFJMEFTBHFT
7JDFQSÏTJEFOUF TFDSÏUBJSF EF M6"*$' BWFD
Mme#BEPSMFTDIPTFTUPVSOBJFOUSPOE“Elle
a imposé un esthétisme et un sens du détail. Elle
16
AMIR EL MARDI LE GRAND FRÈRE
L’émotion était vive au soir du 4 juillet au
centre social La Carraire. Ses camarades
et l’équipe venaient d’apprendre le décès
accidentel d’Amir El Mardi. Il avait 24 ans
et promis à un bel avenir. Ses amis ne l’oublieront pas.
$BQPSBM EBOT MBSNÏF EF MBJS EFQVJT EFVY
BOTË7JMMBDPVCMBZ"NJS&M.BSEJOFNBOquait jamais de venir saluer les copains
EV DFOUSF Ë DIBRVF WJTJUF UPVT MFT RVJO[F
jours. Miramasséen depuis l’âge de 10 ans,
JM FTU EBCPSE VO IBCJUVÏ EV DFOUSF TPDJBM
-B $BSSBJSF QVJT CÏOÏWPMF MVO EFT JOJUJBUFVST EV TFDUFVS +FVOFT &OTVJUF TBMBSJÏ EF
M²UÏ +FVOFT FU EV DFOUSF TPDJBM “Amir était
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
un leader, un médiateur, altruiste, généreux,
toujours prêt à rendre service, quelqu’un sur
qui on pouvait s’appuyer, se souviennent
0MJWJB FU 4BSBI EJSFDUSJDF FU BOJNBUSJDF EV
centre. Sa disparition a bouleversé notre été.”
4POEJTDPVSTQPTJUJGBEPOOÏËUPVTMFOWJFEF
DIBOHFS MFT DIPTFT “Il disait toujours qu’on
pouvait s’en sortir, sortir du “quartier” et encourageait ses copains à poursuivre des études.
Il était aussi très protecteur, comme un grand
frère.”
Amir restera dans les mémoires, mais il laisse
EÏKËVOHSBOEWJEFBVTFJOEFTBGBNJMMFTFT
QBSFOUT.PTUBGBFU4BIJMBTPOGSÒSF4BNJS
sa sœur Zina et sa compagne Natalia.
C’EST MA VIE !
APPEL À PARTICIPATION
MIRAMASSÉENS
DU MONDE
PHOTO
DE FAMILLE
Miramasséen un jour,
.JSBNBTTÏFOUPVKPVST7PVTWJWF[
ËMÏUSBOHFSPVEBOTVOFBVUSF
région, une autre commune que
MBOÙUSFWPVTBWF[VOBUUBDIFNFOU
QBSUJDVMJFSËWPUSFWJMMFEFD”VSy
Nous avons un projet avec vous
et une belle surprise au bout.
$POUBDUF[OPVTTBOTUBSEFS
QBSDPVSSJFMPVTVS'BDFCPPL
&UOIÏTJUF[QBTËFOQBSMFS
ËWPUSFFOUPVSBHFQSPDIF
ou lointain.
i+FTVJTDBQJUBMwyBVTTJFOFUËMJNBHFEFMPQÏSBUJPO.1RVJWPVTQMBÎBJUBV
D”VSEFOPUSFWJMMF-Bi1IPUPEFGBNJMMFwWPVTNFUFOBWBOUWPVTMFTIBCJUBOUTEF.JSBNBT
La grande famille miramasséenne se vit au quotidien et pour l’illustrer, nous vous tirerons le
QPSUSBJU 1SÏTFOUF[WPVT FO GBNJMMF QPVS WPVT GBJSF QIPUPHSBQIJFS EBOT WPUSF RVBSUJFS -FT
prises de vue auront lieu en extérieur fin octobre et début novembre.
®MJTTVFEFTW”VYEFTCÉDIFTWPVTTZNCPMJTFSPOUWPVTWPUSFGBNJMMFWPUSFRVBSUJFS&MMFT
TFSPOUBï
DIÏFTEBOTUPVUFMBDPNNVOFDBSMBGPSDFEFOPUSFWJMMFDFTUWPVT
'BJUFTWPVTDPOOBÔUSFBVQSÒTEVTFSWJDFDPNNVOJDBUJPOPVEFWPTDPOTFJMTEFRVBSUJFST
Service communication : 04 90 17 48 38.
Courriel : [email protected]
Quartier de La Crau : 06 83 40 35 57.
Courriel : [email protected]
Quartier de La Levée : courriel : [email protected]
Courriel : [email protected]
http://www.facebook.com/ville.
de.miramas/
ÉTAT CIVIL
Ils sont nés : %JFHP1POTMFΉNBJ
Elsa Auger, le 1er KVJMMFU t 5BP
Miternique, le 1erKVJMMFUt-ZBN1FUJU
le 25 juillet.
Ils se sont mariés : Didier Mazerand
FU /BEJOF #SBIJNJ MF Ή KVJO t
)JDIBN &M ,IPVNBOJ FU )BDLJNB
,IPVNBOJ MF Ή KVJO t 'MPSFOU
%VSBOEP FU $ÏMJOF .BSUJOJ MF
Ή KVJO t *TTBN #PVBJDIF FU *LSBNF
&M )BJTTPVë MF Ή KVJO t 'PVBE
#FOOBLIMBFU4BSBI"MJMFKVJOt
4ÏCBTUJFO3VCJFU$BSPMJOF$IBVWJO
MF KVJMMFU t /JDPMBT (FSNBJO FU
.BSKPSJF4BMWBEPSMFΉKVJMMFUt"MBJO
Montagard et Béatrice Ambrosio,
Quartier Les Collines : [email protected]
Quartier de la Gare : [email protected]
Quartier des 4-Chemins : [email protected]
MFΉKVJMMFUt1JFSSF7BMFSJPFU#ÏBUSJDF
1PSUB : 4BOUBDSFV MF KVJMMFU t
3ÏNZ 3JU[[P FU "MJDJB %FMWBM MF
ΉKVJMMFUt/JDPMBT3BEPVBOFU-BVSF
.BSUJO MF KVJO t $ZSJMMF %FCBJSF
FU.BSJBN0VFESBPHPMFKVJMMFUt
:BOO $BNBUUF FU 'MPSJBOF (PVSMPU
MF KVJMMFU t ɨ
PNBT 3JWJÒSF FU
"VSÏMJF 3BVKPM MF Ή BPßU t 4UÏQIBOF
.BSDIBEJFS FU "VSÏMJF 0MJWFJSB
%BDPTUBMFBPßUt,BEFS$IBCBOF
FU 4BOESJOF .BÕOFUUJ MF BPßU t
"CEFTBNBE #FOIBTTPV FU .BSJF
"MJDF 4BMMF[ MF Ή BPßU t (VJMMBVNF
Mandallaz et Elodie Ferrier, le 9 août
t +FTTZ -BMBOF FU ²MPEJF 'FDIJOP MF
BPßU t (FPêSFZ 7JOTPO FU 4BOEZ
+PPOOFLJOEUMFΉBPßU
Ils nous ont quittés : 3PCFSU
%BVGÒTBOTMFKVJOt%BOJÒMF
1FSFHP ÏQPVTF .BSJOJ BOT MF
KVJO t +BOJOF $PVUFODJO ÏQPVTF
.BSDIBEJFS BOT MF KVJO t
"NJS&M.BSEJΉBOTMFKVJMMFUt
)VHVFUUF(BCVDDJWFVWF$IFWBMJFS
BOTMFKVJMMFUt1IJMJQQF-FHBD
BOTMFKVJMMFUt3FOÏF#PVSEFMZ
WFVWF4PSBOHFBOTMFΉKVJMMFUt
"OJUB1JSFZSFΉBOTMFKVJMMFUt
(FSNBJOF +PVWF WFVWF .BHJTUSBMJ
BOT MF Ή KVJMMFU t $BUIFSJOF
Lucile veuve Brun, 95 ans, le
Ή KVJMMFU t (JTÒMF #PVUPJMMF WFVWF
.PVMJOJFS BOT MF KVJMMFU t
Gérard Tournier, 70 ans, le 18 juillet
t $ISJTUJBO 1BTRVJ BOT MF
KVJMMFU t "OUPJOFUUF 3JDDJBSEP
veuve Borg, 84 ans, le 24 juillet
t (BFUBO 1POUJEB BOT MF
ΉKVJMMFUt'SBODJT$BUBMEPΉBOT
MF Ή KVJMMFU t "CEFMLBEFS $IJCJ
BOT MF Ή KVJMMFU t .PIBNNFE
#FOBZBEB Ή BOT MF KVJMMFU t
Henriette Hinaut veuve Dumont,
ΉBOTMFBPßUt"OUPJOFUUF-PQF[
WFVWF 6UUXJMMFS Ή BOT MF Ή BPßU
t $ISJTUJOF (SBOHF WFVWF 1FSSFU
Ή BOT MF BPßU t )ÏMÒOF #SÏHOZ
Ή BOT MF Ή BPßU t +PTFQI 3BZ
102 ans, le 10 août.
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
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GRAND ANGLE
Réussite éducative
GRAND ANGLE
MIRAMAS CHOISIT
LA RÉUSSITE
ÉDUCATIVE
18
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
GRAND ANGLE
Réussite éducative
Septembre 2014 : une nouvelle année scolaire commence !
Plus que jamais, la municipalité et la communauté éducative
de Miramas se mobilisent pour assurer la réussite des
jeunes Miramasséens. Les projets de plus ou moins long
terme fourmillent pour donner à chaque élève toutes les
chances de s’épanouir. Ensemble, enseignants, éducateurs,
parents d’élèves, agents administratifs et de service ainsi
que les élus, travaillent d’arrache-pied et innovent pour que
Miramas soit une ville où il fait bon étudier et où la réussite
est au bout du chemin.
ILS ONT PRÉPARÉ
LA RENTRÉE
“Depuis un an, notre attention et nos moyens
sont mobilisés pour le succès du projet éducatif
de territoire (PEDT) pour l’année 2014-2015.
Tout nous laisse penser que ce sera le cas et notamment l’adhésion des parents. Nous avons
mis tous les moyens en œuvre pour sa réussite,
en y associant les familles, les équipes pédagogiques, l’Education nationale, les agents municipaux, les associations sportives et culturelles.
Cette année, charnière, verra des réajustements
et des évaluations seront étudiées dès le premier
trimestre” QSÏDJTF .BSZTF 3PEEF QSFNJÒSF
BEKPJOUFEÏMÏHVÏFËMÏEVDBUJPO
L’élue ajoute : “Comme tous les ans depuis
2008, l’ été est mis à profit pour réaliser des
travaux importants dans les écoles : peinture,
menuiserie, isolation, sécurité, etc. En tout,
plus de 700 000 € ont été investis. Par ailleurs,
depuis deux ans, l’accent est mis sur l’ informatique : tout le parc a été remplacé pour un montant de 400 000 €.”
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GRAND ANGLE
Réussite éducative
MIRAMAS,
CREUSET DE FORMATIONS
-FT MZDÏFT EF .JSBNBT TF QSÏQBSFOU BVY
DIBOHFNFOUT RVF WB WJWSF OPUSF DPNNVOF
avec le Village des marques et le stade couvert
EBUIMÏUJTNF $PDUFBV QPVS MFOTFJHOFNFOU
général, Les Alpilles et Fontlongue pour
MFOTFJHOFNFOUQSPGFTTJPOOFMQSPQPTFOUEÏKË
des formations en relation avec les secteurs
concernés. La municipalité, avec tous ses
partenaires dont l’Éducation nationale, travaille pour renforcer cette offre afin de proposer les cursus les plus adaptés au nouveau
développement économique de la ville. Le
maire a ainsi rencontré le recteur d’Académie
MFKVJMMFUEFSOJFS$FUUFSÏìFYJPODPOKPJOUF
DPOTUJUVF VOF EÏNBSDIF OPWBUSJDF RVJ QMBDF
la qualité de la formation au centre du projet.
Elle devrait permettre une meilleure insertion professionnelle des Miramasséens.
“Le lycée dispose d’une classe Vente avec une section européenne en anglais. Nos élèves suivent
donc un cursus diplômant. Au travers du Greta, nous offrons une formation qualifiante aux
demandeurs d’emploi. Ils en sortiront avec des
compétences, un savoir-faire et un savoir-être
conformes aux attentes des employeurs, avec
une flexibilité différente de celle de l’Éducation
nationale car ces formations n’entrent pas dans
une filière purement scolaire. Nous opérons un
RENSEIGNEMENTS
Les Alpilles : 04 90 58 02 95.
$PVSSJFMDFO!BDBJYNBSTFJMMFGS
4JUFIUUQXXXMFTBMQJMMFTGS
Cocteau : 04 90 50 02 98.
$PVSSJFMDF!BDBJYNBSTFJMMF
GS4JUFIUUQXXXMZDDPDUFBVBDBJY
NBSTFJMMFGS
Fontlongue : $PVSSJFMNJSBNBT!DOFBQGS4JUFIUUQ
XXXGPOUMPOHVFPSH
20
partenariat avec Pôle emploi, qui identifie les
types de formation nécessaires” JOEJRVF 1IJMJQQF1PHHJMFQSPWJTFVSEFT"MQJMMFT
-F MZDÏF QSJWÏ BHSJDPMF 'POUMPOHVF JOUÒHSF
un centre de formation professionnelle quaMJëBOUF i.JSBNBT 'PSNBUJPOw RVJ SÏQPOE
BVYTPVIBJUTEFTFOTFJHOFTDPNNFSDJBMFT*M
gère actuellement quinze contrats de professionnalisation et veut élargir ses domaines de
compétence. Un diplôme en apprentissage
#BD IPNPMPHVÏ SFTQPOTBCMF EF DFOUSF EF
profit en distribution options alimentaires,
jardinerie, animalerie et textile, attend
l’agrément de la Direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt.
COCTEAU, VERS UN CAMPUS
DES MÉTIERS DU SPORT ?
-FMZDÏFFOUSFEBOTTBUSPJTJÒNFBOOÏFEF
formations aux métiers du sport, en lien
direct avec les fédérations. Une initiative
très originale qui rencontre un vif succès :
RVBUSFWJOHUTÏMÒWFTTPOUBUUFOEVTËMBSFOUSÏF 1SPëUBOU EF MJNQBDU BUUFOEV EF MB
SÏBMJTBUJPO Ë .JSBNBT EVO TUBEF DPVWFSU
EBUIMÏUJTNF RVJ QFSNFUUSB BVTTJ MB QSBtique de nombreux autres sports, l’établissement est en contact avec les clubs sporUJGTFOWJSPOOBOUTBUIMÏUJTNFSVHCZSVHCZ
Ë9***SVHCZGÏNJOJOIBOECBMMGPPUCBMM
UFOOJTCBTLFUWPJMFFTDBMBEFy
QPVSFOWJTBHFS MBDDVFJM EF QÙMFT FTQPJST $FVYDJ
pourraient utiliser le nouvel internat de 50
MJUTEPOUMB3ÏHJPOTPVIBJUFEPUFSMFMZDÏF
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
“Notre objectif, à la rentrée 2015, est le postbac diplômant avec des formations à la carte
qui mettront nos élèves au niveau des universitaires. Avec ces qualifications, ils pourront aussi répondre à des besoins pérennes ou
ponctuels dans les domaines du périscolaire,
des centres de loisirs, des maisons de retraite,
etc. Nous souhaitons un enseignement supérieur adapté au public de notre territoire”,
TPVMJHOF -BVSFOU $BCSPM MBOJNBUFVS EV
EJTQPTJUJG-BNVOJDJQBMJUÏFUMFMZDÏFQSPëUFOU EF DFUUF EZOBNJRVF QPVS FOWJTBHFS
d’autres développements qui permetUSBJFOUËMÏUBCMJTTFNFOUEFEFWFOJSVOFSÏférence régionale en matière de formations
aux métiers du sport.
GRAND ANGLE
Réussite éducative
LES ALPILLES
FONT PEAU NEUVE
-F OPVWFBV MZDÏF QSPGFTTJPOOFM -FT "MQJMMFT
prend forme. L’avancement des travaux sur le
TJUFEBOTMB;"$EFT.PMJÒSFTFTUWJTJCMFË
l’œil nu et de loin. À la place des structures
RVJEBUBJFOUEFTÏMÒWFVOCÉUJNFOUEF
85 mètres de longueur qui abritera les services administratifs et l’enseignement généSBM*M TFSB QSÐU QPVSMB SFOUSÏF 1BSNJ
MFTUSPJTBVUSFTOPVWFBVUÏTRVJGFSPOUEVMZDÏF
un établissement des plus modernes, l’inUFSOBU DPOOBÔU VOF SÏIBCJMJUBUJPO DPNQMÒUF
-IÏCFSHFNFOUTFSBQMVTDPOGPSUBCMFBWFDEFT
DIBNCSFTEFEFVYQFSTPOOFTEVOFTVQFSëDJF
de 17 m2. Et pour la première fois, l’accueil
de jeunes filles : quatorze places leur seront
SÏTFSWÏFTBVSF[EFDIBVTTÏFFUTPJYBOUFQPVS
les garçons, sur les deux autres étages. Il ouvrira en janvier 2015. La cuisine et le restaurant de la demi-pension rouvriront en mars
2015 après une reconstruction intégrale. Les
sportifs devront patienter un peu plus longtemps : le plateau qui leur est destiné sera liWSÏ FO KBOWJFS UPVU DPNNF MFT RVBUSF
salles de cours pour la formation continue.
L’enseignement n’est bien évidemment pas
QÏOBMJTÏ EBOT MF MZDÏF RVJ QPVSTVJU TFT USPJT
grands axes de formation répartis équitablement entre les métiers du bâtiment, de la logistique, conduite routière, transport, vente
et ceux de l’automobile, moto, carrosserie.
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
21
GRAND ANGLE
Réussite éducative
MIRAMARIS ET CAMUS
EN RÉSEAU D’ÉDUCATION PRIORITAIRE
La rentrée 2015 verra la refonte de l’éducation prioritaire. Frédéric Vigouroux a donc saisi le recteur dès le mois de février
QPVSEFNBOEFSMFDMBTTFNFOUFO[POF3&1SÏTFBVEÏEVDBtion prioritaire) de deux secteurs de la commune. “Les analyses
qui accompagnent la réforme de la politique de la ville confirment nos besoins, déclare le maire. Il faut des moyens éducatifs
exceptionnels pour favoriser la réussite scolaire dans les quartiers
dont les enfants sont scolarisés à Miramaris et Albert-Camus.
Une partie des quartiers nord et le quartier de La Carraire sont
classés en quartiers “politique de la ville”. En prétendant à un
22
classement REP (voire REP+ pour Miramaris), les collèges pourraient développer des actions plus efficaces.” Le maire a plaidé
particulièrement la situation du collège Miramaris, dont la
DPNNVOBVUÏÏEVDBUJWFFTUUSÒTEZOBNJRVFNBJTRVJTPVêSF
d’une image négative, et de la fragilité des populations. “Il
est vital de faire du collège Miramaris un site d’excellence avec
des disciplines ou des options spécifiques, comme le chinois en
2e langue, une section artistique… ce qui permettrait d’offrir
aux élèves de meilleures chances” ajoute le premier magistrat.
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
ÉCONOMIE
MISSION
LOCALE, E2C :
UN PARTENARIAT
INSTITUTIONNEL FORT
Le partenariat institutionnel fort s’avère
indispensable pour faciliter la prise en
DIBSHFHMPCBMFEFTKFVOFTFUQFSNFUEF
renforcer la continuité des parcours
d’insertion et de formation, en agissant
en amont et en aval de l’intégration des
stagiaires.
EMPLOI, UNE CHANCE
SUPPLÉMENTAIRE
L’antenne de Miramas de l’École de la
2e Chance (E2C) a remis en selle des
dizaines de jeunes depuis son ouverture
le 4 octobre 2013. Elle répond ainsi aux
besoins du territoire de Ouest Provence.
Depuis plusieurs années la Mission locale
0VFTU1SPWFODFUSBWBJMMFFOSFMBUJPOÏUSPJUF
avec l’École de la 2e$IBODF&UEFQVJTMBOOÏFEFSOJÒSFË.JSBNBTEBOTVOMPDBMQSÐUÏ
par la municipalité. Elle repère, informe,
oriente les jeunes sur ce dispositif et effectue
le suivi des stagiaires tout au long de leur
QBSDPVST&$BTTVSFQBSMÏEVDBUJPOFUMB
formation, l’insertion professionnelle des
KFVOFTEFËBOTTBOTEJQMÙNFOJRVBMJëDBUJPO 4PSUJT EV TZTUÒNF TDPMBJSF USBEJUJPOOFMEFQVJTBVNPJOTVOBOJMTZUSPVWFOU
les outils pour rebondir. En répartissant
leur temps entre l’entreprise, la formation
dans les antennes locales et celle dans les
MPDBVYEF.BSTFJMMFMFTKFVOFTBQQSÏIFOEFOU
MFVST MBDVOFT QPVS MFT DPNCMFS -BQQSPDIF
QÏEBHPHJRVFSFMÒWFEFMBSFDIFSDIFEFSÏVTsite, sans notation, sans sanction, avec pour
seul objectif l’encouragement individuel.
24
Le mode participatif et la pluridisciplinalité stimulent cet engagement. Tous les
témoignages concordent : l’équipe de formaUFVSTEF&$FUMFTDPOTFJMMFSTEFMB.JTTJPO
locale font preuve d’une présence active
QPVS SFNPOUFS MF NPSBM RVBOE PO MÉDIF MB
CSJEF QPVS JODJUFS Ë QPVSTVJWSF QPVS QPser les bonnes questions. Et quand on sort
EVTZTUÒNFVO$%%PVVO$%*FOUSFMFT
mains, on se dit qu’on a bien fait de les écouUFS "MPST TJ WPVT ÐUFT Ë MB SFDIFSDIF EVO
emploi, d’une formation ou d’un contrat en
alternance l’École de la 2e$IBODFQFVUWPVT
BJEFS /IÏTJUF[ EPOD QBT Ë SFODPOUSFS TFT
responsables pour vous renseigner, trentecinq places sont disponibles.
-B.JTTJPOMPDBMFFU&$PSHBOJTFOU
une information collective le vendredi
12 septembre à 9 h en salle des mariages.
Pour plus d’information :
Mission Locale au 04 90 58 76 90
Que les problèmes de mobilité ne vous
GSFJOFOU QBT &$ PSHBOJTF les transports
des stagiaires. Un partenariat est conclu
avec Transport mobilité solidarité (TMS)
TVSMFUFSSJUPJSFEF0VFTU1SPWFODFQPVSMFT
TUBHJBJSFTSFMFWBOUEVDIBNQEFMÏDPOPNJF
sociale et solidaire.
LES EFFECTIFS
DE L’ANTENNE OUEST PROVENCE
2011
2012
2013
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
7
8
11
18
23
42
Inscrits au 1er janvier
Stagiaires entrés
dans l’année
ÉCONOMIE
EN ROUTE VERS L’ALTERNANCE
L’apprentissage est l’une des meilleures voies
d’insertion professionnelle. Il prépare à un
emploi et constitue une véritable opportunité de recrutement pour les entreprises.
“En route vers l’alternance” a pour principe de mettre en relation les personnes en
recherche de contrat en alternance, les
organismes de formation et les entreprises.
5SPVWFSVOBQQSFOUJTTBHFOhFTUQBTDIPTFTJNQMF
.ÏUIPEF ÏOFSHJF FU HSBOEF NPUJWBUJPO TPOU
nécessaires pour trouver les bons arguments, se
présenter et convaincre. Depuis plusieurs anOÏFTMB.JTTJPOMPDBMF0VFTU1SPWFODF”VWSF
pour permettre la rencontre des jeunes, des
DFOUSFTEFGPSNBUJPOFUEFTFNQMPZFVSTEFOPUSF
territoire, les accompagnant pour que les candidatures soient les plus pertinentes possible.
Dans cet objectif, la Mission locale a conçu un
atelier, sous forme de tables rondes. Les candidats peuvent ainsi se rendre compte des attentes
EVDFOUSFEFGPSNBUJPOEBQQSFOUJT$'"
PC
UFOJS EFT DPOTFJMT FU VOF NÏUIPEPMPHJF QPVS
MFVS SFDIFSDIF SÏBKVTUFS MFVS NÏUIPEF FU TVS
UPVUÐUSFNJTFOSFMBUJPOBWFDVOFNQMPZFVS-B
formation en alternance est considérée comme
un réel tremplin pour les bénéficiaires et facilite
MBSFDIFSDIFEFNBJOE”VWSFEFTFOUSFQSJTFT
1MVTJFVST QBSUFOBJSFT BWBJFOU EPOD GBJU MF EÏ
placement pour rencontrer les postulants. Ils
proposaient une offre variée qui concernait les
secteurs de la coiffure, de la mécanique, de la
petite enfance, des espaces verts, de la vente,
de l’industrie, du bâtiment, de l’artisanat et de
l’agroalimentaire.
J’ai toujours aimé les fleurs.
Il y a un représentant
du lycée Fontlongue. Je vais
voir s’ils ont des offres qui
pourraient réaliser mon rêve
de travailler dans ce secteur.
Cécilia,
en recherche d’emploi.
PÉRISCOLAIRE
2014-2015
La mairie recrute des animateurs afin de
QSFOESFFODIBSHFMFUFNQTQÏSJTDPMBJSFEFT
élèves des écoles maternelles et primaires
de la ville pour l’année scolaire 2014-2015.
6O EPTTJFS FTU Ë SFUJSFS FO NBJSJF QPVS
postuler.
ENQUÊTE
LES BRÈVES DE L’EMPLOI
L’Insee réalise une enquête Emploi en
continu par sondage jusqu’au 18 octobre.
Elle permettra de déterminer combien de
QFSTPOOFTTPOUBVDIÙNBHFOFUSBWBJMMFOU
QBT PV TPOU SFUSBJUÏFT $FUUF TPVSDF
d’information est très importante pour
évaluer l’évolution des conditions de
travail, des parcours professionnels et de la
formation des personnes de 15 ans et plus.
RÉNOVATION URBAINE
-BVSFODF 7JTTFZSJBT#MBOD DIBSHÏF EF NJTTJPO DMBVTF EJOTFSUJPO "OSV UJFOU EFT QFSNBOFODFT
*OGPSNBUJPOFNQMPJEBOTMFDBESFEFMBSÏOPWBUJPOVSCBJOFËMB.BJTPOEVRVBSUJFSEFMB.BJMMF
EFIËIMFTe et 4e mardis du mois, soit les 9 et 23 septembre, 7 et 21 octobre.
.BJTPOEVRVBSUJFSBMMÏFEFT*SJTBQQBSUFNFOU5ÏM
3FOTFJHOFNFOUTËMB.BJTPOEFMFNQMPJ
Les Miramasséens sollicités recevront une
lettre indiquant l’objet de l’enquête et le
nom de l’enquêteur officiel de l’Insee. Il sera
muni d’une carte d’accréditation. Nous
vous remercions du bon accueil que vous
lui réserverez.
ATELIER DYNAMIC EMPLOI
%FTKPVSOÏFTTVSMBSÏEBDUJPOEVO$7FUEVOFMFUUSFEFNPUJWBUJPOTPOUPSHBOJTÏFTQPVSMFTKFVOFT
EFËΉBOTËMB.JTTJPOMPDBMF0VFTU1SPWFODFEF.JSBNBTUPVTMFTNFSDSFEJTEFIËI
3FOTFJHOFNFOUT
PERMANENCES FAF.TT
Vous êtes salarié d’une entreprise de travail temporaire et vous avez un projet de formation (congé
individuel de formation, congé bilan de compétences ou validation des acquis de l’expérience),
le fonds d’assurance formation pour le travail temporaire (FAF.TT) peut vous conseiller et vous
accompagner dans son élaboration et son financement. Le FAF.TT tient une permanence mensuelle
BV1PJOU3FMBJT&NQMPJ$MÏTVEEFMB.BJTPOEFMFNQMPJ
3FOEF[WPVTBVQSÒTEF."SOBVEBV
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
25
25
COMMERCES
LA BONNE MARCHE DU MARCHÉ
Fin juin, les commerçants que l’on croise
sur les marchés se réunissaient à Cabasse.
Et ce n’est pas par hasard : l’association de
promotion des marchés de Provence tient
son siège à Miramas.
“Nous avons souhaité la constitution d’une
association de promotion des marchés pour
trouver un appui dans les échanges entre les
commerçants non-sédentaires, la mairie et nous”
ÏOPODF.JDIFM.BSJOMFQSÏTJEFOUEVTZOEJDBU
EÏQBSUFNFOUBM EFT .BSDIÏT EF 'SBODF -F
travail entrepris pendant le mandat précédent
continue donc. “Nous échangeons les points de
vue pour ajuster des actions dont l’impact sera
important, dans un équilibre intelligemment
dosé entre l’alimentaire et le non-alimentaire”,
TPVMJHOF "EPMQIF #BZFVY MF QSÏTJEFOU EF
MBTTPDJBUJPO EF QSPNPUJPO EFT NBSDIÏT EF
1SPWFODF$FTUBWFDMFTSFQSÏTFOUBOUTEFTDFOU
vingt commerçants non-sédentaires qu’ont
été établies les réglementations et la bonne
NBSDIF EV NBSDIÏ IFCEPNBEBJSF "JOTJ MFT
EBUFT EV NBSDIÏ EV KFVEJ POU ÏUÏ DIBOHÏFT
pour une répartition équitable des saisons
entre le nord et le sud de la voie ferrée, les
CSBODIFNFOUTÏMFDUSJRVFTFUDFVYQPVSMBDDÒT
26
ËMFBVTPOUBVYOPSNFT$FTUNBJOUFOBOUTVS
MBUUSBDUJWJUÏFUMBRVBMJUÏRVFTFQFODIFOUMFT
différents interlocuteurs. “Nous sommes en
charge de l’animation du marché et des relations
avec tous les services de la mairie, poursuit
"EPMQIF#BZFVYNous allons aussi au-devant
d’actions comme la participation à l’ éducation
du goût avec la direction éducation jeunesse. Les
restaurateurs fabriqueront une soupe avec des
produits locaux, trouvés sur le marché pendant la
semaine du goût. Elle sera servie le jeudi matin.”
$FTJOJUJBUJWFTOFTPOURVFMFTQSFNJÒSFTEVOF
MPOHVFMJTUFQPVSRVFMFNBSDIÏEF.JSBNBT
soit celui dont on parle dans la région.
EN BREF
De Fil en aiguille a quitté la rue SiNJBOE+BVêSFUQPVSJOTUBMMFSTPOOPVWFBV
NBHBTJOBVEFMBWFOVF.BSJVT$IBMWF
Tél. : 06 50 74 50 65. Ouvert lundi de 14 h
à 18 h ; mardi, jeudi, vendredi de 9 h à
12 h et de 14 h à 18 h ; mercredi et samedi
de 9 h à 12 h.
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
LES OBJECTIFS
Nous souhaitons obtenir
une meilleure qualité des
produits, différente de celle
que l’on trouve en grande
surface, avec des prix
attractifs et les conseils des
producteurs. Nous visons
une charte de qualité.
Michel Marin, président
du syndicat départemental
des Marchés de France.
Le petit salon de coiffure de Marianne
CréationEFMBSVFEFT$ZQSÒTTFTUUSBOTformé en un 100 m2ËRVFMRVFTNÒUSFTEF
MËEBOTMBSVFEFT/PZFST
Tél. : 04 90 55 26 84. Ouvert mardi,
mercredi et jeudi de 9 h à 12 h et de 14 h
à 19 h ; vendredi de 9 h à 19 h ; samedi de
9 h à 18 h.
COMMERCES
VALLIÈRE,
IMPRIMEUR
ÉCO-RESPONSABLE
Imprimeur depuis 1929, Vallière délaisse ses locaux du centre-ville
pour emménager dans un bâtiment à haute qualité environnementale dans la ZAC des Molières.
i7BMMJÒSF OBUVSFMMFNFOU JNQSJNFVSw $FT MFUUSFT PSOFOU MF GSPOUPO
du nouveau local. Fabrice Vallière, ses co-gérants et associés ont la
fibre écolo. En vous garant près des plantes méditerranéennes qui ne
demandent que peu d’arrosage, vous remarquerez la structure en bois
EPOUMBUPJUVSFFTUQSÏWVFQPVSBDDVFJMMJSEFTQBOOFBVYQIPUPWPMUBÕRVFT
Vous verrez peut-être le puits provençal : “Il nous évite le chauffage et la
climatisation. La récupération de l’ énergie des machines fait le reste.” Les
eaux de pluie sont récupérées pour les sanitaires. Les parois acoustiques
absorbent les bruits dans l'atelier et la lumière naturelle est dispensée
par les nombreuses ouvertures.
1PVSJNBHJOFSTBOPVWFMMFJNQSJNFSJF'BCSJDF7BMMJÒSFTFTUBEKPJOUMFT
conseils du conseil régional et de l’Ademe. Sa participation au concours
iCÉUJNFOUTFYFNQMBJSFTwMVJBWBMVMFOJWFBV0SVOFBJEFëOBODJÒSF
de ces deux institutions et du conseil général pour sa construction de
UZQFJOEVTUSJFMËDPOOPUBUJPOFOWJSPOOFNFOUBMF
Si vous voulez en savoir plus un clic sur internet vous fera découvrir le
TJUFMVJBVTTJUPVUOPVWFBV0VSFOEF[WPVTTVSQMBDFQPVSWJTJUFSMJNprimerie Vallière nouvelle génération, guidés par les quatorze personnes
qui font tourner la boutique.
CÔTÉ PRESTATIONS
4JUPVUMFNBUÏSJFMBÏUÏEÏNÏOBHÏDFUÏUÏEFOPVWFMMFTNBDIJOFTGPOU
MFVSFOUSÏFEBOTMBUFMJFSVOFDIBÔOFEFCSPDIBHFVOFQMJFVTFFUVOF
façonneuse pour les dos carrés-collés : “Elle nous permettra de réaliser
des petites séries, catalogues ou livres, très rapidement”, indique Fabrice
Vallière.
Imprimerie Vallière : 163, avenue du Luxembourg,
Tél. : 04 90 58 11 57.
Courriel : [email protected].
Site : www.impvalliere.com
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
27
VIVRE ENSEMBLE
LES CRÉNEAUX HORAIRES
%VMVOEJBVTBNFEJEFIËIFUEF
IËIQFOEBOUVOFEVSÏFNBYJNBMF
EVOFIFVSFUSFOUFTBVGMFTKPVSTGÏSJÏT
Le dispositif prendra effet le 1er octobre
2014, précédé d’une période de trois
semaines de prévention, dont le contrôle
sera effectué par les agents de surveillance
EFMBWPJFQVCMJRVF"471
En cas d’infraction, l’amende forfaitaire
TÏMÒWFSBËǎ
STATIONNEMENT
LA ZONE BLEUE
ACTIVE EN OCTOBRE
Le constat est simple, malgré le stationnement existant en centre-ville, de trop nomCSFVY WÏIJDVMFT TUBUJPOOFOU VOF KPVSOÏF
entière, voire davantage, gênant l’accès aux
commerces. La concertation avec les commerçants et leur association Action Mirasud
a conduit au retour de la zone bleue dès le
1er octobre, sur un périmètre moins large que
DFMVJNJTFOQMBDFFO
&MMF OF TFSB QBT SÏHMFNFOUÏF FOUSF I FU
IFUFOUSFIFUIBëOEFQSÏTFSWFSMFT
courses du début de matinée et l’activité des
SFTUBVSBUFVSTFUTFSWJDFTPVWFSUTËMIFVSFEV
EÏKFVOFS $F OPVWFBV EJTQPTJUJG PêSJSB VOF
NFJMMFVSFSPUBUJPOEFTWÏIJDVMFTFUBNÏMJPSFSB
la qualité de vie urbaine, pour tous.
LES PARKINGS GRATUITS
DISPONIBLES
.JSBBWFOVFEFMB3ÏQVCMJRVF
EFQMBDFTQBSLJOHEFMBHBSFEF
ΉQMBDFTQBSLJOHSFMBJTEFMBHBSF
de 250 places et les espaces délimités
sur la voie publique.
OÙ TROUVER
LES DISQUES
Dans les maisons de la presse, les bureaux de
tabac, certaines grandes surfaces. L’association
Action Mirasud en éditera aussi.
Action Mirasud : 06 76 69 71 12.
Courriel : [email protected]
Renseignements auprès de la police
municipale : 04 90 50 38 52.
28
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C’EST MA VILLE
TOUS LES CHEMINS MÈNENT À MIRAMAS
DES CHEMINS JALONNÉS
N’ayant pas pu parcourir l’an dernier
toutes les étapes de Tous les chemins
mènent à Miramas, certains se sont levés
tôt, le 5 juillet, avec pour seul objectif :
participer à toutes les animations du rallye découverte et s’amuser. Nous avons
suivi une famille dans son périple.
Loïc et Alexandra avaient prévu d’emmener
"OOBFU4BDIBEBOTVOQBSDEBUUSBDUJPOT&O
prenant connaissance de la date de Tous les
DIFNJOT NÒOFOU Ë .JSBNBT JMT POU EÏQSPHSBNNÏ MB TPSUJF QPVS QBSUJS Ë MB SFDIFSDIF
des clés de la ville, disséminées en sept lieux
FYDFQUJPOOFMT %ÏDPVWFSUF ÏUBJU MF NBÔUSF
mot de cette journée au cours de laquelle les
participants ont pu apprécier la verdure des
TJUFTPNCSBHÏTEFMB1PVESFSJFEF$BCBTTFPV
du Domaine de Lunard, les vieilles pierres et
la vue imprenable du vieux village, la navigation sur l’étang de Berre. Les animations
proposées ont su divertir petits et grands,
entre connaissance du patrimoine et activités
sportives. Elles ont fait des adeptes, comme
MFTPVMJHOFMBNBNBOEF;BDLBOT“Après
avoir essayé le golf, il veut s’y inscrire à la rentrée. Il vient de monter sur un poney et souhaite
désormais s’ inscrire au centre équestre. Je ne sais
pas si je vais lui faire essayer une autre activité
car tout lui plaît !” A la mi-journée, certains
POU QJRVFOJRVÏ Ë $BCBTTF BQSÒT MFêPSU EF
30
MB NBUJOÏF TVS MF NVS EFTDBMBEF FU MB UZSPlienne. Tous les participants se sont retrouWÏTEBOTMBTPJSÏFTVSMBQMBDF+PVSEBOQPVS
ÏDPVUFS MFT SÏTVMUBUT EV SBMMZFEÏDPVWFSUF FU
USJORVFSËDFUUFBWFOUVSFQBSUBHÏFFOGBNJMMF
ou entre amis autour des producteurs locaux
(Domaine du Montau, Ferme Saint-Désiré,
Domaine de Lunard).
LES RÉSULTATS
1er prix. Une nuit avec
petit-déjeuner et dégustation
de vin, visite des caves
au Domaine de Lunard :
famille Gillet (Istres).
2e prix. Une journée de
croisière en voilier sur l’étang
EF#FSSF.BUUIJFV1IBON
4BJOU$IBNBT
3e prix. Initiation de golf et
déjeuner pour deux personnes
au Tiger’s House : Violaine
%VQSÏ-BOÎPOEF1SPWFODF
4e au 8e prix. Leçons
d’équitation au Mas de
$PNCF4BNJB#FMHSPVO
4BMPOEF1SPWFODF
'BÕ[B
4FLLJPV.JSBNBT
.PSHBOF
1JBS.JSBNBT
%BWJE
0UUFOXJMM.JSBNBT
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
J’ai fait mon baptême de
poney l’année dernière et je
resigne cette année !
Christiane
C’EST MA VILLE
TOURISME,
UN BILAN EN
DEMI-TEINTE
CONCOURS SOUPE AU PISTOU
Li Calendro di Crau, l’équipe gagnante, en pleins préparatifs.
UN CONCOURS
QUI SENT BON LA PROVENCE
Le soir du 5 juillet, plus de cinq cents convives avaient fait le déplacement, sur la place
Jourdan, pour écouter les résultats de la deuxième édition du Championnat du monde de
soupe au pistou et surtout apprécier la cuisine de leur équipe. Un travail qui avait commencé bien plus tôt dans la journée.
Toutes les conditions étaient réunies pour
passer une bonne journée et une agréable
TPJSÏF BOJNÏF QBS MhPSDIFTUSF -FT 1BTUBHBT
Si les participants des douze équipes en lice
avaient envie de prouver au monde entier que
leur préparation culinaire était bien la meilleure, le leitmotiv de la journée était convivialité. L’animateur annonce : “Les stands
n’ont pas besoin de décoration tellement les cuisiniers sont souriants et rayonnants”. Après la
réception des légumes, toutes les équipes se
TPOUBêBJSÏFTËMFTÏQMVDIFSMFTDPVQFSFUQJlonner l’ail et le basilic. Après avoir mijoté, la
TPVQFBÏUÏEÏHVTUÏFQBSMFKVSZDPNQPTÏEF
(ÏSBME (VJMMZ DIFG EV SFTUBVSBOU -F 3BCFMBJTË4BJOU$IBNBTEF(ÏSBSE$MPSBODJFO
DIFG EF M&TDBMF Ë $BSSZMF3PVFU FU EF 'BCSJDF5PTUJWJOUDIFGEV5JHFST)PVTFFUEF
M"MCBUSPT-J$BMFOESPEJ$SBVBTTPDJBUJPO
miramasséenne, remporte le titre convoité, devant Tron de Bon Goi (3e
FU +JOFUUFT
de Baretous (2e
&U RVBOE PO EFNBOEBJU Ë
ces dernières d’où vient ce petit goût sucré,
Ginette répondait : “C’est qu’on y a mis tout
notre amour”. Et oui, la cuisine se partage,
NBJTQBTUPVTTFTTFDSFUT
Dans les prochains lots
il faudrait peut-être
proposer une séance
manucure, nos doigts
sont mis à rude épreuve !
.JSBNBT DPOUJOVF Ë BUUJSFS MFT UPVSJTUFT
même s’ils sont venus moins nombreux
que l’été précédent. La météo capricieuse et
la conjoncture semblent peser sur le bilan
touristique.
L’office de tourisme poursuit son travail de
communication au travers de ses réseaux.
$FUUFQSÏTFODFEBOTMFTPïDFTEFUPVSJTNF
EFTFOWJSPOTBJEFËESBJOFSEFTWJTJUFVSTWFST
notre ville. Le premier prix du concours
.JSBNBT FO 1BZTBHFT PCUFOV FO DPOUSJCVF Ë MB OPUPSJÏUÏ HSBOEJTTBOUF EF
Miramas.
D’autre part, grâce au partenariat avec
#PVDIFTEV3IÙOF 5PVSJTNF FU 7JODJ
Autoroutes, un agent d’accueil représente
Miramas, parmi treize communes du
département, sur l’aire de Lançon-de1SPWFODF -B EJTUSJCVUJPO EV QSPHSBNNF
de l’été, du guide touristique de Miramas et
un quiz ont donné une visibilité plus grande
Ë.JSBNBT&ïDBDFFMMFBSFOGPSDÏMJNBHF
EFOPUSFWJMMFFUDPOUSJCVÏËMBQSPNPVWPJS
3 430
touristes ont été accueillis entre
juin et août à Miramas.
Ils venaient principalement
de Rhône-Alpes, de Vendée
et de Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Office de tourisme :
avenue Falabrègues.
Tél. : 04 90 58 08 24.
Mireille,
des Jinettes de Baretous.
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
31
C’EST MA VILLE
UN PRÉFET AUX SOMMETS
Le préfet de Région Michel Cadot a répondu favorablement à l’invitation du maire
Frédéric Vigouroux, montrant ainsi l’intérêt de l’État pour tout ce qui se passe à
Miramas. Un tour de ville des sites représentatifs du développement s’est achevé
sur les toits du parking de la gare, offrant
une vue imprenable. Michel Cadot a pu
se rendre compte que le dynamisme de
Miramas méritait l’aide de l’État.
32
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
La visite du représentant de l’État, accompagné du sous-préfet Simon Babre et des
élus de Miramas a commencé par l’emplacement du futur Village de marques McArthurGlen. “Avant de venir à Miramas, nous
souhaitions que toutes les procédures administratives soient réglées. Le premier point délicat
de ce projet était qu’ il ne fasse pas concurrence
aux communes proches. Désormais, nous savons que l’ équilibre de l’offre commerciale
C’EST MA VILLE
J’ai confiance en vos
capacités qui sont preuve
d’optimisme et de volonté
Le préfet, Michel Cadot
est entièrement respecté. Le deuxième point,
auquel les services de l’État attachent une
grande importance, était que l’ensemble du
projet s’ inscrive dans une qualité environnementale. Le maintien des arbres centenaires et
de la bastide provençale, le respect architectural, le parking végétalisé, l’ écoulement des
eaux, les capteurs photovoltaïques, la liaison
avec la future déviation pour éviter les encombrements et les difficultés de circulation, tout
correspond à nos attentes” QSÏDJTF .JDIFM
$BEPU"QSÒTBWPJSBUUFOUJWFNFOUÏDPVUÏMFT
SFQSÏTFOUBOUT EV GVUVS WJMMBHF FU MFT BSDIJtectes, apprécié la création d’un minimum
EF Ή FNQMPJT TBOT DPNQUFS MFT FNQMPJT
indirects, le préfet conclut : “Ce projet va
renforcer l’attractivité de ce côté du département et correspond à un réel besoin. Nous y
sommes donc très favorables.”
&OSPVUFQPVSMBOPVWFMMFÏDPMF1BVM$Ï[BOOF
QFUJU BSSÐU TVS MF DIBOUJFS EF MB déviation
routière, inauguré en février dernier, où les
ingénieurs ont répondu aux questions du
préfet. L’ouvrage améliorera les conditions
de vie des Miramasséens et la desserte de
l’ouest de l’étang de Berre.
Avant la visite de l’école et de son bassin
EBQQSFOUJTTBHF +ÏSÙNF .BSDJMJBD DIFG EF
projet rénovation urbaine, a présenté les
transformations dont a bénéficié le quartier de la Maille 2, dans le cadre du proKFUEFSÏOPWBUJPOVSCBJOF7JSHJOJF$BMJTUJ
facilitatrice de clauses sociales a présenté le
EJTQPTJUJG RVJ QFSNFU RVF MFT IBCJUBOUT EV
RVBSUJFSTPJFOUFNCBVDIÏTTVSMFTDIBOUJFST
1PJOUEPSHVFEFMBUPVSOÏFMFUPJUEVQBSLJOH EF MB HBSF *M QFSNFU EF NJFVY BQQSÏIFOEFS MFT FOKFVY EV QSPKFU EFOTFNCMF
porté par la municipalité pour le cœur de
ville autour de la gare : désenclavement
routier, nouvel éco-quartier pour accueillir des entreprises de développement duSBCMF QÙMF EÏDIBOHF NVMUJNPEBM BWFD
gare routière et gare ferroviaire rénovées,
projet Mirasud (maison de retraite, maiTPO EFT TFSWJDFT QVCMJDT Ë MB QFSTPOOF
locaux d’activité dont un cabinet médical
BWFD TFSWJDF EVSHFODFT Ë MB QMBDF EF MBOcienne clinique).
6OF EFNJKPVSOÏF OF TVïTBJU QBT Ë EÏWFlopper les autres grands projets comme le
OPVWFBV DPMMÒHF -B $BSSBJSF MF TUBEF DPVWFSUEBUIMÏUJTNFFUMFQÙMFTQPSUJGEFT.Plières, le pôle multimodal de passagers…
.BJT .JDIFM $BEPU DPOëF “J’ai confiance
en vos capacités qui sont preuve d’optimisme
et de volonté”.
Les plannings des travaux
t VILLAGE DE MARQUES
Démarrage courant 2015,
PVWFSUVSFëOEÏCVU
t DÉVIATION ROUTIÈRE
Début : mars 2014 avec le viaduc.
Fin : 4eUSJNFTUSF
t STADE COUVERT D’ATHLÉTISME
%ÏCVUBWSJM'JOGÏWSJFS
t MIRASUD
%ÏCVUEÏCVU'JONJ
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
33
C’EST MA VILLE
LES TRAVAUX
UNE RENTRÉE
ANTICIPÉE
Quand sportifs et élèves sont en congés, les services techniques
ne chôment pas. Bien au contraire, ils en profitent pour mettre
les “bouchées doubles” et offrir des structures plus accueillantes
à la rentrée.
La ville sait pouvoir compter sur une grande offre associative,
notamment sportive. Et pour satisfaire les utilisateurs des cosec et
HZNOBTFT FMMF NFU UPVU FO ”VWSF QPVS FOUSFUFOJS FU SÏOPWFS DFT
TUSVDUVSFT -BJSF EF KFV EF $PODPSEF ÏUBJU ÏRVJQÏF EVO TPM TQPSUJG
FOSÏTJOFDPVMÏFEBUBOUEVOFRVJO[BJOFEBOOÏFT1FOEBOUMBUSÐWF
TQPSUJWF JM B ÏUÏ SFNQMBDÏ QBS VO OPVWFBV TPM 17$ -B SFQSJTF EFT
seuils des portes et le doublage des parois intérieures assureront un
NFJMMFVS DPOGPSU BDPVTUJRVF FU UIFSNJRVF 6OF SÏIBCJMJUBUJPO EVO
montant de 223 851 €.
-B SÏGFDUJPO EFT EPVDIFT FU WFTUJBJSFT DPJO DVJTJOF MVNJOBJSFT
ÏMFDUSJDJUÏSFNJTFFOQFJOUVSFNJTFFOQMBDFEF7.$SFNQMBDFNFOU
EF QPSUBJM UPVU Z QBTTF $FUUF BOOÏF DPTFD FU HZNOBTFT BVSPOU
CÏOÏëDJÏEFQSÒTEFΉǎEPOUVOFHSBOEFQBSUJFQSJTFFODIBSHF
par le SAN. Quel meilleur moment que les vacances pour travailler,
QMVUÙUQIZTJRVFNFOUEBOTMFTÏDPMFT .JTFFOQFJOUVSFDIBOHFNFOU
EFQPSUFTFUWPMFUTDIBOHFNFOUEFGBÕFODFEBOTMFTDBOUJOFTSÏGFDUJPO
des luminaires, un programme intense pour les services de la ville.
34
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
C’EST MA VILLE
LES TRAVAUX
DIVERS BÂTIMENTS COMMUNAUX
3ÏGFDUJPOEÏUBODIÏJUÏ
290 840 €TTC
(80 % SAN, 20 % ville)
DIVERS BÂTIMENTS
3FNQMBDFNFOUEF
menuiseries aluminium
5SBODIF
314 071 €TTC
(80 % SAN, 20 % ville)
CHEMIN DU CRÈS
Élargissement et réfection
EFMBDIBVTTÏF.
39 149 €TTC
(100 % ville)
CHEMIN DU PONT
ÉMBSHJTTFNFOUFUSÏGFDUJPOEFMBDIBVTTÏF
39 149 €TTC
(100 % ville)
ÉCOLE MAILLE 3
Mise en place de clôtures
QÏSJQIÏSJRVFT
42 197 €TTC
(80 % SAN, 20 % ville)
CHEMIN DE
MIRAMAS-LE-VIEUX
À LUNARD
$VSBHFEVDBOBM
(100 % ville)
AVENUE DU SUD,
ROUTE D’ISTRES
1MBOUBUJPOEBSCSFTFUNJTFFOQMBDF
d’une glissière bois.
61 170 €TTC
(100 % SAN)
Travaux entretien
Voirie
TPN : travaux de première nécessité
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
35
C’EST MA VILLE
JEUNESSE
UN CHANTIER INTERNATIONAL
À LA POUDRERIE
Comme tous les ans depuis 2004, la Poudrerie accueille les bénévoles du chantier
Apare (association pour la participation et l’action régionale). Pendant trois semaines,
ils ont remis en état des maçonneries de pierres sèches et défriché les abords des anciens moulins à poudre.
&%' FU MF $POTFSWBUPJSF EV MJUUPSBM QSPQSJÏUBJSF EV TJUF DPOUSJCVFOU Ë MB SFTUBVSBUJPO EV QBUSJNPJOF EF MB 1PVESFSJF FO
QBSUFOBSJBU BWFD MF 4JBOQPV TZOEJDBU EF
l’ancienne poudrerie qui associe Miramas
FU4BJOU$IBNBT
"QSÒTMFMBWPJSMBDIBQFMMF
Saint-Vincent (ouverte au public depuis cette
année) et les canaux, c’est au tour des mouMJOT Ë QPVESF OPJSF EF DPOOBÔUSF VO MJGUJOH
Dix bénévoles venus de tous les coins du
NPOEF POU QSJT QPTTFTTJPO EF MB 1PVESFSJF
pendant trois semaines. Ils ont remplacé les
QJFSSFTTÒDIFTEVONVSFUEÏHBHÏMBDDÒTBVY
NPVMJOTEFWFOVJOBDDFTTJCMFGBDFËVOFWÏHÏUBUJPOFOWBIJTTBOUFTPVTMFTDPOTFJMTEVDIFG
EFDIBOUJFS"MBO2VFMMFD“L’année dernière,
le chantier de l’Apare avait rénové des canaux.
L’ idée est de remettre en eau le canal taillé sous
la roche, de rétablir le fonctionnement de la
martelière et de commencer la restauration de
l’aqueduc. L’eau douce ainsi acheminée jusqu’ à
ENVIRONNEMENT
l’ étang de Berre drainera le sous-sol pour empêcher la salinisation des sols.”
L’autre objectif de l’Apare est linguistique
et culturel. Si l’anglais permet la compréIFOTJPO EF DFVY RVJ OF QBSMFOU QBT OPUSF
langue, le français est le plus usité sur le
DIBOUJFS-FTCÏOÏWPMFTÏUSBOHFSTBQQFOOFOU
EPODËMFNBÔUSJTFSUPVUFOQBSUJDJQBOUËVOF
œuvre patrimoniale, comme en témoigne
:BOOJT “Je viens pour apprendre des techniques, pour l’aspect culturel, pour connaître
des gens d’autres origines, et pour faire travailler mon corps… !”2VJMTBJFOUEÏKËQBSUJDJQÏË
VODIBOUJFSËMB1PVESFSJFDPNNF-JPOFMPV
qu’ils aient été encouragés par des amis, les
ouvriers de juillet ne regrettent en rien cette
expérience unique qui leur permet aussi “ de
découvrir la France à moindres frais”.
-F$POTFSWBUPJSFEVMJUUPSBMWJFOUEFTJHOFS
une nouvelle convention pour cinq ans et
QPVSTVJWSB MF DIBOUJFS EFT NPVMJOT BWFD
l’Apare. De nouveaux bénévoles reviendront
MÏUÏQSPDIBJOFUMFTTVJWBOUTQPVSSFTUBVSFS
MFQBUSJNPJOFEFMB1PVESFSJF
Le financement de 150 000 € est pris en
DIBSHFQPVSNPJUJÏQBSMF$POTFSWBUPJSFEV
littoral et pour moitié par les subventions
publiques des conseils régional et général.
UNE BAGUE À LA PATTE
POUR LE CIGOGNEAU
Depuis sa nidification en 2006 à la Poudrerie, le comportement d’un couple de cigognes blanches est étudié par la Ligue de protection des oiseaux (LPO). Leur petit
cigogneau, né en 2014, a été bagué en juin.
Poudrerie :
1 510, route de Saint-Chamas.
Tél. : 04 90 58 27 93. Courriel :
[email protected]. Sites : poudrerie.
fr ; ciconiafrance.free.fr/cigcig.html
36
&OOFVGBOT+BDRVFT-FNBJSFEFMB-10
a observé et noté tous les comportements
EFTÏDIBTTJFST&UQPVSMBQSFNJÒSFGPJTMF
EFSOJFSOÏEJYIVJUBVUSFTDJHPHOFBVYPOU
EÏKË WV MF KPVS Ë MB 1PVESFSJF FU QSJT MFVS
FOWPM
B ÏUÏ EPUÏ EVOF CBHVF TVS DIBRVF
patte. L’une comporte un numéro unique
identifiant le lieu et la date du baguage,
sur l’autre, quatre lettres forment un code
VOJRVF0CTFSWBCMFËMBMPOHVFWVFPVBVY
jumelles, cette carte d’identité permanente
permettra d’étudier son évolution, sa migration, sa reproduction. Le même jour, la
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
-10BQSPDÏEÏËVOFQFTÏFËEFTNFTVSFT
FUËVOQSÏMÒWFNFOUTBOHVJO
"WFD EF MB DIBODF FU TJ WPVT EÏUBDIF[ WPT
ZFVY EF MB ìPSF FYDFQUJPOOFMMF QPVS MFT MFver vers le ciel, vous pourrez apercevoir le
DPVQMF FU MFVS QFUJU Ë MB 1PVESFSJF 4JOPO
+BDRVFT -FNBJSF SBTTFNCMF SÏHVMJÒSFNFOU
EFTBNPVSFVYEFMBOBUVSFBVUPVSEVUIÒNF
de la cigogne et organise des observations,
sur demande, car pour la tranquillité de ces
oiseaux, la zone de nidification est protégée
et l’accès au public interdit.
C’EST MA VILLE
ENVIRONNEMENT
L'éco-conseil du mois
LA POLLUTION
DE L’AIR INTÉRIEUR
Nous passons plus de 80 % de notre temps
dans des lieux clos (logement, moyens de
transport, lieu de travail, école...). L’air
que nous y respirons n’est pas toujours de
bonne qualité. Les sources potentielles de
pollution dans les bâtiments sont en effet nombreuses : air extérieur, appareils à
combustion, matériaux de construction et
d’ameublement, activité humaine (tabagisme, produits d’entretien, bricolage,
cuisine...). La bonne qualité de l’air à l’intérieur d’un bâtiment a un effet démontré
sur la qualité de concentration, le taux
d’absentéisme, le bien-être et les relations
entre les occupants. A contrario, une mauvaise qualité de l’air peut favoriser l’émergence de symptômes tels que maux de tête,
fatigue, irritation des yeux, du nez, de la
gorge et de la peau, vertiges ainsi que les
manifestations allergiques et l’asthme.
SI VOUS DITES NON À LA PUB
7PVTOFWPVMF[QMVTWPJSWPUSFCPÔUFBVY
MFUUSFTSFNQMJFEFQVCMJDJUÏT %FTBVUPDPMMBOUTQSÏWVTËDFUFêFUTPOUEJTQPOJCMFTË
MBDDVFJMEFMBNBJSJFFUËM"HFOEB
NON à la publicité
et aux journaux d’annonces
ST P PUB
Réduisons vite nos déchets !
Agenda 21
Merci
RENDRE L’AIR INTÉRIEUR
PLUS SAIN
t+ÏWJUFMFTEÏTPEPSJTBOUTDIJNJRVFTMFT
bougies parfumées, les parfums d'ambiance, l’encens.
t+PQUFQPVSEFTEJêVTFVSTEIVJMFT
essentielles.
t1PVSFOMFWFSMBQPVTTJÒSFKVUJMJTFEFT
DIJêPOTIVNJEFTPVFONJDSPëCSFQMVtôt que des produits en bombe aérosol
qui polluent l’air intérieur.
t+JOTUBMMFEFTQMBOUFTRVJBCTPSCFOUMFT
QPMMVBOUTJOUÏSJFVSTëDVTQIJMPEFOdron, aloe vera, lierre…
t+BÒSFSÏHVMJÒSFNFOUMFTQJÒDFTNO
jour).
t+FOFGVNFQBTËMJOUÏSJFVSMFTTVCTtances toxiques présentes dans la fumée
sont absorbées puis libérées par les
revêtements et l’ameublement).
t+FDIPJTJTEFTQSPEVJUTEFOUSFUJFOOBUVrels et écologiques.
t+FQBTTFGSÏRVFNNFOUMBTQJSBUFVS
QUELQUES SOURCES CONNUES
DE POLLUTION INTÉRIEURE
t- FTBÏSPTPMT
t- FTQBSGVNTDPSQPSFMTFUQBSGVNTEJOtérieur, les bâtons d’encens, les bougies
parfumées
t- FTQPMMVBOUTJTTVTEVUBCBHJTNF
t- FTÏNBOBUJPOTJTTVFTEFTNFVCMFT
neufs ou matériaux de construction.
$FTUMFDBTEFDPNQPTÏTPSHBOJRVFT
volatils provenant des peintures, colles,
vernis et pesticides qui s’évaporent du
bois qui en a été imprégné, ou ceux qui
ont été utilisés par les usagers (bombes
insecticides ou acaricides par exemple
ou encore produits anti-parasitaires
utilisés sur les animaux domestiques).
t- FTQBSUJDVMFTPVNPMÏDVMFTJTTVFTEF
MBDVJTTPOFOQBSUJDVMJFSDFMMFTËIBVUF
température (four, friture, barbecue,
etc.) sont sources de nombreux micro-polluants et de substances cancérigènes.
t- FTQPMMVBOUTÏNJTQBSMFTBQQBSFJMT
EFDPNCVTUJPOPVDIBVêBHF1PVTsières, fibres organiques ou minérales,
poussières et particules fines d’origines
biologique, minérale ou provenant des
GVNÏFTDVJTTPOCBSCFDVFDIFNJOÏF
GVJUFEFDIBVEJÒSFFUD
ET EN VOITURE
-BJSËMJOUÏSJFVSEFTWPJUVSFTFTUBVTTJ
QPMMVÏRVFMBJSËMJOUÏSJFVSEFOPT
maisons... Sur les routes, la pollution
QÏOÒUSFNÐNFËMJOUÏSJFVSEFTWPJUVSFT
1BSUJDVMFTëOFTPYZEFEB[PUFPVFODPSF
CFO[ÒOFTPOUQSÏTFOUTEBOTMIBCJUBDMF
EFTWÏIJDVMFT
Source : association santé environnement
France (Asef).
COMMENT ÉVITER
CETTE POLLUTION ?
Ouvrez vos vitres quand vous roulez
en périphérie des grandes villes, mais
gardez les fenêtres fermées quand vous
êtes dans les zones urbaines.
Évitez si possible les heures de pointe
et les embouteillages0OTFDSPJUQSPUÏgé dans la voiture, mais c’est faux.
Fermez les fenêtres dans les tunnels et
évitez-les si possible, le taux de polluUJPOZFTUUSÒTJNQPSUBOU
Évitez de suivre de gros camions très
polluants. Ils fonctionnent au diesel et
émettent donc beaucoup de particules
ëOFTFUEPYZEFEB[PUF
Préférez les diffuseurs d’huiles
essentielles aux désodorisants. Les
désodorisants de voiture contiennent des
substances suspectées d’être nocives.
Évitez de fumer dans l’habitacle. La
nicotine s’incruste dans les tissus et reste
des années.
Lien utile :IUUQXXXUPVUTVSMFOWJSPOOFNFOUGSOBUJPOBMUIFNFT.JMJFVY&OWJSPOOFNFOU"JS
FUBUNPTQI$"SF
DES COMPOSTEURS
DISPONIBLES
Une dizaine de composteurs de
ΉMJUSFTNJTËEJTQPTJUJPOEFTIBCJtants par la mairie est encore disponible.
1PVSFOPCUFOJSVOBJOTJRVFEFTTBDTEF
USJTÏMFDUJGSBQQSPDIF[WPVTEVTFSWJDF
Agenda 21. Il vous en coûtera 20 €
si vous êtes Miramasséen et disposez
EVOKBSEJO%ÏQÐDIF[WPVTDFTPOUMFT
EFSOJFSTKVTRVËMBOOÏFQSPDIBJOF
Renseignements : 04 90 58 79 55.
Espace Beley.
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
37
C’EST MA VILLE
ENVIRONNEMENT
UN JARDIN SANS ENTRETIEN
Le jardin éphémère de la Maille 2 va vivre
le temps que les éléments fassent leur
œuvre. Ces fleurs et arbres, fabriqués par
les habitants du quartier, ne nécessitent
aucun arrosage !
-BUFMJFSEFSVF3FDZDMBSUPDDVQFMFTBEVMUFT
et les enfants de la Maille 2 depuis janvier
BVUPVS EF +BOJRVF QMBTUJDJFOOF BEVMUF
relais et médiatrice sociale et culturelle :
“Ma devise a toujours été la récupération et
la transformation des objets”. Les bouteilles
en plastique collectées sont donc découpées,
peintes, arrangées pour imaginer un futur
KBSEJO ÏQIÏNÒSF -FT UFDIOJDJFOT EF MB WJMMF
FU DIBSHÏT EF QSPKFU RVJ BDDPNQBHOFOU MFT
IBCJUBOUT EF MB .BJMMF EFQVJT MF EÏCVU EF
la rénovation urbaine se saisissent de toutes
MFT PQQPSUVOJUÏT RVJ ÏHBZFOU MF RVBSUJFS FU
QFSNFUUFOU BVY IBCJUBOUT EZ QSFOESF VOF
part active.
Après quelques mois de fabrication, sur le
site, puisque le principe reste l’atelier de
SVFBEVMUFTFUFOGBOUTBWFDMBJEFEF1BTDBM
l’intervenant de l’atelier bricolage de la
.+$.15POUGPSNÏVOQBSUFSSFEFìFVST
plus colorées les unes que les autres, devant
l’épicerie du Soleil. Son propriétaire est
FODIBOUÏ EF DF OPVWFM FOWJSPOOFNFOU RVJ
ne demande aucun entretien et ses clients
surpris et ravis d’avoir vu pousser en quelques
IFVSFTEFTQMBOUFTBVTTJCFMMFTRVPSJHJOBMFT
MIRAMAS, TERRE SAINE
/PUSF DPNNVOF FTU USÒT FOHBHÏF EBOT MB EÏNBSDIF i;ÏSP QIZUPw EFQVJT "WFD MB
TJHOBUVSFEFMBDIBSUFi7FSTVOFSÏHJPOTBOTQFTUJDJEFOPTDPMMFDUJWJUÏTTFOHBHFOUwëOJTMFT
QFTUJDJEFTEBOTMFOUSFUJFOEFTFTQBDFTWFSUT-FGBVDIBHFSBJTPOOÏMFEÏTIFSCBHFNBOVFMMB
création de vingt-quatre emplois en insertion, les Brigades vertes, qui viennent en renfort du
service des espaces verts et se forment dans cette logique de développement durable… sont
VOQBSUJQSJTEFMBNBJSJF$FUUFFYFNQMBSJUÏFTUPCTFSWÏFQBSEBVUSFTWJMMFTFUSFDPOOVFQBS
MFNJOJTUÒSFEFM²DPMPHJFBVUSBWFSTEFMBEÏNBSDIFi5FSSFTBJOFDPNNVOFTTBOTQFTUJDJEFTw
38
3
8
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
Retrouvez l'article complet sur :
http://www.pole-lagunes.org/actualites/infos-des-lagunes/dernieres-actus/vers-un-label-national-pour-lesvilles-sans-pesticides
C’EST MA VILLE
IL MARCHE
POUR LE PATRIMOINE
ENVIRONNEMENT
Parisien de 26 ans, Mohamed Bekada, dit “Becket”, a pris une année sabbatique
après ses études en Histoire et archéologie. Il parcourt le littoral et les frontières françaises, part à la rencontre des habitants et du patrimoine régional. Étape à Miramas, à
mi-chemin des 6 500 kilomètres.
Je tire une charrette
de 60 kg
plaisante le jeune
homme qui en
pèse 71.
"VTPJSEVEÏDFNCSF#FDLFUWÏSJëF
son paquetage une dernière fois et s’endort
UÙU -F MFOEFNBJO Ë Ή I EFQVJT MB 5PVS
Eiffel, il parcourt les premiers mètres de
TPOQÏSJQMFBQSÒTVOFBOOÏFEFOUSBÔOFNFOU
QIZTJRVF NFOUBM FU EF QSÏQBSBUJPO MPHJT
tique. Il explique : “Je suis parti à la rencontre
de la France méconnue, à la recherche du patrimoine peu médiatisé, pour les faire sortir
de l’oubli.”$FQÏSJQMFMBBNFOÏË.JSBNBT
EBOTMFWJFVYWJMMBHFFUMB1PVESFSJF
3VFMMFT NBJTPO 3FOBJTTBODF WFTUJHFT EV
DIÉUFBV DIBQFMMFT QBTTÏT JOEVTUSJFM FU OB
turel n’ont presque plus de secrets pour lui.
'SÏEÏSJD 7JHPVSPVY 0MJWJFS +VMJFO QSÏ
sident du Sianpou, conseiller municipal
EÏMÏHVÏ Ë MB 1PVESFSJF FU +BDRVFT -FNBJSF
HSBOE TQÏDJBMJTUF EF OPUSF IJTUPJSF MPDBMF
l’ont accueilli et guidé lors de son passage
dans notre cité. “Je veux sensibiliser les élus et
impliquer la jeunesse sur la richesse de ce qui
nous entoure”.-FKFVOFIPNNFFTUEBVUBOU
QMVTËMÏDPVUFEFTFTJOUFSMPDVUFVSTRVFMFT
témoignages recueillis alimentent un site,
VOFQBHF'BDFCPPLFUTFSWJSPOUËMÏDSJUVSF
d’un livre. Il entrevoit également un documentaire pour France 5. Miramas, qui lui
BSÏTFSWÏVOBDDVFJMEFTQMVTDIBMFVSFVYFU
regorge de sites remarquables, devrait tenir
une bonne place dans ces projets.
Pour suivre le tour de France de Becket :
http://www.becket-s-worlds.com/
et https://www.facebook.com/
mafrancemeconnue
MES LOISIRS
Association
MS COOKING VOUS FAIT
REDÉCOUVRIR LA CUISINE
Créée en 2011, l’association MS Cooking vous invite à faire le tour du monde des
saveurs. Elle vous révélera certains secrets de la gastronomie française. Des cours dispensés à domicile, selon vos envies.
D’origine italienne, Sabrina et sa maman
Anna, se proposent de vous donner des cours
EFDVJTJOFDIF[WPVT“La cuisine, c’est notre
passion ! C’est une notion de partage et c’est ce
qui nous motive. On veut retrouver le goût de
la bonne cuisine aujourd’ hui délaissée au profit
des plats tout prêts. On se définit comme des
militantes du goût.” Très professionnelles,
FMMFT TBWFOU TBEBQUFS Ë MB EFNBOEF -FVST
DPVST EVSFOU EFVY Ë USPJT IFVSFT FU QBSGPJT
QMVT “Nous intervenons aussi en équipe, ma
mère et moi-même, pour toute sorte d’ événement : enterrement de vie de jeune fille,
anniversaire, mariage… Que ce soit des préparations culinaires corses, italiennes, proven-
çales ou alsaciennes, nous savons cuisiner de
nombreux plats.” Et lorsqu’on demande aux
intéressées quelle est leur spécialité, elles répondent d’une seule voix : “Le tiramisu, la
pâtisserie étant notre domaine de prédilection.
De l’ éclair au chocolat à la pièce montée, nous
pouvons proposer une large gamme de gourmandises sucrées. Pour certaines occasions, nous
agissons également en tant que traiteur, pour
un nombre toutefois limité à quarante personnes…” Débutant ou confirmé, en manque
d’inspiration ou de temps, pour tous vos événements personnels ou professionnels, penTF[.4$PPLJOH
MS Cooking : 04 90 50 30 99.
Courriel : [email protected].
Site : www.ms-cooking.fr.
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MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
39
SAN OUEST PROVENCE
LINGE TRIÉ,
LINGE RÉCUPÉRÉ
Miramas s’est dotée depuis 2012 de treize points d’apport volontaire
pour la collecte du linge, par l’intermédiaire de Philtex and
Recycling. Une récente convention entre le SAN Ouest Provence
et Le Relais permet l’ouverture d’une quatorzième colonne de
récupération à la déchetterie.
7PVT OBVSF[ RVF MFNCBSSBT EV DIPJY RVBOE WPVT BVSF[ WJEÏ WPT
DPNNPEFTFUBSNPJSFTQPVSEÏQPTFSWPTUFYUJMFTFUDIBVTTVSFTVTB
gés, avec les quatorze points de collecte. Le dernier en date, géré par
-F3FMBJTFTUMVJBVTTJJEFOUJëÏBVQSÒTE&DP5-$"VEFMËEFEÏ
barrasser vos placards, ces entreprises sont conventionnées entreprises
d’insertion et entreprises solidaires. En utilisant les colonnes de tri,
WPVT QBSUJDJQFSF[ Ë MB HSBOEF DIBÔOF EV SFDZDMBHF UPVU FO BJEBOU Ë
MFNQMPJ%VEFVYFOVOTBOTQSFTRVFZQFOTFS
&DP5-$FTUVOFTPDJÏUÏQSJWÏFËCVUOPOMVDSBUJG&MMFBÏUÏDSÏÏFFODPMMBCPSBUJPO
BWFDMFTBDUFVSTEFMBëMJÒSFUFYUJMFQPVSQSPQPTFSVODBIJFSEFTDIBSHFTBEBQUÏBVY
CFTPJOTEFMBëMJÒSF&MMFBDDPNQBHOFMFEÏWFMPQQFNFOUEFOPVWFBVYEÏCPVDIÏTQPVS
les produits en sortie de tri en finançant des projets et encourage le développement
de produits éco-conçus.
LE BILAN DES COLLECTES
42,1 tonnes collectées en 2012,
puis 42,5 tonnes en 2013 ont
effectivement été soustraites par
1IJMUFY3FDZDMJOHBVDFOUSFEFUSBJUF
NFOUEFTEÏDIFUTQPVSÐUSFWBMPSJTÏFT
TPJUFOSÏFNQMPJËUSBWFSTMBSFWFOUF
PVMFYQÏEJUJPOEBOTEFTQBZTEÏGBWP
risés, soit en sous-produits destinés
ËMJOEVTUSJF"WFDMJNQMBOUBUJPOEVO
OPVWFBVQPJOUËMBEÏDIFUUFSJFQBS
-F3FMBJTDFTDIJêSFTEFWSBJFOU
encore s’améliorer.
40
NOTRE
RÉSEAU
GRANDIT
ÇA
NOUS
RAPPROCHE
Réseau du syndicat mixte
des transports Ouest Étang de Berre
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
SYNDICAT MIXTE
DE GESTION
ET D’EXPLOITATION
DES TRANSPORTS URBAINS
OUEST ÉTANG DE BERRE
12 ET 1B3RE
TEM
SEP s et gratuité
n
animatio
mble
sur l'ense
u
du résea
- 2014
LA COLLECTE
EN CHIFFRES
TRIBUNE
RASSEMBLEMENT BLEU MARINE
$IFSTDPODJUPZFOTJMFTUEFQMVTFOQMVTEJï
DJMFEFDSPJSFBVYiCPOOFTQBSPMFTwEVOÏMVRVJTJOPVTMÏDPVUPOTOPVTFYQMJRVF
EPDUFNFOURVF.JSBNBTFTUVOFWJMMFSJDIFFUPáUPVUWBCJFO
i.POTJFVSMF.BJSFMFT.JSBNBTTÏFOTWFVMFOUCJFODSPJSFBV1ÒSF/PÑMNBJTMFTMFOEFNBJOTEFGÐUFTRVFQSÏQBSFWPUSFHPVWFSOFNFOU
FUMJOEÏDFODFEFWPUSFQPMJUJRVFOBUJPOBMFTPDJBMJTUFWPOUÐUSFQMVTEVSTËBDDFQUFSwDBSiMJOEJHFTUJPOFTUOBUJPOBMFw
" UPVT MFT OJWFBVY UPVU FTU GBJU QPVS iOPZFS MF QPJTTPOw BëO RVF QFSTPOOF OF QVJTTF TF SFOESF DPNQUF EV EÏTBTUSF BOOPODÏ
NBJTNBMHSÏWPTTVQFSTEJTDPVSTDFSUBJOFNFOUÏDSJUTQBSVOFQSPDIFKPVSOBMJTUFEVOFGFVJMMFEFDIPVYËMBTPMEFTPDJBMJTUF
OPT
DPODJUPZFOTOFTPOUQBTEVQFT
.BJTWPJMËMBSFOUSÏF&MMFBQQPSUFTPOMPUEFGFVJMMFTEBVUPNOFJNQÙUTUBYFTy
FUTPOMPUEFDBIJFSTQPVSOPTDIÒSFTUÐUFT
CMPOEFT$FUUFSFOUSÏFTDPMBJSFWBWPJSJOTUBMMFSVOOPVWFBVQSPHSBNNFEÏEVDBUJPO&OFêFUMFHPVWFSOFNFOUOBUJPOBMTPDJBMJTUF
NFUFOQMBDFVOFQPMJUJRVFEÏEVDBUJPORVJDPOGÒSFMBQBSUHSBTTFBVEJMFUUBOUF-B.BJSJFRVJOFOSFTUFQBTMËOPVTBDPODPDUÏVO
FNQMPJEVUFNQTQMVUÙUQBSUJDVMJFSDFMVJDJFOFêFUFODBESFMFUFNQTEFTDPMBSJUÏiIPSTDMBTTFw$FTUËEJSFRVFMFTVJWJJOTUBVSÏ
WBDPOTJTUFSËOPVTEJSFDFRVFOPTFOGBOUTWPOUFêFDUVFSDPNNFBDUJWJUÏTFOEFIPSTEFTIFVSFTEFDMBTTFBWFDDPNNFCPVRVFU
ëOBMVOEPTTJFSJOEJWJEVFMQBSÏMÒWF4JWPVTBKPVUF[ËDFMBMFTTUBHFTEFSFMBUJPOFUPVEFDPBDIJOHEPOUOPVTBWPOTEÏKËQBSMÏ
QSÏDÏEFNNFOUOPVTQPVWPOTFOEÏEVJSFRVFMBQPMJUJRVFTPDJBMJTUFEFMÏEVDBUJPOOBUJPOBMFFTUTVSUPVUVOFQPMJUJRVFiEVUFNQT
MJCSFwWJTBOUËEÏDÏSÏCSFSOPTDPNQBUSJPUFT*MFTUGPSUEPNNBHFRVFOPTQSPGFTTFVSTOBJFOUQBTFVESPJUEFDJUFS-BDVMUVSF
'SBOÎBJTFFTUUSÒTSJDIFFUJMFTUJNQFOTBCMFEFMBMBJTTFSQPVSSJS.BJTQFVUÐUSFFTUDFMËMBWPMPOUÏOBUJPOBMFTPDJBMJTUF
2VBOUËDFUUFEFSOJÒSFFMMFFTUEFiGSBDBTTFSwMhJOEJWJEVEVOFQBSUFOMVJÙUBOUUPVUFTQSJUDSJUJRVF-FTTPDJBMJTUFTMFNBJOUJFOOFOU
EBOTVOFJMMVTJPOEBQQBSUFOBODFËVOHSPVQFBMPSTRVJMOFTFSBKBNBJTBVTTJTFVMEFWBOUDFTNFTVSFTQSJTFTQPVSMBêBJCMJS/#
6OFiBTTPDJBUJPOEFEÏGFOTFEFTDPOUSJCVBCMFTwMPDBMFBZBOUMFNÏSJUFEFEÏOPODFSEFUFMTÏUBUTEFGBJUTOhFTUiQBTQBSUJDVMJÒSFNFOUw
bien appréciée des instances élues.
%BVUSFQBSUFOMFNBJOUFOBOUEBOTVOÏUBUEFEÏOVFNFOUEFTQMVTDBUBTUSPQIJRVFTOPUF[RVFMFGSBOÎBJTBTTF[ëFSOPTFSBQBT
MhBWPVFS
FUDFOhFTUQBTMFTNFTVSFTFUPVDIBOHFNFOUTQSJTUBOUBVOJWFBVOBUJPOBMRVhBVOJWFBVMPDBMRVJDIBOHFSPOURVFMRVFT
DIPTFT
*MTQSFOOFOUUPVTEFTNFTVSFTQPVSEIZQPUIÏUJRVFTSÏTVMUBUTBOOPODÏTBMPSTRVFO'SBODFDFVYTPOUMFTSPVBHFTRVJTPOUHSJQQÏT
FUËDFUJUSFDFTUFVYRVFMPOEPJUiIVJMFSw
5PVKPVSTËWPUSFÏDPVUF
ESPALLARDO - REBOUL - POGGI - ALVAREZ - THOMAS
EXPRESSION DE MARYLINE KERAUDY
+FTPVIBJUFËDIBDVOVOFCPOOFSFOUSÏF
"VOJWFBVOBUJPOBMMFTÏMFDUJPOT4ÏOBUPSJBMFTEVMB%SPJUFEPJUHBHOFSTJÒHFTËMB(BVDIFQPVSGBJSFCBTDVMFSMB.BKPSJUÏ
ËMB)BVUF"TTFNCMÏF
"VOJWFBVMPDBMSFUPVSËMBSÏBMJUÏEFOPUSFRVPUJEJFOBWFDMBSSJWÏFEFTGFVJMMFTEJNQÙUTEBOTMBNÐNFMJHOFEFNJSFMBQSÏQBSBUJPO
ËMBEJTTPMVUJPOEV4"/BVKPVSEIVJDPNNVOFTMFerKBOWJFS.JSBNBTIBC
SFOUSFSBEBOTMB.ÏUSPQPMF"JY
.BSTFJMMF1SPWFODFVOBVUSFUZQFEJOUFSDPNNVOBMJUÏEFDPNNVOFT/PVTQFSESPOTEPODVOFHSBOEFQBSUJFEFTEPUBUJPOTFU
TVCWFOUJPOTEV4"/$FUUFEJTTPMVUJPOTFSBVOWÏSJUBCMFiTÏJTNFwëOBODJFSQPVSOPUSFWJMMF
2VFMMFTDPOTÏRVFODFTTVSMFCVEHFUFUOPTJNQÙUTMPDBVY %FOPNCSFVTFTJOUFSSPHBUJPOTMPHJTUJRVFTFUëOBODJÒSFTOPVTJORVJÒUFOU
MARYLINE KERAUDY
EXPRESSION DE CÉCILE DUMAS
Lors du conseil municipal du 11 juillet 2014 F. Vigouroux, Maire socialiste de notre ville, a présenté au vote une motion demandant
au gouvernement de bien vouloir revoir la situation des collectivités territoriales grandement affectées financièrement dans le
DBESFEVQMBOEÏDPOPNJFTEFNJMMJBSETEFVSPTEÏDMJOÏTVSMFTBOOÏFT1BSBJMMFVST.7BV[FMMFTFTUQPTJUJPOOÏ
favorablement sur la question de la métropole.
Durant les mois passés nous avons tenté de démontrer que le lien entre les politiques nationales et locales était inextricablement
MJÏFOWPJMËFODPSFQMVTJFVSTQSFVWFT
*MTFSBJUCJFORVVOKPVSMBNBKPSJUÏNVOJDJQBMFTFQPTJUJPOOFDMBJSFNFOURVBOUBVYDIPJYNFOÏTQBSMFHPVWFSOFNFOUTPDJBMJTUF
RVJJNQBDUFOUMBWJFEFT.JSBNBTTÏFOTDBSËNVMUJQMJFSMFTHSBOETÏDBSUTPOQFVUDSBJOESFMFQJSFQPVSMFTBEEVDUFVSTEFOPTÏMVT
CÉCILE DUMAS
Les propos de l’opposition sont retranscrits tels qu’ils nous parviennent (NDLR).
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
41
4
1
AU FIL DES VIES
LA RENTRÉE DES CLASSES
AU TEMPS DES BLOUSES
Une maison d’école est attestée dans la maiSJFEVWJMMBHFBVEFTTVTEFMBDIBQFMMFEFT1Ïnitents, depuis au moins les années 1770. Le
DIJSVSHJFO +FBO-PVJT 'BVCFBV .JSBNBTséen d’adoption, fait la classe aux enfants.
Une lettre de 1802 précise que l’instituteur
loge dans une petite pièce située au fond de
la salle principale de la mairie-école. La coIBCJUBUJPOEVSFKVTRVFOBOOÏFPáMPO
ouvre une salle de classe pour garçons.
"QSÒTWJOHUBOTEFUFSHJWFSTBUJPOTPOBDIÒUF
une maison au boulanger pour l’aménager.
1PVS MFT ëMMFT PO FO DPOTUSVJU VOF UPVUF
OFVWF DMBTTF VOJRVF PVWFSUF FO 6OF
quarantaine d’écoliers fréquentent plus au
moins assidûment les deux écoles du village.
%FQVJT BMPST RVF SJFO OF MZ PCMJHF
la municipalité garantit la gratuité totale de
la scolarité, mais aussi l’enseignement aux
filles, fait rare pour l’époque, ce que souMJHOF .Ή MF QSÏGFU *M TBHJU TVSUPVU EF GBJSF
DPODVSSFODF Ë MÏDPMF MJCSF PVWFSUF EBOT MF
IBNFBVEF$POTUBOUJOFBVEÏCVUEFTBOOÏFT
-FT QBSFOUT EÏMÒWFT VOJT QPVS MB DJSDPOTUBODFZMPVFOUVOFNBJTPOBQQBSUFOBOU
Ë . +PVSEBO QSPQSJÏUBJSF EF 'POUMPOHVF
Une quarantaine d’enfants vont dans cette
école mixte.
En 1875, la municipalité ouvre une classe
VOJRVFEFHBSÎPOTË$POTUBOUJOFRVFMPO
42
DPNNFODFËOPNNFS.JSBNBT(BSFTVS
MBWFOVF E*TUSFT $JOR BOT QMVT UBSE JM
faut l’agrandir car le nombre d’élèves ne
DFTTFEFDSPÔUSF
Les filles continuent de fréquenter l’école
libre jusqu’en 1889, où elles font leur rentrée
EBOTMÏDPMFQVCMJRVFDPOTUSVJUFSVF+PVSEBO
(deux classes). Dans le même bâtiment, on
JOBVHVSFVOFTBMMFQPVSZSFDFWPJSMFTFOGBOUT
EFËBOTDFTUMBQSFNJÒSFDMBTTFEFNBUFSOFMMF EF MB DPNNVOF 1SÏWVF QPVS ÐUSF
construite au bord de la route d’Entressen
BVKPVSEIVJ BWFOVF EV .BSÏDIBM+VJO
MF
terrain est jugé insalubre et dangereux par
MJOTQFDUJPOEBDBEÏNJF'JOBMFNFOUMFDIPJY
TFQPSUFTVSMBSVF+PVSEBO
-ÏDPMFEFHBSÎPOTEFWFOVFFYJHVÑPOEÏDJEF
la construction d’une nouvelle plus vaste,
DPOUJHVÑËDFMMFEFTëMMFTEFMBSVF+PVSEBO
En octobre 1893, c’est la première rentrée du
HSPVQFTDPMBJSF+PVSEBOEFVYDMBTTFTEFHBSÎPOTËHBVDIFEFVYDMBTTFTEFëMMFTËESPJUF
plus une classe de maternelle.
Et l’ancienne école des garçons de l’avenue
E*TUSFT $FMB UPNCF CJFO FMMF FTU USBOTGPSmée en mairie, Marius Sauvaire obtenant le
USBOTGFSU EV DIFGMJFV DPNNVOBM EV WJMMBHF
WFST .JSBNBT(BSF FO BWSJM $FTU BDtuellement le commissariat de jour.
Mais revenons aux écoles. La population aug-
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
NFOUBOUUPVKPVSTJMGBVUSBQJEFNFOUQFOTFSË
construire de nouveaux établissements. En
octobre 1912, la mairie inaugure un groupe
scolaire de garçons de six classes au bas de la
SVF$BSOPUMBDUVFMDPMMÒHF-B$BSSBJSF
La guerre de 1914-1918, retarde la construction du groupe scolaire de filles prévu sur
MB SVF 4JNJBO+BVêSFU ÏDPMF QSJNBJSF +FBO
.BDÏ
$F SFUBSE DPOUSBJOU MB NVOJDJQBMJUÏ Ë USBOTGÏSFS MB DMBTTF EF NBUFSOFMMF EF MB
SVF +PVSEBO KVTRVF TPVT MF QSÏBV DPVWFSU
de l’école de garçons : il faut bien faire de la
QMBDFBVYëMMFT-FTKFVOFTÏDPMJÒSFTGPOUMFVS
rentrée dans six classes le 1er octobre 1928 ;
et une véritable école maternelle de quatre
classes est aménagée dans les locaux libérés
EFMBSVF+PVSEBO
En octobre 1929, la municipalité ajoute,
DPOUJHVÑËMÏDPMFEFTëMMFTVOFDMBTTFBUFMJFS
de pré-apprentissage : les garçons sont initiés
ËMBNFOVJTFSJFMBKVTUBHFFUMBGPSHF*TJEPSF
#MBOD NBJSF EF Ë FU EF Ë
NFOVJTJFSZFOTFJHOFTPOBSU
Mais dès la rentrée 1928, le nombre de classes
FTUEÏKËJOTVïTBOUBVWVFEFMBVHNFOUBUJPO
constante de la population. Entre 1912 et
1928, l’effectif double, passant de quatre cent
TPJYBOUFÏMÒWFTËOFVGDFOUTPJYBOUF5PVTOJWFBVYDPOGPOEVTJMZBFONPZFOOFRVBSBOUF
écoliers par salle de cours. La mairie lance
VOF QIBTF EF DPOTUSVDUJPO &O IVJUDMBTTFTTPOUPVWFSUFTEBOTMFTÏDPMFTFYJTUBOUFT RVBUSF DIF[ MFT HBSÎPOT RVBUSF DIF[
les filles. Elle projette enfin la construction
d’un troisième groupe scolaire sur l’avenue de
4BJOU$IBNBT EPUÏ EF DJOR DMBTTFT EF HBSÎPOTFUEFDJORDMBTTFTEFëMMFT$FUUFGPJTDJ
DFTUMBHVFSSFEFRVJFNQÐDIFMF
projet d’aboutir rapidement. Le groupe scoMBJSF +FBO.PVMJO OPVWSF TFT QPSUFT RVBV
EÏCVUEFTBOOÏFTDJORVBOUF
4ÏCBTUJFO"WZ
Page réalisée avec le concours de Martine
Bautista, Sébastien Avy, Jean-Marie
Pascal et du service des archives
municipales.
AU FIL DES VIES
Les photos nous ont été confiées par
l'association des Retrouvailles 46, 47, 48
que vous retrouvez tous les ans à la Fête
des Associations et par Jean-Marie Pascal.
Souveni d’escolo
Moun paire nous conto de longo, qu’uno fes,
NPVO GSBJSF %BOJÒV RVÒSP EJOT TJ WVFDI BO
GVHVÒNBMBVUFRVFEFRVËVRVJKPVSBOÒQBTË
MFTDPMP4FQBTTÒVOPTFNBOPDPVNFBDÛ1JÒJ
coume tóuti li bòni causo prenon fin, fauguè
CÒO UPVSOB Ë MFTDPMP .PVO QBJSF F NPVO
GSBJSF UØVUJ EPVT EË QÒE NBO EJOT MB NBO
prenguèron alor lou camin dis escoulan. Mai
entre arriba davans lou pourtau de l’escolo, DaOJÒVQBMPDPVNFVOQFEBT[ÛVTFCPVUÒËCSB
NBDPVNFVOWFEÒVEFTNBNBËQMPVSBDPVNF
uno font en disènt : “Ai pas fa lou bais à mama !
iéu vole faire lou bais à mama !...” Alor dequé
GBHVÒSPOUØVUJEPVTDPVNFBDÛQÒSDBSSJFSP -ÒV MÒV TFOUPVSOÒSPO Ë MPVTUBV QÒS GBJSF MPV
CBJTËNBNB
2VPVSPÒSPKPVJOPËNBNBJSFJBHSBEBWPQBT
EFGBJSFEFTQPSU2VFRVFTJHVÒTTF"MPSFNÏTJT
amigo arribavon i cous bèn acoucounado emé
TPVONBOUÒVCPVOFUDIFSQPFHBOUEFMBOP&
mau-grat que la mestresso d’escolo picavo sus
MËQJBëORVFCPVMFHVÒTTPOVOQBVNBJJÏSFCF
DBWPORVFGBTJÏVOPGSFEFDIJOPCÒOTFMBHOB
WPOMÒVMÒVEBHVÏVOPQPVHOFEJTTP1BSJÏQÒS
MPVNPVOUBËMBDPSEPNBNBJSFFTJTBNJHPTF
i’arrapavon, levavon un pauquet li pèd e fasien
NJOPEFQBTQPVTRVÏBOBNBJBVU-BNFTUSFT
so jamai gagnè.
.BJNBNBJSFBWJÏEFRVUJSB%FKBËTBNBJSF
i’agradavo gaire l’esport nimai. Moun ouncle,
MPV TBVQ RVF USPQ 2VPVSP ÒSP Ë MFTDPMP
QSJNËSJUØVUJMJKPVSoNFMFHJTTÒTCÒOoUØVUJ
li jour, sa maire lou venié vèire dins la cours de
recreacioun o bèn dóu tèms de l’esport. Quand
lou vesié courre, lou cridavo, ié tastavo l’esquino
FMØVCMJKBWPEFDBNCJBMBDBNJTPyËMBQFSëO
RVFOPVOBHVÏEFGSFTBQSÒTBHVÏTVTB.PVO
ouncle n’en parlo encaro mai pode afourti que
TFOFOHBSDFKPQBT
&QJÒJNFSBQÒMFRVËMBëOEØVNFTEFKVOMB
mestresso nous coumandavo d’adurre de papié
FTNFSJ QÒS MFWB MJ QJDIPU NBTDBSBHF JOTDSJ TVT
lou burèu de bos : froto que frataras, falié rèn
óublida ; e pièi sourtian lou tube de ciro (avian
tóuti lou meme, me remembre encaro sa formo
e sa coulour arange) e’m’un pataioun e encar’un
cop, froto que fretaras, dóu tèms que nosto
NFTUSFTTPOPVTUFOJÏEËNFOU1ÒSOBVUSFÒSP
MPVTJHOFRVFMJCVSÒVTFSWJSJFOQMVTyëORVËMB
SJOUSBEPRVFWFOJÏ7JWPMJWBDBOÎP
Souvenirs d’école
Mon père nous raconte toujours qu’une fois,
mon frère Daniel, qui avait 8 ans, fut malade
FURVFEFRVFMRVFTKPVSTJMOBMMBQBTËMÏDPMF
*M TF QBTTB VOF TFNBJOF DPNNF DFMB 1VJT
DPNNFUPVUFTMFTCPOOFTDIPTFTPOUVOFëOJM
GBMMVUCJFOSFUPVSOFSËMÏDPMF.POQÒSFFUNPO
frère, tous les deux, main dans la main, prirent
MF DIFNJO EFT ÏDPMJFST .BJT RVBOE JMT GVSFOU
arrivés devant le portail, Daniel, pâle comme
VOMJOHF[PVTFNJUËCSBNFSDPNNFVOWFBV
RVPO FOMÒWF EF MB NBNFMMF Ë QMFVSFS DPNNF
une fontaine : “J’ai pas fait la bise à maman ! je
veux faire la bise à maman !...” Alors que firentJMT UPVT MFT EFVY DPNNF DFMB EBOT MB SVF 7JUFJMTSFUPVSOÒSFOUËMBNBJTPOQPVSGBJSFMB
CJTFËNBNBO
Quand elle était jeune, ma mère n’aimait pas du
tout le cours de sport. Quel qu’il fût. Alors avec
ses copines, elles arrivaient bien emmitouflées
EBOT MFVST NBOUFBVY MFVST CPOOFUT ÏDIBSQFT
FU HBOUT EF MBJOF &U CJFO RVF MB NBÔUSFTTF
insistât longuement pour qu’elles bougeassent
un peu plus, elles répondaient qu’il faisait un
froid de canard ; ou bien elles se plaignaient très
SBQJEFNFOUEBWPJSVOQPJOUEFDÙUÏ%FNÐNF
QPVSMFNPOUÏËMBDPSEFNBNÒSFFUTFTBNJFT
TFTVTQFOEBJFOUËDFMMFDJMFWBJFOUKVTUFVOQFV
les pieds et faisaient mine de ne pouvoir aller
QMVTIBVU-BNBÔUSFTTFOFHBHOBKBNBJT
.BJTNBNÒSFBWBJUEFRVJUJSFS%ÏKËTBNÒSF
n’aimait guère le sport, non plus. Mon oncle
OF MF TBJU RVF USPQ -PSTRVJM ÏUBJU FODPSF Ë
MÏDPMFQSJNBJSFUPVTMFTKPVSToWPVTNFMJTF[
CJFO o UPVT MFT KPVST TB NÒSF WFOBJU MF WPJS Ë
la récréation ou durant les activités sportives.
2VBOE FMMF MF WPZBJU DPVSJS FMMF MBQQFMBJU MVJ
UÉUBJUMFEPTFUMFOKPJHOBJUEFDIBOHFSMFUSJDPU
de peau… pour ne pas qu’il ait froid après avoir
USBOTQJSÏ .PO PODMF FO QBSMF FODPSF NBJT KF
QFVYWPVTBTTVSFSRVJMOFOSJHPMFQBT
&OëO KF NF SBQQFMMF RVË MB ëO EV NPJT EF
KVJOMBNBÔUSFTTFOPVTDPNNBOEBJUEBQQPSUFS
du papier émeri pour lever ainsi les gribouillis
inscrits sur le bureau de bois : nous frottions,
frottions, il ne fallait rien oublier ; puis nous
sortions le tube de cire (nous avions tous le
même, je me souviens encore de sa forme et de
TBDPVMFVSPSBOHF
FUBWFDVODIJêPOFODPSFVO
coup, nous frottions, frottions pendant que la
NBÔUSFTTFOPVTUFOBJUËM”JM1PVSOPVTDÏUBJU
le signe que les bureaux ne serviraient plus…
KVTRVËMBSFOUSÏFTVJWBOUF7JWFMFTWBDBODFT
Martine Bautista.
MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 143 - septembre - octobre 2014
43
43
Programme au 04 90 58 08 24 et sur www.garedemiramas.fr

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