Comment répondre aux besoins RH dans la logistique

Formation, recrutement, comment mieux
répondre aux besoins de la filière logistique ?
En Île-de-France, le
commerce, la
construction,
l’hôtellerie/restauration
et la logistique sont en
concurrence pour le
recrutement de main
d’œuvre faiblement
qualifiée.
En transport et
logistique, 1/3 des
recrutements sont
jugés difficiles
Des besoins et des difficultés à trouver les « bonnes
personnes »
L’enquête BMO Essonne (Besoin main
d’œuvre) reprise ici présente les 10
premières activités par volume de
projets de recrutement. Ces activités
sont représentatives de la structure de
l’emploi dans le département. Les
activités de transport et entreposage se
classent à la 7e place.
Au-delà des besoins quantitatifs le
commerce, le BTP, ou les services aux
entreprises sont souvent plus attractifs
pour les personnes à la recherche d’un
emploi. Les difficultés exprimées par ces
professions montrent une certaine
tension sur le marché du travail pour les
emplois nécessitant le moins de
qualification et qui concernent la plupart des projets de recrutement.
Les effets d’opportunité et les échanges
d’expériences sont très fréquents chez
les jeunes à la recherche d’un emploi
ou d’une formation. La filière logistique
doit se valoriser pour attirer les profils les
plus intéressants et multiplier les
orientations professionnelles motivées.
L’apprentissage qu’est ce que c’est ?
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Des aides à l’embauche
Des exonérations de charges
Des jeunes valorisés dans leur apprentissage
Des maîtres d’apprentissage qui transmettent leur savoir faire
Des apprentis qui souhaitent s’investir dans l’entreprise à l’issue
de leur formation
Une main d’œuvre qualifiée
Informations et contacts :
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www.essonne.cci.fr/economie-et-territoires
www.essonne-developpement.com/fr-fr/une-economie-pour-demain.html
Des métiers qui restent peu attractifs
A l’occasion d’une enquête menée
en 2009, la CCI Essonne a eu
l’occasion
de
connaitre
les
pratiques de recrutement dans
divers secteurs d’activité (logistique,
informatique, recherche, gestion et
administration d’entreprise). Pour les
métiers
de
magasiniers,
préparateurs de commande ou
chefs d’équipe, 122 entreprises se
sont exprimées. Il ressort de ces
éléments que les établissements
interrogés se tournent d’abord vers
le Pôle Emploi, puis vers les
candidats
qui
se
présentent
spontanément, vers leurs relations
ou vers les agences d’intérim.
Aucune voie n’est réellement
privilégiée pour ces métiers. Tous les
partenaires sont sollicités pour
trouver des candidats. Le manque
de motivation des candidats
explique, dans plus de 70% cas, les
difficultés de recrutement d’après
cette enquête.
Une mauvaise image de ces
métiers,
voire
de
certaines
entreprises, pourrait expliquer le
manque d’attractivité de la filière.
Le manque d’attractivité contribue
aux difficultés de recrutement des
entreprises. La formation reste un
atout et les entreprises peuvent
avoir recours à l’apprentissage pour
fidéliser une partie de leurs salariés.
Source : enquête CCI Essonne, Université d’Evry, Faculté des métiers (2009)
Quelques pistes de réflexions :
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Pour réduire les coûts RH, il faut fidéliser ses salariés.
Le management de proximité est un facteur de motivation.
Les acteurs territoriaux sont des partenaires pour vos
recrutements (PLIE/mission locale/commune/
intercommunalité).
Les métiers de la filière logistique restent méconnus, leur
image doit être améliorée.
Informations et contacts :
www.essonne.cci.fr/economie-et-territoires
www.essonne-developpement.com/fr-fr/une-economie-pour-demain.html