Pdf Kompress 27

Transcription

Pdf Kompress 27
kompress
Zeitung vum ZithaGrupp
N°27
september 2013
Vue aérienne d'une partie de la phase intermédiaire
du grand chantier de rénovation de la ZithaKlinik: les
derniers travaux d'aménagements de la nouvelle piste
pour l'hélicoptère.
La surface d'attérissage peut être chauffée en cas
de gel, elle est équipée suivant les dernières normes
et recommandations en la matière. L'utilisation de
l'hélicoptère sert à des transports primaires (blessés et
urgences vitales),aux transports secondaires (transferts
de patients) et dans le cas de prélèvements d'organes.
La mise en service de cette installation est prévue pour
la fin de cette année.
> sommaire
> editorial
> editorial
2
Hans Jürgen Goetzke
> zithaKlinik - Fusion
3
Liebe Leserinnen und Leser,
Sr Brigitte Schneiders & Erny Gillen
> gestion par les processus
4
Pierre Lambé
> St Gabriel's Hospital
6
Hans Jürgen Goetzke
> ZithaKlinik: Die Poliklinik
12
Mirjam Oesch
> ZithaKlinik: Die endoskopie
14
Mirjam Oesch
> Haut les mains!
16
Mirjam Oesch
> Zithagesundheitszentrum
nach einer schönen und hoffentlich erholsamen Sommerzeit wartet nun
nach der Rentrée eine Reihe neuer Aufgaben auf uns. Der
Zusammenschluss von ZithaKlinik und Fondation François-Elisabeth
nimmt langsam Gestalt an. Wir können zuversichtlich in diese
gemeinsame Zukunft gehen, zumal die Regierung nun das lange
erwartete grüne Licht für die Modernisierung der ZithaKlinik gegeben
hat.
Weitere Fortschritte hat auch das Projekt zur Sanierung und
Modernisierung des Pflegeheimes in Consdorf gemacht. So setzt auch
ZithaSenior die Wachstums- und Qualitätsstrategie weiter fort.
Für die kommenden Wochen und Monate wünsche ich Ihnen
Zufriedenheit und Erfüllung bei der Arbeit sowie im Privatleben.
17
Violaine Neuser
Chères lectrices, chers lecteurs,
> Zithaklinik: Distinction
18
Norbert Leners
> nouveaux medecins
19
Mirjam Oesch
> spirituelle instellationen
22
Winfried Heidrich
> High Fat Low Carb
24
Eric Altmann & Brigitte Trommer
> ZithaKlinik: Restauration
20
Mirjam Oesch
> Seniorie st joseph
28
Après un été, qui je l'espère aura été serein et détendu, l'heure est
maintenant à l'attente de la Rentrée et de ses nombreuses nouvelles
tâches. La fusion entre la ZithaKlinik et la Fondation François-Elisabeth
prend doucement forme. Nous pouvons aller en toute confiance vers cet
avenir commun, d'autant plus que le gouvernement a donné le feu vert
tant attendu pour la modernisation de la ZithaKlinik.
Le projet de réhabilitation et de modernisation de la Seniorie St Joseph de
Consdorf est également une nouvelle étape. ZithaSenior s'engage dans
une stratégie de croissance et de qualité.
Pour les semaines et les mois qui arrivent, je vous souhaite de la satisfaction
et de l'épanouissement tant au travail et quand votre vie privée.
Marylène Czaicka
> Zithasenior
31
Hans Jürgen Goetzke
Holger Bracker
> ZithaSenior: personalfeier
Generaldirektor
Directeur Général
33
Liane Faggiani
> ressources humaines
34
titelbild
Piste d'atterrissage - Gery Oth
kompress n°27 // septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
impressum
> Herausgeber: ZithaGruppe > Verantwortlich: Hans Jürgen Goetzke
> Gestaltung & Redaktionsassistentin: Marie Suraud
> R edaktionskomitee: Hans Jürgen Goetzke, Dr. Carine Federspiel, Mirjam Oesch, Holger Bracker,
Pierre Lambé, Maryse Landfried, Raluca Marinescu, Gery Oth, Nadine Schmit, Jean-Paul Steinmetz,
Marie Suraud, Elisabeth Weber-Juncker
> Druckerei: Imprimerie Hengen > Erscheinungsweise: 3/Jahr > Auflage: 3.000 Exemplare
> www.zitha.lu > [email protected] > Tel.: 40 144-2053 > Fax: 40 144-2953
2
ZithaKlinik
Nos institutions fusionnent !
Valeurs - Une précieuse collaboration
À quoi pourrait ressembler le cadre des valeurs communes de la
structure issue de la fusion? Le groupe «Valeurs» se penche
activement sur cette question. Les participants issus des congrégations
des Franciscaines et des Élisabéthaines, de la Zitha et de la Fondation
François-Elisabeth collaborent de manière intensive pour élaborer
une véritable charte de valeurs.
En novembre, deux journées de rencontre sont ainsi prévues avec les
responsables des départements de chaque site. Elles offriront une
plateforme de dialogue dont le mot d’ordre sera «façonnons notre
avenir ensemble». Elles auront lieu les 5 et 19 novembre 2013.
Aperçu du groupe «Valeurs» :
• Participants de la congrégation des Franciscaines:
Sr Irène Bock, Mgr Jeannot Ewald
• Participants de la congrégation des Élisabéthaines:
Sr Agnes Maas, Mgr Willy De Jong
• Participants de la Zitha:
Elisabeth Weber-Junker, Dr Jean-Baptiste Niedercorn
• Participants de la Fondation François-Elisabeth:
Dr Paul Wirtgen, Mgr Peter Müller
3
Texte: Sr Brigitte schneiders & Erny gillen
PHoto: gery oth
Groupe pilote:
Marie-Christine Ries (au nom de M. Gillen)
Pr Daniel Bogner
(au nom de M. Gillen)
Sr Brigitte Schneiders (Comité directeur)
Valeurs
L’importance de créer un cadre de valeurs commun est reconnue de
tous. Promouvoir une nouvelle culture d’entreprise au service des
patients, des collaborateurs et des médecins ainsi que de toutes les
parties prenantes est une condition sine qua non à la réussite de la
fusion et constitue un travail de fond qui se poursuivra pendant
plusieurs années.
Les racines chrétiennes de nos institutions remontent à l’histoire des
trois congrégations fondatrices; celles-ci restent impliquées dans
l’élaboration d’une première proposition de charte de valeurs-clés du
nouveau groupe.
Une première étape de travail commun à large échelle impliquant de
nombreux responsables et médecins est prévue en novembre 2013 et
permettra un premier échange autour de ces valeurs.
kompress n°27 // septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
La gestion par les processus
>Une approche moderne de gestion
Texte & graphiques: Pierre Lambe
La gestion par les processus est avant tout un
moyen de travailler plus efficacement en
clarifiant : qui fait quoi, quand, comment, …
Pour faciliter la compréhension d’un EPC (quiquoi, qui-quoi, qui-quoi, qui-quoi, qui-quoi,…),
on peut parfois le représenter sous forme d’un
«swimlane» (une vue en « couloir ») avec en
titre les «qui» et en dessous (ou à droite selon
l’orientation) les «quoi» reliés dans l’ordre
(chrono)logique.
Attention, le «qui» n’est pas une personne
(Albert ou Jocelyne), mais une fonction
(infirmière ou technicienne de surface). Cette
nuance est très importante, car pour le bon
déroulement d’un processus il faut garantir
une disponibilité des différentes fonctions
impliquées, sous peine de ne pas pouvoir
respecter la qualité, l’ordre ou l’intégralité du
processus défini : on s’écarte alors de la
gestion par les processus. Ceci est d’autant
plus vrai si la structure considérée est petite et
spécialisée.
D’abord : décrire ce qui est
Afin de permettre l’approche par processus, il
est impératif de commencer par décrire le
processus. Cela permet de visualiser les étapes
de travail dans l’ordre d’accomplissement.
Cette tâche est indispensable pour permettre
une analyse ultérieure des liens entre les
activités et/ou les acteurs du terrain, afin de
permettre des améliorations sur le processus.
chain, swim lane diagramm, value added
chain diagramm, … .
L’essentiel est de se fixer sur quelques termes
bien définis et sur quelques types de
représentations, et de s’y limiter afin de
permettre un langage commun autour des
processus.
Pour la ZithaKlinik, nous avons retenu deux
principaux types de logigrammes :
1) Le Value Added Chain Diagramm (VACD)
pour les grandes lignes
Différents niveaux de description
La description de processus au niveau d’une
entreprise se fait à plusieurs niveaux. Attention,
il ne s’agit pas ici de faire la différence entre
processus de gestion, de support ou de prise en
charge (voir le premier article sur le sujet dans
le Kompress n° 26), mais bien de «zoomer» du
haut vers le bas, des grandes lignes vers le
détail le plus précis. Pour ce faire, on choisit
habituellement 4 ou 5 niveaux superposés qui
offrent un passage progressif du «macroprocessus» (ou «cartographie des processus»)
global de l’entreprise vers une tâche précise
effectuée par un collaborateur bien défini, et
ce, en passant par un ou plusieurs niveaux
intermédiaires de description de processus.
2) L’ Event Driven Process Chain (EPC) pour le
détail («qui fait quoi»)
Différents types de descriptions
Il existe de nombreux moyens de représenter
graphiquement les processus, et il existe
aussi de nombreux termes spécifiques à ces
représentations
d’enchaînements
séquentiels et logiques d’actions et de
décisions qui sont des «logigrammes»:
workflow, flowchart, event driven process
kompress n°27 // septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
Et après … ?
Une fois le processus décrit, on peut enfin
commencer à y travailler.
Cependant il se peut bien que le processus que
l’on vient de décrire n’en soit pas vraiment un,
mais qu’un nombre élevé de «boucles» soient
présentes dans la représentation détaillées
(EPC), c'est à dire un nombre très élevé
d’alternatives qui varient en fonction des
disponibilités des acteurs présents ou
concernés. Ce problème est inévitable si on
définit des personnes et non des fonctions sous
le « qui » ou bien si on décide d’avoir non pas
un ordre logique unique à suivre pour tous les
cas de figure, mais plusieurs qui sont tous
valables.
Il faut alors «aligner» le personnel pour retenir
un processus clairement défini et unique,
valable pour tous, condition sine qua non pour
pouvoir évaluer et mesurer le processus.
4
Standardiser
Attention, ceci est vrai pour les enchaînements
logiques de tâches mais ne doit pas limiter
l’action du thérapeute : il faut respecter la
complexité des situations dans le monde
médical!
Pour ce faire, il convient de subdiviser les
processus de prise en charge en des segments
qu’on considèrera comme «standard
inaltérable» (sauf modification voulue et valable
pour tous). Une fois ces nombreux standards
définis, rien n’empêche la co-existance de
processus « concurrents » que le thérapeute a la
5
liberté de sélectionner en fonction du cas qui
l’occupe.
C’est là toute la différence entre une chaîne de
montage de voitures qui peut se limiter à un seul
grand processus de production qui se répète
inlassablement et la prise en charge d’un patient
poli-morbide dont la complexité et l’unicité n’a
pas été façonnée par l’homme.
Cette gestion de nombreux petits processus
tantôt liés dans «l’ordre», tantôt «concurrents»,
tantôt «obligatoires», tantôt «superflus, etc …
se dénomme Case Management : les processus
sont choisis et ordonnés par un professionnel en
fonction du cas («clinique» pour les patients).
La gestion par processus au sein d’un hôpital se
doit de tenir compte de cette nuance
fondamentale et respecter le processus
décisionnel primordial du thérapeute quand il
s’agit d’aborder le patient dans sa complexité
naturelle.
A l’opposé, le travail en équipe efficace nécessite
un minimum d’alignement des participants,
c'est-à-dire une astreinte personnelle à un effort
collectif afin de garantir la certitude pour chacun
de savoir «qui» fait «quoi», «où», «quand»,
«comment», «pourquoi» et «combien» sans
devoir le repréciser à chaque fois.
La gestion par processus idéale pour un hôpital
doit donc pouvoir concilier les contraintes
opposées d’un «Process Management» à
proprement parler, qui prévoit tout jusque dans
les moindres détails (par exemple pour les
processus de support), et d’un «Case
Management» qui laisse ouvert le choix des
nombreux processus différents pour un patient
donné.
Nous verrons dans un prochain article comment
on évalue un processus.
kompress n°27 // septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
St Gabriel's Hospital
Hoher Besuch bei der
Einweihungsfeier in Namitete
Text: Hans Jürgen Goetzke
Fotos: Malawi Press organisation
In den letzten Jahren hat sich viel verändert
im St. Gabriel’s Hospital. Zunächst wurde
nach dem Fest des 50-jährigen Bestehens
der Ausbau und die Modernisierung der
Poliklinik (OPD - outpatient department) in
Angriff genommen. Diese mit Hilfe des
Luxemburger
Kooperationsministeriums
kofinanzierte Baumaßnahme wurde bereits
im vergangenen Jahr fertig gestellt.
Sr. Justina begrüßt die Präsidentin Malawis, Joyce Banda, vorne links die
Gesundheitsministerin, Jean Kalilani und vorne rechts der Vertreter des Vatikans in
Malawi, Msgr. Bert van Megen.
Ebenfalls im Jahr 2012 gelang es, endlich
eine Lösung für die extrem verqualmte
Patientenküche zu finden. Dank der
Expertise von Emil Antony - einem
erfahrenen Ofenbauer aus Mertert – wurde
die Küche mit 150 Kochstellen, deren
Abgase
über
ein
Rohrund
Schornsteinsystem nach draußen geleitet
werden, komplett neu gestaltet. Zuvor
waren bereits die Aufenthalts- und
Sanitärbereiche für die Angehörigen der
Patienten saniert und modernisiert worden.
Da das St. Gabriel’s Hospital viel Material in
Container-Ladungen erhält, ist ein gutes
Lager die Voraussetzung für eine sorgfältige
Materialwirtschaft. Dafür waren in der
Vergangenheit die Verhältnisse aber zu
beengt. Ein großzügiger Sponsor hat den
Anbau eines zweistöckigen Lagergebäudes
ermöglicht, das Anfang dieses Jahres fertig
gestellt wurde und insbesondere gute
Aufbewahrungsmöglichkeiten für die so
wichtigen Arzneimittel in der neuen
Pharmacy bietet.
Die Präsidentin Joyce Banda und der Erzbishof Remi Ste Marie schneiden das Band zur
Eröffnung der OPD durch.
kompress n°27 // septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
Zu guter Letzt wurde dann wenige Tage vor
der Einweihungsfeier auch die für die
Energieversorgung des Spitals so wichtige
Solaranlage installiert. (siehe hierzu Bericht
auf S. 6 )
6
Der Direktor des St Gabriel's Hospitals, Dr Mbeya, erklärt der Präsidentin Joyce Banda die neue Apotheke.
Der Direktor des St Gabriel's Hospitals, Dr Mbeya, mit der Präsidentin Joyce Banda und
der Gesundheitsministerin Jean Kalilani in der neuen (qualfreien) Patientenküche.
Die Präsidentin Joyce Banda spricht mit Frauen, die auf die Entbindung warten.
7
Alle diese Neuerungen waren natürlich
Anlass ein großes Einweihungsfest zu feiern.
Zwar hatten wir es zu Anfang kaum
geglaubt, dass die Präsidentin des Landes
Dr. Joyce Banda ihre Zusage einhalten
würde. Als dann auf ihren Wunsch der
Termin auf den 19. Juni festgelegt wurde
und das Büro der Präsidentin sich intensiv
um die Vorbereitung kümmerte, verflogen
diese Zweifel schnell. Die Präsidentin ist seit
eineinhalb Jahren im Amt und hat es
geschafft, dem Land neue Hoffnung und
gewisse Wachstumsimpulse zurück zu
geben. Da das St. Gabriel’s Hospital nicht
nur ein großes Einzugsgebiet hat und viele
Patienten versorgt, sondern aufgrund der
guten medizinischen Betreuung einen sehr
guten Ruf in Malawi hat, ließ es sich die
Präsidentin nicht nehmen, die Einweihung
selber
durchzuführen.
Dass
diese
Veranstaltung dann im weiteren Verlauf
auch Züge einer Wahlkampfveranstaltung
annahm, darf wohl gerade in Afrika nicht
überraschen.
Nach einer für Malawi typischen längeren
Wartezeit
traf
zunächst
die
Gesundheitsministerin, dann der VizePräsident und mit weitern 15 Minuten
Abstand die Präsidentin selber ein. Im
Anschluss an die Begrüßung der Gäste
segnete der Erzbischof von Lilongwe das
neue OPD-Gebäude und eröffnete
gemeinsam mit der Präsidentin die neue
Poliklinik. Nach Besichtigung der neuen
Räume des OPD erfolgte ein Rundgang
kompress n°27 // septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
durch das Krankenhaus bis zur neuen
Pharmacy. Besondere Bedeutung maß die
Präsidentin der neuen Patientenküche und
dem Wartebereich für die schwangeren
Frauen bei. Zum Abschluss wurde dann die
Solaranlage vorgestellt. Die Präsidentin
nahm durch Drücken des roten Knopfes die
Solaranlage symbolisch in Betrieb und fragte
interessiert nach den Kosten und der
Wirtschaftlichkeit dieser Investition.
Im Anschluss daran ging es zum Fußballfeld,
das durch eine Tribüne für die Ehrengäste
und eine Mikrofonanlage für die Reden
vorbereitet war. Nachdem die Militärmusik
die Nationalhymne gespielt hatte, wurde
eine Vielzahl von Reden gehalten. Vor
sicherlich über tausend Zuhörern sprachen
die „Traditional Authority“, die lokale
Parlamentsabgeordnete, die Regionaloberin
Sr. Anastasia, Hans Jürgen Goetzke als
Chairman des Board und Vertreter der
Fondation Ste Zithe, der Erzbischof, die
Gesundheitsministerin und dann natürlich
die Präsidentin. Die Anwesenden harrten
geduldig aus und jubelten der Präsidentin
zu. Die Bedeutung der Veranstaltung kann
man auch daran ermessen, dass das
malawische Fernsehen drei Stunden live
übertrug. Stolz verabschiedete der
Krankenhausdirektor Dr. Mbeya die Gäste.
Eine kurze spontane Rede der Präsidentin Joyce Banda an die Angehörigen der
Patienten.
Die Ehre des Besuchs der Präsidentin und
eine eindrucksvolle Einweihungsfeier waren
für alle Mitarbeiter des St. Gabriel’s Hospital
der angemessene Dank für viel Engagement
zur Versorgung der Patienten und
Weiterentwicklung des Spitals. Natürlich gilt
der Dank auch den vielen Spendern, mit
deren Hilfe diese erfreuliche Entwicklung
nicht möglich gewesen wäre.
kompress n°27 // septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
Bernd Wolf (Energiebau) und Hans Jürgen Goetzke (Fondation Ste Zithe) erläutern
der Präsidentin Joyce Banda die Solaranlage.
8
St Gabriel's Hospital
Fertigstellung und Inbetriebnahme der
Solaranlage des St. Gabriel’s Hospital
Im Juni 2012 fasste der Verwaltungsrat der
Fondation Ste Zithe den Beschluss, die
ständigen
Probleme
bei
der
Energieversorgung des St. Gabriel’s
Hospital durch eine Solaranlage zu lösen.
Steigende Stromkosten und fast tägliche
Stromausfälle stellten eine zunehmende
Belastung für das St. Gabriel’s Hospital dar.
Da war auch der Generator keine Lösung
mehr, denn die Dieselkosten stiegen
Text: Hans Jürgen Goetzke
Fotos: fondation Ste zithe
natürlich ebenfalls und 2011 und 2012 war
über längere Perioden kein Treibstoff in
Malawi zu erhalten.
Die Kölner Firma energiebau, die bereits
über 50 Solaranlagen in Afrika gebaut hat
– so unter anderem für die Verwaltung der
UN-Umweltorganisation UNEP in Nairobi,
erhielt den Auftrag. Gegen Jahresende
waren
alle
Detailplanungen
und
Komponenten der Anlage beisammen und
der Container ging auf Reisen. Womit
keiner gerechnet hatte, war dann die
einmonatige Verzögerung im Hafen Beira
in Mozambique. Dieser Hafen war im
Februar so überfüllt, dass es 5 Wochen
dauerte, bis der Container entladen und
auf die LKW-Reise nach Namitete gehen
konnte. Dass es dann noch so allerlei
Schwierigkeiten zu meistern gab, bis der
Container vom Zoll freigegeben wurde, ist
Mit Arbeiter von ErnergieBau und St Gabriel's Hospital begutachten die Solarpanels.
9
kompress n°27 // septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
Die Stromproduktion der Solaranlage kann jederzeit
abgelsen werden
fast einen eigenen Beitrag wert. Mit vielen
Hilfskräften wurde der Container dann
endlich Ende April in Namitete entladen.
Kern der Anlage ist das Batteriehaus mit
den Multi-Cluster-Boxen, die für die
Steuerung der Anlage zuständig sind. Hier
wird geregelt, ob der Solarstrom direkt in
den Verbrauch geht oder die Batterien
gespeichert werden. Dieser Teil der Anlage
wurde zuerst aufgebaut. Nachdem die
Batterien mit Netzstrom geladen waren,
zeigte sich in einem ersten Probelauf, wie
das Krankenhaus mit gespeicherter Energie
versorgt werden kann. Nun mussten noch
die Solarzellen und die Gleichrichter
installiert werden.
Ein Kriterium für die Vergabe des Auftrags
an die Firma energiebau war, dass sie für
die Montage afrikanische Mitarbeiter
einsetzt. Für uns war es ganz wichtig, dass
die Mitarbeiter des St. Gabriel’s Hospital
gemeinsam mit den Fachleuten von
energiebau die Anlage errichten würden.
Diese Zusammenarbeit funktionierte gut
und die Elektrikerin Flora des St. Gabriel’s
Hospital weiß genau, wie die Anlage
zusammengesetzt ist, funktioniert und
geregelt werden kann.
Durch die Verzögerung bei der Anlieferung
wurde es recht knapp, die Anlage bis zur
schon seit langem terminlich festgelegten
Einweihungsfeier fertig zu stellen. Wertvolle
Hilfe leisteten dabei wieder einmal die
Techniker der ZithaKlinik. José Coimbra,
Paolo Rossi, Marc Kurek und Jean Juncker
kompress n°27 // septembre 13 //
Für die starken Batterien wurde ein eigener Raumgeschaffen. Dies dient
der Sicherheit und der richtigen Temperatur.
unterstützten das afrikanisch-deutsche
Aufbauteam. Als die ersten Solarpanels auf
den Dächern montiert waren, zeigte sich
bereits beim ersten Probebetrieb, dass die
Anlage funktioniert und Solarstrom für die
Versorgung des Spitals liefert. Es dauerte
dann noch weitere zwei Wochen bis einen
Tag vor der Einweihungsfeier alle
Solarzellen auf den Dächern sowie die
notwendigen Gleichrichter montiert und
verkabelt waren. Nicht zu vergessen war
auch der Blitzschutz, der gerade in
tropischen Regionen unverzichtbar für die
Sicherheit der Anlage während der
Regenzeit ist. Nach sehr viel Arbeit waren
am Tage der Eröffnung alle Beteiligten
stolz, dass das St. Gabriel’s Hospital autark
vom öffentlichen Stromnetz durch die
Solaranlage mit erneuerbarer Energie
versorgt wird.
Die 50Kw-Anlage des St. Gabriel’s Hospital
stellt nicht nur für Namitete, sondern für
Malawi einen Meilenstein in eine
zukunftsfähige und umweltverträgliche
Energieversorgung dar. Die Präsidentin
Malawis und die anderen hochrangigen
Gäste bei der Einweihungsfeier zeigten sich
beeindruckt von der neuen Technologie
und brachten ihren Dank für diesen
wichtigen Schritt für die Entwicklung von
Namitete und Malawi zum Ausdruck.
angespannte Finanzlage des Krankenhauses
stark belastet. Die Kostenbeiträge der
Patienten für die Behandlung im
Krankenhaus können nun wieder direkt für
Arznei und Pflegematerial verwandt
werden und kommen somit direkt den
Patienten zu Gute.
An dieser Stelle sei auch den vielen
Spendern herzlich gedankt, die mit kleinen
und großen Beiträgen dieses Projekt erst
möglich gemacht haben. Die nunmehr
installierte 50-Kw-Kapazität ist aber nur
der erste Schritt. Hiermit ist das
Krankenhaus unabhängig von der
öffentlichen Stromversorgung. Hingegen
werden die zum St. Gabriel’s Hospital
gehörenden Wohngebäude, in denen das
Personal wohnt, nach wie vor aus dem
öffentlichen Netzt versorgt. In zwei weitern
Schritten, soll die Solaranlage in Namitete
erweitert werden, damit zukünftig der
gesamte Strom aus Sonnenenergie
gewonnen wird.
Für das St. Gabriel’s Hospital ist nun die
Zeit der Stromunterbrechungen vorbei.
Darüber hinaus wird viel Strom und Diesel
gespart. Die Energiekosten hatten in den
letzten Jahren die ohnehin stets
Zeitung vum ZithaGrupp
10
Flora, die Elektrikerin des St Gabriel's Hospitals bei der Kontrolle der Anlage.
Der Container mit dem Solaranlage wird entladen.
Blick auf das Dach des St Gabriel's Hospital
11
kompress n°27 // septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
Für alle Fälle
> Die Notfallaufnahme-Poliklinik im
Porträt
Text: Mirjam Oesch
Foto: Maryse landfried
Dr. Emile Bock, Notfallmediziner und ärztlicher Koordinator der Poliklinik
Es gibt kaum eine Station, durch die mehr
Patienten eines Krankenhauses passieren,
als die Poliklinik, sei es, dass sie durch
einen Notfall in die Klinik aufgenommen
werden, sei es, dass ihr Arzt sie dort
nachbehandelt.
Dr. Emile Bock zählt die Fakten auf: „Ein
großer Anteil der hospitalisierten
Patienten, 30-40 Prozent der ChirurgiePatienten und 60-70 Prozent der Patienten
aus den Medizinischen Abteilungen waren
oder wurden zeitweise in der Poliklinik
behandelt.“
Marc
Mausen,
verantwortlicher Krankenpfleger der
Notfallaufnahme-Poliklinik, fügt hinzu:
„Heute führen wir mehr und genauere
Untersuchungen durch, um ein exaktes
kompress n°27 // septembre 13 //
Bild unserer Patienten zu erhalten, ehe sie
in ein Zimmer verlegt werden. Wichtige
Erstbehandlungen werden in kürzester
Zeit in der Notaufnahme eingeleitet. Uns
kommt daher auch eine diagnostische und
therapeutische Rolle zu.“
Die Aktivitäten der Poliklinik sind
dreifältig, zum ersten der Notfalldienst an
einem Tag der Woche sowie einem von
fünf Wochenenden. Zum zweiten die
programmierten
Behandlungen
und
Nachuntersuchungen, die ein Arzt in der
Poliklinik ausführt und zum letzten der
ambulante Betrieb. Hier werden Patienten
erstversorgt, die wegen eines akuten
gesundheitlichen Problems im Laufe des
Tages in die Poliklinik kommen.
Zeitung vum ZithaGrupp
Maison médicale und Poliklinik
Dr. Bock grenzt seine Arbeit gegenüber der
Maison médicale (Ärztehaus) ab: „Die
Poliklinik ist fünf Tage die Woche von sieben
bis 19 Uhr geöffnet, während die Maison
médicale von 20 Uhr bis sieben Uhr morgens
Patienten empfängt. Auch hat die Maison
médicale nichts mit der ZithaKlinik zu tun,
obwohl sie ganz in der Nähe ist. Die NotfallPoliklinik kann die Maison médicale nicht
ersetzen, da sie für die wirklichen Notfälle
gedacht ist, oder für Fälle, in denen weitere
Untersuchungen erforderlich sind, die ein
Allgemeinarzt nicht durchführen kann. Ein
Patient sollte die Maison médicale dann
aufsuchen, wenn er normalerweise zu
seinem Hausarzt gehen würde.“
12
„An normalen Tagen behandeln wir 45 bis
60 Patienten, hinzu kommen bis zu 100
programmierte Untersuchungen,“ führt
Dr. Bock weiter aus. „An Tagen, an denen
unsere Klinik Notfalldienst hat, können
wir leicht in 24 Stunden auf 220
Behandlungen kommen.“ Ein solches
Volumen erfordert ein großes Team, das
aus sechs Ärzten, 23 Krankenpflegern und
einer
Hilfskrankenpflegerin
(aidesoignante), besteht. Im Team herrscht ein
angenehmer Umgang, jeder duzt jeden
und auch außerhalb der Arbeitszeiten
treffen
sich
viele
für
Freizeitunternehmungen.
„Ich habe noch in keiner Poliklinik
gearbeitet, in der ein schlechtes
Arbeitsklima herrschte,“ sagt Dr. Bock
und Marc Mausen ergänzt entschieden:
„Es ist unmöglich, einen Patienten gut zu
behandeln, wenn man nicht mit dem Team
kooperieren kann. Wir arbeiten eng mit
den fünf chirurgischen Gruppen der
ZithaKlinik zusammen – Orthopädie und
Traumatologie, Viszeral- und ThoraxChirurgie, Gefäßchirurgie, Neuro- sowie
plastische Chirurgie – aber auch mit den
Dermatologen
und
Gynäkologen.
Eigentlich stehen wir in engem Kontakt
mit der ganzen Klinik, wie zum Beispiel
dem
Patiententransport
und
der
Bettenzentrale, um nur diese beiden
wichtigen Dienste zu nennen.“
Know-how und
Fingerspitzengefühl
Welche Einstellung muss ein möglicher
Mitarbeiter mitbringen, wenn er sich ins
Team und den reibungslosen Ablauf der
Poliklinik einfügen möchte?
Marc Mausen antwortet ohne zu zögern:
„Er muss die Abwechslung, die unser
13
Dienst mit sich bringt, schätzen und Stress
gut managen können. Darüber hinaus ist
es wichtig, dass er Menschen beruhigen
kann. Das setzt natürlich voraus, dass er
gute Kommunikationsfähigkeiten besitzt
und Menschen, aber auch die Schwere
ihrer Erkrankung, einschätzen kann.
Letztlich dreht sich unsere Arbeit um
fundiertes technisches Knowhow und das
sprichwörtliche Fingerspitzengefühl.“
Dr. Bock spricht aus eigener Erfahrung:
„Jeder erkennt schnell, ob er für die Arbeit
in der Notfall-Poliklinik geeignet ist. Er
muss
sich
selbst
und
seine
Reaktionsfähigkeit in Stresssituationen
beobachten. Im Studium habe ich
festgestellt, dass ich umso ruhiger werde,
je höher der Stresspegel und Druck im
Notfalldienst steigen. Dies, so denke ich,
kann man kaum erlernen. Auch muss man
die Fähigkeit haben, schnell zwischen
Wesentlichem und Unwesentlichem zu
unterscheiden.“
Marc Mausen fügt hinzu: „Viele schätzen
an ihrer Arbeit in der NotfallaufnahmePoliklinik die regelmäßigen Arbeitszeiten
und, abgesehen von den Tagen, an denen
die ZithaKlinik Dienst hat, dass wir keine
Nachtschicht haben.“
Hoher Besuch im Notfalldienst
Die Menschen, die zur Poliklinik kommen,
sind sehr unterschiedlich. Ein Großteil der
Patienten sind Ausländer wegen der
Kliniklage nahe dem hauptstädtischen
Bahnhof. Viele kommen auch, weil sie
wissen, dass das Team der Poliklinik
immer einen Übersetzer organisiert, um
die notwendigen Behandlungen zu
erklären.
So kam es auch, dass eines Tages der
russische Botschafter in Luxemburg in der
Notfallstation auftauchte. „Wir hatten
hier niemanden, der wenigstens etwas
russisch sprach,“ erklärt Dr. Bock, „also
haben wir die Botschaft angerufen. Um
drei Uhr morgens stand der Botschafter
selbst neben dem Bett eines russischen
Lastwagenfahrers, der einen Herzinfarkt
erlitten hatte, und übersetzte die
Anweisungen meines Kollegen.“
Manche Menschen haben keinen Hausarzt
und suchen daher die nächstgelegene
Poliklinik auf. Dr. Bock weist jedoch
darauf hin, dass kein Arzt der Poliklinik
die Kompetenzen eines Hausarztes
übernehmen kann. „Der Hausarzt ist
derjenige, der die Langzeitbetreuung
seiner Patienten gewährleistet. Er ist von
uns nicht zu ersetzen, was Prävention
(z.B. Blutdruck, Cholesterin, regelmäßiger
Checkup...) und Koordination seiner
Patientenakte angeht. Auch sollte jeder
Patient einen Hausarzt haben und nur für
akute Fälle die Notaufnahme aufsuchen.“
Sollte sich das Poliklinik-Team noch etwas
wünschen für die Zukunft, so wäre das ein
erhöhter Komfort für die Patienten. „Mehr
Kabinen, damit keiner mehr in den Betten
auf den Gängen warten muss, das ist
meine Vision für die Zukunft“, schließt
Marc Mausen, „und dadurch würden
gleichzeitig unsere Arbeitsbedingungen
verbessert.“
kompress n°27 // septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
Die Endoskopie zieht um
> Mehr Platz, mehr Licht, mehr Sicherheit
Text: Mirjam Oesch
FOTOS: Gery Oth
Nadia Quoilin, Daniel Reuter, Nunz Agostino en salle d'examen gastro 1
Von dem kurz bevorstehenden Umzug der
Endoskopie, der für Mitte Juli vorgesehen
ist, ist noch nichts zu bemerken. Vor der
Endoskopie im Erdgeschoss werden die
Patienten wie immer freundlich und
geschäftig empfangen. „In unserer
Abteilung wird während dem Umzug
weitergearbeitet, damit die Patienten ihre
Termine genauso wahrnehmen können wie
vorgesehen,“ sagt Sabine Reichert,
Verantwortliche der Endoskopie und
Urologie an der ZithaKlinik. Die offizielle
Eröffnung der neuen Räumlichkeiten findet
erst am 18. September statt, um Ärzten
und Pflegepersonal Zeit zu geben, sich
einzuleben. Ein Teil der Endoskopie, die
kompress n°27 // septembre 13 //
Urologie, wird im Grundgeschoss bleiben.
Sabine Reichert freut sich, die neuen Räume
zu beziehen:
„Er ist eine wahre Zäsur, dieser Umzug. In
den 1980er Jahren arbeiteten ein Arzt und
eine Krankenpflegehelferin in der
Endoskopie. Im Laufe der Jahre stieg die
Anzahl der Untersuchungen stetig. Es
kamen auch mehr und mehr ärztliche und
pflegerische Kompetenzen hinzu, so dass
morgens zwei Ärzte parallel arbeiten
konnten. 1985 fing Dr. Turk in der
Endoskopie an, 1987 kamen Dr. Reichling,
2001 Dr. Pescatore und 2008 Dr. Bourgeois
hinzu. Seit kurzem arbeitet Dr. Wilputte,
Spezialist für Echoendoskopie, freitags
Zeitung vum ZithaGrupp
hier. Darum müssen wir unsere Patienten
für bestimmte Untersuchungen nicht mehr
ins Ausland schicken. Das pneumologische
Team wurde 2007 durch Dr. Wagner und
2010 durch Dr. Frantz verstärkt. Momentan
arbeiten 12 Krankenpfleger und sieben
Ärzte in unserer Abteilung.“
1990 zog die Endoskopie, die bis dahin in
einem großen Zimmer untergebracht war,
in die Räume um, die sie bis 2013 belegen
sollte. Mit dem Anstieg der Patienten und
dem Personal platzte sie bald aus allen
Nähten. „Wir brauchten unbedingt mehr
Platz für die Untersuchungen, aber auch für
das Personal. Das wird jetzt endlich der Fall
sein.“
14
Von den angebotenen Untersuchungen bietet
die ZithaKlinik die ganze Vielfalt der modernen
Endoskopie an: Bronchoskopie, Darm- und
Magenspiegelung, ERCP (Endoskopisch
retrograde Cholangiopankreatographie) für
Gallen- und Pankreas-Untersuchungen sowie
Mano- und pH-Metrie.
„Wir führen alles durch, was in der
modernen Endoskopie möglich ist. Andere
Spitäler Luxemburgs schicken sogar ihre
Patienten für ERCP-Untersuchungen in die
Zitha. Das zeugt von einem großen
Vertrauen in unser Können,“ sagt Sabine
Reichert stolz. „Unsere Maschinen und
Endoskopen sind auf dem letzten Stand der
Technik. Zum Umzug werden wir übrigens
auch zwei neue Maschinen erhalten, eine
zur Desinfektion und eine weitere für
Manometrie-Untersuchungen.“
Die Endoskopie der ZithaKlinik begnügt
sich nicht nur mit diagnostischen
Untersuchungen, sondern ist auch
therapeutisch sehr aktiv, sie setzt z. B.
endoluminale Prothesen. Um immer auf
dem neuesten Stand der wissenschaftlichen
Entwicklungen zu sein, besuchen Ärzte und
Personal jedes Jahr Kongresse und
Weiterbildungen, um neue Techniken zu
erlernen.
Sabine Reichert hat in den letzten Wochen
viele Führungen der neuen Endoskopie im
vierten Stock des B-Gebäudes durchgeführt.
Durch die noch leeren, weiß gestrichenen
Zimmer flutet warmes Sonnenlicht. „Hier
haben noch vor kurzem die ZithaSchwestern gewohnt.“ Sie weist mit großer
Vorfreude auf die vielen Änderungen hin,
die insbesondere den Patienten zugute
kommen:
„Es ist alles heller und freundlicher. Die
Sicherheit für die Patienten ist erhöht, denn
jetzt können sie endlich ihre Wertsachen in
einen Schrank einschließen. Sie werden
noch besser überwacht werden, als es bis
jetzt der Fall war. Für das Personal wird
sich ab dem 25. Juli, wenn wir die neue
Endoskopie in Betrieb nehmen, nicht viel
ändern: Wir bleiben von halb acht bis 18
Uhr geöffnet und jeder arbeitet in jeder
endoskopischen Abteilung, sei es in der
Urologie,
der
Pneumologie
oder
Gastroenterologie. Wir werden die
bewährte Organisation aufrechterhalten:
Unsere Ärzte arbeiten nach einem
festgelegten Stundenplan, sodass wir
immer genau wissen, welcher Arzt unser
Ansprechpartner sein wird. Ich glaube,
dass das zu unserem guten Arbeitsklima
und, wie die neuen Räume, zu der
ausgezeichneten
Betreuung
unserer
Patienten beiträgt.“
Nadia Quoilin prépare la cabine de
préparation/surveillance.
Nunz Agostino en salle de
décontamination
15
kompress n°27 // septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
Haut les mains !
> La ZithaKlinik a participé au
« Hand Hygiene Excellence Award »
TextE: Mirjam Oesch
PHoto: Maryse Landfried
Excellence Award’. »
Un questionnaire extensif était envoyé à
tous les participants du concours.
« C’étaient des questions assez pointues et il
ne suffisait pas de donner des réponses non
motivées. Nous devions prouver chaque
réponse et cela nous a demandé beaucoup
de travail. A la fin, nous avons eu 430 points
sur 500. Ce qui est un excellent résultat! »
Un audit était organisé le 15 mai 2013 en
présence des experts du prix d’hygiène dont
le professeur Petra Gastmeier d’Allemagne
et le professeur Anne Simon de Belgique.
Francis Bertrand, hygiéniste à la ZithaKlinik
En 2012, l’Organisation Mondiale de la
Santé (OMS) a organisé un premier concours
européen pour l’hygiène des mains en milieu
hospitalier, le « Hand Hygiene Excellence
Award ». Ce prix entend promouvoir
l’hygiène des mains dans les hôpitaux afin
de lutter plus efficacement contre les
infections. A l’initiative de Francis Bertrand,
infirmier hygiéniste à la ZithaKlinik, la
clinique a décidé de participer au concours.
« Pour moi, c’était important de savoir où
nous en étions en matière d’hygiène. Gunar
Jamros, directeur des soins, et Patrick
Schwarz, directeur des soins adjoint, m’ont
fortement encouragé de participer. » Francis
Bertrand travaille depuis trente ans en tant
kompress n°27 // septembre 13 //
qu’hygiéniste et a intégré sa fonction à la
ZithaKlinik en 2007. L’hygiène lui tient à
cœur et il ne peut que se réjouir que les
hôpitaux sont en train de professionnaliser
leur approche de l’hygiène en milieu
hospitalier. « Tous les deux ans, nous
participons également à la campagne
nationale pour l’hygiène des mains dans le
cadre des actes médicaux et de soins.
Organisée par le ministère de la Santé, le
ministère de la Famille et de l’Intégration
ainsi que l’Institut Pasteur de Bruxelles, j’ai
pu constater que 80 % des actes de soins
suivent les critères d’hygiène fixés par les
spécialistes. Un très bon résultat et j’étais
très optimiste par rapport au ‘Hand Hygiene
Zeitung vum ZithaGrupp
« Nous avons été contactés par les experts
pour nous signaler que l’on était parmi les
finalistes. Cela ne m’étonne pas puisque la
direction des soins soutient les actions et les
formations dans le domaine de l’hygiène.
Malheureusement, nous ne figurions pas
parmi les deux premiers, » regrette Francis
Bertrand, « Lors de la conférence du
‘International Consortium for Prevention
and Infection Control´ à Genève en juillet
2013, deux hôpitaux irlandais et roumain
ont été primés. »
Quelques questions restent cependant
ouvertes par rapport à cette première édition
européenne du « Hand Hygiene Excellence
Award » : « Je n’ai toujours pas été informé
du nombre de participants au prix, du
nombre des finalistes ainsi que de notre
rang parmi ces derniers. Par ailleurs, je serais
intéressé de savoir quels sont nos points
faibles pour y remédier. J’espère que pour
les prochaines éditions du prix, la
transparence et la communication sera
améliorée.
16
ZithaGesundheitszentrum
> Verschiedene Entspannungsmethoden
im ZithaGesundheitsZentrum
Immer mehr Menschen fühlen sich
verspannt, erschöpft, ausgelaugt und
ausgebrannt.
Dauerhafte Fehlspannung führt zu
Spannungsschmerzen und körperlichen
Beschwerden, wie Herzkreislaufstörungen,
Magenund
Darmbeschwerden,
Hautreaktionen, Kopfschmerzen…
Der
Versuch,
Entspannung
durch
Medikamente, Alkohol oder andere
Suchtmittel zu erzwingen, kann zu
kurzfristigen Erfolgen führen, führt aber
langfristig in eine Abhängigkeit und zu einer
Verkümmerung
der
natürlichen
Selbsthilfemöglichkeiten.
Es gibt verschiedene Methoden, unseren
natürlichen Rhythmus von Anspannung und
Entspannung zurückzugewinnen.
Die Gemeinsamkeiten der im ZGZ
angebotenen
Entspannungsverfahren
bestehen darin, dass diese Methoden uns
17
Text: VIOLAINE NEUSER
Foto: VIOLAINE NEUSER
mit Hilfe von Ritualen helfen, unsere
Aufmerksamkeit umzulenken, weg von
aktivierenden Gedanken und Bildern hin zu
Ruhe und Entspannung.
Viele von uns gelangen durch Joggen,
Spazieren gehen, Angeln, Musik hören in
einen gewissen Ruhezustand.
Intensivere Entspannungsprozesse mit einer
stärkeren Erholungswirkung kann man
durch
ein
systematisches
Entspannungstraining erreichen.
Unter professioneller Anleitung lernen die
Teilnehmer eines Entspannungskurses im
ZGZ sich von den aktivierenden Gedanken
loszulösen, um sich körperlich zu
entspannen.
Für
Einsteiger
in
das
Thema
Stressbewältigung
und
Entspannung
empfiehlt sich der Kurs Aktiv Entspannen.
Hier erhält man einen Überblick darüber,
welche Strategien im Umgang mit Stress
wirksam sind und man lernt mit Hilfe der
progressiven Relaxation nach Jacobson zu
entspannen.
Zusätzlich dazu bieten wir auch einen Kurs
an, der sich ausschließlich der progressiven
Relaxation widmet und besonders für
Menschen
mit
spannungsbedingten
Körperproblemen
(z.B.:
Spannungskopfschmerz) und Ängsten geeignet ist.
Beim Autogenen Training handelt es sich um
eine autosuggestive Methode nach Schultz,
bei der man durch wiederholtes inneres
Sprechen von sogenannten Formelvorsätzen
und die konzentrierte Vorstellung damit
verbundener Empfindungen einen Zustand
tiefer körperlicher und geistiger Entspannung
erzeugt.
Sucht man hingegen weniger nach Strategien
sondern mehr nach einer inneren Haltung
der Gelassenheit, empfiehlt sich die
achtsamkeitsbasierte Stressreduktion. Hier
lernt man seine Aufmerksamkeit auf das
unmittelbare Erleben im gegenwärtigen
Moment zu richten, um auf diese Weise
bisherige
Stressreaktionen
sowie
Bewältigungsmuster im Umgang mit
privaten oder beruflichen Belastungen zu
reflektieren.
Alle Verfahren können in einem
weiterführenden Kurs vertieft werden.
Entscheiden Sie für sich selbst und tun Sie
etwas für Ihr Wohlbefinden!
Violaine Neuser
Diplompsychologe
ZithaGesondheetsZentrum
Tél: 2888-6363
www.gesondheetszentrum.lu
kompress n°27 // septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
Distinction
> Distinction pour le Service de Médecine
Nucléaire de la ZithaKlinik
Le Service de Médecine Nucléaire de la ZithaKlinik a été mis à
l’honneur lors du ‘Symposium Triennal’ de la Société Belge de
Médecine Nucléaire qui a eu lieu du 26 au 28 mai 2013 à Ostende.
En effet, une des deux communications soumises par Claude
SINNEN, ATM de Radiologie du Service de Médecine Nucléaire, a
remporté le 2e Prix des ‘Technology Awards 2013’ dans le cadre de
la session scientifique dédiée aux technologues.
L’étude intitulée ‘Assessment of external dose to nuclear medicine
technologists’ faisait le bilan d’un suivi de deux ans de la dosimétrie
journalière d’un ATM en Médecine Nucléaire. Ce travail, initié et
réalisé par Claude Sinnen, a pu montrer que la dose d’irradiation
Texte: Norbert LEners
PHoto: Maryse Landfried
professionnelle dans le service est faible et comparable aux
variations géographiques de la dose individuelle reçue par
rayonnement naturel. En mettant en relation la dose journalière
avec différents paramètres comme le poste de travail occupé, la
radioactivité manipulée, les différents isotopes mis en œuvre ou
encore les différents types d’examen réalisés, plusieurs situations à
risque ont pu être identifiées et soumises à un travail d’optimisation
par la suite. De façon plus générale, cette étude montre clairement
les avantages de la dosimétrie électronique journalière par rapport
à la dosimétrie passive à lecture mensuelle.
Le lauréat entouré d'une partie de l'équipe de Médecine Nucléaire. De gauche à droite: Dr Marie Paule Welter, Marie Lou Kettel, Claude
Sinnen, Sonja Greisch, Norbert Leners, David Mathieu et Rodrigo Bras
kompress n°27 // septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
18
Nouveaux médecins
> Dr Tarik Chergui, médecin aux urgences
Texte:Mirjam Oesch
PHoto: Maryse Landfried
Pourquoi avoir choisi votre spécialisation ?
Depuis tout petit, c’était une évidence pour moi : je voulais devenir
médecin et travailler aux Urgences. Mon domaine est très varié, je
dois être capable de faire le tri très rapidement. Ainsi, je dois me
poser la question si je suis confronté à une urgence vitale ou différée,
c’est-à-dire si la vie du patient est mise en jeu ou pas. Je suis aussi
appelé à faire un diagnostic rapide et gérer la détresse du patient. Il
ne faut pas non plus oublier que le généraliste a été choisi par le
patient alors qu’aux Urgences, le patient doit accepter le médecin qui
est de garde et il est important d’en tenir compte.
Dr Chergui, vous travaillez à la ZithaKlinik en tant
que collaborateur externe depuis un an, quel est
votre parcours professionnel ?
La formation des médecins travaillant en tant qu’urgentistes était
traditionnellement la suivante : après une formation en médecine
générale, le jeune étudiant poursuivait une capacité à la médecine
d’urgence et à la médecine de catastrophe. C’est ce que j’ai fait moimême et j’ai travaillé aux Urgences dans plusieurs pays de par le
monde. La directive européenne 2005/36/CE traduite en loi
luxembourgeoise en 2009 a introduit des changements importants
qui tiennent compte de la professionnalisation de la médecine
d’urgence. Maintenant, les étudiants en médecine peuvent choisir la
spécialisation en médecine d’urgence et font dès le début des stages
poussés dans ce domaine. C’est une bonne chose puisque la maîtrise
technique de la réanimation, la dextérité des jeunes médecins dans
les actes qui peuvent sauver des vies est encouragée
19
Qu’est-ce qui vous a convaincu de travailler à la
ZithaKlinik ?
L’ambiance de travail ici à la Policlinique est excellente, il y a un bon
esprit d’équipe entre urgentistes, les conduites à tenir reposent sur
des bases scientifiques. Aussi, toute l’équipe doit participer à des
formations continues ce qui fait que nous sommes toujours en phase
avec l’évolution de la médecine d’urgence. S’il y a un service où une
bonne ambiance d’équipe est nécessaire, c’est bien le service des
Urgences vu que la bonne collaboration entre Policlinique et médecins
spécialistes de l’hôpital est indispensable. A la Zitha, c’est le cas : les
médecins spécialistes sont toujours disponibles quand il s’agit de
prendre en charge un patient stabilisé ou de donner un avis. La
collaboration avec le personnel paramédical – sans lequel nous
médecins ne pourrions rien faire – est très agréable. En outre, le
circuit de la prise en charge des patients est bien huilé. J’ai travaillé
dans plusieurs pays, donc je sais comment les Urgences sont
organisées ailleurs et je pense qu’ici, nous faisons de notre mieux
pour garantir une prise en charge sans accrocs.
Les horaires de la Policlinique doivent parfois être
éprouvants, que faites-vous pour déstresser?
La Policlinique est ouverte de sept heures à 19 heures les jours
ouvrables et les weekends de garde. Il est vrai que notre métier nous
demande à être très disponibles en matière de temps. Mais je pense
qu’il faut toujours rester à l’écoute de son corps et lui donner ce dont
il a besoin. Puis, rien de mieux que la famille pour se ressourcer.
kompress n°27 // septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
Nouveaux médecins
> Dr Bernard Faber
Dr. Faber, vous êtes médecin
spécialiste
en
chirurgie
générale et digestive. Qu’est-ce
qui vous a motivé de devenir
médecin ?
Je suis issu d’une famille de médecins,
mon père était lui-même chirurgien, et je
me rappelle du voyage inoubliable que
nous avons fait ensemble au St Gabriel’s
Hospital au Malawi il y a 20 ans. C’était
peut-être la confirmation d’un choix que
j’ai fait enfant quand j’accompagnais
parfois mon père à la clinique. Avant de
kompress n°27 // septembre 13 //
commencer mes études, j’ai pourtant pris
quelques mois pour réfléchir et m’assurer
de mon choix. Mais j’ai dû constater que
je voulais bel et bien devenir médecin et
chirurgien plus spécifiquement. La
chirurgie est, à mon avis, une des rares
spécialités médicales qui permet souvent
de guérir une personne. Si j’opère un
patient de l’appendicite, il sera guéri
après l’intervention chirurgicale, et il y a
de nombreuses pathologies ou c’est le
cas. La chirurgie est même en mesure de
participer, en collaboration avec d’autres
spécialités, à la guérison de certains
Zeitung vum ZithaGrupp
Texte: Mirjam Oesch
PHoto: Mirjam oesch
cancers. Dans d’autres domaines de la
médecine par contre, beaucoup de
thérapies soulagent, certaines traitent,
mais peu guérissent. Dès que le patient
arrête son traitement, sa maladie revient.
Et une guérison complète remplit de
satisfaction non seulement le patient,
mais aussi et surtout le chirurgien.
Quel a été votre
professionnel ?
parcours
Je suis parti à Paris pour entamer mes
études de médecine. J’ai ensuite débuté
ma spécialisation en chirurgie digestive à
20
Rennes, en Bretagne, en tant qu’interne.
Je l’ai terminée en tant que chef de
clinique, à Paris. Après mes études, j’ai
travaillé à Bruxelles aux Cliniques
Universitaires St-Luc qui sont dotées,
entre autres, d’une unité de chirurgie du
pancréas et du foie d’excellente
renommée. J’ai d’ailleurs pu y accueillir
beaucoup de patients luxembourgeois
envoyés par leurs médecins traitants du
Luxembourg.
Pourquoi avez-vous choisi de
travailler à la ZithaKlinik ?
Je connais la ZithaKlinik depuis toujours
étant donné que mon père y exerçait en
tant que chirurgien. Plus tard, j’ai fait mon
stage d’infirmier de première année de
médecine ici au C4. Je connaissais donc
déjà la mentalité de la Zitha et la façon
innovante dont l’équipe chirurgicale
collabore au Centre de Compétence de
Chirurgie Tumorale. Mon intégration dans
le groupe s’est préparée sur plusieurs
années. Depuis le milieu de ma
spécialisation, j’ai été en contact avec les
autres chirurgiens digestifs du groupe
chirurgical. Il s’est avéré que le groupe
avait essentiellement besoin de renforcer
son activité dans le domaine de la chirurgie
du foie et du pancréas. Cela me convenait
très bien, car j’ai toujours bien aimé cette
chirurgie. J’ai ainsi orienté la fin de mon
cursus pour me spécialiser en chirurgie
hépatique et pancréatique. Et puis, il y a le
groupe chirurgical qui fonctionne très bien
grâce a une très bonne entente au sein du
groupe. Après avoir eu certains aperçus
dans d’autres établissements à l’étranger,
21
je me suis rendu compte de l’importance
de la cohésion d’un groupe et de
l’ambiance au travail.
Quels
sont
vos
plans
professionnels pour le futur ?
D’après les chiffres publiés par le Registre
National du Cancer, on peut constater
qu’une grande partie des patients
luxembourgeois atteints d’une pathologie
hépatique ou pancréatique sont envoyés à
l’étranger pour se faire opérer. S’il est vrai
que certaines opérations comme la
transplantation du foie ou du pancréas ne
pourront très probablement jamais être
réalisées au Luxembourg, beaucoup
d’autres peuvent être pratiquées sans
problème à la ZithaKlinik. Le confort des
patients serait amélioré : ils ne devraient
plus partir loin pour des interventions
lourdes. Je suis resté en collaboration
étroite avec les Cliniques Universitaires
St-Luc. Nous espérons ainsi pouvoir
développer un réseau direct, notamment
pour prendre en charge les cas les plus
compliqués.
Des
interventions
particulièrement complexes pourraient par
exemple être réalisées ici en binôme avec
des chirurgiens de renommée qui se
déplaceraient, et nous aurions des facilités
pour faire admettre nos patients
directement là-bas. Dans tous les cas, le
suivi oncologique pourra se faire ici. Cela
évitera au patient de devoir se rendre
deux à trois fois par mois à l’étranger.
Mais tout d’abord, comme je ne travaille
que depuis août, j’aimerais prendre mes
marques afin de faire la connaissance de
la ZithaKlinik et de mes patients. En un
deuxième temps, je compte promouvoir la
chirurgie hépatobiliaire et pancréatique
par des conférences et des formations
continues
auprès
des
médecins
généralistes.
En tant que chirurgien, vous
devez
travailler
beaucoup,
quelles sont vos stratégies
contre le stress ?
Tous ceux qui font des études de médecine
savent qu’ils devront fournir de longues
journées de travail. C’est un fait et il faut
être conscient de l’effet que ce rythme
effréné a sur notre corps. Pour moi, le
jogging et toute sorte de sport m’aident à
me ressourcer. Heureusement, en cas de
de remise en question professionnelle, je
peux aussi en discuter avec ma femme qui
est elle-même médecin. Elle comprend
cette situation et a toujours un mot
réconfortant. Ensuite, il y a les collègues
du groupe avec lesquels je peux toujours
discuter. Avoir une vue différente sur un
dossier difficile est indispensable dans
mon métier et m’aide à avancer.
kompress n°27 // septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
Spirituelle inSTELLAtionen
>Ein Bild zum Wochenende
Text: Winfried heidrich
Bilder: Winfried Heidrich
„Unterbrechung“ so der Theologe Johann
Baptist Metz, ist die kürzeste Definition von
Religion. Eine Unterbrechung kann als
Frage oder als Bild daherkommen, welche
in das immer gleich Ablaufende eines Tages
oder eines Tuns gestellt werden. Seit einem
Jahr hängt jeden Freitag von acht Uhr
morgens bis zwei Uhr am Nachmittag ein
Bild, von einer Glühbirne beleuchtet, am
Eingang zur Cafeteria unserer Klinik, direkt
gegenüber dem Speiseplan.
gab es solch Momente der Unterbrechung
und Besinnung. Auch die gut besuchte
Klinikkapelle als Raum der Stille und des
Gebetes kann aber nicht darüber
hinwegtäuschen, dass kirchliche Rituale
als religiöse Unterbrechungen im
Krankenhaus heute so gut wie
verschwunden sind. Wollen sie wieder
gebraucht und verstanden werden,
müssen religiöse Rituale sich aufmachen,
ihre angestammten Orte verlassen und
neue Sprach- und Bildformen ausprobieren.
Die erste „spirituelle inSTELLAtion“, wie
diese ein mal ein Meter große Tafeln
heißen, ist aus der Idee entstanden, am
Freitag der Woche den Mitarbeitern,
Patienten und Besuchern der Klinik einen
Moment der Reflexion, der Irritation oder
der Freude zu stiften. Vor Jahren sind bei
uns die Ordenskrankenschwestern zu
ihren Gebetszeiten in die Klinikkapelle
oder am Abend mit Weihwasser durch die
Patientenzimmer gegangen und mit ihnen
Der Speiseplan der Klinik mit Fischgericht
und Eintopf läutet per Schöpfkelle das
Wochenende ein. Als Seelsorger und
Kunsttherapeut habe ich mich gefragt, ob
es neben Fisch und Suppe nicht auch ein
Wort oder Bild zum Wochenende geben
sollte, das Durst und Hunger bedient.
Nicht als ewig an die Wand gedübelten
Sinnspruch, sondern als zeitlich begrenzte
Unterbrechung, als „Einrichtung des
Augenblicks“ (Herta Müller): Es ist Freitag
und das Wochenende naht. Auf die
zeitliche und räumliche Begrenzung kam
es mir an. Eine wieder abhängbare
viereckige Bildboje wollte ich in die
wachsende Unübersichtlichkeit des vor
sich hin eilenden medizinischen Betriebs
setzen.
"Einer alleine hat immer Unrecht,
aber
mit
zweien
beginnt
die
Wahrheit."
Friedrich Nietzsche (Die fröliche
Wissenschaft)
Spirituelle inSTELLAtion N°17
kompress n°27 // septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
22
Mittlerweile gibt es zwanzig solcher
„spirituellen
inSTELLAtionen“
–
„STERNmomente“ - die in einer
Gestaltung von Text und Bild eine kleine
Freitagmorgenundmittagmeditation
in
Ergänzung zum Speiseplan anbieten. Die
Tafeln wechseln wöchentlich. Sie können
sich an Ereignissen des kirchlichen Jahres
oder an den Jahreszeiten orientieren. Sie
möchten auf nachdenkliche Weise
unterhaltsam sein.
Fragen zum Wochenende, auf Leinwand
farbig gestaltet, sollten bei der Kantine,
einem der frequentierten Orte der Klinik,
aufhängt werden. Diese Fragen hatten
sowohl jede für sich als auch in ihrer
Zusammensetzung pointiert und offen zu
sein:
Was hat diese Woche Sinn für mich
gemacht?
An wen denke ich jetzt?
Was lasse ich für mich an diesem Ort
zurück?
23
Zur spirituellen Akzentuierung dieser Tafel
wurde eine Kerze als begleitendes
Leuchtmittel sehr schnell verworfen. Zu
gefällig, optisch abgebrannt. Ich entwarf
eine Lampe, die ein Freund mir herstellte:
eine Glühbirne, angebracht auf der Spitze
eines Infusionsständers. Nun rollt am
Infusionsständer
nicht
mehr
nur
Pharmazeutisches durch die Klinik, sondern
auch „Erleuchtung“: nahe, praktisch und
unprätentiös. Insektenhaft filigran und
zerbrechlich sowie leuchtend prall, wie sie
ist, zeigt sich eine Glühbirne der spirituellen
Trägerschaft würdig.
Ein Text heißt: „Zeige deine Wunde“ und
zitiert die Überschrift eines berühmten
Werkes von Joseph Beuys. In der
inSTELLAtion steht der Text in Verbindung
mit einem Foto, das eine Arztvisite zeigt.
Wunden haben nicht nur Patienten,
sondern auch Heiler und Behandler. Der
gewohnte Blick auf die Wunden der
Patienten wird umgekehrt und befragt
nun die Behandler nach ihrer eigenen
Verletzlichkeit. Um diese zu wissen, macht
Helfer verständnisvoller und menschlicher
im Umgang mit Schmerz und Leid, im
Umgang mit Mitarbeitern und Kollegen
und im Umgang mit sich selber. Durch
eine leichte Übermalung erhält das Bild
eine ironische Note, ohne dabei auf eine
Art des Verstehens festgelegt zu sein.
Jeder soll sich eben sein eigenes Bild vom
Bild machen.
Mit dem Dreiklang von Textzeile, Bild und
Beleuchtung wagen die inSTELLAtionen
immer wieder neu eine spirituelle
Unterbrechung des Klinikalltags.
kompress n°27 // septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
High Fat Low Carb
>Les regimes extrêmes vus par un diététicien
La problématique des régimes extrêmes est
qu’ils stigmatisent certains aliments ou
groupes alimentaires. Sans s’attarder sur
leur contenu ou leur argumentaire, la
popularité de ces régimes est souvent due
en grande partie au charisme et aux talents
d’écrivain des auteurs qui les propagent ou
les vendent. Le contenu de ces régimes est
souvent repris d’anciens régimes populaires
durant les années 1950 à 1970.
grand chose sur ce dernier. Le régime Dukan
est un régime dissocié et riche en protéine
qui comporte plusieurs phases. Le problème
de ce type de régime est qu’à long terme ils
sont difficiles à maintenir et qu’il en résulte
souvent des reprises de poids. En parcourant
les blogs on trouvera autant de personnes
qui sont satisfaites de ce régime que l’on en
trouvera qui en sont déçues et qui ont repris
tout leur poids, voire plus.
Après la phase de grande popularité initiale
du régime Dukan, on n’entend et ne lit plus
Récemment, on constate une nouvelle
flambée du régime riche en graisses et
La mayonnaise contient 80% de matières grasses, comme le beurre et la margarine.
kompress n°27 // septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
Texte: Eric Altmann
PHoto: Marie suraud
pauvre en glucides (High Fat Low Carb).
Cette tendance nous vient des Etats-Unis et
des pays nordiques et serait initiée par le
journaliste-auteur américain Gary Taubes.
Après son analyse personnelle des
recommandations nutritionnelles actuelles
ainsi que des études qui y ont menées, il
conclut que ce ne sont pas les graisses qui
sont à l’origine des maladies liées à la
nutrition mais les glucides. En gros, il
reprend les principes du régime Atkins
(1958) et son style d’écrivain offensif et
percutant lui permet d’être très convainquant.
Son régime promet une solution à tous les
problèmes (obésité, côlon irritable, allergies
etc...). Il démontre même l’inefficacité de
l’activité physique dans le contexte de la
perte de poids… Etant donné que l’on peut
analyser les études scientifiques et
statistiques de différents points de vue, il y
a, aux Etats-Unis, une véritable guerre entre
Taubes et la médecine « classique ». Les
shows TV, les articles et les livres n’en
finissent pas de discuter si ce sont les
graisses ou les glucides qui sont à l’origine
de tous les problèmes d’obésité et des
maladies cardiovasculaires.
Dans la pratique, on constate que le message
de Taubes est souvent mal interprété. Les
patients augmentent leurs apports en
graisses saturées par l’ajout de mayonnaise
et autres sauces grasses à pratiquement
tous les repas et évitent toute activité
physique « inutile ». Il est évident que ceci
ne mène pas à une perte de poids, néanmoins
cela augmente le bien-être. La réduction
drastique des glucides provoque la
production de corps cétoniques qui
deviennent alors l’unique source d’énergie
du cerveau en manque de glucides. Le
24
cerveau peut se mettre à fonctionner au
ralenti
(somnolence,
concentration
diminuée, lenteur etc.) mais dans cet état on
ne ressent plus la faim. On se sent bien et
ceci explique en partie le succès de ce type
de régime cétogène.
Naturellement il coule beaucoup d’encre sur
l’impact pour la santé de ce type de régime.
Les interprétations des mêmes études
mènent à des conclusions contradictoires
selon les auteurs. Ainsi on peut dire que «
plus il y a de pompiers sur le lieu d’un
incendie, plus il y a de dégâts, donc les
pompiers provoquent les dégâts » Mais on
peut aussi dire «plus un incendie est grand,
plus il y a de pompiers sur le lieu de
l’incendie, plus il y a de dégâts, donc la taille
de l’incendie détermine l’ampleur des
dégâts». Il y a du vrai dans ces deux
affirmations…
Même les professionnels de santé ont du
mal à faire la part des choses. Etant donné
que les recommandations nutritionnelles
n’ont pas été changées dans ce domaine
pour le moment, le diététicien se contente
de donner sa réponse habituelle, ennuyeuse
Idées cuisine
>
par Brigitte Trommer
Pesto à la ricotta et olives vertes
>
Crème d’amandes aux tomates séchées
Ingrédients
Ingrédients
100 g de ricotta
2 gousses d'ail
50 g pignons de pin
100 g d’olives vertes
jus d’un ½ citron
3-4 c.à.s. d'huile d'olive
parmesan râpé
sel, poivre
100 g d’amandes effilées
8 tomates séchées
1 gousse d’ail
20 g d’olives noires
3 c.à.s d’huile d’olive
4 c.à.s d’eau
peu de sel, poivre
•Réduire en purée la ricotta, l’ail, les graines de pin,
les olives et le jus de citron à l'aide d'un mixer
jusqu'à avoir une pâte lisse et tartinable.
•Assaisonner avec le sel et le poivre, ajouter l’huile si
nécessaire et le parmesan.
25
et peu spectaculaire : il n’y a pas de mauvais
aliment et c’est une consommation modérée
et proportionnée de tous les types d’aliments
qui mène à l’équilibre alimentaire. Une
alimentation saine et variée, combinée avec
une activité physique régulière contribue au
maintien du poids souhaitable.
• Griller les amandes dans une poêle.
•Mixer l’ail, les tomates, l’eau, les olives, l’huile et les
amandes jusqu’à obtention d’une pâte.
•Rectifier l’assaisonnement et servir avec de la baguette ou des crackers.
kompress n°27 // septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
Au cœur de la ZithaKlinik
>Entretien avec David Ruch,
responsable du service Restauration
Monsieur Ruch, depuis le début
de l’année, vous êtes en charge
du service Restauration. En
quoi consiste votre travail ?
L’équipe en place fournissait déjà une
prestation de très bonne qualité, notre
objectif est au minimum de maintenir cette
qualité voire de l’améliorer. Tout ceci en
respectant le budget. C’est pourquoi une
grande partie du travail consiste à
rencontrer les fournisseurs (alimentaires ou
non) afin de les comparer et de trouver le
meilleur rapport qualité prix. Puis vient
l’optimisation de la production pour limiter
les pertes, notamment par la mise en place
de fiches techniques et une bonne
collaboration avec le service diététique.
Avec une équipe de 70 personnes, sans
compter les apprentis et les contrats
d’initiation à l’emploi, la gestion des
ressources
humaines
(planning,
remplacement, conflits,…) représente
également une bonne partie de notre
travail. Et enfin l’application et le respect
strict des méthodes d’hygiène HACCP revêt
pour nous une importance capitale.
Texte: Mirjam Oesch
PHoto: Maryse Landfried
Je dis toujours nous, car tout cela est un
travail d’équipe qui implique autant moi
que mon adjoint, Sébastien Perrin, ainsi
que toutes les personnes du service.
Qu’est-ce qui différencie le
service Restauration de la
ZithaKlinik de celui d’autres
hôpitaux ?
La prestation de restauration de la
ZithaKlinik jouit d’une très bonne réputation
au Grand-Duché. Historiquement, la
ZithaKlinik a toujours attaché beaucoup
David Ruch, Responsable du service Restauration
kompress n°27 // septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
26
d’importance aux repas proposés aux
patients. Et encore aujourd’hui, la Direction
nous donne tous les moyens techniques,
humains et financiers pour faire du très bon
travail.
Notre équipe est composée de passionnés
qui ont un vrai amour du métier et le fait de
cuisiner sur place le jour-même nous
permet de maîtriser au mieux les cuissons,
l’assaisonnement et la présentation. Mais
aussi et surtout de pouvoir répondre
rapidement aux demandes particulières.
Notre philosophie se résume facilement :
«des plats cuisinés ici avec des produits
d’ici» car nous nous efforçons de travailler
au maximum avec des produits du terroir.
Toutes les viandes de bœuf et de porc sont
certifiées du terroir. Nous travaillons
presque exclusivement des légumes frais.
Malgré les contraintes que cela engendre,
nous sommes persuadés que cela se sent
dans nos plats.
Quels sont les autres volets de
votre travail quotidien ?
Nous planifions les menus : Sébastien et les
cuisiniers les conçoivent six semaines à
l’avance en tenant compte des produits
régionaux de saison. Ceux-ci sont ensuite
validés et paramétrés dans LogiMen par nos
deux diététiciens Brigitte et Eric.
Comme nous l’avions évoqué, l’hygiène et le
nettoyage sont des volets très importants de
la restauration. Nous travaillons avec un
laboratoire externe (SIGNA), qui effectuera
des contrôles inopinés trimestriels pour
mettre en place des plans d’action pour nous
améliorer constamment.
Si nous nous efforçons de contrôler que les
prix de nos fournisseurs reflètent la réalité
du marché, le coût de la vie augmente
continuellement et un volet moins populaire
de mon travail est de réajuster nos prix de
vente au coût de la prestation. C’est
d’ailleurs pour cela que nous avons
augmenté nos tarifs à la cafétéria au premier
juillet.
27
Selon quels critères établissezvous les menus ?
Nous devons tenir compte des différents
types de consommateurs : les personnes
âgées de la Seniorie St Jean de la Croix, le
personnel, les patients de la ZithaKlinik et
les Sœurs. Certains aiment le changement
d’autres préfèrent les plats plus traditionnels,
ce n’est pas toujours évident de faire plaisir
à tout le monde. De plus, nous devons tenir
compte des régimes spéciaux. Mais c’est un
défi que nous aimons relever !
Ce qui est aussi important pour nous, c’est
que les plats servis au personnel et aux
patients soient identiques. Ceci nous motive
à offrir les meilleures prestations possibles.
Nous sommes conscients que le repas fait
partie des soins et qu’il représente un
moment de réconfort dans la journée des
personnes hospitalisées. La qualité des repas
contribue fortement à la perception de la
qualité des séjours hospitalisés.
Quels sont les projets que vous
souhaitez réaliser ?
Nous avons déjà réalisé quelques projets, le
premier s’est fait en coulisses par le
remplacement d’équipements vétustes par
du matériel nouvelle génération, plus précis
et moins énergivore.
Ensuite, quelques changements ont eu lieu
dans la distribution de la cafétéria,
notamment pour les crudités. Mais d’autres
projets demandant un peu plus de temps
sont en cours, notamment pour la mise en
place d’un espace « Show cooking ».
Nous souhaitons également faire de la
cafétéria un centre de rencontre et permettre
à des petits producteurs, commerçants ou
asbl de présenter et de faire déguster leurs
produits. Et naturellement, nous veillons à
organiser régulièrement des journées à
thèmes et des animations comme ce fut déjà
le cas dans le passé.
Le développement durable nous tient
également à cœur : nous allons changer les
contenants en verre des boissons pour du
PET. Ces récipients facilement recyclables
génèrent une empreinte carbone moindre
car ils demandent moins de transport et sont
moins lourds à transporter. De plus, ils sont
plus pratiques car refermables et moins
dangereux en cas de casse. Parallèlement,
nous allons mettre en place un système de
tri sélectif.
Les gobelets en plastique vont devenir
payants mais tout un chacun est encouragé
à utiliser une tasse, voire sa tasse. Nous
avons également opté pour la biométhanisation en collaboration avec
l’entreprise Hein qui emporte nos déchets
alimentaires.
Quelles sont vos expériences à
la ZithaKlinik, maintenant que
vous avez passé quelques mois
à votre nouveau poste ?
C’est vrai qu’il m’aura fallu quelques
semaines pour découvrir le milieu de la
restauration
hospitalière
et
le
fonctionnement spécifique d’une entreprise
comme la ZithaKlinik. Mais j’ai eu beaucoup
de soutien tant de la direction que de
l’équipe de cuisine tout comme des
différents services ainsi que des Sœurs.
C’est d’ailleurs ce côté humain que j’ai
rarement eu dans mes expériences
professionnelles précédentes, qui m’a le
plus frappé quand j’ai commencé ici. Et les
valeurs citées dans la Vision Directrice
correspondent assez bien à ma philosophie
personnelle. C’est un bonheur de travailler
dans des conditions pareilles et cela me
motive à donner le meilleur de moi-même!
kompress n°27 // septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
L'Amicale de la Seniorie
>L'Amicale de la Seniorie de
Pétange fête ses 25 ans!
Il y a maintenant déjà 25 ans que Georges
d'Huart, Pascal Berg et Paul Molitor,
prédécesseurs de Eugénie Derume,
présidente de l'Amicale, ont créé "l'Amicale
de la Maison de Soins St Joseph" nommée
depuis l'extension en 2010 Seniorie St
Joseph Pétange.
En date du 12 juin 2013, l'Amicale de la
Seniorie St Joseph Pétange fête ses 25 ans
en présence de Marc Spautz, Ministre de la
Famille et de l'Intégration au Home St
Hubert à Pétange.
C'est avec le plus grand plaisir que Laurent
Origer, Directeur de la Seniorie félicite
Eugénie Derume, présidente de l'Amicale,
ainsi que tous les membres pour leur
dynamisme, leur engagement et leur
dévouement tout au long de ces années. Il
remercie également l'Amicale au nom des
résidents et du personnel de la Seniorie St
Joseph Pétange pour leur bénévolat ainsi
que leurs nombreuses activités comme par
exemple les fêtes d'anniversaire des
résidents, la remise de cadeaux pour Pâques,
la fête de Noël, la fête des mères, la fêtes
des pères, les excursions en bateau et au
Parc Merveilleux de Bettembourg, la journée
de la ferme "um Jeekelshaff", les expositions
Art Senior ainsi que les diverses autres
activités.
Monsieur Origer cite les nombreux dons de
l'Amicale comme le financement des minibus,
l'aménagement
d'un
jardin
thérapeutique au sein de la Seniorie
Texte: Marylène czaicka
PHoto: Aloyse FEIDER
permettant aux résidents d'entraîner leur
équilibre dans le cadre d'un programme
"prévention chute" et "activation de la
marche" ainsi que d'un espace "Snoezel"
qui sert à la relaxation des résidents.
Une rose a été remise à chaque membre de
l'Amicale en guise de remerciement ainsi
qu'un album photo dans lequel sont
mémorisées 25 belles années.
Après un repas convivial, une série de
spectacles les plus divers a été proposée à
l'Amicale. Pour remercier l'Amicale pour leur
générosité au cours des dernières 25 années,
les acteurs des spectacles étaient les
résidants, les collaborateurs et la direction.
Ce geste fût fort apprécié de la part de
l'Amicale
Monsieur Marc Spautz, Ministre de la Famille et de l’Intégration félicite lors de son discours tous les membres de l'Amicale pour leur
dynamisme et leur engagement tout au long de ces 25 années
kompress n°27 // septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
28
Un jardin thérapeutique
>L'Amicale de la Seniorie St Joseph de
Pétange offre un jardin thérapeutique
L'Amicale de la Seniorie St Jospeh Pétange
a fait installer un jardin thérapeutique
entouré de verdure pour un montant total
de 16.000€ au sein de la Seniorie St
Jospeh Pétange.
Un chemin thérapeutique sur des surfaces
instables en matériaux divers tels que
troncs d'arbres, écorces, galets et gravier
permettant aux résidents sous la
surveillance
du
kinésithérapeute
respectivement du personnel soigant
d'entraîner leur équilibre dans le cadre
d'un programme "prévention chute".
Texte: Marylène czaicka
PHoto: Josée FEIDER
Les résidents ont également la possibilité
de se détendre sur la balançoire abritée et
protégée du soleil afin de se reposer dans
la nature tout en écoutant les sons
mélodieux qui s'échappent des éléments
sonores.
C'est avec le plus grand plaisir que Laurent
Origer, Directeur de la Seniorie, a accepté
ce don de la part de l'Amicale lors de
l'inauguration le 3 juin 2013 . Il a
également remercié l'Amicale au nom des
résidents et du personnel de la Seniorie St
Joseph Pétange pour ce précieux geste.
Monsieur Claude Huss, Kinésithérapeute
et Mme Jill Schmit, Ergothérapeute au
sein de la Seniorie Pétange étaient à
l'initiative de ce projet innovateur.
Monsieur Romain Pepin, Responsable du
service technique, était en charge de la
coordination technique du projet.
L’Amicale de la Seniorie St Joseph de Pétange a financé l’installation pour un montant total de 16.000.-€
29
kompress n°27 // septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
Un CD pour le Malawi
>"Hal dech gutt fest un eng Hand II"
Les résidents de la Seniorie St Joseph
Pétange avaient présenté leur premier CD
en mai 2006 "Hal dech gutt fest un eng
Hand", CD chanté par les résidents avec la
participation de chanteurs bénévoles. En
février 2013, les résidents de la maison de
soins ont enregistré leur deuxième CD au
profit du Malawi.
Accompagnés de trois enfants de 6 à 8 ans,
de Robert Bodja, chanteur-percussionniste
et de Claudine Menghi, coordinatrice du
projet, les résidents ont enregistré avec
beaucoup d'enthousiasme, de passion et
de motivation l'histoire d'un petit lion qui
découvre la musique, sur fonds de djembé.
Texte: Marylène czaicka
PHoto: Albert MENGHI
Le bénéfice de la vente du CD sera remis
sous forme de chèque à la Fondation Ste
Zithe afin de supporter le projet "un
échographe pour le St Gabriel's Hospital".
Pour toutes informations complémentaires:
Marylène Czaicka - Coordinatrice du projet
+352 50 90 81-2050
Lors de la vente du premier CD, un chèque
de 10.000€ avait été remis à la Fondation.
Ce don avait permis de rénover le sol de
l'école, d'enduire et de repeindre les grands
murs et d'installer de nouveaux tableaux
noirs dans les différentes salles de classe.
Les résidents, le personnel et la direction de
la Seniorie St Joseph Pétange remecient
chaleureusement les bénévoles pour leur
engagement, leur soutien et leur
participation au projet ainsi que Claudine
Menghi, Jaya Holzem, Chris Dorian Meisch,
Jesse Holzem, Robert Bodja, les résidents du
CIPA "Centre du Rham", Marco Thilgen
(layout), Imprimerie Schlimé (Impression),
Albert Menghi (Photos), Optique Denuit
(Donateur).
Le CD est disponible à la vente dans les
établissements du Groupe Zitha au prix de
12€. Il est également possible de se procurer
le CD par téléphone au prix de 13€ (frais de
port inclus) au +352 50 90 81-1.
Après la présentation du projet par le Dr. Hans-Jürgen Goetzke, tous les participants ont fièrement présenté leur œuvre qui servira à
soutenir le financement d’un échographe pour le St. Gabriel Hospital au Malawi.
kompress n°27 // septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
30
ZithaSenior
Text: Holger Bracker
Foto: zithasenior
>Mitarbeiter-Zufriedenheitsumfrage 2013
Die Auswertung der in einem
Zeitraum von drei Wochen
auszufüllenden und
zurückzusendenden Umfragen
fand von Mitte April bis Mitte Mai
statt. Folgende Ebenen standen
hierbei besonders im Fokus:
• Tätigkeits-/Arbeitsanalyse
(Verfahren nach Glaser et al.,
2008)
- Faktoren (Rückhalt durch
Vorgesetzte und das Team)
-Stressoren (Widersprüchliche
Aufträge,
Arbeitsunterbrechungen und
bewohnerbezogene Stressoren)
Der März 2013 stand im Zeichen der sich
wiederholenden Erfassung der MitarbeiterZufriedenheit bei ZithaSenior. Nach der
neu strukturierten Evaluierungsform von
2011 sollte die Umfrage 2013
Vergleichswerte zu definierten Faktoren,
Stressoren, Ressourcen und Anforderungen
hervorbringen, um die hoffentlich
positiven Veränderungen des Aktionsplans
von 2011 widerzuspiegeln.
In der deskriptiven Erhebung wurden zu
den vorangehend genannten Einflüssen,
welche die alltägliche Arbeit betreffen,
ZithaSenior-spezifische „Items“ erörtert.
31
Äußerst erfreulich war die beinahe 53%ige Rücklaufquote der Mitte März an 574
Mitarbeiter versendeten Fragebögen. Mit
mehr als 61% der zurückgesendeten
Umfragen war die Zahl der Rückläufer aus
dem Kernbereich Pflege und Betreuung
erwartungsgemäß hoch.
-Ressourcen
(Partizipationschancen,
Vorgesetzten-Feedback,
Tätigkeitsspielraum)
-A nforderungen (kognitive
Anforderungen,
Lernerfordernisse)
• Kurzfragebogen
zur Arbeitsanalyse
-V
ielseitigkeit, qualitative und
quantitative
Arbeitsbelastungen,
Information und Mitsprache,
betriebliche Leistungen
• ZithaSenior-Items
kompress n°27 // septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
Was
wurde
Mitarbeiter
bewertet?
seitens
der
als
positiv
Obschon sich über die Seniorien hinweg
unterschiedliche Ergebnisse präsentierten,
konnten eindeutig positive Entwicklungen
für die Gruppe ZithaSenior erkannt
werden. Diese Erkenntnis gewannen wir
beispielsweise bei den kognitiven
Anforderungen oder Lernanforderungen,
welche unter anderem durch Fragen wie
„Man hat immer wieder verschiedene
Möglichkeiten
abzuwägen
und
Entscheidungen zu treffen, ehe man
Aufgaben erledigen kann.“ oder „Bei der
Arbeit treten immer wieder Schwierigkeiten
auf, bei denen man gründlich überlegen
muss, wie man sie lösen kann.“ ermittelt
wurden. Nicht zuletzt die kontinuierliche
Einführung neuer Verfahrensweisen (im
geriatrischen Assessment oder auch in der
Pflegeplanung),
sondern
auch
grundlegende, dazugehörige Fort- und
Weiterbildungsmaßnahmen fordern und
fördern die Kompetenzen und den
Ideenreichtum
im
Rahmen
der
Mitarbeiterentwicklung auf positive Art
und Weise.
Auch ein erweiterter Tätigkeitsspielraum
und eine steigende Vielseitigkeit der
Arbeitsaktivitäten werden aus Sicht der
Mitarbeiter als sehr positiv bewertet.
In welchen Bereichen besteht
Handlungsbedarf?
Es geht bei einer Umfrage dieser Art nicht
nur darum zu erfahren, welche
Tätigkeitsbereiche positiv dargestellt
werden um den Status Quo zu erhalten,
sondern auch um Erkenntnisse zu
Aktivitäten oder Bereichen zu erlangen, die
kompress n°27 // septembre 13 //
möglicherweise Potential zur Verbesserung
bereithalten.
Mit Potential zur Verbesserung haben sich
die Bereiche „Arbeitsunterbrechungen“,
„quantitative
Arbeitsbelastungen“,
„betriebliche Leistungen“, „Information
und
Mitsprache“
oder
auch
„Partizipationschancen“
herauskristallisiert.
ZithaSenior-Items
Speziell auf die Arbeit bei ZithaSenior
bezogen und ohne externe Referenzwerte
wurden fünf unterschiedliche Fragen in
die Umfrage integriert. Die Überzeugung
der richtigen Berufswahl, die Freude an
der Arbeit, der positive Einfluss der Arbeit
auf die Lebensqualität der Bewohner, die
Zufriedenheit mit der Entlohnung und das
positive Bild von ZithaSenior. Alle diese
Sachverhalte
wurden
mit
einer
überwiegend positiven und gegenüber
2011 noch verbesserten Bewertung
seitens der Mitarbeiter dargestellt.
Die durch diese Umfrage gewonnenen
Erkenntnisse sollen den Direktionen
helfen,
einen
Aktionsplan
mit
Verbesserungsmaßnahmen zu erstellen.
Dieser Aktionsplan – für jede Seniorie den
Anforderungen entsprechend individuell
– wird während der Sommermonate
zusammen mit den Mitarbeitern der
Seniorien ausgearbeitet und anschließend
umgesetzt. Der Erfolg der jeweiligen
Umsetzung wird dann voraussichtlich im
2. Quartal 2015 durch eine erneute
Umfrage festgestellt.
Was passiert nun im Anschluss
an diese
Zufriedenheits-Erhebung?
Während der Analyse der Umfragebögen
zeigten sich jedoch auch Resultate, die
nur indirekt per Maßnahmenkatalog
beeinflusst werden können. Hierzu
gehören eindeutig die bewohnerbezogenen
Stressoren. Die Arbeit mit alten Menschen
ist definitiv nicht einfach und richtet sich
immer individuell nach den zu pflegenden
Personen. Hinzu kommt, dass das
Stressempfinden
jedes
Mitarbeiters
ebenfalls individuell ist, gegebenenfalls
sogar noch durch äußere Stressfaktoren
begünstigt wird.
Zeitung vum ZithaGrupp
32
ZithaSenior
Text: Liane Faggiani
Fotos: Patrick Bück
> Personalfeier und Uhrenverteilung
ZithaSenior feierte ihr 3. Personalfest an Bord
der „River Diva“ am 7. Juni 2013 in Remich.
Bereits eine Stunde vor der Einschiffung
versammelte sich ein großer Teil des Personals
entlang der Esplanade, um den Startschuss
der diesjährigen Festveranstaltung nicht zu
verpassen. Das Wetter zeigte sich von seiner
allerbesten Seite, so dass statt Regenschirm
die Sonnenbrille eins der wichtigsten
Utensilien war.
Nach herzlichem Empfang seitens der
Direktoren der verschiedenen Seniorien,
wurde die eigentliche Festlichkeit eingeläutet.
In seiner Rede bedankte sich Herr Goetzke,
Präsident des Verwaltungsrats der ZithaSenior
s.a., beim Personal für dessen unermüdlichen
Einsatz bei der alltäglichen, doch nicht immer
einfachen, Arbeit. Er gab sich erfreut über die
starke Präsenz und die fröhliche Stimmung
beim Fest, was sicherlich auch Zeichen eines
positiven Arbeitsklimas sind.
Feierstimmung...
33
Anschließend wurden die Verdienstuhren an
die langjährigen Mitarbeiter verteilt.
Buffet führte die kulinarische Reise nach
Italien, Portugal und China.
Hiernach riefen Dr Carine Federspiel Directrice
ZithaSenior, und Herr Guy Kohnen, Directeur
des ressources humaines, alle Mitarbeiter auf,
die sich für den Preis für Qualität und
Innovation bei ZithaSenior 2013, beworben
hatten. 6 Projekte waren eingereicht worden:
„4 Pfoten mit Herz“, „Disco Abend“, „Eat by
walking“, „Tiergestützte Intervention“,
„Therapeutesche Moiesdësch“ und „Danz
am Rollator“. Der Preis 2013, ein Scheck über
1000 Euro, ging an das Projekt
„Therapeutesche Moiesdësch“ eingereicht
vom Team „Encadrement“ der Seniorie St
Jean de la Croix Luxembourg.
Darauffolgend hielt es die Gäste nicht mehr
auf den Stühlen. Einerseits wurde die
Tanzpiste gestürmt, andererseits die
Abendsonne an Deck genossen. Zum ersten
Mal konnten die Mitarbeiter vom guten
Wetter profitieren und viele bewunderten
beim vorbeischippern die wunderschöne
Moselgegend.
Nach dem offiziellen Teil wurde das Dinner
aufgetischt. Die Köche haben es sich nicht
nehmen lassen, und uns mit lukullischen
Highlights verwöhnt. Vom „terre et mer“
Den ganzen Abend über präsentierte uns
Camille Ney die neusten Hits der Charts aber
auch Musik der 70er bis 90er Jahre, welche
die Gesellschaft zum Mitsingen einlud. Als
gegen 01:15 Uhr der letzte Tanz angekündigt
wurde, wunderten sich einige, dass der Abend
so schnell vorbei war. Die ersten
Vorbereitungen für das Personalfest 2014
werden sicherlich in den nächsten Wochen
starten.
Die Gewinnerinnen des "Preis für Qualität und Innovation bei
ZithaSenior", Michèle Kremer, Martine Clemens, Claudine Bausch
kompress n°27 // septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
Remise de montres 2013
35 ans
ZithaSenior - Seniorie St Joseph PETANGE
Theresa RIBEIRO RAMOS
25 ans
ZithaSenior - Seniorie St Joseph PETAnge
Romaine LUDOVICY, Mireille SCHAAL
10 ans
ZithaSenior - CENTRALE
Simone MANGEN
ZithaSenior - Seniorie St Jean de la croix luxembourg
Birgit BURELBACH, Stefan SCHMITT
Zithasenior - SENIORIE ST JOSEPH CONSDORF
Marianne MICHELS, Sandra SCHMITT, Elke VANHULLE
ZithaSenior - Seniorie St Joseph PETAnge
Tina BALDELLI, Annette BONNIER, Marielle DEGIVE
De gauche à droite: Dr. Carine Federspiel, Sandra Schmitt, Elke Vanhulle, Marianne Michels, Theresa Ribeiro Ramos, Mireille Schaal,
Romaine Ludovicy, tina Baldelli, Simone Mangen, Guy Kohnen.
kompress n°27 // Septembre
septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
34
RESSOURCES HUMAINES
Arrivées
C'est avec joie que nous souhaitons la bienvenue à tous nos nouveaux collaborateurs...
ZithaSenior - Seniorie St Joseph CONSDORF
Lorraine LUTGEN (Soins & Encadrement), Tammy VOSSEN (Soins & Encadrement),
ZithaSenior - Seniorie St Joseph PETAnge
Tamara LECHES (Soins & Encadrement), Yohanna Elicia (Soins & Encadrement), Maria DA LUZ (Hospitalité), Ilhana RASTODER
(Soins & Encadrement), Sabrina GREISCH (Hospitalité)
ZithaSenior - Seniorie St Jean de la croix luxembourg
Adisa ADROVIC (Soins & Encadrement), Dalila BOUZOUAD (Soins & Encadrement), Habiba EL BOUAKILI (Soins & Encadrement),
Stefan EMMERICH (Soins & Encadrement), Tony MENNESSIER (Soins & Encadrement), Tiago PEREIRA CHAVES (Facility
Management), Stéphanie THIRY (Soins & Encadrement)
Zithasenior - SENIORIE STE ZITHE CONTERN
Yasmine DELAGE (Hospitalité), Malika DERSCHANG (Soins & Encadrement), Anja EWEN (Soins & Encadrement), Germaine FUNCK
(Soins & Encadrement), Stephanie MARQUES CUSTODIO (Soins & Encadrement), Elisabeth MEURER (Soins & Encadrement), Yasmina
OULAD LAMKASSE (Soins & Encadrement), Enya RENTMEISTER (Soins & Encadrement), Tessy SCHULLER (Soins & Encadrement),
Bianca TERNES (Soins & Encadrement), Astrid THILL (Hospitalité), Kerstin WEBER (Soins & Encadrement)
Zithaklinik
Stéphanie ARONICA (Administration personnel), Audrey BENOIST BARGIELA (A3), Bryan BRAUN (A3), Marco CARTUS (Atelier mécanique),
Mariana DE FIGUEIREDO CRUZ (C4), Sylvie DELLA PENNA (Restauration-Production), Jessica GASPAR DIAS (C2), Martine GREIVELDINGER
(Assistante sociale), Jessica GUIRSCH (Radiologie), Marie Géraldine JUILLARD (C3), Jörg KOCH (C2), Anne KOHN (OP), Anne LEHNEN (C3), David
MARTA FERNANDES (Centre de réanimation), Andreas OBERDORF (Centre de réanimation), Gina PETRY (Kinésithérapie), Beryl PRUD'HOMME
(C3), Sven SCHANTZEN (Administration personnel), Julie SMIT (Policnlinique), Miriam WAGNER (Pharmacie), Jiayi ZHANG (Magasin central)
Départs
Ils ont quitté le groupe Zitha...
Nous leur souhaitons une bonne continuation dans leur vie professionnelle et privée!
ZithaSenior - Seniorie St Joseph CONSDORF
Roswitha BÜTTNER (Soins & Encadrement), Wolfgang GRÖLS (Soins & Encadrement), Marita HARTJES (Hospitalité),
Christian LEONARDY (Soins & Encadrement), Astrid STEICHEN (Soins & Encadrement)
ZithaSenior - Seniorie St Joseph ConTERN
Sabrina ALFF (Hospitalité), Sergio DIAS CORREIRA (Soins & Encadrement), Nathalie FRANZEN (Soins & Encadrement), Nina
Irene HOFFMANN (Soins & Encadrement), Julia KAISER (Soins & Encadrement), Thilly OESTREICHER (Hospitalité), Hildegard
PALZER (Soins & Encadrement), Wendy PARRACHO (Soins & Encadrement), Marie-Louise PIRSCH (Soins & Encadrement),
Vicky ROTH (Soins & Encadrement), Carmen SAGRAMOLA (Soins & Encadrement), Nils THIELMANN (Soins & Encadrement),
Hortense UROOGON (Soins & Encadrement), Olivier WALTRINY (Soins & Encadrement), Sheila WEBER (Soins & Encadrement)
ZithaSenior - Seniorie St Joseph PETAnge
Joaquina DIAS MARQUES (Soins & Encadrement), Saïda IDA ALI OU LAHCEN (Soins & Encadrement), Sarah NUNES AZEVEDO
(Soins & Encadrement), Aline REEB (Soins & Encadrement), Nathalie WEIBEL (Soins & Encadrement), Joséanne Catherine
WERDUN (Soins & Encadrement), Pascal SMETS (Hospitalité), Emilie TORZINI (Soins & Encadrement), Hortense NGO NTERE
(Soins & Encadrement)
ZithaSenior - Seniorie St Jean de la croix luxembourg
Sabrina DEL BOCCIO (Soins & Encadrement), Marie-France DELLE VEDOVE (Soins & Encadrement), Nadia MENASRI (Soins
& Encadrement), Stefan SCHMITT (Soins & Encadrement)
Zithaklinik
Gabrielle BONTEMPS (CCT), Christian FUNCK (A3), Anne-Marie HANFF (Policlinique), Sabrina KNEIP (Policlinique), Claudine
LUCAS (Ergothérapie), Rosa MARCHITELLI (Buanderie), Nadia MARTUCCI (Anesthésie), Claudia MAXHEIM (C4), Julia METZEN
(A2), Annarita NOCENTE (Restauration-Production), Myriam PRAUM (RGE), Monika REISS (Endoscopie), Isabelle ROSE
(Nettoyage), Ana Candida SAMPAIO DE CARVALHO (Nettoyage), Jil SCHAUD (C3), Jacqueline SCHOLER (Laboratoire), Michèle
SCHWARZ ((A2), Christian STELAND (A3), Andy THOMAS (Pharmacie), Marion WIART (Psychologie)
35
kompress n°27 // Septembre
septembre 13 //
Zeitung vum ZithaGrupp
Solarstrom für das St. Gabriel's Hospital - Helfen Sie!
Energiekrise
im St Gabriel's Hospital
Solarstrom - die Alternative
So können Sie helfen!
Häufige Stromausfälle, hohe Dieselpreise
Die wirtschaftliche Lage in Malawi
hat sich in den letzten Jahren enorm
verschlechtert. Die Energiekosten steigen
und sind eine hohe Belastung für das
Spital!
Im Frühjar 2013 wurde der Solaranlage
für das St Gabriel's Hospital in Betrieb
genommen. Um weitere Sparziele zu
erreichen, soll die Anlage ausgebaut
werden. Hierfür werden weitere
300.000€ benötigt..
Ihre
Spende
hilft,
die
Solarstromversorgung im St. Gabriel's
Hospital zu realisieren! Davon profitiert
nicht nur die Umwelt, sondern auch die
Patienten in Form von Medikamenten
und einer besseren Versorgung.
Bitte überweisen Sie Ihre Spende
mit dem Stichwort "Solarstrom für das St. Gabriel's Hospita"
auf das Konto der BCEE
IBAN LU47 0019 1300 1330 3000
Danke für Ihre Hilfe!
32, rue Ste Zithe | L-2763 Luxembourg
Tél. +352 40144-2053 | Fax +352 40144-2953 | www.zitha.lu