Février 1916 - Site en travaux, le week

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Février 1916 - Site en travaux, le week
1
—
Sftmodî.
87-Anafe -
M - l O T
5 F(Jvnor 1916.
' S ^ l r ^ T r -
JOURNAL FRANÇAIS-BRETON
zmm
ABONNEMENTS
FlDUtère. C ô l e i - d u - N o r t , M o r b i h a n , (un i n ) 8 t t .
Autre» Déparlementi
J »'•
Colonlei «t Elrnnget
»
C»iânB«m«nl d'a<ii «iie ; 0 I r , 8 0 awo ta c U m t i n btniê
L c i tbonnemonto p»rtent
du f de ohaiiue mol» e» se payent tfâveno»
PARAISSANT LE SAMEDI.
5 CL
& iMPRiusRis
4 — Rue
dtt Cb&teau
— 4
BREST
L e i l U n n i e r i U nos I n i i r M M M a t p u r e n d n i
PUBLICITÉ RÉGIÛNALE
Annonce» diverses . . . . (l» ligne)
Ofr.SO
Réclama», eo 4' page . . .
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00
DerntèrecolonnedeIa3'page.
O
70
Tarit déeroUitnt pour les interlioni
ripéUes
Pour la PUbllelté cxtra-rC-glonale, a'adrcwer
t l ' A g e t i M H B V H . Plaça de la Uourae, 8. * Parla
une attaque «ur le lalttant dea tranchée» br.-
l.iuricr. un ccnvoi ennemi qu! entrait d u *
ton. N'e vezo ket diesoo'h d'hoc'h, ma d'hoc'h beza hevel out-hc. ? N'her c'hre- tauniquea, au nord-eit de LOOS. Cette atta- MANGIEHNES.
les ciriliUions
i}ui iiciwent se in'odufre a»
Le :il, nos pièces 4 longue portée bonUiaro i t repousiée par le lou de n o i alllis. —
karit; easoc'h e vezo d'hoc'h zoken, dan ket. Hag eun dra u zo anat: ma que
Depuli, lea deux artiUories sont trèa active» dent le» c.intonnemeut» ennemis de CORmoment </u (Itfixvl,
ila ne sonpcnt qn'a
lenjec'hda goueza evit mad, n'e ket dana cetto région.
FLANS et de SAIHT-itiAURICE, sous le» côdre
lu'o
peuz
muioc'h
a
amzer
lao.sk.
mlcr tes fiocitcs do nos clicrs iioittia et
Dana le aecteur de nE0VILLE-St-VA4ST, te» nord d'Hattouchltol.
Kaout a reot, a dra zur, kamaladed digant-ho eo o pefe sikour da veza
à tiélruire
leur mnW... «
trèa TiTe canonnade t u cours de la nuit du
En WOEVRE, le 2 f.Wn.T. t i r elficace sur
fall, brein ho c'haloun. N'eo ket red eurusoc'h er bcd ail ; marteze zoken îli au Î7 ji.uvl'r, cependant que noua conti- doux Ituca-bombe» «iaualé» au nord-oueat
.\olo), iruitlenrs,
i/uc le» mcn'ii'cit prises
d'iioc'h mont gant-ho, na drei,st-oU n'e ket hint-hi eo eu em gann ar gwella. nuon» à réoccuper progreuivemont tes poa- ds FLIREY.
du ministre
de la
l'ont dtd sur l'ordre
de gucttenra et lea entonnoirs ou 1 enneEn LORRAINE, le 2;». t i r efficace de notr»
Kae var-n-ho, ma n'ez oc'h ket dis- tea
tluerrc, i>ar le /•/i'(u'ro/ insrierteiir
d'Amade,
ober evel-d-ho.
mi sTait pria pied. Nous y trouvons do nony arlillerio «ur le» ouvrage» adverses entra
contre
qui eut (I stU>ir à celle o'-coston
breux cadavrea d'AUcmands ainsi qu'une mi- NOMEHY et EPLY. — Le 2 f.Wri.'r. no» batKamaladed kristeii c kavoc'h ivez, tagcllet awalc'li evit respont d'ezho. tiailleuse,
et quelques prisonniers tombent
démo!i«»cnt un biookhau» ennemi à la
deux autres i/dndrauje. I.'oniro jour, les
kement ha m'o pezo c'hoant. lin em Ho liberle a dalv ho hini ; ha ma .son- entre nos miins. - Le SI, 4 rest do NEUVIL- terie»
cite 423 (e»t de SENONES).
A propos de G a l l i p o l l on écrit d'.Mhùncs:
sociiiliulea re/<roc/iaienl
nu ministre de ne
jont
ez
eo
échu
evit
an
den
dre
ar
LE,
rennemi
tente, par une contre-altaque,
glevit
etre-z-hoc'h
evit
mont
d'an
offiEn
ALSACE,
le 2< iaMvii>r. notre artillerio •
.Selon des ren.selBnumont» rçr.us do Coiisde reprendre les entonnoir» d'cii noua l'aimint faire
ai>i>li'iuei
sifs circulaires :
S t a r l eo h o r o'iinloii cnii lior o ' I i r e U
tanUnoide, les autorités mllllalres ayant soii d'à zul, evit mont ivez d'ar zalliou niaro, c'houi a car o peuz eun eue da vions chassé : il est complètcm^ut repoussé. effectué de» tirs efficace» sur STOCKA et
aujourd'hui
ils
lui
en
veulent
de
tenir
I l u sturtuc'li ur Urou^ uiiu l i o r rolz ! . .
donné Vordre do faire délller les troupes
•zavetei.
— La nuit auivante, nous faisons jouer un 3T0SSW1HR. — I.a nuit auivante, dans la valla main ii re qu'elles ne restent pis lettre turques do G.illlpoll, musique en tOle, sur kdsten a zo dijor evid-hoc'h e peb
pendant quo plus au sud, > loe de la Ftcht, à re«t de Munater, le t i r do
Magil au ene-ze dre bedennou ka- camouflet,
rouest de la routo d'Arras a Lens, doux teu- aolro artillerie lourde a provoqué un incendie
morte. Ainsi le veut, l'urnil-il,
la
h'ji'iiie loa anolons emplueemonts oce.upes par ies kear, hag evit ober eur baie da gla.sk
une usine transformée en un dép6t de
troupes alliée» a l'extrémité de la nrosquile, an ear iac'huz etre daou.
lounek. Kovesait ken aliez ha ma vezo tativea d'attaquoa allemandes août repous- dan»
ces r/iampions du désordre,
trois mille soldats ont été onRloutls par
sées. — Le '2*, nous repoussons de même une rjuniticn» ; do uombrcu»»» explosion» ont 6 t i
eun
dra
beniiag
oc'h
ober
diez
d'hoc'h,
intenduo».
— Le .W. nous r.vons bombardé
1.0 gOudral Gallidni rdpond :
l'explosion d'une série de mines que les
Kvel-se e clioumoc'h iac'h a gorf
autre attaque dirigée sur nos positions au
ailles, en s'élolpinanl, avalent dissimulées hagaspered ; hamazon an heur da hakommuniitan alie.sa ma c'helloc'h. voisinage du chemin de NEUVILLE i la FO- le» positions cnnemioj d'ASPACH, (nord
•
Irilnine,
mal»
,li' lie Niils pus un homnu' do l
Dtus la matinée nous reprenons en ou- d'AIlkirchl. — Dan» la nuit du l " au 2 f'»en de nombreux endroits.
,, . „ r . , . „
Maz eo d'hoc'h hen ober pa "z euz be- LIE.
HUlM KiiiilU-n ilo li> «ayti' tlo nos HOldnts,
tre un uouvel outonnoir, après une lutte très vri. r, no» baltcricj ont fait »r>uter un dépdt
tino elTrovahle p a n i q u e s'en serait suivie vont d'an emgam, en cm gavoc'h e
, Jo tiens & déolaror que les mereaiitls au parmi les troupe», au cours de laquelle p l u vive,
el repousscnn les contre-attaque» vio- Ul munitions aux abords d'ORBEY (sud-ost
leien
gau-hoc'h
pe
tost
d'hoc'h.
stad da gerzet dispont. Doue a vezo
lentes de rennemi. I l se confirme qu au cour» du Bonhommel. Dans la région do SONDGH. w d ol lesdél.ltaids A l lnlérleui; sont les sieurs conlalnes de soldats auraient elotues
Ha
gouzout
a
ril-liu
peliini
eo
sonj
gan-hoc'h
evit
ho
kenuerza
;
ha
ma
'z
des
actions
précédentes,, rennemi subit d3 NACH (ji.a d j Mun.ît.-r), les Allemands ont
I.eUTjuneier,
ta Chamhre s'eut occupée moins Intéresaaids parmi les prpll.teur» de ou blessé,
tortes pertes ; dan» le même entonnoir non» enlevé un de nos postes d'écoute, d'où une
eo lie voloutcz e choumlac'h var an kenta ar vairm, ar pried hag ar c'hoar avons
» •
àu sulfate de oulvre oâcoaattire ix la L'uerre. Tant pis si leurs lienei ees de
compté 150 cadavres allemsjid». — Lo coutre-attaq.je les a immédiatement chassé».
Buerre sont Insurtlsiints, si les ramilles «ont
il tente de nous reprendre deux entonMardi soir, te rapide Calais-Paris a dachenn, a volontez vad e root d'ezhau grislen, pa deu béteg enn-ho eur c'he
Tltloulture.
: soif attaque est repouisée. ... Le W. Datis l'air et sur mer
rencontré sur sa voie, à la gare de Saint- ar zakrilis euz ho puez ovit silvidigez loupoaniuz? Mehergoardre al lizeri noirs
' Comme tant d'autres, les us:nes de pro- satlsriiltoH de la sanlé des soldats.
nous faisons exploser une mine qui boulel'uisilrend
hommaqe au qdndral d'ALes Zepp.i!!u» ont fait leur rcappi-rition.
duction se iroucCrent dèsonjunisees par /;(
déta- lio pro, 0 c'houzout e kavoc'h er bcd a dremen dre va douarii da gas d'an verse les galeries de rennemi.
Denis. un wagon de marchandises
ade, qui a hriUamment
conquis
la
Los Allemands ont dû, eu construire un bon
inubilisttUun ; la spéculatlun se mil de Ut
aumonierien, cvit goulenn penaos eo
et poussé par ail kuruneuii ar verzerenli.
Dans la journée du
janvi.*!'. l'ennemi ten- lot pendant rhiver, en remédiant, dans U
Chaouia, et diriqd 1res hahilemenl
notre ché d'un train en maniriwre
deux autres attaques, riine aar no» ou- mesure du possible, aux défectuo»il.S» cooaparlie; el h; priw des 100 l;ilos a mon'.d de débarquement à (lalUpo'i. en payant de sa le vent.
maro ar mab, ar goaz, ar breur, e pe te
vrages au nord de ROCLINCOURT, (4 kitom. tatéos d.>nii les premiers modèle» ; et sana
« «
(10 a 110 IrancH. l.'aii dernier, lu ivmiiiis- personne.
Ce waqon fut broyé par le choc, et ses
stad en cm gavent.
nord d'Arras), l'autre sur la rente de SAINT- doute eu verra-t-on fréquemment survoler
lia c'houi soudarded ko.soc'h, a zo
$ïo du l>i(ii</et proposa d'achcter en .\nà St-LADREKT (deux faubourgs noa cités. Si. comme la font nos aviateurs,
le déraillement
du
- (1 II a fait tuer nos soldats, >• inter- débris occasionnèrent
Kuz ar gereut ha mignouned am NICOLAS
d'Arras). Sur le premier point rennemi ne messieurs le» Boches s'appliquaient 4 n'atH'eterre la prorision i/ui auriiil tissvrd une
rapide, dont plusieurs voitures se renver- dirag an enebourien : kendaU 'hit da
rompt le socialiste
llarthe.
peut sortir do ses trmchées -, l'autre attaque teindre que dea combattants ou des ouvrabeuz
kollet,
unau
drei.st-oll
e
karieii
l'ccollo nariiKilc de vin, cl t/ue l'on
unriiil
veza soudarded a feiz kreiiv.
Mibit un échec complet. - - Le I ' fi'.vri.M'. au
I.e qéndral Gallidni s'arrdte, descend de sèrent ét prirent feu.
. s militaire», ce aérait do bonne guorra. Hais
pu se procurer au pria- de H.'tJ'i-aMs. Le
de celle mémo route do SAINT-KICO- leur Kullur leur permet de a'attaquer aussi
La compagnie
annonce qu'il y a 11
Kpad ar goanv o peuz bet nebcu- hag euz he varo goulskoude eo en em nord
la
trihune
et
su
diriue
rapidement
vers
la
LAS à SAINT-LAURENT, un détachement bien, sinon de préférence, aux innocents. Et
goiisolan
ar
gwella.
Terak
?
AbalayouverncMcnt
de l'èpoi/ue JH lu suurdo
morts et une vingtaine de blessés.
toc'h dastourm, hadarn ac'hanoo'h a
ennemi tente une attaque qui est arrétée aus- opérant la nuit, au-dessus d'une ville dont ils
oreille. ItéSKlIdl ; HOI(« ris'/uons
de man- porte.
hellbeza lao.skaet enn ho devotiou- mour enn derc'hent en doa .skrivet sitAt & coups de grenades.
ne pouvaient counaltre la position qu'an
M. Vieiani,
yarde des sceau r, court
quer devin pour nos soldats, et
aujourd'hui
Plus au nord, l'ennemi attaque, le M j j i i - moyen de la boussole, Us ne pouvaient prénou. l'oent eo dihuu, raU ma to.sia d'in : «Knudez-maiiezoun betokovez
.. ri)slui, et le décideii revenir,
auxapplau
on recule devant la hauss''.
hag 0 kommunia. Prest oun breman vh;r, a rouest do la COTE KO (sud de Civen- tendre savoir aur qui ni sur quoi Us llehaiont
amzer au draill vraz.
bombes.
M. Meliiic repond que la Frai.ce dispose dissements de la Chamhre. ICI, reprenant
evit kemeiit sakrili.s a vezo gouleniiet ohy-en-Gohelie). Après une «érie d'explo- leurs
Qu'k cela ne tieuno : samedi soir ils U n Kan ho toiiez e c'hell beza hiuien- ouz-in. Na kaer eo beza kristen p.a sions de mines il parvient à prendre piod
s'exprime
d'un stoch lie 00.000 i/uintauje «ii Heu de la parole, le yénéral Clallidni
irent
à l'aveugle une quincaine de bombes
dans quelques éléments do tranchées. — Dès
nou hag o deuz aoun ou'h eu em zi.s- 'n em gaver dirag ar maro ! »
ainsi 1
le lendemain matin, par une vivo contre-stta- sur Pari», tuant de» enfant», de» femmes,
li.OOO l'ail
dernier.
do»
vieillards,
en tout 25 personnes, aaiu
quo nous reprenons une partie de ces élél.orsdue Je suis entré dans dans celte en
ouez kri.stenien, — aoun rak goapei'inalement
In Chambre adopO' un projet
ments. Dana la journée noua réoccupont compter une trentaine de blessé». Et puis Us
ce «te. 'al .ensé que ]<•
, •fv^,'"
Bevit
oll
er
,stad-ze,
soudarded
ha
disparurent,
indemnes
»emble-t-U. une brurez enii nelieud lakepoted.
de rdsolulion, autorisant
le ministre à re- vous dans l'Inlér^f du pays, .le Tais lu
les autres, et délivrons une
e
martoloded Hreiz, Ciwelloc'h eu em auooessivement
de aoldatj français faits prison- me intense ayant empêché nos a:viateurs de
110 le peux p o u r v o i s donner ».dial.tllon
courir
au recensement et à la
répiisition.
Allo, allo, goazcd, savit ho pciin ! gaiinoc'h, dispont a ve/.oc'h ; ha ma cinquantaine
niers la veille. — La nuit du :!0 au :)l. poursuivre raéronef, et même de le décoaMr bed-nian e teuer cla voar.:» ouz
e n r e o m p r e m i s pas pour.|uol on m a emN'e grenit ket o klevoul bolejou an All- kouezit, ho luamm, ho pried, hopugale, rennemi prononce deux attaques à la gre- rir on tempa opportun.
(léelié de terminer mon discours,
peb Ira, cvit doure.
Un deuxième Zeppelin voulut renouveler Is
manted o tarza cnn-dro d'hoc'h, hag c ho c'hoarezed, .a gavo skaiivoc'h ho nade, qui éc'aouent.
Helas : il est bien d'autres choses que
massacre dimanche. Signalé et encadré par
Veadreiii, .winceoraijense
d la Chamhre.
Di.skoiiz ii'cocgweletbi'ezelkcn kriz
Eutre temps, lo ÎS .^invi-'r. sur ARRAS et les obus d'}i canons du camp retranché do
teufec'h
da
grena
dirak
glabouserez
l'on
ne
comprend
pas.
ou
plutôt,
on
ne
A ux applaudissements
del'ejdrè>iic-;n'i'ehe,
c'hroaz, o lavarout : c i'iur mignoun ne- au sud de cette ville, bombardement intense Ptris, il ne put atteindre le but. I I Ucha
liatî an liini a zo o rcn ; liage teuer
•omprenil que trop bien que certains sociaeul lampoun divezet 't
M. Accumhraii
se livre (i une riuueelic
beutoc'li var au doujjir, eur mignoun de noa positions, sans attaques d'infanterie. néanmoins une quarantaine de bombes, ind'he
nnkounac'haal,
pe
da
cvclkt'iit
Sellit • ta ouz ar c'hanfarted-ze c muioc'h er baradoz da bedi evid-omp Nos batterie» coulrebattent énergiquement cendiaires ou autres, mais aans faire da vicchar;ie contre le haut commandement, listes sont demeurés f« qu'ils étaient avant viaiia da zoiijal nebeud enii-lii.
times heureusement.
l'artillerie ennemie.
au possible ii l'cyard
wen. ho daoulagad, ha lavarit d'in
4]ue l'on a le tort, ù son avis, i/a ne pus la guerre, haryneux
Le no. notre artillerie exécute des tirs do
Un troisième s'était mis en routo lundi
COKUNTIN.
M lie Icac'li cma an ankcn a woaske piou inl'i' Daoust ha plijout e rafe hag evit ar Frans ! >•
des oryanisateiirs
de la défende
nationale,
asscicouli'uler.
On/ait,II, l'uraH-iLde
l'au
destruction sur lo centre de ravitaillomeat de soir. Celui-là jugeai prudent de faire depour l'en- ac'lianoiiip ei- zunvoziou keiita 'f' Nijet
lo-ilémiiiisldriellcdanxla
armdes, el plutôt enclins ii l'indulyence
SALLAUMINES (2 kilomètres sud-est de mi-tour avaut d'avoir dépassé Compiègae.
Lens), et sur des parcs et bivouacs allemands
Ces raids d'assassins ont naturellement jenemi du dehors contre lequel ils ne veulent eo poil diouz-onip, «ant au anizer.
et l'accu/iiileiir
de conclure; • li n';/ a qu 'un
té un certain émoi dans Part» où, comme dans
au nord de VIMY.
^
A vare da vare, eur c'iielou ostlaii»mo'jen de metlru Jln aujc aOus ; c'est d'y même pas entendre parler de représailles (i
d'autres
villes de l'arrière, on en était arrivé
Le 1" février, au sud de THELUS, notre
•opos des raids des icppeUns.
«lier coir. u
iiiuz a lieu goulskoude da grcski an niartillerie exécute, sur les positions ennemie» 4 presque oublier quo la guerre continue.
*
Puissent-ils
assagir nos politiciens I
de la route d'Arras à Lille, un bombarde
« »
Comme dans ses critiquer
A/. Arram
ver ciizar familloti a zo c kaon ; kleier
— L'Angleterre n'est pas oubliée par les
ment qui provoque un incendie suivi d'explo
lira;/, — qui ij a dtd voir, mais n'^i est restd
pirate»
de
l'aiiLundi soir, six ou sept ZepAu Sénat, le iT janvi'ir,
M.
l'eyronnet lier parro'/.iou a liirvotid, miullii lia noz,
siens.
pelins survolèrent autant de région», et f«que quelques semaines, — veut
atteindra se plaint
Le 'i. lutte de raines asseï active aux abord:
de coque les militaires
soient C V P I evit lavarout d'oiiip : llii'io évitait
bombe», qui ont tué 54 personnes,
de la route de Lille. Le t i r de notre artillerie taieut 22067.
M. MiUerauil,
le //dndral tlallidni
repond laissés à leurs propres ressources
pour' hen-mau-lion ; varc.'lioaz marteze evit
pibroque trois explosion» dau» le» batterie» et —blesse
qu'a la /dure de son prcddcessenr il aurait Vivre pendant leurs permiaslona, et
Par ailleuri, en représailles du bombsrde
la
région
de
VIMY.
ennemie»
ho niiib, lio priod, lio lad pe ho prcur!
Euz ar R U S I n'e deu bepred nemed
dement effectué le 25 janvier par un Zappeafii pomiite lui. I.e sercicc du
coitroh' de ce que certains soldats soient privés de
lin sur les villages de la région d'Eperaar.
Oli : ii'o lavaran ket e vije red, nag
nebeud a geleicr. H e r v c z ar pez a Somme et Oise
r. avait pas ele en cQct mieuji: prcw q",' le
dans la nuit du 27 au 23 un de nos dirigeaur prùt dans les hôpitaux.
ouezer, hor mignouned a gendalc'h da
c vije mad zukeii beva iioz-dez gant ai'
reste; au delml des hostililds on dut l'imFRONT ANGLAIS. - Lo
au soir, après bles a bombardé Fribourg-en-Brisgan, 11
M. Thierrq,
sous-secrétaire
d'Ktat à
obus de 1S5 et 200 obus de 90 turent lancéa
grigiiat tachenn, ama hag ahont, o tis- un violent bombardement, les AUemand» pé
zon.i-zo ; n'or liefe ket kalouu da laproviser. l:'e«l ce qui explique que certuinés .intendance,
répond ; l'n décret va Mre
sur la gare et le» établi»»ement> mnitairai.
kara enebourien hag o prizounia re ail. nètrent dans quelques-unes des tranchées qui aubirent d'important» dégtt».
erreurs ne purent être dvitecs.
Dispac'h a zo bet adarre, hag e meur
siqné qui assurera l'allocation
de la solde boiirat neuze, hag ezomni ez euz da
anglaise», près de CARNOY (»u-est d'Albert)
E r vro CAUCASE e klaskont kaout Ils en sont chassés de benne heure le lende.
— Le 28, un groupe de 14 avion» françaia a
Arricaut
aujc questions dd'catcs, leIcac'h, var lodenn ar c'huz-hcol euz
tous tes militaires,
sans cxceittion. pen- labourat g.nilskotide. Evelalo, lion
lancé de nombreux projectilea aur le» C»Bkear E r z e r o u n ; mes tenn eo, evit main.
tt'Jra! Oullieiii répond ;
dant la durée de leurs permissionit, cl l'al- dvemm a dlevl'e diskouez e ouezomp e roudenn an erngann ; liag evel er zlrun
tonnement» ennemi» de Pazardi, au nord du
FRONT FRANÇAIS. — Au sud de la Pom lac Doiran (en avant du camp retranché da
11 oht i'\i<l''iit i|uo, ciupllo quo soit la cou location de l'indemnild représentative pen- pe amzor e vovcmip hag e pe zanjer diaraog, an Ailmanted eo o deuz taget. doare.
n i ' , sprè» un violent bombardement, renne
(•r (iiil
flniipo <lii (iiiiivci'iiciiuml dunt IC.H idii'l'i
A r MONTENEGRO a die beza mi attaque, le '.'H ' j i i v i r r . no» po»itious sur Salonique.
dant la durée du voyuye d'aller el retour ema hou Uid.
ket
toulla
da
vad,
me
N
'
e
glaskent
— Dans la nuit du l " au î février,
mlin'i
<IUINM'"«L''ID
III'IIIÙI'". " " '"'L L'»'
un front de plusieurs kilomètres, à partir de
des permissionnaires.
Kn ce qui concerne
Zeppelin, accompagné de quelques taaailllOON i.'uiiii|i|n,'iit
Ocliaiipo ' II II
' ul l'un
Hililo « i ' " i^ii» aiimioH
lia pcdal, kalz ac'lianoc'h, merc'he 'gred, a dreuz hon tiancheou ; c'hoant o koulz lavarout a-bez didan galloud an la boucle de la Smini.' k FRISE, el plus un
bes,
s, survolé Salonique, et lancé une trenAotrichianed, ar re zivcza euz he zouen traitement dans les hôpiliùU> (le la
(louvi'i'iiemiMit. l'xt lias les militaires
digou, azo ken skanv abenn evele peb doa kentoc'h da wellaat ho stad, da c'hou- darded o veza en em dennet enn A l b a n i . au sud. Dans toute la partie sud, son alla taine de bombes, tuant une vingtaine 4e
que
échoue
complètement.
Elle
ne
réuss;*
,te dois ii.liitili'i' (|iiii lu slliiutluii loI U'Olll
taux, je ne manquerai pas de siynalcr à
Grecs
et en blessant une trentaine.
amzer ; kalz ac'lianoc'h u'e glaskoul nit trancheou hag a ra diez d'ezho. H a g A r jeneraled Becir ha Lompar, hag a oa que sur le bord même de la Siiiiiii'' con*»
la i n f i r e d a " " l'iiHérlum' (|iiu sur
.
mon coltcque. du service de santé le desievit
kement-se
ez
eo
awalc'h
peurliesa
le
village
de
FRISE
adossé
4
la
rivière
(4
9
Siii' le (>'ui>t un Ivii onendlDiis inililuii'eii
ket nebcutoc'h fi'ingal.
en ein glevet gant an enebourien, a zo kaomètres ouett de Péronne), et qui étail
Le 27 janvier, le paquebot Irantaii T.a
piUnenl Itni;, il soralt luiidinlisil)!.' nu une deratum exprimé par M. l'eyronnct. v
Ar bûtred iaouanU, klevil, a zo-soue c'hoantaat evit dont a benn. D r e ze, bet lazet hervez ma lavarer, gant ken- tenu par nue de nos grand'gardes. Des con l ' b l a , a coulé 4 coups de canon un aons« u l n i iinioi'iii' ijiio ixille du i'(miinuii'liint en
» •
varlene,
enn
hanter-noï
da
Arras
hag
er
tre-attaques nous permettent de reprendre, marin allemand qui le poursuivait k 890
< liel pni l'Ncicoi'«uns ((n'il y uji nccutd
zel, pa (''hollont dont da ober eun dfo
vroiz hag ho zamalle da veza traiset peu après, quelques-unes des tranchées en
mètres.
Au cours de la mt'me séance, le .Sénat a
Ciiampagn, araok pe etre ar stourmajou
"Vi'psî'ii'.iini'^ c(i pi'liielpe iiut'If" foiUi'olp
d'ar gear, o wolout ar vuez a renit. Me braz a dremenaz er broiou-ze. hor zou- ar vro.
fevée» par les Allemands.
— Depuis quelques jourt on avait des i>.•ejetd la proposition
votée par la Chamv k ' i i l d'iHi'i" <ii'j;»iil«i) «UN ai'i
quiéludes au sujet du vapeur anglasa Appam,
lavar ai- botred iaouank fur, ar re
A n Aotrichianed a gerz breman enn
Plus au aud-ouest, le '29 (jnvi.'r. tes Aile
bre, et qui prescrivait ('Incinération sur
darde.d a grignaz eleiz a zouarou divar
L'incider.t ctuit clos.
' ^ l i avait quitté la côte occidentale d'Afrique,
no»
po»ition»
en
«ace
de
manda
attaquent
iiar ez euz eun amzer cvit peb Ira goust an enebour, o c'hounit var-n-han A L L B A N I , etrezek porz D u r a z z o . DOMPIERRE (11 kilomètre» sud-oue»t de Pé avec, entre autres passagers, des prisonLe socialiste Hriton eu soulevé un autre, les champs de bataille des corps des solévanoui- Mour a liiui auezho o deuz skrivet d'in torgennou hag ez oa mad d-omp kaout V a r an hent o devezo da enebi, er me- ronne). Par deu.x foi», riufanterie ennemie niers allemasda capturés au Cameroun. C*
plus dflical. acec des questions qui certes dats. Voilii donc un cauchemur
rejetée dans ae» tranchées par nos tirs de vapeur cat arrivé dans un port des Etatsle Sdnat.
goitde ho dizro var an lalbeiin ; ha ma didan hor galloud. P a vez bet gounezet neziou, ouz soudarded diveza ar M o n - est
ne sont pas à discMter, ni même u poser en réliellons-en
Unis, BOUS pavillon naval allemand. I I avait
barrage et notre fusillade.
ténégro,
hag
ivez
ouz
eun
armee
savet
été surpris paralt-il dans les paragea des
public dans le moment. C'est ce qui aminé
lakjeu er gazetenn daru euz lio lizer tachennadou a zo, e vez easoc'h da c'houde
Dans la région de LIRONS (8 kilomètres Canaries par un sous-marin allemand disent
te président du Conseil <i la trihune
evel ma o'houlennent, e leutec'h da taga a vraz. Evit ho gounit, c voder sou- gant Essad pacha, unan euz mistri a r v r o . nord-ouest de Chaulnes), rennemi dirige, au les uns, plus vraisemblablement par un naVne grandiose, manijeslalion
en l'hon
M a c'hellont mont larkoc'h, en em cour» de la nuit du ^^ au '2!'. une attaque vire armé en corsaiie. Ce même navire avait
uzia gaul ar vcz. (iwelloc'h e kavau darded ha muioc'h a ganoliou dira-z-ho,
{,(•<! pxpIlcallonH quo M. le n i l i i U l i e de la ncur de la S e r b i e « eu lieu à Paris, le
qui e»t immédiatement arrêtée.
coulé sept autres vapeurs anglais. Tous les
fluori'e, en plein aeeoi'd avi'C le linnvei'in'
janvier, dans le grand amphithéiitre
de lavarout liebken ar pez a reketont euz dre guz kement ha ma c'heller ; hag e gavint dirag an Italianed a zo bet kaset
équipages sont arrivés aux Etals-Unis sur
Dan» la région d'ARHANCOURT (6 kilo
inenl, vienl do lournli' en repuiise à M
sailler. A l i e z an enebour n'e vez ket var da Vaionai hag a labour d'en em lakaat mètres ouest de Roye), grande activité de»
la .Sorbonnc. M. le Président de la Hépu- ho perz :
Acoanilil'av Mont do nalniv à donner salit
deux artillerie» le '2!» jiinviir. — Le lende
Inclinn h .M. Hrlzon *«ns (|u'il y ail lieu hlique y assistait.
An asambleou a goslez da zul ; hoc h c'hed a gement ail, hag an dro a vez e stad da herzel eno, evel armee hor main,
dan» cette même région, no» batteri
(l insKUiei' un déhat nouveau sur une ma
c'iioariet eaz awalc'h. Choum da c'houde jeneral Sarrail e S a l o n i l ( .
Des discours éloquents el chaudement apprennent sou» leur feu des troupes en mo
tlftie aussi diilleale. Le» déelai-atloiis do M
amzer laosk eun iliz. Kel)euloc'h
var
an
dachenn
gounezet
evel
dre
laer
a
vement
aux environs de BEUVRAIGNES, et
plaudis
Jurent
prononcés
par
des
orateurs
A
n
armee-man
a
zo
lezet
didrabas
le ininlslre do la Kuei'i'O ni'onl paru ivneon
ti'or l'approhallon quusl unanime d la des paqs alliés: Serbie, Japon, Italie, An- cli.atou, nuiioc'h a bedennou !
zotennoc'li ; hag evel m'o poalennetama bepred. N ' e ouezer ket c'hoaz peur e une colonne d'infanterie ennemie sur la ro
t« de Laucourt à Roye. — Le 31. noa canons
<iliamliro.
„
,
,
.
,,
Iloulia, eun eur ger, arsliouer a ro disadorn, evel ma lennoc'h hirio c'hoaz, teuio an enebourien d'he zaga.
I.n 21". J.invicr. nn dOlacliem»nl de fuf.i!ier.s.
gleterre, liussie, lielgique.
TousalJIrmùrent
de tranchées bouleversent le» ouvrage» aile
J'avais déjà eu I oeoaslun de m explique
manda aux environs de FRESNIERES (9 ki- in.ii'ins 'l'uni- d» no.s grosse.* nniliV slationla volonté indbranlable
do vaincre et de d'hoc'h merc'hed krisleii, e peb ))ar
nebeud braz euz an trancheou gounezet
niol-nii>n>(' sur eoUo (|ues!lon devaiil le
iK'es piV'S de (•;aslcllorijo. a d^barqni* d:uw
lomètres
sud
de
Roye).
—
Le
1
"
février,
nos
comnilsslnns de l ai'niee de la Oluunliio c
rétablir dans leur pleine indépendance les rez.
gant an Ailmanted a zo choumet didan
batteries dirigent des tirs sur les tranchées une Ile voisine. Des volonlaipcs de Oaslello«* »
ne seront pas inutiles. I.e cri sublime oti
toute l'âme d'un grand peuple s'est exhalée n'aura pas dtd poussé en oain. Debout
tes morts .'... Debout ta Serbie, la Belgique,
la Voloyne!
Debout l'Alsace.'...
Debout
la I.orrainc .'... Debout pour oiore! Debout
pour vaincre ! Debout : les barbares seront
chassés, s
GEOUISEPASSS
O'ar re a zo er gear
haû'arriin'eniaintkel
f B W
II
il
II f
I
'I
if
I
II
§3
LA GUERRE
Eiz liez Brezel
EN ORIENT
d u Sénat.
. ,,
J'avais di ehiriiqno lo (lOuvei nenient avait
le oontrnie c i |» dlroellon pidlllque de
unerre et 1(! eoniiiuuKionieiit en ehel la eon
UuUe des opéiallons lullltall'es »uus le béné
l i i o do lu conllanoo eiilléro (lue le Clouvei'
noment nen Inl.
(;o droit le Uouvornoinenl le.xerteia san.s
poitor ulleinle il rautorlto et au preslltto
!le.i lioninii's q u i ont lu eharife de conUuli
nos soldais à la liaïallle.
Quand vous saveit cola, quand on vous
(111 quo des eonti'filour» sont ailes dans
/.ono do» ai'jnOns et qu'il vous sera reiulii
compte ré!<ulli'>roninul dans vos euininlsHlons, du résultat do ce eunti'ùUs pourquoi
«unniettru une question aussi délleale à une
disoudslon publique dont vous ne ()i)uvez
ni vous ni lo Oouvornouienl, Iruior davaneo
los limites
,
Ouel que puisse Ptro voire souci des
droit» of «les devoirs d u l'arlenn>nt et d u
(iouvornement, nous Hon»mes loniis dan
moinont prùsonl fi uno eertalne le.serv
daiiM un pareil Uélml,
M. Driion
<n8(8<c néanmoins,
appu,
par son i i l l e r ogo Il^unn lJuiiens,
cepen
Hantqti'une partie de la Chambre, dcœurde,
donne des siiincs d'iiripatience.
Kt, malqrd
les socialistes, l'Interpellation
est renvoyée
8lD0 dlo
Mardi,
autre séance tout aussi
trou
liante.
3'out d'abord, le socialiste Dejeantc rcM^
aaooir quelles mesures ont été prises pour
empêcher les Z e p p e l i n s de venir plus
êouvent que de raison troubler les ébats de
messieurs les l'ariementaires.
Le général
Galliénl
a toutes les peines du monde
Jatrt comprendre
à ces bavards que les
Allemands
sont tes premiers intéressés à
et qtit do pareils renseignements
soient
Jburnts en public. It s'expliquera devant la
commtêsion
compétente.
Ce n'était
pasjlnt.
A Marseille,
comme ailleurs, des mestirei ont été prises pour Interdire l'accis des
débita au* militaire»
ù certaines heures.
Marseille
ne pouvait
naturellement
pas
t'tneUner eomme les autres rilles. .Ses débitants ont protssU,
ont
décrtldunejour'
nie... de grioe, et chargé leurs députés soelaUstes de porter leurs réolamatlons A la
Irthune,
**
<1 Cts pansstuw,
«lona-noui
dans tins
etreulaire
signés dt grat^ds noms, - ees
i f H i r a i K u v , i/ul vieent A tuer et ù
ruiiitr.
'twr*
eaiiettotSM, Multnt prq/ltsr d» ee fu*
MumiUt
est deosnu un lieu ds passage
pour eeua de no» enflutt» fut
tontMr»
émotr
A ^oif^fiM.
^fêmtUni
mr
nations qui gémissent sous la boite des
'l'eutons.
.
« l'as plus que I.atarc. s ecrie M. Sta
noi/evilch, recteur de l'i'niversilé
de liel
iiraile, la .'ierbie n'est pas morte. >•
u Serbie et Belgique, dit, a son tour
M. Kmilc Briinet,
député de
Charlcroi
conscientes du péril auquel les acculait
inévitablement la résistance à la menace
austro-allemande,
ont suivi Jlcremcnt la
voie que leur traçaient
le devoir et l'hon
neur. liuines, massacres, dévastation, ont
été le glorieux chùlimcnt de tajldélité
à la
patrie, au droit, à l'honnùteté.'.., Serbes et
Behies communient
par la sou,prance et
par l'espérance. Frères de douleur,
nous
gravirons sans ddjaillance
notre
calvaire,
certains de la résurrection >>.
M. Vesnitch, ministre de Serbie it l'arin,
remercie les organisateurs
de « cette ma
ni/estation,
qui ira uu cœur des .Serbes, i
— Il S'otre patrie,
dit-il,
ne périra pas
mie renaîtra bientôt, prospère et grande
et nous y relourncrons,
heureux de sa
résurrection,
heureux aussi de pouvoir
dire l i «08 compatriotes
restés
dans
l'esclavage
provisoire,
aux veuces de
nos héros et à leurs orphelins, à nos,D'ères
et su'urs en deuil, combien tous nos alliés
ont été bons pour nous, combien et tous
nous devons une éternelle
reconnaissance,
surtout il l'immortelle
France, ii
I M. tiarthou, ancien président du Conseil,
clôt la série des discours, en insistant sur
ta nécessité d'une victoire
complète, pour
la réintégration
de la .Serbie, la délivrance
de la Belgique, la liberté de la Pologne, la
restitution do l'Alsace-Lorraine,
.Sanscela
H la paix ne serait ni honorable, ni dura'
ble. File associerait la honte d'une abdica
iion d la précarité d'une trive. Tout serait
à recommencer. A'OIIB devons, puisque le
destin nous l'a imposé, achever la terrible
et glorieuse besognç. Il faut libérer l'Europe el les générations JUtures : il faut
poursuivre
la guerrs pour
assurer la
pain et non songer à une paix qui préparerait la guerre... »
ff La devise des alliés est : Un pour tous,
iou» pour un. Il n'en est pas de meilleure,
A ta condition de préparer, de discipliner,
d» eaopdonner les ^ r t s . La victoire sera
•I» pria d» eett» unim méthodique ef agi»'lanto
BU» •vmi.
guélque»
»aer(ftees
ho galloud.
H a setu ma teu ballonniou braz an
allemandes de BEUVRAIGNES et de FRES-
rizo
loinis 4 nos marins, dont l'ac-
Allmagn da zevel enn ear adarre, raktal NIERES, et canonnent de» convois vers LAS- tion fut appnyi'c p.ir deux chalutiers amiéK,
la ; muioc'h a bedennou ovit ar zou
([iii tinrent en l'ospecl la (çiirnison.
SIGNY.
i;n capitaine el 25 liomin.\s d.' troupe.s f u dardcd hag ar vartolodcd a zo eet da Evit gwelout e pe leac'h o deuz la- me 'z eo deuet an amz?r da zioulaat.
Au sud-est de LASSIGNY, le 28 J;invi.'r. nos rent fiiils prisonniers par les franeais, qui
bouret, klaskit Jthnanak
ar BreizaJ ar A n enebourien a die beza greet meur a
anaoun, hag evit ar ro a gendalc'h da b l o a z - m a , — a n iSaoIenn a z o e r b a j e n n i 6
canons de tranchées bouleversent les ouvra- clinrui>irenl le (..il.'.gijplie c l s'cnipaPL'rent
hini nevezeuz arseurt-ze epad ar goanv ; ges adverses et démolissent un observatoire. lie n,Mnl>ivnx iloi r u e
stourm, e riskl bemdez da veza diska hag an hini vraz a zo er c'hreiz.
l/>ipi'r.ilion a pi rni is a de n imhreiises
ha var wella ez eont gant-ho, a dra zur. — Au sud de la même viUe.. nous dispersons,
le
un convoi de ravitaillement et détrui- milles Rreeiines li iliita H l ile onpar.àvani,
, et d'ho zro, brema dreist-oll jia deu an
E t r e ar î 6 hag an 3o euz ar miz, hor
Disadorn da noz, unan anezho a zeuaz
ions un observatoire ennemi. — Dans la nuit •ini
lienl (II1 s'eirni:- de rentrer ol de r i
enebourien da zailla gwasoc'h.
zoudarded ho dilojaz a nebeudou euz an da stlapa bombou var Paris : aS den du 1 " au '2 fi'vriiT. notre artillerie tire sur tégre: leur foyer.
n train sortant de LASSIGNY.
Santeloc'h hon-unan, ha muioc'h
toullou o doa kleuzet gant ho zcnnou, lazet, 3o gloazet, ha meur a di freuzet.
bedennou ivez evit ar Frans, abala min, er viz da N e u v i l l e (enn hanter- Re ail a glaskaz dont ivez disul ha dilun : Entre Oise et Aisne
nis1,0 2.'<, d'anlres marin.-;
qnaire pu
ninur. da zizurziou ar re n'e bedont ket noz da A r r a s ) . M e u r a wech an A i l - tennou hor c'hanoliou a reaz aoun d'ezho,
Près de PUISALEINE, notre artillerie fait sane.'s de l'Knlenle d.Miarqnaient. sous II)
Rak, siouaz! er c'heariou hag e ko manted a zaillaz evit diskenn enn dro hag e kavjont fur ober t r o .
sauter un dépôt de munitions, dans la nuit prolecliuii lies navires de truerre, il.ms la
pivi.iin'Ile de KaiMlmnin. (à une vinutaiiie
du '27 eu
j.invioi'.
ment leac'h ma 'z euz soudarded pell enn toullou-ze : bep taol e rankjont kila ;
Dilun da noz, c'houec'h pe zeiz anezho
Dans la région de la ferme SOUS-TOUVENT, lie liiloniéires de Salon^ne) ; ils prireni posdiouz an danjer, an Aotrou Doue a zo hag enn unan anezho or beuz kavet 15o a ieaz da V r o - Z a o z , hag a lezaz da notre artillerie tire sur des convois, nuit du session de I I f.irleresse, qui l'.lail en ni(>me
temps enloniée dii eoti? de terre par de l'inol'l'anset, muioc'h marteze cged enn euz ho zud astennet maro.
goueza 210 bomb, o laza 64 den hag o 1 " au 2 f(?\ni-r.
fanterie française.
En
face
de
SOUPIR,
le
:10
ijuvii-r.
nous
déI,a Rarnison greeqne n'.iffril aucune r M s Goulskoude ar c'hanoliou a groze euz c'hioaza 67 ail.
anv/.er ordinal,
truisons par notre tir un ouvrage allemand lanee ; le eomin.amiani se eont. nla de forH o n nijerien, enn ho labour, a glask dont la garnisou est anéantie.
Hcall —dillnoutaritpiouint —goude ho zu, ma oa eur spont ; ha d'ar l y , er
niiiler une ppileslalion.
viz da LOOS (hanter-noz da Lens), an tizout hebken tud a vrezel hag an traou
Enlre CRAONNE et BERRY-AU-BAC, lo '27
CeUc opi'ralion a iMi' inoliv.'.' par le fait
beza choumet reisoc'h eur peniiad
Janvier no» canona de Irtnchées boulever- qn'un Iraiisporl ansiais av.iit
(orpilW par
deu adarre da vlasfemi ker gwas ha enebourien a glask diskenn e trancheou a dalv d'ezho; ebiou e c'hellont skei, sent les organisations ennemies de la VILLE- nn .suns-inarin alleniami. qni .avait pu s'apar Zaozon : raktal ez int kaset var ho mes n'eo ket dre ho faot. A n enebourien AUX-BOIS. •— Le îli. notre artillerie démolit pi-.irli.'r .à moins Je Ir.iis kilomèire- île i'embiskoaz.
avad a labour evel tud dall, rak, enn noz, des observatoirs 4 la côte 108 (nord de Berry- houeliiire ilii port. 11 fall.iil à tout prix prenHogen, ma 'z eo mad ha red kaout c'hiz.
au-Bac), et bouleverse les organisations en- ilie des mesures énergiques pour la protecE r memez devez, 2 8 , e saillont a gant eur vogidell denval evel an hini a
du plateau de VAUCLERE (nord-ouest tion des iKijnliienx navire.s de guerre, .ainsi
armou ha tud kalet da labourai gant-ho gleiz d'an dorgenn 140, a weloc'h mer- rene enn deveziou-ma var Baris ha var nemies
de Craonne). — Le 1 " févriiM'. actions d'artil- que (les Iransporis qni sillonnent ehaqiic
Doue goulskoude a joum ar meslr, ket etre S o u c h e z ha V i m y , hag e B r o - Z a o z , n'e c'hellent ket gouzout e pe lerie efficacea sur les ouvragea adveraes de loiir le colfe cl la rade. I-e oominandanl ne
(12 kilomètres sud-ouest de iioiivail plus lok'rer anc dt's sotis-m.arlnR
lien a ('.'hell lakaat ar brezel da eohui teuont c hiniennou euz hon trancheou. leac'h na var biou e skoent ; ha tud d i - BEAULNE
Crtonne), et de la FERME DU CHOLERA eioieinis vinssent guetter nos navires devant
(nord-ouest
de
Berry-au-Bac). — Le 2, dana le porl. Après v avoir éW autorisé par lc.s
abretoo'h pe divezatoc'h, lien a c'hell Abenn antronoz e oant bet kasèt er noaz, bugaligou eur c'halz anezho, eo o
la même région, des troupes aUemandea en (ioiivenicmonls 'de la Onailrnple-Enlenle. il
roi an treac'h d'ar gostezenn a gar
deuz
lazet.
mouvement aont surprises par le feu de nos nt done oeenper les forlirtcations de Kar.imeaz ; hag 5o euz hor zoudarded, tapet
linrnn qni .'.onnnanJenl rentri^e de la baie
llaganat eo n'e ket gant dizurziou gant-ho, a ce dilivret. E n n noz etre an
Bourrevien int : her gouzout a reat canons.
de Salonique.
na blasi'emou eo c chachlmp he vennoz 3o hag an J i e saillont a nevcz : koll a pell a ioa, hag hen diskouez a reont Champagne et Argonne
hag he drugarez var hor bro hag he reont ho foan.
sklearoc'h bemdez.
En CHAMPAGNE. - Le 30 Janvivr. tirs efarmeou.
D ' a n 18 c'hoaz, e tagont hon tud e
floaoes de nos canons de tranchée» aur le»
oroanisatlona adverses de CERNAT (4 kiloKalz 'zo ha n'e fell ket d'ezho klevout R o c l i n c o u r t , ha tostoc'h da Arras,
mètres nord-esl de Reims). — La nuit auiar gwirioneziou-ma. l i a goulskoude, evel adarre d'ar c'henta a viz c'houevante, notre artillerie bombarde les tranchées
allemandes au nord de PROSNES (20
nag a famlllou a welomp kastizet er vrer : n'e c'hellont ket tostaat.
kilomètres aud-est de Reims). Au cour» de
I . - A u * Etats-Unis
Izeloc'h, dirak C a r n O Y (er gevred da
bed-ma. abalamour da l'aotou ho memcette action, on constate des explosions aur
Nous slmialions dans le dernier numéro
quatre points dlBérents du front ennemi. — du Coiiriiei- qu'une Indemnité piJcuniairc
prou ! Hogen, pobl eur vro a zo eur A l È e r t ) , e tiskennont e trancheou ar
Le 2 nous bombardons les ouvrages de l a d - .•ivalt été onielelicment offerte aux Matafamlll vraz ; ha dioc'h ma ra, allez e Zaozon, d'an 28 : antronoz vii\tin ez int Dans les Flandres
versairè au nord da SOUAIN.
Unis par l'Allemaenc. pour le torpillage de
vez benniget gant Doue pe dilezet, evel dilojet.
FRONT FRANÇAIS. - Le 27 Janvier, un t i r
En ARGONNE, au cour» do U nuit du 2 C la i usitanin. Ou disait, au moment ou nous
D ' a n 28 ato, e tagont hon tud var bord de destruction, que noua diriHeoni sur les au 27 Janvier, nous faiaons exploser deux mi- mettions le Journal sous presse, que cette
pobl Israël gweohall.
tranchées allemandea »ltuéea en faoe de nes avec auocês, Fune près de la HAUTE- Indemnité allait être acccpfee et que l'affalro
Komprenit dre zo hon dever d'en em ar »ter Somme ; kerladenn F r i s e a zo BtESINOHE, et enlre STEEN8THAETE et CHEVAUCHEE, l'autre aux environ» de VAtT- semlt réglée. I.e» nouvelles parvenues cett»
HET-SAS, cause de sérieux dégât» à l'adver
gounezet
gant-ho,
hag
euz
eun
nebeud
QUOIB. — Le 27. noua faisons exploser deux semaine sur celle grave question sont de
zantelaat, evit ma vezo Doue a du gant
a a i r e . - L o 31, notre artillerie lourd» dlr g» un autres mines, entre la COTE Ui et la HAOTE- tous points dlfféreiitesJ'H les rapporU »o
hor bro enn despet da zizurziou ha du hebken euz an trancheou ez int bet di- tir efficace snr les oro^snltattani «nnemies du CHET&UGHEE. L'emieml anbit des pertes sont Je nouveau con» « • • " ' ' I g ï S
lojet abaoue.
pont de STEENSTRAETE. La culée d u pont sérieuiei dans U lotte q u i s'engage pour U entre le» couvernements de Washington «
vlttstemou darn euz hor c'heiivroiz.
anr la rive Est M t endommagé*.
de Uertln. Nous ne pouvons que i i ^ a « n
LaSitoationPiploMtiijiie
Umt des 0 iiSralioDS
Antronoz e «alllont dirak D o m p l e r r e 1 eno ez Int kaset diou wech euz
Evit ar re n'emaint ket er gear bre- renk d'ho z r o , evel enn noz araok dirak
ma ; ha da genta, evld-hoc'h, soudar- Llhons er walarn dtChaulne»), cl leac'h
ded iaouank ar o'hias i917.
m'o doa bet c'hoant da.daga ivez.
Er gear e oao'h potred fur, an darn
E v e l m » w e l l t , fiito'uJat a r e o n t , o t i s vuia ao'haàoo'h da vlana, hag e heu- kouez d'hoif z o u d w d e d ez eo m a d choum
dihun.
Ueo'h ho relilioD)
1 Mtd, er o'hnern • <leit ehQixm evèl , A - h e n t - « l l . horc'han<rtlou o deuz f r e u E M O B O l e r , g e » r , { o t r f d f ù r l M k l t r i a - , a t t d'jeiho f U l i «-IwçSoti. ,
««
FRONT ANGLAIS. - D u f l i d'artlUerie. en
treoanpéi d* eombati k la grenade «t d'«z
p U i l a n i d» n i n M ,
En Artois
FBOirr kuatu».
— L«a » , ts.at n Jan
Vlar ^ AUMainda o i n i f " " » aoUvamamt I m
ï * a S ? i «5 l Ô o T ; rartmari. b r U a ^ m a riS ! ; * ' avao a u o e » » . , ^ la ^ « « ^ • J j S ' i ' ï -
conqaête do reatoanolr, dont noua occupons
l'un des bord». — Dan» U nuit du 'JO au 81.
fc l'eaploalon d'une mine allenuBde k la
HAnTÉ-CBETÂOCHEE, aeu» répondons par
nn eamottSet «ni détruit nne galerie de Fad•eraair*. — Peadant la BBK d:U 1 " an t février, >aua laUene aanter «ne aulc* mine k
U UHTE-CEBVAVCHBE.
Sur !• reste, du Front
Att Mr«.«mMi
tfïnw.
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rfloulr.
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crime coiume celui q u i »
naaii*.rpn de la / . u s i u n i a être traite
M m m e m i S " impie affaii* d'apçent, a » .
^ T n l w i ï e i i n e . mùme dat.» le p r ^ n t M oune aanctlon inorale. D'autre part, o n
w Y l i o u w h t lea Ktote-Unla, a p r t » < —
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Vexod-.
IHellar»^
SiS^îSS^'
d'un oqnWbu»bl6 K . I . A i P'®?'"'^ brut suf le» d^pentOB et uomicp;do.pouwn« <)« tMnto mois MsTêïi CDIMBIC. 9
OHI «llmlnii« natir nno eauie oiKManniie^t!
\oTr SSiacle»,
H m m X ' i ^ " * d » jour Ueé
nîe, M i t ? » .
nammnirril phY liitllo do In gticnv^ miVi'cs'fl
Bràsparte
i®
"«t >io «ce
« Sous omeler'd'nn- courogo «t d'un d(!»«i(èiBfoii oïlgorn kOlt-on.un ddnavou do pivdHim «a dCclamlion. t.oM NuinmoH (urn «.^.r.if'ls "i*""';;
CoDMollB a u x . « ; i o v c u r H
montsous bôrne», a su, par son exemple, cn-tro00 torpj.......
" " i V l oommencoiiionl
ilingo. LOI Alloiiinndi loraloiit vnn- nNmrrt pw louchCoH ort loin, nid nn 'kI cVIc, n ?I "
' «"rr,'',»"'' "ft iltfoiftmtlon le mnnDes en» (i'.nvorlemnni pai* lus jumunis «ont
içnlr
eliei seï homme» nn moral très élevé et
• Ijnlnt».
lïnliitd <10
<lo roKi
çu.ndto
a
détruit,
nu
ylllego
do
Hod(!dn,
a.OOÔ
Idl.
rovonijnitra qu'il a «M porpïj-mUU
«iKnalO» sur diver» p.iinl». Colle maladie ust
do foin, nu pn'Judlco dç M. «uillou, propriotslre.
leur luplror un admirable esprit do sacrKIcè. I.o
nidpMii du droit da»'U«iiA, On ooiioolt qir'uuo
ni
«.Tl' nMiTn';'""",:
«H'îi'loure.hcnt, est tuau, lo diHall par cntOgorlu,
u.xlriîniement conlagluiisn. (In peut uu
I.o
feu
0
(Sti
S
communiqué
pur
une
lampe
à
pi!J
octobre
1111!., sous un bomburdoment d'une
Mllo conPcij«lon no «oit pas rnollo ii' iui'va- (iiilt ppiidnnl, HDIT NIII'F'H la BUITI'O, K I I M I ' I ' O I I Î
NOufieripleui-K. en c.-»8 de besoin, n'ont ^ a s
dnnt I cinpiîclier do se pivpatiur pur
'..w.liïl,'.".
'n »n"»'e
troto.qM M. liulllûd avalt lolss^e quelques In»:
Molence eitraordlnalre, a travaillé lul-inémo ù
a alt<;n.lrc leur Ochéanco fioiir entrer dans
or ik Hoi'lln.
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comprlsfM pm-n.riOH n vJmis d": .1,
moyen» suivant» ;
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Hcrulcnt nir un di^diicllon do Tcnsumbin do »UH rusLo pMjiildon» Wlliion 0 prononoiJ dorant fla HH, Mais, iiHiiN In
1» Avoir Hoin d'cn(orrur ioiil du snii
abris Indlrlduclj détruits par rartlllçrle. n
Ils peuvent en <ffet, lorsqu'ils n'ont plus
« J*
«I ,H"o tnipoi ldnto association fiio ili.«i'cH nu riMira do l'iino do-. nnniir« si poulain
qui
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lnfuiaion:
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CH.
clic*
(irvfnlcnt
ôlrc
l'opi'lwi
diinH
in
tlç e J du dOurul el Indlqiiii» sur lo fermulu
nmoïloalno uii (IIBCOIIM nul ivou iiivtrranU
que trois mol» M « i i r i r , le» f.iiru escompter:
Giliclan
£ Isolur Immiidialeinnnl la .jinnunl av..rl.'u,
Hetranuliaiil onlln lo moiilant du cc» " h rI;o^lQn»I.H«moi.». Aiuô» avofr rappololSuï lo"
CloïiarK-Carnoët
• " " . " f " ' * personne doil unirer dans son
L e danger des armes a feu. — Ln seiuaiiie
'•"•r*""®" " " " ' " " I lolul de» reque .lus effets de coniinorcc, ou se faire
..,1
'mpoiHnhlo noiip
M o r t accidestelle. — Maurlcc-Jullcn A*8UBiiur ;'co doit OIre loii.lo.irs (IcrnlOro, on fulall, nu vlliopc ilo .Moudenou, l'urSîîttî.lill'i ?
Po'x'coiii'orvdr Japaix JOH l'uvrnim pciwonnol» el puni' c.ciix dn un v i n s do diver.^vs eal-^Korios. il d.'fçaKC' lu In n i ^
avancer, en t o u t ^ n i n s , par rot éiablisscdrcn,;il
an»,
passeur, A yolntilaurice, est lonAé
In
mémo
et
eello
personne
no
doit
plus
n
rlvéo
eu
permission
do
M.
Salllour,
ipil
exploite
Kl«l».()nl»,-ot Hurco point norgonnono
«IKTIT
du
l'uvunu
ubibnl-A
.rclùiilr
poiïr
Ivitament,
iu».iu'u «OJBpi do leur valeur.
proeliur les nuire» [mulini.'res.
le lundi-matin. 24 janvier, dan» la U i l a , «ti
a ferme en coniiniin avec .M. «eni Picorl. M
oon oitoru nos parolo», - lo choT do l'Utat u pn^o d.i hlcMiH, nn v i l pns nvtm sou n i n i l
b
issumml
do
l'impfll.
snns
pr,'J»diuu
,
u
l
,
Le i rOs.u- paywtt d'avance l'intéi-ét de ce»
I P8L (iKnlmioHl ImpflHnhlo puni- IVH I'OVP Uiicllim» (|ul seront ullOrluuruiiiunl niiiiriii
muttunl sou bateau, ù Ilot, A lacnle (|u! se trouv.4° U Juinenl mala.lu doil
CIru Kanli'e
Uostlen Picorl, du
colonial, fièro do Mené, ea
«on InuA on HÔ» Jornion: « I l Y a toulrtoli
lit (••Irr
nous,
les
sousoriptBtirs n'ont i verser riuo
en fuce de son babltution. .'•'a femme el le« voisins
., , O
, , loalim protôront• I iiiif ni'i'sdiuip s ( f Ni'ît cnfnnh ni >
i
I
Im nnii'i'Tpour ulmrKu» dn fiunllln, d'anr.'» lu» IVHHUI. Incurie uu chaud. (Jii rucommand.ries
I.T çonvnicsccnco A Kcrsiroux, en Taultf, était de
qucl.iuo oho«o (|un
I N Anidi
imaii _
M fijincs pour un bon 1 (li«
j mois, oc.'ounis nu bruit de sn cliulc dans l'eau ne
vapus locaux A l'uau eri'ïyl.' (1 culllur.'u do la foie.
A m pnix T oov«ont
ION jirliiolpoH «sur
J7
Ir.
pour
un bon 5 0(0 à 0 mois. — Si f r .
î ^ ' , nii/l';'.'«"'''i""
" • I MlositiivlN
'I"!'!"
" " famillo ïïvuiU nv .2 I î Hiicment» consiKnO» sur la tli'ularalion.
•purenl lo retirer qu'A )3 b. 1,2.
en>/.ll par lllre d'eau), .
roposo loiii'vIo
i>olKI()uo. 1.0»
I.o» Aint'i'icnlnM
Aint'rliialnM I niiilnH qu'il no nninM'c rtrni.uulpi- ( lin "nlix\UM>ollfl()uo.
M. Salllour avnit rapporté nn revolver ollepour un bon D 0)0 à un an, c l aimii de suite.
.1" Au b.nit de qiiinzn Jour on pciil la re niand, qu'il avoll cueilli A Taburo, lois de la
«ont prois ft.loiil moment k pmndrn Inn
>..,LM..y,"i,ï'""î
<1'" », 'l<'l'"i'» du» divers p«.
Qiicrricii
« ' " ' " ' " ' " « l ' i M l'iKi' pbus du la fdi'inulu nyaiil li-ailft,1UH |n. niuilru avno lus aiilru»
•ymos pour dOfondro lour Ijonnoui-, lis no 1 M l l U i ' ' ' " ' " "
prlso do ce village par les Prêtons.
Triste-mort. — Jean Kergoat, 07 on», mai^n
!n « r , « . " " f ' " ' I ' " » .
«lî'nlarant nn ruinp I
oliorohoront JainnU -un oonlllt, malti no l'ri- A v a n t o f a i i « o o o r d j i i t n o o n i l d d r a t i o n qun
I.'ar^ne
posça
nalurcllcinenl
,do
ninins
en
ullu
ou bourg, u . té trouvé noyé duiis un i-ui-^ionii
w i i x diint In tunuiir.tiiiiini i'iic dn» ri'u«ul- aura « . ï e u V a ^ " ' " ' " " ' "
Oni.l«ATIOIV.«>
0/0
«artoi'OHt pns non phiH par uuslllniilmlt»\l
moins sans qilo l'on prit' In précaution doVu^uffa i » H l t u a t l o n d * i a m i l l e
bor.l(lnl lar.iiile. où il ovoit dû tomber se lïgu«ar » Il y a t.no oliofo pour liifiuollo la narer qu'elle n'était pus cborK.^e.. .
vaut eu état (rébrlété.
SI lo cmli'lluuilijn M l mnri.t II n droll ft n". T. i ,
Jlon ilpll *o buttro, (iV.«t lo mnlntlon .lo Mi\.
1 " ' " » wnli'lhuublo
Tout A coup,-Uusllvn Picurl pressa la Bilcliollc.
B U K S T
Mnrltrt do HO» propro» ooiivIcilonH „ »
iticc-Hiir-Bclon.
i-n balle alla fr.qipor son frère, '.jul succomba
Kn vu.! .1.5 laciliter le» oporalions do
w
.
didueliun spO
(,ti «ont A do (lt>rr» parolo». ninl» un pout Itm rivniu i'," uî''
Sooourg
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de
guerre
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A pris, le projcililo ayant purfoic lo poumon
• I;« 2'î ianvi.^r, Mme riérnut. .!<
m ' l i L'" ' l'I'f™.''''
iwiii'iu su bur
«0 dpniandoï »l Uaus h )iii««iJ l'attliudi', un ,. S'il n di'H pcj'MonncH
- (i sa clinrRn (nfOPii
pour sortir par le dos et aller so perdre don» le
I-ijou, Mor-inn, s'est peii.îuo .iuns une rumisu o.i
r
'.„
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1
liisurlro
sur
su
diVlnpou ouvoyanto, dn Kouvurnomont dn Wu»- ' ""l" 'IHI'H du plun de lo nnn uiï Iniirhio» mti 11, npivN y avoir munlionii.' su.» n m cl
il qui se trouvait derrifire lui.
elle n étii déo.ivcrle par (ijrunllii .Vuour, sou'.lohlnuton nlj na» InhHii peimor c|u'll dosirnit '
cnrnnls rviMinlIIlH aÛÔ"
mesti.iue. Son mari se Irouvail eu nurmissicu
Los familles nto.'ssitçuscs de nos prisonniers
rthium», sa n sidenu/î m sus occupali.m» proLes liti.;» peuNxnf Otrc- dépose.', uhn/. MW. •
irilllll>.> 1^(1»!
. .1,1)00 fmm'
«onsrrvor . LOM*
\out IllMV
pris llttft
uno IMllw
pulx .1..I
(|ul n-t
«»t pour IM'""'"'"
IW'I ild'une .li'duollon de
jonr-lf.
I.•apr,^s ln,!voi,ins, la manK-iirl^ie nu:
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liai nii' llus. la sonlo indic.ilion du monlnnl (10 guerre sont liiforinie» quo pour obtenir des
Morgan Mai-jc et C", ,11. b o u l e v a r l l l . i û s ; ^
rail pr s sa funeste détermination au cours d une
{.INH^^D'UN
"VAHTA«O»L»O Ù
EM,
I,u
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do,coll.s
ellos
dolvoiit.
suivant
Iciir.loinldu
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revenu
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I.e
solmanu.
I ans ut da„s lus élabli,sseni.;nl9
- line» par |ini'»nnnii pii MI» do eliui,
crise alcoolique.
n i; biia de nlluslo par I npn,.sillon .le çllo dnns I arrondissement .lo llrust, s'n.lres-cr A
Il 1.0 .Saint, Alain, .loin lus parents habllcnllc
cl rtj.'K .lu servie.! Ilnancier.
.hmiiie i-niilrlhiinhle ii'.'liint pusMlile 'dn l'a slmialure
• JiOaouvornomoiitdcsKiats.llnl». nonoon- " '
qu'il
l'iivulu
«
l'une
.tes
sod(Uiis
suivantes:
village
do
l'oulfau.i,
a
été
cité
ù
l'ordre
de
1
urIl'iiln
«In
sa
.l-MInrallun,
I niiftl miii,»! »i.n i w i i n u t.ilal éxi'.''di.> fi.ooo
Ipnl (la «ulutloiinor en pai'IkiiUvr
uhavunn fram-, npiis nnpIliMillon nri'ninlili
nu .uiiilr.Muur >11» pli iiffruiiuhi un (|ii'll rum.'l
A riHiuvre du-.. Paquet .lu Prisonnier », prùsl mée nvcc le mulif suivant :
CiCH di> l'adrussu
« os quodllon» nmi lo» (•rlnilncl» prouùdtiH diiolloii» qui vli'iini'iil d'OIrn
bas de la
.lli'u,ili>s nuKi
,ll,iii ili'o pur M. lo docteur Corudec ul donl lo slISjfc
Soldul li-fs dévoué- et In's courogoux. S'est
. , (luiiru
Kiirulusnuu.miribiilions
la donii.Tu
ln(ll<|tii<nH
Maison Française (FondBE en 185S)
«lo rAustro-Alloi)iai;no tunt
tout InNtKut »,nii.u t qu'i'ii fHll,
est A Hrfcsl rue Kiuiio Zoln, n > ' A pour toulûs brlllumment distingué A l'assaut des lrun.;li^cs
la
fui'inule.
(
>
Mnelionnalrn
un
aocusu
'
un uniilrlhindilu murl)\ •Ulllil II.
yurglr, voudrait onooro osnayor dn fniro n (iMi lMM"i»nt>lo fiill,
es familles domicilldus soit dans lus' I - el 3- can allomnndcs le Lti soptumbrc I9l!i, où il u été tn'-s
qiin si son ruvunii
rnvonii nV
n'rl
l.a
on»
do
Hre.st,
soit
dans
les
cantons
doLesaevcn
U M r «Il u(lii(;i;nl lo» (loiidlllon» qu'il diislro-,
grlÈvoMienl
blessé.
»
d.'elarnM.iii,
nnu
fols
soiiHurllu,
usI
eon
i 7.000 frnni's lurmuril n'a
n'a iiuuunu pup
iili'n
ralt voir anplliium; .'i la «iiurro marltlnio i)ar l'i"""" v« »n l'hni'Re ; 8,0(«i rrnnc»
oiinnu niainlunuu uliaqun uiin.ie iiap I.nniillls ut Ouessiuit.
Celtfi cilution coiuporlail l'allribulion de la
(OUI lo» Klat» bolIludraiilH.
'
"«"un i.•ml niinoiii' ; n.ooo fi'nncf quiiiiil il a
lalil .pruim n'a pu» tl.! renouvu'i;!.:
A rotjuvro du n l'ntiuet Municipal ». pr.'sidéo croix de guerre av.c palme.
qiinnd
II
a
On 110 connaît actuolluincnt lo tcxlo aini'- ''"'i
pnr M. Ilervagaultct ilontlo slè(to nsl A la mnirle
liMix chruiils; 10.000 rninc», qiiuiul II n Iriil:
rjoaln (lup par uno noio ilo l'/l«(iocin(c(r onfnnls, ni nlii«l du siilln,
(lo lliust, pour les fiimllles domlcIliOc» .soil daus
IIKM!!"J' u ' i ' " . ( • ' • ' X n i n l i " ' ' ' ulioriuurnI\e»>. Voici d apré» i:o rcsiimO If» prlnol)n plus, lu» cunlrlliiinblr» qui rcslunt non munl si lus indicallons qui >• ont -M.! si- lo ï- canton de Brest, soit dons les cantons do
palo» dlnpo!illloiiH du futur projet. Hur In m » !>. rimiM-a iml dnilt uiiuniv, ft n,ls..n dn Kiii'u
Plabennec pt Plouiluliuézouu.
Q UI
P KH
rdallDullun ot ronieacltûdiiquoi 11 ont porinl» ImiiH ulini'Kns de fainillr, ii mi,. nlliiiuiu||i,ii n.'n> i r . ' s l oMii'"" "'""•r.P'l^''"- ''''Hru nu,dl.
A l'(»;uvro _du .. Secours aux l'risonulors »,
r®^'!"®
M a / W o , 3G
lu
d'avoir do» douto».
M csl uiilu, par suilu, .pie lu cmiribiia- l'iHld.io par Mmo Hlzieu et dont le slèfio est nii
Comme en pays conquis. - Trois mil
du Inxu. I.u inrtiilaiit dn luur uollsnllim, uni
I. — I.o» non-comhallnnt» ont lo droit do UI li'u ,|„„|,.K 1,1 i,„,|f lo^nl, nsl, rnlull, d<
11 eons.'rve une uopi.'.
telocii Ki.'ihuon avec un bureau A Brest ruo luirès i u l,>f eluicnl entrés dans le .lébit de lu
T
a
x
a
t
i
o
n
administrative
travorsor le» eaux Inlernallonalo» sur do»
,l.an Juuri'ïs, n- 2(1 (ouvert les lunJI et vemlrudl
iuve (.oriiii-, u I.ocmnria, où ils se lirent .«crvi
Mvtro» marcliaïKl» perlant pavillon d'un ri 0/0 ||iiur iinu pui'Nuiniu ù luur uliurKu, 10 o/O
Ile chaque semaine)-, pour les familles domloillées un cafo. foui à coup, un d'eux saisit la débi
l ' . b M i r Î M l l ' l i . u , ' l ' H ' l a r a l l o n soit dans le.s- caillou» do Daouins cl do Snlnl- Unie a lu gorgi>, puudaut iiu'un autre, cuporui
bplUtrrtrant : I » nouvont compter «ur lo» pour deux iii i'.Kiiniins, ao o/O iiuiir litil» nurlaiis lu» deux pr.'ml;'rs mois de l'uinnie, ni
fàtflo» du droit liitoniutlunul et do l'huma- ri?.r;i",T' r,'
lunan. soit dans 1.:» communes du llelei;a-Hur- fouillait le lii'.>ir et en enlevait une quinzaiu
''''"'r'"
m,
ullo pour leur protection.
iiuon ut de (iulpavns.
'
do fran.:s ; lo troisième ruisuil le guet
U. — I.o» iwjviro» niarehaiid» «ans dlKtlno- i i." "
d"iiniinl (Iroll A iinu noiiA riKuvro du
Secours aux Prisonnier» n
1.0 caporal, Pierre Doré, 27 nu», de Pari», fui
^
PAMÊLLES é A T H O i W & È S
lion do natlonalltit no peuvent pa» Cire
présidée
pur
H.
Itoy
el
dont
lo
sliiKo
est
A
t.an
Télé toi après. Il refusa- de
- - d. ^
^
e
r ses c6
ttttaquO» siui» avcrll»»ainent.
ÉNVO'l fRAKCD PtraÏTALOClTE
BBtZCKÈrî
rairozEET
d une nîdiiulion
C a l ciiinxlmiini
u l do l ' I mdep ô60
t 0/0.
fil
ierueuu,
pour
lu»
fiimilles
riomiclllées
soit
dam
pugnons, qui n'eu ont pus moins été retrouvés
^ JIl. — Un navlro inarcliand d'une nntloii
les
canton»
do
l'ioudlry,
soll
dans
les
commun
L/n,/»».,
a
Douurncnez
où
Ils
s'éUdeul
rendus,
belliKurante doit ubOIr rapide
apldemont <i toute
iniinlîiiil dns diMiiullniis priviius un fnviiip
.lu cautoii du Lnnderncau, A l'cxcoption du
Injmietloii dn n'arrfller.
Briec-cle-lOclet
Itelecq Korhuon elGiiIpuvus.
plû i.
,
()ii no peut H i e r »ur un navlro I ilu» uiinlplhunbl.;» innri.'s ul uvuiit Vl
I.cs farnlHos nn pourront »'ndrc.sser .lu'A un , M a g o t d i s p a r u . - Mme Le Moigne, fermière
inArchnnd quo s'il
rOnlfitori >flmo|«:i!'„f.f'""l""T , e»»ale.do
'"V.! «lu irî mnniV;, s'i'iî:
eule
.le
ces
sociétés:
celle
A
laquelle
elles
sunt
a
nuplque
avuil
cucbé dans h palllasie .le soi
alor» 1 ntlaquo doit co»«ur dûs que la fiillol V ,. „.•.,.,
,
lit une bolto en fer blunc conleiiunt les écono
latlucbée» par leur domicile.
ou lar«»l»lnneo prond lin,
'
'''i ''''^''i'" liifi'i'l<'ui» A ft.ooo - . r n n u f n . r i ï l i l r
mies
de
ses
deux
llls.
soit 212.') francs
't'outo riiulamutlon devra, s'il y n lieu, ftro
.V. - La dcstruetloii d'un navlro marchand " î ï n,LAr'',!L7",
.''''''i"",'.' •'•V"",'''''^
t'ii .les llls uyant i:u besoin d'une somme d'urn'est J U H KII'O (|UO «Il OHlImposHlblndo don- N . / ,I,U T I .Ï .1 ' W "'!'"'' ' "P'?-',
'»»* hfdli'I!,? . ' ' " ' l ' J , r o i i v u r l i i r s ndrcsseo u la hous-l'réfecture de llrosl.
I (I Wnl d. diielnrall.in a t'IÙ ivlardén .a qu.
gent, Mmo Le Moigne eut la désagréable suri)ri<ie
««r nn Oqulpago ( o tui tuno nu navire saisi si n M , i IM
'1"
E m p l o i des p r i s o n n i e r s allemands. — do constater lu dlspurltlon du mugot. Le voleur
ou «'Il est Impossible do lo ramener (i un r \ ,
„
^ „
Pour parer nu niamiuc de main d'œuvro .Inu» avait eu tout Juste la délicatesse .le lui laisser
notre r.>gion. Il serait question do cr.'-erdes coni- uno uutre boite, cncbéc uu mémo endroit et
port ; en co «n». l'iiiulpaKo ot le» pussaifjrs
.Î.'î,""""
doivent ôtro mis a l'al.rl
' -««Jts T.Pv » .
i
pugulos do prisouiilur» ollemand», lesiiuols se'
'noon.,!l!l""'-''n•''''",1" '^"PPlO'il'îiilairus qui rnlunl m s A la .lisposltlon do rinleu<ranco inarl- contenont 12!) francs.
I l ne s'asit iMiooro une tols f|uo d'un pro. inilr M i V *
l'r'llv) }
Unan bcblien, clouez ar re zo kiunlfe'.it d.-oc ii, a slan-.
p i m n . n l aller UKiu'à trol» mois aprèi I llmo et lies chemins Me fer.
.-ir
Jot nul nourralt blon restor loiiittemp» si- "Â" i ,.i „ ,il„' ^ï ' " " " / .,
ar
Le (jiillviiioc
ooiB.tlon d«i ho.tliltài, surent a n u o r . K m x
(;.•» conipoguics .seraient caseruéns A Kérorioii
nonjoujpurs.le treelo«l^Lo»rOK^««r|ll^vlen- L n | ; ^
l'ou.prlsc uunlrlbiinble» niobllis.;» ou non i l su trou
.
U
n
d
i
s
p
a
r
u
q
u
i
se
p
o
r
t
e
bien.
I.e
21
A
héranroux,
en
SuInt-Plerrd-gullhIgnon
et
au
vcron . p.r suit. d . foroo m.jnuri nni,a'
«eut d'utre nualyMiie» niarquurnlcnt M elles
a„1 T Ï I m n
• ,,
innvler, la mairie .lu (iiiilvinec recevait l'avis de
u fuir.! luur di'ularaiion dans I , d ' ai .1 (junliueur.
«talent iinnli,,u(/e» un proinW (5vldont sur L n l i " Soiîio
uumprls^
E guui-E e p.'l) apoliu.'i-oz.
décembre l'.im de
droil eomnuin.
'
Ii'uutro part, nu cump do prisonncer» aliu- la dlspurltlon. depuis le
es prociStfe» iirlmlnel» ot brutaux do TAusA ^n K i l
.1» ^
StaiiKa 'ra ar nu/.. r b. r r a niiizer ; paron 'ra nvu.-liou c V, h " u r •
Jcuu.J.,sepli 1.0 Corre, Agé .le 40 uns, sol.lol au
niauds
snrull
.ilulill
A
l.uni-lvouré,
pi-fs
SulultfO-AllemnKne. .Mal» Il faut rucimnaltro enC» .„„ i„n
,
L
u z liroiic.iltc, (jti-;,,|,i., Ii,ii.icuz«. - Klcijvoioii poi;,-i„. "
J.T
d
lufautei-io
coloniale,
n'oi-s
que
ce
milituire
llenun, ut un autre dans Icsmoiitugucs d'-\rrée
poiidaiit qu'el es sn' utinimorntont, lu pllol- ,b- .",in
^ ^ ^ ^ J i "J
''li ""
se trouyult .Iuns sa famille, en permission r.>guI.es
prisonniers
dépenilnut
de
ces
deux
•Icrulers
.'.i . ^ n
"
icmont au molu», lo dro t pour les l.e llgtl- X i r i
'I- i-oiiiaitl.id;
:t f r .
llère,
du
lU
uu
2o
junvler.
Voici
commenl
l
e
camps seraient mis A lu disposition des cultivavants doooulor les navlro» nmriduiiidH jiu.
. ' s .iv
''i
''' ™
Corrc explique ce mulcntendu : Ktanl aux tranleurs.
aiiothicairu, !..-iii<I<M-iie, priuhoi: Iie:i;ii,
«•«eplatlou, 1 'ailleurs tort liypolhùtlque:O t alK^ I u L .1!^,
'
" lu
chées A l'atlaquo de.... le 23 septembre t'Ji;; h,
nisdalennou
c-.'luuicourioii ai)otil((M-iun
«otto uonvcnllon «ora uorin nonfunt prix'OÙV»
, ^^^
i , ,,
Lninbéxcllec
compugulo avuil rc^u l oi-dre .le se dévêtir 'du
(iru ; a laijoiir
.-.i- .r, -al. ar ..••hr;-i,(-!
de., d'une inlsc au point minulleuso,
l i e s Bucoessions des m i l i t a i r e s t u é s
. \ n ai,t. .^lOllHI'L. do.-li-or-apotiiici
•ston el de faire uu ballot de tout ce .lul n'était
. ail liispoObsèques de l a mère M a r i e - S é r a p h i n
u.n.c,.
utc.).
h'*"!."''!'-'''
'"""l'I"'! dan» le lubiem! "l
II. - Hn Roumanie
(r.-.n.-iii/si-s, s.-iiii;,
& l'ennemi
- Sniiiiinl 2» janvier, u eu lieu, a l.ainbézcllec, pus indisjiensublo pour aller A l uttuiiue I o livret sillon, il.uhuruloire
L'or allemand continue on Houmanio ii Ji"^' " ' ^
intorreuuuit de Mmo Anna lloiilbonneau en milituire .,e Irouvail dans la pocb.! <lu ve- on
I.n question dos succe.s.slons des mlJIOr,
upr.-s
l'uttnquu.
Il
ue
put
réintégrer
son
religion
s.uur
Marie
Sérapbla,
.les
l-'iilc»
rouler 6 Ilot». Cppondnnt lus n)»ullnt» de
" m p ô t dù por oontrlbuablu tnires lu(is fi l'ennemi a (.H(; r(?slOe parles
Ktiido de M- < i , i i | | y . notaire
Ju ancienne truiicbée. ni rupreu.lru sou ballot, ut
il PluyiK-u
«etto propagande elTiOneeotOhontOo no Hunt
Pour «.000 franus dn n.vuini inii.i uiiliba iir Iclos (1 ot 7 do la loi du 2(1 di^con bre • dnt-Kspril. de .SiUnt Brleuc.
Un nombreux pi-étres y assisiaienl, beaucoup fut par la suite, ailcclé A la 18 compagnie nuis
.-.Miin •iiiiiiiin
19U. D après co» textes, les rtifles appll- de Sœurs HIancbos, et une très grande foule de aux trains r.igim.'ntair.;s. section liors ruiig Sup
ï a l t f lie?. le» DOOIICH, (iil aiYlèlô "(RUINFOS
mnrli! avuo Iroi» uiifnnis niin.'iir», z.frn'.
compl..^- du ÎD
cables il cetto matlÈro .sont kvs suivantes • pprsonnes, prniivn quo In sœur Mario S.irapbln nnciennn compugnie n'en ayant pas été avi^i^c
Pour S.IKX) francs : c.>libalalr.'s. V> rrancc
ptonibro l'JIO,
"
'
•
r I, exemption de l'impiit do mutation b.ll aiméo ut buutcmeul estimée duns tout le considéru donc
«trihier
iauihlull,
tdmoisno contre les ['laH.! snns uiiranl», < frane»
mari' vu
Hoiimuins d uno toile mauvaise humeur trois l'ufanl» niliieiiis, 2.>i'o,
«applique aux parts iioltes recueillies poiiuleux quurtier .le Hérinou.
au ir «omble bien que le» arfulru» d» la Qun.Vé.iA l'ont-(>..|x, d uuo fa
lo foncièremeut
dans ces successions :
à /,
«Jruplo.Mnteiii.ivonton Uoumanlo beaiieoun m , ' , ' . ! , : ' ; ; ' | ' | ' " ' ! > | 1 ' < ' ' ' . ao rmn..»
cbrétieuno et louto dévouée aux œuvres, Mlle
conte;.
A — par les ascoiidniils,
L
" " ' "f,""!"'
fi'»ii'!» i mariO uvu,
.-iiviron 1.^ iioclares.
mieux qu on no «cralt »oN\ont lonn;'dn l'IAnna Ion boiiueuu eiitru, jeune uncoru, dans la
S'a.ir
Iroi»
unfanls
iniiiuiirs,
m'i'o.
H — par les doeceiidaiits,
ei a l'éludo ou à
uittBlnov ohui-. non», Lo Tauchlalt pv.Mo id ,
Congrégation des Killes du Suint l-.'sprit où ulle
•N.'a.ia ;
Pour la.îiOO francs ; .'.^lilialniri'», <10 franc»
.0
lioii;iir,boul<uiMérf!
C — pur la veuve du dôtiint ;
lu ssera uno traco profonde. Kiie apportait avec
Tdiii.-s lu.s fomnies i
au l'oiit-di-1
" 'rV.'Vl',"'"' "l"'^"*
vendu de» 'ini'lii »uii» cnrniil». li.l n unes ; mari.» avuc
a* I.es collatéraux, mCiiio les (ri-rc.'î et elle do, lenlhuusiasme, iiiio Ame gùnéreusi! cl
1 . nm «, J AlloninKiie, accumule A plaisir >'.'"1^' fnfunls mlnrurs, 8 fr,' nus,
il.-iiigi'rs .|ui l.'s nn-nai
os 8(cur.s, doivent payer l'Impôt de mu- vilirunte, un i-njur épris de Jusilce et qui no rert) fr,
lo« dinicultii» nour faire rotnrdor la livrai''"iir l.',,o(H fr
I.1 i i i ; r o i ' K )) A«;K.
Ktud,- de M- «; iiillcula l devant r ou lorsou'li s'ugissail do défendre
iHiion i
Pour ï(i.CO(i fr.
notaiic
120 fr.
«on do co» ilenr.»es, el II laisse oiitendie
II.-s son: bi.-M i-oniiiis.
P.mr sri.onn f r ,
•bun
'iOO fr,
""
l'^'iilront l'utLa di^claratlon do ces succession» les droits do Dieu ou .lo promouvoir son règne
>
Lors des expulsions d.m religieuses eu lUOi!
lonjKo, la Houinanlo pourrnit blon marcher Pour MUKK) f r .
.'100 fr.
i40
c
il
(lovru Otro Inito daius lo dùlal ordinaire do elle enseignait an punslonuat .'^ninl Julien dé
UeMBK£ DU JUR1 «( Huii.
c0l\'c0llllli
ftlours eût..». Il icrmiiio ou signalant nue Pour ,'in.ooo rr,
700 fr.
.M (J <•<
six nwls, mijmo par les personnes (lul l-amlernuau. Conune toidus ses sœurs, elle pronu
Pursoilii.' n itriiorc pu,s ii. 11- K-s a,oparoils
108 moyen» ne manquont pa»ftrAlleiiiuKiio
'uiir Idli.WKI fr.
I.7(*) fr.
.1,
•MU- ICsd pciisont (^Isponséos do payer les droits do lu résislan.;o )us.|u'au bout : n Lu maison est A du spéuiaii.sto '.M. Ci.-is.'i-, .ii! Paris, CI. Iioupour parer i\ celte (ivoiitiiallK).
"
.lai.Cqrj ru-;, en 1 icy-^
Pour ïoo.oon f r . . . , ;i.70(i fr.
iiiutntlon, oost-iVdlro par tous le.s hiSrl- nous, ot je n'en sortirai que par la force d.-s levnrd SOiiasIojiol. soiil l.'>i seuls <|ui 1)1-0I)C1..
hnllii, pour fiOO.tXX) franu
Exifei- te torlrail
curciit
un
lji.;ii-Oir(-!
aij.so
lu
c
l
iinin.'.liiit
tlors pu IcKUtalres sfl/i,s cxcention;
bulonuidt.'».
Il failut u.i.ler. (Vêtait le 7 uoiU
!)
"•TiO II',;
sans uiifanl».
\
( n l l l i s I'.oi-il,iiit le
nouvell.-iil irr
:|irils puiivuiil so porl.'r jour el niiil sans
La pros»(i vlonnohio contlniui à priilondru avee tr..|» unfanls. 7,lW0 fr,
canal
\'ant.-s;i l;i-<'sl,.ruiip
V Co d(-lnl de six mol», au lieu do com- (jiuelqiies jours plus !urd, !.•» sœurs reutrèrent t'CMie e l . | u lls fonl (lis|.arailr.! les bon
lot la 1.-111111.duns lélublissenient. I.o i:i septembre, nouvelle
nue la capllulntlon niOMlOmV'rlno ii hlen ùio
coi.lei
ii-e
de •< heclai-..'s 70
mencer A courir rommo d'ordinaire du e.vpulsioii. (.'elle fol», pensa le .'oniinissuire Hei
.-t .-xpo!
Ditolaratlon
.\yu,s.-nL'a''coii» vlvejneiil les pcr.soniic
«iBi 00 par deux ( .••lÙKué» nrènlpotonllalir»
ares.
faut san
' "
ot quelle lia pa» biwilii d'fltrn rallllÉe pur
r-u c.inli'lhnnblo puiil faire. A sou cli.iix Jour du décès, ost roport(i au Jour de la gland c est bien Uni. Il so ti-ompuil. I.e lemle at ointe» de Rcrnlus à venir e.ssayur
l'aj.paS'a.i
.'Ul: r. ule
50.i7
cessation des hostlllti!». Cette modlllca- muin II ne fut pu» pou étonné d'enb.Mi.Iro lintui rcil de .\I. (; laser, :
jonouvorneirtont, Que la prniiiltfro pavllo (le |i'i" d.'clavalion .lu chiffru .lu son rc unïi
ooUo Informalliin soit oxnuto. u'nM ce nul i tal ou iinn .l.'cinralion c n l u n u i i l lu .I.Mnil de lion il lieu en faveur de hms les iKirltlors lu .doclio ! .Coeur Mnrle-Sérapiiln s'était luiss. « i i i i u p ç r , I.! rovnoi-, h6lul .lu l'I-.pOe.
Hre.st.
le»
u
cl7.
liOlui
d.l'iet
IfjfHlnlros,
qu'ils
soient
ou
non
dlsrunformur
dans
la
malBon.
,Ve:glond
.lut
brisoi
lu.» (ivvuiiiis .l.v. pro-,
anue.
ost d'autant plu» vrnioemblabto que le K(>I 0.T^''!,'"'' .1.""'
CABI^IFCT D E N T A I R E
Ses sooiiés, en apposnr do nouveaux, et procurei Lonent, Iq 8, liOlel .le lîrcia;giie.
ra Uoolr cl le ma or Lompnrd .luI auralo il P'
'"»•' ''l'u» bAllu^' ; ruvuiiu» .lus nro. pons(!s do payer l(?s droits;
m
u ton;.- r,-innn'
la vulllunto supérieure un blllel d'bospllalisaIl'rochure f.
pris i)art aux m^Koelntloni ont d issas» . P,'!
""''i''i';'" iH'» bAAlius ; r.wunus dus vademanUc
f)' Ces rôBlos s'appliquent non seule- u
I r,
le .|ui ir.'-prim-,o
"coT-' 'k-'i'î'i''"'" ,'{''••! r*'-'^'
lion,
cbaritublement
délivré
par
le
mulie
KeriK)8pnrdp»pntrlolcsiuonl.'n.5srln»,-(l'a r6» i ' " * , ''I„<-"l'lhuix
1
ment aux successions des militaires dos inurreo !
niai,.
b- la .i<)rv!-;.\«:!-'.
les dornlùrns nouvcllu» revue». (Jiiand A la ...puma,ion;
'•
I)hiî
années fraïK'alses et nllIiSes do terro et de
Cl.-s
i-i-.MiKi'r-.-.
sii
luiTU,
.lu
liiubislrlu
ul
d.'s
clmirus
ul
of.
Des vexulioiis traeassièrrs quo la Congriigaliou
«ccoiido partie, on verra ((uollo valeur aura
(Mil «••vlItT l afll
.•l's : nn.'iiiis d.N nuploi» publics ul privCs; mer inort» sous les drapeaux pendant la des .>-œurs Diuacbes eut A subir .Iuns lus unmVs
«0 to a»»ortlon mi Jour de» pourpnrlnr» de
.1 eoii;;uslioii. l'ai!
durée de la guerre actuelle, mais encore • suivante», nous n'en liaflerons que pour mémoire.
ilr lu l ;:niltr
ih I';
L'assi-mblOe K(!n(;ralo des aciloniiaii-es d.
paix,., de» vrais. Il n'en est pa» moin» cer- ruMa lus. p.'nsloMs ul ruol.'J viaK.'ir»',!
aîi.-vrisnuv-t
ï-l u uon ribnabin nu v.'iil faire .pi'iinu .1.'Aux successions des mllllairos qui, soit Disons seulement que lu sœur ,Marie-.'<.lnipbiu la liaiiquc dn l-'rnnce s'est tenue lo -'7 ian
l-:x-n::-f -h, xci-no:
tain quo celle ((Uusllon inoMti'ni'LTlno ru»te
O u o l l c Il'oilll
u su» r'vumis, Il sous les drapeaux, soit après renvoi dans lien garda point rau.;uue A nos gouvernants- vler, SOUS la prfcl.lunce de .M. fi. l - a l l a i „
ll!'
p:U,l
),:,„-,•/;
(inooro envelopp(je d'une certaine obscui ltO, (Iara l..ii .lu l'unscinl
me
n'a plus son .-ours bal)
[:\(rac(iuiis
! "I .,
lu» .mux pr,.uiiurs n ois leurs (oyors, seront morts dans l'aniiOo A et en aoûl 11114, elle fui la premi^-e A engager KOuv.;riii;ur . I d a Danqiie. qui a .loiuii- Icc
i-.-'ii.-i' a u \ ijarlies l.'s pi.i
compter do la co,ssatlon dos hostilités, de lus .Sœurs llluncbes A mellru Dut leur .Ivoùniuul ture du i-oinplo ren.iu dos o|).-ralion.s pour
* ,. ' • " " ' ;
"'l''"ill'i" "lluilli avis,
!«)•!!<
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K i rs
b-s niai.-.di.-s les pl.is pé
J.B plane non» manque pour nous liteiulru
Apr.\» I uxpinilioii .lu uu .I.Mui de .I.MIX mois, 1) essurcs ro(;ues ou do maladies contrac- uu service do la patrie eu danger. l-;i c'est ainsi l'cxercien 1!II5. Lu i-appoi t do.» ccn^c r.s a
0 . \ l'.MII.K Hiil-M'ON
i n é i r i l f . illii-oni.-. maux
.pie dans ce peusioniial .le .Votre Dame de Ik.nno- clé préscuto jiar .M. Cii, Petit.
. «ulourd hul sur la question linanclùro.
pourra encoru fair.. pnu .b'clurallon. dan» l(^es pendant la guerre ;
! n \ . S L.V .M.MSO.NJ
iL-rfs. .-I.-,
Nouiellede hérinou, dont elle était devenue In
Non» iKju» en voudrions cependant do ne I
Cu» d.)cunionts font ressortir, sur lus
dOlai .l'iin iii.> » apr.-s ri'i'untion .lu l'âvl"
L a . l ( H ' V i : \ < : i ; d . - l AIII
A u n successions do toutes personnes sous-dlrectrlco et que, grftce ù lu précieuse collu' ciillfi;.;.» de ru.xerul.-o nréci-.lonl uno tr.-s
pas c ipp Immudintoment ii no» liu^tuurs cul lu
dus n.mlrlhnll,.n» (lin
lu
Il
touk-s
l.-s
i'hHriiia.-ies
11
fi-,
7.1
i.;"
pri'vununl
extrait du lh;,-thu'y l'ost : « I,n situation o»l
iiu'll su ironv.! .laiis lu ua r.Mro tuées par l'ennemi ou cours des hosti- borution do M. lo Curé de l.anibézelleo, eileuvait uon.>.idorablp auffinenlalion do r.'nuaissi'-or
rran.-o. L.-s :i lla.-oiis 1 I fr. 'J.i franco
relové el considiii-ublement agrandi, - dans le» quiattek'uait, au-.'i duceinbre luiô. i niillerriltiMilc.
I.e neiiplo doit se priiparur A lin )0SU, ,Mals ul.irs il d.'vra fournir I ilOlall lités ;
niaiiilal-poNle adr.-.-^se Piiariiiaelo .M
bAllments do l'école Irnusfonnéo uu IlOoilal
de.» temps trùs (lurs.,, « Ht pendant co temps .lu sus r.'vunn» par ual.>Ki>rius.
0' Les personnes qui .sont dispensées de tomporaire I on voit d.'s Sœurs lilunchcs soigaor lardsho iiiillioM», sur U!n; encais>c mOlalt l e r , a Houen.
Mniis
l'imu
m
l'aiili'u
Ii5'p.,lb.''»u,-,
h,
d.'.
le mark que certalnu» maïKjonvres avnloni
ll.juo totale de .'•...IDI millions.
payer
1
mpôt
de
mutation
auront
A
Joindre
depuis bient.U dix huit mois, graluilument Soinfait remonter .!ii Suisse a repris dan» ce ularalion uinp.irlu .l'ailbM.rs lus niOinus
Le total des rentrées en or .nu cours du
(Norna
fi
la
déclaration
de
la
sucee.ssion
un
certlqn.Mi.;..»,
I...»
i>nonclall.,iw
.|i'..l
u
c.uiliu
t
l'amour
.le
liieii
et
de
la
l-'ranue,
R,,
nom'bi'eux
oay» son moiivement de dcurlngoludo.
lexerclc(! a c l é (lo 1..1S7 niillions, ciiiffro ras.Mi .Miiics pour .'.xa,'lus, A ilmins qn., Pa
llcat do rautorlté militaire constatant que .soldats blessés ou malades qui leur viennent .'les incnu u ri.'l 1111 loiis par .les envois .l'or lails
Islra .,n apr,^s l'av.,ir v,'rin.;.u 'unique, m mort a été causéo par uno blessure points lus plus divers du front,
en vue .le a.nliler nos r,''gl..nienls A l'.'-îra
ment A i al.b' ilus .'l.'iii.'n s curlains .lonl ses ro.,-110 ou uno maladie contractée pendant
l.a sœurMurle-Hérapbiuest morle tropt.'d l'Ile g.'r. Le solde .lus dispoiiiidlik-s ut avoir A
auen s ,l|.p.,s,.nl un vurlu ,lu luur» fon M .in»'
lelranK'cr solovait .-i prés .l'un n i i l l i a r l
na
pus
pu
jouir
du
fruit
de
sou
loueur;
elle
ln
dureo
de
la
giiorre.
ou,
dans
le
cas
do
napporlu a iirenvu .'.nilrairu. O s t lA uim
nnr.'s pri-l.-voiuunt au cours di! l'ex.-rcicSilualIon .1 ff,>raiil ussunlinll,.ni.'nl
lu i,, c vils tues par l'ennemi, établissant les nuui-a pus vu la i.alx et lu réconciliation déliai .1 environ SdU millions iivi-.-s au conunorco
tiveiuent
.lescen.liics
sur
notre
l.-i-re
de
rrance.
clrconstiincos du décès.
Alals s:> Longr.wUion demcme, ut d'autres .Sœur tran<;ais pour le in.jiiio objet.
lliiii, usi laMi d'ofilun par lu u.
du»
Blunciies, espérons lo, viun.Irout après
J. D
Lus av.mres A l'Klat onl pass.- de :i.;i(ii) Ktu.b, d.' Mll-icMlX
'iiilrlbullons ilirucii'
car il liiuoiiibe .laiis
i;i.'collnront .lans l'ali.igresso ce .luVlle elle, .|i, millions a :> uiilliai-.U soit ui e au<'nienl-i(li! (ic illiiiltîC pourllre^l.i
tain- il
a sonr
N'jUs avon» publié la loi rulalive A l'InipiM I un nas nu u.inirlbuabb" b; prouver l'in.'xnulil.i.ii ^.-i,.,
duns lu trlbulallon et les luriucs.
tioii
de
1.100
millioiis
pour
l'.-vur.-ico
1
-i
i.|.i<-, p uu;- .seio ci
11 o 11»r>r 10 .oyenu. devenue applicable depuis b' lii.lu (I., in h.ise .l'impuy liuii .pil lui u 010 nscireulali.)!!
s'est
i-l.-vée
do
1-j
milliards
À
i:i
Chli-.i
(is(c
SIKH.'.',
'
>•' janvier
Lnndcriicaii
m i l l i a n l s m niillions.
|ilOUlt' (le I,
l.a .l.'i'liirall.ili nssuru un oiilru, au uonlrlm loiii-nal.
•ilH'JcI'.uis
.\u CoïKiiiet
L'ain.'-lioralion ,lo la situation .-eoiHMni.Mio
M o r t e dans le t r a i n . - .Mme Simon .lilaus
-orns
I T ' P'"'!"»' ''cKleniont (l'administration biiablu, le b.'<néli.>n .In li I d.'.lu.-li.in d.'s uhar.
du
pavs;>.slatt.!sl,-e nar l'aujimenlallon du
domlclll.!e
A
llouen,
résiclall
depuis
lieu.x'mois
À
,J,. I
Kn r.'-lud.'.
) 11.
!
11.
publique concerimnt culte loi, et l'a fait g.'» .pil piMivunl grev.'r
global portefeuillu d effets.le (•omiiien-e non p m l.uuib;rn.'au. ch.!2 sa niie. I.e 27 Janvier eibLe diiii:iii«-!u> (i f.'-M-it'i.=aur le sa
suivre d'une note oxpllcativo ((ue nous .lullu>., iinp.ll», .'lu, — u 'Ile .lOiliiulion n'.'lanl
.:iai
été trouvée luorto daus le truiii, A Kerbu'ou. i.o ro;,'.;s qui .T pass.i d'un minimum .le -Ml milacipiis.-. aux luriiiuM d.i la loi .pi'A uuux qui
1. r
I Ch.-ilu
II-.- |,-s .Ici;
(lo.i
décès
a
été
oitribué
A
une
cougesllou.
itons a pr.;s de iilil niillions, et i,ar la i-é.iii- t i i u ; , à deux heures c l ileil
prodiiisciil 1,1 déclaralloii lu luur ruvcnu.
pos.' lies
rlilii •is
lion du porlureuill.- dus uff.-l» |u-0r0!,'.-s. l-.'n- niie après-iiipii,
L'AI.L.
tr.; le mois d'octobro l : i l l et le 'ji décembre
Le Ooiiquct
l-n S a i i t l»:<M-i-e OiiHhiON
H(!daetion do l a d i i o l a r a t i o n
Personnes usaujettles b, l'Impôt
l'Jlj, les ronibo.urseiiiciil.s sur eo dernier î î u o i i , au /;.-.,-.il/o,
'j-s, n i « .Mi>ii-i<.. i { i i i : s r
A r r e s t a t i o n d'un soldat. — Jean ï i i i d du porlereuille
, Lus forniiil.
lu • lin.'.'s a la rOdauli.m ilu
L'Iinp.^t u»l drt ubiiipiu annt'u par lu» OIT
avaient
-..nso
millions
premier bulalilou .r..Mri.iue, inculpé .l'abandon
Hiiiinos (bail lu ruvunu lud l.dal. apr.-s al nli .b'uliirution» J Mil niisu» .lan» le» inali'i
'nr .l( cislou de .Monseluneur l'Kvéque, n étO du son poste A Waibeu (.\ord . leO janvior uélé ut le sol.lu était raiiiuné ù I.SOC millions eneatlon du» .l.'diiclinn» slipul.Vs p , r
, |"i la dlsposllioii dus inlOr.'.. s.-s,
noinniO :
lleriii"! t
arrête
sur le vap.'ur Truvaillcur, au momènt o.î viron.
l-:ibN
pn's.-ii
Pour p isiiiiniers de nuerre
compr.-nai.t : i.iai-ioii. (;ran•ul
loulu
peur uharKu» .le fainillu. a .b'pass.'- peu la
llr
-.C) .1.!
l'r.'-s du elnquiéinc .lu montaiil total dus
supprétult A gugnor Ouessaut.
Innn.'u pr.iu,-.b>nlu la souioiu .io ^,(l;lo' r u» ....niru» p.n,,.
L'.'S. erè-.-lie-^. jardin et eliamp
•4 fr. te <-.•„«.
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l,i;iix-ul aiir.>nl S.JIII .lu r.'li'nir l.w f.inniil.,» SbUel, décédé, .M. L'onq, redeur do Sailil-Cal
q.:
• l'.'o I d.-|l!HC
I.e Dreiiiiec
fense Nntion.-ile a été r.-eu.-illi par r i i i t . ; r m . - labourabb- : k-nuc par .M.
public», .'latdlss.-uiunl» d'iitllll.'. m I, i.i
;
Koy c l auti-es.
liio
HIlinp.
« Coiii•lier
Hnclatlons, s.iciiil.'s. uic.i, n'v soni nus «"ii. l i ' i l Ml l.'ur ii]|p.isil|,ui do
E n t r e onole ot noveu. — l e I " Janvier, duiire <1.! la 1 au.pic .lu l-'rance. pour un .-a- H.;vciui : .T.'.-i fi-, l'an.
iMru Olabliu
.lu
;•a.li-u..pifiil
nominal
d.-:iv!ron
:i
milliard»
-.'.'JUi
M!e I-.oV(
ml»u» : uiui» bluu unlun.hi, fus ui.'uilr?> .1._
lU.l
\ vos .lalfrès venait conduire A la ga.-e sou nemiilions) en .m7!is sou.serii)lions.
S'adresser audit notaire.
à Plo idalm.»oul(i|i » ..; |.,1||U naiiiru ,l„ivuut iM.uipivn.lrc .11 quarllir — ou M., Iri.iiv.' slliu-U luur r.'siLe
veu, Claude Mul.-Jao, :i.i uns, ouvrier
m: i-, Gl )Hiii-;i,iN
l'ai-seual
Los somiii.'s pay.-es par la Han.nie .le
.b'ii.'u uiii.piu nu prinuip,,lu, c'usl,
' ,lm|
do
lli-.;st.
(lu
uvait
pi-ohublemeiit
félé
.
.
nouvel '.ri",'-'-"!; :,"!•
'I'"»" I'",.'!;';
pie de b-iir r.'vunu p.'rs., , ,'
•"; cl>'™iit a -.m millions .loiit
r . us foriniilus ,pi,, s,.M in.ll.pio.' l'ailru-S.:
un. Ku cours de route, uno discussion data
(,:nir •,!lal|lissuiu..nt du r„,p,-,|, p., r paH .1 's ii,.
'"'i in uiir dis .'..nlribulioi s .lir.'ui.N A
L oncle el lo neveu desiiendlreut de voiture I o lll.l,',i.0i),l II-, pour la rodevance sur la eirbi.'iu'Ilcus d a i - lu»
I"- ...........11..-'.
op.'raliiai» .|i>.. . I Clctr
oulation
produullve,
7.1llil.(l(in pour la r.-ilcr I I A lî M A (;
n.;ycu eut lût fait do terrasser l'oncle, et lui'dls^
Revenu Imposable
Iii '
pnriu ,l'ab.,r,l sur la t m iiub- ib' sous lu [irésbienco do .M, .Mérlel-lliissy, cousui 1er Iribua force de coups de pl.i.l el de poing, en lui vancu spéciale .sur i'inlérél des iivane.'s
(Jonsen
le.s
au
Inisor,
et -.'.S-.D.uuu pour les
pr.'iii
Ln rovunii iiupoiaidu v^l fiu-ni.'' iiar li pni- I.. arali.m sus noni
Il In.liqiiu A lu Cour d apnel de Hennés, uyunt c imn e • » disant : l u vus mourir comme un boubo ! n
d i i l l l.iMl II.-» dlff.iruntu» s.Mir."» ,|u r.,. •niis, b; lluii .lu sa r.''si.b'ucu, .MI, s'i I a plusiuuis rO- sessuurs M.'^i. tirimuud, président du Ir
1.0 tribunal coroclionnel do Uresl a lon.lainni; droits de limin-o sur la circulallon.
u.-d le
Lass.Miibloe eénérale a .'lu :• C.-.nsoiir,
r . n » ul prolll» (bail dispovu uliuqiio r ml ri- si.li-n.-us, lu linii du s.ui i.riiiiclpal ùlabH-su- giilmpor, et .Mnvoino, Juge supplOuu
i éi e CItudo .Mali-Juc A 2.') t r d amondo avec sursis.
Lauréat
de l'Acadénifo
.M. K lailliei-e, I.-Miusiriol, inembru.lu Conm.m.
inil»
la
naliire
.le
s.'s
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:fo mà
.'OBlno
luiubju, S.III» .biiliiulloii. .l'un.' pari, ,1,,»
11,'uiipullon» pror.'«si.inn.-llus,
seil dl'.scoin|itu, ancien meiiibr.? .le l,-i Cliamet dupuns.'S qui Ki'.''Vi'nt sp.-uialuui.'ul frais
P
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h iii-uus, ul. .l'aiiiru pari,
M o r t aocidentolle, — l'raïu-ois ( JU.], eulliAR
ROUI^ DEUZ
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luiluslriul ; el r.'KonIs : .M.\|.
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.lu ,10 iliiclloiis sp.Vialus uu iMis.ai .ln
thjirgu» an.M'laiit l'-nsninhlu .lus r.'vVniii ib>s
vatuur,dout la viioéluil très faible, ai lit disparu
s. iliialli .. (lu faniillu.' il ...m..iKn,. b's ïu.llvoir. ' apr.'-» r.iiiuinùrill.in
.laii la. epiiis lo 211 Janvier. Vendredi, a •lé trouvé Ivmiip Piucliel, agricuil.'ur. Président de la
I
. lions In.lii lunsabl.'s pour lu uuleul d,. ,,us
|()l : les'i'ii.-r.il» du .lull.'s ul Iaxu» a! "iUli- b-.liiullons
dans une cui-rièru, près de l,»cmuji..-ii. où il était hoçie e .le.s .Vgri.-.iUeurs do l-'rance, aneicn
fans
lu»
ua.Irus
.lIsposOs
A
cul
presidoiil de r.\cadéniio ationale d'A;;!-!Wo» lu» puri » ri'siillanl .l'un .I.'llcil
M do pi'InlompN
touillé u.jcldenl.dl(unent Dans sa chute, il s'était cull;ire.
m-ciiv.-iii.L .l oSeï- :-.>.-i,!.
. ,i..ii
.T!.
. M
en i-einplacenienl <le .M, Uenar.l,
' doiien
"
-«i- « o a i l •
non .III
plullntl n du » uno uniruprisu aKric,.'b d'.'X- •ffut.
Louzou
ull ehn.
.-bel n ilnll bcin.-.n cvil parcu• au
tracturo lo cnln
Par l.'-l.igranniin .lu '.'0 Janvirr,
Puis,
un
vu..
.1,,
doiuriiiiiiur
lu
r.'v,.mi
gloaunculleur. et .\I. .\lorcl, tiesuricr-payeur
diistrlullu
un drouK-lived.
Ira i.'ii dus haras a fuit ciuiiallr. r . - \ d n i i n i s Kemiral .le .\I,.Mirllie-et-.Mo
.l.dl fairu r.'ss '||u | uullu aiiiiOu, lu u.uirours
I.CH pi'v.'iiii» .b-.il II usi fall |i|nl p.,ur l'.i. 'i'I '|1I" la ib'ularu
i «piu, pour
1 10-17011 ar (riv.'lla d' m ".-'iieil
Mb- a réélu n^'enls .- MM. lo baron
. \ i i l l i i i i i i i i c i i i c Tp
tnb l»»unii<nl dn rinipill sont uuux ijul ont .M.* ^ as-iu par ualiigorl.. lu»
C i t a t i o n — .M. Joun Cavurec, udju.lunl au
s ^ , ^ .1 du livni.i mois A Laii.lurn.-au .•. le poulains
b j zu.
aiiiiiih'ra A 42' d'Infanterli coloniale, c clé l'objel de lu cilu- Kdouar.l de 1 otlischil.l, luinquiei-. et M,
"(Salisés uu couru do laïuicîe pr.'Ct-'l.'ulu
.M liti-nd.Cfr. I
su
lunir
a
lOpoquu
babil
uullu,
e'i
pi'nnis
.lu
l.uiln
naliirn
au.pdsu
ùaF
1
|
,
,
ours
lM-an.,-ois de \\ en.i.-l. in.lvslrk!| ; censeur .! : l i i . . l . ! I)i:i
•sl-à-.liru A lion sulviiuto
lautoiunu.
Aniiotr. .M<M-,-nl. .lool. u: apollii.-, lire,
.10 l'année .pil a i.rOu.'dO a'ilo lo
l'élit,
industnel,
Pr,,.,idenl
du
'l'i-isu, pu
culino et sa
brtucli,andi.spo'ilion .i lahjSi-i. U'ii rinc. I iboiir dcuz
•'Il ••'ang, <(
«Il
llls.
^
I] LeOourrlerduFiniitOre
.-rlor lOtd
.1
"','"'' '>"<' K«"i' 0 b i i n c n i d vIo»,
.viioiliinU 1111 cil cvil e«ile, bisk.ia^:
h )w * ^ ' . ' " «
pen.sellel euî! m
linii l i u c l l o e ' l i : i r . n i i i l un IIL'UZ iing our- net n ven
.scrvlchoul (Iczlio (lu vii«u.lu- î,'n,',';' n"''^^' " 'n'
'"'"I :
(In baril var m- e'Iinssel lioat ii
luiiio Uoue e c houlciiiiomp dignncoc'li Kouilluiz. lin k o u i i t u n l e
"<•' viih !
'il'"'
bet ({anl zcrviclic .Iil gnvel dn boh- e zaïmliimul .1.1 l.-zel , n .lei-e'lienl. aslenii el v n r
l'cpu ï v l t an noz a zcu ; vni-e'honz, mlii- lU'beiiloe'h. l-;un t r i pe velcnt
0 v M ç (et II (•'lioiint e'iioiir!!in ; re uu»
bevnr iniz du
b.lU.-llIMl lo '!<> ' p l o u z l , ,|;,|-e
Il m edot du Klevet ni lonreniii u o w l - •seuil |)ç .seuri dn lakaut eti-c iir «urvii- Uii mad, ni scndalc'Iio hou hent cire- c lioude, eur bugel konnl k c n a c'iionrzc l i o u d'an çspurnns. . \ r l)u(,'el a aslcnu.vcrv
Kaiil nu nn. 111" lia,, nr zee'hed.
^ck bi'o ur bilhnoucricn. r;i{î hor iiiichcr oulhnii nn Kluz n deuaz dn duuler cur e zaoïiai-nigou varzu nn iiilanvez ; c
v / c l f a l l pa «lii.sker ulier dezlmn plcun. iilmi. ;\inirV"nemcuiri''cr h'i'iu Adeîllii u
i;pad
eiir
Iicniind. an iuinuvez n zclm" co dastum ha diboue/n truilhou.
ninn aouciiudiKez var au licgcz. I V r z m n u i a yoa keii laoucn lun ohou- Inz .luz nr
O ui ail laininuu a veze miz ho nber, cm- i!()njiiz no c'hellfcnt'morse (l«,s uiù
•'lii'ouadui-ili. lu, jien n V n
cl,en a-buii du zcllel oulliiiii -.
1 eoi-lcn iiiczuz oc'h ncuze, eme an iiiH
I
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liiK .\( c l l m ne .skulzcnl ket o sellcl oul«••'hiilz eu* ar briiKc/eler da hcnulê* i . ve« na jiokcii kiioiil eu» I
dil'e d i v i n c i le.-i^iirl .soiijou a di-emcn<«
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goudc
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pciiiiiid,
betiinvez
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niiizeriou
kcntn,
zcae'h hng eur be/'ad oalen da zalla h
liaii. \ n i i n i k en don (laouLigad scdcr
Eur piioiir, lu piinin- kon n c'honrîie iir
me ivcz am cuz i-cdet ur vi-o, huK hed vn Klaz evel eun onbl dlfîatnr ; l i o n d'an es- leg ar r basset, lia vnr he (laouarn .Ire lie sper.
Nebeud ha ncbuud, evit
«nibcii, nia kendalc'hfeni da bll ôt
lebeiKl II r'houiildcuei! d u ovlt «r n l l '
W o r c ' h M mithnn. Evit oll clunve», o (lud
biiez, choukatet meur a zuc'hn(r pllhoii. IJCi-ans, eme nn tnd, l i o u d'un espcraii.s.
l i n e l'zct d i j a bc libouczaz nr c'broun- d.'are, lie (-'lialoun a dciierea : mnriczo
viii'di-o Ki'oaz ar Vllleii ! i-ed ( c
a l e i a i vur ho lerc'li eur gwelc kioi,
uiiic nr vnmm ; ha d'he mnbiL', en eur he dur.. l a i i n i k K.spunins ! un kaera bnuo, h";,.''',;"' 'M"' I ' ' "
•""Z'''- 'Il •meiiut,h l m ' u , ; W ' ' ; . ' ' * ^ ' ' , » ^'-'n'" « 'I'' • iiuml en il bcnnaft dn gla.sk gwelloc'h
fcrein o bosloii, dhtiiu ur rtxen, nr «el n luïivn
1 , Aiuinik Knicel, hervcz he iimczcicii. luskellal, mcr(-;ii l.uiz an D i a r c ' l i c i i .-i goulskoude... Ilogeu, lavaret e ve ncuze " . ' i ; e seblanlaz . ezlii gwelel lu- bugnii
" nlvc.skcf ha dV bennliiii' zulvez, Koudo ur cousuerou. u"
Koii dilezel ev l'iditnn vnr nn douar, heb
Il
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«ammou, heb dor un foim.s ; o klehen nn
«une k i i i i l i k ar Barudoz. b r o an cspci-niis.
Mlchcr ar u'hoiiicucr, kcn nheuel Im (laou
.
heb km- nae nnaoudcse/
zempl oKiz nu oll... \ u n , naii, emuzlii. .) In.l nn mnuini.
oaled, «iinkct en doiinr a Lcii lu d'ur si,
m
en ho diiouliiHud. a lavariii! kenn- gwlr co ; .sldnsset (jo va gond em «onSiounz, eurusicd nn daou l i i l l i a o u c r ne c h o u r v u z ar p o l r l k var c boueliad kolo
-\ii Aolr..u loue k e i i l o c ' l i . ' r g i - è d . , f
minaJ. duoti ucf n lervleho (la skobel, kon (lldnieHiin.Hcl a dreiù ar c'hnnTve o
z ed. An nnkou dldriioz, spouninilli ar
d l i c kel liadout. i l o daou c oent tnirel eu — Hug lie jeiiz. (.-r iiieaz en eur c ' h o a r / i n skonz vnr he c'halouu I ng n ei
u-iiBn tlex iir nuiln eïominck e knver peiii'- var an dmiiir lia xokcn er ba a ()" m'nr / e U u , hag en em lakeiiit eu hcut varzu
...
" " " ' u h ' " ''T''"'
"'«"loiinik memez devez gant cun hevcicp k k m v e d
llcsa eun tiiininik tnol, ffant eur bnnk DC co « w i r nc (;'hcllH/. iniirse " ô b - t " î br(il(ni ar (rhiiz-Hcol-, Mont a rcan c
go.Ti) egiz cur l'ollez.
iiicur
;
ar (ileskcr va n i c d , en hevclei) bloave/ hag nsnmblez ho eneoii u iiijnz varzu
ar vi eurlox i>lf{nnl bctcK loehcn Siml l " •
(Ul .1 vlonvez. K e m c i c l a rcaz a.- biigol
iioz,
eneoii Per
, ."Kl'
""i';' viieou
l ' c r AInpied bay vnr
a zi.sknraz Koulk vli iiinb hcn . S k ^ lounnte ez ar Jîunt, cl leac'h ma oc grciil
îïïk.îiîï""
"'"«hl, cun » «o deuci lilrlo da
rouancï „ „ „ j avautiir Doue, dourn oe'h dourii, heb ln
, ' lu
he bi-eac'h. ha gmilhan hc t i s t r o a r
viii'oul eur m
ei.krc.ct-OHIZ (L iou d i ' t vreiir hag Annulk vian ho c'hoar Da dezho, lizinnz h o r bcuz, nn digemer Tiren A d c l / i i i Diui-c hcn a u i j a z d'nr
arUelUk evIt gorrcnn an dllhiijou hna miohtqdu : d'ho hojil ar bllh m tere" h
bm-i
ar baradoz
; d'hee zl.
ZI. l-;uz
l-.uz ar sanailh he tisk.mnnz a r
lucnliid, nec'het o klask goKzout e^ie du
"î"'"»» Annaik Ki'ugd rteuz an A o i r o u Doue p r o m c l e t d'au nub lio r ' h o r f o i i I oe douget betcg ar w c r c d (•b.-ivel
deu* groal eur wall gaiiimod var m w k
b.-ivel
koni gwen « zervichnz da KUIIV.V
c kiiviiil lejelï, mo.i leun n fl/,lanz eri ho a zo bet klozct er bcz, Choum a reu «li- en deyczo ijouzanvef gant pa.sinnted en eur e ' h a r r b i a n ' ^ d r e (Iu,I bkVne
«vvele da L n o u i k »n .T'-ond Sknin^ d'o
gant nr zakrist koz I-'i;a„snlk Bouro -I
iiaoun ha .seclicd var an douar.
'hoar ba i c v r c u d e u r kosoc'h. hit
ski liv J hennez Ivez a zo maro evidoun,
benn pcudrn 'dn brcna eun hcvcleii arroheb dcii var e l e r c ' h . l-:pnd klenvcd aii goudc bezn s z i b o u l l r c u n e l , he c'houi-.
.^n . l m M Î ' " ' ^ ' ' ' ^ " " " " ' , « ' " voua
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l'iig niorso den ne dcc'haz cuz pr i/o
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j n Aoirou Ooiio d'ho « i l . ' T J "
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l ï " " " " ' < IvoxHloc'h,
Igoucïjonl en eur gei-hKlcn, paour herveznz ennhan Y a u n i k l i s p c r a n r
nlou tcnval iimrklz ar Mcskouez. - E»a 1 an daou b r i c d yaouank var ho zremen- ne gi-cdnz Iculer ho z r c i d d r c i s l lio zrcu
R l ^ ^ l i ® i M v a r i ^ c v » renia kouni Vlcr" cgi» an dnillkericn kciick u bon rcnk
«r Swcl nnoihl, me.» vai- j.e i r „ tu,i ma yea Per Almiled da gla.sk c c' rcg
van. — A r .spounlailh a zo vnr al leeac'h
K r \oui-gnden eta, eo c Ireiiiena/ n r
ï - Î P f i ' * f / uP®*"""
vnrn'ugent ho
hcnlch.;,, brax en our^.(?c"u
j o » rag gouzoïit a rcant o l l oa sorsct an
emczhi
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nigcl 0 ninzeriou kenla ha zokcn | i f :
' « ' " « n e » var an r«n) (rojou çaoulchouc, m'ar plij U,
"I, '1'"""'
" ^nsluinc ennhun ar
ar Vnurgaden oa ho hano,
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faziel
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I vi-nsa euz e vuez. A b r c d e oc ( izo»
Bro^irTia c'honr vager, Per hng Adcl''» "'^•c-l he z n . :
1 osiiial n
a reu ou« ur pnrdac* ; Por n bidllïmi."
Tostiial
7 " f""
«"'iidaii "Cl ; rag petra bennag m ' o r d e u e U V M Anjronoz vlntln.pn deunz evli an daou hJ??,".
>'""1-<>»I« : cur w c c h an ni",
eiz devez I
Kouii lavnrel, on cur gcrladen aonnî llei! moudcl ; n'on en I I nomcl cur vaoïiez brled nr mare da vont en hent, an ii taiiA n n n l k a yoa b r a n k c t var he zraped
ÎÎ2Î îliU*,"'''"
•«• bllhaoue. Mnuun» UVAIII (lu
vcz 0 lavnraz dezho ; lud yuounnk, ne dougel d ar bcz, an den ne zivoask m u l (petite p o r t e .seclionnôe p a r le m i l i e u )
kn
' " " " ' • ' " o u i i e ket
ke^
m i l «Ivar ar meai, gwlr co, n'onni ket
d'it kel Inrkoc'h ; aze adreii kcln va zl na poan galourt na ponn .spercd, ne gren pa welaz n r c'har blan gant an daou ar^ kent ha ma c'hellaz hcrzel v a r c drelVl o
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cncrt ennhan o llskenn an hent koz. Ober
nlen. Te zo curuz, callg Doue, ne w e l l
. . n i ddiirqg an Aoirou Kuro en cm Pllhaouer t > OIÏ 7 cmoShI, pcnnoi e,m
mcjjonl
a
renz
sln
ar
groaz,
hag
he
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dcurt da y c M . B gaoul ^
eSwl m'e
USBOIIS
DE LA O É R N S E NATIONALE
NEW-YORK-NEW-HAVEN
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d'habilleoents
thiery&sigrând
Vêlements Confeclionnà e f s u r Mesure
P f u r H o m m e s , Jeunes Gens e l E n f a n l s
L O U Z O U
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Deus { y M O R S O i , d e f e r
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SSROP CELTBQUE
CAUSERIE_
JORIDIQOE
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, AOT. MOREUL. L î ^ r t '
A LOUERî
Il ('(.'1')».^ (ic l'Vi'ine
Saint-SéKal,
Les P i s de
RETOUR
D'AGE
A VEfJRE
m . --Au Monténégro
DE FRANCE
IV. •• La situation financière
L'Impôt s j H e ieïenu
a.-B.
KERBOUÏ
ÂDJUDICÂÎiS'li
laRéol
Iiiiprîiî rie l1u "Goornjr
CiiET^S POSTALES
DOUBLES
Dans le Clergé
UNE
PROPRIÉTÉ
A LOUER,
ASSISES IHM'IMSTÉHE
Bu Seeieur en Phamaeis & iSSSsJL î
Ile . (.uillain,
Société hippique de Saiat-Pol de Léon
Cuiiooui
l'lonn<!Oiir-rro/,
Tfannik Bsperans
a dud potra oant ? Petra oa e-unnn
eon e amieriou kenta ?
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fcîMi.®»^^.,!!!"
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borgwall'lr»;
farci bolcri
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«
vu/^mzim
/ H c ^ ^ u u
î
8amedî.
12
Février
1916.
37' Aimée. — N« 1.881.
p -
PARAISSANT LE SAMEDI.
JOURNAL FRANÇAIS-BRETON
ABONNEMENTS
Finistère, Côten-du-Nord, Morbihan, ( u n an)
8 It.
Aulrea Départements
4 |r.
Colonie! et Etranger
on.
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Réclames, en 4- page . . .
O
BO
Dernlèrecolonnedela3'page.
—
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78
Tkrit dteroinanl pour les inierUant
ripitéet
Pour la publicité extra-régionale, s'adresser
ft l ' A f f e n M
Place de la Bourse, 8, k Paris
et de grenade». — Le i. bombardement dss
Mes n ' e d a l v k e t k l e n m i b r e m a : c v c l organiaation»
ennemies du aecteur do la HACelle usine fournissait
à peu pris entiè- e v e l m a c ' h o a r v e z d l v a r - b e n i i a n t a i l - r n n k p a e a t u d a i l v a r h o z r o , l i e p b e z a
l.e aous pnifet do Guini/amp avertit donc
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RAZEE. — Le r>. non» bombardons de m6m«
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en artil- l o u a i l : a r p e n n - t i e g e z a b a e e v i t a n
M, le députe f Et M. le député écrit au rement l'armée austro-hongroise,
les
abris
et
les
tranchées adverse» au nord
COUIÎNTIN.
veve.
lerie lourde spécialement. C'est de ses ate- o l l ,
de SAIKT-THOMAS (entre Vienno-la-Ville et
verso de l'imprimé sous-préfectoral
:
Vienne-le-Ch4tcau). A la HAUTE-CHEVAITliers quo sortaient notamment les pièces de
l'ui'ls, lo ...
D r e ze. e n n eu,r g o n t a r p c z a c ' h o u CHEE, nous occupons la lèvre nord d'un en305, qui jouèrent iun grand rôle pour la n i t a n t a d h a g a r v a m m h a g h o b u g a l e
Dion c'Iior «ompntrioto,
tonnoir provoqué par l'explosion d'une mine
.lo HUIH ti'i'is IKMII'OIIX (lo vous ntiuoni'OI' réduction des forteresses
allcmiQde. — La nuit nuivante, cous faisons
belges,
0 c h o u m g a n t - h o . H a v a r a r pez a zen
i|uo votii- (loniuiulo (rnllnonllon m l l l l a i r o ii
»
sauter un camouflet à SAINT-HUBERT «t
l'io ravui'HhliMiiont «oouclllio.
• «
troi» mines ù VAUQUOIS. — Le 8, aux
d r e b n r z a l l a b o u r pe a r c ' h e n i m - w e r z ,
SoiiliinuiilN (U'ivoui'H,
COURTES-CHAUSSES, non» donnons trois
M, IJené Doumic est nommé
directeur a r pez a c ' h e l l d o n t euz a b e r z a r c ' h a n t
W f l m ' ; (iiiDinvo im Ki:nninizi:c.
camouflet» qui bouleversent les travaux d«
de la R e v u e des D e u x M o n d e s , en rem- l a o s k p r e s t e t v a r i n t e r e s t , pe euz a
l'adveraairo ; k la FILLE-MORTE, nom lalla feuille contenant au recto la lettre du
r.ons exploser uno mine.
dont b e r z d o u a r o u h a t i e z f e r m e t .
sous-préfet et au verso celte du député placement de M, /''rancis Charmes,
eneraled,
hag
eun
tammik
patianted
Slnri Cl) lior o'iiiiK'ii «un lior o'iirelz
S u r le r e s t e d u F r o n t
arrive H l'intéressé deux ou trois
jours nous avons tout récemment annoncé la
hoaz da c'hedal ar viktor : dont a raio
I I » nlailoc'h nr Gi im»'. uiiii lior rolz I..
mort,
avant l'aris officiel de la mairie.
»• •
omp enn hanv a zeu, emiçhans?
Sur le» HAUTS-DE-MEOSE, nou» avon», I»
Pcgement da baea?
Comme vous voi/cj, c'est tout à fait
.1 fihTior. fcit sauter une mine dans le BOIS
P o u r u n m o r t , i l n e se p o r t o pas
simple. Encore fallait-d
u aonger.
DES CHEVALIERS, ot bombardé SAIBTM u i o c ' h pe n o b e u t o c ' h , h e r v e z ar
MAnniCE (nord d'Hatfonchltol).
D'autres
avant le Vicomte roupe con- t r o p m a l ,
g o u n i d i g e z , h a g i v e z h e r v e z s t a d peb/I s'agit do Jean Laurière, incorporé au
Dans U forêt d'APPREMONT, (sud-est
Goude cun nebeud deveziou kaer, an
naissaient le it truc u, H nous souvient en
u n a n , e \ e l m'o poa lennet a m a n c galdo S.-int-Mibiel), nos batteries causent d'imet /-({formé depuis un an
ffet d'avoir lu dans les comptes rendus de lOT d'infanterie,
amzer a zo deuet da veza ker fall ha bisportants dégflls iMX organisations allemtal
e
g
,
d
i
s
a
d
o
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n
d
i
v
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z
a
.
ia Chambre et du Sénat des
protestations à la suite de blessures reçues en août et
des, le n r.'Vi-ii'r.
koaz. H a g ez eo red choum kuzet el
N e b e u d a w a l c ' h z o k e n , p a z e l l e r euz
contre le môme procédé employé dans les novembre 1914,
En LORRAINE, le 1 fihii.-r, bombtrdtlonchou doun.
Le 3 fiicn'er, If (jiSuMtl GuUidni
devait Càtes-du-Nord
a
d
o
s
t
.
Or, la semaine dernière comme un pli
mcnt des organisations ennemie» BUT 1»
par le préfet et ses amis
T R O Î ^ T
E daou leac'h bennak, an Allmanted
frcnt
KOMENY-MORVILLE. — Le lendetti'o oiiic/ié II /irendre de iioneemi la parole il propos d'indemnités
l i a lezenn l e a l n i a v i j e î i e u l i e t e - l e a l ;
pour abattage ou officiel était arrivé (i l'adresse de ses pamain, notre artillerie est encore très active
deuz kiasket goulskoude taga ; mes
à la C h i u n b r e , â /tro/.nn d'un projet de perte d'animaux.
Le Vicomte
conlinuc, rents, il eut la curiosité de le lire. Et c'était — l e z e n n t r a i s i v e z a v a d , r a k m a c ' h e l l
dans
la
région de COINCOURT et de 0 0 En BELGIQUE. — Le 2 fi'vricr. le» Allerésoltiiiuii
coiiccrnnid
le nij'ottr duns h'S vodii tout, — ce qui ne veut paa dire que l'avis que lui, Jean Laurière,
était tombé d o n t (la v e z a e u r g w a l l - b e n v e k h e r v e z hon tud a oa var evez, hag ho c'hon- mandB essayent de «urprendre les tion- MEVRE.
daonaz raktal d'en em guzat, hep gallout chées anglaisoB dsn» le voisinage de la
étulH-nuiJors. h'deim ù la voiiuiiiasion
de
au champ d'honneur le SC> septembre 1915! a n d u d a vezo o c ' i i o a r i g a n t - h i .
Ea ALSACE, le 3 février, un tir de noir»
nous l'approuvions,
loin de là,
goulskoude miret out-bo da ziskenn enn route d'YPRES à PILKEM.: leur atlaquo est irtillcrie provoque un incendie dans los
t'armdf du Sctuit, te mhu.tiru de la (/uerre
/I ne s'explique pas d'où provient
l'erreurfacilement
repoussée.
—
ELVERDINGHE
est
cantcnnemtnt»
ennsmis do rOELENBERO'
D
r
e
ze,
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a
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s
o
c
i
a
l
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h
a
g
ez
eo
» »
eun tranchee freuzet gant tcnnou min violemment bombardé par les Allemande,
charpua M, /Jciiyg Cochin, ministre
d'E(nord-est de Buruhaupt, au sud de I»
h o u v r e k a s d a b a o u r k e m e n t h i n i en enn hanter-noz da A r r a s .
Pour mettre Jln aux diJI'érentcs interpréiat, de rd/ioiulre en aun jioiii.
les ^ el 5 févriiT. — TPRES subit le m6mo Tliiir). — La nuit suivante, activité das
douz m u i o c ' h eget-ho, e leac'h 2 dre
Ce flil lonic line /vir/ation
pour nos tations auxquelles a donné lieu la loi DalA-hcnt-all, hor c'hanoliou agendalc'h sort, dan» la nuit da 5 au C. — Le 7. les deux artilleries ou BRAUNKOPF (vallée de
bombardent los tranehées allcman- ia KecM , el h FALTMATT (nord-oue»t de
100 euz a l l e v é o v i j e g o u l e n n e t k e n eaz da freuza trancheou var-n-ho ; hag er Anglais
<r honurahlK,
» dont /iluiiicnrs
comprirent biej en ce qui concerne les a u z l l l a l r e a ,
d03 dans le voisinage de la voie lorréo Melzer.-.l). — Lo 8. notre artillerie bombarde
a iléposé un projet qui envihag ail dek k w e c h hag ugent k w e c h C H A M P A G N ,
cnjln que len ministres
dii lu ilij/ense na- le ministre
eun nebeud bouliji, d'YPRES à ROULERS. — Le S, très grande les cantonnements ennemis de ST05SWIHK
activité do rartillerie aux environs do (nord-ouest de Munster), et de KIRTZBACH
: 1' ceux
iionatf. ont autre e/iose il J'idri; ijue de se sage deux catégories d'auxiliaires
muioc'h.
kouczct var barrikcnnou houarn leun a KOOGE (près d'Ypres). — I l on est do mi(sud d'AUkircb). Nous canonnons également
prtier (i dvs discussiuns oiseuses, et sau- dont l'aptitude physique n'est susceptible
rât
le lendemain au nord de cotte dernière les établissement» militaires de DOHNACH,
H a g e u n d r a a zo a n a t : a n 2 di'e 100 aczenn ampoezounet, o deuz ho c'hrevet,
ille, où les tranchées allemandes sont ou- pré» de Mulhouse. — La nuit suivante, cad'aucune amélioration
: 5* ceux dont l'état
cent
diiiii/ercnscs.
A n d a r n v u i a cuz k n n e r i e n a r C ' / i o u r - m e r k e t d a c ' h o u l e n n e v i t a r b l o a z - m a hag an aezenn fall, douget gant an avel, dommagéo» par le tir des Anglais.
nonnade réciproque à FHARTMAHSWILLEBjet une enm/iai/nc
s'ehaiw/ie
dans le physique peut s'améliorer en vue d'un pasFLANDRE FRANÇAISE ET ARTOIS. - Le KOPF.
i o r 0 d c u z b r e i n a r e a l a b n u r o v i t n'e b a d o k e t h i r r o c ' h e g e d a r b r e z e l . en em skulllaz da c'houde var an encsage
éventuel
dans
te
service
armé.
riWiwi'. les Allemand» dirigent, contre
mondf iiurlmnciitaire^
dan» te but de resbouri^n, evel eur vogidell a varo.
Dans l'après-midi du 8. une pièce allemanLOOS et les tranchées avoisinantes, un vioPour opérer le classement des auxi- g a l l o u t c l i o u m d a 7,onjal p a I c n n o n t M e u r a g a n t m i l l i o u n m u i o c ' h a vozo
treindre au strict nécessaire le nombre des
Kanoliou an Allmanted n'e joumont lent bombardement, auquel le» Anglais ri- de à lancé trois obus »ur BELFORT et sas
liaires entre ces deux catégories, les com- o u u d r a b o n n a k ; s e t u p o r a g e m a i n t c e z o n i m b e p b l o a z d a c ' h o u d e ; h a g e
sc'iinees puldi'/iies,
postent avec etËcacité. Lo môme jour, lutte environi. Lo 9, olle a recommencé on lançant
ket dilabour ken nebeud. Souezuz eo de mines très active dans les parages de la sept obu».
'
—
tous les
Que le.i parlementaires
trucaillent
dans missions de réforme examineront
i s k l d a g o m p r e a a w e c h o u a u t r a o u a l e a c ' h d a l e d a g l a s k c pe l e a c ' h h o
edoute HOHENZOLLERN et entre cotte rec ' h a o u t , n'euz f o r s p i o u a vezo e k a r g zoken e kavfe ho» ciiebourien kement
dans un dé- d r o u z .
tes commissions, s'ils // trouvent
quelque hommes du service auxiliaire
doute et la roule do LA BASSEE. — Le 5.
a vezo t e n t e t d a l a v a r o u t : A l l o d e n n al! a boultr hag a houarn, ha d'ezho beza
chose d'utile (i faire ; mais qu'ds
s'Iiahi- lai d'un mois, ù compter, pour ceux préartillerio ennemie so montre active au
D r o ze, h i n i c n n o u a n e z h o , g o u d e
:ord et au sud du cfjnal de LA BASSEE. —
du jour de la
g o u l e n n e t euz a b e r z a n « i m p ô t c o n i - keic'hct a bep tu. Stourmajou rust a raint
tuent rn nu'ine temps à vider leurs que- sents sous les drapeaux,
b o z a l e n n e t l e z e i m a n impôt sur le reDans la nuit du 5 au C. les Anglais occupent
c'hoaz
;
ha
kredi
a
c'heller
ato
e
sailpromulgation
de la loi, et pour ceux non
relles en famille.
p W m e n t a i r e .sur l o r e v e n u » a zo d o u g e t
lo c4lo onest de trois enlonnoiis, dans le
venu,
0 deux k r e d o t , evit doare, n'e
lint a vraz ar c'henta ma teuio seac'h an voisinage de la roulo de LA BASSEE à VER
encore incorporés, du jour de leur incor'
»
•
d a 5 , d a l O , d a 15, d a 20 d r e 100.
^
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amzer, araok ma vezo armet soudarded MELLES. — Le lendemain matin, le» Aile
— U n e tragédie turijue
Au cours de ta inêi:icsi'ancc, M.
Ilriand, poration.
mandj font exploser uno mine au nord di
K a l z a l a v a r o : « J u s t eo g o u l e n n
priisidi til du Conseil, ri rlama pour lui et
Lea auxiliaires
reconnus d é t l n l t l v o i n o n t d u d h a g a c ' h o u n i t o u s p c n n S.ODO l u r
nevez B r o - Z a o z , hag araok ma tcuio ar LOQS ; les Anglais n'éprouvent pas do pcrlei
do (Vmslanliiiople a annoncîé
l'i;
l')urs dcniiers quo le prjn(!e
m
ses eotUyues te droit de s'oecn/ier ailrieuse- liuiploa au service armé no seront plus n r hioa-/, g a n t h o l a b o u r pe ho d a n v c z . k a l z d i g a n t a n n e p e n d e u z k a l z . »
morlaned a dleomp digas euz an A f r i k . ot occupent un dos bords de rentonncir. —
«dur
Izzoddiiic. s'élail suicidé. I l
h("-rili.M-.
Yen
• î 7. activité d'artiHerio dan» la même ré
Just a w a l c ' h , e g w i r i o n e z , m a n'e
sèment des f/raves intertt» dont ils ont la soumis à aucune visite.
H a g ez i n t souezet o w e l o u t p a p e r a r
Setu pcrak h o g w e l e r o furchal, evel eul
on. — Le S. bombardement» réciproque» s'rt.ut iiuv.M I los voines. 4 moins que ce ne
d
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veza
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avec
un rasoir. Dopuis longcharge, sans ttre Irouhles il tout
i/istiint
s')it ia gni'.Ceux qui n'auront pas été reconnus di\jl- p e r c e p t e u r o t o n t b e t o g h o zi, e v o l e r
1 nord du canal do LA BASSEE.
labouz gouez er gaoued, o klask eun
toiiins il ^tiii I atloiiit do graves troulilos ncuPICARDIE. — Entre TAncrc et la Pommipnr des demandes d'e.cplieutiuns rt propos nitivement inaptes seront, pour la dernière b l o a v o z i o u tr(>inenet.
l'onsi. H e d r a a z o d ' a r p i n v i d i k , k a e r toull bennak da drcmen. H o g e n , bezomp
.
Ce
suicide.
(;cril le Tanins,
raMllh'ni.iui-s
l'artillerie britannique bombarde los trcai
de tout et du reste,
a vezo l a v a r e t , n e m e d m a t l e o b e r v a d fizians. A r gwasa ma c'hellint obcr a cbée» aKcmnnde», les 'i et Ti fc vrlor. — Le jDurn.il liire, a provoqué nno doideiir prjfonfois, eontre-visités
de nouveau six mois
A r a b a d l'azia b e t o k k e i t ze, v a m i activité des deu* artillerie» aux environi de. niais n'a siirpris persoiini! paro^' (juc tout
C'était an sujet d'une demande
d'inter- après par la commission de réforme
qui
g a n t - h a n ; h a b i s k o a z c ' h o a z e v i t k a s vezo gounit dre laer eun dachennik disuioildo sa'vdil que le ))rincp luirilicir avait de
de FRISE. — Le K, bombardement» récipropellation
de M. Emile Cunslanl sur u l e y prendra H leur égard une décision (iôlliil- g n o u n c d .
a r p i n v i d i k d a b a o u r n'ez euz b e l ter bennak. Evit dont dounoc'h enn hor que» entre rAm-re et la Summo.
notnhr.îiiscs misons d'agir comme il l'a fait
H a i i o ez euz b e t g w e c h a l l , b r e i n a n
I n c o h é r e n c e s do l u c o n a u r e . u
raisons s'ilaieiit encore multttlvo,
ot iiuc
g w e l e t k a l z p e o r i e n o t o n t d a veza bro n'e raint k e t ; ha seul-aliesoc'h c
ilcrniors lomps. Le prinec soufnli.Vs
ez c u z SGiz pe c i z v l o a z '-zo, d a v e r k a
De ces '< incohérences
n noua avons
« >
pinvidilioc'li.
opiiis
longlomps d'uno inaUiOie incufrait •
sailiint, seul-abretoc'h e vezo echuet
fourni quelques exem/iles. Certaines com1,0 gouvenii-nioiil qui- connaissait ,la
Lundi ont eu lieu los obsùques solennelles e u n diazez n c v o z d ' a n t a i l l o u : f o n c i e r ,
ralîlo. ...
gant-ho.
E
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M
S
missions de eontrole doivent être bien dis- des v i c t i m e s d u z e p p e l i n qui
sIluaUon ot élail tenu au courant des disurvola m o b i l i e r h a d o r i o u h a p r e n e s t r o u . A l
Dimeurs o deuz stiapct euz a bell eun
\orses pinsos de la mal.idle pl des crise»,
traites, ou bien il faut croire qa'elles ont Paris dans la soirée du
l e z o n n a oe z o k o n v o l o t g a n t a r C l a m p r d a l a k a a t a n d o n f u r h a p o a n i e r d a f a l l L'!/janvier
qui (Malont fréqiu^ntes. siir\eillail le malade
nebeud bouliji var B e l f o r t . A r c'hoaii
pour consij/nc d'criter
des histoires avec
En Belgique
J.a cérémonie religieuse a été célébrée en g o u d e e u n d i v i z l i i r r h a t e n n . A r S é n a t g a l o u n i , o l a v a r o u t d ' e z h a n : « M a
pcjpéluollcincnt (!) C-Ue surveillance était
ze a bli)-kenan d'ezho. T u d dinoaz a
les puinsanU du jour. El ionutemps eaoore l'église Notre-Dame
t
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i-endiio (!ès difficile par la uéoessllé de ne
de' la Croix;'oiï
les. ^ deuz a v a d he a i i k o u n a c ' h a e t a b a o u e ;
Lo C f(^i'iiT, notre artillerie, do concert pas faire savoir au nial.ide sa vraie situalazont be wcch, hag awalc'h eo evit-ho
sans douta les Clihueueeuu, les Ilerolf et l'H corps avaient été apportés ù 6 heures
m
e
a
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bezo
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a
ivec rurtillerie britannique, exécute dos tirs tion... Depuis un eerlain lomps la maladlt
h a d o n n'e c ' h e l l l a v a r o u t p e u r e r a i o
pa n'e c'heilont ket ober gwelloc'h. M e s do démolition sur les tranchées allemandes du prince .ivall pris un er.racSere inquiélsnt:
aiitrea HenaiuM /tourrunt librement
écrire du matin, Lo Président do la
Itépublique h o z o n j d ' e n e i u e i n m e l l o u t - h i , E v i t p o a n i e r a d l e v f e b e z a e r c ' h o n t r o l d o u
en face de BOESINGHE. A Fest de la mémo lo nouveriioment redoublait de soin; et d'attout ce qu'il leur passera lair la tète contre n'u assistait pas i mais on y
remarquait f r o u z a a l l a b o u r g r o e t g a n t a r ( i a m p r g o t h a s i k o u r e t d a g e n d a l c ' h e r e n n h e ni ivez or beuz kanoliou da skci a bell
région, dcuz batterie» ennemies sont réduile haut commandement ou contre le l'rèai
hag erzizun-man o deuz greet freuz, n'e tes au ailenco par notre artillerie lourde. — tention» (!) Malheiireusemonl. sa survcil&ime Poincaré,
de même que M, Denys
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lano.e fut déjouCe. parce quo Is pniioc de-,
ii'o vo k e n m o r s o , r a k , e / . o m m a v e , e
dent do la Hépablii/iie;
aussi longtemps, le
ket etouez merc'hed ha bugale, hogen Le 7. notre lutUloric bombarde efficacemcnl vait .Mpo (eiui jusqu'au bout dans l'IgnoCochin, ministre
d'Etat
^
forti.n VaiUjan, près d'HET-SAS, et U» ranoo do son ni.,1. I/inévilable (1) s'est prog w i r i o n e z , da euuna m c u r a boont er bemdoz.
tMfiraphc
sera mis en action pour trans
var
staliou
an
enebourien
e-kichenn
Après la messe, dite par M, Pottier,
curé
anchée» ennemie» en face de STEENS- duit. ol loulo la nation o.,l dans le deuil.
mettre aux commissions
de province
la do S.-D. de Lourdes, lo cardinal
'oolenn n i e r k c t g a n t an assanibloc-ze.
Amette
Challerange,
enn hanter-noz d'ar THAETE. ~ Ce bomb.irdemeut est repris le
Toile I ,1 la version onieiollo.
eonsiyne de ne /ifls laii.ser re/iroduiro
lea donna l'absoute et prononi-a une émouvante
K v i t l a v a r o u t d ' i i o c ' h eb ez c u z d a Champagn, el leac'h ma tremen hent
[) par notre artillerie lourde.
A l lozcnn-ze a venue eta t e r r i i i i i i i e n Il va ; IIS dire une personne n'en croit IP
allocution, dont nous extrayons
cepassaj/e
articles de ces messieurs
uol. sauf peut-iMro q:iel<iuos va]ironiier
•
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nevez,n o u ouz a n t a i l l o u koz e v i l s e v e l u u a n
chou-houarn hag o deuz priz braz evit an E n A r t o i s
Oiis i n o r U survli'ont uiHsl iiolrii ottuso do
Kues lei- •ors hoches, c! encore eo n'ost pas
Mais puisque par deux fois la Chambre vaut Dieu, le .ILIK» »t L<' Miiltro souvuniin b r a s o c ' h : « i m p f t t g(5n6ral s u r l e r e - o u t - h i k e m e n t a i l pe m u i o c ' h . H a k a l z Allmanted.
bien sftr
c dictare qw ces aqissemeuls l'amusant, il i|('!i iiutloii». I l y u daiiH Ip «ttiiK injustcnirnt v e n u . » l i a c ' h o a z n'e j o n c h e s e u r t
Le 7 f.^ rii'r, un tir de no» batterie» proIl y a 1110 auliv explication do la mûri de
zo,dlskar3ennhe c'henver brema, h a g
Gant an avel a rene enn deveziou-ma
voque de fortes explosion» dans les lignes Yousoiif l/zo.ldiiio. On l'a. par;iît-il. placardée
n'y a qu'il en /irendre son parti. .Vospoilus iM^paiiilu unn voix qui nioiito VOI'B lo Mel,
ho ballonniou braz n'o deuz ket gallet allemandos, vora SAINT-LAURENT (fau- sur les UIII'S do Coiislantinople. lille tient
« l.a v o l \ (lu NanK do ton rn'tro Aliul cric o - k e u v o r l o d e n n o u a n d e p a r t a m a n t a c ' h e l l f e b e z a l a k a e t d i d a n - l i i diveza^
doirent connaitredvs ndsiresplus
i/randea. voi'H nvil (lu Holii (lo 11» torro », disait Dluu
h a g a r g o m m u n . A n diazez koz a v e f e t o c ' h . E v i t g w i r , m a n'e g a v e r k e t sevel enn ear ; hag unan euz ar re a oa bourg nord-est d'Arras). - Le 8, duel d':r- on inio liK 0 : • i:nvor Paclia a Uié le prince
tillerie assez intense au nord-est et au sud- h.trilioi-. »
Et nous ne pouvons qu'approuver
la nu iironilor lioinloldo. I.o HUIIK d'Abcl criait
a w a l c ' h a a r c l i a n t a - h e i i t - a l l , n'e v e bet oc'h obcr eun dro var B r o - Z a o z a zo 9st de NEUVILLE-SAINT-VAAST. En fin
1< coup ? Nous n'en savons
(lui a n
juslUu) ; c'cNl auHsl lo cri qui Jaillit du »anK c h o u i n e t ; o v i t - h o ; e u n d i a z e z novez a
ChumUre d'avoir ajourne siiiu (llo l'inter
iVapres-midi, les Allemcod» font sauter deux Pion. Kt comme ii oiis tio soiuines pas la jusk
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du nos vIdllinoH. I l ràulanio Justi(;Q poui' lu v o t e b o t h e b k o n o v i t l o d e n n a r c ' h o u a r pe!talion de M. Eniilo
Constant.
n'(xisle peul-étPP
franco. I l doniuinlo au Dion qui luiit l'inl- n a m a n t . I l a k , g o u z o u t a d l e i t , h a g h e r 0 c ' h o u l e n n : K e a d u d a zo c h o u m e t glaske tremen a-zioc'h ar vro-ma, enn mines, fortement chargées, à Fouost de la lioo Uirquo, -- laqiiolle
FOLIE. Ils peuvent ensuite pénétrer dans pas. — cola nous esl en somme assez Indif(lullù do 110 piiH poi'nioltro lo tdoinplio d'un
quelques éléments de notre tranchée de tir, fc'Tont. Mais, qui a donné les or,Ires et A
despet
da
lezennou
ar
brezel.
Koueza
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boulevoraée par rexplosion, ainsi que sur qui ronionto la vôpitahle responsabilité de
M. Henri llesnaril, soas-sccrétairc
d'Etat l'oiiplo (lul, iipréH nvolr, par un oriruoil ot
reaz da c'houde er mor, hag an tregont certains point» do notre tranchée de doubleuno nmbltlon sans mosuro, duolininé »ur lo p e r c e p t e u r : h o t o u r n a d m o u n i z a z o d r e i s t D.OOO l u r a r b l o a z p a e a h o l o d
là au eonlralre uni; ques!l assassinai "
ù / ' a v i a t i o n , qui rtaiefort
critiquii
deimis
ment, d'où nou» le» rejeton» par une atta- lioi
iioiis inlérosso, et A laquelle il n'est
H «oullld sus r a u u e t e t e i r l o d e i i n : e u l l o d e n n a zo
l l o g e n , a l l o z e n n a zo d o u g e t ; h a den a zouge a zo bet beuzet.
queV/ucs semaines, a donne' ait démission inohdo collo liorrlhlo «uorrc
illloiirs
bien
difileile do répondre,
que
à
la
grenade,
ollectuée
au
cours
de
la
pas
d*
ariuoH pur tant de crimes,
o v i t d i s p i g n o u a r c ' h o u a r n a m a n t , o u i p l e g a d ' e z h i a zo r e d .
nuit. — Le combat »o pour»uil le fl. soutenu
Sans orainio d'erreur on peut dire : le
mardi.
/.es cereneils, recouvo>-ts de
drapeaux l o d e n n a i l o v i t d i a p i g n o u a u d e p a r t a lii<rl(i,
r
de
Turquie
était gênant ; Il
de
part
el
d'autre
par
un
duel
intense
d'arprince
A r R U S I A N E D â gendalc'h da zel
L a v a r o m p c'hoaz eta d ' a r re a gouez
Il ne Sera pas reniplacé. /.es services de
tillerie. An oud-ouest de la COTE 140 (à 2 a été 1iiipprinio ; il a été supprimé par ceux
tricolores, firent
ensuite transportés
à la
c'her labour d'an Allmanted ha d'an kilomètre» nord de Neuville), l'ennemi fait |i\ mi^in
r<icrona:ilique
sonl re/ilacé:! sous l'auto
m a n t , oun doirvod lodenn ovit dispignou didan-hi c c'houleniier d i g a n t - h o dis
pi'il gênait, c'osi-;i-dire p,ar les
mairie du .W arrondissement
oi'i les per
rité directe du ministre de tu f/uerre,
qui
ar gommun.
k l e r i a , e t i a r c ' l i o n t r ô l e u r k a r g o u , e t r e Aotrichianed, penn-da-benn da roudenn exploser une nouvelle mine devant notre dielaleii) I lires ICiivor Paelia el Talaad lîey.
sonnagea officiels s'estimaient plus (i l'aisetranchéo ; il dirige au«»itftt »ur no» po»ition» el par I 1- conseil. le Ooniilé Union cl Prou l'ait choir, comme directeur
du colonel
A l l o z e n n d o u g o t d a v i z g o u e r o 1914, a n dez k e n l a a v i z m e u r s h a g a n dez an cmgann, ha dreist-oll enn hanter-noz e une attaque d'infanterie qui e>t repou»»ée.
grés.
Dès discours firent
prononcés,
notam
d'arldhriv
Uégnier,
bro R i g a , hag er c'hreisdeiz er vro
(Ml sait d'ailleurs qn'Rr vor n'en est pas
l i a l a k a e t d a r o n a b a o u e a n dez I t e n t a d i v e z a a v i z e b r e l , d a b e g e m e n t eo sa
ment par MM. Malvy, ministre de t'inté'
*
n'a oublié
à son eonp d'essai : el personne
pi
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rieur, et Mithouard,
président du conseil
l'autre traeodio, celle de 1913. oii il Joua en
A
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Allmanted
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venn,
evit
doare
M. B r i a n d , président du Conseil, et mi
La i février, notre artillerie lourde exé- coiv lo pniioipal rôle en luant ."i coups de
municipal
l l o u - m a n a v e r k e u n impôt
complii- d i s k o n t a a r c ' h o l l o d e u z b e t h a g a r
nistre des ojlaircs
etranyère»,
a
quitti
nevezi ar c'hoari a dalvezaz d'ezho enn cute des tir» sur une colonne d'infanterie et revolver le rninistre de la Guerre, son su/.'inhumation
a eu Heu au
Père-La
rnmlairo
sur lo revenu, D a l a v a r o u t eo m i z o u a bouez v a r h o d a n v e z .
sur de» convois ennemi», qui entraient dan»
l'aris
mercredi pour se rendre rt R o m a , chaise.
hanv diveza : boda armeou braz var an ROYE. — La nuit du 7 au 8. notre artillerie ''SVnvé'r l'aeha ol Talaad Boy ont livnS lo
n ' e j e n c h n a n'e d o r r l i i n i e b e d euz a n
O c h o u ni h e p d i s k l e r i a e ^ c ' i i e l l e r
1/ coi\l'i'rer avec le i/ouvernement
italien. Il
oanonne un train, entre ROYE ot CHAUL- Turquie aux Allomands. el Uni qu'ils sedaou bcnn cuz an talbenn, gant ar zonj
t a i l l o u k o z , 0 l o a c ' h m a t e u d a l a k a a t b e z a a n k o u n a c ' h a e t ; n'eo k e t l e a l a v a d
— Lo 8, nou» disper»on» uno colonne ront les uiailroB absolus, les Allemands
est arroiiiiia;in(
de M. I.eon
llouri/eois,
da gondaoni ar Rusianed da gila didan NES.
Un Z o p p o l l n , revenant du dernier
raid
seuls gouverneront la Sublime Porte. Us ne
ennemie prè» de LASSIGHY.
u n a u novez v a r - n - h o , v a r a r m a r c ' h a d . na f u r zoken, r a k m a c ' h e l l e r beza k a
ministre d'Etat, du neneral l'etlè,
major sur l'Angleterre,
veulent autour d'eux quo des comparses,
boan da veza kelc'het. H o g e n , hor mia été vu en perdition,
le
Entre l'Oise et l'Aisne
M
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Ivot
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eoinme le sullan Mahomet V. ou des homv
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'idnèral,
et du colonel Morin,
du ijrand i ' février,
dans la Mer du Nord, par u n
gnouned n'emaint mui er stad m'en em
mes
.1 leurs gages. Kl qui esl soupçonné de
r i n e t o u a l lezeuu nevez da zamtnou
quartier i/enéral, ainsi que de \J, de Mar
O u s p e i i n 'ze, d ' a u n e p n ' e z i s k l e r i o gavent enn hanv : kanoliou o deuz k a
chalutier anglais, /.es hommes qui le monLe 7 février, un blookhau» ennemi eat dé- ne pas être disposé à leur obéir aveuglétruit
par
notre
feu
&
la
litière
sud
du
bois
m e u r a h i n i hop d i z a m m a d o n ebed.
ment ne »eut ni i-esler au pouvoir ni en ap
ijerie, directeur des uO'atrea politiques
au taient aupplièrent le chalutierde
k e t , a r c ' h o n t r o l e u r e o a vei-ko e v i t pe
les sauver
vet, ha bouliji ivez. Ouspenn'ze, eur d'OURSCAMPS (nord de Traoy-Io-Val).
proclier. l.a mort du mallieureiix Yousouf
ministère des affaires
etranqères.
Mais le patron jugea prudent de s'éloigner
g e m e n t en devezo d a b a e a ; h a p a v e r k o miliioun-hanter a zoudarded fresk
Iz/.oddilie n'a été qu'une, démonsiMllon sanLe
5
féVTier,
tir»
do
notre
artillerie
siula
A ce propos on publie une note dont volei /I n'avait en effet que neuf hommes à bord,
glante de co fait. ,1 l'usage de tous ceux qu'
A w a l o ' h 0 o ' h e l l f o b o z a e v e l - s o o v i t m u i o c ' h e g e d m a ' z co d l e e t , r e d a vezo deuz dalc'h-mad, prest da gemer plas ar t«to de pont de VENIZEL (oat de Solsaon») seraient tentés de rimlter.
quelques
extraits
et pas d'armes, tandis que los
Allemands,
r e a zeu da goueza. E n n eur ger : ar et loi ouvrage» ennemi» de VENDRESSE et
paea
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I l élait d'opinions Irés indépendantes, el
t n (l(!i'li.niiil lii Runmi ^ l'Autrlcho Hnnurlc^ armés, étaient au nombre de 30. Il était u a n d a r n v u i a a c ' h a n o c ' h , r a k n e b e u d fot d ' e z h a u e c ' h o u l e n n r e , e u n d r a Rusi a zo dihunet, evel B r o - Z a o z . A r de CERNY (oue»t de Craonne). — Le lende- n'adiiietlail pas. avec une grande partie de
main, nou» canonnon» le» ouvrage» adverI lliilli! u !ii'cniii|ill, «:iiiH iirrliTii-iiiiiisiV, u» (roilii craindre qu'ils no prissent la direction
euz l o n n e r i o n a r C'hourrier
o devezo
son peuple, que les Allemands fussent les
du
»es
en
face
du
plateau
de
Cbaasemy
(e>t
de
gwasa
a
c'hellfe
c'hoarvezout
gant-hi
aiiDnluiii' l'I n^nllsiill Kct ii.siilnitluiiH iiatiuiiuloit,
h a g a c ' h e l l beza tenn.
véritables cliofs du gouvememenl otlomai)
Venizel).
Kilo alliiit r<'('aii(|iic^i'lr ïroiiln iit ïrlustn, Muln. chalutier, pour le conduire en Allemagne d a b a e a a n t a i l l o u n e v e z , pe g w i r n ' e
el que Unit, année, marine, dnances, fùl
E r c ' h o n t r o l , o v i t a n n e p e n devezo vije koll R i g a , abalamour ma c'hell ar
tirJclHiïiiiuiil, uo puliil (le viii' milldiiiil riilriicliiiKill avec l'equipago
vozint gouleunet bronia dioc'htu neLe »oir du 2 février, «prèi un bombardeà poil centralisé entre leurs mains. On
porz-ma beza taget dre vor, ha ma 'z eo ment assez vif, le» Allemand» «»qui»sent une
tiour ollo rhi)rl7oii. On |ii<ul lo iliro iiujoui'd'hul
d i s k l e r i e t ho leve, a r c ' h o n t r o l e u r a
[•nlondro qu'il u'aurail pas élé étrani
n
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Les
navires
de
guerre
anglais
envoyés
à
qlln iici |ir<'V«,vuH iioiit lMni pus l'uxtcnslon (|uo U
an A l l m a g n krenvoc'h eget-hi er mor attaque sur nos poiitlon» du Dois des But- ger U l'échec du projet de voyage de Guild l e o k r e d i , pe d i s k o u e z ez e u z b e t diS'
tfuorro iilliilt |ii'tiM(lro Onim l'uninici) i.'t ilimi In ta recherche du zeppelin ne le
tes (région de la VILLE-AtrX-BOIS), entre laiimo A (^onstanlinople. Il aurait dû re<M«trouvèrent S.UOOUir n r b l o a z ,
B
a
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toiDpn. iil li'i (inivcs coiisi*i|mMi.'os (!oonomlqui<
Craonne et Berry-au-Bao). Le déolanchoment voir lo Kaiser, i la place do Mahomet V mail avait aombré aana
I v e n d a l c ' h o m p g o u l s k o u d e , e v i t m a k l e r i e t n e b e u t o c ' h e g e d m a 'z euz (
qui i'i>Hiillri'nU'iit pour ollu do <ni piii'ticipallou pas, Dana l'intervulte
immédiat de no» tir» de barrage et de notre lade. et il ne se souciait nullement de cette
E n n A L B A N I , an Aotrichianed
g w i r i o n e z , eun d r a I j a ^ a c ' h e l l beza
doute.
leu d'infanterie «rrôte net leur débouché.
o u e z o c ' h p o t r a oo a l l o z e n n .
UUX IlOSlIlIllÏH,
Impériale eonéo.
; 1.0 ruIiMitlHwmoiit do» opilrnl'ons mllltnlira ot
d i e z d ' e z h a n , r a k m a 'z oo d i f c n n e t gerz d i f r c v a r z u D u r a z z o , a zo e riski
C'était le I,.-10 ; et il parait
qu'il
avait
l)n dil que le nouvel liérilier du IrAno resLo lendemain, nous bombardons le» tranH a d a l c ' h i t s o n j m a d d i o c ' h t u euz a r
da veza taget gant-ho dizale. A n I t a
In n6iMiKnl|.;' oi'i l'on «o trniivo, ù rhiiiiro aotuollo,
semhlo.rail sur beaucoup do points à Youo
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ennemie»
de
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VILLE-AUX-BOIS
et
été
ciinonné
par
les
//ollandais,
au
mo'
(l'oovlaiiuor do iduK loliilnini'!)
u uru'
poont keiita-zo :
souf
Izzeddino. 11 peut doubler sa garde...
lianed a zistro var ho c'hiz etrezeg ar du plateau do VAUCLERE (nord-oueat do
,VO(iuit, (liiiH (|uol(|iioH pht-ros lUIloiinofi. sinon ment oii tl aurvolait *los eùtoa de ce paya.
w e r z e r zoken.
cl se délier de se? gardiens mêmes.
A n n o p n ' e c ' h o u n i t k e t d r e i s t 5.000
m o r , ctrezek V a l o n a dreist-oll, evit en Craonne). De» troupes en mouvement, si•m MvIniMioiit d'opinion, du niolni un uiouvo• »
On
raconte encore qu'Enver Pacha aurait
gnalée» »ur U roulo do Berry-au-Bao à l u hiant do riinnxlnn itul urto i\ii Kuitrornomont
l u r a r bloaz n'en deuz k e t d'en c m emem lakaat e gwelloc'h stad da herzel.
l'iiilention d'organiser une diclatui-e de droK.
vlnoourt, sont prises aous notre lea.
Les p â t e s à p a p i e r proviennent,
en
(loniiililn du l:i ditrlni'iitlun do uiiorro, oortalno*
H o g e n , nebeud ac'hanoc'h o devezo
gu'osl-ce que cela peut bien nous faire T
A r S E R B E D a zo savetaet evit an
l o 8. un tir de nos batteries oauae d'imdimculW-.
grande partie,
do Norwège et de Suéde. m o l l o u z a l l o z e n n novez. A n d o n d l II. — E n Bulgarie
D'iiutro |inrt, lo Kouvcrnnnioiit llnllon «cnl qno Dr, cea paya ont pria le parti d'en inter- me'zet a zo d i s k a r g z o k e n b e t e k 7.000 d a b l e g a d ' a l l e z e n n - m a : n ' o peuz n a d a m vuia abenn vrema ; 7 0 . 0 0 0 anezho portant» dég&t» aux ouvrane» ennemi» dan»
la région au nord do TRTÔN «t »ur lo plaKhsuro ont vonuo pour lui, «'Il vont prollIiT coniTous les jours on parle de l'allaque proIl on résulte qu'en l u r ; h a g e v i t p o b k r o u a d u r i a o u a n - g o u n i d i g e z n a l e v e a w a l c ' h e v i t k o u e z a a zo e C o r f o u pe enn enczi tro-var.
teau de VAUCLERE. Au nord de BERRY- oliaiiie de Salonique, mais tous les iours on
alblaïuvol dos hOnollooa do lii riolulru Uns «lllili, dira l'exportatian.
AtJ-BAC, des troupes «n mouTsmsnt sont annouex! aussi que Tcxécutlon de ce projet
do pnfllclpor nvoo ou* h rniHomblo de» opiJra- Eranee les journaux
dro. 3o.ooo ail d'an nebeuta a die choum
peuvent ao trouver k o c ' h e g o d 21 b l o a z o n n h e g a r g o t i s - d i d a n - h i .
nriies sous notre feu.
Hun« d'uno iniinl^ro plu» Inllnid,
• D e z i t s o n j a v a d e t l o o t k e n d a l c ' h e r c'hoaz enn A l b a n i , gant an Italianed hag •^La 9, »u sud do U VILLE-AUX-BOIS, cul retardée. Que se pa-we-l-ll ? Ceci probagénia à brève eehéanee pour
a'approviaion
k o n t e r c ' h o a z 1.000 l u r o u s p e n n , i.50(J
blement. I l y a un fort « tirage » entre BiJIL «n rùsulloru cerluliiomont pour I Halls un
ner en papier, tout en payant cher, Déjà
d a b a e a k e m e n t s e u r t t a i l l o u a b o u e z e ar M o n t e n e g r i n e d . M a vez r e d , e vezlnt nous attaquons k coups de grenades un pe- gares et Austro-Boches. I,a question de SaluVcroll do «(icpllluo», niiiUmiKsI d'nviintaKos,
l u r zoken evit p o b - h i n l goudo ar b o m
t
i
t
poste
que
l'ennemi
doit
STtouer,
lonlqun est pour ces alliés un point de frotU'osl diina w t oondllloiiK <iuii In nrùnhlent du la haiiaae atteint 00 010.
savet ac'hano ivez, hag oH asambles e
var-n-hoc'h beteg-hen
ped.
temenl dur. La Bulgarie se r(îruscralt, pour
(k)iM«ll Iruni^h n'in vu (i Homo. Il y iiri'Ivora
E
n
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c'hellint
roi
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dourn
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divezatoc'h
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Allemagne
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le
moment, à prendre pari ft une expédition
uvoo un pri'HlIiri' (luI tliuit ii luio ilunliln uHUan.
Rak-so, netra da c'houlenn onn t u
(wnire Salonique sans l a promesse de nouleiir
format
M. Ilriand ohI I liomnio d'Kt«t qui u vu clnlr naux se disposent (> réduire
n a m a n t n'ema e stad da ziskregl diouz e S a l o n l k .
Ls
i
févrior.
bombardement
des
organisavelles
compensations. El on lui aurait d'ailduni l'iiHuIrn do Siilftnliiun.
ou le nombre de leurs pages, En Franeo U a i l d ' a n t a i l l o u k o z , d i g a n t a n d o n d l
E r vro-ma, hon tud a zo lezet didrabas tion» allemande», dan» la région de TABU- leurs laissé entendre do Berlin quo la ville
a r pez a zo m e r k e t d a r o i d ' e z h a n ; h a
Cost lui qui. Blnra quo loutoH los clroontuncos
z e m e z h a n ' o c ' h o u n i t k e t d r e i s t 5.000
fitudra
vraisemblablement
en
arriver
ù
la
BE
st
du
MOKT-TETU.
—
Ce
5,
uns
oolonns
mémo prise p»r elle ne serait pas pour elle.
bepred. A n enebourien n'o deuz ket
Qitérlouroa somblnlonl lioaUloa, a voulu quo noua
rauloc'h-mui
eo e o ' h ô u l e n n o .
ennemie en marohe eat prl»e sou» notre feu « Sic vos, non Tobia... » D'oA une certaine
'môme préciulion
; et ce no tera
peut-être l u r a r b l o a z ; — n e t r a d a c ' h o u l e n n d l
domiurlons on Mnwirtoinfl.
. , . ,
E u r p o e n t a zo e l l e a e n n n e v e z h a g kavet c'hoaz na soudarded nag armou k rsit de SAINT-SOUPLET. Ls même tonr, tension. Bnver Pacha ne cache flpius («m
Nul ns ooulflsli» plus quo Irnlr K Snlunlqun soit pas lin ni'il :itfi anramoinadou
canarda
g a n t a n d o n d i m e z e t h e p b u g a l e h a n'e
nos battsrles bombardent les organisations
: « Nous permettons, ditonoore la mollisure ta(on do prolititsr rKg/pto.
e n douz l a k a e t h i n i a n n o u
n e c ' h e t . awalc'h evit gallout taga. T e n n eo d'ezho aunsmiss du platssu de NAT&BIN, et ob- méeontenlemenl
journaux,
Il, «ux Alliés de mettre a exécution tous
c ' h o u n i t k e t d r e i s t 7,000 l u r ; — n e t r a
iin sscond lisu, M. Uriand a aau\d l'iirmilo daiia les
K o m z a r e e r é n n h i euz a d u d d i z e m e z tostaat abalamour ma oe freuzet pont- tiennent d'eVosllsnti riinltat». Lss tran- leurs plans, ot le fait do leur laisser l'Ini« *
k o n nobeu.d da, c ' h o u l e n n d i g a n t a r
ohou an hentchou-houarn, dre ma klJe chées battues sont profondément bonlsvsr- tiativo nnurrait complètement annihiler la»
" i ^ t a l l a lut sait gré d« cas doux onlroprlias,
h a g ouz a d u d dimezet ; g o r ebed a v a d
Riss; plusisors députa de munition» sauAo C a n a d a f/iVio lea Austro-Bochea
par p i ' i e j o u h a g o d o u z e n n h o c ' h a r g 3 , 5
• r m e e Sarrail. H a piou c a r , hou-ma tent. ITsutre part, nos pro)eeUles syint di- succès rejnporltSa par nous au prix de gratdt
n a g euz i t a n v l e n n a g cuz itaûvozed.
socrlflocs. •
le eoncours empresai qu'ilprite
aux Alliés. 1 » 8 k r o u a d u r , m a n ' e c ' h o u n e z o n t k e t
marteze eo a dago da genta.
moll des réserrolrs k gai suflooants, dss
£ « • ftUocatlont é l f l o t o r a t a i .
H a da éur goulenn greet d'ezhan, ar
m . — Bn Roumania
tralniss osseuses se répandent qui sont r«Lo 3 /Vwier,
un Incendie détruitait
le d r o i s t 10.000, 12.000 pe 10.500 l u r a r
D a c ' h e d a l , an e n e b o u r i e n a zo lakaet istiss psr ls Tsnt vsrs les lignes «nasmles.
Lit aitoaationi
en fiioeur des famille»
di
' I l semble ocriain que des désaooonta adn f i u i a l r e a deuz respontet e tleer l a palait
du Parlement à Ottaioa, C'est pa- b l o a z . '
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Joomis,
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surgi dans te cabinet BraliaM '
moblfltét M poueaitnl
manquer d'ilrt
etek a a t a a Hs^nv b a g a n i t a n v e z h e p
ntit-il un nouveau crlino boohe,
m o n t etrezek an E J I P T , e v i t t r o u c ' h a dea ttrt ds dskirtwtlan ssr lss IraaeMss at- sillet de l'exportation des c«r£ales. CtUe
, H a g ap r e a c ' h o u n i t m u i o c ' U a ' o do»
pliUéei
par ctriain»
potiiioien» aana eerIsBundss
da
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dizeraèz
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, Lea AUeman'Ji
lont aeoutU én outre
da Vlana kanol S u e z , ha lakàat eve1-«e asAMr&aHB.^.
d'amensr au pouvoir, par ur» remsnfc
veto d a baea iiemed.evit a l Indonn a
ffOfAt, Jana tut inUrit Hecloral. On aurttU
a devezo d r e ze d a b a e a d i v a r a r p e z a
d!aooirfltit
sauter une utlne à
munttloni.
de
ministère,
des hommes appartenant
dIspartI e t r e B r o - Z a o z h a g an Indes ha
etpmdani pu «n doHtw a( dH preuve» n'a»
Le 7, un bombardemsal d* uotr* arttltsrto Darli conservateur n j o d ^
j o u m o goude' d t s k o n t a a r c ' h o n t c h o u IfiH/ln, un complot monatre a été dioouc ' h o u n e z o n t d r e i s t 5.000 l u r .
b r o i o u ail ar zao-heol. H o g e n , awalc'h lourds sur des itatmsssmsats «nnsmis, pris
valent
pMiUapporUH,
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vert <k leur aptO, lia préparaient une amde
M a r . o d o u z b u g a l e , l o d e n n a r v u g a l e e kavont da o b e r evit e n e m z l f e n n ouz ds CHAIiLERAMOE, provott* u t grand iat^ai» poici te gue. raç6iUenl le F l g & i o «(
, Arabad avad{aziadiva^henh arpez
osndls.
de brigands pOUr IHnvaiion
du Canada,
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b k e n a vezo diskonteft.
armee S a l o n l k ; h a g ar m a r e d a v o n t
d'àutrujoui'ium!)!
>
Pil'it ilaaur,aient piaoi aeerétemeni 300,000 « d l o e r k o m p r s n d r o » g o u h l d i g e z
E
n > r gl o n i M
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d'an E j l p t (el leac'h ma k a v f e n t «un il
U ÊUU-pNfà
ClM</ijiom^ a / b M </«•
l,c journal orâoicux'de'ia tigatlolt t X ^
^tila
Uauaer le long de- laft-ontitre.
Le b l o A v e z t e k s, A r a b a d l a v a r o u t : « M e a
»
primtr de» leitret ainti eonçuet :
'
a n i t a n v e z d a b a e a d i v a r d a o u v i l l u r g e m e r d e r e a d cuz « b e r z ar Saozon), 1
La IttUs ds asbsss, stgnalis la samalM dsr- lemagne, la Zioa, «orlt : < L'avenir .
rtoumahlo «e prépare data le e t l i M tMft>
6 u i reoherttii
tllaH de détruire lea voiea de zo d l n i é z e i ; t r i g r o u a d u r a m b e u s ; o
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,
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poursuit
la
S
Mvr<«r.
Btaa
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iouruof-rnftniaTUni
' lu
rauioc'h
e g e d a n o z a c ' h h a g a r c ' h r e g zo t r e m e n e t e v i t ar bloaxHita. E v i t g w i r ,
rent
du
momenl...
Oss
J
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M
^
I
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<H>mmttnication, qftn de paralyser
l'envoi k o n t a a r v a r a m , p c r a p o m a o m p o t a o
Dis tous Islsaas saotar ds Mmbrsns iaurM ooiKoaur
d e a e r r t «n A r a b i a zo d a d r e u z i , h t n'«o nsaux ^
boidavarsant M t r a r a u s ç ^ . dar U t«tw« «tUtada <a U i S e o u a i t . Ç W
/fol*
(fak muAitionaelCembarquemint
dit oontin- o ' h o u n i t . . . I a k a a i r p 15.000 l u r , b e p a 0 d e u z a n e u r v a d d a j o u m b e o asam.»
ràlBs <• l'saaamt: «m^ ans C D V B t l i . Sst flnl de U poUUqu® d'bdsIUUaa.....
k
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t' • ;
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^nta c'anadienl.
, •.
Mais tous Jçwmwi p e r t u t «
ti
a i t m i l , itt aatr* t u n U B - r
8.000 l à r : n e t r a da. b a e a . >
m o u r nta t e u « n t v d t e a c ' h da sevel e»«l,
attitude >a dtolde oe« }oun.«t
: i-A> t «
•••. <•«••
.. . •;•
"•
.
d à k a e » 0 p e f e m a v i j e a n t r s o i i , ; D ' a m . z o n j i n ' e o k e t j j i s t . E a s o c ' h eo g w t g e n n o u «abr, o talla hag or^voogt t u
pas dans le aena d«alr< par le .
^
On annonce d'eutirt pari (g
tMnuHoit
t a k - m a a ' « n e r ftemed a u r d a ' z f M U b r l e d oo'b- e a e m z i k o u r g o u - S u d « I l e m » » v V
:
'Miit(eiie«n»l0ilbèitKf
(tirla:
da eun
U r ^ d l M ^ t o k e n t f t M B « u r airol»; Alt, e û n d r *
ipÉoe'h d^v•^^>«nh w
^
w
I t h a v p e dft é u 9 f , l t j
'-i'•.'..,•(
Eiz dez Breze!
lésiiiBé des 0 léralions
c&Quiigpmc
i..
Kmim
EDrnmtailloiineïez
.aSililioiiDiiilonialip
M
m
m
t,
iiiii
I
I
LE
COURRIER-DU
flNlSTÉiar
<um <|ul doit «Ira blenlOI «(Irmud ik la Rou3* En Garnie, on a maintenu la punvtjimluu nieir, eWdoj d'émotlona gportlTea. Tout le» y con. n«nifl,
DOITE AUX LETTRES
la llsrne frontière contre lo» attaque» Tltll I Is déilr d'acclamer lea auocèa do leura
' . La nminrinnla Ittlnt, m£fifiaK<''i'n on Orlont 00
dn» Autriolilon» vUant i péné- (I liommea u et le aouoi do leur prodiguer lea en^ S X Z X 9
Maison Française (Fomlfc en 1859)
« X I
iinirv KluilcuHO «lvill>i|ltlon nn Hoiiralt A porslHtunto»
S I
tror dnnt cet dohlqulop pour monnoor le oonrngenicnta. Le tompa était splomlldo : un
Sous collo rubrique nous répondons aux
notre ioiik rullllr aux iinhloit InidltlonH du naud
do notro arniép.
tempa frais ot aeo, et un gui aolell dardait ans quosllon» qui nous soni posées, toute» les
RU raoc. OiuUI laugu* UUno, dim-nl loii lluGrands
Uagasiss d'habillemesis
Par
do»
tirs
d'artlllorlo
ot
do
liardios
Ir.
«ou*
rayona
aur
lo
«
ring
»,
aur
le
thiidtro
dè
lu
fols que nous le pouvons cl quo cela en CHUTES
U^ûfi
do MÂ
TRICE9
rupi ons (Unfantorlo, on a di^ranffrt lo» ooin latte.
vaut lu, pcino.
I V . - A u Mont^inégro
miinlcR Ions d« l'onnoml dans les volIroH do
Le <1 mforoo », lo lleulonant Larlvo, tint lo slillct
Mais,
en
ce
qui
concerno
notammcnl
la
REIMS
FLOTTAHTS
Le» Iniirnniix vieiiiiolst qui nn so sniil Ja «nllot du Ilim| Kolla, on adOmantoW lo tort avoo autant d'dlilganoe quo do compelonco et a'ao- loi do» allocations ol le» dltfi-'rcnlo» posimalt dOrldiM S nnnyiioei' hi nipliiro do» iii'- Honsol ot ondonnnoK't* colul do l'rodll.
qullliv de an lAche (i la antlataotlon do tous. SI tions do» mlliluiros, do nouveaux cas d'esgiiolallims monU'iu'gi'lm'n «nnimciioonl A bo V Sur I Isoniîo, on n con(iuls la oonquo do pourtant quelques cIT-sIdu
DÉPLACEMENT DES ORQANES
u.i U.UV paasbront
|fuanw..Jllt Inaperçus,
IIIU ^ lia. Il
Il pèces so présentent tous los Jours, qui no
. BPnlIi' einhun-niimls. il jour oui dlfllollc do 1 lozzo Jusqu'aux pontos du mont Ilombon no
tin inill
IIFIU trop
ll'nn ll,l
nnnirn peuvent élro Holullonnés quo par les bufaut lias
lui ntt
on Vnlllnin
vouloir ..l.n.t.l
quand on nongo
ÎP'J!^"®
'"
'ï"®
'a nfaffio,
3lt
dire (iiin lo» poiippurlcw do paix «oui l'otn- ot .invoruk, et ou a oooupû uno itrandu
lo» doux cnnips n'itnient pas dlItiSrencliS» par reaux de» miulsioros. Koua reprodulsOUB
•miMiniis, Co Hci'nll un pou Imp dur fi fulro pan 0 du iiiuHsIt du Monto Noro, primant (luo
le» Holullon» au fur et ii mesure qu'elles - klenved un DlHUcnii-noiizclIou.
do»
ooslunioa
apOclaux.
A
la
guorro
comme
A
la
«valop niOmn 'i do» luolourH ln\«4 orddulo nlii.il solidomont pied sur la siiuelio du iruorro.
pnralssonl' lor.si|u'ello8 présoulent un inléVêtements Confectionnés et s u r ffelure
Et d'ouli'o paiM litt tio voKlohI piiH «o di* iicuvei
1 "VV"'®'/ <l""ni', o'houl bas a zo.
rOt ri'el pour nos lecteurs. Pour lo rcsio,
L a partis
dire. Dans co» olromiMiuncdd diMIonlcs, Il no 1)0 niia poslllons sur lo VodII, sur lo
nous devons nous en tenir aux principes es- dro ho labourloii tenu, o brasoc'Fi rislU
:'0fil0 (piVi niKOi-, Viilol lo dornlei' truo î
U C, M, nitnquo nvoo lo vont et le BOIoII dans senliolfl. do crulnto d'induire «os corres- zf-c'ïmiM-i S^" P'""
Mrzll, ot (los Imutours do Sunla-Marla nt
^poi^r H o m m e s , l ^ u n e ^ e n s et Enfants
inlirniHe. . pourparlorH, dit lu pivsso.aiiii'lchliinno, u'cml 7'"Va-Luom, nous tenons on éclioc lu place lo do», Kilo proiid d'nianut lu» bols ndvorsioa ot, poiulanls en erreur.
zo c ilOui hag o peuz ne dliiikcun b o u pna cnooi'o ocminionoii ol no noronl onluini\s 10 Inèmlno, qui ost sous notio tir ot il In des los pronilfiroa minuloa, marque un premier
A nropo» do la loi de»
alloéallons
par
•Smî^V-P?®"'"®''''®""®''
n
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bennïïg
h
a
r
a
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^
^
S
O
^
R£J)àli^ANDà'é
ÂÛx 'rAMÊLLES
GATHOUQt^'s
^
de» allotfallons par
quo lorMino Ion porsiinnullloîi roslOoH un dlsoi'ctlon do nos canons.
but. Le» fantassin» domouront tout penauds !
il nous csl im
" ri!pon- d o t H I T -Î'I' " "
l'tt l»'.iniposslblo di!
MnnloniiKio soront on nioitiro do pwidnli'o
1.0 Jeu roproiid. Le ballon so promène dans exemple,
"
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™
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B
A
A
C
T
Ï
U
CATÀÛOIÎÉ
-:-'!RÏZON£C
A
ïÊZ
RAHEET
lire pat' oui ou par non
1 n une quesllon qui
00 nlolns piiuvoh'.H pronvunl Ivromlubloinonl
lie gcntelo camp des funlasiilns. Il sort en eornnr qui no se
ri^pMe souvoiit sous oelto forme : .. Al- nm, ".'!''" Poaniou : oc'h heulla
quollod onl lo diMll do mlKoulor avoo lo
cbench sourt
donne pas do résullat, Dons la u\«lc)o, lu gool Jo
droit il l'allocation î .. Même lorsqu'on ihp i
oonimandoinonl ansIni-lKingitilx,,,
rovolt un II jeton » sur l'appendlco nasal dont 11 UIIUH
rournil cerlalns délalls, on peu! on h ^ l ", ® " ' , c founoc'h da wclot
olplaliit nmtroment.
O'ofll uno ('v(iilniilili) (|ul pourrai! »o fuiro
«niellro d'anircs qui oui leur Importance, et
®
......
lufiaiiiiuiii l'i
u la
i(f charge
i;tiur»u iet for- quo la mairie n'oubliera pas lors de in l î a r c . i ' l / i i ï i ' l L V " '
tllcudro ns«oz longlonipîi.
1.04 ,i,.,iuiiiu,iia
mlti'ulllours reviennent
I i:iiuic (io .M- Ti-oiiii: II-, bulscent lo imllon A rentrer uno douxi6meI fols.
conslitulion du dossier. Knsuite, tout dé- ir-Jtlii^.ï
bcmdcz d'ho drugare!•>. rue do ï5iu s lires»
V. - A u x Btats Unis
Quoi dono îsera co récraaemenl dos fantassin»? pcnd de lapprOointion de» eommlssliin».
i n e l l i o d l)iii'
A t/uoÊ prix
itoivont
ma
tairo
Hionlit uu penalty leur est uecordé. L'uvantI.ansini;
t<o comlo noniHlorf a remis !\
,'hn„ i ? » ""''-so, c iioul iKig 0 pouz|)oan
Cela
dit,
rappeloiis
une
fois
do
plus
les
lom
féqulmlilona
7
oenlro alioole j los fantuasins, avec Joie, enregis- régies prlncipaic» suivantes :
jino nonvollo nnic roiativo ii la Luillnnla, 1/
c lioul a ve mad d'oc'li mont oll da gaou
V E . \ T K VOLÔ.NTAIRE
toxlo n on a p.m l'U) pnhilil. On so rappolli
t.a Cour d'appol do Honnos viont dn ron- trenl lo premier iml. Co sera, liOlns lo dornior.
LE ditiiaii ••lie i:( févi-Ier,
t" L'nlloeation Journalière de I fc.
est
«vit
he
vadoberoJ.
.V
commonl la (piosllon so pose aoluollonionl ilro, on malli''ro ilo i'i!(|nlsllloiis, nn arrcll
1.0 Jou «0 roursult avoo des nllornaiive» d'a- due
U loulc famille dont le milllairo est lo
!i niiJl
LAIIfinaKUo «ITro uno Indoiniillci, do l'ur iiarlioiilliM'i'mon! inli'rossanl cl qui pool vanoo et do recul. Lea mltrnllleuia, pourtant, smilion
•«.y'-'^-ïî
louez ovltrc.sco, «oamilispensablo ;
M- Ir.iiiiciirvradi-.i aiiiioiirg
g«n( i les Klats-Unls n'olamonl nno rooon >lri' Kros do oiinsi'quonoos.
£ca, lui-rc licd ha L i i n a l o i
dominent asse« iiellnmcnt. Il so produit alors
Andrcln-li., andi.broii li.i,' oll olcnvojoui ill ai'c'iiruo'îio
2Uno
majornllun
do
0
fr.
50
est
due
pour
Mliiinot da principe : lo Ki*ivorncinonl d
d.l>l..i„|irv.
CIKV, M.M. VaiK
Vdlol los fnll» do la oauso !
uno ai>rlo do «t^parallons, do ponally, do corner chaiiue enfaul do moins de tfi ans réelle«l'est, 6ul, 27 c'houovrei-, liOt. de Franco a vcz pareot c b;rr-anizei' rant ar
Borlln i ovrall avonor (juo lu lorplllagc do I
laiil, l-.tiniiic: et AU-\amlre.
K^'iV^ïi''S. hôt,dosTrois-l>ilicr.s,
1.0 !!l) soptcniln'o Hin, l'Inlondunoo avnll qui n'nbantliiaent ft rien.
monl 4 lii oharRo du soutien do famille.
L u i l i t u l t a lUi! llk'Kal.
lou.,le<iii.-ubli'siii..-ubla;:t»,
.ri'i|Ul lllonni! dans les magasins do la Sock'i.'exlrdme gnueho do la C .M saisit lo ballon,
Chaque milllairo no peut donner lieu à
dl- . - u i - i l i c ,;t d ô
Il «si vralsomblahlo (|uo dans la dornh>r(> lil .X,;. ol Cl», du suci'o pour lo(pio| ollo «f descend par un )oll drlbbling. Oûné dnns sa alloçaiion principale de t fr.
qu'au pro- du Léot!
'
' "icui'-f, liûtcl ' C R Ê / H S
B E L P E A U ' UMCII-MIOS
noio nllomando, (m a oliorcln! un loi'rain In fralt Vi rr,ui08. t.os diUoulours uvaloni von- course 11 fait uno nnaso A l'extrême qui Justonient ilt duno seule personne considérée commo
|iii;na<t('. matrii.-l ,1c d.-bir„
tcrmidlnlro d'onlonio, l,o tuol illilnol n'a iiu 00 nnoro ;i divors clionis l'i un prix nioycn ao trouvait on-aicle, mais lo bnllou passe et le lef do famille.
Ar
morc'hed
a
c'iicli
iloiiraatar
cliroc'iien
war
iio
bizai
lia
iioissoii-i
.livi-rs,?s,
iiial.'-rifl dtf
laou,
liotul dos Voya^
oorlainoniont pas dlc! oniulnjii ; mais un pon ilo !i\ francs, l,a ritqidslllon los ompOclia but o.st compté.
Itaoul liou tlaiiini eu our oiior iniplij cuz an dieu zi? : iiiinnit iioiu-l lie. 1
ub\ lialance,
La majoraliun peut être accordiîe en de
«0 qno lu fiirmnlo propD' i'o somll oollo-ol ; hlon onloiidu, do livror la maroliiindlso von
|)oid
.
,
a
r,a
oiiz
ar
c
hroc
iicn
da
zond
da
rida
lia
ku.s
a
ra
luiit
zjlic:i
K U I I I I K T I C , gwcner, .1, bot. d a Commorcp.
ido i/iianlilé de pailA In ml temps le score est : C M : II. — IIT 0" ; 1. hors (lu l'allocation principale, lur-^quo l'en
J'Allemnpno di'olarorall (|uo lo lornjllairo de duo, Ils doniandi^ronl duno ft l'Inlondanco di
ar ndou, ma z cuz auozlio dija.
lo. foii rutaba-a. iiainai^,
La pnrlio reprend nvee uno ardour nouvelin.
la Luiltinln n rki nn aolo do rppn'saillos. ol la loin' payor au prix auqnol la vonio avait I.es fniitnssins so sont assurés, A leur tour, io rnnl nnra été reciieilii par uno personn
iessivciiM'. lumic);
Ar slaiiliilou;i : IJywenneIt;
tflrangèrc
A
sn
famille.
quo l'on no doit pas oxoroor du ronri'suillo oli< fallo ft lonr cllcnlolo, Siu' son rofns, Ils concours do daux nouvonux joueurs : lo vont ot
L't .,'rai;
'jui'.iililù d'autres
Ar vocstad : t) rnal ;
L'iilioonlion cl la majoration sont ducs
ooniro los nouiros.
lui lnlonli''roiil uno iicllon devant lo Iribunal lo aoioii. Vont-iia pouvoir iSgnilser '? Los niitrnllciliiet
K
u
i
i
k
K
c
r
i
i
c
,
lun,
0.
liotcl
do
Franco.
An
iiaiilci-voosiad
:
0
rcal
du Jour de la demande.
Au .iiiplo
I.o pn'sldonl Wllson qui it donnil lajit de do Nanics. qui, aduplanl la llu^o dn l'In- loura rooommonconl leurs dangereuses Incursions partir
'I/O en SUN
en
oll
apoliUorezou.
Les commissions doivent apprdcier la si
il?Hi'i®'i""'' •"•^.V''^'
Jo Franco.
ppouvoH d'o^prll oonclllanl ol do ... ruililes- lonilanoo Ingoa cpio lo suoro dovall iMro navi! aur lo torrilolro des fantassins. Lo ballon sort on tuntion
(les familles diuis un largo esprit
nV.îîi^
"'eie 'cr, 8, hOtol de France.
«p. HO cnnicnlora-l-ll do co slrulaHOnn» (pu au prix d'ai'hal augmonli* do corlaln» frais corner. Comme toujoura on no aull pus on tirer dliumnnilé,
l-;iude
il.
-M' <;<iiii.v, notaire
lu doute (Jénénciaut au pi!li: Commeroi""'''
Oludo lu \(<rilalilo quosllon ? OVsl co (luf aooossoiros, sans lonir ooniplo des cours pnrll.
"
i l'I.-ybcii
Araokobc-r iiiiplijeuz an dlcn-zc.o vo luad en cm ywalc'iii
llonnaire.
Jon Ignoro onooro. Tn Journal du malin n - pnillqniis au niiimonl do la réquisition.
I.aiiiilou, sul 19, hOtcl do France.
ont
sauiiii
Ucliicuii
.
pcvar
real
an
tain.
l'ui»
on
usalsto
A
nouveau,
A
un
bomburdoment
On
peut
on
nppeler
des
di'eislons
de
la
pnnd nul ; nn .jniu'nal du soir n'plliiuo non.
i . o r l n i K . morc'her. în, bût. de Uretagne.
.sur appol, la Cour de lionnes n nlformO co des bola des fantusains. Mais lo goal so « pose » commission e.mtonalo fi l i commission d'arNOIIH dispensons nos loclonrs <lii nus nr.i-JuKcmonl :
M e i i i p r o . i KiHelnl n c liiir, ucve/, e v i l
LA. Lo doml-centro dos mitrailleurs a beau crier: rondisseincnl, el dos décisions de cette dernosllpa, Mais s'ils voulcnl on falro ci.x-niO(l'iijsIdOranl. illl-ollo quo la loi du 3 Jiill 0 dnns lea bois, » rien n'y cuire, lo blocus est nière A la connnission supérieure siiigeant .1 a i r o a d c u z l i o l i c t I/.III.
mos, voici los donniJcs ;
coi'ps (lo F c i ' i i i c
loi 18,7, porinni dans son arllolo 2 quo Ion pnrfnit I
Pa slu'lvcr cuz Uraiz, l<as al lizerl d'an
Paris II sufnt de prier le préfet ou le sou
A) — Côté aiiiMcain.
1,'» proslallons dunnonl droll Ji dos
Kniln les fantassins réusaissent A ao dégager préfet dn faire Io nOces-iaire, par Oorit . . adre.ss-nia : Ilitlci, bureau régional, '28, r u "
à /,.•.•..l'i'/é, .-n Sailit
juig
h» pn'sldont Wllnun no vouilrnll pas cum- Indonnilli's ropri'sonlallvos do la v.ilhur, Il y do l'élrcinto dca mitrniilours. lia remontent lo soit directomcnl, soit par l'IntormOdiairo de L. Renan, Bresf.
i O!it<.-::aiit i-iiviriiM i.", Iici-tares,
jrwnollro. on «handonniinl lo lorrain dO" a lion, pour lixor oollo IndomnIU» dn roolior- lerrnln. Mais comme lo dernier shoot manque m mairie.
.•S'adro.Ki'r à IV- i lio ou A
ptnclpos, laulorlli! sur laquollo II ooniplo olior lii valeur ropri'sonlaul les «blols sur do 11 llnlsh », lo ballon sort en six mMrcs. Lo Jeu
Madaiiic:,!- iiyii.iu.l, iiitan^i.'iïî
l/nlloontion
ot
la
majoration
so
pavent
par
H
lesqunis parlo I» rOquIsllloii au moment oii devient plu» serré. Lea cbargcs se font plus vIo périodes (le i» Jours, t e s t co qui expikpin
Landeriicau
au
l'ont-'l(.--IUii.-<.
p"alx'' " "
'""P'"''""'
"«"Ki''^'' ollo s'exnroo !
Prisonniers de guerre évadés. — Doux M
lente» et les petits ne résistent pas aux gros quo 1 ou touclie t.T mensualilL's dons l'année
>i
Le prds'ldont Wlisnn no vnndrall pas mol- " Ouo si rinlomianoo n l'avanlago p,ir la d'oCi des culbutes « nép6rea ». L'avnnt centre de»
prisonniers
nustro
allemands
du
camp
de
iicrl-;tudc
dt .M- «^iiillv nytairo
M
Npu.i ne savons lusqu'A quel point nn porrj!qnislllon do pouvoir s'assurer la dlsj
roquisnion
illsnosl- mitrniliours est particullèremont visé, mnis sans
a flcylA-u'
, " M " ' I , l " ' é l n v e r le montant béueat s'étaient évndés. Co sont llolliei-l f.url.
t , Plaao
emfle
Souveatre,
MORLAIX
llon dos objets sur lesquels ello pnrlo, ollo ao décourogor, Il se relève ol fonce sur lo ballon. lies coniriliul on» sur Vallocalioii ; ce qui
uns. sujet nuli-ichion, et Ciiarics Duiiner
•iiaino iiloollim prt'sidonllollo.
'
ue noul, au dcmouranl, so présenter nu
Ln dernier corner on faveur dos fantassins est corlaln. o'esl nu'ii no peut relenir une M un», sujet alleniiind. ils ont été arrêtés À
f 4(1 «•lu'iiCfl
Le Iin'sldcnl WlHon no voudrall nullo- poln do vun du prix h payer, quo comme domeuro sans ellot.
COURONNES
' m o r t u a i r e s
sommg .suçorieuro celle qui csl due par le Morez, dans lo .lura. ils n'avalent pus perdu
; c c i ileur temps,_puisquc c'csl lo 4 lévrier iiu'ils s'.imont oniiçourlr a r(!crasomonl do l'Ai aolielour ordina ro ; qu'elle (ioll df s lor» suLo toinps passe et rien n'a dlii marqué encore
SKTS sur IllOcl.
s d.-iioniliuppés.
iwairno. I l dosiro une nouvollo Knrnpo qn, Nr la mnrolin do» oniu's ;
talent éciiuppés
A la socondo mi-lemns. On sont, eiiei lea inllrall
dai.ccs lie Li .iiK:
'lliV
;ii l ' i o j no dimro pas Irop do l'Kiwnpo d'avlml lu
Papiers à Tettrg
eri"'tcus
" Ou'Il Ininorlo, dnns eel élnl. do roclior- leur». In ijonno volonté do marquer envers et 2.«05. — Vous auriez peul-ètro tort dn tij.
L
e
G
o
n
q
u
c
t
il^T,,!'"'"?'''""?''"'.'''
nu'.i (Welik! lo Ju- contre tout, lis parlent A fond de train dnns lo 1er la liquidation do votre pension, puisqui
IX t l l i l l i s ijoi riant lo
S P É C I A U X pour B U R E A U X de T A B A C
k l
dl/flculli's de bon commoroc.
Ruade mortelle. - Krnnfols (lucilcc. « a n ,
gomonl oniroprl» ot »nn» s'arrdlor nu nrlx camp adverse. L'nrrlAro repousse io ballon qui vous louchez l'ailocalipu Journalière, supé• X.il.trr,:'!
•f.d-una
et COLPORTEURS
a/-CM
alltmand.
;|u a pu ûlro llxé pai' dos .•omndssllîns^. lui est sans cesse renvoyé et linalemont lo polit rieure vraisemblablement A ce quo vous cullivul.eur a Ueringur, u clé tué par une ruudô
A-C- J.! , 1..A1.1R s :(»
M. Zlniinorniann. sous-socriJInlro d'Rlul à non nns le pri.v des sucre» au mmnonl n(i In avnnt-centro, l'abonné aux culbulc», s'en ompnro donnera la pension. Olio-ci viendra A son de son clicvul.
lieuro : Il y a d'ailleurs une nouvelle loi en
I/AMomniino ost alh'o JusIiu^^nrix' "T"'!'"'"'''lui'rcur, en y ajou- 01 lo logo, comme qui dirnil, dnns les Miels.
IY<'.lel;,nans le cas ofi vous auriez uno ri!
qu au bnid dos onnoessions ; on a\icun oas I n 00 qn'idnlt dovenuo normalement leur
Ln Un est sllHiio sur co résultat : 4 A 1.
CHATKAULIN
A formuler, mlrssez-vous au dé
ello n'admolira l'illdgaiiiô do la onorro i ' , 1 . ' " ^ . ' ' M ' ] '••"l'"nii<' ofi rinlendnnce
I-i'S nillraiiiours onl remporté In victoire, ot je clnmalion
M o r t sur la route. — Le 1" février on n
SCi)SACS k TkBkd
pél de votre régiment.
JouMnnrIno dans In xono do «uorro,. n i o
P'"' 'a réquislllun ; les on féilcito.
découvert, surlechemiu vicinal de riiélenulin A
îïîn T""
i:i«l((-Unls poussent lr<ip
.l aiirosao d'ailleurs mes meilleures fiillcltationa
I F "R, I X :
I-î. - É D X J I T S
.Snint Couiltz, lo cadavre de .loscph Coriou
" Que oo,<| lo monlnnl do oelle valeur ciul,
Win loiu's oxigcnccs ; | ne T.iul nus osA tous lea joueur» pour leur esprit de discipline
48 ans, domestique de ferme, originaire de l)o'Iwiifo <-ui)iiiiuiide di 'pa>-Muii( y.; fi-, CHI expi'«oyor d^uinilllcr l'Allemagno... .. ^
^
ut pour leur atliiudo digne durant toute lu partie.
nodct.
.-itu _ -11 <iiiip:iv:i
I diéc ( r a u e o di- poi't el «reinlKilIaA'c.
le»
remercient
do
Leura cumpngnona
d'arme»
- u . . . ( . . . „ . . w . i a .. ...i.i...,
, UIII1.-I U l l - l l i
Ce malheureux, sorti récemment do l'hospice
liage d liie.,1.
c- 17
HAm.,,^!?'" - l ' o l l l i u c n x ) : . La
l.lill.
I.,.nt..
...l
..aIIa
...II,»
ttà^
_.)..
.
K.,,.
leur avoir procuré cotte petite félo sporllvo. .Nul
do gulmpcr, avait quillé ta veille le village de
acinn do de WaHliInRlon somblo avoir pmu'
iK'i'Iarc .
doute quo blentét nous nurona la Joio d'nssister
l'ennanro», on Saint-Coutitz. dans l'inlenllon do
•adic.s-or a M i.uri
expcriiso A l'effet do In llxor... ..
noA la revttncho,
80 présenter A l'iiospico de CliAleaulin. .
taiie.i (,;uipava,3.
S?Mmî
a M. I.unslns dmol une
Los experts devront élabllr la valeur des
L'
.
N
iMirnAu.i.EI;n.
Lo
médecin
u
coiiclu
quo
lu
mort
était
due
A
suorcs riiqulslllonné» siu' In bnso du prix
une congestion cérébraio'
iiniii- i.itor.î.i.t
Î " ® " " urmiiBoinonl 'avec eonrant pratiqué sur la place do Nnnics nn
l i x H i da
,lour do In réquisition. ..
Oras|)nr(s
.1
Col arrêt do la Cour do Bonnes est do
LE 118' A L'HONNEUR
M o r t pour l a patrie. — Jean-r.oiiis flrall
i'loiidului(-/.eiiii
Lo Bjirliner T«||»bUtt iî.l.i: prudent) Qno naluro ; 0 causer uno viirllalîlo révolullon
du ^r
laol,' soldai au
U:T- d
infniilorle,
tué A reoncmi
"
"
"
iiii'i
jilac.; au
l
ans
les
pratiques
anlérlcures
do
rinlenM. do Belhmnnn•og pôsB fa» gains'ol lo»
en Chainpugne, antcrieurci icut au 31 décciubrè
Ont été cités i\ l'ordre do la division :
dnnoo.
Monsieur le Diroctcur,
i-ad:vs.M>r à M-:mis.
Le lioutonaut Sommelier ; los adjudants
u l'IyudaiinOzi-aii l'rovosLe Coiirriec, dans son numéro de samedi,
SI la Jiu'laprudenoe s'élablll dnns le sens
s . ï l " JSSî"''^'"
I " " " " (li'olslmi anil lndl(|ui!, Il en ssra do mflmo des avoines, des nous pnrlo do ruvortomenlépizootique des Ju- Lnlandp et Lo l'cchaux ; los sergents L'IIa<-i'iit fotiim
il V (•;; a 00 qui
Œ'/MV^H'''"?
f fliiinMllor prendra on fnm'i'age», du bélall ot aulro» denrée» com- ments, otdes moyens nréventifs pour l'évitor.
ndon, Dazlnot Gaillard ; le capor.il-fourrlor
MOULA IX
.''oOt attt-iiiti'sdi- il ill'IIl-s. j x r l l |H'«.
ipB du suoro, et le» preslntnlros »«roi\t fonilabitunl on pnys d'éiovugo et éleveur mol- Goas : lo caporal .Futot ; les soldats Le Dull,
J.-B.
K E O Q U I
M o r t du président du tribunal. — .M.
f l b r o i i i c . ci auliv: •.iif{o;-!;ciin-nls,cjiil
dés A exiger pour le» mnrchandise» réqulsl- mémo, J'nl vu colle terriblo maladie de pr6s il y .loan-Loms, bovérc, Pierre, et Cablocli, Guil- çhon,depuis 1883 président du Iribunal civil de
'lient iilii-i ou nii iiiis la )ii(-ii~!nia«««"/fîT» "i'
Ù s»,"
no» nnancos si qn Monnéos des prix «onsiblemcnl plus élcviis uuno diinlno d'année», lllen rares sont los fer- laume.
CliliMii-Kieti D c n l i s t c
Jl^orluix, est mort A Pcnzé, dimunciic, dans sa
lion cl ijui c.vplicjiioiil 1
iii'iiionSlSlnm/ir^,,''/."". ^s, !} " " " P ' " " «Iw ''""«lion» quo opiix qno rndmlnlslrntion milllairo n mes de mu commune et dos conmmnes limltro- ,Go3 bravos ont été mallioureusoment bles- 1)1' année, bes
•iiicilcPjri'i
mardi à
'Cs obsèques ont eu lieu
iicu'murdl
Kio.<ot k'.s iiiTtos |)icM(iii iiintiiiui-!routumo do pnj'or.
phos qui no furent pus visitées par ello. Aussi co ses ou tués lo 'iâ septembre.
rauié.
cos»ii.v,vrn..s-iKii Sl.E.ÏJOLMH
li-s aux(|m-l!cs c l i w sont ujcllcs.
nofutposaans
Inquiétude
quo
Jeta
vis
entrer
la
citation
<lu
sorycnt
L'Harldon,
séVoici
do !» 11. à i! 11.
I.a fciiiiiic .-il! jii'coccui • pt;ii d-aIm ma/n*ifœu¥fO
mffriooie
l'HI.
Pleyber-Chi'ist
dans mon vlllngo.
minariste do Plonévez-du-Faou:
Sauf le 5am?ili ('l'iliiianoiie
bord (II- CCS iiu-oinviiiciil- puis tout
Des parole.M qui se payent cher. — M
A l'approolio do la période de» labours
« Sous-onicler d'une bravouro ot d'une
.l'avuls trois juments pleines, mon voisin on
Tirl.-s
di-un sjii.
' .-t
Exlgir
CI
porlr:!!
lo
vi'iiliv
cdiiiinci
à
coup
el scmaillc» do prinlemp», lo ministre de in avait uno qui avorta; dans un autre village, lo éncrglo remarquables; cmolimo blessé
à ^'I-OS[•rancols 1-er, débitant nn bourg, avait été l'obpuse ;lci deutii-i irlil icis
sir l't les iiialaisct
Ouerrp a adrcssi) aux gi^néraux ocmnunn- plus voisin du mion, six juments pleines, alx fait preuve du
jet d un procès-v-irbat. pour fermeture tardive II
'•• pius gran..
ni courage
coura
lioul.Ioiil.
en
cnL'AIXI;
I
:.
1:
;EION
'IltltO.MI-: se développe ix.-ii il I
dant les région» uno nouvelle oiroulniro ui'i avortées | puis dans un nutro qui me touchait trainant sa section fi l'assaut des positions jn avait gardé liii rcsscntinient aux'gèudûVmes
il in'se iiii'
l'i, riii- rtlîiirii •. I t H K S r
noua lisons ;
les organes inl.'i'k'iirs. oi'casiiihiic dt's •u.
lioub-iu.,
. .de
» ...^nlvrer
tort
aussi, doux pleines, doux avortées ctc., etc.aliomaudes ; Yué lô 'W s'optc'mbro, 'daiis"un Corlaln jour 11 eut 1e premier .—
Un oonimunlquô olllolel donne los rcnaolbas-voiitn; cl aii.x roin.s. l.a malade s aiiaibiil oldos
" Pour augmenter enooro le» ressource» Toutes ces jumonta uvorluioiit entre le S'et le corps a corps, après un très vif combat. » cl le tort de crier ensuite des injures aux gen
ttnomont» aidvnniM sur lea opérations do
jM'rIc.s
iiboiidaiilcs
la
forccnl
à
s'aiikriMVMiiic
contidarmes.
guorro Jusqirb fin lots !
"H<.<«uons iic cil mnln-d'œuvre disponibles, l'nl décidé 11* mola.
nuellement.
ou il sorn t fftit élat, soll pour rallribulion
Somedi, lo tribunal correctionnel de .Morloix
Ooo!aln;s de Eresl
Mo voyant très menacé, et saohnnl quo Tncldo
d'oboi'd lo.s oondi des perinissions agricole», soit pour lu for
1
a condamné A deux mois do prison, et A deux
phéniquo
e.st
un
antiseptique
très
puissant,
snDREST
O I T
A. toulo.s cos maliiouivuso-, il faut
long dOtayorablcs do In frontlôi'o mil! a re mnllon d'équipe», do tous les mllllalros nio••'lu Chi'lCfli
umondos
de
20
el
îi
fr.
cliant égnloment quo l'agent conlagifAre, d'npri>s
y
i
L
l
.
\
i
n
L
.
dire
cl
redire;
l
a
i
t
e
s
i
i
u
c
«iii-c
înff'îi'i;^ «lovelopneniont de cotte fro tl"i°
Des déserteurs. — La police a nrrété CiS
non qui no sont pas sous lo» les obacrvutlons les plus récentea, upparllcndrolt
avec
1800 Itllo nôtres). lo caraclAre do la i o i nl pidres du ou
I.e v e i i d r c i l i i i i fL'vi-ici'
IMouescat
général en chef, a la seulo c.xccp V-uil ordre d'inllnlmont petits connus sous lu Icslin .\ouy elChurles Duhnmel. du 11)' d'Infnnnostro iMov^o ç( dinicllo du théfltro d ' A t lion do la olusso
l î i K t . à d.x liot!i-,.-> ,|ii malin:
torio,
slgualés commo déaertoura pur l'autorité
Qitation e t c r o i x de guerre. - « Le Vé/.o
tOI7.
noin de vibrions, imuorléa avec loa poussk''roa'
lion» ooiistltuô nar In l.nrriôro des AJnos
aiijudiralioii
auxi-iu-iu-ros.df,
Paul-Marie, sergent HU lU- de ligne, sous-otllcler
pomission» agricoles (lul sont cliarrk'espnp l'air, je disposai dans mon mllllulre.
UiiOftrnndo parlle do cotte barriûro btalV nîi
•J OtW kii. cnijiuiv do lilc'.
A été arritti) iigalement, le soldut Yves (ïallou, d uno bravoure el d'une décision exompinircs
m rront élro nooordécs nux homme»" mobi éourio
doux ou
pouvoir do l'cnnomi, ot lo pu ssant sMlom,
.......V ..UUN
W.. trois
•I.J.A vicliics
TTVILIU.., n-sslolto» sur
AUL" lesICS autre
•;« li-M i^il. l.,!-.;.o liass,.,
désortour, du liO'. Pour essayer de prendre
.isablea (noilvo ol ré»crvo), do l'infanlorle quelles Jo tennis constammont do l'neldo phéhommes
^ forlllloallons par loqnol^'Aulrlcho^ a v i
inuvoiiai.'. d c j fu;j.-ista:ioo3
qui VOUS auérira sûromcnl. sans luio vous ave;. l,i..
068 0 tonips do paix, proti''(;(! sa frontlôiv u ' . t ' V i » « " ^ ' I " ' ' ! " le bénélleo en uvnit nlque. Kn outre, toutes les semaines, uno fols nu la fullo lorstpio les agents penèlrèrent dans la Hrlllanto conduite pendant les nllaiiues du "
do la iiiariiio.
soin lie recourir à uno o|)éi alion daii^'ori-u-i-. N' iu'.avait <if<5 çonipliiié nvoo uno fKivrouao ncli été rofu»é Ju»qn'(i ce our, aux hommes de moins, jo Invula mes Juments nvoo de i'euu piié- maison oi'i 11 se cucimit, il enjamba lu fenêtre, l.'n septembre nu 8 octobre on CliampiiKiic i>
Au ooiiiplaiit, ; 'I j cil susf.
Le Vézo, poui-MarleestlcIllsde M. Kran.-ois
.sltcz pas. car il y va do votro santé d saciu'z b
dons la cour 11 so fractura une jambe.
y M , poiidnnt la iioutral té ltnllcnnc7nnr dos
nlquéo i ao grammes d'neldo par litre d'cuu. lomliant
rîoiïi eTo
™
que la .M>l VE.NCI-: de 1 ahl)»-' S o l t t V est co
Une Tolcuso. — Annctle Thépol, 23 nns a Lo \i!ïo, qui tut maire do uolre connuune pcn
Urdco A CCS précaullona, j'eus Iroi» pouluins
duBt plusieurs années.
'
posée
de
plantCK
spéciales,
saih-j
aui-uii
poisi
tSi^XS
"«•"PIF"''' ^-'olti) bnrr i^fldS
éïKÎlré
dans
uno
cbomhre
occupée
i>ar
un
mnsur Irola,
clio c.sl faite i'X|>rés pour t;uérir louli-s les nia
.l'utlrliiue cctlo fnvour A lu volatilité do l'acide !iot do l'.trmonîiie, A qui ello n soustrait uno
fjnalvo omit oocupiTn par trois annOos nu(lies l i i t i ' r i e u r c H de l » rciiiiuo. niétritcs. ni,
•/('. :• Ui- <i / n,,;!,-au
somme de 800 fr. Kile a été condamnée A six
Guilcr
piiéniquo olaux lavages pbénlquos.
SnloSl'®"'
l î oo?ps
mes,
iuiniorrasics. perles blanclios. n'-ales ii-n'"Considérant quo les culllvnteura so doivent mois do prison avec sursis. L'urgent volé avait
Inoeudie. — L'n incendie s'c.st déclaré au
eomniiuilquù rnpncllo ensuite (lu'on
licrcs
et
doiilouivuses.
Iroiiblc.s
do
l.i
l
i
r
i
u
i
a
t
i
l.c
v<>u,ii>eii 1!! févi-Ioif
IDH a M s j o
« rrool »
muluoiionieut nide et eonsell, ol que personne élé retrouvé A son domicile.
village de hevcrban, dnns la grnngo de .M .Mai^aon do n conforma r.u do In frniitlÀrô
dii.saii;;. aci-idciils du ItlCTOI'K l>'A(;)-. étourd
i:»U!. .1 10 I,euros ,!ii m.",liir,
no doit gnrder pur devers lul un secret qui pourbuts, vlsiî.» par l'Itallo.do la Ocossit.i
scnienls. ciialcurs, vapeurs, conscstioi.s, v.-uici
Cambriolages. — Dnns la nuit du 3 nu i nuel, oii on vonull de cuire des ruiaijugus.
liiudiiaîioM
j u x oi.eiiéro^ do:
ruU rendre aorvlco aux nutrea sons préjudice février, des muifuileurs ont forcé l'échoppo de Comme le plunciier était formé en portie de Fonpiiléldtos.
^ e eooporor d'une nianlùro aussi oïlieaco
3 fevp'fr lois
I. lu.W) lui. roiiMiiiaL'L'.
Vil mémo, jo viens vous prier, .Monsieur lo M. Doaré, cordonnier ou bas des rumpos du port dlns do piu, le feu ne tarda pas A passer au
I l est 1)011 de faire cliaquo jour .les iniociio
qiHi possibk) iiiix op.!ratlons des ni l"s dan" .Match de foot bail nu ÏIU- régiment d'infnnterlc •lour
11 l..)iW lai. i - i b l i i i o ,le iq.'..
.Jircclour, do bien vouloir insérer duns volro de commerce. Les marchandises qu'ils y ont dé- travers et u se communiquer ou matériel agricole
avec i'IlvK'U-iiiliuc IION l>aiiiuM 1 fr. -'j |;'i LJK,
un moment où le sort do In Buorre o Itusslc
çntro la compugulo do mitrallloura ot la eatiinablo
jourual coqul m'a rendu un si grand robées sont livuluées A liOO francs.
qui se trouvoil remisé en cet endroit, nlusl qu'A
La.IO( VE\<;i-: «Ici Al)l)«-S<.urj-siMioiivc da
II)' compagnie.
«ttalt favorable nu.x ompiros l'ontrnu" c
service, heureux s'il pouvait élro aussi utile A
une
provision
de
p
nin-iies.
Le
loiila
éléanéan
i,
A
toutes les l'harniacics, :| fr. 7;i lu tlacoii 4 fr. :
— Dnns la nuit du i au S, une autre bande
ocmmnndoment ItnIlcn nvalt dôoi, û dî
C. M. : 10 C" 1
d'autres.
franco. l,o.s ;i ibu-oiis I I fr. 'J.i franco ^arc, ciiiili
si co n'est la mémo, a'Inlrodulsit dans la eavo 1 exception toutefois d'un char à bunc qu'on avûlt
BPcndro l'olTcns vo non «ouloment In lonc
Lea équlplera :
pu sortir u temps. Delà griinge, Il ne reste plus
Vn
dieveur
ami
ilu
Courrier.
do
Mme
OITrédou,
débitante,
00,
rue
do
Slom
ao la front 6ro do l'Isonzo, mais nussi dnn»
A) Cuinpaanlt de milraUleun ;
d'où ello enlevait plusioura cuisses do llqueui-s quo los quatre murs. Les pertes évaluées A envila r/glon du Trontln ot du Haut AdiKo, av""
Merlot, Thomin, Pérou, Oiiivlor, Cobal, Trouaet de nombreuses bouteilles do vin et do rhum ron J.uOU fruiics. sont couvertes pur uno assurance
.'Intention Immédiate d'y occuper ( uo mins sol, MouJol, Allco, Apamon, llrunlor, Urigau,
Lo préjudice ost estimé A uno somme dn ."iOO fr A lu coinpugnlo Le J'imsUre. On ignoro lu cause
rfJilîf l'iitio Importance' parlloullOro, et dS
LA MONTE EN 1916
II) II)' euiiiiinffHlc ;
Cinq arrestations ont été opérées ; celles d'un de co sinistre.
rootinoi'do la mclllouro manière pôsalb o
nommé Hervé llreton, doux marins et deux
( Clrouimci'lptloii d'Hciinchont )
Ploaié
Cnlion, Lonéu, Lo Itollnud, l'ichou, Trellu,
oettc frontliM'e menacnnto,
•'"••oiuu Mnnnou,
femmes.
Uno partie des liqueurs a élé retrouvée
llourlel, llluu, Muriel, «alvairo. Abnuii;
E n t r e gamins. — Duns la soiréo du 1 féuntrn
onrncLo«ncltoinent
opérations
prl^i'ont
partoutmo
chcz
uno
débitunte
do
la
rue
de
l'KgoAt,
touHrat Se : ci
i îc lorm,
»6ro
ollonslf.
L'année
Etalons approuvés et autorisés
vrier, Jeun llémon, l.'i uns, de i'cnn ar-C'iioal, se
aibumlnf., cooslinal
Jeune voleur. — Tout récemment, uno promenait sur lu route du .Slancou, avec un ca- «iiKrito. rhumoUjuie, projlalllo, ponll», obtf«itij, etn-i
itlidnfo.
uno ténacllé et un élan quo «s dllllcultés
DniKO. — Jnlis, 1/2 aung, A M. l'iorro Lo Koll ;
Pcpula longtoinps lea clrcoiKslunces no m'a- l/imet/,
au«rlii».K>u> fat la iii<lhotlo ABSOLUMENT VEGETALE M. l'AbbS
marado nommé Struliu. Survinrent trois jeunes
somme
Importnnto
avait
disparu
du
colTro-fort
de
1/2
sang,
A
M.
Piorro
Gouezeo
(ils.
a« laBUorro nugmontùroni enooro.
vaient pn» permis d'assister A une numifcstnllon
tBcioa CuréaoMatlùnnovUlo.LSOMNIOJ, i Tours (t.-cl-L.), Brûtliuro G W»
Kwj^i'iniïx. — Arlfmr, t.. 2 sang, /{arl, 1/2 anug, l'usine des produits chimiques, près do Kermor marins qui leur cherciièrent dispute
Le communiqué exposo ensuite les dlffd sporllvo.,, puel ique. Lo grand match, ongngé ILv
A un moment, un d'eux, .loscpb .Iéz,!niiel, U
A r modisin Houdart
M. i\lulblou Chupulnln ; llrigaïul, 1/2 snug, A Le» olrconstnnces tirent aussilôt i-ojoter les soiin
Mntos pli.isos (le la Kuorre et les résuliui.» a diï-huil muia, réeiamult lu prilaonco d î ï l V
çons sur uu Jeuno homme do l.'i uns, qui u en ons, sor il son couteau, cl en frappa llémon, qui
niii:<T, r/,. i-u .{:,,,u:io>i
aur n hrécho et II y en rcsli! sans un momeitt do M. Tousanint Prloi.
fut
ntloint
ussez
grièvement
A
l'épaulo
«aiiclie
elfet
avoué,
en
mémo
lemps
qu'il
faisait
connuiA oan
bfoxoiinok
PaMUAns. —«oAi/i,T.-L., A M. Pierre Ilélina.
defailianeo,
La gendarmerie enquête.
tro l'endroit oi'i il avait caché l'argeat dérobé
PEU^J^EnlT. — Xig-Xag, 1/2 sung, A M. Alain
Pour lui donner un peu d'air, lo l'npa Jolfrc.
A l'endroit Indiqué, au pure (l'urtlllorio les
pans leur ensemble, I m résultats torrlto- Il est si bon ! ul u pernila do prendre un renos Lu Loch.
Plobaniialcc
I>C.000NNK1!. - Quirinat, 1/5 sang, Voltigeur, geudarmos ont découvert 2.800 fr., enfouis sous
aaiei prolongé fout lo rnoiulii sait, oependont
Une baleine. - L'HO bnlelne en élnt do puune grosso piorro,
.10 Siii-i aolic'.euitoulos
&
résum "s"'"^ ^^
quo chuii noua, fanlnssina, le mut repoa n'esl pas 1/2 sang, A M. tluillnumo Joncour.
tréfaction
n
été
rejeléo par lu mer, près de In diLo
gumln
a
élé
écroué
nu
Bougucn,
on
atteniluaiitiU-s. Propriol.iiî-es. nol'LUHïMN. — Pruaias, pur sang, à M. le murle ' f o i j l n . par laconquOto de la aynonymo d'inacllon,
iju»
i i J l ^ i " ! *1 l®
dant su coinpnrutlon devant lo trlbunnl d'enfants. gne do Lesconll.
fiooiaots.
i\iilc.s
vos
otfros
à:
quia
do
Ploiuo.
liiirant ln long du Jour dllféronla oxereioes
llgno formée nar In valléo do Daono, la dé
C.isU'i a.
piaoe des Cai ,1l'i.o.NÈoun-L*svKnN. — Vai/isiieur, 1/2 sang,
Kvil deii mill lur clialal c vez savotoal liop hloaz, c
pioaslon du .Lopplo et In vniléo
i écolea do secllon, do bataillon, do régiinonl, na""iiou de
uu Teri'
inrrn(iuipavns ;
i
11.s.
Bordeaux.
.c.-.l
A
M.
Laurent
Plouteoneo.
canton l . a n d i ' r i i c . liai; ousnon cant inili lur c Iti-oiz.
des tranehéos... vldca do llochea. ruily nu
gnolo.on occupa unoréKlon riche ot poupléo inut Jou
Poui.nBuaAT.-fn)'o,l/l»nng,Wien»M!,l/2sang,
M o r t de M. Qloaneo. — Nous avons lo
Placciucnt tcRiporaii-e
gant ai louzcior deuz ty MOItKlJ.. Laiidonie.
10 barres, Ihéorlc aur lu mllrallleuso,
on coupant los doux extrémités méridionale» por.
ÎC*.?",'!?V^'onir. A'inic/i, 1/2 sang, regret d'apprendre ln mort do M. l'nbbé Glouneo
iii:'i!ros(.uu
Ar iec'lK^d a ciiouino etouez lioc'li ancvab-d, ma <rrit
ancement du grenade», match do fool bail ot
lui fut principal du collège do Lesnevon peu en Bons de la Défense Nationale
a l t A l o u c a t ot 6 l'est du lao ilo Gardo. auasi de loiiguca murclies pour refaire loa plods A M. P. Uelbéoch.
• M .Sril-Ulu.saJ dcuz louzcior .MOHI-:{'l,.c jîucrz 0 pobapoliitoriv..
iiici-.-iiiiiinc,
HosroaB«N.
—
Uonard,
1/î
sang,
A
M.
Piorro
Jnnt
quiitorîo'^nnnées.
nlukoliJs.
cto,.
Ole.
Nos
bona
oniciera
a'ingdhlent
.En
émettant
les
/Jons
de
la
Détense
Na'"i">!"0? <l,n lillométres do
pouisoie c i r eulaii-c.
Dagorn.
«""luui
Fils d'un gendnrme, M. Gionnec était né A Gui- tionale le trcsor public développe simnlet f i l ï ' ' ' î "'9",'" * 0 Uroscla-Vérono. A mêler l'ogréablo A l'utile.
ti'adrosser
hl.UANT. - nadif , 1/2 aongj^A M. Yves Cotlen ; pavas, en 18S0. Kn 18U3 11 succéda A M. Roull ment a politique'flnauclére 011/0*^ qui T n 1.0 match de ou Jour mottnit eu préieneo deiix
nn „ kJ," V^'i® orlontolo du mémo saillant,
.11!
journal.
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M.
Yvoa
Gourlay.
comme principal du collège do Lesnevon Fn Biste à met re en circulation des bons à
on a barré dn nombreuse» route» oui nns- .. teams » manquant dn cohésion et pou « on for.
liiesT.'- lîûi"
" Courilci:
d e i i l c r a r f^woleoii. da iraH d ' n r pai-, — c h a t a l
^ t la froMIéro outre l'Adlgo ut lo Uronta me i> et coin est facile A ooniprondro! La TIO des KrnNÉVKi,. — Merlin, lis sang, iHidoro, 1/21TO7 H se rollrn, fullgué, A Quipavus, où 11 est courte eclicance en attendant les rentrées
'. .lu i;iiàl(>.ni,i
a o c i i v c d — a r (cocn — feu b r e t o n , ctc.
de fonds .'i venir. Un lions de la bTrlnTu
« dosoondont dnn» la plaine.
trnnohéoa n ost pna uno prépurnllon, prévue pur saug, A M. Orégolro Manchcc ; Raol, 1/2 sang, décédé murdi.
du I iiiist,-:-c.C
.M..MOKLL'L,
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Ses
obsèques
ont
liou
aujourd'hui,
JcudL
A
M.
Yvoa
Carduflcr.
oranl
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Nationale ont été créés dans ce but et 1h
âl-JOlilil-ÎLlN"
PUi» au nord-est, on n occupé la vniléo loa règlements, pour co genre de aport. Tous
Le
i t Bugann Justju'ù IlorRo ot toute la largo doux, uénnmoins, rlvnlisArenl d'urdoup ot do ScABii. — lliruique, 1/2 aang, A M. Michel MnnLanarvily
oliuc.
jonoinonlngneuso.s'utondant aux plods do courage 00 qui lit l'intérét du Jou.
^Œ^d-l'^rouib'îes'f"
CAST. FLOMIV, l/ïaung, Do/ima», 1/2 sang,
Citation. - - Jean Jacopin, du 28- d'ortlllorle :
!
"""ÎJ; «luclquos unités mé>lo ,1.. l"..)'."
lloi t d'étro «ignaléo». (fiiez les mllrallloura, farfadel, 1/8 sang, UicrVn, 1/2 sung, A Mme Kxcollont soldat, plein d'entruln et do dévouevouvo Jacques Lo Mcnn.
ment, s'est particulièrcnwnt distingué au combat
A
n
longue
porléu
»
ufrlftre
fhoinas
nux
ahools
1,.®.?°' 'i"
"/iP''®,»"?,- «voo la conCUOZON.floAL T.-L„ A M. Joseph Mignon; do Sedan, le SO uoùtlOI4,où il a amené su pièce
Huo du fosslno, In valléo do Vwnol, avoo In 0 deml-centro au* allurea d'un Joueur do pro! .'oMiplei',
T.-L., A M. Victor Qulnlrlc,
très près de l lnfuntorio ennemie duns uno posiRappelons que ce» valeurs sont de dlveroonquo do IJiipalo Hnnbovo. la ynlléo do Cls. ew on e raynnt ocntro Apumon qui, mulgré sa
DINÉAUI.T. - lIrrmUmiu, 1/2 aang, Chmy. 1/2 tion délllée et a élé grièvement blessé au bras sos
- la
petite étant de 100
.— couiiurcB
«V..—
lu plus
I^iuo IJUtUlî
"o'inuo de Florn dit l'rlinloru ; petite taille, fournil du la fionuc bosognT
gaucho
en étant A son poste, n
Les fanlttsalnii poaaédalent un bon Joui ; d'u n Mng, /sidoM, 1/î sang, Kalfre, 1/2 sung, A M.
w."*!»^!!
" " " " " " q " ! » lo linut CoMefrancs et que VintOrét pinjublc d'auaîice csl
Laui-éat do l'Aoadàmle
do MéHocIno
1
<lo-Tominy ! Coronllu Rolland
•^lo jusqu a (;hor« et la uonquo de (Jortlnu
exempt d'impôt.
Laiidéda
fouioij 1/2 sang, Harol, 1/2 aang,
rAmpwiïo,
Tofana
^"•^peMo, avoo los mnaslf»
1»-' do in
. - - et. il ao nomme MUOn.
'-«bon. Lounc,
Louée, l'urrléro,
l'nrrKiro, est
est doué
doué
l\altii,
1/2
aang,
A
M.
Miciioi
Pavennoc.
rlatallo. On
P'"''- "'»'» manque de
g e n d r e s . - Joun-Morlo
-: A R R O U E
DEUZ
AL
LOUZEIER
OBLIGATIO.\S 4 0/0
^ f . i l i ' l ' ' " ' " ' • " " r ? "'"''«opW ainsi rimpor. ' o " " . ? ! ! ' ' " ? ' """P
LANU(ivsNN<o. - Julvtu, T,-L., A M. Michel
„vail ét« surpris por un gdnjjnto route des Dolémite»; b«tlo par i'AU- «flroté dans los momenla gruviia. Quant nu demi- MolgUen.
contre, Il y n on lul l'élorto d'un fi
"
durmo l e n jonvier, vers sept heures du soir,
MO^ZUI
• l o h o pour s.<» (Idploç'omimtH atratéfllquo» ïC„':';"i'-'ii''
NEW-YORK N E W - H A V E N
" T " " " " " " " "Un fiiinoux loueur.
PLsvnxN. - Karoc, l/Ssang, A M. Yves Lo Page. conduisant un ultoluge lun éoluiré. Au lieu do
da Krcnvaad. ' d olii-r Boad, da i i e l l a d a r i-oa».
• long dp notre frontl^o, et a plus courlo
PLOMoiiisnN. - /ili/ir/iiciif, 1/2 aung, Véur, s urréter, Il louetla son cheval ; et commo le cenLouzou ail cbet ue dull bon: m eut parea an do'.;ea, ar sempladurcz,
«mniunlontlon entre 'roblnob e(Trente. On
anng, A M, Jeun Lo Urolon ; Kerjean, 1/2 snng, durmo le poursuivait. Il eut lo tort, parolt-11 de
nndroug-llved.
~»urra on outre réaliser do» oooupatlons
Pour pou qu'A l'avenir, chaque équinlep«ardo '2M,
Hocunt.
le frupiier avec une corde.
;miocoh morinoanlos dans les hnutos val- su pince et pratique dos passes rnllonnoilos, lea
SAINB-SHOAL.
- Toiirlourou, T.-L., Kilal, 1/2
d'ar bi>
i"® 8<"<lon, a une (Ils- aportmen mllltalraa n'aupoutpaa A rogrettur leur
Pour ce délit, l'ronost o étécondamné A 13 Les titres peuvent «ire déposés iusou'au
aang, A M. Yves Morvun.
J « « o rnnprochéo do a grande oommunicaJours do prison avec sursis el A 2!) fr. ; lo défaut
A I I H r a d , ( i f r . ; l / a ï K i - a d . .'Ifr .iO; ti»iilaill-t,l tiWii 'if.- f
î
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Morgatr
llarJcH
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C'!
Loi'Énao.
Joyeux,
1/2
aang,
A
M.
François
« a n autrlclileuno do la va lé<i i".o Drava ;
d éololrage lul valu en outre uno autre amende
" T l S S r . "
wvla ï t c o n l o Z
lia étalent lA, aur lu ligne do touche, «os spor».
de 10 fr.
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»•« « o i t d e P b c V s X t
ouinnn lu ha Ui, ho lovarni on cur «re
fll on lie gouch i
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Unaii hcnnng n c'honrzo melon nrnok
f-ï.iÊ"''?''®*'"'"". ' Dliitss-d'hln, lulk ha
Çhlffretei, 0 poleno'h enian ho moc'hlc
len t Araok dliitrol eus an oIToren-bred
meur a weçh c'houl n glevo, «ur oun
" Qrugol o'kousk M
Pn glevnï ar respount-sc, Glodinnik n bnradoz, mcz on dlvezn. in ho mab
Da bcleac'h ? eme henninn ?
droaï varïH nr Grugel, ha ici» he o'hor- niuln knrot, Laoulk nn 'Troad-Skanv, c
Dn brnjeier Kfervennek-nr-Vilin dn
nnllhon ho tislounka» :
pelcac'h eniun o c'hoifoz beza gulvel
c'honri bntnli (jeu de ..iante-nioMton).
N'co kcl full deoo'h, Annalk, poiu- (In varnedlgez an .Aotrou Douo ?
tnon «n houl an aotrou blan-man i henAnnnik u zoublaz he fenn, a ojaz he n.iTn»
cnie Annaik oc'h
inan co roue ar 'Vourgndcn, hcb mnr, dlouskonz, evlt diskouez n'ho doa rcs- astenn
he geuch ; pcgwir co teurvczct
dre 0 c'hened da gonta, hag ivcz dre c npunt vnd ebet da ober dn c'houlen
'"'"S" DlKoss-d'hln plega Jie
sporod ; hennei n ÏO eur c'nroundur sn- Chiffretez. Kollel oa ho flljadur : epad
I yoa m gerladen,
ve( mad 1
ptM djfcnn ho doa cu« a b o n ho c'henn o/fcrçn, skeudcn he inub Laoulk a klask, bezomp ivc ken brokuz hag hi :
OillTi'etc* a 'voa odren keln nr Gni- baraz spjnmm dlrag he daoulagnd, hag nnkounac'haonip, mnr bez possnbl. an
M n l . d R loiel «r minur da heuUh ho
amzer dremcnct.
'
flCfaoarlou.
ol, p^do an ponv oc'h obcr mculcu- 0 kavaz dezhl klcwt cur vouez o lavaret
T
Sl'ta, pilbaouer 7 K«a da toskl danlou Yannlk. Kaout a reaz dezhi »nn- podlt ovithnn hn bezit flzians. — Pn zlk J T 'da
Î ! - !c'houlen
? * " ; ' ' ' Ihirroc'i,
l'"'"
n®en hcnt
« 1 g m t ar coriei-os koi, mamm poirod
tout çun dro bennaa ealz c'houez m vorflîaz, ho snntaz dourn Yannlk o ket
hag
<« « b a d i... ,
W i n trenk o aevel d'ho f r i , obcr a renz voustra var ho hinl, eglz eur respount
lï» aiev» kan pa o'hoanlaa mont rc
doihon éun tamm skrabat, hn goudeze, d or vouez n gonizo outhl : esperans, Kervcnnek. Mes nllaz, cire Kervcnnck
"
"
ho muzellou dlstronsoj eglz eur marc'h omo ar pnourkcaz^ koz. la red eo lakaot hag ar Vourgaden an teodou n Vcas en
ou Monlfc Treuna»,l«ihan- Voi?r«aden.''"
Hag evù ar wech kenta, martoto, glnet 0 klttik kaout krog, ho c'hlaou- i —
û
—
o
a
ganfarled
' Piomelet En deuz
Kni>H«ol.-«ui he hniio mad f r i n - abaoue meuv a vloavc» daoulagad an tennai eun nebeud blnlm ;
unanl er bcd-all an neb en devezo floudSîusoc'h!
""
P"^"- ' - a , da joumereMâ >ian Godlk
«««•«hl, fiant ho moue* raouil, a amlBvai^cuii.davti oiu'an
lelu flze eur goan- 'loun ha dlspartl var an douar-maB?
E krelz nr prad cz pa eur sterik bian.
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ron«-eur pok gwelloo'h aoyet eo ar pilhnouor bionre skicara ;,o bep amzer on dour sklenr
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en deuz touellet ar vugalc. eglz ar poulï
levai n a oeeureu- >'houek.Ji« karanteiui.
«jn ' M t e kel. Ar mer.
Annalk oui he* c'hlevet a eUnàz he
Dlslro d'àr «car, ar pôJr n rcoz tro de bczn great eun tnmm sevcl d'ho bra)'h«d, a r voaied «oken a ren sicllou Uv^-goii», bag he daoulagad dein-koivlua ou» ar, ralnor blan. Ken koant e o i ^ n e t 0 para var Gpdlk, he tirollaz n«' gerladon evH -diskouez o vragez ne«cz
Evlt nr -wechi kentn, ar mommou a
da-'o'hoaraln. N'he zlatqunkaz ket cur
ger, mev;Iia^ç'hoar«nden evlt doare, n m H m mad ouz ar minor Wan, bag enn- E chelHt kredi, ar pesked naïf ar slho ho.unao he Javai jont : pcc'hed eo
reai-muioo*h a
- Jj'he amezegez dcpmp
_
jn
ober fne var eur Ktagel ken
eflot n'ho defe
fe great he fltpndehnou. Ah koant ha ken laouen, ha skolla fall a ouz ar besketaerien.
-korn «odU fie'^iâa . î e a i ennhi cur bern hl- rw.iiij> hop bugale, o kemehn dezho are" , N eUz for*, ar re-man a gendalc'he
m u n bu>'
M U ranna.ho o'boarlou gant mab^ er da vrew lec'hlg, hn mont a'îeent hed
•"'Htfonan^n. •
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»» i f o t t l M i a i b i . ^ o ) !
ar yaoiianka. n v o . . r « « î ^ i ^ ^
Yannik Esperans
M&SSàil
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kcaz dn louc'hal edo e vreur o vont da
vcnzi. E «wirioncz, Yflk en cm zifrete
cuz e weïlu evil kla.sk gounit ar ribi,
nc'zuz cl lcuc'h-.se a
boulzc nnezhan niuioc'h-mui var îirnok,
U.1 uija e kicvct unczhan o teruiat h.iR
0 tisteulcr dour dre c f r i hn dre c c'hlnou.
Sulk ivez a gcndalc'hc da vh;jal :
_ O va Doue Oman o vont da wikat I
Dnlç'h mad Yflk hn sav du bcnn uhclloc h I
— Ma vczez bcuzcl, me dapo cur
l'ous pd bremafk pu zistroin d'ar gear !
G'v^elloc'h e vc did scvel var gorrc va
brcur ; ro da zourn d'hin ha me da jacho var nr zeac'h.
Ne ket holontcz vad n vankc d'ar bugel. mes dre ma klaske toslaal ha sevcl,
0 ft«kcnne dounoc'h-douna ; cet oa né
weiot anczhan mui ncmet beo e f r i haa
ampoent, a dnigar?
Doue. Yannjk Esperans n yon ffilro
gant eur beichen.'cn doa knvet e krelz
ar foennog. Astenn a rcaz anezhi d'c
gamalad. lin gant hast hen-man u «pegaz ennhi ; selu hen e savete, mc.s c dc
fis?
P*»""» d L
BrémMiii««ii(^atk,
var (la gcin, ha da c'horloz nia~ve/i d i zourct, ni lion daou a ya da c ' » i f n ^ r
'"'•"t.' J-olerv^l. '
" ' V f n f ' / h . " ï."
Mgnoun a l)i.{naz laouen var an lîopi ad. Saik da Renia on cm Iczuz d:<
nkra di-ç an askol drcinek, ar miziou^
an lirez hag «r bojcnnou b m i yaoi nkï
ne kcl var o dreid, var c zaouarn n"S
var e gof, mes... diviuit var bcira l
^m fo^î ? " n?'
'J'^ n'hoe'h kel ci«
cm fa^iel... P'er gw-elaz o tiskenn ganf
kenient a err. Yannik ne joumaz ket drf
nec hi ; mont a rcaz var c azcz ha d'rf
dro... ac haoup... hag cr prad. JtonI l i ^
if.?^'^ i f l ^ l ^
U®®" «J'a» neac'h..,,
eun dudi I Yflk. pa glovaz ho c'hoai-zachoari » reant, a cnouaz buan o l i s i
ko"®", e {{of d'an heol. Scvel a rcaz v i f
0 dreid. fia var cUn d'an dorgen...
n i i i i j . - ' f ""'«"«"npd na pebcz korfadi
Sil
'
^reanik bénK?
vont... Ha neuzc I N^oj*
ket oun aflfcr ; n'euz levehcz cbet va
an douar heb eun lamm poan...
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goude egile, a taouiou, bo zri
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^
Samedi. 19 Février 1916.
37' A n o d e .
f
ABONNEMENTS
Stiirt eo hor c'tinion onii l)or o'hreU
l i a Hlnrtoo'li ar Oron'/. oiin lior rolz I.,
tail'es a cette distribution
dans les deuj:
, ('eoles.
"
liégulidrement ou à pris
ri'quliùrcment,
los préfets annulaient lo vote concernant
les écoles libres. De sorto que les parents
i/fs dlénes de celles-ci se voyaient obligés de
paner de leur poelie les livres nécessaires
(i l'inalruction de teurs enfants.
In arrH du Conseil d'Etal vient de metIrf jln à ce régime,
l e préfet du Finistùre agant annulé un
crédit do ce genre, voté dans la commune
de .Sainl'Mare, le maire forma un pourei>i, qui a eniruiné l'annulation de l'arrèlé
préi'ectoral,
Qii» /("! maires et les conseils manicipau.r b' sachent donc: ils ont le droit de
distribuer gratuitement dos ouvrages scolaires aussi bien au.v éléees des écoles
libres qu'a ceuir des écoles communales.
l.a smlo condition qu'y mette lo Conseil
d'Ktat, c'est que l'éeole communale soit
admiise à rello libéralité.
Ijctek ma 'z eo bel lezet al lezenn a dio
nuîrka priz da bep tra da ol)er eur
c'iiousk hirr er .^enat.
lîed eo anzao o deuz ivez er niiuistr
nevez Melin oun alvokad mad.
Oiisponn 'ze, al le/.iregez a ziaraog
ar i)rozel e-kenver an armou a zo
l'apai'ol. Heu a oa ar t'.'lienla labour
lia gas da bcnn. Hep armou hor zoudai'ded n'e c'hellent e n e m ganna a
/.oaro, hag armou n'e ioa ket nomeur.
Ilivizikoii oz ouz.
» »
I l u g e c ' h e l l ai' c'houarnaniant trot
lie zell var an iloiiar.
I l a g en deuz gwelet ez cuz clioumet
10 dre 100 euz an douarou dilabour ;
1.478.0(10 dcvez-ai'at nebeutoc'li didan
le IO/(ipricf, ta Chamhre n vot^.nn vf(fed er bloaz 1915 eged erbloaz 1914. An
(lit «/(• lit!) millions pour les i n t i J r ô t s de
dacbcnnilldtingwiriizneiiiedlvcno deuz
l ' e m p r u n t tt 0 / 0 .
knllet O.'.U.OOO devez-ai'at.
o fut tmc noiiBcllo occasion /loiic lo socidlinh' llniOH de di'hlaléri'r
ranlri' len
An darn vuia euz ar c'iiragez o deuz
ionrmm.f, coiili'c Icx ricliea, contre lu mtl')epuis quelqi'es semaines, des trains de greet euz ho gwella. llouez eo, enn
nistro ili-x fInancfB,
p r l s o n n l o r B f r a n ç a i s om'ccnC d'.Mle- lion departainant droist-oll, a re o deuz
l.a C/ioii)(irc tlecinl liotilpiiso, di'ii roi- magne en .Suisse (1 intervalles
réguliers. gwerzot stal ha loaned ovit mont da
lo'iiii'n /linti'it ef/h tfotttii'irenl la voijr <lc Ce r.ont, hélas ! <le malheureu.r anémiés ou
l'ofdti'ur (•) d qtti ttn ddinilt! demanda di' des luberenleuj'. En .Suisse Us Irouvoront veva enti eiir gainpr gant mouniz an
« allocation. »
nc/Kiiid niddicr « le proli'Iarlat
r/id t/ai/iif les soins que néressile leur étal.
N'ouz foi'.s ! oll zouarou ar vro n'e
di.r, i/nimc el Jtisqti'à vi'ni/l /ranc» /lai'
.Vos lecteurs savent que ce sont les e,Oorls
ioiir diiim /(•(! usines, e
jiersévérants du l'apc qui ont valu à nos •/.oiigonl kel re a eost evil czomniou ar
l-iiinh'iiicnl, M. I.cnoir n'cci'la : « Si rcht paneres eompalriotes le bienfait de .cet bobl ; ha prena ouz a leac'h ail a goust ;
eontinao, nous demanderons une sii.yien- a'ioueissemeni a leur captivité.
pi'Ciiu euz a leac'h ail a /.o kas o meaz
uifin lie m'anee. Nous ne eoidon.t pn.i voir
.l/msi les prsmicr.% officiers el soldats ar vro arc'hant ha n'ez cuz lamm re
Ke renni'rclerdes scanecs ref/retlaOles (uu- français débarqués à Leysin ont-ils terni (> ancziiaii eiiii !iun touez.
i/neilrs noua aeons firMilemment
assisté. " envoyer au .Sainl'rére le télégramme suil i a .selu ma ton ar ministr Mcliu da
Il serait temps en t^/fel 'iiie les n hntxo- vant :
c'iioiiloim eul lezenn.
roNos n qui sentent lenra nerjii trop tor.< Sa .''<,iinleU'' llouoît .\V. Vatiean. Ilonie.
lOvit pelra? F.vit roi skoazcll d'ar
dus aiUrnl les eahner dans les iranc/iorif.
.. Loj'stn. 8 février 1(ilil.
.1/. Itiiiol, dodaii/nant lea allaqneu dont
4 I.o.H oniciorn et «oldals franvai.s arrivés peiinou-ticgez a voloiitoz vad da ga.s
il acait lilO l'objet, fit une hrvec ol JUrre rc- il l.cv.sin adrosscnl lcur« roii|>e(Uueux lioni- ho labourou on» dro, da rjenla ; da
ù .Su.Siilntelé le pape llcudit . \ \ et
nonne, eieement applaudie sur an ijrund n>a«èn
lui l'xpriineiit iour rccouuuls.sanee pour t-a c'iioudc, evit iiarga oui' c'huiiseil nevez
nniiihre dc hancs, et enlcea sunn peins lo Duliu iK'llc luliu vention, (|ui a ou piiur rosiil- dre barrez euz al labourou lia n'e
lat leur inslallalion duns lu Wui..i»e iuispita- c'iielll'eiit ket bo'za greet gant ar peiiroto du crdilil.
» »
nou-liegcz, pe a voie dilczet gaat-ho
I.a ('hambre aborda ensuite lu discrs[.'•s joi(rnau.e anticléricau r so gardent die Icziregt'z.
s/o/i ncm'rulc du projet (/ I m p ô t Dur les bien de faire connaitre les généreuses inilii, eur c'hou.seil nevez a vozo savet
bdnéfluo» do g u e r r e .
Oatiees du Sciint-Siige en faveur des oieli- c pol) komiiiun, ha dizalo.
Jji.irassion animer, uu l'un parla ilehiul, mes do l't guerre, l'ar contre, ils ne cesSoiijot e oa bol lakaat henvel anesunn cependant que pcsonne ne s'elcr'il .'ient do le mêler (t des bruits
lemlancieux ztian dre voladog, gant labourerien
m/dre /l'principe dc l'impùt. L'uccurd aur et fau.e, dans le seul but de le comprometdouur ar barrez, gragez pennou-tiogez
les modaliles est plus dilllcile,
Ire.
liag ail. Ile hirr a vefo ijct an dule;
.Mardi, la Chambre rejette plusieursproI,a semaine dernière par exemple ils
positioiits, ci renvoie (i la commission une prétendaient qu'avec l'autorisation du V'd- hag ar c'hoiiseil li-kear eo a z o kargut
(iropnsilion de M. I.ajiont, tendant à ta.ivr lican le noneeapostolique on Helyique avait brema da '/ibab eun hano labourerien
nota/iiment les fonctionnaires ijui ont luu- l'ail a ce pays des propositions de paiji dc douar ar barrez.
c/iiijreriaines indemnités, un qui cii.'iwhint la pari de l'.Mlomagne.
'N'iiur gi aio kel lie-uuan goVflskoude.
(les {/•aile'ncnts, t'ina'ement t'uriicto i ' est
/,(• .Snint-.Siege a du démentir
l'in/hrma- Oelvera raio da geinerperz er voladog,
adopte ;
tiui. IJO son cdlé, le gouvernement belge a a-unan gaiil-liaii, tri euz reiierieii ar
Il (SI iiiHillii^ nnu vaiitrlluillon nxii'anrdinitlrn déclaré quo ces rumeurs sont dénuées de s,viidica,iou pe tui emgleoiuu ail a o'hell«HP h t ln'iii'llon» cxmplIonnelH réaliws ilopiils li> tout fondement.
1" .noi'it m u )n«(iu'ii l (>vplrnll()n dn ddu/lt'iiu'
l'è be/.a'er barrez otre al labourerien
* •
inol« i|Hl lulvrii III cftsiilion dcn liosllllli^'i :
douar, — jie ma n'ez euz na syndicat
r l'unr loidr» lii.< (mmoiinu» ut «oi'iuli'H cjui
L e m i n e r a i de f o r a n g l a i s v a en nag eiiigleo ail i.'bed, Iri cuz ar g w i ni'cuni|ili^i<oiil oa Ont (icrtuuiill à tllru lialilliii!!
on Mcrlrlonld (loi npi<i':illnii!i répnléos pur la loi. A l l e m a g n e .
zieka lal)ourerieu douar a zo o choum
aii'i rio oimnii'rwi ;
Loi'il IJevonporI, présidurt des inslalla- cr liarrez.
i ' l'our tuiitos rellou (|ul, sous uno (urino (|ui'|.
cuii'|iii\ priaient OU ont prétit leur onliiMuln?, tions du port do I.ondres, s'occupe activeA-uiiau gaat ar c'houseillerien tiun),vi"nniinl ri^innnérntlon, (i riicfoinpii,«iMniuil 'lient (le faire resserrer le blocus, au moins
:i iMio (ipiirutinn coiuniorriitlo ;
kear, au tri-ze a liaiivo, evil koii.soil ne•n
(•'!
qui
ioiiehc
l'exportation
du
minerai
::< l'riur Ion u.vplolliints d'onlroprisos ««aujollit
vez al labour dotiar, .5 den crc'liommule lér.
Ii la ii'ilpvani'o pionorliuunollo provuo par l'ariiclf :u do la loi du Ht avril tKKi.
Lord Devonport n déjit appelé l'altenSon niou ha n'o deuz ket ou.spciui .100 deii ;
du l'iirlemenl sur le fait que, depuis le 7 er re o douz être .lOO ha i.OOO den ; !)
•ommoneomcnt de la guerre jusqu'au mois er o'homiiiuiiiou brasoc'h.
O o n t f ô l o o t o c i u i t ô do a n l u t p u b l i c .
Le :> ferrier, les deléj/uis de tous lus de décembre, t.'>00.000 tonnes dominerai
An diid-man a c'heilo beza dibabel
troupes de la Chambre se sont réunis pour ont élé importées on Hollande, alors qu'il or meaz ouz ar c'iionseil ti-kear, cnii
Hollande
examiner la question du rontrole. parie- n'exislepas do haiitsfourneuuxon
diaveaz ivez d'an tri labourer douar o
lour fondre le minerai,
montaire.
dovezo kenicrot pcvz er voladeg, —
(i
(Ju'esl
devenu
tout
ce
minorai?domanda
Sar lu demande (tes dcler/tU'S du ijrovpe
nemed ma lleint beza lal)ourerien
'ord
hevonport.
Ce
n'esl
un
secret
pour
siici'ilisie, les firopositiona atiieanies ont
personne quo ces cargaisons ont élé trans- douar. Ar merc'lied a 'zo e petiii enn
etv mises au.v oolxr
tiogoz a c'hollo beza dibabct, kerkoulz
1' l.a déli'Katlon (lu t;roupc décide de di-- bordées dans do grandes péniches que nous
uiandcr it lu (ihninhro la iioniiiiatiun d'uni' connaissons tous el qui peuvent transporter ha goazed.
'•iiniuiis.xion wioclalo cliariréo d'ciuiuOlor de l.OOOa '-.',000 tonnes, El fout ce minerai
»* ¥
dans la '/.oue doi, urinées, ooinini) dun.s lu
'onedo riiilérlour, sur t(uit('«lo8 (|uoBlion,s remontait le Kbin jusqu'il UuhrorI, Là, la
I l a g ar f'lion.seil nevez-zc, pctra
iiiloru^sant In défuiiHii nallonale. t ^ i l e coui- rivière Ualir se jelle dans lejloiwo et perinis^i(ui n'aura nuUircilciueut aucun droit met d'aller directement <i lissen, ou se ' raio ?
l'inlcrvenlioii diiim lo plnn uu la conduito
trouvent les usines Krupp, Nous savons ce
lîve.saat evit ma n'e ,ioumo c letoun
iipéralUuiH iiiilitairoi.
t'ar fi roi.n eontr» l', cette proposition a que devient là lo minerai. On y fait des pastell zouar ched go.lvet da zougen ed.
Ar peunou-ticgez a volonloz vad a
été repoimsi'e, te cofo ai/ant eu lieu par armes meurtrières pour nous,
(•'hello en em glovoul ganl-han evit
•jroupis et non par dele'jttds ;
kaout ea.soc'h a ze soudarded pe (ud ail
1,11 déléiîallon du groupe décide do nroc réunion cuniinuiio aveu la déiéda laboiirat, loaned da ober al labou'^alii.ii dcH gruiiliCH du !^(''uat, iJaii.i (.'cllu
l'iou, (retnp da lakaat enn douar, men uhlon Hcralt cxaiulnéc ln (IUCHIIUII do
M.ividr s'il y aurait Heu do conslltuer d'uno
kanikou, lia zokou arc'hant e prost. A r
faiMiu iicrinaiifitto soit la l'éiiuloii coninuuo
ponnou-liegez a c'heilo c'hoaz ho bedi
de la (iéli'Kation dcH Broupcsdu Séiuit «l do
An douar a ?.u bot krouot gant an
l:i (.'hamltrc, MOII tout autre urKunlMino doiid'on cm garga da ren labourou ar veliné à courdonnor rnotlon des deux (dinnilircs Aoirou Uuuu ovit doui^ou frouc/., ha
reuri enu ho haiio, hag enn ho mizou
un vue dc la dC'U'IIHO ladlontili.'.
di'c /o mugtv tud lia loanod.
evel ju.st, — nemed ma n'e dleintnelra
l'ar .v eoiyV contre J, cette proposition
Mes dre-K-lian ho-utiaii n'o '<;oiig kot
d'ezhau ovit ar garg-ze.
est reptmsst'e, te vola ayant encore eu lieu
oo3( c peb loivc'lt, gant an amzor o tou
nar uroapeH et non par dt'lt'ytu's.
Kvit ar pennou-tiegez ha n'en cm ziHn vue d'asstirer la permanence do leur da goll lie nor/. ; hag o/.eo rodhe vagn, l;ourint ket evelkent eo c vezo douget
hoUi'oi
hag
he
zistroi.
action, les deiéguia onl dMdO, a l'unanioui lezonit.
l'oiiao.H c vo?. magot ? Liant teil hu
mite, de se rt'unir rfgidii>renient tous lea
A r tnoar a skrivo d'ar pero'honn ha
quimo jours.
teinpsiou cltiiiiilc.
d'ar inerour evit ho alia d a h a d n eun
An don » r« ar poutv,, oc'h hada, o
011 douarou a zo e stad dazougeit eost.
Comme les autres l'raiiçaia, les inatiln- c'houennat, o vodi.
M » n'e zontont ket didan pemzek dez,
AllaH ! gant arbi'or.cl nobctid a dud a
teurs mobitisi'a/ont bravement leur dei^oir,
a r m e a r o t i devezo ar gwir da lakaat
dan» lea poalea gui teur onl ilé assignés, (t •iO clioumcl var ho dro lia c'hoaz, tud
ciM de prôlrea el dii catholique,i dans les- dinorï ovit nn darn vuia, merc'hod ha : an douarou clioumet dilabour e karg
quels ils ne coicnf/iftts que des difoitseura bugale, po (ud dtîuel var nn oad. A r : konsoll nevez al labour douar.
A r c'honseil-man on em ommello da
de la l'alrie.
voa'/,od g0P.sl a zo bol navet da zlfonn
labourat an douarou-ze. A r gommun a
La plupart de ceux qui aonl rostds dans ar vl'o.
ioiirs claaaei ont compris dt mémo t/ue
bourveio d'an di.spign,; ar benviachou,
Ma muioo'h-mui a c'Ualver nnozho :
l'union sacrée s'impose à l'arriùre
aussi
mekanikou hn lo,iamanchou a vezo kcgant
potrod
iaouank
ar
c'iilas
1017,
ar
bien que sur te^fi'onf.
meret el leac'h nia verko ar moar,
Il y a eependant i/uotqueB rarea eeeep- l'o gosa eus goazod ar « sorvico auxiAn eost, pa vfizo dastumet, a vezo
liaire,
»
ro
zinci'K
ovit
dougeu
sac'li
ha
tinns ! et dernitreintnfun
professeur a'uugwcrzet gant ar c'honsell. Divar an
t'u/.ul,
ha
barrolc
da
obor
onudt'o
d'ar
•.lia jusqu'à âieler aux jeunes nilea de
•(•/•'i/tf i:d(iard Otiinef, à l'aria,^le
Ihime c'hazorniou labour gi'cot diogent gant arc'hant. ar gommun a gemoro da
gentik talvoudegez ait dLspign n vezo
d'une eumpoHiUon,fi'mçaise dans lequel il krcnvoc'h eget-ho.
vt'itit dit qn' (t à fheiirê actuelle, vi> l»
ôoude dlukonta ar re a labour viirdro bet greet, hag an intoreslou ouspenn.
v'jloppemeiit det «aprltê oer» la lumiifre, le ar pouUr, tlar» eux ar botrod koz-zo a
A r pez a joumo a vezo roet d'ar
'•hrislianisme ne inutplui
exister. »
lavar n'o rcont iiomcd koll amzor; ha penn«tiegex ma n'e oa ket e stad e
heranf tes pfalnte$ des parents «t lea
g w l r e c'IioU beza ovit our c'halz gwirionez da gas da benn he-unan al
nrolvaldtiana des Jourmutie calhotlquti, lo
'anozho
: dek omaiut el Icac'it ma âon- laboiurou grdet onn he zouarou.
lirofesseiir «<wM lltn détaoouer le devoir
Kiin dri)dérean a vezo dalc'het, da
joDt
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awatc'ii kaout tri pe bevar< FI
deeani les éltm, dlmnftitie
lea copies' ns
lakoAt e keC a r gommun, dlvar goust
seraient pein (feffiPéeu ir a(i«Màii,
ajoii- leao'hIoH ail » EO, ho labour a o'hellfo
lui'l-ll, qtw e^r
atte de pMIoaophie ae beza g r e o t g a n t pi^liounlorien, ha aa,tiek on defé dtlezet he zouarou dre
fr/tiiim
tra/t trêt^tetlûM.
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mttlqo'h n dud a vit neut^ Vardro an leziregez.
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l'incident ait doiiOT,
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Hil (liimlgué, -lo dirteirlee
responsable
I l o g e n , boto v r e m a n ar c'ItotiarnaS 9 t u , o berr gomzou, potra a veitner
essaye, parniCII,- dif détimorlr IWee qui
ina;nt i ' e a 4 o » l c e l ; b o U m t e r emichiths obec, h a g a vézo greet, me *gred, enn
l'a fall eannaUre, qfiH dt ta ch'atstr.
da aoalal onn trao'ti-ze, na da zelaou nov«E-anizer a eeu.
On verra bien,
k l e m m o u a r itonnou-UogeE a z l v a r ar
D'am ï o n j , a r p e n i l o u - t i e g o i a volon•
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m é a t . T u d k e a r a ioutj'Iie krenvoo'h, o toz v a d , n'o deuz kot .abeg da gaout
l i a Juatioo N O l a i i A
'O'houleRii i n e r k a p r i s é'an amann ha aoun. iCemor kalouii g w e l l o o ' h - w e t l a
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le droit dâ da gant tra ait.
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rolnr une »omm$ daUnéi
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Urrea qut teronf tlfi/HMt
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dfè (louAP «W m. l i f o n n d ' h o zro, d i s k o u «z l a b o ^ M t A ' a gUtskent k e a ; k a o u t eo »
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es QUI SE PASSE
JlndouaradledoDoeneos
N«
1.88i.
PARAISSANT LE SAMEDI.
JOURNAL FRANÇAIS-BRETON
FInlitère, C6tei-du-Nurd, Morblban. (un an) 8 t i .
Aatroa Département»
—
4
Colonies et Etranger
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Plsoe de la Bourse, 8, à Parti
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4
BREST
L e i Manntorlta non i a a é r i i aa a«nt pai rendoi
ober ho mistri enn ho douarou. Dre bo
faot n'e vezo ken. N'o c'hcller ket laisaat eur vro e risk da gaout dieiicz,
n'o c'heller ket dreist-oll Iwndaoni difennouricn ar vro da ziouerout bara
evit plijadur eun nebeud tud digalouu.
Oll d'eu em zikoiir, hag eun eost
puill a zavo didan heol an Aotrou
Doue, hei) ma ve re deun da zen.
H a c'houi, mcrc'hed, bag a gav brao
beva dizoursi gant mouniz ar c'houarnaniant, diouallit ; rak, ar c'honscil
nevoz en devezo ivez da eve.sa.at ouzhoc-'h. Ma n'e fell ket d'oc'h labourat
pa c'hellfac'h lien ober.arabad e vezo
d'hoc'h beza .souezet ma teuer d'ho
tizouni euz ar mouiiiz-ze .savet divar
Eiz dez Brezel
Aauioc'h-mui e fistoul an Allmanted
dlra-z-omp.
Daoust ha c'Iioant o deuz da zigeri
azalek vreman an emgann braz? H i her
goar, hag hor jcneraled ivez, me ' gred.
Atavteze e klaskont hebken diskouez ez
Intgoest.c'hoaz da ober droug, evit ober
aoun d'ar Roumant ha mirout out-hi
d'en em ziskieria enn ho enep.
N'euz fors penaos, taget o deuz d'an
11, er B E L t I I K , dira-zomp ha dirag ar
Saozon, hep gellout gounit an distera
tachenn. Taget o deuz c'hoaz dirag ar
Saozon, e~kenver H u l l u c h , enn hanternoz da Lens, l\a kavet an tu da ziskenn
e trancheou hor mignoimed er gevred da
Ypp.
Kendalc'het o deuz drelst-oll da zailla
e-kenver N e u v i l l e , enn hanter-noz da
Arras. Eno, da viz gwengolo, or boa
sankct evel peder genn enn ho zrancheou. Dcuet int a benn d'en em zizober out-ho, o kleuza didan Î5 min. N e beud a zachenn o dcuz gounezet evelkent,
hag an hanter euz' ar zoudarded o doa
dlgaset d'an emgànti. enq'.a zo bet pe
lazct, gloazet pe brizûunie't. A nebeudou
or bcuz zoken ho dllojët euz an toullou
mut.
Izeloc'h, var ribI ar ster Somme, el
leac'h m'ema an disparti etre-z-omp hag
ar Saozon, ez oant deuet a benn da laerez var-n-omp keriadenn F r i s e . M e s
eno ivez hor zoudarded o dcuz ho c'haset var ho c'hiz ; ha d'an 13, cur gomp.ignunez a-bez euz an enebourien a joumaz pe var an dachcnn, pe être hon
daouarh.
D'an l î ha d'an i 3 , o dcuz klasket
ober troiou fall d'omp er viz da S o l s s o n s : poan goliet.
Er C H A M P A G N , d'an 11. 3oo metr
trancheou a zo bet gounezet gant hon tud
cr viz da dovgenn ar M e s n i l . C'houcc'h
kwech an Allmanted a glaskaz hon diloja.
H o r zoudarded a vespontaz o tiskàra
anezho a zruillou. Var ihent T a h u r e da
S o m m e - P Y ez iiit deuet a-benn goulskoude da ziskenn enn eun nebeudig euz
hon trancheou. T r i denn min a sebeliaz
kalz anezho raktal.,
Erfin, d'an 13, an enebourien a c'hounezaz loo metr trancheou enn A L Z A S .
Hogen, dilojet a oent raktal ; hag hor
c'hanollou a vir out-ho da dostaat a
nevez.
Dre-ze, n'euz fors'e pe leac'h e saillont, dlgemer fall a gavont ; ha dont
dounoe'h varnomp n'e iraint ket.
¥ ¥
Er R U S I , é c'hoarront awalc'h ivez,
hep obcr gwelloc'h : e peb leac'h hor
mignouned en em ziskouez barrek, hag a
c'hounit tachenn a nebeudou.
E r vro C A U C Â S B , ar Rusianed o
deuz Iakaet ar pouW'da darza gant ho
c'hanollou enn unan -euz foriou E r z e r o u m > ha da c'houde o deuz dilojet an
Turked euz ar for-ze. evel euz eiz all
c'h(>az diagent. H a k e a r v r i z E r z e t ' O u t n
a zo Icouezet didan' galloud hor mignouned : viktor gacr evit-ho.
E r B A L K A N S , an Allmanted a zo
neo'het bepred. V a i ar Bulgariz hag an
Turked e kontent evit hor c'ha» kuit euz
S a l o n l k t me» nag an eil rumm nag egile
n'e ziskouezont hast da gregi el labour
gwelloc'h e pli}fe d'ezho gwelout an
Allmanted oc'h en ém garga anezhan.
Dac'hedal, hor zoudarded a zo enem
aitennet a gleiz d'ar ster T^ardar, evit en
em gaout e gweHoc'h stad c'hoaz da her
zel.
E U B a S S a t l i eur gear vraz euz an
A L B A N I , a zo koueeet didan galloud
ar Bulgariz, a gerzo brema da astenn an
dourn d'an Aotriehiatied varzu D u r a z t o
ha V a l o n a . Eno o devezo affer oUz an
Itallaned.
*
*
*
V a r vor, an AllmaftHed a e'hourdrouz
gweledi an QII batlmanchoU marc'hadour
a gavint, abatamour ma 'z euz bet Iakaet
kanbllou var hiniennou^nezho. H e n ober
a reent peil a ioa,' Ka dre ze, nétra ncvez> nemed martèze ma vezo armet
inuiocli-miii cuz ar batimanchou marc'hadour eWt Ko diféhn àuz lltirf-plànjer
an enebourien.'
, D'an 8'.Cite ar m i z . ' M n iestr a vrexei
Jtmlral C f c j r W a oe gwdcdct e pcnn ar
Eao<hcol eue àr Medlterrancc, « n t unan
euz al Uat(4 traia-sc. T o n da bcvar
c'hunt^dén'i c'hélle b t t a var-(v4um ; unan
iKcblcen a «o bct layntact.
."
" Br<)-Z*6ï é d w a 'tollet eul leatr all,
tUtteto^'b,! dkmMlii^gaii^ eun totrpiU o
•flCHiiy etre daon-'ifoatv-
•
goust tud hag a rankpoania, eur c lialz
anezho, euz an eil sklerijenn d'el)en.
D'ho tro, konseillerien ti-kear, pa
zeiiio an dez da henvel ar c'honscil nevez, dibabit mad.
Lezit a gostez al lonkerien keiz,
ovit hn mad ho-unan zokeii. Koll a rafeiit lio amzer oc'h cfa hag o tibri divar goust an oll, hep ober vad da zen.
Dibabit tiid a benn, fur ha leal, —
tud hag a zeveno ho c'hefridi gant karanlez gristen, evel ma ra eur gward
mad c-kenver eun liad minored.
ICur gai'g pouner o devezo, meur a
zcvez da goll, meur a gudenn da ziroue.illa :
Dibabit mad.
ConiiSTiN.
llcsiiiiié (les () lérations
F R O U T
k U G l M S
En BEIiUIQUE. — Fondant toute la buitaiuo, 1 nrtillerio allemaud« ac nionlri! ti-es
active autour d'YPHES. L'artilloris auglaiio
répond vigourousomont, endommageanf les
trau(;hé?i onuomiei. POPERINGHE est bombio-déc le tO par les Allemanils, ELVERDINGHE les 10 ot 11, les tranchées anglaises do
nOOOE le 13.
Le t'J, do bonne heure, les Allemands pénétrent dans les tranchées anglaises, prés
de PILKEM (5 kil. nord d'Ypresl. Ils eu sont
chassés au moyen d» bombes, et laissent sur
le terrain des morts et des blessés. L'aprà^midi, ils dessinent doux petites atta(iues
d'Uifanterie dans la même région -, mais ils
«ont ropcussés. Le mémo jour, guerre de
mUies au nord du canal d'YPRES-COMINES.
Un combat souterrain a liou, dans lequel les
Allemands sont repeussés, les Anglais lour
ayant faU sauter leurs propres mines.
Dans Io nuit du l'i au 10. après un violent
bombardement sur t*ut le front de la région
d'TPRES, les Allemands livrent çjjisleurs
titta(|ues d'infanterie entre le canal d'Vpre; k
Gomme» et la voie ferrée d'Ypres 1 Comines. Ils réussissent à pénétrer dans les traii.-,héei anglaises sur une étendue do 600
yards (environ 650 métros).
FLANDRE FRANÇAISE ET ARTOIS. Lutte ds mines très active entre GIVENCRY
et LA BA3SEE, sans grand résultat. Lo IV
topt mines font explosion ii« sud du canal
de La Basséoi'
Lo 10. bembardoment réci[.rome au sud du BOIS GRENIER (sud
d'AaMENTIERES. Cette ville ost bombardée
le 11 par lee Allemands.
Lutte de mines également au nord dc
LOOS ot aux onTirons d'HULLUCH. Las An'fUis peuvent occuper deux entonnoirs. En
uiâme temps, les deux artilleries sont très
active». — Lo 11, quelques Allemands pénètrent dans les tranchées anglaises près
d'HULLUCH. Ils eu sont chassés immédiatoment & coups de grenades.
En PICARDIE. — Les et 10 f.'-vricr, activité de rartillorie allemande contre BRAY ot
SUZANNE (rive nord de la Sonum^i, contre
OVn.LERS (nord d'Albert), et FONCQUEVILLERS (encore plus au nord). Le Ul, lea
Anglais font sauter trois mines au uord de
CARNOY (aud-eat d'Albert). — Lo lendemain, rartnierie ennemie est encore active
au nord d'ALBERT.
FROî^T
F R A U Ç M S
prisonniers interrogé» et d'après le nombre
des cadavres allemands restés sur le terrain, les pertes do renucmi sont considérables.
Par cillours, le 10 r,'.vricr. dan» la région
de BEUVRAIGNES, notre artillerie a détruit
un blockhaus et bombardé le» cantonnements de rennemi.
Entre l'Oise et l'Aisne
Le 11 f>;-v!ii'r. tirs efficaces dc nos b.ntteries sur des ouvrages allemands au nord de
SOUPIR, (ost de VaUly), et sur des ccn-.-oi«
djî ravitaillement au nord-est de BEnny-AUB'AC.
Au nord do VIC-SUR-AISNE. dans la soirée du 12. notre artillerie disperse ([n(J(incs
fractions ennemies qui sciaient avancées
jusqu'à nos fils de fer. — Le K'. nos batteries bombardent tm train et uu convoi de
ravitaiUemcnt en garo d'EPAGXÏ.
Le 12. su nord-est de SPIS«OKS, les Allemands peuvent, à la suite d'un bombirdeinent, att,!indre notre Iranchée ani environs
do la route de CROUY. Uno conli-e-atlaque
les rejette aussitôt. L'ennemi laiesc des
mort!) sur le terrain, et nous faisons quelques prisonniers, dont un clficier.
Le i:i. nous borabardonj les orcjanijatlons
ennemies en face de FONTENOY. L'artillerie
allemande est particuliiremciit aclivo dans
les secteurs de SOISSOHS et de CHASSEMY.
:)ans 1.1 soirée, après uu vif bombardement,
l'infanterie ennemie essaye dc déboucher au
Îiord de BOISSONS, par la route de TERNY
ît par la rive droite de l'.^isn^ Elle est arrêtée net par nos tirs do barrage et nos feux
d'iphaitorie. — Le Ij. tirs de destruction sur
. ' f i ruvrages allemands au nord-est de
SOISSONS.
Le I'.. au plateau de VAUCLERE (norloiiest de Craonnei, tir efiicace de notre artillerie sur un saillant de le ligne allemttnde.
Lo in, tirs de notre srtiilerio sur des convois de ravitaillemeal, ou nord de TRACYLE-tfAL (ost de l'ui-.» . et dauj la région
de BERRY-AU-BAC.
gn
Champagne
Le 10 ri'vri.T. un tir d« icstrucion de notre
artillerie sur les ouvrages allemands, vers
la BUTTE DU MESNIL, donne de bons r^suUatc. — Le 11. au cours d'uno attariue à
!a çrenade eflectuéo sous le couvert d'uno
sction au noid-est de cette butte, nou» preucns possession d'environ 300 mètres de
Ironcbées ennemies. Une contre-attaque de
l'adversaire efleclaéc au cour» dc la nuit,
est complètement repoussée. 65 prisonniers,
dont un officier, restent entre nos mains. —
Le 12. l'activité de l'pi-tillerie devient très
vive dans cette région. Les Allemands essayent, par une nouvelle contre-attaque, de
nous chasser des éléments de tranchée occupés la veille par nos hommes. Ils sont reooussés -, et nous ccntinuon; i progresser à
l'est de ces éléments, où nous faisons entoro quelque» priionnier». — En fin de jou,-noe et au cours de la nuit, ot toujours dans
U région au nord-est dc la BNTTE DU MES?I1L, les Allemands dirigent cinq contre-atlaquea successives sur les tranchées ccn•;ui!C3 précédemment par nous. Toute» ces
tentatives sont icpousséei.
Lo 12 iV-vrl.-r. ealro la route de NAVARIN
a ceUe do SAINT-SOUPLET. .-«prés un bomliardcment de plusieurs heures l'cunomi
•••Eut pénétrer dsii» un petit saillant de no'ro ligne.— Le
au cour» d'une action do
'làtail dan» la même région, nous faisons des
onsonnirs.
Plus ou nord-est, soit i rest de la route
do TAHURE A SOMATE-PY, rennemi prend
pied, le l:i. dans quelques éléments do nos
iAinchoes avancées. Ses tentatives pour pousser jusqu'à uotr.î tranchée de soutien
échouent complètement. .Sous les éléments
nu'il a réussi à occuper, nous faisous explorer trois foiu-neaux de miue pr.iparés d'-ivance. Malgré dc» pertes sérieuses causée»
; sr les explosions et par no» tis d'artillerie,
i! se maintient dans ces éléments avancés,
dont uous repreaonj cependant une partie
dans la soirée du l'i. — Dan» U nuit du ir,
au M. uous reprenons encore quelques
:ioyaux, à la grenade.
Le ti, actions d'artillerie très vives dans
°>es régions de TAHURE, HASSIQES et NA7ARIN. Aucune attaque drnfanterie.
Stjr le reste d u
En
Belgique
Le I I fi'vrior, notre artillerie de campagne
endommage sérieusement un fortin ennemi
près du canal de PASCHENDAELE et provoue roxplosion de dépôts do munitions. —
0 12, c'prés une violente préparation d'artillorio, les Allemands tentent, à plusioura renrisos, de franchir le canal de rYsor, à la
hauteur do STEENSTRAETE et d'HET-SAS.
Sous le feu combhié de notre artillerie et do
nos raitrallleus«8, ces tentatives échouent.
En môme temps ae livrait, au nord de
STEENSTRAETE, une lutte violente à coups
de bombes, entro Belges et Allemands. —
Le l'i, notre »rtillerio fait sauter un dépit
de muQltioDS au nord de BOESINGHE.
2
En
Artois
Aux environs de NEnVILLE-St-VAAST, la
lutte d'artillerie se poursuit, dans l'aprèf.
midi du O février, depuis la cAte 119 jusqu't
U route do Neuvillo & Thâlua. Vue lutta i
coups do grenades nous permet do chasser
rennemi de quelques boyaux occupés par
lui è rouest de la FOLIE. A U tombée de la
nuit, len Allemands dirigent sur nos position» du chemin de NeuvUle à la Folie une
forte attaque qui est repousiée. L'ennemi
peut cej)endant prendre pied dans un des
ontonnou-s que nous lui avions repri» précédemment.
Le 10, nous continuons à progresser ù
coups de grenades dans loi boyaux, h l'ouest
de la FOLIE. Deux attaques allemandes, dirigée» plus au nord contre nos positions &
rouest de la céte 140, sont complètement repoussées. Au nord du chcmin de Neuville
& Thétus, les Allemands lo&t exploser une
mino dont nous occupons rentonnoir.
Les journée» des 11 et l'> sont relativement
calmes. CeUe du 1» au contraire est maruée par une série d'attaques allemandes
3obuis U cAte 140 jusqu'au chemin de Neu-
ville & la Folie. Dans la matinée, première
tentative sans résultat i rouest de U cAte
140. Dans raprèsmidi, après un bombardement violent de nos positions, l'ennemi attaque en quatre point» différents. Troi» de ces
attaque» »ont irrétée» net par nos tir» de
barrage et ootra feu d'infanterie. Au cour»
de la quatrième, Pennemi réUE«lt à pénétrer
dan» notre tranché* d« première Ugne, k
rouoit do 1* oAte 140. I l eu est «hasaé par
une contre-attaque immédiate qui lui inSiae
da» pert»» »en»U>les en mort» et en biMsés.
— Au cours de la nuit Buivante, nou» taiaon»
p<mter uno mino au l u d du chemin de NouvUle à la FoUe.
Dan» 1» nuit du 1) au in, no» canon» da
tranohée» exieutent de» tir» »ur le» organl•stlon» ennemie» aux abord! de la route
d Arra» Il Lille. — L» 16. dan» la même réqion, non» taiaon» Jouer un camonflet qnl
boutevari» les travaux de minet de FennamL
Da la Somme à l'Oies
.'iï.
Somme, t u oonri d'aotton»
«•'détail eSectuée» le g et la 0 février, non»
avion» reprit aux Allontoad» «n* notable
tartis de» élément» ds tranohé*» rMté» eaKî.iS"''*
la région t u »ud de
FRISE. — L t 10, an lin da Jotané», l'enbeml
tenta par une violent* ooBtre-ttU«u« d t
noui e a t i i t r d u élimtat» rteonqnli ; mai»
no» tir», de barrage el net (ttix d'infanteM»
arrtttnl net l'adTenaire. qui ttiliU d t t porte» Importtatn. - L* i l , tetlTlti mtytaat'
d'artUIeri» dtn» tout et ••ottur,
U grtàadt tar not
L * 13. nnt atttqut k la
anvrtgta
ta au tad
IK4 dt miSE
FUSE ««bout.
éthout. Ba ta dt
loaratti imt atUfa* dt at» I n n p t t M u t
ptrmtt d'tMoptr qiulouta; nauvaaa» «lémaata d t t Inathét» adTtrfta.rOB*: aaairt»
Front
EK ARGONNE, le 12 fOvricr. nous avoni
douné uu camouflet qui a bouleversé tes travaux de miite de l'ennemi, près du FOURDE-PARIS. — Le l:). tir de destruction do nos
batteiies sur les organisations adverss au
nord du FOUR-DE-PARIS. — Le 15. nous
avou» f!!it sauter une mine i la FILLE•MORTE et en avons occupé l'entonnoir.
Sur le» HAUTS-DE-MEUSE, le 11 février,
notre artillerie a bombardé un blockhaus et
des obaervatoire» ennemis, dans le secteur
du BOIS BOUCHOT.
Ea WOEVRE nou» avons cxécuU, le 10 f,'vriiM-, sur uu saUlant de la ligne ennemie
dtjas U FORET DE MOBTMARE (enU:o StMihiol et Pont-i-Housson), un bombarde:ueut violent qui a provoqué l'explosion de
dépôts de munitions. — Le li>. bombardeni-^nt des organisations ennemies on FORET
n'APREHONT (sud-est de St-Mihiel).
En LORRAINE, activité des deux artillerie», le 12 f.-vrii-r, dan» les secteur» de
HEILLON et de la FORET DE PARROY. Dans
i.i même région, plusieurs reconnaissances
'nnemies sont di»per»oes par notre feu, la
.'^uit suivante. — Au cour» de la nuit du 11
.'•a l.'i, quelques contacts de patrouilles,
dan» le »ccteur de REILLON.
nANS LES VOSGES, au nord de V7ISSEMBACH (est de Saiat-Dié), uns attaque d'inianterie ennemie, accueUlie par notre feu..
peut aborder notre première ligne (12
r.'-vri.-r).
En HAUTE-ALSACE, le H r'-vrit>r. une attaque ennemie à rest de SEPPOIS (10 kiL
eud-ouest d'AItkirch), est enrayée par nos
tire d'artillerie. Le soir, une nouvelle action
de l'Infanterie ennemie aur le même point,
précédée d'un violent bombardement, met
le» Allemand» en po»»etsion de 200 mètres
de tranchée». Une contre-attaque immédiate
do notre part nou» rend la majeure partie
du terrain. — Au cour» de la nuit «t le lendemain, le» actioni d'artillerie oootinnent
très violente» dan» «tte région ; et non» devou» évacuer le» élément» reprii, complètement boulereraé». — Le l'i, nous prenons
sous no» t i n de barrsge det renfert» ennemis qui »'etfor;aient de progresser par petits paquet», venant de NIEDERLANO (4 kil.
au Bud-e»t). —- Le 15. notre artillerie tient
sous son feu le» po»itiont allemande» i i'ett
do SEPPOIS.
Sur mer et dans l'air
Un détachement de troupe» francaitet a
rcoupé nie grecque de Fano, aituéa entre
Corfou et 1» oite tlbanahe, qui ponvait oon»titner une base pour Io» »ou»-marin» ennemi».
— Le t tirrier, la croiteur cuirtttA Irançai» Amiral Cliarner, de 4.750 tonne», a été
coulé par un »ou»-martn, au large dt» «Ate»
de Syrie. L'équlptg* devait oom^er p r i t dt
<00 homme». Vn radean qui portait iS marins, dont un teul turvivant. a été rtoatiUi
en mer, la 12. Ca »urTivant a»t l t qaarttermaltrt otnonuler Cariou, dt Clohara-CtmoM.
— Le 13, le oroi»aur tnglai» AréUiusa, de
S.«00 tonnt», a htarlé ont mbie sur la çWt
e»t de l t Ortndt-BrtUgat. U y a un* vfaigtaine dt ditparu». Ce croUtnr t t dittIngM
le » aoftt 1M4, dan» la baUUIt d* U b t l t dt
HiUgtUBd.
- ^ U » litllMi» «roieat vu !ear« OMitf*torplUanrt ont eonlé deux »oa»-mtriiit tnnomi» dans l'Adrittlgtit.
• •
L t ( fénitc, d t i u bydrtTitnt tUtaundi
ont lurroU I* littoral du oomtA d* Etat, «MglMtrrt : dtus f t m o u t t t un talant M t t t é i .
^
L t mim* lonr, 11 tiropltn*» angUU ont
lait un raid h t a n a i tnr
• l U n t a d i k DMkand. La vatn*, BOI alIUi
aVt&i.a»»tte M aWHinil .aUtntaad ««i aw*
lies en Artois, un de laa;s avions, ranonaé
par nos batteries, e>t tombé eu fiaaime» k
l'est de aivouchy-cn-Gohcllc.
— Lo 12, des aéroplanes autricbiens cnt
'ancé de» bombes sur les ville» italienne»
du Codigoro et de i;?.>'euncs, causant 19
i;>orU dans la populitions civile.
- Lo 14. d'auli-es aéroplane» autrichien»
ont Bur-.olé Milan, jeiaat de» bombes qui
luèreni. 8 personnes (,t en blessèrent un»
soisjKlaine d aulres.
Le Zeppelin 1 ,-2!i. endommagé, s été
vu flottant dsii» la mer du Nord, au large de
I» côte allemande.
Piisistres freflçais eo Miesios
DE35T
.leudi il y aura neuf mois f{uïi l'annonoi
•lo la dà-laralioii île fruerre do l'Italie à
r.Vulricho. t(! Kouvcriieiiient fran(;ai» ftc
jiavdlscr partout aux couhnirs italieiineset
.•accorder un coni;i' aux enfants des l'-mUti.
Des niâts furent planté.^ sur nos vieux reui|vi;ls. par groupes lio .«opt si non.s !:e noun
tronitions ; et. loii^'loniti'', de.i drapeaux
multlcolori". y tlolli-roiillous livsdiniaiiciies.
Mu uu mot. l'oiitréc en tjucrro de la sieur
Intiiiesusiilaeii l'raiice plus d'enlhousiascne
([ue la victoire d(- la Marne.
Pini à peu i-e licaci iiioiivcinonl s'est
;:oui : los mâts à iiaviiloiis cux-mi-iues ont
ilispani. i;i iK-auciuip siMl(!Miauilai.'nt : o tiu(r
rail donc rit.dio 'I >• Ce f(ircll(> a fait ? nou»
l'avons Ilil samedi. I':t s il fallait le. n-sumer
do nouveau i-u qu(-li|iics mois, uous rappellorioîis (lu ollc pouvait tri';s lilen se tourner
du ci1lo (le l'Auli itlio au lieu de se retourner
l'oiilre ollo. Kilo a ri-leiiu dovanl ses troupe»
i|uolr(ues corps d'amn^o cunoiiiis (|ui autroinciit juraieul grossi les ran^s de nos
i;,'rosscur>i et de ceux do la Uus-ie. N'oiis
i)oiin ion3 ajuutor (lue .sa Hotte a coulrii)U(i
a Karaiilir noire iibcrt,! de nKmvemciitsdan.s
!,' bassin (l(- la Mcdilonaiiot-.
l-:u ce (nii cuiiconic les elTcls do la d(-claraliou do guorro de l'Halle à la •l'iiifHiie, —
liéclaralioii dala-:l du •:2 août l'.lir.. — on est
inoins reiiseiiîiu! ; ol |)-,'iit-olro. l'Italie ci'i;i'ilepu iiitorvoiiir iiUis tc,l dans Ic.s Halkans.
Mais ainsi (|uc le (lisait une iioto i-oaiinuniMuécî à propos du vovayo do M. Briand à
iioiiie, |)as plus (lUc les auiro.s nations iiollini-raiilos la sccur laliiie « NC nrévoyall | as
ro\lonsioii quo la Huorro allait prcudre
ilaiis I cspace et dans le touips, ni le.s u:-a\e<»
i'ou>i^iueiicos économique ; (jui i-osulloraient )iour elle do sa p: rlicipatioii aux
'
I Ivllo poursuis lit soiiloineiil 1.1
lUKslilité
réali.saIlon (io SOS aspirali( Ms nationalos.
reprise do i'rcule cl do'l'ri -to. i:i voiiàquiI)ar la Ton
les olioso ollc s'est vue entraiiico au-doi.'nlo cet l:ori/.ii
Or. la iruorro coûte, ol l'Italie n'o-.! piw
rielio. i;ilo exporie ceilaitis pi-oduils, mais
elle doit on iin|)orler d'aiities. lit loiil eu
lutlant eoiitri- l Aulrielic elle eoniinii:.it à
faire de» (•(.•liaiisies très piolitalilcs aveo
l'Alloiu.iïiUC. Avant de se d('(-iilcr à ('•tondre
sou acllou niililaire au-delà do ce (|tu- conimando 1' « o^oisme sacn-, » il lui lallail
ras.-.urancodo Irouveraillours les ies.s(uirees
el les (léliouclié.s dont la priverait la rtiplui-e avec l Alleinagiio.
11 faut cioiic que M. Uriaiid la rassuivo
tout a lait, i.uisqiie K- uo.iveriiomenl jlalieii
tapli• ' (lavaiilajto à iiilerdiro loiU
na 1
commoree avec l'Allema-no.
• Apros av olr sauve lo.s Sorliosel los M(UitoncKiins, la l''raiieo, cvnoieiise, ehireliondra la vie du peuple ila'.ion. Mu r.-tou!-, il
est [lermis d'espérer quo l'Italie nous pn'fera une a iJe ellicaee sur tous les lliéàlie-<
d'oiu'-ratioi
Mai.slais ons cc.s Co id('ralions à notée
eolialioialour l'si el iiivoiis M. l i r i . m *
dan» son voyage.
1,0 l'résiiicut du Conseil éuul aoeoiiipajo»'?
de MM. Léon Itour^eois, mii.i>lro d l-ial, c l
AllM!rl Tlionias, sous-^ec! élaiie (l i;iat atv-.
munitions. 1-a iiiissioi, imliL.iie eoii!pr.-n;tt;
aotaïuinenl les séuéraiix i'oll,- el iiuaiowl.
Les iiiini^lres frane.iis arrivèrent a l'.onivjoudi Kl février, it II lioiives. .M. Sala'i.lr.-i,
iirésidenl du conseil d liaiie, ol M. SoniiMi».
ministre dos alTairo- eli auitoics. les alleii.iaient sur le quai de la yare. l.a foul,iiinlaudit olialeuroiisoiiieiilouci Kii:! : • \ ivc
ià'l''rance I Vive "l '"i l lio!
La preuii(:-rc visite esl pour la roliio. lill
noi
d((lU
du roi de .Monlorie
uiore.
riiospitalilé oIToi lo i lar la 1^'ai •e il
1-0
V
•
lie
à sou père et ft kmli ' la raiiilil
Lo soir, uu diuere- .1 oITerl [.; M. i:nino.
initiistre des alTaii
•Ir.iiuèi 'S. qui iporto
Itliaiid.
uu toast au(|uel r.-j)Oiiil
Vendredi, nouvel (-ehan ;o (le toast
iilonna,
iii.ii
Capilolc, entre lo prince t
Home, et .M. Uriand.
une
proinii
Dans la i\iatinOe il y oui
Soaiài
conversatifiu entre .MM. Itria ,1
iiondant quo M. Alliei l 'rii(;:ilue, et le ;;éi
ral l'ollé s'eulroteiiaient a
Zuppelli, niiiiislre de la ;,'u> ÏÏ;..;^; ifvë;:
•,'éneral OaU'Ollio, eliav|ié d niuuilions
Knsuite. visite à la Vill M.'-lii
Uriaiid
outre autres persoiiealil.: leqw-1
reiieonlra lo cardinal Meiel
i l eul un o.'itrotion d'une do.'i
de (I. l'iance.
Au diner oflert 4 l'ai-.il
loasis de .M.M Briand ol Salai:(tr
li-^ mi.-ianiodi, nouvel eiilrelieii
iiistres dos deux i)ay.s. A i•i^• sue (I • la eoMli-reneo, la note suivante este •oiiwn ii.iqiiee:
DMIS l a r é u n i o n q u i a e u 1ieu ce matin s.
la CousuUa entre les membi•c» du guu vennement français, M. Bi'iand, pré» dent du
Conaeil, ministre dos Afl'aue» ctrai lei»! M.
Bourgeois, mmiatru d'Et.it et M. Jarrsia.
ambassadeur de Franco, et les m.nistre» italien», M. Salandra «t M. Sona-uo. on ett tombé d'acco.-d aur la uéce»ité dc .joordonutr
plu» étioitiiment le» eftorls des ailié» en vu«
de mieux assurer la parfaite uuité d'actioio..
néceîiité qui a déjil été lecomiue par Uk
autre» gouvernnment» aUiés, et de léiiiiir
(Uns ce but i Pan», dans le plu» bref délai, une conléreuco antre les allié», i U
quelle assisteraient également leur? représentauts politiques ot leurs délégués mil!taires.
Les travaux de cette conlerenc.i veut Atre.
préparé» par une réunion préalable de» ét«tJraafor».
Au déieunor orfoil (^nsuilo t>ar M. Salinidra. le nroKidont du Conseil d'Ilalie port»
un toast, dont voici les pass-icres es.senliel» :
Monsieur lo PréslSent.
l.'aocuell iiue «onio vous a fail, l(Vi in.-inir.'sl»tloni do Hvmpalliio qui dc toutes parts vous Hu«t
parvenues, vous prouvent * quel pniiit le «eur
de l'Itallrt liai i rnuisson do celui du la I ruiice.
On iMut bien atllrnior quo. dans la lutlc qu'elh»
soutiennent pour la défense Ui-s pr.ii.ipes (iiit
furent la Bijlre de leur antique civilisation. If»
dfui nations siiiurs »o sont retrouvées CrfUB
lulte esl loiwue ol Jiincile, mais notre conllaiic»
dons la rlotoiro niia e est inébraiilnble, car Holrt
cause est Ju.slo.
•
.
!.(!« ellorts den Rouvoriioment» allies, saKomeak
courdonnés dans l'ucliuii politique «4 iiilliUlr*..
sont soutenus par l'snlIwMiaiasiiie des iMupiMi
dont la volonté de vaioorc doit briser U>u» Itai
obstactc».
,
.
,
Au pied da no» moulaguo» escarpée», d e » ^
niémfi. vuu» vous trouvei-ei |»arrai no» soMtl^
nupri^d» noire roi bien-nliné. le pmoijtr « o t ^
de l'Halle. Vo» j-su» coatemploront I elTort Mm:
ot tenace, le dur labeur d'un peupt* «B u ^
conduit par sou souverain, qui veut conquérir «
la patrie se-s froanOro» atturelle» t t nicrtstiNft
»ur le» Alpo» cl lur nior.
Ko» peosén vou» «ulvront, nous istoclant dfc
tout coturou inestMO do fraternité dont
lUlienno rou» diarcera pour l'armée tranctlw
Apr«« avoir romer(ii(^ M. Uriand coatlaM
en cet toiiuoii :
Cliee no» eniiemi», la coordination del «datte
Mt cammandte, pour ctnai dirt h n a e i é ^ I w
eoDdiUons mSmot dt U «ÉOFIJI*^ D W TE
otmp dt» tiliét, «II* o« po«T«lt être f j o la « •
•sltatd'une ln»plraUon t u n é r l e u N e t f t b a * »
lonté rélléclUe contclent* d« tt* derolit a« aw»-
l i ï t e M M allMaia'M
I H WHa^M h k w i . aaw aaai
dMotaw»„tjnt«^ «a
"
^
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IT>V.I.IE
I
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^'iiipî
I
ii-S
'««é^I^MMI
'
4 .
W
ijiKk'e»» IN M f l i o pour Ion « r n x l d i ( « ' « • I l e ,
«UIMI quelh) étioral« IncaïuparaUlo TOH I O I i l l l i i pitlm-nl ( «na In PRSIONCO KII IIIIIIOU U'OH» d u
m i l rtlolauifl' itaiia i:ohi|>l«r l a l i t r f o
. l i i H t • r i c r l n o * et ds d a u g o r . . ,
«..(•iMqiiv Juur pliia nul» e l plun « o l l d n l m mir
« n iiMil f r o i i l , (aco k l ' e n i i « n i l , Hit HllIitH pnurHiily r o i i l «no l i i l l o M I H m o r c l p o u r H«Huror lu llljri'
« • k i r (lu r c u p r l t liuiiiRlN.
pcirt»"'.^o u . j v i t w
!
tf" lu "
l.iml:
iHiilii » ,é((i|i lei'uiiiijp, o.)(iinioiii '( On rio le
fuVHll \ m liiip, Mal« c'iMiill Uni, blon llnl,
'NLK la noiivolld mi diiinoiillo. Kl 11 H'OHI pus
Inipii^lhlo
(|no (... (ii'MMIII HOII d.'fnonil fi
(.0 c o n c o u r u o | i o u v e r t aux poululnii Uo tout lé
dilnarlemeii»,
' Oiitoi d t s lùiirca coiicoui'ii :
.
.. La Dojeo'.de ln KaculW des Lettre», M. Nicolas,
o™H;ren«irqm?; oli cour» do ce» Inspccllûm 'iiii'll
Blliialt il falro ù Leani..veu. ces deux petllx puvsaiis, Moalli! et (llftuiicn, d'inlolllffonco si notle cl
»l vivo, qui traduisaient H1 Mon les texte» lallii».
Quaml Ils vinrent ù Honues suhir lc,s éproiivus do
liiii'piirllo ilii IJaocalauriiut, il les invita & an
lulile la \elllo ilo rcxnnien. l.e lendemain, les
Q u é H e
lll
deux heureux iviiidlduH avalent pour exanilniilom' leur hùte do la veille, ot jnsllllaleut plel.ioCHUTCS DE MATRICES
inTTit le.slinii>.(u'll avait poiiroiix.
.1, (iloanee tut un Uraiid ,>^i>iiiliiulro ril.>vc .«lu- 0 S P L A C E M B N T 8 DES 0 R Q A N E 8
dloux ol pieux (iii'll «vullélénu cillè^e. Onlouii,'' .An I M H k ( > i i i i . | | » . r / . e l l o i i , ,li-(. ar n(ia)S,S0, Il revint liiiiiic'dlaleinoiil à l.e,sa ni ^ ' o n z a i i v l i u d i v i i c i ï i e v i i s t H d à zo.
ni'vm. coniino professeur. Il • lll siiceesslveiiienl «111(111
r a zni', iinnn n i / h r a s a ^ n a l o n r l o n a u
la classe ,lo 7-, la clusso d uimluls, lu classe rtoti-, 1 don.
llavarlal.(>ju...|.l,.„ uii doiiui'di-olstse luisant iilwer jKir su ni,i|liode il'onselKiiono'iit,
" I ' ' ; ' ' ' ' , » " " " ' 'i;ii'> l a b u i i r o u l e n i i
.|iil visull t,.iiJoiii.s H lu siiiiplUlt,., el pur les I a, 1U i 1^1
l o l . i v i , , . , l i p i n u |„..„|
oiii'ouriurenieiil'. on .e souvient toujours do ses
.luuris il lo'iiro de lecliiroi au mo.ven desoui^ls il
ô',^ 1
'"'Imbp|) j e n a i n a n l c b e d .
«tlmiilail la lionne volnn|.J ,1e se.s L>IÙV,.8.
KII IMIU. le prluclpul, ,M. Itoiill, noninu' ori'lil- 1.1^ l i . o i x - l i o i u ' l i a r b o a z a i n a n i ' l i o i : , . l a sa.s
l
a
i
i
t
a
n
(
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r
i
i
n
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:
<
|ir,nre rte .'ialiil-l ..ois .lo llrp«l, il.'.sl^na M. liio.i- l o a ii-_gi'...:ii.. : I ) v a i - f ' l i a t a' i I poci il i o hc 'al i ,d 'c.I i etro npr ac -t
noe a I l'.vi'ip.e ol au llccli.ur d'Arad.''mle iioiir
oz o i i i n
prendre sa s.|..c,'ç«i„n. .M. illonnee .'luil trop mo- d u V'.'za lip v o u r i ' , ^ 0 l i c - n ; , an ui i.c HHaic-.so
cir e tonio 1
dèle |H)ur d'isirer une cliui'tre si linporianlo. ci iioi vr oi izz da na yacoi li ri .p iLi I C. r iI Kt iOi i Y ,l ov,,
fauboiii's.SaintIr„p d'^IlHiit ilo lui i.i.\iiie poiirussuinor desaielé M a r l i n , l ' a i ' i s , ,1a d i ( . i i o ! i c n n l i o n t o i i p z .
de i'.i.iir les loiinlos res|,ons;il,ililM .ln princi|m. Iiiiu J.
: ffoiizt'il, m..!.lat. Il li,\||a. vonliil r,.fi,„.|., coiisiilla.,. I.es en- «• h e i l lia b u u - nlM>-iiitiiii
l . . . (;'|,o,ii l u ^ - „ p c i z d l N cuiiraKonienlylo .M,
.mipcrii'iii'du
niln.ilre
c',(!;
valiiipilreiil ses scrupules : Il ue k « ' i i i i l . < M i z f l l < M i , n e ^ v i i i c r i l l<cl S r i n c -
NIRIIIE
û a,renvers«prisdup»M»geii niveau du chcmla do rtdpnodrAme, tenant au fillette duns les
l'^J^Le Ualn^lu^^^
du corps, etécraao
de la campagne, n'a Jamais »i>ura s« f«i»e «v».
euorctsost toujours distingué par «a bravoDre
et son entrain. ..
(• A pris part à ronl.'-voniont de ileux balleries ennemi,is el. sous les ordres'de quclquo;
sergents, a repoussé nue contre alt.ique enue.
nilc. Il
non l.jiii..
ïranspoi tés ti l'hospice, lo malheureux v sucSiiliit.I'o|-ilo-l.i!Oii, le tiiiidi io muru, i
h. •
A l'Iioni'i' oi'i non., .'crlvoii». Il ..>1 vi'uls.imcomba pou après, tandis que la petite 'devait
hlalil,. ipiii l'Ion ii'osl oonoln ilo d,>llnllir ol K e r f l ' i - l V î ' » ' ' ' ' '
• •'^"'"'l l'IiiiKoiiiiL-o!
subir I amputation d,.sdoux cuisses.
.{uo t.Mil
on ,n»fi.'ns, D.IHH ini,.|.
La more, revenue le jour mémo de l'ont-l'Abbi
lo» cnndlll.iiiK ? on riRnov".
'
Iloslionou, 1.) l u n d i 07 mars, 11 l a li, i 2 ;
pour les rejoindre à i^ulniper. et ne les trouvant
IMoiiliiiioc
•l'.jn,jours o>|.|l ipi,. ,|,in« m. I.inx monio• H n m c i l l nuli'. I n m i n s l o u t i ' H i i i ' a N t M i i i l l i n
pas-ou
gare, avait pris le train qui devait les
M o r t dans un champ. — llenri Hloaguoii,
« p i n o n o m ' HO i c n i l i ' i ' (111 K H I I K I ( | i u u ' l l o r l'aiMliini mil'.;;.,,' anv nonl.vH, I,. Koinoni.'.
écraser, pensant qu'ils étaient rest. s ù IionarneU"!
ans,
habitant
avec sa Hllo ù lieisuu.ly, s'.îl.iit
liioiil
il.'
Il.'i'lln,
d.'oliii'anl
ipio,
..
Ainjli.ls
M n i ' r a l (U< l i u ' i i K t o l l a l l o u i i o , o n l ' i l o r m
nez. Ce n'est qii'.^N arrivant duns cette ville
l'imilu ù la toire do l'onl-iiroix. le .'i février. Le
Mçiio pnrli'8
tft'iii'i;iiii\
C j i l o n m i - l l ' o n ' o . Jiyuiil pnil 1,111,1 sur lu pins vi.slo .••0I...II0
quelle upprit i.'airreux malheur qui venait de
bmdomaln il fut trouvé mort dans un champ,
I urnioinonl .1.., vulH>.oiinx inui'oliuii.ls ... I.-,
I attolndre.
V; ' • l l p
v l » l n . m i i v l ( I m w lu foiv», nnval's alloiiMii.lo).
lîi'cs de Les|wrnoii.
dliuietiool
api'/.s iin ooiirl D W t D a d o n a l j t t f l s
p o t l l o v j l l n o u 11 I) IMDIIII «ii i v . l i l c i i c c , i . c
nl,.|'\iilli!. pi'..si'rll iliins l'liil,<i'.>l dos non()oiiil>rU
Tr^friiiur
r o i v o u l u t I.I.Mi, l ' ç i . i u i . l u l i o lo-i m i l , ! . - ! ! . » ll'.'s, n.ooviMiil l'oi'il.'o .M
lois,
Noyée. — Mme Holloié, née .Marie-Anne Uél u i j m i f t I ( l l i i o , u n i .s i H d v i i t II- I n i l n ( | i i l il
Suicide. — M. .lu'iei.l. l.e lioiiclro. sous brlOomposltlon des stations pour la monte
llni.'nls
lii'lll»ii>i'aiils
...
I.i's
piiisxanllas,
ùBée
de
iil
uns,
avait
dispaiu
depuis
le
v u l l l o « r i H i i o i i o i ' Il l'iivl.-.
'
g.'idier des douasos t. •(i.-viauûii se«t tué on se
,'o« n.'iili'os .von.li'onl hlni , nvoril.. !,.ni's
d« 101B, dans lo FfuintAre
10 janvier. Kilo ne jouissait d'ailleurs j.lus .le
t.i'anl un coup de'fiisil .nuis la t.'l.-. .
si.,|..|s iiM.i.i ,pi,.
.'oiini.iil l.'ins porIronies ses fuculli'S montules. t^oii caduvre n élé
(.iiiMi'ni, - Pa rivie, pur sini«: ant-lah
Le matin mémo il avail i'„;u d.fs „b,ervalion«
on, l.'iir,. liions aii,x n.iviiv, ii.ai'- UiaïKimiiMcr et l'iirabiile; llian. poslioi
découvert, lo S février, dans l'anse de <Uicrn.,au
(
e son capitaine à pro|.a? ,rirr,-giitarités rele».-e»
i'li:iiols iin.i.is il..,s ..,,lions ,'11 un
par .Mme l'anguy. On croit que c'est au cours
„iiln Ion, par riii./iio nt Moitlinirail: liliwwr, m,,
dans
ses é'-rritur
l'oiiipiro alhMin.n.l -,
d nu acc's de llovre que la malheurcuso se se.'a
'll.ir bnilou. j.ur /Ji.'.i .il Muiilmii uil : llin/i'iiiio li,
Kt c'est
•la qiia l'on allribuo son act.; .le dé,iiiii'i,'l,|,<niio i|. Ion- poliih uii'. |,u»llor bndon, pur lùi/ifli/ /liifim ou Itfiniffirk
Jetée u I eau.
«espoir.
l'inn..
la o.'l • al|..|i.Mn.l< aiH'i lll ,'<I,S .1 .H, I iff.ii iiH.i' el Kiinilthluv: Ale/m', posllor hio'loii,
Agé
de
.
"
W
ans,
l.e t; j u o î l r o lais.so nne v e u v e
i'.<nii,i. !inv ii.'iili'i..,.
<<oiic*siiac'li
pur «..i(Ui'(,o/ir: ol nuo
oui do Inili ; iul„,
et des enfants.
l.os .'xplolis .1.., pirji,., ipii
I. B n
Italie
pusilor l.roU.ii, pur Ih'niih .'l rm iinietur : .ViRetour d'un... mort. — l'ierre .Marie llcipo.i .llinliin'.i .'Il l'os ,|,'ml,.i's lonip,. voni
AuU'o triste mort - loilla.inio Sli'pliBiit,
iiim, li'ull lirolon. par liiur o| { m'uiaclnr.
tliolom, J. uns. originaire de l'ieuven et domlci. NMM ICM'I.NU-< II'.MUCI'.IIII ihini iin.' M
l'.iiiini'n.'oi' . ,111' Im plo, vi.sl,' ,'i'l...||o
'.«uns, domastique
I' ni... i. l'relt, qui a>iail la
llo a I .ouonac h, avait été incorporé au 117' d'inIjuii:.:. • • IIHJ il,fil, liai'ldiov, par f.anninii(lui'lli' lin J<iiii'n:i| lin i'i>iii|ili< l'i'inlii >lii \
M' oniployi-i' l.'s l.'niH'» lin ii,.nvi.rii,'inoi i iihnil l„nnii,!)lf[
mauvaise lucbiln le d- . i-airrer. a .'-té d.W'Ouvert
fanterie.
CUrioii Util: /Co/,,//'posHO .111.. vlHil
||;|||,. M, A, lin
iiaii.l,, n V
i.i'„
mort
dans
un
(•liai..p.
j.
onil.i
,lii s.'iitier.l.! 'lr.!.>ial.
Le -i octobre lill',,11 fut dé. laré décédé le mémo
llor liri'Ioii, pur CupiWUu- ol inio juiiifiil ilu
i>riVl(|iMil lin i;i>iii<i'll ci inlnloiiv
AiTi
d_iMii-man e v i l c i u i a i l . I M ; ; I t d ' h e ' ' a m i l . l a •
il
.'lll.'
nliiiil.iii, fi'aii (liMiil-saiiif ; /«i/„i(/, po,<llor liroloii, pur IhiurJ.nir. (. iil.eoi,.s. il Onvoiicourl •,'^ommo,. Op. «
.-IIIHiKjMTM,
,1,. M,M. (,. Il..uiïr,)
l'-m'*'''''
'''''«H'ivrci'. liolol . l u
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p,,|. or bieloii. pur l o n i i w t u r ou l-ioimiiiaiii
,1,1 l.e«n,>v,.n. •.-es preiiilcres aiiniies fiiicnl lieu i » « i i i i i ' i i o u o / . , .siil, .M. i m i c l d e l - r a i i c
snio : mais le U rin mémo mois, il tutalleiiil ,'i
l>.tiinil*H H'Kliil cl |.:ii' I,, ,i„|.iilii
il.i'.'i' ,• i \ K l , . l , - r i ,'^01 lo
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. luiiliies i.-oitime). i.ur un éclut d'obus qui lo
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I,, |.,.LV. .••0,1 lo pi^, ^l.loril \\'||,„n ,1110
/.onf/i/;\jbsil'erViW,Mr
oïr
l"|ellIsonts
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di'voués.
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né
Wesîu
au genou droit.
IVIlo-Vuc.
iriiiiiniiiiiiMiiii'K Mv.tii,iii« oui .'M I
illr
ipravo,. ,,-s r«ih|..s- raiicl el lleii.,
A pri-s être resié sept Jours sur 1,! champ de taSI l'on |)0,séili'
i l - - fsp'-c-o.'s
bill.'is .lo
lll- ,1
'•(•es
a/o ,• l.nfÛt/, posllor ll?el . i,
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I',""}'''ll"i;j'lro l.'.loul.le l>ul de toiile ! v n s < ( > M > u 4 i | , nioiii'.s, •
«jmhlnn.'iii^i.l, (;>sl
nUiilliil.
ôtel Mi'iicz. jila
<l|i|.i.|o I, iiV'.yaMl'. il ,1.111.' s;. l'aiinirnl ol II,
taillo, il fui recueilli par les Alleniund,s. Il s.liaïKin.,' (lll or
lim.î
V ni • o i i s o r v c r
Kl
IClIlllV il
.IMl
lit .\iite ; iMbourfiir. p. s iêr 'i''"""",»" ^ la '.riiinfioii de IV.spril ot .'elle du
son a n M s U o b l j .
ivpnliril''
Joiirna
d'abord
six
mois
dans
un
hôpital
de
Suintl.relog,
pur
l'ui..,
ilispoiiibilito. on lioil 1
lit' i|nl niilAs^nl ilcsormiU.
iin..!,.
-;/0l /(UMO,//MIIO ; .S', L , i , '
'^lovos. pm, Vlm r^poque 00 la l . i t i i d l v f . H l » , i i i i i i ' o l i e i
d.'s liOllK
liûtcl d u Coin(tiioiilin. fut envoyé ensuite eu llclglquo, de lii à
hrotoii, pur Coi-,,.; et Itiighiri K^int.
la OéreiisR N.-uiona'o.
LILIUI'I'KRT»IIUL^III.MIILII'. HT [•'IMM.M "1 •••
m . - Bn Roumanie
•'
, "Ile ivllslou^o parulys.nit loiilos |,'s inlllullv.îs.
lllI'iCC.
Ho\i.i.Ainii:. • • iUhhv, postier lirelon. ,..„,,'•'•.'•ûii'Wlnl l'Iait dénoncé.-l-a loi niiiil.ilro P o i i l i i A h m l . i a o n , 1. 1H. di?.s VoyaxtHir.s. \\.!xel, puis il .Munster.
• !,(' v»yiiK» ilo m m m l u N i r * ,
Ci'oùs à :l mois, 0 moi.-"! t an. ils
,1
II" ,1», piii'.ilos nion.o'iiilo
Kniln, il fut évacué sur la rruncecommogiond
AIIIK» 4
(ilii'.iiMiiv l i M h , Kl 1,1• i . h i .
sentfiit, cil (>n.-l. 111. (,la(vi!i(.:,t à courte
I, ii'd.dii Coniincrc,..
'.i<'nl ' I' pr.,ii..n,'.io, p„|. rii iiiino i l .•, l'i,. .,(,nii.'< ol ;.«,',/ Ihi^h ; ruiis, posller hrelDii. ,;ir ' ol.llgonll ips >,.inlnaiis|es à pus-er deux ans à lu
piirliililK II» Hoiil iiii^iiii' jifiil.iMr. • |.;is ,•,
I.es paronl,, |,.spi',-'(|.f., eux-uu^mes, in- l.nkoiiriiaii-l.c'oii, sadoni, -.'li, liOtcl d.'s ble^so.
cçijcance .(n'il ost |.u.,.<.(,k> irNne cncoro
h'..,..' ,|
niiiiii.,, I> nMii\o,'.ii pi.lahro, imulle ol inmsi, i / « r , , k „ U , . | ' | , , 1 , , , caierno.
iloiels
pour
l'avenir,
liésltaiei.t
à
diriger
vors
lo
Actuellement
11
se
trouve
dans
un
dépôt
do
<liic l'on l'oniu.ll II,-, i,M.|.ii,nn.i,l
Htiliniiini cl line Juinonl dciul-<anif ; Jaoïh II.
d abroger K«ll ou 1,.-ccciuipî.i.M i la Haii•Il
1
„ ' i'.',Mnioi'ail on iloiix
le.'i oiifunts |„s mieux dispesés... A l.ns Uresl, .snl. -.'T, loOlol r o i i l i n o i i t a l .
convalescents ii llennos.
M IOHKU H . U N . I - .LI,,.„II,.S I,.
.juc; di; l'i'aiic' .luai;! ,:-,
puiius
.•)
II il.,lll' 1.1 llol).'li|ii.' 0,1 loin, .'I poNlIer hreloii. par fiiuiui ol ,/o/'io/io ; l.iwnl oull/'ae
mois d(! a daio de r..i,il.jur,,c'iiiciil, soit en
LIINL» IL»» .(«IIX p , N , H I . I I I III^ 1•Mhl.M' Ml
.^aisi de son c4is, le tribunal u'a pu que le dénoslioi' lu,'Ion, pur lui-fs! SItir ol /Vio dcnei-nl : nr'voii, c-oiilni. purl'.iil, le reerolemont siilill iioo I.CMII(*V(MI, Uni. \H. ô t n l dc.s - f r o i » • l ' i l i c r s
inon
r'.nniiliro ,011 ,ol'l ; ni;,|, . </(«,/u, r,osi|,..|. ln'.'lon. l.ar/Wiiunir/io: ol .S/. »,
Tiso
lr..s
p.'Miilile,
,|ul
nirecla
profoudénieiil
Kc
laisnnlCdiiM'iili!iir-,
Ire» Ki'iniil» i'i'.'<i"rvi .'>«1 r» inil ouille .
clarer
vivant
;
et
son
acte
do
décès
a
été
annulé.
.,
aiH-os par .'ctto
,1 pi I „. Moi),,i'H»/, ol l'^il.i.'KIs
iiislitulioii. Ce, ava'.cos iouv.'iit atl.'iii.lie
- vi'nx ( I f U n i I *
I l , ,10 I n i i l , . ,
HmiHh ; Imw. Iruit hreloii, p'ir
cl .Si,,../-1
''lo"""
..v, I •
I I,. in.<nl
i^M ,
.Malialoii
r>.rlo. Il, .1 '1,0 fl' I ' " " "
•I l.os dilllcnit'.is du.luiliilsli'ulioii s'uceuniiilaloiit
l.e malhoiireux était ullon(,'é snr le vontre, la
so 0,0 (Ir l u valcui' i.oi.i al" ii,-, |jonK.
II', K l i
il
•
•»
A
H
lo
il'ni
Citation. - l.e caporal Clet Le llihan a élé
face duns nue ornière profonde rciuplie d'eau.
l.ciir infiirct o>; a-, a:.!
rtnin'iN
l""'"''
'
'll:ll|,l" I,
'.iv. ;>ayab!c O'au, lire llnij, liucl,n,.y, • laulre part. Ccilalu.s fonL-llonuuir.,!« niaholl- Un
suppose qu'il ^-lalt tomhfl en c.t endroil el l'objet de» .dtations suivantes :
vancc (>t ainsi lo- bon. ; . mois ot à lin an
l ' n j i i i i n l ^..l . r i i h o u t ( i „ i s
H..Ml
:ii <11 11,1•M.l', ,VI. n i ' i l i a n o ' s o l I.ÎO'V^ ' I ' ^ ' Î ; ? : '
. ... .Vi-mi : l\i„H. pnsllni' ; biils un nutuniceal.nit pus lour.9 crlli,|ues ii co qu'il
f
11
lllcssé
cinq
fois
b'.gèreuicut
depuis
le
début
n'eut
pas
la
force
da
se
relever,
par
suil'cdo
•i'oli;.(re
lie
la
Hcunhlluue
diiiffé
par
des-pnnros.
donnent
un
plac
r.io:,!
t
<|U(; li^N i n l i i l y l i r « f r . i T ' i . i s
IIkIIoms 'Mil I
0" I';.iO'.'l'' .issoiii'nl .los r.in'os HUM.,
I de .'.•.., C 0 l'an.
l ire AU itij ; hiiirc'lt. nu...
S:,, hi'.'t. " pur .•.«,(,,'/,'
WHIIM II i . h l « i i l i ' l i n » | . | i H m ' i i h i . ' r -«•ir.lh
.nil'i I'': «II SOI l'ollosi.
i'oilovi«ii, 00 n
,„niI ,„,.
mis I Itii'l'rdoii. par llriguiiil
«rifl«i„/,.|
el lunil : l-liif. pi.sli,.|' 11*1. filouii,!'' avail liop lie c.*ur pour supporter Sou Inllrniil,.^
1 l oriine aver ualiMo et sann-tiolrt. .'<a i-'aul.'' en
(liiiis 1»,. i i u n » l i » , Aiii.>», i-i i i n lonl» .KhiMir.il.lo l > l | 0 S dos AIISIRO.
" I ' ' !""•
"I «<•"•« J'K*: I M ' J f k ,
|siiiiirrll. Kcil'iiu,', Il l'éslBiiu se» fon,.'lions el
IMoug'oiivcliii
M i l l i i l * . p i ' w ' l w i x pi«iiv>nl iMi'» , l * > iii..|nl
'l'MI'l 'niiltfH'...H..oli«,
ir lo lu^iiio -nlol " i ! " •J''"'"".
et Uellon SIml.
. lollru duns su paroisse iialale.
M i i l i'itnfii.l«i'.i. i^.iinMi" u i ' i j i i k
tnlairo. li.xallon.
I i|V'>iil p . i r . ' o i i i r
Peadu. — Le 11 février, un individu élran
.>11', t"
«dvei'vii••
Pi"' "il»» nnglals, par llrin
Ce liian<iii» iriinliiii Ir** ,i|i'.i'iii>
^i,; ,.
Il
y
véeiil
Koplaiis
duns
lu
retraite,
tiarlus:.>anl
aterau
pays
a
clé trouvé pendu à une brandie
luinciils.
l'.iiii',- ^!0',nl
-t Ho/ij/iio;
, ; ' .'l enii, poslior
l'U'liri- brolon,
urrioil, pur ,•/,/),
I
.' .
- r - . . . .'.,....1,,, l'ii, luKri.oL
I.os A I N
I"
Juiwinfnl .liiMiii'li'l iiii
,,„||,|, | ' , , | | i i . ,
loisirs eatie la lecturi. dont II avait ol,' s d'urlire. à l'aida do sa oravate.
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(.';„;/,..-.„
|ii'iiii»ni|i
Le ian.'icit
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individu
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euibauchei
' .l'oiivir ,0 i r ^ ; ; ooi.l .'int(nuiilo inlll
« I W t i r leni's ^IToi'U i i i m MIHI I I , , » ,
.I,|
ntilelU et. ' • '«,„i
m ; , ; poslier breton,
illsposà
il
rendre
service
ii
ses
confrid'e,';.
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coinma
journalier
chez
.Mme
Kérébel.
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«(.-iLlrcdi
li.; fr • ï . ' i *
...!!."",'AI','.,'!?"
i l ' " " ; .i / •l»-ct'l,
I
."'.'."i:'!.''-'''",''?'''''''?'"''
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fouio";.»
li.M.niio, ;
Il y K .lo iiioi, .«cril lo .' ,|oin'nal ||iar
l'Jtude
.le
M'
l>»iilii|ueii,
nopostier
•lill...
OI.C I..-!,!-.. ei
kroloii,
,1-s n.'Itals " .Iniinor
-.-., pur/•m,/i,i «I huii
,0.,. .r.cniK;
„ „ ,,„,. ,l.tuiléd,
„ „ « , « „ .lorsMiialaKiiornuielola. il r.Milraloiiti. faihl.ais
taire il I.aiidiViïian
u'i.;
pflisor à nos oiin
J^M eunimlKds d.n, il.ili» .Mnip ,inpnl.. I- ,M lui,.., .M. m ilino .'«i a
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inii.liilo on Mio ilo nnvog<r,|oi' les l i i M (?«"( et line Jiniioat .len.l sanir : JlnnliiaiiarJ ' I'''"
Pf'»'!!'"
" " i l " la .lii'orllon du l écolc 1 s f l ' U U i ' , pour l'jiis l.'s cialonniei's
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« i m p l f ; Il y a m i i.h.lli'f m || v h I i u I
' ' l'i'll>iair.i libre de '.u puroUso, ,1c (aire classe aux
lliiiix riii
(ir I poiiplo 110 VOILL postier lirolon, pur rniimiu e et riéiiia
Après décès d,. .M. Alain
yH».urN. I l »isl i n n l i l »
l i , •„!,,„ .i,.
|
(:HAii«i:i.ix,..-,/n,'(,6,p,,5iic,,i,|,pin„;,j.,,,
'-."-i.'iir Hurli'i' d'un
..,,r. Inioi'vonlioii
loio 'von ., .11
..1......«, — ..«(wv, po.siier ureioa. ijur Jwcoy joiiuos eafuHls.
? do repn'iidie los soucis de l udp.is- 0i,l*ii,Ji'0
cltcvain
{'('foi-ini's
du
lie ,Ui I /,„
l'ouli.jiKMi. commorraiit 11
: IJIlh'ST
•' po.sller breton, pal^l)uVX^^r
par .frùVXi r i' l"'"''^'',''
" «
m^™ P»''i' l""aiisir
ailslra.ylloiu.ind, o| l.s Alloiuainls onx'
««'^V'/.'•;''•'•'po.sllei'
i:i! d n
I.niidiviKtuii.i'ue ilo Lanni< (iuo|. n» •l»nuud»ni rion d'»nire ,|n» I» K •'«'•••,.• A«i/ii. poslier breton
Noyée
• • 'par
' H,.v//,in
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leinps II renipllssult lie hou
1.0 7 février. .Mine
et ! ' ' i " "-' , ' ' ' J'"
iJ'icuo.::.:.
l u î / J f " " V"!'""'''
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•••••'^ Aiiij.'lina iior-o
MM. l e .U'lionna;i'(i.-i sont
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H» l i ' i ' i i n , M i i i'iill»ii .1» lu n»Mlrjiil-i
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\ll«rU lime->; l.iimiiieii.r, postior brelon nurl'"^""'
'"""•Ho"'
vicaire uiixiliNlre, pour avait pris nu ounot peur aller cbercber, sur h Cinivoqiu;"
•l'oi'.l ,(Cl
ar deviii .;tre
Le n u ' i ' c r c d i ï ; ! lévi'iui- loio,
n»
.',,1 l''»f,.ilii!.iid.
|.'»i.i.i.i&i..i .in
,ii, pi'.inli
(luIlbretui, ''"rliurirer
,|,|,„l I (Ve((/i.l/.i/c/>/i.ssi,i/'„>i„.,.
(Vf((/i.l/ii/t/,/,'ssol/',ia,i,i;AV(/ri
.. vl,ll»
.Ml» du roi
ilocliurifor d'une 0:
|,arlie .le su l.oso;tno écrusante rivo opposée du cuiiul, sou piire niéounlcicu 1 raie oi'.liiii cil .•| 5..-CUlblcC|.''Ml.' il lieiires do riipi i'.s-iiiidi.
porle'i.' li'i
'"e-raiioii .lu
le ,,10,0. e i
•lo CoiNoii l.i.lKai'», »l d» doux li.in.'i'.nix an ' par Vitfiei'»,i i't l iixiiit.
lo lion ciir,) ipi il Hlmall hiiil.
rusine oleciriqoe. l.e courant, li és f.irt par suit 15 i.iiirK jh lii'i'pour
maire
.,••
i
'>i.:,iiini..
!)U pcnu.Y ( l e m o u t i i n . u:ic
•'H-liiii,i,U
licim-s
i:>n .Malt ti'«p pour iino saiité cbuncelanle
-(•iiirlii'r tf'-'u.ir^l .'liloiuini.l. aiimil »'l,'' ui„li
laiioii
lUllt .(Il il , • l;i pas
H,!;"",*),' ~ 11"?'''." I>'ii"'0fli, li.ickney, par cininie la sienne, ot .pi il ne io,;nu8-,.u pus. du do la crue, entraîna l'euiban'ation par dessus lo de l'aprcs •mlili, il la lloiirsi! l>ea<i de vai-lio.
P"i' l'«llllu.|o
la lloiinia
. ouiinurce de
lo.' iil Ihiiietiell ol ï'ii,is/,„»rt„/ Icrevoif, poslier bi vit pendant trois mois d'hiver porter idiiume déversoir de Coaligrac li, et .Mme Uorso disparut dn ..'Uiiiiii 'l'cc à lirc.st U"
Le .ieiidi '1', f é v r i e r i;il(l. tialiiiuclle
lo. ol pal' la n'.'ossii.'' .lo pi'oo.lro ,.onli.o brf!l»n. pur Deiimarli l i;/oroi,.v„t
dans loaii, sous les .veux do sou pùrc, impuissant cta-o;.
'fii'il J l'.'i'llemeiit
; //„.
<'li.-\.iiix
o;
. A l l l f * . Mnlj. (•» (III i r . i | < i i mis
,
cl jours f>u;vanl.s, .s'il y a lieu, lios,nii II,. lie\u':x .,o;ir le»
«Ol, po'tlor brelon, pur Aiii'niv ol ijaslon : soiiiuluo lu ï^alnte l.oniniuiiion ù une personne u lui porter secours.
•Mo Iii,ll„n ooi'l'.in»« ,|ivpi„lll„ns mllIKiIro
Ordi'p du joiii- .
il midi.
du lioiirir. Kt ii l'un île
/«U.imii/,', posllur brolon, par .4;i./i'..»i A'I,,,," malade,
' " ' ' I ' ' ' ' ' ' "i ;> klioiuiitriis
''I'
.Mme Dorsn, sage-femme il Sar/oaii .Morbihan;
U'iUaits d I '.'.iciilMre ou
viill IVIrr p,ii' iMi> tnis. «n l'oniniiM, il ' pli
IV. - Bn
arèoe
I.
Kxanioii
(M
appi'obalion
des
eluit
ilgée
de
ii;
uns.
I. Clinri'oKo aiiirlalsp. pour l'olev
; .fmsst, postier breton, par IhtUeiieà cl ^ T,."'"'r?,"'
prii'loio'.e, il r,.poi
eouiiilos
dt;
l'e.xei'i-iciî
1
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i|.';inl„i'ion.<
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niuludc,
do
rece
cl.iiri'cue
li'i's
bon
.'lal,
liarlilUH .ili'oll». irt .Il i,iif,iii fi 'in .1, IN 1.
CnriKii.v
.s <l»i'loi.|.s i.niHl»nl .loun.iulo i. .M. Ve
II.Hi;'|.iarlllioiidn.soldelK'n,'li- iiiiis.
,... /'ï/.' Hosf, backiiey, |iar /l„i/j/
I'" "j"'
H
« 'I""» <l« faire plal
.sacs .i" tourl.-aii.
fil.»llIIUV. ri» U- |.'nii.'V Vl r r \ i ô l i i T i
.,ï, il,ii',.opl,'l' I, .'..loll.liiiiii'o, ..» i|ii'i| ai Hui.etllllz lit •l/i,'.,,' Ilnsf. Juo„i(/i,., pus I..1' brelon '
I"
rlaii'c lin <-0111010 prollls ot
M o r t de M , l'abbé Rolland. — .Nous ap
.Iiiiin.»
l'iiMilûli
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lll 1.1,1. O s l (,„5,;,||.|». du SOI'., s,.iil»ni.'nl
pcrlev. .'i tlvalioii do rciiuir Wui.K ol //,o (ifHnv/; ,/e/',c/
prenons avec reffi'ct la mort du u bon l'iini 1
"xcmpli< .(11» n o n , , n „ „ s " . i . ' , . , " " „ „ , „ | ;
n, par t ainrnil et I emiral-,Kenlainel, poslb-r t'.iile su vl,'. Il nt dn bien : le dioc6si! de iiiiini- llolland, uiiiiK'.iiler ,l.;s I rsnlincs rte (.'urhuix
iN»ii'( ,|K sa\oii' fin»ls «oui li's nu.liN IÎMI
.lue ù hHiiiolle la SocU'Io coi.ipi'ouaiit : iisleiisilcs l uiiiliu-s. l'iO|..;eiair<'v. m
<oiili'o-M,ind.c
H i T i i p i ^ r I oiVm i Ôin
1
.reton. pur ilin, liennwrk ot l'rrel: Vefcmu,^ per lui est ledcTable d'un graml nonibro (le vo- qu'il avait siilviiw dans leur exil ù Oalilauds
jioui'i'a (.nccUi.'r le paie- sii.e iMiiVi-e. loiirn..aii. Ijullel,
f.iilc.s \os .jlTi'.'
d.'
M
olopponient.
Qii.ind
ctilkilis
dont
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afaoilllé
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brelon,
pur
Jnm-liuri
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IVce/:
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iiii-Mit
des ioli-r.--is.dividcndu etc. CliainDre coiiiplclc :icaï.!.
lies C..,,..-.
idiudleiKh. And,'terre.
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.l'.im ir, >ii iïn- r .X.i.
et taiill.'iiies .slatutuircs ;
l.e mur,Il tj févrlor, il .'luil aussi gai ot spiri
broton, pnr./,'n,i-7(<,)(ctri'i'e/.
•• i'"""-' u,i pnUre lui sitrnulult nu enfant InlelIlKent iliil
Jou, — salle il manger vieu.N
. »(.( Icuo),.
'o»pl,.
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ep
I'.,'
iin|„in'il'hiii
soni
.luns
inio
ipo-. «(Ivortinli',., UHF I .^.'1 i .pi
i i
souiblalt appelii au sacerdoce, la (piestion iiécii- tiiol que de coutume. Il ue pluigiiuil seoleiocnt I I I . yiiiliis à la sne.tes.sioii de cil,'-110 (Inilïcl, di-ssorle. glacr,
1
1
a
ivriis.'
d'.'uli',.r
liior
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{•.MHKW.
VmUain
l)„il,
hucliiiey.pur.SiiiiK« i i r i.RiiMoi. des d.Miiiiii',' i , " r
Il",•'
i l . L,'V.is.soiii', adniini.stra- liiiil cliaisç.s il ildssi.'ri, ',, unils. Il n'o.l ,«ns d,>ni.' pas difllrllo d Ihuiiits v\Hosuilurt Ciiru, posllur breton, pur iilulin n'^tall jaimils un ob.slacio : .M. liloaiioi; la d un ccrlalu mal de tète. Lo leiidemulu malli
.1)h j i m n l n - p a i h v h I I .!i,i „ i i i , | f „ | | .i,,,,^'
rùsolvull toujours ù ses dépen». Kiilro plaisir
t<îiir décédé :
•\lli»r .|nol,|ne.«-ini»s d.! 00s l'ai.sons. Mal .1,#o,/u,»e
0 heures et demie. 11 oluit mort.
cliamliie merisier compl<'li%
,II,m,er ; càmir. poslier hr'Ion c'ëtall
,vulc 11 s u i v r e . On n ('.11(111111,•.
son
ifrand
.souci
j
sensible
Ini
m.^nie
ii
la
IV.
lUlilIciilioii de la iiomliia- — lils cl unr.oires cli.ltaiïiiler,
•aiil ;l on l'. pai'lor il o,| |,on
Les pauvres reliaiensos .sont toutes désolées .le
pur M»i.< cl ilhinnr : (iurt, poslier brelon, pa ' moindre inuriiiin do sympallilo. Il avait un cœu
.. J,..|n,|le con.'i.i'<.l.! f l l'iudl-soliil.lc |.,im ilrnialloii do ..oiic ii.,nv.'llo,
lioii de ,M. Albert l;ui.-;son. tableaiiN, {,'Iaccs. |.cndiiles cl
Chliin'Kieii iK'iKistc
celte
immense
perle:
.dles
avuicnl
si
bien
apprénvii IIIII.1, n,)n-«piilriii,.iil (|.,.s .I.Vislon. n"
.'oninie adiiilnislratciir uu.\ candclabres, ~ colïn'-lori, se
liellvw» ml cl llurimz; I',,,»!, unit breMi par «•iSnoreiu, et ses nombreux amis - ses nnclcns cié lo» qualités du bon et .suint préire qo'étuit le
élévossurlout. dont lliilnltsl lieiiroiix ilcreeevoli l'oro llolliind.
•il.' loin- 1'.!,I I.,.non.
.ii iiV."'
lien
cl
place;
de
.M.
l.evusl.nndi
dornior,
1
ci'élaiic,
pi'e.s.ïe,
—
linj-'cne....
/.a«ii
cl//y((p;i;;
An,,,,',
poslier
brotou
par
CO.NfC.fMMVs
r..! s ..K^ JOI.IIS
,,
,••,:•••,
•••- hiliilslr,'s d,. Kranoo, I •;'••",•,
'•"••c-i,., n/ous, posiier brotou. liai lu visite — N.ivent comme il savait iMre dolleat.
suiir et pour la durée de etc.
nran.lo.H;','laKno o| do Hns,io iinpW'S ilii /lo,'iC//UH et f'jiifli,
. " " u , |MI
. " i o s o b s c q u e s o u l e n
l i e u sumedl. 12,ii Oalilan.U,
lliill.'iifi. Cl'!, [ , , i | . | ) n ' . p o n i h ' i i l
Mm
de :» I.. .'1 li.
Non
niandat
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.l.'i'biralii
1.
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dut
s'ulllor,
l
ue
kiiri;re
.icor.\ii conipfant. ,1 n en sus.
(«•niriil fl l ' c l l , . ,
JV s;,li.n. l'i i.Ù 'l«ni .T!,;,
s o u s lu p r é s i d e n c e d i K i n u e n r do .Mgr rKvc.Mie . l o
.. •'•/;,t,*'."'.•
brelon, ,par /ïer,;;i
y "''»'""'//•,,
^ " ' I / I lposlier
' w i u i i lyiuiui.,
isaiif ls s.im-1' ,.( 'Ilman .'bfl
,'iilvanl,. an iulnl'<ire d»s AfTair.
clinro un pied s'olunt enveniince, 11110 lyniphan.Nomiuatiioi de dcînx adiiiil'uni' II,lis i-,'ns. i|.'iii'i,ii.nls
line alisol.io fonlliincV . m
h ïm,
liro l-s oladh .vins .louleof .^t
't
li-nr postier breton, par .Yiioii/et ci (Clb) so dcelurn. l.e mul s'aifirrava rnp'ideiiiont. l'Iyinouth.
ilr.in,H.'r»s .1.. nolKii|ii,. :
iiisli'otenr.s i^orlauls l't réc- el pour visil"i', sadies-cr eu
.M. llolland élult ori^iinaire de l'iongaslol•oi'nonictilH idll.'H, H,',Koin/nl l'oo l'.lom
i >J"i, postier brolon, pur.Su,H(./Jo)im(/s cl l.os poumons se conacstlonnalent ; l'oruanlsme
IKfScao. Jjut.ei-s i.rlibcieis
liKilj!<.s cl ijnilus de leur l'cUide il" .M' l'oiilhiucn.
paoïilns, et avait élo vicaire ii Saint .Murtiii ,lo
• Loi pulmaoM liliétii «t eirintei da S,iiil\ Justur, posllor breton, par L'iiuuii ot
t'*.-;-. 1. .i|..Ero\
ffi'.slion :
; " n i ' "".'.'"l'J ' î l " " " ' , ' " ' ''' î n i i i N - l i v
' " ,
iuUéptndiuea d< i« Btlnlqua diolirant ou», ( I,f,yipii; ./«/rt, poslier bielon, par Dulioiiit el lîpulsi'i n'ollrult aneuiio réslslunco aux pro(i;r,';s de lireat. Il avail o.'i ans.
as, eue lUaii'ie. i t l t l v s r
lu ninludie. Uiiiind les inédecins irmirent plus
U vnl,',
ll.'S Pfliplos ,1,1 I la luaaiant
VI. Noniiiia'iion d iiii commisfiaiqa ?er« i,wmn,\
.uril
I.nii
.. . " T«n«,
'•••"I la
•• «ouvarntmanl
vvuTViuotuoiii uoing
.le.ni,i, postier brotoii, par ,t,',a et d'espoir. .M, llloanen demaiidu lul-nii>me à rei osaire lie .siM-M'illaiicc pour
(Jiitrrum ; /.or ii,/y,poslloibr.'loii, par/>r,i«„„7,-.
C a s t
ueiciir
uppali à pirtisiper aux nigooittiona da paix,
les dernici's sacremonls le vendredi 4 f.'.l'e\.'i-cice H'Ii; et .11111 coin(1
di; Con l.;r
poil
•ie cir- lîrost.
- ,
—
-mallraul paa „fin
„ aux a
o i i i m e s i . ' f « ' y ' ' ' " ' " ' ' " . '•uiiiIlKl'il. postier bre- voir
M o r t sur la rout(!. — ,Iejn-l'lerre l.e Hoir,
vrler.
Il
viicut
encore
ijuuire
jours,
conservant
le
na
hoatllllés
Miis.salreadjolnt
|ioiii'
le
du 1 1:1
»U .1110 .. 0, miniHli'clH fi'uiK. " H n'. i™ a- i a aqu'alla»
o, .lu <;ii.-it. n . i
ciiliiire.
que U Balgliiua aoit ritabllo dana aon
pt^''''''"'''; -^'«riti, postier tnOine .saline, la imSnio soumission à la voloul.o •i.s ans, forgeron, originaire ,1'lrvillnc, a ét,'.
cas d'cmpi'cl.cillent du li.Siidre.ss.'
,iu
.ioiirnal.
ndipandanoa pollll(|u« et «ooHomlqu», al
'•^"''"''•l''
d V o n r d mii' lil m ' c ^ s
trouvé
inoit
duns
uiiu
nielle
du
bourg.
Le
-c
divine, deinundunl i. loua ceux ipil l'ontoiiralenl
Kl.IN"
«•mlnnini. ,,|UH r'.|r.,|lo„i..nl U i-nvH. , L Iwaamant Indainnlaéa daa ilemmiua» qu'allé
P"'' ''"i'"''' «l l'gneii-, Maruc', do
uvcc lui lo cliupnlel. I.o mardi .s, i,
vnu di' jnli'iix HSMIIIM' la p a ' r . i ^ a aubla, Ella* pritarout leur «Ida li la Balni- M"^'' " ' ' I " " '
l-guen: Mureuil, deuxréciter
Colloriïc
heures
du
matin.
Il
s'endormit
dans
la
n n l l é U'iiollon, niiccsiilKi q u i „ <1,1 , V 1 "
<|Ha pour Rsaurai' aoa rolivamant camuiar- r ' ' . " ' ' ' ' ' ' ' ' ' ' ' V " ' ' » : •^''ï''"''. Pus- paix du .<nlfinonr. Il avait .soixanle uns.
Citations.- l.e capitaine .loscpli, langov.
n i a i at linanaiar.
4tn«MAlA.. a.
I I:lei
m *' liri^lnll.
/)i«ii m ti
........ T.a
breton, Itni<
pur Wf,i,„ii,'/,-ri^o,'(,„a,.
i i ii',j,[f
olal
Maison Frapçaise (Foncée en 1855)
.lu 1!!', .1 s'est romaninablcnieiit comporlé peiïtjuarunte ot un prûtres ussisti/nuit aux obs^- (lunt
Dim..
tf.V
,
Irait
breton,
par
lleiiiiicirlfyiyoroux
et
de t;iiampag»c du 2:i sepJrT M ,
u n i e C I' 'nKi'iii'.. .ifncl.'ii
On so doiniiiido 00 ,|iii 1. pu ,'cndr,' c l l r Vgmn.
qnos, qui euroiit lieu le jeudi suivant, .Nous v lombrolesauallaqucs
K
oclobro
KM.'i.
Ilravo,
eouriig.'ux,
• e jKoldi'o q n o p o u r l'.'nllMi'i- ™ 11,
.
ir.'lio niV..ssalo.. on
i.ui.'
avons remarniii! ,M,M. les Curiis do l-underneaii, dévoilé. ïiié glorieusement lo i't .lécembre l'.ii;;,
««liMl'oncn t'iili'C^I.'s AIII.'K I I . MI.. .
' lonlos los d.ii'lar,,llons il.'.Jii fiilK"
I.uiubézcllee. Sulut-.Vurtin do llrost, l.esncvon pur un l'olut d'obus de gros culibiv, tombé sur
• Ji!0iit C'Kiiii.mc'm loiLÏS 1...
.11 . n , Ôon
du roll,''Ke
l.ulltdroii : /••', poslier brolon, pur birtii/i el iino l'iabennoo
.. . ; .M.
; le. .^Jupiirieur
,
— - r . - .de
' l.esne- lo poslo de commandeuiont. u
|ven;.M.
le Siipiirlonr do
Jumeut do trait ; ./.,/;«/, p,j!,t|e,. breton
^l» Saint-.lovepli,
Saint-.losepb, elo. l.a
Joseph Tanguy esl lo llls du sacrisl.iin de Col«•fUlX do ct'llij .iKsi'mbli'.. N
iili'i. .1, ; m i l
«o «'Uipivaa tomolsiia,
tui.iui^i.,.. par
|.[.r .Sli.l
«Il
son «u
/.ihltii et une Jument do Ir.ilt : lùtol. iiUinr I P^P"!"""'"'®
lorco. .Vil grand Nirvic'o chanté pour lui ii f'olloiv,
breton, pur llevirul cl QiiUhiiii ; Murlèlcl l'os ' Pi"""'""!""'presseiiiont, do I"
la l'econnuis.suuco.qu'elle
reeo«nulssiinf'u..o,',.n,, ixunle 1 ,M. Kortin, oiiré-doyen .le Dlifiloauiioiif, pr,''si,lu
^ « I I A PRCPUL'OH ,,U,' 11110 R.>NNL,'I; IL.'R " B L ' L
tlor brotou, par Wu.s.voii et llohiii^oii : llaru'Ohtà •M. (Jlonnoc. Kilo conllnuora ii prier pour lo repo' la ei'rémonio, el ,M. Ilozec, reiti'iir 'le l'Ioiiév.v
ie, f w e ( / 0 Sl»m
BREST
Rue a» ta MaM«,
3e
|iu.slior brol.ui, pur fiim/e/ et uiio iiimoiit de de son lime, eu union «voo ie.s anciens .lu i:ol du I''uou. iloniia l'absoiile. .\n clmotiéro, le llooirult.pri'sentu) ; Ai/W, trait brelun, pur lien et b''(,'n do l.esnoven, .pia .M. liloancc oiuiu nnss toiiunt .hicqucs l.allouoi, pur.'iil el iiinl .lu glo
î?..'lll:
t''" inlnlsli'c/i'nii,
f'iiilt'niKiifrl
postier brolon, par Util et Jusqu'il lu lin.
.ieiix défiiut, proiion,;u un discours ologieux et
'OUI' l u
nmiiHrd'UM'c.
a^HcoIe
CiiMroiifsel,
patriotique.
J ^ ' l . lli. Il cil (.,1 „|, ,p||
,,„. ... , p i n ,
lliiAsi'AUis,
—
/«ou,
po-tlor breton, pur i;iiri.v
ï" .lean l.oiils niii'Kiieii, dn l',2-, de i'„,:.,voni,; :
C
o
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K
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o
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N
i W i . , (•..ni'oiiii.i irnii 1,1,'.In M, 'i'.'."
n' „I .'I.'
etiino Juiuonl demi.suntf ; A faim, postier breA accompagné de bonne volonté, pour iiiie
I..' iiilnlslr» de
si sal,! j.inr ton, pur JJegoii ot nuo jiiineiil de trult ; {.aiiriec,
uilsslon périll.Mise, Is sorgoiit HIbler, aidant
as 01'
noiloniont
do
iionibi'onses
domandiis
.!•
posll.M'br.iton,
par
«.•,/,>,1
.d
une
Juiuentdo
Irait
;
linsl il recueillir un reuseigneincnt MiVessair.t
ill
^
W / i f ï ^ C / l THOUWÉS"'
^ '
On dit que le ciliii/eii Coude u reni une Mire pour
ui;,lii-.i;o'iivro iigrloolo (poriiilssions, mii'ol.
perinetlii! nu mouveoionl iliH'isif. 11 .'Morl un
roiinie en ces lermcf.
' M I I L • rSAStii BRUFAÎKLT'-" BBEZONEli'A VË£ KAC?ÉET
birmallons il'.-'.pilp.s, nillIsalNi do, ..rlson i r l î t p r é Ï Ï t é . ! ! ™ ^ ' ^
" " " J"""-""'
WJ
'"-lull.ui, .lipl,.mJ ;rn," ! .1 ^
d.uii.p
le Aï sepl.'iiibio lillli.
ilor, (Iç «ii.'rrc, i',''rn)iir'.s, oie,', ; Il ue pcni
^ ^ ^ ^
^ ^ ^
n.^ vvvi.i:.;, - • llaiioë, postier brelon, pur DellIl" l'ierre .•ili'i viiiou. l.ran,.'uroicr un m;-, ,1c
Caniurndo Coude,
Il salnr lo iiilnlsli'o de la Kn.'rro aniinol m.l)'/; t woroii.f «l l.orU Itinulu-, Jiuiiiiili, post.'.llcltalioiis pour ton liuci'c.ie ii poiirsuiv>'<. liérandoar,'- : i, l.,i .S o.'.lolire 1|1|
h.Wité
'Iles n.) ro.s,nrlli.,.'Ul pins ,llr..'i'l..nionl il. tier brelon, pur lliiral et Ùnivuiirl : Kuclniiui-, la Mes
'ous
un
fou
violei-t
,1e
luiliaillcosi'
siippresslon dus marques Ile respect aux ui
a ostaliolo
puis l.'s inosnros de (b-'oonlrullsalion
poslier breton, pur Creacli-MnlchUsi ot l'iiaiin ; inonioi's mililulres.
la tiancbée pour allor r.'Iever on apurai li',':i
Kiiol,- ,K' •M' f;i.,.iL-sd..K rri^.
par lo K..n.'ral (b.lll.'.nl.
l.ifiti;. postier brelon, par l'iniMre et lléiiia • ,A vi'ul dire, cela nous loucbo bien peu dorciiu- griiivement bless devant no» ligne
i-ert,..
1.0 inlnloliv do
; no ponv.
-otuiie a Daoïiliis
l.miiiTfiir, poslier breton, pur .liiiiiio et une in vaut, la plu|)urt des uillitanls socialistes ayant
i.c ii.M.,li
line
os doniiindos an.x aniori- meut demi sniitr présentée ; Minerve, postior bre été raunmés, couinio inul, ,i l'urriére 0(1 d'allloiir
i^iu','." I on"'d.'
'' : '7,r..,,!;,';.",'
liti'>>lofl
.t»,.i,(r.
M I,,
l'J!/.
^O If cîl.Jc
I.'H chal'K.'I S do b iir donner la snilo (iii'oll.' ton, purtoHiin/nt uiio Jument de Irait présentée se trouve notre place, comme celle des député
rAuincl.., qnl O.MÏ, I
,i|i " ! i™ ,
Ecrasé .•jous une souche.
Joan
-Mui'i
luporli'iil. Il on l'i'snllail dos eomplloullon
•Jiup», Monl',.||„z Iiok vol"iri .IVlr ilonl.p,
g i i.Mi'iiiiu. - - Çiijibeurcr, liockncy, pur Ouiiy so trouve ù lu i^baiiibro.
Sergent, IS ans. donn.sU.pie à < u'S ar liroa"
li'-):i
Louzou evit an Dreo
•erliiiiv l'I di s pi'i'l.'s d.; lonips qu'il
lui .'.".'.''.I.'!.'
^nnr. .1.'.
nnHiOKii.. •.'nncrn.an
^
ipi
n...
u, '•''!.".'.'/'!»".•
>.m wjiwn; (•'«.in'oHi',
uviieoiir, postior brotou
A propos, l'ai-je remercié de tes voles en luveu élult purll déruciner uno souche -nr un lalu>
porlc il'.'Vlloo unssi bien aii,x IIKI'I
"
«w. 1,1' hinncl dii Sl-C.olliai'.l ..,1 r. l'in.i
(l'Iciilloiii'S
mr««/„s 0/ IleiliiesH et /.urd Hainlu ; Jeil, los de la loi Diilble-i '/
i.'oiunic 11 tur.luit ii l'entn.'r, on ail , I'. re .-lier
iiaii.x n.liiilnisiralions civiles ol m
nudiiHiiiiiil an romineroc l)',i'|.i.
.'Vn Dreo, ar c'lileiived-/.e liag a giisti/. Ivement ar vi;-,'a!.\ a d e 2 1 h e c t a r e s
mllllaii'cs, lor brelon, uur llelton Mail ol l.unt naïulir. JaMais comniont us tu pu luisser cot imbécile do clior, et on le trouva écrasé sous J souche.
Il n doii.i iiai'ii u.'oosMilr,. d.' l'i.'nKuiun.
•<jni' lu llMIîMIon d'uni' (I.W'liii'ailun dn »„„,.
l.ia. lien n-iiev(,>z a zo. .liez kenan .Ja Ijarea. An -\o!iiiii .\IOl'i.'iiKuiKnor «rte», iiostior brolon, pur .tiiriuo ot j/arol : UrI/on postr la quesUon de savoir si le t'ouverl'Ioniodicru
luondo iiKilcIo Kiii- los foruiaHI(.s
l.aiiuuiufi-, p
nostler brelon,
ut uniî, neineut et le huut .•oniitiandeuient oui pris toule»
fll';i;L, euz l.anderiii', Kliianlel; braz w.ir an aoi'.a bnizeier, d." îd.' ei. c o«iiK
u p ed s d e t a i l t ï s
'•' roTull ' Aniii/iiirtic,
• • par Siini-I'ciir
. . .
ige, au o.i.ti
'S aux doiiiandos do
l,o In Jument duiul
uiu santr,' KmUauiil, postier bretou les inesnriis requises pour mettre lin à bref délai
Fourrage incendié, — Un incenile a . on
„ . lien deu'/. iievez liavcl enl louzon liai; a Ijai'c ar c lilenv.j.l diiimn!ui;e .!«
b oun l'I-dossoiis diuino. sons iiiio forum fa pur t'm
du
eii
1.1
f Hi'f,s(
Slar
«t
Jacuk
;
lloëiln-,
trait
breton
sumé,
an
vllluge
de
Kermoal,
uno
moule
.1,;
ilan
Cl/,
derv,'/.
l-;n
dcrv.'Z
Uenta
.lio'lilu
ar
lia/
a
v.
/,
lorrct
enl Si
»
iiorro
ù
la
'ilo h Mlsli', los liidlonlloiis iilllos à ool cf par r^siitet Jacob; Matelot, trult breton, pur
r i I o p i l i t j - C a i i i l ixit.
be iicrz.
,M'cst avis que tu devrais fermer le bec à c paille vulunt uu millier .lo francs.
' dt Indlqno les unloi'II.W olvllos ol inill I hog ol Cupural- i , I r a i t , "pur floj/'ôl'f/àooi'i,/
uj'Md r N i Ii'iill li'i.n,pli.,<.
•
•
visilo-,', A
^'riilicisi.r
fio
tjvverzot e vez ciioll apolikere/.on.
bavard.
Saiii<-Séf>al
iiro.s iiii.xqnol|»s oll.'s dolvonl ^'ire adi
:•!. Le I l i u t , gi
i ' r i z : i /i r f :il
llfUc ..npoi'.! PuffHli',.
n i i l k i i i w KII,' ..»!
par
Ilooreusomeut
qu'ii
lu
«.'sincedu
10
il
a
raeliet,,
r,'nsoi;.„v,(.cii(s,
Incendie.
—
l'ii
Incendie
a
détriiil
au
I
on,'g.
Ouz ar priz-ze e niaiidat-po.ste
al louzou a vo ;,a«
«•JilciniiH.nl pliirt c i n p l o N o
I nV
1 n, , ^ '
.Siroiti
ot/(lit;/J^/oriH/i
liook sa hiHIso. on demniidunt uii KOuveriiemont s'il
—. W.
.ifwfiiu. ;, Siiiiit-Oonutu,
o(ll,.l-t/o,l(lis, nooKM- <i'-,, t)c.sei'l. iioloiie il
un hangar couvert en •:haiiuic, et dcpi-mlant ,l'e d'cou'h belek lio ti.
3!.;:LI
fl lioiii' .J,.'s KrancolAliHla s .Ni, ?.. i r .
Homme» en «ervioe dans )R aone de
[loy, par.s/oio
et/(«/loin ; Aria, posllor croit avoir siiinsamuiout fail en ueceptunl coiiimo lu
Daoïila^.
ferme
oxplolt.'o
pur
lu
fumilie
l.e
l'ono.
I.,.s
r i n t é r l e u r ou danH icn (lénotii
bro on, pur Hemi/e cl ttenow ; liitec. postier ministres les trois ou quulre inllltanis quo le perles sont ('vuluécs ii -l.'iO francs.
d e l à Hone dea A m < o s
brotou, pur l i/iiim ot J/aril 'limes ; Jinvur, pos- prolétariat lui nKénérousementiii'étés. Sans quoi,
v n B f - l U u n i o n non . (>(ni.|ii',.|. l'i \ ' , i i . , i „ .
1
• T i ' o u i e i i r . Ii.ii...
Parmlaalona agrlcola» IndIvIdualU
tier brotou, nur Cui(rageii.c ot llarU Limes ; vols tu, Je m'upprétuls ii lui envoyer uii .suvon
de .Niam, J3i'tol
i f " ' " ' l ' n ! " ' « " "li.'.s
' V . i.Vu
n ; h'v
'i
adr..sKOr iiiix cliofs lil('i'arclili|ni's saisis ill- mr, poslier brolon, pur l.oril Dadt ol Deniiiarli (lui aurait senti autromen'. quo ceux dont Le
pjj'si... Ilullcnni.. fIion.\,(..iin'inils
Incendie. • Mme Jiiouon, do .Malmiroiic. amii
•«ol.ui.'Ul pur
inloi'..ss.is,
|.,'s daman \ iguiiroux;C.orHi,,ml, postier brotou, par.lna 'rréliuldlo s'occupait Dngu6re.
Cmiliiuiiiiioii
A-l on ou oHet Idée de pareilles questions dan., jllumé du feu pour préparer le souper, .-I fiait
di's do p.i'iiilsul.m doivent .'li'o u.'.'.uiipi et/"(U/isn,! ,'Aaniiii, posllor brelon, iior lier
M e ol unoJutuoiU deml-sung-; Aenii,tri\ pos no» milieux .Mettre lin (i, bref délai & luKuerro I sorlle ensuite, l'eu apri's elle enl.'iidit crier ..
Klioos I 1' 111 oorlllloal dn inuiro do la oon l'tlul'
(le
l
u
Vt'iKc \()loii(itFVc
brotou,
pur
Doiiarneiiez
cl
l'arlisan
;
ku
i;o désir se comprend de lu part de» paysans enfunts, en mémo temps qu'elle s'apercevull .pie
niniio (I.) rinlérossi''. (l'csl M.IIH SU rosi,on- nm, postier brolun, imt Deroyim ot loe/.
cil,'z .M M. Vadlai. an bo.iu;
iKunrcs. Mais uous les conscients, bleu 11 l'obrl la maison était en fou.
,abllli.'. (|no lo maire corlllle (pi., le lulllli '
de
l
'
i
u
H
(
lit'>.
l.e pins petit des enfants, qui éluit duns son
. T J / H I ^ ' r J i " ' " ' " ' ' ' - il.<""l "iiiff norniiind, pur hors d altelute mi^mo des bombes des zeppelins
O i i i i n i U ' h t ' VO r«'-vr..>.»-, ù
'l'oiiles les iiiaLidics doiil soufi'r.' la f.'iiii.ie. pi o.ènuo,
«
»'
Uéridu, postier
breton nous avons iutérôt ii voir' la Kueiire durer .les berceau,et n'avait pu suivre les aiitr,.s. fol sauvé ;
viiuiiiciit de l a i i i a i i V i i i . s e c i r c i i l a l i o i i du s i i i i ' ^ ' . ( ^ ' i i i i i i i l
"" '
' ' ,'',!/<'» i
l'osl 1er breton, par anqéoa encore. .Nos salaires ont presque doublé. c'est tout ce .pie l'on eut le temps d.; r.'tirer
midi. .M' 'l'rûmoin'. vi-inlr- '
" • • " W : i'.ÀII.anu. ' m I o n , n o , '
H le ooiiiplc d'unlrni'.
.îanj.: circule bii'ii. tout Vii Mi-n : |,'S iicris. r . - s l o Oiisuppose qu'une étincelle, échappée du foycr^
Tou.s lehiiieiilile ••llleill-.li.plK,
CfUlpai igrloola» at homma» lioK» réoU'
PosHof^''»' Kt puis, plus la iruerro soru lung;u.}, plus il y
mac.
le
ca'iir.
les
n.ins.
la
I0:<'.
n'ctnnl
|i(iii,l
ciiiisera
toinliéo
sur
le
lit
tout
proche,
et
y
aura
mis
11
nous
beaii\ liIs, lltehc, linge. i.;lilaura
do»
cléricaux
de
descendus,
ot
plus
n i nili.',
co ffn'csl' . ..v.'iiii ||. l'oviinin.. lui» |iar la» «grtoultaur». - S'uilros" o (1 k }," •''"'I
i/u/ iii, po.stlerbro
ge.slioiiiiés,
110
loiil
jioiiil
.soùlTi'ii'.
l'ouiiiiainlei.ir
ces ; iictériel de debit ot .1.;
(WKl-i'..,nl<|iio dil. pMnoo do^ \ 'IH
onniiiiission iff(.«rlomeulalo
n
"
'I" ' « I ' P''^sen sera (ucllo pur couséquont d'avoir la ninjorif le feu.
. . . .1
... lu un,In"
lll
.'l'Ile lionne biiniioiiic dan.,-tout rdrciinlsiiie il . ' s t
Les époux .laoïien, qui no sout pus assurés
dilns les éleetlons à venir.
rtloll f. i'..iMiinni.n;M.i' sur do 1 nvoi 1.» d'fnivrn
bonclieiie, cliair •Ile, paill.;.
' " " " i ltéo.
ô •••, siiiKounl
n;»... h
.. lu
i.> pi'l'fOCllIIT.
iii'ccssaire de faii'e usa;;c ii iiitcrv.'llc.s j-.'giilli>i,,
iprouvent uno perte de 7;i0 francs.
Tiiclio do faire comprendro cela ii llrizon.
I.'Iliill.. H'crt 'Hin,., insli. ,'... À"v lo iV
foin, ii.iiiiei', r.ii •Lies aiiiid un remède qui iijrisse lï la l'oie; sur le Huiiir, IVsKt si tu trouves lo moyoïi do faire crier quel
- l't en terre rl i|iiai)!:ii-si
f <»iiii<.. cl les nerfs, cl .'-^eule
m.VLV,'*"*'"''. '«"•«•"n». réparateur» da
ques nouveaux sous secriUarials d'Ktut. accept
d'au;ie< obtels.
B O i T H A U X
L K T T H E S
V u 131 i> i : i t
ajaclilna» «Hrloela». Froiaaalon» dlvaraaa
lo premier poste et résorvo-mol lo second.
:• 0|ù eu nu.
l'^drloultura
"
le t r a i n . — .M. Jean-l'iorr,. I .0 Pouce,
volllo au grain ii propos dol lmpOt 1Sous
Sa, r»M»,;r h Mikpeolenr dos .sursis do la
Nous ho savons si voli'o inf'i'o osl en droit -Jr.Roulement,
uns, employé do chemin de fer ii Saint-Ka««•liloii (ifti's. Kn toils cas nous louons ,V . éKloii (.1 o.xeroo lo i.rofosslonncl. (An cliof
les
protHoiirs
do
la
Rîuerre.
Il
ne
faut
pas
CABINET DENTAIRE
do i'..ccYUI|. aulro cliosc. Kilo poiil, on toiil qu'il nous frappo, ce nesernlt pusde jeu. Hou pou ...lire, était venu eu congé ii llouarnon,IZ, (IVCC Sil
llm do la
•
li.'iit r e n i j i l l r ces c o n d i l l o n s . p a r c e .qu'elle est coine- '. W (.<«, r.,;- •/','««. .vc
«MljAll'C l'.ixl.in on dolioi'»'!" IIIIIIS. l'oiii- lo
In li\l«. do ohuquo urrondlssoiuunl osl eus dl'inaiidcr un déjiOl du réslmont de son les bourgeois el les Kalonués ; mais pour nous, petite lllle, ligéo do -l uns. Pour re iuilrc .son
poste,
il
élult
rentré
par
lo
train
ii
i.iiiimjicr
p
u
s
é
e
d
e
p
l
a
n
l
.
'
s
.
sans
au,-nu
j
,
o
i
s
o
n
n
i
p
i
(ci.ii. de la l'U" de iSi.iiii)
i.luil,
««j»..iili'oi. noim niions fi v„i,,na
plai'i» 111 Inspocleui. KOIH'I'UI dos sursis.)
les prolétaires, c'est asso?, quo nous prétlon.s nos
c l i i m K | u c s , Jiarcc <iii'clle p n i ili.^ le siii
11 s'était endormi duns son compartiovcnl ;
allitla
.1..ÏI-J-1'
vollurlari-toreitlar»
bouiUK^s,. et que nous noua prétious nous-mêmes et .'\luis
c i r c n l i i l i o i i et i l c e o n g o s l i i i i i n e le» o r g a n e s .
Doclwii' J. M . U I J J l j
lorsqu'il s'évoillu, Il s'api^r^'ut que le ii'.iin le
V ^ «orall .'vl,l,.inmorll p
|'|i„||(. „ „
quand uno bonne oecaslonise prù.si..nte.
' i ^ î " " " " ' " ' ' «o"»"»'» <l« bol», Ole, - - ^'u..
Les méri.'s de fainilb' l'ont pn-iiilrc la . l o u i f i i
I.:a va bloii, d'ailleurs, .'a vu ii luervoillc. .la- rcconduisiill fi Douarneuei!. il coinuill alors l'im
. I t e
A j U r l c I i l o n s l u t i i i r o / I™ di'Osscr an uonsi'i'N''nlniu' des oaiix cl foi'/>l*
dil'ai)!»'
SoiM'.v
il
leurs
Jillellc.s
pour
Ic-.r
lie Ih /-J, ,//(,.
ftUmais Jo n'ai si bien coiunris le refus des rcpré- prudonco de vouloir sauter sur la vole. Il toinba
r r l f s l o . d u T.nvoon 0 do V a l o n a
r\di'laii.
rcr nne bonne foriiiatiou.
Ex-che! du «e.-c.iv ,li'„l;u,c
t'i'l"
"'"V"""
tontanls du parti do voter les crédits pour les
.'0 lapporall presque ,'nllJimi on (. 1'
L(.s dames en prciinciil pour .'vili'i' les lijigr
V
. ni.i,„(.,l ,
armemonts. .SI l'on avait laissé faire les putrio8ur»l» ! ilalon'nlara. • - s'udrosHO|.
rin
périodii|ue.s, s'assurer des .'poques icgnli. imI'i'î
./•"l'ondalil ..ntiuiio' m p»i(.|oiU' dos sursis do la i'|i„|„|| oi'j o,xoi'cn lo
tards, la France aurait été prête; ii l'heure du
KKtrnetioiiK
sans douleur.
«ll'iilH oi'aljtnonl lo p,t|.l| profossioimol (m, dioMion ilo la nW) 1 m
dankor, elle aurait disposéide tous les canons né:>in>ie< («ose «le .IctiderH
Les iiiiilade.s .|ui .soiilfi. ni-.le ma^ i i a n l i | . i i . (ini^R ,î,'.|enr ninr ... Ils 110 oo 111 ' I lu ro , Ponvoni sniils uldonli. dos su'sis l"
cessulres «t d'abondantes munitions ; ot nous, les
o.\
t',\i!i,i:
i;i!i;roN
Ifuli.'S inléli,'lires, siiiles de ccuftj»). Kn.''l'o liiulns lu pi^MI Kr.'o, -rniil lo 1
cumuriides, nous aurions di1 rejoln.lre le fronlot
d,M,.nicni'M d'Olii 01 s .. aiiprcni
tJANB I,A .MAISON
.'lies, pel les bliiDi'lies. m.'li'i!..
i * «"Il qun ION l'apporls onln
li."nos 1 ."S i.lniuilors
y rester, pour la bonne nalson quo nous n'auï
"il""';""'"
' ' " ' l i n l P l » l ' i l un
«IW-I foiil pli.lôl l,fndiiH. Kl lls^ 'olnnioi
ln'onics.liéii,orra..;ies.luiii.'urs ti'onCHUTES
da MA
TRSCE^
rions rion ou il falro ù l'aiiridro.
ÎK"n*^' r-^"'"!'!,"llnnHi pliil.^l do pouvoir .''Oi'
veroiit l;i giii''risi,h en eiiipl(,\ 11,1 In
Bravo, (ioiido, pour la clairvoyance.
.luiiv<>iifv
de l alilx'- S o u r i
Kt & toi, & la via.
|
REINS
FLOTTANTS
ÊUnérmlrB
paut>
toie
c.'lles i|ui cr.iiglieiit les ac.n.leiit
wili
S.'i''"!!'''!.''"''
r
PPlnl
«lll «•l'toiird'iief^ doiv. nl f,aire un.'
eomiiierett. NiliiiV ;..i lio ii'tî
ciii'i'avec la i l i t i i t e i i c c de I alih<^
P«rnl»»leB» agrIooUi «t t u r t l » , - Kn prlnii
T i i
"»i
' " ^ ' " • « ' ' l o . ocH .loni'H<ie l'lo..daJiii<--»'.e.-«ti.i)laceau
BRi:ST
Jvag il zi«!Ziimancliou, nag a boaniou, iiag:
n?*®'? îf.*
PlonoMU'io; Uuen
Exijer
et
rî.trjit
îSour.v
pour
aider
t.sang
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V l ' " ' I " " >•<"''"FIIICOR,^fl on olpo nuoiiiin permission agrloold ni n iiVnnUoL
1
nié.
'
•
bien
U n enf«nt tombe du t r a i n . - - Mme Jour- a faniillou lultoat bonuiez e kaoïi dro berz
Uouarnono» î Pouldavld
lui'sis no ponvoiii oiro aoconlOs V
i ni
i i" 7.; " I " ' » '
lilaeer. et éviter les maladies les plus daiigi rcus
.•^'adresser & .Mlle IVovos-.
l'"lkftjii'<. M o n tluK q u e s t i o n s ^ „ ' . „ „ „ ; • .•.v..i..in 11 ...1 iiiiii-i —'1 Iri^boiilj La,luoli, -- r, l'oullan ; Beuiee don, demourant it Cllchy, Qri'lvoltftBrostdlman- — Itlouvcd au DI«kcun-Boii7.elU>u.
lie.
H
l'loudaliiié/..Mn,
LaJOt'VE.VCK
de
l'Alibt'S(»u|.y
se
trouve
dau8
?„ii
""
T,'
îilMnl'Klon.- 10, l'oi Ci'ilx Au cliopur l'oxpress du matins pour passer quelques
I . i i l i u u i - c r i e u ilouar, c'iioiil liag a zo.
toute.s les l'iiarniacii's, :i fr. 7.'( I.! fla,>oii 1 Ir. :iii
m l «l 'ïii,.'^.'
""
I11«- :
''Iwlilneo; KsquIbbiM.-- / î tlou Joui'» auprès du sou mari, niutolot ii ta préfecturo dre lio labourlou.-tcnn, o lirasocTi risltl
franco. L.Î.S ;) na.'Ous 11 fr. a.( friiiico giire, contre
liDpliSîe'i"CooffSr
niaritlnio.
rni.iïL.î!'®
'"'",llf"î"<'''
Uulis
lu
*onu
diMcn;CJildcn'(;ap..si«un,.-/.I
l'ioeoltiPrlino
lii
«gcd n'ou'/, for.s ploii da gaoïit an iiilirmltei-Ji^mlr"
I t ""'""L'I'wwi.t'ds;ond'fl
mandat-poste adressé Pliarmacic .Uaif. Itiiiiioiii , r le (lll ( h/Ue«ii. Iticu»
""-"l"!»!»"'"" <Jii -H.ronlderffBti Honéis et l i o u r i L n -^
KUo était accompagné da son'petit gardon, i'.gé zo ; o'Iioui liiiiî o pcuz po dlMbcnii lum<li'!<''hnw fiayn, n'osl c* i i Sffi o.'l (dlof
t l c r , il Itouen.
do
II
ans.
y.ellnii po cnr c'Iilonvcd ail Ijennat; IniK :i
L.?!'..!"','.'" 'I"" f"'<',l'Ml>I". Iinilll,^ npr.\(. ooln
(NoricK co.\n;X4rir iii;.\si;ioxuMi:xi.s .iiuris )
Au Pjissigo ii nlvcairpriis du Hod.y, la portl.>ro (7fln;rd\-'iïii;u;'ùn';réVi''jiAvizui^
^'M'i".!'!'"".
l'i'H plus lonS
1.U..V. u iUI|UUI J UlllUllb
qucmont, et lo pcllt roula ii terre.
lin dliopoaulou : oo'h lieulia lio L'enteLa iiiére airolée voulut'se préolpltor & sou se- ar
lion, lep en «.m 'zieza, hop cliniieli seurt
'•lilCo d(( In'Kiim'l'O h dvulurt en llallo' f.'n
cours. Kilo.fut retonuo pan l'un (les voyageurs. obed
toare da vcva, o l(jiinoc'li da w(>let
I.A H A t a ' K UU .MAKI.N' KT I H ' MAItNOriA'. b.'îje clieva- Pour prisotmiers de ouerre
On tlru lu sonuelto d'alariuo ; elle ne fonctionna hoc 11lio
M » o ' w i ' î î s '"ta m m " ' * ' ' ' ' '
"l''
intlrnillo a vont kult, liac e toiioe b da liCrc'aluinluluni avec uucre dorée, ladouz, ;)..',0, le coiil
tr
• irait II iwii,
« f l . le «<>>.1.
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A Hrcst, .Mme .lonrden trouva .son mari,, avec ; lîloiz n lizerl
i'i'nuco. 4 (r. :t;:
a deu Iicmdez d'iio druHaro- Pages, fabri(|UO do ljri(|iiels, 10, riio des (l'oncoui ls. Paris
lequel
ello
coumit
le
long
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L'. ^yiL"»'''!'.*"!'?':"'' 'lîJl'' " I " !
Iii'mîi
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I.G l'iaiwt^i-e i>iÛ»reNi|ue
chodo Icur oufiinL
•/.HaU7. /.e. Hak-se, c'houi liag o pcuznoaii,
Le prix de cJia.juo volume
vous» «lu tournât d« .,
bn'i "l'é '
ruinasséicl soigné par lo ganlo clioul ave inad d'oo'li inoiit oll da fiuout
t
«ton»'
f
en
lil>i-i.irie cst de I-; Ir. Pour
dliWt»,
«ll.omlii»,
Mofii»,
ar i i a r e r Hitéuiol IIH(«I, Uonmeulct gant
Ifl «iim'uoiilTlbui) dniis •imuMrtd
«Il
bi'.l..!oii leo
Il portait de» contusions «ux l'Oins et une lé- ar o'Iiuzelcniiou braz evit lie viidobol'ou. A
«ii«rt...i.nii» P»rli n.«lml. «»SkuiiE»TVEtkMl£
b lisi.
^it l'iVouliMnoiil.
à « te
Kùro blessure il 1* léle.l
novo/, o vczo Clin lion louez evit resco, uonaaclaa Cort nfcarUlM.viM.<ti,«m.). à I.»,.
| (9 fnVV^'ico* ' ea /li;>i'iiii!0
(Tn artiUear nojrè. - iluslavc-llorvd L«ur Ked, niOfc'iKsd lia b i i u a l c >
. Aux Btat* Uni!
Hi'cst, 8Ul, 27 c'iiouevror, liOt. Oo'Fruncc.
rout, 48 ans, oi'lghialra des L'Ates-du->\ord, ot
!>f)Muov<>n, lun, '38. liOt, dos Trol»,Plticrs.
ilioorporé au 3* d'artillerie, avait ninulfesbi &
K a H l « l , P a o l , meurs, '20. liOlel .Monei!.
plualour» roprlst» rinteiiUon d'en finir avoo la
U i i i t l I v l N l o , . niuro'lKjr, I lueurs, hôtel
vIo.
Xqtllp*» 3'eutrUr» agrleolii «el.ql.ua, _ P " " ' " , ' - « . J»"!"» Mothlou.
.
.
l.e lOJonvIdr ' l l disparut. Mardi, son cocp» a dujA'Oll.
( pnvmlSs.loii (Wpai'loincnitilo ' do la' innlnT
.
—rlOfllçn Mlinnul
rtialn-d'wiivi'o
amloow
i i Aw l mU m
<té docouvort'uu rade-ubriipar des péoliours,
Poiite-Ki'ORz, laou, •}, liOlel do» Voya«rwiTM
OHHdijlo do'Ja
»|.ig,MU
à Ift p r d f M
tm^
1-II
AT
nw
A
i!.'?f'.''"'i.<'n lliiison Ancien PrincipAl du Collège de Lesneven .Sur lo (ront, on'trouve une mort plu» glorleuie geurs.
Kempei'le, gwonci', 3, liOt. du Commerce.
èt plus cohsolanlo pour loï parent»
l . o k o i i r n a u - l , e o i i , sadorn,.4, liOtol dos
OiiesHont
Voyngonr».
k e m p j p , 8ul, .-i, lioiol du Parc.
• ^ u f W M I f t . - I-O stunior anglais .ts/iiij/i, do
Unan 'ltolikcn, otouca-ar/ ro zo Ulnulgot deoc'l.; - • stang , ,
niUa)'' « '
K«tik-KcHic>, lui), U. liOtcl deJ'rance.
tonne», a 614 jeté par l'ouroMn «uv la
{J®«i™iiBto, niours,,?, hotol Uol-'itanoe.
.grève Moheii»» iteJMMdoim, (» bamiBen ont ilé
8 l r B r i c k , niero'hcr, 8, liOfél 'ite Ftjanijé,
r<çuallll»;U paplteiHe et ui» matelot, aubavatoiit
place ,danii un canot, put i u noyé».. M oorn» «.«p^iramp, sadorn, i l nicurs/ hôtel di)
, E c u o n c pcb apotlkoroz.
ild'OapMalûe aél« reirouvd.
la Situation DiplflmaiiijM
Ceux à (|ni coHvicjinpDi
les Bons de lu IJclciisc .\aii(inale
M t l î Breloie
de Gréilit et de Ë 0
Bureau dasOi)niaines de Brest
VENTE MOBILIÈRE
(le
CIDRE
II. Un très beau Mobilier
J.-B.
ORBOUÏ
(h) (loniiiiidc 1;:
llïif I Moeflieoti!
V ê t e m e n t s Confectionnés et s u r M e s u r e
p o u r H o m m e s , Jeunes Gens et E n f a n t s
ON DIT..
Goun^œOTLUciiE
ÂDJUDÎCÂTÎON L ,
lies H a l a i l M la Fsniisej
La J Q U m S
r
HWikÏ
".'.'"r'"''?'
d e l'abbé
SODSÏ
HERNRES
i A LO«ERiiriS::;':iiî
DÉPLACEMENT DES ORQAMES
a
CARTES P0STAL1BS
DOUBLES
felïisbs*
LOUZOU ar
PAZ
D e i a t y M O M B l t doctenr q i o l i k e r
8 I R 0 P CELTIQUE
EO i
37' Aim5c. — N» 1.883.
Snmedî. 2fi F<5vriôr 1916.
PARAISSANT LE SAMEDI.
JOURNAL FRANÇAIS-BRETON
ABONNEMENTS
z
PlnUtère, CAtei-du-Nurd, Morbihan, ( a n an)
8 tr.
Autres Département
—
4Ir.
C o l o n i e ! et Etranger
—
B
Chanpimtnl d'adraua 0 I r . 8 0 avec la dêmtèr* banda
Les abonnementa partent
du 1" de chaque m o l i et ae payent d avança
On comprend
aisément que pour ces
(laillards dire la oeritd consiste ù présenter
' la situation de l'Allemaf/ne comme très salis/ttisante, et celle des puissances adcerses
comme très critique.
Us daignent, s'il vous plait, s'occuper de
notre politique intérieure, et pour lancer ù
M, Caillaum une tuile que nous ne lui envierons pas. Oyei ptutàt :
« I l nxUtc i\u Hôiint, <laii.s l'oiUourttgo do
MM. OoiiiliOH et tilénifiicoiui, iiii« ccitulno
S t n r t 00 h o r o'iialoii «mn lior c'hrelx
tmiiiaiioo oïl «oniuiiltoNlffluitoiit l'iilUioiiro
U n sturtoc'h ar Gronr, oiiii hor rolz !..
ilos iiioinlircfi du Comltii do la vue do Va Ois
rcsttm lldAlcB « M. Unllliiux. On PSI uiuuilim;
ù rcooiumiti'o la Ki'ttiido lialjlloléquu colul-<l
ilûmonli'a lor» dus nOgoolnliuii» uvço 1 Alluiiin,«no iTlallvcs ft Afradli'. I.'ldi'n d uiio r o r iréo pi'OPhalHP dp cpt liommp d'Utnt mil' 11
soéiio polillque tiouvc ilouc hcaiicoup ilo
partisans. »
CEOUISBPASSG
Il parait
qut le Ootioernowcni
rst cldeariiK' /inr f armée.
Ce n'rnt pas Uti qui le (Ut: poutHrfl
ne
On nt il pas aperçu f lleureusmenl
que
rhK prolecieiir»
(ft «tdvoiti'ti roUleni
pow
lui ; cl, romlredi ù la V/iambre. ils l' c in •
eilaiont à foire respecter l'erorcice ilc son
droit (te ooDtrdle sur toutes loi loroea
nationale* mobilisées, u
Apràs tout, M, CatUaux
pas vold ce compliment.
n'a
peut-être
Arabad zokon konta re var ar l)ansion.
Da genta, ar batisiou-ze n'oz eo d'ar
vinot'ediieniedpan'cjoumninmmebed.
Pa joura ur vamni, d'ozhi eo ez oo ar
bnnsion. Ha ma 'z eo an darn vuia enz
ar niammou mammou fur, hinietmou a
welei'ha n'ez int ket nemeur. Ile ail
c'iioaz a o'hoU dont da zimozl enn dro ;
lia neuzo, aliez, ar minorlk, ar vinorozik a vezo var lient lio lesvreudeur, e
tiho mamm îoken.
Hogen, dever ar vro a zo kaoutsonj
eiiz ar re o devezo roel ho buez evit he
difenn, diouall otiz an Jiouez ho bugaligou evel ho gragez.
Ha pelra obçr ovil k(înient-«c ? Selu
ar poz u vezo gwelet er Sénat cnii
amzor-ma.
»* *
Un lillois sauva e o o soldats et
Arc'haiil a vezo red er c'iicnfa pciin,
meurt héroïquement.
aniit 00,
Le ta janoier
1910 a été siqné par le
Da biou a vezo roetv D'ar rc «n em
général commandant en cher, la
citation
gnrgo euz an emzivaded, evel jii«t.
suivante à l'ordre de l'urmée:
Uwella plas ar vugaligou-tnan a vezo
Jacnuol (Clamlll0-i;uBi''"0), Pommoi'çunI a
Mllp, PoiidnnuiiJ A la polnr caiillalp par IPK peiirlioiia II ho mamni, pa vjszo cUoiiAllinniindH et oxOciilo à la clladrlle do I.lllo, met gant-ho ho niamin, ha pa vezo-hi
U)
«opteuilu'c lOlri, pour avoir l'ijtrolomi,
caphC, donné aldp et atsislani'c a dos nilll- fur. lia dever ar vamm a zo ivez en cm
liili'c.H (rnnvftis et an(;laln cl avoir favorisé garga euz he bugaligou, ho zevel, ho
lent' (ivasloii : ««t mort on liproH, lo» niuliiK desUi hagho c'hclenn liervcz ar gwella.
llln'C'H. sanH liaiideaii, en criant :
V i V H l-A l ' I l A N O U '
l'a vezo niaro ar vanim, unun bennag
VIVI1 LA n U l ' I l I l M O I I l ' : !
euz ar gurent iiesa eo u dlevfe kemer
Cel héroïque habitant de I.ille, ville où ar vugaligou ; ha kavot a vezo emiil était venu, originaire de Compiegne, se chaii.s unaii beutiak da roi digor d'ezho,
fixer il y a dix ans avec sa femme et ses 0 veza nia vezo eur guehennadik arcinq enfants, était resté à f.ille lors de l'ar- c'haiil da gaout.
rivée des Allemands, Courtier en vins, il
An nebeiidig ha n'o devezo den ebed
était Ires actif et très répandu.
De nombreux soldais, français
et an- d'iio c'iienier evelato a gavo goudor
filais, surpris par l'arrivée
de l'ennemi, eua liez savel evit keinent .se.
étaient demeurés dans I.ille, Il leur avait
Mes ar c'.'houîiriianianl n'ema ket ar
trouvé des cachettes, powvoiiaH
adroite- o'hiz gaut-liun da ziskregi ouz he arment à leur subsistance, et il était
arrivé c'hant hep gouzout du l)e leac'h ez aio ;
à en faire évader plusieurs centaines, jus- lia ii'e vc ket mad ato ken nebend. Hequ'au jour ou ri.n misérable déserteur,
arteg aze eta, netra da lavarout.
tilleur indigne de son arme et de son paijs,
(Jwasa 'zo, aweohou ar c'houarnavint traHreusement lui demander de le cacher et de l'aider ù s'enfuir pour r.y'oindrn manl a d^»»! da aiikounac'haat e sav lie
l'armée française. M. .iacquet, ne soupi,on- aiT.'hantdîvargou.st an oll, hag o tle
nant pas qu'il pût entrer dans une àme drc ze roi skor gaiil-lian d'an oll, hep
tant de scélératesse, lui donna des effets selloulpetra a zonjoni divar-benn ar
civils, prépara l'évasion, et le conduisit
à
clijiou pc ar politlk. Divar-benn ar
l'endroit ou il devait se trouver en terri- skoliou ha n'o ve ken, o tlevfe beza
toire arir. Mais lu. des soldats
prussiens
iiwalc'li evlt-han gouzout ez intrenet
apostéa par lo traitre s'emparèrent
de M,
Jacquet et le ramenèrent à Lille, Iljut pen- gant mi.slri ha mostrezed din,c gwiionez euz ho c'hofridi; da c'houde lidant trois mois incarcéré à la citadelle. Il
ne s'attendait pas toutefois ci Mre
fusillé, berté d'ar gernnldagiis hobugule d'ar
hjrsqn'un malin on vint lui dire qu'il
al. scurt Kkol a blijfo ar gwella d'ezho,
l'.i'i Hre passé par les ai'mes. Il eut alors hag aro'liant iir c'houarnainant iucelte parole sublime : f. t.e sacrifice de ma galct elre an oll skoliou horvez an nivie raui bien fa vie des
cents soldats ver ouz ho btigule.
quei'oi fini évader. Je.^tiiirai mourir. >•
N'e ket evel-.sn eo a c'hoarvez, evel
M, .'ac/uel ést mort vaillamment,
comme ma ouezit. Ar c'houariiumant n'o ro
n
u
n
&
4 — Bue
da
I M P R I M E R I E
Château
Kiisiimé iMpiiraliiins
nm
dit^H
m
siessssr^
m i m m à - t ^ M
wiaM
11
uno contre-attaque nous permet de repren-
E l i m AR BBEZEL
*
'i
•Maisil voudrait serattraper r4urlat_ _ _
gwenneg ebed d'ar skoliou kristen ;
dre la majeure partie du BOIS DES CAURES, c-conomique, faire entrer la IJelgique dans l »
F R O U T
m U t J M S
situé
dans
le
saiMant
occupé
hier
par
Pen/.olhvrein
(union douanière) qu'il projette,
tud a zo ha n'eo ket eaz d'ezho zoken
nemf, au nord de Besumont. Une forte atta- «t s assurer ainsi, pour le ritablibsement d »
kas ho biigale d'ar .skoliou kristen gant En Belgique
que allemande, dirigée sur HERBEBOIS, est son coinniercr ruiné, le concours d'un facarrêtée net par no» tir» de barrage. (Au toril- de prt-rniére iriiporlance. A cette nouaoun ouz ho mi.slri hueloc'li e karg.
dire de» prisonnier», certaines unités alleta 17 fi'vrior. tirs de destruction ds nos mandes ont été oomplètement détruites au velle pi-ctention, le.s Alliés ont répondu en
Uak, beteg enn hon departamant ez euz
parl.rrit nel et ferme.
batteries sur les organUations allemsndef
l'orrr des raisons de droit international n
bot klovet deputeed o lavarout : « Ar vu- vers STEEKSTR/IETE ot en face de BOE- cour» de ces actions.)
Le 2:!. l'c'.taque allemande se dessine, ainsi a seinldé dinicile à beaucoup d'iiomma»
gale a zo d'ar Itepublik araok beza 8IN0HE. Sur ce dernier point, notre bom- qu'il
(1
ht.-jtque
la n.-lgiquc-neutre puisse adhérer
avait
été
prévu,
comme
tme
action
très
bardement reprend le
d'ho c'herent. »
importante, préparéo avec des moyens puis- olliclellemeirt an pattede Londre.s. Ce serait,
Le 20, après un violent bombardement de sants. La bataille continue avoc une inten- pensaient-ils, fairi» un acte contraire à ta
Daoust ha lavaret e vezo kemenl ail nos positions, les Allemands tentent de sité croissi^te, et est énergiquement soute- neutralité. On porrt se demander bl la détrancbU- le canal de rYscp à STEENSTRAE- nue par nos troupes, qui font subir à l'en- claration (le Saiate-Adrchso, faîteau barou
divar-lienn emzivaded ar brezel <'
TE (13 kilomètres sud do Bijtmude, 7 kiloHeyens et acceptée par lui, n'a pas été un
des perles extrêmement élevées.
Arabad a vije. Arabad e vije astenn mètres nord d'ïprss). Quelques grsupei en- nemi
Le bombardement ininterrompu d'obus do moyen très élégant de tourner la dilHculté.
Ivii iouH cas un pareil acte montre bien
muioo'li or reolenn heuliet divar-benn nemis peuvent parvenir jusqu'ï notre tran- gros calibres, auquel notre artillerie répond
chée de première ligne, d'où Us sont chas- avec uue égale violence, s'étend sur un front quelle coniiaiico piolonde les cinq gouverar viigaligoii dilezet ha kaset d'an hos- sés aussitôt.
do près de 40 kilomètres, depuis MALAN- rieinerits dc la Fr ance, de l'Angleterre, d®
de r i t a l i e et du Japon, ont dana
pital. Ar re-ze n'o deuz ken skol da
Le 2.1. un tir de démolUion de notre artil- COU^HT (iO kilomètres ouest do la Meus.i). laa HUSMO,
victoire Hnale. I l s jugent que nonfi
U région en face d'ETAIN (20 kU.
c'iieilal nemed skol ar gonimun ; hag lerie ouvre plusieurs brècbes dans les tran- jusqu'à
sommes sftr-.s de i'cinnorter sur no» adverà
resl
du
même
fleuve.
—
Le»
action»
d'inchées allemandes, en iace de 6TEEN8ar l'auiillou a gemer anezho a die zoken TRAETE.
fanterie allemande à très gros effectif», «aires. Car s'ils ne fetalent pas,, ladéclaraoompronant de» troupes do sept corps d'ar- t -Il de Sainte-Adi-esse ne serait qu'une
kas ho bugale ho-unan d'ar memes En Artois
vaine et inutile rodomontade.
mée différent», se succèdent au cours de la
sicol evel-d-ho : difenn d'ho lakaat er
journée, entre BRABANT-SUR-MEUSE et
II. - A u x Etats-Unis
Aux abords de U route d'Arras .« .Lille, ORNES (village» distant» de 12 kilomètre»
skol gristen.
On <111 que l'Allemasne aurait refardé d'un
Vennemi lait «xpleser, le 17 février, une »oulement i vol d'oi»eau).
Au débouché du village de HAUMONT, moi.s l'exécution des raeriaccs contenues
Raviroar c'houarnamant n'e vezo mius dont nous occupons l'entonnoir. — Lo
il fait sauter une autre mine au nord do l'ennemi n'a pu, malgré ses effort», nous dan» le mémorandum, quenou.s avona anagreetgaou ouz au emzivaded ; ra lakaio ',!1.
déloger
de no» positions. — Dan» le BOIS lysé la semaine dei niéro, relatif i la guerre
cette route. Par une contre-attaque imméI l semble qu'aux lîtats-Unta
evez ma vezint savet deread: awalc'h diate nous le chassons de Pentannoir, dont DES CAURES, dont nous tenons la plus sons-marine.
grande
partie,
no» contre-attaque» ont en- cette qiieslion ot celle de la l.usxiania soient
nous tenons un dss cités.
elle beza evil-han.
rayé les oftcnsivos ennemies. — A l'est do désormais considérées comme connexes.
nord-ouest de la COTE WO (environ ce bois, les Allemands ont pu pénétrer dans Mai.s les i-enseigncnrenls précis manquent
Var an dachenn n'e c'houlenner ket 2 Au
kilomètres sud-est de Bouchez), nous fai- le BOIS DE WAVRILLE & la suite d'une (onioiirs el plus que jamais les contradicdigant ar zoudarded pelra a zonjont sons exploser, le JB. une mine sous «ne série d'attoques sanglantes. — Au nord d'Or- tions abondeiil dans les dcpcclic.s que puallemande, qui subU de graves dé- nes. les assauts de rennemi sur notre ligne lilient le.> jinirnanx. N'ous ne potivon.-i donc
divar-benn an dra-man hag an dra- tranchée
lit». Une autre de nos mines produit, entre d« l'HERBEBOlS ont été arrêtées par nus
•nreeistri'r que des bruits, en les donnant
comme tels.
hont ; oll ho c'haser d'an tan, ha n'e les deux tranchées» un vaate entonnoir, dont contre-attaques.
nous ocoupona la lèvre sud. Une tentative
i^c.s |.;tai» llni8 exigeiaient que l'AllePas d'aotion d'infanterie pour encore sur
ket ar galoliked eo en em ziskouez al allemande pour nous en chasser est arrêtée
la rive gauche de la .M<nt<^e. ni entre Ornes niaïne et l'Auti iclie déclarent onicielteiucBt
net par noire fou. — Le lendemain, nous et Fromczey.
luoska enn ho dever.
ipic les assurances déjà données, sur la
faisons exploser, près du même endroit,
Par ailleurs, le 22. au nord-oue»t de FRO- .sécurité des neutres non combattants s u r
Nag cuzuz a ve neiize dont (la lava- une autre mine «sus un saillant allemand,
MEZEY (15 kilomètres nord-est de Verdun), iircr, ne .ser-ont pas altérées. I,e» bâtiments
qui
ost
bouleversé.
—
Deux
attaques
i
la
rout d'ho ilanvezed: C'houi a nac'ho
armes serilenient poi"- 'a défense devront
grenade, tentées par l'ennemi la nuit sui- nos tirs do barrage empêchent uire attaque être .'i l'aliri de toute attaque.
en prépsration de se déclanohor. — Pendant
ho leiz hag a zavo ho pugaligou pell vante, n'obtiennent aucun 'succès.
l^ auti-epai-l, l'affaire ne la f-K.iiIam'a ne
la nuit suivante, duel d'artillerie lent
diouz ar roudenn heuliet gant ho zad, ..Lo 21, en lin do journée, les Allemands ef- toute
pas être déllr.itivement réglée
feotuent un violent bombardement do nos et continu dans cette région et celle de pounait
vant
que 1le goiivcniemenl des Htals-Oni»
))e n'o pezo sikour ebed. N'oun dure positions du BOIS DE GIVEHGHY (nord- BAUTE-CBARRIERE.
ait
étuâlé
les
elTel.s possil)Iee de l'intention.
zokon hag lio lozel arain d'ho c'helenn ouent do Givenchy-en-Oohelle). Nos batte- Sur le reste du Front
e.\primOe par le» .^Mernands dans le memories répondent énergiquement. Néanmomi
landuni. de conloi- tou.b les liraiineut-s marevel ma katioc'h, goude hen ober enn uno forte attaque allemande ne tardo pa» à
AU SUD-EST DE SAINT-MIHIEL, tirs de chands armés.
se déclanohor. L'ennemi peut pénétrer dans
ho mizou hoc'li-unan ?
On nrCte. à ces .sujets, i Sf. Lansing, senos tranchées de première ligne., complète- destruction do notre artillerie sur les oud'Ktat, la déclaration • suivante :
Kizians am beuz n'e vezo ket klevel ment bouleversées, sui- un front do 800 mè- vrages allemands, lo 20 f.'vi-ier i l'ouest de ciétaii-e
«
l.'.\nu'i i(nic continuera à l'aire preuve de
tres environ, et, eu plusieura points, dans la FORET D'APREMONT, lo '.'l au BOIS fermeté
h'evelep gourc'hemcnnou, hevelep notre
et
exigera que l'immunité dont béD'AILLY.
triuchoo de doubiemeut dont, à la
nélrciaient les pa>nro!)olssoitétenduQàtOBS
îîuurdroiizou divar-benn emzivaded ar suite d'une coutre-attaque de noire part, U
En LORRAINE, nous bombaidon», le 19 les navii-esde commerce. » I,a lermetédea
plus bientôt que quelques éU;- f.'vr'ier'. les établissement» ennemis do DO- Hliits-IJnis ne fut pas toujours aus.sigrande
brezel. Ha ma vez kavet kannaded di- n'occupe
meuts. Au cours de cette action, qu'ils ef- MEVRE. Un incendie ost con»trté. Au
aurait pu le désirer; mais nous devprgonl awalc'h evit mont betek keit- fectuèrent avec un olfectif évalué i sept cours do la nuit du 22 au 2;). octivité de no- qu'on
corrsiater que si le gouvernement de
les Ailemiiud» ont subi des por- tre artillerie dan» la région de NOMENY. vons
ze, re ail a vezo kavet da respont d'ezho bataillon»,
Wasirington
a beaucoup louvoyé, i l n'a pas
te» considérables du fait dii nos tirs de bar- Uue reconnaitsance ennemie au nord de encore capitulé
evel nia 'z eo dleet.
rsije ot do no» feux d'infanterie et de ml- LETRICOURT ne peut aborder nos lignes.
La cani|ra(;ne élecloialc qui va s'ouvrir
tràlUeuses.
N'e vezo ket awalcli : emgleoiou pe
DANS LES VOSGES, activité assez grande pour la présrdenc.e aura cerlainsment une
fépcrcub.sion sur l'altilude des IJtats-Unia
dos
deux
artillerios
depuis-le
20
février-,
sur
sooieteou a vezo da zevel evit en em
Lo 22. la chute abondante de la neige em- le front CUAPELOTTE-BAN-DE-SAPT.
en face dc la grrerre européenne. (Je sera, il
toute aotivUé offensive dans cette régarga, gant skoazell arc'houarnaïuanl, pêche
En HAUTE-ALSACE, le 18 f. vr-ier. après ce qu'il semble, le grand ireruplin.
gion. Dan» la soirée, nous parvenons cepenCependant le comte Ber-nstorf, amt^aasaeuz au emzivaded ha n'o devezo den e dant k reprendre quelques élément» de tran- 'ino iutonso préparaUon d'artillerie,, l'eune- (leur
d'Allemagne, aurait réussi l u i aussi U
mi
dirige
uue
attaque
sur
nos
positions
au
chées.
slad da roi goudor d'ezho.
se rendre indésir,ïble. On t'accuse d'avoir
nord de LARGITZEN (route d'AltUirch à divulgué
des poiir-parlers conildentiels qu'il
Lo
)8
fihriPi-,
en
fin
de
ournce,
le»
AlleArabad d'ar gatoliked choum var- mands ont tenté, au nord de BLAKOY (fau- SeppoisI, et peut prendre pied un instant cirt iivec .M.
Lansing, et d'en avoir fausse le
nos tranchées. Uno contro-sMsquo l'en seriB en les rendant iiuldics. Une fois do plUB
lerc'h ar re ail e-kenver ar poent-ze. bourg d'Avras) une petUe attaque qui fut dans
rejette immédiatemeat. — Lo lendemain, ac- les i-etations entre les deux gouvernemenla
aisément
repoussée.
Setu perag en deuz hon Aoirou 'n l'Iskob
tivité do notre artillerie sur les tranchées
Au sud-est de ROCLINCOURT, rennemi a ennemies i l'est de .SEPPOIS et do LARGIT- arrraient alleint le ina.tinuim de tension.
I,a situatloir est aussi grave qu'a» lendesavel eur genseurtiaj enn esicobli.
fait sauter, le 21. uue mine dont nous avons ZEN. — Le 21. nous repoussons deux atta- Ilmain
(tir t o n i i l l a î e <!o la l.usUiiiiia >, aurait
An ilanvezed kri.sten a gavo dre ze occupé l'entonnoir.
tiues t l'ost de SEPPOIS. — Le 22. activité décian- .M. i^ansme.
dos deux artilierieii à Touest d'ALTKIRCH.
skoazell lia kuzuliou fui- evit ho buga- De la Somme à l'Oise
I I I . — En Roumanie
En fin do journée, l'eunomi attaque nos poligou. Ma nemed ar mammou a garo
sitions au sud-est du BOIS DE CARSPACH
I..1 .sUrrution politique de la Itoumanie
Dsns U région au sud de FRISE, notre
(sud-ouest
d'Altkirch).
Une
contre-attaque
hebkpu a Iczo ho niinored hep lio c'he- artiUerie, de ooncert avec l'artillerie britancontinue à s'améliorer au profit dc la Quanique, effectue, lo 1K fcivrici', de» tirs de bar- immédiate le rejette de la plus grande partie ôniple-Mnletile. Ix-s Atlenrands auraient
lenn var gwirioneziou ar feiz.
rage qui font avorter une attaque ennemie dos élé-.tteuts avancés oii il avait pris pied. provisoir-eriient abandonne leur système
rizians oz euz ii'e'vezo Icel braz an on préparaUon.
(le trrenaoes pour passer aux promeasea.
Dans l'air
Nous l'avions dit la semainepa.s3ée : l'alternivcr anezlio dre ama.
Dîmj le secteur de LIRONS (nord-ouest de
nance
do'icires (roides ot de» doucitCH^
Eiz dez Brezel
.
4
Lea Blumaerlta non inatréa m» Mmt pu randoB
La propotition
était faite par M. AM
Forr;/, un cetirande.,.
3r> ans, nui
iromait
naltircHcmenl t/ue tout allait pour l 'ritcux
pendant qu'il/aitiait
partie du
ffouvirncment, il ii'ij a encore que t/uatro nioio.
M. llriand remercia cumme il çonri.'nait,
disant que l'ineiler rt faire son deoo r ejniralait 6 VineUer <i céder la plact
n.n
(ii'tre, C'eit ce qu'il .fera si In
C'amhre
rci't passer <4 la discussion.
L'n débat semblable, sur 1rs roM'onn
liii
floucprnemenl avec le haut
commnnd'mcfit.
eut lieu tti/ a un mot» anec tnulu l'ampleur
rk'sirtdile.
Le goucernement
n'a r^tn à
ajouter aux déclarations <iu'ii lit alor...
' n ne faut d'ailleurs
pas de cornii^io»
entre les atlributtona du f/oucrneiui-nt
et
celles des Chambres,
J.es Chambres ont un rùle immemie rt
Jover. l'eut-on dire gue Inur ron/rnlu ait
U i'iH'nntri une opposition
sericus'::'
Voici
des rhi,(!re»; depuis le J" «occn'.rc.
i'V
missioni parlemntaires
8t' son( rendues
dons lu sone des années, et elles comprenaient fK' membre» des deux chambres.
M. iirianA est interrompt' à tout innlmt
par les socialistes et les radieitur
sootahiiie», r/ui applaudissent an mniru'n'
M.
AM
Ferry,
/l» moment du terulin,
CK-rtU'.na, oiXi
npiirohateurs de ce dernier hMteni
refn'iiy
dnnl ; ri l'ajournement
de 'a
propovtfon,
(icmandii par le présidenl du eonsv.i, est
rote par ;i?0 eoi.v contre tCiH,
MM, Ooude et /.ancien Jlf/'t-enf
'a
iiiinorite, rtP»e ceux qu'on a ap/ieU-'i
lus
d/iinoliilisâs <>. />/. /.e lUiiliUlu)
i>ei>ri!patt
pari au eole, M. f'aul Simon Had al'i'J'tl
COIU;NT(N.
comme
inobKM,
d't la eituti'nn. Quant nu dénonciateur, les
Itochea ne l'ont certainement pas laissé à
** •
I.ille ou S(( ne de traitre lierait en denqcr.
/.a Chambre reprit ensuite ta
di^nuaion
r'iin projet de loi sur les b o n o f l o e s do
fluorro
Cette discussion
s'est
terminée
nar^ notre dernier numéro nous avons
mardi, pur l'adoption, rt l'unaiiimih:
moins
parlé, aprùf d'au/res journaux,
d'un sujet
une rni,v, de l'ensemble du projet.
de composition
donné lï l'école
lidgar
gairt-ho. AbaOuc, muioc'h erc'hreisdeiz,
le soeudistc. Merlin aeait suii/w
une
Quiuet, et qui avait soulevé de légitime.':
ar Rusiaiied o deuz gounezet diou gcar
f.rtthosiUon tendant ù tu
natinnaliHatwn
proteslations,
Le J o u r n n l dos l»(''l)ats ei le
ail c'hoaz, Mouch hag Akhlat; hag o
fir^ usines. H Kl' trouva 'lue T:' uulrcn soTomp^ ufjlrmenl
que dans aucune classe
lenn kazetennou a zo e c'hellfet kredi c
cialistes pour
fupfuger.
de celle école on n'a proposé au.T éléven n>
vije dija ar Rusianed dirak Coiistantinopl
/e teele incriminé ni uueuti sujet
similaire
pe
var ribi ar Mcditerranee. Amzer.
Pcll
'zo
cz
euz
bet
lavaiet
e
labour
an
.Wouii nous empressors d" fiire échu ù
1.1 .Si'nat « po/t), le 17 février, tes civjiin
am7.cradugai\-omp haghov inignouned. Euz Erzerounida bleg-vor Alexandrette
ce démenti.
additionnels
demandés ponr tle.^ aouaAn Allmanted a zo deuet d'Iier c'hom- (ar c'Iiorn testa euz ar Mediterranee),
.«leurétMJ'iatB d ' B t a t . lin de ciiu.r-';i, celui
pvcn, me'gred, pa saillent hlviziken fccn «7, eaz iSo Ico, hag euz Erzcroum da
de "oéronaulique,
a déjà été
sup/iriné;
allez lia gant kement a himor. Gouzout Gunstantinopl ïSo lee. Ha gwir hentmais, comme l'a dit M. Gandin du Vilaine,
a dleont en «m gavlmp e gwelloc'h stad chou n'ez euz ket ; meneziou avad a gaU's rivpenses restent, les tapi» aussi.
c'hoaz eged brema abarz hanter an nevez- ver, hag hiiU goloet a erc'h teo d'ar
/,/' Sénat aborda le mime jour la disvu :atnzcr : martcze Ivez ho fobi n'eo mui pocnt-man euz ar feloaz;
l ' i u u d i v i z l i a g a vezo l i i r r , n i f ' g r e d ,
alon générale d'un projet de loi relatif
aut
kcii sur euz an treac'h lia nu 'z co bet ;
Goud." poania da c'hounit porz Tréo r p h e l i n s do l a g u o r r o . .
u z i g o r a z e r S o n a t , d i z i o u 17 a v i z
dont a ra da skulza dreist-oll.
bizonde, var ar mer Du, ar gwella
/«' est du dcpoir do Ut nation de cnir
rn c.'liyiiovr(Ji'.
Hag ez eo red ncuze d'ar jeneraled ma c'hello ober ar Ruiianed a vezo, me
aide ù ces innocentes victimes de la ijunrre.
D i v u r - l i e i i n a r v u g M l i g o u a g o l l o ho
.ikaat taga aman hag ahont ; pa c'hel- 'gred, ment var hent ar Saozon en em
Mais il ne faudrait pas quc^'Klnt
pousstil znd e r b r e z c l - u i i a eo.
lont tapa eur penn-tranchee bennak, e gann c bro Bagdad. Ha ma c'hell an
un protection jusqu'à les considérer
comnir
( i a i i t k a l z eo c h o a r r e z o t u r ^ w a l l
kviont pc c krier cvit-ho o deuz gounezet dieu armec-ze astenn an dourn an eil
vr» bien dont il puisse dispostr « son pré,
f.a plupart de cet orphelin» ont encore c u r - z e a b c i i u v r c m n : g a u t k u l z a i l e ciir viktor gaev ; hag ar bobl a joiun rei- d'ebeii, neuze avad an Turked-a veze
houi'iroRu c ' h o a z o b a r z m u vezo (lu 90c'h çpad eur pcnnad ail.
gwasket da vad.
le-tr mère, houreutemcnt,
fjui- l'on
aidr
Eiiu deveziou-ma, bezit sur, ez euz
cette mùro ù les élever, rien de mieiu'; mais d ' a n d r a i l l .
A r v u g a l i g o u Ueiz ; l u a r o d o a c u n fouge cnu hon enebourien : ha goulsqu'il «)// bien entendu en mi^me temps i/ua
l'Htai n'interviendra
en aucune fw.vn pour t a d f u r d r e i s t - o l t , na I r i s t h a t e n n v koude n'ec'liellont ket lavarout o devije
lui imposer telle école plutôt que telle aiilr.< ; k a v i n ( a r vue/, l u v i z i k c n ! O a n t d a r n gounezet gwlr viktor ebed.
qu'il soit entendu encûre que les mi'nws :tiK7.ho e c h o u i i i da v i a n a d a n v e z , l i a
B elz leac'h d'an nebeuta ez omp bet
nriintaiies
seront ai/iurée au.T
orphelinr, g w e l l o c ' l » o'Uoaz, e u r v a t n n i d e n e r h a taget gant-hô ; e daou hebken or beuz
quelle que soll Vecok qu'ils
auront
k r i s t e u ; d a r n a i l a v a d n ' o deuz n a ranket dllezel tachenn gant-ho : en» hanqwntée,
p e a d r a na zoketi e u r v a m m da r o i d i g o r ter-noï da Arras, hag eiin hanter-noz
*
4 •
da Verdun.
d'oziio. l ' e t r a a z o u i n t d a v e z a ?
E« BELGIQUE. — No.) Hlli.Vi dmnUMit les
ËT walam da GlvenohY (eun telr t'cnsi'ifîni'uv'iils
K l e v o u t a r a n « n a n i i e n n a g o re.sLes o r d d l t s demandé» par te gouoerneMiivaiits sur la Iratichéc qui
leo bennhg hueloc'h eged Arras), ez euz Icnr lut i-iiloviK- dans l.i •salrtc du 15 février,
meni p o u r l o S' t r l m o s t r o de l'année p o i i l ;
entre
l«
chomin
de for cl'Yprf.s Ik CîoniliifH
s'élipcnt il prés de «
milliard».
— K peU a m t o r ez cur. b o t g w o l o t eur c'hoat. Eno or beuz kpllet, dllun, et If canal d'Ypro» h Oomiiins :
vardro
8oo
metr
tranchcou,
dlsmantret
«
Lts
attaques
allemandes ont été prùoéLe total des dépenses ènijai/ées députa le b u g a l i g o u 0 Uoueza e r s t a d t r u e z u z - z e
déos d'un bombardement Intense ot de l'ex1" aoiil 1914 jusqu'au
juin 19 ta attein- h a g ez i n l b o l s a v e t h e p m a v e t o e z o m m oll Kant kanoliou an Allmantcd.
plosion do oUiq mines, qtil rendaient noirs
Teir leo bennag enn hanter-noz da traniohés de première ligno Intenable. Les atdra 4G milliards etdcmi,<lonl
33milliards ita o l i o r l o z o n n o u nevoz e v l t - h o ; g a n t
qui as sont prodnltos sur un Iront
Vei*dun c c'hoarvezaz kentent ail dilun taques,
et JiO millions pour la guerre,
d'environ 4 kilomètres, ont -été reponssées «ar
emzivaded a r b r c z e l n'ec'iioarvezo ket
ha dlmcurs. Eun nefceud tranchcou hag tous les autres points, avso de» pertes conles 14 milUnrds
reliants
représi-ntent
gwnsioc'h, a r o ' I i o n l r o l oo e m i c h a i i s p ' e
pour l'ennomi, La tranchée qn'on
des dépenses gui n'ont rien de militaires.
eur c'hoat or beuz kollet, abalamour ma sidérablss
a prisa a fréquemment passa da
Or, avant la guerre le budget ne s'dleoalt gwTr 0 dovôzo p a n s i o n !
n'e c'helict mul herzel enn-ho didan ar nous
mains on tnsins au ooura de l'annés -derf l o w i r c o , Niouaz! ez ouz b e t c m z i
aièro : elle a mime, pour cette raison, «té
pas tout à/ail à ,'i milliards.
Voilù donc
boullou-kanol.
une augmentation
de /»/«« do S
milliards, v i i d e d a r a o k h i r i o . l l o w i r oo i v c z u'oz
Arabad beia re nec'het gant an dra- appolée t U tranohéo internationale. »
fit-obenant, fiour une large part, des dé- euz bot d o u g e t l o z e n u « b o d d a r o t it. Ni or beuz greet kement ail meur a
Depuis, tes deux artUleries sont très acipinsfs dites * de solidarité sociale
allo- d'ezho k e n u l a r t HkoAzell h a i n ' o doa wech d'an Allmanted, hag a raio c'hoaz. tives dans cette région, de même qus tout
autour dTPRGB. Le 20, Une violente détoeai'ona eUe reste,
e z o m i u . N ' c o k o t e u n u b e g d u l i i l e z e l Ha ma 'x eo gwelloc'h mont araok eged BiUon a snlvi te teu ilos obusiers lourds des
contra tes positions ds raitinoris
SI ne n'est pas fini, puisque le
ministre c r tnemoH d o a r e a n c m r i v a d e d da zont
adrenv,fcollken nebeud a zbuar n'e gont Anglais
gnnsmio, dans la région «o RAVIOHEN. Au
Malc^ «oerlU les familles qui fUrent deon
M a i o M i i i n o r e d o r a o k b r e m a , n e b e u d ket nemeuir. Ha beitt sur o deuz an siul-ast de •OEBIHOBE, Iss AllemaniT» sat'iduUtM unt première fois qu'elles «cron^
slsasnt, l« 20, on avant-p.okte anglais do peo
à w a l c ' h a ioR « u o z h o e v i t m a v o f o n t e n (ntbourien paet ker an taollou-zc.
d'importanos. — Le 22. entra la routo da
ftl'an reçue» si elles veulent sa présenter ù
. Eur pertnad 'EO e ioa kaoz e tieent PlUcsm at 1* essai do PV-oor. les tranohisa
eia g a v e t e v e l l)ouKet e nioHk n r v i i g n
làoalsse une
dtutiime,/bis.
annUlsos
sonBront considérabismont d'un
4alHa da vad enn-dro da Verdun. C'hoa- Violent bombardement.
JbHl lâ monde rentier de l'Etat ! SI l'Etat i g o u a i t ; h A g e n n - d r o d ' e z h o , pe e n n
1er' front sur lo cavlct
awalc'^t
o
deùz,
abaoue
andez
kcnta
nal
de
I'YHM-,
I un Kilométra au sud
fontall
donner sans//rendre
ce serait par. h o f t i m i U , c k i t v o n t p e u r l l o s a o u r c ' l i r i s
d'Tpres
et
du
«hsmin
dal
ler de 'Thoursut,
euz
ar
brezel,
evit
kaout
ar
gear-zc.
Pa
/êU, llélas t M«ley lui-même est incapable ( e n k s r a n t e z n s b e a n a k d a r o i d i g o r
ast rompu par la l«« de rartltlsrla ennsale.
déjitlrstMlelpntdigt,
f e x l i o m n n ' o d o a U « t t e d , p e da i-ol 'ï Int chownet berrvar ho clirog bete
Bas évtnsaieBts tmportknts semblent so
• i k o u r d'Uo m a m m m a i o a o h o u m e t a r »rtma. e c'hefler kredl e kollfat ho àro- préparer dans, «etta r é i ^ , a« dire da
^uartiar a*n<ral k r l t a n a l î i r
«er'hag
ho
foan
ar
wc«n-ma
c'hoaz.
vamm gMt-ho.
j Dlltm. hor c*hanaDou a tMtarax d'uho En ARTOIS, traelqaal tiolantèf iiolions
'<>tt«é4léa»MeBpartem«aUire A'Ab'
j CHmt a r b r e w t - i n a , alttiii t a n o m t i
éur 'balloA bra* ,^-Wèhenn Revtgny, er ^ ^ O M i ^ ^ a ' i n è l B a t ^ ' I t i K environs d'Afff l t t o n * , eo/)y>r«/Mi«ii dis mmbrss
de la
radod a xeuto.Aa vezii.difim-dptttften
càMOratk»
htrdê t{4t ta Ohambrt ds (v
T t a n , ' I H AtiamanCa «ènt ^(«loaar deux
v « à a l i g o u aM; l<] p e
nêêfrtai» tPiu^t «UmaMUt, è i v o n i » h a g
m ^ roua » la loaàa "If'faott-a aa and ds
t
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1.00S. Anaalttl iti. leatan» « a n bMapar Iss
. f M v renelro «Isll» A no« * A o n o m ^ f n .
i ^ M M t r a , aaaia ita aaiat rep«asa*a. Saoa
0(1 f ISpad e t t r p ç p i v a d n'e U v « Hsimtmelitbimqutlsttdu
tmls,
maint
"•Er RVSI n'e drtMcn c^Hoiiz ifèmcd deUa r t e ^ n , to Ittlt* da, nteaa aa^raaranl.
4 t e i M C ( « fitttrtiUni'.dlsawttê
«ua l ' o n )aA ki»t.,Hi>g«lii>b'uaTie t e u e r d a a k u l m
ix aaurt à w«l*r ^ I t «noara ta
I t l a p i i a « v M a « « f ^ K p a n ' e « i g a « vad- l^ilcz var hon tu.
mmidUtseàmàrtnom,
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U l l i f r t a «a OOHBMOOnTt t M hV*'' >. >
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daas' laa Ira»m i l » » » * i t C U r t w O UHOrto.
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B a i v A R I I I M I hor migflOt((«edtfdMt
i M i m H M i i M i c i i z t t b e r « i » ari
A - Ir
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—
BREST
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Annonoea diverse» . . . .
(Iz ligne)
Otr.30
Réolamea. en V page . . .
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BO
Dernière colonne de la3* page.
—
O
78
Tarif déereliitnt pour lei initrtioni
ripétéei
Pour la publicité extra-régionale, s'adresser
à l'AgeoM
Place de la Bourse, 8, à Paria
kwim
Chaulnesl après avoir, le '.'I. dirigé sur nos
lignas un intense bombardement et de»
émi»»ions successive» de gss suffocant» sur
«n front de 7 kilomètres, l'ennemi tente de
sortir de ses tranchées en divers point» : il
ost partout repoussé par nos tir» de barrage ot nos feux d'intauterie.
Entre l'Oise et l'Aisne
Le n février, no» batteries tirent sur des
troupes en mouvement dans la région de
CONDE-SUR-AISNE, et bombardent les ouvrage» enoemii au nord de S0I8S0NS. —
Lo lendemain, dan» la région de CHOLERA
(nord-ouest de Berry-au-Bao), nous csocutons, sur un sailltitt'de la< ligne onnemie,
un tir de destructitiil qui donne de bons résultats. — Le 19, notre artiUerie prend sous
son fou une colonne d'infanterie ennemie au
nord de VlC-SOR-AfSNE. — Le 2-1. nos batteries bouleversent les org-misations ennemies du plateau de VAUCLERE (nord-ouest
de Craonne).
Champagne et Argonne
En CHAMPAGNE, lo 20 fi-viicr, actions
d'artillerie sur les organisations ennemies
au nord de TAHURE et ù l'est do NAVARIN.
— Le 21, nous exécutons des tir» eIRcsces
sur les organisation» allemandes, 1 l'ouest
de la route da SAINT-HILAIRE & SAINTSOÏÏPLET. — Le 22. oe sont les ouvrages ennemis a rouest de NAVARIN que nous »oumettons t nos tirs de deetruotion.
En ARGONNE, lo 20 fù\n«i-, nous faisons
sauter à VAUQV0I8 deux mine» qui bouleversent les travaux do l'ennemL Le 21,
tirs do destruction sur des ouvrages enuemU voisins de la route de SAINT-HUBERT.
,Anz aborda du bois de CHEPPY (sud-est de
Varennos) nous démolissons plusieurs obaervatoires.
Autour de Verdun
Le 20 lévrier, un.j escadrille de cinq avions
français a bombardé les dépéts de munitiens eniienii» du chiteau de Martincourt ot
d'Azoudange (sudonest et sud-est de
Dieuze).
— La journée du lendemain, 21 février, est
'.uarquùi! par de noaibrerix combats aurions:
Au-dessus de Tagsdortf, est d'Altkirch,
un de nos avions alt».quant de très pré» un
Fokkor a ouvert sur lui un feu de quinze
cartouche». L'apparoit ennemi a glissé sur
l'aile droite,, puis e.it tombé.
Dans la région d'Epinal. un Albatros a été
abattu par !o tij' do notre ertillorie.
Pans 11 région de Bures, nord de la forêt
de Parroy, un appari?il allemand, attaqué
par deux de» nêtres, s'est abattu dans nos
lignes. L(! pilote et le psssagcr on été tués.
Une eacadrille de sept appareils français
a livré combat à riuatie avions ennemis dans
la région do Vianeunes-lec-HaUoncht.tel.
Doux de ces derniers ont été contraints d'atterrir. Le» deux autres ont pris la fuite.
Des avions cnuetuis ont bombardé Fisme,
Bar-le-Duc et Revigny. Auiirès de ce derr.ier point, l'escadrille ennemie, composée de
quinze appareils, a été assaillie par une de
nos escadrilles de chasse et a dit li-/ror un
combat, au cours duquel un avion allemand a été abittu prés de Givry-eu-Arganne. Les deux aviateurs ont été faits prisonniers. Un second avion ennemi, poursuivi, a
piqué brusquement daus ses lignes.
Un do nos groupes de bornbardement,
compoaé de 17 appareil», x lancé 66 obus de
gros calibre sur la champ d'aviation d'Habsheim et sur la gare aux marchandises de
Mulhouse.
Un autre groupe de 2S appareils a jeté de
i>ombreux projcctiie» sur la fabrique de
munition» ennemie de Pagny-tur-Uoielle.
A la suite de ces différentes opérations,
tous nos avions sont rentré» * leurs lorrains d'atterrissage.
Un Zeppelin eu marche do Sainte-Méuéliould vert) lo sud a été abattu par la section d'auto»-canon» do Bcvrgny. Traverié
iiar un obus inoondiaire. il est tombé en
flammes aux environ» de Br>bant-le-Roi.
I,'équipage, comprenant 22 hommes, a péri.
A la (lu lie lu M-inuliio U'>nii(-r<', (jnfl.iiir-s
Jouniiiiix iiouvaient dire quo les AlKnianil»
nrt^paraicnt iinr »iri>iinivp culo.'isalo contre
vppdnn, au moyen rie 'lO (livi»i(ms'(Wit près
— De leur cêté, dans la nuit dn <9 au 20,
(le TU
i O.OOO huinmciil qu'iti* aviiiciit niofiMtos
dans ICK t-nvii'un» pi'niJarit qii'ilK noim aiim- dot aviateur» anglais ont h-i un raid réusti
contre
raérodrome de Cambrai.
s:U(lnl sur U'aritra.s (wiiitit (in rnuit. On
^il^ulttil que l'ciinemi avait amené ('R-ilemi-nl
— Le M. vingt-six autre» s'attaquaient au
line arlllinric foi'inidtthle, et iiiflme imii no- dépêt de Don.
table iiarilc des pK'ce.s de place ifc MHx flt
^ DMI» IT soirée du 21. un Zeppelin a
<le Strasbourg.
survolé Lunéville. lançant des bombes qui
(.Mielqiies joiii'.. uii|).HMV:iiil. innniie .'ii len ne causèrent que dés dégêts matériels.
.Mdiiw lfan.siiiell;il,'ril i lem'.n «geiil» des Poursuivi par nos aviateurs, il >e dirigea
e.iimiiunlquii.i falls it'iiviinep. ie bi'iiil coti- vers
Mots.
r.iil daim clitrcireiile» réglonH RomniC Quiiiipei' nun Icfl Allemands avaient prottressi;
(le >1 IcIliiriiètreK dan» la direeliun de Verdun.
fif. qn'annom;:iiont les ,|ournaux pnrjll se
l'.'wli.seï', du moiiiK en partie, un dire IIOA
roinniiiirtqués enx-in(mes. L o i coiuinunlqirrts nous upprnirnent en elTet que depuis I 20 février IOK deux «l'UIlerinn wml ti<i« .ii;fivc.i au nord de VERDUN. Nous y avoirs in
•ni o u t r e ' :
Lo 20. noe batteries bombirdent les éta- I. — Lia déclaration de Sainte-Adresse
blissements ennemis vers ETAIH, WARCQ ot
Les ivpriÎHontants île la l'raircc. de l'AirSAINT-HILAIRE, provoquant plusieurs inoendies et une très violente explosion. glotcrre et de la Hu.s.sie. puissancos i la loi»
idirtialaires
ilo la oorrveritUm <te hundrcs et
(Etain et Warcq se trouvent à une vingtaine de kilomètres «u nord-est de Verdun.. sarairtcs de la iieulralUéUo la L<olKii|Uc. ont
coniniiiuiqué
lu 11 février au riiiriistro des
SMnt-Hilaire à 23 kilomètres
aud-ost).
Affaires i^trangfres de I<el|;iquc lo texte
Le 21, en fin de journée, les Allemands at- d'une dcelaratfon que iron.i avoir» reproduit
taquent nos positions à l'est de BKABANT- dans le (lerrrier innnéro du c'oiiiTtpf. I,es
Sim-MEUSl:. entre lo bols d'Haumont et iviux-sontuntH rie l'Italie et du Japon. milHHorbebois (13 kilomètres nord do Verdun), «anccs Bignatuii-cs de la c o n w n t i o n do l,onn i prennent pied dans quelqaei iliments (livK, inait) non garniih'Ji dc la itciUraliti^de
de tranohésa avancées et ponastnt, par en- lu Helglciiie, ont déclaré u'uvoii- aucune olidroUs, tàsqa'aux tranchées de° doublement, jrcllon a faire ù cclto dérluratioii.
nos oontre-attcques les rejettent da «es derD'aprôn ce dociiinciit, les paissances
nières. Naos laisoM une oiafiiantaine de alliées s'ciipagont : !• à ne pas mettre Un
priio'niUera.
aux hostilités sans que ta Delglauc aoit
' Le K2, aprèa na violent bembardenent snr rétaliltc dan» son IndSpendance politique et
les deua rivas, da la Meuart, laa AHeaiandb A-oiiomiqiir, ot largement indcinniaéo des
4irigent une série d'aoUans d'tefaBtarfa ea
(lomuihgca. qu'elle a aubis
2* & appeler le
irimsment vives sur astre Iroat, «nlra B U ' iJouverncment bcigo 4 participer aux n i ^ • A t r r at HCnEBOH. Toutea i M attafuai diationr) de paiK ; —' à prâter t c u r aide a in
menlaa «ontre BRABANt «t HEUEBOM Itelslquc pour aaaurcr sou rctcvcment coinsoat r^onaatasi U M i , antre cea daus m c f d a l et financier.
' 'a, e't
et au prix de perles eoaaidtrabtes,
document ne inodiflocn rien leatUSclaMints,
Sawemi «ant oeonpar la BOU • • • A i m O N T ranona antérieures, maia 11 les renouvelle
a a i ^ qua (onke
(enke ^>laa
o s t l'asi àatra on une forme soleftnelteçtil le» priJcisc. U n
«t le aailUnt
mot <iuo noua a\-oii« aouliené dans fo ttixto
Mgua au aar4 da aBAVMONT.
t notre avia, ttne porft?c oonstdérar
jLn>MD( 4.a la mK.auivaata, la komnar.
ro<H'<iMl«»ëii^«'(tci»noiiM(
at ennemi, énargiqusment •«Mrabatts , _ Mt le'
dat
aujourd'hui.
t a a ai
La Situation Diplomalipe
ET
FINANCIÈRE
chaudes ost uir dos plus sr'irs principe» tfe'
la drniomalie allemande. Xous avons eu
jet ulacé : u ISonrnains, ci-aigneu le fcort d *
la .Serine ' ,i Voici maintenant l'eau cUaudi(lirr coule à phîirrs robiiiets. IVafiros un
joiinia! de lUicaiest. les Alli^iiiarids auraient
onert a u \ Itoiiniains la lîul;ovirrc, une rectilication de li-ontiéie a Vorciorovo, de»'
conc-ssioriK iiolitrquc.^ pour ceux de le«irace qrir habitent la 't'i-aiisylvanie, et enlin...
la jicau de l'ours. c'csl-iKlife la «essaratiie,
• qui comme chacun sait e.st aux Hussos. —
I!1 en échange do ces inirillques promesse.»
(lue ilemando-t-on à i t e r l i n
Un concours
armé ' i>a.s même. lUon que ra.»«uranee <|t»c
l.r Itoumanie gar dera une iioutralité dé(itiitive.
Ni CCS noiivellc.s sont ccactes, cela prouve
ipi a la WilIrelmstraNse on ne voit pas aan»
inquiétude la toiirniu'o que proniient tch
aiTaiies (le H-jc-u-Mt. I.a chiite d'ICr-zcrouru
ot l'innuedce qtto ne peut manquer d'exercer, sur' la liouiiianie comme sur l a ' I r é c o .
cet iiiiporlanl succès russe, vont certain(>
mont accentuer en notre faveur les homic»
Oisim-itiiins (le la Itouni.iuie.
I,es loioes inililairst de <vtle (juissanoMirit mohilisées le long des ti-onltéres hoiiproiso of Itul.'aro. l'ai- contr" la frontière
r irsKC est pi-oi-qirc oiitiéienient dégarnie de
i,-oi;pcH cl d'ai-tUlor ie.
M. 'l'ako .hinesc». reçu tiv.'ï récriminent
I 31- le idi. s'oKl déclaré très sati.sfait dC
cotte (.-iitrevuo,
n r . — E n Grèce
M Siioiiloiidw. pré.^ideiit du conseil, afai»
.1 un joiirn.ilisie une liéclarutioti d.ans la([iiclleil :i aiVi aié ; 1-l,1no toute ta na1iM>
recquo Olail teiiiieuviit t>ei*uadéc que
.l'i vatioii d'une poitliquo de stricte «(>ulr':ililo i-pondait aux iritérët» vitaux d e '
1,1 |.at;•10 . — • (ire si de nourelle.s CCMHMtioiiscla ril i-rcéo.H on sj rriro riîonaco sur(.•issai: |. iir 1-;. ir.loi-.-'isdo la 0 i v c . ceUe
pui.«-an( inlervreirdiait activement daiut
1,- conilii ; - -V que l'iiiti^gr ité du territoire
o.sl a.'surcc pu• (les garanties donnée» augoiivcr-iu'ineril Il-Il -ne par les dcivvgroupe»
le li.'Iligér-arUi
.--iiri- la inorir ore lestion, on peut faire
r-orirar-mior au prornier luirii.itre que son
iM-r-rroa sei'ai! encore -Ineu plun fondée «1
.M. \ orijjîclos, partisan de rinterventionaux
coté» (U- la (J'iadropla-lhilente. n'avait l o u j o i i r ^ triomphe tlan.4 toutes les électioiM
laito» tihrrmrni.
yuaiit au second point, i l
sutli! do lo conipai-eravec le troisiéiMo, poor
otro assuré que ,M. ,Skontoudi:i n'a qu'une
connanc^' médiocre dans les k gar-anlies»
(iU'on lui a Uoiimy'» I l n'a pvs torl. Lejous
oq les Itiilgar os et les .Mleniaiids orendronl
.'^aloriKiuo. la lireoe pourr a faire son deuil
(Crriic partie i.npdrtairto de la .Macédoine.
l.e général Sai r ait,r ecu par lo r'oi Conatarrftn. s'est d-iclarc Iré» satisfaitdcl'aooueil'
qui lui a été i é-,orv.^ (lar le souverain , inaiu
il s'e-t ('nei-gi lueinoiit refusé, — .ivec ratsolt
à notre avis. — à donner snr les poui-par1ers écha'igés la moindre iiidiculron.
Un député grec ayant prononcé ù la
Chambre dc» parcHc» peu ijierrvcillautea, —
iiouremploveruncexprossiondiplomathrôe. '
V à l'i-gai-a (le l'Italie, ce fait a donné lieu
une |)rotcstatioH<k'la t>a»t<lu gouvernernoi-t do Itomo, I l n'y a i i i a i t r i e n d'it-jnnant
à ce <)iie cet irrcidcnt ait éuj provoque pat
des agents do l'AlleinaKiic.
,
V. — La iMiase du mark
I,a liai.Mto du niai'lt, q u i avait été uu mo-'
enrayée, a dc nouveau repria. Xj«
sj inptOine est excellent et on ne saurait
trop V insister. l,eK runieoirs d'anrëa leaquellés rAllemagac serait flnanrtèrement
aux abois sont certainnmfMit exaRéi^a; '
•nais est certain qu'elle se trauve awc •
prises^r ce point avec lea pUis rcdoutaMea-sr
dimcullés. et 4UC c.etto question «at ar^léoir ,
ik louer uu rOîo de plus en ploa iiap«ctaiii> •
dans la Kuerre dc dcnutn.
Bn Suisse te msrfc cote environ 9S, Omt'.'
soit qu» l'unité monétaire «uttae e«t i*.,
iBthne qne lanMre. Ci»ta
"
le matK qui au pair vaut «pfmlM
t fr. î5 no repréaente plus <jue M
Un oaioul do propcH^ontréa aiiapte miMm<fi
que la baisse oscille actuellement autmafi^-)
niMMiroeat.
,
.--z '.î
' a ouciquc» «eniainea-i
inoiil
noe allêipa
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LE COURRIER DIJ »FINISTÈRF
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i«mo un pou pUiM. AuJom-d'Iuil In volift roCelle o:uTi s offoreera nolaninieid ; de
eucciulu A iiù. L'olïut (Id cello luitiiccuvrc, i r u i n . ' ' f V ' " ' ' ' î T P C H W titllI'IlHlUniH I I 0 '
ÎOliillriiiorIeHdo«lU'o,clmf- racllllpr aux l'irpliollns IMdueailon daiW
, ont iiKiiH (ivlonn (lit InimOilliitcniont loi oii'll S u " T
égnjeiiient la prolo ilcs /Innimcs. Il sonfnall en
lenrs
fundlles do le» placer, si e'esl nOees
lliipporl lies roniiiil*«or.ill trùx limite, Noinlilo (lune Uni. X<n 00- «eps d ullniPiitor «u i>ii«sii({o des irnins les
oITct un v - i i t v M o n t . qui cnilrarin les elfi.rts
' '">' <"'Pl.lo» hle^-sés (ces lnllnnprle.s ont snli'o, diins de; fanillies elirétlennes, nu dan.
4- \|.pr.)liuqo 1 des lo i
S;r iisiilmli! iroonimonoo.
tentes pour arrélci- les pi'oifrùs du slalstio.
J) l'i
ni'plii'llnul eallmliques ; do ies idder
et li.vation du dlriileiido.
V n nio\ivi'niuul iiiinloKUP ^o niaviiuo cil dl»trlljii6 plus (lo cinq n i l l l l o n s d o ivpas), o des
.... .... les
. . „ , , uili l , i < e s qnn leur assure la
<'l'!L"'l<"<,.'lo U'aw, ilont uno SIMIIO depiilf. ibliMde
:!• .\iimliiidion des cou
ini'iiici (i'iii)ij un llollftiido. Kt r c l l o i-oïiicllox.'i^
Où
l'on
volt
une
institution
françaiso
donner
la
mesure
de
sa
valeur
In
franeiilse
1,..,
Iiionfnlls
que
iienvent
ol'«"^''''C n (llMrllmù 'i.'il.iiOO
eliT lOlij.
Koliicvei
«n>nuu iK' liiUsc lui» d'i^tic Mliriiillonllvi». I.o .?„.i " ' '
rlr les I.iilres (ii;uvivs ; de le's aJsisler dans
tnnrk
lonilKi
ft
I.'uiilli- nionrliilrc raviliilllenipnlM.
Incendie.
.\u
vlllune
lie
I'
iiiliisli'
le
fou
ei
r
Klui'alii.n,
diins
leur
appi-nlissaiîo
ou
.'ji'mlnenx peisonnci d'Inlirmléres el
a pris dans mie étnide, qui u été dOlniiï.
hplInniliilK" l'Innl lo Hoi l n d u n t lu valcm'rst
I . n d i ' i l i i d u ICprciivc
lo scrvieu de ces rcrinn dans la ,1 hvelinn ,'. ilonniM' à lein' vie.
WoM i'i?.s(il(ii<H I m p i P S N l o i i i m i i t s
viicliii n clé siirlciisciiii'iil brûlée.
Hpnni\liniillviMncMt i i u pnir de • li'. lu, un lli!niixlllulresassnro
l.es inllrinléivs dlpl.'^ini'.os do la Sn
Ilalliieliee l'i l,, liiivctiim diocésaine de
Pour avoir In droii ,11 si-j
i I,i".;iid)lo0
'Pnlcul,i|ui n'iwi piiM iKNiiu'ouii nlii» onniiill- olcMii
,
l
i
'
l
l
i
••"i
niomenl
ou
éclatoreni
les
Ilepuls le début do
guerre la Snjiin«iinl au noniliri' du I,-I,IHII), dont :l.ixin ll.nlun Calholiiine, l'IKuvr.' sera spéciale,
ncrale, Il r,uil poss:',i.T au m
- Ci.r, .-leliolls.
'l(iiO que le pi'coi'di'nt, lndli|u« uuc la haIsNi' HOU on service dans les lulpinuix nillllaires ineni
no.''lililes.
un
«rand
nonibro
d'onlreprl.sow
si
,
m
,
'
,
'
'
o
s
sommes
dirigée par qn Cnmilé. auquel esl adM.M. los n. |ijna.ii:'e-<'l-v! ,
i'ip i - i - lolirs II• pouv cent t'Nt il peu pivs ik- ','N.riii,
i
imnaleni
n
lài
tio
do
faire
rnicllner
la
pe
( onsldorables im oxcciilion d'ongasemcnls
l.n.e do ces lidinnières a reçu la ei'(il\ di .jornl nn linivau ainsi cnnquis'- •
trw Vinut jours au io..ia, ; • u
d-:;» ll.voo
lllo
ol
la
inoy(>iine
éparsine,
Quant ft l i i Cduvonnii auti'ii'lni'iu»', ^a
do
toutnalure
,;iuxquello,s
elle
a
tenu
a
se
Prùildont, ,\l, .\mlri'' de lion iiiimKle ;
P'iiir
11
rouideu
nu
élr,'
i(
ils
'.•umiao pruI
'''l'I"!
do
yuerre.
en
l'proiivant
au
iiliis
•nnlsjio
i-n SIU.HVII d'OUVLVON
PMU' CI'iil.
(.'•ociotij Anonvnienu Capilal de I.i'OO.fKiU franos)
conlormor. l'endant la seule annén do lOi:,,
prictaii-os do liiros iioiiiiuiid
Vloo-iirisUtont, M, le ph.mi
lliissi
;
haul
point
jeur
ro.sistancc
et
leur
vilalilé.
•inl
C!
d.il,ii.
M» ImiSM" en Hollande dnil ciMlidnenu'iil
dont
).0:Xi.lHWfraaos
remhoui.ws
elle
II
payo
pour
titres
c.soomptés,
('•olms,
lia SucU'lé a mis en scrvleo lii'i nulonio
Il "•ra .1,'.livré lu lie.;,, -iii
Storètilres, M. |,> ehanolie.
l.e lluy. I
sestoiiarsi; d opérer parmi elle.s uno Inlé.
•I.'irtl di's lllros
•Olr» benui oup |dii»i f i i n i i d i r a l i U ' .
)jle.> l l i aisiirçnt lu IransporI dos blessés •;eeleur ,li.i,,'.sani des («um'
au purtoiir aiio ciMo noaiiaj !(v.- I juiCs. il l'as
;
.\i.\f;.Ma
re.ssantc
.•.eloclion.
IM.
Jloime L'dhtliiuatlon !
ul'li'/lfj!:"^^
1.1 remindeid ij (les l)i.,niiis spéelan.\ : radio dnil, llorre. iMiivarc'li !
Avi.s A l v ^ c n o . W A i n i s
Ki'iiililéo Kéuérale, .iiii v iPi i) .eHilloat de
viliililt: peu < ommiiiie
I'. W. — A u dcrnlpi' nnnnont niiu> appic- Kiaplde, 4vrilU,ilion,diniclies,cU'.
dOp.il.
A noter i|uo, nialsré l'imporlanee de cos
Tr^sorlom, .M, le elian.iine i.ni ••inn.' el M, I II l ' x o m p l c
1' UM..ur,s u'uvres avant pour (dijcl d i l'errnl, s.'eriîlidee de r|.:v,'Tlh
'liOnM ((«(• le mark est lonilié à / i i r l r l i a lU,
.Vous lidére.sserons ecHainoinont nos lec- du(!aissemeii s.
i.iiiaiil nu\ pr.ipri-liii-. .1 I a.
ru.servo.s mathématiques
.)IM. los Aeliona.'iires snid cnnvnqiiés en Vs-miMiiali.
\ e n l r en aide aux lile.-.-és, aux malades •
Ma
l(;nrs en leur exposant de quelle manlère'la o u. non .seiilemenl d e oon.servéos, mais, do
le p. l'oisses, nOiM'e ,l,.s nn.h,
v,.s. il I,.|ir siilllr.i (i.- r-ii;
Jliio Kciiiir.ilo nnlliiaire le men iiidi l'O iimrs lolii
iiit In
aux soldais soid rallaclw'cvs à la .'^oeliM
a
p
c
plus iMipi.rlante de loidesnosSoeiclé.srran- plus, elles ()iii cti; encore .soiusiblement olerùiiiiioii.
Il 1' II. I !! do l'aprés ini.li, au sl.'ws social, «aro
,
,
,
,
1
repiVseiUaiils
el
ivipnnduil
.\lnsl lu.uyre i|iii donne (ies siilivoiitl.ms
iises de capitaii^alion (I '. la S,;iii:„i:iise plaoeîncids'''''
1.0 dé|.OI d, s lilr.-p,.!,:
dos (.liCMiins (lo lor (lépurtoiiioiitaux, à lliT.sl.
'
'
importants
des appareils aux
l ériinnés ; l ienvrn .\IM. les Cui'.'s el Ure|.-ur.s.
qiiliihx:,h,jn ;e:ijii.|,nso privée assujetlio
I" A la .-^ooiiil,.
Onaliv- ealépiries de snu.seripleurs •
•t^ el de Dii•Maljtré iv'ial do ffuerro, la s.v.Haiia/sc n'a
or.DMK 1)1 .1(11 l î ;
des Iinvrolrs i|u| «eeoiirl par le travail dan»
r.i
pWs il lii osl ;
Fond.itours. qui palenl un
li-.iliMn au cnntnde do I l'Ma:: a su ré.sister aux ol- pas ees.so un .seul jour do recueillir do noulos V ii({l aiTondiv-emrnl.s do Paris un yrand
iPts du eoulUI, qui, depui.s plus do (iix-liuit
il'iiu iiioiOh 100 fiMiies
i
.\
1,
1
i,'aro
.>0
(
les
Hieui
l
'
!•
fruw.âibp'o"''''''
'""'""Sk'^' wiislilallon de
%cUc.ss„uscriplK.iis.
Iiomliid de landlles do mol)lllsés; n r u v r o falloars, qui p.denl un
mnui'll.! mois, niel aux prises Io> jiWiioliiale.s nation.s
taux, à lliesl :
l.ellc.s ival.sees du f janvier l!iI3 au .Il
lies pcnii ssiyni.HiiVs qui lov'oet nourrit les il au ueiins 'JO francs
^moourm
aux
fantllom
uionibroa tilii- 3uropeennes,
• ' • • " - i ' - l - l i o a sur
ilo, :i, rue
.'!• .Ml si.-.-o .lol a.
<
ocem
,ro
i:)l,-,,
ivpréstjnloi.l
prés
de
VO
milsoldats des relions envahies cnvovés mi Itlro!) i|ul \ei--,.ronl iin eoli-Mion
l.(n'sqiic fui lancé l'ordre de nioliillsaiion.
aniluolle
Paul HoMai.l. l.o .M;
IKjii.s do irancs d,. capilaiix a conslHuor.
iiennisslon el no sacimni où s'ai/riler à il au iniiins Ti l'r.inc.ii ; 1. «impies odliércnlB, la
l unqilail :
^.Colles do hUiidepassoiit, à co jour, 0 mllI.P nilnIMiv d- la linci'j'i' \j>'hl iIm il>>i'idi'i' l ' a r i s ; cnlln lieuvro des oeicle.s du soldat qui vio'seni iMie eoli lion ainill.'ll.' de
'!'"••
nnllu;v„U.
lu cil
du-1! IVvi'li'i' ll>ir>. |>.<i'lanl iliii perniel aux Idi.'.^siis et au.x eonvalcseents 1 fr.uu'.
fins
in.ijiin lti>:i,i:cii!iu$ ri
•C•lllu•(•1^lon di' !
illUni'lll i l - illl\ l;l de «e réunir ai leur.s qu'au eaté et au onba.
l'Ins
ih-:Vm
•
I.ti . s r ; n | AXAI.SI-: <•) l » DéfeuNe
ivl, l l u l l ceiclos ont olo oiivoris dans li
•Ildllcs . ivc'iivi'» >11 iii'|<lii'lln.s, un à ib'r
'9
Maison Française (FuMiée en iSaO)
« S H S S S S a S S ^
liru.squonUMil piivce . p a r l a niobilis.illon,
litttiollllll!
•(iMccndiiids iui I'" iji'tfi
soul
nillilaire do l'aris.
di' i n l l i l d l v - <1
Allocations
aux
Familles
niicessiteuscs
ilu
ciincourç
de
.se.s
c
illaborali'ur.s li.'.s plus
•<li'» an ciiin'.i d'
l . e s e n i o e do lu llnyorli) a effoolinj dans
nopills
le dehul do.s hostilités, la .Vnill.L
liiii. • h' s n r m ' .
aolils
qui,
p.iiniiiliei'
lurent
aijpeléK
aux
raient eU'iuliic.les hiipiiHux l'I au Iront du nomin'oux envois
idMIiÉii- Mil
i n : s 1E(HULI.S|':S
_ & r a n d ^ a ^ s i 3 s dliabiliîmacts^
iiniico-, la .Si-i/ifaii,'i,si envisagea la siuia- ".••we a su |,ailaili.-iMonl coiii ilicr rintérêl
•U's aux r i n l i l l " < d
'
, i l , " l i ! r , o s p è e c . Plus
do SOS (jorlour.. do iilu.-s avec les devoir.u
inllll.divs in-iMi'i
lion avee .san.;.|roid.
spéciaux
que
lu,
diclaiont
lo.s
Mécc.s.silés
do
" liO Ml
liii'ii''ill,il f.'i'.i lu'.'.inl.i l.nv
do .111 UNiii \e onienis ont oli> ainsi envoyés,
l.es 10 el |.J |:,|,vi,.i. demi..,' .M. |.,.,-.f,.l
Apros avoir pri.s Ic:
,propi'L
la Doronsu naiionale.
• II- piMlliiinniiir.' luiiii'j-.I
I, effort ait par la Société do secoure aux du !• nlslere. sur llnvil.iliun de .\r. lo .viinis- sauvejrarder .sa.siuiatlonmesurc.s
av,v
llnanciéro, par la
, .IIIIVM dVIiil civil dcsih l'rt 11 .••l;dilll' s j I
in|lilalrert a néeossilé uno déponso ro do I Inlericni', a -appelé l'aiii.mion d e i con.scrvalion de.M-.s re.serves (dont le oliifire
Kilo vor.se à la l;an(|ue do l-ru:ico toule.ç
. Iltii d'ayanl-iii'iill. iinr ,
onc.-iisciin.sidoraliloijui
•lovoà ;;Mll.iiOOirunos t.iiimnlssioiis Canlomdcs «l ir.\p|,e| des alln. di;pus.>e Pio niilliuii.s), naraiilie lé-alo ol pi'i- les .sommes ou or provenant d..
'VIE de l'iivl-. MIIICII'I ih illsn.irdl»!!. I.u
senionl.s
l-,llç a, d'aulrç pari, ..pporto aux
ainsi reparll.'i ;
ealion.s mllllaires du déparlemenl sur la sl-v i l . - e cxelusir de.s adli.ironls. la H m t i a J l s c
innndo ne dcviM Olrc runniil
•inpniids nalionaiix plus de l.'i millions de
llopltaiiv, inodioanionis ol pansomonis, nalion pr.'calre que eréall fi eeri.iin.-s l'miil- ll^oc le concours d'une nouvelle oullabora/Wa/r/o,
3S
- i II.
'Iiiii'Ilirin l'cni'Hilc il six
l.iM) iranos; jjdlrmoi les <lo (rare, pnsies les de uiol.llises la proloimalion de la unen^e, lion on grande pai lie léniinine. réo.vanisa Irancs irciilo.s, e.spccos ou l,uiiSi. ot oonli:i'i niMlii».
. l-cs di'n)nni|.-i de M'cnnr.' Innni
lie MoeourH, ennirin's, :l„Mii,olii) frano.s ; se- nnlainniiiiil «ux famillos des nrouriëtairej, comp.cteinenl. ea quelques mois, tons
nuo a y ull.'cicr luii/,v xc.^ ilis/miiiOiliU'.-:.
V ê t e m e n î s Confectionnés e t ' s u r W e s u r e
Ie.4 riiinlllcs ili's ndlll:iliv,<
'ji.ll'lls -.ei'iini cours aux leiivres dlvorses, 'Ml.O w franos; lormiors ot métayorn, auxqiiejl.v, PallopaiitMi services uderleur.s et extérieurs.
I iU' « p i - i ! i ( i o u q u i
<;iiii<-iIlo
1 •eojnini» li'« dcni^indcs de «
'CMiU'-. l'uianaiil aidomobllcs, conslruelkm id oidrollen, :ivii I pu éire refu.siii) h caii.so do i'iniporl.inee
Uu l,iil .|o celle raiiido ornaiiisallon :
avi-<- u n jK-te p a t r i o t i q u e
de» rnndlIcM de- inlljlaii'es di.CMh-.s, mires
MiMion triuics; envois nux Inlpltaux et sur ;le leur cxnloilaliun. .M. lo I-r.'l'el a l'Iip ,„l,l
t o u s les \iviinQ., eurent lieu clu>quo.moi.s
p o u r H o m m e s , Jeunes Gens e l E n f a n l s
m'en pur le^ aviinls-cliMll 1 K.'Mi.'c.il ciini- lo iroid, I,.'1110,11110 francs.
ces (.onnuk.slons que, sonveni, à riie i v ae- avec la niomo ivu'ularllé quo par lu pa.ç.sé :
Il résiillM di; res oonsldéralions. ,jiic les
innndiinl Im viilullvlslnn de l MU' linniielie,
A u déhnl do l a j j u e r r e . la Société no dis- neile, plus l'cX|il.)ilalion esl impur! .nie. plu, . (iiis k-s l'oïlements do liiro.s arrivés U
dhoroias ,1,. 1,-,
conlinuont à as-,
msalt qiie 0 environ ludl millions do francs. les dénoiisps l'ésiiltaid de 11 clcrlé de I , cohçuiicç ou amortis par tira-o.s lurent opè- suror la |irosperilo linancièro d u pnvs.
FAmÏL^OArHotraiszs
"
l«m
maoourm
I.est i;racp la j.'énérosilédu puhlic qu'elle malii-dVuvre soni eoiisi.<rahli's de sorie ,p,>. res imincdlaloniont ot Intésralement :
Ils adhoreni à uno oniropri-o doKÎutpi'eixvoi "rîimo DU' C M O C Ï E
vtz Kiioiïr
auM anolana
mlHtalroa a |iij lairo face ù cet eflori odiisidérahle, Kllr lieniieimp d'expinilanis se Iroirveiil .
loutc.s es opérations d e l à ::iOiiu:,uiti.-<c fu- mior on ro. d uno .s.didilé éprotiv<-o el d'un
t.e mliil>li'o de l;i iiiieiTe rail Kiivule iiui- o.spero que cplle «éaérosili'. ne KO rnlontira ses avec des (llf(lcnlli''s sérieuses. I l
compris les opérations do ciydlt plus que jamais inallaquahli!.
donc
l'allnpidlun . ,|iinrnalléiT s|ii'eliile inVvne i„ii' pas ot lui permctlra do ri'.stor Jus(|ii'au bout fait appel ,iux seniiiumils d'Iium inil.i de ee< pli'iS t't l'ïlCiiUtSi
Ils s.juscraoïit à une opéraliuu Unit à la
le déei'el du l " Jniivlei' imr, n-eM idl.Mieo a la l i a u l o i i r d e sa Ificlio.
(.iiinmissinns, alln (lu'r.iles |u(.'enl ce siliia.
lois .siiiv, pr.itiquo ot inlOiv.sbunto, ainsi
•«iu'(ui.v nillllalrcs ivnvnvé.i d.ms leui's rnvevs
"Mveil.
lOlaii-e
;l, /.es .S'yeip/cs l'e iM/i//.;//s,i;;on nul, m q i i i l est aiso (lo .scii rendre compti! on doon iilICMdanl la lir|iiiilaliun d'une pnnslni'i de
hnce
'
niandant au .sK-ïo social do la kkiuam'is,'
rolrnlle puni' liles^ui'e» .m Inllnnili's nu h
l'ae ime eirenlnlre li''lécrapldque du lii enn- l-r:inri'. lin ylaliil li-ij:il ; e//c,s fonclioii,i<;,l
/11.
rue
d.Vni.-lenlam.
a
l'ari.s,
renvoi
gra'Itotineallim de lu di<rlsl<in ininiKliiiirlIe sur
M 'n/i''
de l'inl,'.rieur vieni de yoiis h- rmUivIc <ie n:uu cl U'iim iiiHiviilions tuu des nolic.vs et documents édités i l'ii
•Iinii pi'opu^lll.m de h'rwrnie. Les liiinnnci
.v^./K ;•,•!/,es
/a /oidii /,'/ ili'crhiOiv
l;ii):.
,0 du pu),lie.
VENTE
WILIÈRE
•'n^i ' . T i ' " l ' I ' " " ! " " , ! " l'iii^' «rand inlérèl
renvoyés dans Iciu'.s fnyei'.^ MUII- uvnlr deuil
27 fcvi-ieiu line pension <in ii une Bniiille.illiMi de iv- A u eonsoil do.s inlidstros tenu mardi do a applleallon de (ws insirnellons ,,| n |,|.„s.
forme ne peecuivenl pii» rallnniliuu lnuraii- a seinalno dernii'w, M. Malvy, mlnlstro do possillîe,
'riiiile f..innii' (lui soiilïro d iiii l i i i i i h l
'
I'""'
IIOlv, mais ils p.Mivcnl snlilclier un seemii's 1 lnl(!rleur, avait ait part do son Intention
que
de
la
i
i
i
o
i
i
s
l
i
i
i
a
l
i
o
i
i
,
l'è^ICH
irré-ii)..
.
•s .)U
M. le Préfel ,iu Kinisl.'.re vienI, en eons,<Apache, - 1,0 1:1 .'évrlor, <juiilro jouue^R.Mn
A lllre d'iineiens miiiliiii'es, l.eui'.- deni,miles d l n v l et' le (sénat a Inscrire i l l'ordro d u quenee,
iliMiloun.'Uscs. r u i:\anoo ou on rolai'd. I'<
it - l.-iM • r.iHl
d'invilor Ions les .Maires du dépurlo Oiimipcr. rovouaal d 11110 piirlio do pèrlio, Ton
H(in lonjDurs rnlijei ,i'un exiunen i r è , i,|en
LIMIOIICS. i i i i i I i i d i e H iilléfioiii-OK. iiu'-li'il '. lilennint
a
faii'e
connalire
aux
fomlllei.
(tor,
luroiil
so
faire
servir
à
lioiro
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déldl
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siiilos:
•011
sur la taxation dos denrées ullmontalroi),
iilip
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''S-.' P,>",i»M:vai70c. Km lalsûn do loii
Olicis. •jiicMia Mircnionl sa.is i n i i l soi! ljc..oiii de
Dos le surlendemain, I l était servi 4,,, remliltairoa
amployàa
otat d chnol-. la doniosil,p,o v,.iilut los éi-nn
roeoiirii a une opéi-aii.u;. rien qu'on iai-au! ii-.a-e d
veaii\.
bours pur le dopOt dn rapport do M. l'erobot iMultô, en Invoqnani les dernii'M'es Insl •n."
G i s é r Ê e
auM travaux
agHooloa qui repousse la taxation c l In réquisition
dulro. Ausul.il l iin d'oii.\. ,loan .Maro, 17 .mis
li.ll.;
hai« ' ' " " " d a l r e une nonvoll.)
ouvrier
ziunuuur,
l.ranilis.siuit
uu
couli-au
d(
.u -r inanog.; ri
f.es inllllaires emplov . dans .. les éqnlii.. sauf on ( 0 qnl concerne lo suoro.
requête dovsnt I c i Commissions CMIOUUIOS
ouisme, a l,imo elljloo,qu'il voiiail do sortir de sa
i n i l k - , voiitilan«rleules i, cnnslilnen'l (le vérilaliles d.'Ia.
CHUTES DE MATRICES
1. l'.n rivuimo, conclut lo raiiportcur, votro
pooho, soonu : « ,rui dojà uié mi homnie avoi
' T H " ' " " " ' ' «noi rail "!û"Cl.lV.s. laides,
cliemcnis mililaiics en adr
'I (|u,: l'on eommi.ss on, .•ipro» Une étudo iinprofondlo vènn i!'n1
i.M » ; puis, oomme l.e r;ao, Vn-s,
mis. char
'100 I : ..' •p.iillo, U.elles n'aiironl simplenieni ipi'à ,,réci- D É P L A C E M E N T S OES O R G A N E S
lilliqi.ienienl eompo.sée de p i a i l l e s i l l o l f o i i s i v e s j o t l i
' peni considérer emnnv
•rvlii.i cem- lu problème do la vIo chOro, osl lurlvéo ii \nnu
ser
leur
siluallon.
Les
némes
h
s
'oeiin
,
rmi a (.ann;,lan eiilrait i, 00 inonind. il le saisaiit (le p r o o i l o i e s spéciales q u i m i t é|.'- é i i u l i è . s 1
An D i s K o i m I{<»hï.<-I|ou, ,1ic ur ,iu..
:'. U- .s.u iazin. ;,o
mandé,
la ronclnslon que la taxation (rénorull.<(io ne onl d'aillé,nis été pnriées . " a' con à s c
o \ | i i r i : m ii|. e , p e n d a u l u'e l o i i f r u o s unnéo-.
mou a la i^oiizanv ha iliv!.o!.'ro(iistP(l a , sit par los cpaulos 0 . ^ans plus d o.\plioulions, le
'
av..,iiio, u n
l/aulorllé mllil.dre a doue ilé Idé de les <|onslllnerait qu un rcinoilo Inellleaco ul des Commissions compélenles.
n d r a xur, luian eux biaba nuilciiriou an frappa par doux foi. avoo son oouloau, l u i
La . « I l vi:.\«:|.:
i ! , i , i , i ; s c u i i v . s i r.iii
faire prolller à loute épilii|lle, niv'l
s'ils Ira- diumoroux, (,p n'est pa.s aux symptrtiuo.s du
fai.saiit
iiolanimoiit
uiip
énoruie
lilo«suro
ii
I
.
I
don, l l u v a r l u l > « i i r » ' i i l ( > i i u n <loimrdroi.çlsus
e x p i e , i i i e i i i p o u r ,i;ii,'i-ir i o i i l o s les m a l a d i e s d
. v.dllcnl en piilil Kroiqie, de In m liiiMlion dx
•" " " ' " l " » " ' . mal» i» ses
oll 00 e .sivO, al.alaiiK.iir d'iio hilmurou teni! joiio. La bandc se s,iuva idors ; mais lo maire; i
a l o i i i i n ç . 1,11c l e . s - i i c r i l b i o n par.-o q u e l l e dé
Holde de n fr, i'O en ,snsI de la n iiunaralii.111 "auses 1.
•M.
ioiiard,
qui
arrivait
sur
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Im kalol. l'ehcH U,..lou iiuul ou hei - v i t an
lo '."I sei>baiTas.sc 1 i n l i - n o u : ' do l o u s les é l é m é n i s i i i i i s i h l e s
«péelale a laquelle Ils ml drnil,
Comme eausos prlnctpalos d e l i i v l o cliôro,
Ir
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."»ï<'-llii>Ue naît dn priivoiiir, oiiiî.'ii.ïnii l iia d'eii.v. pro.;i«.-. I
iilIG.
(-•lie ! a i l c i r c u l e r le.saiif.'. ,1 eoiiLes iiei'iidsslDimaii'es Individuels llbri-s .11. l'orehot cite I eneombroment dos port»
i.'i-.s|iuiiiio les organe..., e n 1
P a r i s , il lieu, bopjonamantebod. moal autour des cnips do oonleau, ol, nialRi
^nnllnnoiunl fi éire p.ivlés, siiil d'après les (;t des ç iomlns do fer, et la dlnieiiltô pour P r o m i ù i ' o souHoi'lntloii clépnrtomeatalB
:Omc
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rp.usla„oe,
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ii.K hup cnouch ar lioazamanchou, da «as
t e m p s q u ' e l l e les c i i ' a t r i o o .
•tni-lfs lialilliiels, son d'.'i
prés des liu'ifs ma l a u r l c u l t n r o ot pour l'Industrie do so pro
en la'vour des couvres ambul.-incièoos
. a u t a n d i K k p i i i i - I . u n z c t l o i i l i a d ' h e r pa- jusqu'à I arrivi'O dos {(endarmos.
.lorés Kuspeplililoïi d'élro' Insliliiés lui com eosslU;
l.a . l i M i v e i i c e do l a b l x - Si»iii-v
uiarcbamilsos do jiremliiro iiiJ
fc
t o u t e s colles s ' o o o u p a u t ,
>aiis l'inlorvallo, co maiival.s jfarnomrnl
rea a-sromi : U varc'haia polloe'h, o teulV t
de la belle saison.
n o p o i i l jamais étro nuisible, ét
M'.u.-,- on '.<tiî..»vn.v. voi>;ik u n t i t r e q u e l c o n q u e , des v i c t i m e s
da veza lie vourroo ho-iinan. Hak-se ex onip cnall, parait-il : « tas la l'rauce : Vive l'.\llo
Mois, dans Ions les cas, soldats el embnn
I l y a «urloul,répé(erons.nous, le manque
loulo por.soiine c|ui .soullro .l'une
ouru/, da Komcn d'hon leunerlen o leiiio a mufrne ! ii
de l a g u e r r e
clieiirs sernnt jirévenui) des lal'ifs adoptés <lo personnel et les Intempéries,
ptiuni.iiivai.-o ciroiilallon di; saii:;-, soi)
.il, 1.1
(le manière a prévenir Innic discussion îi
Le eomplo rendu adressé dans loiiles le. ncvoz an aotr. IJCLTOY, î.',, tiailMur^iSaiiU1.1;: C.
r.-icVe.s. filiMiili.y,
,„V/e..' soit
\ o l r s pu illes sont Impuissants contro le.s
i M- L u
.uv.ioi, ..•nn h „ i i loue/.
mijel,
tdeinpi>r cs;, mais 11 no doit pn« lour Otio mairies ol indiquant les qualrc réparlllion- Marllii, l ' a i ' i N ,
. d o
ri.siooi.ic ou dos ni.-i.<. .•hi.Impossib o de favoriser la imiln.d'ontvro, sneeesslvemenl. 'fidles des' sonnneV reci ? i - ha;.ï 0 lui-, ,Li\i h c - u i i a u : g o a / t i d , i i i i - i E.v.jtr tt
I c i i i v . v i t p o i i i - . . <:'(.>iirt<-iiii-!if
•••l:aloi,i(;, 1
Oumul
tio
maialfaa
«••lic.î ha l ) U K a l « . C liuià l.a;; n ..ou/ disi.
ui-deli'ido eo qui n été fait Jusqn'lel. I,e.s Iles aeensail nn roliqnnl de T.îîTi l'r 55
soitm.ilai.'ii.'s
d
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t
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M
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O f l t I l AWr;, doit rn;idy.v,.T l.i
A
ititiisoiido
Lo snqs-si erélilire d'Klal do l'iid.<ndan
U « ' i i u . | i i > i i z o U o i i , nu -ciaorit l.ot ar i,-,eLo voici la réparlilliin ii eo lour • '
hommes du servleo iiuxlllalro continuent ii
«•oiniii-Tr». ...
.,11 l).>iir^*|pnt de prendre <|os mesure, „ii vue de r
ili.-ili-ir.a:,
ovil
cuu
ail.
iuiy
i
t
d'Lo
eaoïit
da
:
se nlalmb'o do rosier désceuvnVs, l ' o u r q u o l
de l'îoniS.iî.H!'
pla.vau
.primer Irs abus résulinni dn rnmul. par les nu los l'opartlralt-on pas on trois séries, fi
L o k o u n i i u i - I . e o i i , .sadorii, x'ii t'.:ouevi'Ci'
<iùvtVB!)CB d s r a h h é S o u r y
Lll .
iiBentH et i.nvrims do l'Klal nu des adminis onvoyor a tour do rnio en eonuO do un mois
bûtol dos Voyaiscur».
m
l.e.ile
.•i.iili.inoe.
(..ir
elle
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s
.Viil.' l'iov.j.s(ration» publiques moblllsits, drs salali'ei pour los travaux do lu terru?
JTRO.'IT. 3ul, ÎT, liCitcd Continental.
jiiilHei'sdo désospén
tic. .1 iq.jo I ,
«m npnolnlcineiits de leur siln.illon dn leinpi.
^ E m s
F L O T T A N T S
L c y i i o v e i i , k m , iS. hûlol des 'Vroi^^-Pilici;'.
Avec ces pornilssloniialros ot los hommes Salol-Pol-do-Léon, Mw fr.: c ivl ' . l l wi,
Le llaeijii;) ir. Td dans loiitosles phar. :
;ie pal.x avee ceux (|ul leur sonl alloués plir
fr.
:t.
du si.iryleo arnui quo lo ministrodoln (fiierro
ir.ii.oi) L'aro. Les trois ilaoons, 1 l f.-.
.leti Iminsirles nu adndnisiralions qui I
î In/sf',""'" r ' " ' î " ! ' ' " " " ' I "
''"K?>',''»",-'',i'",';"
I ' ' " " ' " ' f " iiiosuro, In vIo Ji
s ère nr soniilers ou mobilisés, :,U0 f r •
— iil..! iiiamlal poste adro.s.sé pUannaei
•enqilolenl depuis ),•» nipbllisalinn,
I.tiitduii'i-ex
ovidonunent dans lus campa.
.-B. I f J l â O y i
•
i K ' ; n » . \ i ' i i ; i t . il lioiien.
n o, . . ' ' " i . ^ " ' ' ' " ' ; ' " ' '
Serbes, tOfl l'c
,
l'Oanloii, na.
Sold.it,9 camhriolour.<!. • - La villa de raini
"MmlarnlonaufiÊ'ytaHéomimalPo
o r,; .
""il'/'-V.'oililairos de Ouim, er rul Proilliel a re.,11 la vl.silo do quolipios soldai." a raiiillloi iaiio,ii hcnidez e Kann dro l i e i /
(\oricu eoxri:.\'.\xr NI;.\-si;UIXI;Mi;xis
llor,s do là, pas do romèdo à In vlo choro,
f.'lnslruelion rclallve à l'admission au prv l'our falni pousser lo blé ou nbondor lo 1110 f ',1 .^oclulé dn l'u'uvre ilo scco ii's a i r lia a- colùiiial, casoniiiii PloiidiiImMoaa. I.os ma. - Ulfinxedan D i H i i e D n - B o n z o t l o u .
Di;ili'ji''i!< Uu. ai,.-J.;S1 • 'fciinJç
soldais sans famille, u olu'dcaiilin n o f . laiiilriiis 11 oiiblléroat nalurollomoiit pas do vlsi.
r u l o u r o r . c i i i l o i i a r , ( 'lioiii hajr a /n. |
laniie mllllaire, en ItilO, esl déposée au b i bourre II faut
cev -.rvini,!
joi ns
.... niitro cho.so quo dos lois ou imvruir
do
n;nion
des
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die
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lahouriou
ieiiii.
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hra.suc'li
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l'cau mllilaire de la préfeclnre, I, ilnimper c iloît arrOt('i8
lur lo.s oavos. Ils onl ou oiilro eiiipurlù dueluiiev
li.f certnliiH
iimifnitiu
otrstM.x. 00
.1.. ••111..
•le
II. ,'. :: h.
do
vlllo ïlli
....V,.^, Kt
ui-ttiuiin maires
iiiuil'cn
'•-ed n'euf. fors piuu da |v;u,iil an iVl rnVi o
.i,lu soUB-préfeelnre de Mresl, oi'i les liiléres
f Vis ; v i • objols.
i-.ii;f le
o- d;mau.:bo
l'on no • ires f i i i n . ' . ^ i i " ' ?
i,^
o.lîouz ne disI.,M».
uiii;f< panrront en prendre connidsHanen inii! n ont pas tai'do il s'n|)orcovolr (|uo l'o
«'"«'^'ai'eo aux mi l
|)0U l|.
-uas J . a l o u r . t
IMoiivien
/.«•IIoii pe our ohlenveil n!! l„.i,iia" li-.- -i '
lo.j Jours, dmianelies cl Jnnrs fériés execplés acoroto pas la vlo A bon marehé, l ' n pi
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J.,.lli,•.•.•.>
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lA'H fnnilIlcK linidiani l'arromllssemcn de
v r i " " i""
""iiiuio, us «vmuiuvoulu
A y i s . • 1.0 prl.x dosiillllc parjumonl esl 11-,.''
r.vie. i r i..-E(ïi.v
«lot n t i ' T f : ; , . o » / . a U u W s , à > T i J s ( i h o \ ' h
Oehor os paysannes do veiidro lour
Jirest (loywnt faire Inscrire le» enfants, goll 0
il .s Irancs pour tous los étiiloniilors do la cum
Classique
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jir^eclnro de nrosi, d n ' i o avril au iri mfd l'<i<>'Miiiivr>
l'.n c.;iis,se ; 180 fr. 10.
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inlsant ainsi un temps nriioloux ot
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Lo eon('Oiir.;< d'ttdniis.-ioo mira lieu ti Qnim tllos déponsiis (|uollos faisaient en1 vlllo
BiirMu j î s i]')itj:,i3s de Brest
llarôa'rvu'lm»!."'''
'''
'i^'
A r r e s t a t i o n . ~ Vvos Iternnrd, ;io nus, do
' P ' i . le lund 20 , uln, (i 7 b, a/1, dan» nn loca sur lus marché» on m ' t r o u v e plus quo dos
mcçtlipic do rorme, <pii avait dlspiirii après sVir.
nuirelnindcs, qui préliivont naturellement
, Klçlz a lizeri'a deu liemdez d'iie d r u " a i v •<«»ul sera ulICrlenrement déslnné,
1,
P[acB
Emila
Souvostre,
fKaftLAlK
un bCinulleo lionnéto ot pour lour temuM, et ri;.;nes poslérleniTmonl i, la clOliire le a livré il ilfii alloiilats à M pudeur, a lito arr'lé i
,cai (la vezu ;,'reat aiiaoul ar iiio.ltioii "h,,,-.
••Aohata
ao hoia
noup
l'afinéo
(.lulinper.
I.f
\<-:t.i-i-iîi :i
pour les mauvalw compllmonts qu'elles ne/•.(uluz-zc. l;ak-se. e'houi h;::; 0 pou/, iioaii
XI.M. les mareliaiids do bols el prnprlélal coptent do rocovolr ii luidaco dos fonnlorcs
1- lioiii u ve mad d'oo li moi.l % l l ' d ' a , (
r,ri(j,
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absentes.
ar p a r e r .s>(-o:.iI î l l U c I , Ken n.culel".. ,
tlellc î.ou'scWidinn roslo oiivorle
Itésullat : le prix du beurro lo moins snl2Ju Pin stJirc) KonI Informés que le sei'vlec
iir 0 liazolennou braz evit ho vadohorou. \
E n f a n t écrasé sous u n tas d'ajoncs. •nu gi!nlo est aebclenr, avee jia emunt fi Iren- çne<ist en ti'iiln do so ll.xcr au-dessus do
Spécial!'îldeTÂPIERy dïmbâiîâgë'
.11 ,(/. 0 voxii Oiin bon louez evit respo, a o a •
d é p a v t o m o n t a l o Lo polit Jeun-Mario lUdou, àao do il ans, dn vil•l^vjour», ( 0 tous los bols en Knnnes el I ' h ' fr. 60 la livre,
o u v e r t o sous les ttH.yplooB
los la- i-.<;U. n u T c l.od l.a I m a a l e :
luKO do Itourol, éliiit uroupo il
comprend (pio cotte loijoii soit jugéo
de nelaKo ou débités en plots d'oH«no«
d « Consoil (c<!nùral
[ t r o s t , su!, JT 0 h.Hiovrer, héd. de l-'carc,.
oliii's
d'arllolmuls,
li
oùlo
d'un
tas
d
ajoac.i.
'loul
.•I" liis?i.i!s inipr.:
.iulllsanto pour lu moment, l.o dernier mot
Ilelle sniiscripllnii, elose le I " lauvi,.,. £i ouilp lo las s aballll sur lui.
I? co'i.-.immati.j;
n est copondant pas dit, Uorinins ai,'ltos peu«onstruotlon mi eaisserie.
A l'iiidode voisins, la fc'niiid'mére ilés-iiiroa l'eu
.S.'.ljsi-iaii.-..
..t r i* / ' " ' ••
•'»!oiio/..
••Lan offres do venle «leronl reenes nu bn- vent r(;venlr il la clnir«e ; et les atyrlculmorc'lH-r, 1 nioiir.s, h o l e i
finit;
mais
1
1
e.npira
dans
ses
bras
au
liuiil
d
«mrs eelalros (pil se sont d(!voués pour niKsIon d.'.parlemenlale ainsi rni'il s i '
; P a p i e r s à l e t t r e e n to-us
geare»
quolquos mluuto.s.
I
•••IS
fali'i)
entemiro
raison
on
haut
lieu
feront
^ M d m p n l . . " ' ' ' ^ " ' i ''
l ' o ï K f - l i i - o a / , iaou.
hou'l de.s \ oy;
SFtClAU.i! pour BOIÎEAU.X de TASAC & COlPOr.TEUES
• 1,0 Rorvlee des bols reçeil les offres de bien do so tenir ou éveil.
Saiiil-Tlié^'oiiin'c
fftundture de bois tendrns d'explollallons
K . - j t i j i o r k - , f:won..'r, :l, 1,01. du Coniiiion-.
Grcs.
Dcmi-grcs.
Vétail
— Pl^TX
lltûmrS
U n caporal r ô l e liua bioyclotte.
1 1
locales ou d'lni|inrlaliun,
,
«i'ilorii, i , hOlcl il<
caporal du lii;-, dlsniil s'appolor llonrl Fleulie
<lo .<li5elnralloo, les coupes et
/<.r„
avilit loué 11110 hiovoli lie il ,M, ,loiui l'ourci soi
Iti'i
•|<i:if(î i i i i i m a ï K l c d€'-|»aNKaiil V.! fc
K i î n i l . ç i - , siil. .•,. Loi. 1 du l'aro.
Moclis déeonveris pourront Otre Téqii sillnndisaiil pour aller fiiiro viser sn pprinl^iou i
dii;e f i a i
1 (1>/ i i u r f c l <l'tMiiliull.-ii...
ioi«li-Koi-ii... Uni, 11. Iiiilel (lu Kranoe.
vher-Cliiisl. .\l. l-'ouivl alloud ciiooro s.,i
I és sans nuire formalité dans un délai de
; >v(cc-aoii. niours,
holol do i'iance.
poloiir.
j!'»rs il dalor du t " mars lOlfl,
yuimperlé, Ï.ÛOO fr. Soll au lollll • îiuHin f r
.-^l-lJi'n.-L. i i i c i v i i c r , b, holel de l'rancr
.M.\f, les fournisseurs sonl é^alomenl loH
ô
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s
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f'n'inés que, pur décision inlnlsiérlelle. le
yill.U
H j p l l a i u tompor«iroB. — .\rrondlss..rneoi
U u v i l a i n montiieur. - - .losi-ph 1.. i;,,ir
de uelud de Ions les bols de cunsIruellSn i>itif:ni:M
l . a n i i l o i i . sul 1-,', liôtel do J-miico
•et de eaisserie dessencos londri's nécessald'IiSijulbicii, soldat au .SC torrilorlal, a é!ù anvi.
l . » n a i i ( . iiicir'lier. -."i, hol. do Hc. la"; e
Pour prisonpieri de guerre
IV'S ft tous les services du déparlement do lu
pour s'élrc pormia do fiilro des uoslos uljsel-ii
.^reiiiiii-oii K|ji,.i,ii a <• l i i z i i c v c / .
La Soninlno rollulouse pnlWi'e l'iivoi-lisnv
-•Onerr»r
du liuiK du Hl(jiit-I''ruai«i re a (k-u/.l,,lIo( l/.ili.
'
iiivitl SKiendI liims sa piii lm ojflii.-ii'lla ;
I a skriver euz nrci/î, i.as ,i| h>eri d' ii
line f o l i de plus. Nous devons melirc los
ao rantonto
tlo
aulngamp
*ltàiiùt
|{rioo-(I«'-l(>(lo<
Ildcles I [1 Harde eonire eerlalncs rormuleu •leinenl de Qiiimpor, : .'.'M H' • à r r m ù n ^
Loilgsu ^evit k a o u t kToe'hBc k a ë r
Lo I iii -i^
Voleuse arrêtée.
H ,v n irols som.iri
C'iUor •ioilil
ACHATS
de prières (|ue .les |iersuimes iKiniranlos, nu
noii.s parlions d'au vol do l'.UOO franos com:- •
1* Do lonles niains do chevaux d'i^tfe di mal inlenlninneos, font elreuler un peu paruu préjiidloo dos llls l.o .Moigno. de l'.upiciii, "
1.0 PiImites ciiléttnries de fi 10 ans inclus (1 imi Innl, el Jusque parmi les snlilals du frunl, yomiierlé, l.,-,00 fr. Vida
• (li.l.-Jli,' Vollllil
i S
aotui lloment nu front.
on lil)::.
•et an-dessus pmn' les 1', s, anxlals*.
OSI (le r ; Ir. I'.ju,
L.im prières, lo plus souvcnl rldlenles en
La goiidurmorlo a Uni par découvrir l'aiitour
on li.'<l<<
«,»*'"«''•" (nilalos). - Arron.lisTiins res animaux dnivenl Pire en service cl elles-mêmes, acennipasiiées de signes mvs- s,.
••iiileinonl. on I.fi'
/!.>
.1
I
.
...
I
IVii.v
Ù
1
du
vol.
i;'csl
Cnlliorluo
l.o
Moifriio,
domoslluuo
laisse:,
«pies il enirer Immédiatement en eampairne lerleux on d'indleallons bizarres deslioces
••<11. Cil lihi-.iii-i.
(lui liulille avoo su uiiu'c. Kilo a rcsllluii l.liOU f r '
• yonto de l i i i e s sur lo niarcl
(
1
1
fr.
Il2* Alix éleveurs et en imnibro linillé, les a leur nssiii'cr une sorle de vertu inaKliine
lii^illi;
Avoo une purlio do l'arBOiil iniimpiuiil ollo s'était
-iiit reçus il la Ijanquc de l'ranoo, •.•., ru;
jibovaiix do selle de 1 ans (nés en IPPJ) n sont
-'•P. il
». iMiiKcr
«MK^'* parmi
l'MMIU les
H f» Ipraliques vaines el
.Sr
mi
re
l;cd
a
e
licll
lloiiraat
ar
o'iiroc'liea
war
I
o'i
aolioté uao blo-olollo.
.•\r iDcre l:cd a e liell I1I)IM-.-I..I( .I..
, . ,• . .
l..adzi\vill, l'ai-i» ot dans .ses .-.iiceaival.,les I>. 8, (le a ans (nés en llillll,
sell au tulal : 2.i.n,-,o f r
Kaoul lk,u llaiiiiii on eue oher iiiiplij e i i ^ a u die'i
i . '.a
• • ton...
11' ,.„
•Ame eliréllenni
dont
bont seuls admis los ordiv.s donnés";,ai il ra OUZ ar Iirou lion ilii zond da rida ha Uas a v^ \
Nolt, — I,cs chevaux d'allelnue de .4 nos ;upersl|llPiisoH,
i; vont
, . . , , , t u ,nvec
- , - horrein
iiorreiii,
'Slsnvejoa a r S a o u l a g â T
l'^rfî'iié-Arinol
dnil ....
s(! t,,
délniirner
R
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p
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n
n
o
l
l
o
.los jiranoais concoriianl dos liiros o o l c i ii ur n d c u , nui'/, oiiz anezlio dlja.
t.er es, le devoir de la prière devlenl, dan
'du l"''jui'n"''
I " " " ' ' les elrconslanccs aeluellos, plus néeessain
M o r t s u r l a route.
Lo dimanolio U fé- Loiidros, timbrés français ou non.
.\r slaulilloiiii : I f f w e n n o l t ;
,,Cenlre ,1c Hresl. 20,000 fr,: frais ,lv„vol vrior, on ,1 dooouvorl «ur la itmiido routo près
A f uieai-in Houdnrt
Les donnoiirs d'ordres devront ius(iii..r
el pins prcssanl que Jamais Kl l'ivilse lo
. \ r V0(.vsliid : !) l'oal ;
Illnérairo pour lo mois de mars Ifnn ;
.CO.S lilrp.s.se trouvaioiit di-ji'ion tour l'o-„
An hanto;--voo.slad : à roal
lu.oin du nioullii do Londu, lo oadnvro d'uii lioui'iiiede que
MorUlx, oliamp do foire, morc.rodl Ki, i rappelle niix lldéles sans se lasser, .Mais elle ^,,T;;ùl.;Bénéral.dcs subvenllen
•s.sioii anloriourenionl au 1" aoi'it l!ll. o u on (^,1 ii|)o!ii>.,'rozou.
lia il 110 ans, étraiiïor au pays.
il liien soin d(> leur apprendi'o en même
A
oafbmoxounck
7 i'-.' ^^S""!,'''.'"!
f"!!'". ,1'iudi II'., lemps que l'effleacilé de 'lu prière ne vlcn'
nit i omoiircs .sans iiitorriiplion doi.uis
l.a volllo, octlioinnio avait dit, dans 1.
iL " rollqual, soll
•tto ( iitc on la |m?ses.si(„i de Fraiieaisl
roi oii 11 étiill eatré, qu'il élalt (farron bo ' m
pus, cnnmin pni' une force seoréle cl nié.
ssl^'l 8 11, l / ? ' ' ' ' " ' ' '
U
n
s
;
,
Âcsct eo g a a i a n A o i r o u MOREUL h e - u s s c
<l'i • Courilei.
eali que, d»s paroles ipie les lèvres nroiion.
B'or il Korifost, on yiiuméuovoii, ol "ipi'ii .liiai.
du l'i::
Les tlircs seront re.iii.s il l'appui do chai du Uh.'d.'.i.i.t
Les loonlltés ol-dessous seront nrobnbr
\r..ol(ole r i , n r d i j e u z a u dlen-zo.e vo mad " T . m "
eeiil, mais qu'elle dépond unlqnnmcnl de.
voir sa llllo, domo.sllquoii Suiiil-aidou, ou ij-ju. s- que ordre. La IJanquo se ehar forâ U; i .
•)i i
sjnent v i s i t o s pendnnl Is mois d'avril imn
ont
Haoïiii
l
i
c
l
p
e
a
u
.
pcvar
roal
an
lam.
«
première
soiiseripllon,
qui
?elle
"l'u-crtl."
eondilliMis dans lesquelles on prie ; pnrel,
mio'li.
ro!,'ularisallon pour lo comiito du donnour
~Le i , al I'. Gi..,llt(;i-;LUM
••çnlmnrr, Dounrnene!!, Saliit-llenan, Lnnnill
et hnmilllé diPoienr, eonllanee en U en e|
U^iinion, 'rréRiilor.
l'oiicKiiaiil
dans 1 uterce.sslon des Saints, persi'.vénmee
'il'y ' T l u ù i ' ' "
n u u s T
Renversé p a r uiio auto. — Ku so roinlaiil
La Ùanqu'e do Franco prend ii sa ohar-e
•s frais d'envol ot d'assuraneo .• oUoiie Volparci! qu'il pont s'en Inmvec de raus!.e,M c
P r l s i j n n i e r a «llemnnda. - (luciinios cou. en autoiiiolillo ii (.luliiipor, .M. JéRoiidez, do I a
Korél.
i'oncontra
sur
lu
routo,
nu
lieu
dit
Crois,
ovra, pour l'oi sciuhlu do l'opération lUi
do ( iiiiKOivnses, Il esl du devulr de Iniil
saut Korliornou, un liomnio qui comlulsalt iiiie
:une coinmi.ssloii d'aucune sorle et i ù •ç U'étinn jlo n'employer Jamais pni r pr ei'
vnclio. l.a vacho, alfoléo. vhiiliil travor.sor la route
coniptora au vendeur d'autres- fniis ,
qui des formules approuvées na • elle e i
' O e q u ' a f a i t la Société de s e c o u r s
ot nntrulim son conduclour devant l'auto, uul lo
meilleures, IcH pins'efllearcH ne- soronl!
aux blessd^ilitaires
Loim|i 0 I ordre aura éié o.véouKi ii l,onu 101 0.S équipes, .wjii irrlVéu», 'ocôupo itde rpiivor.su et lui passa sur lu jambe ot lo bras droits.
' ('S pas lunjnnrs les simples iirlèi'os apDeuz i y MOBEUL, d w i e i i r apofiker
Lo lilossé, Vvos Carrer, oullivatour ii Korlniibnii
1 re«, la Hanmio en avisera lo donnour d'or1, s„! !'" '
"
<l"'"s le enperdit connal-ssanoo. 'i'raii.sportéduns uno innisoii dre et le roK/oment on sora cffeolué
a
; n i j a noflt m u «u i - janvier inin, In Ho- 1 cl (sine
le P i t t r , cnselKiié par ,li.snsvolshie.
Il
y
reprit
ses
sens
ol
reçut
les
soins
d'un
llnii» le nombro, lu polloo trouvornil nciil éi™
do Kooour» aux blessés nillllairos « . in. l . s!'.","/'!',''-''
l);.an lichken, clouez iu- re zo Kinui^et d. o . ; , , a -Kini; ar
««fl». la .s ionmédoclii lippolo pcr M. Jé(foiuloz.
lu d u ngo a vue du jour où le produit de
i-il.lal, .ir
""
"
m voiilo sera porlé par la IJanqu r-d'A iLlô:
W.dSI lits. Lo nombro ( es oui nées d'hospl- la Mére"^!!''!;!;:;!'
L u Foi'<^t-l'V)(u>Hiinn(
terre au crédit do la Danqiie d.; I-Vanco
%ill»ullon ivdoimssi vlnitt mllll(m,s.> ICMo n
La date du roKlomenI est s u r h i m k " "éo
;;Wnonniro on lihpital ehlrui'Bleal un crund
E n f a n t b r û l é v i f , — l.o 12 févrlor, .Mnio liiK i i u e i ï , . pobapotilioro/..
" r " ! " ' ? " -iwdeniinin u u ZZv u liKoard, eultlvDtrioe à KOrllot, otnil sorllo pour aux ii.sages de la place do Loii.lr."
'«MiiHnnantlriiio, lo C'/iaeies lioiix, ( ul a é o
t-liiiiUa '1.1 ur naz cr hcrra ainzer ; paroa i.i .ive, i,oi, . j hem- •
ûtomiro du llnifo sur uno halo ii pro.vlmlto (le la
•xiwoyiS on (Irlont, Kilo métallo on ce moM i z lii-...ic..Ue, Bi'il-pe, l i i l J . i o u z n . - Kt.-i,vo.i..i, p o K r i u . '
inoisoii,
l'cnduut 00 temps, sos doux enfunt», iiRos do
^SSp'îit»
" " tf'''""' l'^'P"»! <lo .
Kiu- coK .'a i';..(,'; :{ fi-.
ï
HlllKleusn ., „ i,iii,l|,i los siaTrcj^unc
a ans cl (lo S2 mois, joiialoiil près du fovor Les
piutt (lo« 706 bilpltniix, In SoeliitiJ ontro1''^'; "l'I'belins do la (iiior
Incendie.•
olh lire. l .-iiKlnruo. prlchou l.or.li
v-n iiiuoiidlo
• Il
lU II (iûll'tl'f à la
l'n
t) a»», maltrn vitéran nn roti" 11.
n f f l / , eilcls du petit prirent fou 1 et lo pauvre oiifnnl
éinbllu h l'Evfolié Uo uuimper
uedalenimu
urioii .ipolikerion.
no tarda pus à sucoouiboriii sos bridures.
poiiilo do 'I rovlsnoa, une ^ualson luibit •a par
An iiul. .^lOltKI ,(looleiii-apolliioairi il tal^uor I l c j z ar yoa.l, ar e ti. j n t
.M. tuiiifuy, niuriii pofheur. Luo ciooli ticiiiit
feilion.
,Liibu)\iloii d'iiiuihjiifs,
a:i dispa.
/i.ii.s, !;/i.n,..- l i e . .
saïKi, c
» J I I » O o a r r t t r d u j w n l i t è r » iSu févnir imu;,
L e s I n s t i t u t i o n s d e P r é v o y a n c e et l a G u e r r e
cneiDlns de fer dépar[en)en!ay)i do Flnlslére
âv
s
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Reosepra
il
• I k VIE
POUR h m
CHÈRE
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[ L a j s u m s de l'abbé g m |
A mm !
UNE
FERME
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s la Rjon
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POSTALES
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suj^stitikisks
BANQUE DE FRANCE
I p E S i s â s s
'ZRtM
B E U P E ^ U '
L . O U Z O U ar
«ROIX-ROUMFRANÇAISE
SIROP C E L T I Q U E E O
Les Orphelins de la Guerre
AOT, JOREUL,^-.';S!f."c%".!h„nc
Ifanoik Êsperans
eiir - f l n bonnnB u r n n k boiiu
> Ç n r b l jHUur cvcl «rnr bonn, ha sUninx.
« v c , CHU ma l a v n r c f , i l i v a r e'Iioari no
« e u n e i r n U'ur gotir, D a v«ro kiiz-hcol,
d c u n ï . a r p o o n i ^ d H «Isirol, Y a i i n l k
w w e h w , no )iot h c h oun Innim e n k f c z ,
• W ® " m u ) 8 YïfiSç» «lunmiel dn v e i i i iio« M . H o d ^ n : h c n f all«x o lakeo o l o u r n
j j r «... beniiou. hag o nanlo un t a m m o u
g . ' h i U r l ^ l h u t , hag e u r pennad e u t
SSi •jl^îr'' ° ' " V "
ï^î V S
•«"'ou
pber a icai o
io\B v i g n o u n boteg a r goriadenr me»
M M .» m i r o a a a-nevea .var an h « n t .
o M M k .var eur b c r n meJn. e c'ho;.'
' M n o i dn aligna h o r o u e j o u v à r
c h o n n i k n o i i l ko o h-c.sk, liii kotisktq " n
I.olci'v«l. Uno c vcz «rciil tlluotner v i d
d ' n r p n o u r , hn m ' e n ont w i v i r i • lok i n
VMo dl.,l«licl dioc-h k(.«î; h o pô/,. i S
nittd,,. la... k i g inoucdot dous ovel mt"®'- Mo y c i o ,11 ,n. b(.lr Knout i.',,m
b«*o grcnt va fiink kentu ; hnsi nin c ï i ï
Ah.'.JiV " " ' ' . ! "
evIt o r o i (l'enllc.
Liiioiiik n n IroHd-Skimv n r a i r h l n luvm'ct bcmdcz «oudc vu l e i l c n n o u 7
Obcr viid p u c ' h e l l l
U r o u g u r i pn g l r i .
oiifhMo
0 Idevel
xc p o i r 0 d n v u i i c h c r l o r r hau o vax Soir hLin ^ I
"Uf
h o u a r n o r u i o d ' h i n oui- fouo i m ct^iî p o i l b l u n Iill puouroe'h coedoun. I m
d o u c h c n k o r d c l en o benn.
"
'XnS.J"^'''
« ' • ' « m ' Œ ' kèt
Vtîr 2"fô'"ns
our guchcn v n d lonloo'l
d'ar
Vourua-
S^helT
"
po k S Î .
— ^ pegoll cnian Kor-ai'-Bolcg 7 ,
• • ^ . K e ^ a l ; • B r t « g a l o p ' a i ear d a ^ d l '
».'• " s ' » ' '
Owolloc'i
n ^
0» ovel an h c o l
S'ir« rfJ'ïl " " ' " « • . " ' « ' • l o z e . an I n l n n v e *
L'ini i ? ®
«ï™"» ba k c n d l n drouj! o valo d r e a l l o u r - d
eiuo a r c ' h a n f n r l , ant
zl ïtii- du tliul Itoz « w c c h a l l ii l'eiiz evel[lout : n zioueraz h o bouton evil mont
Klaplk (Ire un houlehou... l ' e g w i r ne l'ell
Itel d i d I r c o ' h i da oueiin kerz... (llai'c h e n V A r OruRel (joz ; vu ini«nouii, n'iie
aeiiz ket ii b e m l r n i d n brena boutcier evit
nn oll r e d c r l e n bix).
Y u n n l k a zelaoue h e lez-vamin cunt
k n U n evcz, mes h(î c'hoinzou ne Jaklont
kel e zreniin d n denvulnnt : nale (fliirc hcn I ma n'on k c n du obcr '? H n n k o i i l
dllozcl e yriigez « v i l g w i s k n n-nevc/ e
ïiie moyt'llcl rouz a vefe trl.sloc'li. Ne
prçdnz k c l evoloto, singn g n n t e .skudelInd voucd lenz I r c n k beb bezu amzuvcl
u r w i r l o n c z peiin-dn-bcnn hn lavaret ncs c u r l d a r v o u d ti yoa en cm gavct caixl
f o u n s 0 vrngcz :
"
Ne zonjo kct d'hJn e rcan droug, cniczhon, h a p a r d o i i n a c ' h o u l c n n n n digiin c o c h , m n m m L a o u l k an Troad-Sknnv.
1 — Ha p u r d o u n c t o vezi, cmc A n n a l k ,
c i r e hç dent, r a g tgouzoul a r n n e peuz
our g a l o u n l k d o n o r - h a g c pcuz a m z W l
a r w l r i d n e * ;i)cnij.dB.T)cnn. Varc'hoaÈ
vJnfIn, emozhl en ç u r zevel ho raouez, e
w l s k i da «tic rouKihag a r b o u l o u f a o u l c l
a !M> akc v a r a r selj«wclo.
Daoulagod Y a n i l l k a drellaz eun n c beud p o glovaz a r ' c'helou, mes a r g o l
b r o n ne ««loa» kot dâ doue! j espérads
a w a l e h , d ' e d i v r a o h vlouz edo oe'b
ohei; lueve braz e r .Me.smeur, ha «oesl
on ( heu ober, IJcp pardiicz ha d u r zui
MUide a r flousperoii, cz en da w e l c l Aniiaik, hu da ober « a i i l h i eur v a r v a i l l i a (leii. A r OniKcl a yon e'iioiiz bco-ljiHzck,
ine.s k i o u m e t cvelald d l i dan beae'li a r
bloavcziou, N'oa i i i u i evit inoni d'un ofteren, hac h e anizer a dreniene azezol
eui7 iin-oUcuri, a r c'iiaora t u z Kroaz-iirViticii ; pcdor .siiaon h a skiguer mad,
.savol viir ehosou dero ; euii daol da da-
1.(1110/.
(KVHAII
IIR PR.ID
BROIIKM
Kiiiit iin d . m - ; ne en'.oiiîo Li-I lu- o'Iionlmes k o u n i p r e n
rt-az p c l r . i o'Iioan-
MIITI"!'
karget a Ijlajou
imi ellct huK a skudcllou ruz ; c r s.i- / Ilet., iiii^ o kla.sk onol». ouz .m d o u r n
i i a i l h . our o'hrae'hellad keuiieud dastumet e koiit a r l-'oresl.,. erfln diruK a r
pi'fiic.slr, h a r p i k ouz a r poull-iinvoe/,,
our melliid h e n i teiJ, peadra da droinpa en d( nr i. c lioloe breman , i r p r a d eeiz
•ul i j ' n n vraz. X o a kel bot .4.vet k n ,
eiz
devez unit « w i i i i z du... l î n our ecr
Sn... i'.'^ î ' " " " " ' = .'•"« » " " J'C e v i l lakaal en l i e .spered on an Troud-Skiinv berr... ket-ta... intanvez Aogustik Ala- Ost d .-ir s l e n o u beb bcza dcsket n c u u v ;
d.i.msf
d e z i l h a d a .lache aiu'?.ha» v a r m u n f c r Anton g w a r d a r .Meskouez
p i e d il >011 bel a n l e i r e l c r e n k eur Imou^'f"-'""
d i z o ï i l .-iti
rez. daoust dezbi dn vo/,a a r b i n v i d i k a n , ' J
p c n n i i d ctiz a r Vourgaden.
)(;ed : l-speraiis, emezha... o tapa ki-o«
u-bell euz o l l d u d i i r gerladen. Xe amil i i m abarduez m'edo o klusk f a r d a
7 "
l ' o u ' i t - K o n . < bl,.., IK-r,,. K v i doiire, heiiuian n'en
' i J " i ' " ' ' « " ' « n - i o i i d evit b e c'boiin, i r o )
'
"
var ho «loa kel c hoaz k o l l c l c .inaoudCL'oz li-ic
eun (ILskramuflb u zen, d i i i r c ' h e n p e l r î i
E c'bellif k r c d i . Y a n n i k , pu glevaz a r («iz respouni d a Eiiieraii.s c ?al\-('r e
benmtg ma t i n j l l c eur p i l - d o u r , a deu.iz
e lle pu, n ç varo lialaz k c t . Antronoz. fa.daz 0 z i v r o a c ' h en d r o d'e riveske'r :
" K^" c
ninb Per A l a p i c d .
- - N o zaleo k c l da c r r u o u l , £me An- n i i n t i n nmd, c k i i i l c a ar 'Vouruaden evit
njont d.;, glask K r o u z - a r - V i l l e n Abitouc
K n eur zcc'hi c z i l h a d a ziverc eaiz
" " d ' s k r a m a i l h « zihunaz
e g r c v i d l . : on deuel... keHa... d » BOm e n n d a r noir... k e H u . . . o u m a r o c
vdinm-goz..! ket-ln... b a beziel penwck
devez a yoa... kcMa...
l'c.»»»,»
H a goude b e t o k l e v c l eun daou c e
d r l ,c^ant... kct-la... A n n a l k a g o ^ r f i ^
ehanet : k c n d a l c ' h n rea da goueza cniz
nia vefct o tculer anczhan gant buiitaoïi,
hag abai'z en cm guout c G w e n f r o u l , a r
BOtr a yoa d l s t r e m p c l cgiz e u r c ' h i d o u r , Daous d a zc, e kcndalc'hnz d a
vale. mes djgouezet d i r a k T o u l l - K a n i k
c kavaz a n h e n i ntankct h a goloet gant
d o u ^ ^ e u z , a^zJrollo g a h t ^ e u n I r o u z
' " " * ! l f . e g , kostezibu Kerassei b a
îiaoS'BÛ'i.t'^'rZ'uî.'"""'
v-.^'l'îf
r î ' '
"
i'<cl»aden
a-grenit
tennaz ganlhan eun t«ol d o u r n , s a r r e t
var e b c n n ; çgilc a zi.skrog«« k e r k c n t
badouci m'oa bel gant « r mcsUiol. Save«ecl oant lyez ; a zlbouec c vico H c r r i
oe sUcKt gant m a b « r biJhaouerleit
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