2011 - Astralités du 11 Septembre
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2011 - Astralités du 11 Septembre
Astralités du 11 Septembre Un regard astrologique sur les thèses de Webster Tarpley 1 - Les tours du WTC (avant leur destruction) Voici dix ans, le monde tremblait d’effroi et de stupéfaction devant le tableau des tours jumelles du World Trade Center de New York en train de s’effondrer, tandis qu’à Washington le Pentagone était en flammes. Jamais attentat ne fut aussi spectaculaire, et rarement le choc aussi brutal, tant la chose apparaissait comme invraisemblable et l’événement quasi irréel, ressortissant à un film d’épouvante. Tout le monde se souvient où il était ce jour-là quand il apprit le drame des attentats de New York, et la réaction quasi universelle fut de ressentir ce choc comme un coup de tonnerre dans un ciel serein. Dès le lendemain, après la brève allocution de George Bush de retour à Washington à la suite d’une journée d’errance dramatique dans l’avion présidentiel Air Force One, la figure de Ben Laden, le coupable désigné, envahissait les médias, ainsi que la mystérieuse association terroriste AlQaida. Un mois plus tard, l’intervention américaine chassait les Talibans de Kaboul : la guerre d’Afghanistan, bientôt suivie par la guerre en Irak, plantait pour toute une décennie le décor d’une projection directe de la puissance américaine en Asie centrale et au Moyen-Orient. LA FABRIQUE DE TERREUR Avec le temps, la thèse officielle s’est révélée de plus en plus fragile et discutable, bien que tout soit fait pour tenter de discréditer ceux qui contestent ce qu’on pourrait appeler le « Mythe du 11 Septembre ». Non pas que les événements tragiques du 11 Septembre n’aient pas été réels, mais dans le sens que leur véritable nature et leur véritable portée furent certainement tout autres que les apparences. Le côté spectaculaire des attentats sur les tours de New York, symbole de la puissance et de la richesse du pays, a permis d’orienter les esprits vers une fausse piste, celle d’une agression de l’Amérique par des islamistes œuvrant, sous les ordres de leur mauvais génie Ben Laden, depuis les grottes d’Afghanistan. La puissance émotionnelle des images a médusé les facultés d’esprit critique ; le mythe, une fois admis, s’est imposé durablement, et la liquidation récente de Ben Laden à Abbottabad, le 2 mai 2011, tente de le marquer du sceau d’une vérité incontestable. Cependant, les nombreuses incohérences et zones d’ombre de la version officielle ont suscité de par le monde, depuis dix ans, une intense activité de recherche. Parmi cette abondante littérature, l’ouvrage de l’historien et journaliste américain Webster G. Tarpley, La Terreur fabriquée1, offre le mérite d’une large vision géopolitique et propose une explication cohérente à la fois des événements et du mythe chargé d’en masquer la nature véritable. La thèse de Tarpley est que les événements du 11 Septembre ont été délibérément déclenchés par un réseau putschiste à l’intérieur des États-Unis ; un réseau de hauts responsables qui infeste l’appareil militaire et sécuritaire américain et britannique, et qui est en fin de compte dominé par les financiers de Wall Street et de la City de Londres. Le 11 Septembre fut un coup d’État, dirigé non contre Bush, mais destiné à favoriser une politique spécifique, celle du choc des civilisations. Il y eut ce jour-là un risque réel de guerre nucléaire sous couvert d’un exercice de guerre (Global Guardian)2 ; les cibles potentielles étaient des capitales arabes ou islamiques, voire la Chine ou la Russie. Le réseau putschiste obtint de Bush le lancement de la guerre des civilisations sous une forme conventionnelle avec l’expédition contre l’Afghanistan. L’événement diplomatique et stratégique clé de la journée fut l’entretien téléphonique Bush-Poutine, qui permit d’éviter le pire. Le danger de provocation terroriste d’État à grande échelle fut renouvelé dans les mois qui ont précédé les élections américaines de novembre 2004, ainsi qu’à la mi-juillet 2005, avec la menace d’un bombardement atomique de l’Iran. Vu leur ampleur, leur complexité et leur précision technique, les attaques terroristes du 11 Septembre n’auraient pas pu avoir lieu sans la complicité massive d’une partie de la machinerie politique et militaire qui dirige les États-Unis. Le but de cette opération était une nouvelle guerre mondiale à grande échelle, un peu comme la guerre de Trente Ans qui supprima environ le tiers de la population d’Europe centrale. Dans l’idée de ses promoteurs, cette guerre devait être une guerre démographique, destinée à exterminer une grande partie de la population des régions en développement, notamment des pays arabes et musulmans et, 2 pour finir, de la Chine. Il s’agissait du va-tout désespéré d’un pouvoir au bout du rouleau pour se réapproprier la maîtrise sur la monde par la pratique du chantage3. L’intérêt de l’ouvrage de Webster Tarpley est qu’il ne se limite pas à argumenter autour des opérations propres aux attaques perpétrées le 11 Septembre, mais qu’il recherche les causes profondes de cet événement, qu’il met en relation avec la faiblesse d’une puissance en perte de vitesse qui se lance dans une fuite en avant désespérée. On peut dire que, d’une façon générale, cette phase de déclin des empires est particulièrement dangereuse pour l’équilibre du monde. Au début des années 1980, les menaces de guerre provenaient d’une Union Soviétique affaiblie et menacée d’implosion. Rappelons la très forte montée de la tension avec la crise des euromissiles, culminant en octobre-novembre 1983 avec le déploiement de SS-20 en Europe de l’Est et de Pershing II en Europe occidentale. 2 - Crise des euromissiles Le thème du 1er novembre 1983 est évocateur de ces tensions, avec les deux conjonctions Saturne-Pluton et Jupiter-Uranus, présentes en 1914 lors du déclenchement de la Première Guerre mondiale. Mais en outre, ce thème n’est pas sans rapport avec celui du 11 Septembre 2001 : d’une part, le mi-point Mars=Jupiter/Neptune tombe à 20° Sagittaire, au cœur même de l’axe critique du 11 Septembre ; par ailleurs, la conjonction Soleil-Saturne, au mi-point de Mars/Neptune, se situe sur l’Ascendant des États-Unis. André Barbault estimait que, s’il devait y avoir un risque de Troisième guerre mondiale, c’est au moment de ces lourdes configurations de 1983 qu’elle était susceptible d’éclater. En tout cas, selon Webster Tarpley, le 11 Septembre 2001 ne fut pas un coup de tonnerre dans un ciel serein ; il est né de la grave instabilité installée dans le monde durant les années 1990. Il est le résultat de dix années désastreuses de mondialisation économique, d’appauvrissement et d’affaiblissement de la société. Le monde était déjà au bord de crises menaçant d’effondrement les systèmes financiers et monétaires, dans un contexte de recrudescence des tensions entre les grandes puissances - États-Unis, Russie et Chine. Ainsi, le 11 Septembre peut être interprété comme le symptôme d’une crise au sein du système politique et économique des États-Unis atteint dans son pilier fondamental : l’hégémonie du dollar en tant que monnaie de réserve mondiale. Il suffit de rappeler la banqueroute du Mexique, en janvier 1995, qui mit le système banquier et financier mondial à un doigt d’une désintégration totale, ou encore la cessation de paiement et la banqueroute de l’État russe, le 17 août 1998 - la Russie étant alors, sous la présidence de Boris Eltsine, livrée au pouvoir des « oligarques » (Berezovski, Potanine, Smolensky, Friedman, Khodorkovsky). Webster Tarpley insiste sur les dégâts causés par la mondialisation : La mondialisation a achevé la destruction des États-Unis en tant qu’économie politique et a largement détraqué toute l’économie de la planète ; cela semblait déjà évident aux observateurs lucides dès 1992, lorsqu’elle commença à détruire l’économie de la Russie. Elle s’accompagna de l’ascendant pris par des élites financières parasites qui ne pensaient qu’à faire des bénéfices spéculatifs à court terme dans des domaines tels que celui des instruments dérivés, et qui se sont avérées parfaitement incompétentes pour répondre aux exigences économiques du progrès civilisé. Ce n’est pas le 11 Septembre qui a détruit le monde que nous connaissions, c’est la progression prédatrice de la mondialisation économique qui mène à la misère4. L’analyse de Webster Tarpley le conduit à caractériser la société américaine contemporaine non plus comme une démocratie, mais comme une oligarchie ploutocratique. L’élite dirigeante des ÉtatsUnis lui apparaît comme une oligarchie qui fonctionne - jusqu’à quand ? - sous le masque des institutions démocratiques et de la démocratie formelle. Dans un tel régime, les services secrets occupent une fonction primordiale : ce sont des organismes où est à l’œuvre la véritable essence de l’oligarchie. Le modèle remonte au Conseil des Dix de la République de Venise, qui fut le système oligarchique le plus tenace de l’histoire du monde5. Un des principes de l’oligarchie, pour garantir le maintien de son pouvoir, consiste à favoriser l’élection de candidats intellectuellement et moralement incapables de gouverner dans la plénitude des pouvoirs présidentiels. Webster Tarpley estime que ce pouvoir se trouve transféré de fait au conseil d’administration de la Réserve fédérale, non élu et qui 3 n’a de comptes à rendre à personne. Après l’affaire Monica Lewinsky (au début de 1998), l’autorité présidentielle fut usurpée par un groupe de hauts fonctionnaires ; le « Comité des Personnages Principaux du Gouvernement » comprenait le vice-président Al Gore, Madeleine Albright et Richard Clarke entre autres ; ce furent eux les responsables du bombardement de l’Irak (opération « Renard du désert » en 1998) et de la Serbie, au printemps 1999. Webster Tarpley avance la formule de « terrorisme fabriqué » pour désigner une stratégie utilisée par les oligarques en vue de se maintenir au pouvoir. Le terrorisme moderne est le moyen par lequel les oligarques mènent contre les peuples une guerre clandestine qu’il serait politiquement impossible de mener ouvertement. Le terrorisme est intrinsèquement une activité contrôlée par une faction du gouvernement, agissant probablement sous l’influence de groupuscules financiers qui sont généralement l’ultime source d’autorité sur notre planète mondialisée depuis 1991. Ce pouvoir s’appuie sur le monde ténébreux des services secrets : L’univers des services secrets est fait de fausseté, de camouflage, de tromperie, de violence, de cruauté indicible, de tricherie et de trahison. C’est le domaine le plus affligeant et le plus sinistre de l’activité humaine : une guerre de tous contre tous. Mais pas de façon chaotique : plutôt comme un phénomène hyper-contrôlé qui soutient le pouvoir de l’État que ces agences servent6. Comment fonctionne le terrorisme fabriqué ? Webster Tarpley distingue trois catégories : les lampistes, les taupes et les professionnels. Le destin des lampistes est cruel : ils ont à porter la responsabilité de l’acte terroriste une fois celui-ci perpétré. Souvent, ils sont abattus et liquidés sur les lieux du crime (comme Lee Harvey Oswald lors de l’assassinat de Kennedy). Leurs visages et leur histoire sont diabolisés en tant que manifestation des forces du Mal - ou encore « anéantis », comme ce fut le cas lors de la liquidation de Ben Laden. Webster Tarpley place Oussama Ben Laden dans la catégorie des dupes totalement aveugles, inconscient du rôle joué pour le compte de Washington ; il fut un riche inadapté, obsédé par sa vision fanatique de ce que devrait être le monde, une dupe désorientée, une marionnette aux mains des forces qui rendirent possibles ses activités et lui valurent une triste notoriété universelle. Les lampistes n’ont pas les moyens d’exécuter les crimes de grande envergure qui leur sont attribués, mais leur présence comme boucs émissaires est indispensable à toute l’opération. Les taupes, pour leur part, sont des fonctionnaires haut placés dans le gouvernement ; leur rôle est, avant l’action, d’empêcher les lampistes d’être attrapés et mis hors d’état de nuire ; après l’action, ce sont eux qui livrent les lampistes en pâture à l’opinion publique. Quant aux professionnels, ce sont des agents bien entraînés et bien équipés, qui ont les capacités d’effectuer les actions terroristes ; fiers de leurs compétences, ce sont rarement des idéologues ou des fanatiques, et ils évitent de se faire remarquer ; leur problème est d’échapper à la liquidation par leurs employeurs désireux d’assurer leur silence. *** LE 11 SEPTEMBRE Après ce long préambule consacré à la théorie du « terrorisme fabriqué », nous pouvons aborder l’analyse astrologique du 11 Septembre 2001. Toutefois, il est bon de rappeler qu’avant le 11 Septembre 2001, le World Trade Center (WTC) fut l’objet d’un attentat précédent, qui causa la mort de six personnes et en blessa un millier d’autres. En effet, une bombe explosa dans le garage souterrain de la tour 1 du WTC le 26 février 1993, provoquant le chaos dans le sud de Manhattan. Selon Webster Tarpley, au centre de la cellule de terrorisme se trouvait un fabricant de bombes issu de l’armée égyptienne, lequel était aussi un informateur et un provocateur à la solde du FBI. Officiellement, l’attaque fut planifiée par un groupe de conspirateurs dont l’organisateur principal était Ramzi Yousef, un terroriste islamistes d’origine pakistanaise, né au Koweït le 20 mai 1967. Arrêté à Islamabad le 6 février 1995, Yousef a été transféré aux États-Unis où il purge une peine de prison à vie. Ramzi Yousef est le neveu de Khalid Cheikh Mohammed., considéré comme le n° 3 d’Al-Qaida, lequel a reconnu avoir été le responsable opérationnel des attentats du 11 Septembre 2001 ; cependant, la crédibilité de ces aveux est fortement mise en doute du fait qu’ils ont été obtenus sous la torture. Aux yeux de Webster Tarpley, Ramzi Yousef ne serait qu’un « prétendu planificateur terroriste » et la main du FBI serait derrière cet attentat. 4 3 - Premier attentat au WTC Dans la semaine qui suivit cet attentat de 1993, nous avons rédigé une étude astrologique qui parut dans la revue Urania et que nous republions en même temps que cet article sur notre site. Aussi nous limiterons-nous ici à commenter le thème de l’attentat de février 1993 en relation avec le thème des États-Unis. Rappelons toutefois qu’en conclusion de cet article de mars 1993 nous avions pointé sur la menace de fortes tensions concernant les États-Unis au moment de l’opposition Saturne-Pluton de 2001 : … l'opposition Saturne-Pluton, le 5 août 2001, à 12° sur l'axe Gémeaux-Sagittaire, tombe exactement sur l'axe de l'horizon du thème des États-Unis, Mars étant conjoint à Pluton à 16° Sagittaire ! Voilà une configuration qui, sans doute, ne sera pas sans effet sur l'histoire des États-Unis, et qui devrait manifester au grand jour - et sans doute de manière conflictuelle l'idée force contenue dans la conjonction de 19827. L’élément majeur, dans le thème du 23 février 1993, relativement au thème des États-Unis, est l’activation de la configuration critique natale - le carré Mars-Neptune au double semi-carré du Nœud Nord à 6° Lion - par le mi-point Saturne/Uranus, signature cyclique majeure des États-Unis. C’est cette même zone que nous allons retrouver puissamment affectée lors des attentats du 11 Septembre 2001. 4 - 11 Septembre 2001 La signature astrologique du 11 Septembre 2001 est aussi simple que puissante : une opposition Saturne-Pluton dans l’axe Gémeaux-Sagittaire, avec le relais dissonant d’une opposition Lune-Mars dans l’axe des Nœuds au début de l’axe Cancer-Capricorne. La lente progression de la Lune durant cette tragique journée entraîne un lent déplacement du mi-point Lune-Saturne dans la zone de 21°-24° Gémeaux, tandis que le lourd mi-point Mars-Pluton demeure fixe à 23° Sagittaire. Lune-Saturne évoque l’affliction, la perte ; Mars-Pluton le déchaînement d’une violence souterraine, destructrice, planifiée de longue date. L’opposition Saturne-Pluton situe l’événement au cœur d’un cycle qui commence en 1982 et qui s’achève ou se renouvelle en 2020 : cycle majeur, notamment, dans les destinées de l’Allemagne, d’Israël, de la Chine, de l’Inde et du Pakistan, dont les thèmes sont marqués par la conjonction Saturne-Pluton de 1947. 5 - 11 Septembre - Carré MA-NE des États-Unis La puissante configuration du 11 Septembre 2001 affecte directement, dans le thème des ÉtatsUnis, la zone critique au carré natal Mars-Neptune en dissonance avec l’axe des Nœuds lunaires. Le mi-point Mars/Pluton touche Mars, le Soleil se situe dans l’orbe de la conjonction à Neptune ; enfin, Neptune en Verseau transite dans l’axe des Nœuds. Le précédent passage de Neptune sur cette position date de 1837 : le 10 mai, New York connut une panique boursière, les banques suspendant leurs paiements en numéraire et les prix partant à la hausse, entraînant une dépression qui allait durer six ans ; une affiche de l’époque montre, dans le ciel de New York, le chapeau de l’Oncle Sam en train d’exploser, ainsi qu’un ballon en feu en train de tomber… Rappelons que ce carré Mars-Neptune a été vivement activé par de lourds transits au début de nombreuses interventions militaires des États-Unis dans le monde, à commencer par la guerre contre l’Espagne de 1898 qui marque le véritable début de l’expansion impériale de la puissance américaine, qui prend désormais position en Asie et dans le Pacifique. Au moment du Traité de Paris, en décembre 1898, la zone critique est affectée par un sesqui-carré Jupiter-Neptune avec le relais dissonant d’un sesqui-carré Soleil-Mars8. 6 - Début de la crise Le début de la crise se passe en deux temps : le décollage, à Boston, du vol AA11, à 7h59 ; puis le détournement de cet avion à 8h19. Le thème du décollage est éloquent, car il situe au Milieu du Ciel et en résonance avec le Point Vernal l’axe critique Lune/Mars et Lune/Nœud Nord - position qui donne à 5 cette figure une résonance universelle. Ce thème d’ouverture de la grande tragédie est remarquable sur trois points : il inscrit l’axe critique des mi-points Mars/Pluton et Lune/Mars à 82°, sur le carré MarsNeptune des États-Unis ; La Lune, à 28° Gémeaux, se situe dans l’axe des conjonctions SaturneUranus de 1988 et 2032 - cycle Saturne-Uranus en corrélation directe avec l’histoire des États-Unis ; enfin, le mi-point MC/AS à 15°17 des signes Fixes, est en résonance avec la fameuse éclipse « nostradamique » du 11 août 1999 (carré Saturne-Uranus au relais dissonant d’un carré Soleil-Mars). On peut ainsi considérer le drame du 11 Septembre en liaison avec cette éclipse de 1999 reliée au carré Saturne-Uranus - signe d’une épreuve pour l’Amérique ; à quoi s’ajoute le fait que c’est au moment même de cette éclipse que Vladimir Poutine était nommé Premier ministre par Boris Eltsine, avant de lui succéder comme Président de la Russie le 1er janvier 2000. Or, dans le drame du 11 Septembre, le rôle de Poutine fut décisif, préservant sans doute le monde d’une conflagration thermonucléaire. 7 - Le choc des Tours Jumelles C’est à 8h46 que le vol AA11 vient s’écraser sur la tour Nord du WTC. Ce qui varie, dans les divers thèmes de la journée que nous allons examiner, ce sont trois éléments : la position du mi-point Lune/Saturne dans l’axe critique Gémeaux-Sagittaire, le mi-point MC/AS et les positions de l’Ascendant et du Milieu du Ciel. Au moment du choc sur la tour Nord, Mercure se situe exactement sur l’Ascendant, à 14° Balance, formant un relais harmonique avec l’opposition Saturne-Pluton. Le carré Mercure-Jupiter se positionne sur le carré natal Soleil-Saturne du thème des États-Unis. Un quart d’heure plus tard, à 9h03, le vol UA175 vient percuter la tour Sud : le mi-point Lune/Saturne demeure à 21° Gémeaux, le mi-point MC/AS est passé de 1° Vierge à 4° Vierge. La version officielle des événements du 11 Septembre attribue l’impact des avions sur les Tours Jumelles au pilotage de terroristes moyen-orientaux récemment formés sur le tas à la navigation aérienne. Webster Tarpley écarte cette version fantaisiste au profit de la prise en main de l’avion par un système de guidage (Global Hawk) développé pour le Pentagone. Les avions ont été électroniquement piratés à partir du sol, et non pas détournés par « une fine équipe de bouffons arabes munis de canifs »9. Comme il arrive fréquemment, semble-t-il, dans les montages de terrorisme fabriqué, la trame de l’opération avait été popularisée avant les événements dans un téléfilm, Les Tireurs solitaires, tourné au printemps 2000 à New York et Vancouver et diffusé le 4 mars 2001 : L’avion est détourné par un mystérieux système télécommandé contre lequel le pilote ne peut rien faire car les commandes ne répondent plus. L’avion semble se diriger vers New York et on voit bientôt se profiler la silhouette des Tours Jumelles. Les « gentils » accèdent au système de télécommande juste à temps grâce à la nouvelle puce électronique Octium IV et reprennent le contrôle de l’avion, qui passe à quelques centimètres des tours du WTC10. Alors que les jours précédant et suivant le 11 Septembre le système de défense aérienne des ÉtatsUnis fonctionnait normalement, pourquoi s’est-il effondré ce jour-là précisément ? Un exercice militaire, « Amalgam Virgo », organisé à la base de Tyndall en Floride au début juin 2001, fournit aux putschistes une couverture pour mettre sur pied les éléments du 11 Septembre à l’aide de bureaucrates de l’armée, pour la plupart ignorants de la manœuvre. « Amalgam Virgo » consistait en un entraînement impliquant des détournements d’avions, à l’intérieur des États-Unis, utilisés comme des armes. 8 - L’effondrement des Tours Jumelles La tour Sud fut la première à s’effondrer, à 10h, suivie une demi-heure plus tard par la tour Nord. Le Soleil est alors au cœur d’une configuration de lourds mi-points qui engagent l’axe critique des deux oppositions Saturne-Pluton et Lune-Mars. Des mi-points significateurs de souffrance et d’émotion, également d’épreuve qui dépassent les capacités humaines et d’accident particulièrement violent. Durant cette demi-heure effroyable le mi-point Soleil/Lune transite à 8° des signes Fixes, en résonance avec l’Ascendant du thème des États-Unis. La thèse officielle, qui soutient l’idée d’un effondrement sous l’impact des avions et des incendies provoqués par ces collisions, se heurte, selon maints experts cités par Webster Tarpley à une impossibilité physique. La chute des tours serait due, en fait, à une démolition commandée - que 6 révèlent des explosions secondaires juste avant leur effondrement. On dispose en effet de l’enregistrement par les sismographes de trois pics qui traduisent des ondes de choc juste avant le début de l’effondrement des tours (Sud, Nord, WTC 7). Cela correspond à une tactique courante dans les actions terroristes, qui consiste à créer d’abord une diversion puis à agir par le biais d’un engin secondaire. En l’occurrence, l’attaque de diversion est celle des avions, qui fixent l’émotion universelle sur une image spectaculaire, tandis que la phase décisive est celle d’explosifs savamment disposés les jours précédents qui entraînent l’effondrement des tours sur elles-mêmes. A l’appui de cette thèse, Webster Tarpley signale le comportement de Rudolph Giuliani, maire de New York, qu’il présente comme une créature de l’appareil bureaucratique : il organise d’abord le nettoyage prématuré et précipité du WTC, puis mène une campagne de dénigrement contre les pompiers dont le témoignage pourrait constituer une menace pour le mythe du 11 Septembre. 9 - Le crash du vol UA93 Le vol UA93, qui avait décollé à 8h42 de Newark, situé à 15km de Manhattan, allait s’écraser à 10h près du village de Shanksville, abattu, d’après Webster Tarpley, par l’armée de l’Air ; contrairement à la thèse officielle, qui parle d’une altercation dans la cabine de pilotage entre les passagers et les pirates, le crash fut causé soit par une explosion intérieure soit par un missile. Au moment précis du crash, le mi-point MC/AS, à 12°56 Vierge, se situe en résonance directe avec le mipoint Saturne/Pluton. Le mi-point Lune/Saturne avance lentement, au fil des heures, passant de 21° à 22° Gémeaux. 10 - Pentagone et WTC 7 A 9h43, ce fut au tour du Pentagone, à Washington, d’être frappé. La version officielle parle d’un Boeing 757 détourné qui aurait frappé le bâtiment sur le côté, mais le trou laissé dans le mur paraît beaucoup trop étroit pour un Boeing 757 et aucun débris reconnaissable d’avion ne figure sur les photos prises immédiatement. La dernière pièce de ce tragique chapelet d’explosions fut l’effondrement du WTC 7, survenu en fin d’après-midi, à 17h20. Ce thème de clôture de la tragédie est lui aussi, comme le thème d’ouverture, assez éloquent, avec Neptune à l’Ascendant, à 8° Verseau, au carré de l’Ascendant des États-Unis (à 8° Scorpion). Le mi-point MC/AS se situe à 3° Capricorne, sur l’axe des Nœuds et de l’opposition Lune-Mars qui a rejoint l’axe nodal. Le mi-point Lune/Saturne est passé maintenant à 23° Gémeaux. 11 - George Bush - 11 Septembre 2001 Il serait bien surprenant que les astralités de cette journée dramatique n’affectent pas fortement le thème du Président des États-Unis. Effectivement, on trouve Neptune au Descendant et l’axe critique (les mi-points Lune/Saturne et Mars/Pluton) se situe sur Uranus et l’axe des Nœuds. Dans le thème de George Bush junior, un carré entre le Soleil et Lune-Jupiter se superpose au carré natal Soleil-Saturne dans le thème des États-Unis. Le carré Mercure-Jupiter du 11 Septembre transite cette zone, avec Jupiter sur le Soleil et Mercure sur la conjonction Lune-Jupiter : ce sont peut-être là des transits protecteurs, qui ont permis à George Bush de demeurer en vie, alors qu’il fut sérieusement menacé à plusieurs reprises durant cette folle journée d’errance où l’avion présidentiel Air Force One, parti de Sarasota en Floride, fit escale sur les bases militaires de Barksdale (Louisiane), puis d’Offutt (Nebraska), avant de retourner, en fin d’après-midi, à Washington. 12 - Les pérégrinations du Président Le Président avait passé la nuit à Longboat Key, petite île au large de Sarasota, en Floride, lieu de villégiature très huppé. Une alerte de danger imminent avait été transmise la nuit précédente aux agents du Service de la garde présidentielle. Webster Tarpley estime qu’il y eut au matin une tentative d’assassinat : une camionnette, avec plusieurs Moyen-Orientaux, s’était présentée comme une équipe de télévision venue pour interviewer le Président. La technique était identique à celle utilisée, deux jours plus tôt, pour éliminer le commandant Massoud, en Afghanistan ; Massoud, un farouche nationaliste hostile aux Talibans, n’aurait pas accepté de recevoir des ordres de la CIA. 7 Alors que la crise se déchaîne à New York, entre 9h et 9h30, le Président se trouvait dans une école élémentaire, écoutant un élève lire l’histoire de la « petite biquette » ! Le Président est mis au courant par le chef de cabinet de la Maison Blanche, Andrew Card, du choc sur la tour Sud du WTC. Une menace planant sur Air Force One, l’avion présidentiel décolle précipitamment, s’élevant aussitôt à une très haute altitude ; pendant plus d’une heure, il n’y aura pas d’escorte de chasseurs. Vers 10h30, on transmet une nouvelle menace : « Le prochain, ce sera l’Ange ». « L’Ange » est le nom de code de Air Force One. Le fait que la menace envers George Bush soit ponctuée de mots de code signifie que les attentats terroristes ont été organisés par des taupes de haut niveau au sein du gouvernement des États-Unis. Le code de Air Force One est changé tous les jours, et le message des « terroristes » menaçant l’avion présidentiel fut transmis dans le code top secret de la Maison Blanche pour ce jourlà11. 13 - Escale à Offutt Le Président fit d’abord une escale sur la base militaire de Barksdale, en Louisiane, où il demeura de 11h45 à 13h30. Cette base comporte un poste souterrain de secours du Commandement stratégique de l’armée de l’Air, un bunker d’où George Bush pouvait diriger une guerre. Puis, entre 14h50 et 16h30, il fit escale à la base militaire d’Offutt, dans le Nebraska, siège principal du Commandement aérien stratégique des États-Unis (STRATCOM), disposant également d’un bunker destiné à assurer le poste de commandement en cas de guerre nucléaire. Les thèmes de l’atterrissage et du décollage de la base d’Offutt placent tous deux l’axe critique (Lune-Saturne opposé Mars-Pluton) en position forte : sur la ligne d’horizon et en relais dissonant avec le mi-point MC/AS pour l’atterrissage ; dans le thème du décollage, la Lune a rejoint l’axe des Nœuds en opposition à Mars, et le mi-point MC/AS tombe exactement sur l’opposition SaturnePluton. James Bamford, auteur de divers ouvrages sur le NSA (National Security Agency), décrit le climat d’extrême tension qui règne alors dans le pays : C’était comme une scène du Dr. Folamour ou de Sept jours en mai. Jamais encore tous les rouages n’avaient été mis en place à ce point en vue du déclenchement instantané de la IIIe Guerre Mondiale. L’alerte militaire était à son niveau le plus élevé depuis ces trente dernières années. Le vice-président était dans le bunker de la Maison Blanche, les plus hauts fonctionnaires étaient au site R, les membres du Congrès étaient réfugiés au Mount Weather, le secrétaire à la Défense et le vice-président de l’état-major des armées se trouvaient dans la salle de guerre du Pentagone ; le Président des États-Unis, lui, était dans le bunker de commandement nucléaire du STRATCOM12. Nous avons là des comportement qui laissent nettement supposer que la Maison Blanche pensait que les forces à l’œuvre étaient bien plus terrifiantes que « Ben Laden et ses troglodytes afghans ». Les deux films cités par James Bamford mettent en scène des militaires loufoques qui tentent soit de précipiter une guerre thermonucléaire générale, soit de perpétrer un coup d’État aux États-Unis. A ce moment-là, l’armée des États-Unis était en état d’alerte maximale, prête à une guerre tous azimuts : avec l’instauration de Defcon Delta, on se trouvait au niveau d’alerte juste inférieur à la guerre. De la base d’Offutt, le Président Bush convoque le Conseil national de sécurité en téléconférence avec Dick Cheney, Condoleezza Rice, Donald Rumsfeld, George Tenet et d’autres. L’étape suivante est le retour du Président à la Maison Blanche. Il atterrit sur la base militaire d’Andrews à 18h34 et prononce à 20h30 une allocution de cinq minutes. On décèle alors un changement de ton : George Bush est maintenant possédé d’une certitude, et bien décidé à faire la guerre au terrorisme. Le directeur de la CIA, George Tenet, assure le Président que Al-Qaida et les Talibans d’Afghanistan ne font qu’un. Avant de s’endormir, George Bush note dans son journal : « Le Pearl Harbour du XXIe siècle a eu lieu aujourd’hui… Nous pensons que c’est Oussama Ben Laden » (Washington Post, 27 janvier 2002). Le mythe du 11 Septembre est désormais lancé. 8 Webster Tarpley estime que George Bush n’était pas au courant des détails du complot forgé par les putschistes, mais qu’il a aggravé les choses en capitulant et en imprimant au gouvernement des États-Unis et à sa politique la direction revendiquée par les conspirateurs de la terreur. A ses yeux, Bush a capitulé devant les exigences des manipulateurs des attaques terroristes en lançant la guerre des civilisations. Pour obtenir ce résultat, les comploteurs ont eu besoin de secouer l’État jusqu’à ses fondements et de menacer la vie du Président de diverses manières. Au début de la crise, à Sarasota, George Bush semble pétrifié, paralysé par la peur et l’incertitude sur la conduite à tenir. Durant la journée, le Président, depuis Air Force One ou durant ses escales à Barksdale et à Offutt, reste en contact permanent avec le vice-président Dick Cheney et les autres. Webster Tarpley s’interroge sur le rôle exact de Dick Cheney : Cheney communiquait-il à Bush les revendications de la faction traîtresse ? Cheney se contentait-il de transmettre ces revendications ou se joignit-il aux autres pour persuader Bush de les accepter ? A divers moments du récit, Cheney donne l’impression de ne pas seulement agir en intermédiaire mais en porte-parole du réseau secret à l’œuvre le 11 Septembre. C’est Cheney plutôt que Bush qui doit être considéré comme le suspect n° 1 de toute enquête sérieuse sur le 11 Septembre13. 14 - Dick Cheney // Donald Rumsfeld La carrière politique de Dick Cheney est étroitement associée à celle de Donald Rumsfeld, son aîné de neuf ans. Sous la présidence de Gerald Ford, les deux hommes s’opposent à la politique d’apaisement d’Henry Kissinger qu’ils jugent trop molle à l’égard de l’Union Soviétique. Secrétaire à la Défense de George Bush senior entre 1989 et 1992, Dick Cheney supervise l’opération « Tempête du Désert » au Koweït. En 1997, il fonde avec Donald Rumsfeld le think tank néo-conservateur PNAC (Project for a New American Century), dont le but est de promouvoir le leadership mondial des ÉtatsUnis au XXIe siècle. Vice-président de George Bush durant ses deux mandats de 2001 à 2009, Dick Cheney sera le vice-président le plus puissant que le pays ait connu ; le 11 Septembre, c’est lui qui prend en charge la gestion de la crise, alors que le Président est dans l’incapacité temporaire d’exercer ses fonctions. Par la suite, c’est encore lui qui pousse George Bush à l’invasion de l’Irak, affirmant à tort l’existence de liens entre le régime irakien et Al-Qaida. Quant à Donald Rumsfeld, deux fois Secrétaire à la Défense, entre 1975 et 1977 puis de 2001 à 2006, c’est sur les conseils de Cheney qu’il fut nommé à la tête du Pentagone en 2001, portant un projet de modernisation des forces armées en misant sur les technologies de pointe. Rumsfeld est l’homme de la guerre en Afghanistan, il organise l’offensive générale contre le terrorisme et il est, avec son adjoint Paul Wolfowitz, un des stratèges de la guerre d’Irak en 2003. Pour le 11 Septembre, les thèmes de ces deux personnalités présentent une singulière parenté, les Nœuds en transit se positionnant au carré de l’axe des Nœuds dans le natal. Dans le thème de Dick Cheney, l’axe des Nœuds est redoublé par une opposition Lune-Neptune ; dans le thème de Donald Rumsfeld, le Soleil du 11 Septembre tombe sur son Nœud Sud, tandis que l’opposition Saturne-Pluton s’insère sur la ligne d’horizon et sur Mars ; on peut y déceler le sens de l’urgence d’une restructuration profonde du complexe militaire et des options stratégiques du pays. Dans le thème de Dick Cheney, cette opposition Saturne-Pluton tombe sur Mars natal, suggérant un gros conflit de pouvoir. Chez Donald Rumsfeld enfin, Uranus en Bélier est conjoint au Mars de George Bush : Rumsfeld donne au Président une vision de ses objectifs militaires. Cet Uranus est au carré d’une conjonction SoleilPluton en Cancer, ce qui peut correspondre à une forme de fanatisme idéologique. Quels furent, selon Webster Tarpley, les instigateurs ou les chefs présumés du réseau putschiste à l’œuvre derrière les actes terroristes du 11 Septembre ? Il s’agit, selon lui, d’un gouvernement parallèle invisible et secret, qui se cache au sein du gouvernement public élu. Les criminels du 11 Septembre doivent être cherchés parmi des financiers, des bureaucrates de haut niveau, des officiers d’active, de hauts fonctionnaires du renseignement et des spécialistes techniques. Tarpley évoque la présence, sur la base militaire d’Offutt où se réfugia durant quelques heures le Président Bush, de deux personnages qu’il présente comme le noyau potentiel d’un Comité de salut public destiné à gouverner au cas où il aurait fallu se débarrasser de Bush ; il s’agit d’abord de Brent Scowcroft, général de l’US Air Force, qui fut conseiller à la sécurité nationale sous les présidences de Gerald Ford et de George 9 Bush Senior ; en second lieu, de Warren Buffet, homme d’affaires, qui sera considéré en 2008 par le magazine Forbes comme l’homme le plus riche au monde. Mais Tarpley mentionne aussi la faction de Dick Cheney ; selon lui, le vice-président « porte une bonne part de responsabilité dans le désordre total du comportement antiterroriste des États-Unis au matin du 11 Septembre »14. Sont également mentionnés George Tenet, directeur de la CIA, et Richard Clarke, ancien chef de la lutte antiterroriste de l’administration Clinton ; ces deux personnalités furent, semble-t-il, à l’origine des fuites accusant, dès le 11 Septembre, Ben Laden et Al-Qaida - donc, en quelque sorte, les créateurs du « mythe du 11 Septembre ». On peut ajouter également Paul Wolfowitz, chef des néo-conservateurs et numéro 2 du Pentagone après Donald Rumsfeld. 15 - George Tenet // Brent Scowcroft Le thème de George Tenet est très chargé, puisque tombent sur le Point Vernal les mi-points Mars/Saturne et Jupiter/Pluton. En outre, les mi-points Saturne/PL et Neptune/PL, à 23° Vierge, sont également affectés par la zone critique des configurations du 11 Septembre. Pour Brent Scowcroft, une série de mi-points significatifs (Soleil/Uranus et Mars/Jupiter) tombent également au carré de l’axe de la zone critique, tandis que le mi-point Saturne/Pluton se situe à 12° Vierge, autre point sensible au carré exact de l’opposition Saturne-Pluton du 11 Septembre. Quoi qu’il en soit, le centre de gouvernement se trouvait sans doute en dehors du gouvernement ; Webster Tarpley présente comme candidats possibles une Direction au sein du ministère de la Défense ou une unité militaire spéciale secrète. Le plus inquiétant, c’est que le réseau de taupes dans l’administration a été laissé intact et que le centre de commandement clandestin n’a pas été démantelé. Ainsi, les criminels du 11 Septembre sont toujours libres, encore au pouvoir - du moins sous la seconde présidence de George Bush junior - et capables de frapper encore. 16 - Vladimir Poutine // Russie Le 11 Septembre, la menace d’un conflit thermonucléaire fut bien réelle, sur fond de tensions accrues entre les trois grandes puissances - États-Unis, Russie, Chine - à la suite du bombardement de la Serbie (et de l’ambassade chinoise à Belgrade) et du naufrage du Koursk, sous-marin nucléaire russe coulé le 12 août 2000 dans la mer de Barents - peut-être à la suite d’une collision avec un sousmarin étranger. Dans le désamorçage de cette menace de conflit thermonucléaire, la conversation téléphonique entre George Bush et Vladimir Poutine a certainement joué un rôle crucial. Selon les informations fournies par Webster Tarpley, il s’agissait, pour le Président américain, de faire savoir à son homologue russe que l’alerte Defcon Delta n’était pas destinée à couvrir une attaque sournoise lancée contre la Russie ; il fallait informer Poutine que d’éventuels tirs thermonucléaires sur le Moyen-Orient auraient été l’œuvre d’un réseau putschiste et non pas du gouvernement constitué ; il fallait enfin s’efforcer d’obtenir de Poutine qu’il coopère et s’abstienne de riposter. Il semble que Vladimir Poutine ait pu rassurer George Bush en l’informant de l’annulation des manœuvres russes prévues ce jour-là dans la région arctique. L’action de Poutine fut une tentative réussie d’éviter la guerre in extremis. Il était décidé à ne pas faire le jeu du réseau putschiste délirant qui se trouvait derrière le 11 Septembre et résolu à gagner du temps afin d’éviter le pire. Deux semaines plus tard, le 24 septembre, Poutine acceptait que les États-Unis établissent des bases dans les anciennes républiques soviétiques d’Asie centrale. Mais il ne manqua pas, dans les années suivantes, de renforcer les défenses de la Russie, disposant du formidable missile Topol, opérationnel depuis juillet 2011, et du missile de croisière supersonique Moskit. Le thème de Vladimir Poutine présente une forte configuration articulée autour du carré JupiterPluton, dans l’axe des Nœuds et en relation avec Chiron, au mi-point Mars/Uranus, tandis que Jupiter se trouve au mi-point Soleil/Mars (signe d’optimisme, d’aspiration au pouvoir). Le 11 Septembre, cette configuration était activée par Uranus opposé à Pluton natal. L’axe critique affectait Mars natal. Le thème de la Russie (1917) est lui aussi fortement affecté par les astralités du 11 Septembre, avec un retour d’Uranus sur sa position natale, et l’alignement des Nœuds sur l’axe des Nœuds du natal. La configuration majeure du thème de la Russie - conjonction Saturne-Neptune en opposition d’Uranus avec le relais dissonant du Soleil - était ainsi activée. On peut estimer, au regard de ce 10 double tableau, que la Russie était vraisemblablement la cible privilégiée des comploteurs du 11 Septembre. Dans un article sur l’opposition Jupiter-Pluton paru en octobre et novembre 2000 dans les Cahiers Univers-Site, nous avions déjà consacré une analyse au thème de Vladimir Poutine, qui était entré sous les feux de la scène internationale au moment même de l’éclipse « nostradamique » du 11 août 1999, puisqu’il avait été nommé deux jours plus tôt Premier ministre par Boris Eltsine : Vladimir Poutine est devenu Président par intérim de la Russie le 1er janvier 2000, suite à la démission de Boris Eltsine, au moment précis de la conjonction Chiron-Pluton, à 11° Sagittaire15. Or, dans le natal, nous observons un sesqui-carré Chiron-Pluton, qui entre dans une combinaison de mi-points particulièrement tendue avec Mars et avec le carré SaturneUranus : ce sont là des indications de risque de catastrophe, de brutalité et de rage de destruction. Le tableau est d’autant plus inquiétant que, selon le meilleur spécialiste de Chiron, Zane B. Stein, « Chiron s’exprime à la fois de façon positive et de façon négative dans les thèmes mondiaux. Lorsque son effet est négatif, il semblerait qu’il supprime les obstacles devant Mars et Pluton, leur permettant de s’exprimer sans contrôle »16. Cela ne signifie pas que Vladimir Poutine soit la cause première du déchaînement de forces susceptibles d’aboutir à des destructions catastrophiques, mais qu’il peut être le canal par lequel ces forces s’expriment, que ce soit au détriment de son pays ou à l’extérieur. Mais le carré natal Jupiter-Pluton vient lui aussi s’articuler à cette configuration, puisque Chiron est au double sesqui-carré du carré Jupiter-Pluton et puisque Jupiter se trouve en opposition au mi-point Mars/Saturne. Cet aspect natal Jupiter-Pluton est signe d’une volonté très forte, mais qui risque de soulever beaucoup de conflits par une attitude intransigeante. Elle peut accompagner aussi des abus de pouvoir et amener à jouer sur la corruption et l’exploitation d’autrui. La conjonction de la Lune noire avec Pluton est susceptible d’attiser des violences sous-jacentes, mais il faut convenir, au regard des faits, que jusqu’à présent rien ne justifie les campagnes systématiques de dénigrement de Vladimir Poutine dans certains médias. Il faut enfin signaler que Jupiter est au carré de l’axe des Nœuds lunaires et que Pluton se situe à 2° du Nœud Sud. Cette zone avec le mi-point Mars/Saturne est transitée en 2000 et 2001 par Uranus17. Il faut croire que le 11 Septembre 2001, Chiron agit alors de manière fort positive, permettant à Vladimir Poutine de déceler la manœuvre des comploteurs et d’éviter, par sa prudente esquive, toute confrontation avec les États-Unis durant la période délicate où ceux-ci prenaient en Afghanistan le relais de la puissance soviétique qui s’en était retirée une douzaine d’années auparavant18. On peut ajouter que Poutine s’était sans doute souvenu ce jour-là des effroyables dangers de l’aventurisme, lui qui s’était rangé, comme ses collègues de Saint-Pétersbourg, derrière Boris Eltsine contre les lamentables putschistes soviétiques qui avaient tenté, le 19 août 1991, d’arrêter le cours démocratique en Russie et n’avaient finalement abouti qu’à précipiter la chute de l’URSS. *** PAR-DELA LE VISIBLE 17 - 11 Septembre - Transneptuniennes Derrière le ciel traditionnel, constitué par les corps célestes reconnus du système solaire jusqu’à Pluton, l’astrologue ouvert à des réalités qui dépassent l’état ordinaire de nos connaissances peut contempler le ciel invisible que peuplent les Transneptuniennes de l’École de Hambourg dont l’existence nous paraît relever davantage des Nombres cycliques que des corps célestes physiques. On peut comparer ce ciel invisible à la pureté de ces cimes enneigées qui se dégagent, par beau temps, audelà des vallées alpines ; ou encore, pour qui connaît le Légendaire de Tolkien, au Royaume béni de Valinor devenu inaccessible aux habitants de la Terre du Milieu. 11 Au moment du 11 Septembre 2001, deux des Transneptuniennes - Hadès et Kronos - étaient intégrées dans la zone critique de la double opposition Saturne-Pluton et Lune-Mars dans l’axe des Nœuds. Hadès se situait exactement sur le mi-point Lune/Saturne, et Kronos transitait alors à 0° Cancer, en résonance avec le Point Vernal. On peut lire dans les configurations autour d’Hadès l’image d’une affliction universelle devant les décombres des tours. Kronos en lien au Point Vernal désigne les grandes puissances, et le mi-point Lune/Nœud Nord=Kronos signifie le lien de grandes nations : quoi de plus évocateur que ce moment capital de la journée que fut l’entretien téléphonique entre les Présidents Bush et Poutine ? Une seconde configuration est particulièrement éloquente : le Yod dissonant entre Zeus-AdmèteUranus. Selon le Regelwerk, qui est un répertoire des figures planétaires incluant les Transneptuniennes, le couple Uranus-Admète est significateur de « destruction par ébranlement, choc, commotion », et aussi « assassinat, meurtre ». Si ce facteur évoque le choc des avions et l’effondrement des tours, l’implication de Zeus dans cette figure oriente l’interprétation vers ce qui fut l’objectif des putschistes : contraindre à une tâche sous de fortes résistances - ce qui se traduisit par un engagement militaire des États-Unis en Afghanistan qui n’était pas forcément du goût de l’état-major. 18 - 11 Septembre - EG H8 - Zone critique Si l’on observe les choses de plus près, nous constatons que, sur la zone critique du carré MarsNeptune dans le thème des États-Unis, nous trouvons, en Harmonique 8, soit à une échelle de 45°, Neptune et Hadès, ainsi que le mi-point Mars/Pluton. Le couple Neptune-Hadès est évocateur de dégâts et dommages, fraude et confusion ; le lien avec Pluton oriente vers des activités secrètes. Mars/Pluton combiné avec Hadès et avec Neptune est évocateur de plans secrets visant à une destruction, un anéantissement, mais aussi de plans qui ne parviennent pas à la réalisation : les putschistes ont certes obtenu de George Bush une guerre classique en Afghanistan, puis en Irak, mais non pas une attaque nucléaire sur diverses capitales dans le monde arabe. Il est par ailleurs remarquable que le passage du mi-point Lune/Saturne sur cette configuration ait correspondu avec la phase la plus explosive de la journée, entre 8h et 13h. 19 - EG H8 - 11 Septembre On peut ainsi distinguer, de façon synthétique, trois zones du thème des États-Unis particulièrement affectées durant le 11 Septembre : la zone du carré Jupiter-Zeus (touchée par le Yod dissonant Uranus-Zeus-Admète) ; la zone de Pluton (que l’opposition Saturne-Pluton atteint par semicarré et par sesqui-carré) ; la zone critique du carré Mars-Neptune (affectée par les dissonances de Neptune et d’Hadès). 20 - 11 Septembre - Les trois zones Le premier thème met bien en valeur le fait que Zeus en transit, à 6° Balance, se situe exactement en opposition à Zeus natal, à 6° Bélier. Le facteur Jupiter-Zeus, dans le thème des États-Unis, met l’accent sur l’exceptionnelle prospérité de cette nation. 21 - Naissance de New York En 1524, le navigateur italien Giovanni da Verrazzano, missionné par le roi de France François Ier, explore la baie de New York qu’il baptise « Nouvelle-Angoulême ». En 1624, ce lieu devient possession néerlandaise, et trente familles protestantes au sud de Manhattan, forment la colonie de la « Nouvelle-Amsterdam ». En 1664, les Anglais conquièrent cette cité qui est rebaptisée « New York » en l’honneur Jacques, duc d’York, frère du roi Charles II. Il est stupéfiant de constater qu’au début de l’année 1664 se produit, à 5° Capricorne, une conjonction Jupiter-Zeus, renforcée par le transit de la Lune. C’est là une « coïncidence » aussi extraordinaire que celle qui préside aux premiers pas de l’homme sur la Lune le 20 juillet 1969, avec 12 la quadruple conjonction à 0° Balance Lune-Jupiter-Uranus-Apollon !19 Par ailleurs, le thème de 1664 - année de la naissance de « New York » - présente aussi une opposition Saturne-Pluton à 24° Gémeaux-Sagittaire - au cœur même de l’axe critique du 11 Septembre ! - en relais dissonant à Uranus, soit une configuration proche de celle de 2010. Mais les synchronicités historiques ne s’arrêtent pas là. Le 27 août 1776, près de deux mois après la proclamation de l’indépendance des États-Unis, les insurgés américains essuient une défaite face aux Anglais à la bataille de Long Island ; le général Washington a l’habileté de retirer ses troupes pour leur éviter l’anéantissement ou la capitulation, mais un quart de la ville de New York est réduit en cendres. Le thème de ce funeste jour présente Zeus au mi-point Saturne/Neptune : c’est là une répétition du même mi-point dans le thème de la naissance de New York20. 22 - EG H8 - 2011-2013 - Mi-points UR/PL et HA/KR sur JU-ZE La zone du carré Jupiter-Zeus que l’on peut interpréter comme la signature de l’éclatante prospérité des États-Unis sera transitée durant les années 2012 et 2013 par les mi-points UR/PL et Hadès/Kronos. Avec Uranus/Pluton, nous avons un indicateur de changement brusque de nature favorable. Avec Hadès/Kronos, un indicateur de crash bancaire, de scandale financier et d’inflation ; l’augmentation des grands maux et un échec important. Les deux indicateurs, en apparence contradictoires, peuvent naturellement se combiner : par exemple, leur concomitance pourrait suggérer une saine réaction du pays à la suite d’un scandale financier à l’origine d’un crash bancaire… Mais ici s’arrêtent les pouvoirs de l’astrologue : la vie est toujours plus riche et plus surprenante que toutes les prévisions que l’on peut imaginer. Retenons tout de même que, dans le thème du 1er octobre 2012, qui combine le plus exactement les deux indicateurs de mi-points, le mi-point Uranus/Pluton tombe pile sur la position d’Uranus le 11 Septembre 2001. Une façon, peut-être, de signaler une conséquence lointaine des dramatiques événements de cette journée mémorable. [/Charles Ridoux/] [/Amfroipret, le 21 août 2011/] DONNEES ASTROLOGIQUES CRISE DES EUROMISSILES - 1er nov. 1983. ATTENTAT WTC - 26 février 1993 - 12h17 - New York. DECOLLAGE DU VOL AA11 - 11 sept. 2001 - 7h59 - Boston. DETOURNEMENT DU VOL AA11 - 11 sept. 2001 - 8h19 - s.l. CHOC DU VOL AA11 SUR LE WTC NORD - 11 sept. 2001 - 8h46 - New York. CHOC DU VOL UA175 SUR LE WTC SUD - 11 sept. 2001 - 9h03. EFFONDREMENT DE LA TOUR SUD - 11 sept. 2001 - 9h59m4s - New York. EFFONDREMENT DE LA TOUR NORD - 11 sept. 2001 - 10h28m31s - New York. DECOLLAGE DU VOL UA93 - 11 sept. 2001 - 8h42 - Newark - 40°41’34’’ N - 74°10’07’’ W. CRASH DU VOL UA93 - 11 sept. 2001 - 10h03 - Shanksville - 40° N - 79°04’42’’ W. CHOC SUR LE PENTAGONE - 11 sept. 2001 - 9h43 - Washington. EFFONDREMENT WTC 7 - 11 sept. 2001 - 17h20 - New York. GEORGE W. BUSH - 6 juillet 1946 - 7h26 - New Haven (Connecticut). ESCALE À OFFUTT (NEBRASKA) - Atterrissage - 14h50 - Offutt - 41°07’05’ N - 95°54’47’’ W. DÉCOLLAGE D’OFFUTT - 16h30 - Offutt - 41°07’05’ N - 95°54’47’’ W. DICK CHENEY - 30 janv. 1941 - 19h30 - Lincoln (Nebraska). DONALD RUMSFELD - 9 juillet 1932 - 17h40 - Chicago (Illinois). GEORGE TENET - 4 janv. 1953 - s.h.s.l. BRENT SCOWCROFT - 19 mars 1925 - s.h.s.l. VLADIMIR POUTINE - 7 oct. 1952 - 9h30 - Saint-Pétersbourg. RUSSIE (1917) - 8 nov. 1917 - 2h10 - Saint-Pétersbourg. NAISSANCE DE NEW YORK - 5 janv. 1664. 13 1 TARPLEY Webster G., La terreur fabriquée, made in USA. 11 Septembre, le mythe du XXIe siècle, Éditions Demi-Lune, Paris, 2007. 2 Global Guardian : un exercice militaire américain annuel, organisé par le STRATCOM (US Strategic Command) en coopération avec le NORAD (Commandement de la défense aérospatiale de l’Amérique du Nord). Ses principaux objectifs sont l’analyse et l’évaluation des procédures de contrôle et de commandement en cas de guerre nucléaire. 3 Tarpley, op. cit., p. 29. 4 Ibid., p. 169. 5 Le Conseil des Dix, comité exécutif et judiciaire, fut en fonctions de 1310 jusqu’à la chute de la république en 1797. 6 Ibid., p. 98. 7 RIDOUX Charles, « La triplice Mars-Saturne-Pluton et l’attentat de New York », Urania, n° 14, 1993, pp. 3541. Sur le site : http://ridoux.fr/spip/spip.php?article171. A l’époque, notre thème de référence pour les ÉtatsUnis était celui qui présente l’Ascendant à 8° Gémeaux, en conjonction d’Uranus. Nous avons adopté, depuis, la version défendue par Michael O’Reilly, du thème « scorpionique », avec un Ascendant à 8° Scorpion. 8 RIDOUX Charles, « L’hyper-puissance américaine ». Sur le site : http://ridoux.fr/spip/spip.php?article57 9 Ibid., p. 254. 10 Ibid., p. 255. cf. sur You Tube la vidéo « The Lone Gunmen Pilot - 9/11 Predictive Programming » http://www.youtube.com/watch?v=z3WW6eoLcLI 11 Selon une information donnée par le journal sur Internet Debka, qui reflète souvent les opinions du Mossad. 12 BAMFORD James, A Pretext for War : 9/11, Irak and the Abuse of America’s Intelligence Agencies, Doubleday, New York, 2004, p. 9. 13 Ibid., p. 348. 14 Ibid., p. 263. 15 RIDOUX Charles, « Conjonction Chiron-Pluton du 31 décembre 1999 », Cahiers Univers-Site n° 12, décembre 1999, pp. 43-51. Sur le site http://ridoux.fr/spip/spip.php?article172 . 16 STEIN Zane B ., Chiron, essence et interprétation, Helios 1989 (1e éd., New York, Cao Times, 1988). 17 RIDOUX Charles, « Opposition Jupiter-Pluton 2000-2001 », Les Cahiers Univers-Site n° 22, octobre 2000, pp. 31-45 ; n° 23, novembre 2000, pp. 43-48. 18 La fin du retrait soviétique d’Afghanistan date du 15 février 1989. 19 RIDOUX Charles, « Regards sur 2011 - III. Aux confins du système solaire ».Sur le site : http://ridoux.fr/spip/spip.php?article152 20 Un mi-point qui suggère des blocages chroniques et des risques d’épidémies (avec l’implication de Hadès).