FEUILt.E D`AVIS. GYPSB D`ALBERTVILLE

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FEUILt.E D`AVIS. GYPSB D`ALBERTVILLE
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cnitx dont cllo ne pouvait rien ollcmlre, c'est do la pari
d'Elisabelb Princel un exemple de porstWéronco cl d'atlachomniU querAcadémio ne croit pas trop récompenser par
un prix do 2,000 fr.
A sa suite viennent Julie Renoil, do Bordeaux* qui, apriJs
avoir sorvi si's niailrcsdans raisonco, a continua aussi à les
servir dans la d<ïlrcssQ» leur livrant ses (>pargnos, travaillant au?si pour eux, et n'en ayant élà siiparc^o que par la
mort an bout de Iruntc-lrois ans, dont vingt-quatre s'étaient écoulés sans qu'elle eùl reçu d'eux aucun salaire ;
Victoire Lamy, d'Argentan, nui pendant de longues années
a donné le mémo exempte Je fidélité; Marie Jamois, du
département de la Sarllio, qui, outre son travail pour subvenir aux besoins de ses maîtres, leur a abandonné louleâ
SCS économies, son petit mobilier cl une rente viagère de
200 fr. qu'elle porsède. L'Académie accorde à chacune
d'elles une médaille do 1,000 fr., et ûOO fr. à Solange
Ségello et à Françoise Sure pour des mérites semblables,
mais éprouvés par une moindre durée.
Il est encoro un genre de dévouement qui n'est, Â la vérité, qu'un devoir, mais dont on ne saurait trop rappeler
le caractère sacré : c'est celui qu'imposent les lions do la
famille. Qui eût jamais pensé que les saintes lois do la famille seraient un jour attaquées 1 Qui ei'it pu croire que
CCS trois fundemcnis do toute société humaine, la religion,
la famille, la propriété, ces trois grands principes véritaMonient de droit divin, comme on l'a dit, puisque sans eux
aucune Eociétù no saurait exister, et que l'homme, créé
pour elle, n'aurait plus sa raison d'être; qui oùt jamais
cru que ces grands principes sociaux seraient hautement
méconnus 1 C'est ce dont pourtant nous avons été témoins,
et ce dont le monde a été effrayé.
Non, assurément, qu'il y ait à redouter do voir ces efforts sacrilèges prévaloir contre les luis éternelles de la
Providence ; mais on ne saurait nier ce que de pareils aberrations jettent de désordres dans les esprits, combien elles
affjiblissout dansles dmcsie sentiment des devoirs. N'estil pas consolant néanmoins, pendant que la famille cllomôme EO trouve exposée à do tels outrages, n'esl-il pas
consolant du découvrir dans la classe indigente de pauvres
gens qui la défundoul par jours exemples, qui prutestcnt
par leurs vertus d qi" montrent f{u'ou ne déracine pai du
cœur humain les sentiments que liieu lui-même y a mis 7
Klisa Sellier avait quinze ans; elle était l'ainéo de neuf
enfants, et travaillait comme ouvrière dans une filature à
Villers-Kcalles, département do la Seine-Inférieure. Sa
mère meurt ; son père, entraîné par la débauche, oublie
tout et abundunno sa maison. Quo vont devenir ces neuf
malheureux onfauIs,donl quelques-uns sont encore au berceau? Qui va les secourir, les nourrir, les soigner? Déjà la
rhnrilé publique s'en émeut; mais au milieu d'eux la jeune
Ëlisa se lève, essuie ses Inrmcs, console ses frères, et,'sans
s'effrayer dosa jeunesse, leur dit : « Adorons la main de
])îeu qui nous frappe et ayons confiance en luil C'est moi
qui vous servirai do mère ; Dieu me protégera et m'en
donnera la force. » Do ce moment, cette jeune flllo iJe
quinze ans se met à la télodc la maison. Avec un courage,
une volonté, uno înlolUgence au-dessus do sou âge, utte
pourvoit à tout, soigne les plus petits, se fait aider parles
])ius grands, veille sur tous ; et, malgré le faihiegain de sa
journée, cllo suffit, à force d'ordre, d'économio et de travail, à ronlreticn do toute la famille, sans vonloif recourir
à pcrsonni) : c'est 1.1 sa gloire et son orgueil. Non-seulement
elle pourvoit A leurs besoins, mais elle songe d leur éducation. Klevée dans la piété par une màro vertueuse, cllo
leur inspire les sentiments religieux qui sont dans son
cœur, leur inculque les principoà les plus sévères do l'honnêteté et de la murale, les conduit cllc-mémoà l'éslise, li^s
onvoio à l'école, les habitue à travoiller. Aujourd'hui Elisa
Sdlier a vingt-six ans; cl ses frères et sœurs, dont elle a
été lit providence, pénétrés à son égard d'une cunGance
aveugle et si bien méritée, déposent oliaque jour cutro ses
mains les fruits qno leur labeur commence à leur donner.
C'est elle qui en dispose dans l'intérêt do tous; et, malgré
tant de charges, elle n'oublie | as qu'elle a un père, quoique ce pèielesait Icussi durement oubliés ;ctdu temps en
temps, lorsqu'elle le peut, elle lui fuit parvenir une petite
part do évs modiques économies.
.Tout le pays a été ému do co touchant tableau. Quatre
cents sî^'nalures, à la tûto desquelles celle du patron d'Elisa Sellier, puis celtes dos curés ol desservants du canton,
des autorités municipales, des propriétaires et indut^lricls,
des ouvriers et otjvrières, altestont les éloges universels
donnés à la belle conduite do cette jeune fille, ciléo d'ailleurs comme un modèle d'exactitude laborieuse et de régularité exemplaire, et qui a déjA reçu comme récompense,
dé la Société libre d'émulation du Itouen, uno médaille
d'ôr et un livret de caisse d'épargne de 50 fr. L'Académie
y ajoulo un prix de ,1,000 fr.. cl joint ses éloges à tous ceux
qu'Elîsa Sellier a déjà recueillis.
Ici, Messieurs, vous verrez un spoclaclo plus déchirant,
mais un dévouement non moins méritoire. La ville de Loudun compte au nomhro do ses habitants trois sœurs, pour
leâquclles la nature s'est montrée avare de ses moindres
bienfaits. L'une, née en 178G, est épileptiquo et idiote;
l'autre, née en 1702, est épileptiquo et aveugle ; la Iroisiùmo enfin n'est qu'estropiée et infirme. Ces trois mallieureuscs femmes avaient uu père, Pierre Charton, décédé en
1S38, à l'âge do quatre-vingt-sept ans, qui, atteint lui-raéinémo par l'affreux mal qu'il a légué Â ses enfants, ne
pcuVait depuis longtemps pourvoir à la subsistance do sa
déplorable famille. Peut-on imaginer plus'd'infortune accumulée au sein do la misère? C'est, Messieur.'i, la moins
infirme des trois fœurs dont r<1mo généreuse sentit de bonne heuro que c'était àello qu'éluil dévolu le soin du secourir les deux autres ;j>lle notes a jamais abandonnées, et
s'est dévouée à elles avec un courage qui ne s'est pas démenti un instant. Pondant cinquante uns, elle a prodigué
avec une louchante affection ses soins à fon malheureux
pÈro ut à ses sœurs, allant de l'un à l'autro, et souvent no
tachauloù iKFtor ses premiers secours ; pouvant à peine se
Irainer cUc-môme, ot ne trouvant quo dans sn piété et dans
*a foi la force uéccasairo pour remplir avec tant de porsé-
UMjj^^iS^
vérance un si pénible devoir. L'œil vigilant do la cliarité
n'a pas été longtemps sans doute à découvrir l'asyle de tant
de malheur el do la vertu (|ui s'y cardiait. On est venu en
aide à ces Iroiséin-s iiilortunén, auxquels ne peut suffire le
travail a^sidu, mais faible ct'reslreint, de Jeanne Charton.
Cependant elle ne mendie pas cette assisliiucu charitable,
et soutient sa vie et ci'lle de ses sœurs autant qu'elle le peut
par elle-même. C'est sa constance, son abnégation, sa résignation courageuse et active dans une position si lamenlale, vertus unanimement atlestéoiii par le clergé, la magistrature et l'administration persounello, quo l'Académie a
résolu de récompenser par un somiiui du 1,0'JO francs.
Nous aurions à ciler d'antres exemples de ces devoirs de
famille religieusement remplis. Anioiuc Pessoulc, simple
fauchein- dans les Hautes-Pyrénées, fils oiué d'un père infirme et père de sept filles où garçons tous maladifs, sourdsmuets, ruchitiiiues, incapables de gagner leur vie, a soutenu depuisduuzeans, paruu travail excessif, bien qu'ayant
lui-même uno femme et deux enfants, toute cette famille
si misérable et si nombreuse.
Césarîue llosquoyt, ancienno institutrice dans la HauteLoire, après avoir recueilli un de ses parents qui mourut
chez elle, et avoir aidé do tous ces moyens, pendant quiuzo
ans, la veuve du ce parent, a refusé do grands avantages,
quoiqu'èilu n'eût presque rien à elle, afin du se dévouer ù
sa sœur et à ses sixeulàntâ qui, dans leur dénuement seul
venus se jeter dans ses bras.
Atine Petit, du département do la Dordogno, s'est honorée put- le dévouement le plus absolu, pendant lesdix-liuit
dernières années, envers sa sœur et ses nièces inlirmes,
n'ayant quo lu produit doses faibles joui'uées pour les faire
subsister.
Jeanne Ccdlin, do la flaute-Marne, dgêe de soixantedouze ans, finit uno vie employée tout cnlièro à faire le
bien, et vouée particulièrouient à l'instruction roligieuio
et gratuite des pauvres, on se cousacrant depuis vingtquatre ans à sou père et h sa sœur, frappes tous deux de
paralysie; et elle a quitté uno place qui lui promellail un
heureux avenir, pours'arquitler exclusivement dcco pieux
devoir.
Nous pourrions. Messieurs, vous entretenir encore longtemps d'actes semblables. Soins assidus donnés aux p.iuvres malades par d'humbles femmes qno ne rebutent ni ce
3U0 les maladies ont de plus repoussant, ni ce qu'elles ont
u plus contagieux, dévouements exemplaires.dans dos épidémies dangereuses, victimes arrachées aux fiulset à l'incendie par de généreux courages, orphelins recueillis et
élevés pur des individus n'ayant presque aucune ressource
pour eux-mêmes, pauvres secourant des pauvres, vies entières passées dans l'exercice d'une charité persévérante,
d'une abiiégaliou incontestable et longtemps éprouvée :
tels pourraient être les sujets de nouveaux récits (|ui prendraient place dans ces archives de la vertu qno nous voyons
avec bonheur se grossir chaque année. [Is feruîcnl retentir
à vos oreilles les noms, pour un moment célèbres, d'Anne
Parmenticr, ouvrière; d'<VugusIe Denizarl, mégis^ier; do
Henri Janssoonn, éclusier près de Duukorquc ; de Mario
BenczËt, institutrice ;d'Ursulu Loret, tUeiiso ; de Là veuve
Fournelle, blanchisseuse; dô Joseph Gérard, cordonnier;
d'Anno Lecadre ; do Phifiberl Lefebvre ; de Jean Meut,
charpcnlior; et de Thérèse Coqnart, ouvrière ; personnages
simples et modestes qui ne foui le bien quo pour lui-mémej
ignorant l'éclat qu'on leur donné aujourd'hui, el qui recevront, les trois premiers, J,O00fr., et lesaulres 500fr., en
récoinpensu de lour conduite.
Vous lo voyez, Messieurs, lo bien se fait partout : chez
les pauvres, où il est méritoire ; chez les riches, où il est si
abondant ; et pcndai)t louglomps nous l'avons vu se répandre de plus haut encore, avec uno libéralité que l'exilel lo
malheur, quelle que soit leur date, n'ont pouit. tarie. J'ai
vu, loin de la Franco, dqs umius royales travailler pour les
pauvres do Franco, ol ne conserver, Uaus le soin d'abondantes aumùne.s que cet attribut de leur ancienne grandeur cl que ce lien louchant avec la pairie- Ken d on s g ritce à tous. Messieurs, et faisons-nous les interprèles du lu
reconnaissance publique pour tout ce bien accompli <'i Ions
les degrés de l'échelle socinle, l'opposant comme uu faisceau
aux culumniuteurs de lu société, et l'offrant comme un
exemple ù ceux qui veulent la défondreoL l'auu'^Iiorer on la
sauvauL
Uci'ulcrcs uoiivcllci».
Paris, 7 septembre. Le bruîl qui secoufirmo do plus eu
plus que l'éptiquo des éleetiiins do l'Assemblée législative
sera avancée de deux mois au mnius... luut cola, et bien
d'autres circonstances encore, émeut profundémenl notre
monde politique el diplomatique, el il se tieiil, daii^ certuins salons fort cuitnus,>^de.s conversations que, sans leur
faire tort, on pourrait i)p|)eler des conféreuces.
Il est-parfaitem'.'n^4jeilâiii qui) doscervi'nux bnMé.^, allemands ot frauçiiis,'avdiènt rêvé u ruvèncmenl et lu l'oyaiité du prolétaire, ot qu-â'cot elfet : 1° du se serait saisi do
toutes les cuisses publlifucs; 2» du foules les armes; 3^ de
tous les ré.iclionnuires dont la liste paraît avoir été trèssoigneusement dressée; puis on se serait entre-déchiré pour
savoir ù qui rosti<rait rirânneurdo M dévorer ce règne d'un
moment, u
M. t^arré, dans une lettre ù YAsaembléo Nationale, explique ou dément les faits dont je vous ai parlé. VA&sem|(/d0 iVu^to/iu/0 imprime hi lettru ot maintient du son cùté
ces faits, comme parfaitement exacts. J'ai lieu de croiro
que lo journal est bien informé.
Aimé HiirJel, ijérnm.
FEUILt.E D'AVIS.
1.0 provis(!ur roj-al du Guncvois inr.jrino lonlos les personiiraqiii c!Xoi'ccnldt\jit ou qui di^siriijit cxeiccr les lonctions d'iiisliluli'icos dans culte province, que les examens
prescrits par lo consoil géniirul des iScoles t!li<inontairos ot
do nic^lhodos cl approuvi's par M. le tninisli'o de l'inslruc-
lion, conrnrmémenl à l'url. 3 des royales nnlenles du l-l
janvier ISiG, eoinmenccronl à Année}' le i) oclulire prnclinin, on ils nnront lien en pri^senco et avec les soitià de la
cuintuission noniniije ù eel effet par le ministre de l'instruction publitpie,
Loprograunne des matières d'cNnuien pour les maîtresses
6lùnientaJres comprend, suivant les ordres do .M. l'inspéctour-gùnéral en date du 7 mai 1851 :
1° luslruction religieuse ; catéchisme et lll^toire sainte;
2^ La lecture, tant des impi'imés quo dits manuscrits* *
3» L'écriture et principes d'ouseignement de cette uîatioro ;
4° Grammaire rrançaise : principes, syntaxe , analyse
grainaticale ot ]ogii|ne;
5" Arilhméliquo : les quatre promiéros op;'ralions lanl
des entiers que des fractions;
6" Système métrique : connaissance du système et rapports des priiicipales mcsuros anciernuM et nouvelles7" l'rlijcipes d'éducation ; pour des écoles élémeiil'aircs
connaissances nécessaires à uno maîtresse éléinoutaire, maiiièro do maintenir la'discipline, conditions matérielles
d'une bonne ccule, tant sur le rapport du local que du mobilier;
B'> Ériljn, niéthnde d'onseignement.
Danslo but de faciliter auxinslitulricos les moyens du
se préparer aux examens presei-ils [)our obl(!nir la palonto
do capacité sans loqnollu elles no pourront plus désormais
se livrer légalement à l'onseignonien', il sera ouvert à Annecy, le 2U seplcmbie courant, une école préjiaratoire où
elles seront reçues gratuitement.
La direcliun de cette écolo sera confiée à JL l'abbé Gex ,
(jui déjii deux fois a lempli avec lo plus grand succéi los
fonctions de professeur du mélliodo pour les inslitulions
primaires.
Les leçons et les exercices seront donnés par des sœurs
de Sainl-Jusepli d'Annecy, nommées à cet olîol.
Los cours auront liuu dans un local convenable, appartenant aux moeurs inslitulricos.
AiMiecy, lo 7 seiitenibri.'18^1.
Le proviseur rnijal du Geneeois,
LACIIENAL.
AVIS AUX AGItlCULTCUnS.
DéptH de cribles-trieurs pour la prériaration des froments '
pour les semences et la nnmturo , do la fabrication do Pornollel [breveté]. Mesures métriiiuos pour les grains on général, chez Ruutli, forblanlier-lainpiste, près la (irenelle,
à Annecy.
DEPOT DE MARBRES
Provenant des ateliers de JI. VuiiiLEiuiE, situés an bout
du tac.
Grand choix do clieminécs, tables do café, dessus do
cummodos, cic.
Lo dépilt est chez M. OIAXOLI, poiniro on hdtimen s,
faubourg des Aiuionciadc^.
La modicité des prix el le fini du travail satisfenml les
personnes ipii voudront bien l'honorer do leur coiiliaoee.
GYPSB D'ALBERTVILLE
ItLAISC ET GRIS.
nypso blanc, première qualité, 3 fr. 50 c. les Qi kilng.,
soit l'ancienne coupe.
Gypse gris, pour lorros ut biitisses, 2 fr. 40 c. les 92 k'log., soit l'ancienne coupe.
S'adresser au café MIKUSSRT, place au Bius, â Annecy.
A VENDRE
EN TOTALITÙ OU EJi l'AItTlHS SÉlMnÉrDS.
1° Un corps de ferme, riére Chavanod, lieu dit un Rouchet, sur la roule du Ilumilly ot près du lieu de la foire, do
cinquante-cinq journaux environ, tous cultivables, réunis
ou deux mas autourdes b:Uiuient.-), u\ec un grand et beau
vorgiM- bien implanté de bons arbres <^ fruit, et, chupu!
aiméê, d'un grati-l produit, (jette f'ermo peuL a:séuu?nt
rendre antMiellemenl du 5 au ti pour 100.
2" Un aiiti'o corps de terme, rière Cievriru', lieu dit au
Levray, do quinze journ.ntx, avec maisnn neuve, d vingtcinq minutes d'Annecy, ot égalemonf sur la route du Uumill}'.
Il sera donné loules facilités el si^relés aux acquéreurs
jiuur h^ paiement.
S'adresser, pour les renseignements, h .M'-' Difi'Anc, notaire, (|ui cslcliargé de la vente.
Lo 15 sep^emhce, par-devaul le tribunal d'Annery, seront vendus les immeubles quo possède à Salul-Sylvcslro
Jean Croset, du dit lieu.
Lo 15 septenibro, par-devant le iribnna] d'Annecy, seront vendus les imuieublcs que po''SÛ-lo â (jj'ez Philibert
Janiu. du dit lieu.
Lu 15 septembre, par-devant lo tribunal d'Annecy, SQront vendus les immeubles que possède à Bvires tYançois
Mugniur, du dit lieu.
Lo 21 du mois d'aoïH dernier, il s'est perdu un PortcrciilIBiïdc iioolio, de.Mari|^ny-Saiut-Marccli\ Uumilly.
Ceux qui l'ont trouvé soûl priés do lo rappu-ter A >L le
syndic do Marigny-5aint-M ircul, pu bien au bureau de eu
Jjurniil, cuniru récompense.
J. VErrii^it.
CKnfi\liE-i, Annecy, 9 geplemhre. Frouninl : 17.2:1,
— 19,13, — i20,2G Ihectolitre. — PUMI : 32, 27, 22 cent.
Alfjertville, h septembre. Froment : 2i),88 l'heclolitre.
La Hoche, 4 septembre. Froment : 21,60 l'heelolitre.
Vendu 900 coupes.
Thonon, 3 septembre. Froment : 21,90 l'hecloniro.
Aiincey, iii)|ii'inicriu Hiinlii.