M. Vautour» contre le citoyen Cochon, ancêtre

Transcription

M. Vautour» contre le citoyen Cochon, ancêtre
«M. Vautour» contre le
citoyen Cochon, ancêtre
de l'abbé Pierre dans
""Le Logement social à
l'âge d'or de la carte
postale""
Par Marie-Dominique Arrighi(http://www.liberation.fr/auteur/2259-marie-dominiquearrighi) — 28 janvier 1995 à 23:54

«M. Vautour» contre le citoyen Cochon, ancêtre de l'abbé Pierre
dans ""Le Logement social à l'âge d'or de la carte postale""
La question du logement social ne date pas d'hier. Entre
1900 et
1920, l'âge d'or des cartes postales le consacrait déjà. Taudis,
maisons modèles, scènes de luttes sociales sont ainsi
représentés, constituant un important témoignage
documentaire. L'Union nationale des HLM en réédite
aujourd'hui une centaine. «M. Vautour» contre le citoyen
Cochon, ancêtre de l'abbé Pierre - Le temps des taudis. A
l'aube du XXe siècle, le taudis ne choque pas. Pourtant, la
tuberculose tue. L'absinthe aussi. On pense peu à construire,
sinon des immeubles «de rapport» - de profit. Pour certains
socialistes, tel Jules Guesde, l'idée même de logement social
est démobilisatrice, le pire étant le levain du meilleur, c'està-dire de la révolte sociale. Le mouvement hygiéniste va
établir une corrélation entre maladie et conditions de
logement. Le recensement de 1906 donne lieu à une enquête
sur l'habitat. A Paris, dans 405 maisons visitées par les
services municipaux, on dénombre 1.419 locaux «sans jour ni
air ou de dimensions insuffisantes, impossibles à améliorer
et qui sont pourtant habités. Pour eux, l'interdiction absolue
d'y séjourner est le seul remède». Un conseiller municipal de
Paris, Ambroise Rendu, détecte la même année six îlots
insalubres dans la capitale. A quoi s'ajoute la «zone»: les
anciennes fortifications, vendues par l'armée à la Ville après
1918, soit une bande de terrain circonférent de 32 km où
s'entassent cabanes, «maquis», taudis. Monsieur Vautour.
L'exiguïté, l'insalubrité et la cherté de l'habitat locatif
contraignent les familles, souvent nombreuses, à une
mobilité permanente ou à l'exil dans la «zone». Le
propriétaire, qui constitue la base du pouvoir à l'époque, est
honni. Surnommé «monsieur Vautour», il a tous les droits:
notamment celui de faire signer à chaque nouveau locataire
un congé en blanc. Au moindre comportement déplaisant ou
retard de paiement, c'est l'expulsion. A cette précarité
s'ajoute l'insécurité salariale: il faudra attendre 1909 pour
qu'une loi oblige les employeurs à payer leur personnel en
numéraire et non pas en nature. Sans compter le chômage
considérable; au mieux, on ne travaille que 250 jours par an.
La cloche de bois. Le thème du déménagement, au début du
siècle, est omniprésent. Parallèlement aux artisans
déménageurs qui se signalent en actionnant une cloche,
d'autres déménagements, clandestins, vont se développer «à
la cloche de bois», celle qui ne tinte pas. Ou «à la ficelle» ,
c'est-à-dire par la fenêtre à l'aide de cordes, pour éviter le
concierge, bras armé du proprio. La veille du paiement du
terme (le 8 de chaque mois), des cohortes de familles
quittent ainsi leurs logements, furtivement, avec leur literie
sur une charrette à bras.
Le président des sans-pognon. Le 1er janvier 1912, le
drapeau rouge flotte à une fenêtre de la rue de Dantzig
(XVe). Il a été hissé par Georges Cochon, barricadé avec
femme et enfants pour protester contre son imminente
expulsion. Ouvrier tapissier, président de la nouvelle Union
syndicale des locataires ouvriers et employés, il va, durant
deux ans, narguer les «mauvais proprios». «Il n'est rien de
tel que l'action directe pour obtenir satisfaction», dit et
démontre Cochon. Son programme: insaisibilité du mobilier,
suppression du «denier à Dieu» versé au concierge lors de
l'emménagement, paiement seulement à terme échu et
taxation des loyers. Ses actions d'éclat se multiplient:
relogement d'une famille de dix personnes dans le jardin des
Tuileries avec le concours des charpentiers qui fabriquent en
un jour une baraque de fortune; relogement d'une autre
famille dans la cour de la préfecture de police; occupation
des pompes funèbres à la suite de la mort d'un enfant
nouvellement expulsé" L'activisme inédit de Cochon se
double d'un sens de la dérision sans égal dans l'histoire du
mouvement ouvrier d'avant-guerre. Les déménagements
clandestins se font désormais tambour battant, au son de la
Polka des locataires, ou de V'là Cochon qui déménage, et à
l'assaut des logements vides. En juillet 1913, Cochon monte
l'un de ses plus beaux coups avec la connivence du comte
Antoine de la Rochefoucauld: ce dernier met à sa disposition
l'hôtel particulier qu'il vient de quitter boulevard Lannes
(XVIe) et dont le bail court encore dix-huit mois. Cochon y
installe aussitôt huit familles avec 35 enfants, qui
transforment le lieu en Fort-Chabrol. La presse et les cartes
postales font un large écho aux exploits de Cochon, «le
président des sans-pognon». Les philanthropes à l'oeuvre.
Le logement reste affaire privée. L'Etat ne s'en mêle pas. Ce
sont des philanthropes qui, les premiers, vont penser et
financer le logement social. La nécessité d'un habitat décent
est revendiquée au nom de la charité chrétienne, du bon
fonctionnement du marché et de l'efficacité de
l'entreprise. Dès la fin du XIXe, des entrepreneurs avaient
innové pour leurs ouvriers: le chauffagiste Godin, à Guise,
avec son «familistère» à la façon de Fourier; le chocolatier
Menier à Noisiel en Seine-et-Marne et sa cité ouvrière sur
vingt hectares; des industriels de Saint-Denis avec «la
Ruche», un ensemble de 24 pavillons; ou Jules Siegfried, qui
organise en 1889 le congrès international des Habitations à
bon marché (HBM). Messieurs Frères" Au début du XXe
siècle, commence l'action des fondations: celle de «messieurs
Frères», Edmond, Gustave et Alphonse de Rothschild, qui
lancent un concours d'architectes inspiré par le mouvement
hygiéniste. Le logement salubre triomphe avec la mise en
service en 1909, sur un îlot de la rue de Prague (XIIe), du
«Louvre» de l'habitat social. Triés sur le volet, les locataires y
bénéficient de prestations inconnues dans les immeubles les
plus bourgeois de l'Ouest parisien: éclairage électrique,
vide-ordures et, grande innovation, lavoir, bains-douches,
dispensaire, halte-garderie, école ménagère" Tout un arsenal
éducatif qui vise à apprendre la propreté, l'économie sociale
ou l'alimentation rationnelle" " et madame Jules. La
fondation Rothschild a une rivale directe: le Groupe des
maisons ouvrières dont la figure tutélaire est madame Jules
Lebaudy. Si elle est passée à la postérité sous cette identité,
cette femme, née Amicie Piou, n'a paradoxalement oeuvré
que par antagonisme à son époux: Jules le sucrier spécule
tant et plus qu'il provoque le krach de l'Union générale, une
banque à capitaux catholiques. D'innombrables porteurs
sont ruinés. Amicie, femme dévote, en est profondément
blessée. Elle quitte le toit conjugal, se fait initier à la pensée
de Bakounine, se déguise en pauvresse et vit incognito. A la
mort de son mari honni -qu'elle surnomme «Coquinos» -,
elle hérite une fortune colossale. Elle va alors financer, sans
jamais apparaître personnellement, la construction de 2.000
logements ouvriers pour plus de 5.000 locataires: rue de
l'Amiral-Roussin, avenue Daumesnil, rue de Charonne... ou
rue Ernest-Lefèbvre où s'élève «la Maison modèle» avec WC,
bibliothèque commune, buanderie, séchoirs, préau" Le tout
pour des loyers un tiers moindres que les infects logements
environnants. La ceinture rose à bon marché. L'initiative
privée va prévaloir quasiment jusqu'à la Deuxième Guerre
mondiale. Pourtant, les pouvoirs publics commencent à
s'engager dans la construction du logement social. Un an
après celui de la Rochelle se crée en 1914 l'Office public des
habitations à bon marché de Paris et de la Seine. Il est dirigé
par Henri Seillier, maire de Suresnes, qui conçoit la
commune comme «un être vivant en voie de croissance dont
les administrateurs sont les médecins». De 1920 à 1932,
l'Office construit 2.734 logements de brique rouge, chiffre
significatif mais encore insuffisant au regard des
besoins. Situés pour la plupart sur les boulevards des
Maréchaux, ils forment la «ceinture rose». Sous l'impulsion
de Sellier, l'Office va se constituer des réserves foncières au
fur et à mesure des opportunités d'achat. De 1921 à 1939,
quinze cités-jardins sont achevées autour de Paris: à Drancy,
Nanterre, Cachan, Arcueil, Stains, Champigny... l'Office est à
la pointe du pays en matière de constructions sociales.
En attendant l'abbé Pierre. La France de 1945, c'est 400.000
logements détruits et un million et demi endommagés. Par
une ordonnance du 19 octobre 1945, le gouvernement
institue le droit de réquisition des logements vacants au
profit des familles sans logis. Mais les années 50 apportent
un faux espoir. L'augmentation massive de la contribution de
l'Etat ne peut être envisagée: la guerre d'Indochine absorbe
tous les crédits. Dans le même temps, l'exode rural
augmente, la population parisienne s'est accrue d'un million
d'habitants entre 1939 et 1952. La pénurie du logement ne
fait que s'amplifier pour atteindre sa brutale révélation dans
un fait divers de l'hiver 54. Et l'appel de l'abbé Pierre" - Le
Logement social à l'âge d'or de la carte postale. Par Patrick
Kamoun. 150 F. Edité par HLM Aujourd'hui. Tél.: 40.75.78.
00. Cent ans d'habitat social. Par Roger Quilliot et
Roger-Henri Guerrand. Edition Albin-Michel. 200 F.
Marie-Dominique Arrighi (http://www.liberation.fr/auteur/2259-mariedominique-arrighi)
R E C O M M A N D É PA R L I G AT U S
C O N T E N U R E C O M M A N D É PA R
Moins de 55 ans? Grâce
à la nouvelle Loi PINEL,
0€ d’impôt pendant
12 ans
CAC 40 : Les 5 valeurs
"toxiques" à éviter à
tout prix. Agissez
maintenant !
Maintenant vous n'aurez
plus de doute pour trier
avec Le Guide du Tri
Ce jeu rend si accro qu'il
est impossible d'arrêter.
100% Gratuit!
Si cela fait plus de 3
mois, prenez une minute
pour répondre à nos 5
questions.
Appels/SMS/MMS
illimités,10 Go internet
4G dès 59,99€HT/mois +
50€ remboursés*
Investir dès 122€/mois
Meilleur jeu en France
Alerte au Krach
Boursier
Mal de dos qui dure ?
A trier ou à jeter ?
Promo Orange pro
25.06.97(/libeLe «Vicomte» tire sa révérence.
3-metro
/1997/06 Terreur des trafiquants d'art, cet
/25/le- enquêteur légendaire a pris sa
vicomte-retraite.(/libe-3-metro/1997/06
tire-sa/25/le-vicomte-tire-sa-reverencereverenceterreur-des-trafiquants-d-artterreurcet-enqueteur-legendaire-a-prisdes-trafiquantsd-artsa-retrai_208719)
cet-enqueteurlegendairea-prissa-retrai_208719)
25.06.97(/libe3-metro
/1997/06
/25/sartrouvillehold-up-
Découvrez Intel Core
Inside, accédez à un
monde de possibilités
infinies.
Nouveau Processeur
Intel
Les secrets de la boue
thermale : d’où provient
son efficacité ?
Thermalisme
dans-unebanque_208716)
Sartrouville:
hold-up dans une
banque.(/libe-3-metro/1997/06
/25/sartrouville-hold-updans-une-banque_208716)
25.06.97(/libeConseil régional: le FN réclame la
3-metro
/1997/06 démission de Giraud.(/libe3-metro/1997/06/25/conseil/25/conseilregional-regional-le-fn-reclamele-fnla-demission-de-giraud_208715)
reclamela-demissionde-giraud_208715)
25.06.97(/libeHLM de Paris: le parquet refuse de
3-metro
/1997/06 poursuivre les RG.(/libe-3-metro
/25/hlm- /1997/06/25/hlm-de-parisde-paris-le-parquet-refuse-de-poursuivrele-parquetles-rg_208714)
refusede-poursuivreles-rg_208714)
24.06.97(/libeTiberi réplique aux conseils de
3-metro
/1997/06 Péricard.(/libe-3-metro/1997/06
/24/tiberi-replique-aux-conseils/24/tiberireplique-de-pericard_208877)
aux-conseilsde-pericard_208877)
24.06.97(/libeMise en examen d'un collégien de
3-metro
/1997/06 13 ans pour viol.(/libe-3-metro
/24/mise-/1997/06/24/mise-en-examenen-examend-un-collegien-de-13-ans-pourd-un-collegienviol_208876)
de-13ans-pourviol_208876)
24.06.97(/libeQuatre morts dans un accident
3-metro
/1997/06 d'avion dans l'Essonne.(/libe3-metro/1997/06/24/quatre-morts/24/quatremorts- dans-un-accident-d-avion-dans-ldans-unessonne_208874)
accidentd-aviondans-lessonne_208874)
24.06.97(/libeUn pitbull blesse un policier.(/libe3-metro
/1997/06 3-metro/1997/06/24/un-pitbull/24/un- blesse-un-policier_208870)
pitbullblesseun-policier_208870)
24.06.97(/libeMeurtre d'un retraité à Villejuif.
3-metro
/1997/06 (/libe-3-metro/1997/06
/24/meurtre-d-un-retraite/24/meurtred-un-retraitea-villejuif_208867)
a-villejuif_208867)
24.06.97(/libeMarie-Laure, esclave aux portes
3-metro
/1997/06 de Paris. Maltraitée, jamais payée,
une jeune Ivoirienne de 19 ans fut
/24/marielaure- la bonne à tout faire d'une famille
esclaveafricaine de Seine-Saint-Denis
aux-portespendant cinq ans. La justice a été
de-parissaisie.(/libe-3-metro/1997/06
maltraiteejamais- /24/marie-laure-esclavepayee- aux-portes-de-paris-maltraiteeune-jeunejamais-payee-une-jeuneivoiriennede-19- ivoirienne-de-19-ans-fut-l_208822)
ans-futl_208822)
23.06.97(/libeVincennes:
3-metro
un bébé passe trois
jours près du corps de son
/1997/06 père.(/libe-3-metro/1997/06
/23/vincennes/23/vincennes-un-bebe-passeun-bebepasse- trois-jours-pres-du-corps-de-sonpere_208968)
troisjourspres-ducorpsde-sonpere_208968)
23.06.97(/libeDraveil: un chauffard fauche une
3-metro
/1997/06 fillette.(/libe-3-metro/1997/06
/23/draveil-un-chauffard-fauche/23/draveilun-chauffardune-fillette_208963)
faucheune-fillette_208963)
23.06.97(/libeAttrait et répulsion du retour au
3-metro
/1997/06 bled. Des ados de Pantin tournent
un court métrage avec leur prof,
/23/attraitet-repulsionBoris Séguin.(/libe-3-metro
du-retour/1997/06/23/attrait-et-repulsionau-bleddu-retour-au-bled-des-adosdes-adosde-pantin-tournent-un-courtde-pantintournent-metrage-avec-leur-prof-b_208956)
un-courtmetrageavec-leurprof-b_208956)
23.06.97(/libeParis: dernière manif des
3-metro
/1997/06 sans-papiers avant régularisation.
/23/paris-(/libe-3-metro/1997/06/23/parisderniere-derniere-manif-des-sans-papiersmanifavant-regularisation_208274)
des-sanspapiersavantregularisation_208274)
20.06.97(/libeLe jour
3-metro
où Alex le vigile a tué Fred,
son «persécuteur».Il comparaît
/1997/06 pour un meurtre qui, en 1995, avait
/20/leenflammé Villetaneuse.(/libejour-oualex-le- 3-metro/1997/06/20/le-jour-ouvigile- alex-le-vigile-a-tue-fred-sona-tue- persecuteuril-comparait-pour-unfred-sonmeurtre-qui-en-1995-avaitpersecuteurile_209226)
comparaitpour-unmeurtrequi-en1995-avaite_209226)
20.06.97(/libeViolences sur un sikh: trois
3-metro
/1997/06 policiers condamnés.(/libe3-metro/1997/06/20/violences/20/violencessur-un- sur-un-sikh-trois-policierssikh-troiscondamnes_209224)
policierscondamnes_209224)
20.06.97(/libeA Saint-Denis, un homme vivait à
3-metro
/1997/06 côté d'un cadavre.(/libe-3-metro
/20/a- /1997/06/20/a-saint-denissaintun-homme-vivait-a-cotedenisd-un-cadavre_209222)
un-hommevivaita-coted-un-cadavre_209222)
19.06.97(/libe3-metro
/1997/06
/19/ceshlm-quine-trouventpas-preneurtroploin-outrop-abimeesau-goutdes-locatairesellesrestent-
de_209392)
Ces HLM qui ne trouvent pas
preneur.Trop loin ou trop abîmées
au goût des locataires, elles
restent désespérément vides.
(/libe-3-metro/1997/06/19/ceshlm-qui-ne-trouventpas-preneurtrop-loin-outrop-abimees-au-goutdes-locataires-elles-restentde_209392)
19.06.97(/libePromesses ministérielles.(/libe3-metro
/1997/06 3-metro/1997/06/19/promessesministerielles_209336)
/19/promessesministerielles_209336)
19.06.97(/libeLes manifestants du 18 joint se
3-metro
/1997/06 mettent en pétard.Ils braveront,
/19/les- dimanche, une interdiction
manifestantssoutenue par le ministère de
du-18l'Intérieur.(/libe-3-metro/1997/06
joint/19/les-manifestants-du-18-jointse-mettentse-mettent-en-petardilsen-petardilsbraverontbraveront-dimanchedimancheune-interdiction-soutenueune-interdictionpa_209328)
soutenuepa_209328)
18.06.97(/libeLe plan du PS pour réformer
3-metro
/1997/06 Paris.Le projet de Madec et
/18/le- Charzat donne plus de pouvoirs
plan-du- aux mairies d'arrondissement.
ps-pour(/libe-3-metro/1997/06/18/lereformerplan-du-ps-pour-reformer-parisleparisleprojet- projet-de-madec-et-charzat-
de-madecdonne-plus-de-pouvoirset-charzataux-mairies-d-_209347)
donneplus-depouvoirsaux-mairiesd-_209347)
18.06.97(/libeSartrouville au secours de Walid
3-metro
/1997/06 Mohamed.Accusés de coups et
blessures sur agent, ils ont été
/18/sartrouvilleau-secoursremis en liberté. L'affaire sera
de-walidjugée le 30 juin.(/libe-3-metro
et-mohamedaccuses/1997/06/18/sartrouvillede-coupsau-secours-de-walidet-blessuressur-agentet-mohamedaccuses-de-coupsils-ont- et-blessures-sur-agent-ils-ontete-remis_209346)
ete-remis_209346)
18.06.97(/libeLa manif du «18 joint»
3-metro
/1997/06 ré-interdite.Les députés Verts
/18/la- vont saisir Chevènement.(/libemanif- 3-metro/1997/06/18/la-manifdu-18du-18-joint-re-interditelesjointdeputes-verts-vont-saisirre-interditelesdeputes-chevenement_209345)
vertsvont-saisirchevenement_209345)
17.06.97(/libe3-metro
/1997/06
/17/leslocatairespayaientl-eaudu-cafela-societede-hlmsemidepavait-
et
une-gestionapproximativeLes locataires
des-_209533)
payaient l'eau du
café. La société de HLM Semidep
avait une gestion approximative
des charges.(/libe-3-metro
/1997/06/17/les-locatairespayaient-l-eau-du-cafe-la-societede-hlm-semidep-avaitune-gestion-approximativedes-_209533)
17.06.97(/libeZac Didot: le promoteur fait un
3-metro
/1997/06 procès aux occupants du chantier.
/17/zac- (/libe-3-metro/1997/06/17/zacdidot- didot-le-promoteur-fait-unle-promoteurproces-aux-occupantsfait-undu-chantier_209504)
procesaux-occupantsdu-chantier_209504)
17.06.97(/libeMise en examen de Jacques
3-metro
/1997/06 Heuclin, député PS.(/libe-3-metro
/17/mise-/1997/06/17/mise-en-examenen-examende-jacques-heuclin-deputede-jacquesps_209502)
heuclindeputeps_209502)
17.06.97(/libeLes mutins du conseil général de
3-metro
/1997/06 l'Essonne.(/libe-3-metro/1997/06
/17/les- /17/les-mutins-du-conseilmutins- general-de-l-essonne_209493)
du-conseilgeneralde-l-essonne_209493)
13.06.97(/libeLa grève
3-metro
active d'un gardien de
cité mis à pied.A Romainville,
/1997/06 Patrick Schocher en appelle au
/13/la«soutien du peuple».(/libe-3-metro
greveactive- /1997/06/13/la-greve-actived-un-gardien-de-cite-mis-a-piedad-un-gardiende-cite- romainville-patrick-schochermis-aen-appelle-au-soutien-_207191)
piedaromainvillepatrickschocheren-appelleau-soutien_207191)
13.06.97(/libeYvelines: l'étau se resserre sur
3-metro
/1997/06 Tenaillon.L'ex-président du
conseil général mis en garde à
/13/yvelinesl-etau- vue.(/libe-3-metro/1997/06
se-resserre/13/yvelines-l-etau-se-resserresur-tenaillonlsur-tenaillonl-ex-presidentex-presidentdu-conseil-general-mis-en-gardedu-conseilgeneral- a-vue_207189)
mis-engardea-vue_207189)
12.06.97(/libeLes Yvelines ne sont pas sorties
3-metro
/1997/06 d'affaire. Dominique Paumier,
/12/les- conseiller général , a été mis en
yvelines-examen. Un de plus.(/libe-3-metro
ne-sont/1997/06/12/les-yvelines-ne-sontpas-sortiespas-sorties-d-affaire-dominiqued-affairepaumier-conseiller-general-a-etedominiquepaumier-mis-en-examen-_207262)
conseillergenerala-etemis-enexamen_207262)

Documents pareils