6.7 décembre

6.7 DÉCEMBRE
2014
#
61e
édition
72 KM SAINTÉLYON SOLO - RELAIS / 44 KM SAINTEXPRESS SOLO / 22 KM SAINTÉSPRINT SOLO
COMMUNIQUÉ DE PRESSE - OCTOBRE 2014 / SAINTELYON.COM
SAINTÉLYON 2014 :
14 000 COUREURS, 14 000 RAISONS DE COURIR,
14 000 HISTOIRES DE VIES
Les 6 et 7 décembre prochains, ils seront 14 000 à prendre le départ de l’une des trois épreuves
de la SaintéLyon, avec pour objectif un podium, un record, ou tout simplement franchir la ligne
d’arrivée… et pour tous une énorme satisfaction personnelle en récompense. Défi personnel ou
exploit sportif, pour le plaisir ou pour guérir, la course à pied offre pour beaucoup plus qu’une
simple victoire sportive. La SaintéLyon fait partie de ces courses ouvertes à un grand nombre qui,
derrière leur engagement, cache autant d’histoires de vies.
QUELQUES PORTRAITS D’EXCEPTION
◆
BENOIT CORI,
VAINQUEUR DE L’ÉDITION 2013
Jusque là inconnu du grand public, le
vainqueur de la SaintéLyon 2013 a créé
la surprise. Ce militaire de 31 ans est un
« fondu » de sport en général qui n’a
découvert la course à pied que lorsqu’il
est rentré dans l’armée en remportant
un premier cross militaire. La SaintéLyon
a été son premier trail nocturne qu’il
a abordé en pleine décontraction et «
sans se prendre la tête ». « Jamais je
n’aurais cru pouvoir faire ça mais tant
qu’à être présent autant tout donner
et vaille que vaille. Tout s’est déroulé
parfaitement, c’est énorme, il n’y a que
le sport et la course à pied qui peuvent
vous faire vivre de telles émotions. »
◆
MARIE ROUSSET,
COURIR POUR MAIGRIR
« Mon histoire a commencé le 12 février
2009... À cette époque je pesais 120 kg
pour 1m63 ». Marie décide de perdre
du poids en associant sport (parfois
30h par semaine et jusqu’à 6h par jour)
et régime alimentaire. En mai 2009,
avec 30 kg perdus en 3 mois, Marie
se tourne vers la course a pied... et en
octobre 2009, après avoir perdu 60 kg
en 8 mois, elle prend le départ de sa
1ère course : les 20 km de Paris qu’elle
bouclera en 1h52. L’année suivante,
elle bouclait son premier marathon à
Chicago en 4h18 ! « A ce jour je prépare
mon 9e marathon (encore une fois à
Chicago) et, récemment inscrite dans
un club, mon prochain challenge est la
SaintéLyon ... qui à la fois m’excite et
me fait un peu peur ! Mais tous croient
en ma volonté alors je vais tout faire
pour y arriver et finir ! »
◆
CLÉMENTINE CASTELLA,
SE BATTRE CONTRE LA MALADIE…
En 2009, les médecins lui détectent
un cancer du sein. « Je n’avais jamais
couru de ma vie. Très fatiguée par les
traitements lourds je m’obligeais à faire
le tour des Tuileries. Je croisais des gens
qui couraient, ils incarnaient pour moi
une certaine liberté que je n’avais plus.
» Deux mois après la fin du traitement,
Clémentine décide de s’y mettre à son
tour : 5 min puis 10… et s’inscrit à ses
premières courses. Mais voilà, la maladie
revient et l’intervention chirurgicale est
inévitable, déterminante de la nécessité
ou non d’une chimiothérapie : « Avant
l’opération j’ai pris un dossard pour le
marathon de Paris, m’accrochant à l’idée
que si j’avais un dossard je ne pourrais
pas avoir de chimio... J’ai été opérée et
les analyses sont revenues négatives. J’ai
ainsi couru mon premier marathon. »
Mais un autre kyste fait son apparition
en 2013 et entraîne une hystérectomie.
« Alors là il me fallait un gros dossard !
M’attachant toujours à l’idée que, si
j’ai un dossard pour une grosse course
je ne peux pas avoir de chimio, la
SaintéLyon m’est apparue comme une
évidence ! » Alors Clémentine s’inscrit
sur la SaintExpress (45 Km) et là encore
le dossard a gagné sur la maladie !
Malheureusement cet été, Clémentine
fait une thrombose cérébrale. Malgré
les difficultés que cela entraîne, elle
se lance sur un nouveau défi : la
SaintéLyon, la vraie !
◆
ISABELLE GERNENTE,
UNE « SAINTÉ » FAMILIALE !
« Ce sera notre 2ème SaintéLyon pour
mon filleul Matthieu, 26 ans, sa petite
amie Sandra et moi la vétérane (43
ans). Tous les trois nous aimons nous
retrouver à l’occasion de trails de ce
genre, deux ou trois fois dans l’année.
La SaintéLyon revêt pour moi une
importance particulière car notre
famille est originaire de Saint-Etienne.
Du coup, la course est l’occasion d’un
rassemblement familial, mon mari est
présent, ma sœur nous rejoint, mes
parents également. Nous démarrons
la course sous les encouragements de
tous mes oncles et tantes qui résident
à Sainté. ça me donne un grand
sentiment de fierté de représenter
ma famille pendant cette épreuve.
Lorsque surgissent les premières
douleurs, c’est à eux que je pense et
j’espère bien arriver au (…)
6.7 DÉCEMBRE
2014
#
61e
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72 KM SAINTÉLYON SOLO - RELAIS / 44 KM SAINTEXPRESS SOLO / 22 KM SAINTÉSPRINT SOLO
COMMUNIQUÉ DE PRESSE - OCTOBRE 2014 / SAINTELYON.COM
bout cette année (j’ai stoppé
à 68Km l’an dernier) pour
avoir la joie de franchir la
ligne avec “les jeunes”
sous les applaudissements
de la famille qui fera le
déplacement jusqu’à Lyon. »
◆
LAURENT HOFFMAN : UN
TRÈS GRAVE ACCIDENT ET
TOUT REPREND
38 ans, marié, 1 enfant de 9
ans. Laurent est gendarme
motocycliste depuis 20 ans.
En décembre 2006, un grave
et lourd accident en moto, où
il percute à plus de 100 km/h
un poteau en béton, pulvérise
toutes ses vertèbres et broie
le côté gauche de son bassin.
Premier diagnostic : des lésions
à vie et plusieurs mois sans
pouvoir marcher !
« Le médecin m’annonce qu’à
quelques millimètres je perdais
l’usage de mes jambes. Mon
bassin subira neuf interventions.
C’est à ce moment là que, dans
mon lit, je me fais la promesse
de pouvoir remarcher et si
possible de courir… chose que
je ne faisais pas avant. Après
plusieurs mois de combat, je
me remets à marcher puis à
trottiner. Qu’est ce que c’était
dur de faire 1 km…
mais tout s’enchaîna : 2, 3, 5
puis 10 km. En 2008 je fais mon
premier 10 km en course et je
récupère mon poids de forme
de 83 kg et perds 3 tailles de
pantalon. En 2011, je fais mon
premier marathon en 4h30
! Je me mets à fond dans le
triathlon ! J’enchaîne en deux
ans distances courte, longue
et ultra-longue sous forme
d’ironman ! Je suis tout le temps
finisher mais la route me lasse et
je commence à regarder vers les
bois et les montagnes…
Muté à Paris tout s’enchaîne très
rapidement de 2012 à 2014 :
je passe très vite de la courte
distance de trail à l’ultra… 1 puis
2 puis 3 puis 4 ultras en un an.
De nuit, sous la pluie ou par une
chaleur de dingue, je suis tout
le temps finisher. Je cours tous
les soirs après le travail, sacrifie
mes repos pour m’entraîner et
je tiens à préciser que je suis
asthmatique depuis ma plus
tendre enfance ! »
◆
JOHN CUZIN
71 ans, 40 ans de bénévolat et
fils du créateur de la course :
Justin Mary Cuzin.
John est aujourd’hui retraité
après des années comme
artisan électricien. Aujourd’hui il
anime le groupe de bénévoles
qui fait partie du club du
CTLyon et passe beaucoup de
temps bénévolement sur cette
course qui a bercé toute sa vie !
« Il a fallu que je commence à
me faire embarquer dans les
trucs de cyclo pour que je fasse
connaissance avec mon père
» raconte John dans le livre 60
ans d’histoires paru en 2013…
« J’ai grandi et vécu avec la
SaintéLyon. Aujourd’hui je suis
heureux d’y participer de cette
façon. Toute l’année je passe
2h par jour de mon temps à la
préparer et le mois qui précède
c’est du plein temps. Mon rôle
est le fléchage du parcours,
les reconnaissances, les
ravitaillements et la coordination
de tous les bénévoles. J’aime
ce challenge d’organisation, le
stress et l’ambiance ! »
POUR EN
SAVOIR PLUS :
SAINTELYON.
COM
CONTACTS
RELATIONS
PRESSE
◆ INFOCÎMES
La Joëlianne
Le Vieux Servoz
74 310 SERVOZ
+33 (0) 4 50 47 24 61
Anne Géry /
+33 (0)6 12 03 68 95
[email protected]
Morgane Raylat /
+ 33 (0)6 66 15 53 13
[email protected]
◆ EXTRASPORTS
25 rue de Sèze
69006 Lyon
+33 (0)4 72 75 92 45
Romain Houzé /
+33 (0)6 26 55 89 13
[email protected]
EN BREF
Il reste à ce jour : moins de 600 dossards sur la SainteLyon 72 km, 650 sur la Saintexpress, 450 sur la Saintésprint, 10 relais de 2, aucun
relais de 3 et moins de 60 relais de 4.
Tous les départements français sont représentés en tête desquels le Rhône 37%, l’Isère 9%, Paris 9%, la Loire 7%, suivent ensuite les Hauts
de Seine 6%, l’Ain 5%, la Haute-Savoie 5%, les Yvelines 3%, les Bouches du Rhône 3%. Plus de 10 pays étrangers sont également
représenté notamment la suisse, la Belgique le Luxembourg, l’Allemagne, l’Italie les Pays Bas, les Etats-Unis…
On compte 17% de femmes sur l’ensemble des formules pour une moyenne d’âge de 38 ans.
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