à Paris - Il Giornale dell`Arte

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à Paris - Il Giornale dell`Arte
Guide
Les Antiquaires
italiens à Paris
Biennale des
Antiquaires
2016
Pages 17-24
DALÍ, SFAR et
SCHIAPARELLI
IL GIORNALE DELL’ARTE
SUPPLEMENTO AL NUMERO 367 SETTEMBRE 2016
LA BIENNALE DE PARIS | 3
CARLO
VIRGILIO
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ALBERTO
DI CASTRO
MAURIZIO
NOBILE
ROBILANT
+VOENA
10 | 18 IX 2016
VOIR PAGE 13
ROBERTAEBASTA
Biennale des Antiquaires 2016 VOIR PAGE 8
ANTONACCI
LAPICCIRELLA
VOIR PAGE 10
BRUN FINE ART
VOIR PAGE 12
PORCINI
Plan de visite
Brève histoire de la Biennale
O
n doit à Pierre Vandermeersch
l’idée d’organiser une foire
aux antiquités à Paris, ville d’art
dictant les tendances. C’était dans
les années 1950. Vandermeersch,
président à l’époque du Syndicat
National des Antiquaires (SNA),
une institution créée en 1901, avait
un grand projet en tête : donner
naissance à une exposition d’objets
d’art en mesure de rivaliser par leur
raffinement avec les dames de la
haute société qui participeraient à
l’événement. La première édition
de la Foire des Antiquaires, comme
elle s’appelait à l’origine, eut ainsi
lieu en 1956. Elle se tint dans les
salles anonymes des pavillons de la
Porte de Versailles, un quartier du
sud-ouest parisien situé loin de la
joyeuse ferveur du cœur de la ville.
Mais l’événement était trop fastueux
pour rester longtemps relégué dans
un lieu aussi impersonnel. De fait, la
foire ne demeura Porte de Versailles
que jusqu’en 1961. Car la question
ne laissa pas indifférent le ministre de
la Culture d’alors, André Malraux.
Lequel, accédant à la demande des
organisateurs de déplacer l’exposition
dans un lieu plus prestigieux, choisit
le Grand Palais, superbe bâtiment
à l’immense verrière bâti pour
l’Exposition universelle de 1900 par
les architectes Henri Deglane, Louis
Louvet, Albert Thomas et Charles
Girault. Quel changement de décor !
C’est ainsi qu’en 1962 eut lieu la
première édition de la Biennale des
Antiquaires à proprement parler.
Pierre Vandermeersch raconte cette
aventure dans les pages du catalogue
de cette année-là : « Il faut croire que
notre enthousiasme était communicatif
puisque son autorisation (du ministre
André Malraux, ndr) nous parvint
sans retard. Le Grand Palais nous était
ouvert. Une exposition internationale d’art
et d’antiquités pouvait s’y tenir, la première
en France. Mais si notre foi avait touché
un ministre, il fallait atteindre le cœur des
antiquaires, et notre expérience ne suffisait
certes pas à calmer notre angoisse. Nous
voulions un musée, peut-on lire, nous avions
un Palais ; nous voulions de l’espace, nous
nous trouvions devant un désert qui devait
en six mois être construit, décoré. »
4 | LA BIENNALE DE PARIS
1
Le SNA fit appel alors à l’architecte
en chef de la Foire de Paris, André
Crivelli, qui conçut un décor
« féerique », avec jardins et fontaines.
Deux ans plus tard, en 1964,
l’exposition, qui jusque-là se tenait au
printemps, fut déplacée à l’automne.
Elle accueillit également le célèbre Bal
des débutantes. On vit se promener
dans ses allées Louis Aragon,
Maurice Chevalier ou encore Greta
Garbo et Jean Seberg. « Y a-t-il
meilleure inspiratrice d’installations,
modestes ou fastueuses, que ce côtoiement de
meubles, d’objets d’art toujours harmonieux
quand ils n’atteignent pas à la Beauté
elle-même ? Et si notre Manifestation
pouvait, à chaque visiteur, avoir donné
l’envie de se créer un cadre qui contribue à
son plaisir de vivre, elle aurait atteint son
but », nota Pierre Vandermeersch.
Le président ne pouvait manquer
d’être satisfait : en quelques années
à peine, son idée était devenue un
incontournable rendez-vous pour les
collectionneurs et les amateurs d’art et
d’antiquités. Peu à peu, l’événement
bâtit sa réputation sur la qualité des
œuvres exposées, des milliers d’objets,
de peintures et de sculptures, mais
aussi des livres, des meubles, des tapis,
de l’argenterie et de la porcelaine,
des curiosités diverses et des bijoux.
Si, à ses débuts, elle pouvait sembler
destinée exclusivement aux initiés,
la Biennale se transforma en l’un
des endroits les plus mondains de
l’automne parisien. L’édition de 1970
accueillit la star américaine Cary
Grant. En 1972, la Biennale ouvrit
ses portes à l’Art Déco. L’actrice
Grace Kelly la visita aux côtés de
son époux, le prince Rainier III de
Monaco. En 1980, une grande fête fut
organisée en hommage au président
« historique » et fondateur, Pierre
Vandermeersch, qui laissait alors les
rênes à Philippe Brame. En 1992,
la réalisation du décor fut confiée
au réalisateur milanais Pier Luigi
Pizzi, qui transforma en théâtre néoclassique les grands espaces s’étirant
sous la verrière. Cette édition restera
comme la dernière du siècle dernier à
se dérouler au Grand Palais. En 1993,
la chute d’une tesselle de la verrière
lors d’une exposition de design incita
en effet le ministre de la Culture
Jacques Toubon à fermer l’édifice
pour y lancer de grands travaux de
restauration. Le Grand Palais ne
rouvrira que douze ans plus tard.
C’est donc le Carrousel du Louvre
qui accueillit les six éditions suivantes
de la Biennale. Au cours de ces
années, la manifestation continua de
se renouveler. En 1996, elle lança le
premier Dîner de Gala, organisé en
faveur de la Fondation Hôpitaux de
Paris-Hôpitaux de France. En 2004,
la 22e édition, dans une scénographie
de François-Joseph Graf, reçut pour
la première fois neuf grands chefs de
la gastronomie internationale. La
présence de Bernard Arnault, François
Pinault, Alain Delon et Monica
Bellucci ne passa pas inaperçue.
4
En 2006, la Biennale retrouva enfin
le Grand Palais, entièrement restauré.
Depuis sa création, la manifestation
a toujours fait appel à de grands
noms de la décoration, de la mode
ou de l’architecture pour imaginer
les espaces, de Christian Lacroix à
Jean-Michel Wilmotte. Qu’on se
rappelle l’édition de 2012, confiée
à Karl Lagerfeld. Le directeur
artistique de Chanel reproduisit
l’avenue des Champs-Elysées et
l’Arc de Triomphe, et évoqua les
élégants passages couverts des Grands
Boulevards. En 2014, Jacques Grange
vit aussi les choses en grand et s’inspira
des jardins de Versailles et de Trianon.
Au fil des années, l’exposition a
pris une dimension toujours plus
internationale, en particulier depuis
5
1
Façade du Grand Palais, 1976;
3 Intérieur du Grand Palais,
1966; 4 André Malraux, 1964
(Courtesy Syndicat National des
Antiquaires); 5 Jacques Chirac
et Pierre Vandermeersch, 1978;
6 Le Prince Rainier et la princesse
Grace de Monaco, 1972 (Courtesy
Syndicat National des Antiquaires);
7 Baron et Baronne Edouard
de Rothschild, 2004 (Courtesy
Syndicat National des Antiquaires);
8 Alice Dellal et Karl Lagerfeld,
2012 (Courtesy Luc Castel)
2
2
3
1 La facciata del Grand Palais
durante l’edizione del 1976;
2 3 Due vedute dell’allestimento
del Grand Palais nel 1966;
4 Il ministro della Cultura
André Malraux durante la visita
all’edizione del 1964 (Courtesy
Syndicat National des Antiquaires);
5 Jacques Chirac e l’ideatore della
Biennale Pierre Vandermeersch
nel 1978; 6 Il principe Ranieri e
Grace Kelly alla Biennale del 1972
(Courtesy Syndicat National des
Antiquaires); 7 Il barone Edouard
de Rothschild visita l’edizione del
2004 con la consorte (Courtesy
Syndicat National des Antiquaires);
8 Alice Dellal e Karl Lagerfeld
alla Biennale del 2012 (Courtesy
Luc Castel)
2002 avec l’arrivée d’une vingtaine de
galeries européennes et américaines.
Aujourd’hui, on ne compte pas moins
de 100 exposants à chaque édition.
Celle de 2016, placée sous la
présidence d’Henri Loyrette, ancien
directeur du Louvre, s’annonce
comme un moment charnière dans
l’histoire de cet événement. Car la
Biennale, à l’instar des autres grandes
foires européennes consacrées aux
antiquités (Maastricht, Bruxelles et
Londres), devient annuelle.
Une décision adoptée en juillet 2015
par l’Assemblée générale du SCN :
« Cette évolution est liée à la volonté
du conseil d’administration du SNA de
rendre la manifestation plus visible et
plus attractive. Si nous voulons nous
imposer par rapport aux autres foires, il
6
fallait devenir annuel. En l’annualisant, la
biennale devient aussi moins chère. Nous
allons faire des économies d’échelle, avec
des stands réutilisables chaque année »,
a expliqué le président de la SNA,
Dominique Chevalier.
En novembre 2015, autre nouveauté,
décision a été prise d’intégrer à la
Biennale le salon de peinture ancienne
Paris Tableau, créé en 2011. Comme
la Biennale se tiendra désormais
chaque année, se pose encore la
question, fondamentale, de son nom.
La Biennale des Antiquaires, une
« marque » devenue une référence
dans ce secteur, s’apprête-t-elle à
changer de nom ? Une réflexion est en
cours. Et une réponse pourrait bien
arriver dans les prochains jours.
Luana De Micco
7
L’
idea di organizzare una fiera
antiquaria in una città d’arte
maestra di tendenze come Parigi
si deve a Pierre Vandermeersch.
Erano gli anni Cinquanta. L’allora
presidente del Syndicat National des
Antiquaires (Sna), un’istituzione
creata nel 1901, intendeva fondare una
rassegna di oggetti d’arte e di antichità
di una tale finezza da poter competere
per bellezza ed eleganza con le dame
dell’alta società che sarebbero andate a
visitare la mostra. La prima edizione
della Foire des Antiquaires, questo il
suo primo nome, si tenne nel 1956.
Aprì negli anonimi padiglioni della
porte di Versailles, in un quartiere
nel sud-ovest della capitale, ma la
rassegna era troppo fastosa per restare
relegata in periferia. Si tenne in
questi padiglioni impersonali solo
fino al ’61. La questione infatti non
aveva lasciato indifferente l’allora
ministro della Cultura, André
Malraux, che accettò la proposta
degli organizzatori di trasferire la
fiera in una location più prestigiosa.
Scelse il Grand Palais, il padiglione
in ferro e l’immensa volta vetrata,
costruito per l’Esposizione universale
del 1900 tra gli Champs-Élysées e
la Senna su progetto degli architetti
Henri Deglane, Louis Louvet,
Albert Thomas e Charles Girault.
Tutta un’altra scenografia! È qui
che nel ’62 si tenne la prima edizione
della Biennale des Antiquaires vera
e propria. L’avventura di questa
prima edizione al Grand Palais la
raccontò Vandermeersch nelle pagine
del catalogo: «C’è da credere che il
nostro entusiasmo sia stato comunicativo,
poiché il ministro non ha tardato a darci
l’autorizzazione. Il Grand Palais era
dunque aperto per noi. Vi si poteva tenere
un’esposizione internazionale d’arte e
d’antichità, la prima in Francia. Ma se la
nostra fiducia aveva toccato il ministro,
doveva anche riuscire a raggiungere i cuori
degli antiquari. E la nostra esperienza non
era sufficiente a calmare le nostre angosce.
Avremmo voluto un museo, ci ritrovammo
con un palazzo; avremmo voluto un po’
di spazio e ci siamo ritrovati davanti ad un
deserto che in sei mesi bisognava costruire,
decorare». Il Sna fece appello ad André
Crivelli, architetto capo della Foire
8
LA BIENNALE DE PARIS | 5
de Paris, che ideò una scenografia «da
favola» con giardini e fontane. Due
anni dopo, nel 64, la rassegna, che fino
ad allora si era tenuta in primavera,
fu spostata all’autunno. Quell’anno
ospitò anche il famoso Ballo delle
debuttanti. Furono visti tra gli stand
il poeta Louis Aragon e il cantante
Maurice Chevalier, le attrici Greta
Garbo e Jean Seberg. «Esiste forse
migliore fonte di ispirazione di allestimenti,
modesti o fastosi, di questo accostamento di
mobili e oggetti d’arte così armoniosi da poter
raggiungere l’idea stessa di Bello? Se la
nostra rassegna potesse anche solo trasmettere
al visitatore la voglia di crearsi una cornice di
vita che contribuisca al suo piacere di vivere,
essa avrebbe già raggiunto il suo scopo»,
osservò quell’anno Vandermeersch.
Il presidente non poteva non
essere soddisfatto: la sua idea era
ormai diventata un appuntamento
di riferimento per collezionisti e
appassionati d’arte e antichità. Un po’
alla volta la fiera costruì la sua fama
sulla qualità delle opere presentate,
migliaia di oggetti, dipinti e sculture,
ma anche libri, mobili, tappeti,
argenterie e porcellane, curiosità varie
e gioielli. Se all’inizio poteva sembrare
destinata agli addetti ai lavori, la
rassegna si è trasformata invece in uno
dei luoghi più mondani dell’autunno
parigino. L’edizione del 1970 ospitò
la star angloamericana Cary Grant.
Nel ’72 la Biennale si aprì all’Art
Déco. La visitarono anche l’attrice
Grace Kelly al fianco del marito,
il principe Ranieri III di Monaco.
Nel 1980 si tenne una grande festa
in omaggio allo «storico» presidente
e fondatore, Pierre Vandermeersch,
che lasciava la redini a Philippe
Brame. Nel 1992 la realizzazione
della scenografia fu affidata allo
scenografo e regista milanese Pier
Luigi Pizzi, che trasformò gli ampi
spazi sotto la vetrata in un teatro di
ispirazione neoclassica. Passerà alla
storia come l’ultima edizione del
secolo scorso al Grand Palais. Nel
1993, la caduta di un pannello di
vetro del tetto durante una mostra di
design spinse infatti l’allora ministro
della Cultura, Jacques Toubon, a
chiudere il monumento per importanti
lavori di ristrutturazione. Riaprì solo
dodici anni più tardi. Nell’attesa, fu
il Carrousel du Louvre a ospitare sei
edizioni della rassegna. In questi anni
la Biennale continuò a rinnovarsi.
Nel 1996 lanciò il primo Dîner de
Gala, l’esclusiva cena di beneficenza
a favore della Fondation Hôpitaux de
Paris-Hôpitaux de France. Nel 2004,
la 22ma edizione, con la scenografia
di François-Joseph Graf, accolse
9
9 Le stand d’Alain Besnard, 1980; 10 Le stand de la Galerie Piltzer, 1996; 11 Le Stand de la Galerie
Steinitz, 2004
9 Lo stand di Alain Besnard alla Biennale del 1980; 10 Lo stand della Galerie Piltzer nel 1996; 12 Lo stand
della Galerie Steinitz all’edizione del 2004
per la prima volta nove grandi chef
della gastronomia internazionale.
Quell’anno non passarono inosservati
Bernard Arnault e François Pinault,
Alain Delon e Monica Bellucci. Nel
2006 la Biennale ritrovò finalmente
il Grand Palais restaurato. Sin dalla
sua creazione, la fiera ha sempre fatto
appello per l’allestimento degli spazi
a grandi nomi della scenografia,
10
11
6 | LA BIENNALE DE PARIS
della moda o dell’architettura, da
Christian Lacroix a Jean-Michel
Wilmotte. Ricordiamo l’edizione
del 2012 affidata a Karl Lagerfeld.
Il direttore creativo di Chanel
riprodusse in piccolo il viale degli
Champs-Élysées e l’Arco di Trionfo
ed evocò gli eleganti passages couverts
dei Grands Boulevards. Anche nel
2014 l’architetto Jacques Grange
fece le cose in grande ispirandosi
ai giardini di Versailles e del
Trianon. Negli anni la rassegna ha
acquisito una dimensione sempre più
internazionale, soprattutto dal 2002,
con l’arrivo di una ventina di gallerie
europee e americane.
Ogni volta vi partecipano ormai più
di 100 espositori. L’edizione del 2016,
con la presidenza dell’ex direttore del
Louvre Henry Loyrette, rappresenta
un momento cardine nella storia della
Biennale: da quest’anno la rassegna
prende una cadenza annuale, come
le altre grandi fiere di antiquariato
europee di Maastricht, Bruxelles e
Londra. La decisione è stata votata
nel luglio 2015 dall’Assemblea
generale del Sna: «Questa evoluzione
è legata alla volontà del Consiglio di
Amministrazione del Sna di rendere la
manifestazione più visibile e attraente.
Se volevamo imporci con le altre fiere
dovevamo annualizzarci. In questo modo la
rassegna diventa anche meno cara. Faremo
delle economie di scala riutilizzando gli
stessi stand tutti gli anni», ha osservato
sulle pagine del «Quotidien de l’art»
il presidente del Sna, Dominique
Chevalier. Nel novembre 2015 è
arrivata anche un’altra novità, con la
decisione di integrare nella Biennale il
salone di pittura antica Paris Tableau,
nato nel 2011. Ora che la Biennale si
terrà tutti gli anni agli organizzatori
si pone un’altra questione di fondo:
quella del nome. La Biennale des
Antiquaires, un «marchio» diventato
un riferimento per il settore, si sta
preparando a cambiare nome? Una
riflessione è in corso. E già nei
prossimi giorni potrebbe arrivare
il responso. Luana De Micco
DELLA ROCCA
ANTIQUES
ASTA DI ANTIQUARIATO - AUTUNNO 2016
Collezione di
ARTE
ORIENTALE
Collezione di
VEDUTE
VENEZIANE
Collezione di
VETRI
GALLÉ
Casa d’Aste Della Rocca
via Della Rocca, 33
10123 - Torino
[email protected]
www.dellarocca.net
tel +39 011 888226
+39 011 8123070
fax +39 011 836244
Une œuvre presentée par
Francesca Antonacci
Damiano Lapiccirella Fine Art
à la Biennale des Antiquaires de Paris. Stand MN01
FRANCESCA ANTONACCI
DAMIANO LAPICCIRELLA FINE ART
Via Margutta 54 - 00187 Roma
Tel. +39 06 454 330 36
Tel/Fax +39 06 454 330 54
[email protected]
www.al-fineart.com
Histoire de la Galerie
Francesca Antonacci Damiano
Lapiccirella Fine Art est née de la
fusion de deux galeries établies depuis
de nombreuses années, l’une à Rome et
Londres, l’autre à Florence, mais toutes
deux connues des collectionneurs
italiens et internationaux depuis les
débuts du XXe siècle.
La Galerie, spécialisée dans les
peintures et dessins du XVIIIe au
XXe siècle, accorde une attention
particulière au «Grand Tour» et à la
sculpture néoclassique du XVIIIe.
Elle compte parmi ses clients certains
des plus grands musées internationaux
et des collectionneurs les plus exigeants.
Située dans le cœur historique de
Rome, la Galerie offre à ses visiteurs une
agréable étape pour apprécier ses œuvres
dans un cadre préservé, érudit et discret.
Storia della Galleria
Giovanni Boldini (Ferrare, 1842 - Paris, 1931), « Jeune fille nue », 1890 env, huile sur toile, 60x74 cm.
Signé en bas à droite : Boldini. Provenance : collection privée. Expositions : « Boldini, lo spettacolo della
modernità », Forlì, Musée San Domenico, 1er février - 14 juin 2015. Bibliographie : « Catalogo Bolaffi
della pittura italiana dell’Ottocento », sous la direction de G.L. Marini et P. Dini, Milan 1976, p. 35 ; P. Dini
et F. Dini, « Boldini. Catalogo Ragionato », Turin 2002, III/I, 435 ill. ; T. Panconi, « Giovanni Boldini, l’opera
completa », Florence 2002, p. 565; «Boldini, lo spettacolo della modernità», cat. sous la direction de F. Dini
et F. Mazzocca, 117 pp., 23 ill., Éd. Silvana, Milan 2015
Giovanni Boldini (Ferrara 1842 - Parigi 1931), «Nudo di ragazza», 1890 ca, olio su tela, 60x74 cm.
Firmato in basso a destra: Boldini. Provenienza: collezione privata. Esposizioni: «Boldini, lo spettacolo
della modernità», Forlì, Museo di San Domenico, 1 febbraio - 14 giugno 2015. Bibliografia: «Catalogo Bolaffi
della pittura italiana dell’Ottocento», a cura di G.L. Marini e P. Dini, Milano 1976, p. 35; P. Dini, F. Dini,
«Boldini. Catalogo Ragionato», Torino 2002, III/I, 435 ill.; T. Panconi, «Giovanni Boldini, l’opera completa»,
Firenze 2002, p. 565; «Boldini, lo spettacolo della modernità», catalogo a cura di F. Dini e F. Mazzocca, 117
pp., 23 ill., Silvana Ed., Milano 2015
8 | LA BIENNALE DE PARIS
Francesca Antonacci Damiano
Lapiccirella Fine Art è nata
dalla fusione di due storiche gallerie
basate rispettivamente a Roma-Londra
e Firenze, entrambe note ai collezionisti
italiani e internazionali fin dall’inizio
del Novecento.
La Galleria, specializzata in dipinti e
disegni dal Settecento al Novecento,
rivolge una particolare attenzione
al «Grand Tour» e alla scultura
neoclassica del XVIII secolo. Conta
fra i suoi clienti alcuni dei più grandi
musei internazionali e collezionisti fra i
più esigenti. Situata nel centro storico
di Roma, la sede è il luogo ideale per
apprezzare le opere in un ambiente
riservato, raffinato e discreto.
Une œuvre presentée par
Antichità Alberto Di Castro
à la Biennale des Antiquaires de Paris. Stand S10
ANTICHITÀ ALBERTO DI CASTRO
Meubles, tableaux et objets d’art
du XVe siècle au XIXe siècle
Piazza di Spagna 5 - 00187 Roma
Tel. +39 06 679 2269
Fax +39 06 678 7410
Cel. +39 335 420 880
[email protected]
www.dicastro.com
Histoire de la Galerie
L’Antichità Alberto Di Castro, présente sur
le marché des antiquités depuis plus d’un siècle
est aujourd’hui dirigée par Alberto Di Castro,
petit-fils du fondateur. Unique propriétaire de la
société historique, il incarne avec fierté la quatrième
génération d’antiquaires Di Castro, existant à Rome
depuis 1878. Fidèle à la stricte tradition familiale,
Alberto poursuit cette passion, jamais conditionné
par la logique du marché, et est un spécialiste des
marbres colorés de Rome de la fin du XVIe siècle.
C’est à des fins culturelles qu’il a tenu ces dernières
années à conjuguer son activité d’antiquaire à la
recherche historique et artistique plus pointue, en
s’appuyant sur les experts les plus influents et en
dédiant les expositions à la récupération d’œuvres
disparues ou inédites. Les œuvres seront présentées
dans un espace d’exposition moderne, utilisant la
géométrie linéaire afin de mettre en valeur chaque
objet singulier.
Storia della Galleria
L’Antichità Alberto Di Castro, presente sul
mercato antiquario da più di un secolo, è oggi
condotta da Alberto Di Castro, nipote del
fondatore. Unico titolare della storica ditta,
rappresenta con orgoglio la quarta generazione
degli antiquari Di Castro, presenti a Roma fin dal
1878. Fedele alla rigorosa tradizione di famiglia,
Alberto segue le proprie passioni, mai condizionato
dalle logiche del mercato, ed è specialista di marmi
colorati della Roma della fine del Cinquecento.
Con precisi intenti culturali ha inteso in questi
ultimi anni coniugare l’attività di antiquario alla più
rigorosa ricerca storico artistica, avvalendosi anche
degli studiosi più autorevoli e dedicando mostre
al ritrovamento di opere disperse o inedite.
Le opere verranno presentate in uno spazio
espositivo moderno con un design lineare al fine
di valorizzare le singole opere.
Massimiliano Soldani Benzi (Montevarchi, 1656-1740), « Le mariage mystique de Rosa
da Lima », terre cuite 48,5x35 cm, datée sur le bord supérieur : 14 septembre 1681
Massimiliano Soldani Benzi (Montevarchi, 1656-1740), «Matrimonio mistico di santa Rosa
da Lima», terracotta, 48,5x35 cm, datato sul bordo superiore «14 Di Setembre Anno 1681»
LA BIENNALE DE PARIS | 9
Une selection des œuvres presentées par
Brun Fine Art
à la Biennale des Antiquaires de Paris. Stand N06
BRUN FINE ART
38 Old Bond street London W1S 4QW
+44 (0) 20 7493 0195
[email protected]
Via C. Pisacane 40 - 20129 Milano
Tel. +39 02 295 180 31
Fax +39 02 204 086 37
[email protected]
www.galleriailquadrifoglio.com
Palazzo Larderel
Via de’ Tornabuoni 19 - 50123 Firenze
Tel. +39 393 9891766
[email protected]
Histoire de la Galerie
Augusto Brun ouvre sa première galerie à Milan en
1993. Après une expérience de 20 ans dans le monde
de l’art, il décide avec son frère Marco d’ouvrir deux
nouveaux espaces, le premier à Londres et le deuxième à Florence. La galerie suit une croissance
constante qui a toujours été nourrie par son expertise et sa passion. Brun Fine Art, accompagne et
soutient ses clients dans une fascinante fusion des âges, des artistes et de l’histoire. C’est pourquoi
aujourd’hui nous travaillons avec du mobilier, des sculptures, des tableaux et des objets d’art de
grande beauté et de qualité exceptionnelle. Ainsi, nous partageons cette forte admiration avec ceux,
qui comme nous, sont amateurs d’art dans toutes ses formes. La galerie G&Q Fine Art à Florence,
occupe un espace de plus de 400 mètres carrés du Palazzo Larderel, via Tornabuoni. Comme
à Milan, nous y exposons nos sculptures, mobilier, objets d’art, art asiatique et art moderne tout
en offrant aux clients la vision la plus complète de la tradition artistique italienne. G&Q Fine
Art est actuellement ouverte uniquement sur rendez-vous. Brun Fine Art - London, se situe au
premier étage d’un élégant bâtiment de la prestigieuse Old Bond Street. Nous nous focalisons sur
l’organisation d’expositions thématiques accompagnées de catalogues rédigés par de grands experts
internationaux dédiés à notre clientèle privée ainsi qu’aux musées. Nos principales expositions
ont lieu en juin et juillet simultanément á London Art Week et Masterpiece Fair auxquelles nous
participons. Une exposition d’art contemporain est également organisé pendant la semaine de
Frieze art fair. Chacune des galeries est membre de l’Associazione Antiquari d’Italia, de la British
Antique Dealers’ Association et du Syndicat National des Antiquaires. Nous exposons dans
plusieurs prestigieuses foires internationales telles que Masterpiece Londres, BRAFA Bruxelles,
The Armory Show New York, The Miami Antiques Show ainsi qu’aux Biennales de Florence
et de Rome. Enfin, nous faisons partie de London Art Week, de l’Asian Art in London et de la
Russian Art Week.
Storia della Galleria
Augusto Brun apre la sua prima galleria a Milano nel 1993. Dopo 20 anni nel mondo dell’arte,
decide con il fratello Marco di aprire due nuovi spazi, il primo a Londra e il secondo a Firenze.
La galleria registra una costante crescita quotidianamente nutrita dalla sua esperienza e dalla sua
passione. Brun Fine Art accompagna i suoi clienti in un’affascinate fusione di epoche, artisti e stili.
È il motivo per cui trattiamo arredi, sculture, dipinti e oggetti d’arte di grande bellezza e di qualità
eccezionale. Così noi condiviamo questa grande passione con coloro che, come noi, sono amanti
dell’arte in tutte le sue forme. La galleria G&Q Fine Art a Firenze occupa uno spazio di oltre 400
metri quadrati in Palazzo Larderel in via Tornabuoni. Come a Milano vi esponiamo sculture,
arredi, oggetti d’arte, arte asiatica e arte moderna per offrire ai clienti la visione più completa
possibile dell’arte italiana. G&Q Fine Art è attualmente aperta solo su appuntamento. Brun
Fine Art - London ha sede al primo piano di un palazzo della prestigiosa Old Bond Street. Ci
focalizziamo sull’organizzazione di esposizioni tematiche accompagnate da cataloghi redatti dai
massimi esperti internazionali dedicate alla nostra clientela e ai musei. Le mostre principali hanno
luogo in giugno e luglio contemporaneamente alla London Art Week e a Masterpiece Fair, alle
quali partecipiamo. Allo stesso modo organizziamo una mostra di arte contemporanea durante
la settimana della Frieze art fair. Ognuna delle nostre gallerie è membro dell’Associazione
Antiquari d’Italia, della British Antique Dealers’ Association e del Syndicat National des
Antiquaires. Esponiamo nelle più prestigiose fiere internazionali, quali Masterpiece Londres,
BRAFA Bruxelles, The Armory Show New York, The Miami Antiques Show, così come la
Biennale di Firenze e quella di Roma. Partecipiamo inoltre alla London Art Week, all’Asian Art
in London e alla Russian Art Week.
En haut, plaque montrant la Vierge immaculée, 47,5x34 cm, Trapani, première moitié
du XVIIe siècle. À gauche, plateau circulaire, 20,5 cm de diamètre, Trapani, première
moitié du XVIIe siècle
In alto, placca con la Vergine Immacolata, 47,5x34 cm, Trapani, prima metà del XVII
secolo. A sinistra, alzata circolare, diametro 20,5 cm, Trapani, prima metà del XVII
secolo
10 | LA BIENNALE DE PARIS
Une selection des œuvres presentées par
Maurizio Nobile
à la Biennale des Antiquaires de Paris. Stand MS08
1.Arnold Böcklin (Bâle, 1827-San
Domenico di Fiesole, 1901) e Peter
Bruckmann (1850-1925) « Bouclier
avec la tête de Méduse », plâtre
peint, diamètre 60,5 cm
MAURIZIO NOBILE
Via Santo Stefano19/a
40125 Bologna
Tel. +39 051 238363
[email protected]
www.maurizionobile.com
2.Antiveduto Grammatica (Rome, 15711626), « Marie Madeleine au tombeau
du Christ », huile sur toile, 98x159 cm
3.Claude-Joseph Vernet (Avignon,
1714-Paris, 1789), « Paysage marin
au clair de lune », huile sur toile,
101x138 cm
45, rue de Penthièvre
75008 Paris
Tel. +33 (0)145630775
[email protected]
1.Arnold Böcklin (Basilea, 1827 San Domenico di Fiesole, 1901)
e Peter Bruckmann (1850-1925),
«Scudo con la testa di Medusa»,
gesso dipinto, diametro 60,5 cm
Histoire de la Galerie
C’est dans le cadre enchanteur de palais Bovi-Tacconi, dans le cœur historique de
Bologne, que Maurizio Nobile, en 1987, débute sa carrière d’antiquaire. Préférant
la peinture et le dessin des maîtres italiens actifs entre la fin du XVe siècle et la
première moitié du XXe siècle, les spécialisations désormais porteuses de l’activité
de la galerie, il s’intéresse également à la sculpture, aux objets d’art et aux meubles
datant du XVIIIe et XIXe siècle. Fort d’une longue expérience et d’une notoriété
croissante, en 2010, Maurizio Nobile inaugure une seconde galerie à Paris.
En concomitance avec la participation à des salons prestigieux, comme la Biennale
Internationale des Antiquaires de Palais Corsini à Florence, Paris Tableau
et la London Art Week, Maurizio Nobile propose dans ses galeries
un riche calendrier d’expositions accompagnées de catalogues rédigés en étroite
collaboration avec les plus grands experts et historiens de l’art.
Il s’agit d’événements annuels où sont présentés les résultats de ses recherches,
parfois des redécouvertes, ainsi que des nouveautés absolues pour le marché
de l’art. L’attention méticuleuse portée à l’état de conservation et à la qualité
des œuvres est la raison principale de la confiance et de l’estime dont Maurizio
Nobile jouit auprès des collectionneurs, experts et conservateurs de musées italiens
et étrangers. Inspirer et accompagner le collectionneur dans ses choix figure parmi
les points forts qui lui sont unanimement reconnus.
Storia della Galleria
1
2.Antiveduto Grammatica (Roma, 15711626), «Maria Maddalena alla tomba
di Cristo», olio su tela, 98x159 cm
3.Claude-Joseph Vernet (Avignone,
1714-Parigi, 1789), «Marina al chiaro
di luna», olio su tela, 101x138 cm
2
3
È nella splendida cornice di palazzo Bovi-Tacconi, nel cuore storico di Bologna,
che Maurizio Nobile avvia nel 1897 la sua attività di antiquario. Prediligendo la
pittura e il disegno di maestri italiani attivi fra la fine del XV e la prima metà del
XX secolo, settori che costituiscono oggi le specializzazioni portanti della galleria,
si interessa anche alla scultura, agli oggetti d’arte e ai mobili di XVIII e XIX
secolo. Forte della sua lunga esperienza e di una crescente notorietà, nel 2010
Maurizio Nobile apre una seconda galleria a Parigi. In parallelo alla partecipazione
a prestigiose mostre mercato come la Biennale Internazionale dell’Antiquariato
di Palazzo Corsini a Firenze, Paris Tableau e la London Art Week, Maurizio
Nobile propone nelle sue gallerie un ricco calendario di mostre corredate di
cataloghi redatti in stretta collaborazione con i più importanti esperti e storici
dell’arte: appuntamenti annuali in cui sono presentati gli esiti delle sue ricerche,
a volte delle riscoperte, altre delle assolute novità per il mercato dell’arte. L’attenzione
scrupolosa allo stato di conservazione e alla qualità delle opere è ragione principale
della fiducia e della stima di cui oramai Maurizio Nobile gode presso collezionisti,
esperti e conservatori di musei italiani e stranieri. Ispirare e accompagnare
il collezionista nelle sue scelte è un punto di forza unanimemente riconosciutogli.
LA BIENNALE DE PARIS | 11
Une œuvre presentée par
Porcini
à la Biennale des Antiquaires de Paris. Stand SH09
Piazza Vittoria 6 - 80121 Napoli
Tel. +39 081 764 3550
Fax +39 081 245 7679
[email protected]
www.porcinigallery.com
Maître de l’Incrédulité de saint Thomas
(Jean Ducamps?) actif à Rome entre la deuxième
et la quatrième décennie du XVII siècle, « Judith
décapitant Holopherne », huile sur toile, 120x174 cm.
Provenance : Naples, collection privée
Maestro dell’Incredulità di san Tommaso
(Jean Ducamps?) attivo a Roma tra il secondo
e il quarto decennio del XVII secolo, «Giuditta
decapita Oloferne», olio su tela, 120x174 cm.
Provenienza: Napoli, collezione privata
Histoire de la Galerie
Storia della Galleria
La Galerie Porcini a été fondée en 1969 par Vincenzo Porcini dans le centre
historique de Naples. La galerie est allée à la recherche des toiles et des objets que
les voyageurs du Grand Tour avaient contribué à disperser dans le monde entier,
en les rassemblant pour constituer de nouvelles et merveilleuses collections.
En 1986, la galerie s’est installée dans ses locaux actuels au 6 piazza Vittoria, en
se spécialisant dans la peinture ancienne, grâce à Dario Porcini, et en accordant
une attention particulière aux artistes italiens et étrangers présents en Italie.
La galerie est présente aux biennales internationales de Florence et de Rome, et
garde un dialogue permanent avec des institutions et chercheurs internationaux.
La Galleria Porcini è stata fondata nel 1969 da Vincenzo Porcini nel centro
storico di Napoli. La galleria è andata alla ricerca di dipinti e oggetti che i
viaggiatori del Grand Tour avevano contibuito a disperdere nel mondo intero,
riunendoli per costituire nuove meravigliose collezioni. Nel 1986 la galleria
si è installata nella sede attuale in piazza Vittoria 6 specializzandosi
in pittura antica grazie a Dario Porcini e rivolgendo una particolare attenzione
agli artisti italiani e stranieri presenti in Italia. La galleria partecipa alle biennali
internazionali di Firenze e di Roma e mantiene un dialogo costante
con le istituzioni e gli studiosi internazionali.
12 | LA BIENNALE DE PARIS
Une selection des œuvres presentées par
Robertaebasta
à la Biennale des Antiquaires de Paris. Stand MS03
ROBERTAEBASTA®
Via Fiori Chiari 2 - 20121 Milano
c.a. Tel: +39 028 615 93
Fax: +39 02 864 645 19
[email protected]
www.robertaebasta.com
3
2
Histoire de la Galerie
La galerie « Robertaebasta », dirigée par Roberta
Tagliavini et Mattia Martinelli, opère a Milan depuis 1967
dans le domaine des Arts décoratifs du XXe siècle.
Robertaebasta propose les œuvres des plus grands noms
de l’Art Déco et du vingtième siècle, italiens et étrangers.
Dans la fin de l'année la galerie ouvrira deux nouveaux
espaces, à Londres et à Miami. Elle participe à des
importantes foires internationales, comme BRAFA à
Bruxelles, Masterpiece à Londre et la Biennale de Paris.
Dans cette édition de la Biennale des Antiquaires elle
présente des meubles dessinés par Giò Ponti, avec une
pièce unique, le meuble qui contenait tous les écrits de
Gabriele D’Annunzio, un magnifique bureau de Jacques
Adnet (1950), un vitrail de Jacques-Émile Ruhlmann
ainsi que du mobilier dessiné par Eugène Printz.
Storia della Galleria
1
La galleria Robertaebasta, diretta da Roberta Tagliavini e
Mattia Martinelli, opera a Milano dal 1967 nel campo delle
arti decorative del XX secolo. Robertaebasta propone le
opere dei più grandi nomi dell’Art Déco e del XX secolo,
italiani e stranieri. Entro l’anno la galleria aprirà una sede
a Londra e una a Miami. Partecipa a importanti fiere
internazionali, quali BRAFA a Bruxelles, Masterpiece a
Londra e la Biennale di Parigi. In questa edizione della
Biennale des Antiquaires espone mobili disegnati da
Giò Ponti tra cui un pezzo unico, il mobile destinato a
contenere l’opera omnia di D’Annunzio, una magnifica
scrivania di Jacques Adnet (1950), una vetrata di JacquesÉmile Ruhlmann e arredi su disegno di Eugène Printz.
1.Gio Ponti (1891-1979) Cabinet en
noyer fait pour « Opera Omnia » de
Gabriele D’Annunzio. Détails et décors
en laiton « alla pompeiana ». Pièce
unique. Certificat d’authenticité.
Rèalization par Quarti, Italie, 1932.
Dimensions : 76x26x195(h) cm
Bibliographie : I. de Guttry e M.P.
Maino, « Il mobile déco italiano »,
Laterza, 1988, p. 218, ill. 29
2. Paolo Scheggi (1940-1971),
« Intersuperficie curva dal verde »,
Italie,1964, trois toiles empilées,
dimensions : 60x80 cm. Certificat
d’authenticité par M.me Franca
Scheggi du 29-06-1990, Archive n.
1997
3.Fausto Melotti (1901-1986),
« Sans Titre », céramique émaillée
polychrome. Environ 1955. Dimensions
: 15x16x63(h) cm Authentique de
l’Archives Fausto Melotti code 1955
20, daté 1 Juillet 2014
1.Gio Ponti (1891-1979). Mobile in
radica progettato per l’opera omnia
di d’Annunzio. Dettagli e decori «alla
pompeiana» in ottone. Esemplare
unico. Certificato di autenticità. Prod.
Quarti, Italia, 1932. Dimensioni:
76x195x26(h) cm. Bibliografia: I. de
Guttry e M.P. Maino, «Il mobile déco
italiano», Laterza, 1988, p. 218, ill. 29
2. Paolo Scheggi (1940-1971),
«Intersuperficie curva dal verde»,
Italia,1964, tre tele sovrapposte,
dimensioni: 60x80 cm. Autentica
di Franca Scheggi del 29-06-1990,
numero di Archivio 1997
3.Fausto Melotti (1901-1986), «Senza
titolo», figura femminile in ceramica
smaltata policroma, Italia, 1955
ca. Dimensioni: 15x16x 63(h) cm.
Autentica dell’Archivio Fausto Melotti
n. 1955 20 del 1 Luglio 2014
LA BIENNALE DE PARIS | 13
WWW.ROBILANTVOENA.COM
LONDON | MILAN | ST. MORITZ
GALLERIA CARLO VIRGILIO & C.
Arte moderna e contemporanea - Roma
Leopold Kiesling (Schönleben près de Liebenau, 1770-Vienne, 1827)
« Le Génie des Arts dévoile la Nature en tant que Isis-Artemis d’Héphèse »,
Rome, 1808-1809, marbre avec insertions en bronze, h. 140 cm
L’allégorie du génie des arts, qui dans le simulacre d’Isis comme Diane d’Éphèse dévoile la personnification de la nature, célèbre ici, outre le fondement des arts, un motif central de
la poétique de Schiller et de Goethe. L’aspiration de l’homme à la nature selon la vision des deux grands auteurs était en effet à la base de l’allégorie d’Apollon dévoilant la Diane d’Éphèse,
imaginée par Alexander von Humboldt en 1805, traduite en dessin à Rome par Thorvaldsen et gravée en 1807, dont la statue de Kiesling, en 1809-1810, constitue une nouvelle interprétation. Provenance : comte Ferdinand Palffy de Erdoed (1774-1840), dans sa coll. en 1821 ; prince Johann II von Liechtenstein (1840-1929), Palais Liechtenstein, Bankgasse,
Vienne ; antiquaire viennois Kubasch, depuis 1879 environ ; banquier Gustav Fischl (1834-1897), palais au 15 Seilerstaette, Vienne, construit par Victor Rumpelmeyer en 1878-1890 ;
Max Schmidt, dir. de F.O. Schmidt, av. 1919 ; famille Schmidt jusqu’en 1992 ; Europe, collection particulière. Bibliographie : « Morgenblatt für gebildete Stände », 1er
avril 1809, no 78 ; « Morgenblatt für gebildete Stände », 28 septembre 1810, no 233; S. Grandesso, Bertel Thorvaldsen 1770-1844, cat. de l’œuvre, dir. Laila Skjøthaugh, 2e éd.
italienne et anglaise, Cinisello Balsamo 2015, pp. 90-92, fig. 109 ; S. Grandesso, Leopold Kiesling e la natura rivelata dalle arti, Roma 2015.
Leopold Kiesling (Schönleben presso Liebenau, Alta Austria 1770-Vienna 1827)
«Il Genio delle Arti che svela la Natura come Iside-Artemide Efesia»,
Roma, 1808-1809, marmo con inserti bronzei, altezza cm 140
L’allegoria del genio delle arti, che svela nel simulacro di Iside come Diana Efesina la personificazione della natura, celebra qui, oltre al fondamento delle arti nella mimesi,
anche un motivo centrale della poetica di Schiller e Goethe. La tensione dell’uomo alla natura secondo la visione dei due grandi scrittori era infatti alla base dell’allegoria
di Apollo che svela la Diana Efesina, ideata da Alexander von Humboldt nel 1805, tradotta in disegno a Roma da Thorvaldsen e incisa nel 1807, di cui la statua di Kiesling
costituisce una nuova interpretazione tra 1809 e 1810. Provenienza: conte Ferdinand Palffy de Erdoed (1774-1840), nella sua collezione nel 1821; principe Johann II von
Liechtenstein (1840-1929), Palazzo Liechtenstein nella Bankgasse a Vienna; antiquario viennese Kubasch, dal 1879 circa; banchiere Gustav Fischl (1834-1897), palazzo in
Seilerstaette 15, Vienna, costruito da Victor Rumpelmeyer nel 1878-90; Max Schmidt, direttore di F.O. Schmidt, prima del 1919; famiglia Schmidt fino al 1992; Europa,
collezione privata Bibliografia: «Morgenblatt für gebildete Stände», 1 April 1809, nr. 78; «Morgenblatt für gebildete Stände», 28 September 1810, nr. 233; S. Grandesso,
Bertel Thorvaldsen 1770-1844, catalogo dell’opera a cura di Laila Skjøthaugh, seconda edizione italiana e inglese, Cinisello Balsamo, Silvana Editoriale, 2015, pp. 90-92, ill. 109;
S. Grandesso, Leopold Kiesling e la natura rivelata dalle arti, con un saggio biografico di Anna Frasca-Rath, Galleria Carlo Virgilio & C., Roma 2015
Via della Lupa 10 - 00186 - Roma
www.carlovirgilio.it - [email protected]
+39 06 6871093
LA BIENNALE DE PARIS | 15
à Paris
La sculpture de Salvador Dalí
« Alice au Pays des Merveilles »
exposée place Vendôme en 1995
LA BIENNALE DE PARIS | 17
L’Espace
© IAR Art Resources
29 sculptures en bronze
30 sculptures en pâte de cristal Daum®
Plus de 300 dessins, œuvres peintes ou gravées
Mobilier et objets surréalistes
2 millions de visiteurs en 15 ans
122 nationalités
160.000 visiteurs en 2016
Ouvert en 1991 par Beniamino Levi sous le haut patronat de Jack Lang, alors
ministre de la Culture, et dirigé par Alex Doppia, l’Espace Dalí expose depuis
25 ans une collection privée de plus de 300 œuvres de Salvador Dalí. Cette
collection est le fruit de l’inspiration extravagante de cet artiste emblématique
du Surréalisme : des sculptures théâtrales, des dessins érotiques, oniriques ou
irrésistiblement drôles, des objets et mobiliers poétiques, peuplent l’univers
fantasmagorique de l’inventeur des Montres molles.
Des sculptures oniriques…
Salvador Dalí a sans cesse sculpté, modelé, transformé : ses sculptures en
M. Beniamino Levi
bronze constituent ainsi l’un des aspects majeurs de son œuvre, mettant
en volume ses images surréalistes fétiches. De l’Eléphant Spatial aux pattes infinies, aux Montres molles
iconiques, chacune de ses sculptures, réalisées avec la technique de la « cire perdue » est une émanation
onirique de ses thèmes de prédilection.
… aux livres d’art merveilleux
D’une culture encyclopédique, Dalí est fasciné par les grands thèmes de la littérature, mythologique ou
religieuse. Il illustre par de multiples techniques des textes universels : Alice au pays des Merveilles, Don
Quichotte, La Bible, etc. mais aussi des ouvrages plus personnels, tels Moïse et le monothéisme ou L’Alchimie des
Philosophes. Chacun de ces ouvrages est un objet d’art.
Des thématiques transversales, pour une lecture originale de l’œuvre de Dalí
Sculptures, objets surréalistes, œuvres peintes ou gravées décrivent un parcours artistique à travers quatre
temps forts de l’élaboration de la mythologie dalinienne : en Quête d’immortalité, Dalí nous invite à
« regarder l’âme de la Vénus de Milo à travers les tiroirs de son corps » ; tandis que les Montres molles
reflètent les angoisses du peintre devant l’inexorable avancée du temps et de la mort. Inspiré par Freud,
Dalí explore les Mondes de l’irrationnel, donnant des ailes à un escargot ou des tiroirs au Minotaure. Son
amour pour Gala, sa muse, dont il dit qu’elle est son oxygène, inspire d’audacieuses Variations érotiques
: du prude Roméo et Juliette, au licencieux Marquis de Sade. Et c’est à sa passion pour les Sciences (non
naturelles) aux frontières entre savoir et croyance, que l’on doit une telle curiosité créatrice pour l’optique,
l’atome, l’ADN, Newton, l’alchimie, la pierre philosophale. « Je crois que les artistes devraient avoir des
notions scientifiques pour avancer sur un autre terrain, celui de l’unité » avait écrit Salvador Dalí.
ESPACE DALI
11, rue Poulbot
75018 Paris
Tél. : +33 1 42 64 40 10
www.daliparis.com
18 | LA BIENNALE DE PARIS
HORAIRES
Ouvert tous les jours
de 10h à 18h
Métro : Anvers (L2) Abbesses (L12)
TARIFS
Tarif Plein : 11,50 €
Tarif réduit + 65 ans, enseignants : 8 €
Jeunes de -26 ans, Etudiants : 7 €
Enfant de - 8 ans accompagné d’un adulte : gratuit
© Espace Dalí 2016
à Paris
Située à la fin de l’espace d’exposition, la Galerie d’Art de l’Espace Dalí présente la plus vaste offre de
sculptures et d’œuvres graphiques de Dalí en France.
La Dalí Sculpture Collection constitue un aspect majeur de la création artistique de Dalí. Chacune des
19 sculptures de cette collection matérialise des symboles et éléments iconographiques mondialement
connus de l’imaginaire dalinien. Les sculptures en bronze ont été fondues avec la technique de la
cire perdue, et font partie d’une édition limitée. Numérotées, elles sont chacune authentifiées par un
Certificat d’Authenticité officiel ainsi qu’un Certificat de Fonderie.
Une sélection d’œuvres graphiques rares, signées de Dalí, est aussi proposée par nos galeristes : chaque
œuvre graphique présentée en galerie est mentionnée dans le Catalogue Raisonné édité par Mr Albert
Field, l’ouvrage de référence sur cette partie de l’œuvre de Dalí.
LA BIENNALE DE PARIS | 19
et
Schiaparelli
© Schiaparelli Haute Couture
Photographie de André Maillet (1938)
A droite, Gala Dalí
avec le célèbre
Chapeau-Chaussure
20 | LA BIENNALE DE PARIS
La robe
« Trompe l’œil »
de Schiaparelli
Haute Couture
Cocteau, Eluard, Magritte et Man Ray introduisent
Dalí dans la haute société des années 1930. C’est
grâce à eux qu’il fait ainsi connaissance avec la
créatrice de mode italienne Elsa Schiaparelli, proche
des artistes dada et surréalistes. Très créative et
conceptuelle, Schiaparelli ne considère pas le
stylisme comme une profession mais comme un art
« très difficile et frustrant, car à peine une robe est
née qu’elle appartient déjà au passé. Une robe ne
peut être accrochée au mur comme un tableau ».
Parmi toutes les collaborations de Schiaparelli avec
les artistes, c’est celle avec Salvador Dalí qui fut la
plus fructueuse. En effet, Dalí s’intéresse depuis
les années trente à tous les aspects de la mode.
Schiaparelli, de son côté, aime les jeux visuels
jusqu’à l’absurde, questionnant notre perception
de la réalité. « Une robe de Schiaparelli est un
véritable tableau moderne », disait même le New
Yorker en 1932.
Elsa Schiaparelli avec Salvador Dalí, à Neuilly, 1950 Photo Sipa Press-REX
En bas, un des dessins de Joann Sfar inspiré par la robe « Trompe l’œil » de Schiaparelli Haute Couture
© Joann Sfar
La collection hiver 1936-1937 de Schiaparelli,
présentée en août 1936, marque leur première
collaboration officielle, même s’il est évident que,
depuis 1935, Dalí n’ignorait rien du travail de la
styliste.
Le Cabinet Anthropomorphique (1936) de Dalí,
dont le torse s’ouvre sur des tiroirs, inspire ainsi
un Tailleur-Tiroirs Schiaparelli de la même année,
dont les poches, réelles ou en trompe l’œil, sont
en formes de boîtes et les boutons constitués de
poignées de tiroirs.
L’idée du célèbre Chapeau-Chaussure vient d’une
photo de Dalí prise par Gala, debout avec une
chaussure sur la tête.
La robe Homard
de 1937 est une
autre pièce
emblématique
du travail de
Schiaparelli et Dalí.
Sur une simple
robe du soir en
organdi blanc,
Dalí dessine un
homard rouge
sang, démesuré,
éminemment symbolique de son obsession
sexuelle. La sulfureuse Wallis Simpson, nouvelle
duchesse de Windsor, la porte immédiatement
pour l’objectif de Cecil Beaton (Vogue 1937), sans
imaginer que cette feuille de vigne dalinienne
précipiterait l’abdication de son royal époux.
La robe Larmes, qui fait partie de la collection Le
cirque de 1938, est inspirée du tableau Trois jeunes
femmes surréalistes tenant dans leurs bras les
peaux d’un orchestre. Sur la robe, par un effet en
trompe l’œil, des pans de tissus semblent déchirés.
Au-delà des vêtements, Dalí continuera
sa collaboration en imaginant pour Elsa
Schiaparelli des motifs de tissus ou des flacons
de parfum, telles que les étiquettes pour les
huiles pour le corps Shocking Radiance ou la
bouteille en cristal Baccarat de son parfum Le
Roy Soleil en 1946.
Selon Dalí, le Paris des années 1930 était marqué
« par la maison de couture qu’Elsa Schiaparelli
allait ouvrir place Vendôme. C’est là qu’eurent
lieu des phénomènes morphologiques ; c’est là
que la langue de feu du Saint-Esprit de Dalí allait
descendre » (La Vie Secrète de Salvador Dalí, 1942).
LA BIENNALE DE PARIS | 21
et
Joann Sfar
© Joann Sfar
© I.A.R Art Resources
© I.A.R Art Resources
Extrait de la page 19, Fin de la parenthèse, © Rue de Sèvres
Les dessins
de Joann Sfar
inspirés par de
célèbres œuvres
de Dalí, sont
présentés dans
l’exposition
temporaire «Joann
Sfar - Salvador
Dalí, une seconde
avant l’éveil » du
9 Septembre 2016
au 31 Mars 2017.
Une BD
« Fin de la
Parenthèse »
de Joann Sfar
est publiée
aux Editions
Rue de Sèvres
La sculpture
« Élephant Spatial »
de Salvador Dalí
« Girafe en feu » de Joann Sfar
22 | LA BIENNALE DE PARIS
La sculpture
« Femme en flammes »
de Salvador Dalí
Joann Sfar
© Joann Sfar
« Christ Saint-Jean
de la Croix »
de Salvador Dali
Droits réservés
Joann Sfar nous propose
un chemin dessiné dans
ce qu’il s’imagine être le
cerveau de Dalí.
L’exposition est une
invitation au « voyage
immobile » d’un peintre
et de ses modèles
évoluant entre rêve et
réalité, au fil de l’écriture
en dessin de Joann Sfar.
Dans un décor enchanté
par les sculptures et
objets surréalistes de
Dalí et les créations
Haute Couture de
Schiaparelli qui ont
inspiré l’artiste, plus de
200 dessins originaux
sont à découvrir.
© Denis Felix
Synopsis de l’exposition
Le héros-artiste Seabearstein est invité par l’Espace
Dalí à participer à une expérience artistique hors
normes. Le peintre est chargé de réveiller le seul
prophète non-religieux possible, Dalí, maintenu
cryogénisé à Paris. Saura-il faire renaître l’esprit du
peintre surréaliste ?
© Joann Sfar
C’est à Joann Sfar, l’un des
conteurs contemporains
les plus talentueux, que
l’Espace Dalí a donné
carte blanche pour
imaginer le scénario
d’une rencontre artistique.
Né le 28 août 1971
à Nice, Joann Sfar est
issu d’une famille juive
originaire à la fois
d’Algérie et d’Ukraine.
Il quitte l’Ecole
Nationale des
Beaux-Arts de Paris
et dès 1994 il publie
ses premieres bandes
dessinèes et se
fait connaître avec la
série « Donjon ».
Sa série à partir de
2002, « Le Chat du
rabbin », connaît un
grand succès. Il écrit
pour les enfants la
série « Petit Vampire »
et l’adaptation du
« Petit Prince »
de Saint -Exupéry.
En 2010, il réalise
son premier film
« Gainsbourg, vie
héroïque », puis en
2011 l’adaptation en
dessin animé du
« Chat du rabbin ».
Ces deux films ont été
primés aux Césars.
En 2016, il expose
pour la première fois
ses dessins dans un
établissement muséal,
à l’Espace Dalí, pour
l’exposition
Joann Sfar - Salvador
Dalí, une seconde
avant l’éveil.
« Le Christ est éloge.. »
de Joann Sfar
LA BIENNALE DE PARIS | 23
Exposition de sculptures de Salvador Dalí,
place Vendôme, 1995
24 | LA BIENNALE DE PARIS
UNE PROMOTION PAR
THE DALÍ UNIVERSE BALERNA (CANTON TICINO)

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