POSTICHES IttPLiSTES
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JOURNAL DE "VIENNE M. le DOCTEUR CIIERVïN, directeur de l'Institution des Bègues de Paris, ouvrira à Lyon, hôtel COLLET, le lundi 4 avril, son cours annuel pour la cure de tous les défauts de prononciation. Pour tous r e n seignements, s'adresser, à Paris, 82, avenue Victor Ilugo. ho s e u l Véritable ALCOOL D E M E N T H E c'est L ' A l c o o l d e M e n t h e OË R I C Q L È S Indigestions, los Maux cl'estomac, de c œ u r , de tête , S o u v e r a i n c o n t r e les etc etc. D a n s u n e infusion pectorale bien c h a u d e , il réagit admirablement contre Rhume , R e f r o i d i s s e m e n t , Grippe , etc. 4 7 a n s d e s u c c è s , 4 1 r é c o m p e n s e s . Dépôt partout. R E F U S E R LES IMITATIONS g P È C I 4 L ! T E DE POSTICHES IttPLiSTES POUR DAMES Tels q u e : Perruques, Caches-Folles T o u r s , R a i e s implantées sur tullec h e v e u x ou g a z , etc., etc. Tous ces ouvrages sont confectionnés avec un soin extrême , en cheveux de premier choix, à des prix modérés. 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SOCIETE CIVILE des MINES DE COMMUNAY (Isère) MM. les porteurs de parts d'intérêt sont convoqués en Assemblée générale ordinaire pour le mercredi trente mars mil huit cent quatre-vingtsept, à deux heures, à P a r i s , rue Lamartine, n° 20, à l'effet : 1° De délibérer et statuer s u r le rapport et les comptes de l'exercice 1866 ; 2° De nommer un administrateur en remplacement du membre sortant , Et de statuer s u r toutes autres propositions. Tout propriétaire de dix parts a le droit d'assister à l'Assemblée, en déposant ses titres, dix ¡ours avant la réunion, soit au siège social à Communay, soit au lieu de réunion à Paris, rue Lamartine, n° 20. GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE VIENNE EXTRAIT D'un jugement rendu par le Tribunal de Commerce, séant à Vienne, le neuf mars mil huit cent quatre-vingtsept, il résulte : 1° Que le jugement du douze février mil huit cent q u a t r e - v i n g t - s e p t , déclaratif de la faillite du sieur TRANCHANT Mathieu, cordonnier et mercier, domicilié à Vienne, rue de la Bobe, 2, s'applique au sieur TRANCHANT François, cordonnier et mercier, domicilié à Vienne, rue de la Bobe, 2; 2° Que ce jugement du neuf m a r s mil huit cent quatre - vingt - sept vaudra rectification et complément en ce sens, tant du jugement du douze février mil huit cent quatrevingt-sept que des actes qui en ont pu être la suite, et qu'a l'avenir les opérations seront reprises et suivies sous cette dernière dénomination. Vienne, le douze mars mil huit cent quatre-vingt-sept. Le Greffier, M. JOUFFRAY. Etude de M ' BRESSE , avoué à Vienne, boulevard de la République. PURGE D'HYPOTHEQUES LÉGALES Suivant acte sous seings privés, en date du dix-huit février mil huit cent q u a t r e - v i n g t s e p t , e n r e g i s t r é , M, Nicolas GRANGE , flls de Claude , propriétaire domicilié à Luzinay , a acquis,'moyennant le prix de huit mille francs de M. Jean-François GUINIÎT, p-opriétaire cultivateur, demeurant à Luzinay, Un tènement de bâtiments, cour, aisance, jardin, terre, pré et treillages, situé dans le village de Luzinay, contenant environ quarante-huit ares, douze centiares, et joignnnt : au midi, le chemin de Luzinay h Chaleyssin ; encore au midi, la maison commune de Luzinay ; au nord, le chemin de Luzinay à Valencin ; au couchant, bâtiments, terre et cour à Bailly, mur mitoyen entre deux, et au levant, jardin et terre à Bouiller, mur mitoyen entre deux. Ensemble, les bois servant à entreposer les tonneaux qui se trouvent actuellement dans la cave, et ainsi que les bois qui servaient de crèche à l'écurie restant. L'acquéreur désirant purger lesdits immeubles des hypothèques qui peuvent les grever, a fait déposer, au greffe du Tribunal civil de Vienne, copie collationnée et enregistrée de son contrat d'acquisition , et p a r exploit de GROS, huissier à Vienne, en date du huit mars courant, enregistré, a fait dénoncer et certifier ce dépôt à : 1° Dame Reine CLOPIN, épouse dudit GUINET, et à ce dernier pour la validité ; 2u M. le Procureur de la République , près le Tribunal susdit, avec déclaration que la présente insertion serait faite de conformité à l'avis du Conseil d'Etat du neuf mai mil huit cent sept approuvé le premier juin suivant, afin de mettre les personnes inconnues, et pouvant avoir sur les immeubles vendus des hypothèques légales non inscrites, en demeure de les inscrire au bureau des hypothèques de Vienne dans le délai de deux mois, à compter de ce jour, à peine de forclusion. Pour extrait : Signé BRESSE, avoué. Etude de M" F. BILLON, notaire à La Verpillière (Isère). PURGE D'HYPOTHÈQUES LÉGALES Suivant sept contrats aux minutes de M" BILLON, notaire à la Verpillière (Isère), reçus le premier p a r M» ROJON, son prédécesseur immédiat, et les six autres par ledit M' BILLON , M. Barthélémy GUIGUE, chapelier, demeurant à la Verpillière, a vendu, savoir : Par le premier contrat, en date du quatre décembre mil huit cent soixante-dix-neuf, à M. Jean PILLOIS, propriétaire-cultivateur demeurant à la Verpillière, moyennant le prix de sept cents francs, une maison sise à la Verpillière, quartier des Maisonsneuves, composée de rez-de-chpussée et grenier au-dessus, ayant deux ouvertures sur la route nationale et jardin sur le derrière, de la contenance approximative d'un are,quatrevingts centiares, limitée au nord, par Ferlet Pierre; au couchant, par Odet Alexis; au midi, par la grande roule nationale, el au levant, par Guigue Louis. Par le deuxième contrat, en date du trente-un janvier mil huit cent quatre-vingt-sept, à M. Joseph D U FOUP,, propriétaire, demeurant à la Verpillière, moyennant le prix de mille francs, une terre sur SaintQuentin, mas de Chêne, de soixanteun ares, quatre-vingts centiares environ, joignant : au nord, Morel et Revol ; au midi , Louis Dussieux , Antoine Berger, Reymond , Joseph Pillois; au levant, Thomas Odet; au couchant, Germain. Par le troisième contrat, en date du premier février mil huit cent q u a t r e - v i n g t - s e p t , à M. Antoine BLANC, père, tailleur, demeurant à la Verpillière, moyennant le prix de huit cents francs: "l" un pré marais, sis à la Verpillière, mas du GrosEgaz , de dix-neuf ares environ , j o i g n a n t : au nord, M . R o u x ; a u midi, C h a u v e t ; au levant, Blanc et Chatain; au couchant, Germain ; 2° et un petit bois de deux ares quatrevingts centiares, sis à la Verpillière, mas de Bret Bonnetière, joignant : au nord, Jean Truchet ; au levant , l'acquéreur; au midi, Salamand; au couchant, JeanTrinquet. Par le quatrième contrat, en date du deux février mil huit cent quatrevingt-sept, à M. Jacques HUGUET , boucher, demeurant à Lyon, cours Lafayette, 318, moyennant le prix de trois mille sept cents francs: 1" une maison d'habitation et d'exploitation avec grange, écurie, sise à la Verpillière, mas du Replat, y compris la cuve qui sert à l'exploitation de la vigne ci-après vendre, le tout, joignant : a u nord, Joseph Morel, et Girier Saint-Cyr; au midi et au couchant, M. Girier; au levant, u n chemin public ; 2° un clos entouré de murs et palissades, complanté de vignes et d'arbres, sis à la Verpillière, au même mas, et près de la maison ci-dessus, joignant : au nord, au levant et au couchant, chemin public; au midi, Joseph Morel, d'une contenance approximative de quatorze ares environ. Par le cinquième contrat, en date du trois février mil huit cent quatrevingt-sept, à M. Charles BROCHET, chef cantonnier, domicilié â la Verpillière, moyennant le prix total de mille francs: 1° une terre, sise sur Saint-Quentin , mas du Faron , de trente ares e n v i r o n , joignant: au nord, Pierre Gay ; au midi et au levant, chemin public; au couchant, Jean-Baptiste Meynier et Grégoire Odet; 2'' une terre sise sur la Verpillière, mas de Morase, de dix ares environ, joignant : au nord, Parent Baptiste; au midi, Peyaud ; au levant , François Cœur ; au couchant , chemin public. Ledit prix total a été réparti ainsi qu'il suit : huit cents francs pour la terre de Faron, et deux cents francs pour la terre de Morase. Par le sixième contrat, en date du trois février mil huit cent quatrev i n g t - s e p t , à M. Louis « Antoine ROLLAND, cultivateur, demeurant à Saint-Quentin, moyennant le piix de cent francs, un bois taillis, situé sur la commune de Saint Quentin, mas des Moines, de la contenance de huit ares environ, joignant : au lev a n t , Joseph Morel; au m i d i , un chemin ; au nord, les héritiers Goubet, et au couchant, l'acquéreur. Et enfin, par le septième et dernier contrat, en date du quatre février mil huit cent quatre-vingtsept, à M. Benoit MOREL, négociant, demeurant à Bourgoin, moyennant le prix de cent cinquante francs: 1° un pré marais, situé sur la commune de la Verpillière , mas du Grand Planot , contenant vingtquatre ares environ, joignant : au nord, un chemin; a u midi, Odet; au levant, le canal, et au couchant, Couturier; 2° et une vigne située sur la commune de Saint-Quentin, mas des Grandes Vignes, de la contenance de quatre ares environ, joignant : au nord et au couchant, Mra" Guigue, religieuse à P a r i s ; au midi, Durand; au levant, un chemin. Les acquéreurs voulant purger les immeubles par eux acquis des hypothèques légales pouvant les grever, ont fait déposer au greffe du Tribunal civil de V i e n n e , le d i x - h u i t février mil huit cent quatre-vingt sept, des expéditions collationnées de leurs contrats d'acquisition, et extraits en ont été affichés conformément aux dispositions de l'article 2194 du Code civil De plus, le certificat délivré par le greffier dudit Tribunal, pour constater ce dépôt a été notifié, suivant exploit de BOURGEAT, huissier à St-Alban-de-Roche, en date du cinq mars mil huit cent quatre-vingt-sept : 1° A Mme Marie TRINQUET , épouse de M. Barthélémy GUIGUE, chapelier, avec lequel elle demeure à la Verpillière, et à ce dernier, pour la validité ; 2° Et à M. le Procureur de la République, près le Tribunal civil de Vienne. En outre, la présente insertion a été faite de conformité à l'avis du Conseil d'Etat du neuf mai mil huit cent sept, afin de mettre toutes les personnes inconnues pouvant avoir des hypothèques légales sur les biens vendus, en demeure de les inscrire, dans le délai de deux mois de ce jour, à peine de forclusion. Pour extrait : F. BILLON. Etude de M» PEILLON avoué k Lyon, rue Mercière; 34 ^ 51 t P A n t i C I T A T l O B I en l'audience des criées du Tribunal civil de Lyon au palais de Justice, place de Roanne en neuf lots séparés DE LA NUE PROPRIÉTÉ ¡nia DE DIVERS consistant en U N E MAISON D'HADITATION située à LYON rue Jean-Baptiste-Say, numéro 5 et en HUIT PARCELLES DE TERRE situées à JANNEYRIAS, canton de Meyzieu arrondissement de Vienne (Isère) aux mas de Luisset ou Luisse Champoulet ou la Plaine du Mollard-Charmier de Château-Bouvier , de St-Pierre et de Martaret ADJUDICATION au samedi vingt-six mars mil huit cent quatre-vingt-sept, à midi, au Palais de Justice. Etudes de M» ANGLÉS, docteur en droit, avoué à Lyon, rue de la République, 28, et de M* FORE, avoué à Lyon, rue Tupin, 34. V E N T E PAR LI CITATION aux Enchères Publiques devant le Tribunal civil de Lyon en un seul lot De Divers Immeubles Situés sur les communes de Jons et de Villette-d'Anthon canton de Meyzieu (Isère) Consistant en une belle propriété bourgeoise, avec jardins anglais et potager, bâtiments d'habitation et d'exploitation, avec cour et verchères, terres, prés et bois. — Adjudication au 2 avril 1887. à midi. Mise à prix, 20,000 fr. — NOTA.. Pour les renseignements, s'adresser à M0 ANGLES, avoué à Lyon, rue de la République, 28 , et à M" F O R E , avoué à Lyon, rue Tupin, 34. Etude de M0 G. DECŒUR, avoué à Vienne rue Jean-Jacques Rousseau, 8 successeur de M" C H O L U E K EXTRAIT DE DEMANDE DE EN S É P A R A T I O N BIEKS Suivant, exploit de BARREAUD, huissier à Vienne, en date du onze mars mil huit cent quatre-vingt-sept, enregistré. Madame Marie F E R R O N N A T , épouse de M. Jacques VERNAY, propriétaire, ladite clame demeurant avec son mari à Chaponnay, A formé, contre son dit mari, sa demande en séparation de biens. M» G. DECŒUR, a v o u é , a été constitué par la demanderesse et continuera d'occuper pour elle. Pour extrait : Signé G. DECŒUR, avoué. PURGE D'HYPOTHÈQUES LÉGALES Suivant contrat passé devant M" COUTURIER , notaire à Heyrieux , le six février mil huit, cent quatrevingt-sept, M. Jean-François NOÉ , cordonnier, demeurant à Heyrieux, a vendu à M. Antoine TAVERNON, propriétaire et débitant de boissons, et à dame Constance RABILLOUD, son épouse, demeurant ensemble à Heyrieux, moyennant le prix de deux mille cinq cents f r a n c s : Un fonds en terre labourable, situé à Heyrieux, mas de l'Avignon, dans laquelle il existe une petite casemate dont les fondations sont en maçonnerie et le surplus en pisé, couverte en tuiles creuses, contenant environ soixante-seize ares, ayant pour confins : au levant, chemin de l'Avignon et maison de Vincent Bonhomme ; au midi, terre audit Bonhomme et les héritiers Gallien ; au couchant, terre des héritiers de Anne Noé, décédée, femme de Jean-Marie Dulaquais et des héritiers de Laurent Garnier, et au nord, terre des héritiers de Charles Dulaquais et des héritiers Gentil. Les acquéreurs voulant purger les hypothèques légales pouvant grever ledit immeuble, ont fait déposer le vingt-quatre février même mois, au greffe dudit Tribunal, une copie collationnée de leur contrat de vente. Suivant exploit de SARVONAT, huissier à Heyrieux, d u huit mars mil huit cent quatre-vingt-sept, ils ont fait notifier le certificat conslatant ce dépôt: 1" à M. Claude JOANAN, cultivateur, demeurant à Saint-Bonnet-de-Mùre, en qualité de subrogé-tuteur de Jean-Louis NOE, son petit-fils, né du premier mariage de Jean-François NOE , avec MarieJoséphine JOANAN, décédée ; 2» à M. Jean MONTAGNIER, propriétaire cultivateur, demeurant h Heyrieux , en qualité de subrogétuteur des mineures Marie-Adèle et Louise NOÉ, nées d u second m a r ria"e dudit Jean - François NOE avec Maria MAJORQUE ou MAJORKA, décédée; , , 3» et à M. le Procureur de la République près le Tribunal civil de Vienne, avec sommation d'avoir à inscrire, si bon leur semble, a u bureau de Vienne, les hypothèques pouvant compéter aux mineurs NOÈ sur l'immeuble ci-dessus désigné, et ce dans le délai de deux mois, à peine de forclusion.