BSGA.COM N°

Transcription

BSGA.COM N°
Le journal de Bussy Saint Georges Athlétisme
BSGA.COM
N°
1
L’éditorial de B.S.G.A. COM
Les championnats du monde, un pari réussi,
une organisation à la hauteur de ses
ambitions.
Cindy BILLAUD 10ème mondiale dans sa
catégorie.
Octobre 2003
Sommaire
1 Le mot du Président
2 L’entraîneur du mois
Christophe BONNET un européen en herbe.
Le forum des associations, une belle vitrine
pour le club et le meilleur accueil pour les
nouveaux adhérents.
François CASTILAN 1er au challenge de
Seine et Marne dans la catégorie vétérans
course hors stade.
BSGA a besoin également de soutien, je
vous invite à accueillir la société
« PRIVILEGE » nouvelle recrue qui souhaite
se développer avec nous.
Enfin une date utile à noter, l’assemblée
générale du club aura lieu le 15 novembre
2003 au gymnase Maurice Herzog.
Bonne lecture à tous,
Le président
Jean-Paul ZITA
Francois CASTILAN
3 Des bénévoles au cœur de
l’événement
4 L’avenir du Club
5 Rêveries autour d’un partenaire
6 Résultats
7 Informations générales
« Ce journal à caractère privé, est destiné à informer uniquement les adhérents de B.S.G.A. aucune reproduction n’est autorisée ».
2
L’entraîneur du mois
Petit Rappel d’histoire
François CASTILAN
Records personnels :
10 km 33’40" Reims 1996
Semi marathon 1h15’23" Phalempin 2000
Marathon 2h47’00" Paris 2003
Je suis né le 17 juillet 1960 vers 17h00 dans une ambulance
juste en face du commissariat de Saint-Maur des Fossés (94), certains y
verront le signe d’une première arrivée au sprint !!!!
J’ai très vite été imprégné par une culture sportive ; un grandpère gymnaste et spécialiste du 1500m (moins de 3’50"), un père
sprinter (11s sur 100m) footballeur et judoka.
Le sport je l’ai véritablement découvert avec l’AS de mon
collège en pratiquant du basket, du handball et de l’athlétisme pour
dépanner l’équipe de relais. L’année de 3ème sera consacrée à
«l’athlé» et au 1200m avec une finale inter académique en individuel
ou j’ai terminé bon dernier.
Au Lycée un peu plus d’athlétisme
mais toujours du hand, du tennis de table et du volley ; conséquence de
cette boulimie sportive une compétition tous les mercredis !!! La
terminale s’achève avec une finale inter académique de hand perdue,
une finale inter académique sur 800m où je termine encore dernier
avec un modeste record en 2’01".
A l’université Paris VI, je me décide à intégrer l’équipe
d’athlétisme (mais toujours pas un club) et je découvre la longueur, le
javelot le 200m et le 400m grâce à 2 super entraîneuses (une française
et une roumaine), elles sont de véritables animatrices, compétentes et
motivées, elles sont toujours souriantes avec notre groupe. Pourtant les
résultas ne sont pas bons ; il me faut 2 jours pour récupérer de ces
entraînements « à la roumaine » ; je n’arrive plus à courir un 800m, le
3000m est une catastrophe, à la longueur je ne retiens jamais mes
marques, le comble pour un futur scientifique ! Quand au cross, je
reste collé dans la boue !!! Avec mon statut d’athlète de « bas niveau »
j’ai toujours apprécié l’ambiance de cette équipe universitaire,
solidaire, conviviale un peu « intello » mais pas trop sérieuse.
L’intermède militaire à Fontainebleau et à Paris dans le régiment des « commandos
stylos billes » me permettra de fréquenter l’équipe de cross avec des athlètes du Stade
Français du PUC et de Montreuil, mais pas de «perf» individuelle.
L’entrée dans la vie professionnelle en 1984 va se traduire par 7 années
d’interruption avec l’athlétisme hormis le footing du dimanche. Puis en mai 1991, je relève le
défi lancé par mon beau frère qui m’invite à participer (sans entraînement) à un 15 km du
côté d’Ozoir la Ferrière, en 1h04 minutes la route m’a semblé très très longue.
Le déclic se produit après mon embauche au CEA à Saclay, mes patrons me mettent
en relation avec « les furieux » de la course à pied, « ils s’entraînent tous les midis et certains
ont le niveau national ». Me voilà enrôlé dans ce team entreprise pour 2 footings par semaine
puis 3 avec une séance de fractionné, puis 4 puis 5… La compétition sur route débutera en
septembre 1992 sur 7 km pour la Course de la Rentrée au Perreux sur Marne
Aujourd’hui je mesure tout le chemin parcouru avec cette première licence FFA au club de BSGA, quelle
aventure de porter les couleurs de ce club et de faire profiter aux jeunes de 7 à 77 ans de ma modeste expérience de
l’athlétisme. BSGA c’est un peu de moi même, enthousiaste, convivial, motivé, un peu « intello » parfois mais pas
trop sérieux tout de même.
Dernière minute : François remporte le challenge de Seine et Marne (Catégorie Vétéran 1) avec
beaucoup de stratégie et une bonne calculatrice. En effet le classement s’établit à partir des 30 courses
sélectionnées, les 10 meilleurs résultats sont retenus (dont 1 course S, 3courses A, 3courses B, 3courses C).
1 er
206 Points
CASTILLAN
François
ème
203 Points
MARCINKOWSKI
Claude
3 ème
183 Points
JEAN BAPTISTE
Jean Bertin
2
190 athlétes classés
BUSSY SGA
UAV
ASRD
3
Des bénévoles au cœur de l’événement
Les tribulations d’une bénévole aux championnats du monde d’Athlétisme
De ces championnats du Monde, je retiendrai surtout cet océan
de clameurs et d’émotions qui ont rempli que dis-je, inondé le Stade de
France pendant 9 jours.
Pourtant cela avait mal commencé pour moi et pour beaucoup
d’autres qui n’ont pas le malheur d’être classée parmi « les géants » !
Lorsqu’on m’a « offert » la tenue officielle et obligatoire des
volontaires « assistants aux services d’accès à la sécurité des
spectateurs », j’ai cru à une confusion.
Serai-je vraiment prise au sérieux dans mon rôle de bénévole accoutré d’un pantalon taille 44 et chaussée de
baskets… pointure mais. 42 ? Il n’y a que les polos rouges qui sont à ma taille, il me manque plus que le faux nez
et je suis bonne pour le gala des artistes ! Mais enfin l’Esprit Volontaire est là.
Un saut à GO Sport pour acheter un pantalon beige à ma taille, MES baskets à mes pieds et hop me voilà aux portes
du superbe Stade de France, le samedi 23 août dès 7 h du matin, en schtroumpfette rouge, le sourire aux lèvres et
le guide des volontaires à la main (c’est notre bible où se trouvent consignés les Devoirs du Parfait Volontaire et
surtout le plan du stade et le programme de la semaine !)
Je fais connaissance avec mon chef d’équipe, Jean-Luc, et de mes coéquipiers. Nous sommes dix en tout
venant des 4 coins de l’hexagone (d’Alsace, de Lorraine, de l’Anjou du sud …) et même d’Europe car nous avons
dans nos rangs Béléna une ravissante espagnole Ollé !
J’apprends que mon équipe est responsable de la tribune intermédiaire EST E2 E4. Vite on repère les sièges,
on se répartit les rangs, voyons de 0 à 20 c’est par-là de 20 à 35 c’est par ici (et l’évêché c’est au fond à gauche ?) et
ma gauche au fait c’est … GARDE à vous … vlà les premiers spectateurs ! Mince des américains !
Zut c’est que je n’ai pas révisé mon anglais, moi ! Mais avec les mains et le sourire le « langage » devient universel.
Samedi 23 Août 8h30 : les Dieux du stade entrent
en scène. Les épreuves du poids et les 20 km Marche voient
se remplir le stade encore endormi… réveillé alors par
l’arrivée des reines de l’athlétisme : les « heptatlonniennes »,
en tête Eunice qui ouvre le feu d’artifice en gagnant le 100m
haies.
Premières clameurs, premiers enthousiasmes
premiers applaudissements …et premiers accrocs aux
règlements « du parfait volontaire ». Mon équipe et moi
crions notre joie et encourageons Eunice avec ferveur au lieu
de faire preuve de discrétion. Comment ? Il n’est pas
COONNvenable de supporter nos athlètes ou alors de façon
discrète ! Nous précise «une casquette noire» (un big boss
qui a une grosse tête). Discret ? C’est un mot que nous avons
rayé de notre vocabulaire (en ce qui concerne nos
encouragements, en tout cas) pendant ces 9 jours Bénévoles
oui, mais sportifs et français avant tout … Vive la France ! (et zut à la casquette noire Non Mais !) Et puis comment
aurions–nous pu contenir notre enthousiasme devant le duel entre Eunice et Caroline déjà le stade gronde… de plus en
plus fort… pour éclater de joie en voyant Eunice gagner sa médaille d’argent ce dimanche 24 août !
Dimanche 24 Août : Passons sur Drummond et son cinéma américain et savourons la course de nos 2 p’tits
gars du 400m Leslie Djhone et Marc Raquil. Raquil : ? espèce rare appartenant à la famille des gazelles qui ont la
particularité de démarrer au diesel et de terminer comme une Ferrari.
Avez–vous vécu un tsunami ? Eh ! Bien soyez en tribune basse entourée de spectateurs retenant leur souffle
guettant le départ. Puis une vague de clameurs qui monte, qui monte, qui monte de plus en plus, à fur à mesure que les
coureurs se rapprochent de vous et devient assourdissante. Ils filent…. Là…… devant vous et c’est la déferlante,
vous voilà noyé de cris, de bruits, de frissons et telle la vague énorme du tsunami vous explosez enfin de joie à
l’arrivée époustouflante de Marc et de Leslie Ouf, que d’émotion !
Je suis aphone et brisée de fatigue : levée depuis 6h du matin, debout
pendant près de 10h, couchée vers minuit et ce n’est que le 2ème jour !
Mais demain est un autre jour.
Lundi 25 août : … Jour frustrant car je me trouve sur le parvis du
stade orientant, réorientant les spectateurs, informant les pressés « les
toilettes c’est où ? » ? , les affamés, « pour manger c’est par-là ? » et les
retardataires, essoufflés que nous accompagnons bien volontiers jusque dans
leur tribune.
Mardi 26 et les autres jours…. Mon équipe et moi avons retrouvé nos tribunes et nos habitués. Les mamies
américaines et anglaises sont ravies de pouvoir compter sur nous pour les ravitailler en boissons fraîches, sandwichs,
programmes…etc. On travaille aussi pour l’entente cordiale ! Chic nos amis suisses sont encore là, allez on se fait la
bise... nous les aidons à installer leur drapeau, …on donne un coup de main pour accrocher celui des supporters
allemands. Et vive l’Europe quand on aime on ne compte pas ! Tiens mon papy journaliste est là aussi. Il est content
de pouvoir s’asseoir près de nous et de faire un brin de causette avant le début des épreuves …et de sa sieste.
Si la fatigue nous gagnait chaque jour un peu plus, le stade tel un lion rugissant nous dopait devant le spectacle qui
nous a été offert chaque jour.
Mardi Marc Raquil nous a secoué lors de
sa finale du 400m, mercredi c’est au tour de Mehdi
de nous enthousiasmer par sa magnifique
prestation, Hernu qui a joué sa chance n’est pas de
reste et que dire des athlètes aveugles comme
Assia El Hammouni ou de Jeannot médaillé d’or
au 1500m fauteuil roulant.
Samedi 30 et dimanche 31 août : Toute
l’équipe est encore au complet, fidèle au poste.
Notre chef d’équipe est fier de nous. Peu
d’équipes, en effet le sont encore ! Au fil des
jours des volontaires ne sont pas revenus : fatigue,
démotivation, insubordination …Telles ont été les
raisons des désagrégations de certaines équipes.
Quant au stade il est chauffé à blanc et nous « shootés » à morts, ivres du bruit, d’émotion et de fatigue. Mais les
athlètes sont bien là pour nous offrir encore une fois notre lot de hourras de holas de grands bonheurs et à croire
qu’impossible n’est pas français lorsque Eunice propulsée par le stade, gagne enfin sa médaille d’or et d’une ! Peutêtre galvanisées par cette victoire, nos gazelles antillaises nous offrent une 2ème médaille d’or, au 4x100. Et de deux !
Bénévole ou pas j’agite mon drapeau tricolore, celui qui a connu la coupe du monde de foot et de rugby et
allez pour une 3ème de la journée! Celle-ci, elle est en argent mais pour tous elle vaut de l’or : le stade explose de joie
devant le courage des garçons du 4x400 eh hop nous voilà dans les bras des uns des autres, spectateurs, bénévoles
bref, le bonheur total quoi !
Le RER m’emporte. Il est minuit, je suis
ivre de bruits, d’images, de musiques. J’ai laissé
derrière moi mes coéquipiers et dit au revoir à nos
amitiés. Nous n’oublierons pas de si tôt cette
expérience
J’ai fait « le plein » d’émotions. Bientôt je
m’endors avec ces visions de moments intenses de
bonheur partagé et facile à trouver du moment
que l’on partage aussi cette passion qu’est le sport
tout simplement !
Chantal SILLAN
4
L’avenir du club
Le BSGA a la volonté de se développer, prendre une certaine dimension, de jouer un rôle sportif et social au
niveau de l’expansion de notre commune.
Pour atteindre nos objectifs il faut :
‰ Continuer à entretenir l’esprit BSGA (sportif, sérieux et sympa).
‰ Devenir un club de mieux en mieux structuré
‰ De plus en plus de bénévoles engagés,
‰ Un financement
Le financement dépend des Foulées de Bussy Marne La Vallée, des partenaires, des cotisations et parfois des
subventions ou aides de la municipalité.
Si nous voulons prendre une dimension nous avons besoin d’équipements, nous aurons des frais de transport
de plus en plus conséquents pour accompagner les athlètes lors des compétitions, nous souhaitons organiser de
nouvelles manifestations et bien sûr nous aurons besoin d’entraîneurs motivés et engagés dans un club dont ils auront
compris la philosophie et l’ambition.,
La bonne volonté de Jean-Paul, Suzy, Pascal, Fabrice, Eric, Giscard et des autres, si elle reste indispensable,
ne sera plus suffisante dans un proche avenir.
5
Rêveries autour d’un partenaire
Rendez-vous à midi avec Jean-Marc pour une rencontre avec Michel, le patron de « PRIVILEGE ». Le
dialogue s’installe, l’accueil est agréable. L’homme est intéressé par notre savoir vivre. Jean-Marc, le baroudeur
l’avait probablement conditionné, il est attachant, son objectif ne fait pas de doute : réussir, développer l’image, les
produits, son réseau ; avec quoi ? Le sport, BSGA entre autres, le goût de l’effort, de la réussite, de la gagne.
L‘esprit ouvert, un réseau d’amis, de partenaires. La complicité de deux idées, la conjugaison de la
passion, de l’envie de transmettre une valeur saine à la prochaine génération. Comment communiquer sur l’image du
sport, de l’athlète…tout un programme. BSGA, peut-il réussir sans communiquer, sans être soutenu par des
partenaires passionnés, intéressés ? Les aides privées sont primordiales pour permettre au club d’atteindre ses
objectifs quelque soit l’importance.
13 h 25 : Jean-Marc me rappelle mon rendez-vous de Bondoufle, passionnantes discussions, mais il ne
faut pas oublier que tu as un autre engagement aussi passionnant, le meeting pré-mondial.
Merci pour le rappel, nous nous quittons avec une envie de retour. 14h15, j’arrive à Bondoufle,
température supportable, 26°. Par ici monsieur pour recevoir les consignes de votre mission. Merci, signe là et voilà ta
tenue. Ça y est, je suis déguisé, cette fois-ci, c’est pour le dernier réglage avant les championnats du monde. 21
délégations prévues, stade quasiment désert, angoisse du directeur fédéral, remerciements du Directeur technique
national et enfin les dernières consignes. Compte tenu de la situation, nous allons reculer les horaires, départ de la
première épreuve, 17h au lieu de 16h. Jean-Paul tu prendras les haies 7 et 8, pour les 100m, tu t’occuperas de
l’arrivée et pour les autres courses tu te mettras à l’extérieur du virage du 200m pour juger les parcours des athlètes.
Merci, j’ai pris note. 3 heures de longue attente, alors j’ai décidé d’écrire ces quelques lignes pendant ce temps, les
copains installent les haies. Je suis tranquillement assis dans les tribunes spectateurs, j’observe, je pense, un certain
nombre de messages me viennent à l’esprit, je reste serein, passionné, ennuyé, je n’aime pas perdre mon temps.
Passionné, je ne sais pas. Peut-être parce que le monde associatif me fascine, m’intrigue, je cherche les
raisons de cet engouement, la motivation d’un choix controversé par l’énigme du savoir, de la connaissance
de…Alors, pourquoi pas toi, parce que tu te sens bien, mais au fond, l’es tu vraiment ? Ce qui est sur, je n’enregistre
pas les émissions sur l’athlé, je ne me réveille pas quand les JO sont à l’autre bout de la planète. Je sais par contre que
je veux donner des moyens, transmettre des valeurs, des messages à ceux qui voudront bien les capter. Je ne sais
pas s’il y en a, mais j’y crois. Alors, il faut être présent dans ces moments importants pour relever les enthousiasmes,
capter les informations, et, sourire…
Jean-Paul ZITA
Nota : N’hésitez pas à vous rapprocher de votre entraîneur pour en savoir plus sur la société PRIVILEGE
6
Résultats
-
Cindy BILLAUD se classe 10ème mondiale dans la catégorie Cadette avec un temps de 13"95 sur 100m haies
lors des Championnats du monde à Sherbrooke (Canada).
Christophe BONNET réalise 10"53 sur 100m !!!! (Record du club)
(Match Juniors POL-FRA-RUS le 9 Août 2003 à Zcweczin en Pologne).
-
Résultats du « Challenge de Seine et Marne Course Hors Stade 2002-2003 »
Seniors Hommes (182 Athlètes Classés)
Vétérans 1 Hommes (190 Athlètes Classés)
16ème JAECK Nicolas
24ème GUILLOT Marc
26ème GUIMOND Pascal
86ème BERNARD Marc
94ème BOISTEAU Peter
127ème RICORDEL Dominique
156ème DUMONT Thierry
161ème AUDEBERT Jean-Philippe
165ème BECOT Pascal
181ème PLEZ Frédéric
1er
CASTILLAN François
28 ème HAMILTON Patrick
76 ème CHEVALIER Eric
109 ème HUGUENOT Hervé
125 ème POUTEAU Hervé
150 ème BERNARD Patrick
187 ème DUMONT Thierry
Catégories Femmes (146 Athlètes Classées)
Vétérans 2 Masculin (131 Athlètes Classés)
110 ème JAMIN Nathalie ES
136 ème GEORGE Annie V1
141 ème SOREL Corinne S
2 ème VERDEYME Daniel
100 ème JORAND Christian
124 ème MONNEREAU Jean-Yves
Catégorie Clubs BSGA 6ème Equipe sur 27 classées.
7
Informations générales
-
Assemblée Générale BSGA
Samedi 15 Novembre 2003 à 16H00 au Gymnase Maurice HERZOG
-
Soirée du club BSGA
Samedi 13 Décembre 2003 au «Terrasses du Golf à Bussy »
Bonne humeur exigée et ambiance garantie
C’est bon pour moi, c’est bon pour mon club.
Faites gagner des points à votre club en récoltant les codes barres sur les
bouteilles d'eau Vittel !!! (Jean-paul et Suzy centralisent la collecte)
Les points collectés permettent l’achat d’équipements sportifs
Rédacteur en chef : Jean-Paul ZITA
Diffusion :
Jean-Marc VERLEENE
Révision: Suzy TERNON
Réalisation : Pascal BECOT
Conception : Jean-Marc VERLEENE
Imprimerie: DUPLIGRAFIC
Bussy Saint Georges Athlétisme
Site Web : http://www.bsga.fr.st
Email : [email protected]
Contact : Jean-Paul ZITA
Tél. : 01 64 30 60 83 ou 06 88 22 03 63
Mairie de Bussy Saint Georges [email protected]

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