Dites STOP à l`envoi de médicaments non utilisables au Sud !
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Dites STOP à l`envoi de médicaments non utilisables au Sud !
Dites STOP à l’envoi de médicaments non utilisables au Sud ! Une campagne nationale Tout au long de l’année 2008, ReMeD se propose d’organiser dans les 22 régions de France métropolitaines et les collectifs d’associations un cycle d’ateliers-débats destiné à accompagner la "reconversion" des associations qui utilisent les médicaments non utilisés (MNU). Notre action intervient à la suite du vote par le Sénat français le 25 janvier 2007 de l’arrêt de la collecte de MNU (l’article 32 de la loi n°2007-248 du 26 février 2007, portant diverses dispositions au droit communautaire dans le domaine du médicament), qui passait depuis 1993 par le dispositif Cyclamed et dont les méfaits ont été dénoncés par de nombreux organismes. Cette action, menée avec l’appui du ministère de la Santé, de la Jeunesse et des Sports vise à accompagner à la transition les associations françaises de solidarité internationales qui utilisent les MNU dans le cadre de leurs activités dans les pays en développement. ► Pour suivre le calendrier des ateliers-débats : www.drugdonations.org < Tri de MNU Tsunami 2004 > MNU en vrac Burkina Faso 2007 ReMeD - Réseau Médicaments & Développement 35, rue Daviel 75 013 Paris Tel: (+33) 1 53 80 20 20 / Fax: (+33) 1 53 80 20 21 / [email protected] www.remed.org Le développement durable en matière de santé passe par la disponibilité, l’accessibilité, la qualité et le bon usage des médicaments. Dossier de presse Dites STOP à l’envoi de médicaments inutilisables au Sud ! Notre action : Depuis 10 En 2008, une pourquoi ? ans, une action engagée campagne nationale Contact presse : Mathilde Cuchet-Chosseler Tél. : 01 53 80 20 20 / Fax : 01 53 80 20 21 [email protected] www.remed.org ReMeD - Réseau Médicaments & Développement 35, rue Daviel 75 013 Paris Tel: (+33) 1 53 80 20 20 / Fax: (+33) 1 53 80 20 21 / [email protected] www.remed.org Le développement durable en matière de santé passe par la disponibilité, l’accessibilité, la qualité et le bon usage des médicaments. Notre action : L’action de ReMeD en matière de dons de médicaments est née d’une res et pharmaceutiques. pourquoi ? série de catastrophes humanitai- Du tremblement de terre qui affecta l'Arménie en 1988 jusqu’au tsunami de 2005 en Indonésie, des tonnes de médicaments non utilisés, pour la plupart périmés, inadaptés aux pathologies locales ou non identifiés ont été envoyées et détruites, car inutilisables, pour des sommes se chiffrant en millions de dollars. L’envoi des MNU en situation d’urgence a été officiellement dénoncé la première fois en 1995 dans la Déclaration de Mostar. En situation de non urgence, les mêmes procédés sont utilisés pour pallier au supposé manque de médicaments dans les pays en développement. Or, la redistribution humanitaire des MNU est effectuée en dehors de tout cadre réglementaire. Ni leur qualité, ni leur traçabilité ne peuvent être garanties et ils ne correspondent pas nécessairement aux besoins et aux pathologies des pays destinataires et à la formation des personnels médicaux qui les utilisent. Le médicament n’est pas un produit banal. Que ce soit en situation d’urgence ou pas, le médicament peut présenter des pulations bénéficiaires lorsqu'il n'est pas utilisé dans de bonnes conditions. risques pour la santé des po- cette pratique est fortement remise en question, à commencer par les acteurs des pays en développement eux-mêmes, comme l’a montré l’appel de M. Fodé Fofana, président de l’Inter Ordre des Pharmaciens d’Afrique En effet, malgré la bonne volonté des personnes qui interviennent sur ce recyclage, (IOPA) au ministre de la Santé français le 7 décembre dernier : « [...] Tout en reconnaissant la bonne foi de la plupart de ces associations, nous faisons observer que ces médicaments [non utilisés] déjà difficilement gérables en Europe, causent beaucoup plus de problèmes en Afrique qu’ils n’en résolvent [...]». Ces dons de MNU, souvent inadaptés aux pathologies et aux besoins sanitaires locaux et inconnus des professionnels de santé, ne respectent pas les politiques pharmaceutiques locales et concurrencent les circuits locaux de distribution pharmaceutique. En outre, ils sont susceptibles d’alimenter un marché illicite de médicaments en pleine expansion en Afrique. Délivrés par des vendeurs souvent analphabètes, ces MNU constituent un véritable problème de santé publique et mettent en danger la santé, voire la vie, des populations des pays en développement. Des médicaments sont aussi disponibles dans les pays en développement. Depuis quelques années, de nombreux pays en développement ont défini une liste limitative de médicaments essentiels génériques. Ces médicaments sont disponibles aujourd’hui dans les centrales d’achat en médicaments essentiels génériques des pays (la liste : http://www.remed.org/html/centrales_d_achat__afrique.html ). Les associations européennes peuvent également effectuer des achats de médicaments essentiels génériques adaptés à moindre coût à la Centrale Humanitaire Médico-Pharmaceutique (CHMP) de Clermont-Ferrand (www.chmp.org). ►►► ReMeD - Réseau Médicaments & Développement 35, rue Daviel 75 013 Paris Tel: (+33) 1 53 80 20 20 / Fax: (+33) 1 53 80 20 21 / [email protected] www.remed.org Le développement durable en matière de santé passe par la disponibilité, l’accessibilité, la qualité et le bon usage des médicaments. Une action engagée Depuis 10 ans, ReMeD s’engage. En tant que carrefour de l’information dans le domaine du médicament et de la solidarité internationale, ReMeD se propose de poursuivre une action amorcée en 2001 avec une campagne européenne d’éducation du grand public sur le thème des dons de médicaments. Cette campagne, menée en partenariat avec Wemos (Pays-Bas), Difäm (Allemagne) et Prosalus (Espagne) avait été partiellement financée par l’Union européenne. Cette campagne avait pour objectifs une action de lobbying politique correspondant à la demande de l’administrateur européen de Mostar et une information à destination des associations et du grand public. Depuis 2002, ReMeD mène au niveau européen une campagne d’éducation sur les dons de médicaments via son site Internet : www.drugdonations.org, disponible en allemand, anglais, espagnol, français, italien, néerlandais, et russe. ReMeD poursuit des activités régulières de lobbying en France en faveur de l’arrêt de la collecte de MNU. En 2008, un concours citoyen prolonge cette campagne d’information générale avec l’objectif de toucher la population française dans son ensemble. En France : un nouveau dispositif législatif Le 25 janvier 2007, le Sénat français a voté l’arrêt de la collecte de MNU (l’article 32 de la loi n°2007-248 du 26 février 2007, portant diverses dispositions au droit communautaire dans le domaine du médicament), qui passait depuis 1993 par le dispositif Cyclamed et dont les méfaits ont été dénoncés par de nombreux organismes, tels que l’Ordre des pharmaciens, l’Académie de pharmacie, l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le Haut comité pour les réfugiés (HCR), la Banque mondiale et de nombreuses organisations non gouvernementales (ONG) et exposés dans un rapport de l’inspection générale des affaires sociales (IGAS) de janvier 2005 (Enquête sur le dispositif de recyclage "Cyclamed", rapport n°2005 001, janvier 2005, IGAS, 69p.). Or, de nombreuses associations françaises de solidarité internationale non spécialisées dans le médicament utilisent les MNU dans le cadre de leurs activités. C’est pourquoi ReMeD, disposant d’une expérience de 14 ans dans le domaine de l’information sur ces problématiques, au Nord comme au Sud, mènera, tout au long de l’année 2008 en partenariat avec le ministère de las Santé, de la Jeunesse et des Sports, un programme d’appui spécifique à ces associations afin que la transition puisse s’effectuer de manière cohérente sur le terrain. Le constat sur le terrain en chiffres... 70 % des médicaments reçus en Indonésie en 2004 libellés dans une langue inconnue des personnels de santé locaux 50 % des médicaments reçus détruits au Kosovo en 1999 17 000 tonnes de médicaments inappropriés détruits en Bosnie-Herzégovine en 1992-96 34 millions de dollars : coût de l’opération ReMeD - Réseau Médicaments & Développement 35, rue Daviel 75 013 Paris Tel: (+33) 1 53 80 20 20 / Fax: (+33) 1 53 80 20 21 / [email protected] www.remed.org Le développement durable en matière de santé passe par la disponibilité, l’accessibilité, la qualité et le bon usage des médicaments. Une campagne nationale Arrêt de la réutilisation à des fins humanitaires des médicaments non utilisés (MNU) : Accompagnement à la transition des associations françaises de solidarité internationale L’article 32 de la loi n°2007-248 du 26 février 2007 interdisant la collecte de MNU a conduit l’industrie pharmaceutique à garantir à certaines associations médicales un approvisionnement en médicaments provenant directement de l’industrie. de nombreuses autres associations, amenées dans le cadre de leurs activités sur le terrain à donner des médicaments sous forme de MNU, doivent rapidement s’organiser pour pallier au manque. Mais C’est pourquoi ce projet vise à appuyer la démarche de ces associations de manière à ce que leurs actions ne viennent pas contrecarrer les politiques de développement et encourager les systèmes de corruption déjà existant. Pendant 18 mois dans les 22 régions de France métropolitaine et au sein des grands collectifs d’associations, ReMeD se propose de coordonner un cycle d’ateliers-débats destiné à accompagner la "reconversion" des associations qui utilisent les médicaments non utilisés (MNU). La réflexion sera menée autour de plusieurs thèmes. Il s’agira : ► de démontrer l’inutilité des dons de MNU et du lien de dépendance qui avait été créé ► d’informer sur la situation pharmaceutique et l’accès aux médicaments locaux (notions : politiques pharmaceutiques nationales, médicaments essentiels génériques, recouvrement des coûts, accessibilité, disponibilité, qualité et usage rationnel des médicaments) ► d’étudier le recours à la production locale et au circuit local de distribution ► de proposer des solutions palliatives adaptées, dans le domaine sanitaire ou autre. Chaque atelier sera gratuit et ouvert à toutes les associations qui désirent y participer. Une information continue du calendrier de l’action et de ses modalités sera disponible sur le site Internet de ReMeD dédié à la campagne : www.drugdonations.org. Organisme(s) partenaire(s) du projet : Le ministère de la Santé et des Solidarités, le ministère des Affaires étrangères et européennes, la Commission nationale de la coopération décentralisée (CNCD), Cités Unies France. ReMeD - Réseau Médicaments & Développement 35, rue Daviel 75 013 Paris Tel: (+33) 1 53 80 20 20 / Fax: (+33) 1 53 80 20 21 / [email protected] www.remed.org Le développement durable en matière de santé passe par la disponibilité, l’accessibilité, la qualité et le bon usage des médicaments. Le développement durable en matière de santé passe par la disponibilité, l’accessibilité, la qualité et le bon usage des médicaments. Présentation de ReMeD Burkina Faso ReMeD - Réseau Médicaments & Développement 35, rue Daviel 75 013 Paris Tel: (+33) 1 53 80 20 20 / Fax: (+33) 1 53 80 20 21 / [email protected] www.remed.org Le développement durable en matière de santé passe par la disponibilité, l’accessibilité, la qualité et le bon usage des médicaments. Fiche d’identité Statut Association régie par la loi de 1901 (n° Siret : 39087 4691 00020) ReMeD est reconnu d’intérêt général et reçoit depuis sa création le soutien du ministère des Affaires étrangères français. Date de création 9 février 1993 (JO, 3 mars 1993) Qui sommes-nous ? • une association de solidarité internationale qui œuvre pour un meilleur accès à des médicaments de qualité dans les pays en développement • • une équipe basée à Paris un réseau de 2000 professionnels de santé dans le monde (ci-dessous) < 10 membres 10< <50 membres > 50 membres Que faisons-nous ? • Nous coordonnons l’échange d’informations sur le médicament entre les professionnels de santé du Nord et du Sud • Nous organisons des campagnes de sensibilisation des populations du Nord et du Sud aux problématiques du médicament • Nous assurons le transfert de compétences et la formation des professionnels de santé Nous mettons notre expertise au service de nos partenaires Dans quels pays travaillons-nous ? • 22 pays d’Afrique : Angola, Bénin, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Cap Vert, Centrafrique, Congo, Côte d’Ivoire, Gabon, Guinée Conakry, Guinée Equatoriale, Iles Comores, Madagascar, Mali, Mauritanie, Niger, République Démocratique du Congo (RDC), Rwanda, Tchad, Togo, Sénégal. • • • • 3 pays du Maghreb : Algérie, Maroc, Tunisie. 1 pays d’Asie : Cambodge. 1 pays des Caraïbes : Haïti. en France. ReMeD - Réseau Médicaments & Développement 35, rue Daviel 75 013 Paris Tel: (+33) 1 53 80 20 20 / Fax: (+33) 1 53 80 20 21 / [email protected] www.remed.org Le développement durable en matière de santé passe par la disponibilité, l’accessibilité, la qualité et le bon usage des médicaments. A propos de ReMeD Aujourd’hui, dans les pays en développement, un enfant meurt toutes les trente secondes du paludisme. Pourtant, les traitements existent et permettent en trois jours de vaincre la maladie. Au même moment, dans ces mêmes pays, des médicaments devront être détruits faute d’avoir été utilisés avant leur date de péremption. Notre mission : la formation Depuis quatorze ans, ReMeD s’est donné pour mission d’aider les pharmaciens des pays en développement, en particulier en Afrique, à lutter contre ce paradoxe : l’impossibilité pour les populations d’avoir accès à des médicaments peu coûteux alors que des milliards sont déboursés chaque année pour l’achat de médicaments pour ces pays. Avec les professionnels de santé des pays d’Afrique francophone, ReMeD combat, pour que le médicament ne soit pas considéré comme une marchandise banale mais comme un produit de santé publique et comme un vecteur de développement. La mauvaise gouvernance et la corruption peuvent expliquer certaines difficultés, mais la gestion du médicament requiert surtout une expertise spécifique. ReMeD en est convaincu : le premier obstacle au développement est le manque de ressources humaines qualifiées. Nous proposons une réponse sur le long terme en agissant d’abord pour la formation à la gestion du médicament des personnels de santé. Notre objectif : améliorer l’offre de médicaments de qualité Des médicaments de qualité et adaptés aux besoins arrivent jusque dans les pays grâce au travail des Etats, des organisations internationales et des associations du Nord et du Sud. Mais faute de réseau de distribution et d’une bonne gestion, ils sont peu accessibles. ReMeD rassemble les acteurs des politiques d’accès aux médicaments, quelle que soit leur spécialité. Le réseau favorise les échanges entre experts et les transferts de compétences, pour permettre aux pays en développement de se doter de politiques du médicament adaptées à leurs besoins, efficaces et économiquement viables. Ainsi, les populations disposeront d’un accès réel (géographique et financier) aux médicaments essentiels à leur santé. NON aux dons de médicaments anarchiques, OUI à des médicaments de qualité Le combat de ReMeD se conduit aussi en France, pour mettre fin aux dons de médicaments. Bien que fondée sur une idée généreuse, l’expédition vers les pays en développement de nos surplus de médicaments ne permettra jamais d’aider les populations qui y vivent. Au contraire, les dons de médicaments du Nord vers le Sud affaiblissent les efforts de développement. Quelques chiffres... 28 : nombre de pays où nous intervenons 2000 : nombre de membres au sein du réseau ReMeD 68 : nombre de pays de résidence de ces membres 1 sur 5 : médicaments vendus périmé, détérioré ou de mauvaise qualité en Afrique 200 millions de personnes : objectif d’impact de la campagne contre le marché illicite dans 19 pays 120 millions d’euros : chiffre d’affaires des centrales d’achat africaines qui ont la capacité de fournir des médicaments à plus de 80 % des malades de leurs pays plus de 40 millions : nombre de personnes infectées par le VIH dans le monde 95% : pourcentage de personnes infectées par le VIH vivant dans les pays en développement, dont plus des deux tiers en Afrique 2,8 millions : nombre de décès imputables au sida dans le monde par an, dont 2 millions en Afrique 30 secondes : fréquence de décès infantile dû au paludisme dans les pays en développement nombre de médecins pour 10 000 habitants en Europe : 285 / en Afrique : 1 ReMeD - Réseau Médicaments & Développement 35, rue Daviel 75 013 Paris Tel: (+33) 1 53 80 20 20 / Fax: (+33) 1 53 80 20 21 / [email protected] www.remed.org Le développement durable en matière de santé passe par la disponibilité, l’accessibilité, la qualité et le bon usage des médicaments. Notre équipe Nos partenaires LE CONSEIL D’ADMINISTRATION Président Pr. Pierre TOURE, professeur des universités Vice-présidents M. Serge BARBEREAU, pharmacien, Dr Jean-Loup REY, médecin de santé publique et Mme Mercy DOUALA, pharmacien Secrétaire général M. Marc DIXNEUF, politiste Secrétaire général adjoint M. Guy BOURDEAU, responsable de production industrielle Trésorière Mme Dominique MICHEL, pharmacien Trésorière adjointe Mme Hélène DEGUI, pharmacien Mme Judith ANDRE, pharmacien M. Olivier ANDRIOLLO, pharmacien Dr Michel ETCHEPARE, médecin de santé publique Mme Valérie SOLBES, pharmacien Dr Christian MOUALA, médecin de santé publique Pr. Pascal MILLET, biologiste M. Jacques PINEL, pharmacien Pr. Jean-Louis POUSSET, attaché honoraire au Muséum national d’histoire naturelle M. Jean-Yves VIDEAU, pharmacien expert qualité du médicament LES PERMANENTS Déléguée générale Mme Carinne Bruneton, pharmacien - [email protected] Chargée de communication & de développement Mme Mathilde Cuchet-Chosseler - [email protected] Chargé de la gestion & de la comptabilité M. Francis Adogli - [email protected] LES DOCUMENTALISTES-ARCHIVISTES Mme Michelle Hingant Mme Mireille Nicolosi NOS PARTENAIRES Africa n°1 Associations du Nord : Act Up, Action Nord-Sud, AIDES, Croix-Rouge, Développement et santé, Difäm, Groupe d'intervention en santé publique et en épidémiologie (GISPE), Health action international (HAI), L’Union, Médecins du monde (MDM), Médecins sans frontières (MSF), Office technique d’études et de coopération internationales (OTECI), Peuples solidaires, Pharmaciens sans frontières (PSF), Prosalus, Santé sud, Sidaction, Wemos. Associations du Sud : Association pour la promotion de la santé (APSAN), Comité pharmaceutique d’action sanitaire et sociale (COPASS), Pharmaction, Réseau africain des pharmaciens hospitaliers (RESAPH) Centrales d’achat africaines et l’association des centrales d’achat de médicaments essentiels (ACAME) Centrales d’achat européennes, dont la centrale humanitaire médico-pharmaceutique (CHMP) Centre national de pharmacovigilance et matériovigilance d’Alger (CNPM) GIP ESTHER (Ensemble pour une solidarité thérapeutique hospitalière en réseau) IDA Solutions Inter syndicale des pharmaciens d’Afrique (ISPHARMA) La lettre du Centre d’information et de documentation sur le médicament (CEDIM) La revue Prescrire Ministères de la Santé des pays partenaires Ministère des Affaires étrangères et européennes français Ordres des pharmaciens et l’Inter ordre des pharmaciens d’Afrique (IOPA) Organisation mondiale de la santé (OMS) Union Européenne ReMeD - Réseau Médicaments & Développement 35, rue Daviel 75 013 Paris Tel: (+33) 1 53 80 20 20 / Fax: (+33) 1 53 80 20 21 / [email protected] www.remed.org Le développement durable en matière de santé passe par la disponibilité, l’accessibilité, la qualité et le bon usage des médicaments.