DP Ils se marièrent

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DP Ils se marièrent
Dossier pédagogique
Ils se marièrent et eurent
beaucoup…
Cie Pour Ainsi Dire – Philippe Dorin, Sylviane Fortuny
Théâtre tout public à partir de 7 ans
Du 22 au 25 mai 2007
Théâtre Massalia
La Friche la Belle de Mai
Tél. 04 95 04 95 70
Fax. 04 95 04 95 67
www.theatremassalia.com e-mail : [email protected]
Ils se marièrent et eurent beaucoup…
Cie Pour Ainsi Dire
Théâtre tout public à partir de 7 ans
Du CE1 à la 5e
Durée : 1h
Représentations scolaires
Mardi 22 mai à 14h30
Jeudi 24 mai à 14h30
Vendredi 25 mai à14h30
Représentations tout public
Mardi 22 mai à 20h
Mercredi 23 mai à 15h
Lieu du spectacle
Salle Seita
Friche la Belle de mai
41 rue Jobin
13003 Marseille
Tarif Groupe : 4€ par enfant, accompagnateurs gratuits
Pour tous renseignements, contacter Nathalie Dalmasso
au 04 95 04 95 68, [email protected]
« Mon amour,
La première fois que je t'ai embrassée sur la bouche, il y eut un
terrible tremblement de terre en Amérique Centrale. Pourtant, je
n'avais rien senti de particulier, si ce n'est ce léger
étourdissement que l'on a quand on embrasse une fille sur la
bouche pour la première fois.
Ton bien aimé. »
L'histoire
Un amoureux pleure sa fiancée partie à l'autre bout du monde.
Une fille qui passe lui explique que, comme la Terre est ronde, ça veut
dire qu'elle est juste derrière lui. L'amoureux en doute. La jeune fille lui
demande de le regarder dans les yeux.
L'amoureux s'approche. La fille lui dérobe un baiser. L'amoureux se sent
trahi. Il exige qu'elle aille porter ce baiser à celle qui lui est destinée, à
l'autre bout du monde. La jeune fille demande juste qu'il l'élance. Et la
voilà partie !
Mais un baiser volé, tout le monde en veut. C'est difficile de tenir sa
langue. Il faudra qu'il passe de l'un à l'autre, jusqu'à la destinée. Et sans
oublier personne ! C'est des coups à déclencher une troisième guerre
mondiale.
Tout près du but, c'est la rupture.
Un garçon et une fille se séparent. La chaîne se brise. Il faudra un
dernier coup de foudre, fulgurant, pour que le baiser parvienne enfin à la
destinée.
Une petite tape sur l'épaule. L'amoureux se retourne. Il retrouve sa
fiancée. Il lui avait juste tourné le dos.
"C'est un petit village d'où partent les pensées.
Tout le monde est sur la place pour leur dire au revoir.
Leur petite valise à la main,
elles attendent, chacune leur tour, d'être appelée.
Elles portent toutes des petits noms qui les font rougir."
Le propos
Quatre histoires d'amour en une seule. La première est la dernière.
La seconde commence par la fin. La troisième traverse la nuit. La
quatrième tient en trois mots. C'est toujours le temps qui manque.
Le Futur à la lettre, la Promise, le Futur aux bottes, Juliette Béquette.
Quatre personnages pour en porter deux.
Est-ce les amoureux qui sont changeants ou l'amour qui passe ? Où
est-ce l'amour qui est si grand qu'il ne peut pas tenir dans un seul ?
Comme pour chacun des spectacles de la Compagnie, il y a d'abord
les mots, qu'il faut faire parvenir au plus juste. Retenir toute l'intensité
poétique de l'histoire. Le texte est au centre. Dans notre théâtre, les
rebondissements dramatiques sont d'abord des rebondissements de la
langue. Dans cette histoire, les couples se font et se défont d'abord par
les mots.
Imaginons un rideau rouge, un parquet de danse, une jeune fille au
piano, et en avant la musique. En amour, c'est la danse qui mène le
monde.
Entre celui du ridicule et celui de la gourmandise, le rouge
accompagne toutes les histoires d'amour.
L’équipe du spectacle
Un spectacle de Philippe Dorin et Sylviane Fortuny
Texte : Philippe Dorin
Mise en scène : Sylviane Fortuny
Musique : Catherine Pavet
Lumières : Violaine Burgard
Costumes : Sabine Siegwalt
Avec
Carole Got, Camille Voitelier, Philippe Orivel, Jérôme Wacquiez
La Compagnie Pour Ainsi Dire
La compagnie Pour Ainsi Dire a été fondée par Philippe Dorin (écrivain)
et Sylviane Fortuny (metteur en scène) en 1997, pour donner une suite
théâtrale à des recherches menées en atelier avec des enfants, autour
de l'écriture et des arts plastiques.
Son travail se distingue par la défense d'une écriture contemporaine
sans concessions, et la recherche d'espaces scénographiques simples,
au pouvoir d'évocation poétique fort.
Depuis octobre 2003, la Compagnie est implantée à Fontenay sous bois
(94), où elle mène également un travail autour de la lecture du théâtre
contemporain auprès de huit classes d'enfants.
PRINCIPALES CRÉATIONS
Le monde point à la ligne, créé en 1997
avec: Barbara Hornung ou Carole Got et Isabelle Soyeux
coproduction: Théâtre Paul Éluard/ Choisy le Roi
177 représentations (pièce traduite et en cours d'exploitation en
Allemagne et Pologne)
En attendant le Petit Poucet, créé en 1999
Présentée à Massalia en 2001
avec: Catherine Pavet et Jeff Bénignus
coproduction: Théâtre Paul Éluard/Choisy le Roi
210 représentations (en cours d'exploitation)
Texte publié à L'école des loisirs/théâtre
Dans ma mai son de papier, j'ai des poèmes sur le feu, crée en 2001
Pésentée à Massalia en février 2003
avec: Mireille Franchino, Sophie Quinton et Antonio Estevens
coproduction: Théâtre Paul Éluard/Choisy le roi, Théâtre Jeune Public
CDNEJ/Strasbourg, Théâtre du Préau CDNEJ/Vire, Fontenay en
scènes/Fontenay sous bois, Le Théâtre /Scène Nationale de Narbonne,
Théâtre de la Cité/ Théâtre National de Toulouse
coréalisation: L'étoile du Nord/Paris, Théâtre de la Marionnette .
Paris
160 représentations (en cours d'exploitation)
Projet de tournée au Québec Novembre/Décembre 2004
Texte publié à L'école des loisirs/théâtre
L’Écriture dramatique et les jeunes
Groupe de travail autour de Philippe Dorin, auteur
Entre les mots
Philippe Dorin et Sylviane Fortuny se sont rencontrés en 1994, lors
d'ateliers d'écriture en milieu scolaire. C'est dans ce cadre qu'ils ont
fabriqué leurs premiers dispositifs fictionnels. Mais la fiction précède
toujours l'écriture. Alors, ils ont imaginé « une poubelle d'écrivain »
dans laquelle, tel un archéologue, l'enfant pouvait puiser pour faire
émerger des brides d'histoires du passé. Ils ont aussi inventé un
« jardin d'écriture », ont semé des boulettes de papier qui étaient
ensuite déterrés, repiquées dans des pots et arrosées d'encre bleue.
Des feuilles de papier, un peu d’encre, une poignée de cailloux...
La langue n'était plus une chose immatérielle, elle venait au contraire
se nourrir de la matière du monde. Les enfants ont besoin de cet
encrage concret pour ensuite pouvoir laisser voguer au loin leur
imagination. Le matériel de départ est infiniment précieux et rare : des
feuilles de papier, un peu d'encre, une poignée de cailloux… Ce n'est
pas précieux ? N'importe quel gamin sait qu'un caillou recèle des
aventures fabuleuses, il a roulé dans des eaux énigmatiques, voyagé
dans d'innombrables poches, toutes plus mystérieuses les unes que
les autres. En un sens, Philippe Dorin, est resté un éternel enfant. Il ne
doute pas un seul instant que « toutes les histoires du monde sont
dans la matière ». C'est-à-dire à portée de main.
En 1997, Philippe Dorin et Sylviane Fortuny s'associent pour de bon
et fondent la compagnie Pour ainsi dire. Lui écrit, elle met en scène.
Chacun sa partie. Et même si les mots sont les fondations de l'édifice
spectaculaire, ils sont remis en jeu au présent, sur le plateau, nous
sont proposés dans une forme scénique et plastique qui leur donne vie
sans nullement leur ôter leur liberté de mouvement. Cette parole est
théâtrale parce qu'elle se vie au présent. « Dans la pensée de la
réplique ». Ainsi les personnages « sont toujours dans l'instant où les
choses sont dites ». Comme les enfants, ils ne préméditent pas leurs
réactions. « Les enfants sont happés par les grands sujets de
l'existence, ils les prennent de plein fouet. Mais sans préméditation »,
explique Philippe Dorin. De fait, le spectateur accueille les images
dans son esprit, elles ne s'imposent pas, elles résonnent.
« Il suffit de nommer pour que la chose advienne ... »
Et la légèreté de la forme tranche avec la gravité des sujets abordés : il
est question, de la mort, de l'amour, de la relation entre les êtres, de
l'errance, de la solitude, de l'amitié et de tant d'autres choses qui
misent bout à bout, fabriquent une vie.
I
« l suffit de nommer pour que la chose advienne. Ce qui est dit existe ».
Et ça marche. Pour que le miracle opère, il ne faut pas être encombré
par des formules savantes et un savoir pesant. Il ne faut pas faire le
malin et le virtuose. Pas d'exercice de style, juste la logique poétique qui
échappe à toute autre logique. Et les mots se succèdent et avec eux
naissent des situations, des couleurs et des sons, des idées claires et
des pensées sombres… La limpidité des phrases ne fait que rendre plus
flagrante la profondeur du propos. Exemple : « On ne peut pas se
passer les uns des autres, le manque de chacun est le comble de
l'autre ».
Le théâtre devient ainsi un espace d'apparition sans aucun trucage ni
effets spéciaux. Tout est déjà là à l'état latent. Ainsi, dans « Dans ma
maison de papier j'ai des poèmes sur le feu », le noir le plus total est
une nécessité absolue, puisqu'il appelle la lumière qui viendra révéler la
nature profonde des choses. De même, « le texte est un squelette
autour duquel s'agrége la chair invisible du monde sensible ».
En peu de mots, il faut tout dire
J
« e n'écris pas pour les enfants, mais ce sont les enfants qui m'ont
permis d'être écrivain à part entière ». Pour Philippe Dorin, il n'y a pas à
proprement parler d'écriture pour les enfants. Bien sûr, l'univers mis en
œuvre doit rester accessible : « J'utilise des mots simples et des
situations concrètes. En peu de mot, il faut tout dire. Quand j'écris,
j'essaye de ne pas voir plus loin que le bout de mon nez ». Pour autant,
nous ne sommes pas face à une narration linéaire, mais à des situations
sensibles, un enchaînement de sensations et d'émotions qui par petites
touchent dessinent les contours de notre humanité. « Les mots ne
construisent pas des histoires, ils les détruisent », ajoute l'auteur qui
préfère de loin le retranchement à la redondance. L'essentiel n'est donc
pas dans les mots, mais entre. Avec Philippe Dorin et Sylviane Fortuny,
l'enfant spectateur n'est pas conforté dans une posture immature et
irresponsable. Il n'est pas face à un univers qui lui serait réservé, mais
dans un monde qui comporte sa part d'angoisse et de peur, un monde
qui le concerne et donc l'englobe. « Le théâtre interroge et pose des
questions. Il n'est pas un simple miroir réconfortant, mais touche
l'être à un endroit fondamental » affirme Sylviane Fortuny.
Il y a bien sûr une dimension ludique essentielle à l'acte théâtrale. Elle
fait lien et soude la collectivité. Mais si le jeu libère les forces invisibles
de l'imaginaire, il n'a pas pour fonction de divertir, de nous sortir de
nous-même. Cet imaginaire est partie intégrante du réel, il se pourrait
même qu'il le constitue. Les enfants savent bien ça. Les artistes aussi.
Souvenons-nous de ce que déclarait Delacroix : « Ce qu'il y a de plus
réel en moi, ce sont les illusions que je crée ».
Fred Kahn
« Je ne sais pas si j’écris pour les
enfants »
Ce que je sais, c’est que ce sont les enfants qui m’ont permis de
devenir écrivain à part entière. D’abord parce que la première fois que
j’ai pu écrire quelque chose jusqu’au bout, et qui tienne debout, c’était
pour les enfants. Et surtout, d’écrire pour les enfants m’a obligé à
trouver des mots simples, à poser des situations concrètes, sans qu’à
aucun moment le propos ne soit altéré. Et c’est ce dépouillement, cette
simplicité qui au bout du compte, a fabriqué ma marque d’écriture,
celle par qui on me reconnaît aujourd’hui comme écrivain, et entre les
autres ; en peu de mots, il faut tout dire.
Quand j’écris, j’essaie de ne pas voir plus loin que le bout de mon nez.
Je n’ai aucune grande vision de l’histoire que je vais écrire. Si j’écris,
c’est bien parce que je ne sais pas comment le dire. Alors, j’essaie de
n’être que dans la pensée de la réplique. Ce sont les mots qui en font
naître d’autres et qui vont donner sens, par association d’idées, ou
plutôt, par déduction. Je retranche. Chaque réplique est la suite
logique d’une longue soustraction. Le total, c’est le mot « fin ».
Je crois que les mots sont comptés, dès la naissance.
J’ai l’impression que dans les cours de récréation, les enfants
fonctionnent aussi comme ça. Leurs jeux sont dans l’instant où les
choses sont dites.
Les situations n’existent que le temps des mots qui, sans arrêt, les
défont. En fait, les mots ne construisent pas des histoires. Ils les
détruisent, sans cesse, comme dans ce poème de Francis Ponge qui
raconte que la roche est, depuis l’origine de la terre, dans un
processus lent et inexorable de destruction continuelle, de
désintégration. N’être que dans la pensée de la réplique, c’est aussi ce
que nous demandons à nos acteurs au sein de la Compagnie Pour
Ainsi Dire. Comme si, au bout, c’était le dernier mot qu’il leur restait à
dire. Dire, nommer les gens, les choses, les situations, suffit. Les
affirmer plutôt que les jouer.
Dire juste, c’est juste le dire. C’est ce qui rend le mieux pour nous
cette idée d’enfance sur scène. Ce qui fait par exemple qu’on ne se
pose jamais la question de savoir si c’est un enfant ou un adulte qui
joue l’enfant qui le dit.
Etre dans le seul instant où les choses sont dites permet de toucher
aux sujets essentiels, la vie, l’amour, la mort, en plein cœur, sans
complaisance et sans ménagement. On doit parler de tout aux enfants
plus qu’à tout autre encore. Leur ignorance de la vie est si grande que
tous les grands sujets de l’existence les attrapent de plein fouet et les
laissent K-O.
Nous les adultes, nous avons cette petite part de déjà vécu qui nous
console tant bien que mal. Les enfants n’ont que les héros des contes
pour les rassurer. Mais on doit leur parler sans préméditation. Mes
personnages n’arrivent pas avec des intentions. Il n’y a aucune arrièrepensée dans leur bouche. Je voudrais qu’ils aient cette façon très triviale
qu’ont les enfants de dire tout haut et trop fort des choses qu’on ne doit
pas dire, en tout cas pas comme ça ou pas à ce moment-là, et qui
mettent dans l’embarras, qui laissent sans voix.
Écrire, c’est fait pour provoquer le silence, faire bondir loin devant les
pensées, aussi loin qu’on le faisait avant avec la délimitation des
propriétés dans certaines régions immenses. La terre vous appartenait
aussi loin que votre voix pouvait porter.
Dernièrement, une enseignante me racontait qu’après avoir vu « Dans
ma maison de papier… », les enfants étaient restés muets à la sortie du
théâtre, en grand désappointement. Puis, au fur et à mesure qu’ils se
sont rapprochés de l’école, les langues ont commencé à se délier. Et
enfin, une fois en classe, c’était un torrent de paroles. A force de
chercher des mots simples pour écrire mes histoires, il ne m’en est pas
resté beaucoup. Ma réserve de vocabulaire s’est considérablement
réduite. Avec si peu, comment faire une histoire. Cela me fait penser à
ces cuisinières, devant le frigo vide, qui doivent composer un menu pour
le soir pour une famille entière d’affamés.
Les mots, j’en mets un tous les cinquante mètres. Ils me servent à
baliser le terrain, en quelque sorte, et l’histoire est comme un pont que le
spectateur doit jeter lui-même au-dessus du vide, entre deux balises.
Dans nos spectacles, c’est plein de vide. Un jour, à la sortie de « En
attendant le Petit Poucet », une dame a demandé à son fils : « Ça t’a plu
? » L’enfant a répondu oui. La mère : « Eh ben t’es pas difficile ! » C’est
sûr, question histoire, le rendez-vous est manqué. Sur scène, il n’en
reste plus que les miettes. Je me souviens aussi d’un enfant qui, parce
que « En attendant le Petit Poucet » se jouait devant un rideau rouge, a
cru que le spectacle n’avait jamais commencé.
Ce que nous essayons de montrer, ce sont plutôt des choses invisibles
comme le temps qui passe, les pensées qui traversent, l’attente de
quelqu’un. C’est le négatif de l’histoire. Le texte est un squelette. La
chair est invisible.
Sur le papier déjà, le texte de théâtre est un squelette. Les noms des
personnages superposés au centre de la page sont comme des
vertèbres, les répliques comme des rangées de côtes, de part et d’autre.
Le texte de théâtre est un spectre, en lui-même.
Je voulais juste indiquer deux ou trois choses. J’ai l’impression que je
les complique. On nous dit que nos spectacles sont difficiles à
comprendre. Pourtant, nous essayons d’être le plus simple, le plus clair
possible.
Quand
j’écris, moi j’ai toujours la tête penchée vers le bas, sur la
feuille de papier. C’est là que ça se passe. Je me sens plus proche de
quelqu’un qui plante des pommes de terre que de quelqu’un qui a la
tête perdue dans les étoiles. Quand le monde est né, il y a des
endroits qui sont restés vides, non peuplés d’hommes, de bêtes et de
paysages, un peu comme ces recoins qu’on oublie toujours lorsqu’on
peint une porte ou une fenêtre. Ces endroits, les hommes ont mis
quatre murs autour, et ils les ont appelés théâtres. A l’intérieur, ils ne
cessent d’y faire, d’y défaire et d’y refaire le monde, le pire et le
meilleur.
Pour qu’il y ait du théâtre, il faut d’abord qu’il y ait le noir et le silence.
C’est pour cette raison que j’ai l’impression que toutes les pièces de
théâtre commencent par « Allume ! » et « Qui parle ? ».
Le théâtre, c’est toujours quelque chose qui sera dit demain.
Philippe Dorin
Ce que l’on peut faire après le
spectacle…
Petit Questionnaire pour continuer le spectacle en classe
A ton avis, combien y a-t-il d’histoires d’amour dans ce spectacle ?
Quelle a été ta réplique préférée ?
A quoi te font penser les costumes du Futur, de la Promise, de celui qui
a les bottes, de Juliette Béquette ?
Pourquoi les amoureux se parlent-ils en anglais ?
Quels sont les sentiments qui traversent la Promise quand elle joue du
piano ?
A quoi te fait penser la danse des drapeaux ?
Quelle est la première question que l’on pose quand on est amoureux ?
Ils se marièrent et eurent beaucoup de quoi ?
Petit inventaire amoureux :
Liste des petits noms que l’on donne à son amoureux (euse)
Liste des endroits où les amoureux se donnent rendez-vous.
Liste des choses rouges.
Ils se marièrent et eurent beaucoup…
Du 22 au 25 mai 2007
Au Théâtre Massalia