SALAIRES APPLICABLES DANS LES EXPLOITATIONS DE

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SALAIRES APPLICABLES DANS LES EXPLOITATIONS DE
DIRECTION REGIONALE DES ENTREPRISES, DE LA CONCURRENCE, DE LA CONSOMMATION,
DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOI
INSPECTION DU TRAVAIL - SECTION AGRICOLE (UT49)
12, rue Papiau de la Verrie – CS 23607 - 49036 ANGERS CEDEX 1
SALAIRES APPLICABLES DANS LES EXPLOITATIONS DE POLYCULTURE, DE VITICULTURE ET
D'ELEVAGE DE MAINE-ET-LOIRE AU 1er JANVIER 2016
Convention collective du 31.01.1980
I - TABLEAU DES SALAIRES
COEFF
CATEGORIES D'EMPLOI
SALAIRES MENSUELS ET HORAIRES
AU 1er JANVIER 2016
(base 151 h 67)
I – PERSONNEL D’EXPLOITATION
NIVEAU 1 – EMPLOIS D’EXECUTANTS
APPELLATION – Aide d’exploitation, de vignoble,
de culture ou d’élevage
110
Echelon 1 : Emploi correspondant à l’exécution de
tâches simples immédiatement reproductibles.
Le titulaire du poste exécute sur consignes précises,
sans faculté d’initiative, sous la surveillance du
supérieur hiérarchique.
9,67 €
1 466,65 €
120
Echelon 2 : Emploi correspondant à des tâches sans
difficulté particulière dont l’exécution requiert un court
temps d’adaptation et nécessite la maîtrise d’un savoirfaire manuel ; il peut comporter l’utilisation de
machines pré-réglées et de maniement simple.
Le travail est exécuté selon des consignes précises et
(ou) sous surveillance fréquente avec peu de
conséquences sur le plan économique ou sur celui de la
sécurité des personnes.
9,67 €
1 466,65 €
NIVEAU 2 – EMPLOIS SPECIALISES
APPELLATION – Agent d’exploitation, de
vignoble, de culture ou d’élevage
210
Echelon 1 : Emploi correspondant à des tâches
d’exécution qui nécessitent une bonne maîtrise des
savoir-faire.
L’employé détecte les anomalies simples et en informe
son responsable.
Il assure l’entretien courant du matériel.
L’exécution des tâches est réalisée à partir de consignes
précises et sous l’autorité d’un supérieur hiérarchique.
9,68 €
1 468,17 €
220
Echelon 2 : Emploi nécessitant davantage d’expérience
que l’échelon 1 ou pouvant comporter
occasionnellement l’exécution de tâches qualifiées à
partir de consignes données.
Le titulaire du poste assure les remises en état et les
réparations simples du matériel dont il a la charge,
selon les consignes reçues.
9,72 €
1 474,23 €
2
Dans l’exécution de sa tâche, il doit, en cas
d’anomalies, prendre les dispositions d’urgence
techniques et de sécurité qui s’imposent.
En outre, il peut être amené à remplacer
occasionnellement son supérieur hiérarchique direct,
sans transfert de responsabilité.
Les deux échelons de ce niveau correspondent aux
connaissances techniques du C.A.P.A.
NIVEAU 3 – EMPLOIS QUALIFIES
APPELLATION – Agent qualifié d’exploitation, de
vignoble, de culture ou d’élevage
310
Echelon 1 : L’emploi comporte l’exécution
d’opérations réalisées dans le cadre d’instructions et de
compte-rendus journaliers.
Il nécessite des compétences techniques et des aptitudes
à évaluer et ajuster les méthodes de travail ainsi qu’à
déceler les anomalies.
Il implique l’initiative et la responsabilité de son
titulaire en relation avec les savoir-faire et les
compétences requises pour cet emploi.
9,89 €
1 500,02 €
320
Echelon 2 : L’emploi comporte l’exécution des mêmes
éléments qu’à l’échelon 1, mais ouvrant sur une
autonomie plus large dans le cadre d’instructions
données et de compte-rendus hebdomadaires.
Il suppose la capacité de son titulaire à s’adapter aux
évolutions techniques et à actualiser ses connaissances,
à corriger ou à faire corriger les anomalies détectées,
ainsi qu’à assurer le tutorat d’un apprenti ou stagiaire
ou à guider occasionnellement une équipe saisonnière
10,18 €
1 544,00 €
Les deux échelons de ce niveau correspondent aux
connaissances techniques du B.E.P.A.
NIVEAU 4 – EMPLOIS HAUTEMENT
QUALIFIES
APPELLATION – Technicien d’exploitation, de
vignoble, de culture ou d’élevage
410
Echelon 1 : Emploi comportant pour le salarié la
responsabilité de l’organisation et de l’exécution du
travail qui lui est confié dans le cadre de directives
périodiques et d’indications générales sur les résultats
attendus.
Cet emploi exige des connaissances et une expérience
professionnelle permettant à son titulaire de participer
aux décisions techniques, de réaliser une utilisation
optimum des moyens mis à sa disposition, d’observer,
d’apprécier, de diagnostiquer l’état des matériels, des
cultures, des élevages et les autres activités
économiques de l’exploitation et d’en rendre compte à
l’encadrement ou au chef d’entreprise.
11,14 €
1 689,60 €
420
Echelon 2 : Cet emploi comporte l’exécution des
mêmes éléments qu’à l’échelon 1, mais en outre, il peut
comporter la participation à des fonctions
complémentaires directement liées à la conduite d’une
activité (relations avec les fournisseurs et les clients,
gestion des approvisionnements ou des commandes,
suivi technique ou économique des activités …)
12,15 €
1 842,79 €
3
Il peut également comporter la nécessité d’assurer la
surveillance de l’exécution du travail d’un ou plusieurs
aides à partir de directives données par l’encadrement
ou le chef d’exploitation, et d’être en mesure d’assurer
l’organisation accessoire et temporaire du travail d’une
équipe sans responsabilité hiérarchique
Les deux échelons de ce niveau correspondent aux
connaissances techniques du B.T.A.
II – PERSONNEL DE BUREAU
110
210
310
410
Employé de bureau débutant
Employé de bureau
Employé de bureau très qualifié
Agent administratif et comptable
9,67 €
9,68 €
9,89 €
11,14 €
1 466,65 €
1 468,17 €
1 500,02 €
1 689,60 €
11,86 €
14,70 €
1 798,81 €
2 229,55 €
18,89 €
2 865,05 €
III – PERSONNEL D’ENCADREMENT
176
245
320
Groupe III – Chef d’équipe ou Contremaître
Groupe II – Chef de cultures ou Gérant
d’exploitation
Groupe I – Directeur d’exploitation ou Régisseur
Nota : Les taux horaires ne devront en aucun cas être inférieurs au SMIC si celui-ci fait l’objet d’une
revalorisation.
II – APPRENTIS (article 22)
Le salaire des jeunes gens titulaires d'un contrat d'apprentissage régulièrement souscrit et enregistré, est égal, suivant
les années d'apprentissage à :
AGE DE l’APPRENTI
ANNEE D’EXECUTION
DU CONTRAT
Pourcentage du SMIC ou du salaire conventionnel du coefficient 110, s'il est plus favorable
Jusqu’à 17 ans
50 %
60 %
60 %
1ère année
2ème année
3ème année
18/20 ans
50 %
60 %
65 %
21 ans et +
53 %
61 %
78 %
⌦ Rappel :
L’apprenti est considéré comme un salarié à part entière, à ce titre il bénéficie des dispositions applicables à l’ensemble des
salariés dans la mesure où elles ne sont pas contraires à celles qui sont liées à sa situation de jeune travailleur en formation
III - PRIMES ACCESSOIRES DU SALAIRE - dont mention doit obligatoirement figurer sur le bulletin de salaire
(Article 25)
a) - Prime d'ancienneté - (payable en même temps que le salaire mensuel).
- 2 % de la rémunération mensuelle brute à dater du premier jour de
la quatrième (4ème) année de service continu ou discontinu sur l'exploitation ;
- 3 % de la rémunération mensuelle brute à dater du premier jour de
la huitième (8ème) année de service continu ou discontinu sur l'exploitation ;
- 4 % de la rémunération mensuelle brute à dater du premier jour de
la douzième (12ème) année de service continu ou discontinu sur l'exploitation.
- 5 % de la rémunération mensuelle brute à dater du premier jour de
la vingtième (20ème) année de service continu ou discontinu sur l’exploitation. (Dispositions applicables au 1er avril 2004)
Pour le calcul des services discontinus, une année est prise en compte dès lors qu’elle comporte 900 heures
travaillées dans l’exploitation sur 12 mois consécutifs à compter de la date de la première embauche, puis de sa date
anniversaire.
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b) - Prime de fin d'année
Les salariés justifiant de douze mois de services continus sur l'exploitation ont droit à une prime de fin d'année,
payable en une fois, avec le salaire de décembre, mention de ladite prime devant être faite sur le bulletin de salaire.
Cette prime est égale à quatre vingt dix (90) salaires horaires de décembre, sans majoration pour heures
supplémentaires.
En cas de départ en cours d'année, sauf licenciement pour faute grave, la prime est payée le jour du départ et
calculée sur le salaire horaire du mois de départ, au prorata du temps de présence du salarié à l'effectif de l'entreprise depuis le
début de l'année.
De plus, en ce qui concerne les travailleurs occupés en permanence à temps incomplet, la prime est versée par
chaque employeur, au prorata du temps de travail de l'intéressé, au cours des douze mois de référence.
IV - INDEMNITES DE DEPLACEMENT (article 26)
a) - Mobilité professionnelle
Les salariés recrutés pour l’exécution des travaux saisonniers ont droit au remboursement des frais réellement
engagés pour un aller-retour de leur domicile à l’exploitation, dans la limite de 200 km, pour la durée du contrat, sur la base de
0,24 € du kilomètre, dès lors que leur domicile se trouve situé à plus de 30 km du siège de l’exploitation et qu’ils ont satisfait
aux obligations de leur contrat de travail.
Seuls les salariés embauchés pour une durée effective de travail d’au moins 15 jours peuvent prétendre à cette
indemnité.
Ce remboursement est réalisé sur la base des justificatifs de l’éloignement du domicile et des dépenses engagées.
b) - Indemnité de casse-croûte
Tout salarié obligé de travailler, avant et après le repas du midi sur un chantier distant d’au moins 7 km 500 du lieu
d’embauche habituel ou à défaut du siège de l’exploitation est réputé ne pas pouvoir rentrer chez lui pour le repas du midi et a
droit à ce titre à l’indemnité dite de casse-croûte égale au montant exonéré de cotisations sociales en application de la
réglementation des frais professionnels (8,90 € en 2016).
Bien entendu, cette indemnité n’est pas due quand l’employeur prend en charge le repas à un autre titre.
V - CALCUL ET MODALITES DE PAIEMENT DU SALAIRE
Sauf en ce qui concerne le personnel saisonnier, la rémunération des salariés est mensualisée. Elle est calculée sur
la base de 151 heures 67 par mois pour une durée hebdomadaire de 35 heures. S'ajoute à ce salaire mensuel de base le
paiement des heures supplémentaires éventuellement effectuées.
Le salaire se paie au moins une fois par mois et avant le cinquième jour ouvrable du mois suivant.
Jours fériés (article 31)
Lorsqu'ils se situent un jour habituellement ouvré sur l'exploitation, les jours chômés prévus par la loi sont payés
dans les conditions suivantes :
a) salariés justifiant de moins d'un mois de présence continue ou non sur l'exploitation à la date
de survenance du jour férié :
Les indemnités de jour férié versées au cours du mois ne peuvent dépasser, au total, 3 % du montant total du
salaire payé.
b) salariés justifiant d'un mois de présence continue ou non sur l'exploitation :
Les heures ainsi indemnisées sont celles qui auraient normalement été effectuées, étant entendu qu'elles n'entrent
pas en compte dans l'appréciation des heures supplémentaires de la semaine, sauf pour les salariés mensualisés.
La rémunération des heures de travail accomplies, les jours fériés et les dimanches, est majorée de 50 %.
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Ces conditions d'indemnisation fixées en a) et b) ne s'appliquent pas à la journée du 1er Mai dont le chômage ne
peut être une cause de réduction de salaire quelle que soit l’ancienneté du salarié (article L 3133-4 du code du travail).
Si du fait de la nature de son activité, l’entreprise ne peut interrompre le travail, les salariés occupés le 1er mai
bénéficient d’une majoration de salaire de 100 %.
Congé d'ancienneté (article 34)
Aux congés légaux, s'ajoutent des congés supplémentaires liés à l'ancienneté, accordés dans les conditions
suivantes :
- 1 jour à partir de 20 ans de présence dans l'entreprise ;
- 2 jours à partir de 30 ans de présence dans l'entreprise.
VI – REMUNERATIONS EN NATURE (article 24)
⌦ Les partenaires sociaux ont retenu les montants fixés chaque année sur la base de l’arrêté du 17 juin 2003
La valeur des rémunérations en nature allouées par l'employeur vient en déduction des salaires et gratifications cidessus fixés.
L’évaluation de ces rémunérations a pour objet de fixer en application de l’article D. 3231-6 du code du travail, le
salaire minimum en espèce garanti au salarié.
A cette fin, il sera retenu sur le salaire la valeur résultant de l’arrêté du 17 juin 2003 relatif à l’évaluation des
avantages en nature pour l’ensemble des prestations fournies (nourriture, logement..).
Pour 2016 :
Logement (variable selon la rémunération mensuelle)
Exemple avec un salaire inférieur à 1609 € :
Nourriture :
1 repas : 4,65 €
1 journée : 9,30 €
Dans
un
logement
comportant
plusieurs pièces principales* et
accueillant plusieurs saisonniers, le
montant par chambre occupée est de
36,30 €/mois (1 chambre-1 salarié).
Dans un logement ne comportant qu’une
pièce principale* et n’accueillant qu’un
seul saisonnier, le montant de l’avantage
en nature est de 68 €.
Pas de déduction si le salarié n’occupe pas une chambre seul.
Ces dispositions s'appliquent aux apprentis, dans la limite de 75 % des avantages en nature ci-dessus, et sous
réserve que la déduction des avantages en nature ne puisse excéder, chaque mois, un montant égal à 75 % du salaire.
* On entend par pièce principale les pièces à vivre : de séjour, de sommeil (article R111-1-1 du Code de la Construction et de
l’habitation) c’est-à-dire hors toilettes, dégagements, cuisine, cellier, salle de bains, séchoir, débarras.
VII - HYGIENE ET SECURITE (articles 48 et 49)
Des vêtements de protection et notamment des vêtements de pluie et des bottes sont fournis aux salariés par
l’employeur en fonction des conditions climatiques.
La boisson de travail est accordée gratuitement aux salariés.
L’employeur est tenu en vertu de l’obligation générale de sécurité qui lui incombe d’évaluer les risques éventuels et
de prendre toutes les mesures de prévention nécessaires et adaptées pour assurer la sécurité et protéger la santé des
salariés de son entreprise.
A cette fin, il doit tenir et mettre à jour un document unique d’évaluation des risques pour la santé et la sécurité des
travailleurs. Cette évaluation comporte un inventaire des risques identifiés dans chaque unité de travail de l’entreprise.
Lorsque la nature des travaux l’exige, l’employeur met à la disposition des salariés une tenue de travail appropriée.
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NOTE RELATIVE A LA CLASSIFICATION DES EMPLOIS DANS LES EXPLOITATIONS DE
POLYCULTURE, DE VITICULTURE ET D’ELEVAGE DE MAINE ET LOIRE
La classification des emplois se détermine par la définition des tâches à exécuter.
Le référentiel technique ou professionnel est pris en compte dans la mesure où il est mis en œuvre dans l’emploi exercé.
Le niveau attribué à un salarié se détermine à partir des tâches les plus qualifiées qui lui sont confiées dans le profil du poste.
Changement d’emploi
•
Le changement d’emploi du salarié dans un emploi de qualification supérieure peut comporter une période probatoire
de deux mois. Ce délai peut être réduit par convention entre les parties.
Pendant et l’issue de ce délai, si l’employeur ne souhaite pas maintenir le salarié dans son nouvel emploi, celui-ci
retrouve son emploi initial.
Ponctuellement et accessoirement, le salarié peut être amené à réaliser des travaux relevant d’une qualification
supérieure sans qu’il y ait modification de la rémunération attribuée.
Dans les autres cas, le salarié appelé à effectuer temporairement des travaux ressortissant d’une catégorie supérieure à
celle de son emploi habituel, perçoit au titre desdits travaux, le salaire afférent à la catégorie dont relèvent ces
derniers.
•
Les salariés appelés temporairement ou accidentellement à effectuer des travaux ressortissant d’une catégorie
inférieure à celle de leur qualification habituelle, conservent le bénéfice du salaire afférent au coefficient hiérarchique
qui leur est d’ordinaire affecté.
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ANNEXE COMPORTANT DES TACHES COURAMMENT EXECUTEES DANS
CHACUN DES NIVEAUX
Les tâches ci-après listées ne sont pas limitatives, elles sont destinées à éclairer la classification générale par des exemples
précis, à ce jour applicables à toutes les activités couvertes par la convention collective.
Cette liste devra être interprétée et révisée en fonction de l’évolution des techniques.
NIVEAU 1
ECHELON 1
Viticulture
Tirage des bois
Palissage
Coupe du raisin
Elevage
Paillage
Balayage et raclage des bâtiments
Polyculture
Castration du maïs
ECHELON 2
Travaux de l’échelon 1, complétés par un ou plusieurs des travaux suivants :
Viticulture
Ebourgeonnage en tête dans les vignes en production (travail respectant la taille existante)
Eclaircissage
NIVEAU 2
Les connaissances professionnelles acquises par le salarié lui permettent, à partir de consignes précises, d’exécuter les
travaux commandés d’où :
•
•
•
•
•
•
•
•
Capacité à détecter :
o Des anomalies dans le comportement des animaux ;
o Des maladies affectant les végétaux
Capacité à en rendre compte ;
Capacité à appliquer un traitement à partir de consignes précises ;
Capacité à distribuer des aliments à partir de quantités données ;
Préparation du sol ;
Conduite des engins et leur entretien courant ;
Travaux courants de la cave ;
Taille courante de la vigne.
L’échelon 2 de ce niveau est caractérisé par une plus grande autonomie ou une meilleure maîtrise des tâches.
•
•
•
•
•
NIVEAU 3
Capacité de :
o Diagnostiquer les maladies ;
o Dosage et mise en œuvre des produits, des aliments et des semences ;
Réparation des matériels ;
Conduite et réglage de la machine à vendanger ;
Responsabilité du pressoir ;
Conduite de l’ensileuse, de la moissonneuse-batteuse
L’échelon 2 de ce niveau est caractérisé par une plus grande autonomie ou une meilleure maîtrise des tâches.
NIVEAU 4
Salarié responsable de l’organisation technique d’un atelier.
Gestion du contrôle de la production à partir des évaluations de rendement et d’éclaircissage.
L’échelon 2 de ce niveau est caractérisé par une plus grande autonomie ou une meilleure maîtrise des tâches.