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Ce film raconte l’histoire d’Antoine Doinel, un jeune adolescent âgé de quatorze ans, vivant à Paris. Antoine
est malmené par ses parents (surtout sa mère) et son professeur de français surnommé « Petite-Feuille ». Antoine est
passionné par le cinéma et adore Balzac. Il est envoyé en maison de redressement pour cause de mensonges à ses
parents, de fugues et pour vols.
Ce film est en noir et blanc et est issu de La Nouvelle Vague. Ce film est une autobiographie : il raconte une
partie de l’enfance du réalisateur François Truffaut.
Dans ce film, j’ai trouvé amusant les scènes où Antoine est à l’école, particulièrement celle du cours de sport.
Dans cette scène, tous les élèves quittent peu à peu le cours de sport pendant le footing sans que le prof s’en
aperçoive. Cette scène a été filmée en plongée totale pour mieux voir où les élèves se cachent et pour que cela soit
plus comique. J’ai trouvé choquant la décision des parents d’emmener Antoine dans un centre de redressement car je
trouve cela injuste. J’ai trouvé émouvant le poème écrit par Antoine car je ressentais de la compassion pour lui. Je
n’ai pas trop aimé la fin du film car on ne sait pas ce qui va lui arriver après qu’il se soit enfui du centre de
redressement.
Dylan
Nous sommes allés voir Les 400 coups réalisé par François Truffaut au cinéma Louis Daquin. J’ai aimé le début car il
y a une scène qui m’a plu : quand Antoine s’est fait punir à cause de la pin-up, cela m’a bien fait rire. Par contre, je
n’ai pas aimé la fin car j’ai trouvé cela pas intéressant : après la fugue il n’y avait plus d’actions. Il y a une scène que
je n’ai vraiment pas aimée, c’est quand Antoine se fait gifler par son père devant toute sa classe, il s’est fait humilier et
rabaisser devant ses copains. A travers cette histoire, François Truffaut (le réalisateur) raconte son histoire : une mère
peu aimante et un adolescent qui fait des bêtises avec son copain, par exemple quand il sèche l’école pour aller au
cinéma.
Hawa, Collège René Descartes à Le Blanc-Mesnil.
Mon avis sur le film Les quatre cents coups.
Le début du film m’a plu car je trouvais que ça commençait bien. Je trouvais c’était intéressant quand
Antoine Doinel commençait à faire des bêtises avec son ami René, quand il a fait l’école buissonnière, qu’il
a fugué et qu’il a surpris sa mère en train de tromper son mari avec un autre homme. Mais je n’ai pas aimé
car sa mère et peu aimante, son père n’est pas son père biologique, son professeur de français est injuste et
toute cette injustice l’incite à mentir et à fuguer. Je trouve que la fin est triste quand il s’enfuit du centre où il
a été transféré car il ne reverra plus ses parent et qu’il sera tout seul : mais c’est la vie qu’il voulait avoir…
Selma
Les 400 Coups est un film de François Truffaut réalisé en 1958 qui met en scène l’enfance d’Antoine Doinel,
un adolescent parisien qui n’est pas obéissant et sèche souvent les cours. Ce film est autobiographique par rapport à
l’enfance du réalisateur, qui eut lui aussi une enfance difficile et fut un élève à problèmes.
Il entretient une mauvaise relation avec sa mère qui le néglige tandis qu’avec son beau père, il s’entend bien. En le
faisant dormir près de la porte d’entrée, en lui donnant à faire toutes les tâches ménagères, même les plus ingrates, le
film montre qu’Antoine est négligé p
ar ses parents. Ce film se rapporte aussi à l’important nombre de fugues et de
mauvais traitements des enfants durant les années 1950. A cause de ses bêtises, lorsqu’il va voler une machine à
écrire avec son ami René, il se fait repérer et il est emmené au commissariat d’où il se fera par la suite, envoyé en
Centre d’observation. Il y vivra comme dans une prison, y sera privé de la visite de son ami mais il s’en enfuira très
vite lors d’un match de football.
Je trouve la fin étrange car on le voit courir sur la plage, il se retourne vers la caméra et ouvre grands ses yeux, et le
film se finit. Rémi
J’ai bien aimé La Pivellina, car j’adore les films sur la vie de famille. J’ai apprécié Patty car c’est une dame au grand
cœur, elle a gardé cette petite fille malgré les risques qu’elle encourait de ne pas l’avoir déclarée. Elle a tout fait pour
s’occuper d’Asia du mieux qu’elle pouvait. Ma scène préférée était quand Patty a menti aux policiers à propos de
l’enfant : en effet, la femme leur dit que la gamine est sa nièce car elle est hors-la-loi, et les gendarmes l’ont crue.
C’était émouvant. Elle a réussi à les duper pour une fillette qu’elle ne connaissait même pas.
Hawa, Collège René Descartes à Le Blanc-Mesnil.
Mon avis sur le film La Pivellina.
J’ai aimé ce film car j’ai trouvé cette histoire émouvante surtout quand Patty décide de garder la petite Asia alors
qu’elle pourrait l’emmener au commissariat pour qu’ils retrouvent sa mère. Mais je l’ai aussi trouvée triste car la mère
d’Asia l’a abandonnée toute seule en laissant un mot de détresse dans le manteau de la fillette. J’ai aussi aimé les
scènes dans lesquelles on voyait Asia parler et jouer. Mais je n’ai pas aimé le plan-séquence de 60 secondes où l’on
ne voit que Patty en train de marcher pour chercher son chien. Par contre, j’ai trouvé la fin amusante et heureuse car
même si la mère de Asia n’est pas revenue la chercher comme prévue dans le mot, ils ont décidé de garder Asia car
ils s’étaient habitués à elle.
Selma
<< La Pivellina >> a été réalisé en 2009. Il est tiré d’une histoire réelle. Il raconte la vie de deux artistes de cirque
dans la banlieue de Rome qui vont recueillir Asia, une petite fille abandonnée.
Dans ce film, j’ai apprécié la simplicité des personnages et leur gentillesse : Patty qui crie souvent mais qui devant
Asia, devient gentille ; Walter qui ne voulait pas garder Asia, au final s’en occupe et Taïro l’adolescent, qui dès sa
rencontre avec la petite, devient ami avec elle et joue souvent avec.
Par contre, je n’ai pas aimé les couleurs du film : elles sont sombres et grises. Dans ce film, il pleut souvent et il n’y a
pas de paysages. Je n’ai pas aimé la misère dans laquelle les personnages vivent, leur environnement et leur façon
de vivre. Je n’ai pas aimé non plus la fin de l’histoire car on ne sait pas vraiment si Asia va rester avec sa famille
d’accueil ou retourner avec sa mère.
Rémi
Fantastic Mr.Fox a été réalisé par Wes Anderson et il a été tourné en stop-motion (animation image par image). Tout
le décor du film est artificiel : l’herbe est une serviette-éponge, l’eau du papier d’emballage cellophane, le feu du
savon gélatineux orange et la cascade du film alimentaire. Malgré l’originalité du film, je n’ai pas aimé le fait que ce
soit un dessin animé sous-titré.
Hawa, Collège René Descartes à Le Blanc-Mesnil.
C’est l’histoire d’un renard, Mr.Fox qui était un voleur de volailles. Ce film a été inspiré du livre de Roald Dahl
« Fantastique Maître Renard ». C’est un film d’animation très réussi.
Lors d’une tentative de braquage, Felicity et son mari, Fox, se font prendre. Ce dernier promet à Felicity que
s’ils réussissent à se sauver, il ne commettrait plus de vol. Deux ans plus tard, Fox est devenu journaliste et vit
paisiblement avec sa famille (Felicity et son enfant Ash).
Mais il a envie de faire un dernier coup avant d’arrêter définitivement sa carrière de voleur. Il profite de
l’arrivée de Kritofferson, le cousin de Ash pour préparer son coup. Fox a repéré les fermes des trois B : Boggis,
éleveur de poules ; Bunce, éleveur de canards et d’oies, et Bean, éleveur de dindes et de cidres. Il prévoit de voler
ces fermes. Mr Fox demande de l’aide à Kritofferson en raison de ses capacités sportives. A cause de cela, Ash se
sent rejeté par son père qui a préféré son cousin à lui.
Les personnages ont été crées en pâte à modeler. Les scènes ont été filmées avec ces marionnettes. Entre chaque
scène, les personnages étaient légèrement déplacés: C’est l’animation saccadée. En une seconde, il y a douze
images qui ont été prises.
J’ai adoré ce film car l’histoire était très amusante surtout les scènes où Mr.Fox volait les trois fermes. Je
conseille ce film à tous ceux qui aiment les films d’animation et histoires drôles.
Dylan
C’est l’histoire de Réda, un jeune homme qui s’apprête à passer son bac mais il est obligé d’accompagner son père
en voiture jusqu’à la Mecque pour effectuer son pèlerinage. A travers ce film, on voit les rapports entre un père et un
fils totalement opposés : le père est musulman pratiquant alors que son fils ne l’est pas, Réda est né en France et son
père est né au Maghreb et le père parle arabe tandis que son fils parle français.
On voit aussi les cinq piliers de l’Islam : - La profession de foi qui tient en une seule phrase : « Il n’y a de Dieu qu’Allah
et Mahomet est son prophète. »
- La prière (5 fois par jour)
- Le jeûne du mois de Ramadan
- L’aumône
- Le pèlerinage à la Mecque
J’ai aimé ce film car c’est intéressant de voir un film sur la religion musulmane. Je vous conseille d’aller le voir pour
découvrir la fin …
Hawa, Collège René Descartes à Le Blanc-Mesnil.