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kompress Zeitung vum ZithaGrupp N°27 september 2013 Vue aérienne d'une partie de la phase intermédiaire du grand chantier de rénovation de la ZithaKlinik: les derniers travaux d'aménagements de la nouvelle piste pour l'hélicoptère. La surface d'attérissage peut être chauffée en cas de gel, elle est équipée suivant les dernières normes et recommandations en la matière. L'utilisation de l'hélicoptère sert à des transports primaires (blessés et urgences vitales),aux transports secondaires (transferts de patients) et dans le cas de prélèvements d'organes. La mise en service de cette installation est prévue pour la fin de cette année. > sommaire > editorial > editorial 2 Hans Jürgen Goetzke > zithaKlinik - Fusion 3 Liebe Leserinnen und Leser, Sr Brigitte Schneiders & Erny Gillen > gestion par les processus 4 Pierre Lambé > St Gabriel's Hospital 6 Hans Jürgen Goetzke > ZithaKlinik: Die Poliklinik 12 Mirjam Oesch > ZithaKlinik: Die endoskopie 14 Mirjam Oesch > Haut les mains! 16 Mirjam Oesch > Zithagesundheitszentrum nach einer schönen und hoffentlich erholsamen Sommerzeit wartet nun nach der Rentrée eine Reihe neuer Aufgaben auf uns. Der Zusammenschluss von ZithaKlinik und Fondation François-Elisabeth nimmt langsam Gestalt an. Wir können zuversichtlich in diese gemeinsame Zukunft gehen, zumal die Regierung nun das lange erwartete grüne Licht für die Modernisierung der ZithaKlinik gegeben hat. Weitere Fortschritte hat auch das Projekt zur Sanierung und Modernisierung des Pflegeheimes in Consdorf gemacht. So setzt auch ZithaSenior die Wachstums- und Qualitätsstrategie weiter fort. Für die kommenden Wochen und Monate wünsche ich Ihnen Zufriedenheit und Erfüllung bei der Arbeit sowie im Privatleben. 17 Violaine Neuser Chères lectrices, chers lecteurs, > Zithaklinik: Distinction 18 Norbert Leners > nouveaux medecins 19 Mirjam Oesch > spirituelle instellationen 22 Winfried Heidrich > High Fat Low Carb 24 Eric Altmann & Brigitte Trommer > ZithaKlinik: Restauration 20 Mirjam Oesch > Seniorie st joseph 28 Après un été, qui je l'espère aura été serein et détendu, l'heure est maintenant à l'attente de la Rentrée et de ses nombreuses nouvelles tâches. La fusion entre la ZithaKlinik et la Fondation François-Elisabeth prend doucement forme. Nous pouvons aller en toute confiance vers cet avenir commun, d'autant plus que le gouvernement a donné le feu vert tant attendu pour la modernisation de la ZithaKlinik. Le projet de réhabilitation et de modernisation de la Seniorie St Joseph de Consdorf est également une nouvelle étape. ZithaSenior s'engage dans une stratégie de croissance et de qualité. Pour les semaines et les mois qui arrivent, je vous souhaite de la satisfaction et de l'épanouissement tant au travail et quand votre vie privée. Marylène Czaicka > Zithasenior 31 Hans Jürgen Goetzke Holger Bracker > ZithaSenior: personalfeier Generaldirektor Directeur Général 33 Liane Faggiani > ressources humaines 34 titelbild Piste d'atterrissage - Gery Oth kompress n°27 // septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp impressum > Herausgeber: ZithaGruppe > Verantwortlich: Hans Jürgen Goetzke > Gestaltung & Redaktionsassistentin: Marie Suraud > R edaktionskomitee: Hans Jürgen Goetzke, Dr. Carine Federspiel, Mirjam Oesch, Holger Bracker, Pierre Lambé, Maryse Landfried, Raluca Marinescu, Gery Oth, Nadine Schmit, Jean-Paul Steinmetz, Marie Suraud, Elisabeth Weber-Juncker > Druckerei: Imprimerie Hengen > Erscheinungsweise: 3/Jahr > Auflage: 3.000 Exemplare > www.zitha.lu > [email protected] > Tel.: 40 144-2053 > Fax: 40 144-2953 2 ZithaKlinik Nos institutions fusionnent ! Valeurs - Une précieuse collaboration À quoi pourrait ressembler le cadre des valeurs communes de la structure issue de la fusion? Le groupe «Valeurs» se penche activement sur cette question. Les participants issus des congrégations des Franciscaines et des Élisabéthaines, de la Zitha et de la Fondation François-Elisabeth collaborent de manière intensive pour élaborer une véritable charte de valeurs. En novembre, deux journées de rencontre sont ainsi prévues avec les responsables des départements de chaque site. Elles offriront une plateforme de dialogue dont le mot d’ordre sera «façonnons notre avenir ensemble». Elles auront lieu les 5 et 19 novembre 2013. Aperçu du groupe «Valeurs» : • Participants de la congrégation des Franciscaines: Sr Irène Bock, Mgr Jeannot Ewald • Participants de la congrégation des Élisabéthaines: Sr Agnes Maas, Mgr Willy De Jong • Participants de la Zitha: Elisabeth Weber-Junker, Dr Jean-Baptiste Niedercorn • Participants de la Fondation François-Elisabeth: Dr Paul Wirtgen, Mgr Peter Müller 3 Texte: Sr Brigitte schneiders & Erny gillen PHoto: gery oth Groupe pilote: Marie-Christine Ries (au nom de M. Gillen) Pr Daniel Bogner (au nom de M. Gillen) Sr Brigitte Schneiders (Comité directeur) Valeurs L’importance de créer un cadre de valeurs commun est reconnue de tous. Promouvoir une nouvelle culture d’entreprise au service des patients, des collaborateurs et des médecins ainsi que de toutes les parties prenantes est une condition sine qua non à la réussite de la fusion et constitue un travail de fond qui se poursuivra pendant plusieurs années. Les racines chrétiennes de nos institutions remontent à l’histoire des trois congrégations fondatrices; celles-ci restent impliquées dans l’élaboration d’une première proposition de charte de valeurs-clés du nouveau groupe. Une première étape de travail commun à large échelle impliquant de nombreux responsables et médecins est prévue en novembre 2013 et permettra un premier échange autour de ces valeurs. kompress n°27 // septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp La gestion par les processus >Une approche moderne de gestion Texte & graphiques: Pierre Lambe La gestion par les processus est avant tout un moyen de travailler plus efficacement en clarifiant : qui fait quoi, quand, comment, … Pour faciliter la compréhension d’un EPC (quiquoi, qui-quoi, qui-quoi, qui-quoi, qui-quoi,…), on peut parfois le représenter sous forme d’un «swimlane» (une vue en « couloir ») avec en titre les «qui» et en dessous (ou à droite selon l’orientation) les «quoi» reliés dans l’ordre (chrono)logique. Attention, le «qui» n’est pas une personne (Albert ou Jocelyne), mais une fonction (infirmière ou technicienne de surface). Cette nuance est très importante, car pour le bon déroulement d’un processus il faut garantir une disponibilité des différentes fonctions impliquées, sous peine de ne pas pouvoir respecter la qualité, l’ordre ou l’intégralité du processus défini : on s’écarte alors de la gestion par les processus. Ceci est d’autant plus vrai si la structure considérée est petite et spécialisée. D’abord : décrire ce qui est Afin de permettre l’approche par processus, il est impératif de commencer par décrire le processus. Cela permet de visualiser les étapes de travail dans l’ordre d’accomplissement. Cette tâche est indispensable pour permettre une analyse ultérieure des liens entre les activités et/ou les acteurs du terrain, afin de permettre des améliorations sur le processus. chain, swim lane diagramm, value added chain diagramm, … . L’essentiel est de se fixer sur quelques termes bien définis et sur quelques types de représentations, et de s’y limiter afin de permettre un langage commun autour des processus. Pour la ZithaKlinik, nous avons retenu deux principaux types de logigrammes : 1) Le Value Added Chain Diagramm (VACD) pour les grandes lignes Différents niveaux de description La description de processus au niveau d’une entreprise se fait à plusieurs niveaux. Attention, il ne s’agit pas ici de faire la différence entre processus de gestion, de support ou de prise en charge (voir le premier article sur le sujet dans le Kompress n° 26), mais bien de «zoomer» du haut vers le bas, des grandes lignes vers le détail le plus précis. Pour ce faire, on choisit habituellement 4 ou 5 niveaux superposés qui offrent un passage progressif du «macroprocessus» (ou «cartographie des processus») global de l’entreprise vers une tâche précise effectuée par un collaborateur bien défini, et ce, en passant par un ou plusieurs niveaux intermédiaires de description de processus. 2) L’ Event Driven Process Chain (EPC) pour le détail («qui fait quoi») Différents types de descriptions Il existe de nombreux moyens de représenter graphiquement les processus, et il existe aussi de nombreux termes spécifiques à ces représentations d’enchaînements séquentiels et logiques d’actions et de décisions qui sont des «logigrammes»: workflow, flowchart, event driven process kompress n°27 // septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp Et après … ? Une fois le processus décrit, on peut enfin commencer à y travailler. Cependant il se peut bien que le processus que l’on vient de décrire n’en soit pas vraiment un, mais qu’un nombre élevé de «boucles» soient présentes dans la représentation détaillées (EPC), c'est à dire un nombre très élevé d’alternatives qui varient en fonction des disponibilités des acteurs présents ou concernés. Ce problème est inévitable si on définit des personnes et non des fonctions sous le « qui » ou bien si on décide d’avoir non pas un ordre logique unique à suivre pour tous les cas de figure, mais plusieurs qui sont tous valables. Il faut alors «aligner» le personnel pour retenir un processus clairement défini et unique, valable pour tous, condition sine qua non pour pouvoir évaluer et mesurer le processus. 4 Standardiser Attention, ceci est vrai pour les enchaînements logiques de tâches mais ne doit pas limiter l’action du thérapeute : il faut respecter la complexité des situations dans le monde médical! Pour ce faire, il convient de subdiviser les processus de prise en charge en des segments qu’on considèrera comme «standard inaltérable» (sauf modification voulue et valable pour tous). Une fois ces nombreux standards définis, rien n’empêche la co-existance de processus « concurrents » que le thérapeute a la 5 liberté de sélectionner en fonction du cas qui l’occupe. C’est là toute la différence entre une chaîne de montage de voitures qui peut se limiter à un seul grand processus de production qui se répète inlassablement et la prise en charge d’un patient poli-morbide dont la complexité et l’unicité n’a pas été façonnée par l’homme. Cette gestion de nombreux petits processus tantôt liés dans «l’ordre», tantôt «concurrents», tantôt «obligatoires», tantôt «superflus, etc … se dénomme Case Management : les processus sont choisis et ordonnés par un professionnel en fonction du cas («clinique» pour les patients). La gestion par processus au sein d’un hôpital se doit de tenir compte de cette nuance fondamentale et respecter le processus décisionnel primordial du thérapeute quand il s’agit d’aborder le patient dans sa complexité naturelle. A l’opposé, le travail en équipe efficace nécessite un minimum d’alignement des participants, c'est-à-dire une astreinte personnelle à un effort collectif afin de garantir la certitude pour chacun de savoir «qui» fait «quoi», «où», «quand», «comment», «pourquoi» et «combien» sans devoir le repréciser à chaque fois. La gestion par processus idéale pour un hôpital doit donc pouvoir concilier les contraintes opposées d’un «Process Management» à proprement parler, qui prévoit tout jusque dans les moindres détails (par exemple pour les processus de support), et d’un «Case Management» qui laisse ouvert le choix des nombreux processus différents pour un patient donné. Nous verrons dans un prochain article comment on évalue un processus. kompress n°27 // septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp St Gabriel's Hospital Hoher Besuch bei der Einweihungsfeier in Namitete Text: Hans Jürgen Goetzke Fotos: Malawi Press organisation In den letzten Jahren hat sich viel verändert im St. Gabriel’s Hospital. Zunächst wurde nach dem Fest des 50-jährigen Bestehens der Ausbau und die Modernisierung der Poliklinik (OPD - outpatient department) in Angriff genommen. Diese mit Hilfe des Luxemburger Kooperationsministeriums kofinanzierte Baumaßnahme wurde bereits im vergangenen Jahr fertig gestellt. Sr. Justina begrüßt die Präsidentin Malawis, Joyce Banda, vorne links die Gesundheitsministerin, Jean Kalilani und vorne rechts der Vertreter des Vatikans in Malawi, Msgr. Bert van Megen. Ebenfalls im Jahr 2012 gelang es, endlich eine Lösung für die extrem verqualmte Patientenküche zu finden. Dank der Expertise von Emil Antony - einem erfahrenen Ofenbauer aus Mertert – wurde die Küche mit 150 Kochstellen, deren Abgase über ein Rohrund Schornsteinsystem nach draußen geleitet werden, komplett neu gestaltet. Zuvor waren bereits die Aufenthalts- und Sanitärbereiche für die Angehörigen der Patienten saniert und modernisiert worden. Da das St. Gabriel’s Hospital viel Material in Container-Ladungen erhält, ist ein gutes Lager die Voraussetzung für eine sorgfältige Materialwirtschaft. Dafür waren in der Vergangenheit die Verhältnisse aber zu beengt. Ein großzügiger Sponsor hat den Anbau eines zweistöckigen Lagergebäudes ermöglicht, das Anfang dieses Jahres fertig gestellt wurde und insbesondere gute Aufbewahrungsmöglichkeiten für die so wichtigen Arzneimittel in der neuen Pharmacy bietet. Die Präsidentin Joyce Banda und der Erzbishof Remi Ste Marie schneiden das Band zur Eröffnung der OPD durch. kompress n°27 // septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp Zu guter Letzt wurde dann wenige Tage vor der Einweihungsfeier auch die für die Energieversorgung des Spitals so wichtige Solaranlage installiert. (siehe hierzu Bericht auf S. 6 ) 6 Der Direktor des St Gabriel's Hospitals, Dr Mbeya, erklärt der Präsidentin Joyce Banda die neue Apotheke. Der Direktor des St Gabriel's Hospitals, Dr Mbeya, mit der Präsidentin Joyce Banda und der Gesundheitsministerin Jean Kalilani in der neuen (qualfreien) Patientenküche. Die Präsidentin Joyce Banda spricht mit Frauen, die auf die Entbindung warten. 7 Alle diese Neuerungen waren natürlich Anlass ein großes Einweihungsfest zu feiern. Zwar hatten wir es zu Anfang kaum geglaubt, dass die Präsidentin des Landes Dr. Joyce Banda ihre Zusage einhalten würde. Als dann auf ihren Wunsch der Termin auf den 19. Juni festgelegt wurde und das Büro der Präsidentin sich intensiv um die Vorbereitung kümmerte, verflogen diese Zweifel schnell. Die Präsidentin ist seit eineinhalb Jahren im Amt und hat es geschafft, dem Land neue Hoffnung und gewisse Wachstumsimpulse zurück zu geben. Da das St. Gabriel’s Hospital nicht nur ein großes Einzugsgebiet hat und viele Patienten versorgt, sondern aufgrund der guten medizinischen Betreuung einen sehr guten Ruf in Malawi hat, ließ es sich die Präsidentin nicht nehmen, die Einweihung selber durchzuführen. Dass diese Veranstaltung dann im weiteren Verlauf auch Züge einer Wahlkampfveranstaltung annahm, darf wohl gerade in Afrika nicht überraschen. Nach einer für Malawi typischen längeren Wartezeit traf zunächst die Gesundheitsministerin, dann der VizePräsident und mit weitern 15 Minuten Abstand die Präsidentin selber ein. Im Anschluss an die Begrüßung der Gäste segnete der Erzbischof von Lilongwe das neue OPD-Gebäude und eröffnete gemeinsam mit der Präsidentin die neue Poliklinik. Nach Besichtigung der neuen Räume des OPD erfolgte ein Rundgang kompress n°27 // septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp durch das Krankenhaus bis zur neuen Pharmacy. Besondere Bedeutung maß die Präsidentin der neuen Patientenküche und dem Wartebereich für die schwangeren Frauen bei. Zum Abschluss wurde dann die Solaranlage vorgestellt. Die Präsidentin nahm durch Drücken des roten Knopfes die Solaranlage symbolisch in Betrieb und fragte interessiert nach den Kosten und der Wirtschaftlichkeit dieser Investition. Im Anschluss daran ging es zum Fußballfeld, das durch eine Tribüne für die Ehrengäste und eine Mikrofonanlage für die Reden vorbereitet war. Nachdem die Militärmusik die Nationalhymne gespielt hatte, wurde eine Vielzahl von Reden gehalten. Vor sicherlich über tausend Zuhörern sprachen die „Traditional Authority“, die lokale Parlamentsabgeordnete, die Regionaloberin Sr. Anastasia, Hans Jürgen Goetzke als Chairman des Board und Vertreter der Fondation Ste Zithe, der Erzbischof, die Gesundheitsministerin und dann natürlich die Präsidentin. Die Anwesenden harrten geduldig aus und jubelten der Präsidentin zu. Die Bedeutung der Veranstaltung kann man auch daran ermessen, dass das malawische Fernsehen drei Stunden live übertrug. Stolz verabschiedete der Krankenhausdirektor Dr. Mbeya die Gäste. Eine kurze spontane Rede der Präsidentin Joyce Banda an die Angehörigen der Patienten. Die Ehre des Besuchs der Präsidentin und eine eindrucksvolle Einweihungsfeier waren für alle Mitarbeiter des St. Gabriel’s Hospital der angemessene Dank für viel Engagement zur Versorgung der Patienten und Weiterentwicklung des Spitals. Natürlich gilt der Dank auch den vielen Spendern, mit deren Hilfe diese erfreuliche Entwicklung nicht möglich gewesen wäre. kompress n°27 // septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp Bernd Wolf (Energiebau) und Hans Jürgen Goetzke (Fondation Ste Zithe) erläutern der Präsidentin Joyce Banda die Solaranlage. 8 St Gabriel's Hospital Fertigstellung und Inbetriebnahme der Solaranlage des St. Gabriel’s Hospital Im Juni 2012 fasste der Verwaltungsrat der Fondation Ste Zithe den Beschluss, die ständigen Probleme bei der Energieversorgung des St. Gabriel’s Hospital durch eine Solaranlage zu lösen. Steigende Stromkosten und fast tägliche Stromausfälle stellten eine zunehmende Belastung für das St. Gabriel’s Hospital dar. Da war auch der Generator keine Lösung mehr, denn die Dieselkosten stiegen Text: Hans Jürgen Goetzke Fotos: fondation Ste zithe natürlich ebenfalls und 2011 und 2012 war über längere Perioden kein Treibstoff in Malawi zu erhalten. Die Kölner Firma energiebau, die bereits über 50 Solaranlagen in Afrika gebaut hat – so unter anderem für die Verwaltung der UN-Umweltorganisation UNEP in Nairobi, erhielt den Auftrag. Gegen Jahresende waren alle Detailplanungen und Komponenten der Anlage beisammen und der Container ging auf Reisen. Womit keiner gerechnet hatte, war dann die einmonatige Verzögerung im Hafen Beira in Mozambique. Dieser Hafen war im Februar so überfüllt, dass es 5 Wochen dauerte, bis der Container entladen und auf die LKW-Reise nach Namitete gehen konnte. Dass es dann noch so allerlei Schwierigkeiten zu meistern gab, bis der Container vom Zoll freigegeben wurde, ist Mit Arbeiter von ErnergieBau und St Gabriel's Hospital begutachten die Solarpanels. 9 kompress n°27 // septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp Die Stromproduktion der Solaranlage kann jederzeit abgelsen werden fast einen eigenen Beitrag wert. Mit vielen Hilfskräften wurde der Container dann endlich Ende April in Namitete entladen. Kern der Anlage ist das Batteriehaus mit den Multi-Cluster-Boxen, die für die Steuerung der Anlage zuständig sind. Hier wird geregelt, ob der Solarstrom direkt in den Verbrauch geht oder die Batterien gespeichert werden. Dieser Teil der Anlage wurde zuerst aufgebaut. Nachdem die Batterien mit Netzstrom geladen waren, zeigte sich in einem ersten Probelauf, wie das Krankenhaus mit gespeicherter Energie versorgt werden kann. Nun mussten noch die Solarzellen und die Gleichrichter installiert werden. Ein Kriterium für die Vergabe des Auftrags an die Firma energiebau war, dass sie für die Montage afrikanische Mitarbeiter einsetzt. Für uns war es ganz wichtig, dass die Mitarbeiter des St. Gabriel’s Hospital gemeinsam mit den Fachleuten von energiebau die Anlage errichten würden. Diese Zusammenarbeit funktionierte gut und die Elektrikerin Flora des St. Gabriel’s Hospital weiß genau, wie die Anlage zusammengesetzt ist, funktioniert und geregelt werden kann. Durch die Verzögerung bei der Anlieferung wurde es recht knapp, die Anlage bis zur schon seit langem terminlich festgelegten Einweihungsfeier fertig zu stellen. Wertvolle Hilfe leisteten dabei wieder einmal die Techniker der ZithaKlinik. José Coimbra, Paolo Rossi, Marc Kurek und Jean Juncker kompress n°27 // septembre 13 // Für die starken Batterien wurde ein eigener Raumgeschaffen. Dies dient der Sicherheit und der richtigen Temperatur. unterstützten das afrikanisch-deutsche Aufbauteam. Als die ersten Solarpanels auf den Dächern montiert waren, zeigte sich bereits beim ersten Probebetrieb, dass die Anlage funktioniert und Solarstrom für die Versorgung des Spitals liefert. Es dauerte dann noch weitere zwei Wochen bis einen Tag vor der Einweihungsfeier alle Solarzellen auf den Dächern sowie die notwendigen Gleichrichter montiert und verkabelt waren. Nicht zu vergessen war auch der Blitzschutz, der gerade in tropischen Regionen unverzichtbar für die Sicherheit der Anlage während der Regenzeit ist. Nach sehr viel Arbeit waren am Tage der Eröffnung alle Beteiligten stolz, dass das St. Gabriel’s Hospital autark vom öffentlichen Stromnetz durch die Solaranlage mit erneuerbarer Energie versorgt wird. Die 50Kw-Anlage des St. Gabriel’s Hospital stellt nicht nur für Namitete, sondern für Malawi einen Meilenstein in eine zukunftsfähige und umweltverträgliche Energieversorgung dar. Die Präsidentin Malawis und die anderen hochrangigen Gäste bei der Einweihungsfeier zeigten sich beeindruckt von der neuen Technologie und brachten ihren Dank für diesen wichtigen Schritt für die Entwicklung von Namitete und Malawi zum Ausdruck. angespannte Finanzlage des Krankenhauses stark belastet. Die Kostenbeiträge der Patienten für die Behandlung im Krankenhaus können nun wieder direkt für Arznei und Pflegematerial verwandt werden und kommen somit direkt den Patienten zu Gute. An dieser Stelle sei auch den vielen Spendern herzlich gedankt, die mit kleinen und großen Beiträgen dieses Projekt erst möglich gemacht haben. Die nunmehr installierte 50-Kw-Kapazität ist aber nur der erste Schritt. Hiermit ist das Krankenhaus unabhängig von der öffentlichen Stromversorgung. Hingegen werden die zum St. Gabriel’s Hospital gehörenden Wohngebäude, in denen das Personal wohnt, nach wie vor aus dem öffentlichen Netzt versorgt. In zwei weitern Schritten, soll die Solaranlage in Namitete erweitert werden, damit zukünftig der gesamte Strom aus Sonnenenergie gewonnen wird. Für das St. Gabriel’s Hospital ist nun die Zeit der Stromunterbrechungen vorbei. Darüber hinaus wird viel Strom und Diesel gespart. Die Energiekosten hatten in den letzten Jahren die ohnehin stets Zeitung vum ZithaGrupp 10 Flora, die Elektrikerin des St Gabriel's Hospitals bei der Kontrolle der Anlage. Der Container mit dem Solaranlage wird entladen. Blick auf das Dach des St Gabriel's Hospital 11 kompress n°27 // septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp Für alle Fälle > Die Notfallaufnahme-Poliklinik im Porträt Text: Mirjam Oesch Foto: Maryse landfried Dr. Emile Bock, Notfallmediziner und ärztlicher Koordinator der Poliklinik Es gibt kaum eine Station, durch die mehr Patienten eines Krankenhauses passieren, als die Poliklinik, sei es, dass sie durch einen Notfall in die Klinik aufgenommen werden, sei es, dass ihr Arzt sie dort nachbehandelt. Dr. Emile Bock zählt die Fakten auf: „Ein großer Anteil der hospitalisierten Patienten, 30-40 Prozent der ChirurgiePatienten und 60-70 Prozent der Patienten aus den Medizinischen Abteilungen waren oder wurden zeitweise in der Poliklinik behandelt.“ Marc Mausen, verantwortlicher Krankenpfleger der Notfallaufnahme-Poliklinik, fügt hinzu: „Heute führen wir mehr und genauere Untersuchungen durch, um ein exaktes kompress n°27 // septembre 13 // Bild unserer Patienten zu erhalten, ehe sie in ein Zimmer verlegt werden. Wichtige Erstbehandlungen werden in kürzester Zeit in der Notaufnahme eingeleitet. Uns kommt daher auch eine diagnostische und therapeutische Rolle zu.“ Die Aktivitäten der Poliklinik sind dreifältig, zum ersten der Notfalldienst an einem Tag der Woche sowie einem von fünf Wochenenden. Zum zweiten die programmierten Behandlungen und Nachuntersuchungen, die ein Arzt in der Poliklinik ausführt und zum letzten der ambulante Betrieb. Hier werden Patienten erstversorgt, die wegen eines akuten gesundheitlichen Problems im Laufe des Tages in die Poliklinik kommen. Zeitung vum ZithaGrupp Maison médicale und Poliklinik Dr. Bock grenzt seine Arbeit gegenüber der Maison médicale (Ärztehaus) ab: „Die Poliklinik ist fünf Tage die Woche von sieben bis 19 Uhr geöffnet, während die Maison médicale von 20 Uhr bis sieben Uhr morgens Patienten empfängt. Auch hat die Maison médicale nichts mit der ZithaKlinik zu tun, obwohl sie ganz in der Nähe ist. Die NotfallPoliklinik kann die Maison médicale nicht ersetzen, da sie für die wirklichen Notfälle gedacht ist, oder für Fälle, in denen weitere Untersuchungen erforderlich sind, die ein Allgemeinarzt nicht durchführen kann. Ein Patient sollte die Maison médicale dann aufsuchen, wenn er normalerweise zu seinem Hausarzt gehen würde.“ 12 „An normalen Tagen behandeln wir 45 bis 60 Patienten, hinzu kommen bis zu 100 programmierte Untersuchungen,“ führt Dr. Bock weiter aus. „An Tagen, an denen unsere Klinik Notfalldienst hat, können wir leicht in 24 Stunden auf 220 Behandlungen kommen.“ Ein solches Volumen erfordert ein großes Team, das aus sechs Ärzten, 23 Krankenpflegern und einer Hilfskrankenpflegerin (aidesoignante), besteht. Im Team herrscht ein angenehmer Umgang, jeder duzt jeden und auch außerhalb der Arbeitszeiten treffen sich viele für Freizeitunternehmungen. „Ich habe noch in keiner Poliklinik gearbeitet, in der ein schlechtes Arbeitsklima herrschte,“ sagt Dr. Bock und Marc Mausen ergänzt entschieden: „Es ist unmöglich, einen Patienten gut zu behandeln, wenn man nicht mit dem Team kooperieren kann. Wir arbeiten eng mit den fünf chirurgischen Gruppen der ZithaKlinik zusammen – Orthopädie und Traumatologie, Viszeral- und ThoraxChirurgie, Gefäßchirurgie, Neuro- sowie plastische Chirurgie – aber auch mit den Dermatologen und Gynäkologen. Eigentlich stehen wir in engem Kontakt mit der ganzen Klinik, wie zum Beispiel dem Patiententransport und der Bettenzentrale, um nur diese beiden wichtigen Dienste zu nennen.“ Know-how und Fingerspitzengefühl Welche Einstellung muss ein möglicher Mitarbeiter mitbringen, wenn er sich ins Team und den reibungslosen Ablauf der Poliklinik einfügen möchte? Marc Mausen antwortet ohne zu zögern: „Er muss die Abwechslung, die unser 13 Dienst mit sich bringt, schätzen und Stress gut managen können. Darüber hinaus ist es wichtig, dass er Menschen beruhigen kann. Das setzt natürlich voraus, dass er gute Kommunikationsfähigkeiten besitzt und Menschen, aber auch die Schwere ihrer Erkrankung, einschätzen kann. Letztlich dreht sich unsere Arbeit um fundiertes technisches Knowhow und das sprichwörtliche Fingerspitzengefühl.“ Dr. Bock spricht aus eigener Erfahrung: „Jeder erkennt schnell, ob er für die Arbeit in der Notfall-Poliklinik geeignet ist. Er muss sich selbst und seine Reaktionsfähigkeit in Stresssituationen beobachten. Im Studium habe ich festgestellt, dass ich umso ruhiger werde, je höher der Stresspegel und Druck im Notfalldienst steigen. Dies, so denke ich, kann man kaum erlernen. Auch muss man die Fähigkeit haben, schnell zwischen Wesentlichem und Unwesentlichem zu unterscheiden.“ Marc Mausen fügt hinzu: „Viele schätzen an ihrer Arbeit in der NotfallaufnahmePoliklinik die regelmäßigen Arbeitszeiten und, abgesehen von den Tagen, an denen die ZithaKlinik Dienst hat, dass wir keine Nachtschicht haben.“ Hoher Besuch im Notfalldienst Die Menschen, die zur Poliklinik kommen, sind sehr unterschiedlich. Ein Großteil der Patienten sind Ausländer wegen der Kliniklage nahe dem hauptstädtischen Bahnhof. Viele kommen auch, weil sie wissen, dass das Team der Poliklinik immer einen Übersetzer organisiert, um die notwendigen Behandlungen zu erklären. So kam es auch, dass eines Tages der russische Botschafter in Luxemburg in der Notfallstation auftauchte. „Wir hatten hier niemanden, der wenigstens etwas russisch sprach,“ erklärt Dr. Bock, „also haben wir die Botschaft angerufen. Um drei Uhr morgens stand der Botschafter selbst neben dem Bett eines russischen Lastwagenfahrers, der einen Herzinfarkt erlitten hatte, und übersetzte die Anweisungen meines Kollegen.“ Manche Menschen haben keinen Hausarzt und suchen daher die nächstgelegene Poliklinik auf. Dr. Bock weist jedoch darauf hin, dass kein Arzt der Poliklinik die Kompetenzen eines Hausarztes übernehmen kann. „Der Hausarzt ist derjenige, der die Langzeitbetreuung seiner Patienten gewährleistet. Er ist von uns nicht zu ersetzen, was Prävention (z.B. Blutdruck, Cholesterin, regelmäßiger Checkup...) und Koordination seiner Patientenakte angeht. Auch sollte jeder Patient einen Hausarzt haben und nur für akute Fälle die Notaufnahme aufsuchen.“ Sollte sich das Poliklinik-Team noch etwas wünschen für die Zukunft, so wäre das ein erhöhter Komfort für die Patienten. „Mehr Kabinen, damit keiner mehr in den Betten auf den Gängen warten muss, das ist meine Vision für die Zukunft“, schließt Marc Mausen, „und dadurch würden gleichzeitig unsere Arbeitsbedingungen verbessert.“ kompress n°27 // septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp Die Endoskopie zieht um > Mehr Platz, mehr Licht, mehr Sicherheit Text: Mirjam Oesch FOTOS: Gery Oth Nadia Quoilin, Daniel Reuter, Nunz Agostino en salle d'examen gastro 1 Von dem kurz bevorstehenden Umzug der Endoskopie, der für Mitte Juli vorgesehen ist, ist noch nichts zu bemerken. Vor der Endoskopie im Erdgeschoss werden die Patienten wie immer freundlich und geschäftig empfangen. „In unserer Abteilung wird während dem Umzug weitergearbeitet, damit die Patienten ihre Termine genauso wahrnehmen können wie vorgesehen,“ sagt Sabine Reichert, Verantwortliche der Endoskopie und Urologie an der ZithaKlinik. Die offizielle Eröffnung der neuen Räumlichkeiten findet erst am 18. September statt, um Ärzten und Pflegepersonal Zeit zu geben, sich einzuleben. Ein Teil der Endoskopie, die kompress n°27 // septembre 13 // Urologie, wird im Grundgeschoss bleiben. Sabine Reichert freut sich, die neuen Räume zu beziehen: „Er ist eine wahre Zäsur, dieser Umzug. In den 1980er Jahren arbeiteten ein Arzt und eine Krankenpflegehelferin in der Endoskopie. Im Laufe der Jahre stieg die Anzahl der Untersuchungen stetig. Es kamen auch mehr und mehr ärztliche und pflegerische Kompetenzen hinzu, so dass morgens zwei Ärzte parallel arbeiten konnten. 1985 fing Dr. Turk in der Endoskopie an, 1987 kamen Dr. Reichling, 2001 Dr. Pescatore und 2008 Dr. Bourgeois hinzu. Seit kurzem arbeitet Dr. Wilputte, Spezialist für Echoendoskopie, freitags Zeitung vum ZithaGrupp hier. Darum müssen wir unsere Patienten für bestimmte Untersuchungen nicht mehr ins Ausland schicken. Das pneumologische Team wurde 2007 durch Dr. Wagner und 2010 durch Dr. Frantz verstärkt. Momentan arbeiten 12 Krankenpfleger und sieben Ärzte in unserer Abteilung.“ 1990 zog die Endoskopie, die bis dahin in einem großen Zimmer untergebracht war, in die Räume um, die sie bis 2013 belegen sollte. Mit dem Anstieg der Patienten und dem Personal platzte sie bald aus allen Nähten. „Wir brauchten unbedingt mehr Platz für die Untersuchungen, aber auch für das Personal. Das wird jetzt endlich der Fall sein.“ 14 Von den angebotenen Untersuchungen bietet die ZithaKlinik die ganze Vielfalt der modernen Endoskopie an: Bronchoskopie, Darm- und Magenspiegelung, ERCP (Endoskopisch retrograde Cholangiopankreatographie) für Gallen- und Pankreas-Untersuchungen sowie Mano- und pH-Metrie. „Wir führen alles durch, was in der modernen Endoskopie möglich ist. Andere Spitäler Luxemburgs schicken sogar ihre Patienten für ERCP-Untersuchungen in die Zitha. Das zeugt von einem großen Vertrauen in unser Können,“ sagt Sabine Reichert stolz. „Unsere Maschinen und Endoskopen sind auf dem letzten Stand der Technik. Zum Umzug werden wir übrigens auch zwei neue Maschinen erhalten, eine zur Desinfektion und eine weitere für Manometrie-Untersuchungen.“ Die Endoskopie der ZithaKlinik begnügt sich nicht nur mit diagnostischen Untersuchungen, sondern ist auch therapeutisch sehr aktiv, sie setzt z. B. endoluminale Prothesen. Um immer auf dem neuesten Stand der wissenschaftlichen Entwicklungen zu sein, besuchen Ärzte und Personal jedes Jahr Kongresse und Weiterbildungen, um neue Techniken zu erlernen. Sabine Reichert hat in den letzten Wochen viele Führungen der neuen Endoskopie im vierten Stock des B-Gebäudes durchgeführt. Durch die noch leeren, weiß gestrichenen Zimmer flutet warmes Sonnenlicht. „Hier haben noch vor kurzem die ZithaSchwestern gewohnt.“ Sie weist mit großer Vorfreude auf die vielen Änderungen hin, die insbesondere den Patienten zugute kommen: „Es ist alles heller und freundlicher. Die Sicherheit für die Patienten ist erhöht, denn jetzt können sie endlich ihre Wertsachen in einen Schrank einschließen. Sie werden noch besser überwacht werden, als es bis jetzt der Fall war. Für das Personal wird sich ab dem 25. Juli, wenn wir die neue Endoskopie in Betrieb nehmen, nicht viel ändern: Wir bleiben von halb acht bis 18 Uhr geöffnet und jeder arbeitet in jeder endoskopischen Abteilung, sei es in der Urologie, der Pneumologie oder Gastroenterologie. Wir werden die bewährte Organisation aufrechterhalten: Unsere Ärzte arbeiten nach einem festgelegten Stundenplan, sodass wir immer genau wissen, welcher Arzt unser Ansprechpartner sein wird. Ich glaube, dass das zu unserem guten Arbeitsklima und, wie die neuen Räume, zu der ausgezeichneten Betreuung unserer Patienten beiträgt.“ Nadia Quoilin prépare la cabine de préparation/surveillance. Nunz Agostino en salle de décontamination 15 kompress n°27 // septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp Haut les mains ! > La ZithaKlinik a participé au « Hand Hygiene Excellence Award » TextE: Mirjam Oesch PHoto: Maryse Landfried Excellence Award’. » Un questionnaire extensif était envoyé à tous les participants du concours. « C’étaient des questions assez pointues et il ne suffisait pas de donner des réponses non motivées. Nous devions prouver chaque réponse et cela nous a demandé beaucoup de travail. A la fin, nous avons eu 430 points sur 500. Ce qui est un excellent résultat! » Un audit était organisé le 15 mai 2013 en présence des experts du prix d’hygiène dont le professeur Petra Gastmeier d’Allemagne et le professeur Anne Simon de Belgique. Francis Bertrand, hygiéniste à la ZithaKlinik En 2012, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a organisé un premier concours européen pour l’hygiène des mains en milieu hospitalier, le « Hand Hygiene Excellence Award ». Ce prix entend promouvoir l’hygiène des mains dans les hôpitaux afin de lutter plus efficacement contre les infections. A l’initiative de Francis Bertrand, infirmier hygiéniste à la ZithaKlinik, la clinique a décidé de participer au concours. « Pour moi, c’était important de savoir où nous en étions en matière d’hygiène. Gunar Jamros, directeur des soins, et Patrick Schwarz, directeur des soins adjoint, m’ont fortement encouragé de participer. » Francis Bertrand travaille depuis trente ans en tant kompress n°27 // septembre 13 // qu’hygiéniste et a intégré sa fonction à la ZithaKlinik en 2007. L’hygiène lui tient à cœur et il ne peut que se réjouir que les hôpitaux sont en train de professionnaliser leur approche de l’hygiène en milieu hospitalier. « Tous les deux ans, nous participons également à la campagne nationale pour l’hygiène des mains dans le cadre des actes médicaux et de soins. Organisée par le ministère de la Santé, le ministère de la Famille et de l’Intégration ainsi que l’Institut Pasteur de Bruxelles, j’ai pu constater que 80 % des actes de soins suivent les critères d’hygiène fixés par les spécialistes. Un très bon résultat et j’étais très optimiste par rapport au ‘Hand Hygiene Zeitung vum ZithaGrupp « Nous avons été contactés par les experts pour nous signaler que l’on était parmi les finalistes. Cela ne m’étonne pas puisque la direction des soins soutient les actions et les formations dans le domaine de l’hygiène. Malheureusement, nous ne figurions pas parmi les deux premiers, » regrette Francis Bertrand, « Lors de la conférence du ‘International Consortium for Prevention and Infection Control´ à Genève en juillet 2013, deux hôpitaux irlandais et roumain ont été primés. » Quelques questions restent cependant ouvertes par rapport à cette première édition européenne du « Hand Hygiene Excellence Award » : « Je n’ai toujours pas été informé du nombre de participants au prix, du nombre des finalistes ainsi que de notre rang parmi ces derniers. Par ailleurs, je serais intéressé de savoir quels sont nos points faibles pour y remédier. J’espère que pour les prochaines éditions du prix, la transparence et la communication sera améliorée. 16 ZithaGesundheitszentrum > Verschiedene Entspannungsmethoden im ZithaGesundheitsZentrum Immer mehr Menschen fühlen sich verspannt, erschöpft, ausgelaugt und ausgebrannt. Dauerhafte Fehlspannung führt zu Spannungsschmerzen und körperlichen Beschwerden, wie Herzkreislaufstörungen, Magenund Darmbeschwerden, Hautreaktionen, Kopfschmerzen… Der Versuch, Entspannung durch Medikamente, Alkohol oder andere Suchtmittel zu erzwingen, kann zu kurzfristigen Erfolgen führen, führt aber langfristig in eine Abhängigkeit und zu einer Verkümmerung der natürlichen Selbsthilfemöglichkeiten. Es gibt verschiedene Methoden, unseren natürlichen Rhythmus von Anspannung und Entspannung zurückzugewinnen. Die Gemeinsamkeiten der im ZGZ angebotenen Entspannungsverfahren bestehen darin, dass diese Methoden uns 17 Text: VIOLAINE NEUSER Foto: VIOLAINE NEUSER mit Hilfe von Ritualen helfen, unsere Aufmerksamkeit umzulenken, weg von aktivierenden Gedanken und Bildern hin zu Ruhe und Entspannung. Viele von uns gelangen durch Joggen, Spazieren gehen, Angeln, Musik hören in einen gewissen Ruhezustand. Intensivere Entspannungsprozesse mit einer stärkeren Erholungswirkung kann man durch ein systematisches Entspannungstraining erreichen. Unter professioneller Anleitung lernen die Teilnehmer eines Entspannungskurses im ZGZ sich von den aktivierenden Gedanken loszulösen, um sich körperlich zu entspannen. Für Einsteiger in das Thema Stressbewältigung und Entspannung empfiehlt sich der Kurs Aktiv Entspannen. Hier erhält man einen Überblick darüber, welche Strategien im Umgang mit Stress wirksam sind und man lernt mit Hilfe der progressiven Relaxation nach Jacobson zu entspannen. Zusätzlich dazu bieten wir auch einen Kurs an, der sich ausschließlich der progressiven Relaxation widmet und besonders für Menschen mit spannungsbedingten Körperproblemen (z.B.: Spannungskopfschmerz) und Ängsten geeignet ist. Beim Autogenen Training handelt es sich um eine autosuggestive Methode nach Schultz, bei der man durch wiederholtes inneres Sprechen von sogenannten Formelvorsätzen und die konzentrierte Vorstellung damit verbundener Empfindungen einen Zustand tiefer körperlicher und geistiger Entspannung erzeugt. Sucht man hingegen weniger nach Strategien sondern mehr nach einer inneren Haltung der Gelassenheit, empfiehlt sich die achtsamkeitsbasierte Stressreduktion. Hier lernt man seine Aufmerksamkeit auf das unmittelbare Erleben im gegenwärtigen Moment zu richten, um auf diese Weise bisherige Stressreaktionen sowie Bewältigungsmuster im Umgang mit privaten oder beruflichen Belastungen zu reflektieren. Alle Verfahren können in einem weiterführenden Kurs vertieft werden. Entscheiden Sie für sich selbst und tun Sie etwas für Ihr Wohlbefinden! Violaine Neuser Diplompsychologe ZithaGesondheetsZentrum Tél: 2888-6363 www.gesondheetszentrum.lu kompress n°27 // septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp Distinction > Distinction pour le Service de Médecine Nucléaire de la ZithaKlinik Le Service de Médecine Nucléaire de la ZithaKlinik a été mis à l’honneur lors du ‘Symposium Triennal’ de la Société Belge de Médecine Nucléaire qui a eu lieu du 26 au 28 mai 2013 à Ostende. En effet, une des deux communications soumises par Claude SINNEN, ATM de Radiologie du Service de Médecine Nucléaire, a remporté le 2e Prix des ‘Technology Awards 2013’ dans le cadre de la session scientifique dédiée aux technologues. L’étude intitulée ‘Assessment of external dose to nuclear medicine technologists’ faisait le bilan d’un suivi de deux ans de la dosimétrie journalière d’un ATM en Médecine Nucléaire. Ce travail, initié et réalisé par Claude Sinnen, a pu montrer que la dose d’irradiation Texte: Norbert LEners PHoto: Maryse Landfried professionnelle dans le service est faible et comparable aux variations géographiques de la dose individuelle reçue par rayonnement naturel. En mettant en relation la dose journalière avec différents paramètres comme le poste de travail occupé, la radioactivité manipulée, les différents isotopes mis en œuvre ou encore les différents types d’examen réalisés, plusieurs situations à risque ont pu être identifiées et soumises à un travail d’optimisation par la suite. De façon plus générale, cette étude montre clairement les avantages de la dosimétrie électronique journalière par rapport à la dosimétrie passive à lecture mensuelle. Le lauréat entouré d'une partie de l'équipe de Médecine Nucléaire. De gauche à droite: Dr Marie Paule Welter, Marie Lou Kettel, Claude Sinnen, Sonja Greisch, Norbert Leners, David Mathieu et Rodrigo Bras kompress n°27 // septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp 18 Nouveaux médecins > Dr Tarik Chergui, médecin aux urgences Texte:Mirjam Oesch PHoto: Maryse Landfried Pourquoi avoir choisi votre spécialisation ? Depuis tout petit, c’était une évidence pour moi : je voulais devenir médecin et travailler aux Urgences. Mon domaine est très varié, je dois être capable de faire le tri très rapidement. Ainsi, je dois me poser la question si je suis confronté à une urgence vitale ou différée, c’est-à-dire si la vie du patient est mise en jeu ou pas. Je suis aussi appelé à faire un diagnostic rapide et gérer la détresse du patient. Il ne faut pas non plus oublier que le généraliste a été choisi par le patient alors qu’aux Urgences, le patient doit accepter le médecin qui est de garde et il est important d’en tenir compte. Dr Chergui, vous travaillez à la ZithaKlinik en tant que collaborateur externe depuis un an, quel est votre parcours professionnel ? La formation des médecins travaillant en tant qu’urgentistes était traditionnellement la suivante : après une formation en médecine générale, le jeune étudiant poursuivait une capacité à la médecine d’urgence et à la médecine de catastrophe. C’est ce que j’ai fait moimême et j’ai travaillé aux Urgences dans plusieurs pays de par le monde. La directive européenne 2005/36/CE traduite en loi luxembourgeoise en 2009 a introduit des changements importants qui tiennent compte de la professionnalisation de la médecine d’urgence. Maintenant, les étudiants en médecine peuvent choisir la spécialisation en médecine d’urgence et font dès le début des stages poussés dans ce domaine. C’est une bonne chose puisque la maîtrise technique de la réanimation, la dextérité des jeunes médecins dans les actes qui peuvent sauver des vies est encouragée 19 Qu’est-ce qui vous a convaincu de travailler à la ZithaKlinik ? L’ambiance de travail ici à la Policlinique est excellente, il y a un bon esprit d’équipe entre urgentistes, les conduites à tenir reposent sur des bases scientifiques. Aussi, toute l’équipe doit participer à des formations continues ce qui fait que nous sommes toujours en phase avec l’évolution de la médecine d’urgence. S’il y a un service où une bonne ambiance d’équipe est nécessaire, c’est bien le service des Urgences vu que la bonne collaboration entre Policlinique et médecins spécialistes de l’hôpital est indispensable. A la Zitha, c’est le cas : les médecins spécialistes sont toujours disponibles quand il s’agit de prendre en charge un patient stabilisé ou de donner un avis. La collaboration avec le personnel paramédical – sans lequel nous médecins ne pourrions rien faire – est très agréable. En outre, le circuit de la prise en charge des patients est bien huilé. J’ai travaillé dans plusieurs pays, donc je sais comment les Urgences sont organisées ailleurs et je pense qu’ici, nous faisons de notre mieux pour garantir une prise en charge sans accrocs. Les horaires de la Policlinique doivent parfois être éprouvants, que faites-vous pour déstresser? La Policlinique est ouverte de sept heures à 19 heures les jours ouvrables et les weekends de garde. Il est vrai que notre métier nous demande à être très disponibles en matière de temps. Mais je pense qu’il faut toujours rester à l’écoute de son corps et lui donner ce dont il a besoin. Puis, rien de mieux que la famille pour se ressourcer. kompress n°27 // septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp Nouveaux médecins > Dr Bernard Faber Dr. Faber, vous êtes médecin spécialiste en chirurgie générale et digestive. Qu’est-ce qui vous a motivé de devenir médecin ? Je suis issu d’une famille de médecins, mon père était lui-même chirurgien, et je me rappelle du voyage inoubliable que nous avons fait ensemble au St Gabriel’s Hospital au Malawi il y a 20 ans. C’était peut-être la confirmation d’un choix que j’ai fait enfant quand j’accompagnais parfois mon père à la clinique. Avant de kompress n°27 // septembre 13 // commencer mes études, j’ai pourtant pris quelques mois pour réfléchir et m’assurer de mon choix. Mais j’ai dû constater que je voulais bel et bien devenir médecin et chirurgien plus spécifiquement. La chirurgie est, à mon avis, une des rares spécialités médicales qui permet souvent de guérir une personne. Si j’opère un patient de l’appendicite, il sera guéri après l’intervention chirurgicale, et il y a de nombreuses pathologies ou c’est le cas. La chirurgie est même en mesure de participer, en collaboration avec d’autres spécialités, à la guérison de certains Zeitung vum ZithaGrupp Texte: Mirjam Oesch PHoto: Mirjam oesch cancers. Dans d’autres domaines de la médecine par contre, beaucoup de thérapies soulagent, certaines traitent, mais peu guérissent. Dès que le patient arrête son traitement, sa maladie revient. Et une guérison complète remplit de satisfaction non seulement le patient, mais aussi et surtout le chirurgien. Quel a été votre professionnel ? parcours Je suis parti à Paris pour entamer mes études de médecine. J’ai ensuite débuté ma spécialisation en chirurgie digestive à 20 Rennes, en Bretagne, en tant qu’interne. Je l’ai terminée en tant que chef de clinique, à Paris. Après mes études, j’ai travaillé à Bruxelles aux Cliniques Universitaires St-Luc qui sont dotées, entre autres, d’une unité de chirurgie du pancréas et du foie d’excellente renommée. J’ai d’ailleurs pu y accueillir beaucoup de patients luxembourgeois envoyés par leurs médecins traitants du Luxembourg. Pourquoi avez-vous choisi de travailler à la ZithaKlinik ? Je connais la ZithaKlinik depuis toujours étant donné que mon père y exerçait en tant que chirurgien. Plus tard, j’ai fait mon stage d’infirmier de première année de médecine ici au C4. Je connaissais donc déjà la mentalité de la Zitha et la façon innovante dont l’équipe chirurgicale collabore au Centre de Compétence de Chirurgie Tumorale. Mon intégration dans le groupe s’est préparée sur plusieurs années. Depuis le milieu de ma spécialisation, j’ai été en contact avec les autres chirurgiens digestifs du groupe chirurgical. Il s’est avéré que le groupe avait essentiellement besoin de renforcer son activité dans le domaine de la chirurgie du foie et du pancréas. Cela me convenait très bien, car j’ai toujours bien aimé cette chirurgie. J’ai ainsi orienté la fin de mon cursus pour me spécialiser en chirurgie hépatique et pancréatique. Et puis, il y a le groupe chirurgical qui fonctionne très bien grâce a une très bonne entente au sein du groupe. Après avoir eu certains aperçus dans d’autres établissements à l’étranger, 21 je me suis rendu compte de l’importance de la cohésion d’un groupe et de l’ambiance au travail. Quels sont vos plans professionnels pour le futur ? D’après les chiffres publiés par le Registre National du Cancer, on peut constater qu’une grande partie des patients luxembourgeois atteints d’une pathologie hépatique ou pancréatique sont envoyés à l’étranger pour se faire opérer. S’il est vrai que certaines opérations comme la transplantation du foie ou du pancréas ne pourront très probablement jamais être réalisées au Luxembourg, beaucoup d’autres peuvent être pratiquées sans problème à la ZithaKlinik. Le confort des patients serait amélioré : ils ne devraient plus partir loin pour des interventions lourdes. Je suis resté en collaboration étroite avec les Cliniques Universitaires St-Luc. Nous espérons ainsi pouvoir développer un réseau direct, notamment pour prendre en charge les cas les plus compliqués. Des interventions particulièrement complexes pourraient par exemple être réalisées ici en binôme avec des chirurgiens de renommée qui se déplaceraient, et nous aurions des facilités pour faire admettre nos patients directement là-bas. Dans tous les cas, le suivi oncologique pourra se faire ici. Cela évitera au patient de devoir se rendre deux à trois fois par mois à l’étranger. Mais tout d’abord, comme je ne travaille que depuis août, j’aimerais prendre mes marques afin de faire la connaissance de la ZithaKlinik et de mes patients. En un deuxième temps, je compte promouvoir la chirurgie hépatobiliaire et pancréatique par des conférences et des formations continues auprès des médecins généralistes. En tant que chirurgien, vous devez travailler beaucoup, quelles sont vos stratégies contre le stress ? Tous ceux qui font des études de médecine savent qu’ils devront fournir de longues journées de travail. C’est un fait et il faut être conscient de l’effet que ce rythme effréné a sur notre corps. Pour moi, le jogging et toute sorte de sport m’aident à me ressourcer. Heureusement, en cas de de remise en question professionnelle, je peux aussi en discuter avec ma femme qui est elle-même médecin. Elle comprend cette situation et a toujours un mot réconfortant. Ensuite, il y a les collègues du groupe avec lesquels je peux toujours discuter. Avoir une vue différente sur un dossier difficile est indispensable dans mon métier et m’aide à avancer. kompress n°27 // septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp Spirituelle inSTELLAtionen >Ein Bild zum Wochenende Text: Winfried heidrich Bilder: Winfried Heidrich „Unterbrechung“ so der Theologe Johann Baptist Metz, ist die kürzeste Definition von Religion. Eine Unterbrechung kann als Frage oder als Bild daherkommen, welche in das immer gleich Ablaufende eines Tages oder eines Tuns gestellt werden. Seit einem Jahr hängt jeden Freitag von acht Uhr morgens bis zwei Uhr am Nachmittag ein Bild, von einer Glühbirne beleuchtet, am Eingang zur Cafeteria unserer Klinik, direkt gegenüber dem Speiseplan. gab es solch Momente der Unterbrechung und Besinnung. Auch die gut besuchte Klinikkapelle als Raum der Stille und des Gebetes kann aber nicht darüber hinwegtäuschen, dass kirchliche Rituale als religiöse Unterbrechungen im Krankenhaus heute so gut wie verschwunden sind. Wollen sie wieder gebraucht und verstanden werden, müssen religiöse Rituale sich aufmachen, ihre angestammten Orte verlassen und neue Sprach- und Bildformen ausprobieren. Die erste „spirituelle inSTELLAtion“, wie diese ein mal ein Meter große Tafeln heißen, ist aus der Idee entstanden, am Freitag der Woche den Mitarbeitern, Patienten und Besuchern der Klinik einen Moment der Reflexion, der Irritation oder der Freude zu stiften. Vor Jahren sind bei uns die Ordenskrankenschwestern zu ihren Gebetszeiten in die Klinikkapelle oder am Abend mit Weihwasser durch die Patientenzimmer gegangen und mit ihnen Der Speiseplan der Klinik mit Fischgericht und Eintopf läutet per Schöpfkelle das Wochenende ein. Als Seelsorger und Kunsttherapeut habe ich mich gefragt, ob es neben Fisch und Suppe nicht auch ein Wort oder Bild zum Wochenende geben sollte, das Durst und Hunger bedient. Nicht als ewig an die Wand gedübelten Sinnspruch, sondern als zeitlich begrenzte Unterbrechung, als „Einrichtung des Augenblicks“ (Herta Müller): Es ist Freitag und das Wochenende naht. Auf die zeitliche und räumliche Begrenzung kam es mir an. Eine wieder abhängbare viereckige Bildboje wollte ich in die wachsende Unübersichtlichkeit des vor sich hin eilenden medizinischen Betriebs setzen. "Einer alleine hat immer Unrecht, aber mit zweien beginnt die Wahrheit." Friedrich Nietzsche (Die fröliche Wissenschaft) Spirituelle inSTELLAtion N°17 kompress n°27 // septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp 22 Mittlerweile gibt es zwanzig solcher „spirituellen inSTELLAtionen“ – „STERNmomente“ - die in einer Gestaltung von Text und Bild eine kleine Freitagmorgenundmittagmeditation in Ergänzung zum Speiseplan anbieten. Die Tafeln wechseln wöchentlich. Sie können sich an Ereignissen des kirchlichen Jahres oder an den Jahreszeiten orientieren. Sie möchten auf nachdenkliche Weise unterhaltsam sein. Fragen zum Wochenende, auf Leinwand farbig gestaltet, sollten bei der Kantine, einem der frequentierten Orte der Klinik, aufhängt werden. Diese Fragen hatten sowohl jede für sich als auch in ihrer Zusammensetzung pointiert und offen zu sein: Was hat diese Woche Sinn für mich gemacht? An wen denke ich jetzt? Was lasse ich für mich an diesem Ort zurück? 23 Zur spirituellen Akzentuierung dieser Tafel wurde eine Kerze als begleitendes Leuchtmittel sehr schnell verworfen. Zu gefällig, optisch abgebrannt. Ich entwarf eine Lampe, die ein Freund mir herstellte: eine Glühbirne, angebracht auf der Spitze eines Infusionsständers. Nun rollt am Infusionsständer nicht mehr nur Pharmazeutisches durch die Klinik, sondern auch „Erleuchtung“: nahe, praktisch und unprätentiös. Insektenhaft filigran und zerbrechlich sowie leuchtend prall, wie sie ist, zeigt sich eine Glühbirne der spirituellen Trägerschaft würdig. Ein Text heißt: „Zeige deine Wunde“ und zitiert die Überschrift eines berühmten Werkes von Joseph Beuys. In der inSTELLAtion steht der Text in Verbindung mit einem Foto, das eine Arztvisite zeigt. Wunden haben nicht nur Patienten, sondern auch Heiler und Behandler. Der gewohnte Blick auf die Wunden der Patienten wird umgekehrt und befragt nun die Behandler nach ihrer eigenen Verletzlichkeit. Um diese zu wissen, macht Helfer verständnisvoller und menschlicher im Umgang mit Schmerz und Leid, im Umgang mit Mitarbeitern und Kollegen und im Umgang mit sich selber. Durch eine leichte Übermalung erhält das Bild eine ironische Note, ohne dabei auf eine Art des Verstehens festgelegt zu sein. Jeder soll sich eben sein eigenes Bild vom Bild machen. Mit dem Dreiklang von Textzeile, Bild und Beleuchtung wagen die inSTELLAtionen immer wieder neu eine spirituelle Unterbrechung des Klinikalltags. kompress n°27 // septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp High Fat Low Carb >Les regimes extrêmes vus par un diététicien La problématique des régimes extrêmes est qu’ils stigmatisent certains aliments ou groupes alimentaires. Sans s’attarder sur leur contenu ou leur argumentaire, la popularité de ces régimes est souvent due en grande partie au charisme et aux talents d’écrivain des auteurs qui les propagent ou les vendent. Le contenu de ces régimes est souvent repris d’anciens régimes populaires durant les années 1950 à 1970. grand chose sur ce dernier. Le régime Dukan est un régime dissocié et riche en protéine qui comporte plusieurs phases. Le problème de ce type de régime est qu’à long terme ils sont difficiles à maintenir et qu’il en résulte souvent des reprises de poids. En parcourant les blogs on trouvera autant de personnes qui sont satisfaites de ce régime que l’on en trouvera qui en sont déçues et qui ont repris tout leur poids, voire plus. Après la phase de grande popularité initiale du régime Dukan, on n’entend et ne lit plus Récemment, on constate une nouvelle flambée du régime riche en graisses et La mayonnaise contient 80% de matières grasses, comme le beurre et la margarine. kompress n°27 // septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp Texte: Eric Altmann PHoto: Marie suraud pauvre en glucides (High Fat Low Carb). Cette tendance nous vient des Etats-Unis et des pays nordiques et serait initiée par le journaliste-auteur américain Gary Taubes. Après son analyse personnelle des recommandations nutritionnelles actuelles ainsi que des études qui y ont menées, il conclut que ce ne sont pas les graisses qui sont à l’origine des maladies liées à la nutrition mais les glucides. En gros, il reprend les principes du régime Atkins (1958) et son style d’écrivain offensif et percutant lui permet d’être très convainquant. Son régime promet une solution à tous les problèmes (obésité, côlon irritable, allergies etc...). Il démontre même l’inefficacité de l’activité physique dans le contexte de la perte de poids… Etant donné que l’on peut analyser les études scientifiques et statistiques de différents points de vue, il y a, aux Etats-Unis, une véritable guerre entre Taubes et la médecine « classique ». Les shows TV, les articles et les livres n’en finissent pas de discuter si ce sont les graisses ou les glucides qui sont à l’origine de tous les problèmes d’obésité et des maladies cardiovasculaires. Dans la pratique, on constate que le message de Taubes est souvent mal interprété. Les patients augmentent leurs apports en graisses saturées par l’ajout de mayonnaise et autres sauces grasses à pratiquement tous les repas et évitent toute activité physique « inutile ». Il est évident que ceci ne mène pas à une perte de poids, néanmoins cela augmente le bien-être. La réduction drastique des glucides provoque la production de corps cétoniques qui deviennent alors l’unique source d’énergie du cerveau en manque de glucides. Le 24 cerveau peut se mettre à fonctionner au ralenti (somnolence, concentration diminuée, lenteur etc.) mais dans cet état on ne ressent plus la faim. On se sent bien et ceci explique en partie le succès de ce type de régime cétogène. Naturellement il coule beaucoup d’encre sur l’impact pour la santé de ce type de régime. Les interprétations des mêmes études mènent à des conclusions contradictoires selon les auteurs. Ainsi on peut dire que « plus il y a de pompiers sur le lieu d’un incendie, plus il y a de dégâts, donc les pompiers provoquent les dégâts » Mais on peut aussi dire «plus un incendie est grand, plus il y a de pompiers sur le lieu de l’incendie, plus il y a de dégâts, donc la taille de l’incendie détermine l’ampleur des dégâts». Il y a du vrai dans ces deux affirmations… Même les professionnels de santé ont du mal à faire la part des choses. Etant donné que les recommandations nutritionnelles n’ont pas été changées dans ce domaine pour le moment, le diététicien se contente de donner sa réponse habituelle, ennuyeuse Idées cuisine > par Brigitte Trommer Pesto à la ricotta et olives vertes > Crème d’amandes aux tomates séchées Ingrédients Ingrédients 100 g de ricotta 2 gousses d'ail 50 g pignons de pin 100 g d’olives vertes jus d’un ½ citron 3-4 c.à.s. d'huile d'olive parmesan râpé sel, poivre 100 g d’amandes effilées 8 tomates séchées 1 gousse d’ail 20 g d’olives noires 3 c.à.s d’huile d’olive 4 c.à.s d’eau peu de sel, poivre •Réduire en purée la ricotta, l’ail, les graines de pin, les olives et le jus de citron à l'aide d'un mixer jusqu'à avoir une pâte lisse et tartinable. •Assaisonner avec le sel et le poivre, ajouter l’huile si nécessaire et le parmesan. 25 et peu spectaculaire : il n’y a pas de mauvais aliment et c’est une consommation modérée et proportionnée de tous les types d’aliments qui mène à l’équilibre alimentaire. Une alimentation saine et variée, combinée avec une activité physique régulière contribue au maintien du poids souhaitable. • Griller les amandes dans une poêle. •Mixer l’ail, les tomates, l’eau, les olives, l’huile et les amandes jusqu’à obtention d’une pâte. •Rectifier l’assaisonnement et servir avec de la baguette ou des crackers. kompress n°27 // septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp Au cœur de la ZithaKlinik >Entretien avec David Ruch, responsable du service Restauration Monsieur Ruch, depuis le début de l’année, vous êtes en charge du service Restauration. En quoi consiste votre travail ? L’équipe en place fournissait déjà une prestation de très bonne qualité, notre objectif est au minimum de maintenir cette qualité voire de l’améliorer. Tout ceci en respectant le budget. C’est pourquoi une grande partie du travail consiste à rencontrer les fournisseurs (alimentaires ou non) afin de les comparer et de trouver le meilleur rapport qualité prix. Puis vient l’optimisation de la production pour limiter les pertes, notamment par la mise en place de fiches techniques et une bonne collaboration avec le service diététique. Avec une équipe de 70 personnes, sans compter les apprentis et les contrats d’initiation à l’emploi, la gestion des ressources humaines (planning, remplacement, conflits,…) représente également une bonne partie de notre travail. Et enfin l’application et le respect strict des méthodes d’hygiène HACCP revêt pour nous une importance capitale. Texte: Mirjam Oesch PHoto: Maryse Landfried Je dis toujours nous, car tout cela est un travail d’équipe qui implique autant moi que mon adjoint, Sébastien Perrin, ainsi que toutes les personnes du service. Qu’est-ce qui différencie le service Restauration de la ZithaKlinik de celui d’autres hôpitaux ? La prestation de restauration de la ZithaKlinik jouit d’une très bonne réputation au Grand-Duché. Historiquement, la ZithaKlinik a toujours attaché beaucoup David Ruch, Responsable du service Restauration kompress n°27 // septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp 26 d’importance aux repas proposés aux patients. Et encore aujourd’hui, la Direction nous donne tous les moyens techniques, humains et financiers pour faire du très bon travail. Notre équipe est composée de passionnés qui ont un vrai amour du métier et le fait de cuisiner sur place le jour-même nous permet de maîtriser au mieux les cuissons, l’assaisonnement et la présentation. Mais aussi et surtout de pouvoir répondre rapidement aux demandes particulières. Notre philosophie se résume facilement : «des plats cuisinés ici avec des produits d’ici» car nous nous efforçons de travailler au maximum avec des produits du terroir. Toutes les viandes de bœuf et de porc sont certifiées du terroir. Nous travaillons presque exclusivement des légumes frais. Malgré les contraintes que cela engendre, nous sommes persuadés que cela se sent dans nos plats. Quels sont les autres volets de votre travail quotidien ? Nous planifions les menus : Sébastien et les cuisiniers les conçoivent six semaines à l’avance en tenant compte des produits régionaux de saison. Ceux-ci sont ensuite validés et paramétrés dans LogiMen par nos deux diététiciens Brigitte et Eric. Comme nous l’avions évoqué, l’hygiène et le nettoyage sont des volets très importants de la restauration. Nous travaillons avec un laboratoire externe (SIGNA), qui effectuera des contrôles inopinés trimestriels pour mettre en place des plans d’action pour nous améliorer constamment. Si nous nous efforçons de contrôler que les prix de nos fournisseurs reflètent la réalité du marché, le coût de la vie augmente continuellement et un volet moins populaire de mon travail est de réajuster nos prix de vente au coût de la prestation. C’est d’ailleurs pour cela que nous avons augmenté nos tarifs à la cafétéria au premier juillet. 27 Selon quels critères établissezvous les menus ? Nous devons tenir compte des différents types de consommateurs : les personnes âgées de la Seniorie St Jean de la Croix, le personnel, les patients de la ZithaKlinik et les Sœurs. Certains aiment le changement d’autres préfèrent les plats plus traditionnels, ce n’est pas toujours évident de faire plaisir à tout le monde. De plus, nous devons tenir compte des régimes spéciaux. Mais c’est un défi que nous aimons relever ! Ce qui est aussi important pour nous, c’est que les plats servis au personnel et aux patients soient identiques. Ceci nous motive à offrir les meilleures prestations possibles. Nous sommes conscients que le repas fait partie des soins et qu’il représente un moment de réconfort dans la journée des personnes hospitalisées. La qualité des repas contribue fortement à la perception de la qualité des séjours hospitalisés. Quels sont les projets que vous souhaitez réaliser ? Nous avons déjà réalisé quelques projets, le premier s’est fait en coulisses par le remplacement d’équipements vétustes par du matériel nouvelle génération, plus précis et moins énergivore. Ensuite, quelques changements ont eu lieu dans la distribution de la cafétéria, notamment pour les crudités. Mais d’autres projets demandant un peu plus de temps sont en cours, notamment pour la mise en place d’un espace « Show cooking ». Nous souhaitons également faire de la cafétéria un centre de rencontre et permettre à des petits producteurs, commerçants ou asbl de présenter et de faire déguster leurs produits. Et naturellement, nous veillons à organiser régulièrement des journées à thèmes et des animations comme ce fut déjà le cas dans le passé. Le développement durable nous tient également à cœur : nous allons changer les contenants en verre des boissons pour du PET. Ces récipients facilement recyclables génèrent une empreinte carbone moindre car ils demandent moins de transport et sont moins lourds à transporter. De plus, ils sont plus pratiques car refermables et moins dangereux en cas de casse. Parallèlement, nous allons mettre en place un système de tri sélectif. Les gobelets en plastique vont devenir payants mais tout un chacun est encouragé à utiliser une tasse, voire sa tasse. Nous avons également opté pour la biométhanisation en collaboration avec l’entreprise Hein qui emporte nos déchets alimentaires. Quelles sont vos expériences à la ZithaKlinik, maintenant que vous avez passé quelques mois à votre nouveau poste ? C’est vrai qu’il m’aura fallu quelques semaines pour découvrir le milieu de la restauration hospitalière et le fonctionnement spécifique d’une entreprise comme la ZithaKlinik. Mais j’ai eu beaucoup de soutien tant de la direction que de l’équipe de cuisine tout comme des différents services ainsi que des Sœurs. C’est d’ailleurs ce côté humain que j’ai rarement eu dans mes expériences professionnelles précédentes, qui m’a le plus frappé quand j’ai commencé ici. Et les valeurs citées dans la Vision Directrice correspondent assez bien à ma philosophie personnelle. C’est un bonheur de travailler dans des conditions pareilles et cela me motive à donner le meilleur de moi-même! kompress n°27 // septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp L'Amicale de la Seniorie >L'Amicale de la Seniorie de Pétange fête ses 25 ans! Il y a maintenant déjà 25 ans que Georges d'Huart, Pascal Berg et Paul Molitor, prédécesseurs de Eugénie Derume, présidente de l'Amicale, ont créé "l'Amicale de la Maison de Soins St Joseph" nommée depuis l'extension en 2010 Seniorie St Joseph Pétange. En date du 12 juin 2013, l'Amicale de la Seniorie St Joseph Pétange fête ses 25 ans en présence de Marc Spautz, Ministre de la Famille et de l'Intégration au Home St Hubert à Pétange. C'est avec le plus grand plaisir que Laurent Origer, Directeur de la Seniorie félicite Eugénie Derume, présidente de l'Amicale, ainsi que tous les membres pour leur dynamisme, leur engagement et leur dévouement tout au long de ces années. Il remercie également l'Amicale au nom des résidents et du personnel de la Seniorie St Joseph Pétange pour leur bénévolat ainsi que leurs nombreuses activités comme par exemple les fêtes d'anniversaire des résidents, la remise de cadeaux pour Pâques, la fête de Noël, la fête des mères, la fêtes des pères, les excursions en bateau et au Parc Merveilleux de Bettembourg, la journée de la ferme "um Jeekelshaff", les expositions Art Senior ainsi que les diverses autres activités. Monsieur Origer cite les nombreux dons de l'Amicale comme le financement des minibus, l'aménagement d'un jardin thérapeutique au sein de la Seniorie Texte: Marylène czaicka PHoto: Aloyse FEIDER permettant aux résidents d'entraîner leur équilibre dans le cadre d'un programme "prévention chute" et "activation de la marche" ainsi que d'un espace "Snoezel" qui sert à la relaxation des résidents. Une rose a été remise à chaque membre de l'Amicale en guise de remerciement ainsi qu'un album photo dans lequel sont mémorisées 25 belles années. Après un repas convivial, une série de spectacles les plus divers a été proposée à l'Amicale. Pour remercier l'Amicale pour leur générosité au cours des dernières 25 années, les acteurs des spectacles étaient les résidants, les collaborateurs et la direction. Ce geste fût fort apprécié de la part de l'Amicale Monsieur Marc Spautz, Ministre de la Famille et de l’Intégration félicite lors de son discours tous les membres de l'Amicale pour leur dynamisme et leur engagement tout au long de ces 25 années kompress n°27 // septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp 28 Un jardin thérapeutique >L'Amicale de la Seniorie St Joseph de Pétange offre un jardin thérapeutique L'Amicale de la Seniorie St Jospeh Pétange a fait installer un jardin thérapeutique entouré de verdure pour un montant total de 16.000€ au sein de la Seniorie St Jospeh Pétange. Un chemin thérapeutique sur des surfaces instables en matériaux divers tels que troncs d'arbres, écorces, galets et gravier permettant aux résidents sous la surveillance du kinésithérapeute respectivement du personnel soigant d'entraîner leur équilibre dans le cadre d'un programme "prévention chute". Texte: Marylène czaicka PHoto: Josée FEIDER Les résidents ont également la possibilité de se détendre sur la balançoire abritée et protégée du soleil afin de se reposer dans la nature tout en écoutant les sons mélodieux qui s'échappent des éléments sonores. C'est avec le plus grand plaisir que Laurent Origer, Directeur de la Seniorie, a accepté ce don de la part de l'Amicale lors de l'inauguration le 3 juin 2013 . Il a également remercié l'Amicale au nom des résidents et du personnel de la Seniorie St Joseph Pétange pour ce précieux geste. Monsieur Claude Huss, Kinésithérapeute et Mme Jill Schmit, Ergothérapeute au sein de la Seniorie Pétange étaient à l'initiative de ce projet innovateur. Monsieur Romain Pepin, Responsable du service technique, était en charge de la coordination technique du projet. L’Amicale de la Seniorie St Joseph de Pétange a financé l’installation pour un montant total de 16.000.-€ 29 kompress n°27 // septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp Un CD pour le Malawi >"Hal dech gutt fest un eng Hand II" Les résidents de la Seniorie St Joseph Pétange avaient présenté leur premier CD en mai 2006 "Hal dech gutt fest un eng Hand", CD chanté par les résidents avec la participation de chanteurs bénévoles. En février 2013, les résidents de la maison de soins ont enregistré leur deuxième CD au profit du Malawi. Accompagnés de trois enfants de 6 à 8 ans, de Robert Bodja, chanteur-percussionniste et de Claudine Menghi, coordinatrice du projet, les résidents ont enregistré avec beaucoup d'enthousiasme, de passion et de motivation l'histoire d'un petit lion qui découvre la musique, sur fonds de djembé. Texte: Marylène czaicka PHoto: Albert MENGHI Le bénéfice de la vente du CD sera remis sous forme de chèque à la Fondation Ste Zithe afin de supporter le projet "un échographe pour le St Gabriel's Hospital". Pour toutes informations complémentaires: Marylène Czaicka - Coordinatrice du projet +352 50 90 81-2050 Lors de la vente du premier CD, un chèque de 10.000€ avait été remis à la Fondation. Ce don avait permis de rénover le sol de l'école, d'enduire et de repeindre les grands murs et d'installer de nouveaux tableaux noirs dans les différentes salles de classe. Les résidents, le personnel et la direction de la Seniorie St Joseph Pétange remecient chaleureusement les bénévoles pour leur engagement, leur soutien et leur participation au projet ainsi que Claudine Menghi, Jaya Holzem, Chris Dorian Meisch, Jesse Holzem, Robert Bodja, les résidents du CIPA "Centre du Rham", Marco Thilgen (layout), Imprimerie Schlimé (Impression), Albert Menghi (Photos), Optique Denuit (Donateur). Le CD est disponible à la vente dans les établissements du Groupe Zitha au prix de 12€. Il est également possible de se procurer le CD par téléphone au prix de 13€ (frais de port inclus) au +352 50 90 81-1. Après la présentation du projet par le Dr. Hans-Jürgen Goetzke, tous les participants ont fièrement présenté leur œuvre qui servira à soutenir le financement d’un échographe pour le St. Gabriel Hospital au Malawi. kompress n°27 // septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp 30 ZithaSenior Text: Holger Bracker Foto: zithasenior >Mitarbeiter-Zufriedenheitsumfrage 2013 Die Auswertung der in einem Zeitraum von drei Wochen auszufüllenden und zurückzusendenden Umfragen fand von Mitte April bis Mitte Mai statt. Folgende Ebenen standen hierbei besonders im Fokus: • Tätigkeits-/Arbeitsanalyse (Verfahren nach Glaser et al., 2008) - Faktoren (Rückhalt durch Vorgesetzte und das Team) -Stressoren (Widersprüchliche Aufträge, Arbeitsunterbrechungen und bewohnerbezogene Stressoren) Der März 2013 stand im Zeichen der sich wiederholenden Erfassung der MitarbeiterZufriedenheit bei ZithaSenior. Nach der neu strukturierten Evaluierungsform von 2011 sollte die Umfrage 2013 Vergleichswerte zu definierten Faktoren, Stressoren, Ressourcen und Anforderungen hervorbringen, um die hoffentlich positiven Veränderungen des Aktionsplans von 2011 widerzuspiegeln. In der deskriptiven Erhebung wurden zu den vorangehend genannten Einflüssen, welche die alltägliche Arbeit betreffen, ZithaSenior-spezifische „Items“ erörtert. 31 Äußerst erfreulich war die beinahe 53%ige Rücklaufquote der Mitte März an 574 Mitarbeiter versendeten Fragebögen. Mit mehr als 61% der zurückgesendeten Umfragen war die Zahl der Rückläufer aus dem Kernbereich Pflege und Betreuung erwartungsgemäß hoch. -Ressourcen (Partizipationschancen, Vorgesetzten-Feedback, Tätigkeitsspielraum) -A nforderungen (kognitive Anforderungen, Lernerfordernisse) • Kurzfragebogen zur Arbeitsanalyse -V ielseitigkeit, qualitative und quantitative Arbeitsbelastungen, Information und Mitsprache, betriebliche Leistungen • ZithaSenior-Items kompress n°27 // septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp Was wurde Mitarbeiter bewertet? seitens der als positiv Obschon sich über die Seniorien hinweg unterschiedliche Ergebnisse präsentierten, konnten eindeutig positive Entwicklungen für die Gruppe ZithaSenior erkannt werden. Diese Erkenntnis gewannen wir beispielsweise bei den kognitiven Anforderungen oder Lernanforderungen, welche unter anderem durch Fragen wie „Man hat immer wieder verschiedene Möglichkeiten abzuwägen und Entscheidungen zu treffen, ehe man Aufgaben erledigen kann.“ oder „Bei der Arbeit treten immer wieder Schwierigkeiten auf, bei denen man gründlich überlegen muss, wie man sie lösen kann.“ ermittelt wurden. Nicht zuletzt die kontinuierliche Einführung neuer Verfahrensweisen (im geriatrischen Assessment oder auch in der Pflegeplanung), sondern auch grundlegende, dazugehörige Fort- und Weiterbildungsmaßnahmen fordern und fördern die Kompetenzen und den Ideenreichtum im Rahmen der Mitarbeiterentwicklung auf positive Art und Weise. Auch ein erweiterter Tätigkeitsspielraum und eine steigende Vielseitigkeit der Arbeitsaktivitäten werden aus Sicht der Mitarbeiter als sehr positiv bewertet. In welchen Bereichen besteht Handlungsbedarf? Es geht bei einer Umfrage dieser Art nicht nur darum zu erfahren, welche Tätigkeitsbereiche positiv dargestellt werden um den Status Quo zu erhalten, sondern auch um Erkenntnisse zu Aktivitäten oder Bereichen zu erlangen, die kompress n°27 // septembre 13 // möglicherweise Potential zur Verbesserung bereithalten. Mit Potential zur Verbesserung haben sich die Bereiche „Arbeitsunterbrechungen“, „quantitative Arbeitsbelastungen“, „betriebliche Leistungen“, „Information und Mitsprache“ oder auch „Partizipationschancen“ herauskristallisiert. ZithaSenior-Items Speziell auf die Arbeit bei ZithaSenior bezogen und ohne externe Referenzwerte wurden fünf unterschiedliche Fragen in die Umfrage integriert. Die Überzeugung der richtigen Berufswahl, die Freude an der Arbeit, der positive Einfluss der Arbeit auf die Lebensqualität der Bewohner, die Zufriedenheit mit der Entlohnung und das positive Bild von ZithaSenior. Alle diese Sachverhalte wurden mit einer überwiegend positiven und gegenüber 2011 noch verbesserten Bewertung seitens der Mitarbeiter dargestellt. Die durch diese Umfrage gewonnenen Erkenntnisse sollen den Direktionen helfen, einen Aktionsplan mit Verbesserungsmaßnahmen zu erstellen. Dieser Aktionsplan – für jede Seniorie den Anforderungen entsprechend individuell – wird während der Sommermonate zusammen mit den Mitarbeitern der Seniorien ausgearbeitet und anschließend umgesetzt. Der Erfolg der jeweiligen Umsetzung wird dann voraussichtlich im 2. Quartal 2015 durch eine erneute Umfrage festgestellt. Was passiert nun im Anschluss an diese Zufriedenheits-Erhebung? Während der Analyse der Umfragebögen zeigten sich jedoch auch Resultate, die nur indirekt per Maßnahmenkatalog beeinflusst werden können. Hierzu gehören eindeutig die bewohnerbezogenen Stressoren. Die Arbeit mit alten Menschen ist definitiv nicht einfach und richtet sich immer individuell nach den zu pflegenden Personen. Hinzu kommt, dass das Stressempfinden jedes Mitarbeiters ebenfalls individuell ist, gegebenenfalls sogar noch durch äußere Stressfaktoren begünstigt wird. Zeitung vum ZithaGrupp 32 ZithaSenior Text: Liane Faggiani Fotos: Patrick Bück > Personalfeier und Uhrenverteilung ZithaSenior feierte ihr 3. Personalfest an Bord der „River Diva“ am 7. Juni 2013 in Remich. Bereits eine Stunde vor der Einschiffung versammelte sich ein großer Teil des Personals entlang der Esplanade, um den Startschuss der diesjährigen Festveranstaltung nicht zu verpassen. Das Wetter zeigte sich von seiner allerbesten Seite, so dass statt Regenschirm die Sonnenbrille eins der wichtigsten Utensilien war. Nach herzlichem Empfang seitens der Direktoren der verschiedenen Seniorien, wurde die eigentliche Festlichkeit eingeläutet. In seiner Rede bedankte sich Herr Goetzke, Präsident des Verwaltungsrats der ZithaSenior s.a., beim Personal für dessen unermüdlichen Einsatz bei der alltäglichen, doch nicht immer einfachen, Arbeit. Er gab sich erfreut über die starke Präsenz und die fröhliche Stimmung beim Fest, was sicherlich auch Zeichen eines positiven Arbeitsklimas sind. Feierstimmung... 33 Anschließend wurden die Verdienstuhren an die langjährigen Mitarbeiter verteilt. Buffet führte die kulinarische Reise nach Italien, Portugal und China. Hiernach riefen Dr Carine Federspiel Directrice ZithaSenior, und Herr Guy Kohnen, Directeur des ressources humaines, alle Mitarbeiter auf, die sich für den Preis für Qualität und Innovation bei ZithaSenior 2013, beworben hatten. 6 Projekte waren eingereicht worden: „4 Pfoten mit Herz“, „Disco Abend“, „Eat by walking“, „Tiergestützte Intervention“, „Therapeutesche Moiesdësch“ und „Danz am Rollator“. Der Preis 2013, ein Scheck über 1000 Euro, ging an das Projekt „Therapeutesche Moiesdësch“ eingereicht vom Team „Encadrement“ der Seniorie St Jean de la Croix Luxembourg. Darauffolgend hielt es die Gäste nicht mehr auf den Stühlen. Einerseits wurde die Tanzpiste gestürmt, andererseits die Abendsonne an Deck genossen. Zum ersten Mal konnten die Mitarbeiter vom guten Wetter profitieren und viele bewunderten beim vorbeischippern die wunderschöne Moselgegend. Nach dem offiziellen Teil wurde das Dinner aufgetischt. Die Köche haben es sich nicht nehmen lassen, und uns mit lukullischen Highlights verwöhnt. Vom „terre et mer“ Den ganzen Abend über präsentierte uns Camille Ney die neusten Hits der Charts aber auch Musik der 70er bis 90er Jahre, welche die Gesellschaft zum Mitsingen einlud. Als gegen 01:15 Uhr der letzte Tanz angekündigt wurde, wunderten sich einige, dass der Abend so schnell vorbei war. Die ersten Vorbereitungen für das Personalfest 2014 werden sicherlich in den nächsten Wochen starten. Die Gewinnerinnen des "Preis für Qualität und Innovation bei ZithaSenior", Michèle Kremer, Martine Clemens, Claudine Bausch kompress n°27 // septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp Remise de montres 2013 35 ans ZithaSenior - Seniorie St Joseph PETANGE Theresa RIBEIRO RAMOS 25 ans ZithaSenior - Seniorie St Joseph PETAnge Romaine LUDOVICY, Mireille SCHAAL 10 ans ZithaSenior - CENTRALE Simone MANGEN ZithaSenior - Seniorie St Jean de la croix luxembourg Birgit BURELBACH, Stefan SCHMITT Zithasenior - SENIORIE ST JOSEPH CONSDORF Marianne MICHELS, Sandra SCHMITT, Elke VANHULLE ZithaSenior - Seniorie St Joseph PETAnge Tina BALDELLI, Annette BONNIER, Marielle DEGIVE De gauche à droite: Dr. Carine Federspiel, Sandra Schmitt, Elke Vanhulle, Marianne Michels, Theresa Ribeiro Ramos, Mireille Schaal, Romaine Ludovicy, tina Baldelli, Simone Mangen, Guy Kohnen. kompress n°27 // Septembre septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp 34 RESSOURCES HUMAINES Arrivées C'est avec joie que nous souhaitons la bienvenue à tous nos nouveaux collaborateurs... ZithaSenior - Seniorie St Joseph CONSDORF Lorraine LUTGEN (Soins & Encadrement), Tammy VOSSEN (Soins & Encadrement), ZithaSenior - Seniorie St Joseph PETAnge Tamara LECHES (Soins & Encadrement), Yohanna Elicia (Soins & Encadrement), Maria DA LUZ (Hospitalité), Ilhana RASTODER (Soins & Encadrement), Sabrina GREISCH (Hospitalité) ZithaSenior - Seniorie St Jean de la croix luxembourg Adisa ADROVIC (Soins & Encadrement), Dalila BOUZOUAD (Soins & Encadrement), Habiba EL BOUAKILI (Soins & Encadrement), Stefan EMMERICH (Soins & Encadrement), Tony MENNESSIER (Soins & Encadrement), Tiago PEREIRA CHAVES (Facility Management), Stéphanie THIRY (Soins & Encadrement) Zithasenior - SENIORIE STE ZITHE CONTERN Yasmine DELAGE (Hospitalité), Malika DERSCHANG (Soins & Encadrement), Anja EWEN (Soins & Encadrement), Germaine FUNCK (Soins & Encadrement), Stephanie MARQUES CUSTODIO (Soins & Encadrement), Elisabeth MEURER (Soins & Encadrement), Yasmina OULAD LAMKASSE (Soins & Encadrement), Enya RENTMEISTER (Soins & Encadrement), Tessy SCHULLER (Soins & Encadrement), Bianca TERNES (Soins & Encadrement), Astrid THILL (Hospitalité), Kerstin WEBER (Soins & Encadrement) Zithaklinik Stéphanie ARONICA (Administration personnel), Audrey BENOIST BARGIELA (A3), Bryan BRAUN (A3), Marco CARTUS (Atelier mécanique), Mariana DE FIGUEIREDO CRUZ (C4), Sylvie DELLA PENNA (Restauration-Production), Jessica GASPAR DIAS (C2), Martine GREIVELDINGER (Assistante sociale), Jessica GUIRSCH (Radiologie), Marie Géraldine JUILLARD (C3), Jörg KOCH (C2), Anne KOHN (OP), Anne LEHNEN (C3), David MARTA FERNANDES (Centre de réanimation), Andreas OBERDORF (Centre de réanimation), Gina PETRY (Kinésithérapie), Beryl PRUD'HOMME (C3), Sven SCHANTZEN (Administration personnel), Julie SMIT (Policnlinique), Miriam WAGNER (Pharmacie), Jiayi ZHANG (Magasin central) Départs Ils ont quitté le groupe Zitha... Nous leur souhaitons une bonne continuation dans leur vie professionnelle et privée! ZithaSenior - Seniorie St Joseph CONSDORF Roswitha BÜTTNER (Soins & Encadrement), Wolfgang GRÖLS (Soins & Encadrement), Marita HARTJES (Hospitalité), Christian LEONARDY (Soins & Encadrement), Astrid STEICHEN (Soins & Encadrement) ZithaSenior - Seniorie St Joseph ConTERN Sabrina ALFF (Hospitalité), Sergio DIAS CORREIRA (Soins & Encadrement), Nathalie FRANZEN (Soins & Encadrement), Nina Irene HOFFMANN (Soins & Encadrement), Julia KAISER (Soins & Encadrement), Thilly OESTREICHER (Hospitalité), Hildegard PALZER (Soins & Encadrement), Wendy PARRACHO (Soins & Encadrement), Marie-Louise PIRSCH (Soins & Encadrement), Vicky ROTH (Soins & Encadrement), Carmen SAGRAMOLA (Soins & Encadrement), Nils THIELMANN (Soins & Encadrement), Hortense UROOGON (Soins & Encadrement), Olivier WALTRINY (Soins & Encadrement), Sheila WEBER (Soins & Encadrement) ZithaSenior - Seniorie St Joseph PETAnge Joaquina DIAS MARQUES (Soins & Encadrement), Saïda IDA ALI OU LAHCEN (Soins & Encadrement), Sarah NUNES AZEVEDO (Soins & Encadrement), Aline REEB (Soins & Encadrement), Nathalie WEIBEL (Soins & Encadrement), Joséanne Catherine WERDUN (Soins & Encadrement), Pascal SMETS (Hospitalité), Emilie TORZINI (Soins & Encadrement), Hortense NGO NTERE (Soins & Encadrement) ZithaSenior - Seniorie St Jean de la croix luxembourg Sabrina DEL BOCCIO (Soins & Encadrement), Marie-France DELLE VEDOVE (Soins & Encadrement), Nadia MENASRI (Soins & Encadrement), Stefan SCHMITT (Soins & Encadrement) Zithaklinik Gabrielle BONTEMPS (CCT), Christian FUNCK (A3), Anne-Marie HANFF (Policlinique), Sabrina KNEIP (Policlinique), Claudine LUCAS (Ergothérapie), Rosa MARCHITELLI (Buanderie), Nadia MARTUCCI (Anesthésie), Claudia MAXHEIM (C4), Julia METZEN (A2), Annarita NOCENTE (Restauration-Production), Myriam PRAUM (RGE), Monika REISS (Endoscopie), Isabelle ROSE (Nettoyage), Ana Candida SAMPAIO DE CARVALHO (Nettoyage), Jil SCHAUD (C3), Jacqueline SCHOLER (Laboratoire), Michèle SCHWARZ ((A2), Christian STELAND (A3), Andy THOMAS (Pharmacie), Marion WIART (Psychologie) 35 kompress n°27 // Septembre septembre 13 // Zeitung vum ZithaGrupp Solarstrom für das St. Gabriel's Hospital - Helfen Sie! Energiekrise im St Gabriel's Hospital Solarstrom - die Alternative So können Sie helfen! Häufige Stromausfälle, hohe Dieselpreise Die wirtschaftliche Lage in Malawi hat sich in den letzten Jahren enorm verschlechtert. Die Energiekosten steigen und sind eine hohe Belastung für das Spital! Im Frühjar 2013 wurde der Solaranlage für das St Gabriel's Hospital in Betrieb genommen. Um weitere Sparziele zu erreichen, soll die Anlage ausgebaut werden. Hierfür werden weitere 300.000€ benötigt.. Ihre Spende hilft, die Solarstromversorgung im St. Gabriel's Hospital zu realisieren! Davon profitiert nicht nur die Umwelt, sondern auch die Patienten in Form von Medikamenten und einer besseren Versorgung. Bitte überweisen Sie Ihre Spende mit dem Stichwort "Solarstrom für das St. Gabriel's Hospita" auf das Konto der BCEE IBAN LU47 0019 1300 1330 3000 Danke für Ihre Hilfe! 32, rue Ste Zithe | L-2763 Luxembourg Tél. +352 40144-2053 | Fax +352 40144-2953 | www.zitha.lu