La racine des légumes - Conseil départemental de l`Ain
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La racine des légumes - Conseil départemental de l`Ain
t n o verm Re Musée Communiqué de presse Mars 2013 tal emen t r a p é d La racine des légumes Coll. départementale des Musées de l’Ain – Photo : Jacqueline Salmon et Robert F. Hammerstiel Une exposition de JacqUeline salmon Exposition Du 6 avril au 1er novembre 2013 - Cuisiat Musée départemental du Revermont 40 rue Principale - 01370 Cuisiat www.musees.ain.fr Sommaire La racine des légumes, une exposition de Jacqueline Salmon L’exposition 3 L’artiste 5 Points de vue 6 Informations pratiques 8 Photothèque 9 4 > Contact presse Conseil général de l’Ain Direction de la communication Céline Moyne-Bressand, chargée de communication tél. 04 74 22 98 33, [email protected] p 2/9 « La racine des légumes », exposition du 6 avril au 1er novembre 2013 Conseil général de l’Ain - Direction de la Communication tél. 04 74 22 98 33 / Musée départemental du Revermont tél. 04 74 51 32 42 La racine des légumes Une exposition de Jacqueline Salmon Le musée départemental du Revermont propose du 6 avril au 1er novembre 2013 une nouvelle exposition « La racine des légumes », sélection des photographies de Jacqueline Salmon. Passionnée de botanique, Jacqueline Salmon nous plonge dans l’univers familier des légumes en présentant des photographies de légumes tout juste cueillis avec leurs racines mises à nu. • Les légumes au musée Haricots à rame religieuse, queue de cochon, laitue Saint-Antoine, laitue de l’Anthelmette, pois mange-tout beurrés, févettes… Le musée départemental du Revermont a pour missions la collecte, l’inventaire, la conservation et la présentation des variétés locales de légumes dans le potager attenant au musée. Il a aussi pour vocation la sensibilisation des visiteurs à la question du maintien de la biodiversité cultivée. Par le biais d’expositions temporaires, le musée en tant que musée de société porte aussi une réflexion sur les rapports que l’homme entretient avec les plantes domestiques ici ou ailleurs, hier et aujourd’hui. • Le contexte de l’exposition L’exposition « La racine des légumes » de Jacqueline Salmon propose un regard original et sensible sur les légumes de notre quotidien. « Je n’avais jamais pensé à me servir de la photographie pour réaliser des planches d’herbier, jusqu’au jour où, dans une émission de France Culture, on a annoncé la parution d’un recueil de pensées de Hong Zicheng, philosophe de l’époque Ming, dont le titre était Propos sur la racine des légumes. Je cherchais depuis longtemps une idée nouvelle pour allier mon goût pour la botanique et ma pratique de la photographie. La réponse fut fulgurante : les légumes, bien sûr, et avec leurs racines… » Jacqueline Salmon rencontre Gilles Béréziat, maraîcher à la ferme des Bioux à Buellas, à l’occasion des journées des fruits d’automne à Cuisiat, marché de producteurs organisé dans le village où se situe le musée. Impressionnée par la qualité de sa production, elle lui propose de venir chez lui pour photographier les légumes tout juste sortis de terre, proposition à laquelle il adhère immédiatement. • La campagne photographique Réalisée par Jacqueline Salmon, avec son ami Robert F. Hammerstiel, la campagne photographique a duré plus de 2 ans. Une véritable complicité s’est nouée avec Gilles Béréziat qui les prévenait dès qu’un légume arrivait à maturité. « Robert avait construit un échafaudage de caisses de pommes de terre sur lequel il grimpait, la chambre était ainsi suspendue au-dessus du sol sur lequel je disposais la plante. Il fallait alors lui redonner du volume avec tout un jeu de petites épingles, boules, cubes, branchettes, puis nettoyer les racines avec un pinceau, retirer toute la terre à sec pour que les radicelles ne se collent pas les unes aux autres et qu’aucune goutte d’eau ne vienne tacher le sol. » Les prises de vue ont été faites avec un cadrage précis. « Depuis le sol où j’étais accroupie, j’imaginais l’image, modifiais la position d’une tige. Perché au dessus de moi, Robert rectifiait le cadre, me faisait déplacer une feuille, parfois toute la plante. » La mesure de lumière était réalisée par chacun, à sa manière, et discutée avant le choix final. La photo était ensuite prise en couleur et en noir et blanc. « A l’époque on ne pensait pas encore en terme de numérisation des images ou de retouche avec Photoshop ! » p 3/9 « La racine des légumes », exposition du 6 avril au 1er novembre 2013 Conseil général de l’Ain - Direction de la Communication tél. 04 74 22 98 33 / Musée départemental du Revermont tél. 04 74 51 32 42 L’exposition • Un classement par espèces Les légumes sont classés par espèces, à la manière d’un herbier. « D’un chou ou d’une tomate, on n’a jamais la racine ; d’un navet ou d’une carotte, rarement les feuilles. Il m’a semblé qu’une chose aussi simple que l’apparence d’un légume dans son intégralité nous était inconnue. À regarder comme une métaphore des âges simultanés de la vie que l'on porte en soi : splendide maturité du potiron alors que l'ensemble de la plante est quasi desséchée et que malgré tout, au bout des tiges rampantes, on peut encore trouver un bourgeon, une fleur… » • Des choix esthétiques qui donnent autant à penser qu'à voir Une métaphore de la vie et de la mort Une représentation de la partie cachée et essentielle de chaque vie. • Trois vidéos les légumes de Gilles Béréziat à la ferme des Bioux La ferme est actuellement en période de conversion à l’agriculture biologique. Pour autant, au moment des prises de vue, Gilles Béréziat était déjà très soucieux de pratiques de cultures respectueuses de l’environnement et du consommateur. une image cultivée, courgette Cora Réalisation : Jacqueline Salmon Lecture de textes par Bruno Duborgel, professeur d’Esthétique et de Sciences de l’art à l’Université Jean Monnet de Saint-Etienne. Jacqueline Salmon dans son atelier Réalisée par France 5 pour l’émission « Silence ça pousse », cette vidéo présente Jacqueline Salmon préparant l’exposition. • Une édition un petit journal gratuit illustré présentant la démarche de Jacqueline Salmon. Textes de Jean-Christophe Bailly, philosophe, et de Bruno Duborgel, critique d’art. • A la boutique du musée des cartes postales éditées par Jacqueline Salmon. « Légumes », photographies, textes et maquette de Jacqueline Salmon (éditions Sud-Ouest, 2011). Désigné comme le meilleur livre de l’année en France dans la catégorie « Meilleur design au Cordon Bleu » par le jury des Gourmand World Cookbook Awards, cet ouvrage reprend une partie des photos présentées dans l’exposition, un descriptif des légumes avec des recettes de cuisine originales, un abécédaire sur les bonheurs de l’apprentissage du goût et de la cuisine, un descriptif de la méthode de culture à la ferme des Bioux. « Une image cultivée, courgette Cora », textes de Bruno Duborgel, photographies de Jacqueline Salmon (éditions Jean-Pierre Huguet, 2013). p « La racine des légumes », exposition du 6 avril au 1er novembre 2013 Conseil général de l’Ain - Direction de la Communication tél. 04 74 22 98 33 / Musée départemental du Revermont tél. 04 74 51 32 42 4/9 L’artiste Née en 1943 à Lyon, Jacqueline Salmon vit actuellement à Paris et dans la campagne beaujolaise. Elle a étudié les arts plastiques, l’architecture et l’histoire contemporaine à la Sorbonne. Depuis 1981, elle réalise une œuvre photographique dont le sujet principal est l’étude des rapports entre philosophie, histoire de l’art et architecture. De 1986 à 2008, elle mène de nombreux projets au Canada (expositions, publications, interventions universitaires, conférences), notamment au Banff Center for the Art en Alberta, en 1994, et au centre d’art Vu à Québec, en 2007. Elle obtient en 1993 le prix de la Villa Médicis Hors les Murs pour une série alliant portraits et lieux. En 1998, elle est nommée Chevalier des Arts et des Lettres. Elle a enseigné à l’Université Paris VIII et dans les écoles d’architecture de Saint-Etienne et de Lyon. Elle a été commissaire de grandes expositions au Centre National de la Photographie à Paris, au Musée de l’Élysée à Lausanne, au « Mai de la photographie » à Reims. Elle est actuellement directrice artistique, avec Françoise Morin, de la Biennale « Urbi & Orbi » à Sedan. Elle est représentée par la galerie Mathieu à Lyon et par la galerie Michèle Chomette à Paris. Plus d’infos sur l’artiste : www.jacquelinesalmon.com p 5/9 « La racine des légumes », exposition du 6 avril au 1er novembre 2013 Conseil général de l’Ain - Direction de la Communication tél. 04 74 22 98 33 / Musée départemental du Revermont tél. 04 74 51 32 42 Points de vue • Une image cultivée, courgette Cora Bruno Duborgel, critique d’art Nul doute, se dit-on de nouveau, courgette Cora eût comblé l’œil et l’esprit de Claude Lévi-Strauss qui tout ensemble portait une attention extrême à tous les aspects concrets d’une même chose et scrutait avec une ferveur admirative l’organisation lisible et structurale d’un simple pissenlit. On pourrait, dans certaines limites, transférer à cette œuvre de Jacqueline Salmon l’éloge que l’anthropologue faisait de certains peintres, de leur « scrupule d’exactitude qui rivalise avec celui du naturaliste » et du réalisme supérieur auquel ils parviennent « par des arrangements imprévus qui enrichissent notre connaissance des choses » ; alors, ajoutait-il, « nous voyons les choses comme nous ne savions plus ou avions oublié qu’on pouvait les voir. La surprise, l’impression d’étrangeté nous viennent de les saisir dans leur vérité originelle » ; soit un « réalisme qui enchante ». L’art de Jacqueline Salmon nous initie à des présences du monde silencieuses mais inductrices d’une profonde expérience poétique, à une « prière » et à un reposoir du réel, à une sérénité d’oasis iconique d’où redécouvrir, savourer, aimer, admirer et méditer le visible, cet inconnu ainsi remémoré dans l’impeccable identité de sa beauté singulière. Courgette Cora réfracte exemplairement cet idéal désiré d’une photographie tout ensemble discrète et dense, riche et épurée, éprise de la plénitude et des architectures du réel, et capable, selon les termes de l’artiste, « d’offrir le temps qu’il faut pour penser à l’intérieur des images ». Bruno Duborgel, Courgette Cora, Éditions Jean-Pierre Huguet, 2013 (ouvrage en cours de publication) • L’exposition vue par Jean-Christophe Bailly, philosophe Lorsque dans l’Introduction au galet, Francis Ponge écrivait qu’à propos du premier objet venu les choses les plus élémentaires et à peu près tout restait à dire, il pensait sans doute d’abord à son propre programme, mais l’on peut être étonné de voir à quel point, par d’autres, il aura été peu suivi. Et c’est pourquoi il y a une joie spécifique aussitôt qu’un artiste décide de monter à l’assaut de la connaissance des objets, c’est-à-dire de prendre à son tour le parti des choses. De cet ordre, sans aucun doute, est la série de photographies de Jacqueline Salmon intitulée La Racine des légumes qui, via ce titre emprunté au lettré chinois Hong Zicheng, déploie en effet sous nos yeux des légumes montrés comme on ne les voit presque jamais, autrement dit dans leur intégralité. Reversés à l’inconnu, les légumes familiers de ces photographies le sont, au titre d’une mise en scène qui ne les prive d’aucun de leurs éléments. Tandis qu’au jardin, en terre, le légume quel qu’il soit dissimule sa racine, c’est encore sous une forme tronquée qu’il finit sur l’étal – que ce soit sa racine alors qui fasse œuvre (comme pour les navets ou les carottes), ou bien son fruit (comme pour les courges) ou bien ses feuilles. Mais là, et comme d’un seul coup, sur des images grandeur nature qui respectent leurs dimensions, les voici tels qu’en eux-mêmes et ayant échappé à toute instrumentalisation commerciale, culinaire ou même esthétique. Les légumes, de façon encore plus ramassée que les autres plantes, font le lien entre le ciel et la terre. Vers le haut, dans l’air, comme vers le bas, sous terre, ils se lancent dans une exploration passionnée dont leurs formes conservent le soup 6/9 « La racine des légumes », exposition du 6 avril au 1er novembre 2013 Conseil général de l’Ain - Direction de la Communication tél. 04 74 22 98 33 / Musée départemental du Revermont tél. 04 74 51 32 42 venir. Racines d’un côté, branches, feuilles, fleurs et fruits de l’autre, la forme de chaque légume est le récit complet de sa vie d’être saisonnier venu tenter quelque chose dans le monde. De l’infime radis pour lequel racine et fanes ne sont pas plus éloignées l’une des autres que les deux extrémités d’un papier de bonbon qu’on déplie à ces explorateurs rampants qui, tels le concombre ou le potiron, serpentent longuement sur le sol, existe une extraordinaire variété de possibilités formelles et de régimes d’invention et d’adaptation. Or ce sont ces formes (ces vies) que Jacqueline Salmon a décidé de regarder et de révéler, mais dans leur intégralité, telles donc qu’elles sont effectivement venues au bout d’un parcours de quelques mois seulement – seules des plantes annuelles figurant à ce rendez-vous fixé sur un unique lieu de production, la ferme des Bioux de Gilles Béréziat près de Bourg-en-Bresse. Il y a là un mouvement singulier qui fait glisser entièrement la prise photographique vers le mode – en vérité plutôt rare et difficile – de la description et qui, du même coup, déplace tout le régime d’associations qui accompagne traditionnellement la relation des arts visuels à l’objet. En effet, si l’on devait en référer à la question du genre, on verrait que ces images, par le statut qu’elles accordent aux légumes ainsi représentés, ne peuvent être apparentées au régime de la nature morte, dans lequel tout repose d’abord sur l’arrangement et la composition. Et c’est avec surprise qu’on les verrait plutôt glisser vers une action qui serait davantage celle qu’exerce le portrait, voire le nu. Le nu, parce que soustraits à l’habituel habillage jardinier, marchand ou culinaire, ces légumes sont pour ainsi dire autorisés à se montrer sans nul appareil. Et du portrait parce qu’il ne s’agit à chaque fois que d’un individu singulier – tel cardon ou tel chou incarnant certes son espèce, mais sans qu’aucune portée générique ou emblématique ne soit accordée à sa forme comme un privilège. Car c’est ainsi, soustraits à toute pesanteur symbolique comme à tout effet de déclamation ou de parure que ces légumes, issus du même jardin, nous reviennent. À une époque où l’on parle tellement de biodiversité, ces images – modestes et orgueilleuses à la fois – viennent utilement rappeler que le divers n’est ni un label ni un argument mais, en vérité, une condition d’existence – ceci du moins aussi longtemps que les règles du jeu qu’est le vivant sont respectées. Le vivant : c’est de lui bien entendu qu’il est d’abord ici question, et dans cette tenue extrêmement mince et précise où la photographie, et elle seule avec cette insistance inquiète, s’en empare : sur ces images ce que l’on voit est en train de mourir et ce qui nous est présenté, à l’intérieur d’un temps de pose qui est celui des légumes eux-mêmes (préparés et disposés par Jacqueline Salmon et son complice Robert F. Hammerstiel pour qu’ils ne dépérissent pas trop vite et pour que leurs différentes composantes ne se séparent pas les unes des autres), c’est la simultanéité, au sein du même être vivant, de temporalités différentes, les unes déjà en route vers le défraîchi et la mort, les autres encore dans le plein emploi de leur force voire même encore à l’état naissant. Opulents et flétris à la fois, les légumes ne témoignent pas, comme de pesants gardiens, aux portes de la mélancolie humaine. Simplement ils sont là, dans leur mouvement le plus propre, et saisis au moment où magnificence et flétrissure cohabitent sans qu’un régime l’emporte sur l’autre. Dans son parti pris de description, dans sa volonté, donc, de tenter une ekphrasis* photographique (ce qui serait d’ailleurs aussi la marque de ses autres travaux, quel qu’en soit le sujet) Jacqueline Salmon aurait pu – elle y a d’ailleurs songé un moment – photographier des herbiers, qui sont aussi des objets passionnants et qui la passionnent, mais c’eût été photographier autre chose que des formes à peine arrachées vivantes à leur formation, autre chose que de tenter de saisir le passage où le vivant, pourtant porté à son comble, est déjà sur le point de se quitter vers cet au-delà de lui-même que nous apparions à la mort mais qui, dans l’ordre légumier, s’apparente aussi à la renaissance et au retour. * Il s’agit d’une description ou d’une représentation verbale d’un objet artistique visuel p « La racine des légumes », exposition du 6 avril au 1er novembre 2013 Conseil général de l’Ain - Direction de la Communication tél. 04 74 22 98 33 / Musée départemental du Revermont tél. 04 74 51 32 42 7/9 Informations pratiques • Exposition temporaire du 6 avril au 1er novembre 2013 « La racine des légumes » Musée départemental du Revermont 40, rue principale - Cuisiat 01370 Treffort-Cuisiat tél. 04 74 51 32 42 • Autour de l’exposition... Dimanche 7 avril : bourse d’échanges avec l’association des « Amis de Treffort-Cuisiat et du musée du Revermont » Que vous soyez producteur chevronné, jardinier débutant ou simple curieux, venez troquer vos graines contre d’autres variétés, anciennes ou originales. Présentation de la saison et de l’exposition « La racine des légumes ». Entrée gratuite. Samedi 1er et dimanche 2 juin : rendez-vous au jardin « Le jardin et ses créateurs » - Samedi à 15 h : conférence-spectacle avec Meiyna Vernet, animatrice agroécologique (Une entrée gratuite pour une entrée payante). - Dimanche : découverte culinaire (couplée avec le musée départemental de la Bresse-Domaine des Planons). Autour des fleurs et des aromatiques, venez partager un repas cuisiné par le Chef Laurent Perréal. Prenez le plat principal au musée de la Bresse et le dessert au musée du Revermont. Navettes sur réservation. Conditions et tarifs au 04 74 51 32 42. Vendredi 1er novembre : visite insolite et sensorielle du jardin et du verger. Pressage et dégustation de jus de pommes. • Horaires d’ouverture Tous les jours de 10 h à 13 h et de 14 h à 18 h Fermé le mardi et le mercredi d’avril à juin et de septembre à novembre Fermé le mardi en juillet et août Ouvert les jours fériés • Tarifs Adulte : 4 € Gratuit pour les moins de 26 ans Gratuit pour tous : le 1er dimanche du mois PassMusées : pour 5 €, visitez tout au long de la saison les 5 musées départementaux et les Soieries Bonnet • Accès A 20 minutes de Bourg-en-Bresse, RD 1083, Saint-Etienne-du-Bois, TreffortCuisiat, Cuisiat A 1 heure de Lyon, A 40 sortie Bourg Est, RD 1083 A 1 heure de Genève, A 40 sortie Bourg Est, RD 1083 A 40 minutes de Lons-le-Saunier, RD 1083 • Plus d’infos Conservation départementale des musées de l’Ain 34, rue Général Delestraint - 01 000 Bourg-en-Bresse tél. 04 74 32 10 60 - www.musees.ain.fr - [email protected] p « La racine des légumes », exposition du 6 avril au 1er novembre 2013 Conseil général de l’Ain - Direction de la Communication tél. 04 74 22 98 33 / Musée départemental du Revermont tél. 04 74 51 32 42 8/9 Photothèque Jacqueline Salmon à la ferme des Bioux à Buellas Photo : Robert F. Hammerstiel Quelques images de la vidéo sur Gilles Béréziat réalisée par Jacqueline Salmon Chou rouge - Exposition « La racine des légumes » © coll. départementale des musées de l’Ain Photo : Jacqueline Salmon, Robert F. Hammerstiel Courgette Cora - Exposition « La racine des légumes » © coll. départementale des musées de l’Ain Photo : Jacqueline Salmon, Robert F. Hammerstiel Pastèque ou citre - Exposition « La racine des légumes » © coll. départementale des musées de l’Ain Photo : Jacqueline Salmon, Robert F. Hammerstiel Potimarron - Exposition « La racine des légumes » © coll. départementale des musées de l’Ain Photo : Jacqueline Salmon, Robert F. Hammerstiel Pomme de terre - Exposition « La racine des légumes » © coll. départementale des musées de l’Ain Photo : Jacqueline Salmon, Robert F. Hammerstiel Musée départemental du Revermont, potager conservatoire © Coll. départementale des Musées de l’Ain p 9/9 « La racine des légumes », exposition du 6 avril au 1er novembre 2013 Conseil général de l’Ain - Direction de la Communication tél. 04 74 22 98 33 / Musée départemental du Revermont tél. 04 74 51 32 42