LAROUCHE : la maladie mentale de George Bush doit être au

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LAROUCHE : la maladie mentale de George Bush doit être au
Solidarité et Progrès
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Communiqué de presse
L'élection présidentielle américaine du 2 novembre est décisive pour les Etats-Unis et pour le monde, donc
en particulier pour la France. Lyndon LaRouche se bat pour empêcher la réélection de George W. Bush en s'efforçant, avec son mouvement de jeunes, de mobiliser les abstentionnistes et les jeunes, qui constituent la marge
décisive en faveur de John Kerry. Clinton a pu gagner la bataille contre Bush père sur la question économique ;
aujourd'hui, LaRouche pousse Kerry à prendre l'offensive sur ce même sujet, en promouvant l'économie physique
au service de l'emploi et des progrès technologiques et non, comme le fait Bush, en faveur des banques et de l'oligarchie financière qui promeut l'austérité sociale.
LAROUCHE :
la maladie mentale de George Bush
doit être au centre des débats présidentiels
Le 27 septembre 2004 -- Deux jours seulement avant le
premier des trois débats présidentiels entre le président George
W. Bush et le sénateur John Kerry, Lyndon LaRouche, l'ancien
candidat à l'investiture présidentielle du Parti démocrate pour
2004, a fait la déclaration suivante au nom de son comité d'action politique (LaRouche-PAC) :
La question clé qui doit être abordée au cours des prochains débats présidentiels entre George W. Bush et John
Kerry, mais dont personne ne parle encore, est la maladie mentale dont souffre le président Bush. L'analyse la plus concise
et franche, mais aussi la plus charitable, sur les multiples désordres mentaux dont souffre George W. Bush peut être trouvée
dans le livre publié par le Dr Justin Frank, Bush on the Couch
: Inside the Mind of the President (Bush sur le divan : à l'intérieur de la pensée du Président - New York, Harper Collins,
2004). Le Dr Frank est un psychanalyste de premier plan qui
enseigne au Centre médical de l'université George
Washington. Ses références professionnelles sont impressionnantes et son étude approfondie de la personnalité du
Président, fondée sur une copieuse documentation disponible
dans le domaine public - éléments autobiographiques et biographiques, plusieurs heures de montages vidéo, déclarations
de ses proches associés et parents, couvrant la quasi-totalité de
la vie de George W. Bush - démontre incontestablement que le
cas de George W. Bush justifie une assistance médicale.
Comme le Dr Frank l'a résumé dans son premier chapitre,
" si l'un de mes patients disait fréquemment une chose et en
faisait une autre, je chercherais à savoir pourquoi. Si je constatais qu'il utilise souvent des mots qui cachent leur véritable
sens et adopte une persona rendant obscure la nature de ses
actions, je serais plus préoccupé. S'il présentait une vision
intransigeante du monde, caractérisée par une différenciation
simpliste entre vrai et faux, bien et mal, alliés et ennemis, je
mettrais en question sa capacité de comprendre la réalité. Et si
ses actions révélaient une indifférence non avouée, voire
sadique, à la souffrance humaine, enrobée dans une fausse pré
tention à la compassion, je serais préoccupé par la sécurité
des personnes qui croisent son chemin. Durant ces trois der-
nières années, j'ai observé avec une inquiétude croissante les
incohérences et dénis de réalité de cet individu. Mais il ne s'agit pas de l'un de mes patients. Il s'agit de notre Président. "
Dans son diagnostic clinique de 219 pages sur l'état mental du Président, le Dr Frank conclut que M. Bush souffre d'un
ensemble de désordres sérieux, bien que guérissables, incluant
: un déficit d'attention hyperactif (Attention Deficit
Hyperactivity Disorder), l'alcoolisme non traité et non guéri
(ou syndrome de l'ivrogne non repenti), un complexe d'omnipuissance, la paranoïa, le complexe d'Œdipe, le sadisme, une
forme bénigne du syndrome de Tourette et une diminution de
la capacité à distinguer entre fantaisie et réalité.
Ces désordres mentaux diagnostiqués ne peuvent pas être
simplement balayés sous le tapis. Le futur des Etats-Unis et du
monde sera déterminé par le résultat des élections présidentielles du 2 novembre 2004. J'incite tous les Américains à lire
les inquiétantes conclusions du Dr Frank. J'appelle aussi les
organisateurs des débats présidentiels, ainsi que les candidats
eux-mêmes, à accepter le fait qu'aucun débat sérieux ne peut
avoir lieu tant que cette question n'est pas été abordée, directement et publiquement. Le peuple américain a le droit de
savoir que le Président sortant, candidat à sa réélection, souffre d'un certain nombre de désordres mentaux débilitants qui
ont déjà eu un impact grave sur la sécurité nationale américaine et ont sérieusement affecté nos principaux partenariats à
l'échelle internationale.
Dans leur sagesse, les membres du Congrès américain ont
proposé et ratifié le 25ème amendement à la Constitution, qui
instaure les procédures permettant de destituer un Président
s'il est établi " qu'il est incapable d'assumer les pouvoirs et les
devoirs de sa fonction ". Dans le cas du président George W.
Bush, nous avons l'avantage d'avoir une élection présidentielle prévue justement dans quelques semaines. Ce serait un
grave crime d'omission que de ne pas tenir compte de cette
question constitutionnelle, hautement sensible, et de laisser la
gestion du problème entre les mains du vice-président Dick
Cheney, dans le cas où le tandem républicain serait réélu, avec
le risque que l'inévitable crise mentale ne survienne peu après.
Pour tout renseignement complémentaire: Christine Bierre au 01 55 33 19 50
Le site du Comité d’action politique de LaRouche: http://www.larouchepac.com