Résumé

Transcription

Résumé
KMU
Björn M. Broda, Finanzierungsalternativen für KMU zum Bankkredit?
11 Vgl. Schierenbeck 2001, S. 3f.
12 Vgl. Rolfes/Emse 2001, S. 317; Oehler/Unser
2001, S. 314.
13 Vgl. Wilkens/Entrop/Völker 2001, S. 187.
14 Vgl. zu Basel I Basler Ausschuss für Bankenaufsicht 1988; Basler Ausschuss für Bankenaufsicht 1996.
15 Vgl. Deutsche Bundesbank 2001, S. 15. Im
Detail vgl. auch Wilkens/Entrop/Völker 2001,
S. 187–193.
19 Da die Ermittlung des Markt- und des operationellen Risikos auf die hier betrachtete Finanzierungsbeziehung zu KMU einen zu vernachlässigenden Einfluss hat, wird an dieser
Stelle auf eine detaillierte Darstellung verzichtet.
31 Vgl. Behr/Wirth 1999, S. 161ff. sowie Bascha/
Walz 2000, S. 410ff.
20 Vgl. Vera 2002, S. 28.
33 Vgl. www.bfinance.com 13.6.2002, News.
21 Vgl. Basler Ausschuss für Bankenaufsicht
2001b, Rn. 46.
34 Vgl. z.B. Finsterer/Gulder 2001, S. 11.
32 Vgl. Studie der Pricoa Capital Group, London unter www.pricoacapital.com/pages/
pressoffice/texttoprint/story11.htm
35 Vgl. Nelles/Klusemann 2003, S. 9.
22 Vgl. für einen Überblick Wilkens/Entrop/
Völker 2001, S. 189.
16 Vgl. Basler Ausschuss für Bankenaufsicht
2001a, Rn. 29.
23 Alle weiteren Faktoren werden durch die nationale Bankaufsicht vorgeschrieben.
17 Vgl. z.B. die Stellungnahme der Schweizer
Bankiervereinigung unter den mehr als 250
Kommentaren zum Basler Konsultationspapier unter www.bis.org.
24 Vgl. Nelles/Klusemann 2003, S. 1.
18 Operatives Risiko: Gefahr von unmittelbaren
oder mittelbaren Verlusten, die infolge der
Unangemessenheit oder des Versagens von
internen Verfahren, Menschen und Systemen
oder von externen Ereignissen eintreten.
Bsp.: Fehler bei IT-Systemen, unzureichende
Dokumentation von Geschäftsvorfällen und
Betrug.
27 Vgl. Vera 2002, S. 31.
25 Vgl. Kayser/Kokalj 2002, S. 112.
26 Vgl. o.V. 2002, S. 19.
28 Vgl. Lohneiss 2002, S. 25.
29 Vgl. zu den erstgenannten Finanzierungsinstrumenten im Kontext der Mittelstandsfinanzierung einführend Engeser 2002, S. 84.
30 Vgl. Broda/Krings 2002, S. 879.
Literatur
Bascha, A./Walz, U. (2000), Hybride Finanzierungsinstrumente als Anreiz- und Kontrollmechanismus bei Venture Capital. In: Finanz-Betrieb 6/2000, S. 410–418.
Basler Ausschuss für Bankenaufsicht (1988), Internationale Konvergenz der Eigenkapitalmessung und Eigenkapitalanforderungen, Juli 1988.
Basler Ausschuss für Bankenaufsicht (1996), Änderung der Eigenkapitalvereinbarung zur Einbeziehung der Marktrisiken, Januar 1996.
RESUME
Variantes de financement de crédit bancaire
pour les PME
Le nouvel accord sur les fonds propres
du Comité de Bâle sur le contrôle
bancaire (Bâle II) fait que le paysage
financier européen subit, d’ores et
déjà, de profonds changements. Le
nombre croissant d’entreprises insolvables renforce la pression sur les affaires de financement au moyen de
fonds étrangers. Du fait que, dans le
sillage de Bâle II, la couverture de
fonds propres des crédits octroyés
devrait s’orienter sur le profil de
risques spécifiques de l’emprunteur,
les petites et moyennes banques
suisses se verront confrontées à la nécessité de subordonner plus fortement
que jusqu’à maintenant les exigences
de crédit au risque économique et de
mettre en œuvre des procédures de
rating adéquates.
Les petites et moyennes entreprises
(PME) se caractérisent notamment
par le fait qu’elles financent traditionL’Expert-comptable suisse 6–7/03
nellement leur activité en recourant
largement au crédit bancaire. Une
telle dépendance du capital étranger
rend les PME particulièrement sensibles aux réglementations de Bâle II.
S’il s’agit à première vue dans le cas de
Bâle II, d’une affaire purement bancaire, force est d’admettre alors que
les nouvelles réglementations exigent
pour les entreprises une notation (rating) qui oblige à revoir le mode classique d’octroi de crédit et qui fixe ainsi
les futures conditions de crédit. Des
méthodes plus précises d’évaluation
de la solvabilité conduisent à une
transparence accrue des risques et,
par conséquent, à un calcul des
primes qui tienne mieux compte des
risques réels. En raison du lien étroit
qui unit propriétaires et entreprises
et de l’importance des facteurs «sensibles» qui en découlent, les PME
doivent s’attendre à être classées dans
la catégorie des risques supérieurs.
Après la crise immobilière des années
90, les banques universelles suisses
ont mis en œuvre très tôt des systèmes
de rating performants. Les plus petits
établissements de crédit doivent encore s’adapter. A long terme, une détermination plus précise des risques et
leur prise en considération lors de la
fixation des fonds propres minimums
devraient conduire à un éclatement
plus grand des conditions de crédit.
Alors que les PME créditées d’une
bonne cotation en matière de solvabilité pourront escompter une réduction des taux d’intérêt, les petits commerçants et artisans moins bien notés
devront s’attendre à des refus ou des
dénonciations de crédits ou encore à
l’octroi de prêts à des conditions plus
sévères, ce qui ne fera qu’aggraver
l’état des liquidités déjà tendu. De ce
fait, la méfiance ou le désintérêt qui
règne à l’égard des banques devrait
faire place à une politique d’informa471
KMU
Björn M. Broda, Finanzierungsalternativen für KMU zum Bankkredit?
Basler Ausschuss für Bankenaufsicht (2001a),
Überblick über Die Neue Basler Eigenkapitalvereinbarung, Übersetzung der Deutschen Bundesbank, Januar 2001.
Basler Ausschuss für Bankenaufsicht (2001b),
Die Neue Basler Eigenkapitalvereinbarung,
Übersetzung der Deutschen Bundesbank, Januar
2001.
Mittel für den Mittelstand. In: Kredit Praxis
4/2001, S. 10–13.
Giese, G. (2002), Einführung von internen Rating-Verfahren unter Basel II. In: Der Schweizer
Treuhänder 9/2002, S. 803–810.
Hanker, P./Hüging, B. (1998), Marktpreisrisiken.
In: Hanker, P. (Hrsg.), Management von Marktpreis- und Ausfallrisiken: Instrumente und StraBehr, G./Wirth, O. (1999), Der Einsatz von - tegien zur Risikominimierung in Banken, WiesMezzanine-Kapital bei der Wachstumsfinan- baden.
zierung. In: Der Schweizer Treuhänder 3/1999,
Kayser, G./Kokalj, L. (2002), Mittelständische
S. 161–170.
Unternehmen in Deutschland – Anmerkungen
Broda, B. M./Krings, U. (2002), Finanzierungs- zur Finanzierung nach Basel II. In: Zeitschrift für
modalitäten bei M&A-Transaktionen. In: Der das gesamte Kreditwesen 3–4/2002, S. 112–116.
Schweizer Treuhänder 10/2002, S. 877-882.
Jameson, R. (1998), Operational Risk – Playing
Büschgen, H. E. (1998), Bankbetriebslehre – the Name Game. In: Risk Magazine, S. 38–42.
Bankgeschäfte und Bankmanagement, 5. Aufl.,
Lohneiss, H. (2002), Die stille Revolution in der
Wiesbaden.
Finanzierung. In: Frankfurter Allgemeine ZeiDeutsche Bundesbank (2001), Die neue Baseler tung (FAZ), Nr. 125, 3.6.2002, S. 25.
Eigenkapitalvereinbarung (Basel II). In: MoNelles, M./Klusemann, M. (2003), Die Bedeunatsbericht April, S. 15–44.
tung der Finanzierungsalternative MezzanineEngeser, M. (2002), Auf dem Trockenen. In: Capital im Kontext von Basel II für den MittelWirtschaftswoche, Nr. 14, 28.3.2002, S. 80–84.
stand. In: Finanz-Betrieb 2/2003, S. 1–10.
Finsterer, H./Gulder, M. (2001), Basel II verlangt
Alternativen Private Equity und Mezzanine-
Oehler, A./Unser, M. (2001), Finanzwirtschaftliches Risikomanagement, 1. Aufl., Berlin u.a.
o.V. (2001), Zwischen Equity und Debt, Mezzanine Capital in Europa auf dem Vormarsch. In:
Venture Capital 3/2001, S. 18.
o.V. (2002), «Basel II» – in der Schweiz kein
Schreckgespenst, Gut etablierte Rating-Systeme
der Banken. In: Neue Zürcher Zeitung (NZZ),
Nr. 241, 17.10.2002, S. 19.
Rolfes, B./Emse, C. (2001), Interne Rating-Verfahren zur Bonitätsklassifizierung. In: Deutsches
Steuerrecht (DStR) 8/2001, S. 316–324.
Schierenbeck, H. (2001), Ertragsorientiertes
Bankmanagement, Risiko-Controlling und Bilanzstruktur-Management, Bd. 2, 7. Aufl., Wiesbaden.
Schmoll, A. (1993), Risikomanagement im Kreditgeschäft – Risikokontrolle und Risikosteuerung in der Bankenpraxis, Wien.
Vera, A. (2002), Das Basel-II-Abkommen und
die Auswirkungen auf die deutsche Kreditlandschaft. In: Wirtschaftswissenschaftliches Studium
(WiSt) 1/2002, S. 28–32.
Wilkens, M./Entrop, O./Völker, J. (2001), Strukturen und Methoden von Basel II – Grundlegende Veränderungen der Bankenaufsicht. In:
Zeitschrift für das gesamte Kreditwesen 4/2001,
S. 187–193.
RESUME
tion transparente destinée à intensifier les relations avec la banque attitrée (relationshipbanking).
Parallèlement aux répercussions directes sur les conditions de crédit qui
régissent les relations entre les banques en qualité de bailleuses de fonds
et les emprunteurs, il faut se demander quelles sont les alternatives qui
existent pour les PME par rapport
au crédit bancaire classique. Bien que
les entreprises suisses disposent en
moyenne d’une quote-part de fonds
propres élevée en comparaison internationale et, partant, d’une bonne
réputation de solvabilité, le nombre
élevé d’entreprises insolvables montre que certaines PME sont en butte à
des problèmes de liquidités aigus.
Le volume des financements Mezzanine en Europe a sensiblement augmenté au cours de ces dernières années et cette tendance ne semble pas
avoir été interrompue en dépit du marasme économique. Alors que des instruments de financement hybrides
servaient auparavant essentiellement
472
à des fins de croissance et d’acquisition, on assiste aujourd’hui à l’éclosion
de formes de financement flexibles
qui sont fort attrayantes précisément
pour les PME. Les financements Mezzanine sont utilisés de manière typique lorsqu’une entreprise réalise un
cash-flow stable et suffisant pour assurer la créance du bailleurs de fonds,
mais que toutes les lignes de crédit
sont épuisées. Ils sont basés moins sur
des garanties ou des cautionnements
que sur la réussite future de l’entreprise sous forme de cash-flow. Les instruments Mezzanine comblent ainsi
une lacune entre le maximum de fonds
étrangers disponibles et le besoin de
financement de l’entreprise. On peut
dès lors s’attendre à une hausse des
liquidités à court terme et à une amélioration de la solvabilité à moyen ou
long terme pour peu que le capital
Mezzanine supplémentaire accordé
selon le processus du rating soit converti en fonds propres économiques.
En fin de cycle, ce résultat améliore la
position de l’emprunteur dans ses
négociations avec les banques et renforce en définitive la stabilité finan-
cière des PME. Au demeurant, il est
nécessaire pour cela que l’on améliore
la politique d’information à l’égard
des financements Mezzanine.
L’entrée en vigueur différée de l’accord Bâle II offre plus particulièrement aux PME l’occasion d’étudier
avec attention les nouvelles conditions
générales du financement des entreprises. Comme elles ne pourront pas
échapper à l’avenir à un rating, les
PME doivent s’attendre à des changements de structure financière. Au lieu
de brosser des scénarii catastrophes
exagérés allant jusqu’à prévoir une
nouvelle vague de banqueroutes après
Bâle II, ce nouvel accord devrait être
compris comme une chance permettant de réfléchir à temps et avec rigueur aux voies de financement de
substitution. Dans cette optique, le
crédit bancaire traditionnel n’est pas
superflu. Au contraire, les possibilités
d’aménagement flexible du financement Mezzanine constituent une solution intéressante pour les PME en vue
d’améliorer leur liquidité et leur solvabilité.
BB/MA
L’Expert-comptable suisse 6–7/03