Chemins de sainte Thérèse

sur les pas de Thérèse Martin
Randonnées
Eglise d’Ouilly-le-Vicomte
Jetée de Trouville
11 CIRCUITS
en Calvados
Ouilly-le-Vicomte • Honfleur
Orbec • Rocques / Hermival-les-Vaux
Saint-Martin-de-la-Lieue • Pont-l’évêque
Saint-Ouen-le-Pin • Deauville / Trouville
Livarot • Langrune-sur-Mer • Mondaye / Bayeux
Orbec (Eglise et roue du moulin)
Edito
I
l y a bien des manières pour rencontrer Thérèse de Lisieux : « géant de la sainteté », elle est
aussi une petite Normande.
La découvrir par les sites qu’elle a fréquentés est passionnant. Petite fille et adolescente, elle a
aimé la nature, les paysages du Pays d’Auge, les rivages de la mer. Elle y a déployé une intense
vitalité en courant avec son chien Tom. Elle a aimé nos routes, qu’elle a parcourues en voiture
à cheval. Elle a longé les cours d’eau accompagnant son papa le long de nos rivières. Elle aime
évoquer le soleil, mais aussi l’orage qui ne lui fait pas peur. Elle a écouté les oiseaux, dont son
papa savait à merveille imiter le cri. Elle a aimé la gare de Lisieux où elle a pris le train pour aller
à Trouville ou à Paris.
Avec elle, venez faire quelques randonnées sur les pas de Thérèse.
Merci au service diocésain de la Pastorale des Réalités du Tourisme et des Loisirs qui nous guide
à travers ce livret et à M. Graindorge qui a permis d’en financer son édition.
Mgr Bernard Lagoutte, Recteur
Photo J. Boisard
Thérèse
à huit ans
Les circuits
Les difficultés :
Marcheur : chaussures de marche conseillées
Promeneur : marche en ville
2
TROUVILLE/MER
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11
LANGRUNE-SUR-MER
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HONFLEUR
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BAYEUX
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1 Ouilly-le-Vicomte
2 Honfleur
3 Orbec
4 Rocques / Hermival-les-Vaux
5 Saint-Martin-de-la-Lieue
6 Pont-l’Evêque
7 Saint-Ouen-le-Pin
8 Deauville / Trouville
9 Livarot
10 Langrune-sur-Mer
11 Mondaye / Bayeux (circuit auto)
4
LISIEUX
3
Ouilly-le-Vicomte
1
> 7 km - durée 2h30 - Difficulté : marcheur
Elle venait souvent avec son père pour des promenades et des parties
de pêche. Ils s’arrêtaient à l’église que Thérèse a dessinée.
Dessin de Thérèse Martin - Droits réservés : Carmel de Lisieux
Départ : à Ouilly-le-Vicomte descendre jusqu’à la D159. Tourner à droite vers la Pommeraye.
Après le stade à droite et le passage sous la voie de chemin de fer, parking possible sur un espace à droite.
Poursuivant sur la D159 (très passante). L’église d’Ouilly, (1) entourée du cimetière bordé au sud par la
Paquine, est à gauche en contrebas. Le porche est protégé d’un haut vent couvert de tuiles. Les murs de
silex et pierre de Caen, souvent disposés en « arrêtes de poissons », datant du XIe siècle ont été percés de
baies au XVIe siècle. Ici depuis mille ans des communautés chrétiennes se rassemblent et évoluent avec
leur temps. La route, rectiligne progresse au milieu des vastes prairies où la Touques et la Paquine que nous
traversons juste au-delà de l’église, étalent leurs méandres.
Photo J. Boisard
(2) Début de la boucle :
La traversée de la D48 mérite patience
et précautions en raison de la circulation.
Juste en face commence l’ascension de
la colline vers Manerbe. Après 500 m
laisser à gauche la D159 et poursuivre
tout droit jusqu’à un chemin goudronné
à gauche vers « les Piquenots ».
Après quelques 250 m, tourner à droite
(3) dans un chemin de terre qui grimpe
à travers bois. A l’orée du bois bifurquer
à droite à sa lisière. Traverser la route et
suivre un chemin goudronné « chemin
de Dives ». Après 500 m environ, avant un
grand hangar.
4
Eglise d’Ouilly-le-Vicomte
(4) tourner à droite dans un chemin de terre qui longe sur quelques
centaines de mètres le Bois du Pontif avant d’y pénétrer par le chemin
de droite. Des détours par l’intérieur du bois sont souvent nécessaires
(en particulier en saisons pluvieuses). Le trajet se poursuit au milieu de
prairies.
(5) En arrivant à une intersection, prendre à droite puis, après 20 m
tourner à gauche en longeant le Bois de Lurette qui est sur la droite
pendant 100 m. Sur la route goudronnée poursuivre jusqu’à la fin du
parcours le balisage rouge et blanc du GR 26. Passer devant une petite
niche qui recueillait une statue de la vierge et 20 m plus loin descendre
à droite dans un sentier de terre. De retour sur la route (le sentier coupe
un long virage), longer un bâtiment à pans de bois avant de s’engager
à droite dans (6) un chemin avec à droite le Bois de Lurette et à gauche
les prairies. Les méandres de la Touques et de la Paquine s’étalent.
Le confluent est repérable avec au-delà sur l’autre colline le bourg d’Ouillyle-Vicomte. Suivre toujours le GR 26 (balisage bien indiqué sur les troncs
à gauche), le sentier descend finalement de façon abrupte jusqu’à la D48.
La suivre à droite jusqu’à l’intersection puis tourner à gauche pour
rejoindre le parking en passant à nouveau devant l’église.
Vue sur Ouilly-le-Vicomte
Visite gratuite « Le Lieu Chéri »
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Le Pontif
Maison de ferme normande
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Honfleur
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> 7 km - durée 2h30 - Difficulté : promeneur
Photo J. Boisard
En juin 1887 la future sainte Thérèse y est venue
en compagnie de son père et de ses sœurs Léonie
et Céline en route vers le Havre pour visiter
l’exposition Maritime Internationale.
La famille est allée prier à la chapelle
Notre-Dame-de-Grâce pour obtenir l’entrée de
Thérèse au Carmel de Lisieux. En 1835,
les fondatrices du Carmel de Lisieux s’y étaient
rendues en pèlerinage pour demander
le soutien de la Vierge Marie.
Le parcours passe par ND de Grâce et l’église
Sainte-Catherine. Les fidèles de la Paroisse
honorent la carmélite.
La ville de Honfleur recèle bien des merveilles : église
Saint-Léonard, musées (Eugène Boudin, Eric Satie,
de la marine, d’ethnographie…), vieilles maisons
souvent chargées d’histoires (Roi Louis-Philippe,
Françoise Sagan, Jean-Marc Thibaud…).
Ses environs sont prestigieux par leurs paysages,
leurs édifices...
Chapelle Notre-Dame-de-Grâce
Intérieur de la chapelle
Vue de Notre-Dame-de-Grâce
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Vieux Port de Honfleur
(1) Départ du Parking (payant) Bd. Charles V.
Le vieux Bassin et son site : à la sortie du parking tourner à gauche le long
du Quai de la Marine. Remarquer à droite la Lieutenance (2) (ancienne
capitainerie du port), traverser le pont levis qui sert d’écluse au vieux bassin.
Tourner à droite devant l’Hôtel de ville par le Quai Saint-Etienne. Prendre
la rue Montpensier puis à droite le quai Sainte-Catherine. A la lieutenance
tourner à gauche dans la rue des Logettes. 30 m plus loin emprunter l’escalier
à droite au chevet de l’église Sainte Catherine. La place, très vivante, englobe
l’église et en face le clocher. Une visite s’impose pour admirer entre autres
son intérieur en bois, ses deux nefs, ses sculptures de musiciens au niveau de
la balustrade de la tribune.
En sortant de l’église emprunter la rue du Puits. Atteindre plus haut la Place
du Puits. Tourner à gauche dans la charrière du Puits et aussitôt à droite par
la Rampe du Mont Joli. L’ascension par un sentier plus ou moins large est
occasion de découvrir des vues sur la ville le port, les environs. En haut, la vue
sur le Pont de Normandie est superbe. C’est ensuite une route goudronnée,
le chemin de la Côte-de-Grâce que l’on suit sur la droite (voie passante) sur
quelques centaines de mètres pour atteindre la chapelle (3) entourée
de grands arbres. Première construction en 1023, elle fut détruite par un
éboulement de la falaise. L’édifice actuel date du XVIIe siècle. Nombreux
ex-voto signes de l’attachement des marins et de nombreux autres fidèles.
Après avoir contemplé le panorama sur la baie de la Seine (4),
redescendre par la Charrière de Grâce à droite. Après quelques centaines
de mètres tourner à gauche dans la rue A. Marais. Après avoir laissé à droite
la rue Baudelaire, arriver sur la « Ferme Saint-Siméon » (Hôtel). Ici, en 1855
sous l’impulsion d’Eugène Boudin, est créée une nouvelle école de peinture
l’impressionnisme. Après quelques centaines de mètres le phare du Butin. Le
chemin passe sous la route afin de regagner la plage. Tourner à droite pour
atteindre la digue, suivre le port. Le parking du départ est alors sur la droite.
Eglise Sainte-Catherine
Intérieur de l’église Sainte-Catherine
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Orbec
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> 2 km - durée 1h30 - Difficulté : promeneur
Depuis 1873, un chemin de fer pittoresque allait de Lisieux à Orbec.
Très certainement, la famille Martin, passionnée de nature, a du l’emprunter.
En effet, au moins une fois par an M. Louis Martin, horloger, venait contrôler
les pendules du château de la famille Colbert Laplace situé sur les communes de
Saint-Pierre-de-Mailloc et de Saint-Julien-de-Mailloc (à 10 km d’Orbec) où se trouve
aujourd’hui, dans l’église Notre-Dame, une chapelle dédiée à sainte-Thérèse.
Photos J. Boisard
Roue du moulin d’Orbec
Hôtel de Croissy
8
Eglise Notre-Dame
Le Vieux Manoir
(1) Départ de l’église Notre-Dame. Tour du XVe, clocher du XVIe siècle. Dans le transept une statue
de Sainte-Thérèse invite au recueillement. Le mobilier cultuel est ancien. Par la rue Grande en direction
du centre ville, passer devant l’hôtel de Croissy (2) (au N°7) à gauche un ancien hôtel particulier du
XVe au XVIIe siècle.
Découvrir sur la droite l’Hôpital et son ancienne chapelle (3) dédiée à Saint-Remy (Cet Hôtel-Dieu fut fondé
au XIIIe siècle et reconstruit à la fin du Moyen-Âge. On y soignait les pauvres et les enfants trouvés. Il devient
hôpital général en 1654. Il a conservé sa chapelle rebâtie au XVe siècle avec un porche surmonté d’un élégant
campanile de la Renaissance.),
puis l’hôtel de l’Equerre (en face du N°19) maison à encorbellement de la fin du XVe siècle.
Tourner à droite dans la rue des Osiers, c’est l’ancien quartier des Tanneries.
Redescendre à gauche par la rue Saint-Rémy.
Dans la rue Grande tourner à droite jusqu’au Vieux Manoir (4), maison à pans de bois construite en 1568.
Elle abrite les collections du musée municipal.
Plus loin à droite, maison du baillage (5), puis sur la place Foch l’Hôtel de ville (6).
Traverser ensuite le parc de loisirs (7) passer devant le petit moulin (8) et revenir à l’église Notre-Dame.
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Intérieur de l’église Notre-Dame
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Voir aussi circuit « sur les pas... du Bienheureux Herluin » - Info 02 31 32 56 68
Rocques / Hermival-les-Vaux
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> 11 km - durée 3h10 - Difficulté : marcheur (Variante boucle de 8 km - durée 2h30)
Rocques, tout proche de Lisieux
était un lieu où Thérèse accompagnait
son père qui aimait la pêche.
Paysage vallonné
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SORTIE LISIEUX/DEAUVILLE
Parc zoologique de Cerza
Visite au parc zoologique de Cerza
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Photo J. Boisard
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Eglise de Rocques
(1) Départ de l’église de Rocques où Thérèse s’est recueillie. Descendre vers la Paquine. Passer le pont et
monter à droite au calvaire. Obliquer à nouveau à droite.
A la ferme de Caumont (2), suivre le chemin goudronné à droite puis descendre la première
à gauche dans la vallée du Morbec. Tourner à droite dans le chemin. Monter par le chemin goudronné pour
rejoindre la route (3) que l’on poursuit sur la gauche.
Une variante est possible pour une boucle de 8 km : continuer en face et entrer dans le bois à gauche.
Descendre, couper la D262 et rejoindre le circuit après le pont au point (5) (fin de la variante).
A l’intersection La Bassière (4) abandonner le chemin balisé qui monte sur la gauche
(en direction de La Coudre) et descendre à droite la route bétonnée vers Hermival-lesVaux. Continuer tout droit dans Hermival-les-Vaux. L’église se trouve sur la gauche. Après
l’avoir visitée, obliquer deux fois à gauche suivre le GR 26 (balisage rouge et blanc).
Au lieu-dit les Anglements, descendre à droite.
(5) Ne pas franchir le pont, mais s’engager sur le chemin de terre à gauche. A son extrémité, monter
à gauche. Au stand de tir, tourner à droite. Bifurquer ensuite à droite à la petite route.
(6) Balisage jaune : descendre à droite la D263, pour regagner l’église de Rocques.
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Ferme de Caumont
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Crédit photo Cerza : G. Lacz
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Saint-Martin-de-la-Lieue
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> 8 km - durée 3h - Difficulté : marcheur
Photos J. Boisard
Thérèse était sensible à la beauté de la nature. Elle écrivait au Carmel
« Je rêve les bois, les fleurs, les ruisseaux... »
Rivière
Droits réservés : Carmel de Lisieux
Eglise de Saint-Martin-de-la-Lieue
DéPART DE LA MAiRiE. PARkiNg
(1) Tournant le dos à la mairie se diriger vers la gauche (direction Lisieux).
A 20 m panneau N°1 « plan du circuit ». Poursuivre en laissant à gauche la
rue des 3 Dés ; belle propriété à pans de bois. A la sortie de l’agglomération
sur la droite dans les feuillages, entre deux bâtiments, prendre l’escalier
très raide dans le sous bois. La traversée de la route est délicate en raison
d’une circulation dense et rapide.
En haut de l’escalier un panneau N°2 « Les origines de St Martin ». On
poursuit le chemin à droite sur plusieurs centaines de mètres jusqu’à le
route goudronnée.
Panneau N°3 « La vie d’un village ». Prendre à gauche ; jolie vue sur les
pentes, les prairies, les bovins, le village. Vers le haut de la côte tourner
sur la droite par le « Chemin des anciennes sablières », goudronné puis
herbeux. (Il n’y a plus de repère visible des sablières).
Vue sur les pentes et les prairies
On atteint le panneau N°4 « L’if ». (joli commentaire sur cet arbre dont on ne repère pas de
sujet sur place). En chemin, un panneau explique l’exploitation des sablière N°5 Après une
longue descente panneau N°6 « Les pommes ». Nous atteignons la grande route du départ.
Prendre à gauche, traverser le bourg. Passer devant le Manoir d’Argences. A travers les grilles
on aperçoit quelques anciennes constructions.
Panneau N°7 « Sacha guitry ». Poursuivre la route de Fervaques jusqu’à l’église (Xe à XVIe siècle),
panneau No 8. Retour sur nos pas ; 100 m plus loin, balisage jaune, chemin à gauche « Chemin de la
blanchisserie ». Traversée de la Touques sur un pont de bois. Promenade ombragée. Au croisement
avec la D579, prendre à droite et tout de suite à gauche. Un chemin herbeux longe la rivière.
Au niveau d’un petit pont Panneau N°9 « Les chevaux lourds ».
A la route goudronnée prendre à droite puis à gauche par la rue « Robert Lecorneur », poursuivre vers le
nord pour retrouver la route qui longe la Touques.
(En chemin panneau N°10 « Le petit manoir »). Nous sommes accompagnés du clapotis de la rivière que
l’on aperçoit de temps en temps entre les feuillages. Monsieur Martin y allait à la pêche.
Un nouveau panneau N°11 « La ferme normande », avant d’atteindre « Le domaine Saint-Hippolyte »
panneau N°12 « La vache normande » puis N°13 « Saint-Hippolyte » ; bâtiments à pans de bois et
briques chargé d’histoire, actuellement ferme expérimentale, accueil et hôtellerie.
Remonter vers la droite pour rejoindre la D64. Dernier panneau N°14 « Le champ de courses ».
Rejoindre à droite au point de départ par cette route passante sur 700 m.
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Pont-l’Evêque
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> 1,5km - durée 1h30 - Difficulté : promeneur
Thérèse Martin, avec son père, ses deux sœurs et l’abbé Lepelletier
sont en promenade à Pont-l’Evêque.
Les jeunes filles cueillent des fleurs des champs. L’abbé dessine la scène.
Rivière poissonneuse
Distillerie du Château du Breuil
Les Chais du XVIIe siècle
du Château du Breuil.
Ouverts aux visiteurs
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Eglise Saint-Michel
Départ de l’église Saint-Michel (1). Une tour massive, fortifiée, surmontée d’un beffroi très particulier
couvert d’ardoises, une nef et un chœur d’un gothique élégant sont éclairées de vitraux contemporains
propices au recueillement.
Le dessin de l’abbé, avec l’église et un important bâtiment sur sa droite (le collège Institution Sainte-Croix
détruit en 1944) permet de repérer l’endroit de la scène familiale : un champ devenu difficile d’accès en raison
des confluents des cours d’eaux (Touques, Calonne et Yvie) et des constructions nombreuses. Il est situé au
nord de l’église (à l’opposé de la tour) sur la rive droite de la Touques. Il peut s’apercevoir auprès de l’hôtel de
la Touques (au chevet de l’église).
Une promenade remontant la rivière sur sa rive droite vers d’autres champs est accessible en traversant le
pont par quelques marches au niveau de l’Office du Tourisme.
(2) Revenir par la Rue Saint-Michel. Au numéro 38, la Bibliothèque, ancien Hôtel Montpensier construit au
XVIIe siècle.
(3) Plus loin sur la droite après le passage du pont sur l’Yvie dans la rue Vieille, l’Hôtel de ville ancien Hôtel de
Brilly XVII et XVIIIe siècle.
(4) Plus à l’ouest le vieux quartier de Vaucelles.
(5) Revenir vers l’est par la rue de la Vicomté vers l’église Saint-Michel. Regarder l’ancienne prison du XIXe
siècle au croisement avec la rue Eugène Pian.
La ville comporte bien d’autres curiosités, distilleries, église Saint Mélaine, espace culturel des Dominicaines etc..
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Point de vue
du dessin
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Quartier de Vaucelles
Dessin de l’abbé Lepelletier
sur le cahier de Thérèse
lors d’une partie de pêche
à Pont-l’Evêque. Il est difficile
de préciser le lieu exact
du point de vue, car l’édifice
repéré à droite de l’église,
le Collège Institution
Sainte-Croix, a été
détruit en 1944.
15
Droits réservés : Carmel de Lisieux
Saint-Ouen-le-Pin
7
> 4,8km - durée 1h45 - Difficulté : promeneur
« Thérèse y est allée en 1884 et 1885 d’abord pour soigner
sa coqueluche, puis, ensuite, en vacances avec ses sœurs et ses cousines.
Elle a dessiné la ferme contigüe à la maison. Promenades au bois du Theil et à l’église »
Photos Corinne Stoll®
Maison de la tante de Thérèse
Pont et Calvaire sur le chemin de l’église
Intérieur de la maison vers le jardin
(1) Maison de la famille de la tante de Thérèse. A Saint-Ouen-le-Pin
sur la D59 en direction de Bonnebosq.
Prendre le chemin goudronné qui descend à gauche vers le bourg de
Saint-Ouen. A gauche une grosse ferme de plusieurs bâtiments à pans
de bois que Thérèse Martin a dessinée.
On traverse un gros ruisseau puis remonte par un chemin pentu encadré
de haies vives. Se retournant dans une entrée de champ, on voit bien
de l’autre côté du vallon, la première « école obligatoire » voulue par
Guizot ; bâtiment de briques rouges, simple et bien conservé. Au
creux du vallon les pièces d’eau de la ferme où Thérèse allait pêcher
en famille. Un bosquet couvre le haut de la colline, le Bois du Theil.
Après 7 à 800 m tourner à droite vers l’église.
(2) Construite au XIXe siècle, elle est entourée d’un cimetière avec le
monument funéraire de la Famille Guizot-Schlumberger dont le plus
connu est François qui fut ministre, acheta les ruines de l’Abbaye du Val
Richer pour en faire une belle demeure (Château du Val Richer).
Vue du rez-de-chaussée
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(3) Sortant du cimetière prendre la route en face. A travers prairies et bosquets elle mène jusqu’au Château
du Val Richer installé dans le bas de la pente qui mène au Ruisseau.
Entourée de murs anciens, la propriété (privée) déploie ses bâtiments de silex, de briques et de pans de bois
des communs autour d’une belle bâtisse du XIXe siècle.
On atteint le creux du vallon par de longs virages bien dégagés offrant au regard des pièces d’eau.
On emprunte alors la D59 vers la droite, au niveau d’une exploitation forestière.
(4) Au bout d’un km sur la gauche une fontaine dite d’Arlette est datée de la deuxième moitié du XIXe siècle.
500 m plus loin nous retrouvons notre point de départ où nous pouvons facilement imaginer la vie dans les
années 1885, dans l’aménagement des pièces, leur décoration que dans les espaces et bâtiments voisins,
heureusement préservés et accueillants.
Le Mont Hébert
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La Daubilière
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Deauville / Trouville
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durée 2h30 - Difficulté : promeneur
Thérèse Martin fait plusieurs séjours à Trouville et Deauville
où elle retrouve ses cousines pour des vacances.
De la villa du quai de la Touques, Thérèse voyait Notre-Dame-des-Victoires.
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(1) Départ du parking du Quai de la Touques à Deauville. Au 17, Chalet des Roses où a séjourné Thérèse
en mai 1885. Une plaque commémorative est apposée sur la façade sud derrière la grille. Thérèse regardait
l’église ND des Victoires au cœur de Trouville à l’Est. Rejoindre le Pont des Belges qui traverse le Bassin à flot
puis la Touques. Tourner à gauche dans le Boulevard Fernand Moureau. On longe à gauche l’embouchure
de la Touques, à droite des commerces, l’Office du Tourisme.
(2) Passage devant l’Hôtel de Ville (1912), à gauche la Poissonnerie (1936). Au long du quai à gauche activités
de pêche et promenades en mer, le bassin des yachts. Place Maréchal Foch, statue de Gustave Flaubert.
Nous contournons le Casino (1912).
(3) Au chenal, une jetée de bois s’avance dans la mer. Nous sommes sur la plage de sable fin. Ensuite la
Promenade des planches (1867) facilite la marche. A gauche : piscines, tennis…A droite les villas du bord
de mer (1865-1885) sont des occasions de découvrir la richesse de l’imagination des architectes, artistes et
riches vacanciers de la fin du XIXe siècle.
(4) Au-delà des planches s’étale le sable fin. Un ruisseau dégringole de la colline et se perd dans le sable. Il
descend du côté d’un escalier, l’Escalier Marguerite Duras. (Elle possédait un appartement dans le majestueux
Hôtel des Roches Noires (1865). Thérèse raconte qu’à cinq ans (1878) en promenade avec son père, elle avait
par là découvert pour la première fois la mer. On longe une suite de villas du XIXe siècle construites presque
les unes sur les autres, sans grand souci d’urbanisme. Passer devant le musée Villa Montebello (collections
de peintures) puis la rue Pasteur, rue de la chapelle, atteignant ainsi la place Maréchal de Lattre de Tassigny
et l’église Notre-Dame-de-Bon-Secours.
(5) Construite dans la deuxième moitié du XIXe siècle, elle accueille des dévotions à la Sainte-Vierge, SainteAnne et bien sûr Sainte-Thérèse de l’enfant Jésus (statue dans le bas côté droit)… Cette église reçoit aussi
des œuvres plus récentes : vitraux et un chemin de croix à fresque très émouvant.
(6) Notre promenade se poursuit selon la même direction par la rue Victor Hugo où séjourna Thérèse Martin
en 1885 dans une villa (No. 25) avec sa tante et ses cousines. Nous tournons à gauche dans la rue Paul
Besson, puis à droite dans la rue des Bains, enfin à gauche dans la rue Legendre, atteignant ainsi...
(7) la rue de la Cavée. En pente raide nous nous arrêtons un instant au No. 29 où Thérèse fit deux séjours :
plaque commémorative. La maison a changé plusieurs fois de nom mais garde le souvenir de la sainte
(Pluie de Roses…en raison de l’attachement de Thérèse pour ces fleurs).
(8) Redescendre par la rue Georges Clémenceau. Bientôt elle remonte doucement jusqu’au croisement de
la rue de Verdun que nous empruntons à gauche jusqu’à l’église Notre-Dames-des-Victoires. Construite en
1852… Thérèse Martin y venait à la messe, priait, se confessait. Cette église comporte un autel surélevé
et une circulation autour du sanctuaire (déambulatoire) comme dans les églises sièges de pèlerinages.
A gauche de l’autel principal, statue de sainte Thérèse, œuvre d’Yvonne Parvillée. Affichage de dessins et
textes de la Sainte.
(9) Redescendre en empruntant la rue Notre-Dame. Nous voici à nouveau dans le Boulevard Fernand
Moureau. En sens inverse nous regagnons le point de départ au Quai de la Touques à Deauville.
Maison « Pluie de Roses »
Plage de Trouville
19
Livarot
9
durée 1h30 - Difficulté : promeneur
Thérèse fera deux voyages de Lisieux à Alençon pour voir sa famille restée
dans l’Orne. Le trajet passe par Livarot. Ville en pleine expansion
à son époque en particulier l’industrie fromagère...
Chez les Martin, on aime la nature et ce qu’elle donne, les bons repas.
Livarot un bourg chargé
d’histoire depuis les Romains.
Au confluent du ruisseau
Fleury et de la Vie. Un parcours
en zigzag dans le temps
et les activités humaines.
Visite gratuite
Visite du hâloir
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Eglise Saint-Ouen
(1) départ de la place de la mairie. Se diriger en descendant la rue M. Gambier. A quelques centaines de
mètres sur la droite un joli château du début du siècle dernier, le manoir de l’Isle. Propriété de la ville il
abrite la Communauté de communes. Son parc est un jardin public. Riche demeure témoignant de la réussite
économique des fromagers. Revenant sur nos pas nous tournons à gauche par la rue Hochet pour atteindre
la place Pasteur.
Place du marché (2). Au XIe siècle s’élevait le château fort. Empruntant la rue Levesque découvrir sur la
gauche l’ancienne usine Leroy (3) (boites qui permettent de faire voyager les fromages). L’énergie est
produite par une machine à vapeur construite pour l’exposition universelle de Paris de 1889. Prendre la rue
de la République sur la droite. Elle conduit jusqu’à la rue Banaston où on découvre un quartier ouvrier.
(4) Se diriger vers la droite par la place X. de Maistre puis la rue Marceau revenir dans la rue Maréchal Foch.
(5) La rue commerçante, l’une des plus anciennes. Maisons à pans de bois, ruelles latérales, courettes. Quelques
façades parées de céramiques égaient le parcours. Dans le haut de la rue, l’église (6) Saint-Ouen (XIV au
XIXe siècle). A l’intérieur orgues Charles Muttin. Des concerts sont régulièrement organisés. On peut penser
que si une halte avait lieu, Thérèse et son père auraient visité cette église. Redescendant la rue Maréchal
Foch, tourner sur la gauche dans la rue Racine. A 100 m une grosse bâtisse de brique abritait la Halle au
beurre (1825) (7)Descendre la rue Parmentier. Au croisement avec la rue Général Leclerc tourner à gauche.
Laisser à gauche l’avenue de Neuville et poursuivre tout droit sur 200 m. Il y a sur la gauche le « village du
Fromage » ; visite de la fromagerie, documentaires, boutique...
(8) Revenir sur ses pas et se diriger vers le camping,
(9) s’y trouve un lavoir ancien sur le ruisseau Fleury. Retourner au point de départ.
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Façade parée de céramiques
Aux alentours de Livarot,
belles promenades :
église de Saint Michel-de-Livet,
église de Saint-Martin
de Mesnil-Oury (XVIe siècle),
le manoir de Bellou…
Un séjour en ville permet
d’y apprécier la gastronomie
et les nombreuses activités
culturelles et de loisir.
21
Langrune-sur-Mer / Luc-sur-Mer
10
> 3,5 km - durée 1h30 - Difficulté : promeneur
Thérèse Martin devient
la « sœur spirituelle »
de Maurice Bellière
qui lui a demandé
ses prières, car il vit
dans l’inquiétude
son projet de devenir
missionnaire
en Afrique. Elevé
à Langrune par sa
mère adoptive dont
le mari périt très tôt
en mer, il correspond
avec la carmélite.
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Parking à l’Office du Tourisme (1). Sur la grève, jusqu’au milieu du siècle dernier, une partie de la plage était
occupé par un chantier naval pour la construction et la réparation des bateaux à fonds plats des pêcheurs.
Au feu, prendre la rue de la mer. Au N°15 passage vers des maisons de pêcheurs ; l’une d’elles (2) fut occupée
par Maurice Belllière. De sa fenêtre, d’un côté il pouvait contempler la mer, de l’autre, l’église.
Plus loin une belle grille s’ouvre à gauche sur un petit parc.
Passant entre deux rangs de maisons anciennes, nous arrivons à l’église, bel ensemble gothique
(XII-XIXe siècle)(3). Riche de reliques et statues, elle est entourée du cimetière dans lequel se trouvent la
tombe du Père Bellière et un curieux monument aux morts où il a fallu ajouter des « pages » pour inscrire les
noms des trop nombreuses victimes civiles et militaires des guerres.
A l’ouest de l’église, la mairie (4), ancien château de Tournebu, vénérable bâtiment garde dans son parc un joli
monument dédié aux trois grâces ( copie de l’œuvre de Germain Pilon).
Reprenant notre promenade, nous nous dirigeons vers l’est par les rues Abbé Rolland puis Jean Monnet,
enfin rue du Moulin pour atteindre entre les champs un camping (Mer et Vacances) (5).
Au-delà, un sentier nous conduit à Luc-sur-Mer. Nous n’empruntons pas le sentier vers Douvres mais
remontons, un peu à l’abri de la circulation par l’Allée Brumel jusqu’au carrefour de l’étoile (6) (sur la droite
une belle maison de pierre porte l’indication de la ville : c’était la gare du chemin de fer.)
Par la rue de la mer nous allons jusqu’au parc de l’Hôtel de ville (7) où nous pouvons profiter d’une végétation
variée, des jeux d’enfants, volière, pièces d’eau et surtout admirer le squelette d’une baleine échouée sur la
plage de Langune le 15 janvier 1885 (une petite exposition illustre l’évènement.)…
Poursuivant notre chemin nous atteignons rapidement la mer, l’établissement thermal, le casino et, lorsque
la mer n’est pas trop haute (se renseigner), il est possible de suivre le littoral vers l’ouest, par la plage ou sinon
par la route, jusqu’à l’Office du Tourisme de Langrune notre point de départ.
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1 - Office du Tourisme
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5 - Camping
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Circuit auto dans l’ouest
du diocèse et Thérèse Martin
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A 14 ans Thérèse Martin brûle d’entrer au Carmel de Lisieux.
Mais elle n’a pas l’âge requis. Elle fait le voyage de Bayeux
pour demander à l’évêque une dispense.
Eglise de Cahagnolles
Père Adolphe Roulland
24
Cathédrale
de Bayeux
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Abbaye Saint-Martin-de-Mondaye
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Départ :
Abbaye Saint-Martin-de-Mondaye. Partant de
Bayeux du rond point sud vers Noron la Poterie et
Saint-Lô, par la D572, après quelques centaines de
mètres emprunter à gauche la D67. Elle passera
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BAYEUX
au dessous de la N13. Après 6 km environ à
son croisement avec la D178 emprunter celleci à gauche vers l’Abbaye. Parking. Possibilité
O
E
d’hébergement. Exposition sur les liens entre la
famille de Thérèse Martin et le Frère prémontré
3
Godefroid Madelaine. Visite de l’Abbaye. Possibilité
S
de participer aux offices.
(2) Vers Cahagnolles (distance 10 km). une
campagne verdoyante, des petits hameaux, une
route aux changements de direction surprenants
emprunte à gauche à la sortie du domaine de
l’Abbaye la D178 en direction de Noron puis à
gauche dans la D99a en direction de Saint-Paul-duVernay où elle devient D99. On la poursuit pendant
3 km. Après on aperçoit sur la gauche la petite église
de Cahagnolles, humble, au milieu de son cimetière.
Petit édifice presque fortifié. La visite émouvante
Juaye
évoque le père Roulland missionnaire en Chine
Mondaye
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enfant du pays, soutenu dans sa mission par la
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Abbaye
de ses premières messes. Une exposition évoque
cet accompagnement par la future « patronne des
missions ». Le site de l’église est plein de charme.
Une petite pièce d’eau s’étale en contrebas.
(3) En chemin vers Bayeux distance 15 km. par les
D99 puis D572 avant d’entrer dans la ville. Stationner
dans le Parking à l’entrée de la ville. Gagner à pied
la cathédrale (XIe à XIXe siècle). Des descriptifs sont
Vers Caen
disponibles. La chapelle dédiée à Sainte-Thérèse est Cahagnolles
toujours bien fleurie….
2
En chemin de retour vers l’Abbaye Saint-Martin-deMondaye (9,6 km) : Regagner le rond point vers la
route de Saint-Lô. Après 500 m tourner à gauche
Abbaye Saint-Martin-de-Mondaye
dans la D67 sur 6 km puis à nouveau à gauche sur
Accueil et Hébergement possibles.
25
1,1 km enfin apercevant le clocher de l’Abbatiale
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Juin 2011