Synthèse de l`enquête auprès des services d`information et

Transcription

Synthèse de l`enquête auprès des services d`information et
En conclusion, le succès de
l’établissement pérenne de
plants de Musa accompagné par
un rendement élevé dépend du
bon développement des racines
et de la tige, en combinaison
avec une bonne production de
rejets.
Blomme G., A. Tenkouano & R.
Swennen. 2003. Relationship
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Agricultural Trust (Rothamsted
Experimental Station) Genstat 5,
2nd edition for Windows.
Les auteurs remercient le
Réseau international pour
l’amélioration de la banane et
de la banane plantain (INIBAP)
et l’Association flamande pour
le développement technique et
la coopération (VVOB) pour
leur soutien financier. Nous
sommes également
reconnaissants envers M.
Steven Yiga et M. John
Ndamira pour avoir mobilisé
les agriculteurs.
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Synthèse de l’enquête
auprès des services
d’information et de
documentation agricole
en Afrique
J. Tetang Tchinda
Responsable régional de l’information pour
l’Afrique, Coordonnateur de REDIMA,
réseau de documentation et d’information
sur les Musa en Afrique, INIBAP-WCA, BP
12348, Douala, Cameroun-E-mail :
[email protected]
La création du Système de
documentation et d’information
sur les bananiers et bananiers
plantain (Musa spp.) en Afrique
est un projet conçu et soutenu
par tous les acteurs de cette
filière, réunis au sein des deux
réseaux de recherche bananière
MUSACO (Réseau de recherche
sur les Musa en Afrique
Centrale et de l’Ouest) et
BARNESA (Banana Research
Network for Eastern and
Southern Africa), avec le
soutien du CARBAP, de l’IITA
et de l’INIBAP. Cette initiative a
été prise dans le but de rendre
plus accessible l’information en
vue d’optimiser la recherche et
la production des Musa sur le
continent africain et découle
MusAfrica - Vol. 2, N° 1 (Version française)
logiquement des contraintes
diverses rencontrées
constamment par les différents
acteurs dans l’accès à l’information, la collaboration
scientifique et la valorisation
des résultats de recherche. Pour
qu’un projet de cette envergure
réussisse, il est nécessaire qu’il
soit construit sur une base
concrète, c’est-à-dire qu’il
s’inspire des réalités locales.
C’est pour cela qu’une enquête
a été menée auprès des centres
de documentation agricole
d’Afrique dans le but de déterminer qui sont les futurs
partenaires et quels sont leurs
besoins, leurs potentialités,
ainsi que leurs priorités, afin
d’être en mesure d’élaborer une
stratégie de travail à court et à
long terme sur la base des
contraintes locales.
Méthodologie
Un questionnaire imprimé a été
distribué par voie postale à 90
Services d’information et de
documentation (SID) agricoles
de plus de 30 pays d’Afrique.
Le taux de retour a été de 35%.
Des entretiens directs, des
visites sur le terrain, ainsi que
des recherches documentaires
ont permis de peaufiner les
données. Les réponses obtenues
proviennent des SID agricoles
des 19 pays suivants : Bénin;
Botswana ; Burundi;
Cameroun ; Côte d’Ivoire ;
Éthiopie ; Gabon ; Ghana;
Guinée Conakry; Kenya;
Madagascar ; Malawi ; île
Maurice ; Nigeria ; République
Démocratique du Congo ;
Sénégal ; Ouganda ; Zambie ;
Zimbabwe.
Synthèse des résultats
Les résultats obtenus
corroborent ceux déjà publiés
par des spécialistes de l’infor-
mation agricole ainsi que les
centres régionaux et internationaux tels que le CTA, le
CORAF et la SADC-SACCAR.
Les contraintes mises en
évidence sont diverses. Dans la
plupart des pays d’Afrique
subsaharienne, les systèmes
d’information agricole sont
généralement peu performants.
En effet, les SID agricoles sont
insuffisamment équipés et les
gestionnaires de l’information
agricole peu formés pour
permettre un accès efficace à
l’information.
Contraintes à la gestion et
diffusion de l’information
agricole
Contraintes institutionnelles
Le manque d’engagement au
niveau institutionnel constitue
un obstacle majeur. Chez la
plupart des décideurs et
gestionnaires de la recherche,
on note une absence de
perception stratégique quant au
rôle déterminant que joue
l’information dans tout
processus de recherche et de
développement. Investir dans
l’information n’est
généralement pas considéré
comme une priorité. Dans la
plupart des cas, les SNRA
comptent beaucoup plus sur les
dons pour organiser leurs SID
agricoles, n’étant pas disposés à
débloquer de l’argent à cet effet,
quand bien même ils disposeraient d’un peu de moyens. Par
voie de conséquence, les SID
agricoles des SNRA n’offrent
qu’un service minimal et, avec
le temps, les documents
deviennent obsolètes.
D’autre part, les gestionnaires
de l’information agricole sont
rarement associés à la prise de
décisions concernant la
programmation budgétaire et
l’élaboration des programmes
MusAfrica - Vol. 2, N° 1 (Version française)
de recherche. En conséquence,
l’acquisition et la gestion de
l’information scientifique et
technique (IST), exploitée pour
la recherche et aboutissant aux
découvertes qui induisent le
développement agricole et
économique, est reléguée au
dernier plan, voire oubliée.
Contraintes financières et
technologiques
Les contraintes financières et
technologiques conduisent à
une utilisation très insuffisante
de l’Internet et des nouvelles
technologies de l’information et
de la communication (NTIC).
Les chercheurs et les
spécialistes de l’information ne
peuvent donc pas accéder
facilement aux bases de
données internationales. Par
ailleurs, les contraintes
financières limitent non
seulement l’acquisition et
l’appropriation des NTICs,
mais aussi l’acquisition des
livres et l’abonnement aux
périodiques scientifiques, d’où
la prédominance de dons dans
les acquisitions. D’après les
données de l’enquête, un peu
plus de 96% des livres exposés
sur les rayons des bibliothèques
sont des dons.
Pourtant, comme le reconnaît
Rudgers (2000), « L’agriculture
est un secteur où l’information
joue un rôle de tout premier
plan. Il se nourrit d’une infinité
de sources dispersées et de
‘connaissances locales
contextuelles’ (…) et s’appuie
sur le flux d’information des
marchés locaux, régionaux et
mondiaux… [Cependant] la
grande majorité des pays ACP
[les pays d’Afrique
subsaharienne en particulier]
sont loin de réunir les
conditions nécessaires pour
prospérer dans un
5
environnement en réseau et
paraissent peu « préparés » à
l’utilisation des technologies de
l’information et de la
communication (TIC)». L’une
des conséquences directes de
cette situation c’est que les
résultats de recherche et les
expériences sont faiblement
partagés, diffusés ou valorisés.
Documentation sur les Musa
Il ressort de l’étude que les SID
agricoles des programmes
bananiers sont en général très
peu fournis en documentation
de base sur les Musa et, que les
gestionnaires de l’information
agricole interrogent très
rarement les Bases de données
(MUSALIT et BRIS) de
l’INIBAP. Le tableau ci-après
nous donne quelques chiffres.
Bibliothèques
(%)
Nbre de
documents
44,74
Sans réponse
29,62
De 20 à 50
7,40
De 51 à 100
7,13
De 101 à 200
11,11
Plus de 200
Traitement de l’information
L’enquête relève que le logiciel
le plus utilisé pour construire
les bases de données
bibliographiques en Afrique est
CDS/ISIS, le logiciel de
l’UNESCO. (CORAF, CTA,
1998). Un nombre relativement
important de bibliothèques
agricoles n’ont pas les
équipements nécessaires pour
le traitement de l’information,
et que les équipements dont
disposent certains sont devenus
obsolètes ou tombés en panne.
Edition et publications
scientifiques
Selon les observations du CTA
et du CORAF, les SNRA en
6
Afrique sont dotés de très
faibles capacités en matière
d’édition, publication et
rédaction scientifique. Ceci est
d’autant plus évident que les
chercheurs africains en général,
et ceux des SNRA en
particulier, ont beaucoup de
difficultés à publier leurs
résultats de recherche dans les
journaux scientifiques
internationaux à comité de
lecture. Sur le plan africain, il
existe très peu de journaux
scientifiques, en raison de
l’inexistence ou de la mauvaise
structuration des comités
éditoriaux et du manque de
moyens financiers adéquats
pour soutenir la publication et
la diffusion régulières de ces
journaux. Dans les SNRA, on
note une parution irrégulière
pour ne pas dire sporadique
des bulletins d’information.
Diffusion et valorisation des
résultats de la recherche
Les études menées par le
CORAF et le CTA signalent une
« insuffisance dans la vulgarisation des résultats de la
recherche, dans la liaison entre
structures de vulgarisation, les
associations de producteurs et
de recherche».
Entre autres raisons évoquées,
citons l’insuffisance des
ressources financières qui rend
difficile le recrutement d’un
personnel qualifié, l’organisation de séances de formation,
le transfert des techniques et
technologies agricoles, l’achat,
l’exploitation et la maintenance
des équipements utilisés dans le
traitement et la diffusion de
l’information (CTA 1996). A
cela s’ajoute la publication très
limitée des résultats de
recherche, ainsi que la faible
participation des institutions de
recherche aux différents
réseaux d’information
régionaux et/ou internationaux. Par ailleurs, l’offre
d’information est diffuse et
éparse, non sélectionnée en
fonction des besoins précis et
différents des divers publics
(CTA 1995).
Les barrières linguistiques
constituent une autre difficulté
notable. Certaines populations
ne peuvent pas facilement
accéder à l’information parce
que celle-ci n’est pas diffusée
dans les langues locales.
Les limites observées dans le
partage des informations sont
aussi dues, dans une certaine
mesure, au refus par certains de
mettre leurs informations à la
disposition du groupe. Cette
réalité a été observée par le
CORAF (2000) qui, lors des
enquêtes auprès de services
d’information agricole
d’Afrique Centrale et de
l’Ouest, a relevé la réticence de
certains instituts nationaux de
recherche agricole ou de
réseaux locaux à fournir des
informations à des tiers. C’est
comme si « en mettant ces
informations à la disposition du
réseau (ou du groupe), le
producteur ou le détenteur de
l’information avait le sentiment
de perdre la paternité de ses
informations » (Giovannetti
2000). Comme l’explique
l’auteur précité, « les règles
communes adoptées dans le
cadre d’un réseau pour le
traitement et le partage de
l’information sont vues par
certains partenaires des réseaux
comme une limitation », d’où la
nécessité d’un engagement
volontaire de chaque membre.
Par ailleurs, le refus de certains
de partager leur information est
souvent du à la concurrence
que se livrent certains centres
de recherche. Les centres plus
MusAfrica - Vol. 2, N° 1 (Version française)
avancés sont plus réticents à
partager, souhaitant maintenir
leur hégémonie.
Collaboration scientifique,
activités en réseau
D’après les données de
l’enquête, 33,33% des SID
agricoles font partie d’un réseau
documentaire. On note ainsi
que le niveau de collaboration
scientifique demeure très faible
entre les différents centres de
recherche agricole, ceci en
raison du faible développement
et d’une faible participation aux
réseaux régionaux de recherche
et d’information. Il est donc
évident que la majorité des
futurs membres du réseau
d’information sur les Musa
n’ont pas acquis une bonne
expérience en matière de
collaboration en réseau.
Besoins et potentialités des
futurs membres du réseau
d’information sur les Musa
D’après les données de
l’enquête, tous les gestionnaires
de l’information agricole (sans
exception) souhaitent que l’une
des priorités du futur réseau
d’information bananière en
Afrique soit l’équipement des
SID agricoles en matériel
informatique et en documents
de base sur les Musa, tout en
exprimant en même temps leur
enthousiasme à participer et
contribuer au succès du futur
réseau d’information,
notamment en oeuvrant au
partage de l’information. De
tous les autres besoins
exprimés, le plus récurrent reste
la formation et le renforcement
des capacités.
Conclusion
Cette étude nous a permis
d’explorer les réalités qui
prévalent sur le terrain avant la
mise en place formelle du
réseau d’information et de
documentation sur les Musa en
Afrique. Ces résultats
interpellent tous les partenaires
de la recherche bananière en
Afrique. D’une part, les
contraintes observées
permettront d’orienter les
actions à venir, d’élaborer une
stratégie à court et à long terme
dans le but de résoudre les
problèmes évoqués. D’autre
part, il apparaît que
l’engagement au niveau
institutionnel reste primordial
pour garantir la disponibilité de
l’information. C’est cet
engagement qui poussera les
décideurs et les gestionnaires
de la recherche à mettre à la
disposition des documentalistes
et des bibliothèques des
moyens adéquats pour assurer
la disponibilité de
l’information. Sans cet
engagement, les SNRA auront
toujours tendance à négliger le
volet information dans le
processus de prise de décision,
et ce, même s’ils disposent des
ressources nécessaires.
Relevons par ailleurs que
certains SNRA sont plus
avancés que la majorité des
autres en ce qui concerne l’accès
à l’information agricole. Citons
à titre d’illustration le Ghana et
le Kenya. On note aussi
qu’actuellement différents
réseaux régionaux existent ou
sont en cours de création en
Afrique pour optimiser l’accès à
l’information agricole en
général. Citons à titre
d’exemple le système
d’information du SACCAR
(Southern African Center for
Cooperation in Agricultural
Research and Training) crée en
1992, le réseau RAIN (Regional
Agricultural Information
Network) de l’ASARECA
MusAfrica - Vol. 2, N° 1 (Version française)
(Association for Strengthening
Agricultural Research in Eastern
and Central Africa), dont le siège
est en Ouganda, le système
d’information agricole du
CORAF (Dakar, Sénégal) et bien
sûr le réseau d’information et
de documentation sur les Musa
en Afrique (REDIMA) en cours
de création. Par ailleurs, le
Forum africain pour la
recherche agricole (FARA,
Ghana) a pour ambition de
mettre sur pied un système
global d’information agricole
qui reliera tous les réseaux
régionaux d’information
agricole. L’organisation des
Nations Unies pour
l’alimentation et l’agriculture
(FAO) a, par ailleurs, mis sur
pied l’initiative AGORA en
collaboration avec d’autres
partenaires pour faciliter l’accès
des pays ACP au texte intégral
de plus de 400 journaux
scientifiques internationaux sur
l’agriculture. Depuis 1997, le
CTA établit en Afrique
subsaharienne des services
questions-réponses (SQR) sur
l’information agricole. Le
premier a été établi à
l’Université de Free State en
Afrique du Sud en 1997 et
dessert tous les Etats de
l’Afrique australe. Le deuxième
(AGRIDEA) a été établi au
KARI (Kenya) et couvre les
Etats de l’Afrique orientale, le
troisième est dédié à la zone
sahélienne, et le quatrième, le
Système d’information et de
communication agricole
d’Afrique Centrale (SICAC)
établi en septembre 2004 couvre
tous les Etats de cette région y
compris la RDC, le Rwanda, le
Burundi, Sao Tomé et Principe.
Nous pouvons dès lors dire que
malgré les contraintes évoquées
ci-dessus, des efforts sont en
train d’être fournis pour
faciliter l’accès des pays
7
africains à l’information pour la
recherche et le développement
agricole. Cependant, la
disponibilité des moyens
financiers, l’implication
personnelle des décideurs et
des gestionnaires de la
recherche ainsi que des
partenaires des différents
réseaux et systèmes mis en
place joueront un rôle
déterminant dans le succès des
tous ces projets.
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