Février 1916 - Site en travaux, le week
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Février 1916 - Site en travaux, le week
1 — Sftmodî. 87-Anafe - M - l O T 5 F(Jvnor 1916. ' S ^ l r ^ T r - JOURNAL FRANÇAIS-BRETON zmm ABONNEMENTS FlDUtère. C ô l e i - d u - N o r t , M o r b i h a n , (un i n ) 8 t t . Autre» Déparlementi J »'• Colonlei «t Elrnnget » C»iânB«m«nl d'a<ii «iie ; 0 I r , 8 0 awo ta c U m t i n btniê L c i tbonnemonto p»rtent du f de ohaiiue mol» e» se payent tfâveno» PARAISSANT LE SAMEDI. 5 CL & iMPRiusRis 4 — Rue dtt Cb&teau — 4 BREST L e i l U n n i e r i U nos I n i i r M M M a t p u r e n d n i PUBLICITÉ RÉGIÛNALE Annonce» diverses . . . . (l» ligne) Ofr.SO Réclama», eo 4' page . . . O 00 DerntèrecolonnedeIa3'page. O 70 Tarit déeroUitnt pour les interlioni ripéUes Pour la PUbllelté cxtra-rC-glonale, a'adrcwer t l ' A g e t i M H B V H . Plaça de la Uourae, 8. * Parla une attaque «ur le lalttant dea tranchée» br.- l.iuricr. un ccnvoi ennemi qu! entrait d u * ton. N'e vezo ket diesoo'h d'hoc'h, ma d'hoc'h beza hevel out-hc. ? N'her c'hre- tauniquea, au nord-eit de LOOS. Cette atta- MANGIEHNES. les ciriliUions i}ui iiciwent se in'odufre a» Le :il, nos pièces 4 longue portée bonUiaro i t repousiée par le lou de n o i alllis. — karit; easoc'h e vezo d'hoc'h zoken, dan ket. Hag eun dra u zo anat: ma que Depuli, lea deux artiUories sont trèa active» dent le» c.intonnemeut» ennemis de CORmoment </u (Itfixvl, ila ne sonpcnt qn'a lenjec'hda goueza evit mad, n'e ket dana cetto région. FLANS et de SAIHT-itiAURICE, sous le» côdre lu'o peuz muioc'h a amzer lao.sk. mlcr tes fiocitcs do nos clicrs iioittia et Dana le aecteur de nE0VILLE-St-VA4ST, te» nord d'Hattouchltol. Kaout a reot, a dra zur, kamaladed digant-ho eo o pefe sikour da veza à tiélruire leur mnW... « trèa TiTe canonnade t u cours de la nuit du En WOEVRE, le 2 f.Wn.T. t i r elficace sur fall, brein ho c'haloun. N'eo ket red eurusoc'h er bcd ail ; marteze zoken îli au Î7 ji.uvl'r, cependant que noua conti- doux Ituca-bombe» «iaualé» au nord-oueat .\olo), iruitlenrs, i/uc le» mcn'ii'cit prises d'iioc'h mont gant-ho, na drei,st-oU n'e ket hint-hi eo eu em gann ar gwella. nuon» à réoccuper progreuivemont tes poa- ds FLIREY. du ministre de la l'ont dtd sur l'ordre de gucttenra et lea entonnoirs ou 1 enneEn LORRAINE, le 2;». t i r efficace de notr» Kae var-n-ho, ma n'ez oc'h ket dis- tea tluerrc, i>ar le /•/i'(u'ro/ insrierteiir d'Amade, ober evel-d-ho. mi sTait pria pied. Nous y trouvons do nony arlillerio «ur le» ouvrage» adverses entra contre qui eut (I stU>ir à celle o'-coston breux cadavrea d'AUcmands ainsi qu'une mi- NOMEHY et EPLY. — Le 2 f.Wri.'r. no» batKamaladed kristeii c kavoc'h ivez, tagcllet awalc'li evit respont d'ezho. tiailleuse, et quelques prisonniers tombent démo!i«»cnt un biookhau» ennemi à la deux autres i/dndrauje. I.'oniro jour, les kement ha m'o pezo c'hoant. lin em Ho liberle a dalv ho hini ; ha ma .son- entre nos miins. - Le SI, 4 rest do NEUVIL- terie» cite 423 (e»t de SENONES). A propos de G a l l i p o l l on écrit d'.Mhùncs: sociiiliulea re/<roc/iaienl nu ministre de ne jont ez eo échu evit an den dre ar LE, rennemi tente, par une contre-altaque, glevit etre-z-hoc'h evit mont d'an offiEn ALSACE, le 2< iaMvii>r. notre artillerio • .Selon des ren.selBnumont» rçr.us do Coiisde reprendre les entonnoir» d'cii noua l'aimint faire ai>i>li'iuei sifs circulaires : S t a r l eo h o r o'iinloii cnii lior o ' I i r e U tanUnoide, les autorités mllllalres ayant soii d'à zul, evit mont ivez d'ar zalliou niaro, c'houi a car o peuz eun eue da vions chassé : il est complètcm^ut repoussé. effectué de» tirs efficace» sur STOCKA et aujourd'hui ils lui en veulent de tenir I l u sturtuc'li ur Urou^ uiiu l i o r rolz ! . . donné Vordre do faire délller les troupes •zavetei. — La nuit auivante, nous faisons jouer un 3T0SSW1HR. — I.a nuit auivante, dans la valla main ii re qu'elles ne restent pis lettre turques do G.illlpoll, musique en tOle, sur kdsten a zo dijor evid-hoc'h e peb pendant quo plus au sud, > loe de la Ftcht, à re«t de Munater, le t i r do Magil au ene-ze dre bedennou ka- camouflet, rouest de la routo d'Arras a Lens, doux teu- aolro artillerie lourde a provoqué un incendie morte. Ainsi le veut, l'urnil-il, la h'ji'iiie loa anolons emplueemonts oce.upes par ies kear, hag evit ober eur baie da gla.sk une usine transformée en un dép6t de troupes alliée» a l'extrémité de la nrosquile, an ear iac'huz etre daou. lounek. Kovesait ken aliez ha ma vezo tativea d'attaquoa allemandes août repous- dan» ces r/iampions du désordre, trois mille soldats ont été onRloutls par sées. — Le '2*, nous repoussons de même une rjuniticn» ; do uombrcu»»» explosion» ont 6 t i eun dra beniiag oc'h ober diez d'hoc'h, intenduo». — Le .W. nous r.vons bombardé 1.0 gOudral Gallidni rdpond : l'explosion d'une série de mines que les Kvel-se e clioumoc'h iac'h a gorf autre attaque dirigée sur nos positions au ailles, en s'élolpinanl, avalent dissimulées hagaspered ; hamazon an heur da hakommuniitan alie.sa ma c'helloc'h. voisinage du chemin de NEUVILLE i la FO- le» positions cnnemioj d'ASPACH, (nord • Irilnine, mal» ,li' lie Niils pus un homnu' do l Dtus la matinée nous reprenons en ou- d'AIlkirchl. — Dan» la nuit du l " au 2 f'»en de nombreux endroits. ,, . „ r . , . „ Maz eo d'hoc'h hen ober pa "z euz be- LIE. HUlM KiiiilU-n ilo li> «ayti' tlo nos HOldnts, tre un uouvel outonnoir, après une lutte très vri. r, no» baltcricj ont fait »r>uter un dépdt tino elTrovahle p a n i q u e s'en serait suivie vont d'an emgam, en cm gavoc'h e , Jo tiens & déolaror que les mereaiitls au parmi les troupe», au cours de laquelle p l u vive, el repousscnn les contre-attaque» vio- Ul munitions aux abords d'ORBEY (sud-ost leien gau-hoc'h pe tost d'hoc'h. stad da gerzet dispont. Doue a vezo lentes de rennemi. I l se confirme qu au cour» du Bonhommel. Dans la région do SONDGH. w d ol lesdél.ltaids A l lnlérleui; sont les sieurs conlalnes de soldats auraient elotues Ha gouzout a ril-liu peliini eo sonj gan-hoc'h evit ho kenuerza ; ha ma 'z des actions précédentes,, rennemi subit d3 NACH (ji.a d j Mun.ît.-r), les Allemands ont I.eUTjuneier, ta Chamhre s'eut occupée moins Intéresaaids parmi les prpll.teur» de ou blessé, tortes pertes ; dan» le même entonnoir non» enlevé un de nos postes d'écoute, d'où une eo lie voloutcz e choumlac'h var an kenta ar vairm, ar pried hag ar c'hoar avons » • àu sulfate de oulvre oâcoaattire ix la L'uerre. Tant pis si leurs lienei ees de compté 150 cadavres allemsjid». — Lo coutre-attaq.je les a immédiatement chassé». Buerre sont Insurtlsiints, si les ramilles «ont il tente de nous reprendre deux entonMardi soir, te rapide Calais-Paris a dachenn, a volontez vad e root d'ezhau grislen, pa deu béteg enn-ho eur c'he Tltloulture. : soif attaque est repouisée. ... Le W. Datis l'air et sur mer rencontré sur sa voie, à la gare de Saint- ar zakrilis euz ho puez ovit silvidigez loupoaniuz? Mehergoardre al lizeri noirs ' Comme tant d'autres, les us:nes de pro- satlsriiltoH de la sanlé des soldats. nous faisons exploser une mine qui boulel'uisilrend hommaqe au qdndral d'ALes Zepp.i!!u» ont fait leur rcappi-rition. duction se iroucCrent dèsonjunisees par /;( déta- lio pro, 0 c'houzout e kavoc'h er bcd a dremen dre va douarii da gas d'an verse les galeries de rennemi. Denis. un wagon de marchandises ade, qui a hriUamment conquis la Los Allemands ont dû, eu construire un bon inubilisttUun ; la spéculatlun se mil de Ut aumonierien, cvit goulenn penaos eo et poussé par ail kuruneuii ar verzerenli. Dans la journée du janvi.*!'. l'ennemi ten- lot pendant rhiver, en remédiant, dans U Chaouia, et diriqd 1res hahilemenl notre ché d'un train en maniriwre deux autres attaques, riine aar no» ou- mesure du possible, aux défectuo»il.S» cooaparlie; el h; priw des 100 l;ilos a mon'.d de débarquement à (lalUpo'i. en payant de sa le vent. maro ar mab, ar goaz, ar breur, e pe te vrages au nord de ROCLINCOURT, (4 kitom. tatéos d.>nii les premiers modèle» ; et sana « « (10 a 110 IrancH. l.'aii dernier, lu ivmiiiis- personne. Ce waqon fut broyé par le choc, et ses stad en cm gavent. nord d'Arras), l'autre sur la rente de SAINT- doute eu verra-t-on fréquemment survoler lia c'houi soudarded ko.soc'h, a zo $ïo du l>i(ii</et proposa d'achcter en .\nà St-LADREKT (deux faubourgs noa cités. Si. comme la font nos aviateurs, le déraillement du - (1 II a fait tuer nos soldats, >• inter- débris occasionnèrent Kuz ar gereut ha mignouned am NICOLAS d'Arras). Sur le premier point rennemi ne messieurs le» Boches s'appliquaient 4 n'atH'eterre la prorision i/ui auriiil tissvrd une rapide, dont plusieurs voitures se renver- dirag an enebourien : kendaU 'hit da rompt le socialiste llarthe. peut sortir do ses trmchées -, l'autre attaque teindre que dea combattants ou des ouvrabeuz kollet, unau drei.st-oll e karieii l'ccollo nariiKilc de vin, cl t/ue l'on unriiil veza soudarded a feiz kreiiv. Mibit un échec complet. - - Le I ' fi'.vri.M'. au I.e qéndral Gallidni s'arrdte, descend de sèrent ét prirent feu. . s militaire», ce aérait do bonne guorra. Hais pu se procurer au pria- de H.'tJ'i-aMs. Le de celle mémo route do SAINT-KICO- leur Kullur leur permet de a'attaquer aussi La compagnie annonce qu'il y a 11 Kpad ar goanv o peuz bet nebcu- hag euz he varo goulskoude eo en em nord la trihune et su diriue rapidement vers la LAS à SAINT-LAURENT, un détachement bien, sinon de préférence, aux innocents. Et goiisolan ar gwella. Terak ? AbalayouverncMcnt de l'èpoi/ue JH lu suurdo morts et une vingtaine de blessés. toc'h dastourm, hadarn ac'hanoo'h a ennemi tente une attaque qui est arrétée aus- opérant la nuit, au-dessus d'une ville dont ils oreille. ItéSKlIdl ; HOI(« ris'/uons de man- porte. hellbeza lao.skaet enn ho devotiou- mour enn derc'hent en doa .skrivet sitAt & coups de grenades. ne pouvaient counaltre la position qu'an M. Vieiani, yarde des sceau r, court quer devin pour nos soldats, et aujourd'hui Plus au nord, l'ennemi attaque, le M j j i i - moyen de la boussole, Us ne pouvaient prénou. l'oent eo dihuu, raU ma to.sia d'in : «Knudez-maiiezoun betokovez .. ri)slui, et le décideii revenir, auxapplau on recule devant la hauss''. hag 0 kommunia. Prest oun breman vh;r, a rouest do la COTE KO (sud de Civen- tendre savoir aur qui ni sur quoi Us llehaiont amzer au draill vraz. bombes. M. Meliiic repond que la Frai.ce dispose dissements de la Chamhre. ICI, reprenant evit kemeiit sakrili.s a vezo gouleniiet ohy-en-Gohelie). Après une «érie d'explo- leurs Qu'k cela ne tieuno : samedi soir ils U n Kan ho toiiez e c'hell beza hiuien- ouz-in. Na kaer eo beza kristen p.a sions de mines il parvient à prendre piod s'exprime d'un stoch lie 00.000 i/uintauje «ii Heu de la parole, le yénéral Clallidni irent à l'aveugle une quincaine de bombes dans quelques éléments do tranchées. — Dès nou hag o deuz aoun ou'h eu em zi.s- 'n em gaver dirag ar maro ! » ainsi 1 le lendemain matin, par une vivo contre-stta- sur Pari», tuant de» enfant», de» femmes, li.OOO l'ail dernier. do» vieillards, en tout 25 personnes, aaiu quo nous reprenons une partie de ces élél.orsdue Je suis entré dans dans celte en ouez kri.stenien, — aoun rak goapei'inalement In Chambre adopO' un projet ments. Dana la journée noua réoccupont compter une trentaine de blessé». Et puis Us ce «te. 'al .ensé que ]<• , •fv^,'" Bevit oll er ,stad-ze, soudarded ha disparurent, indemnes »emble-t-U. une brurez enii nelieud lakepoted. de rdsolulion, autorisant le ministre à re- vous dans l'Inlér^f du pays, .le Tais lu les autres, et délivrons une e martoloded Hreiz, Ciwelloc'h eu em auooessivement de aoldatj français faits prison- me intense ayant empêché nos a:viateurs de 110 le peux p o u r v o i s donner ».dial.tllon courir au recensement et à la répiisition. Allo, allo, goazcd, savit ho pciin ! gaiinoc'h, dispont a ve/.oc'h ; ha ma cinquantaine niers la veille. — La nuit du :!0 au :)l. poursuivre raéronef, et même de le décoaMr bed-nian e teuer cla voar.:» ouz e n r e o m p r e m i s pas pour.|uol on m a emN'e grenit ket o klevoul bolejou an All- kouezit, ho luamm, ho pried, hopugale, rennemi prononce deux attaques à la gre- rir on tempa opportun. (léelié de terminer mon discours, peb Ira, cvit doure. Un deuxième Zeppelin voulut renouveler Is manted o tarza cnn-dro d'hoc'h, hag c ho c'hoarezed, .a gavo skaiivoc'h ho nade, qui éc'aouent. Helas : il est bien d'autres choses que massacre dimanche. Signalé et encadré par Veadreiii, .winceoraijense d la Chamhre. Di.skoiiz ii'cocgweletbi'ezelkcn kriz Eutre temps, lo ÎS .^invi-'r. sur ARRAS et les obus d'}i canons du camp retranché do teufec'h da grena dirak glabouserez l'on ne comprend pas. ou plutôt, on ne A ux applaudissements del'ejdrè>iic-;n'i'ehe, c'hroaz, o lavarout : c i'iur mignoun ne- au sud de cette ville, bombardement intense Ptris, il ne put atteindre le but. I I Ucha liatî an liini a zo o rcn ; liage teuer •omprenil que trop bien que certains sociaeul lampoun divezet 't M. Accumhraii se livre (i une riuueelic beutoc'li var au doujjir, eur mignoun de noa positions, sans attaques d'infanterie. néanmoins une quarantaine de bombes, ind'he nnkounac'haal, pe da cvclkt'iit Sellit • ta ouz ar c'hanfarted-ze c muioc'h er baradoz da bedi evid-omp Nos batterie» coulrebattent énergiquement cendiaires ou autres, mais aans faire da vicchar;ie contre le haut commandement, listes sont demeurés f« qu'ils étaient avant viaiia da zoiijal nebeud enii-lii. times heureusement. l'artillerie ennemie. au possible ii l'cyard wen. ho daoulagad, ha lavarit d'in 4]ue l'on a le tort, ù son avis, i/a ne pus la guerre, haryneux Le no. notre artillerie exécute des tirs do Un troisième s'était mis en routo lundi COKUNTIN. M lie Icac'li cma an ankcn a woaske piou inl'i' Daoust ha plijout e rafe hag evit ar Frans ! >• des oryanisateiirs de la défende nationale, asscicouli'uler. On/ait,II, l'uraH-iLde l'au destruction sur lo centre de ravitaillomeat de soir. Celui-là jugeai prudent de faire depour l'en- ac'lianoiiip ei- zunvoziou keiita 'f' Nijet lo-ilémiiiisldriellcdanxla armdes, el plutôt enclins ii l'indulyence SALLAUMINES (2 kilomètres sud-est de mi-tour avaut d'avoir dépassé Compiègae. Lens), et sur des parcs et bivouacs allemands Ces raids d'assassins ont naturellement jenemi du dehors contre lequel ils ne veulent eo poil diouz-onip, «ant au anizer. et l'accu/iiileiir de conclure; • li n';/ a qu 'un té un certain émoi dans Part» où, comme dans au nord de VIMY. ^ A vare da vare, eur c'iielou ostlaii»mo'jen de metlru Jln aujc aOus ; c'est d'y même pas entendre parler de représailles (i d'autres villes de l'arrière, on en était arrivé Le 1" février, au sud de THELUS, notre •opos des raids des icppeUns. «lier coir. u iiiuz a lieu goulskoude da grcski an niartillerie exécute, sur les positions ennemie» 4 presque oublier quo la guerre continue. * Puissent-ils assagir nos politiciens I de la route d'Arras à Lille, un bombarde « » Comme dans ses critiquer A/. Arram ver ciizar familloti a zo c kaon ; kleier — L'Angleterre n'est pas oubliée par les ment qui provoque un incendie suivi d'explo lira;/, — qui ij a dtd voir, mais n'^i est restd pirate» de l'aiiLundi soir, six ou sept ZepAu Sénat, le iT janvi'ir, M. l'eyronnet lier parro'/.iou a liirvotid, miullii lia noz, siens. pelins survolèrent autant de région», et f«que quelques semaines, — veut atteindra se plaint Le 'i. lutte de raines asseï active aux abord: de coque les militaires soient C V P I evit lavarout d'oiiip : llii'io évitait bombe», qui ont tué 54 personnes, de la route de Lille. Le t i r de notre artillerie taieut 22067. M. MiUerauil, le //dndral tlallidni repond laissés à leurs propres ressources pour' hen-mau-lion ; varc.'lioaz marteze evit pibroque trois explosion» dau» le» batterie» et —blesse qu'a la /dure de son prcddcessenr il aurait Vivre pendant leurs permiaslona, et Par ailleuri, en représailles du bombsrde la région de VIMY. ennemie» ho niiib, lio priod, lio lad pe ho prcur! Euz ar R U S I n'e deu bepred nemed dement effectué le 25 janvier par un Zappeafii pomiite lui. I.e sercicc du coitroh' de ce que certains soldats soient privés de lin sur les villages de la région d'Eperaar. Oli : ii'o lavaran ket e vije red, nag nebeud a geleicr. H e r v c z ar pez a Somme et Oise r. avait pas ele en cQct mieuji: prcw q",' le dans la nuit du 27 au 23 un de nos dirigeaur prùt dans les hôpitaux. ouezer, hor mignouned a gendalc'h da c vije mad zukeii beva iioz-dez gant ai' reste; au delml des hostililds on dut l'imFRONT ANGLAIS. - Lo au soir, après bles a bombardé Fribourg-en-Brisgan, 11 M. Thierrq, sous-secrétaire d'Ktat à obus de 1S5 et 200 obus de 90 turent lancéa grigiiat tachenn, ama hag ahont, o tis- un violent bombardement, les AUemand» pé zon.i-zo ; n'or liefe ket kalouu da laproviser. l:'e«l ce qui explique que certuinés .intendance, répond ; l'n décret va Mre sur la gare et le» établi»»ement> mnitairai. kara enebourien hag o prizounia re ail. nètrent dans quelques-unes des tranchées qui aubirent d'important» dégtt». erreurs ne purent être dvitecs. Dispac'h a zo bet adarre, hag e meur siqné qui assurera l'allocation de la solde boiirat neuze, hag ezomni ez euz da anglaise», près de CARNOY (»u-est d'Albert) E r vro CAUCASE e klaskont kaout Ils en sont chassés de benne heure le lende. — Le 28, un groupe de 14 avion» françaia a Arricaut aujc questions dd'catcs, leIcac'h, var lodenn ar c'huz-hcol euz tous tes militaires, sans cxceittion. pen- labourat g.nilskotide. Evelalo, lion lancé de nombreux projectilea aur le» C»Bkear E r z e r o u n ; mes tenn eo, evit main. tt'Jra! Oullieiii répond ; dant la durée de leurs permissionit, cl l'al- dvemm a dlevl'e diskouez e ouezomp e roudenn an erngann ; liag evel er zlrun tonnement» ennemi» de Pazardi, au nord du FRONT FRANÇAIS. — Au sud de la Pom lac Doiran (en avant du camp retranché da 11 oht i'\i<l''iit i|uo, ciupllo quo soit la cou location de l'indemnild représentative pen- pe amzor e vovcmip hag e pe zanjer diaraog, an Ailmanted eo o deuz taget. doare. n i ' , sprè» un violent bombardement, renne (•r (iiil flniipo <lii (iiiiivci'iiciiuml dunt IC.H idii'l'i A r MONTENEGRO a die beza mi attaque, le '.'H ' j i i v i r r . no» po»itious sur Salonique. dant la durée du voyuye d'aller el retour ema hou Uid. ket toulla da vad, me N ' e glaskent — Dans la nuit du l " au î février, mlin'i <IUINM'"«L''ID III'IIIÙI'". " " '"'L L'»' un front de plusieurs kilomètres, à partir de des permissionnaires. Kn ce qui concerne Zeppelin, accompagné de quelques taaailllOON i.'uiiii|i|n,'iit Ocliaiipo ' II II ' ul l'un Hililo « i ' " i^ii» aiimioH lia pcdal, kalz ac'lianoc'h, merc'he 'gred, a dreuz hon tiancheou ; c'hoant o koulz lavarout a-bez didan galloud an la boucle de la Smini.' k FRISE, el plus un bes, s, survolé Salonique, et lancé une trenAotrichianed, ar re zivcza euz he zouen traitement dans les hôpiliùU> (le la (louvi'i'iiemiMit. l'xt lias les militaires digou, azo ken skanv abenn evele peb doa kentoc'h da wellaat ho stad, da c'hou- darded o veza en em dennet enn A l b a n i . au sud. Dans toute la partie sud, son alla taine de bombes, tuant une vingtaine 4e que échoue complètement. Elle ne réuss;* ,te dois ii.liitili'i' (|iiii lu slliiutluii loI U'Olll taux, je ne manquerai pas de siynalcr à Grecs et en blessant une trentaine. amzer ; kalz ac'lianoc'h u'e glaskoul nit trancheou hag a ra diez d'ezho. H a g A r jeneraled Becir ha Lompar, hag a oa que sur le bord même de la Siiiiiii'' con*» la i n f i r e d a " " l'iiHérlum' (|iiu sur . mon coltcque. du service de santé le desievit kement-se ez eo awalc'h peurliesa le village de FRISE adossé 4 la rivière (4 9 Siii' le (>'ui>t un Ivii onendlDiis inililuii'eii ket nebcutoc'h fi'ingal. en ein glevet gant an enebourien, a zo kaomètres ouett de Péronne), et qui étail Le 27 janvier, le paquebot Irantaii T.a piUnenl Itni;, il soralt luiidinlisil)!.' nu une deratum exprimé par M. l'eyronnct. v Ar bûtred iaouanU, klevil, a zo-soue c'hoantaat evit dont a benn. D r e ze, bet lazet hervez ma lavarer, gant ken- tenu par nue de nos grand'gardes. Des con l ' b l a , a coulé 4 coups de canon un aons« u l n i iinioi'iii' ijiio ixille du i'(miinuii'liint en » • varlene, enn hanter-noï da Arras hag er tre-attaques nous permettent de reprendre, marin allemand qui le poursuivait k 890 < liel pni l'Ncicoi'«uns ((n'il y uji nccutd zel, pa (''hollont dont da ober eun dfo vroiz hag ho zamalle da veza traiset peu après, quelques-unes des tranchées en mètres. Au cours de la mt'me séance, le .Sénat a Ciiampagn, araok pe etre ar stourmajou "Vi'psî'ii'.iini'^ c(i pi'liielpe iiut'If" foiUi'olp d'ar gear, o wolout ar vuez a renit. Me braz a dremenaz er broiou-ze. hor zou- ar vro. fevée» par les Allemands. — Depuis quelques jourt on avait des i>.•ejetd la proposition votée par la Chamv k ' i i l d'iHi'i" <ii'j;»iil«i) «UN ai'i quiéludes au sujet du vapeur anglasa Appam, lavar ai- botred iaouank fur, ar re A n Aotrichianed a gerz breman enn Plus au aud-ouest, le '29 (jnvi.'r. tes Aile bre, et qui prescrivait ('Incinération sur darde.d a grignaz eleiz a zouarou divar L'incider.t ctuit clos. ' ^ l i avait quitté la côte occidentale d'Afrique, no» po»ition» en «ace de manda attaquent iiar ez euz eun amzer cvit peb Ira goust an enebour, o c'hounit var-n-han A L L B A N I , etrezek porz D u r a z z o . DOMPIERRE (11 kilomètre» sud-oue»t de Pé avec, entre autres passagers, des prisonLe socialiste Hriton eu soulevé un autre, les champs de bataille des corps des solévanoui- Mour a liiui auezho o deuz skrivet d'in torgennou hag ez oa mad d-omp kaout V a r an hent o devezo da enebi, er me- ronne). Par deu.x foi», riufanterie ennemie niers allemasda capturés au Cameroun. C* plus dflical. acec des questions qui certes dats. Voilii donc un cauchemur rejetée dans ae» tranchées par nos tirs de vapeur cat arrivé dans un port des Etatsle Sdnat. goitde ho dizro var an lalbeiin ; ha ma didan hor galloud. P a vez bet gounezet neziou, ouz soudarded diveza ar M o n - est ne sont pas à discMter, ni même u poser en réliellons-en Unis, BOUS pavillon naval allemand. I I avait barrage et notre fusillade. ténégro, hag ivez ouz eun armee savet été surpris paralt-il dans les paragea des public dans le moment. C'est ce qui aminé lakjeu er gazetenn daru euz lio lizer tachennadou a zo, e vez easoc'h da c'houde Dans la région de LIRONS (8 kilomètres Canaries par un sous-marin allemand disent te président du Conseil <i la trihune evel ma o'houlennent, e leutec'h da taga a vraz. Evit ho gounit, c voder sou- gant Essad pacha, unan euz mistri a r v r o . nord-ouest de Chaulnes), rennemi dirige, au les uns, plus vraisemblablement par un naVne grandiose, manijeslalion en l'hon M a c'hellont mont larkoc'h, en em cour» de la nuit du ^^ au '2!'. une attaque vire armé en corsaiie. Ce même navire avait uzia gaul ar vcz. (iwelloc'h e kavau darded ha muioc'h a ganoliou dira-z-ho, {,(•<! pxpIlcallonH quo M. le n i l i i U l i e de la ncur de la S e r b i e « eu lieu à Paris, le qui e»t immédiatement arrêtée. coulé sept autres vapeurs anglais. Tous les fluori'e, en plein aeeoi'd avi'C le linnvei'in' janvier, dans le grand amphithéiitre de lavarout liebken ar pez a reketont euz dre guz kement ha ma c'heller ; hag e gavint dirag an Italianed a zo bet kaset équipages sont arrivés aux Etals-Unis sur Dan» la région d'ARHANCOURT (6 kilo inenl, vienl do lournli' en repuiise à M sailler. A l i e z an enebour n'e vez ket var da Vaionai hag a labour d'en em lakaat mètres ouest de Roye), grande activité de» la .Sorbonnc. M. le Président de la Hépu- ho perz : Acoanilil'av Mont do nalniv à donner salit deux artillerie» le '2!» jiinviir. — Le lende Inclinn h .M. Hrlzon *«ns (|u'il y ail lieu hlique y assistait. An asambleou a goslez da zul ; hoc h c'hed a gement ail, hag an dro a vez e stad da herzel eno, evel armee hor main, dan» cette même région, no» batteri (l insKUiei' un déhat nouveau sur une ma c'iioariet eaz awalc'h. Choum da c'houde jeneral Sarrail e S a l o n i l ( . Des discours éloquents el chaudement apprennent sou» leur feu des troupes en mo tlftie aussi diilleale. Le» déelai-atloiis do M amzer laosk eun iliz. Kel)euloc'h var an dachenn gounezet evel dre laer a vement aux environs de BEUVRAIGNES, et plaudis Jurent prononcés par des orateurs A n armee-man a zo lezet didrabas le ininlslre do la Kuei'i'O ni'onl paru ivneon ti'or l'approhallon quusl unanime d la des paqs alliés: Serbie, Japon, Italie, An- cli.atou, nuiioc'h a bedennou ! zotennoc'li ; hag evel m'o poalennetama bepred. N ' e ouezer ket c'hoaz peur e une colonne d'infanterie ennemie sur la ro t« de Laucourt à Roye. — Le 31. noa canons <iliamliro. „ , , . ,, Iloulia, eun eur ger, arsliouer a ro disadorn, evel ma lennoc'h hirio c'hoaz, teuio an enebourien d'he zaga. I.n 21". J.invicr. nn dOlacliem»nl de fuf.i!ier.s. gleterre, liussie, lielgique. TousalJIrmùrent de tranchées bouleversent le» ouvrage» aile J'avais déjà eu I oeoaslun de m explique manda aux environs de FRESNIERES (9 ki- in.ii'ins 'l'uni- d» no.s grosse.* nniliV slationla volonté indbranlable do vaincre et de d'hoc'h merc'hed krisleii, e peb ))ar nebeud braz euz an trancheou gounezet niol-nii>n>(' sur eoUo (|ues!lon devaiil le iK'es piV'S de (•;aslcllorijo. a d^barqni* d:uw lomètres sud de Roye). — Le 1 " février, nos comnilsslnns de l ai'niee de la Oluunliio c rétablir dans leur pleine indépendance les rez. gant an Ailmanted a zo choumet didan batteries dirigent des tirs sur les tranchées une Ile voisine. Des volonlaipcs de Oaslello«* » ne seront pas inutiles. I.e cri sublime oti toute l'âme d'un grand peuple s'est exhalée n'aura pas dtd poussé en oain. Debout tes morts .'... Debout ta Serbie, la Belgique, la Voloyne! Debout l'Alsace.'... Debout la I.orrainc .'... Debout pour oiore! Debout pour vaincre ! Debout : les barbares seront chassés, s GEOUISEPASSS O'ar re a zo er gear haû'arriin'eniaintkel f B W II il II f I 'I if I II §3 LA GUERRE Eiz liez Brezel EN ORIENT d u Sénat. . ,, J'avais di ehiriiqno lo (lOuvei nenient avait le oontrnie c i |» dlroellon pidlllque de unerre et 1(! eoniiiuuKionieiit en ehel la eon UuUe des opéiallons lullltall'es »uus le béné l i i o do lu conllanoo eiilléro (lue le Clouvei' noment nen Inl. (;o droit le Uouvornoinenl le.xerteia san.s poitor ulleinle il rautorlto et au preslltto !le.i lioninii's q u i ont lu eharife de conUuli nos soldais à la liaïallle. Quand vous saveit cola, quand on vous (111 quo des eonti'filour» sont ailes dans /.ono do» ai'jnOns et qu'il vous sera reiulii compte ré!<ulli'>roninul dans vos euininlsHlons, du résultat do ce eunti'ùUs pourquoi «unniettru une question aussi délleale à une disoudslon publique dont vous ne ()i)uvez ni vous ni lo Oouvornouienl, Iruior davaneo los limites , Ouel que puisse Ptro voire souci des droit» of «les devoirs d u l'arlenn>nt et d u (iouvornement, nous Hon»mes loniis dan moinont prùsonl fi uno eertalne le.serv daiiM un pareil Uélml, M. Driion <n8(8<c néanmoins, appu, par son i i l l e r ogo Il^unn lJuiiens, cepen Hantqti'une partie de la Chambre, dcœurde, donne des siiincs d'iiripatience. Kt, malqrd les socialistes, l'Interpellation est renvoyée 8lD0 dlo Mardi, autre séance tout aussi trou liante. 3'out d'abord, le socialiste Dejeantc rcM^ aaooir quelles mesures ont été prises pour empêcher les Z e p p e l i n s de venir plus êouvent que de raison troubler les ébats de messieurs les l'ariementaires. Le général Galliénl a toutes les peines du monde Jatrt comprendre à ces bavards que les Allemands sont tes premiers intéressés à et qtit do pareils renseignements soient Jburnts en public. It s'expliquera devant la commtêsion compétente. Ce n'était pasjlnt. A Marseille, comme ailleurs, des mestirei ont été prises pour Interdire l'accis des débita au* militaire» ù certaines heures. Marseille ne pouvait naturellement pas t'tneUner eomme les autres rilles. .Ses débitants ont protssU, ont décrtldunejour' nie... de grioe, et chargé leurs députés soelaUstes de porter leurs réolamatlons A la Irthune, ** <1 Cts pansstuw, «lona-noui dans tins etreulaire signés dt grat^ds noms, - ees i f H i r a i K u v , i/ul vieent A tuer et ù ruiiitr. 'twr* eaiiettotSM, Multnt prq/ltsr d» ee fu* MumiUt est deosnu un lieu ds passage pour eeua de no» enflutt» fut tontMr» émotr A ^oif^fiM. ^fêmtUni mr nations qui gémissent sous la boite des 'l'eutons. . « l'as plus que I.atarc. s ecrie M. Sta noi/evilch, recteur de l'i'niversilé de liel iiraile, la .'ierbie n'est pas morte. >• u Serbie et Belgique, dit, a son tour M. Kmilc Briinet, député de Charlcroi conscientes du péril auquel les acculait inévitablement la résistance à la menace austro-allemande, ont suivi Jlcremcnt la voie que leur traçaient le devoir et l'hon neur. liuines, massacres, dévastation, ont été le glorieux chùlimcnt de tajldélité à la patrie, au droit, à l'honnùteté.'.., Serbes et Behies communient par la sou,prance et par l'espérance. Frères de douleur, nous gravirons sans ddjaillance notre calvaire, certains de la résurrection >>. M. Vesnitch, ministre de Serbie it l'arin, remercie les organisateurs de « cette ma ni/estation, qui ira uu cœur des .Serbes, i — Il S'otre patrie, dit-il, ne périra pas mie renaîtra bientôt, prospère et grande et nous y relourncrons, heureux de sa résurrection, heureux aussi de pouvoir dire l i «08 compatriotes restés dans l'esclavage provisoire, aux veuces de nos héros et à leurs orphelins, à nos,D'ères et su'urs en deuil, combien tous nos alliés ont été bons pour nous, combien et tous nous devons une éternelle reconnaissance, surtout il l'immortelle France, ii I M. tiarthou, ancien président du Conseil, clôt la série des discours, en insistant sur ta nécessité d'une victoire complète, pour la réintégration de la .Serbie, la délivrance de la Belgique, la liberté de la Pologne, la restitution do l'Alsace-Lorraine, .Sanscela H la paix ne serait ni honorable, ni dura' ble. File associerait la honte d'une abdica iion d la précarité d'une trive. Tout serait à recommencer. A'OIIB devons, puisque le destin nous l'a imposé, achever la terrible et glorieuse besognç. Il faut libérer l'Europe el les générations JUtures : il faut poursuivre la guerrs pour assurer la pain et non songer à une paix qui préparerait la guerre... » ff La devise des alliés est : Un pour tous, iou» pour un. Il n'en est pas de meilleure, A ta condition de préparer, de discipliner, d» eaopdonner les ^ r t s . La victoire sera •I» pria d» eett» unim méthodique ef agi»'lanto BU» •vmi. guélque» »aer(ftees ho galloud. H a setu ma teu ballonniou braz an allemandes de BEUVRAIGNES et de FRES- rizo loinis 4 nos marins, dont l'ac- Allmagn da zevel enn ear adarre, raktal NIERES, et canonnent de» convois vers LAS- tion fut appnyi'c p.ir deux chalutiers amiéK, la ; muioc'h a bedennou ovit ar zou ([iii tinrent en l'ospecl la (çiirnison. SIGNY. i;n capitaine el 25 liomin.\s d.' troupe.s f u dardcd hag ar vartolodcd a zo eet da Evit gwelout e pe leac'h o deuz la- me 'z eo deuet an amz?r da zioulaat. Au sud-est de LASSIGNY, le 28 J;invi.'r. nos rent fiiils prisonniers par les franeais, qui bouret, klaskit Jthnanak ar BreizaJ ar A n enebourien a die beza greet meur a anaoun, hag evit ar ro a gendalc'h da b l o a z - m a , — a n iSaoIenn a z o e r b a j e n n i 6 canons de tranchées bouleversent les ouvra- clinrui>irenl le (..il.'.gijplie c l s'cnipaPL'rent hini nevezeuz arseurt-ze epad ar goanv ; ges adverses et démolissent un observatoire. lie n,Mnl>ivnx iloi r u e stourm, e riskl bemdez da veza diska hag an hini vraz a zo er c'hreiz. l/>ipi'r.ilion a pi rni is a de n imhreiises ha var wella ez eont gant-ho, a dra zur. — Au sud de la même viUe.. nous dispersons, le un convoi de ravitaillement et détrui- milles Rreeiines li iliita H l ile onpar.àvani, , et d'ho zro, brema dreist-oll jia deu an E t r e ar î 6 hag an 3o euz ar miz, hor Disadorn da noz, unan anezho a zeuaz ions un observatoire ennemi. — Dans la nuit •ini lienl (II1 s'eirni:- de rentrer ol de r i enebourien da zailla gwasoc'h. zoudarded ho dilojaz a nebeudou euz an da stlapa bombou var Paris : aS den du 1 " au '2 fi'vriiT. notre artillerie tire sur tégre: leur foyer. n train sortant de LASSIGNY. Santeloc'h hon-unan, ha muioc'h toullou o doa kleuzet gant ho zcnnou, lazet, 3o gloazet, ha meur a di freuzet. bedennou ivez evit ar Frans, abala min, er viz da N e u v i l l e (enn hanter- Re ail a glaskaz dont ivez disul ha dilun : Entre Oise et Aisne nis1,0 2.'<, d'anlres marin.-; qnaire pu ninur. da zizurziou ar re n'e bedont ket noz da A r r a s ) . M e u r a wech an A i l - tennou hor c'hanoliou a reaz aoun d'ezho, Près de PUISALEINE, notre artillerie fait sane.'s de l'Knlenle d.Miarqnaient. sous II) Rak, siouaz! er c'heariou hag e ko manted a zaillaz evit diskenn enn dro hag e kavjont fur ober t r o . sauter un dépôt de munitions, dans la nuit prolecliuii lies navires de truerre, il.ms la pivi.iin'Ile de KaiMlmnin. (à une vinutaiiie du '27 eu j.invioi'. ment leac'h ma 'z euz soudarded pell enn toullou-ze : bep taol e rankjont kila ; Dilun da noz, c'houec'h pe zeiz anezho Dans la région de la ferme SOUS-TOUVENT, lie liiloniéires de Salon^ne) ; ils prireni posdiouz an danjer, an Aotrou Doue a zo hag enn unan anezho or beuz kavet 15o a ieaz da V r o - Z a o z , hag a lezaz da notre artillerie tire sur des convois, nuit du session de I I f.irleresse, qui l'.lail en ni(>me temps enloniée dii eoti? de terre par de l'inol'l'anset, muioc'h marteze cged enn euz ho zud astennet maro. goueza 210 bomb, o laza 64 den hag o 1 " au 2 f(?\ni-r. fanterie française. En face de SOUPIR, le :10 ijuvii-r. nous déI,a Rarnison greeqne n'.iffril aucune r M s Goulskoude ar c'hanoliou a groze euz c'hioaza 67 ail. anv/.er ordinal, truisons par notre tir un ouvrage allemand lanee ; le eomin.amiani se eont. nla de forH o n nijerien, enn ho labour, a glask dont la garnisou est anéantie. Hcall —dillnoutaritpiouint —goude ho zu, ma oa eur spont ; ha d'ar l y , er niiiler une ppileslalion. viz da LOOS (hanter-noz da Lens), an tizout hebken tud a vrezel hag an traou Enlre CRAONNE et BERRY-AU-BAC, lo '27 CeUc opi'ralion a iMi' inoliv.'.' par le fait beza choumet reisoc'h eur peniiad Janvier no» canona de Irtnchées boulever- qn'un Iraiisporl ansiais av.iit (orpilW par deu adarre da vlasfemi ker gwas ha enebourien a glask diskenn e trancheou a dalv d'ezho; ebiou e c'hellont skei, sent les organisations ennemies de la VILLE- nn .suns-inarin alleniami. qni .avait pu s'apar Zaozon : raktal ez int kaset var ho mes n'eo ket dre ho faot. A n enebourien AUX-BOIS. •— Le îli. notre artillerie démolit pi-.irli.'r .à moins Je Ir.iis kilomèire- île i'embiskoaz. avad a labour evel tud dall, rak, enn noz, des observatoirs 4 la côte 108 (nord de Berry- houeliiire ilii port. 11 fall.iil à tout prix prenHogen, ma 'z eo mad ha red kaout c'hiz. au-Bac), et bouleverse les organisations en- ilie des mesures énergiques pour la protecE r memez devez, 2 8 , e saillont a gant eur vogidell denval evel an hini a du plateau de VAUCLERE (nord-ouest tion des iKijnliienx navire.s de guerre, .ainsi armou ha tud kalet da labourai gant-ho gleiz d'an dorgenn 140, a weloc'h mer- rene enn deveziou-ma var Baris ha var nemies de Craonne). — Le 1 " févriiM'. actions d'artil- que (les Iransporis qni sillonnent ehaqiic Doue goulskoude a joum ar meslr, ket etre S o u c h e z ha V i m y , hag e B r o - Z a o z , n'e c'hellent ket gouzout e pe lerie efficacea sur les ouvragea adveraes de loiir le colfe cl la rade. I-e oominandanl ne (12 kilomètres sud-ouest de iioiivail plus lok'rer anc dt's sotis-m.arlnR lien a ('.'hell lakaat ar brezel da eohui teuont c hiniennou euz hon trancheou. leac'h na var biou e skoent ; ha tud d i - BEAULNE Crtonne), et de la FERME DU CHOLERA eioieinis vinssent guetter nos navires devant (nord-ouest de Berry-au-Bac). — Le 2, dana le porl. Après v avoir éW autorisé par lc.s abretoo'h pe divezatoc'h, lien a c'hell Abenn antronoz e oant bet kasèt er noaz, bugaligou eur c'halz anezho, eo o la même région, des troupes aUemandea en (ioiivenicmonls 'de la Onailrnple-Enlenle. il roi an treac'h d'ar gostezenn a gar deuz lazet. mouvement aont surprises par le feu de nos nt done oeenper les forlirtcations de Kar.imeaz ; hag 5o euz hor zoudarded, tapet linrnn qni .'.onnnanJenl rentri^e de la baie llaganat eo n'e ket gant dizurziou gant-ho, a ce dilivret. E n n noz etre an Bourrevien int : her gouzout a reat canons. de Salonique. na blasi'emou eo c chachlmp he vennoz 3o hag an J i e saillont a nevcz : koll a pell a ioa, hag hen diskouez a reont Champagne et Argonne hag he drugarez var hor bro hag he reont ho foan. sklearoc'h bemdez. En CHAMPAGNE. - Le 30 Janvivr. tirs efarmeou. D ' a n 18 c'hoaz, e tagont hon tud e floaoes de nos canons de tranchée» aur le» oroanisatlona adverses de CERNAT (4 kiloKalz 'zo ha n'e fell ket d'ezho klevout R o c l i n c o u r t , ha tostoc'h da Arras, mètres nord-esl de Reims). — La nuit auiar gwirioneziou-ma. l i a goulskoude, evel adarre d'ar c'henta a viz c'houevante, notre artillerie bombarde les tranchées allemandes au nord de PROSNES (20 nag a famlllou a welomp kastizet er vrer : n'e c'hellont ket tostaat. kilomètres aud-est de Reims). Au cour» de I . - A u * Etats-Unis Izeloc'h, dirak C a r n O Y (er gevred da bed-ma. abalamour da l'aotou ho memcette action, on constate des explosions aur Nous slmialions dans le dernier numéro quatre points dlBérents du front ennemi. — du Coiiriiei- qu'une Indemnité piJcuniairc prou ! Hogen, pobl eur vro a zo eur A l È e r t ) , e tiskennont e trancheou ar Le 2 nous bombardons les ouvrages de l a d - .•ivalt été onielelicment offerte aux Matafamlll vraz ; ha dioc'h ma ra, allez e Zaozon, d'an 28 : antronoz vii\tin ez int Dans les Flandres versairè au nord da SOUAIN. Unis par l'Allemaenc. pour le torpillage de vez benniget gant Doue pe dilezet, evel dilojet. FRONT FRANÇAIS. - Le 27 Janvier, un t i r En ARGONNE, au cour» do U nuit du 2 C la i usitanin. Ou disait, au moment ou nous D ' a n 28 ato, e tagont hon tud var bord de destruction, que noua diriHeoni sur les au 27 Janvier, nous faiaons exploser deux mi- mettions le Journal sous presse, que cette pobl Israël gweohall. tranchées allemandea »ltuéea en faoe de nes avec auocês, Fune près de la HAUTE- Indemnité allait être acccpfee et que l'affalro Komprenit dre zo hon dever d'en em ar »ter Somme ; kerladenn F r i s e a zo BtESINOHE, et enlre STEEN8THAETE et CHEVAUCHEE, l'autre aux environ» de VAtT- semlt réglée. I.e» nouvelles parvenues cett» HET-SAS, cause de sérieux dégât» à l'adver gounezet gant-ho, hag euz eun nebeud QUOIB. — Le 27. noua faisons exploser deux semaine sur celle grave question sont de zantelaat, evit ma vezo Doue a du gant a a i r e . - L o 31, notre artillerie lourd» dlr g» un autres mines, entre la COTE Ui et la HAOTE- tous points dlfféreiitesJ'H les rapporU »o hor bro enn despet da zizurziou ha du hebken euz an trancheou ez int bet di- tir efficace snr les oro^snltattani «nnemies du CHET&UGHEE. L'emieml anbit des pertes sont Je nouveau con» « • • " ' ' I g ï S lojet abaoue. pont de STEENSTRAETE. La culée d u pont sérieuiei dans U lotte q u i s'engage pour U entre le» couvernements de Washington « vlttstemou darn euz hor c'heiivroiz. anr la rive Est M t endommagé*. de Uertln. Nous ne pouvons que i i ^ a « n LaSitoationPiploMtiijiie Umt des 0 iiSralioDS Antronoz e «alllont dirak D o m p l e r r e 1 eno ez Int kaset diou wech euz Evit ar re n'emaint ket er gear bre- renk d'ho z r o , evel enn noz araok dirak ma ; ha da genta, evld-hoc'h, soudar- Llhons er walarn dtChaulne»), cl leac'h ded iaouank ar o'hias i917. m'o doa bet c'hoant da.daga ivez. Er gear e oao'h potred fur, an darn E v e l m » w e l l t , fiito'uJat a r e o n t , o t i s vuia ao'haàoo'h da vlana, hag e heu- kouez d'hoif z o u d w d e d ez eo m a d choum dihun. Ueo'h ho relilioD) 1 Mtd, er o'hnern • <leit ehQixm evèl , A - h e n t - « l l . horc'han<rtlou o deuz f r e u E M O B O l e r , g e » r , { o t r f d f ù r l M k l t r i a - , a t t d'jeiho f U l i «-IwçSoti. , «« FRONT ANGLAIS. - D u f l i d'artlUerie. en treoanpéi d* eombati k la grenade «t d'«z p U i l a n i d» n i n M , En Artois FBOirr kuatu». — L«a » , ts.at n Jan Vlar ^ AUMainda o i n i f " " » aoUvamamt I m ï * a S ? i «5 l Ô o T ; rartmari. b r U a ^ m a riS ! ; * ' avao a u o e » » . , ^ la ^ « « ^ • J j S ' i ' ï - conqaête do reatoanolr, dont noua occupons l'un des bord». — Dan» U nuit du 'JO au 81. fc l'eaploalon d'une mine allenuBde k la HAnTÉ-CBETÂOCHEE, aeu» répondons par nn eamottSet «ni détruit nne galerie de Fad•eraair*. — Peadant la BBK d:U 1 " an t février, >aua laUene aanter «ne aulc* mine k U UHTE-CEBVAVCHBE. Sur !• reste, du Front Att Mr«.«mMi tfïnw. ieH<M teeW» « fH» muJi ' ^ W rfloulr. U eût crime coiume celui q u i » naaii*.rpn de la / . u s i u n i a être traite M m m e m i S " impie affaii* d'apçent, a » . ^ T n l w i ï e i i n e . mùme dat.» le p r ^ n t M oune aanctlon inorale. D'autre part, o n w Y l i o u w h t lea Ktote-Unla, a p r t » < — m p M , i % II ri itr I illii u Ids c o i j & m & a n u vBNisTfiiA • ÎKSf'îHS?!.'^"'' Il M M' î ® IS, Vexod-. IHellar»^ SiS^îSS^' d'un oqnWbu»bl6 K . I . A i P'®?'"'^ brut suf le» d^pentOB et uomicp;do.pouwn« <)« tMnto mois MsTêïi CDIMBIC. 9 OHI «llmlnii« natir nno eauie oiKManniie^t! \oTr SSiacle», H m m X ' i ^ " * d » jour Ueé nîe, M i t ? » . nammnirril phY liitllo do In gticnv^ miVi'cs'fl Bràsparte i® "«t >io «ce « Sous omeler'd'nn- courogo «t d'un d(!»«i(èiBfoii oïlgorn kOlt-on.un ddnavou do pivdHim «a dCclamlion. t.oM NuinmoH (urn «.^.r.if'ls "i*""';; CoDMollB a u x . « ; i o v c u r H montsous bôrne», a su, par son exemple, cn-tro00 torpj....... " " i V l oommencoiiionl ilingo. LOI Alloiiinndi loraloiit vnn- nNmrrt pw louchCoH ort loin, nid nn 'kI cVIc, n ?I " ' «"rr,'',»"'' "ft iltfoiftmtlon le mnnDes en» (i'.nvorlemnni pai* lus jumunis «ont içnlr eliei seï homme» nn moral très élevé et • Ijnlnt». lïnliitd <10 <lo roKi çu.ndto a détruit, nu ylllego do Hod(!dn, a.OOÔ Idl. rovonijnitra qu'il a «M porpïj-mUU «iKnalO» sur diver» p.iinl». Colle maladie ust do foin, nu pn'Judlco dç M. «uillou, propriotslre. leur luplror un admirable esprit do sacrKIcè. I.o nidpMii du droit da»'U«iiA, On ooiioolt qir'uuo ni «.Tl' nMiTn';'""",: «H'îi'loure.hcnt, est tuau, lo diHall par cntOgorlu, u.xlriîniement conlagluiisn. (In peut uu I.o feu 0 (Sti S communiqué pur une lampe à pi!J octobre 1111!., sous un bomburdoment d'une Mllo conPcij«lon no «oit pas rnollo ii' iui'va- (iiilt ppiidnnl, HDIT NIII'F'H la BUITI'O, K I I M I ' I ' O I I Î NOufieripleui-K. en c.-»8 de besoin, n'ont ^ a s dnnt I cinpiîclier do se pivpatiur pur '..w.liïl,'.". 'n »n"»'e troto.qM M. liulllûd avalt lolss^e quelques In»: Molence eitraordlnalre, a travaillé lul-inémo ù a alt<;n.lrc leur Ochéanco fioiir entrer dans or ik Hoi'lln. l;''" î comprlsfM pm-n.riOH n vJmis d": .1, moyen» suivant» ; ' ' " i ' I . e h a r K u » »ii»cupllhle» dc vulants (faos la srrange où se Irouvalt lo rolu. d t o g e r trol» de ses liouimes ensevelis sous te leur» capitaux. o(, Hcrulcnt nir un di^diicllon do Tcnsumbin do »UH rusLo pMjiildon» Wlliion 0 prononoiJ dorant fla HH, Mais, iiHiiN In 1» Avoir Hoin d'cn(orrur ioiil du snii abris Indlrlduclj détruits par rartlllçrle. n Ils peuvent en <ffet, lorsqu'ils n'ont plus « J* «I ,H"o tnipoi ldnto association fiio ili.«i'cH nu riMira do l'iino do-. nnniir« si poulain qui est uno cau»c Ki'.ive d lnfuiaion: viin CH. clic* (irvfnlcnt ôlrc l'opi'lwi diinH in tlç e J du dOurul el Indlqiiii» sur lo fermulu nmoïloalno uii (IIBCOIIM nul ivou iiivtrranU que trois mol» M « i i r i r , le» f.iiru escompter: Giliclan £ Isolur Immiidialeinnnl la .jinnunl av..rl.'u, Hetranuliaiil onlln lo moiilant du cc» " h rI;o^lQn»I.H«moi.». Aiuô» avofr rappololSuï lo" CloïiarK-Carnoët • " " . " f " ' * personne doil unirer dans son L e danger des armes a feu. — Ln seiuaiiie '•"•r*""®" " " " ' " " I lolul de» reque .lus effets de coniinorcc, ou se faire ..,1 'mpoiHnhlo noiip M o r t accidestelle. — Maurlcc-Jullcn A*8UBiiur ;'co doit OIre loii.lo.irs (IcrnlOro, on fulall, nu vlliopc ilo .Moudenou, l'urSîîttî.lill'i ? Po'x'coiii'orvdr Japaix JOH l'uvrnim pciwonnol» el puni' c.ciix dn un v i n s do diver.^vs eal-^Korios. il d.'fçaKC' lu In n i ^ avancer, en t o u t ^ n i n s , par rot éiablisscdrcn,;il an», passeur, A yolntilaurice, est lonAé In mémo et eello personne no doit plus n rlvéo eu permission do M. Salllour, ipil exploite Kl«l».()nl»,-ot Hurco point norgonnono «IKTIT du l'uvunu ubibnl-A .rclùiilr poiïr Ivitament, iu».iu'u «OJBpi do leur valeur. proeliur les nuire» [mulini.'res. le lundi-matin. 24 janvier, dan» la U i l a , «ti a ferme en coniiniin avec .M. «eni Picorl. M oon oitoru nos parolo», - lo choT do l'Utat u pn^o d.i hlcMiH, nn v i l pns nvtm sou n i n i l b issumml do l'impfll. snns pr,'J»diuu , u l , Le i rOs.u- paywtt d'avance l'intéi-ét de ce» I P8L (iKnlmioHl ImpflHnhlo puni- IVH I'OVP Uiicllim» (|ul seront ullOrluuruiiiunl niiiiriii muttunl sou bateau, ù Ilot, A lacnle (|u! se trouv.4° U Juinenl mala.lu doil CIru Kanli'e Uostlen Picorl, du colonial, fièro do Mené, ea «on InuA on HÔ» Jornion: « I l Y a toulrtoli lit (••Irr nous, les sousoriptBtirs n'ont i verser riuo en fuce de son babltution. .'•'a femme el le« voisins ., , O , , loalim protôront• I iiiif ni'i'sdiuip s ( f Ni'ît cnfnnh ni > i I Im nnii'i'Tpour ulmrKu» dn fiunllln, d'anr.'» lu» IVHHUI. Incurie uu chaud. (Jii rucommand.ries I.T çonvnicsccnco A Kcrsiroux, en Taultf, était de qucl.iuo oho«o (|un I N Anidi imaii _ M fijincs pour un bon 1 (li« j mois, oc.'ounis nu bruit de sn cliulc dans l'eau ne vapus locaux A l'uau eri'ïyl.' (1 culllur.'u do la foie. A m pnix T oov«ont ION jirliiolpoH «sur J7 Ir. pour un bon 5 0(0 à 0 mois. — Si f r . î ^ ' , nii/l';'.'«"'''i"" " • I MlositiivlN 'I"!'!" " " famillo ïïvuiU nv .2 I î Hiicment» consiKnO» sur la tli'ularalion. •purenl lo retirer qu'A )3 b. 1,2. en>/.ll par lllre d'eau), . roposo loiii'vIo i>olKI()uo. 1.0» I.o» Aint'i'icnlnM Aint'rliialnM I niiilnH qu'il no nninM'c rtrni.uulpi- ( lin "nlix\UM>ollfl()uo. M. Salllour avnit rapporté nn revolver ollepour un bon D 0)0 à un an, c l aimii de suite. .1" Au b.nit de qiiinzn Jour on pciil la re niand, qu'il avoll cueilli A Taburo, lois de la «ont prois ft.loiil moment k pmndrn Inn >..,LM..y,"i,ï'""î <1'" », 'l<'l'"i'» du» divers p«. Qiicrricii « ' " ' " ' " ' " « l ' i M l'iKi' pbus du la fdi'inulu nyaiil li-ailft,1UH |n. niuilru avno lus aiilru» •ymos pour dOfondro lour Ijonnoui-, lis no 1 M l l U i ' ' ' " ' " " prlso do ce village par les Prêtons. Triste-mort. — Jean Kergoat, 07 on», mai^n !n « r , « . " " f ' " ' I ' " » . «lî'nlarant nn ruinp I oliorohoront JainnU -un oonlllt, malti no l'ri- A v a n t o f a i i « o o o r d j i i t n o o n i l d d r a t i o n qun I.'ar^ne posça nalurcllcinenl ,do ninins en ullu ou bourg, u . té trouvé noyé duiis un i-ui-^ionii w i i x diint In tunuiir.tiiiiini i'iic dn» ri'u«ul- aura « . ï e u V a ^ " ' " ' " " ' " Oni.l«ATIOIV.«> 0/0 «artoi'OHt pns non phiH par uuslllniilmlt»\l moins sans qilo l'on prit' In précaution doVu^uffa i » H l t u a t l o n d * i a m i l l e bor.l(lnl lar.iiile. où il ovoit dû tomber se lïgu«ar » Il y a t.no oliofo pour liifiuollo la narer qu'elle n'était pus cborK.^e.. . vaut eu état (rébrlété. SI lo cmli'lluuilijn M l mnri.t II n droll ft n". T. i , Jlon ilpll *o buttro, (iV.«t lo mnlntlon .lo Mi\. 1 " ' " » wnli'lhuublo Tout A coup,-Uusllvn Picurl pressa la Bilcliollc. B U K S T Mnrltrt do HO» propro» ooiivIcilonH „ » iticc-Hiir-Bclon. i-n balle alla fr.qipor son frère, '.jul succomba Kn vu.! .1.5 laciliter le» oporalions do w . didueliun spO (,ti «ont A do (lt>rr» parolo». ninl» un pout Itm rivniu i'," uî'' Sooourg a n x p r i a o n n i e r s de guerre peu A pris, le projcililo ayant purfoic lo poumon • I;« 2'î ianvi.^r, Mme riérnut. .!< m ' l i L'" ' l'I'f™.'''' iwiii'iu su bur «0 dpniandoï »l Uaus h )iii««iJ l'attliudi', un ,. S'il n di'H pcj'MonncH - (i sa clinrRn (nfOPii pour sortir par le dos et aller so perdre don» le I-ijou, Mor-inn, s'est peii.îuo .iuns une rumisu o.i r '.„ " 1 liisurlro sur su diVlnpou ouvoyanto, dn Kouvurnomont dn Wu»- ' ""l" 'IHI'H du plun de lo nnn uiï Iniirhio» mti 11, npivN y avoir munlionii.' su.» n m cl il qui se trouvait derrifire lui. elle n étii déo.ivcrle par (ijrunllii .Vuour, sou'.lohlnuton nlj na» InhHii peimor c|u'll dosirnit ' cnrnnls rviMinlIIlH aÛÔ" mesti.iue. Son mari se Irouvail eu nurmissicu Los familles nto.'ssitçuscs de nos prisonniers rthium», sa n sidenu/î m sus occupali.m» proLes liti.;» peuNxnf Otrc- dépose.', uhn/. MW. • irilllll>.> 1^(1»! . .1,1)00 fmm' «onsrrvor . LOM* \out IllMV pris llttft uno IMllw pulx .1..I (|ul n-t «»t pour IM'""'"'" IW'I ild'une .li'duollon de jonr-lf. I.•apr,^s ln,!voi,ins, la manK-iirl^ie nu: I M o u n é o u r M é i i c i : liai nii' llus. la sonlo indic.ilion du monlnnl (10 guerre sont liiforinie» quo pour obtenir des Morgan Mai-jc et C", ,11. b o u l e v a r l l l . i û s ; ^ rail pr s sa funeste détermination au cours d une {.INH^^D'UN "VAHTA«O»L»O Ù EM, I,u eiiTols do,coll.s ellos dolvoiit. suivant Iciir.loinldu Mm revenu nul iinpi.Hablu. C i t a t i o n et médaille m i l i t a i r e . — I.e solmanu. I ans ut da„s lus élabli,sseni.;nl9 - line» par |ini'»nnnii pii MI» do eliui, crise alcoolique. n i; biia de nlluslo par I npn,.sillon .le çllo dnns I arrondissement .lo llrust, s'n.lres-cr A Il 1.0 .Saint, Alain, .loin lus parents habllcnllc cl rtj.'K .lu servie.! Ilnancier. .hmiiie i-niilrlhiinhle ii'.'liint pusMlile 'dn l'a slmialure • JiOaouvornomoiitdcsKiats.llnl». nonoon- " ' qu'il l'iivulu « l'une .tes sod(Uiis suivantes: village do l'oulfau.i, a été cité ù l'ordre de 1 urIl'iiln «In sa .l-MInrallun, I niiftl miii,»! »i.n i w i i n u t.ilal éxi'.''di.> fi.ooo Ipnl (la «ulutloiinor en pai'IkiiUvr uhavunn fram-, npiis nnpIliMillon nri'ninlili nu .uiiilr.Muur >11» pli iiffruiiuhi un (|ii'll rum.'l A riHiuvre du-.. Paquet .lu Prisonnier », prùsl mée nvcc le mulif suivant : CiCH di> l'adrussu « os quodllon» nmi lo» (•rlnilncl» prouùdtiH diiolloii» qui vli'iini'iil d'OIrn bas de la .lli'u,ili>s nuKi ,ll,iii ili'o pur M. lo docteur Corudec ul donl lo slISjfc Soldul li-fs dévoué- et In's courogoux. S'est . , (luiiru Kiirulusnuu.miribiilions la donii.Tu ln(ll<|tii<nH Maison Française (FondBE en 185S) «lo rAustro-Alloi)iai;no tunt tout InNtKut »,nii.u t qu'i'ii fHll, est A Hrfcsl rue Kiuiio Zoln, n > ' A pour toulûs brlllumment distingué A l'assaut des lrun.;li^cs la fui'inule. ( > Mnelionnalrn un aocusu ' un uniilrlhindilu murl)\ •Ulllil II. yurglr, voudrait onooro osnayor dn fniro n (iMi lMM"i»nt>lo fiill, es familles domicilldus soit dans lus' I - el 3- can allomnndcs le Lti soptumbrc I9l!i, où il u été tn'-s qiin si son ruvunii rnvonii nV n'rl l.a on» do Hre.st, soit dans les cantons doLesaevcn U M r «Il u(lii(;i;nl lo» (loiidlllon» qu'il diislro-, grlÈvoMienl blessé. » d.'elarnM.iii, nnu fols soiiHurllu, usI eon i 7.000 frnni's lurmuril n'a n'a iiuuunu pup iili'n ralt voir anplliium; .'i la «iiurro marltlnio i)ar l'i"""" v« »n l'hni'Re ; 8,0(«i rrnnc» oiinnu niainlunuu uliaqun uiin.ie iiap I.nniillls ut Ouessiuit. Celtfi cilution coiuporlail l'allribulion de la (OUI lo» Klat» bolIludraiilH. ' "«"un i.•ml niinoiii' ; n.ooo fi'nncf quiiiiil il a lalil .pruim n'a pu» tl.! renouvu'i;!.: A rotjuvro du n l'ntiuet Municipal ». pr.'sidéo croix de guerre av.c palme. qiinnd II a On 110 connaît actuolluincnt lo tcxlo aini'- ''"'i pnr M. Ilervagaultct ilontlo slè(to nsl A la mnirle liMix chruiils; 10.000 rninc», qiiuiul II n Iriil: rjoaln (lup par uno noio ilo l'/l«(iocin(c(r onfnnls, ni nlii«l du siilln, (lo lliust, pour les fiimllles domlcIliOc» .soil daus IIKM!!"J' u ' i ' " . ( • ' • ' X n i n l i " ' ' ' ulioriuurnI\e»>. Voici d apré» i:o rcsiimO If» prlnol)n plus, lu» cunlrlliiinblr» qui rcslunt non munl si lus indicallons qui >• ont -M.! si- lo ï- canton de Brest, soit dons les cantons do palo» dlnpo!illloiiH du futur projet. Hur In m » !>. rimiM-a iml dnilt uiiuniv, ft n,ls..n dn Kiii'u Plabennec pt Plouiluliuézouu. Q UI P KH rdallDullun ot ronieacltûdiiquoi 11 ont porinl» ImiiH ulini'Kns de fainillr, ii mi,. nlliiiuiu||i,ii n.'n> i r . ' s l oMii'"" "'""•r.P'l^''"- ''''Hru nu,dl. A l'(»;uvro _du .. Secours aux l'risonulors », r®^'!"® M a / W o , 3G lu d'avoir do» douto». M csl uiilu, par suilu, .pie lu cmiribiia- l'iHld.io par Mmo Hlzieu et dont le slèfio est nii Comme en pays conquis. - Trois mil du Inxu. I.u inrtiilaiit dn luur uollsnllim, uni I. — I.o» non-comhallnnt» ont lo droit do UI li'u ,|„„|,.K 1,1 i,„,|f lo^nl, nsl, rnlull, d< 11 eons.'rve une uopi.'. telocii Ki.'ihuon avec un bureau A Brest ruo luirès i u l,>f eluicnl entrés dans le .lébit de lu T a x a t i o n administrative travorsor le» eaux Inlernallonalo» sur do» ,l.an Juuri'ïs, n- 2(1 (ouvert les lunJI et vemlrudl iuve (.oriiii-, u I.ocmnria, où ils se lirent .«crvi Mvtro» marcliaïKl» perlant pavillon d'un ri 0/0 ||iiur iinu pui'Nuiniu ù luur uliurKu, 10 o/O Ile chaque semaine)-, pour les familles domloillées un cafo. foui à coup, un d'eux saisit la débi l ' . b M i r Î M l l ' l i . u , ' l ' H ' l a r a l l o n soit dans le.s- caillou» do Daouins cl do Snlnl- Unie a lu gorgi>, puudaut iiu'un autre, cuporui bplUtrrtrant : I » nouvont compter «ur lo» pour deux iii i'.Kiiniins, ao o/O iiuiir litil» nurlaiis lu» deux pr.'ml;'rs mois de l'uinnie, ni fàtflo» du droit liitoniutlunul et do l'huma- ri?.r;i",T' r,' lunan. soit dans 1.:» communes du llelei;a-Hur- fouillait le lii'.>ir et en enlevait une quinzaiu ''''"'r'" m, ullo pour leur protection. iiuon ut de (iulpavns. ' do fran.:s ; lo troisième ruisuil le guet U. — I.o» iwjviro» niarehaiid» «ans dlKtlno- i i." " d"iiniinl (Iroll A iinu noiiA riKuvro du Secours aux Prisonnier» n 1.0 caporal, Pierre Doré, 27 nu», de Pari», fui ^ PAMÊLLES é A T H O i W & È S lion do natlonalltit no peuvent pa» Cire présidée pur H. Itoy el dont lo sliiKo est A t.an Télé toi après. Il refusa- de - - d. ^ ^ e r ses c6 ttttaquO» siui» avcrll»»ainent. ÉNVO'l fRAKCD PtraÏTALOClTE BBtZCKÈrî rairozEET d une nîdiiulion C a l ciiinxlmiini u l do l ' I mdep ô60 t 0/0. fil ierueuu, pour lu» fiimilles riomiclllées soit dam pugnons, qui n'eu ont pus moins été retrouvés ^ JIl. — Un navlro inarcliand d'une nntloii les canton» do l'ioudlry, soll dans les commun L/n,/»»., a Douurncnez où Ils s'éUdeul rendus, belliKurante doit ubOIr rapide apldemont <i toute iniinlîiiil dns diMiiullniis priviius un fnviiip .lu cautoii du Lnnderncau, A l'cxcoption du Injmietloii dn n'arrfller. Briec-cle-lOclet Itelecq Korhuon elGiiIpuvus. plû i. , ()ii no peut H i e r »ur un navlro I ilu» uiinlplhunbl.;» innri.'s ul uvuiit Vl I.cs farnlHos nn pourront »'ndrc.sser .lu'A un , M a g o t d i s p a r u . - Mme Le Moigne, fermière inArchnnd quo s'il rOnlfitori >flmo|«:i!'„f.f'""l""T , e»»ale.do '"V.! «lu irî mnniV;, s'i'iî: eule .le ces sociétés: celle A laquelle elles sunt a nuplque avuil cucbé dans h palllasie .le soi alor» 1 ntlaquo doit co»«ur dûs que la fiillol V ,. „.•.,., , lit une bolto en fer blunc conleiiunt les écono latlucbée» par leur domicile. ou lar«»l»lnneo prond lin, ' '''i ''''^''i'" liifi'i'l<'ui» A ft.ooo - . r n n u f n . r i ï l i l r mies de ses deux llls. soit 212.') francs 't'outo riiulamutlon devra, s'il y n lieu, ftro .V. - La dcstruetloii d'un navlro marchand " î ï n,LAr'',!L7", .''''''i"",'.' •'•V"",'''''^ t'ii .les llls uyant i:u besoin d'une somme d'urn'est J U H KII'O (|UO «Il OHlImposHlblndo don- N . / ,I,U T I .Ï .1 ' W "'!'"'' ' "P'?-', '»»* hfdli'I!,? . ' ' " ' l ' J , r o i i v u r l i i r s ndrcsseo u la hous-l'réfecture de llrosl. I (I Wnl d. diielnrall.in a t'IÙ ivlardén .a qu. gent, Mmo Le Moigne eut la désagréable suri)ri<ie ««r nn Oqulpago ( o tui tuno nu navire saisi si n M , i IM '1" E m p l o i des p r i s o n n i e r s allemands. — do constater lu dlspurltlon du mugot. Le voleur ou «'Il est Impossible do lo ramener (i un r \ , „ ^ „ Pour parer nu niamiuc de main d'œuvro .Inu» avait eu tout Juste la délicatesse .le lui laisser notre r.>gion. Il serait question do cr.'-erdes coni- uno uutre boite, cncbéc uu mémo endroit et port ; en co «n». l'iiiulpaKo ot le» pussaifjrs .Î.'î,"""" doivent ôtro mis a l'al.rl ' -««Jts T.Pv » . i pugulos do prisouiilur» ollemand», lesiiuols se' 'noon.,!l!l""'-''n•''''",1" '^"PPlO'il'îiilairus qui rnlunl m s A la .lisposltlon do rinleu<ranco inarl- contenont 12!) francs. I l ne s'asit iMiooro une tols f|uo d'un pro. inilr M i V * l'r'llv) } Unan bcblien, clouez ar re zo kiunlfe'.it d.-oc ii, a slan-. p i m n . n l aller UKiu'à trol» mois aprèi I llmo et lies chemins Me fer. .-ir Jot nul nourralt blon restor loiiittemp» si- "Â" i ,.i „ ,il„' ^ï ' " " " / ., ar Le (jiillviiioc ooiB.tlon d«i ho.tliltài, surent a n u o r . K m x (;.•» conipoguics .seraient caseruéns A Kérorioii nonjoujpurs.le treelo«l^Lo»rOK^««r|ll^vlen- L n | ; ^ l'ou.prlsc uunlrlbiinble» niobllis.;» ou non i l su trou . U n d i s p a r u q u i se p o r t e bien. I.e 21 A héranroux, en SuInt-Plerrd-gullhIgnon et au vcron . p.r suit. d . foroo m.jnuri nni,a' «eut d'utre nualyMiie» niarquurnlcnt M elles a„1 T Ï I m n • ,, innvler, la mairie .lu (iiiilvinec recevait l'avis de u fuir.! luur di'ularaiion dans I , d ' ai .1 (junliueur. «talent iinnli,,u(/e» un proinW (5vldont sur L n l i " Soiîio uumprls^ E guui-E e p.'l) apoliu.'i-oz. décembre l'.im de droil eomnuin. ' Ii'uutro part, nu cump do prisonncer» aliu- la dlspurltlon. depuis le es prociStfe» iirlmlnel» ot brutaux do TAusA ^n K i l .1» ^ StaiiKa 'ra ar nu/.. r b. r r a niiizer ; paron 'ra nvu.-liou c V, h " u r • Jcuu.J.,sepli 1.0 Corre, Agé .le 40 uns, sol.lol au niauds snrull .ilulill A l.uni-lvouré, pi-fs SulultfO-AllemnKne. .Mal» Il faut rucimnaltro enC» .„„ i„n , L u z liroiic.iltc, (jti-;,,|,i., Ii,ii.icuz«. - Klcijvoioii poi;,-i„. " J.T d lufautei-io coloniale, n'oi-s que ce milituire llenun, ut un autre dans Icsmoiitugucs d'-\rrée poiidaiit qu'el es sn' utinimorntont, lu pllol- ,b- .",in ^ ^ ^ ^ J i "J ''li "" se trouyult .Iuns sa famille, en permission r.>guI.es prisonniers dépenilnut de ces deux •Icrulers .'.i . ^ n " icmont au molu», lo dro t pour les l.e llgtl- X i r i 'I- i-oiiiaitl.id; :t f r . llère, du lU uu 2o junvler. Voici commenl l e camps seraient mis A lu disposition des cultivavants doooulor les navlro» nmriduiiidH jiu. . ' s .iv ''i ''' ™ Corrc explique ce mulcntendu : Ktanl aux tranleurs. aiiothicairu, !..-iii<I<M-iie, priuhoi: Iie:i;ii, «•«eplatlou, 1 'ailleurs tort liypolhùtlque:O t alK^ I u L .1!^, ' " lu chées A l'atlaquo de.... le 23 septembre t'Ji;; h, nisdalennou c-.'luuicourioii ai)otil((M-iun «otto uonvcnllon «ora uorin nonfunt prix'OÙV» , ^^^ i , ,, Lninbéxcllec compugulo avuil rc^u l oi-dre .le se dévêtir 'du (iru ; a laijoiir .-.i- .r, -al. ar ..••hr;-i,(-! de., d'une inlsc au point minulleuso, l i e s Bucoessions des m i l i t a i r e s t u é s . \ n ai,t. .^lOllHI'L. do.-li-or-apotiiici •ston el de faire uu ballot de tout ce .lul n'était . ail liispoObsèques de l a mère M a r i e - S é r a p h i n u.n.c,. utc.). h'*"!."''!'-''' '"""l'I"'! dan» le lubiem! "l II. - Hn Roumanie (r.-.n.-iii/si-s, s.-iiii;, & l'ennemi - Sniiiiinl 2» janvier, u eu lieu, a l.ainbézcllec, pus indisjiensublo pour aller A l uttuiiue I o livret sillon, il.uhuruloire L'or allemand continue on Houmanio ii Ji"^' " ' ^ intorreuuuit de Mmo Anna lloiilbonneau en milituire .,e Irouvail dans la pocb.! <lu ve- on I.n question dos succe.s.slons des mlJIOr, upr.-s l'uttnquu. Il ue put réintégrer son religion s.uur Marie Sérapbla, .les l-'iilc» rouler 6 Ilot». Cppondnnt lus n)»ullnt» de " m p ô t dù por oontrlbuablu tnires lu(is fi l'ennemi a (.H(; r(?slOe parles Ktiido de M- < i , i i | | y . notaire Ju ancienne truiicbée. ni rupreu.lru sou ballot, ut il PluyiK-u «etto propagande elTiOneeotOhontOo no Hunt Pour «.000 franus dn n.vuini inii.i uiiliba iir Iclos (1 ot 7 do la loi du 2(1 di^con bre • dnt-Kspril. de .SiUnt Brleuc. Un nombreux pi-étres y assisiaienl, beaucoup fut par la suite, ailcclé A la 18 compagnie nuis .-.Miin •iiiiiiiin 19U. D après co» textes, les rtifles appll- de Sœurs HIancbos, et une très grande foule de aux trains r.igim.'ntair.;s. section liors ruiig Sup ï a l t f lie?. le» DOOIICH, (iil aiYlèlô "(RUINFOS mnrli! avuo Iroi» uiifnnis niin.'iir», z.frn'. compl..^- du ÎD cables il cetto matlÈro .sont kvs suivantes • pprsonnes, prniivn quo In sœur Mario S.irapbln nnciennn compugnie n'en ayant pas été avi^i^c Pour S.IKX) francs : c.>libalalr.'s. V> rrancc ptonibro l'JIO, " ' • r I, exemption de l'impiit do mutation b.ll aiméo ut buutcmeul estimée duns tout le considéru donc «trihier iauihlull, tdmoisno contre les ['laH.! snns uiiranl», < frane» mari' vu Hoiimuins d uno toile mauvaise humeur trois l'ufanl» niliieiiis, 2.>i'o, «applique aux parts iioltes recueillies poiiuleux quurtier .le Hérinou. au ir «omble bien que le» arfulru» d» la Qun.Vé.iA l'ont-(>..|x, d uuo fa lo foncièremeut dans ces successions : à /, «Jruplo.Mnteiii.ivonton Uoumanlo beaiieoun m , ' , ' . ! , : ' ; ; ' | ' | ' " ' ! > | 1 ' < ' ' ' . ao rmn..» cbrétieuno et louto dévouée aux œuvres, Mlle conte;. A — par les ascoiidniils, L " " ' "f,""!"' fi'»ii'!» i mariO uvu, .-iiviron 1.^ iioclares. mieux qu on no «cralt »oN\ont lonn;'dn l'IAnna Ion boiiueuu eiitru, jeune uncoru, dans la S'a.ir Iroi» unfanls iniiiuiirs, m'i'o. H — par les doeceiidaiits, ei a l'éludo ou à uittBlnov ohui-. non», Lo Tauchlalt pv.Mo id , Congrégation des Killes du Suint l-.'sprit où ulle •N.'a.ia ; Pour la.îiOO francs ; .'.^lilialniri'», <10 franc» .0 lioii;iir,boul<uiMérf! C — pur la veuve du dôtiint ; lu ssera uno traco profonde. Kiie apportait avec Tdiii.-s lu.s fomnies i au l'oiit-di-1 " 'rV.'Vl',"'"' "l"'^"* vendu de» 'ini'lii »uii» cnrniil». li.l n unes ; mari.» avuc a* I.es collatéraux, mCiiio les (ri-rc.'î et elle do, lenlhuusiasme, iiiio Ame gùnéreusi! cl 1 . nm «, J AlloninKiie, accumule A plaisir >'.'"1^' fnfunls mlnrurs, 8 fr,' nus, il.-iiigi'rs .|ui l.'s nn-nai os 8(cur.s, doivent payer l'Impôt de mu- vilirunte, un i-njur épris de Jusilce et qui no rert) fr, lo« dinicultii» nour faire rotnrdor la livrai''"iir l.',,o(H fr I.1 i i i ; r o i ' K )) A«;K. Ktud,- de M- «; iiillcula l devant r ou lorsou'li s'ugissail do défendre iHiion i Pour ï(i.CO(i fr. notaiic 120 fr. «on do co» ilenr.»es, el II laisse oiitendie II.-s son: bi.-M i-oniiiis. P.mr sri.onn f r , •bun 'iOO fr, "" l'^'iilront l'utLa di^claratlon do ces succession» les droits do Dieu ou .lo promouvoir son règne > Lors des expulsions d.m religieuses eu lUOi! lonjKo, la Houinanlo pourrnit blon marcher Pour MUKK) f r . .'100 fr. i40 c il (lovru Otro Inito daius lo dùlal ordinaire do elle enseignait an punslonuat .'^ninl Julien dé UeMBK£ DU JUR1 «( Huii. c0l\'c0llllli ftlours eût..». Il icrmiiio ou signalant nue Pour ,'in.ooo rr, 700 fr. .M (J <•< six nwls, mijmo par les personnes (lul l-amlernuau. Conune toidus ses sœurs, elle pronu Pursoilii.' n itriiorc pu,s ii. 11- K-s a,oparoils 108 moyen» ne manquont pa»ftrAlleiiiuKiio 'uiir Idli.WKI fr. I.7(*) fr. .1, •MU- ICsd pciisont (^Isponséos do payer les droits do lu résislan.;o )us.|u'au bout : n Lu maison est A du spéuiaii.sto '.M. Ci.-is.'i-, .ii! Paris, CI. Iioupour parer i\ celte (ivoiitiiallK). " .lai.Cqrj ru-;, en 1 icy-^ Pour ïoo.oon f r . . . , ;i.70(i fr. iiiutntlon, oost-iVdlro par tous le.s hiSrl- nous, ot je n'en sortirai que par la force d.-s levnrd SOiiasIojiol. soiil l.'>i seuls <|ui 1)1-0I)C1.. hnllii, pour fiOO.tXX) franu Exifei- te torlrail curciit un lji.;ii-Oir(-! aij.so lu c l iinin.'.liiit tlors pu IcKUtalres sfl/i,s cxcention; bulonuidt.'». Il failut u.i.ler. (Vêtait le 7 uoiU !) "•TiO II',; sans uiifanl». \ ( n l l l i s I'.oi-il,iiit le nouvell.-iil irr :|irils puiivuiil so porl.'r jour el niiil sans La pros»(i vlonnohio contlniui à priilondru avee tr..|» unfanls. 7,lW0 fr, canal \'ant.-s;i l;i-<'sl,.ruiip V Co d(-lnl de six mol», au lieu do com- (jiuelqiies jours plus !urd, !.•» sœurs reutrèrent t'CMie e l . | u lls fonl (lis|.arailr.! les bon lot la 1.-111111.duns lélublissenient. I.o i:i septembre, nouvelle nue la capllulntlon niOMlOmV'rlno ii hlen ùio coi.lei ii-e de •< heclai-..'s 70 mencer A courir rommo d'ordinaire du e.vpulsioii. (.'elle fol», pensa le .'oniinissuire Hei .-t .-xpo! Ditolaratlon .\yu,s.-nL'a''coii» vlvejneiil les pcr.soniic «iBi 00 par deux ( .••lÙKué» nrènlpotonllalir» ares. faut san ' " ot quelle lia pa» biwilii d'fltrn rallllÉe pur r-u c.inli'lhnnblo puiil faire. A sou cli.iix Jour du décès, ost roport(i au Jour de la gland c est bien Uni. Il so ti-ompuil. I.e lemle at ointe» de Rcrnlus à venir e.ssayur l'aj.paS'a.i .'Ul: r. ule 50.i7 cessation des hostlllti!». Cette modlllca- muin II ne fut pu» pou étonné d'enb.Mi.Iro lintui rcil de .\I. (; laser, : jonouvorneirtont, Que la prniiiltfro pavllo (le |i'i" d.'clavalion .lu chiffru .lu son rc unïi ooUo Informalliin soit oxnuto. u'nM ce nul i tal ou iinn .l.'cinralion c n l u n u i i l lu .I.Mnil de lion il lieu en faveur de hms les iKirltlors lu .doclio ! .Coeur Mnrle-Sérapiiln s'était luiss. « i i i i u p ç r , I.! rovnoi-, h6lul .lu l'I-.pOe. Hre.st. le» u cl7. liOlui d.l'iet IfjfHlnlros, qu'ils soient ou non dlsrunformur dans la malBon. ,Ve:glond .lut brisoi lu.» (ivvuiiiis .l.v. pro-, anue. ost d'autant plu» vrnioemblabto que le K(>I 0.T^''!,'"'' .1.""' CABI^IFCT D E N T A I R E Ses sooiiés, en apposnr do nouveaux, et procurei Lonent, Iq 8, liOlel .le lîrcia;giie. ra Uoolr cl le ma or Lompnrd .luI auralo il P' '"»•' ''l'u» bAllu^' ; ruvuiiu» .lus nro. pons(!s do payer l(?s droits; m u ton;.- r,-innn' la vulllunto supérieure un blllel d'bospllalisaIl'rochure f. pris i)art aux m^Koelntloni ont d issas» . P,'! ""''i''i';'" iH'» bAAlius ; r.wunus dus vademanUc f)' Ces rôBlos s'appliquent non seule- u I r, le .|ui ir.'-prim-,o "coT-' 'k-'i'î'i''"'" ,'{''••! r*'-'^' lion, cbaritublement délivré par le mulie KeriK)8pnrdp»pntrlolcsiuonl.'n.5srln»,-(l'a r6» i ' " * , ''I„<-"l'lhuix 1 ment aux successions des militaires dos inurreo ! niai,. b- la .i<)rv!-;.\«:!-'. les dornlùrns nouvcllu» revue». (Jiiand A la ...puma,ion; '• I)hiî années fraïK'alses et nllIiSes do terro et de Cl.-s i-i-.MiKi'r-.-. sii luiTU, .lu liiubislrlu ul d.'s clmirus ul of. Des vexulioiis traeassièrrs quo la Congriigaliou «ccoiido partie, on verra ((uollo valeur aura (Mil «••vlItT l afll .•l's : nn.'iiiis d.N nuploi» publics ul privCs; mer inort» sous les drapeaux pendant la des .>-œurs Diuacbes eut A subir .Iuns lus unmVs «0 to a»»ortlon mi Jour de» pourpnrlnr» de .1 eoii;;uslioii. l'ai! durée de la guerre actuelle, mais encore • suivante», nous n'en liaflerons que pour mémoire. ilr lu l ;:niltr ih I'; L'assi-mblOe K(!n(;ralo des aciloniiaii-es d. paix,., de» vrais. Il n'en est pa» moin» cer- ruMa lus. p.'nsloMs ul ruol.'J viaK.'ir»',! aîi.-vrisnuv-t ï-l u uon ribnabin nu v.'iil faire .pi'iinu .1.'Aux successions des mllllairos qui, soit Disons seulement que lu sœur ,Marie-.'<.lnipbiu la liaiiquc dn l-'rnnce s'est tenue lo -'7 ian l-:x-n::-f -h, xci-no: tain quo celle ((Uusllon inoMti'ni'LTlno ru»te O u o l l c Il'oilll u su» r'vumis, Il sous les drapeaux, soit après renvoi dans lien garda point rau.;uue A nos gouvernants- vler, SOUS la prfcl.lunce de .M. fi. l - a l l a i „ ll!' p:U,l ),:,„-,•/; (inooro envelopp(je d'une certaine obscui ltO, (Iara l..ii .lu l'unscinl me n'a plus son .-ours bal) [:\(rac(iuiis ! "I ., lu» .mux pr,.uiiurs n ois leurs (oyors, seront morts dans l'aniiOo A et en aoûl 11114, elle fui la premi^-e A engager KOuv.;riii;ur . I d a Danqiie. qui a .loiuii- Icc i-.-'ii.-i' a u \ ijarlies l.'s pi.i compter do la co,ssatlon dos hostilités, de lus .Sœurs llluncbes A mellru Dut leur .Ivoùniuul ture du i-oinplo ren.iu dos o|).-ralion.s pour * ,. ' • " " ' ; "'l''"ill'i" "lluilli avis, !«)•!!< <1 p o s e « I c d o ï K i rs b-s niai.-.di.-s les pl.is pé J.B plane non» manque pour nous liteiulru Apr.\» I uxpinilioii .lu uu .I.Mui de .I.MIX mois, 1) essurcs ro(;ues ou do maladies contrac- uu service do la patrie eu danger. l-;i c'est ainsi l'cxercien 1!II5. Lu i-appoi t do.» ccn^c r.s a 0 . \ l'.MII.K Hiil-M'ON i n é i r i l f . illii-oni.-. maux .pie dans ce peusioniial .le .Votre Dame de Ik.nno- clé préscuto jiar .M. Cii, Petit. . «ulourd hul sur la question linanclùro. pourra encoru fair.. pnu .b'clurallon. dan» l(^es pendant la guerre ; ! n \ . S L.V .M.MSO.NJ iL-rfs. .-I.-, Nouiellede hérinou, dont elle était devenue In Non» iKju» en voudrions cependant do ne I Cu» d.)cunionts font ressortir, sur lus dOlai .l'iin iii.> » apr.-s ri'i'untion .lu l'âvl" L a . l ( H ' V i : \ < : i ; d . - l AIII A u n successions do toutes personnes sous-dlrectrlco et que, grftce ù lu précieuse collu' ciillfi;.;.» de ru.xerul.-o nréci-.lonl uno tr.-s pas c ipp Immudintoment ii no» liu^tuurs cul lu dus n.mlrlhnll,.n» (lin lu Il touk-s l.-s i'hHriiia.-ies 11 fi-, 7.1 i.;" pri'vununl extrait du lh;,-thu'y l'ost : « I,n situation o»l iiu'll su ironv.! .laiis lu ua r.Mro tuées par l'ennemi ou cours des hosti- borution do M. lo Curé de l.anibézelleo, eileuvait uon.>.idorablp auffinenlalion do r.'nuaissi'-or rran.-o. L.-s :i lla.-oiis 1 I fr. 'J.i franco relové el considiii-ublement agrandi, - dans le» quiattek'uait, au-.'i duceinbre luiô. i niillerriltiMilc. I.e neiiplo doit se priiparur A lin )0SU, ,Mals ul.irs il d.'vra fournir I ilOlall lités ; niaiiilal-poNle adr.-.-^se Piiariiiaelo .M bAllments do l'école Irnusfonnéo uu IlOoilal de.» temps trùs (lurs.,, « Ht pendant co temps .lu sus r.'vunn» par ual.>Ki>rius. 0' Les personnes qui .sont dispensées de tomporaire I on voit d.'s Sœurs lilunchcs soigaor lardsho iiiillioM», sur U!n; encais>c mOlalt l e r , a Houen. Mniis l'imu m l'aiili'u Ii5'p.,lb.''»u,-, h, d.'. le mark que certalnu» maïKjonvres avnloni ll.juo totale de .'•...IDI millions. payer 1 mpôt de mutation auront A Joindre depuis bient.U dix huit mois, graluilument Soinfait remonter .!ii Suisse a repris dan» ce ularalion uinp.irlu .l'ailbM.rs lus niOinus Le total des rentrées en or .nu cours du (Norna fi la déclaration de la sucee.ssion un certlqn.Mi.;..», I...» i>nonclall.,iw .|i'..l u c.uiliu t l'amour .le liieii et de la l-'ranue, R,, nom'bi'eux oay» son moiivement de dcurlngoludo. lexerclc(! a c l é (lo 1..1S7 niillions, ciiiffro ras.Mi .Miiics pour .'.xa,'lus, A ilmins qn., Pa llcat do rautorlté militaire constatant que .soldats blessés ou malades qui leur viennent .'les incnu u ri.'l 1111 loiis par .les envois .l'or lails Islra .,n apr,^s l'av.,ir v,'rin.;.u 'unique, m mort a été causéo par uno blessure points lus plus divers du front, en vue .le a.nliler nos r,''gl..nienls A l'.'-îra ment A i al.b' ilus .'l.'iii.'n s curlains .lonl ses ro.,-110 ou uno maladie contractée pendant l.a sœurMurle-Hérapbiuest morle tropt.'d l'Ile g.'r. Le solde .lus dispoiiiidlik-s ut avoir A auen s ,l|.p.,s,.nl un vurlu ,lu luur» fon M .in»' lelranK'cr solovait .-i prés .l'un n i i l l i a r l na pus pu jouir du fruit de sou loueur; elle ln dureo de la giiorre. ou, dans le cas do napporlu a iirenvu .'.nilrairu. O s t lA uim nnr.'s pri-l.-voiuunt au cours di! l'ex.-rcicSilualIon .1 ff,>raiil ussunlinll,.ni.'nl lu i,, c vils tues par l'ennemi, établissant les nuui-a pus vu la i.alx et lu réconciliation déliai .1 environ SdU millions iivi-.-s au conunorco tiveiuent .lescen.liics sur notre l.-i-re de rrance. clrconstiincos du décès. Alals s:> Longr.wUion demcme, ut d'autres .Sœur tran<;ais pour le in.jiiio objet. lliiii, usi laMi d'ofilun par lu u. du» Blunciies, espérons lo, viun.Irout après J. D Lus av.mres A l'Klat onl pass.- de :i.;i(ii) Ktu.b, d.' Mll-icMlX 'iiilrlbullons ilirucii' car il liiuoiiibe .laiis i;i.'collnront .lans l'ali.igresso ce .luVlle elle, .|i, millions a :> uiilliai-.U soit ui e au<'nienl-i(li! (ic illiiiltîC pourllre^l.i tain- il a sonr N'jUs avon» publié la loi rulalive A l'InipiM I un nas nu u.inirlbuabb" b; prouver l'in.'xnulil.i.ii ^.-i,., duns lu trlbulallon et les luriucs. tioii de 1.100 millioiis pour l'.-vur.-ico 1 -i i.|.i<-, p uu;- .seio ci 11 o 11»r>r 10 .oyenu. devenue applicable depuis b' lii.lu (I., in h.ise .l'impuy liuii .pil lui u 010 nscireulali.)!! s'est i-l.-vée do 1-j milliards À i:i Chli-.i (is(c SIKH.'.', ' >•' janvier Lnndcriicaii m i l l i a n l s m niillions. |ilOUlt' (le I, l.a .l.'i'liirall.ili nssuru un oiilru, au uonlrlm loiii-nal. •ilH'JcI'.uis .\u CoïKiiiet L'ain.'-lioralion ,lo la situation .-eoiHMni.Mio M o r t e dans le t r a i n . - .Mme Simon .lilaus -orns I T ' P'"'!"»' ''cKleniont (l'administration biiablu, le b.'<néli.>n .In li I d.'.lu.-li.in d.'s uhar. du pavs;>.slatt.!sl,-e nar l'aujimenlallon du domlclll.!e A llouen, résiclall depuis lieu.x'mois À ,J,. I Kn r.'-lud.'. ) 11. ! 11. publique concerimnt culte loi, et l'a fait g.'» .pil piMivunl grev.'r global portefeuillu d effets.le (•omiiien-e non p m l.uuib;rn.'au. ch.!2 sa niie. I.e 27 Janvier eibLe diiii:iii«-!u> (i f.'-M-it'i.=aur le sa suivre d'une note oxpllcativo ((ue nous .lullu>., iinp.ll», .'lu, — u 'Ile .lOiliiulion n'.'lanl .:iai été trouvée luorto daus le truiii, A Kerbu'ou. i.o ro;,'.;s qui .T pass.i d'un minimum .le -Ml milacipiis.-. aux luriiiuM d.i la loi .pi'A uuux qui 1. r I Ch.-ilu II-.- |,-s .Ici; (lo.i décès a été oitribué A une cougesllou. itons a pr.;s de iilil niillions, et i,ar la i-é.iii- t i i u ; , à deux heures c l ileil prodiiisciil 1,1 déclaralloii lu luur ruvcnu. pos.' lies rlilii •is lion du porlureuill.- dus uff.-l» |u-0r0!,'.-s. l-.'n- niie après-iiipii, L'AI.L. tr.; le mois d'octobro l : i l l et le 'ji décembre Le Ooiiquct l-n S a i i t l»:<M-i-e OiiHhiON H(!daetion do l a d i i o l a r a t i o n Personnes usaujettles b, l'Impôt l'Jlj, les ronibo.urseiiiciil.s sur eo dernier î î u o i i , au /;.-.,-.il/o, 'j-s, n i « .Mi>ii-i<.. i { i i i : s r A r r e s t a t i o n d'un soldat. — Jean ï i i i d du porlereuille , Lus forniiil. lu • lin.'.'s a la rOdauli.m ilu L'Iinp.^t u»l drt ubiiipiu annt'u par lu» OIT avaient -..nso millions premier bulalilou .r..Mri.iue, inculpé .l'abandon Hiiiinos (bail lu ruvunu lud l.dal. apr.-s al nli .b'uliirution» J Mil niisu» .lan» le» inali'i 'nr .l( cislou de .Monseluneur l'Kvéque, n étO du son poste A Waibeu (.\ord . leO janvior uélé ut le sol.lu était raiiiuné ù I.SOC millions eneatlon du» .l.'diiclinn» slipul.Vs p , r , |"i la dlsposllioii dus inlOr.'.. s.-s, noinniO : lleriii"! t arrête sur le vap.'ur Truvaillcur, au momènt o.î viron. l-:ibN pn's.-ii Pour p isiiiiniers de nuerre compr.-nai.t : i.iai-ioii. (;ran•ul loulu peur uharKu» .le fainillu. a .b'pass.'- peu la llr -.C) .1.! l'r.'-s du elnquiéinc .lu montaiil total dus supprétult A gugnor Ouessaut. Innn.'u pr.iu,-.b>nlu la souioiu .io ^,(l;lo' r u» ....niru» p.n,,. L'.'S. erè-.-lie-^. jardin et eliamp •4 fr. te <-.•„«. oil.l souscnpiioiis A l'eniprunl li/O .1.! lu Dé\ I , ! 1 . ' ! M ' ' ' , M , ' ! " I I ' r n i i i p l u c e m e n t de M, I-o;-;-; I.rt'» clIucliviliiM div.'i-su» (.ilubllssuiuunl. l,i;iix-ul aiir.>nl S.JIII .lu r.'li'nir l.w f.inniil.,» SbUel, décédé, .M. L'onq, redeur do Sailil-Cal q.: • l'.'o I d.-|l!HC I.e Dreiiiiec fense Nntion.-ile a été r.-eu.-illi par r i i i t . ; r m . - labourabb- : k-nuc par .M. public», .'latdlss.-uiunl» d'iitllll.'. m I, i.i ; Koy c l auti-es. liio HIlinp. « Coiii•lier Hnclatlons, s.iciiil.'s. uic.i, n'v soni nus «"ii. l i ' i l Ml l.'ur ii]|p.isil|,ui do E n t r e onole ot noveu. — l e I " Janvier, duiire <1.! la 1 au.pic .lu l-'rance. pour un .-a- H.;vciui : .T.'.-i fi-, l'an. iMru Olabliu .lu ;•a.li-u..pifiil nominal d.-:iv!ron :i milliard» -.'.'JUi M!e I-.oV( ml»u» : uiui» bluu unlun.hi, fus ui.'uilr?> .1._ lU.l \ vos .lalfrès venait conduire A la ga.-e sou nemiilions) en .m7!is sou.serii)lions. S'adresser audit notaire. à Plo idalm.»oul(i|i » ..; |.,1||U naiiiru ,l„ivuut iM.uipivn.lrc .11 quarllir — ou M., Iri.iiv.' slliu-U luur r.'siLe veu, Claude Mul.-Jao, :i.i uns, ouvrier m: i-, Gl )Hiii-;i,iN l'ai-seual Los somiii.'s pay.-es par la Han.nie .le .b'ii.'u uiii.piu nu prinuip,,lu, c'usl, ' ,lm| do lli-.;st. (lu uvait pi-ohublemeiit félé . . nouvel '.ri",'-'-"!; :,"!• 'I'"»" I'",.'!;'; pie de b-iir r.'vunu p.'rs., , ,' •"; cl>'™iit a -.m millions .loiit r . us foriniilus ,pi,, s,.M in.ll.pio.' l'ailru-S.: un. Ku cours de route, uno discussion data (,:nir •,!lal|lissuiu..nt du r„,p,-,|, p., r paH .1 's ii,. '"'i in uiir dis .'..nlribulioi s .lir.'ui.N A L oncle el lo neveu desiiendlreut de voiture I o lll.l,',i.0i),l II-, pour la rodevance sur la eirbi.'iu'Ilcus d a i - lu» I"- ...........11..-'. op.'raliiai» .|i>.. . I Clctr oulation produullve, 7.1llil.(l(in pour la r.-ilcr I I A lî M A (; n.;ycu eut lût fait do terrasser l'oncle, et lui'dls^ Revenu Imposable Iii ' pnriu ,l'ab.,r,l sur la t m iiub- ib' sous lu [irésbienco do .M, .Mérlel-lliissy, cousui 1er Iribua force de coups de pl.i.l el de poing, en lui vancu spéciale .sur i'inlérél des iivane.'s (Jonsen le.s au Inisor, et -.'.S-.D.uuu pour les pr.'iii Ln rovunii iiupoiaidu v^l fiu-ni.'' iiar li pni- I.. arali.m sus noni Il In.liqiiu A lu Cour d apnel de Hennés, uyunt c imn e • » disant : l u vus mourir comme un boubo ! n d i i l l l.iMl II.-» dlff.iruntu» s.Mir."» ,|u r.,. •niis, b; lluii .lu sa r.''si.b'ucu, .MI, s'i I a plusiuuis rO- sessuurs M.'^i. tirimuud, président du Ir 1.0 tribunal coroclionnel do Uresl a lon.lainni; droits de limin-o sur la circulallon. u.-d le Lass.Miibloe eénérale a .'lu :• C.-.nsoiir, r . n » ul prolll» (bail dispovu uliuqiio r ml ri- si.li-n.-us, lu linii du s.ui i.riiiiclpal ùlabH-su- giilmpor, et .Mnvoino, Juge supplOuu i éi e CItudo .Mali-Juc A 2.') t r d amondo avec sursis. Lauréat de l'Acadénifo .M. K lailliei-e, I.-Miusiriol, inembru.lu Conm.m. inil» la naliire .le s.'s . :fo mà .'OBlno luiubju, S.III» .biiliiulloii. .l'un.' pari, ,1,,» 11,'uiipullon» pror.'«si.inn.-llus, seil dl'.scoin|itu, ancien meiiibr.? .le l,-i Cliamet dupuns.'S qui Ki'.''Vi'nt sp.-uialuui.'ul frais P l o i . ' g ' i i i i i _ - A - n r: Ts.'- ^ A „ uliaS'il bro d(! .•.iniuier.;e<le Paris, en i-eniplaeeinent ' ir.oi vu .lans le cas .lu n^.'lain.'r lu li.iuiinu .lo h iii-uus, ul. .l'aiiiru pari, M o r t aocidentolle, — l'raïu-ois ( JU.], eulliAR ROUI^ DEUZ AL L 0U « n.'li luiluslriul ; el r.'KonIs : .M.\|. LO U 2Z E E II E ER R .lu ,10 iliiclloiis sp.Vialus uu iMis.ai .ln thjirgu» an.M'laiit l'-nsninhlu .lus r.'vVniii ib>s vatuur,dout la viioéluil très faible, ai lit disparu s. iliialli .. (lu faniillu.' il ...m..iKn,. b's ïu.llvoir. ' apr.'-» r.iiiuinùrill.in .laii la. epiiis lo 211 Janvier. Vendredi, a •lé trouvé Ivmiip Piucliel, agricuil.'ur. Président de la I . lions In.lii lunsabl.'s pour lu uuleul d,. ,,us |()l : les'i'ii.-r.il» du .lull.'s ul Iaxu» a! "iUli- b-.liiullons dans une cui-rièru, près de l,»cmuji..-ii. où il était hoçie e .le.s .Vgri.-.iUeurs do l-'rance, aneicn fans lu» ua.Irus .lIsposOs A cul presidoiil de r.\cadéniio ationale d'A;;!-!Wo» lu» puri » ri'siillanl .l'un .I.'llcil M do pi'InlompN touillé u.jcldenl.dl(unent Dans sa chute, il s'était cull;ire. m-ciiv.-iii.L .l oSeï- :-.>.-i,!. . ,i..ii .T!. . M en i-einplacenienl <le .M, Uenar.l, ' doiien " -«i- « o a i l • non .III plullntl n du » uno uniruprisu aKric,.'b d'.'X- •ffut. Louzou ull ehn. .-bel n ilnll bcin.-.n cvil parcu• au tracturo lo cnln Par l.'-l.igranniin .lu '.'0 Janvirr, Puis, un vu.. .1,, doiuriiiiiiur lu r.'v,.mi gloaunculleur. et .\I. .\lorcl, tiesuricr-payeur diistrlullu un drouK-lived. Ira i.'ii dus haras a fuit ciuiiallr. r . - \ d n i i n i s Kemiral .le .\I,.Mirllie-et-.Mo .l.dl fairu r.'ss '||u | uullu aiiiiOu, lu u.uirours I.CH pi'v.'iiii» .b-.il II usi fall |i|nl p.,ur l'.i. 'i'I '|1I" la ib'ularu i «piu, pour 1 10-17011 ar (riv.'lla d' m ".-'iieil Mb- a réélu n^'enls .- MM. lo baron . \ i i l l i i i i i i i i c i i i c Tp tnb l»»unii<nl dn rinipill sont uuux ijul ont .M.* ^ as-iu par ualiigorl.. lu» C i t a t i o n — .M. Joun Cavurec, udju.lunl au s ^ , ^ .1 du livni.i mois A Laii.lurn.-au .•. le poulains b j zu. aiiiiiih'ra A 42' d'Infanterli coloniale, c clé l'objel de lu cilu- Kdouar.l de 1 otlischil.l, luinquiei-. et M, "(Salisés uu couru do laïuicîe pr.'Ct-'l.'ulu .M liti-nd.Cfr. I su lunir a lOpoquu babil uullu, e'i pi'nnis .lu l.uiln naliirn au.pdsu ùaF 1 | , , ours lM-an.,-ois de \\ en.i.-l. in.lvslrk!| ; censeur .! : l i i . . l . ! I)i:i •sl-à-.liru A lion sulviiuto lautoiunu. Aniiotr. .M<M-,-nl. .lool. u: apollii.-, lire, .10 l'année .pil a i.rOu.'dO a'ilo lo l'élit, industnel, Pr,,.,idenl du 'l'i-isu, pu culino et sa brtucli,andi.spo'ilion .i lahjSi-i. U'ii rinc. I iboiir dcuz •'Il ••'ang, <( «Il llls. ^ I] LeOourrlerduFiniitOre .-rlor lOtd .1 "','"'' '>"<' K«"i' 0 b i i n c n i d vIo», .viioiliinU 1111 cil cvil e«ile, bisk.ia^: h )w * ^ ' . ' " « pen.sellel euî! m linii l i u c l l o e ' l i : i r . n i i i l un IIL'UZ iing our- net n ven .scrvlchoul (Iczlio (lu vii«u.lu- î,'n,',';' n"''^^' " 'n' '"'"I : (In baril var m- e'Iinssel lioat ii luiiio Uoue e c houlciiiiomp dignncoc'li Kouilluiz. lin k o u i i t u n l e "<•' viih ! 'il'"' bet ({anl zcrviclic .Iil gnvel dn boh- e zaïmliimul .1.1 l.-zel , n .lei-e'lienl. aslenii el v n r l'cpu ï v l t an noz a zcu ; vni-e'honz, mlii- lU'beiiloe'h. l-;un t r i pe velcnt 0 v M ç (et II (•'lioiint e'iioiir!!in ; re uu» bevnr iniz du b.lU.-llIMl lo '!<> ' p l o u z l , ,|;,|-e Il m edot du Klevet ni lonreniii u o w l - •seuil |)ç .seuri dn lakaut eti-c iir «urvii- Uii mad, ni scndalc'Iio hou hent cire- c lioude, eur bugel konnl k c n a c'iionrzc l i o u d'an çspurnns. . \ r l)u(,'el a aslcnu.vcrv Kaiil nu nn. 111" lia,, nr zee'hed. ^ck bi'o ur bilhnoucricn. r;i{î hor iiiichcr oulhnii nn Kluz n deuaz dn duuler cur e zaoïiai-nigou varzu nn iiilanvez ; c v / c l f a l l pa «lii.sker ulier dezlmn plcun. iilmi. ;\inirV"nemcuiri''cr h'i'iu Adeîllii u i;pad eiir Iicniind. an iuinuvez n zclm" co dastum ha diboue/n truilhou. ninn aouciiudiKez var au licgcz. I V r z m n u i a yoa keii laoucn lun ohou- Inz .luz nr O ui ail laininuu a veze miz ho nber, cm- i!()njiiz no c'hellfcnt'morse (l«,s uiù •'lii'ouadui-ili. lu, jien n V n cl,en a-buii du zcllel oulliiiii -. 1 eoi-lcn iiiczuz oc'h ncuze, eme an iiiH I U I I I bnra liiK .\( c l l m ne .skulzcnl ket o sellcl oul«••'hiilz eu* ar briiKc/eler da hcnulê* i . ve« na jiokcii kiioiil eu» I dil'e d i v i n c i le.-i^iirl .soiijou a di-emcn<« mont a i-eaz, goudc eur pciiiiiid, betiinvez goz o .scvcl ; em niiizeriou kcntn, zcae'h hng eur be/'ad oalen da zalla h liaii. \ n i i n i k en don (laouLigad scdcr Eur piioiir, lu piinin- kon n c'honrîie iir me ivcz am cuz i-cdet ur vi-o, huK hed vn Klaz evel eun onbl dlfîatnr ; l i o n d'an es- leg ar r basset, lia vnr he (laouarn .Ire lie sper. Nebeud ha ncbuud, evit «nibcii, nia kendalc'hfeni da bll ôt lebeiKl II r'houiildcuei! d u ovlt «r n l l ' W o r c ' h M mithnn. Evit oll clunve», o (lud biiez, choukatet meur a zuc'hn(r pllhoii. IJCi-ans, eme nn tnd, l i o u d'un espcraii.s. l i n e l'zct d i j a bc libouczaz nr c'broun- d.'are, lie (-'lialoun a dciierea : mnriczo viii'di-o Ki'oaz ar Vllleii ! i-ed ( c a l e i a i vur ho lerc'li eur gwelc kioi, uiiic nr vnmm ; ha d'he mnbiL', en eur he dur.. l a i i n i k K.spunins ! un kaera bnuo, h";,.''',;"' 'M"' I ' ' " •""Z'''- 'Il •meiiut,h l m ' u , ; W ' ' ; . ' ' * ^ ' ' , » ^'-'n'" « 'I'' • iiuml en il bcnnaft dn gla.sk gwelloc'h fcrein o bosloii, dhtiiu ur rtxen, nr «el n luïivn 1 , Aiuinik Knicel, hervcz he iimczcicii. luskellal, mcr(-;ii l.uiz an D i a r c ' l i c i i .-i goulskoude... Ilogeu, lavaret e ve ncuze " . ' i ; e seblanlaz . ezlii gwelel lu- bugnii " nlvc.skcf ha dV bennliiii' zulvez, Koudo ur cousuerou. u" Koii dilezel ev l'iditnn vnr nn douar, heb Il eo ar (irugel «oz nemet cur enloun «ammou, heb dor un foim.s ; o klehen nn «une k i i i i l i k ar Barudoz. b r o an cspci-niis. Mlchcr ar u'hoiiicucr, kcn nheuel Im (laou . heb km- nae nnaoudcse/ zempl oKiz nu oll... \ u n , naii, emuzlii. .) In.l nn mnuini. oaled, «iinkct en doiinr a Lcii lu d'ur si, m en ho diiouliiHud. a lavariii! kenn- gwlr co ; .sldnsset (jo va gond em «onSiounz, eurusicd nn daou l i i l l i a o u c r ne c h o u r v u z ar p o l r l k var c boueliad kolo -\ii Aolr..u loue k e i i l o c ' l i . ' r g i - è d . , f minaJ. duoti ucf n lervleho (la skobel, kon (lldnieHiin.Hcl a dreiù ar c'hnnTve o z ed. An nnkou dldriioz, spouninilli ar d l i c kel liadout. i l o daou c oent tnirel eu — Hug lie jeiiz. (.-r iiieaz en eur c ' h o a r / i n skonz vnr he c'halouu I ng n ei u-iiBn tlex iir nuiln eïominck e knver peiii'- var an dmiiir lia xokcn er ba a ()" m'nr / e U u , hag en em lakeiiit eu hcut varzu ... " " " ' u h ' " ''T''"' "'«"loiinik memez devez gant cun hevcicp k k m v e d llcsa eun tiiininik tnol, ffant eur bnnk DC co « w i r nc (;'hcllH/. iniirse " ô b - t " î br(il(ni ar (rhiiz-Hcol-, Mont a rcan c go.Ti) egiz cur l'ollez. iiicur ; ar (ileskcr va n i c d , en hevclei) bloave/ hag nsnmblez ho eneoii u iiijnz varzu ar vi eurlox i>lf{nnl bctcK loehcn Siml l " • (Ul .1 vlonvez. K e m c i c l a rcaz a.- biigol iioz, eneoii Per , ."Kl' ""i';' viieou l ' c r AInpied bay vnr a zi.sknraz Koulk vli iiinb hcn . S k ^ lounnte ez ar Jîunt, cl leac'h ma oc grciil îïïk.îiîï"" "'"«hl, cun » «o deuci lilrlo da rouancï „ „ „ j avautiir Doue, dourn oe'h dourii, heb ln , ' lu he bi-eac'h. ha gmilhan hc t i s t r o a r viii'oul eur m ei.krc.ct-OHIZ (L iou d i ' t vreiir hag Annulk vian ho c'hoar Da dezho, lizinnz h o r bcuz, nn digemer Tiren A d c l / i i i Diui-c hcn a u i j a z d'nr arUelUk evIt gorrcnn an dllhiijou hna miohtqdu : d'ho hojil ar bllh m tere" h bm-i ar baradoz ; d'hee zl. ZI. l-;uz l-.uz ar sanailh he tisk.mnnz a r lucnliid, nec'het o klask goKzout e^ie du "î"'"»» Annaik Ki'ugd rteuz an A o i r o u Doue p r o m c l e t d'au nub lio r ' h o r f o i i I oe douget betcg ar w c r c d (•b.-ivel deu* groal eur wall gaiiimod var m w k b.-ivel koni gwen « zervichnz da KUIIV.V c kiiviiil lejelï, mo.i leun n fl/,lanz eri ho a zo bet klozct er bcz, Choum a reu «li- en deyczo ijouzanvef gant pa.sinnted en eur e ' h a r r b i a n ' ^ d r e (Iu,I bkVne «vvele da L n o u i k »n .T'-ond Sknin^ d'o gant nr zakrist koz I-'i;a„snlk Bouro -I iiaoun ha .seclicd var an douar. 'hoar ba i c v r c u d e u r kosoc'h. hit ski liv J hennez Ivez a zo maro evidoun, benn pcudrn 'dn brcna eun hcvcleii arroheb dcii var e l e r c ' h . l-:pnd klenvcd aii goudc bezn s z i b o u l l r c u n e l , he c'houi-. .^n . l m M Î ' " ' ^ ' ' ' ^ " " " " ' , « ' " voua A m i i i i k K r u g c l a deunz el lochen p'edo l'iig niorso den ne dcc'haz cuz pr i/o - " " l S? j n Aoirou Ooiio d'ho « i l . ' T J " daou b i l h a o u ç r . n i k u i . euz ho amezcle l ï " " " " ' < IvoxHloc'h, Igoucïjonl en eur gei-hKlcn, paour herveznz ennhan Y a u n i k l i s p c r a n r nlou tcnval iimrklz ar Mcskouez. - E»a 1 an daou b r i c d yaouank var ho zremen- ne gi-cdnz Iculer ho z r c i d d r c i s l lio zrcu R l ^ ^ l i ® i M v a r i ^ c v » renia kouni Vlcr" cgi» an dnillkericn kciick u bon rcnk «r Swcl nnoihl, me.» vai- j.e i r „ tu,i ma yea Per Almiled da gla.sk c c' rcg van. — A r .spounlailh a zo vnr al leeac'h K r \oui-gnden eta, eo c Ireiiiena/ n r ï - Î P f i ' * f / uP®*""" vnrn'ugent ho hcnlch.;,, brax en our^.(?c"u j o » rag gouzoïit a rcant o l l oa sorsct an emczhi giinl eur vouez s k i l t r hag en eur nigcl 0 ninzeriou kenla ha zokcn | i f : ' « ' " « n e » var an r«n) (rojou çaoulchouc, m'ar plij U, "I, '1'"""' " ^nsluinc ennhun ar ar Vnurgaden oa ho hano, z l i o l l (la c h o a r z i n , mes en em faziel eo: de I vi-nsa euz e vuez. A b r c d e oc ( izo» Bro^irTia c'honr vager, Per hng Adcl''» "'^•c-l he z n . : 1 osiiial n a reu ou« ur pnrdac* ; Por n bidllïmi." Tostiial 7 " f"" «"'iidaii "Cl ; rag petra bennag m ' o r d e u e U V M Anjronoz vlntln.pn deunz evli an daou hJ??,". >'""1-<>»I« : cur w c c h an ni", eiz devez I Kouii lavnrel, on cur gcrladen aonnî llei! moudcl ; n'on en I I nomcl cur vaoïiez brled nr mare da vont en hent, an ii taiiA n n n l k a yoa b r a n k c t var he zraped ÎÎ2Î îliU*,"'''" •«• bllhaoue. Mnuun» UVAIII (lu vcz 0 lavnraz dezho ; lud yuounnk, ne dougel d ar bcz, an den ne zivoask m u l (petite p o r t e .seclionnôe p a r le m i l i e u ) kn ' " " " ' • ' " o u i i e ket ke^ m i l «Ivar ar meai, gwlr co, n'onni ket d'it kel Inrkoc'h ; aze adreii kcln va zl na poan galourt na ponn .spercd, ne gren pa welaz n r c'har blan gant an daou ar^ kent ha ma c'hellaz hcrzel v a r c drelVl o vni' n " J L ï ' i , " * ? " ' ® '""'î' " " onled. Se" «balamour la ara n u i i na rag un d o m n i d c r na r a g ar vcg»nlhan c gabcst var e v Z c„" vol fl reai ho fenn pn g ovas moiiez nr ï î j i ^ l . î "j?"'' " " bonn gel ma pro. cncrt ennhan o llskenn an hent koz. Ober nlen. Te zo curuz, callg Doue, ne w e l l . . n i ddiirqg an Aoirou Kuro en cm Pllhaouer t > OIÏ 7 cmoShI, pcnnoi e,m mcjjonl a renz sln ar groaz, hag he muzellou a 'ii^ïfi® {"• c bouezcn o i l v e r n cuz t n l Per nn éternité I Pa «S K MU '"'««'elo'.uz cvit ar pdour, cvlt Alapled, morse ne ouezl nn dnelou zlg()rnï e v i l laynrel an De Profimdis. (Da (lendalc'her)t oeflnd'he feden, son] nr bu«el Y a n n i k ar bllhouorlen drolsl-oll. . ' bugalc d i n d a n u r boan. —rf»,iro ma b.iî."-?®''" " î«nln»- E l lochen « k r t v j o n t m , «rrebeurf tt g o m i e m p o a e i . gcucb, hag he daoulagad dem-koc'hoh. m p e d evit mont ' d f t w. petra oe dcurt da y c M . B gaoul ^ eSwl m'e USBOIIS DE LA O É R N S E NATIONALE NEW-YORK-NEW-HAVEN — ^ d'habilleoents thiery&sigrând Vêlements Confeclionnà e f s u r Mesure P f u r H o m m e s , Jeunes Gens e l E n f a n l s L O U Z O U a r Deus { y M O R S O i , d e f e r apoiiker SSROP CELTBQUE CAUSERIE_ JORIDIQOE EO , AOT. MOREUL. L î ^ r t ' A LOUERî Il ('(.'1')».^ (ic l'Vi'ine Saint-SéKal, Les P i s de RETOUR D'AGE A VEfJRE m . --Au Monténégro DE FRANCE IV. •• La situation financière L'Impôt s j H e ieïenu a.-B. KERBOUÏ ÂDJUDICÂÎiS'li laRéol Iiiiprîiî rie l1u "Goornjr CiiET^S POSTALES DOUBLES Dans le Clergé UNE PROPRIÉTÉ A LOUER, ASSISES IHM'IMSTÉHE Bu Seeieur en Phamaeis & iSSSsJL î Ile . (.uillain, Société hippique de Saiat-Pol de Léon Cuiiooui l'lonn<!Oiir-rro/, Tfannik Bsperans a dud potra oant ? Petra oa e-unnn eon e amieriou kenta ? "'i:'"' fcîMi.®»^^.,!!!" îBBBJ^êùà borgwall'lr»; farci bolcri \ « vu/^mzim / H c ^ ^ u u î 8amedî. 12 Février 1916. 37' Aimée. — N« 1.881. p - PARAISSANT LE SAMEDI. JOURNAL FRANÇAIS-BRETON ABONNEMENTS Finistère, Côten-du-Nord, Morbihan, ( u n an) 8 It. Aulrea Départements 4 |r. Colonie! et Etranger on. Ch*ngm$nl d'adriin : 0 fr. 8 0 au«o la dtmitr* banda Les abonnement! partent d u 1" de chaque moi» et se payent d'avimo» mun & IMPRIMERIE 4 — Rue du Château — 4 BREST Les H a n n i o r l t i non IniArta M M u t p s i rendaa PUBLICITÉ RÉGIONALE Annonces diverses . . . . (la ligne) Ofr.30 Réclames, en 4- page . . . O BO Dernlèrecolonnedela3'page. — O 78 Tkrit dteroinanl pour les inierUant ripitéet Pour la publicité extra-régionale, s'adresser ft l ' A f f e n M Place de la Bourse, 8, k Paris et de grenade». — Le i. bombardement dss Mes n ' e d a l v k e t k l e n m i b r e m a : c v c l organiaation» ennemies du aecteur do la HACelle usine fournissait à peu pris entiè- e v e l m a c ' h o a r v e z d l v a r - b e n i i a n t a i l - r n n k p a e a t u d a i l v a r h o z r o , l i e p b e z a l.e aous pnifet do Guini/amp avertit donc m ' e m a h i , a l l e z e n n a d i e b e z a l i e u l i o t . RAZEE. — Le r>. non» bombardons de m6m« s e r v i c h e t k e r m a d h a g a n t a r p r i o d p a en artil- l o u a i l : a r p e n n - t i e g e z a b a e e v i t a n M, le députe f Et M. le député écrit au rement l'armée austro-hongroise, les abris et les tranchées adverse» au nord COUIÎNTIN. veve. lerie lourde spécialement. C'est de ses ate- o l l , de SAIKT-THOMAS (entre Vienno-la-Ville et verso de l'imprimé sous-préfectoral : Vienne-le-Ch4tcau). A la HAUTE-CHEVAITliers quo sortaient notamment les pièces de l'ui'ls, lo ... D r e ze. e n n eu,r g o n t a r p c z a c ' h o u CHEE, nous occupons la lèvre nord d'un en305, qui jouèrent iun grand rôle pour la n i t a n t a d h a g a r v a m m h a g h o b u g a l e Dion c'Iior «ompntrioto, tonnoir provoqué par l'explosion d'une mine .lo HUIH ti'i'is IKMII'OIIX (lo vous ntiuoni'OI' réduction des forteresses allcmiQde. — La nuit nuivante, cous faisons belges, 0 c h o u m g a n t - h o . H a v a r a r pez a zen i|uo votii- (loniuiulo (rnllnonllon m l l l l a i r o ii » sauter un camouflet à SAINT-HUBERT «t l'io ravui'HhliMiiont «oouclllio. • « troi» mines ù VAUQUOIS. — Le 8, aux d r e b n r z a l l a b o u r pe a r c ' h e n i m - w e r z , SoiiliinuiilN (U'ivoui'H, COURTES-CHAUSSES, non» donnons trois M, IJené Doumic est nommé directeur a r pez a c ' h e l l d o n t euz a b e r z a r c ' h a n t W f l m ' ; (iiiDinvo im Ki:nninizi:c. camouflet» qui bouleversent les travaux d« de la R e v u e des D e u x M o n d e s , en rem- l a o s k p r e s t e t v a r i n t e r e s t , pe euz a l'adveraairo ; k la FILLE-MORTE, nom lalla feuille contenant au recto la lettre du r.ons exploser uno mine. dont b e r z d o u a r o u h a t i e z f e r m e t . sous-préfet et au verso celte du député placement de M, /''rancis Charmes, eneraled, hag eun tammik patianted Slnri Cl) lior o'iiiiK'ii «un lior o'iirelz S u r le r e s t e d u F r o n t arrive H l'intéressé deux ou trois jours nous avons tout récemment annoncé la hoaz da c'hedal ar viktor : dont a raio I I » nlailoc'h nr Gi im»'. uiiii lior rolz I.. mort, avant l'aris officiel de la mairie. »• • omp enn hanv a zeu, emiçhans? Sur le» HAUTS-DE-MEOSE, nou» avon», I» Pcgement da baea? Comme vous voi/cj, c'est tout à fait .1 fihTior. fcit sauter une mine dans le BOIS P o u r u n m o r t , i l n e se p o r t o pas simple. Encore fallait-d u aonger. DES CHEVALIERS, ot bombardé SAIBTM u i o c ' h pe n o b e u t o c ' h , h e r v e z ar MAnniCE (nord d'Hatfonchltol). D'autres avant le Vicomte roupe con- t r o p m a l , g o u n i d i g e z , h a g i v e z h e r v e z s t a d peb/I s'agit do Jean Laurière, incorporé au Dans U forêt d'APPREMONT, (sud-est Goude cun nebeud deveziou kaer, an naissaient le it truc u, H nous souvient en u n a n , e \ e l m'o poa lennet a m a n c galdo S.-int-Mibiel), nos batteries causent d'imet /-({formé depuis un an ffet d'avoir lu dans les comptes rendus de lOT d'infanterie, amzer a zo deuet da veza ker fall ha bisportants dégflls iMX organisations allemtal e g , d i s a d o r n d i v e z a . ia Chambre et du Sénat des protestations à la suite de blessures reçues en août et des, le n r.'Vi-ii'r. koaz. H a g ez eo red choum kuzet el N e b e u d a w a l c ' h z o k e n , p a z e l l e r euz contre le môme procédé employé dans les novembre 1914, En LORRAINE, le 1 fihii.-r, bombtrdtlonchou doun. Le 3 fiicn'er, If (jiSuMtl GuUidni devait Càtes-du-Nord a d o s t . Or, la semaine dernière comme un pli mcnt des organisations ennemie» BUT 1» par le préfet et ses amis T R O Î ^ T E daou leac'h bennak, an Allmanted frcnt KOMENY-MORVILLE. — Le lendetti'o oiiic/ié II /irendre de iioneemi la parole il propos d'indemnités l i a lezenn l e a l n i a v i j e î i e u l i e t e - l e a l ; pour abattage ou officiel était arrivé (i l'adresse de ses pamain, notre artillerie est encore très active deuz kiasket goulskoude taga ; mes à la C h i u n b r e , â /tro/.nn d'un projet de perte d'animaux. Le Vicomte conlinuc, rents, il eut la curiosité de le lire. Et c'était — l e z e n n t r a i s i v e z a v a d , r a k m a c ' h e l l dans la région de COINCOURT et de 0 0 En BELGIQUE. — Le 2 fi'vricr. le» Allerésoltiiiuii coiiccrnnid le nij'ottr duns h'S vodii tout, — ce qui ne veut paa dire que l'avis que lui, Jean Laurière, était tombé d o n t (la v e z a e u r g w a l l - b e n v e k h e r v e z hon tud a oa var evez, hag ho c'hon- mandB essayent de «urprendre les tion- MEVRE. daonaz raktal d'en em guzat, hep gallout chées anglaisoB dsn» le voisinage de la étulH-nuiJors. h'deim ù la voiiuiiiasion de au champ d'honneur le SC> septembre 1915! a n d u d a vezo o c ' i i o a r i g a n t - h i . Ea ALSACE, le 3 février, un tir de noir» nous l'approuvions, loin de là, goulskoude miret out-bo da ziskenn enn route d'YPRES à PILKEM.: leur atlaquo est irtillcrie provoque un incendie dans los t'armdf du Sctuit, te mhu.tiru de la (/uerre /I ne s'explique pas d'où provient l'erreurfacilement repoussée. — ELVERDINGHE est cantcnnemtnt» ennsmis do rOELENBERO' D r e ze, g a n t s o c i a l i s t e d h a g ez eo » » eun tranchee freuzet gant tcnnou min violemment bombardé par les Allemande, charpua M, /Jciiyg Cochin, ministre d'E(nord-est de Buruhaupt, au sud de I» h o u v r e k a s d a b a o u r k e m e n t h i n i en enn hanter-noz da A r r a s . Pour mettre Jln aux diJI'érentcs interpréiat, de rd/ioiulre en aun jioiii. les ^ el 5 févriiT. — TPRES subit le m6mo Tliiir). — La nuit suivante, activité das douz m u i o c ' h eget-ho, e leac'h 2 dre Ce flil lonic line /vir/ation pour nos tations auxquelles a donné lieu la loi DalA-hcnt-all, hor c'hanoliou agendalc'h sort, dan» la nuit da 5 au C. — Le 7. les deux artilleries ou BRAUNKOPF (vallée de bombardent los tranehées allcman- ia KecM , el h FALTMATT (nord-oue»t de 100 euz a l l e v é o v i j e g o u l e n n e t k e n eaz da freuza trancheou var-n-ho ; hag er Anglais <r honurahlK, » dont /iluiiicnrs comprirent biej en ce qui concerne les a u z l l l a l r e a , d03 dans le voisinage de la voie lorréo Melzer.-.l). — Lo 8. notre artillerie bombarde a iléposé un projet qui envihag ail dek k w e c h hag ugent k w e c h C H A M P A G N , cnjln que len ministres dii lu ilij/ense na- le ministre eun nebeud bouliji, d'YPRES à ROULERS. — Le S, très grande les cantonnements ennemis de ST05SWIHK activité do rartillerie aux environs do (nord-ouest de Munster), et de KIRTZBACH : 1' ceux iionatf. ont autre e/iose il J'idri; ijue de se sage deux catégories d'auxiliaires muioc'h. kouczct var barrikcnnou houarn leun a KOOGE (près d'Ypres). — I l on est do mi(sud d'AUkircb). Nous canonnons également prtier (i dvs discussiuns oiseuses, et sau- dont l'aptitude physique n'est susceptible rât le lendemain au nord de cotte dernière les établissement» militaires de DOHNACH, H a g e u n d r a a zo a n a t : a n 2 di'e 100 aczenn ampoezounet, o deuz ho c'hrevet, ille, où les tranchées allemandes sont ou- pré» de Mulhouse. — La nuit suivante, cad'aucune amélioration : 5* ceux dont l'état cent diiiii/ercnscs. A n d a r n v u i a cuz k n n e r i e n a r C ' / i o u r - m e r k e t d a c ' h o u l e n n e v i t a r b l o a z - m a hag an aezenn fall, douget gant an avel, dommagéo» par le tir des Anglais. nonnade réciproque à FHARTMAHSWILLEBjet une enm/iai/nc s'ehaiw/ie dans le physique peut s'améliorer en vue d'un pasFLANDRE FRANÇAISE ET ARTOIS. - Le KOPF. i o r 0 d c u z b r e i n a r e a l a b n u r o v i t n'e b a d o k e t h i r r o c ' h e g e d a r b r e z e l . en em skulllaz da c'houde var an encsage éventuel dans te service armé. riWiwi'. les Allemand» dirigent, contre mondf iiurlmnciitaire^ dan» te but de resbouri^n, evel eur vogidell a varo. Dans l'après-midi du 8. une pièce allemanLOOS et les tranchées avoisinantes, un vioPour opérer le classement des auxi- g a l l o u t c l i o u m d a 7,onjal p a I c n n o n t M e u r a g a n t m i l l i o u n m u i o c ' h a vozo treindre au strict nécessaire le nombre des Kanoliou an Allmanted n'e joumont lent bombardement, auquel le» Anglais ri- de à lancé trois obus »ur BELFORT et sas liaires entre ces deux catégories, les com- o u u d r a b o n n a k ; s e t u p o r a g e m a i n t c e z o n i m b e p b l o a z d a c ' h o u d e ; h a g e sc'iinees puldi'/iies, postent avec etËcacité. Lo môme jour, lutte environi. Lo 9, olle a recommencé on lançant ket dilabour ken nebeud. Souezuz eo de mines très active dans les parages de la sept obu». ' — tous les Que le.i parlementaires trucaillent dans missions de réforme examineront i s k l d a g o m p r e a a w e c h o u a u t r a o u a l e a c ' h d a l e d a g l a s k c pe l e a c ' h h o edoute HOHENZOLLERN et entre cotte rec ' h a o u t , n'euz f o r s p i o u a vezo e k a r g zoken e kavfe ho» ciiebourien kement dans un dé- d r o u z . tes commissions, s'ils // trouvent quelque hommes du service auxiliaire doute et la roule do LA BASSEE. — Le 5. a vezo t e n t e t d a l a v a r o u t : A l l o d e n n al! a boultr hag a houarn, ha d'ezho beza chose d'utile (i faire ; mais qu'ds s'Iiahi- lai d'un mois, ù compter, pour ceux préartillerio ennemie so montre active au D r o ze, h i n i c n n o u a n e z h o , g o u d e :ord et au sud du cfjnal de LA BASSEE. — du jour de la g o u l e n n e t euz a b e r z a n « i m p ô t c o n i - keic'hct a bep tu. Stourmajou rust a raint tuent rn nu'ine temps à vider leurs que- sents sous les drapeaux, b o z a l e n n e t l e z e i m a n impôt sur le reDans la nuit du 5 au C. les Anglais occupent c'hoaz ; ha kredi a c'heller ato e sailpromulgation de la loi, et pour ceux non relles en famille. p W m e n t a i r e .sur l o r e v e n u » a zo d o u g e t lo c4lo onest de trois enlonnoiis, dans le venu, 0 deux k r e d o t , evit doare, n'e lint a vraz ar c'henta ma teuio seac'h an voisinage de la roulo de LA BASSEE à VER encore incorporés, du jour de leur incor' » • d a 5 , d a l O , d a 15, d a 20 d r e 100. ^ o u m f o m u i d a b a e a t a i l l o u n e i n e d a n ^ amzer, araok ma vezo armet soudarded MELLES. — Le lendemain matin, le» Aile — U n e tragédie turijue Au cours de ta inêi:icsi'ancc, M. Ilriand, poration. mandj font exploser uno mine au nord di K a l z a l a v a r o : « J u s t eo g o u l e n n priisidi til du Conseil, ri rlama pour lui et Lea auxiliaires reconnus d é t l n l t l v o i n o n t d u d h a g a c ' h o u n i t o u s p c n n S.ODO l u r nevez B r o - Z a o z , hag araok ma tcuio ar LOQS ; les Anglais n'éprouvent pas do pcrlei do (Vmslanliiiople a annoncîé l'i; l')urs dcniiers quo le prjn(!e m ses eotUyues te droit de s'oecn/ier ailrieuse- liuiploa au service armé no seront plus n r hioa-/, g a n t h o l a b o u r pe ho d a n v c z . k a l z d i g a n t a n n e p e n d e u z k a l z . » morlaned a dleomp digas euz an A f r i k . ot occupent un dos bords de rentonncir. — «dur Izzoddiiic. s'élail suicidé. I l h("-rili.M-. Yen • î 7. activité d'artiHerio dan» la même ré Just a w a l c ' h , e g w i r i o n e z , m a n'e sèment des f/raves intertt» dont ils ont la soumis à aucune visite. H a g ez i n t souezet o w e l o u t p a p e r a r Setu pcrak h o g w e l e r o furchal, evel eul on. — Le S. bombardement» réciproque» s'rt.ut iiuv.M I los voines. 4 moins que ce ne d e u k e t a r r e o l e n n d a veza e u l l a e avec un rasoir. Dopuis longcharge, sans ttre Irouhles il tout i/istiint s')it ia gni'.Ceux qui n'auront pas été reconnus di\jl- p e r c e p t e u r o t o n t b e t o g h o zi, e v o l e r 1 nord du canal do LA BASSEE. labouz gouez er gaoued, o klask eun toiiins il ^tiii I atloiiit do graves troulilos ncuPICARDIE. — Entre TAncrc et la Pommipnr des demandes d'e.cplieutiuns rt propos nitivement inaptes seront, pour la dernière b l o a v o z i o u tr(>inenet. l'onsi. H e d r a a z o d ' a r p i n v i d i k , k a e r toull bennak da drcmen. H o g e n , bezomp . Ce suicide. (;cril le Tanins, raMllh'ni.iui-s l'artillerie britannique bombarde los trcai de tout et du reste, a vezo l a v a r e t , n e m e d m a t l e o b e r v a d fizians. A r gwasa ma c'hellint obcr a cbée» aKcmnnde», les 'i et Ti fc vrlor. — Le jDurn.il liire, a provoqué nno doideiir prjfonfois, eontre-visités de nouveau six mois A r a b a d l'azia b e t o k k e i t ze, v a m i activité des deu* artillerie» aux environi de. niais n'a siirpris persoiini! paro^' (juc tout C'était an sujet d'une demande d'inter- après par la commission de réforme qui g a n t - h a n ; h a b i s k o a z c ' h o a z e v i t k a s vezo gounit dre laer eun dachennik disuioildo sa'vdil que le ))rincp luirilicir avait de de FRISE. — Le K, bombardement» récipropellation de M. Emile Cunslanl sur u l e y prendra H leur égard une décision (iôlliil- g n o u n c d . a r p i n v i d i k d a b a o u r n'ez euz b e l ter bennak. Evit dont dounoc'h enn hor que» entre rAm-re et la Summo. notnhr.îiiscs misons d'agir comme il l'a fait H a i i o ez euz b e t g w e c h a l l , b r e i n a n I n c o h é r e n c e s do l u c o n a u r e . u raisons s'ilaieiit encore multttlvo, ot iiuc g w e l e t k a l z p e o r i e n o t o n t d a veza bro n'e raint k e t ; ha seul-aliesoc'h c ilcrniors lomps. Le prinec soufnli.Vs ez c u z SGiz pe c i z v l o a z '-zo, d a v e r k a De ces '< incohérences n noua avons « > pinvidilioc'li. opiiis longlomps d'uno inaUiOie incufrait • sailiint, seul-abretoc'h e vezo echuet fourni quelques exem/iles. Certaines com1,0 gouvenii-nioiil qui- connaissait ,la Lundi ont eu lieu los obsùques solennelles e u n diazez n c v o z d ' a n t a i l l o u : f o n c i e r , ralîlo. ... gant-ho. E r l l n , a r a b a d e v e d ' a l l e z e n n d o n t Î R O S T Ï M H Ç M S missions de eontrole doivent être bien dis- des v i c t i m e s d u z e p p e l i n qui sIluaUon ot élail tenu au courant des disurvola m o b i l i e r h a d o r i o u h a p r e n e s t r o u . A l Dimeurs o deuz stiapct euz a bell eun \orses pinsos de la mal.idle pl des crise», traites, ou bien il faut croire qa'elles ont Paris dans la soirée du l e z o n n a oe z o k o n v o l o t g a n t a r C l a m p r d a l a k a a t a n d o n f u r h a p o a n i e r d a f a l l L'!/janvier qui (Malont fréqiu^ntes. siir\eillail le malade nebeud bouliji var B e l f o r t . A r c'hoaii pour consij/nc d'criter des histoires avec En Belgique J.a cérémonie religieuse a été célébrée en g o u d e e u n d i v i z l i i r r h a t e n n . A r S é n a t g a l o u n i , o l a v a r o u t d ' e z h a n : « M a pcjpéluollcincnt (!) C-Ue surveillance était ze a bli)-kenan d'ezho. T u d dinoaz a les puinsanU du jour. El ionutemps eaoore l'église Notre-Dame t e u é z d ! i c ' h o u n i t dreiSît è u r p o e n t a z o , i-endiio (!ès difficile par la uéoessllé de ne de' la Croix;'oiï les. ^ deuz a v a d he a i i k o u n a c ' h a e t a b a o u e ; Lo C f(^i'iiT, notre artillerie, do concert pas faire savoir au nial.ide sa vraie situalazont be wcch, hag awalc'h eo evit-ho sans douta les Clihueueeuu, les Ilerolf et l'H corps avaient été apportés ù 6 heures m e a m bezo v a l o d . » A n d e n f u r h a ivec rurtillerie britannique, exécute dos tirs tion... Depuis un eerlain lomps la maladlt h a d o n n'e c ' h e l l l a v a r o u t p e u r e r a i o pa n'e c'heilont ket ober gwelloc'h. M e s do démolition sur les tranchées allemandes du prince .ivall pris un er.racSere inquiélsnt: aiitrea HenaiuM /tourrunt librement écrire du matin, Lo Président do la Itépublique h o z o n j d ' e n e i u e i n m e l l o u t - h i , E v i t p o a n i e r a d l e v f e b e z a e r c ' h o n t r o l d o u en face de BOESINGHE. A Fest de la mémo lo nouveriioment redoublait de soin; et d'attout ce qu'il leur passera lair la tète contre n'u assistait pas i mais on y remarquait f r o u z a a l l a b o u r g r o e t g a n t a r ( i a m p r g o t h a s i k o u r e t d a g e n d a l c ' h e r e n n h e ni ivez or beuz kanoliou da skci a bell région, dcuz batterie» ennemies sont réduile haut commandement ou contre le l'rèai hag erzizun-man o deuz greet freuz, n'e tes au ailenco par notre artillerie lourde. — tention» (!) Malheiireusemonl. sa survcil&ime Poincaré, de même que M, Denys v o l o n l e z v a d , d ' e n e m z e v e l h u e l l o c ' h i k lano.e fut déjouCe. parce quo Is pniioc de-, ii'o vo k e n m o r s o , r a k , e / . o m m a v e , e dent do la Hépablii/iie; aussi longtemps, le ket etouez merc'hed ha bugale, hogen Le 7. notre lutUloric bombarde efficacemcnl vait .Mpo (eiui jusqu'au bout dans l'IgnoCochin, ministre d'Etat ^ forti.n VaiUjan, près d'HET-SAS, et U» ranoo do son ni.,1. I/inévilable (1) s'est prog w i r i o n e z , da euuna m c u r a boont er bemdoz. tMfiraphc sera mis en action pour trans var staliou an enebourien e-kichenn Après la messe, dite par M, Pottier, curé anchée» ennemie» en face de STEENS- duit. ol loulo la nation o.,l dans le deuil. mettre aux commissions de province la do S.-D. de Lourdes, lo cardinal 'oolenn n i e r k c t g a n t an assanibloc-ze. Amette Challerange, enn hanter-noz d'ar THAETE. ~ Ce bomb.irdemeut est repris le Toile I ,1 la version onieiollo. eonsiyne de ne /ifls laii.ser re/iroduiro lea donna l'absoute et prononi-a une émouvante K v i t l a v a r o u t d ' i i o c ' h eb ez c u z d a Champagn, el leac'h ma tremen hent [) par notre artillerie lourde. A l lozcnn-ze a venue eta t e r r i i i i i i i e n Il va ; IIS dire une personne n'en croit IP allocution, dont nous extrayons cepassaj/e articles de ces messieurs uol. sauf peut-iMro q:iel<iuos va]ironiier • h a d a z i f i z i o u t v e u l i a l l e z e n n nevez,n o u ouz a n t a i l l o u koz e v i l s e v e l u u a n chou-houarn hag o deuz priz braz evit an E n A r t o i s Oiis i n o r U survli'ont uiHsl iiolrii ottuso do Kues lei- •ors hoches, c! encore eo n'ost pas Mais puisque par deux fois la Chambre vaut Dieu, le .ILIK» »t L<' Miiltro souvuniin b r a s o c ' h : « i m p f t t g(5n6ral s u r l e r e - o u t - h i k e m e n t a i l pe m u i o c ' h . H a k a l z Allmanted. bien sftr c dictare qw ces aqissemeuls l'amusant, il i|('!i iiutloii». I l y u daiiH Ip «ttiiK injustcnirnt v e n u . » l i a c ' h o a z n'e j o n c h e s e u r t Le 7 f.^ rii'r, un tir de no» batterie» proIl y a 1110 auliv explication do la mûri de zo,dlskar3ennhe c'henver brema, h a g Gant an avel a rene enn deveziou-ma voque de fortes explosion» dans les lignes Yousoiif l/zo.ldiiio. On l'a. par;iît-il. placardée n'y a qu'il en /irendre son parti. .Vospoilus iM^paiiilu unn voix qui nioiito VOI'B lo Mel, ho ballonniou braz n'o deuz ket gallet allemandos, vora SAINT-LAURENT (fau- sur les UIII'S do Coiislantinople. lille tient « l.a v o l \ (lu NanK do ton rn'tro Aliul cric o - k e u v o r l o d e n n o u a n d e p a r t a m a n t a c ' h e l l f e b e z a l a k a e t d i d a n - l i i diveza^ doirent connaitredvs ndsiresplus i/randea. voi'H nvil (lu Holii (lo 11» torro », disait Dluu h a g a r g o m m u n . A n diazez koz a v e f e t o c ' h . E v i t g w i r , m a n'e g a v e r k e t sevel enn ear ; hag unan euz ar re a oa bourg nord-est d'Arras). - Le 8, duel d':r- on inio liK 0 : • i:nvor Paclia a Uié le prince tillerie assez intense au nord-est et au sud- h.trilioi-. » Et nous ne pouvons qu'approuver la nu iironilor lioinloldo. I.o HUIIK d'Abcl criait a w a l c ' h a a r c l i a n t a - h e i i t - a l l , n'e v e bet oc'h obcr eun dro var B r o - Z a o z a zo 9st de NEUVILLE-SAINT-VAAST. En fin 1< coup ? Nous n'en savons (lui a n juslUu) ; c'cNl auHsl lo cri qui Jaillit du »anK c h o u i n e t ; o v i t - h o ; e u n d i a z e z novez a ChumUre d'avoir ajourne siiiu (llo l'inter iVapres-midi, les Allemcod» font sauter deux Pion. Kt comme ii oiis tio soiuines pas la jusk e t souez o k l e v o u t a r c ' h o u a r n a m a n t bet tizet gant kanoliou ar H o l l a n d , pa du nos vIdllinoH. I l ràulanio Justi(;Q poui' lu v o t e b o t h e b k o n o v i t l o d e n n a r c ' h o u a r pe!talion de M. Eniilo Constant. n'(xisle peul-étPP franco. I l doniuinlo au Dion qui luiit l'inl- n a m a n t . I l a k , g o u z o u t a d l e i t , h a g h e r 0 c ' h o u l e n n : K e a d u d a zo c h o u m e t glaske tremen a-zioc'h ar vro-ma, enn mines, fortement chargées, à Fouost de la lioo Uirquo, -- laqiiolle FOLIE. Ils peuvent ensuite pénétrer dans pas. — cola nous esl en somme assez Indif(lullù do 110 piiH poi'nioltro lo tdoinplio d'un quelques éléments de notre tranchée de tir, fc'Tont. Mais, qui a donné les or,Ires et A despet da lezennou ar brezel. Koueza d i s k a r g ; l e a l eo d ' a r r e a c ' h o u n i t g w o l o u t a c ' h e l l i t eaz d r o b a p o r a r boulevoraée par rexplosion, ainsi que sur qui ronionto la vôpitahle responsabilité de M. Henri llesnaril, soas-sccrétairc d'Etat l'oiiplo (lul, iipréH nvolr, par un oriruoil ot reaz da c'houde er mor, hag an tregont certains point» do notre tranchée de doubleuno nmbltlon sans mosuro, duolininé »ur lo p e r c e p t e u r : h o t o u r n a d m o u n i z a z o d r e i s t D.OOO l u r a r b l o a z p a e a h o l o d là au eonlralre uni; ques!l assassinai " ù / ' a v i a t i o n , qui rtaiefort critiquii deimis ment, d'où nou» le» rejeton» par une atta- lioi iioiis inlérosso, et A laquelle il n'est H «oullld sus r a u u e t e t e i r l o d e i i n : e u l l o d e n n a zo l l o g e n , a l l o z e n n a zo d o u g e t ; h a den a zouge a zo bet beuzet. queV/ucs semaines, a donne' ait démission inohdo collo liorrlhlo «uorrc illloiirs bien difileile do répondre, que à la grenade, ollectuée au cours de la pas d* ariuoH pur tant de crimes, o v i t d i s p i g n o u a r c ' h o u a r n a m a n t , o u i p l e g a d ' e z h i a zo r e d . nuit. — Le combat »o pour»uil le fl. soutenu Sans orainio d'erreur on peut dire : le mardi. /.es cereneils, recouvo>-ts de drapeaux l o d e n n a i l o v i t d i a p i g n o u a u d e p a r t a lii<rl(i, r de Turquie était gênant ; Il de part el d'autre par un duel intense d'arprince A r R U S I A N E D â gendalc'h da zel L a v a r o m p c'hoaz eta d ' a r re a gouez Il ne Sera pas reniplacé. /.es services de tillerie. An oud-ouest de la COTE 140 (à 2 a été 1iiipprinio ; il a été supprimé par ceux tricolores, firent ensuite transportés à la c'her labour d'an Allmanted ha d'an kilomètre» nord de Neuville), l'ennemi fait |i\ mi^in r<icrona:ilique sonl re/ilacé:! sous l'auto m a n t , oun doirvod lodenn ovit dispignou didan-hi c c'houleniier d i g a n t - h o dis pi'il gênait, c'osi-;i-dire p,ar les mairie du .W arrondissement oi'i les per rité directe du ministre de tu f/uerre, qui ar gommun. k l e r i a , e t i a r c ' l i o n t r ô l e u r k a r g o u , e t r e Aotrichianed, penn-da-benn da roudenn exploser une nouvelle mine devant notre dielaleii) I lires ICiivor Paelia el Talaad lîey. sonnagea officiels s'estimaient plus (i l'aisetranchéo ; il dirige au«»itftt »ur no» po»ition» el par I 1- conseil. le Ooniilé Union cl Prou l'ait choir, comme directeur du colonel A l l o z e n n d o u g o t d a v i z g o u e r o 1914, a n dez k e n l a a v i z m e u r s h a g a n dez an cmgann, ha dreist-oll enn hanter-noz e une attaque d'infanterie qui e>t repou»»ée. grés. Dès discours firent prononcés, notam d'arldhriv Uégnier, bro R i g a , hag er c'hreisdeiz er vro (Ml sait d'ailleurs qn'Rr vor n'en est pas l i a l a k a e t d a r o n a b a o u e a n dez I t e n t a d i v e z a a v i z e b r e l , d a b e g e m e n t eo sa ment par MM. Malvy, ministre de t'inté' * n'a oublié à son eonp d'essai : el personne pi D e l a S o m m e à l ' O i s e • • B u k o v i n . v e t h o l o v e e r b l o a z t r e m e n e t , g o u d e o u z a r b l o a z m a , n'oz eo t a m m h e v e l . rieur, et Mithouard, président du conseil l'autre traeodio, celle de 1913. oii il Joua en A n Allmanted a venn, evit doare M. B r i a n d , président du Conseil, et mi La i février, notre artillerie lourde exé- coiv lo pniioipal rôle en luant ."i coups de municipal l l o u - m a n a v e r k e u n impôt complii- d i s k o n t a a r c ' h o l l o d e u z b e t h a g a r nistre des ojlaircs etranyère», a quitti nevezi ar c'hoari a dalvezaz d'ezho enn cute des tir» sur une colonne d'infanterie et revolver le rninistre de la Guerre, son su/.'inhumation a eu Heu au Père-La rnmlairo sur lo revenu, D a l a v a r o u t eo m i z o u a bouez v a r h o d a n v e z . sur de» convois ennemi», qui entraient dan» l'aris mercredi pour se rendre rt R o m a , chaise. hanv diveza : boda armeou braz var an ROYE. — La nuit du 7 au 8. notre artillerie ''SVnvé'r l'aeha ol Talaad Boy ont livnS lo n ' e j e n c h n a n'e d o r r l i i n i e b e d euz a n O c h o u ni h e p d i s k l e r i a e ^ c ' i i e l l e r 1/ coi\l'i'rer avec le i/ouvernement italien. Il oanonne un train, entre ROYE ot CHAUL- Turquie aux Allomands. el Uni qu'ils sedaou bcnn cuz an talbenn, gant ar zonj t a i l l o u k o z , 0 l o a c ' h m a t e u d a l a k a a t b e z a a n k o u n a c ' h a e t ; n'eo k e t l e a l a v a d — Lo 8, nou» disper»on» uno colonne ront les uiailroB absolus, les Allemands est arroiiiiia;in( de M. I.eon llouri/eois, da gondaoni ar Rusianed da gila didan NES. Un Z o p p o l l n , revenant du dernier raid seuls gouverneront la Sublime Porte. Us ne ennemie prè» de LASSIGHY. u n a u novez v a r - n - h o , v a r a r m a r c ' h a d . na f u r zoken, r a k m a c ' h e l l e r beza k a ministre d'Etat, du neneral l'etlè, major sur l'Angleterre, veulent autour d'eux quo des comparses, boan da veza kelc'het. H o g e n , hor mia été vu en perdition, le Entre l'Oise et l'Aisne M a n'o g o m p r e n i t Ivot c ' h o a z , o l a v a eoinme le sullan Mahomet V. ou des homv e t d i v e z a t o c ' h . 'idnèral, et du colonel Morin, du ijrand i ' février, dans la Mer du Nord, par u n gnouned n'emaint mui er stad m'en em mes .1 leurs gages. Kl qui esl soupçonné de r i n e t o u a l lezeuu nevez da zamtnou quartier i/enéral, ainsi que de \J, de Mar O u s p e i i n 'ze, d ' a u n e p n ' e z i s k l e r i o gavent enn hanv : kanoliou o deuz k a chalutier anglais, /.es hommes qui le monLe 7 février, un blookhau» ennemi eat dé- ne pas être disposé à leur obéir aveuglétruit par notre feu & la litière sud du bois m e u r a h i n i hop d i z a m m a d o n ebed. ment ne »eut ni i-esler au pouvoir ni en ap ijerie, directeur des uO'atrea politiques au taient aupplièrent le chalutierde k e t , a r c ' h o n t r o l e u r e o a vei-ko e v i t pe les sauver vet, ha bouliji ivez. Ouspenn'ze, eur d'OURSCAMPS (nord de Traoy-Io-Val). proclier. l.a mort du mallieureiix Yousouf ministère des affaires etranqères. Mais le patron jugea prudent de s'éloigner g e m e n t en devezo d a b a e a ; h a p a v e r k o miliioun-hanter a zoudarded fresk Iz/.oddilie n'a été qu'une, démonsiMllon sanLe 5 féVTier, tir» do notre artillerie siula A ce propos on publie une note dont volei /I n'avait en effet que neuf hommes à bord, glante de co fait. ,1 l'usage de tous ceux qu' A w a l o ' h 0 o ' h e l l f o b o z a e v e l - s o o v i t m u i o c ' h e g e d m a ' z co d l e e t , r e d a vezo deuz dalc'h-mad, prest da gemer plas ar t«to de pont de VENIZEL (oat de Solsaon») seraient tentés de rimlter. quelques extraits et pas d'armes, tandis que los Allemands, r e a zeu da goueza. E n n eur ger : ar et loi ouvrage» ennemi» de VENDRESSE et paea e v e l a t o n e m e d d i s k o u o z a c ' h e l l I l élait d'opinions Irés indépendantes, el t n (l(!i'li.niiil lii Runmi ^ l'Autrlcho Hnnurlc^ armés, étaient au nombre de 30. Il était u a n d a r n v u i a a c ' h a n o c ' h , r a k n e b e u d fot d ' e z h a u e c ' h o u l e n n r e , e u n d r a Rusi a zo dihunet, evel B r o - Z a o z . A r de CERNY (oue»t de Craonne). — Le lende- n'adiiietlail pas. avec une grande partie de main, nou» canonnon» le» ouvrage» adverI lliilli! u !ii'cniii|ill, «:iiiH iirrliTii-iiiiiisiV, u» (roilii craindre qu'ils no prissent la direction euz l o n n e r i o n a r C'hourrier o devezo son peuple, que les Allemands fussent les du »es en face du plateau de Cbaasemy (e>t de gwasa a c'hellfe c'hoarvezout gant-hi aiiDnluiii' l'I n^nllsiill Kct ii.siilnitluiiH iiatiuiiuloit, h a g a c ' h e l l beza tenn. véritables cliofs du gouvememenl otlomai) Venizel). Kilo alliiit r<'('aii(|iic^i'lr ïroiiln iit ïrlustn, Muln. chalutier, pour le conduire en Allemagne d a b a e a a n t a i l l o u n e v e z , pe g w i r n ' e el que Unit, année, marine, dnances, fùl E r c ' h o n t r o l , o v i t a n n e p e n devezo vije koll R i g a , abalamour ma c'hell ar tirJclHiïiiiuiil, uo puliil (le viii' milldiiiil riilriicliiiKill avec l'equipago vozint gouleunet bronia dioc'htu neLe »oir du 2 février, «prèi un bombardeà poil centralisé entre leurs mains. On porz-ma beza taget dre vor, ha ma 'z eo ment assez vif, le» Allemand» «»qui»sent une tiour ollo rhi)rl7oii. On |ii<ul lo iliro iiujoui'd'hul d i s k l e r i e t ho leve, a r c ' h o n t r o l e u r a [•nlondro qu'il u'aurail pas élé étrani n e d d i g a n t a n d u d a c ' h o u n i t o u s p o n n Les navires de guerre anglais envoyés à qlln iici |ir<'V«,vuH iioiit lMni pus l'uxtcnslon (|uo U an A l l m a g n krenvoc'h eget-hi er mor attaque sur nos poiitlon» du Dois des But- ger U l'échec du projet de voyage de Guild l e o k r e d i , pe d i s k o u e z ez e u z b e t diS' tfuorro iilliilt |ii'tiM(lro Onim l'uninici) i.'t ilimi In ta recherche du zeppelin ne le tes (région de la VILLE-AtrX-BOIS), entre laiimo A (^onstanlinople. Il aurait dû re<M«trouvèrent S.UOOUir n r b l o a z , B a l t i k . toiDpn. iil li'i (inivcs coiisi*i|mMi.'os (!oonomlqui< Craonne et Berry-au-Bao). Le déolanchoment voir lo Kaiser, i la place do Mahomet V mail avait aombré aana I v e n d a l c ' h o m p g o u l s k o u d e , e v i t m a k l e r i e t n e b e u t o c ' h e g e d m a 'z euz ( qui i'i>Hiillri'nU'iit pour ollu do <ni piii'ticipallou pas, Dana l'intervulte immédiat de no» tir» de barrage et de notre lade. et il ne se souciait nullement de cette E n n A L B A N I , an Aotrichianed g w i r i o n e z , eun d r a I j a ^ a c ' h e l l beza doute. leu d'infanterie «rrôte net leur débouché. o u e z o c ' h p o t r a oo a l l o z e n n . UUX IlOSlIlIllÏH, Impériale eonéo. ; 1.0 ruIiMitlHwmoiit do» opilrnl'ons mllltnlira ot d i e z d ' e z h a n , r a k m a 'z oo d i f c n n e t gerz d i f r c v a r z u D u r a z z o , a zo e riski C'était le I,.-10 ; et il parait qu'il avait l)n dil que le nouvel liérilier du IrAno resLo lendemain, nous bombardons le» tranH a d a l c ' h i t s o n j m a d d i o c ' h t u euz a r da veza taget gant-ho dizale. A n I t a In n6iMiKnl|.;' oi'i l'on «o trniivo, ù rhiiiiro aotuollo, semhlo.rail sur beaucoup do points à Youo u t h a n g o u l e n n l e v r l o u a r c ' h e r a m chée» ennemie» de la VILLE-AUX-BOIS et été ciinonné par les //ollandais, au mo' (l'oovlaiiuor do iduK loliilnini'!) u uru' poont keiita-zo : souf Izzeddino. 11 peut doubler sa garde... lianed a zistro var ho c'hiz etrezeg ar du plateau do VAUCLERE (nord-oueat do ,VO(iuit, (liiiH (|uol(|iioH pht-ros lUIloiinofi. sinon ment oii tl aurvolait *los eùtoa de ce paya. w e r z e r zoken. cl se délier de se? gardiens mêmes. A n n o p n ' e c ' h o u n i t k e t d r e i s t 5.000 m o r , ctrezek V a l o n a dreist-oll, evit en Craonne). De» troupes en mouvement, si•m MvIniMioiit d'opinion, du niolni un uiouvo• » On raconte encore qu'Enver Pacha aurait gnalée» »ur U roulo do Berry-au-Bao à l u hiant do riinnxlnn itul urto i\ii Kuitrornomont l u r a r bloaz n'en deuz k e t d'en c m emem lakaat e gwelloc'h stad da herzel. l'iiilention d'organiser une diclatui-e de droK. vlnoourt, sont prises aous notre lea. Les p â t e s à p a p i e r proviennent, en (loniiililn du l:i ditrlni'iitlun do uiiorro, oortalno* H o g e n , nebeud ac'hanoc'h o devezo gu'osl-ce que cela peut bien nous faire T A r S E R B E D a zo savetaet evit an l o 8. un tir de nos batteries oauae d'imdimculW-. grande partie, do Norwège et de Suéde. m o l l o u z a l l o z e n n novez. A n d o n d l II. — E n Bulgarie D'iiutro |inrt, lo Kouvcrnnnioiit llnllon «cnl qno Dr, cea paya ont pria le parti d'en inter- me'zet a zo d i s k a r g z o k e n b e t e k 7.000 d a b l e g a d ' a l l e z e n n - m a : n ' o peuz n a d a m vuia abenn vrema ; 7 0 . 0 0 0 anezho portant» dég&t» aux ouvrane» ennemi» dan» la région au nord do TRTÔN «t »ur lo plaKhsuro ont vonuo pour lui, «'Il vont prollIiT coniTous les jours on parle de l'allaque proIl on résulte qu'en l u r ; h a g e v i t p o b k r o u a d u r i a o u a n - g o u n i d i g e z n a l e v e a w a l c ' h e v i t k o u e z a a zo e C o r f o u pe enn enczi tro-var. teau de VAUCLERE. Au nord de BERRY- oliaiiie de Salonique, mais tous les iours on alblaïuvol dos hOnollooa do lii riolulru Uns «lllili, dira l'exportatian. AtJ-BAC, des troupes «n mouTsmsnt sont annouex! aussi que Tcxécutlon de ce projet do pnfllclpor nvoo ou* h rniHomblo de» opiJra- Eranee les journaux dro. 3o.ooo ail d'an nebeuta a die choum peuvent ao trouver k o c ' h e g o d 21 b l o a z o n n h e g a r g o t i s - d i d a n - h i . nriies sous notre feu. Hun« d'uno iniinl^ro plu» Inllnid, • D e z i t s o n j a v a d e t l o o t k e n d a l c ' h e r c'hoaz enn A l b a n i , gant an Italianed hag •^La 9, »u sud do U VILLE-AUX-BOIS, cul retardée. Que se pa-we-l-ll ? Ceci probagénia à brève eehéanee pour a'approviaion k o n t e r c ' h o a z 1.000 l u r o u s p e n n , i.50(J blement. I l y a un fort « tirage » entre BiJIL «n rùsulloru cerluliiomont pour I Halls un ner en papier, tout en payant cher, Déjà d a b a e a k e m e n t s e u r t t a i l l o u a b o u e z e ar M o n t e n e g r i n e d . M a vez r e d , e vezlnt nous attaquons k coups de grenades un pe- gares et Austro-Boches. I,a question de SaluVcroll do «(icpllluo», niiiUmiKsI d'nviintaKos, l u r zoken evit p o b - h i n l goudo ar b o m t i t poste que l'ennemi doit STtouer, lonlqun est pour ces alliés un point de frotU'osl diina w t oondllloiiK <iuii In nrùnhlent du la haiiaae atteint 00 010. savet ac'hano ivez, hag oH asambles e var-n-hoc'h beteg-hen ped. temenl dur. La Bulgarie se r(îruscralt, pour (k)iM«ll Iruni^h n'in vu (i Homo. Il y iiri'Ivora E n C h a m p a g n e c'hellint roi an dourn d'omp divezatoc'h En Allemagne ot en Angleterre lea jour N e b e u t o c ' h e g e d b i s k o a z a r c ' h o u a r le moment, à prendre pari ft une expédition uvoo un pri'HlIiri' (luI tliuit ii luio ilunliln uHUan. Rak-so, netra da c'houlenn onn t u (wnire Salonique sans l a promesse de nouleiir format M. Ilriand ohI I liomnio d'Kt«t qui u vu clnlr naux se disposent (> réduire n a m a n t n'ema e stad da ziskregl diouz e S a l o n l k . Ls i févrior. bombardement des organisavelles compensations. El on lui aurait d'ailduni l'iiHuIrn do Siilftnliiun. ou le nombre de leurs pages, En Franeo U a i l d ' a n t a i l l o u k o z , d i g a n t a n d o n d l E r vro-ma, hon tud a zo lezet didrabas tion» allemande», dan» la région de TABU- leurs laissé entendre do Berlin quo la ville a r pez a zo m e r k e t d a r o i d ' e z h a n ; h a Cost lui qui. Blnra quo loutoH los clroontuncos z e m e z h a n ' o c ' h o u n i t k e t d r e i s t 5.000 fitudra vraisemblablement en arriver ù la BE st du MOKT-TETU. — Ce 5, uns oolonns mémo prise p»r elle ne serait pas pour elle. bepred. A n enebourien n'o deuz ket Qitérlouroa somblnlonl lioaUloa, a voulu quo noua rauloc'h-mui eo e o ' h ô u l e n n o . ennemie en marohe eat prl»e sou» notre feu « Sic vos, non Tobia... » D'oA une certaine 'môme préciulion ; et ce no tera peut-être l u r a r b l o a z ; — n e t r a d a c ' h o u l e n n d l domiurlons on Mnwirtoinfl. . , . , E u r p o e n t a zo e l l e a e n n n e v e z h a g kavet c'hoaz na soudarded nag armou k rsit de SAINT-SOUPLET. Ls même tonr, tension. Bnver Pacha ne cache flpius («m Nul ns ooulflsli» plus quo Irnlr K Snlunlqun soit pas lin ni'il :itfi anramoinadou canarda g a n t a n d o n d i m e z e t h e p b u g a l e h a n'e nos battsrles bombardent les organisations : « Nous permettons, ditonoore la mollisure ta(on do prolititsr rKg/pto. e n douz l a k a e t h i n i a n n o u n e c ' h e t . awalc'h evit gallout taga. T e n n eo d'ezho aunsmiss du platssu de NAT&BIN, et ob- méeontenlemenl journaux, Il, «ux Alliés de mettre a exécution tous c ' h o u n i t k e t d r e i s t 7,000 l u r ; — n e t r a iin sscond lisu, M. Uriand a aau\d l'iirmilo daiia les K o m z a r e e r é n n h i euz a d u d d i z e m e z tostaat abalamour ma oe freuzet pont- tiennent d'eVosllsnti riinltat». Lss tran- leurs plans, ot le fait do leur laisser l'Ini« * k o n nobeu.d da, c ' h o u l e n n d i g a n t a r ohou an hentchou-houarn, dre ma klJe chées battues sont profondément bonlsvsr- tiativo nnurrait complètement annihiler la» " i ^ t a l l a lut sait gré d« cas doux onlroprlias, h a g ouz a d u d dimezet ; g o r ebed a v a d Riss; plusisors députa de munition» sauAo C a n a d a f/iVio lea Austro-Bochea par p i ' i e j o u h a g o d o u z e n n h o c ' h a r g 3 , 5 • r m e e Sarrail. H a piou c a r , hou-ma tent. ITsutre part, nos pro)eeUles syint di- succès rejnporltSa par nous au prix de gratdt n a g euz i t a n v l e n n a g cuz itaûvozed. socrlflocs. • le eoncours empresai qu'ilprite aux Alliés. 1 » 8 k r o u a d u r , m a n ' e c ' h o u n e z o n t k e t marteze eo a dago da genta. moll des réserrolrs k gai suflooants, dss £ « • ftUocatlont é l f l o t o r a t a i . H a da éur goulenn greet d'ezhan, ar m . — Bn Roumania tralniss osseuses se répandent qui sont r«Lo 3 /Vwier, un Incendie détruitait le d r o i s t 10.000, 12.000 pe 10.500 l u r a r D a c ' h e d a l , an e n e b o u r i e n a zo lakaet istiss psr ls Tsnt vsrs les lignes «nasmles. Lit aitoaationi en fiioeur des famille» di ' I l semble ocriain que des désaooonta adn f i u i a l r e a deuz respontet e tleer l a palait du Parlement à Ottaioa, C'est pa- b l o a z . ' b i fia ds Joomis, nous •zieutant de aUas g w a l l n e c ' h e t g a n t h l . H o mennoz a oa rieux ont surgi dans te cabinet BraliaM ' moblfltét M poueaitnl manquer d'ilrt etek a a t a a Hs^nv b a g a n i t a n v e z h e p ntit-il un nouveau crlino boohe, m o n t etrezek an E J I P T , e v i t t r o u c ' h a dea ttrt ds dskirtwtlan ssr lss IraaeMss at- sillet de l'exportation des c«r£ales. CtUe , H a g ap r e a c ' h o u n i t m u i o c ' U a ' o do» pliUéei par ctriain» potiiioien» aana eerIsBundss da U région ds «AIMHS-DB.vnrgenoe do vues aura peut-être pour h u g a l e v a r r e n k e u n d e n dizeraèz ; h a g , Lea AUeman'Ji lont aeoutU én outre da Vlana kanol S u e z , ha lakàat eve1-«e asAMr&aHB.^. d'amensr au pouvoir, par ur» remsnfc veto d a baea iiemed.evit a l Indonn a ffOfAt, Jana tut inUrit Hecloral. On aurttU a devezo d r e ze d a b a e a d i v a r a r p e z a d!aooirfltit sauter une utlne à munttloni. de ministère, des hommes appartenant dIspartI e t r e B r o - Z a o z h a g an Indes ha etpmdani pu «n doHtw a( dH preuve» n'a» Le 7, un bombardemsal d* uotr* arttltsrto Darli conservateur n j o d ^ j o u m o goude' d t s k o n t a a r c ' h o n t c h o u IfiH/ln, un complot monatre a été dioouc ' h o u n e z o n t d r e i s t 5.000 l u r . b r o i o u ail ar zao-heol. H o g e n , awalc'h lourds sur des itatmsssmsats «nnsmis, pris valent pMiUapporUH, zo, h c r v e i ç t a d p e b u n a a . vert <k leur aptO, lia préparaient une amde M a r . o d o u z b u g a l e , l o d e n n a r v u g a l e e kavont da o b e r evit e n e m z l f e n n ouz ds CHAIiLERAMOE, provott* u t grand iat^ai» poici te gue. raç6iUenl le F l g & i o «( , Arabad avad{aziadiva^henh arpez osndls. de brigands pOUr IHnvaiion du Canada, h e b k e n a vezo diskonteft. armee S a l o n l k ; h a g ar m a r e d a v o n t d'àutrujoui'ium!)! > Pil'it ilaaur,aient piaoi aeerétemeni 300,000 « d l o e r k o m p r s n d r o » g o u h l d i g e z E n > r gl o n i M D a l a v a r o u t o o o devezo a n i t a n v p e d'an E j l p t (el leac'h ma k a v f e n t «un il U ÊUU-pNfà ClM</ijiom^ a / b M </«• l,c journal orâoicux'de'ia tigatlolt t X ^ ^tila Uauaer le long de- laft-ontitre. Le b l o A v e z t e k s, A r a b a d l a v a r o u t : « M e a » primtr de» leitret ainti eonçuet : ' a n i t a n v e z d a b a e a d i v a r d a o u v i l l u r g e m e r d e r e a d cuz « b e r z ar Saozon), 1 La IttUs ds asbsss, stgnalis la samalM dsr- lemagne, la Zioa, «orlt : < L'avenir . rtoumahlo «e prépare data le e t l i M tMft> 6 u i reoherttii tllaH de détruire lea voiea de zo d l n i é z e i ; t r i g r o u a d u r a m b e u s ; o ^ a , ss poursuit la S Mvr<«r. Btaa U iouruof-rnftniaTUni ' lu rauioc'h e g e d a n o z a c ' h h a g a r c ' h r e g zo t r e m e n e t e v i t ar bloaxHita. E v i t g w i r , rent du momenl... Oss J O M ^ I va «s <H>mmttnication, qftn de paralyser l'envoi k o n t a a r v a r a m , p c r a p o m a o m p o t a o Dis tous Islsaas saotar ds Mmbrsns iaurM ooiKoaur d e a e r r t «n A r a b i a zo d a d r e u z i , h t n'«o nsaux ^ boidavarsant M t r a r a u s ç ^ . dar U t«tw« «tUtada <a U i S e o u a i t . Ç W /fol* (fak muAitionaelCembarquemint dit oontin- o ' h o u n i t . . . I a k a a i r p 15.000 l u r , b e p a 0 d e u z a n e u r v a d d a j o u m b e o asam.» ràlBs <• l'saaamt: «m^ ans C D V B t l i . Sst flnl de U poUUqu® d'bdsIUUaa..... k e t euT c ' h o a r i g o u d e m l z M e u r t , rf)thiblea. .. t' • ; ' ' ^nta c'anadienl. , •. Mais tous Jçwmwi p e r t u t « ti a i t m i l , itt aatr* t u n U B - r 8.000 l à r : n e t r a da. b a e a . > m o u r nta t e u « n t v d t e a c ' h da sevel e»«l, attitude >a dtolde oe« }oun.«t : i-A> t « •••. <•«•• .. . •;• "• . d à k a e » 0 p e f e m a v i j e a n t r s o i i , ; D ' a m . z o n j i n ' e o k e t j j i s t . E a s o c ' h eo g w t g e n n o u «abr, o talla hag or^voogt t u pas dans le aena d«alr< par le . ^ On annonce d'eutirt pari (g tMnuHoit t a k - m a a ' « n e r ftemed a u r d a ' z f M U b r l e d oo'b- e a e m z i k o u r g o u - S u d « I l e m » » v V : 'Miit(eiie«n»l0ilbèitKf (tirla: da eun U r ^ d l M ^ t o k e n t f t M B « u r airol»; Alt, e û n d r * ipÉoe'h d^v•^^>«nh w ^ w I t h a v p e dft é u 9 f , l t j '-i'•.'..,•( Eiz dez Breze! lésiiiBé des 0 léralions c&Quiigpmc i.. Kmim EDrnmtailloiineïez .aSililioiiDiiilonialip M m m t, iiiii I I LE COURRIER-DU flNlSTÉiar <um <|ul doit «Ira blenlOI «(Irmud ik la Rou3* En Garnie, on a maintenu la punvtjimluu nieir, eWdoj d'émotlona gportlTea. Tout le» y con. n«nifl, DOITE AUX LETTRES la llsrne frontière contre lo» attaque» Tltll I Is déilr d'acclamer lea auocèa do leura ' . La nminrinnla Ittlnt, m£fifiaK<''i'n on Orlont 00 dn» Autriolilon» vUant i péné- (I liommea u et le aouoi do leur prodiguer lea en^ S X Z X 9 Maison Française (Fomlfc en 1859) « X I iinirv KluilcuHO «lvill>i|ltlon nn Hoiiralt A porslHtunto» S I tror dnnt cet dohlqulop pour monnoor le oonrngenicnta. Le tompa était splomlldo : un Sous collo rubrique nous répondons aux notre ioiik rullllr aux iinhloit InidltlonH du naud do notro arniép. tempa frais ot aeo, et un gui aolell dardait ans quosllon» qui nous soni posées, toute» les RU raoc. OiuUI laugu* UUno, dim-nl loii lluGrands Uagasiss d'habillemesis Par do» tirs d'artlllorlo ot do liardios Ir. «ou* rayona aur lo « ring », aur le thiidtro dè lu fols que nous le pouvons cl quo cela en CHUTES U^ûfi do M TRICE9 rupi ons (Unfantorlo, on a di^ranffrt lo» ooin latte. vaut lu, pcino. I V . - A u Mont^inégro miinlcR Ions d« l'onnoml dans les volIroH do Le <1 mforoo », lo lleulonant Larlvo, tint lo slillct Mais, en ce qui concerno notammcnl la REIMS FLOTTAHTS Le» Iniirnniix vieiiiiolst qui nn so sniil Ja «nllot du Ilim| Kolla, on adOmantoW lo tort avoo autant d'dlilganoe quo do compelonco et a'ao- loi do» allocations ol le» dltfi-'rcnlo» posimalt dOrldiM S nnnyiioei' hi nipliiro do» iii'- Honsol ot ondonnnoK't* colul do l'rodll. qullliv de an lAche (i la antlataotlon do tous. SI tions do» mlliluiros, do nouveaux cas d'esgiiolallims monU'iu'gi'lm'n «nnimciioonl A bo V Sur I Isoniîo, on n con(iuls la oonquo do pourtant quelques cIT-sIdu DÉPLACEMENT DES ORQANES u.i U.UV paasbront |fuanw..Jllt Inaperçus, IIIU ^ lia. Il Il pèces so présentent tous los Jours, qui no . BPnlIi' einhun-niimls. il jour oui dlfllollc do 1 lozzo Jusqu'aux pontos du mont Ilombon no tin inill IIFIU trop ll'nn ll,l nnnirn peuvent élro Holullonnés quo par les bufaut lias lui ntt on Vnlllnin vouloir ..l.n.t.l quand on nongo ÎP'J!^"® '" 'ï"® 'a nfaffio, 3lt dire (iiin lo» poiippurlcw do paix «oui l'otn- ot .invoruk, et ou a oooupû uno itrandu lo» doux cnnips n'itnient pas dlItiSrencliS» par reaux de» miulsioros. Koua reprodulsOUB •miMiniis, Co Hci'nll un pou Imp dur fi fulro pan 0 du iiiuHsIt du Monto Noro, primant (luo le» Holullon» au fur et ii mesure qu'elles - klenved un DlHUcnii-noiizclIou. do» ooslunioa apOclaux. A la guorro comme A la «valop niOmn 'i do» luolourH ln\«4 orddulo nlii.il solidomont pied sur la siiuelio du iruorro. pnralssonl' lor.si|u'ello8 présoulent un inléVêtements Confectionnés et s u r ffelure Et d'ouli'o paiM litt tio voKlohI piiH «o di* iicuvei 1 "VV"'®'/ <l""ni', o'houl bas a zo. rOt ri'el pour nos lecteurs. Pour lo rcsio, L a partis dire. Dans co» olromiMiuncdd diMIonlcs, Il no 1)0 niia poslllons sur lo VodII, sur lo nous devons nous en tenir aux principes es- dro ho labourloii tenu, o brasoc'Fi rislU :'0fil0 (piVi niKOi-, Viilol lo dornlei' truo î U C, M, nitnquo nvoo lo vont et le BOIoII dans senliolfl. do crulnto d'induire «os corres- zf-c'ïmiM-i S^" P'"" Mrzll, ot (los Imutours do Sunla-Marla nt ^poi^r H o m m e s , l ^ u n e ^ e n s et Enfants inlirniHe. . pourparlorH, dit lu pivsso.aiiii'lchliinno, u'cml 7'"Va-Luom, nous tenons on éclioc lu place lo do», Kilo proiid d'nianut lu» bols ndvorsioa ot, poiulanls en erreur. zo c ilOui hag o peuz ne dliiikcun b o u pna cnooi'o ocminionoii ol no noronl onluini\s 10 Inèmlno, qui ost sous notio tir ot il In des los pronilfiroa minuloa, marque un premier A nropo» do la loi de» alloéallons par •Smî^V-P?®"'"®''''®""®'' n " bennïïg h a r a ^ ^ ^ S O ^ R£J)àli^ANDà'é ÂÛx 'rAMÊLLES GATHOUQt^'s ^ de» allotfallons par quo lorMino Ion porsiinnullloîi roslOoH un dlsoi'ctlon do nos canons. but. Le» fantassin» domouront tout penauds ! il nous csl im " ri!pon- d o t H I T -Î'I' " " l'tt l»'.iniposslblo di! MnnloniiKio soront on nioitiro do pwidnli'o 1.0 Jeu roproiid. Le ballon so promène dans exemple, " " ~ F ™ ' F B A A C T Ï U CATÀÛOIÎÉ -:-'!RÏZON£C A ïÊZ RAHEET lire pat' oui ou par non 1 n une quesllon qui 00 nlolns piiuvoh'.H pronvunl Ivromlubloinonl lie gcntelo camp des funlasiilns. Il sort en eornnr qui no se ri^pMe souvoiit sous oelto forme : .. Al- nm, ".'!''" Poaniou : oc'h heulla quollod onl lo diMll do mlKoulor avoo lo cbench sourt donne pas do résullat, Dons la u\«lc)o, lu gool Jo droit il l'allocation î .. Même lorsqu'on ihp i oonimandoinonl ansIni-lKingitilx,,, rovolt un II jeton » sur l'appendlco nasal dont 11 UIIUH rournil cerlalns délalls, on peu! on h ^ l ", ® " ' , c founoc'h da wclot olplaliit nmtroment. O'ofll uno ('v(iilniilili) (|ul pourrai! »o fuiro «niellro d'anircs qui oui leur Importance, et ® ...... lufiaiiiiuiii l'i u la i(f charge i;tiur»u iet for- quo la mairie n'oubliera pas lors de in l î a r c . i ' l / i i ï i ' l L V " ' tllcudro ns«oz longlonipîi. 1.04 ,i,.,iuiiiu,iia mlti'ulllours reviennent I i:iiuic (io .M- Ti-oiiii: II-, bulscent lo imllon A rentrer uno douxi6meI fols. conslitulion du dossier. Knsuite, tout dé- ir-Jtlii^.ï bcmdcz d'ho drugare!•>. rue do ï5iu s lires» V. - A u x Btats Unis Quoi dono îsera co récraaemenl dos fantassin»? pcnd de lapprOointion de» eommlssliin». i n e l l i o d l)iii' A t/uoÊ prix itoivont ma tairo Hionlit uu penalty leur est uecordé. L'uvantI.ansini; t<o comlo noniHlorf a remis !\ ,'hn„ i ? » ""''-so, c iioul iKig 0 pouz|)oan Cela dit, rappeloiis une fois do plus les lom féqulmlilona 7 oenlro alioole j los fantuasins, avec Joie, enregis- régies prlncipaic» suivantes : jino nonvollo nnic roiativo ii la Luillnnla, 1/ c lioul a ve mad d'oc'li mont oll da gaou V E . \ T K VOLÔ.NTAIRE toxlo n on a p.m l'U) pnhilil. On so rappolli t.a Cour d'appol do Honnos viont dn ron- trenl lo premier iml. Co sera, liOlns lo dornior. LE ditiiaii ••lie i:( févi-Ier, t" L'nlloeation Journalière de I fc. est «vit he vadoberoJ. .V commonl la (piosllon so pose aoluollonionl ilro, on malli''ro ilo i'i!(|nlsllloiis, nn arrcll 1.0 Jou «0 roursult avoo des nllornaiive» d'a- due U loulc famille dont le milllairo est lo !i niiJl LAIIfinaKUo «ITro uno Indoiniillci, do l'ur iiarlioiilliM'i'mon! inli'rossanl cl qui pool vanoo et do recul. Lea mltrnllleuia, pourtant, smilion •«.y'-'^-ïî louez ovltrc.sco, «oamilispensablo ; M- Ir.iiiiciirvradi-.i aiiiioiirg g«n( i les Klats-Unls n'olamonl nno rooon >lri' Kros do oiinsi'quonoos. £ca, lui-rc licd ha L i i n a l o i dominent asse« iiellnmcnt. Il so produit alors Andrcln-li., andi.broii li.i,' oll olcnvojoui ill ai'c'iiruo'îio 2Uno majornllun do 0 fr. 50 est due pour Mliiinot da principe : lo Ki*ivorncinonl d d.l>l..i„|irv. CIKV, M.M. VaiK Vdlol los fnll» do la oauso ! uno ai>rlo do «t^parallons, do ponally, do corner chaiiue enfaul do moins de tfi ans réelle«l'est, 6ul, 27 c'houovrei-, liOt. de Franco a vcz pareot c b;rr-anizei' rant ar Borlln i ovrall avonor (juo lu lorplllagc do I laiil, l-.tiniiic: et AU-\amlre. K^'iV^ïi''S. hôt,dosTrois-l>ilicr.s, 1.0 !!l) soptcniln'o Hin, l'Inlondunoo avnll qui n'nbantliiaent ft rien. monl 4 lii oharRo du soutien do famille. L u i l i t u l t a lUi! llk'Kal. lou.,le<iii.-ubli'siii..-ubla;:t», .ri'i|Ul lllonni! dans les magasins do la Sock'i.'exlrdme gnueho do la C .M saisit lo ballon, Chaque milllairo no peut donner lieu à dl- . - u i - i l i c ,;t d ô Il «si vralsomblahlo (|uo dans la dornh>r(> lil .X,;. ol Cl», du suci'o pour lo(pio| ollo «f descend par un )oll drlbbling. Oûné dnns sa alloçaiion principale de t fr. qu'au pro- du Léot! ' ' "icui'-f, liûtcl ' C R Ê / H S B E L P E A U ' UMCII-MIOS noio nllomando, (m a oliorcln! un loi'rain In fralt Vi rr,ui08. t.os diUoulours uvaloni von- course 11 fait uno nnaso A l'extrême qui Justonient ilt duno seule personne considérée commo |iii;na<t('. matrii.-l ,1c d.-bir„ tcrmidlnlro d'onlonio, l,o tuol illilnol n'a iiu 00 nnoro ;i divors clionis l'i un prix nioycn ao trouvait on-aicle, mais lo bnllou passe et le lef do famille. Ar morc'hed a c'iicli iloiiraatar cliroc'iien war iio bizai lia iioissoii-i .livi-rs,?s, iiial.'-rifl dtf laou, liotul dos Voya^ oorlainoniont pas dlc! oniulnjii ; mais un pon ilo !i\ francs, l,a ritqidslllon los ompOclia but o.st compté. Itaoul liou tlaiiini eu our oiior iniplij cuz an dieu zi? : iiiinnit iioiu-l lie. 1 ub\ lialance, La majoraliun peut être accordiîe en de «0 qno lu fiirmnlo propD' i'o somll oollo-ol ; hlon onloiidu, do livror la maroliiindlso von |)oid . , a r,a oiiz ar c hroc iicn da zond da rida lia ku.s a ra luiit zjlic:i K U I I I I K T I C , gwcner, .1, bot. d a Commorcp. ido i/iianlilé de pailA In ml temps le score est : C M : II. — IIT 0" ; 1. hors (lu l'allocation principale, lur-^quo l'en J'Allemnpno di'olarorall (|uo lo lornjllairo de duo, Ils doniandi^ronl duno ft l'Inlondanco di ar ndou, ma z cuz auozlio dija. lo. foii rutaba-a. iiainai^, La pnrlio reprend nvee uno ardour nouvelin. la Luiltinln n rki nn aolo do rppn'saillos. ol la loin' payor au prix auqnol la vonio avait I.es fniitnssins so sont assurés, A leur tour, io rnnl nnra été reciieilii par uno personn iessivciiM'. lumic); Ar slaiiliilou;i : IJywenneIt; tflrangèrc A sn famille. quo l'on no doit pas oxoroor du ronri'suillo oli< fallo ft lonr cllcnlolo, Siu' son rofns, Ils concours do daux nouvonux joueurs : lo vont ot L't .,'rai; 'jui'.iililù d'autres Ar vocstad : t) rnal ; L'iilioonlion cl la majoration sont ducs ooniro los nouiros. lui lnlonli''roiil uno iicllon devant lo Iribunal lo aoioii. Vont-iia pouvoir iSgnilser '? Los niitrnllciliiet K u i i k K c r i i c , lun, 0. liotcl do Franco. An iiaiilci-voosiad : 0 rcal du Jour de la demande. Au .iiiplo I.o pn'sldonl Wllson qui it donnil lajit de do Nanics. qui, aduplanl la llu^o dn l'In- loura rooommonconl leurs dangereuses Incursions partir 'I/O en SUN en oll apoliUorezou. Les commissions doivent apprdcier la si il?Hi'i®'i""'' •"•^.V''^' Jo Franco. ppouvoH d'o^prll oonclllanl ol do ... ruililes- lonilanoo Ingoa cpio lo suoro dovall iMro navi! aur lo torrilolro des fantassins. Lo ballon sort on tuntion (les familles diuis un largo esprit nV.îîi^ "'eie 'cr, 8, hOtol de France. «p. HO cnnicnlora-l-ll do co slrulaHOnn» (pu au prix d'ai'hal augmonli* do corlaln» frais corner. Comme toujoura on no aull pus on tirer dliumnnilé, l-;iude il. -M' <;<iiii.v, notaire lu doute (Jénénciaut au pi!li: Commeroi""''' Oludo lu \(<rilalilo quosllon ? OVsl co (luf aooossoiros, sans lonir ooniplo des cours pnrll. " i l'I.-ybcii Araokobc-r iiiiplijeuz an dlcn-zc.o vo luad en cm ywalc'iii llonnaire. Jon Ignoro onooro. Tn Journal du malin n - pnillqniis au niiimonl do la réquisition. I.aiiiilou, sul 19, hOtcl do France. ont sauiiii Ucliicuii . pcvar real an tain. l'ui» on usalsto A nouveau, A un bomburdoment On peut on nppeler des di'eislons de la pnnd nul ; nn .jniu'nal du soir n'plliiuo non. i . o r l n i K . morc'her. în, bût. de Uretagne. .sur appol, la Cour de lionnes n nlformO co des bola des fantusains. Mais lo goal so « pose » commission e.mtonalo fi l i commission d'arNOIIH dispensons nos loclonrs <lii nus nr.i-JuKcmonl : M e i i i p r o . i KiHelnl n c liiir, ucve/, e v i l LA. Lo doml-centro dos mitrailleurs a beau crier: rondisseincnl, el dos décisions de cette dernosllpa, Mais s'ils voulcnl on falro ci.x-niO(l'iijsIdOranl. illl-ollo quo la loi du 3 Jiill 0 dnns lea bois, » rien n'y cuire, lo blocus est nière A la connnission supérieure siiigeant .1 a i r o a d c u z l i o l i c t I/.III. mos, voici los donniJcs ; coi'ps (lo F c i ' i i i c loi 18,7, porinni dans son arllolo 2 quo Ion pnrfnit I Pa slu'lvcr cuz Uraiz, l<as al lizerl d'an Paris II sufnt de prier le préfet ou le sou A) — Côté aiiiMcain. 1,'» proslallons dunnonl droll Ji dos Kniln les fantassins réusaissent A ao dégager préfet dn faire Io nOces-iaire, par Oorit . . adre.ss-nia : Ilitlci, bureau régional, '28, r u " à /,.•.•..l'i'/é, .-n Sailit juig h» pn'sldont Wllnun no vouilrnll pas cum- Indonnilli's ropri'sonlallvos do la v.ilhur, Il y do l'élrcinto dca mitrniilours. lia remontent lo soit directomcnl, soit par l'IntormOdiairo de L. Renan, Bresf. i O!it<.-::aiit i-iiviriiM i.", Iici-tares, jrwnollro. on «handonniinl lo lorrain dO" a lion, pour lixor oollo IndomnIU» dn roolior- lerrnln. Mais comme lo dernier shoot manque m mairie. .•S'adro.Ki'r à IV- i lio ou A ptnclpos, laulorlli! sur laquollo II ooniplo olior lii valeur ropri'sonlaul les «blols sur do 11 llnlsh », lo ballon sort en six mMrcs. Lo Jeu Madaiiic:,!- iiyii.iu.l, iiitan^i.'iïî l/nlloontion ot la majoration so pavent par H lesqunis parlo I» rOquIsllloii au moment oii devient plu» serré. Lea cbargcs se font plus vIo périodes (le i» Jours, t e s t co qui expikpin Landeriicau au l'ont-'l(.--IUii.-<. p"alx'' " " '""P'"''""' "«"Ki''^'' ollo s'exnroo ! Prisonniers de guerre évadés. — Doux M lente» et les petits ne résistent pas aux gros quo 1 ou touclie t.T mensualilL's dons l'année >i Le prds'ldont Wlisnn no vnndrall pas mol- " Ouo si rinlomianoo n l'avanlago p,ir la d'oCi des culbutes « nép6rea ». L'avnnt centre de» prisonniers nustro allemands du camp de iicrl-;tudc dt .M- «^iiillv nytairo M Npu.i ne savons lusqu'A quel point nn porrj!qnislllon do pouvoir s'assurer la dlsj roquisnion illsnosl- mitrniliours est particullèremont visé, mnis sans a flcylA-u' , " M " ' I , l " ' é l n v e r le montant béueat s'étaient évndés. Co sont llolliei-l f.url. t , Plaao emfle Souveatre, MORLAIX llon dos objets sur lesquels ello pnrlo, ollo ao décourogor, Il se relève ol fonce sur lo ballon. lies coniriliul on» sur Vallocalioii ; ce qui uns. sujet nuli-ichion, et Ciiarics Duiiner •iiaino iiloollim prt'sidonllollo. ' ue noul, au dcmouranl, so présenter nu Ln dernier corner on faveur dos fantassins est corlaln. o'esl nu'ii no peut relenir une M un», sujet alleniiind. ils ont été arrêtés À f 4(1 «•lu'iiCfl Le Iin'sldcnl WlHon no voudrall nullo- poln do vun du prix h payer, quo comme domeuro sans ellot. COURONNES ' m o r t u a i r e s sommg .suçorieuro celle qui csl due par le Morez, dans lo .lura. ils n'avalent pus perdu ; c c i ileur temps,_puisquc c'csl lo 4 lévrier iiu'ils s'.imont oniiçourlr a r(!crasomonl do l'Ai aolielour ordina ro ; qu'elle (ioll df s lor» suLo toinps passe et rien n'a dlii marqué encore SKTS sur IllOcl. s d.-iioniliuppés. iwairno. I l dosiro une nouvollo Knrnpo qn, Nr la mnrolin do» oniu's ; talent éciiuppés A la socondo mi-lemns. On sont, eiiei lea inllrall dai.ccs lie Li .iiK: 'lliV ;ii l ' i o j no dimro pas Irop do l'Kiwnpo d'avlml lu Papiers à Tettrg eri"'tcus " Ou'Il Ininorlo, dnns eel élnl. do roclior- leur». In ijonno volonté do marquer envers et 2.«05. — Vous auriez peul-ètro tort dn tij. L e G o n q u c t il^T,,!'"'"?'''""?''"'.''' nu'.i (Welik! lo Ju- contre tout, lis parlent A fond de train dnns lo 1er la liquidation do votre pension, puisqui IX t l l i l l i s ijoi riant lo S P É C I A U X pour B U R E A U X de T A B A C k l dl/flculli's de bon commoroc. Ruade mortelle. - Krnnfols (lucilcc. « a n , gomonl oniroprl» ot »nn» s'arrdlor nu nrlx camp adverse. L'nrrlAro repousse io ballon qui vous louchez l'ailocalipu Journalière, supé• X.il.trr,:'! •f.d-una et COLPORTEURS a/-CM alltmand. ;|u a pu ûlro llxé pai' dos .•omndssllîns^. lui est sans cesse renvoyé et linalemont lo polit rieure vraisemblablement A ce quo vous cullivul.eur a Ueringur, u clé tué par une ruudô A-C- J.! , 1..A1.1R s :(» M. Zlniinorniann. sous-socriJInlro d'Rlul à non nns le pri.v des sucre» au mmnonl n(i In avnnt-centro, l'abonné aux culbulc», s'en ompnro donnera la pension. Olio-ci viendra A son de son clicvul. lieuro : Il y a d'ailleurs une nouvelle loi en I/AMomniino ost alh'o JusIiu^^nrix' "T"'!'"'"'''lui'rcur, en y ajou- 01 lo logo, comme qui dirnil, dnns les Miels. IY<'.lel;,nans le cas ofi vous auriez uno ri! qu au bnid dos onnoessions ; on a\icun oas I n 00 qn'idnlt dovenuo normalement leur Ln Un est sllHiio sur co résultat : 4 A 1. CHATKAULIN A formuler, mlrssez-vous au dé ello n'admolira l'illdgaiiiô do la onorro i ' , 1 . ' " ^ . ' ' M ' ] '••"l'"nii<' ofi rinlendnnce I-i'S nillraiiiours onl remporté In victoire, ot je clnmalion M o r t sur la route. — Le 1" février on n SCi)SACS k TkBkd pél de votre régiment. JouMnnrIno dans In xono do «uorro,. n i o P'"' 'a réquislllun ; les on féilcito. découvert, surlechemiu vicinal de riiélenulin A îïîn T"" i:i«l((-Unls poussent lr<ip .l aiirosao d'ailleurs mes meilleures fiillcltationa I F "R, I X : I-î. - É D X J I T S .Snint Couiltz, lo cadavre de .loscph Coriou " Que oo,<| lo monlnnl do oelle valeur ciul, Win loiu's oxigcnccs ; | ne T.iul nus osA tous lea joueur» pour leur esprit de discipline 48 ans, domestique de ferme, originaire de l)o'Iwiifo <-ui)iiiiuiide di 'pa>-Muii( y.; fi-, CHI expi'«oyor d^uinilllcr l'Allemagno... .. ^ ^ ut pour leur atliiudo digne durant toute lu partie. nodct. .-itu _ -11 <iiiip:iv:i I diéc ( r a u e o di- poi't el «reinlKilIaA'c. le» remercient do Leura cumpngnona d'arme» - u . . . ( . . . „ . . w . i a .. ...i.i..., , UIII1.-I U l l - l l i Ce malheureux, sorti récemment do l'hospice liage d liie.,1. c- 17 HAm.,,^!?'" - l ' o l l l i u c n x ) : . La l.lill. I.,.nt.. ...l ..aIIa ...II,» ttà^ _.).. . K.,,. leur avoir procuré cotte petite félo sporllvo. .Nul do gulmpcr, avait quillé ta veille le village de acinn do de WaHliInRlon somblo avoir pmu' iK'i'Iarc . doute quo blentét nous nurona la Joio d'nssister l'ennanro», on Saint-Coutitz. dans l'inlenllon do •adic.s-or a M i.uri expcriiso A l'effet do In llxor... .. noA la revttncho, 80 présenter A l'iiospico de CliAleaulin. . taiie.i (,;uipava,3. S?Mmî a M. I.unslns dmol une Los experts devront élabllr la valeur des L' . N iMirnAu.i.EI;n. Lo médecin u coiiclu quo lu mort était due A suorcs riiqulslllonné» siu' In bnso du prix une congestion cérébraio' iiniii- i.itor.î.i.t Î " ® " " urmiiBoinonl 'avec eonrant pratiqué sur la place do Nnnics nn l i x H i da ,lour do In réquisition. .. Oras|)nr(s .1 Col arrêt do la Cour do Bonnes est do LE 118' A L'HONNEUR M o r t pour l a patrie. — Jean-r.oiiis flrall i'loiidului(-/.eiiii Lo Bjirliner T«||»bUtt iî.l.i: prudent) Qno naluro ; 0 causer uno viirllalîlo révolullon du ^r laol,' soldai au U:T- d infniilorle, tué A reoncmi " " " iiii'i jilac.; au l ans les pratiques anlérlcures do rinlenM. do Belhmnnn•og pôsB fa» gains'ol lo» en Chainpugne, antcrieurci icut au 31 décciubrè Ont été cités i\ l'ordre do la division : dnnoo. Monsieur le Diroctcur, i-ad:vs.M>r à M-:mis. Le lioutonaut Sommelier ; los adjudants u l'IyudaiinOzi-aii l'rovosLe Coiirriec, dans son numéro de samedi, SI la Jiu'laprudenoe s'élablll dnns le sens s . ï l " JSSî"''^'" I " " " " (li'olslmi anil lndl(|ui!, Il en ssra do mflmo des avoines, des nous pnrlo do ruvortomenlépizootique des Ju- Lnlandp et Lo l'cchaux ; los sergents L'IIa<-i'iit fotiim il V (•;; a 00 qui Œ'/MV^H'''"? f fliiinMllor prendra on fnm'i'age», du bélall ot aulro» denrée» com- ments, otdes moyens nréventifs pour l'évitor. ndon, Dazlnot Gaillard ; le capor.il-fourrlor MOULA IX .''oOt attt-iiiti'sdi- il ill'IIl-s. j x r l l |H'«. ipB du suoro, et le» preslntnlros »«roi\t fonilabitunl on pnys d'éiovugo et éleveur mol- Goas : lo caporal .Futot ; les soldats Le Dull, J.-B. K E O Q U I M o r t du président du tribunal. — .M. f l b r o i i i c . ci auliv: •.iif{o;-!;ciin-nls,cjiil dés A exiger pour le» mnrchandise» réqulsl- mémo, J'nl vu colle terriblo maladie de pr6s il y .loan-Loms, bovérc, Pierre, et Cablocli, Guil- çhon,depuis 1883 président du Iribunal civil de 'lient iilii-i ou nii iiiis la )ii(-ii~!nia«««"/fîT» "i' Ù s»," no» nnancos si qn Monnéos des prix «onsiblemcnl plus élcviis uuno diinlno d'année», lllen rares sont los fer- laume. CliliMii-Kieti D c n l i s t c Jl^orluix, est mort A Pcnzé, dimunciic, dans sa lion cl ijui c.vplicjiioiil 1 iii'iiionSlSlnm/ir^,,''/."". ^s, !} " " " P ' " " «Iw ''""«lion» quo opiix qno rndmlnlslrntion milllairo n mes de mu commune et dos conmmnes limltro- ,Go3 bravos ont été mallioureusoment bles- 1)1' année, bes •iiicilcPjri'i mardi à 'Cs obsèques ont eu lieu iicu'murdl Kio.<ot k'.s iiiTtos |)icM(iii iiintiiiui-!routumo do pnj'or. phos qui no furent pus visitées par ello. Aussi co ses ou tués lo 'iâ septembre. rauié. cos»ii.v,vrn..s-iKii Sl.E.ÏJOLMH li-s aux(|m-l!cs c l i w sont ujcllcs. nofutposaans Inquiétude quo Jeta vis entrer la citation <lu sorycnt L'Harldon, séVoici do !» 11. à i! 11. I.a fciiiiiic .-il! jii'coccui • pt;ii d-aIm ma/n*ifœu¥fO mffriooie l'HI. Pleyber-Chi'ist dans mon vlllngo. minariste do Plonévez-du-Faou: Sauf le 5am?ili ('l'iliiianoiie bord (II- CCS iiu-oinviiiciil- puis tout Des parole.M qui se payent cher. — M A l'approolio do la période de» labours « Sous-onicler d'une bravouro ot d'une .l'avuls trois juments pleines, mon voisin on Tirl.-s di-un sjii. ' .-t Exlgir CI porlr:!! lo vi'iiliv cdiiiinci à coup el scmaillc» do prinlemp», lo ministre de in avait uno qui avorta; dans un autre village, lo éncrglo remarquables; cmolimo blessé à ^'I-OS[•rancols 1-er, débitant nn bourg, avait été l'obpuse ;lci deutii-i irlil icis sir l't les iiialaisct Ouerrp a adrcssi) aux gi^néraux ocmnunn- plus voisin du mion, six juments pleines, alx fait preuve du jet d un procès-v-irbat. pour fermeture tardive II '•• pius gran.. ni courage coura lioul.Ioiil. en cnL'AIXI; I :. 1: ;EION 'IltltO.MI-: se développe ix.-ii il I dant les région» uno nouvelle oiroulniro ui'i avortées | puis dans un nutro qui me touchait trainant sa section fi l'assaut des positions jn avait gardé liii rcsscntinient aux'gèudûVmes il in'se iiii' l'i, riii- rtlîiirii •. I t H K S r noua lisons ; les organes inl.'i'k'iirs. oi'casiiihiic dt's •u. lioub-iu., . .de » ...^nlvrer tort aussi, doux pleines, doux avortées ctc., etc.aliomaudes ; Yué lô 'W s'optc'mbro, 'daiis"un Corlaln jour 11 eut 1e premier .— Un oonimunlquô olllolel donne los rcnaolbas-voiitn; cl aii.x roin.s. l.a malade s aiiaibiil oldos " Pour augmenter enooro le» ressource» Toutes ces jumonta uvorluioiit entre le S'et le corps a corps, après un très vif combat. » cl le tort de crier ensuite des injures aux gen ttnomont» aidvnniM sur lea opérations do jM'rIc.s iiboiidaiilcs la forccnl à s'aiikriMVMiiic contidarmes. guorro Jusqirb fin lots ! "H<.<«uons iic cil mnln-d'œuvre disponibles, l'nl décidé 11* mola. nuellement. ou il sorn t fftit élat, soll pour rallribulion Somedi, lo tribunal correctionnel de .Morloix Ooo!aln;s de Eresl Mo voyant très menacé, et saohnnl quo Tncldo d'oboi'd lo.s oondi des perinissions agricole», soit pour lu for 1 a condamné A deux mois do prison, et A deux phéniquo e.st un antiseptique très puissant, snDREST O I T A. toulo.s cos maliiouivuso-, il faut long dOtayorablcs do In frontlôi'o mil! a re mnllon d'équipe», do tous les mllllalros nio••'lu Chi'lCfli umondos de 20 el îi fr. cliant égnloment quo l'agent conlagifAre, d'npri>s y i L l . \ i n L . dire cl redire; l a i t e s i i u c «iii-c înff'îi'i;^ «lovelopneniont de cotte fro tl"i° Des déserteurs. — La police a nrrété CiS non qui no sont pas sous lo» les obacrvutlons les plus récentea, upparllcndrolt avec 1800 Itllo nôtres). lo caraclAre do la i o i nl pidres du ou I.e v e i i d r c i l i i i i fL'vi-ici' IMouescat général en chef, a la seulo c.xccp V-uil ordre d'inllnlmont petits connus sous lu Icslin .\ouy elChurles Duhnmel. du 11)' d'Infnnnostro iMov^o ç( dinicllo du théfltro d ' A t lion do la olusso l î i K t . à d.x liot!i-,.-> ,|ii malin: torio, slgualés commo déaertoura pur l'autorité Qitation e t c r o i x de guerre. - « Le Vé/.o tOI7. noin de vibrions, imuorléa avec loa poussk''roa' lion» ooiistltuô nar In l.nrriôro des AJnos aiijudiralioii auxi-iu-iu-ros.df, Paul-Marie, sergent HU lU- de ligne, sous-otllcler pomission» agricoles (lul sont cliarrk'espnp l'air, je disposai dans mon mllllulre. UiiOftrnndo parlle do cotte barriûro btalV nîi •J OtW kii. cnijiuiv do lilc'. A été arritti) iigalement, le soldut Yves (ïallou, d uno bravoure el d'une décision exompinircs m rront élro nooordécs nux homme»" mobi éourio doux ou pouvoir do l'cnnomi, ot lo pu ssant sMlom, .......V ..UUN W.. trois •I.J.A vicliics TTVILIU.., n-sslolto» sur AUL" lesICS autre •;« li-M i^il. l.,!-.;.o liass,., désortour, du liO'. Pour essayer de prendre .isablea (noilvo ol ré»crvo), do l'infanlorle quelles Jo tennis constammont do l'neldo phéhommes ^ forlllloallons par loqnol^'Aulrlcho^ a v i inuvoiiai.'. d c j fu;j.-ista:ioo3 qui VOUS auérira sûromcnl. sans luio vous ave;. l,i.. 068 0 tonips do paix, proti''(;(! sa frontlôiv u ' . t ' V i » « " ^ ' I " ' ' ! " le bénélleo en uvnit nlque. Kn outre, toutes les semaines, uno fols nu la fullo lorstpio les agents penèlrèrent dans la Hrlllanto conduite pendant les nllaiiues du " do la iiiariiio. soin lie recourir à uno o|)éi alion daii^'ori-u-i-. N' iu'.avait <if<5 çonipliiié nvoo uno fKivrouao ncli été rofu»é Ju»qn'(i ce our, aux hommes de moins, jo Invula mes Juments nvoo de i'euu piié- maison oi'i 11 se cucimit, il enjamba lu fenêtre, l.'n septembre nu 8 octobre on CliampiiKiic i> Au ooiiiplaiit, ; 'I j cil susf. Le Vézo, poui-MarleestlcIllsde M. Kran.-ois .sltcz pas. car il y va do votro santé d saciu'z b dons la cour 11 so fractura une jambe. y M , poiidnnt la iioutral té ltnllcnnc7nnr dos nlquéo i ao grammes d'neldo par litre d'cuu. lomliant rîoiïi eTo ™ que la .M>l VE.NCI-: de 1 ahl)»-' S o l t t V est co Une Tolcuso. — Annctle Thépol, 23 nns a Lo \i!ïo, qui tut maire do uolre connuune pcn Urdco A CCS précaullona, j'eus Iroi» pouluins duBt plusieurs années. ' posée de plantCK spéciales, saih-j aui-uii poisi tSi^XS "«•"PIF"''' ^-'olti) bnrr i^fldS éïKÎlré dans uno cbomhre occupée i>ar un mnsur Irola, clio c.sl faite i'X|>rés pour t;uérir louli-s les nia .l'utlrliiue cctlo fnvour A lu volatilité do l'acide !iot do l'.trmonîiie, A qui ello n soustrait uno fjnalvo omit oocupiTn par trois annOos nu(lies l i i t i ' r i e u r c H de l » rciiiiuo. niétritcs. ni, •/('. :• Ui- <i / n,,;!,-au somme de 800 fr. Kile a été condamnée A six Guilcr piiéniquo olaux lavages pbénlquos. SnloSl'®"' l î oo?ps mes, iuiniorrasics. perles blanclios. n'-ales ii-n'"Considérant quo les culllvnteura so doivent mois do prison avec sursis. L'urgent volé avait Inoeudie. — L'n incendie s'c.st déclaré au eomniiuilquù rnpncllo ensuite (lu'on licrcs et doiilouivuses. Iroiiblc.s do l.i l i r i u i a t i l.c v<>u,ii>eii 1!! févi-Ioif IDH a M s j o « rrool » muluoiionieut nide et eonsell, ol que personne élé retrouvé A son domicile. village de hevcrban, dnns la grnngo de .M .Mai^aon do n conforma r.u do In frniitlÀrô dii.saii;;. aci-idciils du ItlCTOI'K l>'A(;)-. étourd i:»U!. .1 10 I,euros ,!ii m.",liir, no doit gnrder pur devers lul un secret qui pourbuts, vlsiî.» par l'Itallo.do la Ocossit.i scnienls. ciialcurs, vapeurs, conscstioi.s, v.-uici Cambriolages. — Dnns la nuit du 3 nu i nuel, oii on vonull de cuire des ruiaijugus. liiudiiaîioM j u x oi.eiiéro^ do: ruU rendre aorvlco aux nutrea sons préjudice février, des muifuileurs ont forcé l'échoppo de Comme le plunciier était formé en portie de Fonpiiléldtos. ^ e eooporor d'une nianlùro aussi oïlieaco 3 fevp'fr lois I. lu.W) lui. roiiMiiiaL'L'. Vil mémo, jo viens vous prier, .Monsieur lo M. Doaré, cordonnier ou bas des rumpos du port dlns do piu, le feu ne tarda pas A passer au I l est 1)011 de faire cliaquo jour .les iniociio qiHi possibk) iiiix op.!ratlons des ni l"s dan" .Match de foot bail nu ÏIU- régiment d'infnnterlc •lour 11 l..)iW lai. i - i b l i i i o ,le iq.'.. .Jircclour, do bien vouloir insérer duns volro de commerce. Les marchandises qu'ils y ont dé- travers et u se communiquer ou matériel agricole avec i'IlvK'U-iiiliuc IION l>aiiiuM 1 fr. -'j |;'i LJK, un moment où le sort do In Buorre o Itusslc çntro la compugulo do mitrallloura ot la eatiinablo jourual coqul m'a rendu un si grand robées sont livuluées A liOO francs. qui se trouvoil remisé en cet endroit, nlusl qu'A La.IO( VE\<;i-: «Ici Al)l)«-S<.urj-siMioiivc da II)' compagnie. «ttalt favorable nu.x ompiros l'ontrnu" c service, heureux s'il pouvait élro aussi utile A une provision de p nin-iies. Le loiila éléanéan i, A toutes les l'harniacics, :| fr. 7;i lu tlacoii 4 fr. : — Dnns la nuit du i au S, une autre bande ocmmnndoment ItnIlcn nvalt dôoi, û dî C. M. : 10 C" 1 d'autres. franco. l,o.s ;i ibu-oiis I I fr. 'J.i franco ^arc, ciiiili si co n'est la mémo, a'Inlrodulsit dans la eavo 1 exception toutefois d'un char à bunc qu'on avûlt BPcndro l'olTcns vo non «ouloment In lonc Lea équlplera : pu sortir u temps. Delà griinge, Il ne reste plus Vn dieveur ami ilu Courrier. do Mme OITrédou, débitante, 00, rue do Slom ao la front 6ro do l'Isonzo, mais nussi dnn» A) Cuinpaanlt de milraUleun ; d'où ello enlevait plusioura cuisses do llqueui-s quo los quatre murs. Les pertes évaluées A envila r/glon du Trontln ot du Haut AdiKo, av"" Merlot, Thomin, Pérou, Oiiivlor, Cobal, Trouaet de nombreuses bouteilles do vin et do rhum ron J.uOU fruiics. sont couvertes pur uno assurance .'Intention Immédiate d'y occuper ( uo mins sol, MouJol, Allco, Apamon, llrunlor, Urigau, Lo préjudice ost estimé A uno somme dn ."iOO fr A lu coinpugnlo Le J'imsUre. On ignoro lu cause rfJilîf l'iitio Importance' parlloullOro, et dS LA MONTE EN 1916 II) II)' euiiiiinffHlc ; Cinq arrestations ont été opérées ; celles d'un de co sinistre. rootinoi'do la mclllouro manière pôsalb o nommé Hervé llreton, doux marins et deux ( Clrouimci'lptloii d'Hciinchont ) Ploaié Cnlion, Lonéu, Lo Itollnud, l'ichou, Trellu, oettc frontliM'e menacnnto, •'"••oiuu Mnnnou, femmes. Uno partie des liqueurs a élé retrouvée llourlel, llluu, Muriel, «alvairo. Abnuii; E n t r e gamins. — Duns la soiréo du 1 féuntrn onrncLo«ncltoinent opérations prl^i'ont partoutmo chcz uno débitunte do la rue de l'KgoAt, touHrat Se : ci i îc lorm, »6ro ollonslf. L'année Etalons approuvés et autorisés vrier, Jeun llémon, l.'i uns, de i'cnn ar-C'iioal, se aibumlnf., cooslinal Jeune voleur. — Tout récemment, uno promenait sur lu route du .Slancou, avec un ca- «iiKrito. rhumoUjuie, projlalllo, ponll», obtf«itij, etn-i itlidnfo. uno ténacllé et un élan quo «s dllllcultés DniKO. — Jnlis, 1/2 aung, A M. l'iorro Lo Koll ; Pcpula longtoinps lea clrcoiKslunces no m'a- l/imet/, au«rlii».K>u> fat la iii<lhotlo ABSOLUMENT VEGETALE M. l'AbbS marado nommé Struliu. Survinrent trois jeunes somme Importnnto avait disparu du colTro-fort de 1/2 sang, A M. Piorro Gouezeo (ils. a« laBUorro nugmontùroni enooro. vaient pn» permis d'assister A une numifcstnllon tBcioa CuréaoMatlùnnovUlo.LSOMNIOJ, i Tours (t.-cl-L.), Brûtliuro G W» Kwj^i'iniïx. — Arlfmr, t.. 2 sang, /{arl, 1/2 anug, l'usine des produits chimiques, près do Kermor marins qui leur cherciièrent dispute Le communiqué exposo ensuite les dlffd sporllvo.,, puel ique. Lo grand match, ongngé ILv A un moment, un d'eux, .loscpb .Iéz,!niiel, U A r modisin Houdart M. i\lulblou Chupulnln ; llrigaïul, 1/2 snug, A Le» olrconstnnces tirent aussilôt i-ojoter les soiin Mntos pli.isos (le la Kuorre et les résuliui.» a diï-huil muia, réeiamult lu prilaonco d î ï l V çons sur uu Jeuno homme do l.'i uns, qui u en ons, sor il son couteau, cl en frappa llémon, qui niii:<T, r/,. i-u .{:,,,u:io>i aur n hrécho et II y en rcsli! sans un momeitt do M. Tousanint Prloi. fut ntloint ussez grièvement A l'épaulo «aiiclie elfet avoué, en mémo lemps qu'il faisait connuiA oan bfoxoiinok PaMUAns. —«oAi/i,T.-L., A M. Pierre Ilélina. defailianeo, La gendarmerie enquête. tro l'endroit oi'i il avait caché l'argeat dérobé PEU^J^EnlT. — Xig-Xag, 1/2 sung, A M. Alain Pour lui donner un peu d'air, lo l'npa Jolfrc. A l'endroit Indiqué, au pure (l'urtlllorio les pans leur ensemble, I m résultats torrlto- Il est si bon ! ul u pernila do prendre un renos Lu Loch. Plobaniialcc I>C.000NNK1!. - Quirinat, 1/5 sang, Voltigeur, geudarmos ont découvert 2.800 fr., enfouis sous aaiei prolongé fout lo rnoiulii sait, oependont Une baleine. - L'HO bnlelne en élnt do puune grosso piorro, .10 Siii-i aolic'.euitoulos & résum "s"'"^ ^^ quo chuii noua, fanlnssina, le mut repoa n'esl pas 1/2 sang, A M. tluillnumo Joncour. tréfaction n été rejeléo par lu mer, près de In diLo gumln a élé écroué nu Bougucn, on atteniluaiitiU-s. Propriol.iiî-es. nol'LUHïMN. — Pruaias, pur sang, à M. le murle ' f o i j l n . par laconquOto de la aynonymo d'inacllon, iju» i i J l ^ i " ! *1 l® dant su coinpnrutlon devant lo trlbunnl d'enfants. gne do Lesconll. fiooiaots. i\iilc.s vos otfros à: quia do Ploiuo. liiirant ln long du Jour dllféronla oxereioes llgno formée nar In valléo do Daono, la dé C.isU'i a. piaoe des Cai ,1l'i.o.NÈoun-L*svKnN. — Vai/isiieur, 1/2 sang, Kvil deii mill lur clialal c vez savotoal liop hloaz, c pioaslon du .Lopplo et In vniléo i écolea do secllon, do bataillon, do régiinonl, na""iiou de uu Teri' inrrn(iuipavns ; i 11.s. Bordeaux. .c.-.l A M. Laurent Plouteoneo. canton l . a n d i ' r i i c . liai; ousnon cant inili lur c Iti-oiz. des tranehéos... vldca do llochea. ruily nu gnolo.on occupa unoréKlon riche ot poupléo inut Jou Poui.nBuaAT.-fn)'o,l/l»nng,Wien»M!,l/2sang, M o r t de M. Qloaneo. — Nous avons lo Placciucnt tcRiporaii-e gant ai louzcior deuz ty MOItKlJ.. Laiidonie. 10 barres, Ihéorlc aur lu mllrallleuso, on coupant los doux extrémités méridionale» por. ÎC*.?",'!?V^'onir. A'inic/i, 1/2 sang, regret d'apprendre ln mort do M. l'nbbé Glouneo iii:'i!ros(.uu Ar iec'lK^d a ciiouino etouez lioc'li ancvab-d, ma <rrit ancement du grenade», match do fool bail ot lui fut principal du collège do Lesnevon peu en Bons de la Défense Nationale a l t A l o u c a t ot 6 l'est du lao ilo Gardo. auasi de loiiguca murclies pour refaire loa plods A M. P. Uelbéoch. • M .Sril-Ulu.saJ dcuz louzcior .MOHI-:{'l,.c jîucrz 0 pobapoliitoriv.. iiici-.-iiiiiinc, HosroaB«N. — Uonard, 1/î sang, A M. Piorro Jnnt quiitorîo'^nnnées. nlukoliJs. cto,. Ole. Nos bona oniciera a'ingdhlent .En émettant les /Jons de la Détense Na'"i">!"0? <l,n lillométres do pouisoie c i r eulaii-c. Dagorn. «""luui Fils d'un gendnrme, M. Gionnec était né A Gui- tionale le trcsor public développe simnlet f i l ï ' ' ' î "'9",'" * 0 Uroscla-Vérono. A mêler l'ogréablo A l'utile. ti'adrosser hl.UANT. - nadif , 1/2 aongj^A M. Yves Cotlen ; pavas, en 18S0. Kn 18U3 11 succéda A M. Roull ment a politique'flnauclére 011/0*^ qui T n 1.0 match de ou Jour mottnit eu préieneo deiix nn „ kJ," V^'i® orlontolo du mémo saillant, .11! journal. l ' o i i l l i e v I l a r l o e r o l —ar |Hiz — a r proveil — da Uiruote, 1/8 aang. A M. Yvoa Gourlay. comme principal du collège do Lesnevon Fn Biste à met re en circulation des bons à on a barré dn nombreuse» route» oui nns- .. teams » manquant dn cohésion et pou « on for. liiesT.'- lîûi" " Courilci: d e i i l c r a r f^woleoii. da iraH d ' n r pai-, — c h a t a l ^ t la froMIéro outre l'Adlgo ut lo Uronta me i> et coin est facile A ooniprondro! La TIO des KrnNÉVKi,. — Merlin, lis sang, iHidoro, 1/21TO7 H se rollrn, fullgué, A Quipavus, où 11 est courte eclicance en attendant les rentrées '. .lu i;iiàl(>.ni,i a o c i i v c d — a r (cocn — feu b r e t o n , ctc. de fonds .'i venir. Un lions de la bTrlnTu « dosoondont dnn» la plaine. trnnohéoa n ost pna uno prépurnllon, prévue pur saug, A M. Orégolro Manchcc ; Raol, 1/2 sang, décédé murdi. du I iiiist,-:-c.C .M..MOKLL'L, d o c l c u f e u l ' b a r i n a c i e , L u u d e r i i r a i i Ses obsèques ont liou aujourd'hui, JcudL A M. Yvoa Carduflcr. oranl I' Nationale ont été créés dans ce but et 1h âl-JOlilil-ÎLlN" PUi» au nord-est, on n occupé la vniléo loa règlements, pour co genre de aport. Tous Le i t Bugann Justju'ù IlorRo ot toute la largo doux, uénnmoins, rlvnlisArenl d'urdoup ot do ScABii. — lliruique, 1/2 aang, A M. Michel MnnLanarvily oliuc. jonoinonlngneuso.s'utondant aux plods do courage 00 qui lit l'intérét du Jou. ^Œ^d-l'^rouib'îes'f" CAST. FLOMIV, l/ïaung, Do/ima», 1/2 sang, Citation. - - Jean Jacopin, du 28- d'ortlllorle : ! """ÎJ; «luclquos unités mé>lo ,1.. l"..)'." lloi t d'étro «ignaléo». (fiiez les mllrallloura, farfadel, 1/8 sang, UicrVn, 1/2 sung, A Mme Kxcollont soldat, plein d'entruln et do dévouevouvo Jacques Lo Mcnn. ment, s'est particulièrcnwnt distingué au combat A n longue porléu » ufrlftre fhoinas nux ahools 1,.®.?°' 'i" "/iP''®,»"?,- «voo la conCUOZON.floAL T.-L„ A M. Joseph Mignon; do Sedan, le SO uoùtlOI4,où il a amené su pièce Huo du fosslno, In valléo do Vwnol, avoo In 0 deml-centro au* allurea d'un Joueur do pro! .'oMiplei', T.-L., A M. Victor Qulnlrlc, très près de l lnfuntorio ennemie duns uno posiRappelons que ce» valeurs sont de dlveroonquo do IJiipalo Hnnbovo. la ynlléo do Cls. ew on e raynnt ocntro Apumon qui, mulgré sa DINÉAUI.T. - lIrrmUmiu, 1/2 aang, Chmy. 1/2 tion délllée et a élé grièvement blessé au bras sos - la petite étant de 100 .— couiiurcB «V..— lu plus I^iuo IJUtUlî "o'inuo de Florn dit l'rlinloru ; petite taille, fournil du la fionuc bosognT gaucho en étant A son poste, n Les fanlttsalnii poaaédalent un bon Joui ; d'u n Mng, /sidoM, 1/î sang, Kalfre, 1/2 sung, A M. w."*!»^!! " " " " " " q " ! » lo linut CoMefrancs et que VintOrét pinjublc d'auaîice csl Laui-éat do l'Aoadàmle do MéHocIno 1 <lo-Tominy ! Coronllu Rolland •^lo jusqu a (;hor« et la uonquo de (Jortlnu exempt d'impôt. Laiidéda fouioij 1/2 sang, Harol, 1/2 aang, rAmpwiïo, Tofana ^"•^peMo, avoo los mnaslf» 1»-' do in . - - et. il ao nomme MUOn. '-«bon. Lounc, Louée, l'urrléro, l'nrrKiro, est est doué doué l\altii, 1/2 aang, A M. Miciioi Pavennoc. rlatallo. On P'"''- "'»'» manque de g e n d r e s . - Joun-Morlo -: A R R O U E DEUZ AL LOUZEIER OBLIGATIO.\S 4 0/0 ^ f . i l i ' l ' ' " ' " ' • " " r ? "'"''«opW ainsi rimpor. ' o " " . ? ! ! ' ' " ? ' """P LANU(ivsNN<o. - Julvtu, T,-L., A M. Michel „vail ét« surpris por un gdnjjnto route des Dolémite»; b«tlo par i'AU- «flroté dans los momenla gruviia. Quant nu demi- MolgUen. contre, Il y n on lul l'élorto d'un fi " durmo l e n jonvier, vers sept heures du soir, MO^ZUI • l o h o pour s.<» (Idploç'omimtH atratéfllquo» ïC„':';"i'-'ii'' NEW-YORK N E W - H A V E N " T " " " " " " " "Un fiiinoux loueur. PLsvnxN. - Karoc, l/Ssang, A M. Yves Lo Page. conduisant un ultoluge lun éoluiré. Au lieu do da Krcnvaad. ' d olii-r Boad, da i i e l l a d a r i-oa». • long dp notre frontl^o, et a plus courlo PLOMoiiisnN. - /ili/ir/iiciif, 1/2 aung, Véur, s urréter, Il louetla son cheval ; et commo le cenLouzou ail cbet ue dull bon: m eut parea an do'.;ea, ar sempladurcz, «mniunlontlon entre 'roblnob e(Trente. On anng, A M, Jeun Lo Urolon ; Kerjean, 1/2 snng, durmo le poursuivait. Il eut lo tort, parolt-11 de nndroug-llved. ~»urra on outre réaliser do» oooupatlons Pour pou qu'A l'avenir, chaque équinlep«ardo '2M, Hocunt. le frupiier avec une corde. ;miocoh morinoanlos dans les hnutos val- su pince et pratique dos passes rnllonnoilos, lea SAINB-SHOAL. - Toiirlourou, T.-L., Kilal, 1/2 d'ar bi> i"® 8<"<lon, a une (Ils- aportmen mllltalraa n'aupoutpaa A rogrettur leur Pour ce délit, l'ronost o étécondamné A 13 Les titres peuvent «ire déposés iusou'au aang, A M. Yves Morvun. J « « o rnnprochéo do a grande oommunicaJours do prison avec sursis el A 2!) fr. ; lo défaut A I I H r a d , ( i f r . ; l / a ï K i - a d . .'Ifr .iO; ti»iilaill-t,l tiWii 'if.- f î î Morgatr llarJcH ^ C'! Loi'Énao. Joyeux, 1/2 aang, A M. François « a n autrlclileuno do la va lé<i i".o Drava ; d éololrage lul valu en outre uno autre amende " T l S S r . " wvla ï t c o n l o Z lia étalent lA, aur lu ligne do touche, «os spor». de 10 fr. 'laussniann.I'arls, et dans les établissements chargés du service lluanclei\ HERNIES T H I E R Y  S I G R A N O Avis ^ i t a i p i i n t s C l i i B l l P l I louzou evit kaout kroc'bea kaâr Âosei eo gant an Âotrou M0RE7L hs-unan A LOUER lu Imprimerie-Librairie Classique et Religieuse i L i i i i i i KM A VENDRE ' S r ï C l  L i T l DE rAFIERS A 'CI&ânETTSS UNE P i s de la Feiime Encore les avortemeiits F E R M E LOUER FIBROME Bureau dss La JODVENCS de l'abbé SSITSV Bureau des Domaines de Brest C SlenTejou as Oas'iagad ALI d'AL LABOUREm BOQABI CIDRE On demande I Su Docteur en Pharmacie Th. MSRSlfL | UUAilNUCINC l^«OonwlwduFlnUtèr> <8^ février miO). 0 hcnm briige» da «onver «ul nr Bleunlou, hua 0 ve*o arçat dorho sevcl var an dnoi ï i . L " " ' ! c 'je'"®.,"'? «wolot pcsouH Mtimm ho don dlndnn ho dllhnd nevoz. AnnnlK Ivc* n rouï d'ar poir Ynnnik »•« « o i t d e P b c V s X t ouinnn lu ha Ui, ho lovarni on cur «re fll on lie gouch i " Unaii hcnnng n c'honrzo melon nrnok f-ï.iÊ"''?''®*'"'"". ' Dliitss-d'hln, lulk ha Çhlffretei, 0 poleno'h enian ho moc'hlc len t Araok dliitrol eus an oIToren-bred meur a weçh c'houl n glevo, «ur oun " Qrugol o'kousk M Pn glevnï ar respount-sc, Glodinnik n bnradoz, mcz on dlvezn. in ho mab Da bcleac'h ? eme henninn ? droaï varïH nr Grugel, ha ici» he o'hor- niuln knrot, Laoulk nn 'Troad-Skanv, c Dn brnjeier Kfervennek-nr-Vilin dn nnllhon ho tislounka» : pelcac'h eniun o c'hoifoz beza gulvel c'honri bntnli (jeu de ..iante-nioMton). N'co kcl full deoo'h, Annalk, poiu- (In varnedlgez an .Aotrou Douo ? tnon «n houl an aotrou blan-man i henAnnnik u zoublaz he fenn, a ojaz he n.iTn» cnie Annaik oc'h inan co roue ar 'Vourgndcn, hcb mnr, dlouskonz, evlt diskouez n'ho doa rcs- astenn he geuch ; pcgwir co teurvczct dre 0 c'hened da gonta, hag ivcz dre c npunt vnd ebet da ober dn c'houlen '"'"S" DlKoss-d'hln plega Jie sporod ; hennei n ÏO eur c'nroundur sn- Chiffretez. Kollel oa ho flljadur : epad I yoa m gerladen, ve( mad 1 ptM djfcnn ho doa cu« a b o n ho c'henn o/fcrçn, skeudcn he inub Laoulk a klask, bezomp ivc ken brokuz hag hi : OillTi'etc* a 'voa odren keln nr Gni- baraz spjnmm dlrag he daoulagnd, hag nnkounac'haonip, mnr bez possnbl. an M n l . d R loiel «r minur da heuUh ho amzer dremcnct. ' flCfaoarlou. ol, p^do an ponv oc'h obcr mculcu- 0 kavaz dezhl klcwt cur vouez o lavaret T Sl'ta, pilbaouer 7 K«a da toskl danlou Yannlk. Kaout a reaz dezhi »nn- podlt ovithnn hn bezit flzians. — Pn zlk J T 'da Î ! - !c'houlen ? * " ; ' ' ' Ihirroc'i, l'"'" n®en hcnt « 1 g m t ar coriei-os koi, mamm poirod tout çun dro bennaa ealz c'houez m vorflîaz, ho snntaz dourn Yannlk o ket hag <« « b a d i... , W i n trenk o aevel d'ho f r i , obcr a renz voustra var ho hinl, eglz eur respount lï» aiev» kan pa o'hoanlaa mont rc doihon éun tamm skrabat, hn goudeze, d or vouez n gonizo outhl : esperans, Kervcnnek. Mes nllaz, cire Kervcnnck " " ho muzellou dlstronsoj eglz eur marc'h omo ar pnourkcaz^ koz. la red eo lakaot hag ar Vourgaden an teodou n Vcas en ou Monlfc Treuna»,l«ihan- Voi?r«aden.''" Hag evù ar wech kenta, martoto, glnet 0 klttik kaout krog, ho c'hlaou- i — û — o a ganfarled ' Piomelet En deuz Kni>H«ol.-«ui he hniio mad f r i n - abaoue meuv a vloavc» daoulagad an tennai eun nebeud blnlm ; unanl er bcd-all an neb en devezo floudSîusoc'h! "" P"^"- ' - a , da joumereMâ >ian Godlk «««•«hl, fiant ho moue* raouil, a amlBvai^cuii.davti oiu'an lelu flze eur goan- 'loun ha dlspartl var an douar-maB? E krelz nr prad cz pa eur sterik bian. 1 uu«Bi « v u e m g u i ne l l r t r ^ e l e t e v e w dlveialoc'K ho doa layarelnamTit ^ a redo dreizhan cur wnzcn zôUr cuz ar • i T " " W " . n ® ron«-eur pok gwelloo'h aoyet eo ar pilhnouor bionre skicara ;,o bep amzer on dour sklenr ,> ar a f o u a i a i ^ o'houek ir lla a « ' B r a g e i ha... bouton en eun t a o l . zooget.bugaloarre.ani en deuz touellet ar vugalc. eglz ar poulï levai n a oeeureu- >'houek.Ji« karanteiui. «jn ' M t e kel. Ar mer. Annalk oui he* c'hlevet a eUnàz he Dlslro d'àr «car, ar pôJr n rcoz tro de bczn great eun tnmm sevcl d'ho bra)'h«d, a r voaied «oken a ren sicllou Uv^-goii», bag he daoulagad dein-koivlua ou» ar, ralnor blan. Ken koant e o i ^ n e t 0 para var Gpdlk, he tirollaz n«' gerladon evH -diskouez o vragez ne«cz Evlt nr -wechi kentn, ar mommou a da-'o'hoaraln. N'he zlatqunkaz ket cur ger, mev;Iia^ç'hoar«nden evlt doare, n m H m mad ouz ar minor Wan, bag enn- E chelHt kredi, ar pesked naïf ar slho ho.unao he Javai jont : pcc'hed eo reai-muioo*h a - Jj'he amezegez dcpmp _ jn ober fne var eur Ktagel ken eflot n'ho defe fe great he fltpndehnou. Ah koant ha ken laouen, ha skolla fall a ouz ar besketaerien. -korn «odU fie'^iâa . î e a i ennhi cur bern hl- rw.iiij> hop bugale, o kemehn dezho are" , N eUz for*, ar re-man a gendalc'he m u n bu>' M U ranna.ho o'boarlou gant mab^ er da vrew lec'hlg, hn mont a'îeent hed •"'Htfonan^n. • •„• »» i f o t t l M i a i b i . ^ o ) ! ar yaoiianka. n v o . . r « « î ^ i ^ ^ Yannik Esperans M&SSàil â kcaz dn louc'hal edo e vreur o vont da vcnzi. E «wirioncz, Yflk en cm zifrete cuz e weïlu evil kla.sk gounit ar ribi, nc'zuz cl lcuc'h-.se a boulzc nnezhan niuioc'h-mui var îirnok, U.1 uija e kicvct unczhan o teruiat h.iR 0 tisteulcr dour dre c f r i hn dre c c'hlnou. Sulk ivez a gcndalc'hc da vh;jal : _ O va Doue Oman o vont da wikat I Dnlç'h mad Yflk hn sav du bcnn uhclloc h I — Ma vczez bcuzcl, me dapo cur l'ous pd bremafk pu zistroin d'ar gear ! G'v^elloc'h e vc did scvel var gorrc va brcur ; ro da zourn d'hin ha me da jacho var nr zeac'h. Ne ket holontcz vad n vankc d'ar bugel. mes dre ma klaske toslaal ha sevcl, 0 ft«kcnne dounoc'h-douna ; cet oa né weiot anczhan mui ncmet beo e f r i haa ampoent, a dnigar? Doue. Yannjk Esperans n yon ffilro gant eur beichen.'cn doa knvet e krelz ar foennog. Astenn a rcaz anezhi d'c gamalad. lin gant hast hen-man u «pegaz ennhi ; selu hen e savete, mc.s c dc fis? P*»""» d L BrémMiii««ii(^atk, var (la gcin, ha da c'horloz nia~ve/i d i zourct, ni lion daou a ya da c ' » i f n ^ r '"'•"t.' J-olerv^l. ' " ' V f n f ' / h . " ï." Mgnoun a l)i.{naz laouen var an lîopi ad. Saik da Renia on cm Iczuz d:< nkra di-ç an askol drcinek, ar miziou^ an lirez hag «r bojcnnou b m i yaoi nkï ne kcl var o dreid, var c zaouarn n"S var e gof, mes... diviuit var bcira l ^m fo^î ? " n?' 'J'^ n'hoe'h kel ci« cm fa^iel... P'er gw-elaz o tiskenn ganf kenient a err. Yannik ne joumaz ket drf nec hi ; mont a rcaz var c azcz ha d'rf dro... ac haoup... hag cr prad. JtonI l i ^ if.?^'^ i f l ^ l ^ U®®" «J'a» neac'h..,, eun dudi I Yflk. pa glovaz ho c'hoai-zachoari » reant, a cnouaz buan o l i s i ko"®", e {{of d'an heol. Scvel a rcaz v i f 0 dreid. fia var cUn d'an dorgen... n i i i i j . - ' f ""'«"«"npd na pebcz korfadi Sil ' ^reanik bénK? vont... Ha neuzc I N^oj* ket oun aflfcr ; n'euz levehcz cbet va an douar heb eun lamm poan... •vm goude egile, a taouiou, bo zri r^tT ' " " V "" •'î''®'"»®"' a a ru leto »"u*0M V m ^ IDK « CIVOMd* «nlf. B ^ Samedi. 19 Février 1916. 37' A n o d e . f ABONNEMENTS Stiirt eo hor c'tinion onii l)or o'hreU l i a Hlnrtoo'li ar Oron'/. oiin lior rolz I., tail'es a cette distribution dans les deuj: , ('eoles. " liégulidrement ou à pris ri'quliùrcment, los préfets annulaient lo vote concernant les écoles libres. De sorto que les parents i/fs dlénes de celles-ci se voyaient obligés de paner de leur poelie les livres nécessaires (i l'inalruction de teurs enfants. In arrH du Conseil d'Etal vient de metIrf jln à ce régime, l e préfet du Finistùre agant annulé un crédit do ce genre, voté dans la commune de .Sainl'Mare, le maire forma un pourei>i, qui a eniruiné l'annulation de l'arrèlé préi'ectoral, Qii» /("! maires et les conseils manicipau.r b' sachent donc: ils ont le droit de distribuer gratuitement dos ouvrages scolaires aussi bien au.v éléees des écoles libres qu'a ceuir des écoles communales. l.a smlo condition qu'y mette lo Conseil d'Ktat, c'est que l'éeole communale soit admiise à rello libéralité. Ijctek ma 'z eo bel lezet al lezenn a dio nuîrka priz da bep tra da ol)er eur c'iiousk hirr er .^enat. lîed eo anzao o deuz ivez er niiuistr nevez Melin oun alvokad mad. Oiisponn 'ze, al le/.iregez a ziaraog ar i)rozel e-kenver an armou a zo l'apai'ol. Heu a oa ar t'.'lienla labour lia gas da bcnn. Hep armou hor zoudai'ded n'e c'hellent e n e m ganna a /.oaro, hag armou n'e ioa ket nomeur. Ilivizikoii oz ouz. » » I l u g e c ' h e l l ai' c'houarnaniant trot lie zell var an iloiiar. I l a g en deuz gwelet ez cuz clioumet 10 dre 100 euz an douarou dilabour ; 1.478.0(10 dcvez-ai'at nebeutoc'li didan le IO/(ipricf, ta Chamhre n vot^.nn vf(fed er bloaz 1915 eged erbloaz 1914. An (lit «/(• lit!) millions pour les i n t i J r ô t s de dacbcnnilldtingwiriizneiiiedlvcno deuz l ' e m p r u n t tt 0 / 0 . knllet O.'.U.OOO devez-ai'at. o fut tmc noiiBcllo occasion /loiic lo socidlinh' llniOH de di'hlaléri'r ranlri' len An darn vuia euz ar c'iiragez o deuz ionrmm.f, coiili'c Icx ricliea, contre lu mtl')epuis quelqi'es semaines, des trains de greet euz ho gwella. llouez eo, enn nistro ili-x fInancfB, p r l s o n n l o r B f r a n ç a i s om'ccnC d'.Mle- lion departainant droist-oll, a re o deuz l.a C/ioii)(irc tlecinl liotilpiiso, di'ii roi- magne en .Suisse (1 intervalles réguliers. gwerzot stal ha loaned ovit mont da lo'iiii'n /linti'it ef/h tfotttii'irenl la voijr <lc Ce r.ont, hélas ! <le malheureu.r anémiés ou l'ofdti'ur (•) d qtti ttn ddinilt! demanda di' des luberenleuj'. En .Suisse Us Irouvoront veva enti eiir gainpr gant mouniz an « allocation. » nc/Kiiid niddicr « le proli'Iarlat r/id t/ai/iif les soins que néressile leur étal. N'ouz foi'.s ! oll zouarou ar vro n'e di.r, i/nimc el Jtisqti'à vi'ni/l /ranc» /lai' .Vos lecteurs savent que ce sont les e,Oorls ioiir diiim /(•(! usines, e jiersévérants du l'apc qui ont valu à nos •/.oiigonl kel re a eost evil czomniou ar l-iiinh'iiicnl, M. I.cnoir n'cci'la : « Si rcht paneres eompalriotes le bienfait de .cet bobl ; ha prena ouz a leac'h ail a goust ; eontinao, nous demanderons une sii.yien- a'ioueissemeni a leur captivité. pi'Ciiu euz a leac'h ail a /.o kas o meaz uifin lie m'anee. Nous ne eoidon.t pn.i voir .l/msi les prsmicr.% officiers el soldats ar vro arc'hant ha n'ez cuz lamm re Ke renni'rclerdes scanecs ref/retlaOles (uu- français débarqués à Leysin ont-ils terni (> ancziiaii eiiii !iun touez. i/neilrs noua aeons firMilemment assisté. " envoyer au .Sainl'rére le télégramme suil i a .selu ma ton ar ministr Mcliu da Il serait temps en t^/fel 'iiie les n hntxo- vant : c'iioiiloim eul lezenn. roNos n qui sentent lenra nerjii trop tor.< Sa .''<,iinleU'' llouoît .\V. Vatiean. Ilonie. lOvit pelra? F.vit roi skoazcll d'ar dus aiUrnl les eahner dans les iranc/iorif. .. Loj'stn. 8 février 1(ilil. .1/. Itiiiol, dodaii/nant lea allaqneu dont 4 I.o.H oniciorn et «oldals franvai.s arrivés peiinou-ticgez a voloiitoz vad da ga.s il acait lilO l'objet, fit une hrvec ol JUrre rc- il l.cv.sin adrosscnl lcur« roii|>e(Uueux lioni- ho labourou on» dro, da rjenla ; da ù .Su.Siilntelé le pape llcudit . \ \ et nonne, eieement applaudie sur an ijrund n>a«èn lui l'xpriineiit iour rccouuuls.sanee pour t-a c'iioudc, evit iiarga oui' c'huiiseil nevez nniiihre dc hancs, et enlcea sunn peins lo Duliu iK'llc luliu vention, (|ui a ou piiur rosiil- dre barrez euz al labourou lia n'e lat leur inslallalion duns lu Wui..i»e iuispita- c'iielll'eiit ket bo'za greet gant ar peiiroto du crdilil. » » nou-liegcz, pe a voie dilczet gaat-ho I.a ('hambre aborda ensuite lu discrs[.'•s joi(rnau.e anticléricau r so gardent die Icziregt'z. s/o/i ncm'rulc du projet (/ I m p ô t Dur les bien de faire connaitre les généreuses inilii, eur c'hou.seil nevez a vozo savet bdnéfluo» do g u e r r e . Oatiees du Sciint-Siige en faveur des oieli- c pol) komiiiun, ha dizalo. Jji.irassion animer, uu l'un parla ilehiul, mes do l't guerre, l'ar contre, ils ne cesSoiijot e oa bol lakaat henvel anesunn cependant que pcsonne ne s'elcr'il .'ient do le mêler (t des bruits lemlancieux ztian dre voladog, gant labourerien m/dre /l'principe dc l'impùt. L'uccurd aur et fau.e, dans le seul but de le comprometdouur ar barrez, gragez pennou-tiogez les modaliles est plus dilllcile, Ire. liag ail. Ile hirr a vefo ijct an dule; .Mardi, la Chambre rejette plusieursproI,a semaine dernière par exemple ils positioiits, ci renvoie (i la commission une prétendaient qu'avec l'autorisation du V'd- hag ar c'hoiiseil li-kear eo a z o kargut (iropnsilion de M. I.ajiont, tendant à ta.ivr lican le noneeapostolique on Helyique avait brema da '/ibab eun hano labourerien nota/iiment les fonctionnaires ijui ont luu- l'ail a ce pays des propositions de paiji dc douar ar barrez. c/iiijreriaines indemnités, un qui cii.'iwhint la pari de l'.Mlomagne. 'N'iiur gi aio kel lie-uuan goVflskoude. (les {/•aile'ncnts, t'ina'ement t'uriicto i ' est /,(• .Snint-.Siege a du démentir l'in/hrma- Oelvera raio da geinerperz er voladog, adopte ; tiui. IJO son cdlé, le gouvernement belge a a-unan gaiil-liaii, tri euz reiierieii ar Il (SI iiiHillii^ nnu vaiitrlluillon nxii'anrdinitlrn déclaré quo ces rumeurs sont dénuées de s,viidica,iou pe tui emgleoiuu ail a o'hell«HP h t ln'iii'llon» cxmplIonnelH réaliws ilopiils li> tout fondement. 1" .noi'it m u )n«(iu'ii l (>vplrnll()n dn ddu/lt'iiu' l'è be/.a'er barrez otre al labourerien * • inol« i|Hl lulvrii III cftsiilion dcn liosllllli^'i : douar, — jie ma n'ez euz na syndicat r l'unr loidr» lii.< (mmoiinu» ut «oi'iuli'H cjui L e m i n e r a i de f o r a n g l a i s v a en nag eiiigleo ail i.'bed, Iri cuz ar g w i ni'cuni|ili^i<oiil oa Ont (icrtuuiill à tllru lialilliii!! on Mcrlrlonld (loi npi<i':illnii!i répnléos pur la loi. A l l e m a g n e . zieka lal)ourerieu douar a zo o choum aii'i rio oimnii'rwi ; Loi'il IJevonporI, présidurt des inslalla- cr liarrez. i ' l'our tuiitos rellou (|ul, sous uno (urino (|ui'|. cuii'|iii\ priaient OU ont prétit leur onliiMuln?, tions du port do I.ondres, s'occupe activeA-uiiau gaat ar c'houseillerien tiun),vi"nniinl ri^innnérntlon, (i riicfoinpii,«iMniuil 'lient (le faire resserrer le blocus, au moins :i iMio (ipiirutinn coiuniorriitlo ; kear, au tri-ze a liaiivo, evil koii.soil ne•n (•'! qui ioiiehc l'exportation du minerai ::< l'riur Ion u.vplolliints d'onlroprisos ««aujollit vez al labour dotiar, .5 den crc'liommule lér. Ii la ii'ilpvani'o pionorliuunollo provuo par l'ariiclf :u do la loi du Ht avril tKKi. Lord Devonport n déjit appelé l'altenSon niou ha n'o deuz ket ou.spciui .100 deii ; du l'iirlemenl sur le fait que, depuis le 7 er re o douz être .lOO ha i.OOO den ; !) •ommoneomcnt de la guerre jusqu'au mois er o'homiiiuiiiou brasoc'h. O o n t f ô l o o t o c i u i t ô do a n l u t p u b l i c . Le :> ferrier, les deléj/uis de tous lus de décembre, t.'>00.000 tonnes dominerai An diid-man a c'heilo beza dibabel troupes de la Chambre se sont réunis pour ont élé importées on Hollande, alors qu'il or meaz ouz ar c'iionseil ti-kear, cnii Hollande examiner la question du rontrole. parie- n'exislepas do haiitsfourneuuxon diaveaz ivez d'an tri labourer douar o lour fondre le minerai, montaire. dovezo kenicrot pcvz er voladeg, — (i (Ju'esl devenu tout ce minorai?domanda Sar lu demande (tes dcler/tU'S du ijrovpe nemed ma lleint beza lal)ourerien 'ord hevonport. Ce n'esl un secret pour siici'ilisie, les firopositiona atiieanies ont personne quo ces cargaisons ont élé trans- douar. Ar merc'lied a 'zo e petiii enn etv mises au.v oolxr tiogoz a c'hollo beza dibabct, kerkoulz 1' l.a déli'Katlon (lu t;roupc décide de di-- bordées dans do grandes péniches que nous uiandcr it lu (ihninhro la iioniiiiatiun d'uni' connaissons tous el qui peuvent transporter ha goazed. '•iiniuiis.xion wioclalo cliariréo d'ciuiuOlor de l.OOOa '-.',000 tonnes, El fout ce minerai »* ¥ dans la '/.oue doi, urinées, ooinini) dun.s lu 'onedo riiilérlour, sur t(uit('«lo8 (|uoBlion,s remontait le Kbin jusqu'il UuhrorI, Là, la I l a g ar f'lion.seil nevez-zc, pctra iiiloru^sant In défuiiHii nallonale. t ^ i l e coui- rivière Ualir se jelle dans lejloiwo et perinis^i(ui n'aura nuUircilciueut aucun droit met d'aller directement <i lissen, ou se ' raio ? l'inlcrvenlioii diiim lo plnn uu la conduito trouvent les usines Krupp, Nous savons ce lîve.saat evit ma n'e ,ioumo c letoun iipéralUuiH iiiilitairoi. t'ar fi roi.n eontr» l', cette proposition a que devient là lo minerai. On y fait des pastell zouar ched go.lvet da zougen ed. Ar peunou-ticgez a volonloz vad a été repoimsi'e, te cofo ai/ant eu lieu par armes meurtrières pour nous, (•'hello en em glovoul ganl-han evit •jroupis et non par dele'jttds ; kaout ea.soc'h a ze soudarded pe (ud ail 1,11 déléiîallon du groupe décide do nroc réunion cuniinuiio aveu la déiéda laboiirat, loaned da ober al labou'^alii.ii dcH gruiiliCH du !^(''uat, iJaii.i (.'cllu l'iou, (retnp da lakaat enn douar, men uhlon Hcralt cxaiulnéc ln (IUCHIIUII do M.ividr s'il y aurait Heu do conslltuer d'uno kanikou, lia zokou arc'hant e prost. A r faiMiu iicrinaiifitto soit la l'éiiuloii coninuuo ponnou-liegez a c'heilo c'hoaz ho bedi de la (iéli'Kation dcH Broupcsdu Séiuit «l do An douar a ?.u bot krouot gant an l:i (.'hamltrc, MOII tout autre urKunlMino doiid'on cm garga da ren labourou ar veliné à courdonnor rnotlon des deux (dinnilircs Aoirou Uuuu ovit doui^ou frouc/., ha reuri enu ho haiio, hag enn ho mizou un vue dc la dC'U'IIHO ladlontili.'. di'c /o mugtv tud lia loanod. evel ju.st, — nemed ma n'e dleintnelra l'ar .v eoiyV contre J, cette proposition Mes dre-K-lian ho-utiaii n'o '<;oiig kot d'ezhau ovit ar garg-ze. est reptmsst'e, te vola ayant encore eu lieu oo3( c peb loivc'lt, gant an amzor o tou nar uroapeH et non par dt'lt'ytu's. Kvit ar pennou-tiegez ha n'en cm ziHn vue d'asstirer la permanence do leur da goll lie nor/. ; hag o/.eo rodhe vagn, l;ourint ket evelkent eo c vezo douget hoUi'oi hag he zistroi. action, les deiéguia onl dMdO, a l'unanioui lezonit. l'oiiao.H c vo?. magot ? Liant teil hu mite, de se rt'unir rfgidii>renient tous lea A r tnoar a skrivo d'ar pero'honn ha quimo jours. teinpsiou cltiiiiilc. d'ar inerour evit ho alia d a h a d n eun An don » r« ar poutv,, oc'h hada, o 011 douarou a zo e stad dazougeit eost. Comme les autres l'raiiçaia, les inatiln- c'houennat, o vodi. M » n'e zontont ket didan pemzek dez, AllaH ! gant arbi'or.cl nobctid a dud a teurs mobitisi'a/ont bravement leur dei^oir, a r m e a r o t i devezo ar gwir da lakaat dan» lea poalea gui teur onl ilé assignés, (t •iO clioumcl var ho dro lia c'hoaz, tud ciM de prôlrea el dii catholique,i dans les- dinorï ovit nn darn vuia, merc'hod ha : an douarou clioumet dilabour e karg quels ils ne coicnf/iftts que des difoitseura bugale, po (ud dtîuel var nn oad. A r : konsoll nevez al labour douar. A r c'honseil-man on em ommello da de la l'alrie. voa'/,od g0P.sl a zo bol navet da zlfonn labourat an douarou-ze. A r gommun a La plupart de ceux qui aonl rostds dans ar vl'o. ioiirs claaaei ont compris dt mémo t/ue bourveio d'an di.spign,; ar benviachou, Ma muioo'h-mui a c'Ualver nnozho : l'union sacrée s'impose à l'arriùre aussi mekanikou hn lo,iamanchou a vezo kcgant potrod iaouank ar c'iilas 1017, ar bien que sur te^fi'onf. meret el leac'h nia verko ar moar, Il y a eependant i/uotqueB rarea eeeep- l'o gosa eus goazod ar « sorvico auxiAn eost, pa vfizo dastumet, a vezo liaire, » ro zinci'K ovit dougeu sac'li ha tinns ! et dernitreintnfun professeur a'uugwcrzet gant ar c'honsell. Divar an t'u/.ul, ha barrolc da obor onudt'o d'ar •.lia jusqu'à âieler aux jeunes nilea de •(•/•'i/tf i:d(iard Otiinef, à l'aria,^le Ihime c'hazorniou labour gi'cot diogent gant arc'hant. ar gommun a gemoro da gentik talvoudegez ait dLspign n vezo d'une eumpoHiUon,fi'mçaise dans lequel il krcnvoc'h eget-ho. vt'itit dit qn' (t à fheiirê actuelle, vi> l» ôoude dlukonta ar re a labour viirdro bet greet, hag an intoreslou ouspenn. v'jloppemeiit det «aprltê oer» la lumiifre, le ar pouUr, tlar» eux ar botrod koz-zo a A r pez a joumo a vezo roet d'ar '•hrislianisme ne inutplui exister. » lavar n'o rcont iiomcd koll amzor; ha penn«tiegex ma n'e oa ket e stad e heranf tes pfalnte$ des parents «t lea g w l r e c'IioU beza ovit our c'halz gwirionez da gas da benn he-unan al nrolvaldtiana des Jourmutie calhotlquti, lo 'anozho : dek omaiut el Icac'it ma âon- laboiurou grdet onn he zouarou. lirofesseiir «<wM lltn détaoouer le devoir Kiin dri)dérean a vezo dalc'het, da joDt e vo awatc'ii kaout tri pe bevar< FI deeani les éltm, dlmnftitie lea copies' ns lakoAt e keC a r gommun, dlvar goust seraient pein (feffiPéeu ir a(i«Màii, ajoii- leao'hIoH ail » EO, ho labour a o'hellfo lui'l-ll, qtw e^r atte de pMIoaophie ae beza g r e o t g a n t pi^liounlorien, ha aa,tiek on defé dtlezet he zouarou dre fr/tiiim tra/t trêt^tetlûM. u mttlqo'h n dud a vit neut^ Vardro an leziregez. •• '• • I 'Slaifi tnteonttttl«d»eequ» l'incident ait doiiOT, ( Hil (liimlgué, -lo dirteirlee responsable I l o g e n , boto v r e m a n ar c'ItotiarnaS 9 t u , o berr gomzou, potra a veitner essaye, parniCII,- dif détimorlr IWee qui ina;nt i ' e a 4 o » l c e l ; b o U m t e r emichiths obec, h a g a vézo greet, me *gred, enn l'a fall eannaUre, qfiH dt ta ch'atstr. da aoalal onn trao'ti-ze, na da zelaou nov«E-anizer a eeu. On verra bien, k l e m m o u a r itonnou-UogeE a z l v a r ar D'am ï o n j , a r p e n i l o u - t i e g o i a volon• ..i• » 4 m é a t . T u d k e a r a ioutj'Iie krenvoo'h, o toz v a d , n'o deuz kot .abeg da gaout l i a Juatioo N O l a i i A 'O'houleRii i n e r k a p r i s é'an amann ha aoun. iCemor kalouii g w e l l o o ' h - w e t l a l'Hconten mttnMfiM le droit dâ da gant tra ait. èo a i t a l i i t ltetttoo'h,~o w e l ô u t o t e u e r rolnr une »omm$ daUnéi A MÂtler dtà .. M M r M (l'Ai U b o u r e r i e n é r f l t i da ri»! a n doUrft d'ezho. T u d d a Urrea qut teronf tlfi/HMt OiOf dfè (louAP «W m. l i f o n n d ' h o zro, d i s k o u «z l a b o ^ M t A ' a gUtskent k e a ; k a o u t eo » f M ^ « a 4 i 6 r M l • p • b I r a e v l t * b a ivez, d U - o à a i r . t v ^ A r o ' h a n a e i l a lakaioi'roi es QUI SE PASSE JlndouaradledoDoeneos N« 1.88i. PARAISSANT LE SAMEDI. JOURNAL FRANÇAIS-BRETON FInlitère, C6tei-du-Nurd, Morblban. (un an) 8 t i . Aatroa Département» — 4 Colonies et Etranger — B (r. Chang«m«nl d'a(lr«i«e : 0 fr. AO avac U demièrê band* Les abonnements partent du t " de oha(|ue mots et se payent d'avance — BUREAU:: 4 — Rue & i m du Cbàteaa i m — i PUBLICITÉ RÉGIONALE Annonce» diverse» . . . . (la ligne) Ofr.SO Réclames, en V page . . . — O 50 Dernière colonne de la 3'page. — O 7t( Tirit dteroxtttnt pour la interlioni répétées Pour la publlolté extra-régionale, s'adresser à l'ARea** Plsoe de la Bourse, 8, à Parti t 4 BREST L e i Manntorlta non i a a é r i i aa a«nt pai rendoi ober ho mistri enn ho douarou. Dre bo faot n'e vezo ken. N'o c'hcller ket laisaat eur vro e risk da gaout dieiicz, n'o c'heller ket dreist-oll Iwndaoni difennouricn ar vro da ziouerout bara evit plijadur eun nebeud tud digalouu. Oll d'eu em zikoiir, hag eun eost puill a zavo didan heol an Aotrou Doue, hei) ma ve re deun da zen. H a c'houi, mcrc'hed, bag a gav brao beva dizoursi gant mouniz ar c'houarnaniant, diouallit ; rak, ar c'honscil nevoz en devezo ivez da eve.sa.at ouzhoc-'h. Ma n'e fell ket d'oc'h labourat pa c'hellfac'h lien ober.arabad e vezo d'hoc'h beza .souezet ma teuer d'ho tizouni euz ar mouiiiz-ze .savet divar Eiz dez Brezel Aauioc'h-mui e fistoul an Allmanted dlra-z-omp. Daoust ha c'Iioant o deuz da zigeri azalek vreman an emgann braz? H i her goar, hag hor jcneraled ivez, me ' gred. Atavteze e klaskont hebken diskouez ez Intgoest.c'hoaz da ober droug, evit ober aoun d'ar Roumant ha mirout out-hi d'en em ziskieria enn ho enep. N'euz fors penaos, taget o deuz d'an 11, er B E L t I I K , dira-zomp ha dirag ar Saozon, hep gellout gounit an distera tachenn. Taget o deuz c'hoaz dirag ar Saozon, e~kenver H u l l u c h , enn hanternoz da Lens, l\a kavet an tu da ziskenn e trancheou hor mignoimed er gevred da Ypp. Kendalc'het o deuz drelst-oll da zailla e-kenver N e u v i l l e , enn hanter-noz da Arras. Eno, da viz gwengolo, or boa sankct evel peder genn enn ho zrancheou. Dcuet int a benn d'en em zizober out-ho, o kleuza didan Î5 min. N e beud a zachenn o dcuz gounezet evelkent, hag an hanter euz' ar zoudarded o doa dlgaset d'an emgànti. enq'.a zo bet pe lazct, gloazet pe brizûunie't. A nebeudou or bcuz zoken ho dllojët euz an toullou mut. Izeloc'h, var ribI ar ster Somme, el leac'h m'ema an disparti etre-z-omp hag ar Saozon, ez oant deuet a benn da laerez var-n-omp keriadenn F r i s e . M e s eno ivez hor zoudarded o dcuz ho c'haset var ho c'hiz ; ha d'an 13, cur gomp.ignunez a-bez euz an enebourien a joumaz pe var an dachcnn, pe être hon daouarh. D'an l î ha d'an i 3 , o dcuz klasket ober troiou fall d'omp er viz da S o l s s o n s : poan goliet. Er C H A M P A G N , d'an 11. 3oo metr trancheou a zo bet gounezet gant hon tud cr viz da dovgenn ar M e s n i l . C'houcc'h kwech an Allmanted a glaskaz hon diloja. H o r zoudarded a vespontaz o tiskàra anezho a zruillou. Var ihent T a h u r e da S o m m e - P Y ez iiit deuet a-benn goulskoude da ziskenn enn eun nebeudig euz hon trancheou. T r i denn min a sebeliaz kalz anezho raktal., Erfin, d'an 13, an enebourien a c'hounezaz loo metr trancheou enn A L Z A S . Hogen, dilojet a oent raktal ; hag hor c'hanollou a vir out-ho da dostaat a nevez. Dre-ze, n'euz fors'e pe leac'h e saillont, dlgemer fall a gavont ; ha dont dounoe'h varnomp n'e iraint ket. ¥ ¥ Er R U S I , é c'hoarront awalc'h ivez, hep obcr gwelloc'h : e peb leac'h hor mignouned en em ziskouez barrek, hag a c'hounit tachenn a nebeudou. E r vro C A U C  S B , ar Rusianed o deuz Iakaet ar pouW'da darza gant ho c'hanollou enn unan -euz foriou E r z e r o u m > ha da c'houde o deuz dilojet an Turked euz ar for-ze. evel euz eiz all c'h(>az diagent. H a k e a r v r i z E r z e t ' O u t n a zo Icouezet didan' galloud hor mignouned : viktor gacr evit-ho. E r B A L K A N S , an Allmanted a zo neo'het bepred. V a i ar Bulgariz hag an Turked e kontent evit hor c'ha» kuit euz S a l o n l k t me» nag an eil rumm nag egile n'e ziskouezont hast da gregi el labour gwelloc'h e pli}fe d'ezho gwelout an Allmanted oc'h en ém garga anezhan. Dac'hedal, hor zoudarded a zo enem aitennet a gleiz d'ar ster T^ardar, evit en em gaout e gweHoc'h stad c'hoaz da her zel. E U B a S S a t l i eur gear vraz euz an A L B A N I , a zo koueeet didan galloud ar Bulgariz, a gerzo brema da astenn an dourn d'an Aotriehiatied varzu D u r a z t o ha V a l o n a . Eno o devezo affer oUz an Itallaned. * * * V a r vor, an AllmaftHed a e'hourdrouz gweledi an QII batlmanchoU marc'hadour a gavint, abatamour ma 'z euz bet Iakaet kanbllou var hiniennou^nezho. H e n ober a reent peil a ioa,' Ka dre ze, nétra ncvez> nemed martèze ma vezo armet inuiocli-miii cuz ar batimanchou marc'hadour eWt Ko diféhn àuz lltirf-plànjer an enebourien.' , D'an 8'.Cite ar m i z . ' M n iestr a vrexei Jtmlral C f c j r W a oe gwdcdct e pcnn ar Eao<hcol eue àr Medlterrancc, « n t unan euz al Uat(4 traia-sc. T o n da bcvar c'hunt^dén'i c'hélle b t t a var-(v4um ; unan iKcblcen a «o bct layntact. ." " Br<)-Z*6ï é d w a 'tollet eul leatr all, tUtteto^'b,! dkmMlii^gaii^ eun totrpiU o •flCHiiy etre daon-'ifoatv- • goust tud hag a rankpoania, eur c lialz anezho, euz an eil sklerijenn d'el)en. D'ho tro, konseillerien ti-kear, pa zeiiio an dez da henvel ar c'honscil nevez, dibabit mad. Lezit a gostez al lonkerien keiz, ovit hn mad ho-unan zokeii. Koll a rafeiit lio amzer oc'h cfa hag o tibri divar goust an oll, hep ober vad da zen. Dibabit tiid a benn, fur ha leal, — tud hag a zeveno ho c'hefridi gant karanlez gristen, evel ma ra eur gward mad c-kenver eun liad minored. ICur gai'g pouner o devezo, meur a zcvez da goll, meur a gudenn da ziroue.illa : Dibabit mad. ConiiSTiN. llcsiiiiié (les () lérations F R O U T k U G l M S En BEIiUIQUE. — Fondant toute la buitaiuo, 1 nrtillerio allemaud« ac nionlri! ti-es active autour d'YPHES. L'artilloris auglaiio répond vigourousomont, endommageanf les trau(;hé?i onuomiei. POPERINGHE est bombio-déc le tO par les Allemanils, ELVERDINGHE les 10 ot 11, les tranchées anglaises do nOOOE le 13. Le t'J, do bonne heure, les Allemands pénétrent dans les tranchées anglaises, prés de PILKEM (5 kil. nord d'Ypresl. Ils eu sont chassés au moyen d» bombes, et laissent sur le terrain des morts et des blessés. L'aprà^midi, ils dessinent doux petites atta(iues d'Uifanterie dans la même région -, mais ils «ont ropcussés. Le mémo jour, guerre de mUies au nord du canal d'YPRES-COMINES. Un combat souterrain a liou, dans lequel les Allemands sont repeussés, les Anglais lour ayant faU sauter leurs propres mines. Dans Io nuit du l'i au 10. après un violent bombardement sur t*ut le front de la région d'TPRES, les Allemands livrent çjjisleurs titta(|ues d'infanterie entre le canal d'Vpre; k Gomme» et la voie ferrée d'Ypres 1 Comines. Ils réussissent à pénétrer dans les traii.-,héei anglaises sur une étendue do 600 yards (environ 650 métros). FLANDRE FRANÇAISE ET ARTOIS. Lutte ds mines très active entre GIVENCRY et LA BA3SEE, sans grand résultat. Lo IV topt mines font explosion ii« sud du canal de La Basséoi' Lo 10. bembardoment réci[.rome au sud du BOIS GRENIER (sud d'AaMENTIERES. Cette ville ost bombardée le 11 par lee Allemands. Lutte de mines également au nord dc LOOS ot aux onTirons d'HULLUCH. Las An'fUis peuvent occuper deux entonnoirs. En uiâme temps, les deux artilleries sont très active». — Lo 11, quelques Allemands pénètrent dans les tranchées anglaises près d'HULLUCH. Ils eu sont chassés immédiatoment & coups de grenades. En PICARDIE. — Les et 10 f.'-vricr, activité de rartillorie allemande contre BRAY ot SUZANNE (rive nord de la Sonum^i, contre OVn.LERS (nord d'Albert), et FONCQUEVILLERS (encore plus au nord). Le Ul, lea Anglais font sauter trois mines au uord de CARNOY (aud-eat d'Albert). — Lo lendemain, rartnierie ennemie est encore active au nord d'ALBERT. FROî^T F R A U Ç M S prisonniers interrogé» et d'après le nombre des cadavres allemands restés sur le terrain, les pertes do renucmi sont considérables. Par cillours, le 10 r,'.vricr. dan» la région de BEUVRAIGNES, notre artillerie a détruit un blockhaus et bombardé le» cantonnements de rennemi. Entre l'Oise et l'Aisne Le 11 f>;-v!ii'r. tirs efficaces dc nos b.ntteries sur des ouvrages allemands au nord de SOUPIR, (ost de VaUly), et sur des ccn-.-oi« djî ravitaillement au nord-est de BEnny-AUB'AC. Au nord do VIC-SUR-AISNE. dans la soirée du 12. notre artillerie disperse ([n(J(incs fractions ennemies qui sciaient avancées jusqu'à nos fils de fer. — Le K'. nos batteries bombardent tm train et uu convoi de ravitaiUemcnt en garo d'EPAGXÏ. Le 12. su nord-est de SPIS«OKS, les Allemands peuvent, à la suite d'un bombirdeinent, att,!indre notre Iranchée ani environs do la route de CROUY. Uno conli-e-atlaque les rejette aussitôt. L'ennemi laiesc des mort!) sur le terrain, et nous faisons quelques prisonniers, dont un clficier. Le i:i. nous borabardonj les orcjanijatlons ennemies en face de FONTENOY. L'artillerie allemande est particuliiremciit aclivo dans les secteurs de SOISSOHS et de CHASSEMY. :)ans 1.1 soirée, après uu vif bombardement, l'infanterie ennemie essaye dc déboucher au Îiord de BOISSONS, par la route de TERNY ît par la rive droite de l'.^isn^ Elle est arrêtée net par nos tirs do barrage et nos feux d'iphaitorie. — Le Ij. tirs de destruction sur . ' f i ruvrages allemands au nord-est de SOISSONS. Le I'.. au plateau de VAUCLERE (norloiiest de Craonnei, tir efiicace de notre artillerie sur un saillant de le ligne allemttnde. Lo in, tirs de notre srtiilerio sur des convois de ravitaillemeal, ou nord de TRACYLE-tfAL (ost de l'ui-.» . et dauj la région de BERRY-AU-BAC. gn Champagne Le 10 ri'vri.T. un tir d« icstrucion de notre artillerie sur les ouvrages allemands, vers la BUTTE DU MESNIL, donne de bons r^suUatc. — Le 11. au cours d'uno attariue à !a çrenade eflectuéo sous le couvert d'uno sction au noid-est de cette butte, nou» preucns possession d'environ 300 mètres de Ironcbées ennemies. Une contre-attaque de l'adversaire efleclaéc au cour» dc la nuit, est complètement repoussée. 65 prisonniers, dont un officier, restent entre nos mains. — Le 12. l'activité de l'pi-tillerie devient très vive dans cette région. Les Allemands essayent, par une nouvelle contre-attaque, de nous chasser des éléments de tranchée occupés la veille par nos hommes. Ils sont reooussés -, et nous ccntinuon; i progresser à l'est de ces éléments, où nous faisons entoro quelque» priionnier». — En fin de jou,-noe et au cours de la nuit, ot toujours dans U région au nord-est dc la BNTTE DU MES?I1L, les Allemands dirigent cinq contre-atlaquea successives sur les tranchées ccn•;ui!C3 précédemment par nous. Toute» ces tentatives sont icpousséei. Lo 12 iV-vrl.-r. ealro la route de NAVARIN a ceUe do SAINT-SOUPLET. .-«prés un bomliardcment de plusieurs heures l'cunomi •••Eut pénétrer dsii» un petit saillant de no'ro ligne.— Le au cour» d'une action do 'làtail dan» la même région, nous faisons des onsonnirs. Plus ou nord-est, soit i rest de la route do TAHURE A SOMATE-PY, rennemi prend pied, le l:i. dans quelques éléments do nos iAinchoes avancées. Ses tentatives pour pousser jusqu'à uotr.î tranchée de soutien échouent complètement. .Sous les éléments nu'il a réussi à occuper, nous faisous explorer trois foiu-neaux de miue pr.iparés d'-ivance. Malgré dc» pertes sérieuses causée» ; sr les explosions et par no» tis d'artillerie, i! se maintient dans ces éléments avancés, dont uous repreaonj cependant une partie dans la soirée du l'i. — Dan» U nuit du ir, au M. uous reprenons encore quelques :ioyaux, à la grenade. Le ti, actions d'artillerie très vives dans °>es régions de TAHURE, HASSIQES et NA7ARIN. Aucune attaque drnfanterie. Stjr le reste d u En Belgique Le I I fi'vrior, notre artillerie de campagne endommage sérieusement un fortin ennemi près du canal de PASCHENDAELE et provoue roxplosion de dépôts do munitions. — 0 12, c'prés une violente préparation d'artillorio, les Allemands tentent, à plusioura renrisos, de franchir le canal de rYsor, à la hauteur do STEENSTRAETE et d'HET-SAS. Sous le feu combhié de notre artillerie et do nos raitrallleus«8, ces tentatives échouent. En môme temps ae livrait, au nord de STEENSTRAETE, une lutte violente à coups de bombes, entro Belges et Allemands. — Le l'i, notre »rtillerio fait sauter un dépit de muQltioDS au nord de BOESINGHE. 2 En Artois Aux environs de NEnVILLE-St-VAAST, la lutte d'artillerie se poursuit, dans l'aprèf. midi du O février, depuis la cAte 119 jusqu't U route do Neuvillo & Thâlua. Vue lutta i coups do grenades nous permet do chasser rennemi de quelques boyaux occupés par lui è rouest de la FOLIE. A U tombée de la nuit, len Allemands dirigent sur nos position» du chemin de NeuvUle à la Folie une forte attaque qui est repousiée. L'ennemi peut cej)endant prendre pied dans un des ontonnou-s que nous lui avions repri» précédemment. Le 10, nous continuons à progresser ù coups de grenades dans loi boyaux, h l'ouest de la FOLIE. Deux attaques allemandes, dirigée» plus au nord contre nos positions & rouest de la céte 140, sont complètement repoussées. Au nord du chcmin de Neuville & Thétus, les Allemands lo&t exploser une mino dont nous occupons rentonnoir. Les journée» des 11 et l'> sont relativement calmes. CeUe du 1» au contraire est maruée par une série d'attaques allemandes 3obuis U cAte 140 jusqu'au chemin de Neu- ville & la Folie. Dans la matinée, première tentative sans résultat i rouest de U cAte 140. Dans raprèsmidi, après un bombardement violent de nos positions, l'ennemi attaque en quatre point» différents. Troi» de ces attaque» »ont irrétée» net par nos tir» de barrage et ootra feu d'infanterie. Au cour» de la quatrième, Pennemi réUE«lt à pénétrer dan» notre tranché* d« première Ugne, k rouoit do 1* oAte 140. I l eu est «hasaé par une contre-attaque immédiate qui lui inSiae da» pert»» »en»U>les en mort» et en biMsés. — Au cours de la nuit Buivante, nou» taiaon» p<mter uno mino au l u d du chemin de NouvUle à la FoUe. Dan» 1» nuit du 1) au in, no» canon» da tranohée» exieutent de» tir» »ur le» organl•stlon» ennemie» aux abord! de la route d Arra» Il Lille. — L» 16. dan» la même réqion, non» taiaon» Jouer un camonflet qnl boutevari» les travaux de minet de FennamL Da la Somme à l'Oies .'iï. Somme, t u oonri d'aotton» «•'détail eSectuée» le g et la 0 février, non» avion» reprit aux Allontoad» «n* notable tartis de» élément» ds tranohé*» rMté» eaKî.iS"''* la région t u »ud de FRISE. — L t 10, an lin da Jotané», l'enbeml tenta par une violent* ooBtre-ttU«u« d t noui e a t i i t r d u élimtat» rteonqnli ; mai» no» tir», de barrage el net (ttix d'infanteM» arrtttnl net l'adTenaire. qui ttiliU d t t porte» Importtatn. - L* i l , tetlTlti mtytaat' d'artUIeri» dtn» tout et ••ottur, U grtàadt tar not L * 13. nnt atttqut k la anvrtgta ta au tad IK4 dt miSE FUSE ««bout. éthout. Ba ta dt loaratti imt atUfa* dt at» I n n p t t M u t ptrmtt d'tMoptr qiulouta; nauvaaa» «lémaata d t t Inathét» adTtrfta.rOB*: aaairt» Front EK ARGONNE, le 12 fOvricr. nous avoni douné uu camouflet qui a bouleversé tes travaux de miite de l'ennemi, près du FOURDE-PARIS. — Le l:). tir de destruction do nos batteiies sur les organisations adverss au nord du FOUR-DE-PARIS. — Le 15. nous avou» f!!it sauter une mine i la FILLE•MORTE et en avons occupé l'entonnoir. Sur le» HAUTS-DE-MEUSE, le 11 février, notre artillerie a bombardé un blockhaus et des obaervatoire» ennemis, dans le secteur du BOIS BOUCHOT. Ea WOEVRE nou» avons cxécuU, le 10 f,'vriiM-, sur uu saUlant de la ligne ennemie dtjas U FORET DE MOBTMARE (enU:o StMihiol et Pont-i-Housson), un bombarde:ueut violent qui a provoqué l'explosion de dépôts de munitions. — Le li>. bombardeni-^nt des organisations ennemies on FORET n'APREHONT (sud-est de St-Mihiel). En LORRAINE, activité des deux artillerie», le 12 f.-vrii-r, dan» les secteur» de HEILLON et de la FORET DE PARROY. Dans i.i même région, plusieurs reconnaissances 'nnemies sont di»per»oes par notre feu, la .'^uit suivante. — Au cour» de la nuit du 11 .'•a l.'i, quelques contacts de patrouilles, dan» le »ccteur de REILLON. nANS LES VOSGES, au nord de V7ISSEMBACH (est de Saiat-Dié), uns attaque d'inianterie ennemie, accueUlie par notre feu.. peut aborder notre première ligne (12 r.'-vri.-r). En HAUTE-ALSACE, le H r'-vrit>r. une attaque ennemie à rest de SEPPOIS (10 kiL eud-ouest d'AItkirch), est enrayée par nos tire d'artillerie. Le soir, une nouvelle action de l'Infanterie ennemie aur le même point, précédée d'un violent bombardement, met le» Allemand» en po»»etsion de 200 mètres de tranchée». Une contre-attaque immédiate do notre part nou» rend la majeure partie du terrain. — Au cour» de la nuit «t le lendemain, le» actioni d'artillerie oootinnent très violente» dan» «tte région ; et non» devou» évacuer le» élément» reprii, complètement boulereraé». — Le l'i, nous prenons sous no» t i n de barrsge det renfert» ennemis qui »'etfor;aient de progresser par petits paquet», venant de NIEDERLANO (4 kil. au Bud-e»t). —- Le 15. notre artillerie tient sous son feu le» po»itiont allemande» i i'ett do SEPPOIS. Sur mer et dans l'air Un détachement de troupe» francaitet a rcoupé nie grecque de Fano, aituéa entre Corfou et 1» oite tlbanahe, qui ponvait oon»titner une base pour Io» »ou»-marin» ennemi». — Le t tirrier, la croiteur cuirtttA Irançai» Amiral Cliarner, de 4.750 tonne», a été coulé par un »ou»-martn, au large dt» «Ate» de Syrie. L'équlptg* devait oom^er p r i t dt <00 homme». Vn radean qui portait iS marins, dont un teul turvivant. a été rtoatiUi en mer, la 12. Ca »urTivant a»t l t qaarttermaltrt otnonuler Cariou, dt Clohara-CtmoM. — Le 13, le oroi»aur tnglai» AréUiusa, de S.«00 tonnt», a htarlé ont mbie sur la çWt e»t de l t Ortndt-BrtUgat. U y a un* vfaigtaine dt ditparu». Ce croUtnr t t dittIngM le » aoftt 1M4, dan» la baUUIt d* U b t l t dt HiUgtUBd. - ^ U » litllMi» «roieat vu !ear« OMitf*torplUanrt ont eonlé deux »oa»-mtriiit tnnomi» dans l'Adrittlgtit. • • L t ( fénitc, d t i u bydrtTitnt tUtaundi ont lurroU I* littoral du oomtA d* Etat, «MglMtrrt : dtus f t m o u t t t un talant M t t t é i . ^ L t mim* lonr, 11 tiropltn*» angUU ont lait un raid h t a n a i tnr • l U n t a d i k DMkand. La vatn*, BOI alIUi aVt&i.a»»tte M aWHinil .aUtntaad ««i aw* lies en Artois, un de laa;s avions, ranonaé par nos batteries, e>t tombé eu fiaaime» k l'est de aivouchy-cn-Gohcllc. — Lo 12, des aéroplanes autricbiens cnt 'ancé de» bombes sur les ville» italienne» du Codigoro et de i;?.>'euncs, causant 19 i;>orU dans la populitions civile. - Lo 14. d'auli-es aéroplane» autrichien» ont Bur-.olé Milan, jeiaat de» bombes qui luèreni. 8 personnes (,t en blessèrent un» soisjKlaine d aulres. Le Zeppelin 1 ,-2!i. endommagé, s été vu flottant dsii» la mer du Nord, au large de I» côte allemande. Piisistres freflçais eo Miesios DE35T .leudi il y aura neuf mois f{uïi l'annonoi •lo la dà-laralioii île fruerre do l'Italie à r.Vulricho. t(! Kouvcriieiiient fran(;ai» ftc jiavdlscr partout aux couhnirs italieiineset .•accorder un coni;i' aux enfants des l'-mUti. Des niâts furent planté.^ sur nos vieux reui|vi;ls. par groupes lio .«opt si non.s !:e noun tronitions ; et. loii^'loniti'', de.i drapeaux multlcolori". y tlolli-roiillous livsdiniaiiciies. Mu uu mot. l'oiitréc en tjucrro de la sieur Intiiiesusiilaeii l'raiice plus d'enlhousiascne ([ue la victoire d(- la Marne. Pini à peu i-e licaci iiioiivcinonl s'est ;:oui : los mâts à iiaviiloiis cux-mi-iues ont ilispani. i;i iK-auciuip siMl(!Miauilai.'nt : o tiu(r rail donc rit.dio 'I >• Ce f(ircll(> a fait ? nou» l'avons Ilil samedi. I':t s il fallait le. n-sumer do nouveau i-u qu(-li|iics mois, uous rappellorioîis (lu ollc pouvait tri';s lilen se tourner du ci1lo (le l'Auli itlio au lieu de se retourner l'oiilre ollo. Kilo a ri-leiiu dovanl ses troupe» i|uolr(ues corps d'amn^o cunoiiiis (|ui autroinciit juraieul grossi les ran^s de nos i;,'rosscur>i et de ceux do la Uus-ie. N'oiis i)oiin ion3 ajuutor (lue .sa Hotte a coulrii)U(i a Karaiilir noire iibcrt,! de nKmvemciitsdan.s !,' bassin (l(- la Mcdilonaiiot-. l-:u ce (nii cuiiconic les elTcls do la d(-claraliou do guorro de l'Halle à la •l'iiifHiie, — liéclaralioii dala-:l du •:2 août l'.lir.. — on est inoins reiiseiiîiu! ; ol |)-,'iit-olro. l'Italie ci'i;i'ilepu iiitorvoiiir iiUis tc,l dans Ic.s Halkans. Mais ainsi (|uc le (lisait une iioto i-oaiinuniMuécî à propos du vovayo do M. Briand à iioiiie, |)as plus (lUc les auiro.s nations iiollini-raiilos la sccur laliiie « NC nrévoyall | as ro\lonsioii quo la Huorro allait prcudre ilaiis I cspace et dans le touips, ni le.s u:-a\e<» i'ou>i^iueiicos économique ; (jui i-osulloraient )iour elle do sa p: rlicipatioii aux ' I Ivllo poursuis lit soiiloineiil 1.1 lUKslilité réali.saIlon (io SOS aspirali( Ms nationalos. reprise do i'rcule cl do'l'ri -to. i:i voiiàquiI)ar la Ton les olioso ollc s'est vue entraiiico au-doi.'nlo cet l:ori/.ii Or. la iruorro coûte, ol l'Italie n'o-.! piw rielio. i;ilo exporie ceilaitis pi-oduils, mais elle doit on iin|)orler d'aiities. lit loiil eu lutlant eoiitri- l Aulrielic elle eoniinii:.it à faire de» (•(.•liaiisies très piolitalilcs aveo l'Alloiu.iïiUC. Avant de se d('(-iilcr à ('•tondre sou acllou niililaire au-delà do ce (|tu- conimando 1' « o^oisme sacn-, » il lui lallail ras.-.urancodo Irouveraillours les ies.s(uirees el les (léliouclié.s dont la priverait la rtiplui-e avec l Alleinagiio. 11 faut cioiic que M. Uriaiid la rassuivo tout a lait, i.uisqiie K- uo.iveriiomenl jlalieii tapli• ' (lavaiilajto à iiilerdiro loiU na 1 commoree avec l'Allema-no. • Apros av olr sauve lo.s Sorliosel los M(UitoncKiins, la l''raiieo, cvnoieiise, ehireliondra la vie du peuple ila'.ion. Mu r.-tou!-, il est [lermis d'espérer quo l'Italie nous pn'fera une a iJe ellicaee sur tous les lliéàlie-< d'oiu'-ratioi Mai.slais ons cc.s Co id('ralions à notée eolialioialour l'si el iiivoiis M. l i r i . m * dan» son voyage. 1,0 l'résiiicut du Conseil éuul aoeoiiipajo»'? de MM. Léon Itour^eois, mii.i>lro d l-ial, c l AllM!rl Tlionias, sous-^ec! élaiie (l i;iat atv-. munitions. 1-a iiiissioi, imliL.iie eoii!pr.-n;tt; aotaïuinenl les séuéraiix i'oll,- el iiuaiowl. Les iiiini^lres frane.iis arrivèrent a l'.onivjoudi Kl février, it II lioiives. .M. Sala'i.lr.-i, iirésidenl du conseil d liaiie, ol M. SoniiMi». ministre dos alTairo- eli auitoics. les alleii.iaient sur le quai de la yare. l.a foul,iiinlaudit olialeuroiisoiiieiilouci Kii:! : • \ ivc ià'l''rance I Vive "l '"i l lio! La preuii(:-rc visite esl pour la roliio. lill noi d((lU du roi de .Monlorie uiore. riiospitalilé oIToi lo i lar la 1^'ai •e il 1-0 V • lie à sou père et ft kmli ' la raiiilil Lo soir, uu diuere- .1 oITerl [.; M. i:nino. initiistre des alTaii •Ir.iiuèi 'S. qui iporto Itliaiid. uu toast au(|uel r.-j)Oiiil Vendredi, nouvel (-ehan ;o (le toast iilonna, iii.ii Capilolc, entre lo prince t Home, et .M. Uriand. une proinii Dans la i\iatinOe il y oui Soaiài conversatifiu entre .MM. Itria ,1 iiondant quo M. Alliei l 'rii(;:ilue, et le ;;éi ral l'ollé s'eulroteiiaient a Zuppelli, niiiiislre de la ;,'u> ÏÏ;..;^; ifvë;: •,'éneral OaU'Ollio, eliav|ié d niuuilions Knsuite. visite à la Vill M.'-lii Uriaiid outre autres persoiiealil.: leqw-1 reiieonlra lo cardinal Meiel i l eul un o.'itrotion d'une do.'i de (I. l'iance. Au diner oflert 4 l'ai-.il loasis de .M.M Briand ol Salai:(tr li-^ mi.-ianiodi, nouvel eiilrelieii iiistres dos deux i)ay.s. A i•i^• sue (I • la eoMli-reneo, la note suivante este •oiiwn ii.iqiiee: DMIS l a r é u n i o n q u i a e u 1ieu ce matin s. la CousuUa entre les membi•c» du guu vennement français, M. Bi'iand, pré» dent du Conaeil, ministre dos Afl'aue» ctrai lei»! M. Bourgeois, mmiatru d'Et.it et M. Jarrsia. ambassadeur de Franco, et les m.nistre» italien», M. Salandra «t M. Sona-uo. on ett tombé d'acco.-d aur la uéce»ité dc .joordonutr plu» étioitiiment le» eftorls des ailié» en vu« de mieux assurer la parfaite uuité d'actioio.. néceîiité qui a déjil été lecomiue par Uk autre» gouvernnment» aUiés, et de léiiiiir (Uns ce but i Pan», dans le plu» bref délai, une conléreuco antre les allié», i U quelle assisteraient également leur? représentauts politiques ot leurs délégués mil!taires. Les travaux de cette conlerenc.i veut Atre. préparé» par une réunion préalable de» ét«tJraafor». Au déieunor orfoil (^nsuilo t>ar M. Salinidra. le nroKidont du Conseil d'Ilalie port» un toast, dont voici les pass-icres es.senliel» : Monsieur lo PréslSent. l.'aocuell iiue «onio vous a fail, l(Vi in.-inir.'sl»tloni do Hvmpalliio qui dc toutes parts vous Hu«t parvenues, vous prouvent * quel pniiit le «eur de l'Itallrt liai i rnuisson do celui du la I ruiice. On iMut bien atllrnior quo. dans la lutlc qu'elh» soutiennent pour la défense Ui-s pr.ii.ipes (iiit furent la Bijlre de leur antique civilisation. If» dfui nations siiiurs »o sont retrouvées CrfUB lulte esl loiwue ol Jiincile, mais notre conllaiic» dons la rlotoiro niia e est inébraiilnble, car Holrt cause est Ju.slo. • . !.(!« ellorts den Rouvoriioment» allies, saKomeak courdonnés dans l'ucliuii politique «4 iiilliUlr*.. sont soutenus par l'snlIwMiaiasiiie des iMupiMi dont la volonté de vaioorc doit briser U>u» Itai obstactc». , . , Au pied da no» moulaguo» escarpée», d e » ^ niémfi. vuu» vous trouvei-ei |»arrai no» soMtl^ nupri^d» noire roi bien-nliné. le pmoijtr « o t ^ de l'Halle. Vo» j-su» coatemploront I elTort Mm: ot tenace, le dur labeur d'un peupt* «B u ^ conduit par sou souverain, qui veut conquérir « la patrie se-s froanOro» atturelle» t t nicrtstiNft »ur le» Alpo» cl lur nior. Ko» peosén vou» «ulvront, nous istoclant dfc tout coturou inestMO do fraternité dont lUlienno rou» diarcera pour l'armée tranctlw Apr«« avoir romer(ii(^ M. Uriand coatlaM en cet toiiuoii : Cliee no» eniiemi», la coordination del «datte Mt cammandte, pour ctnai dirt h n a e i é ^ I w eoDdiUons mSmot dt U «ÉOFIJI*^ D W TE otmp dt» tiliét, «II* o« po«T«lt être f j o la « • •sltatd'une ln»plraUon t u n é r l e u N e t f t b a * » lonté rélléclUe contclent* d« tt* derolit a« aw»- l i ï t e M M allMaia'M I H WHa^M h k w i . aaw aaai dMotaw»„tjnt«^ «a " ^ W S S J » IT>V.I.IE I m I iif if k I sli' fi m M ^'iiipî I ii-S '««é^I^MMI ' 4 . W ijiKk'e»» IN M f l i o pour Ion « r n x l d i ( « ' « • I l e , «UIMI quelh) étioral« IncaïuparaUlo TOH I O I i l l l i i pitlm-nl ( «na In PRSIONCO KII IIIIIIOU U'OH» d u m i l rtlolauifl' itaiia i:ohi|>l«r l a l i t r f o . l i i H t • r i c r l n o * et ds d a u g o r . . , «..(•iMqiiv Juur pliia nul» e l plun « o l l d n l m mir « n iiMil f r o i i l , (aco k l ' e n i i « n i l , Hit HllIitH pnurHiily r o i i l «no l i i l l o M I H m o r c l p o u r H«Huror lu llljri' « • k i r (lu r c u p r l t liuiiiRlN. pcirt»"'.^o u . j v i t w ! tf" lu " l.iml: iHiilii » ,é((i|i lei'uiiiijp, o.)(iinioiii '( On rio le fuVHll \ m liiip, Mal« c'iMiill Uni, blon llnl, 'NLK la noiivolld mi diiinoiillo. Kl 11 H'OHI pus Inipii^lhlo (|no (... (ii'MMIII HOII d.'fnonil fi (.0 c o n c o u r u o | i o u v e r t aux poululnii Uo tout lé dilnarlemeii», ' Oiitoi d t s lùiirca coiicoui'ii : . .. La Dojeo'.de ln KaculW des Lettre», M. Nicolas, o™H;ren«irqm?; oli cour» do ce» Inspccllûm 'iiii'll Blliialt il falro ù Leani..veu. ces deux petllx puvsaiis, Moalli! et (llftuiicn, d'inlolllffonco si notle cl »l vivo, qui traduisaient H1 Mon les texte» lallii». Quaml Ils vinrent ù Honues suhir lc,s éproiivus do liiii'piirllo ilii IJaocalauriiut, il les invita & an lulile la \elllo ilo rcxnnien. l.e lendemain, les Q u é H e lll deux heureux iviiidlduH avalent pour exanilniilom' leur hùte do la veille, ot jnsllllaleut plel.ioCHUTCS DE MATRICES inTTit le.slinii>.(u'll avait poiiroiix. .1, (iloanee tut un Uraiid ,>^i>iiiliiulro ril.>vc .«lu- 0 S P L A C E M B N T 8 DES 0 R Q A N E 8 dloux ol pieux (iii'll «vullélénu cillè^e. Onlouii,'' .An I M H k ( > i i i i . | | » . r / . e l l o i i , ,li-(. ar n(ia)S,S0, Il revint liiiiiic'dlaleinoiil à l.e,sa ni ^ ' o n z a i i v l i u d i v i i c i ï i e v i i s t H d à zo. ni'vm. coniino professeur. Il • lll siiceesslveiiienl «111(111 r a zni', iinnn n i / h r a s a ^ n a l o n r l o n a u la classe ,lo 7-, la clusso d uimluls, lu classe rtoti-, 1 don. llavarlal.(>ju...|.l,.„ uii doiiui'di-olstse luisant iilwer jKir su ni,i|liode il'onselKiiono'iit, " I ' ' ; ' ' ' ' , » " " " ' 'i;ii'> l a b u i i r o u l e n i i .|iil visull t,.iiJoiii.s H lu siiiiplUlt,., el pur les I a, 1U i 1^1 l o l . i v i , , . , l i p i n u |„..„| oiii'ouriurenieiil'. on .e souvient toujours do ses .luuris il lo'iiro de lecliiroi au mo.ven desoui^ls il ô',^ 1 '"'Imbp|) j e n a i n a n l c b e d . «tlmiilail la lionne volnn|.J ,1e se.s L>IÙV,.8. KII IMIU. le prluclpul, ,M. Itoiill, noninu' ori'lil- 1.1^ l i . o i x - l i o i u ' l i a r b o a z a i n a n i ' l i o i : , . l a sa.s l a i i t a n ( l i N U r i i n . | > i i i i y : < |ir,nre rte .'ialiil-l ..ois .lo llrp«l, il.'.sl^na M. liio.i- l o a ii-_gi'...:ii.. : I ) v a i - f ' l i a t a' i I poci il i o hc 'al i ,d 'c.I i etro npr ac -t noe a I l'.vi'ip.e ol au llccli.ur d'Arad.''mle iioiir oz o i i i n prendre sa s.|..c,'ç«i„n. .M. illonnee .'luil trop mo- d u V'.'za lip v o u r i ' , ^ 0 l i c - n ; , an ui i.c HHaic-.so cir e tonio 1 dèle |H)ur d'isirer une cliui'tre si linporianlo. ci iioi vr oi izz da na yacoi li ri .p iLi I C. r iI Kt iOi i Y ,l ov,, fauboiii's.SaintIr„p d'^IlHiit ilo lui i.i.\iiie poiirussuinor desaielé M a r l i n , l ' a i ' i s , ,1a d i ( . i i o ! i c n n l i o n t o i i p z . de i'.i.iir les loiinlos res|,ons;il,ililM .ln princi|m. Iiiiu J. : ffoiizt'il, m..!.lat. Il li,\||a. vonliil r,.fi,„.|., coiisiilla.,. I.es en- «• h e i l lia b u u - nlM>-iiitiiii l . . . (;'|,o,ii l u ^ - „ p c i z d l N cuiiraKonienlylo .M, .mipcrii'iii'du niln.ilre c',(!; valiiipilreiil ses scrupules : Il ue k « ' i i i i l . < M i z f l l < M i , n e ^ v i i i c r i l l<cl S r i n c - NIRIIIE û a,renvers«prisdup»M»geii niveau du chcmla do rtdpnodrAme, tenant au fillette duns les l'^J^Le Ualn^lu^^^ du corps, etécraao de la campagne, n'a Jamais »i>ura s« f«i»e «v». euorctsost toujours distingué par «a bravoDre et son entrain. .. (• A pris part à ronl.'-voniont de ileux balleries ennemi,is el. sous les ordres'de quclquo; sergents, a repoussé nue contre alt.ique enue. nilc. Il non l.jiii.. ïranspoi tés ti l'hospice, lo malheureux v sucSiiliit.I'o|-ilo-l.i!Oii, le tiiiidi io muru, i h. • A l'Iioni'i' oi'i non., .'crlvoii». Il ..>1 vi'uls.imcomba pou après, tandis que la petite 'devait hlalil,. ipiii l'Ion ii'osl oonoln ilo d,>llnllir ol K e r f l ' i - l V î ' » ' ' ' ' ' • •'^"'"'l l'IiiiKoiiiiL-o! subir I amputation d,.sdoux cuisses. .{uo t.Mil on ,n»fi.'ns, D.IHH ini,.|. La more, revenue le jour mémo de l'ont-l'Abbi lo» cnndlll.iiiK ? on riRnov". ' Iloslionou, 1.) l u n d i 07 mars, 11 l a li, i 2 ; pour les rejoindre à i^ulniper. et ne les trouvant IMoiiliiiioc •l'.jn,jours o>|.|l ipi,. ,|,in« m. I.inx monio• H n m c i l l nuli'. I n m i n s l o u t i ' H i i i ' a N t M i i i l l i n pas-ou gare, avait pris le train qui devait les M o r t dans un champ. — llenri Hloaguoii, « p i n o n o m ' HO i c n i l i ' i ' (111 K H I I K I ( | i u u ' l l o r l'aiMliini mil'.;;.,,' anv nonl.vH, I,. Koinoni.'. écraser, pensant qu'ils étaient rest. s ù IionarneU"! ans, habitant avec sa Hllo ù lieisuu.ly, s'.îl.iit liioiil il.' Il.'i'lln, d.'oliii'anl ipio, .. Ainjli.ls M n i ' r a l (U< l i u ' i i K t o l l a l l o u i i o , o n l ' i l o r m nez. Ce n'est qii'.^N arrivant duns cette ville l'imilu ù la toire do l'onl-iiroix. le .'i février. Le Mçiio pnrli'8 tft'iii'i;iiii\ C j i l o n m i - l l ' o n ' o . Jiyuiil pnil 1,111,1 sur lu pins vi.slo .••0I...II0 quelle upprit i.'airreux malheur qui venait de bmdomaln il fut trouvé mort dans un champ, I urnioinonl .1.., vulH>.oiinx inui'oliuii.ls ... I.-, I attolndre. V; ' • l l p v l » l n . m i i v l ( I m w lu foiv», nnval's alloiiMii.lo). lîi'cs de Les|wrnoii. dliuietiool api'/.s iin ooiirl D W t D a d o n a l j t t f l s p o t l l o v j l l n o u 11 I) IMDIIII «ii i v . l i l c i i c c , i . c nl,.|'\iilli!. pi'..si'rll iliins l'liil,<i'.>l dos non()oiiil>rU Tr^friiiur r o i v o u l u t I.I.Mi, l ' ç i . i u i . l u l i o lo-i m i l , ! . - ! ! . » ll'.'s, n.ooviMiil l'oi'il.'o .M lois, Noyée. — Mme Holloié, née .Marie-Anne Uél u i j m i f t I ( l l i i o , u n i .s i H d v i i t II- I n i l n ( | i i l il Suicide. — M. .lu'iei.l. l.e lioiiclro. sous brlOomposltlon des stations pour la monte llni.'nls lii'lll»ii>i'aiils ... I.i's piiisxanllas, ùBée de iil uns, avait dispaiu depuis le v u l l l o « r i H i i o i i o i ' Il l'iivl.-. ' g.'idier des douasos t. •(i.-viauûii se«t tué on se ,'o« n.'iili'os .von.li'onl hlni , nvoril.. !,.ni's d« 101B, dans lo FfuintAre 10 janvier. Kilo ne jouissait d'ailleurs j.lus .le t.i'anl un coup de'fiisil .nuis la t.'l.-. . si.,|..|s iiM.i.i ,pi,. .'oiini.iil l.'ins porIronies ses fuculli'S montules. t^oii caduvre n élé (.iiiMi'ni, - Pa rivie, pur sini«: ant-lah Le matin mémo il avail i'„;u d.fs „b,ervalion« on, l.'iir,. liions aii,x n.iviiv, ii.ai'- UiaïKimiiMcr et l'iirabiile; llian. poslioi découvert, lo S février, dans l'anse de <Uicrn.,au ( e son capitaine à pro|.a? ,rirr,-giitarités rele».-e» i'li:iiols iin.i.is il..,s ..,,lions ,'11 un par .Mme l'anguy. On croit que c'est au cours „iiln Ion, par riii./iio nt Moitlinirail: liliwwr, m,, dans ses é'-rritur l'oiiipiro alhMin.n.l -, d nu acc's de llovre que la malheurcuso se se.'a 'll.ir bnilou. j.ur /Ji.'.i .il Muiilmii uil : llin/i'iiiio li, Kt c'est •la qiia l'on allribuo son act.; .le dé,iiiii'i,'l,|,<niio i|. Ion- poliih uii'. |,u»llor bndon, pur lùi/ifli/ /liifim ou Itfiniffirk Jetée u I eau. «espoir. l'inn.. la o.'l • al|..|i.Mn.l< aiH'i lll ,'<I,S .1 .H, I iff.ii iiH.i' el Kiinilthluv: Ale/m', posllor hio'loii, Agé de . " W ans, l.e t; j u o î l r o lais.so nne v e u v e i'.<nii,i. !inv ii.'iili'i..,. <<oiic*siiac'li pur «..i(Ui'(,o/ir: ol nuo oui do Inili ; iul„, et des enfants. l.os .'xplolis .1.., pirji,., ipii I. B n Italie pusilor l.roU.ii, pur Ih'niih .'l rm iinietur : .ViRetour d'un... mort. — l'ierre .Marie llcipo.i .llinliin'.i .'Il l'os ,|,'ml,.i's lonip,. voni AuU'o triste mort - loilla.inio Sli'pliBiit, iiim, li'ull lirolon. par liiur o| { m'uiaclnr. tliolom, J. uns. originaire de l'ieuven et domlci. NMM ICM'I.NU-< II'.MUCI'.IIII ihini iin.' M l'.iiiini'n.'oi' . ,111' Im plo, vi.sl,' ,'i'l...||o '.«uns, domastique I' ni... i. l'relt, qui a>iail la llo a I .ouonac h, avait été incorporé au 117' d'inIjuii:.:. • • IIHJ il,fil, liai'ldiov, par f.anninii(lui'lli' lin J<iiii'n:i| lin i'i>iii|ili< l'i'inlii >lii \ M' oniployi-i' l.'s l.'niH'» lin ii,.nvi.rii,'inoi i iihnil l„nnii,!)lf[ mauvaise lucbiln le d- . i-airrer. a .'-té d.W'Ouvert fanterie. CUrioii Util: /Co/,,//'posHO .111.. vlHil ||;|||,. M, A, lin iiaii.l,, n V i.i'„ mort dans un (•liai..p. j. onil.i ,lii s.'iitier.l.! 'lr.!.>ial. Le -i octobre lill',,11 fut dé. laré décédé le mémo llor liri'Ioii, pur CupiWUu- ol inio juiiifiil ilu i>riVl(|iMil lin i;i>iii<i'll ci inlnloiiv AiTi d_iMii-man e v i l c i u i a i l . I M ; ; I t d ' h e ' ' a m i l . l a • il .'lll.' nliiiil.iii, fi'aii (liMiil-saiiif ; /«i/„i(/, po,<llor liroloii, pur IhiurJ.nir. (. iil.eoi,.s. il Onvoiicourl •,'^ommo,. Op. « .-IIIHiKjMTM, ,1,. M,M. (,. Il..uiïr,) l'-m'*''''' '''''«H'ivrci'. liolol . l u i.-nl ,1 lll ,'l l'.s II y ail l<.':in.',>np Util ol iiinijiniicnl ilo ik'inl snii» ; l.och iM. p.is' l>. l ' i ' i i d u n t M uns. M. liiouneu dirluea l,i coll,V, celte rtutc. il n uvuit encore letu uiicone blosCI A. 'niiilllis, ,Mi, |,.„i' r: , r \ liti'l.'^.ii l.'Mi'loi'.i: p,,|. or bieloii. pur l o n i i w t u r ou l-ioimiiiaiii ,1,1 l.e«n,>v,.n. •.-es preiiilcres aiiniies fiiicnl lieu i » « i i i i i ' i i o u o / . , .siil, .M. i m i c l d e l - r a i i c snio : mais le U rin mémo mois, il tutalleiiil ,'i l>.tiinil*H H'Kliil cl |.:ii' I,, ,i„|.iilii il.i'.'i' ,• i \ K l , . l , - r i ,'^01 lo I roiKos. l.e n.lliir,.' ,iiuii"lî,"<i l«aiir. Knl'iiVi','. ,1 . luiiliies i.-oitime). i.ur un éclut d'obus qui lo llf ii iilf: ti'U, l.'a:l lir.!lon. par :Vi,-»/« ..1 Hfimle K I I M 1 4 , | I I O \ H (lui non V'ii|i'ni«iil .•.iciliii, Iinî. ' / . • « l ' - l ' a o ï i , lim. '^1, iiVili.'l I,, |.,.LV. .••0,1 lo pi^, ^l.loril \\'||,„n ,1110 /.onf/i/;\jbsil'erViW,Mr oïr l"|ellIsonts ol di'voués. line né Wesîu au genou droit. IVIlo-Vuc. iriiiiiniiiiiiMiiii'K Mv.tii,iii« oui .'M I illr ipravo,. ,,-s r«ih|..s- raiicl el lleii., A pri-s être resié sept Jours sur 1,! champ de taSI l'on |)0,séili' i l - - fsp'-c-o.'s bill.'is .lo lll- ,1 '•(•es a/o ,• l.nfÛt/, posllor ll?el . i, 5 I',""}'''ll"i;j'lro l.'.loul.le l>ul de toiile ! v n s < ( > M > u 4 i | , nioiii'.s, • «jmhlnn.'iii^i.l, (;>sl nUiilliil. ôtel Mi'iicz. jila <l|i|.i.|o I, iiV'.yaMl'. il ,1.111.' s;. l'aiinirnl ol II, taillo, il fui recueilli par les Alleniund,s. Il s.liaïKin.,' (lll or lim.î V ni • o i i s o r v c r Kl IClIlllV il .IMl lit .\iite ; iMbourfiir. p. s iêr 'i''"""",»" ^ la '.riiinfioii de IV.spril ot .'elle du son a n M s U o b l j . ivpnliril'' Joiirna d'abord six mois dans un hôpital de Suintl.relog, pur l'ui.., ilispoiiibilito. on lioil 1 lit' i|nl niilAs^nl ilcsormiU. iin..!,. -;/0l /(UMO,//MIIO ; .S', L , i , ' '^lovos. pm, Vlm r^poque 00 la l . i t i i d l v f . H l » , i i i i i i ' o l i e i d.'s liOllK liûtcl d u Coin(tiioiilin. fut envoyé ensuite eu llclglquo, de lii à hrotoii, pur Coi-,,.; et Itiighiri K^int. la OéreiisR N.-uiona'o. LILIUI'I'KRT»IIUL^III.MIILII'. HT [•'IMM.M "1 ••• m . - Bn Roumanie •' , "Ile ivllslou^o parulys.nit loiilos |,'s inlllullv.îs. lllI'iCC. Ho\i.i.Ainii:. • • iUhhv, postier lirelon. ,..„,,'•'•.'•ûii'Wlnl l'Iait dénoncé.-l-a loi niiiil.ilro P o i i l i i A h m l . i a o n , 1. 1H. di?.s VoyaxtHir.s. \\.!xel, puis il .Munster. • !,(' v»yiiK» ilo m m m l u N i r * , Ci'oùs à :l mois, 0 moi.-"! t an. ils ,1 II" ,1», piii'.ilos nion.o'iiilo Kniln, il fut évacué sur la rruncecommogiond AIIIK» 4 (ilii'.iiMiiv l i M h , Kl 1,1• i . h i . sentfiit, cil (>n.-l. 111. (,la(vi!i(.:,t à courte I, ii'd.dii Coniincrc,.. '.i<'nl ' I' pr.,ii..n,'.io, p„|. rii iiiino i l .•, l'i,. .,(,nii.'< ol ;.«,',/ Ihi^h ; ruiis, posller hrelDii. ,;ir ' ol.llgonll ips >,.inlnaiis|es à pus-er deux ans à lu piirliililK II» Hoiil iiii^iiii' jifiil.iMr. • |.;is ,•, I.es paronl,, |,.spi',-'(|.f., eux-uu^mes, in- l.nkoiiriiaii-l.c'oii, sadoni, -.'li, liOtcl d.'s ble^so. cçijcance .(n'il ost |.u.,.<.(,k> irNne cncoro h'..,..' ,| niiiiii.,, I> nMii\o,'.ii pi.lahro, imulle ol inmsi, i / « r , , k „ U , . | ' | , , 1 , , , caierno. iloiels pour l'avenir, liésltaiei.t à diriger vors lo Actuellement 11 se trouve dans un dépôt do <liic l'on l'oniu.ll II,-, i,M.|.ii,nn.i,l Htiliniiini cl line Juinonl dciul-<anif ; Jaoïh II. d abroger K«ll ou 1,.-ccciuipî.i.M i la Haii•Il 1 „ ' i'.',Mnioi'ail on iloiix le.'i oiifunts |„s mieux dispesés... A l.ns Uresl, .snl. -.'T, loOlol r o i i l i n o i i t a l . convalescents ii llennos. M IOHKU H . U N . I - .LI,,.„II,.S I,. .juc; di; l'i'aiic' .luai;! ,:-, puiius .•) II il.,lll' 1.1 llol).'li|ii.' 0,1 loin, .'I poNlIer hreloii. par fiiuiui ol ,/o/'io/io ; l.iwnl oull/'ae mois d(! a daio de r..i,il.jur,,c'iiiciil, soit en LIINL» IL»» .(«IIX p , N , H I . I I I III^ 1•Mhl.M' Ml .^aisi de son c4is, le tribunal u'a pu que le dénoslioi' lu,'Ion, pur lui-fs! SItir ol /Vio dcnei-nl : nr'voii, c-oiilni. purl'.iil, le reerolemont siilill iioo I.CMII(*V(MI, Uni. \H. ô t n l dc.s - f r o i » • l ' i l i c r s inon r'.nniiliro ,011 ,ol'l ; ni;,|, . </(«,/u, r,osi|,..|. ln'.'lon. l.ar/Wiiunir/io: ol .S/. », Tiso lr..s p.'Miilile, ,|ul nirecla profoudénieiil Kc laisnnlCdiiM'iili!iir-, Ire» Ki'iniil» i'i'.'<i"rvi .'>«1 r» inil ouille . clarer vivant ; et son acte do décès a été annulé. ., aiH-os par .'ctto ,1 pi I „. Moi),,i'H»/, ol l'^il.i.'KIs iiislitulioii. Ce, ava'.cos iouv.'iit atl.'iii.lie - vi'nx ( I f U n i I * I l , ,10 I n i i l , . , HmiHh ; Imw. Iruit hreloii, p'ir cl .Si,,../-1 ''lo""" ..v, I • I I,. in.<nl i^M , .Malialoii r>.rlo. Il, .1 '1,0 fl' I ' " " " •I l.os dilllcnit'.is du.luiliilsli'ulioii s'uceuniiilaloiit l.e malhoiireux était ullon(,'é snr le vontre, la so 0,0 (Ir l u valcui' i.oi.i al" ii,-, |jonK. II', K l i il • •» A H lo il'ni Citation. - l.e caporal Clet Le llihan a élé face duns nue ornière profonde rciuplie d'eau. l.ciir infiirct o>; a-, a:.! rtnin'iN l""'"'' ' 'll:ll|,l" I, '.iv. ;>ayab!c O'au, lire llnij, liucl,n,.y, • laulre part. Ccilalu.s fonL-llonuuir.,!« niaholl- Un suppose qu'il ^-lalt tomhfl en c.t endroil el l'objet de» .dtations suivantes : vancc (>t ainsi lo- bon. ; . mois ot à lin an l ' n j i i i i n l ^..l . r i i h o u t ( i „ i s H..Ml :ii <11 11,1•M.l', ,VI. n i ' i l i a n o ' s o l I.ÎO'V^ ' I ' ^ ' Î ; ? : ' . ... .Vi-mi : l\i„H. pnsllni' ; biils un nutuniceal.nit pus lour.9 crlli,|ues ii co qu'il f 11 lllcssé cinq fois b'.gèreuicut depuis le début n'eut pas la force da se relever, par suil'cdo •i'oli;.(re lie la Hcunhlluue diiiffé par des-pnnros. donnent un plac r.io:,! t <|U(; li^N i n l i i l y l i r « f r . i T ' i . i s IIkIIoms 'Mil I 0" I';.iO'.'l'' .issoiii'nl .los r.in'os HUM., I de .'.•.., C 0 l'an. l ire AU itij ; hiiirc'lt. nu... S:,, hi'.'t. " pur .•.«,(,,'/,' WHIIM II i . h l « i i l i ' l i n » | . | i H m ' i i h i . ' r -«•ir.lh .nil'i I'': «II SOI l'ollosi. i'oilovi«ii, 00 n ,„niI ,„,. mis I Itii'l'rdoii. par llriguiiil «rifl«i„/,.| el lunil : l-liif. pi.sli,.|' 11*1. filouii,!'' avail liop lie c.*ur pour supporter Sou Inllrniil,.^ 1 l oriine aver ualiMo et sann-tiolrt. .'<a i-'aul.'' en (liiiis 1»,. i i u n » l i » , Aiii.>», i-i i i n lonl» .KhiMir.il.lo l > l | 0 S dos AIISIRO. " I ' ' !""• "I «<•"•« J'K*: I M ' J f k , |siiiiirrll. Kcil'iiu,', Il l'éslBiiu se» fon,.'lions el IMoug'oiivcliii M i l l i i l * . p i ' w ' l w i x pi«iiv>nl iMi'» , l * > iii..|nl 'l'MI'l 'niiltfH'...H..oli«, ir lo lu^iiio -nlol " i ! " •J''"'"". et Uellon SIml. . lollru duns su paroisse iialale. M i i l i'itnfii.l«i'.i. i^.iinMi" u i ' i j i i k tnlairo. li.xallon. I i|V'>iil p . i r . ' o i i i r Peadu. — Le 11 février, un individu élran .>11', t" «dvei'vii•• Pi"' "il»» nnglals, par llrin Ce liian<iii» iriinliiii Ir** ,i|i'.i'iii> ^i,; ,. Il y véeiil Koplaiis duns lu retraite, tiarlus:.>anl aterau pays a clé trouvé pendu à une brandie luinciils. l'.iiii',- ^!0',nl -t Ho/ij/iio; , ; ' .'l enii, poslior l'U'liri- brolon, urrioil, pur ,•/,/), I .' . - r - . . . .'.,....1,,, l'ii, luKri.oL I.os A I N I" Juiwinfnl .liiMiii'li'l iiii ,,„||,|, | ' , , | | i i . , loisirs eatie la lecturi. dont II avait ol,' s d'urlire. à l'aida do sa oravate. 4'>. (.';„;/,..-.„ |ii'iiii»ni|i Le ian.'icit il:iJ,„, sirai: ni li'i-bas .l'iioo IIP l u f.l.l l l q n ^ Ain.',, i;'..,| J 'tK„ I>/II« el Mttf hi/; llnta»k, p o , | l e r b r e l o n , . u r i ' . " " " ' f " " ' . ' H I w t u r i , dont 11 a v a i t ol,' si ère pa l-a veilla cet individu s'était fail euibauchei ' .l'oiivir ,0 i r ^ ; ; ooi.l .'int(nuiilo inlll « I W t i r leni's ^IToi'U i i i m MIHI I I , , » , .I,| ntilelU et. ' • '«,„i m ; , ; poslier breton, illsposà il rendre service ii ses confrid'e,';. Kl coinma journalier chez .Mme Kérébel. . Le «(.-iLlrcdi li.; fr • ï . ' i * ...!!."",'AI','.,'!?" i l ' " " ; .i / •l»-ct'l, I ."'.'."i:'!.''-'''",''?'''''''?'"'' " fouio";.» li.M.niio, ; Il y K .lo iiioi, .«cril lo .' ,|oin'nal ||iar l'Jtude .le M' l>»iilii|ueii, nopostier •lill... OI.C I..-!,!-.. ei kroloii, ,1-s n.'Itals " .Iniinor -.-., pur/•m,/i,i «I huii ,0.,. .r.cniK; „ „ ,,„,. ,l.tuiléd, „ „ « , « „ .lorsMiialaKiiornuielola. il r.Milraloiiti. faihl.ais taire il I.aiidiViïian u'i.; pflisor à nos oiin J^M eunimlKds d.n, il.ili» .Mnip ,inpnl.. I- ,M lui,.., .M. m ilino .'«i a S u c l é l . ' aiii •II.VIIIV S a i n l | { « > n a i i de l a!>..'--in.di, ,iH' i.i pi poslier l.relon, par C'«hiimv/, et nuo liniieni dû '-E' ancien principal de ooii.'.ire s,.niioni' l'i onvIsiiL'oi' | de I:, 1.(1.,'II,., il .sera ijru.;.;ou •iiin.illlO ,|'inio Inlor •onllrtii inllilairo d trult pr^soHti!.;/vdm.1'0, pM|,.|!Vr"toii ^ ^ ^ I"»'" »»'ot spirilnel. .10 d,\:lâlf;na c a p i l i i l di<!. i d o . o o o riATiS, • I." prix de saillie par iiiii, - t llx a la vont'.' ai..'i eiicl!..-i'es, inii.liilo on Mio ilo nnvog<r,|oi' les l i i M (?«"( et line Jiniioat .len.l sanir : JlnnliiaiiarJ ' I'''" Pf'»'!!'" " " i l " la .lii'orllon du l écolc 1 s f l ' U U i ' , pour l'jiis l.'s cialonniei's intou « i m p l f ; Il y a m i i.h.lli'f m || v h I i u I ' ' l'i'll>iair.i libre de '.u puroUso, ,1c (aire classe aux lliiiix riii (ir I poiiplo 110 VOILL postier lirolon, pur rniimiu e et riéiiia Après décès d,. .M. Alain yH».urN. I l »isl i n n l i l » l i , •„!,,„ .i,. | (:HAii«i:i.ix,..-,/n,'(,6,p,,5iic,,i,|,pin„;,j.,,, '-."-i.'iir Hurli'i' d'un ..,,r. Inioi'vonlioii loio 'von ., .11 ..1......«, — ..«(wv, po.siier ureioa. ijur Jwcoy joiiuos eafuHls. ? do repn'iidie los soucis de l udp.is- 0i,l*ii,Ji'0 cltcvain {'('foi-ini's du lie ,Ui I /,„ l'ouli.jiKMi. commorraiit 11 : IJIlh'ST •' po.sller breton, pal^l)uVX^^r par .frùVXi r i' l"'"''^'','' " « m^™ P»''i' l""aiisir ailslra.ylloiu.ind, o| l.s Alloiuainls onx' ««'^V'/.'•;''•'•'po.sllei' i:i! d n I.niidiviKtuii.i'ue ilo Lanni< (iuo|. n» •l»nuud»ni rion d'»nire ,|n» I» K •'«'•••,.• A«i/ii. poslier breton Noyée • • 'par ' H,.v//,in • leinps II renipllssult lie hou 1.0 7 février. .Mine et ! ' ' i " "-' , ' ' ' J'" iJ'icuo.::.:. l u î / J f " " V"!'""''' "" rin i •••••'^ Aiiij.'lina iior-o MM. l e .U'lionna;i'(i.-i sont ileineau. VS " ' r V . V ' i ' H» l i ' i ' i i n , M i i i'iill»ii .1» lu n»Mlrjiil-i ' \ll«rU lime->; l.iimiiieii.r, postior brelon nurl'"^""' '"""•Ho"' vicaire uiixiliNlre, pour avait pris nu ounot peur aller cbercber, sur h Cinivoqiu;" •l'oi'.l ,(Cl ar deviii .;tre Le n u ' i ' c r c d i ï ; ! lévi'iui- loio, n» .',,1 l''»f,.ilii!.iid. |.'»i.i.i.i&i..i .in ,ii, pi'.inli (luIlbretui, ''"rliurirer ,|,|,„l I (Ve((/i.l/.i/c/>/i.ssi,i/'„>i„.,. (Vf((/i.l/ii/t/,/,'ssol/',ia,i,i;AV(/ri .. vl,ll» .Ml» du roi ilocliurifor d'une 0: |,arlie .le su l.oso;tno écrusante rivo opposée du cuiiul, sou piire niéounlcicu 1 raie oi'.liiii cil .•| 5..-CUlblcC|.''Ml.' il lieiires do riipi i'.s-iiiidi. porle'i.' li'i '"e-raiioii .lu le ,,10,0. e i •lo CoiNoii l.i.lKai'», »l d» doux li.in.'i'.nix an ' par Vitfiei'»,i i't l iixiiit. lo lion ciir,) ipi il Hlmall hiiil. rusine oleciriqoe. l.e courant, li és f.irt par suit 15 i.iiirK jh lii'i'pour maire .,•• i '>i.:,iiini.. !)U pcnu.Y ( l e m o u t i i n . u:ic •'H-liiii,i,U licim-s i:>n .Malt ti'«p pour iino saiité cbuncelanle -(•iiirlii'r tf'-'u.ir^l .'liloiuini.l. aiimil »'l,'' ui„li laiioii lUllt .(Il il , • l;i pas H,!;"",*),' ~ 11"?'''." I>'ii"'0fli, li.ickney, par cininie la sienne, ot .pi il ne io,;nu8-,.u pus. du do la crue, entraîna l'euiban'ation par dessus lo de l'aprcs •mlili, il la lloiirsi! l>ea<i de vai-lio. P"i' l'«llllu.|o la lloiinia . ouiinurce de lo.' iil Ihiiietiell ol ï'ii,is/,„»rt„/ Icrevoif, poslier bi vit pendant trois mois d'hiver porter idiiume déversoir de Coaligrac li, et .Mme Uorso disparut dn ..'Uiiiiii 'l'cc à lirc.st U" Le .ieiidi '1', f é v r i e r i;il(l. tialiiiuclle lo. ol pal' la n'.'ossii.'' .lo pi'oo.lro ,.onli.o brf!l»n. pur Deiimarli l i;/oroi,.v„t dans loaii, sous les .veux do sou pùrc, impuissant cta-o;. 'fii'il J l'.'i'llemeiit ; //„. <'li.-\.iiix o; . A l l l f * . Mnlj. (•» (III i r . i | < i i mis , cl jours f>u;vanl.s, .s'il y a lieu, lios,nii II,. lie\u':x .,o;ir le» «Ol, po'tlor brelon, pur Aiii'niv ol ijaslon : soiiiuluo lu ï^alnte l.oniniuiiion ù une personne u lui porter secours. •Mo Iii,ll„n ooi'l'.in»« ,|ivpi„lll„ns mllIKiIro Ordi'p du joiii- . il midi. du lioiirir. Kt ii l'un île /«U.imii/,', posllur brolon, par .4;i./i'..»i A'I,,,," malade, ' " ' ' I ' ' ' ' ' ' "i ;> klioiuiitriis ''I' .Mme Dorsn, sage-femme il Sar/oaii .Morbihan; U'iUaits d I '.'.iciilMre ou viill IVIrr p,ii' iMi> tnis. «n l'oniniiM, il ' pli IV. - Bn arèoe I. Kxanioii (M appi'obalion des eluit ilgée de ii; uns. I. Clinri'oKo aiiirlalsp. pour l'olev ; .fmsst, postier breton, par IhtUeiieà cl ^ T,."'"'r?,"' prii'loio'.e, il r,.poi eouiiilos dt; l'e.xei'i-iciî 1 1 1 1 . " , ; l'n .l.'p.il,'' .1» .Mvlll.'n» Iiyi.nl i|.';inl„i'ion.< (•eiirrtll. • j dalt : n l-.lie est si lieiireuse, la niuludc, do rece cl.iiri'cue li'i's bon .'lal, liarlilUH .ili'oll». irt .Il i,iif,iii fi 'in .1, IN 1. CnriKii.v .s <l»i'loi.|.s i.niHl»nl .loun.iulo i. .M. Ve II.Hi;'|.iarlllioiidn.soldelK'n,'li- iiiiis. ,... /'ï/.' Hosf, backiiey, |iar /l„i/j/ I'" "j"' H « 'I""» <l« faire plal .sacs .i" tourl.-aii. fil.»llIIUV. ri» U- |.'nii.'V Vl r r \ i ô l i i T i .,ï, il,ii',.opl,'l' I, .'..loll.liiiiii'o, ..» i|ii'i| ai Hui.etllllz lit •l/i,'.,,' Ilnsf. Juo„i(/i,., pus I..1' brelon ' I" rlaii'c lin <-0111010 prollls ot M o r t de M , l'abbé Rolland. — .Nous ap .Iiiiin.» l'iiMilûli On H.,Il î,. Kalre piuWr cl faire du bloii, co fut lu r,''(rle do lll 1.1,1. O s l (,„5,;,||.|». du SOI'., s,.iil»ni.'nl pcrlev. .'i tlvalioii do rciiuir Wui.K ol //,o (ifHnv/; ,/e/',c/ prenons avec reffi'ct la mort du u bon l'iini 1 "xcmpli< .(11» n o n , , n „ „ s " . i . ' , . , " " „ „ , „ | ; n, par t ainrnil et I emiral-,Kenlainel, poslb-r t'.iile su vl,'. Il nt dn bien : le dioc6si! de iiiiini- llolland, uiiiiK'.iiler ,l.;s I rsnlincs rte (.'urhuix iN»ii'( ,|K sa\oii' fin»ls «oui li's nu.liN IÎMI .lue ù hHiiiolle la SocU'Io coi.ipi'ouaiit : iisleiisilcs l uiiiliu-s. l'iO|..;eiair<'v. m <oiili'o-M,ind.c H i T i i p i ^ r I oiVm i Ôin 1 .reton. pur ilin, liennwrk ot l'rrel: Vefcmu,^ per lui est ledcTable d'un graml nonibro (le vo- qu'il avait siilviiw dans leur exil ù Oalilauds jioui'i'a (.nccUi.'r le paie- sii.e iMiiVi-e. loiirn..aii. Ijullel, f.iilc.s \os .jlTi'.' d.' M olopponient. Qii.ind ctilkilis dont II afaoilllé le lalt brelon, pur Jnm-liuri ot IVce/: S., poslier iiii-Mit des ioli-r.--is.dividcndu etc. CliainDre coiiiplclc :icaï.!. lies C..,,..-. idiudleiKh. And,'terre. £311..','!!.'"/'i r""""'p " . "„n|(i(i " •1' I'" cl il W i M no, c l Î4' I |i)|fi«(>i' .l'.im ir, >ii iïn- r .X.i. et taiill.'iiies .slatutuircs ; l.e mur,Il tj févrlor, il .'luil aussi gai ot spiri broton, pnr./,'n,i-7(<,)(ctri'i'e/. •• i'"""-' u,i pnUre lui sitrnulult nu enfant InlelIlKent iliil Jou, — salle il manger vieu.N . »(.( Icuo),. 'o»pl,. .1 ep I'.,' iin|„in'il'hiii soni .luns inio ipo-. «(Ivortinli',., UHF I .^.'1 i .pi i i souiblalt appelii au sacerdoce, la (piestion iiécii- tiiol que de coutume. Il ue pluigiiuil seoleiocnt I I I . yiiiliis à la sne.tes.sioii de cil,'-110 (Inilïcl, di-ssorle. glacr, 1 1 a ivriis.' d'.'uli',.r liior uvoo {•.MHKW. VmUain l)„il, hucliiiey.pur.SiiiiK« i i r i.RiiMoi. des d.Miiiiii',' i , " r Il",•' i l . L,'V.is.soiii', adniini.stra- liiiil cliaisç.s il ildssi.'ri, ',, unils. Il n'o.l ,«ns d,>ni.' pas difllrllo d Ihuiiits v\Hosuilurt Ciiru, posllur breton, pur iilulin n'^tall jaimils un ob.slacio : .M. liloaiioi; la d un ccrlalu mal de tète. Lo leiidemulu malli .1)h j i m n l n - p a i h v h I I .!i,i „ i i i , | f „ | | .i,,,,^' rùsolvull toujours ù ses dépen». Kiilro plaisir t<îiir décédé : •\lli»r .|nol,|ne.«-ini»s d.! 00s l'ai.sons. Mal .1,#o,/u,»e 0 heures et demie. 11 oluit mort. cliamliie merisier compl<'li% ,II,m,er ; càmir. poslier hr'Ion c'ëtall ,vulc 11 s u i v r e . On n ('.11(111111,•. son ifrand .souci j sensible Ini m.^nie ii la IV. lUlilIciilioii de la iiomliia- — lils cl unr.oires cli.ltaiïiiler, •aiil ;l on l'. pai'lor il o,| |,on Les pauvres reliaiensos .sont toutes désolées .le pur M»i.< cl ilhinnr : (iurt, poslier brelon, pa ' moindre inuriiiin do sympallilo. Il avait un cœu .. J,..|n,|le con.'i.i'<.l.! f l l'iudl-soliil.lc |.,im ilrnialloii do ..oiic ii.,nv.'llo, lioii de ,M. Albert l;ui.-;son. tableaiiN, {,'Iaccs. |.cndiiles cl Chliin'Kieii iK'iKistc celte immense perle: .dles avuicnl si bien apprénvii IIIII.1, n,)n-«piilriii,.iil (|.,.s .I.Vislon. n" .'oninie adiiilnislratciir uu.\ candclabres, ~ colïn'-lori, se liellvw» ml cl llurimz; I',,,»!, unit breMi par «•iSnoreiu, et ses nombreux amis - ses nnclcns cié lo» qualités du bon et .suint préire qo'étuit le élévossurlout. dont lliilnltsl lieiiroiix ilcreeevoli l'oro llolliind. •il.' loin- 1'.!,I I.,.non. .ii iiV."' lien cl place; de .M. l.evusl.nndi dornior, 1 ci'élaiic, pi'e.s.ïe, — linj-'cne.... /.a«ii cl//y((p;i;; An,,,,', poslier brotou par CO.NfC.fMMVs r..! s ..K^ JOI.IIS ,, ,••,:•••, •••- hiliilslr,'s d,. Kranoo, I •;'••",•, '•"••c-i,., n/ous, posiier brotou. liai lu visite — N.ivent comme il savait iMre dolleat. suiir et pour la durée de etc. nran.lo.H;','laKno o| do Hns,io iinpW'S ilii /lo,'iC//UH et f'jiifli, . " " u , |MI . " i o s o b s c q u e s o u l e n l i e u sumedl. 12,ii Oalilan.U, lliill.'iifi. Cl'!, [ , , i | . | ) n ' . p o n i h ' i i l Mm de :» I.. .'1 li. Non niandat ; Holuos ..ni fail la .l.'i'biralii 1. 1 ! il) jauvlor 11 dut s'ulllor, l ue kiiri;re .icor.\ii conipfant. ,1 n en sus. («•niriil fl l ' c l l , . , JV s;,li.n. l'i i.Ù 'l«ni .T!,;, s o u s lu p r é s i d e n c e d i K i n u e n r do .Mgr rKvc.Mie . l o .. •'•/;,t,*'."'.• brelon, ,par /ïer,;;i y "''»'""'//•,, ^ " ' I / I lposlier ' w i u i i lyiuiui., isaiif ls s.im-1' ,.( 'Ilman .'bfl ,'iilvanl,. an iulnl'<ire d»s AfTair. clinro un pied s'olunt enveniince, 11110 lyniphan.Nomiuatiioi de dcînx adiiiil'uni' II,lis i-,'ns. i|.'iii'i,ii.nls line alisol.io fonlliincV . m h ïm, liro l-s oladh .vins .louleof .^t 't li-nr postier breton, par .Yiioii/et ci (Clb) so dcelurn. l.e mul s'aifirrava rnp'ideiiiont. l'Iyinouth. ilr.in,H.'r»s .1.. nolKii|ii,. : iiisli'otenr.s i^orlauls l't réc- el pour visil"i', sadies-cr eu .M. llolland élult ori^iinaire de l'iongaslol•oi'nonictilH idll.'H, H,',Koin/nl l'oo l'.lom i >J"i, postier brolon, pur.Su,H(./Jo)im(/s cl l.os poumons se conacstlonnalent ; l'oruanlsme IKfScao. Jjut.ei-s i.rlibcieis liKilj!<.s cl ijnilus de leur l'cUide il" .M' l'oiilhiucn. paoïilns, et avait élo vicaire ii Saint .Murtiii ,lo • Loi pulmaoM liliétii «t eirintei da S,iiil\ Justur, posllor breton, par L'iiuuii ot t'*.-;-. 1. .i|..Ero\ ffi'.slion : ; " n i ' "".'.'"l'J ' î l " " " ' , ' " ' ''' î n i i i N - l i v ' " , iuUéptndiuea d< i« Btlnlqua diolirant ou», ( I,f,yipii; ./«/rt, poslier bielon, par Dulioiiit el lîpulsi'i n'ollrult aneuiio réslslunco aux pro(i;r,';s de lireat. Il avail o.'i ans. as, eue lUaii'ie. i t l t l v s r lu ninludie. Uiiiind les inédecins irmirent plus U vnl,', ll.'S Pfliplos ,1,1 I la luaaiant VI. Noniiiia'iion d iiii commisfiaiqa ?er« i,wmn,\ .uril I.nii .. . " T«n«, '•••"I la •• «ouvarntmanl vvuTViuotuoiii uoing .le.ni,i, postier brotoii, par ,t,',a et d'espoir. .M, llloanen demaiidu lul-nii>me à rei osaire lie .siM-M'illaiicc pour (Jiitrrum ; /.or ii,/y,poslloibr.'loii, par/>r,i«„„7,-. C a s t ueiciir uppali à pirtisiper aux nigooittiona da paix, les dernici's sacremonls le vendredi 4 f.'.l'e\.'i-cice H'Ii; et .11111 coin(1 di; Con l.;r poil •ie cir- lîrost. - , — -mallraul paa „fin „ aux a o i i i m e s i . ' f « ' y ' ' ' " ' " ' ' " . '•uiiiIlKl'il. postier bre- voir M o r t sur la rout(!. — ,Iejn-l'lerre l.e Hoir, vrler. Il viicut encore ijuuire jours, conservant le na hoatllllés Miis.salreadjolnt |ioiii' le du 1 1:1 »U .1110 .. 0, miniHli'clH fi'uiK. " H n'. i™ a- i a aqu'alla» o, .lu <;ii.-it. n . i ciiliiire. que U Balgliiua aoit ritabllo dana aon pt^''''''"'''; -^'«riti, postier tnOine .saline, la imSnio soumission à la voloul.o •i.s ans, forgeron, originaire ,1'lrvillnc, a ét,'. cas d'cmpi'cl.cillent du li.Siidre.ss.' ,iu .ioiirnal. ndipandanoa pollll(|u« et «ooHomlqu», al '•^"''"''•l'' d V o n r d mii' lil m ' c ^ s trouvé inoit duns uiiu nielle du bourg. Le -c divine, deinundunl i. loua ceux ipil l'ontoiiralenl Kl.IN" «•mlnnini. ,,|UH r'.|r.,|lo„i..nl U i-nvH. , L Iwaamant Indainnlaéa daa ilemmiua» qu'allé P"'' ''"i'"''' «l l'gneii-, Maruc', do uvcc lui lo cliupnlel. I.o mardi .s, i, vnu di' jnli'iix HSMIIIM' la p a ' r . i ^ a aubla, Ella* pritarout leur «Ida li la Balni- M"^'' " ' ' I " " ' l-guen: Mureuil, deuxréciter Colloriïc heures du matin. Il s'endormit dans la n n l l é U'iiollon, niiccsiilKi q u i „ <1,1 , V 1 " <|Ha pour Rsaurai' aoa rolivamant camuiar- r ' ' . " ' ' ' ' ' ' ' ' ' ' ' V " ' ' » : •^''ï''"''. Pus- paix du .<nlfinonr. Il avait .soixanle uns. Citations.- l.e capitaine .loscpli, langov. n i a i at linanaiar. 4tn«MAlA.. a. I I:lei m *' liri^lnll. /)i«ii m ti ........ T.a breton, Itni< pur Wf,i,„ii,'/,-ri^o,'(,„a,. i i ii',j,[f olal Maison Frapçaise (Foncée en 1855) .lu 1!!', .1 s'est romaninablcnieiit comporlé peiïtjuarunte ot un prûtres ussisti/nuit aux obs^- (lunt Dim.. tf.V , Irait breton, par lleiiiiicirlfyiyoroux et de t;iiampag»c du 2:i sepJrT M , u n i e C I' 'nKi'iii'.. .ifncl.'ii On so doiniiiido 00 ,|iii 1. pu ,'cndr,' c l l r Vgmn. qnos, qui euroiit lieu le jeudi suivant, .Nous v lombrolesauallaqucs K oclobro KM.'i. Ilravo, eouriig.'ux, • e jKoldi'o q n o p o u r l'.'nllMi'i- ™ 11, . ir.'lio niV..ssalo.. on i.ui.' avons remarniii! ,M,M. les Curiis do l-underneaii, dévoilé. ïiié glorieusement lo i't .lécembre l'.ii;;, ««liMl'oncn t'iili'C^I.'s AIII.'K I I . MI.. . ' lonlos los d.ii'lar,,llons il.'.Jii fiilK" I.uiubézcllee. Sulut-.Vurtin do llrost, l.esncvon pur un l'olut d'obus de gros culibiv, tombé sur • Ji!0iit C'Kiiii.mc'm loiLÏS 1... .11 . n , Ôon du roll,''Ke l.ulltdroii : /••', poslier brolon, pur birtii/i el iino l'iabennoo .. . ; .M. ; le. .^Jupiirieur , — - r . - .de ' l.esne- lo poslo de commandeuiont. u |ven;.M. le Siipiirlonr do Jumeut do trait ; ./.,/;«/, p,j!,t|e,. breton ^l» Saint-.lovepli, Saint-.losepb, elo. l.a Joseph Tanguy esl lo llls du sacrisl.iin de Col«•fUlX do ct'llij .iKsi'mbli'.. N iili'i. .1, ; m i l «o «'Uipivaa tomolsiia, tui.iui^i.,.. par |.[.r .Sli.l «Il son «u /.ihltii et une Jument do Ir.ilt : lùtol. iiUinr I P^P"!"""'"'® lorco. .Vil grand Nirvic'o chanté pour lui ii f'olloiv, breton, pur llevirul cl QiiUhiiii ; Murlèlcl l'os ' Pi"""'""!""'presseiiiont, do I" la l'econnuis.suuco.qu'elle reeo«nulssiinf'u..o,',.n,, ixunle 1 ,M. Kortin, oiiré-doyen .le Dlifiloauiioiif, pr,''si,lu ^ « I I A PRCPUL'OH ,,U,' 11110 R.>NNL,'I; IL.'R " B L ' L tlor brotou, par Wu.s.voii et llohiii^oii : llaru'Ohtà •M. (Jlonnoc. Kilo conllnuora ii prier pour lo repo' la ei'rémonio, el ,M. Ilozec, reiti'iir 'le l'Ioiiév.v ie, f w e ( / 0 Sl»m BREST Rue a» ta MaM«, 3e |iu.slior brol.ui, pur fiim/e/ et uiio iiimoiit de de son lime, eu union «voo ie.s anciens .lu i:ol du I''uou. iloniia l'absoiile. .\n clmotiéro, le llooirult.pri'sentu) ; Ai/W, trait brelun, pur lien et b''(,'n do l.esnoven, .pia .M. liloancc oiuiu nnss toiiunt .hicqucs l.allouoi, pur.'iil el iiinl .lu glo î?..'lll: t''" inlnlsli'c/i'nii, f'iiilt'niKiifrl postier brolon, par Util et Jusqu'il lu lin. .ieiix défiiut, proiion,;u un discours ologieux et 'OUI' l u nmiiHrd'UM'c. a^HcoIe CiiMroiifsel, patriotique. J ^ ' l . lli. Il cil (.,1 „|, ,p|| ,,„. ... , p i n , lliiAsi'AUis, — /«ou, po-tlor breton, pur i;iiri.v ï" .lean l.oiils niii'Kiieii, dn l',2-, de i'„,:.,voni,; : C o i i i u i i ' n t f o i ' i i i u l t ' i l « M t l c i n a ï K l o i N i W i . , (•..ni'oiiii.i irnii 1,1,'.In M, 'i'.'." n' „I .'I.' etiino Juiuonl demi.suntf ; A faim, postier breA accompagné de bonne volonté, pour iiiie I..' iiilnlslr» de si sal,! j.inr ton, pur JJegoii ot nuo jiiineiil de trult ; {.aiiriec, uilsslon périll.Mise, Is sorgoiit HIbler, aidant as 01' noiloniont do iionibi'onses domandiis .!• posll.M'br.iton, par «.•,/,>,1 .d une Juiuentdo Irait ; linsl il recueillir un reuseigneincnt MiVessair.t ill ^ W / i f ï ^ C / l THOUWÉS"' ^ ' On dit que le ciliii/eii Coude u reni une Mire pour ui;,lii-.i;o'iivro iigrloolo (poriiilssions, mii'ol. perinetlii! nu mouveoionl iliH'isif. 11 .'Morl un roiinie en ces lermcf. ' M I I L • rSAStii BRUFAÎKLT'-" BBEZONEli'A VË£ KAC?ÉET birmallons il'.-'.pilp.s, nillIsalNi do, ..rlson i r l î t p r é Ï Ï t é . ! ! ™ ^ ' ^ " " " J"""-""' WJ '"-lull.ui, .lipl,.mJ ;rn," ! .1 ^ d.uii.p le Aï sepl.'iiibio lillli. ilor, (Iç «ii.'rrc, i',''rn)iir'.s, oie,', ; Il ue pcni ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ n.^ vvvi.i:.;, - • llaiioë, postier brelon, pur DellIl" l'ierre .•ili'i viiiou. l.ran,.'uroicr un m;-, ,1c Caniurndo Coude, Il salnr lo iiilnlsli'o de la Kn.'rro aniinol m.l)'/; t woroii.f «l l.orU Itinulu-, Jiuiiiiili, post.'.llcltalioiis pour ton liuci'c.ie ii poiirsuiv>'<. liérandoar,'- : i, l.,i .S o.'.lolire 1|1| h.Wité 'Iles n.) ro.s,nrlli.,.'Ul pins ,llr..'i'l..nionl il. tier brelon, pur lliiral et Ùnivuiirl : Kuclniiui-, la Mes 'ous un fou violei-t ,1e luiliaillcosi' siippresslon dus marques Ile respect aux ui a ostaliolo puis l.'s inosnros de (b-'oonlrullsalion poslier breton, pur Creacli-MnlchUsi ot l'iiaiin ; inonioi's mililulres. la tiancbée pour allor r.'Iever on apurai li',':i Kiiol,- ,K' •M' f;i.,.iL-sd..K rri^. par lo K..n.'ral (b.lll.'.nl. l.ifiti;. postier brelon, par l'iniMre et lléiiia • ,A vi'ul dire, cela nous loucbo bien peu dorciiu- griiivement bless devant no» ligne i-ert,.. 1.0 inlnloliv do ; no ponv. -otuiie a Daoïiliis l.miiiTfiir, poslier breton, pur .liiiiiio et une in vaut, la plu|)urt des uillitanls socialistes ayant i.c ii.M.,li line os doniiindos an.x aniori- meut demi sniitr présentée ; Minerve, postior bre été raunmés, couinio inul, ,i l'urriére 0(1 d'allloiir i^iu','." I on"'d.' '' : '7,r..,,!;,';.",' liti'>>lofl .t»,.i,(r. M I,, l'J!/. ^O If cîl.Jc I.'H chal'K.'I S do b iir donner la snilo (iii'oll.' ton, purtoHiin/nt uiio Jument de Irait présentée se trouve notre place, comme celle des député rAuincl.., qnl O.MÏ, I ,i|i " ! i™ , Ecrasé .•jous une souche. Joan -Mui'i luporli'iil. Il on l'i'snllail dos eomplloullon •Jiup», Monl',.||„z Iiok vol"iri .IVlr ilonl.p, g i i.Mi'iiiiu. - - Çiijibeurcr, liockncy, pur Ouiiy so trouve ù lu i^baiiibro. Sergent, IS ans. donn.sU.pie à < u'S ar liroa" li'-):i Louzou evit an Dreo •erliiiiv l'I di s pi'i'l.'s d.; lonips qu'il lui .'.".'.''.I.'!.' ^nnr. .1.'. nnHiOKii.. •.'nncrn.an ^ ipi n... u, '•''!.".'.'/'!»".• >.m wjiwn; (•'«.in'oHi', uviieoiir, postior brotou A propos, l'ai-je remercié de tes voles en luveu élult purll déruciner uno souche -nr un lalu> porlc il'.'Vlloo unssi bien aii,x IIKI'I " «w. 1,1' hinncl dii Sl-C.olliai'.l ..,1 r. l'in.i (l'Iciilloiii'S mr««/„s 0/ IleiliiesH et /.urd Hainlu ; Jeil, los de la loi Diilble-i '/ i.'oiunic 11 tur.luit ii l'entn.'r, on ail , I'. re .-lier iiaii.x n.liiilnisiralions civiles ol m nudiiHiiiiiil an romineroc l)',i'|.i. .'Vn Dreo, ar c'lileiived-/.e liag a giisti/. Ivement ar vi;-,'a!.\ a d e 2 1 h e c t a r e s mllllaii'cs, lor brelon, uur llelton Mail ol l.unt naïulir. JaMais comniont us tu pu luisser cot imbécile do clior, et on le trouva écrasé sous J souche. Il n doii.i iiai'ii u.'oosMilr,. d.' l'i.'nKuiun. •<jni' lu llMIîMIon d'uni' (I.W'liii'ailun dn »„„,. l.ia. lien n-iiev(,>z a zo. .liez kenan .Ja Ijarea. An -\o!iiiii .\IOl'i.'iiKuiKnor «rte», iiostior brolon, pur .tiiriuo ot j/arol : UrI/on postr la quesUon de savoir si le t'ouverl'Ioniodicru luondo iiKilcIo Kiii- los foruiaHI(.s l.aiiuuiufi-, p nostler brelon, ut uniî, neineut et le huut .•oniitiandeuient oui pris toule» fll';i;L, euz l.anderiii', Kliianlel; braz w.ir an aoi'.a bnizeier, d." îd.' ei. c o«iiK u p ed s d e t a i l t ï s '•' roTull ' Aniii/iiirtic, • • par Siini-I'ciir . . . ige, au o.i.ti 'S aux doiiiandos do l,o In Jument duiul uiu santr,' KmUauiil, postier bretou les inesnriis requises pour mettre lin à bref délai Fourrage incendié, — Un incenile a . on „ . lien deu'/. iievez liavcl enl louzon liai; a Ijai'c ar c lilenv.j.l diiimn!ui;e .!« b oun l'I-dossoiis diuino. sons iiiio forum fa pur t'm du eii 1.1 f Hi'f,s( Slar «t Jacuk ; lloëiln-, trait breton sumé, an vllluge de Kermoal, uno moule .1,; ilan Cl/, derv,'/. l-;n dcrv.'Z Uenta .lio'lilu ar lia/ a v. /, lorrct enl Si » iiorro ù la 'ilo h Mlsli', los liidlonlloiis iilllos à ool cf par r^siitet Jacob; Matelot, trult breton, pur r i I o p i l i t j - C a i i i l ixit. be iicrz. ,M'cst avis que tu devrais fermer le bec à c paille vulunt uu millier .lo francs. ' dt Indlqno les unloi'II.W olvllos ol inill I hog ol Cupural- i , I r a i t , "pur floj/'ôl'f/àooi'i,/ uj'Md r N i Ii'iill li'i.n,pli.,<. • • visilo-,', A ^'riilicisi.r fio tjvverzot e vez ciioll apolikere/.on. bavard. Saiii<-Séf>al iiro.s iiii.xqnol|»s oll.'s dolvonl ^'ire adi :•!. Le I l i u t , gi i ' r i z : i /i r f :il llfUc ..npoi'.! PuffHli',. n i i l k i i i w KII,' ..»! par Ilooreusomeut qu'ii lu «.'sincedu 10 il a raeliet,, r,'nsoi;.„v,(.cii(s, Incendie. — l'ii Incendie a détriiil au I on,'g. Ouz ar priz-ze e niaiidat-po.ste al louzou a vo ;,a« «•JilciniiH.nl pliirt c i n p l o N o I nV 1 n, , ^ ' .Siroiti ot/(lit;/J^/oriH/i liook sa hiHIso. on demniidunt uii KOuveriiemont s'il —. W. .ifwfiiu. ;, Siiiiit-Oonutu, o(ll,.l-t/o,l(lis, nooKM- <i'-,, t)c.sei'l. iioloiie il un hangar couvert en •:haiiuic, et dcpi-mlant ,l'e d'cou'h belek lio ti. 3!.;:LI fl lioiii' .J,.'s KrancolAliHla s .Ni, ?.. i r . Homme» en «ervioe dans )R aone de [loy, par.s/oio et/(«/loin ; Aria, posllor croit avoir siiinsamuiout fail en ueceptunl coiiimo lu Daoïila^. ferme oxplolt.'o pur lu fumilie l.e l'ono. I.,.s r i n t é r l e u r ou danH icn (lénotii bro on, pur Hemi/e cl ttenow ; liitec. postier ministres les trois ou quulre inllltanis quo le perles sont ('vuluécs ii -l.'iO francs. d e l à Hone dea A m < o s brotou, pur l i/iiim ot J/aril 'limes ; Jinvur, pos- prolétariat lui nKénérousementiii'étés. Sans quoi, v n B f - l U u n i o n non . (>(ni.|ii',.|. l'i \ ' , i i . , i „ . 1 • T i ' o u i e i i r . Ii.ii... Parmlaalona agrlcola» IndIvIdualU tier brotou, nur Cui(rageii.c ot llarU Limes ; vols tu, Je m'upprétuls ii lui envoyer uii .suvon de .Niam, J3i'tol i f " ' " ' l ' n ! " ' « " "li.'.s ' V . i.Vu n ; h'v 'i adr..sKOr iiiix cliofs lil('i'arclili|ni's saisis ill- mr, poslier brolon, pur l.oril Dadt ol Deniiiarli (lui aurait senti autromen'. quo ceux dont Le pjj'si... Ilullcnni.. fIion.\,(..iin'inils Incendie. • Mme Jiiouon, do .Malmiroiic. amii •«ol.ui.'Ul pur inloi'..ss.is, |.,'s daman \ iguiiroux;C.orHi,,ml, postier brotou, par.lna 'rréliuldlo s'occupait Dngu6re. Cmiliiuiiiiioii A-l on ou oHet Idée de pareilles questions dan., jllumé du feu pour préparer le souper, .-I fiait di's do p.i'iiilsul.m doivent .'li'o u.'.'.uiipi et/"(U/isn,! ,'Aaniiii, posllor brelon, iior lier M e ol unoJutuoiU deml-sung-; Aenii,tri\ pos no» milieux .Mettre lin (i, bref délai & luKuerro I sorlle ensuite, l'eu apri's elle enl.'iidit crier .. Klioos I 1' 111 oorlllloal dn inuiro do la oon l'tlul' (le l u Vt'iKc \()loii(itFVc brotou, pur Doiiarneiiez cl l'arlisan ; ku i;o désir se comprend de lu part de» paysans enfunts, en mémo temps qu'elle s'apercevull .pie niniio (I.) rinlérossi''. (l'csl M.IIH SU rosi,on- nm, postier brolun, imt Deroyim ot loe/. cil,'z .M M. Vadlai. an bo.iu; iKunrcs. Mais uous les conscients, bleu 11 l'obrl la maison était en fou. ,abllli.'. (|no lo maire corlllle (pi., le lulllli ' de l ' i u H ( lit'>. l.e pins petit des enfants, qui éluit duns son . T J / H I ^ ' r J i " ' " ' " ' ' ' - il.<""l "iiiff norniiind, pur hors d altelute mi^mo des bombes des zeppelins O i i i i n i U ' h t ' VO r«'-vr..>.»-, ù 'l'oiiles les iiiaLidics doiil soufi'r.' la f.'iiii.ie. pi o.ènuo, « »' Uéridu, postier breton nous avons iutérôt ii voir' la Kueiire durer .les berceau,et n'avait pu suivre les aiitr,.s. fol sauvé ; viiuiiiciit de l a i i i a i i V i i i . s e c i r c i i l a l i o i i du s i i i i ' ^ ' . ( ^ ' i i i i i i i l "" ' ' ' ,'',!/<'» i l'osl 1er breton, par anqéoa encore. .Nos salaires ont presque doublé. c'est tout ce .pie l'on eut le temps d.; r.'tirer midi. .M' 'l'rûmoin'. vi-inlr- ' " • • " W : i'.ÀII.anu. ' m I o n , n o , ' H le ooiiiplc d'unlrni'. .îanj.: circule bii'ii. tout Vii Mi-n : |,'S iicris. r . - s l o Oiisuppose qu'une étincelle, échappée du foycr^ Tou.s lehiiieiilile ••llleill-.li.plK, CfUlpai igrloola» at homma» lioK» réoU' PosHof^''»' Kt puis, plus la iruerro soru lung;u.}, plus il y mac. le ca'iir. les n.ins. la I0:<'. n'ctnnl |i(iii,l ciiiisera toinliéo sur le lit tout proche, et y aura mis 11 nous beaii\ liIs, lltehc, linge. i.;lilaura do» cléricaux de descendus, ot plus n i nili.', co ffn'csl' . ..v.'iiii ||. l'oviinin.. lui» |iar la» «grtoultaur». - S'uilros" o (1 k }," •''"'I i/u/ iii, po.stlerbro ge.slioiiiiés, 110 loiil jioiiil .soùlTi'ii'. l'ouiiiiainlei.ir ces ; iictériel de debit ot .1.; (WKl-i'..,nl<|iio dil. pMnoo do^ \ 'IH onniiiiission iff(.«rlomeulalo n " 'I" ' « I ' P''^sen sera (ucllo pur couséquont d'avoir la ninjorif le feu. . . . .1 ... lu un,In" lll .'l'Ile lionne biiniioiiic dan.,-tout rdrciinlsiiie il . ' s t Les époux .laoïien, qui no sout pus assurés dilns les éleetlons à venir. rtloll f. i'..iMiinni.n;M.i' sur do 1 nvoi 1.» d'fnivrn bonclieiie, cliair •Ile, paill.;. ' " " " i ltéo. ô •••, siiiKounl n;»... h .. lu i.> pi'l'fOCllIIT. iii'ccssaire de faii'e usa;;c ii iiitcrv.'llc.s j-.'giilli>i,, iprouvent uno perte de 7;i0 francs. Tiiclio do faire comprendro cela ii llrizon. I.'Iliill.. H'crt 'Hin,., insli. ,'... À"v lo iV foin, ii.iiiiei', r.ii •Lies aiiiid un remède qui iijrisse lï la l'oie; sur le Huiiir, IVsKt si tu trouves lo moyoïi do faire crier quel - l't en terre rl i|iiai)!:ii-si f <»iiii<.. cl les nerfs, cl .'-^eule m.VLV,'*"*'"''. '«"•«•"n». réparateur» da ques nouveaux sous secriUarials d'Ktut. accept d'au;ie< obtels. B O i T H A U X L K T T H E S V u 131 i> i : i t ajaclilna» «Hrloela». Froiaaalon» dlvaraaa lo premier poste et résorvo-mol lo second. :• 0|ù eu nu. l'^drloultura " le t r a i n . — .M. Jean-l'iorr,. I .0 Pouce, volllo au grain ii propos dol lmpOt 1Sous Sa, r»M»,;r h Mikpeolenr dos .sursis do la Nous ho savons si voli'o inf'i'o osl en droit -Jr.Roulement, uns, employé do chemin de fer ii Saint-Ka««•liloii (ifti's. Kn toils cas nous louons ,V . éKloii (.1 o.xeroo lo i.rofosslonncl. (An cliof les protHoiirs do la Rîuerre. Il ne faut pas CABINET DENTAIRE do i'..ccYUI|. aulro cliosc. Kilo poiil, on toiil qu'il nous frappo, ce nesernlt pusde jeu. Hou pou ...lire, était venu eu congé ii llouarnon,IZ, (IVCC Sil llm do la • li.'iit r e n i j i l l r ces c o n d i l l o n s . p a r c e .qu'elle est coine- '. W (.<«, r.,;- •/','««. .vc «MljAll'C l'.ixl.in on dolioi'»'!" IIIIIIS. l'oiii- lo In li\l«. do ohuquo urrondlssoiuunl osl eus dl'inaiidcr un déjiOl du réslmont de son les bourgeois el les Kalonués ; mais pour nous, petite lllle, ligéo do -l uns. Pour re iuilrc .son poste, il élult rentré par lo train ii i.iiiimjicr p u s é e d e p l a n l . ' s . sans au,-nu j , o i s o n n i p i (ci.ii. de la l'U" de iSi.iiii) i.luil, ««j»..iili'oi. noim niions fi v„i,,na plai'i» 111 Inspocleui. KOIH'I'UI dos sursis.) les prolétaires, c'est asso?, quo nous prétlon.s nos c l i i m K | u c s , Jiarcc <iii'clle p n i ili.^ le siii 11 s'était endormi duns son compartiovcnl ; allitla .1..ÏI-J-1' vollurlari-toreitlar» bouiUK^s,. et que nous noua prétious nous-mêmes et .'\luis c i r c n l i i l i o i i et i l c e o n g o s l i i i i i n e le» o r g a n e s . Doclwii' J. M . U I J J l j lorsqu'il s'évoillu, Il s'api^r^'ut que le ii'.iin le V ^ «orall .'vl,l,.inmorll p |'|i„||(. „ „ quand uno bonne oecaslonise prù.si..nte. ' i ^ î " " " " ' " ' ' «o"»"»'» <l« bol», Ole, - - ^'u.. Les méri.'s de fainilb' l'ont pn-iiilrc la . l o u i f i i I.:a va bloii, d'ailleurs, .'a vu ii luervoillc. .la- rcconduisiill fi Douarneuei!. il coinuill alors l'im . I t e A j U r l c I i l o n s l u t i i i r o / I™ di'Osscr an uonsi'i'N''nlniu' des oaiix cl foi'/>l* dil'ai)!»' SoiM'.v il leurs Jillellc.s pour Ic-.r lie Ih /-J, ,//(,. ftUmais Jo n'ai si bien coiunris le refus des rcpré- prudonco de vouloir sauter sur la vole. Il toinba r r l f s l o . d u T.nvoon 0 do V a l o n a r\di'laii. rcr nne bonne foriiiatiou. Ex-che! du «e.-c.iv ,li'„l;u,c t'i'l" "'"V""" tontanls du parti do voter les crédits pour les .'0 lapporall presque ,'nllJimi on (. 1' L(.s dames en prciinciil pour .'vili'i' les lijigr V . ni.i,„(.,l , armemonts. .SI l'on avait laissé faire les putrio8ur»l» ! ilalon'nlara. • - s'udrosHO|. rin périodii|ue.s, s'assurer des .'poques icgnli. imI'i'î ./•"l'ondalil ..ntiuiio' m p»i(.|oiU' dos sursis do la i'|i„|„|| oi'j o,xoi'cn lo tards, la France aurait été prête; ii l'heure du KKtrnetioiiK sans douleur. «ll'iilH oi'aljtnonl lo p,t|.l| profossioimol (m, dioMion ilo la nW) 1 m dankor, elle aurait disposéide tous les canons né:>in>ie< («ose «le .IctiderH Les iiiiilade.s .|ui .soiilfi. ni-.le ma^ i i a n l i | . i i . (ini^R ,î,'.|enr ninr ... Ils 110 oo 111 ' I lu ro , Ponvoni sniils uldonli. dos su'sis l" cessulres «t d'abondantes munitions ; ot nous, les o.\ t',\i!i,i: i;i!i;roN Ifuli.'S inléli,'lires, siiiles de ccuftj»). Kn.''l'o liiulns lu pi^MI Kr.'o, -rniil lo 1 cumuriides, nous aurions di1 rejoln.lre le fronlot d,M,.nicni'M d'Olii 01 s .. aiiprcni tJANB I,A .MAISON .'lies, pel les bliiDi'lies. m.'li'i!.. i * «"Il qun ION l'apporls onln li."nos 1 ."S i.lniuilors y rester, pour la bonne nalson quo nous n'auï "il""';""'" ' ' " ' l i n l P l » l ' i l un «IW-I foiil pli.lôl l,fndiiH. Kl lls^ 'olnnioi ln'onics.liéii,orra..;ies.luiii.'urs ti'onCHUTES da MA TRSCE^ rions rion ou il falro ù l'aiiridro. ÎK"n*^' r-^"'"!'!,"llnnHi pliil.^l do pouvoir .''Oi' veroiit l;i giii''risi,h en eiiipl(,\ 11,1 In Bravo, (ioiido, pour la clairvoyance. .luiiv<>iifv de l alilx'- S o u r i Kt & toi, & la via. | REINS FLOTTANTS ÊUnérmlrB paut> toie c.'lles i|ui cr.iiglieiit les ac.n.leiit wili S.'i''"!!'''!.''"'' r PPlnl «lll «•l'toiird'iief^ doiv. nl f,aire un.' eomiiierett. NiliiiV ;..i lio ii'tî ciii'i'avec la i l i t i i t e i i c c de I alih<^ P«rnl»»leB» agrIooUi «t t u r t l » , - Kn prlnii T i i "»i ' " ^ ' " • « ' ' l o . ocH .loni'H<ie l'lo..daJiii<--»'.e.-«ti.i)laceau BRi:ST Jvag il zi«!Ziimancliou, nag a boaniou, iiag: n?*®'? îf.* PlonoMU'io; Uuen Exijer et rî.trjit îSour.v pour aider t.sang .',. -, , !L£I V l ' " ' I " " >•<"''"FIIICOR,^fl on olpo nuoiiiin permission agrloold ni n iiVnnUoL 1 nié. ' • bien U n enf«nt tombe du t r a i n . - - Mme Jour- a faniillou lultoat bonuiez e kaoïi dro berz Uouarnono» î Pouldavld lui'sis no ponvoiii oiro aoconlOs V i ni i i" 7.; " I " ' » ' lilaeer. et éviter les maladies les plus daiigi rcus .•^'adresser & .Mlle IVovos-. l'"lkftjii'<. M o n tluK q u e s t i o n s ^ „ ' . „ „ „ ; • .•.v..i..in 11 ...1 iiiiii-i —'1 Iri^boiilj La,luoli, -- r, l'oullan ; Beuiee don, demourant it Cllchy, Qri'lvoltftBrostdlman- — Itlouvcd au DI«kcun-Boii7.elU>u. lie. H l'loudaliiié/..Mn, LaJOt'VE.VCK de l'Alibt'S(»u|.y se trouve dau8 ?„ii "" T,' îilMnl'Klon.- 10, l'oi Ci'ilx Au cliopur l'oxpress du matins pour passer quelques I . i i l i u u i - c r i e u ilouar, c'iioiil liag a zo. toute.s les l'iiarniacii's, :i fr. 7.'( I.! fla,>oii 1 Ir. :iii m l «l 'ïii,.'^.' "" I11«- : ''Iwlilneo; KsquIbbiM.-- / î tlou Joui'» auprès du sou mari, niutolot ii ta préfecturo dre lio labourlou.-tcnn, o lirasocTi risltl franco. L.Î.S ;) na.'Ous 11 fr. a.( friiiico giire, contre liDpliSîe'i"CooffSr niaritlnio. rni.iïL.î!'® '"'",llf"î"<''' Uulis lu *onu diMcn;CJildcn'(;ap..si«un,.-/.I l'ioeoltiPrlino lii «gcd n'ou'/, for.s ploii da gaoïit an iiilirmltei-Ji^mlr" I t ""'""L'I'wwi.t'ds;ond'fl mandat-poste adressé Pliarmacic .Uaif. Itiiiiioiii , r le (lll ( h/Ue«ii. Iticu» ""-"l"!»!»"'"" <Jii -H.ronlderffBti Honéis et l i o u r i L n -^ KUo était accompagné da son'petit gardon, i'.gé zo ; o'Iioui liiiiî o pcuz po dlMbcnii lum<li'!<''hnw fiayn, n'osl c* i i Sffi o.'l (dlof t l c r , il Itouen. do II ans. y.ellnii po cnr c'Iilonvcd ail Ijennat; IniK :i L.?!'..!"','.'" 'I"" f"'<',l'Ml>I". Iinilll,^ npr.\(. ooln (NoricK co.\n;X4rir iii;.\si;ioxuMi:xi.s .iiuris ) Au Pjissigo ii nlvcairpriis du Hod.y, la portl.>ro (7fln;rd\-'iïii;u;'ùn';réVi''jiAvizui^ ^'M'i".!'!'"". l'i'H plus lonS 1.U..V. u iUI|UUI J UlllUllb qucmont, et lo pcllt roula ii terre. lin dliopoaulou : oo'h lieulia lio L'enteLa iiiére airolée voulut'se préolpltor & sou se- ar lion, lep en «.m 'zieza, hop cliniieli seurt '•lilCo d(( In'Kiim'l'O h dvulurt en llallo' f.'n cours. Kilo.fut retonuo pan l'un (les voyageurs. obed toare da vcva, o l(jiinoc'li da w(>let I.A H A t a ' K UU .MAKI.N' KT I H ' MAItNOriA'. b.'îje clieva- Pour prisotmiers de ouerre On tlru lu sonuelto d'alariuo ; elle ne fonctionna hoc 11lio M » o ' w i ' î î s '"ta m m " ' * ' ' ' ' ' "l'' intlrnillo a vont kult, liac e toiioe b da liCrc'aluinluluni avec uucre dorée, ladouz, ;)..',0, le coiil tr • irait II iwii, « f l . le «<>>.1. b a r e a «t'U lund. le inllln '340 fr. .^iitrcH modèles variés, pri.\ .«.ur deiuandé' A Hrcst, .Mme .lonrden trouva .son mari,, avec ; lîloiz n lizerl i'i'nuco. 4 (r. :t;: a deu Iicmdez d'iio druHaro- Pages, fabri(|UO do ljri(|iiels, 10, riio des (l'oncoui ls. Paris lequel ello coumit le long de la vole à la rechor L'. ^yiL"»'''!'.*"!'?':"'' 'lîJl'' " I " ! Iii'mîi kat da vvzi L'rcat nnaout ar n i e t b o d b i i r I.G l'iaiwt^i-e i>iÛ»reNi|ue chodo Icur oufiinL •/.HaU7. /.e. Hak-se, c'houi liag o pcuznoaii, Le prix de cJia.juo volume vous» «lu tournât d« ., bn'i "l'é ' ruinasséicl soigné par lo ganlo clioul ave inad d'oo'li inoiit oll da fiuout t «ton»' f en lil>i-i.irie cst de I-; Ir. Pour dliWt», «ll.omlii», Mofii», ar i i a r e r Hitéuiol IIH(«I, Uonmeulct gant Ifl «iim'uoiilTlbui) dniis •imuMrtd «Il bi'.l..!oii leo Il portait de» contusions «ux l'Oins et une lé- ar o'Iiuzelcniiou braz evit lie viidobol'ou. A «ii«rt...i.nii» P»rli n.«lml. «»SkuiiE»TVEtkMl£ b lisi. ^it l'iVouliMnoiil. à « te Kùro blessure il 1* léle.l novo/, o vczo Clin lion louez evit resco, uonaaclaa Cort nfcarUlM.viM.<ti,«m.). à I.»,. | (9 fnVV^'ico* ' ea /li;>i'iiii!0 (Tn artiUear nojrè. - iluslavc-llorvd L«ur Ked, niOfc'iKsd lia b i i u a l c > . Aux Btat* Uni! Hi'cst, 8Ul, 27 c'iiouevror, liOt. Oo'Fruncc. rout, 48 ans, oi'lghialra des L'Ates-du->\ord, ot !>f)Muov<>n, lun, '38. liOt, dos Trol»,Plticrs. ilioorporé au 3* d'artillerie, avait ninulfesbi & K a H l « l , P a o l , meurs, '20. liOlel .Monei!. plualour» roprlst» rinteiiUon d'en finir avoo la U i i i t l I v l N l o , . niuro'lKjr, I lueurs, hôtel vIo. Xqtllp*» 3'eutrUr» agrleolii «el.ql.ua, _ P " " ' " , ' - « . J»"!"» Mothlou. . . l.e lOJonvIdr ' l l disparut. Mardi, son cocp» a dujA'Oll. ( pnvmlSs.loii (Wpai'loincnitilo ' do la' innlnT . —rlOfllçn Mlinnul rtialn-d'wiivi'o amloow i i Aw l mU m <té docouvort'uu rade-ubriipar des péoliours, Poiite-Ki'ORz, laou, •}, liOlel do» Voya«rwiTM OHHdijlo do'Ja »|.ig,MU à Ift p r d f M tm^ 1-II AT nw A i!.'?f'.''"'i.<'n lliiison Ancien PrincipAl du Collège de Lesneven .Sur lo (ront, on'trouve une mort plu» glorleuie geurs. Kempei'le, gwonci', 3, liOt. du Commerce. èt plus cohsolanlo pour loï parent» l . o k o i i r n a u - l , e o i i , sadorn,.4, liOtol dos OiiesHont Voyngonr». k e m p j p , 8ul, .-i, lioiol du Parc. • ^ u f W M I f t . - I-O stunior anglais .ts/iiij/i, do Unan 'ltolikcn, otouca-ar/ ro zo Ulnulgot deoc'l.; - • stang , , niUa)'' « ' K«tik-KcHic>, lui), U. liOtcl deJ'rance. tonne», a 614 jeté par l'ouroMn «uv la {J®«i™iiBto, niours,,?, hotol Uol-'itanoe. .grève Moheii»» iteJMMdoim, (» bamiBen ont ilé 8 l r B r i c k , niero'hcr, 8, liOfél 'ite Ftjanijé, r<çuallll»;U paplteiHe et ui» matelot, aubavatoiit place ,danii un canot, put i u noyé».. M oorn» «.«p^iramp, sadorn, i l nicurs/ hôtel di) , E c u o n c pcb apotlkoroz. ild'OapMalûe aél« reirouvd. la Situation DiplflmaiiijM Ceux à (|ni coHvicjinpDi les Bons de lu IJclciisc .\aii(inale M t l î Breloie de Gréilit et de Ë 0 Bureau dasOi)niaines de Brest VENTE MOBILIÈRE (le CIDRE II. Un très beau Mobilier J.-B. ORBOUÏ (h) (loniiiiidc 1;: llïif I Moeflieoti! V ê t e m e n t s Confectionnés et s u r M e s u r e p o u r H o m m e s , Jeunes Gens et E n f a n t s ON DIT.. Goun^œOTLUciiE ÂDJUDÎCÂTÎON L , lies H a l a i l M la Fsniisej La J Q U m S r HWikÏ ".'.'"r'"''?' d e l'abbé SODSÏ HERNRES i A LO«ERiiriS::;':iiî DÉPLACEMENT DES ORQAMES a CARTES P0STAL1BS DOUBLES felïisbs* LOUZOU ar PAZ D e i a t y M O M B l t doctenr q i o l i k e r 8 I R 0 P CELTIQUE EO i 37' Aim5c. — N» 1.883. Snmedî. 2fi F<5vriôr 1916. PARAISSANT LE SAMEDI. JOURNAL FRANÇAIS-BRETON ABONNEMENTS z PlnUtère, CAtei-du-Nurd, Morbihan, ( a n an) 8 tr. Autres Département — 4Ir. C o l o n i e ! et Etranger — B Chanpimtnl d'adraua 0 I r . 8 0 avec la dêmtèr* banda Les abonnementa partent du 1" de chaque m o l i et ae payent d avança On comprend aisément que pour ces (laillards dire la oeritd consiste ù présenter ' la situation de l'Allemaf/ne comme très salis/ttisante, et celle des puissances adcerses comme très critique. Us daignent, s'il vous plait, s'occuper de notre politique intérieure, et pour lancer ù M, Caillaum une tuile que nous ne lui envierons pas. Oyei ptutàt : « I l nxUtc i\u Hôiint, <laii.s l'oiUourttgo do MM. OoiiiliOH et tilénifiicoiui, iiii« ccitulno S t n r t 00 h o r o'iialoii «mn lior c'hrelx tmiiiaiioo oïl «oniuiiltoNlffluitoiit l'iilUioiiro U n sturtoc'h ar Gronr, oiiii hor rolz !.. ilos iiioinlircfi du Comltii do la vue do Va Ois rcsttm lldAlcB « M. Unllliiux. On PSI uiuuilim; ù rcooiumiti'o la Ki'ttiido lialjlloléquu colul-<l ilûmonli'a lor» dus nOgoolnliuii» uvço 1 Alluiiin,«no iTlallvcs ft Afradli'. I.'ldi'n d uiio r o r iréo pi'OPhalHP dp cpt liommp d'Utnt mil' 11 soéiio polillque tiouvc ilouc hcaiicoup ilo partisans. » CEOUISBPASSG Il parait qut le Ootioernowcni rst cldeariiK' /inr f armée. Ce n'rnt pas Uti qui le (Ut: poutHrfl ne On nt il pas aperçu f lleureusmenl que rhK prolecieiir» (ft «tdvoiti'ti roUleni pow lui ; cl, romlredi ù la V/iambre. ils l' c in • eilaiont à foire respecter l'erorcice ilc son droit (te ooDtrdle sur toutes loi loroea nationale* mobilisées, u Apràs tout, M, CatUaux pas vold ce compliment. n'a peut-être Arabad zokon konta re var ar l)ansion. Da genta, ar batisiou-ze n'oz eo d'ar vinot'ediieniedpan'cjoumninmmebed. Pa joura ur vamni, d'ozhi eo ez oo ar bnnsion. Ha ma 'z eo an darn vuia enz ar niammou mammou fur, hinietmou a welei'ha n'ez int ket nemeur. Ile ail c'iioaz a o'hoU dont da zimozl enn dro ; lia neuzo, aliez, ar minorlk, ar vinorozik a vezo var lient lio lesvreudeur, e tiho mamm îoken. Hogen, dever ar vro a zo kaoutsonj eiiz ar re o devezo roel ho buez evit he difenn, diouall otiz an Jiouez ho bugaligou evel ho gragez. Ha pelra obçr ovil k(înient-«c ? Selu ar poz u vezo gwelet er Sénat cnii amzor-ma. »* * Un lillois sauva e o o soldats et Arc'haiil a vezo red er c'iicnfa pciin, meurt héroïquement. aniit 00, Le ta janoier 1910 a été siqné par le Da biou a vezo roetv D'ar rc «n em général commandant en cher, la citation gnrgo euz an emzivaded, evel jii«t. suivante à l'ordre de l'urmée: Uwella plas ar vugaligou-tnan a vezo Jacnuol (Clamlll0-i;uBi''"0), Pommoi'çunI a Mllp, PoiidnnuiiJ A la polnr caiillalp par IPK peiirlioiia II ho mamni, pa vjszo cUoiiAllinniindH et oxOciilo à la clladrlle do I.lllo, met gant-ho ho niamin, ha pa vezo-hi U) «opteuilu'c lOlri, pour avoir l'ijtrolomi, caphC, donné aldp et atsislani'c a dos nilll- fur. lia dever ar vamm a zo ivez en cm liili'c.H (rnnvftis et an(;laln cl avoir favorisé garga euz he bugaligou, ho zevel, ho lent' (ivasloii : ««t mort on liproH, lo» niuliiK desUi hagho c'hclenn liervcz ar gwella. llln'C'H. sanH liaiideaii, en criant : V i V H l-A l ' I l A N O U ' l'a vezo niaro ar vanim, unun bennag VIVI1 LA n U l ' I l I l M O I I l ' : ! euz ar gurent iiesa eo u dlevfe kemer Cel héroïque habitant de I.ille, ville où ar vugaligou ; ha kavot a vezo emiil était venu, originaire de Compiegne, se chaii.s unaii beutiak da roi digor d'ezho, fixer il y a dix ans avec sa femme et ses 0 veza nia vezo eur guehennadik arcinq enfants, était resté à f.ille lors de l'ar- c'haiil da gaout. rivée des Allemands, Courtier en vins, il An nebeiidig ha n'o devezo den ebed était Ires actif et très répandu. De nombreux soldais, français et an- d'iio c'iienier evelato a gavo goudor filais, surpris par l'arrivée de l'ennemi, eua liez savel evit keinent .se. étaient demeurés dans I.ille, Il leur avait Mes ar c'.'houîiriianianl n'ema ket ar trouvé des cachettes, powvoiiaH adroite- o'hiz gaut-liun da ziskregi ouz he arment à leur subsistance, et il était arrivé c'hant hep gouzout du l)e leac'h ez aio ; à en faire évader plusieurs centaines, jus- lia ii'e vc ket mad ato ken nebend. Hequ'au jour ou ri.n misérable déserteur, arteg aze eta, netra da lavarout. tilleur indigne de son arme et de son paijs, (Jwasa 'zo, aweohou ar c'houarnavint traHreusement lui demander de le cacher et de l'aider ù s'enfuir pour r.y'oindrn manl a d^»»! da aiikounac'haat e sav lie l'armée française. M. .iacquet, ne soupi,on- aiT.'hantdîvargou.st an oll, hag o tle nant pas qu'il pût entrer dans une àme drc ze roi skor gaiil-lian d'an oll, hep tant de scélératesse, lui donna des effets selloulpetra a zonjoni divar-benn ar civils, prépara l'évasion, et le conduisit à clijiou pc ar politlk. Divar-benn ar l'endroit ou il devait se trouver en terri- skoliou ha n'o ve ken, o tlevfe beza toire arir. Mais lu. des soldats prussiens iiwalc'li evlt-han gouzout ez intrenet apostéa par lo traitre s'emparèrent de M, Jacquet et le ramenèrent à Lille, Iljut pen- gant mi.slri ha mostrezed din,c gwiionez euz ho c'hofridi; da c'houde lidant trois mois incarcéré à la citadelle. Il ne s'attendait pas toutefois ci Mre fusillé, berté d'ar gernnldagiis hobugule d'ar hjrsqn'un malin on vint lui dire qu'il al. scurt Kkol a blijfo ar gwella d'ezho, l'.i'i Hre passé par les ai'mes. Il eut alors hag aro'liant iir c'houarnainant iucelte parole sublime : f. t.e sacrifice de ma galct elre an oll skoliou horvez an nivie raui bien fa vie des cents soldats ver ouz ho btigule. quei'oi fini évader. Je.^tiiirai mourir. >• N'e ket evel-.sn eo a c'hoarvez, evel M, .'ac/uel ést mort vaillamment, comme ma ouezit. Ar c'houariiumant n'o ro n u n & 4 — Bue da I M P R I M E R I E Château Kiisiimé iMpiiraliiins nm dit^H m siessssr^ m i m m à - t ^ M wiaM 11 uno contre-attaque nous permet de repren- E l i m AR BBEZEL * 'i •Maisil voudrait serattraper r4urlat_ _ _ gwenneg ebed d'ar skoliou kristen ; dre la majeure partie du BOIS DES CAURES, c-conomique, faire entrer la IJelgique dans l » F R O U T m U t J M S situé dans le saiMant occupé hier par Pen/.olhvrein (union douanière) qu'il projette, tud a zo ha n'eo ket eaz d'ezho zoken nemf, au nord de Besumont. Une forte atta- «t s assurer ainsi, pour le ritablibsement d » kas ho biigale d'ar .skoliou kristen gant En Belgique que allemande, dirigée sur HERBEBOIS, est son coinniercr ruiné, le concours d'un facarrêtée net par no» tir» de barrage. (Au toril- de prt-rniére iriiporlance. A cette nouaoun ouz ho mi.slri hueloc'li e karg. dire de» prisonnier», certaines unités alleta 17 fi'vrior. tirs de destruction ds nos mandes ont été oomplètement détruites au velle pi-ctention, le.s Alliés ont répondu en Uak, beteg enn hon departamant ez euz parl.rrit nel et ferme. batteries sur les organUations allemsndef l'orrr des raisons de droit international n bot klovet deputeed o lavarout : « Ar vu- vers STEEKSTR/IETE ot en face de BOE- cour» de ces actions.) Le 2:!. l'c'.taque allemande se dessine, ainsi a seinldé dinicile à beaucoup d'iiomma» gale a zo d'ar Itepublik araok beza 8IN0HE. Sur ce dernier point, notre bom- qu'il (1 ht.-jtque la n.-lgiquc-neutre puisse adhérer avait été prévu, comme tme action très bardement reprend le d'ho c'herent. » importante, préparéo avec des moyens puis- olliclellemeirt an pattede Londre.s. Ce serait, Le 20, après un violent bombardement de sants. La bataille continue avoc une inten- pensaient-ils, fairi» un acte contraire à ta Daoust ha lavaret e vezo kemenl ail nos positions, les Allemands tentent de sité croissi^te, et est énergiquement soute- neutralité. On porrt se demander bl la détrancbU- le canal de rYscp à STEENSTRAE- nue par nos troupes, qui font subir à l'en- claration (le Saiate-Adrchso, faîteau barou divar-lienn emzivaded ar brezel <' TE (13 kilomètres sud do Bijtmude, 7 kiloHeyens et acceptée par lui, n'a pas été un des perles extrêmement élevées. Arabad a vije. Arabad e vije astenn mètres nord d'ïprss). Quelques grsupei en- nemi Le bombardement ininterrompu d'obus do moyen très élégant de tourner la dilHculté. Ivii iouH cas un pareil acte montre bien muioo'li or reolenn heuliet divar-benn nemis peuvent parvenir jusqu'ï notre tran- gros calibres, auquel notre artillerie répond chée de première ligne, d'où Us sont chas- avec uue égale violence, s'étend sur un front quelle coniiaiico piolonde les cinq gouverar viigaligoii dilezet ha kaset d'an hos- sés aussitôt. do près de 40 kilomètres, depuis MALAN- rieinerits dc la Fr ance, de l'Angleterre, d® de r i t a l i e et du Japon, ont dana pital. Ar re-ze n'o deuz ken skol da Le 2.1. un tir de démolUion de notre artil- COU^HT (iO kilomètres ouest do la Meus.i). laa HUSMO, victoire Hnale. I l s jugent que nonfi U région en face d'ETAIN (20 kU. c'iieilal nemed skol ar gonimun ; hag lerie ouvre plusieurs brècbes dans les tran- jusqu'à sommes sftr-.s de i'cinnorter sur no» adverà resl du même fleuve. — Le» action» d'inchées allemandes, en iace de 6TEEN8ar l'auiillou a gemer anezho a die zoken TRAETE. fanterie allemande à très gros effectif», «aires. Car s'ils ne fetalent pas,, ladéclaraoompronant de» troupes do sept corps d'ar- t -Il de Sainte-Adi-esse ne serait qu'une kas ho bugale ho-unan d'ar memes En Artois vaine et inutile rodomontade. mée différent», se succèdent au cours de la sicol evel-d-ho : difenn d'ho lakaat er journée, entre BRABANT-SUR-MEUSE et II. - A u x Etats-Unis Aux abords de U route d'Arras .« .Lille, ORNES (village» distant» de 12 kilomètre» skol gristen. On <111 que l'Allemasne aurait refardé d'un Vennemi lait «xpleser, le 17 février, une »oulement i vol d'oi»eau). Au débouché du village de HAUMONT, moi.s l'exécution des raeriaccs contenues Raviroar c'houarnamant n'e vezo mius dont nous occupons l'entonnoir. — Lo il fait sauter une autre mine au nord do l'ennemi n'a pu, malgré ses effort», nous dan» le mémorandum, quenou.s avona anagreetgaou ouz au emzivaded ; ra lakaio ',!1. déloger de no» positions. — Dan» le BOIS lysé la semaine dei niéro, relatif i la guerre cette route. Par une contre-attaque imméI l semble qu'aux lîtats-Unta evez ma vezint savet deread: awalc'h diate nous le chassons de Pentannoir, dont DES CAURES, dont nous tenons la plus sons-marine. grande partie, no» contre-attaque» ont en- cette qiieslion ot celle de la l.usxiania soient nous tenons un dss cités. elle beza evil-han. rayé les oftcnsivos ennemies. — A l'est do désormais considérées comme connexes. nord-ouest de la COTE WO (environ ce bois, les Allemands ont pu pénétrer dans Mai.s les i-enseigncnrenls précis manquent Var an dachenn n'e c'houlenner ket 2 Au kilomètres sud-est de Bouchez), nous fai- le BOIS DE WAVRILLE & la suite d'une (onioiirs el plus que jamais les contradicdigant ar zoudarded pelra a zonjont sons exploser, le JB. une mine sous «ne série d'attoques sanglantes. — Au nord d'Or- tions abondeiil dans les dcpcclic.s que puallemande, qui subU de graves dé- nes. les assauts de rennemi sur notre ligne lilient le.> jinirnanx. N'ous ne potivon.-i donc divar-benn an dra-man hag an dra- tranchée lit». Une autre de nos mines produit, entre d« l'HERBEBOlS ont été arrêtées par nus •nreeistri'r que des bruits, en les donnant comme tels. hont ; oll ho c'haser d'an tan, ha n'e les deux tranchées» un vaate entonnoir, dont contre-attaques. nous ocoupona la lèvre sud. Une tentative i^c.s |.;tai» llni8 exigeiaient que l'AllePas d'aotion d'infanterie pour encore sur ket ar galoliked eo en em ziskouez al allemande pour nous en chasser est arrêtée la rive gauche de la .M<nt<^e. ni entre Ornes niaïne et l'Auti iclie déclarent onicielteiucBt net par noire fou. — Le lendemain, nous et Fromczey. luoska enn ho dever. ipic les assurances déjà données, sur la faisons exploser, près du même endroit, Par ailleurs, le 22. au nord-oue»t de FRO- .sécurité des neutres non combattants s u r Nag cuzuz a ve neiize dont (la lava- une autre mine «sus un saillant allemand, MEZEY (15 kilomètres nord-est de Verdun), iircr, ne .ser-ont pas altérées. I,e» bâtiments qui ost bouleversé. — Deux attaques i la rout d'ho ilanvezed: C'houi a nac'ho armes serilenient poi"- 'a défense devront grenade, tentées par l'ennemi la nuit sui- nos tirs do barrage empêchent uire attaque être .'i l'aliri de toute attaque. en prépsration de se déclanohor. — Pendant ho leiz hag a zavo ho pugaligou pell vante, n'obtiennent aucun 'succès. l^ auti-epai-l, l'affaire ne la f-K.iiIam'a ne la nuit suivante, duel d'artillerie lent diouz ar roudenn heuliet gant ho zad, ..Lo 21, en lin do journée, les Allemands ef- toute pas être déllr.itivement réglée feotuent un violent bombardement do nos et continu dans cette région et celle de pounait vant que 1le goiivcniemenl des Htals-Oni» ))e n'o pezo sikour ebed. N'oun dure positions du BOIS DE GIVEHGHY (nord- BAUTE-CBARRIERE. ait étuâlé les elTel.s possil)Iee de l'intention. zokon hag lio lozel arain d'ho c'helenn ouent do Givenchy-en-Oohelle). Nos batte- Sur le reste du Front e.\primOe par le» .^Mernands dans le memories répondent énergiquement. Néanmomi landuni. de conloi- tou.b les liraiineut-s marevel ma katioc'h, goude hen ober enn uno forte attaque allemande ne tardo pa» à AU SUD-EST DE SAINT-MIHIEL, tirs de chands armés. se déclanohor. L'ennemi peut pénétrer dans ho mizou hoc'li-unan ? On nrCte. à ces .sujets, i Sf. Lansing, senos tranchées de première ligne., complète- destruction do notre artillerie sur les oud'Ktat, la déclaration • suivante : Kizians am beuz n'e vezo ket klevel ment bouleversées, sui- un front do 800 mè- vrages allemands, lo 20 f.'vi-ier i l'ouest de ciétaii-e « l.'.\nu'i i(nic continuera à l'aire preuve de tres environ, et, eu plusieura points, dans la FORET D'APREMONT, lo '.'l au BOIS fermeté h'evelep gourc'hemcnnou, hevelep notre et exigera que l'immunité dont béD'AILLY. triuchoo de doubiemeut dont, à la nélrciaient les pa>nro!)olssoitétenduQàtOBS îîuurdroiizou divar-benn emzivaded ar suite d'une coutre-attaque de noire part, U En LORRAINE, nous bombaidon», le 19 les navii-esde commerce. » I,a lermetédea plus bientôt que quelques éU;- f.'vr'ier'. les établissement» ennemis do DO- Hliits-IJnis ne fut pas toujours aus.sigrande brezel. Ha ma vez kavet kannaded di- n'occupe meuts. Au cours de cette action, qu'ils ef- MEVRE. Un incendie ost con»trté. Au aurait pu le désirer; mais nous devprgonl awalc'h evit mont betek keit- fectuèrent avec un olfectif évalué i sept cours do la nuit du 22 au 2;). octivité de no- qu'on corrsiater que si le gouvernement de les Ailemiiud» ont subi des por- tre artillerie dan» la région de NOMENY. vons ze, re ail a vezo kavet da respont d'ezho bataillon», Wasirington a beaucoup louvoyé, i l n'a pas te» considérables du fait dii nos tirs de bar- Uue reconnaitsance ennemie au nord de encore capitulé evel nia 'z eo dleet. rsije ot do no» feux d'infanterie et de ml- LETRICOURT ne peut aborder nos lignes. La cani|ra(;ne élecloialc qui va s'ouvrir tràlUeuses. N'e vezo ket awalcli : emgleoiou pe DANS LES VOSGES, activité assez grande pour la présrdenc.e aura cerlainsment une fépcrcub.sion sur l'altilude des IJtats-Unia dos deux artillerios depuis-le 20 février-, sur sooieteou a vezo da zevel evit en em Lo 22. la chute abondante de la neige em- le front CUAPELOTTE-BAN-DE-SAPT. en face dc la grrerre européenne. (Je sera, il toute aotivUé offensive dans cette régarga, gant skoazell arc'houarnaïuanl, pêche En HAUTE-ALSACE, le 18 f. vr-ier. après ce qu'il semble, le grand ireruplin. gion. Dan» la soirée, nous parvenons cepenCependant le comte Ber-nstorf, amt^aasaeuz au emzivaded ha n'o devezo den e dant k reprendre quelques élément» de tran- 'ino iutonso préparaUon d'artillerie,, l'eune- (leur d'Allemagne, aurait réussi l u i aussi U mi dirige uue attaque sur nos positions au chées. slad da roi goudor d'ezho. se rendre indésir,ïble. On t'accuse d'avoir nord de LARGITZEN (route d'AltUirch à divulgué des poiir-parlers conildentiels qu'il Lo )8 fihriPi-, en fin de ournce, le» AlleArabad d'ar gatoliked choum var- mands ont tenté, au nord de BLAKOY (fau- SeppoisI, et peut prendre pied un instant cirt iivec .M. Lansing, et d'en avoir fausse le nos tranchées. Uno contro-sMsquo l'en seriB en les rendant iiuldics. Une fois do plUB lerc'h ar re ail e-kenver ar poent-ze. bourg d'Avras) une petUe attaque qui fut dans rejette immédiatemeat. — Lo lendemain, ac- les i-etations entre les deux gouvernemenla aisément repoussée. Setu perag en deuz hon Aoirou 'n l'Iskob tivité do notre artillerie sur les tranchées Au sud-est de ROCLINCOURT, rennemi a ennemies i l'est de .SEPPOIS et do LARGIT- arrraient alleint le ina.tinuim de tension. I,a situatloir est aussi grave qu'a» lendesavel eur genseurtiaj enn esicobli. fait sauter, le 21. uue mine dont nous avons ZEN. — Le 21. nous repoussons deux atta- Ilmain (tir t o n i i l l a î e <!o la l.usUiiiiia >, aurait An ilanvezed kri.sten a gavo dre ze occupé l'entonnoir. tiues t l'ost de SEPPOIS. — Le 22. activité décian- .M. i^ansme. dos deux artilierieii à Touest d'ALTKIRCH. skoazell lia kuzuliou fui- evit ho buga- De la Somme à l'Oise I I I . — En Roumanie En fin do journée, l'eunomi attaque nos poligou. Ma nemed ar mammou a garo sitions au sud-est du BOIS DE CARSPACH I..1 .sUrrution politique de la Itoumanie Dsns U région au sud de FRISE, notre (sud-ouest d'Altkirch). Une contre-attaque hebkpu a Iczo ho niinored hep lio c'he- artiUerie, de ooncert avec l'artillerie britancontinue à s'améliorer au profit dc la Quanique, effectue, lo 1K fcivrici', de» tirs de bar- immédiate le rejette de la plus grande partie ôniple-Mnletile. Ix-s Atlenrands auraient lenn var gwirioneziou ar feiz. rage qui font avorter une attaque ennemie dos élé-.tteuts avancés oii il avait pris pied. provisoir-eriient abandonne leur système rizians oz euz ii'e'vezo Icel braz an on préparaUon. (le trrenaoes pour passer aux promeasea. Dans l'air Nous l'avions dit la semainepa.s3ée : l'alternivcr anezlio dre ama. Dîmj le secteur de LIRONS (nord-ouest de nance do'icires (roides ot de» doucitCH^ Eiz dez Brezel . 4 Lea Blumaerlta non inatréa m» Mmt pu randoB La propotition était faite par M. AM Forr;/, un cetirande.,. 3r> ans, nui iromait naltircHcmenl t/ue tout allait pour l 'ritcux pendant qu'il/aitiait partie du ffouvirncment, il ii'ij a encore que t/uatro nioio. M. llriand remercia cumme il çonri.'nait, disant que l'ineiler rt faire son deoo r ejniralait 6 VineUer <i céder la plact n.n (ii'tre, C'eit ce qu'il .fera si In C'amhre rci't passer <4 la discussion. L'n débat semblable, sur 1rs roM'onn liii floucprnemenl avec le haut commnnd'mcfit. eut lieu tti/ a un mot» anec tnulu l'ampleur rk'sirtdile. Le goucernement n'a r^tn à ajouter aux déclarations <iu'ii lit alor... ' n ne faut d'ailleurs pas de cornii^io» entre les atlributtona du f/oucrneiui-nt et celles des Chambres, J.es Chambres ont un rùle immemie rt Jover. l'eut-on dire gue Inur ron/rnlu ait U i'iH'nntri une opposition sericus'::' Voici des rhi,(!re»; depuis le J" «occn'.rc. i'V missioni parlemntaires 8t' son( rendues dons lu sone des années, et elles comprenaient fK' membre» des deux chambres. M. iirianA est interrompt' à tout innlmt par les socialistes et les radieitur sootahiiie», r/ui applaudissent an mniru'n' M. AM Ferry, /l» moment du terulin, CK-rtU'.na, oiXi npiirohateurs de ce dernier hMteni refn'iiy dnnl ; ri l'ajournement de 'a propovtfon, (icmandii par le présidenl du eonsv.i, est rote par ;i?0 eoi.v contre tCiH, MM, Ooude et /.ancien Jlf/'t-enf 'a iiiinorite, rtP»e ceux qu'on a ap/ieU-'i lus d/iinoliilisâs <>. />/. /.e lUiiliUlu) i>ei>ri!patt pari au eole, M. f'aul Simon Had al'i'J'tl COIU;NT(N. comme inobKM, d't la eituti'nn. Quant nu dénonciateur, les Itochea ne l'ont certainement pas laissé à ** • I.ille ou S(( ne de traitre lierait en denqcr. /.a Chambre reprit ensuite ta di^nuaion r'iin projet de loi sur les b o n o f l o e s do fluorro Cette discussion s'est terminée nar^ notre dernier numéro nous avons mardi, pur l'adoption, rt l'unaiiimih: moins parlé, aprùf d'au/res journaux, d'un sujet une rni,v, de l'ensemble du projet. de composition donné lï l'école lidgar gairt-ho. AbaOuc, muioc'h erc'hreisdeiz, le soeudistc. Merlin aeait suii/w une Quiuet, et qui avait soulevé de légitime.': ar Rusiaiied o deuz gounezet diou gcar f.rtthosiUon tendant ù tu natinnaliHatwn proteslations, Le J o u r n n l dos l»(''l)ats ei le ail c'hoaz, Mouch hag Akhlat; hag o fir^ usines. H Kl' trouva 'lue T:' uulrcn soTomp^ ufjlrmenl que dans aucune classe lenn kazetennou a zo e c'hellfet kredi c cialistes pour fupfuger. de celle école on n'a proposé au.T éléven n> vije dija ar Rusianed dirak Coiistantinopl /e teele incriminé ni uueuti sujet similaire pe var ribi ar Mcditerranee. Amzer. Pcll 'zo cz euz bet lavaiet e labour an .Wouii nous empressors d" fiire échu ù 1.1 .Si'nat « po/t), le 17 février, tes civjiin am7.cradugai\-omp haghov inignouned. Euz Erzerounida bleg-vor Alexandrette ce démenti. additionnels demandés ponr tle.^ aouaAn Allmanted a zo deuet d'Iier c'hom- (ar c'Iiorn testa euz ar Mediterranee), .«leurétMJ'iatB d ' B t a t . lin de ciiu.r-';i, celui pvcn, me'gred, pa saillent hlviziken fccn «7, eaz iSo Ico, hag euz Erzcroum da de "oéronaulique, a déjà été sup/iriné; allez lia gant kement a himor. Gouzout Gunstantinopl ïSo lee. Ha gwir hentmais, comme l'a dit M. Gandin du Vilaine, a dleont en «m gavlmp e gwelloc'h stad chou n'ez euz ket ; meneziou avad a gaU's rivpenses restent, les tapi» aussi. c'hoaz eged brema abarz hanter an nevez- ver, hag hiiU goloet a erc'h teo d'ar /,/' Sénat aborda le mime jour la disvu :atnzcr : martcze Ivez ho fobi n'eo mui pocnt-man euz ar feloaz; l ' i u u d i v i z l i a g a vezo l i i r r , n i f ' g r e d , alon générale d'un projet de loi relatif aut kcii sur euz an treac'h lia nu 'z co bet ; Goud." poania da c'hounit porz Tréo r p h e l i n s do l a g u o r r o . . u z i g o r a z e r S o n a t , d i z i o u 17 a v i z dont a ra da skulza dreist-oll. bizonde, var ar mer Du, ar gwella /«' est du dcpoir do Ut nation de cnir rn c.'liyiiovr(Ji'. Hag ez eo red ncuze d'ar jeneraled ma c'hello ober ar Ruiianed a vezo, me aide ù ces innocentes victimes de la ijunrre. D i v u r - l i e i i n a r v u g M l i g o u a g o l l o ho .ikaat taga aman hag ahont ; pa c'hel- 'gred, ment var hent ar Saozon en em Mais il ne faudrait pas quc^'Klnt pousstil znd e r b r e z c l - u i i a eo. lont tapa eur penn-tranchee bennak, e gann c bro Bagdad. Ha ma c'hell an un protection jusqu'à les considérer comnir ( i a i i t k a l z eo c h o a r r e z o t u r ^ w a l l kviont pc c krier cvit-ho o deuz gounezet dieu armec-ze astenn an dourn an eil vr» bien dont il puisse dispostr « son pré, f.a plupart de cet orphelin» ont encore c u r - z e a b c i i u v r c m n : g a u t k u l z a i l e ciir viktor gaev ; hag ar bobl a joiun rei- d'ebeii, neuze avad an Turked-a veze houi'iroRu c ' h o a z o b a r z m u vezo (lu 90c'h çpad eur pcnnad ail. gwasket da vad. le-tr mère, houreutemcnt, fjui- l'on aidr Eiiu deveziou-ma, bezit sur, ez euz cette mùro ù les élever, rien de mieiu'; mais d ' a n d r a i l l . A r v u g a l i g o u Ueiz ; l u a r o d o a c u n fouge cnu hon enebourien : ha goulsqu'il «)// bien entendu en mi^me temps i/ua l'Htai n'interviendra en aucune fw.vn pour t a d f u r d r e i s t - o l t , na I r i s t h a t e n n v koude n'ec'liellont ket lavarout o devije lui imposer telle école plutôt que telle aiilr.< ; k a v i n ( a r vue/, l u v i z i k c n ! O a n t d a r n gounezet gwlr viktor ebed. qu'il soit entendu encûre que les mi'nws :tiK7.ho e c h o u i i i da v i a n a d a n v e z , l i a B elz leac'h d'an nebeuta ez omp bet nriintaiies seront ai/iurée au.T orphelinr, g w e l l o c ' l » o'Uoaz, e u r v a t n n i d e n e r h a taget gant-hô ; e daou hebken or beuz quelle que soll Vecok qu'ils auront k r i s t e u ; d a r n a i l a v a d n ' o deuz n a ranket dllezel tachenn gant-ho : en» hanqwntée, p e a d r a na zoketi e u r v a m m da r o i d i g o r ter-noï da Arras, hag eiin hanter-noz * 4 • da Verdun. d'oziio. l ' e t r a a z o u i n t d a v e z a ? E« BELGIQUE. — No.) Hlli.Vi dmnUMit les ËT walam da GlvenohY (eun telr t'cnsi'ifîni'uv'iils K l e v o u t a r a n « n a n i i e n n a g o re.sLes o r d d l t s demandé» par te gouoerneMiivaiits sur la Iratichéc qui leo bennhg hueloc'h eged Arras), ez euz Icnr lut i-iiloviK- dans l.i •salrtc du 15 février, meni p o u r l o S' t r l m o s t r o de l'année p o i i l ; entre l« chomin de for cl'Yprf.s Ik CîoniliifH s'élipcnt il prés de « milliard». — K peU a m t o r ez cur. b o t g w o l o t eur c'hoat. Eno or beuz kpllet, dllun, et If canal d'Ypro» h Oomiiins : vardro 8oo metr tranchcou, dlsmantret « Lts attaques allemandes ont été prùoéLe total des dépenses ènijai/ées députa le b u g a l i g o u 0 Uoueza e r s t a d t r u e z u z - z e déos d'un bombardement Intense ot de l'ex1" aoiil 1914 jusqu'au juin 19 ta attein- h a g ez i n l b o l s a v e t h e p m a v e t o e z o m m oll Kant kanoliou an Allmantcd. plosion do oUiq mines, qtil rendaient noirs Teir leo bennag enn hanter-noz da traniohés de première ligno Intenable. Les atdra 4G milliards etdcmi,<lonl 33milliards ita o l i o r l o z o n n o u nevoz e v l t - h o ; g a n t qui as sont prodnltos sur un Iront Vei*dun c c'hoarvezaz kentent ail dilun taques, et JiO millions pour la guerre, d'environ 4 kilomètres, ont -été reponssées «ar emzivaded a r b r c z e l n'ec'iioarvezo ket ha dlmcurs. Eun nefceud tranchcou hag tous les autres points, avso de» pertes conles 14 milUnrds reliants représi-ntent gwnsioc'h, a r o ' I i o n l r o l oo e m i c h a i i s p ' e pour l'ennomi, La tranchée qn'on des dépenses gui n'ont rien de militaires. eur c'hoat or beuz kollet, abalamour ma sidérablss a prisa a fréquemment passa da Or, avant la guerre le budget ne s'dleoalt gwTr 0 dovôzo p a n s i o n ! n'e c'helict mul herzel enn-ho didan ar nous mains on tnsins au ooura de l'annés -derf l o w i r c o , Niouaz! ez ouz b e t c m z i aièro : elle a mime, pour cette raison, «té pas tout à/ail à ,'i milliards. Voilù donc boullou-kanol. une augmentation de /»/«« do S milliards, v i i d e d a r a o k h i r i o . l l o w i r oo i v c z u'oz Arabad beia re nec'het gant an dra- appolée t U tranohéo internationale. » fit-obenant, fiour une large part, des dé- euz bot d o u g e t l o z e n u « b o d d a r o t it. Ni or beuz greet kement ail meur a Depuis, tes deux artUleries sont très acipinsfs dites * de solidarité sociale allo- d'ezho k e n u l a r t HkoAzell h a i n ' o doa wech d'an Allmanted, hag a raio c'hoaz. tives dans cette région, de même qus tout autour dTPRGB. Le 20, Une violente détoeai'ona eUe reste, e z o m i u . N ' c o k o t e u n u b e g d u l i i l e z e l Ha ma 'x eo gwelloc'h mont araok eged BiUon a snlvi te teu ilos obusiers lourds des contra tes positions ds raitinoris SI ne n'est pas fini, puisque le ministre c r tnemoH d o a r e a n c m r i v a d e d da zont adrenv,fcollken nebeud a zbuar n'e gont Anglais gnnsmio, dans la région «o RAVIOHEN. Au Malc^ «oerlU les familles qui fUrent deon M a i o M i i i n o r e d o r a o k b r e m a , n e b e u d ket nemeuir. Ha beitt sur o deuz an siul-ast de •OEBIHOBE, Iss AllemaniT» sat'iduUtM unt première fois qu'elles «cron^ slsasnt, l« 20, on avant-p.okte anglais do peo à w a l c ' h a ioR « u o z h o e v i t m a v o f o n t e n (ntbourien paet ker an taollou-zc. d'importanos. — Le 22. entra la routo da ftl'an reçue» si elles veulent sa présenter ù . Eur pertnad 'EO e ioa kaoz e tieent PlUcsm at 1* essai do PV-oor. les tranohisa eia g a v e t e v e l l)ouKet e nioHk n r v i i g n làoalsse une dtutiime,/bis. annUlsos sonBront considérabismont d'un 4alHa da vad enn-dro da Verdun. C'hoa- Violent bombardement. JbHl lâ monde rentier de l'Etat ! SI l'Etat i g o u a i t ; h A g e n n - d r o d ' e z h o , pe e n n 1er' front sur lo cavlct awalc'^t o deùz, abaoue andez kcnta nal de I'YHM-, I un Kilométra au sud fontall donner sans//rendre ce serait par. h o f t i m i U , c k i t v o n t p e u r l l o s a o u r c ' l i r i s d'Tpres et du «hsmin dal ler de 'Thoursut, euz ar brezel, evit kaout ar gear-zc. Pa /êU, llélas t M«ley lui-même est incapable ( e n k s r a n t e z n s b e a n a k d a r o i d i g o r ast rompu par la l«« de rartltlsrla ennsale. déjitlrstMlelpntdigt, f e x l i o m n n ' o d o a U « t t e d , p e da i-ol 'ï Int chownet berrvar ho clirog bete Bas évtnsaieBts tmportknts semblent so • i k o u r d'Uo m a m m m a i o a o h o u m e t a r »rtma. e c'hefler kredl e kollfat ho àro- préparer dans, «etta r é i ^ , a« dire da ^uartiar a*n<ral k r l t a n a l î i r «er'hag ho foan ar wc«n-ma c'hoaz. vamm gMt-ho. j Dlltm. hor c*hanaDou a tMtarax d'uho En ARTOIS, traelqaal tiolantèf iiolions '<>tt«é4léa»MeBpartem«aUire A'Ab' j CHmt a r b r e w t - i n a , alttiii t a n o m t i éur 'balloA bra* ,^-Wèhenn Revtgny, er ^ ^ O M i ^ ^ a ' i n è l B a t ^ ' I t i K environs d'Afff l t t o n * , eo/)y>r«/Mi«ii dis mmbrss de la radod a xeuto.Aa vezii.difim-dptttften càMOratk» htrdê t{4t ta Ohambrt ds (v T t a n , ' I H AtiamanCa «ènt ^(«loaar deux v « à a l i g o u aM; l<] p e nêêfrtai» tPiu^t «UmaMUt, è i v o n i » h a g m ^ roua » la loaàa "If'faott-a aa and ds t e a o ' h k n o u l t u d v a d d ' M e m e m m e l 1.00S. Anaalttl iti. leatan» « a n bMapar Iss . f M v renelro «Isll» A no« * A o n o m ^ f n . i ^ M M t r a , aaaia ita aaiat rep«asa*a. Saoa 0(1 f ISpad e t t r p ç p i v a d n'e U v « Hsimtmelitbimqutlsttdu tmls, maint "•Er RVSI n'e drtMcn c^Hoiiz ifèmcd deUa r t e ^ n , to Ittlt* da, nteaa aa^raaranl. 4 t e i M C ( « fitttrtiUni'.dlsawttê «ua l ' o n )aA ki»t.,Hi>g«lii>b'uaTie t e u e r d a a k u l m ix aaurt à w«l*r ^ I t «noara ta I t l a p i i a « v M a « « f ^ K p a n ' e « i g a « vad- l^ilcz var hon tu. mmidUtseàmàrtnom, H/ U l l i f r t a «a OOHBMOOnTt t M hV*'' >. > — • daas' laa Ira»m i l » » » * i t C U r t w O UHOrto. i M ^ ( H m j ' ir;,;0'h6n(à B a i v A R I I I M I hor migflOt((«edtfdMt i M i m H M i i M i c i i z t t b e r « i » ari A - Ir «NiirMM;' . — BREST PUBLICITÉ RÉGIONALE Annonoea diverse» . . . . (Iz ligne) Otr.30 Réolamea. en V page . . . O BO Dernière colonne de la3* page. — O 78 Tarif déereliitnt pour lei initrtioni ripétéei Pour la publicité extra-régionale, s'adresser à l'AgeoM Place de la Bourse, 8, à Paria kwim Chaulnesl après avoir, le '.'I. dirigé sur nos lignas un intense bombardement et de» émi»»ions successive» de gss suffocant» sur «n front de 7 kilomètres, l'ennemi tente de sortir de ses tranchées en divers point» : il ost partout repoussé par nos tir» de barrage ot nos feux d'intauterie. Entre l'Oise et l'Aisne Le n février, no» batteries tirent sur des troupes en mouvement dans la région de CONDE-SUR-AISNE, et bombardent les ouvrage» enoemii au nord de S0I8S0NS. — Lo lendemain, dan» la région de CHOLERA (nord-ouest de Berry-au-Bao), nous csocutons, sur un sailltitt'de la< ligne onnemie, un tir de destructitiil qui donne de bons résultats. — Le 19, notre artiUerie prend sous son fou une colonne d'infanterie ennemie au nord de VlC-SOR-AfSNE. — Le 2-1. nos batteries bouleversent les org-misations ennemies du plateau de VAUCLERE (nord-ouest de Craonne). Champagne et Argonne En CHAMPAGNE, lo 20 fi-viicr, actions d'artillerie sur les organisations ennemies au nord de TAHURE et ù l'est do NAVARIN. — Le 21, nous exécutons des tir» eIRcsces sur les organisation» allemandes, 1 l'ouest de la route da SAINT-HILAIRE & SAINTSOÏÏPLET. — Le 22. oe sont les ouvrages ennemis a rouest de NAVARIN que nous »oumettons t nos tirs de deetruotion. En ARGONNE, lo 20 fù\n«i-, nous faisons sauter à VAUQV0I8 deux mine» qui bouleversent les travaux do l'ennemL Le 21, tirs do destruction sur des ouvrages enuemU voisins de la route de SAINT-HUBERT. ,Anz aborda du bois de CHEPPY (sud-est de Varennos) nous démolissons plusieurs obaervatoires. Autour de Verdun Le 20 lévrier, un.j escadrille de cinq avions français a bombardé les dépéts de munitiens eniienii» du chiteau de Martincourt ot d'Azoudange (sudonest et sud-est de Dieuze). — La journée du lendemain, 21 février, est '.uarquùi! par de noaibrerix combats aurions: Au-dessus de Tagsdortf, est d'Altkirch, un de nos avions alt».quant de très pré» un Fokkor a ouvert sur lui un feu de quinze cartouche». L'apparoit ennemi a glissé sur l'aile droite,, puis e.it tombé. Dans la région d'Epinal. un Albatros a été abattu par !o tij' do notre ertillorie. Pans 11 région de Bures, nord de la forêt de Parroy, un appari?il allemand, attaqué par deux de» nêtres, s'est abattu dans nos lignes. L(! pilote et le psssagcr on été tués. Une eacadrille de sept appareils français a livré combat à riuatie avions ennemis dans la région do Vianeunes-lec-HaUoncht.tel. Doux de ces derniers ont été contraints d'atterrir. Le» deux autres ont pris la fuite. Des avions cnuetuis ont bombardé Fisme, Bar-le-Duc et Revigny. Auiirès de ce derr.ier point, l'escadrille ennemie, composée de quinze appareils, a été assaillie par une de nos escadrilles de chasse et a dit li-/ror un combat, au cours duquel un avion allemand a été abittu prés de Givry-eu-Arganne. Les deux aviateurs ont été faits prisonniers. Un second avion ennemi, poursuivi, a piqué brusquement daus ses lignes. Un do nos groupes de bornbardement, compoaé de 17 appareil», x lancé 66 obus de gros calibre sur la champ d'aviation d'Habsheim et sur la gare aux marchandises de Mulhouse. Un autre groupe de 2S appareils a jeté de i>ombreux projcctiie» sur la fabrique de munition» ennemie de Pagny-tur-Uoielle. A la suite de ces différentes opérations, tous nos avions sont rentré» * leurs lorrains d'atterrissage. Un Zeppelin eu marche do Sainte-Méuéliould vert) lo sud a été abattu par la section d'auto»-canon» do Bcvrgny. Traverié iiar un obus inoondiaire. il est tombé en flammes aux environ» de Br>bant-le-Roi. I,'équipage, comprenant 22 hommes, a péri. A la (lu lie lu M-inuliio U'>nii(-r<', (jnfl.iiir-s Jouniiiiix iiouvaient dire quo les AlKnianil» nrt^paraicnt iinr »iri>iinivp culo.'isalo contre vppdnn, au moyen rie 'lO (livi»i(ms'(Wit près — De leur cêté, dans la nuit dn <9 au 20, (le TU i O.OOO huinmciil qu'iti* aviiiciit niofiMtos dans ICK t-nvii'un» pi'niJarit qii'ilK noim aiim- dot aviateur» anglais ont h-i un raid réusti contre raérodrome de Cambrai. s:U(lnl sur U'aritra.s (wiiitit (in rnuit. On ^il^ulttil que l'ciinemi avait amené ('R-ilemi-nl — Le M. vingt-six autre» s'attaquaient au line arlllinric foi'inidtthle, et iiiflme imii no- dépêt de Don. table iiarilc des pK'ce.s de place ifc MHx flt ^ DMI» IT soirée du 21. un Zeppelin a <le Strasbourg. survolé Lunéville. lançant des bombes qui (.Mielqiies joiii'.. uii|).HMV:iiil. innniie .'ii len ne causèrent que dés dégêts matériels. .Mdiiw lfan.siiiell;il,'ril i lem'.n «geiil» des Poursuivi par nos aviateurs, il >e dirigea e.iimiiunlquii.i falls it'iiviinep. ie bi'iiil coti- vers Mots. r.iil daim clitrcireiile» réglonH RomniC Quiiiipei' nun Icfl Allemands avaient prottressi; (le >1 IcIliiriiètreK dan» la direeliun de Verdun. fif. qn'annom;:iiont les ,|ournaux pnrjll se l'.'wli.seï', du moiiiK en partie, un dire IIOA roinniiiirtqués enx-in(mes. L o i coiuinunlqirrts nous upprnirnent en elTet que depuis I 20 février IOK deux «l'UIlerinn wml ti<i« .ii;fivc.i au nord de VERDUN. Nous y avoirs in •ni o u t r e ' : Lo 20. noe batteries bombirdent les éta- I. — Lia déclaration de Sainte-Adresse blissements ennemis vers ETAIH, WARCQ ot Les ivpriÎHontants île la l'raircc. de l'AirSAINT-HILAIRE, provoquant plusieurs inoendies et une très violente explosion. glotcrre et de la Hu.s.sie. puissancos i la loi» idirtialaires ilo la oorrveritUm <te hundrcs et (Etain et Warcq se trouvent à une vingtaine de kilomètres «u nord-est de Verdun.. sarairtcs de la iieulralUéUo la L<olKii|Uc. ont coniniiiuiqué lu 11 février au riiiriistro des SMnt-Hilaire à 23 kilomètres aud-ost). Affaires i^trangfres de I<el|;iquc lo texte Le 21, en fin de journée, les Allemands at- d'une dcelaratfon que iron.i avoir» reproduit taquent nos positions à l'est de BKABANT- dans le (lerrrier innnéro du c'oiiiTtpf. I,es Sim-MEUSl:. entre lo bols d'Haumont et iviux-sontuntH rie l'Italie et du Japon. milHHorbebois (13 kilomètres nord do Verdun), «anccs Bignatuii-cs de la c o n w n t i o n do l,onn i prennent pied dans quelqaei iliments (livK, inait) non garniih'Ji dc la itciUraliti^de de tranohésa avancées et ponastnt, par en- lu Helglciiie, ont déclaré u'uvoii- aucune olidroUs, tàsqa'aux tranchées de° doublement, jrcllon a faire ù cclto dérluratioii. nos oontre-attcques les rejettent da «es derD'aprôn ce dociiinciit, les paissances nières. Naos laisoM une oiafiiantaine de alliées s'ciipagont : !• à ne pas mettre Un priio'niUera. aux hostilités sans que ta Delglauc aoit ' Le K2, aprèa na violent bembardenent snr rétaliltc dan» son IndSpendance politique et les deua rivas, da la Meuart, laa AHeaiandb A-oiiomiqiir, ot largement indcinniaéo des 4irigent une série d'aoUans d'tefaBtarfa ea (lomuihgca. qu'elle a aubis 2* & appeler le irimsment vives sur astre Iroat, «nlra B U ' iJouverncment bcigo 4 participer aux n i ^ • A t r r at HCnEBOH. Toutea i M attafuai diationr) de paiK ; —' à prâter t c u r aide a in menlaa «ontre BRABANt «t HEUEBOM Itelslquc pour aaaurcr sou rctcvcment coinsoat r^onaatasi U M i , antre cea daus m c f d a l et financier. ' 'a, e't et au prix de perles eoaaidtrabtes, document ne inodiflocn rien leatUSclaMints, Sawemi «ant oeonpar la BOU • • • A i m O N T ranona antérieures, maia 11 les renouvelle a a i ^ qua (onke (enke ^>laa o s t l'asi àatra on une forme soleftnelteçtil le» priJcisc. U n «t le aailUnt mot <iuo noua a\-oii« aouliené dans fo ttixto Mgua au aar4 da aBAVMONT. t notre avia, ttne porft?c oonstdérar jLn>MD( 4.a la mK.auivaata, la komnar. ro<H'<iMl«»ëii^«'(tci»noiiM( at ennemi, énargiqusment •«Mrabatts , _ Mt le' dat aujourd'hui. t a a ai La Situation Diplomalipe ET FINANCIÈRE chaudes ost uir dos plus sr'irs principe» tfe' la drniomalie allemande. Xous avons eu jet ulacé : u ISonrnains, ci-aigneu le fcort d * la .Serine ' ,i Voici maintenant l'eau cUaudi(lirr coule à phîirrs robiiiets. IVafiros un joiinia! de lUicaiest. les Alli^iiiarids auraient onert a u \ Itoiiniains la lîul;ovirrc, une rectilication de li-ontiéie a Vorciorovo, de»' conc-ssioriK iiolitrquc.^ pour ceux de le«irace qrir habitent la 't'i-aiisylvanie, et enlin... la jicau de l'ours. c'csl-iKlife la «essaratiie, • qui comme chacun sait e.st aux Hussos. — I!1 en échange do ces inirillques promesse.» (lue ilemando-t-on à i t e r l i n Un concours armé ' i>a.s même. lUon que ra.»«uranee <|t»c l.r Itoumanie gar dera une iioutralité dé(itiitive. Ni CCS noiivellc.s sont ccactes, cela prouve ipi a la WilIrelmstraNse on ne voit pas aan» inquiétude la toiirniu'o que proniient tch aiTaiies (le H-jc-u-Mt. I.a chiite d'ICr-zcrouru ot l'innuedce qtto ne peut manquer d'exercer, sur' la liouiiianie comme sur l a ' I r é c o . cet iiiiporlanl succès russe, vont certain(> mont accentuer en notre faveur les homic» Oisim-itiiins (le la Itouni.iuie. I,es loioes inililairst de <vtle (juissanoMirit mohilisées le long des ti-onltéres hoiiproiso of Itul.'aro. l'ai- contr" la frontière r irsKC est pi-oi-qirc oiitiéienient dégarnie de i,-oi;pcH cl d'ai-tUlor ie. M. 'l'ako .hinesc». reçu tiv.'ï récriminent I 31- le idi. s'oKl déclaré très sati.sfait dC cotte (.-iitrevuo, n r . — E n Grèce M Siioiiloiidw. pré.^ideiit du conseil, afai» .1 un joiirn.ilisie une liéclarutioti d.ans la([iiclleil :i aiVi aié ; 1-l,1no toute ta na1iM> recquo Olail teiiiieuviit t>ei*uadéc que .l'i vatioii d'une poitliquo de stricte «(>ulr':ililo i-pondait aux iritérët» vitaux d e ' 1,1 |.at;•10 . — • (ire si de nourelle.s CCMHMtioiiscla ril i-rcéo.H on sj rriro riîonaco sur(.•issai: |. iir 1-;. ir.loi-.-'isdo la 0 i v c . ceUe pui.«-an( inlervreirdiait activement daiut 1,- conilii ; - -V que l'iiiti^gr ité du territoire o.sl a.'surcc pu• (les garanties donnée» augoiivcr-iu'ineril Il-Il -ne par les dcivvgroupe» le li.'Iligér-arUi .--iiri- la inorir ore lestion, on peut faire r-orirar-mior au prornier luirii.itre que son iM-r-rroa sei'ai! encore -Ineu plun fondée «1 .M. \ orijjîclos, partisan de rinterventionaux coté» (U- la (J'iadropla-lhilente. n'avait l o u j o i i r ^ triomphe tlan.4 toutes les électioiM laito» tihrrmrni. yuaiit au second point, i l sutli! do lo conipai-eravec le troisiéiMo, poor otro assuré que ,M. ,Skontoudi:i n'a qu'une connanc^' médiocre dans les k gar-anlies» (iU'on lui a Uoiimy'» I l n'a pvs torl. Lejous oq les Itiilgar os et les .Mleniaiids orendronl .'^aloriKiuo. la lireoe pourr a faire son deuil (Crriic partie i.npdrtairto de la .Macédoine. l.e général Sai r ait,r ecu par lo r'oi Conatarrftn. s'est d-iclarc Iré» satisfaitdcl'aooueil' qui lui a été i é-,orv.^ (lar le souverain , inaiu il s'e-t ('nei-gi lueinoiit refusé, — .ivec ratsolt à notre avis. — à donner snr les poui-par1ers écha'igés la moindre iiidiculron. Un député grec ayant prononcé ù la Chambre dc» parcHc» peu ijierrvcillautea, — iiouremploveruncexprossiondiplomathrôe. ' V à l'i-gai-a (le l'Italie, ce fait a donné lieu une |)rotcstatioH<k'la t>a»t<lu gouvernernoi-t do Itomo, I l n'y a i i i a i t r i e n d'it-jnnant à ce <)iie cet irrcidcnt ait éuj provoque pat des agents do l'AlleinaKiic. , V. — La iMiase du mark I,a liai.Mto du niai'lt, q u i avait été uu mo-' enrayée, a dc nouveau repria. Xj« sj inptOine est excellent et on ne saurait trop V insister. l,eK runieoirs d'anrëa leaquellés rAllemagac serait flnanrtèrement aux abois sont certainnmfMit exaRéi^a; ' •nais est certain qu'elle se trauve awc • prises^r ce point avec lea pUis rcdoutaMea-sr dimcullés. et 4UC c.etto question «at ar^léoir , ik louer uu rOîo de plus en ploa iiap«ctaiii> • dans la Kuerre dc dcnutn. Bn Suisse te msrfc cote environ 9S, Omt'.' soit qu» l'unité monétaire «uttae e«t i*., iBthne qne lanMre. Ci»ta " le matK qui au pair vaut «pfmlM t fr. î5 no repréaente plus <jue M Un oaioul do propcH^ontréa aiiapte miMm<fi que la baisse oscille actuellement autmafi^-) niMMiroeat. , .--z '.î ' a ouciquc» «eniainea-i inoiil noe allêipa <r •ii i,' l'ît'î' f m ti l I •1 îf I T LE COURRIER DIJ »FINISTÈRF t i«mo un pou pUiM. AuJom-d'Iuil In volift roCelle o:uTi s offoreera nolaninieid ; de eucciulu A iiù. L'olïut (Id cello luitiiccuvrc, i r u i n . ' ' f V ' " ' ' ' î T P C H W titllI'IlHlUniH I I 0 ' ÎOliillriiiorIeHdo«lU'o,clmf- racllllpr aux l'irpliollns IMdueailon daiW , ont iiKiiH (ivlonn (lit InimOilliitcniont loi oii'll S u " T égnjeiiient la prolo ilcs /Innimcs. Il sonfnall en lenrs fundlles do le» placer, si e'esl nOees lliipporl lies roniiiil*«or.ill trùx limite, Noinlilo (lune Uni. X<n 00- «eps d ullniPiitor «u i>ii«sii({o des irnins les oITct un v - i i t v M o n t . qui cnilrarin les elfi.rts ' '">' <"'Pl.lo» hle^-sés (ces lnllnnprle.s ont snli'o, diins de; fanillies elirétlennes, nu dan. 4- \|.pr.)liuqo 1 des lo i S;r iisiilmli! iroonimonoo. tentes pour arrélci- les pi'oifrùs du slalstio. J) l'i ni'plii'llnul eallmliques ; do ies idder et li.vation du dlriileiido. V n nio\ivi'niuul iiiinloKUP ^o niaviiuo cil dl»trlljii6 plus (lo cinq n i l l l l o n s d o ivpas), o des .... .... les . . „ , , uili l , i < e s qnn leur assure la <'l'!L"'l<"<,.'lo U'aw, ilont uno SIMIIO depiilf. ibliMde :!• .\iimliiidion des cou ini'iiici (i'iii)ij un llollftiido. Kt r c l l o i-oïiicllox.'i^ Où l'on volt une institution françaiso donner la mesure de sa valeur In franeiilse 1,.., Iiionfnlls que iienvent ol'«"^''''C n (llMrllmù 'i.'il.iiOO eliT lOlij. Koliicvei «n>nuu iK' liiUsc lui» d'i^tic Mliriiillonllvi». I.o .?„.i " ' ' rlr les I.iilres (ii;uvivs ; de le's aJsisler dans tnnrk lonilKi ft I.'uiilli- nionrliilrc raviliilllenipnlM. Incendie. .\u vlllune lie I' iiiliisli' le fou ei r Klui'alii.n, diins leur appi-nlissaiîo ou .'ji'mlnenx peisonnci d'Inlirmléres el a pris dans mie étnide, qui u été dOlniiï. hplInniliilK" l'Innl lo Hoi l n d u n t lu valcm'rst I . n d i ' i l i i d u ICprciivc lo scrvieu de ces rcrinn dans la ,1 hvelinn ,'. ilonniM' à lein' vie. WoM i'i?.s(il(ii<H I m p i P S N l o i i i m i i t s viicliii n clé siirlciisciiii'iil brûlée. Hpnni\liniillviMncMt i i u pnir de • li'. lu, un lli!niixlllulresassnro l.es inllrinléivs dlpl.'^ini'.os do la Sn Ilalliieliee l'i l,, liiivctiim diocésaine de Pour avoir In droii ,11 si-j i I,i".;iid)lo0 'Pnlcul,i|ui n'iwi piiM iKNiiu'ouii nlii» onniiill- olcMii , l i ' l l i ••"i niomenl ou éclatoreni les Ilepuls le début do guerre la Snjiin«iinl au noniliri' du I,-I,IHII), dont :l.ixin ll.nlun Calholiiine, l'IKuvr.' sera spéciale, ncrale, Il r,uil poss:',i.T au m - Ci.r, .-leliolls. 'l(iiO que le pi'coi'di'nt, lndli|u« uuc la haIsNi' HOU on service dans les lulpinuix nillllaires ineni no.''lililes. un «rand nonibro d'onlreprl.sow si , m , ' , ' ' o s sommes dirigée par qn Cnmilé. auquel esl adM.M. los n. |ijna.ii:'e-<'l-v! , i'ip i - i - lolirs II• pouv cent t'Nt il peu pivs ik- ','N.riii, i imnaleni n lài tio do faire rnicllner la pe ( onsldorables im oxcciilion d'ongasemcnls l.n.e do ces lidinnières a reçu la ei'(il\ di .jornl nn linivau ainsi cnnquis'- • trw Vinut jours au io..ia, ; • u d-:;» ll.voo lllo ol la inoy(>iine éparsine, Quant ft l i i Cduvonnii auti'ii'lni'iu»', ^a do toutnalure ,;iuxquello,s elle a tenu a se Prùildont, ,\l, .\mlri'' de lion iiiimKle ; P'iiir 11 rouideu nu élr,' i( ils '.•umiao pruI '''l'I"! do yuerre. en l'proiivant au iiliis •nnlsjio i-n SIU.HVII d'OUVLVON PMU' CI'iil. (.'•ociotij Anonvnienu Capilal de I.i'OO.fKiU franos) conlormor. l'endant la seule annén do lOi:,, prictaii-os do liiros iioiiiiuiid Vloo-iirisUtont, M, le ph.mi lliissi ; haul point jeur ro.sistancc et leur vilalilé. •inl C! d.il,ii. M» ImiSM" en Hollande dnil ciMlidnenu'iil dont ).0:Xi.lHWfraaos remhoui.ws elle II payo pour titres c.soomptés, ('•olms, lia SucU'lé a mis en scrvleo lii'i nulonio Il "•ra .1,'.livré lu lie.;,, -iii Storètilres, M. |,> ehanolie. l.e lluy. I sestoiiarsi; d opérer parmi elle.s uno Inlé. •I.'irtl di's lllros •Olr» benui oup |dii»i f i i n i i d i r a l i U ' . )jle.> l l i aisiirçnt lu IransporI dos blessés •;eeleur ,li.i,,'.sani des («um' au purtoiir aiio ciMo noaiiaj !(v.- I juiCs. il l'as ; .\i.\f;.Ma re.ssantc .•.eloclion. IM. Jloime L'dhtliiuatlon ! ul'li'/lfj!:"^^ 1.1 remindeid ij (les l)i.,niiis spéelan.\ : radio dnil, llorre. iMiivarc'li ! Avi.s A l v ^ c n o . W A i n i s Ki'iiililéo Kéuérale, .iiii v iPi i) .eHilloat de viliililt: peu < ommiiiie I'. W. — A u dcrnlpi' nnnnont niiu> appic- Kiaplde, 4vrilU,ilion,diniclies,cU'. dOp.il. A noter i|uo, nialsré l'imporlanee de cos Tr^sorlom, .M, le elian.iine i.ni ••inn.' el M, I II l ' x o m p l c 1' UM..ur,s u'uvres avant pour (dijcl d i l'errnl, s.'eriîlidee de r|.:v,'Tlh 'liOnM ((«(• le mark est lonilié à / i i r l r l i a lU, .Vous lidére.sserons ecHainoinont nos lec- du(!aissemeii s. i.iiiaiil nu\ pr.ipri-liii-. .1 I a. ru.servo.s mathématiques .)IM. los Aeliona.'iires snid cnnvnqiiés en Vs-miMiiali. \ e n l r en aide aux lile.-.-és, aux malades • Ma l(;nrs en leur exposant de quelle manlère'la o u. non .seiilemenl d e oon.servéos, mais, do le p. l'oisses, nOiM'e ,l,.s nn.h, v,.s. il I,.|ir siilllr.i (i.- r-ii; Jliio Kciiiir.ilo nnlliiaire le men iiidi l'O iimrs lolii iiit In aux soldais soid rallaclw'cvs à la .'^oeliM a p c plus iMipi.rlante de loidesnosSoeiclé.srran- plus, elles ()iii cti; encore .soiusiblement olerùiiiiioii. Il 1' II. I !! do l'aprés ini.li, au sl.'ws social, «aro , , , , 1 repiVseiUaiils el ivipnnduil .\lnsl lu.uyre i|iii donne (ies siilivoiitl.ms iises de capitaii^alion (I '. la S,;iii:„i:iise plaoeîncids''''' 1.0 dé|.OI d, s lilr.-p,.!,: dos (.liCMiins (lo lor (lépurtoiiioiitaux, à lliT.sl. ' ' importants des appareils aux l ériinnés ; l ienvrn .\IM. les Cui'.'s el Ure|.-ur.s. qiiliihx:,h,jn ;e:ijii.|,nso privée assujetlio I" A la .-^ooiiil,. Onaliv- ealépiries de snu.seripleurs • •t^ el de Dii•Maljtré iv'ial do ffuerro, la s.v.Haiia/sc n'a or.DMK 1)1 .1(11 l î ; des Iinvrolrs i|u| «eeoiirl par le travail dan» r.i pWs il lii osl ; Fond.itours. qui palenl un li-.iliMn au cnntnde do I l'Ma:: a su ré.sister aux ol- pas ees.so un .seul jour do recueillir do noulos V ii({l aiTondiv-emrnl.s do Paris un yrand iPts du eoulUI, qui, depui.s plus do (iix-liuit il'iiu iiioiOh 100 fiMiies i .\ 1, 1 i,'aro .>0 ( les Hieui l ' !• fruw.âibp'o"'''''' '""'""Sk'^' wiislilallon de %cUc.ss„uscriplK.iis. Iiomliid de landlles do mol)lllsés; n r u v r o falloars, qui p.denl un mnui'll.! mois, niel aux prises Io> jiWiioliiale.s nation.s taux, à lliesl : l.ellc.s ival.sees du f janvier l!iI3 au .Il lies pcnii ssiyni.HiiVs qui lov'oet nourrit les il au ueiins 'JO francs ^moourm aux fantllom uionibroa tilii- 3uropeennes, • ' • • " - i ' - l - l i o a sur ilo, :i, rue .'!• .Ml si.-.-o .lol a. < ocem ,ro i:)l,-,, ivpréstjnloi.l prés de VO milsoldats des relions envahies cnvovés mi Itlro!) i|ul \ei--,.ronl iin eoli-Mion l.(n'sqiic fui lancé l'ordre de nioliillsaiion. aniluolle Paul HoMai.l. l.o .M; IKjii.s do irancs d,. capilaiix a conslHuor. iiennisslon el no sacimni où s'ai/riler à il au iniiins Ti l'r.inc.ii ; 1. «impies odliércnlB, la l unqilail : ^.Colles do hUiidepassoiit, à co jour, 0 mllI.P nilnIMiv d- la linci'j'i' \j>'hl iIm il>>i'idi'i' l ' a r i s ; cnlln lieuvro des oeicle.s du soldat qui vio'seni iMie eoli lion ainill.'ll.' de '!'"•• nnllu;v„U. lu cil du-1! IVvi'li'i' ll>ir>. |>.<i'lanl iliii perniel aux Idi.'.^siis et au.x eonvalcseents 1 fr.uu'. fins in.ijiin lti>:i,i:cii!iu$ ri •C•lllu•(•1^lon di' ! illUni'lll i l - illl\ l;l de «e réunir ai leur.s qu'au eaté et au onba. l'Ins ih-:Vm • I.ti . s r ; n | AXAI.SI-: <•) l » DéfeuNe ivl, l l u l l ceiclos ont olo oiivoris dans li •Ildllcs . ivc'iivi'» >11 iii'|<lii'lln.s, un à ib'r '9 Maison Française (FuMiée en iSaO) « S H S S S S a S S ^ liru.squonUMil piivce . p a r l a niobilis.illon, litttiollllll! •(iMccndiiids iui I'" iji'tfi soul nillilaire do l'aris. di' i n l l i l d l v - <1 Allocations aux Familles niicessiteuscs ilu ciincourç de .se.s c illaborali'ur.s li.'.s plus •<li'» an ciiin'.i d' l . e s e n i o e do lu llnyorli) a effoolinj dans nopills le dehul do.s hostilités, la .Vnill.L liiii. • h' s n r m ' . aolils qui, p.iiniiiliei' lurent aijpeléK aux raient eU'iuliic.les hiipiiHux l'I au Iront du nomin'oux envois idMIiÉii- Mil i n : s 1E(HULI.S|':S _ & r a n d ^ a ^ s i 3 s dliabiliîmacts^ iiniico-, la .Si-i/ifaii,'i,si envisagea la siuia- ".••we a su |,ailaili.-iMonl coiii ilicr rintérêl •U's aux r i n l i l l " < d ' , i l , " l i ! r , o s p è e c . Plus do SOS (jorlour.. do iilu.-s avec les devoir.u inllll.divs in-iMi'i lion avee .san.;.|roid. spéciaux que lu, diclaiont lo.s Mécc.s.silés do " liO Ml liii'ii''ill,il f.'i'.i lu'.'.inl.i l.nv do .111 UNiii \e onienis ont oli> ainsi envoyés, l.es 10 el |.J |:,|,vi,.i. demi..,' .M. |.,.,-.f,.l Apros avoir pri.s Ic: ,propi'L la Doronsu naiionale. • II- piMlliiinniiir.' luiiii'j-.I I, effort ait par la Société do secoure aux du !• nlslere. sur llnvil.iliun de .\r. lo .viinis- sauvejrarder .sa.siuiatlonmesurc.s av,v llnanciéro, par la , .IIIIVM dVIiil civil dcsih l'rt 11 .••l;dilll' s j I in|lilalrert a néeossilé uno déponso ro do I Inlericni', a -appelé l'aiii.mion d e i con.scrvalion de.M-.s re.serves (dont le oliifire Kilo vor.se à la l;an(|ue do l-ru:ico toule.ç . Iltii d'ayanl-iii'iill. iinr , onc.-iisciin.sidoraliloijui •lovoà ;;Mll.iiOOirunos t.iiimnlssioiis Canlomdcs «l ir.\p|,e| des alln. di;pus.>e Pio niilliuii.s), naraiilie lé-alo ol pi'i- les .sommes ou or provenant d.. 'VIE de l'iivl-. MIIICII'I ih illsn.irdl»!!. I.u senionl.s l-,llç a, d'aulrç pari, ..pporto aux ainsi reparll.'i ; ealion.s mllllaires du déparlemenl sur la sl-v i l . - e cxelusir de.s adli.ironls. la H m t i a J l s c innndo ne dcviM Olrc runniil •inpniids nalionaiix plus de l.'i millions de llopltaiiv, inodioanionis ol pansomonis, nalion pr.'calre que eréall fi eeri.iin.-s l'miil- ll^oc le concours d'une nouvelle oullabora/Wa/r/o, 3S - i II. 'Iiiii'Ilirin l'cni'Hilc il six l.iM) iranos; jjdlrmoi les <lo (rare, pnsies les de uiol.llises la proloimalion de la unen^e, lion on grande pai lie léniinine. réo.vanisa Irancs irciilo.s, e.spccos ou l,uiiSi. ot oonli:i'i niMlii». . l-cs di'n)nni|.-i de M'cnnr.' Innni lie MoeourH, ennirin's, :l„Mii,olii) frano.s ; se- nnlainniiiiil «ux famillos des nrouriëtairej, comp.cteinenl. ea quelques mois, tons nuo a y ull.'cicr luii/,v xc.^ ilis/miiiOiliU'.-:. V ê t e m e n î s Confectionnés e t ' s u r W e s u r e Ie.4 riiinlllcs ili's ndlll:iliv,< 'ji.ll'lls -.ei'iini cours aux leiivres dlvorses, 'Ml.O w franos; lormiors ot métayorn, auxqiiejl.v, PallopaiitMi services uderleur.s et extérieurs. I iU' « p i - i ! i ( i o u q u i <;iiii<-iIlo 1 •eojnini» li'« dcni^indcs de « 'CMiU'-. l'uianaiil aidomobllcs, conslruelkm id oidrollen, :ivii I pu éire refu.siii) h caii.so do i'iniporl.inee Uu l,iil .|o celle raiiido ornaiiisallon : avi-<- u n jK-te p a t r i o t i q u e de» rnndlIcM de- inlljlaii'es di.CMh-.s, mires MiMion triuics; envois nux Inlpltaux et sur ;le leur cxnloilaliun. .M. lo I-r.'l'el a l'Iip ,„l,l t o u s les \iviinQ., eurent lieu clu>quo.moi.s p o u r H o m m e s , Jeunes Gens e l E n f a n l s m'en pur le^ aviinls-cliMll 1 K.'Mi.'c.il ciini- lo iroid, I,.'1110,11110 francs. ces (.onnuk.slons que, sonveni, à riie i v ae- avec la niomo ivu'ularllé quo par lu pa.ç.sé : Il résiillM di; res oonsldéralions. ,jiic les innndiinl Im viilullvlslnn de l MU' linniielie, A u déhnl do l a j j u e r r e . la Société no dis- neile, plus l'cX|il.)ilalion esl impur! .nie. plu, . (iiis k-s l'oïlements do liiro.s arrivés U dhoroias ,1,. 1,-, conlinuont à as-, msalt qiie 0 environ ludl millions do francs. les dénoiisps l'ésiiltaid de 11 clcrlé de I , cohçuiicç ou amortis par tira-o.s lurent opè- suror la |irosperilo linancièro d u pnvs. FAmÏL^OArHotraiszs " l«m maoourm I.est i;racp la j.'énérosilédu puhlic qu'elle malii-dVuvre soni eoiisi.<rahli's de sorie ,p,>. res imincdlaloniont ot Intésralement : Ils adhoreni à uno oniropri-o doKÎutpi'eixvoi "rîimo DU' C M O C Ï E vtz Kiioiïr auM anolana mlHtalroa a |iij lairo face ù cet eflori odiisidérahle, Kllr lieniieimp d'expinilanis se Iroirveiil . loutc.s es opérations d e l à ::iOiiu:,uiti.-<c fu- mior on ro. d uno .s.didilé éprotiv<-o el d'un t.e mliil>li'o de l;i iiiieiTe rail Kiivule iiui- o.spero que cplle «éaérosili'. ne KO rnlontira ses avec des (llf(lcnlli''s sérieuses. I l compris les opérations do ciydlt plus que jamais inallaquahli!. donc l'allnpidlun . ,|iinrnalléiT s|ii'eliile inVvne i„ii' pas ot lui permctlra do ri'.stor Jus(|ii'au bout fait appel ,iux seniiiumils d'Iium inil.i de ee< pli'iS t't l'ïlCiiUtSi Ils s.juscraoïit à une opéraliuu Unit à la le déei'el du l " Jniivlei' imr, n-eM idl.Mieo a la l i a u l o i i r d e sa Ificlio. (.iiinmissinns, alln (lu'r.iles |u(.'enl ce siliia. lois .siiiv, pr.itiquo ot inlOiv.sbunto, ainsi •«iu'(ui.v nillllalrcs ivnvnvé.i d.ms leui's rnvevs "Mveil. lOlaii-e ;l, /.es .S'yeip/cs l'e iM/i//.;//s,i;;on nul, m q i i i l est aiso (lo .scii rendre compti! on doon iilICMdanl la lir|iiiilaliun d'une pnnslni'i de hnce ' niandant au .sK-ïo social do la kkiuam'is,' rolrnlle puni' liles^ui'e» .m Inllnnili's nu h l'ae ime eirenlnlre li''lécrapldque du lii enn- l-r:inri'. lin ylaliil li-ij:il ; e//c,s fonclioii,i<;,l /11. rue d.Vni.-lenlam. a l'ari.s, renvoi gra'Itotineallim de lu di<rlsl<in ininiKliiiirlIe sur M 'n/i'' de l'inl,'.rieur vieni de yoiis h- rmUivIc <ie n:uu cl U'iim iiiHiviilions tuu des nolic.vs et documents édités i l'ii •Iinii pi'opu^lll.m de h'rwrnie. Les liiinnnci .v^./K ;•,•!/,es /a /oidii /,'/ ili'crhiOiv l;ii):. ,0 du pu),lie. VENTE WILIÈRE •'n^i ' . T i ' " l ' I ' " " ! " " , ! " l'iii^' «rand inlérèl renvoyés dans Iciu'.s fnyei'.^ MUII- uvnlr deuil 27 fcvi-ieiu line pension <in ii une Bniiille.illiMi de iv- A u eonsoil do.s inlidstros tenu mardi do a applleallon de (ws insirnellons ,,| n |,|.„s. forme ne peecuivenl pii» rallnniliuu lnuraii- a seinalno dernii'w, M. Malvy, mlnlstro do possillîe, 'riiiile f..innii' (lui soiilïro d iiii l i i i i i h l ' I'""' IIOlv, mais ils p.Mivcnl snlilclier un seemii's 1 lnl(!rleur, avait ait part do son Intention que de la i i i o i i s l i i i a l i o i i , l'è^ICH irré-ii).. . •s .)U M. le Préfel ,iu Kinisl.'.re vienI, en eons,<Apache, - 1,0 1:1 .'évrlor, <juiilro jouue^R.Mn A lllre d'iineiens miiiliiii'es, l.eui'.- deni,miles d l n v l et' le (sénat a Inscrire i l l'ordro d u quenee, iliMiloun.'Uscs. r u i:\anoo ou on rolai'd. I'< it - l.-iM • r.iHl d'invilor Ions les .Maires du dépurlo Oiimipcr. rovouaal d 11110 piirlio do pèrlio, Ton H(in lonjDurs rnlijei ,i'un exiunen i r è , i,|en LIMIOIICS. i i i i i I i i d i e H iilléfioiii-OK. iiu'-li'il '. lilennint a faii'e connalire aux fomlllei. (tor, luroiil so faire servir à lioiro au déldl l.o .'Ueun vellliinl. d e l n o i i u . M a î | . i i i v ( c . o v u i ' i l o . siiilos: •011 sur la taxation dos denrées ullmontalroi), iilip f," ''S-.' P,>",i»M:vai70c. Km lalsûn do loii Olicis. •jiicMia Mircnionl sa.is i n i i l soi! ljc..oiii de Dos le surlendemain, I l était servi 4,,, remliltairoa amployàa otat d chnol-. la doniosil,p,o v,.iilut los éi-nn roeoiirii a une opéi-aii.u;. rien qu'on iai-au! ii-.a-e d veaii\. bours pur le dopOt dn rapport do M. l'erobot iMultô, en Invoqnani les dernii'M'es Insl •n." G i s é r Ê e auM travaux agHooloa qui repousse la taxation c l In réquisition dulro. Ausul.il l iin d'oii.\. ,loan .Maro, 17 .mis li.ll.; hai« ' ' " " " d a l r e une nonvoll.) ouvrier ziunuuur, l.ranilis.siuit uu couli-au d( .u -r inanog.; ri f.es inllllaires emplov . dans .. les éqnlii.. sauf on ( 0 qnl concerne lo suoro. requête dovsnt I c i Commissions CMIOUUIOS ouisme, a l,imo elljloo,qu'il voiiail do sortir de sa i n i l k - , voiitilan«rleules i, cnnslilnen'l (le vérilaliles d.'Ia. CHUTES DE MATRICES 1. l'.n rivuimo, conclut lo raiiportcur, votro pooho, soonu : « ,rui dojà uié mi homnie avoi ' T H " ' " " " ' ' «noi rail "!û"Cl.lV.s. laides, cliemcnis mililaiics en adr 'I (|u,: l'on eommi.ss on, .•ipro» Une étudo iinprofondlo vènn i!'n1 i.M » ; puis, oomme l.e r;ao, Vn-s, mis. char '100 I : ..' •p.iillo, U.elles n'aiironl simplenieni ipi'à ,,réci- D É P L A C E M E N T S OES O R G A N E S lilliqi.ienienl eompo.sée de p i a i l l e s i l l o l f o i i s i v e s j o t l i ' peni considérer emnnv •rvlii.i cem- lu problème do la vIo chOro, osl lurlvéo ii \nnu ser leur siluallon. Les némes h s 'oeiin , rmi a (.ann;,lan eiilrait i, 00 inonind. il le saisaiit (le p r o o i l o i e s spéciales q u i m i t é|.'- é i i u l i è . s 1 An D i s K o i m I{<»hï.<-I|ou, ,1ic ur ,iu.. :'. U- .s.u iazin. ;,o mandé, la ronclnslon que la taxation (rénorull.<(io ne onl d'aillé,nis été pnriées . " a' con à s c o \ | i i r i : m ii|. e , p e n d a u l u'e l o i i f r u o s unnéo-. mou a la i^oiizanv ha iliv!.o!.'ro(iistP(l a , sit par los cpaulos 0 . ^ans plus d o.\plioulions, le ' av..,iiio, u n l/aulorllé mllil.dre a doue ilé Idé de les <|onslllnerait qu un rcinoilo Inellleaco ul des Commissions compélenles. n d r a xur, luian eux biaba nuilciiriou an frappa par doux foi. avoo son oouloau, l u i La . « I l vi:.\«:|.: i ! , i , i , i ; s c u i i v . s i r.iii faire prolller à loute épilii|lle, niv'l s'ils Ira- diumoroux, (,p n'est pa.s aux symptrtiuo.s du fai.saiit iiolanimoiit uiip énoruie lilo«suro ii I . I don, l l u v a r l u l > « i i r » ' i i l ( > i i u n <loimrdroi.çlsus e x p i e , i i i e i i i p o u r ,i;ii,'i-ir i o i i l o s les m a l a d i e s d . v.dllcnl en piilil Kroiqie, de In m liiiMlion dx •" " " ' " l " » " ' . mal» i» ses oll 00 e .sivO, al.alaiiK.iir d'iio hilmurou teni! joiio. La bandc se s,iuva idors ; mais lo maire; i a l o i i i i n ç . 1,11c l e . s - i i c r i l b i o n par.-o q u e l l e dé Holde de n fr, i'O en ,snsI de la n iiunaralii.111 "auses 1. •M. ioiiard, qui arrivait sur la roiilo cl iiu'on v. , p r e f e c t u r i u l ; m m m Im kalol. l'ehcH U,..lou iiuul ou hei - v i t an lo '."I sei>baiTas.sc 1 i n l i - n o u : ' do l o u s les é l é m é n i s i i i i i s i h l e s «péelale a laquelle Ils ml drnil, Comme eausos prlnctpalos d e l i i v l o cliôro, Ir '""."J ."»ï<'-llii>Ue naît dn priivoiiir, oiiiî.'ii.ïnii l iia d'eii.v. pro.;i«.-. I iilIG. (-•lie ! a i l c i r c u l e r le.saiif.'. ,1 eoiiLes iiei'iidsslDimaii'es Individuels llbri-s .11. l'orehot cite I eneombroment dos port» i.'i-.s|iuiiiio les organe..., e n 1 P a r i s , il lieu, bopjonamantebod. moal autour des cnips do oonleau, ol, nialRi ^nnllnnoiunl fi éire p.ivlés, siiil d'après les (;t des ç iomlns do fer, et la dlnieiiltô pour P r o m i ù i ' o souHoi'lntloii clépnrtomeatalB :Omc sa rp.usla„oe, lo iiKiiiiliid cl lo lil ^^l'idor à fuc o u v e r t e Ix l a P r é f e c t u r e ii.K hup cnouch ar lioazamanchou, da «as t e m p s q u ' e l l e les c i i ' a t r i o o . •tni-lfs lialilliiels, son d'.'i prés des liu'ifs ma l a u r l c u l t n r o ot pour l'Industrie do so pro en la'vour des couvres ambul.-incièoos . a u t a n d i K k p i i i i - I . u n z c t l o i i l i a d ' h e r pa- jusqu'à I arrivi'O dos {(endarmos. .lorés Kuspeplililoïi d'élro' Insliliiés lui com eosslU; l.a . l i M i v e i i c e do l a b l x - Si»iii-v uiarcbamilsos do jiremliiro iiiJ fc t o u t e s colles s ' o o o u p a u t , >aiis l'inlorvallo, co maiival.s jfarnomrnl rea a-sromi : U varc'haia polloe'h, o teulV t de la belle saison. n o p o i i l jamais étro nuisible, ét M'.u.-,- on '.<tiî..»vn.v. voi>;ik u n t i t r e q u e l c o n q u e , des v i c t i m e s da veza lie vourroo ho-iinan. Hak-se ex onip cnall, parait-il : « tas la l'rauce : Vive l'.\llo Mois, dans Ions les cas, soldats el embnn I l y a «urloul,répé(erons.nous, le manque loulo por.soiine c|ui .soullro .l'une ouru/, da Komcn d'hon leunerlen o leiiio a mufrne ! ii de l a g u e r r e clieiirs sernnt jirévenui) des lal'ifs adoptés <lo personnel et les Intempéries, ptiuni.iiivai.-o ciroiilallon di; saii:;-, soi) .il, 1.1 (le manière a prévenir Innic discussion îi Le eomplo rendu adressé dans loiiles le. ncvoz an aotr. IJCLTOY, î.',, tiailMur^iSaiiU1.1;: C. r.-icVe.s. filiMiili.y, ,„V/e..' soit \ o l r s pu illes sont Impuissants contro le.s i M- L u .uv.ioi, ..•nn h „ i i loue/. mijel, tdeinpi>r cs;, mais 11 no doit pn« lour Otio mairies ol indiquant les qualrc réparlllion- Marllii, l ' a i ' i N , . d o ri.siooi.ic ou dos ni.-i.<. .•hi.Impossib o de favoriser la imiln.d'ontvro, sneeesslvemenl. 'fidles des' sonnneV reci ? i - ha;.ï 0 lui-, ,Li\i h c - u i i a u : g o a / t i d , i i i i - i E.v.jtr tt I c i i i v . v i t p o i i i - . . <:'(.>iirt<-iiii-!if •••l:aloi,i(;, 1 Oumul tio maialfaa «••lic.î ha l ) U K a l « . C liuià l.a;; n ..ou/ disi. ui-deli'ido eo qui n été fait Jusqn'lel. I,e.s Iles aeensail nn roliqnnl de T.îîTi l'r 55 soitm.ilai.'ii.'s d u l t l M ' O f l t I l AWr;, doit rn;idy.v,.T l.i A ititiisoiido Lo snqs-si erélilire d'Klal do l'iid.<ndan U « ' i i u . | i i > i i z o U o i i , nu -ciaorit l.ot ar i,-,eLo voici la réparlilliin ii eo lour • ' hommes du servleo iiuxlllalro continuent ii «•oiniii-Tr». ... .,11 l).>iir^*|pnt de prendre <|os mesure, „ii vue de r ili.-ili-ir.a:, ovil cuu ail. iuiy i t d'Lo eaoïit da : se nlalmb'o do rosier désceuvnVs, l ' o u r q u o l de l'îoniS.iî.H!' pla.vau .primer Irs abus résulinni dn rnmul. par les nu los l'opartlralt-on pas on trois séries, fi L o k o u n i i u i - I . e o i i , .sadorii, x'ii t'.:ouevi'Ci' <iùvtVB!)CB d s r a h h é S o u r y Lll . iiBentH et i.nvrims do l'Klal nu des adminis onvoyor a tour do rnio en eonuO do un mois bûtol dos Voyaiscur». m l.e.ile .•i.iili.inoe. (..ir elle u é r i l lous j . j u r s d i s .Viil.' l'iov.j.s(ration» publiques moblllsits, drs salali'ei pour los travaux do lu terru? JTRO.'IT. 3ul, ÎT, liCitcd Continental. jiiilHei'sdo désospén tic. .1 iq.jo I , «m npnolnlcineiits de leur siln.illon dn leinpi. ^ E m s F L O T T A N T S L c y i i o v e i i , k m , iS. hûlol des 'Vroi^^-Pilici;'. Avec ces pornilssloniialros ot los hommes Salol-Pol-do-Léon, Mw fr.: c ivl ' . l l wi, Le llaeijii;) ir. Td dans loiitosles phar. : ;ie pal.x avee ceux (|ul leur sonl alloués plir fr. :t. du si.iryleo arnui quo lo ministrodoln (fiierro ir.ii.oi) L'aro. Les trois ilaoons, 1 l f.-. .leti Iminsirles nu adndnisiralions qui I î In/sf',""'" r ' " ' î " ! ' ' " " " ' I " ''"K?>',''»",-'',i'",';" I ' ' " " ' " ' f " iiiosuro, In vIo Ji s ère nr soniilers ou mobilisés, :,U0 f r • — iil..! iiiamlal poste adro.s.sé pUannaei •enqilolenl depuis ),•» nipbllisalinn, I.tiitduii'i-ex ovidonunent dans lus campa. .-B. I f J l â O y i • i K ' ; n » . \ i ' i i ; i t . il lioiien. n o, . . ' ' " i . ^ " ' ' ' " ' ; ' " ' ' Serbes, tOfl l'c , l'Oanloii, na. Sold.it,9 camhriolour.<!. • - La villa de raini "MmlarnlonaufiÊ'ytaHéomimalPo o r,; . ""il'/'-V.'oililairos de Ouim, er rul Proilliel a re.,11 la vl.silo do quolipios soldai." a raiiillloi iaiio,ii hcnidez e Kann dro l i e i / (\oricu eoxri:.\'.\xr NI;.\-si;UIXI;Mi;xis llor,s do là, pas do romèdo à In vlo choro, f.'lnslruelion rclallve à l'admission au prv l'our falni pousser lo blé ou nbondor lo 1110 f ',1 .^oclulé dn l'u'uvre ilo scco ii's a i r lia a- colùiiial, casoniiiii PloiidiiImMoaa. I.os ma. - Ulfinxedan D i H i i e D n - B o n z o t l o u . Di;ili'ji''i!< Uu. ai,.-J.;S1 • 'fciinJç soldais sans famille, u olu'dcaiilin n o f . laiiilriiis 11 oiiblléroat nalurollomoiit pas do vlsi. r u l o u r o r . c i i i l o i i a r , ( 'lioiii hajr a /n. | laniie mllllaire, en ItilO, esl déposée au b i bourre II faut cev -.rvini,! joi ns .... niitro cho.so quo dos lois ou imvruir do n;nion des i " „ " lo .'o' die li( lahouriou ieiiii. o hra.suc'li r i ; i i l l'cau mllilaire de la préfeclnre, I, ilnimper c iloît arrOt('i8 lur lo.s oavos. Ils onl ou oiilro eiiipurlù dueluiiev li.f certnliiH iimifnitiu otrstM.x. 00 .1.. ••111.. •le II. ,'. :: h. do vlllo ïlli ....V,.^, Kt ui-ttiuiin maires iiiuil'cn '•-ed n'euf. fors piuu da |v;u,iil an iVl rnVi o .i,lu soUB-préfeelnre de Mresl, oi'i les liiléres f Vis ; v i • objols. i-.ii;f le o- d;mau.:bo l'on no • ires f i i i n . ' . ^ i i " ' ? i,^ o.lîouz ne disI.,M». uiii;f< panrront en prendre connidsHanen inii! n ont pas tai'do il s'n|)orcovolr (|uo l'o «'"«'^'ai'eo aux mi l |)0U l|. -uas J . a l o u r . t IMoiivien /.«•IIoii pe our ohlenveil n!! l„.i,iia" li-.- -i ' lo.j Jours, dmianelies cl Jnnrs fériés execplés acoroto pas la vlo A bon marehé, l ' n pi -. 1 -H J.,.lli,•.•.•.> lo lilioiol» demi dozhai:. ••m (!(>ii a-,,-;,!;..,, i,?. i.r,,' Icyakiinonl co nous semble, Ils avalent \ lA'H fnnilIlcK linidiani l'arromllssemcn de v r i " " i"" ""iiiuio, us «vmuiuvoulu A y i s . • 1.0 prl.x dosiillllc parjumonl esl 11-,.'' r.vie. i r i..-E(ïi.v «lot n t i ' T f : ; , . o » / . a U u W s , à > T i J s ( i h o \ ' h Oehor os paysannes do veiidro lour Jirest (loywnt faire Inscrire le» enfants, goll 0 il .s Irancs pour tous los étiiloniilors do la cum Classique si Religieuîe N Le.s subveiilIons aii.x divcr' ml ar 1. 1 1 (I ho poa:,iuu : oc'h heùlla ho «0,1 leî , HICM-Iiiiiio. lîltlîST . « lu préfcidnro, à. Oniinpi'i', soit ft la soiiK- bourre nu-dolii do t fr. 00 ou I fr. V>. Ces mu no. e ll'J.dOU l'r. DU. oMiiir restées umiz l'IlUn écono liou hep en oui zio/.a, hei. cheneh séi r i pnysunn(;s sont cho)! elle», jir^eclnro de nrosi, d n ' i o avril au iri mfd l'<i<>'Miiiivr> l'.n c.;iis,se ; 180 fr. 10. ;.hoi ho loaro da veva. e Iciiiioc'li da wr l ' • ' t los pe inlsant ainsi un temps nriioloux ot pe ICderii vlllo ;; O otv Lo eon('Oiir.;< d'ttdniis.-ioo mira lieu ti Qnim tllos déponsiis (|uollos faisaient en1 vlllo BiirMu j î s i]')itj:,i3s de Brest llarôa'rvu'lm»!."''' ''' 'i^' A r r e s t a t i o n . ~ Vvos Iternnrd, ;io nus, do ' P ' i . le lund 20 , uln, (i 7 b, a/1, dan» nn loca sur lus marché» on m ' t r o u v e plus quo dos mcçtlipic do rorme, <pii avait dlspiirii après sVir. nuirelnindcs, qui préliivont naturellement , Klçlz a lizeri'a deu liemdez d'iie d r u " a i v •<«»ul sera ulICrlenrement déslnné, 1, P[acB Emila Souvostre, fKaftLAlK un bCinulleo lionnéto ot pour lour temuM, et ri;.;nes poslérleniTmonl i, la clOliire le a livré il ilfii alloiilats à M pudeur, a lito arr'lé i ,cai (la vezu ;,'reat aiiaoul ar iiio.ltioii "h,,,-. ••Aohata ao hoia noup l'afinéo (.lulinper. I.f \<-:t.i-i-iîi :i pour les mauvalw compllmonts qu'elles ne/•.(uluz-zc. l;ak-se. e'houi h;::; 0 pou/, iioaii XI.M. les mareliaiids do bols el prnprlélal coptent do rocovolr ii luidaco dos fonnlorcs 1- lioiii u ve mad d'oo li moi.l % l l ' d ' a , ( r,ri(j, '»' ^ î ' i o i l f ï o l l l i u absentes. ar p a r e r .s>(-o:.iI î l l U c I , Ken n.culel".. , tlellc î.ou'scWidinn roslo oiivorle Itésullat : le prix du beurro lo moins snl2Ju Pin stJirc) KonI Informés que le sei'vlec iir 0 liazolennou braz evit ho vadohorou. \ E n f a n t écrasé sous u n tas d'ajoncs. •nu gi!nlo est aebclenr, avee jia emunt fi Iren- çne<ist en ti'iiln do so ll.xcr au-dessus do Spécial!'îldeTÂPIERy dïmbâiîâgë' .11 ,(/. 0 voxii Oiin bon louez evit respo, a o a • d é p a v t o m o n t a l o Lo polit Jeun-Mario lUdou, àao do il ans, dn vil•l^vjour», ( 0 tous los bols en Knnnes el I ' h ' fr. 60 la livre, o u v e r t o sous les ttH.yplooB los la- i-.<;U. n u T c l.od l.a I m a a l e : luKO do Itourol, éliiit uroupo il comprend (pio cotte loijoii soit jugéo de nelaKo ou débités en plots d'oH«no« d « Consoil (c<!nùral [ t r o s t , su!, JT 0 h.Hiovrer, héd. de l-'carc,. oliii's d'arllolmuls, li oùlo d'un tas d ajoac.i. 'loul .•I" liis?i.i!s inipr.: .iulllsanto pour lu moment, l.o dernier mot Ilelle sniiscripllnii, elose le I " lauvi,.,. £i ouilp lo las s aballll sur lui. I? co'i.-.immati.j; n est copondant pas dit, Uorinins ai,'ltos peu«onstruotlon mi eaisserie. A l'iiidode voisins, la fc'niiid'mére ilés-iiiroa l'eu .S.'.ljsi-iaii.-.. ..t r i* / ' " ' •• •'»!oiio/.. ••Lan offres do venle «leronl reenes nu bn- vent r(;venlr il la clnir«e ; et les atyrlculmorc'lH-r, 1 nioiir.s, h o l e i finit; mais 1 1 e.npira dans ses bras au liuiil d «mrs eelalros (pil se sont d(!voués pour niKsIon d.'.parlemenlale ainsi rni'il s i ' ; P a p i e r s à l e t t r e e n to-us geare» quolquos mluuto.s. I •••IS fali'i) entemiro raison on haut lieu feront ^ M d m p n l . . " ' ' ' ^ " ' i '' l ' o ï K f - l i i - o a / , iaou. hou'l de.s \ oy; SFtClAU.i! pour BOIÎEAU.X de TASAC & COlPOr.TEUES • 1,0 Rorvlee des bols reçeil les offres de bien do so tenir ou éveil. Saiiil-Tlié^'oiiin'c fftundture de bois tendrns d'explollallons K . - j t i j i o r k - , f:won..'r, :l, 1,01. du Coniiiion-. Grcs. Dcmi-grcs. Vétail — Pl^TX lltûmrS U n caporal r ô l e liua bioyclotte. 1 1 locales ou d'lni|inrlaliun, , «i'ilorii, i , hOlcl il< caporal du lii;-, dlsniil s'appolor llonrl Fleulie <lo .<li5elnralloo, les coupes et /<.r„ avilit loué 11110 hiovoli lie il ,M, ,loiui l'ourci soi Iti'i •|<i:if(î i i i i i m a ï K l c d€'-|»aNKaiil V.! fc K i î n i l . ç i - , siil. .•,. Loi. 1 du l'aro. Moclis déeonveris pourront Otre Téqii sillnndisaiil pour aller fiiiro viser sn pprinl^iou i dii;e f i a i 1 (1>/ i i u r f c l <l'tMiiliull.-ii... ioi«li-Koi-ii... Uni, 11. Iiiilel (lu Kranoe. vher-Cliiisl. .\l. l-'ouivl alloud ciiooro s.,i I és sans nuire formalité dans un délai de ; >v(cc-aoii. niours, holol do i'iance. poloiir. j!'»rs il dalor du t " mars lOlfl, yuimperlé, Ï.ÛOO fr. Soll au lollll • îiuHin f r .-^l-lJi'n.-L. i i i c i v i i c r , b, holel de l'rancr .M.\f, les fournisseurs sonl é^alomenl loH ô p i t a u x t e m p o r a i r e s ot a i i x l l l a i r e a f'n'inés que, pur décision inlnlsiérlelle. le yill.U H j p l l a i u tompor«iroB. — .\rrondlss..rneoi U u v i l a i n montiieur. - - .losi-ph 1.. i;,,ir de uelud de Ions les bols de cunsIruellSn i>itif:ni:M l . a n i i l o i i . sul 1-,', liôtel do J-miico •et de eaisserie dessencos londri's nécessald'IiSijulbicii, soldat au .SC torrilorlal, a é!ù anvi. l . » n a i i ( . iiicir'lier. -."i, hol. do Hc. la"; e Pour prisonpieri de guerre IV'S ft tous les services du déparlement do lu pour s'élrc pormia do fiilro des uoslos uljsel-ii .^reiiiiii-oii K|ji,.i,ii a <• l i i z i i c v c / . La Soninlno rollulouse pnlWi'e l'iivoi-lisnv -•Onerr»r du liuiK du Hl(jiit-I''ruai«i re a (k-u/.l,,lIo( l/.ili. ' iiivitl SKiendI liims sa piii lm ojflii.-ii'lla ; I a skriver euz nrci/î, i.as ,i| h>eri d' ii line f o l i de plus. Nous devons melirc los ao rantonto tlo aulngamp *ltàiiùt |{rioo-(I«'-l(>(lo< Ildcles I [1 Harde eonire eerlalncs rormuleu •leinenl de Qiiimpor, : .'.'M H' • à r r m ù n ^ Loilgsu ^evit k a o u t kToe'hBc k a ë r Lo I iii -i^ Voleuse arrêtée. H ,v n irols som.iri C'iUor •ioilil ACHATS de prières (|ue .les |iersuimes iKiniranlos, nu noii.s parlions d'au vol do l'.UOO franos com:- • 1* Do lonles niains do chevaux d'i^tfe di mal inlenlninneos, font elreuler un peu paruu préjiidloo dos llls l.o .Moigno. de l'.upiciii, " 1.0 PiImites ciiléttnries de fi 10 ans inclus (1 imi Innl, el Jusque parmi les snlilals du frunl, yomiierlé, l.,-,00 fr. Vida • (li.l.-Jli,' Vollllil i S aotui lloment nu front. on lil)::. •et an-dessus pmn' les 1', s, anxlals*. OSI (le r ; Ir. I'.ju, L.im prières, lo plus souvcnl rldlenles en La goiidurmorlo a Uni par découvrir l'aiitour on li.'<l<< «,»*'"«''•" (nilalos). - Arron.lisTiins res animaux dnivenl Pire en service cl elles-mêmes, acennipasiiées de signes mvs- s,. ••iiileinonl. on I.fi' /!.> .1 I . ... I IVii.v Ù 1 du vol. i;'csl Cnlliorluo l.o Moifriio, domoslluuo laisse:, «pies il enirer Immédiatement en eampairne lerleux on d'indleallons bizarres deslioces ••<11. Cil lihi-.iii-i. (lui liulille avoo su uiiu'c. Kilo a rcsllluii l.liOU f r ' • yonto de l i i i e s sur lo niarcl ( 1 1 fr. Il2* Alix éleveurs et en imnibro linillé, les a leur nssiii'cr une sorle de vertu inaKliine lii^illi; Avoo une purlio do l'arBOiil iniimpiuiil ollo s'était -iiit reçus il la Ijanquc de l'ranoo, •.•., ru; jibovaiix do selle de 1 ans (nés en IPPJ) n sont -'•P. il ». iMiiKcr «MK^'* parmi l'MMIU les H f» Ipraliques vaines el .Sr mi re l;cd a e licll lloiiraat ar o'iiroc'liea war I o'i aolioté uao blo-olollo. .•\r iDcre l:cd a e liell I1I)IM-.-I..I( .I.. , . ,• . . l..adzi\vill, l'ai-i» ot dans .ses .-.iiceaival.,les I>. 8, (le a ans (nés en llillll, sell au tulal : 2.i.n,-,o f r Kaoul lk,u llaiiiiii on eue oher iiiiplij e i i ^ a u die'i i . '.a • • ton... 11' ,.„ •Ame eliréllenni dont bont seuls admis los ordiv.s donnés";,ai il ra OUZ ar Iirou lion ilii zond da rida ha Uas a v^ \ Nolt, — I,cs chevaux d'allelnue de .4 nos ;upersl|llPiisoH, i; vont , . . , , , t u ,nvec - , - horrein iiorreiii, 'Slsnvejoa a r S a o u l a g â T l'^rfî'iié-Arinol dnil .... s(! t,, délniirner R é é d u c a t i o n p r o f o s s l o n n o l l o .los jiranoais concoriianl dos liiros o o l c i ii ur n d c u , nui'/, oiiz anezlio dlja. t.er es, le devoir de la prière devlenl, dan 'du l"''jui'n"'' I " " " ' ' les elrconslanccs aeluellos, plus néeessain M o r t s u r l a route. Lo dimanolio U fé- Loiidros, timbrés français ou non. .\r slaulilloiiii : I f f w e n n o l t ; ,,Cenlre ,1c Hresl. 20,000 fr,: frais ,lv„vol vrior, on ,1 dooouvorl «ur la itmiido routo près A f uieai-in Houdnrt Les donnoiirs d'ordres devront ius(iii..r el pins prcssanl que Jamais Kl l'ivilse lo . \ r V0(.vsliid : !) l'oal ; Illnérairo pour lo mois de mars Ifnn ; .CO.S lilrp.s.se trouvaioiit di-ji'ion tour l'o-„ An hanto;--voo.slad : à roal lu.oin du nioullii do Londu, lo oadnvro d'uii lioui'iiiede que MorUlx, oliamp do foire, morc.rodl Ki, i rappelle niix lldéles sans se lasser, .Mais elle ^,,T;;ùl.;Bénéral.dcs subvenllen •s.sioii anloriourenionl au 1" aoi'it l!ll. o u on (^,1 ii|)o!ii>.,'rozou. lia il 110 ans, étraiiïor au pays. il liien soin d(> leur apprendi'o en même A oafbmoxounck 7 i'-.' ^^S""!,'''.'"! f"!!'". ,1'iudi II'., lemps que l'effleacilé de 'lu prière ne vlcn' nit i omoiircs .sans iiitorriiplion doi.uis l.a volllo, octlioinnio avait dit, dans 1. iL " rollqual, soll •tto ( iitc on la |m?ses.si(„i de Fraiieaisl roi oii 11 étiill eatré, qu'il élalt (farron bo ' m pus, cnnmin pni' une force seoréle cl nié. ssl^'l 8 11, l / ? ' ' ' ' " ' ' ' U n s ; , Âcsct eo g a a i a n A o i r o u MOREUL h e - u s s c <l'i • Courilei. eali que, d»s paroles ipie les lèvres nroiion. B'or il Korifost, on yiiuméuovoii, ol "ipi'ii .liiai. du l'i:: Les tlircs seront re.iii.s il l'appui do chai du Uh.'d.'.i.i.t Les loonlltés ol-dessous seront nrobnbr \r..ol(ole r i , n r d i j e u z a u dlen-zo.e vo mad " T . m " eeiil, mais qu'elle dépond unlqnnmcnl de. voir sa llllo, domo.sllquoii Suiiil-aidou, ou ij-ju. s- que ordre. La IJanquo se ehar forâ U; i . •)i i sjnent v i s i t o s pendnnl Is mois d'avril imn ont Haoïiii l i c l p e a u . pcvar roal an lam. « première soiiseripllon, qui ?elle "l'u-crtl." eondilliMis dans lesquelles on prie ; pnrel, mio'li. ro!,'ularisallon pour lo comiito du donnour ~Le i , al I'. Gi..,llt(;i-;LUM ••çnlmnrr, Dounrnene!!, Saliit-llenan, Lnnnill et hnmilllé diPoienr, eonllanee en U en e| U^iinion, 'rréRiilor. l'oiicKiiaiil dans 1 uterce.sslon des Saints, persi'.vénmee 'il'y ' T l u ù i ' ' " n u u s T Renversé p a r uiio auto. — Ku so roinlaiil La Ùanqu'e do Franco prend ii sa ohar-e •s frais d'envol ot d'assuraneo .• oUoiie Volparci! qu'il pont s'en Inmvec de raus!.e,M c P r l s i j n n i e r a «llemnnda. - (luciinios cou. en autoiiiolillo ii (.luliiipor, .M. JéRoiidez, do I a Korél. i'oncontra sur lu routo, nu lieu dit Crois, ovra, pour l'oi sciuhlu do l'opération lUi do ( iiiiKOivnses, Il esl du devulr de Iniil saut Korliornou, un liomnio qui comlulsalt iiiie :une coinmi.ssloii d'aucune sorle et i ù •ç U'étinn jlo n'employer Jamais pni r pr ei' vnclio. l.a vacho, alfoléo. vhiiliil travor.sor la route coniptora au vendeur d'autres- fniis , qui des formules approuvées na • elle e i ' O e q u ' a f a i t la Société de s e c o u r s ot nntrulim son conduclour devant l'auto, uul lo meilleures, IcH pins'efllearcH ne- soronl! aux blessd^ilitaires Loim|i 0 I ordre aura éié o.véouKi ii l,onu 101 0.S équipes, .wjii irrlVéu», 'ocôupo itde rpiivor.su et lui passa sur lu jambe ot lo bras droits. ' ('S pas lunjnnrs les simples iirlèi'os apDeuz i y MOBEUL, d w i e i i r apofiker Lo lilossé, Vvos Carrer, oullivatour ii Korlniibnii 1 re«, la Hanmio en avisera lo donnour d'or1, s„! !'" ' " <l"'"s le enperdit connal-ssanoo. 'i'raii.sportéduns uno innisoii dre et le roK/oment on sora cffeolué a ; n i j a noflt m u «u i - janvier inin, In Ho- 1 cl (sine le P i t t r , cnselKiié par ,li.snsvolshie. Il y reprit ses sens ol reçut les soins d'un llnii» le nombro, lu polloo trouvornil nciil éi™ do Kooour» aux blessés nillllairos « . in. l . s!'.","/'!',''-'' l);.an lichken, clouez iu- re zo Kinui^et d. o . ; , , a -Kini; ar ««fl». la .s ionmédoclii lippolo pcr M. Jé(foiuloz. lu d u ngo a vue du jour où le produit de i-il.lal, .ir "" " m voiilo sera porlé par la IJanqu r-d'A iLlô: W.dSI lits. Lo nombro ( es oui nées d'hospl- la Mére"^!!''!;!;:;!' L u Foi'<^t-l'V)(u>Hiinn( terre au crédit do la Danqiie d.; I-Vanco %ill»ullon ivdoimssi vlnitt mllll(m,s.> ICMo n La date du roKlomenI est s u r h i m k " "éo ;;Wnonniro on lihpital ehlrui'Bleal un crund E n f a n t b r û l é v i f , — l.o 12 févrlor, .Mnio liiK i i u e i ï , . pobapotilioro/.. " r " ! " ' ? " -iwdeniinin u u ZZv u liKoard, eultlvDtrioe à KOrllot, otnil sorllo pour aux ii.sages de la place do Loii.lr." '«MiiHnnantlriiio, lo C'/iaeies lioiix, ( ul a é o t-liiiiUa '1.1 ur naz cr hcrra ainzer ; paroa i.i .ive, i,oi, . j hem- • ûtomiro du llnifo sur uno halo ii pro.vlmlto (le la •xiwoyiS on (Irlont, Kilo métallo on ce moM i z lii-...ic..Ue, Bi'il-pe, l i i l J . i o u z n . - Kt.-i,vo.i..i, p o K r i u . ' inoisoii, l'cnduut 00 temps, sos doux enfunt», iiRos do ^SSp'îit» " " tf'''""' l'^'P"»! <lo . Kiu- coK .'a i';..(,'; :{ fi-. ï HlllKleusn ., „ i,iii,l|,i los siaTrcj^unc a ans cl (lo S2 mois, joiialoiil près du fovor Les piutt (lo« 706 bilpltniix, In SoeliitiJ ontro1''^'; "l'I'belins do la (iiior Incendie.• olh lire. l .-iiKlnruo. prlchou l.or.li v-n iiiuoiidlo • Il lU II (iûll'tl'f à la l'n t) a»», maltrn vitéran nn roti" 11. n f f l / , eilcls du petit prirent fou 1 et lo pauvre oiifnnl éinbllu h l'Evfolié Uo uuimper uedalenimu urioii .ipolikerion. no tarda pus à sucoouiboriii sos bridures. poiiilo do 'I rovlsnoa, une ^ualson luibit •a par An iiul. .^lOltKI ,(looleiii-apolliioairi il tal^uor I l c j z ar yoa.l, ar e ti. j n t .M. tuiiifuy, niuriii pofheur. Luo ciooli ticiiiit feilion. ,Liibu)\iloii d'iiiuihjiifs, a:i dispa. /i.ii.s, !;/i.n,..- l i e . . saïKi, c » J I I » O o a r r t t r d u j w n l i t è r » iSu févnir imu;, L e s I n s t i t u t i o n s d e P r é v o y a n c e et l a G u e r r e cneiDlns de fer dépar[en)en!ay)i do Flnlslére âv s i Reosepra il • I k VIE POUR h m CHÈRE m [ L a j s u m s de l'abbé g m | A mm ! UNE FERME mm ! linpdiBerie É "Ooiirnef " D a n s la Rjon mm POSTALES mm suj^stitikisks BANQUE DE FRANCE I p E S i s â s s 'ZRtM B E U P E ^ U ' L . O U Z O U ar «ROIX-ROUMFRANÇAISE SIROP C E L T I Q U E E O Les Orphelins de la Guerre AOT, JOREUL,^-.';S!f."c%".!h„nc Ifanoik Êsperans eiir - f l n bonnnB u r n n k boiiu > Ç n r b l jHUur cvcl «rnr bonn, ha sUninx. « v c , CHU ma l a v n r c f , i l i v a r e'Iioari no « e u n e i r n U'ur gotir, D a v«ro kiiz-hcol, d c u n ï . a r p o o n i ^ d H «Isirol, Y a i i n l k w w e h w , no )iot h c h oun Innim e n k f c z , • W ® " m u ) 8 YïfiSç» «lunmiel dn v e i i i iio« M . H o d ^ n : h c n f all«x o lakeo o l o u r n j j r «... beniiou. hag o nanlo un t a m m o u g . ' h i U r l ^ l h u t , hag e u r pennad e u t SSi •jl^îr'' ° ' " V " ï^î V S •«"'ou pber a icai o io\B v i g n o u n boteg a r goriadenr me» M M .» m i r o a a a-nevea .var an h « n t . o M M k .var eur b c r n meJn. e c'ho;.' ' M n o i dn aligna h o r o u e j o u v à r c h o n n i k n o i i l ko o h-c.sk, liii kotisktq " n I.olci'v«l. Uno c vcz «rciil tlluotner v i d d ' n r p n o u r , hn m ' e n ont w i v i r i • lok i n VMo dl.,l«licl dioc-h k(.«î; h o pô/,. i S nittd,,. la... k i g inoucdot dous ovel mt"®'- Mo y c i o ,11 ,n. b(.lr Knout i.',,m b«*o grcnt va fiink kentu ; hnsi nin c ï i ï Ah.'.JiV " " ' ' . ! " evIt o r o i (l'enllc. Liiioiiik n n IroHd-Skimv n r a i r h l n luvm'ct bcmdcz «oudc vu l e i l c n n o u 7 Obcr viid p u c ' h e l l l U r o u g u r i pn g l r i . oiifhMo 0 Idevel xc p o i r 0 d n v u i i c h c r l o r r hau o vax Soir hLin ^ I "Uf h o u a r n o r u i o d ' h i n oui- fouo i m ct^iî p o i l b l u n Iill puouroe'h coedoun. I m d o u c h c n k o r d c l en o benn. " 'XnS.J"^''' « ' • ' « m ' Œ ' kèt Vtîr 2"fô'"ns our guchcn v n d lonloo'l d'ar Vourua- S^helT " po k S Î . — ^ pegoll cnian Kor-ai'-Bolcg 7 , • • ^ . K e ^ a l ; • B r t « g a l o p ' a i ear d a ^ d l ' ».'• " s ' » ' ' Owolloc'i n ^ 0» ovel an h c o l S'ir« rfJ'ïl " " ' " « • . " ' « ' • l o z e . an I n l n n v e * L'ini i ? ® «ï™"» ba k c n d l n drouj! o valo d r e a l l o u r - d eiuo a r c ' h a n f n r l , ant zl ïtii- du tliul Itoz « w c c h a l l ii l'eiiz evel[lout : n zioueraz h o bouton evil mont Klaplk (Ire un houlehou... l ' e g w i r ne l'ell Itel d i d I r c o ' h i da oueiin kerz... (llai'c h e n V A r OruRel (joz ; vu ini«nouii, n'iie aeiiz ket ii b e m l r n i d n brena boutcier evit nn oll r e d c r l e n bix). Y u n n l k a zelaoue h e lez-vamin cunt k n U n evcz, mes h(î c'hoinzou ne Jaklont kel e zreniin d n denvulnnt : nale (fliirc hcn I ma n'on k c n du obcr '? H n n k o i i l dllozcl e yriigez « v i l g w i s k n n-nevc/ e ïiie moyt'llcl rouz a vefe trl.sloc'li. Ne prçdnz k c l evoloto, singn g n n t e .skudelInd voucd lenz I r c n k beb bezu amzuvcl u r w i r l o n c z peiin-dn-bcnn hn lavaret ncs c u r l d a r v o u d ti yoa en cm gavct caixl f o u n s 0 vrngcz : " Ne zonjo kct d'hJn e rcan droug, cniczhon, h a p a r d o i i n a c ' h o u l c n n n n digiin c o c h , m n m m L a o u l k an Troad-Sknnv. 1 — Ha p u r d o u n c t o vezi, cmc A n n a l k , c i r e hç dent, r a g tgouzoul a r n n e peuz our g a l o u n l k d o n o r - h a g c pcuz a m z W l a r w l r i d n e * ;i)cnij.dB.T)cnn. Varc'hoaÈ vJnfIn, emozhl en ç u r zevel ho raouez, e w l s k i da «tic rouKihag a r b o u l o u f a o u l c l a !M> akc v a r a r selj«wclo. Daoulagod Y a n i l l k a drellaz eun n c beud p o glovaz a r ' c'helou, mes a r g o l b r o n ne ««loa» kot dâ doue! j espérads a w a l e h , d ' e d i v r a o h vlouz edo oe'b ohei; lueve braz e r .Me.smeur, ha «oesl on ( heu ober, IJcp pardiicz ha d u r zui MUide a r flousperoii, cz en da w e l c l Aniiaik, hu da ober « a i i l h i eur v a r v a i l l i a (leii. A r OniKcl a yon e'iioiiz bco-ljiHzck, ine.s k i o u m e t cvelald d l i dan beae'li a r bloavcziou, N'oa i i i u i evit inoni d'un ofteren, hac h e anizer a dreniene azezol eui7 iin-oUcuri, a r c'iiaora t u z Kroaz-iirViticii ; pcdor .siiaon h a skiguer mad, .savol viir ehosou dero ; euii daol da da- 1.(1110/. (KVHAII IIR PR.ID BROIIKM Kiiiit iin d . m - ; ne en'.oiiîo Li-I lu- o'Iionlmes k o u n i p r e n rt-az p c l r . i o'Iioan- MIITI"!' karget a Ijlajou imi ellct huK a skudcllou ruz ; c r s.i- / Ilet., iiii^ o kla.sk onol». ouz .m d o u r n i i a i l h . our o'hrae'hellad keuiieud dastumet e koiit a r l-'oresl.,. erfln diruK a r pi'fiic.slr, h a r p i k ouz a r poull-iinvoe/,, our melliid h e n i teiJ, peadra da droinpa en d( nr i. c lioloe breman , i r p r a d eeiz •ul i j ' n n vraz. X o a kel bot .4.vet k n , eiz devez unit « w i i i i z du... l î n our ecr Sn... i'.'^ î ' " " " " ' = .'•"« » " " J'C e v i l lakaal en l i e .spered on an Troud-Skiinv berr... ket-ta... intanvez Aogustik Ala- Ost d .-ir s l e n o u beb bcza dcsket n c u u v ; d.i.msf d e z i l h a d a .lache aiu'?.ha» v a r m u n f c r Anton g w a r d a r .Meskouez p i e d il >011 bel a n l e i r e l c r e n k eur Imou^'f"-'"" d i z o ï i l .-iti rez. daoust dezbi dn vo/,a a r b i n v i d i k a n , ' J p c n n i i d ctiz a r Vourgaden. )(;ed : l-speraiis, emezha... o tapa ki-o« u-bell euz o l l d u d i i r gerladen. Xe amil i i m abarduez m'edo o klusk f a r d a 7 " l ' o u ' i t - K o n . < bl,.., IK-r,,. K v i doiire, heiiuian n'en ' i J " i ' " ' ' « " ' « n - i o i i d evit b e c'boiin, i r o ) ' " var ho «loa kel c hoaz k o l l c l c .inaoudCL'oz li-ic eun (ILskramuflb u zen, d i i i r c ' h e n p e l r î i E c'bellif k r c d i . Y a n n i k , pu glevaz a r («iz respouni d a Eiiieraii.s c ?al\-('r e benmtg ma t i n j l l c eur p i l - d o u r , a deu.iz e lle pu, n ç varo lialaz k c t . Antronoz. fa.daz 0 z i v r o a c ' h en d r o d'e riveske'r : " K^" c ninb Per A l a p i c d . - - N o zaleo k c l da c r r u o u l , £me An- n i i n t i n nmd, c k i i i l c a ar 'Vouruaden evit njont d.;, glask K r o u z - a r - V i l l e n Abitouc K n eur zcc'hi c z i l h a d a ziverc eaiz " " d ' s k r a m a i l h « zihunaz e g r c v i d l . : on deuel... keHa... d » BOm e n n d a r noir... k e H u . . . o u m a r o c vdinm-goz..! ket-ln... b a beziel penwck devez a yoa... kcMa... l'c.»»»,» H a goude b e t o k l e v c l eun daou c e d r l ,c^ant... kct-la... A n n a l k a g o ^ r f i ^ ehanet : k c n d a l c ' h n rea da goueza cniz nia vefct o tculer anczhan gant buiitaoïi, hag abai'z en cm guout c G w e n f r o u l , a r BOtr a yoa d l s t r e m p c l cgiz e u r c ' h i d o u r , Daous d a zc, e kcndalc'hnz d a vale. mes djgouezet d i r a k T o u l l - K a n i k c kavaz a n h e n i ntankct h a goloet gant d o u ^ ^ e u z , a^zJrollo g a h t ^ e u n I r o u z ' " " * ! l f . e g , kostezibu Kerassei b a îiaoS'BÛ'i.t'^'rZ'uî.'"""' v-.^'l'îf r î ' ' " i'<cl»aden a-grenit tennaz ganlhan eun t«ol d o u r n , s a r r e t var e b c n n ; çgilc a zi.skrog«« k e r k c n t badouci m'oa bel gant « r mcsUiol. Save«ecl oant lyez ; a zlbouec c vico H c r r i oe sUcKt gant m a b « r biJhaouerleit i e V ^ w n " ^ ^ <»a<l<»vwçt,ço waren :"' •' ' . . ' YÇa ,