Recherche sur les actions
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Recherche sur les actions Point de vue 15 mars 2016 Toronto (Ontario) Aine O’Flynn, CFA Directrice de la recherche sur les actions canadiennes BMO Nesbitt Burns Inc. Les six mois qui ont suivi le dernier Livre rouge ont été volatils. Le début de l’année 2016 a été chaotique avec les dégagements marqués sur les actions mondiales, le ralentissement de l’économie chinoise, le déclin continu des prix du pétrole, la hausse des tensions géopolitiques et la nette plongée du dollar canadien. Tous ensemble, ces évènements ont généré un début d’année difficile pour les investisseurs et les valeurs refuges ont été rares. Le mois dernier, au cours de ce que l’on peut considérer comme un petit répit, le S&P/TSX s’est modestement raffermi en passant d’un creux de 11 531 à 13 311, grâce au rebond de certains produits de base, dont le pétrole brut et le cuivre. Les perspectives de l’économie canadienne et du S&P/TSX restent mitigées. Doug Porter, économiste en chef de BMO, prévoit que la croissance de l’économie canadienne restera lente; après une croissance mondiale décevante en 2015, le PIB peinera à progresser de 1,3 % en 2016 (par rapport aux 1,2 % anémiques de 2015). Les Services des études économiques BMO ne prévoit pas plus qu’une simple oscillation pour le dollar canadien à cause de la faiblesse persistante des prix du pétrole, du renforcement du dollar américain et de la divergence entre les politiques monétaires américaine et canadienne. Le dollar canadien devrait subir de nouvelles pressions cet été et finir l’année 2016 près des 73 cents US. Sur une note plus positive, Brian Belski, stratège en chef des investissements à BMO, prévoit que le S&P/TSX surpassera son homologue américain pour la première fois depuis 2010, principalement parce qu’il profitera de l’éventuelle reprise des marchés émergents et des produits de base, en plus d’être très largement sous-possédé mondialement. M. Belski défend l’idée que le Canada sera de plus en plus corrélé à l’économie intérieure américaine et qu’il bénéficiera de la croissance des États-Unis. À BMO, le rôle de l’équipe de recherche sur les actions reste essentiel, particulièrement lorsque les conditions de marché sont difficiles. Malgré la baisse actuelle, nous continuons d’investir dans le secteur énergétique canadien et nous sommes heureux d’accueillir Ray Kwan et Joe Levesque dans notre équipe du secteur du pétrole et du gaz de Calgary. Ray Kwan, analyste chevronné possédant neuf années d’expérience dans la recherche sur les actions, a commencé à suivre 16 sociétés. Joe Levesque a commencé à en suivre huit et, en s’appuyant sur son expérience de plus de 20 ans dans le secteur, il jette un éclairage pratique différent sur nos recherches. Depuis le début de 2016, les analystes de la recherche sur les actions nord-américaines de BMO ont commencé à suivre 42 actions, dont 28 canadiennes, ainsi que de nouvelles sociétés comme Kelt Exploration, Spartan Energy, Tamarack Valley Energy, Birchcliff Energy et Painted Pony Petroleum. Malgré le difficile contexte économique, nous avons remarqué un optimisme étonnant lors du 25e Congrès annuel mondial sur les mines et métaux de BMO. Les sociétés ayant des bilans solides, des flux de trésorerie disponibles, des projets intégralement financés et des directions qui ont prouvé leurs capacités à obtenir des résultats ont attiré le plus l’attention. Notre équipe du secteur minier suggère que 2016 pourrait être une « année en creux » et que les conditions difficiles des quatre dernières années pourraient laisser la place à une modeste reprise (« Base Metals/Bulks: 2016 Outlook & Forecast Revisions – The Le présent rapport a été préparé par un ou plusieurs analystes employés par BMO Nesbitt Burns Inc. qui ne sont pas des analystes de recherche inscrits en vertu des règles de la FINRA. Veuillez consulter les déclarations qui figurent aux pages 8 à 10 et qui contiennent notamment l’attestation de l’analyste. Page 4 Painful Transition Continues »). En effet, après un mois de janvier très difficile pour la plupart des sous-secteurs autres que celui des métaux précieux, nous avons vu une accélération des efforts de restructuration, ainsi que la remontée des prix des produits de base et des actions liés à ces derniers par rapport à leurs récents creux. Le Congrès mondial sur les mines et métaux a mis en lumière les différences entre, d’un côté, les métaux précieux et, de l’autre, les métaux communs et les matériaux en vrac, surtout après le regain d’optimisme des investisseurs pour les premiers. Dans ce secteur, la plupart des grands producteurs sont passés d’utilisateurs de liquidités à créateurs de liquidités. Par conséquent, les titres aurifères commencent à refléter les mesures prises par les directions pour abaisser les coûts, améliorer les liquidités et mettre en place des stratégies permettant de profiter du renforcement des prix de l’or (« 25th Global Metals & Mining Conference: Highlights From the 25th Anniversary Conference: Survey Results & Recap »). L’humeur vis-à-vis du secteur des métaux communs et des matériaux en vrac reste plus réservée, puisque les investisseurs évaluent les stratégies visant à survivre à un environnement où les prix restent bas sur le long terme. L’accélération du rythme des initiatives de restructuration des bilans, en plus des précédentes réductions des dépenses d’investissement et de la production existante, a ouvert la voie au cycle de hausse potentiel suivant qui, d’après nous, débutera plus probablement après 2016. Notre équipe du secteur des métaux communs et des matériaux en vrac s’attend à ce que le rythme des ventes d’actifs s’intensifie cette année, mais elle avertit que ce sont surtout les actifs de catégorie 1 à des prix raisonnables qui attirent les acheteurs stratégiques et que le cuivre semble être une cible populaire. La dégradation de la situation de l’industrie canadienne du pétrole et du gaz continue d’avoir des conséquences démesurées sur le S&P/TSX. Notre équipe du secteur de l’énergie est toujours aussi prolifique et continue de publier des recherches originales qui adoptent un point de vue mondial. Malgré la remontée des prix du pétrole brut (de 28 $ US le baril en février à 38 $ US le baril actuellement), nous restons prudents et croyons que les prix du pétrole pourraient encore tomber sous les 30 $ (« Keep Your Seatbelts On: The Ride’s not Over »). Une amélioration durable exige des changements structurels sur le marché pétrolier, changements qui n’ont pas encore eu lieu. Au contraire, nous considérons que les récentes hausses des prix du pétrole sont des rebonds temporaires qui sont encouragés par les spéculations sur la réduction de la production Recherche sur les actions – Point de vue de l’OPEP, en plus de la conviction que la réduction des dépenses d’investissement des compagnies pétrolières entraînera une chute nette de la production. Même si les prix du pétrole peuvent remonter jusqu’à 40 $ le baril et même si les actions pétrolières peuvent progresser de 20 % ou plus pendant ces hausses, nous considérons que ces gains ne sont pas durables. Les prévisions initiales de dépenses en immobilisations en 2016 devraient reculer en moyenne de 35 % par rapport aux niveaux de 2015, avec de nouvelles réductions avant le milieu de l’année. La possibilité que les prêteurs limitent l’accès aux prêts renouvelables ou en réduisent le montant pourrait entraîner de nouvelles baisses des dépenses d’investissement. L’équipe prévoit des risques de baisse supplémentaires à court terme puisque le marché pétrolier fait face à des stocks pétroliers record et à une hausse de la production de l’OPEP; elle conseille donc aux investisseurs de rester sélectifs. Dans un rapport différencié et détaillé, l’équipe du secteur de l’énergie a examiné de près la production hors OPEP, qui a été résiliente malgré l’effondrement des prix du pétrole brut (« Waiting on the World to Change: Non-OPEC Supply Outlook »). Elle suggère que le point de basculement se rapproche. La production totale hors OPEP devrait baisser en 2016, principalement à cause de la chute attendue de la production de pétrole brut et de liquides aux États-Unis. Les reculs hors OPEP devraient s’accélérer en 2016, surtout en Russie et en mer du Nord. À long terme, les baisses les plus importantes auront lieu en Russie, en Europe, en Chine et au Mexique. L’équipe pointe aussi du doigt la proverbiale lumière au bout du tunnel et prédit que 2017 devrait finalement voir le marché mondial du pétrole se rééquilibrer. En supposant que la croissance de la demande mondiale de pétrole ne faiblisse pas, la demande devrait dépasser l’offre d’ici le troisième trimestre de 2017, ce qui ouvrirait la voie à une réduction rapide des stocks démesurés de pétrole à l’échelle mondiale. Les stocks pourraient revenir à la « normale » d’ici le milieu de 2018. Les compressions sévères de dépenses pourraient avoir des conséquences plus importantes sur la production à long terme, et l’offre mondiale sera peut-être insuffisante à la fin de la décennie. Nous invitons également nos lecteurs à consulter d’autres rapports thématiques sur la dette dans le secteur des services pétroliers canadiens (« Neither a Borrower Nor a Lender Be ») et sur les tendances de l’offre et de la demande de gaz naturel dans l’Ouest canadien (« Gas Discombobulation: Back to the Bubble »). L’indice bancaire canadien n’a pas été épargné par l’agitation sur les marchés canadiens et a reculé de presque 8,5 % jusqu’à Recherche sur les actions – Point de vue la mi-janvier. Les cours des actions des plus grandes banques australiennes ont connu des reculs semblables, tandis que la baisse des actions des banques américaines et européennes a atteint des taux à deux chiffres pendant la même période. Sohrab Movahedi, analyste des banques canadiennes de BMO, souligne que l’indice bancaire canadien affichait un ratio cours/ valeur comptable de 1,5 pendant les creux de janvier (« Not a Prediction, but an Observation: Another Weak Week »). De tels paramètres avaient été observés pour la dernière fois pendant la crise financière mondiale. Depuis, les bilans des banques se sont renforcés, avec actuellement un coefficient du capital ordinaire de catégorie 1 de 10,3 % pour le groupe, par rapport à des niveaux de 7 % environ avant la crise. Il pense que la prévalence d’un extrême pessimisme à propos des banques canadiennes est une occasion pour les investisseurs. Malgré la hausse de l’indice bancaire le mois dernier, M. Movahedi reste optimiste au sujet des banques canadiennes et explique que le point de vue relatif poussant à sous-pondérer les banques canadiennes par rapport aux banques américaines ne tient peut-être plus la route. Tom MacKinnon, analyste en assurances de BMO, arrive à la même conclusion sur les valorisations des compagnies d’assurance-vie canadiennes, après avoir analysé différents scénarios tenant compte des taux d’intérêt, de la performance des marchés boursiers et des prix pétroliers (« Canadian Lifeco Scenario Testing: Good Risk Reward Opportunities »). Dans un nouveau rapport sur l’avenir des opérations en succursale, M. Movahedi examine l’impact des perturbations générées par les médias sociaux ainsi que les rôles respectifs des réseaux sociaux et des produits ou des services bancaires (« The Crow’s Nest: Branch Existential Crisis »). Il note que les banques doivent innover en adaptant leurs canaux de distribution pour atteindre leurs clients mais qu’il doit aussi y avoir un chevauchement entre l’offre de produits et les médias sociaux utilisés par les clients. En d’autres termes, les clients devront avoir envie d’accéder activement aux produits ou aux services bancaires au moyen des médias sociaux. Il explique que les utilisateurs des médias sociaux sont non seulement à l’aise sur les plateformes des médias sociaux, mais qu’ils s’attendent aussi à pouvoir faire à la demande des opérations sur ces mêmes plateformes, une évolution qui pourrait avoir un impact important sur les opérations en succursale. Nous invitons les lecteurs à consulter d’autres rapports sur les opérations bancaires en succursale, dont les rapports intitulés « Gotta Serve Somebody » et « The Crow’s Nest: Is Banking Getting Unbundled? ». Page 5 La chute précipitée du prix de l’énergie a poussé les investisseurs à jeter un regard critique sur les institutions financières canadiennes, à cause de leur exposition aux prêts accordés aux sociétés pétrolières et gazières canadienne et, indirectement, à cause de leur exposition à l’Ouest canadien. Dans un rapport unique, Tom MacKinnon examine l’exposition des compagnies d’assurance-vie au secteur de l’énergie (« Canadian Lifecos: Minimal and Very Manageable Oil & Gas Exposure »). Pour lui, l’exposition des compagnies d’assurance-vie au secteur pétrolier et gazier est minime et gérable, et entre dans trois catégories. La première est celle des titres de créance (exposition minimale des compagnies d’assurance-vie). M. MacKinnon considère que le risque pour les actionnaires ordinaires réside dans une augmentation des provisions actuarielles en cas de défaut (généralement causé par une décote) ou un défaut luimême. Il estime que les compagnies d’assurance-vie peuvent facilement gérer le choc causé à la valeur comptable par les décotes. Les deux autres catégories sont a) les titres de participation auxquels est adossé l’excédent des compagnies (encore plus minime que l’exposition aux titres de créance); et b) les titres de participation auxquels sont adossées les provisions mathématiques à long terme (exposition en grande partie limitée à MFC et plus qu’intégrée au cours de l’action). Finalement, nos listes de 15 valeurs vedettes (forte capitalisation, faible capitalisation, revenu) ont continué à surclasser leurs indices respectifs pendant la plupart des périodes et depuis leur création. Nous invitons également nos lecteurs à consulter les éditions canadienne (« Stock Picks to Navigate a Challenging Environment ») et américaine (« Lighting the Way With Fundamental Research ») des meilleures idées de placement de BMO. Dans l’édition canadienne, nous présentons nos valeurs vedettes pour 2016, qui comprennent 47 actions sélectionnées par 21 analystes. Les 15 valeurs vedettes sont sélectionnées parmi les choix de nos analystes. Par souci de facilité, nous avons classé ces actions selon la capitalisation boursière, le style de gestion et l’horizon de placement. Comme pour nos listes de 15 valeurs vedettes, nous considérons que ces actions représentent des idées de placement intéressantes pour 2016 et qu’elles vous aideront au cours de votre processus de prise de décisions. Page 6 Recherche sur les actions – Point de vue Listes de 15 valeurs vedettes : composition actuelle et rendement passé Liste des 15 valeurs vedettes canadiennes à forte capitalisation Sélectionnées parmi les titres à forte capitalisation couverts par BMO Marchés des capitaux • Alimentation Couche-Tard (ATD.B) 15 valeurs vedettes canadiennes à forte capitalisation de BMO Marchés des capitaux Rendement global c. indice TSX 60 (période terminée le 29 février 2016) 350 15 valeurs vedettes • Banque Scotia (BNS) • Banque TD (TD) 300 • BCE (BCE) • Canadian Tire (CTC.A) 1 an 5 ans Janv. 02 -4,50 % 5,30 % 8,72 % TSX 60 -12,50 % 1,51 % 6,52 % 250 • Canadien National (CNR) • CIBC (CM) 200 • Financière Manuvie (MFC) • George Weston (WN) • Intact Corporation financière (IFC) • Magna International (MGA) • Rogers Comm. (RCI.B) • Suncor Énergie (SU) 15 valeurs vedettes 150 100 TSX 60 50 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 • TransCanada (TRP) • Vêtements de Sport Gildan (GIL) Sources : BMO Marchés des capitaux, IHS Global Insight Liste des 15 valeurs vedettes canadiennes à faible capitalisation Sélectionnées parmi les titres à faible capitalisation couverts par BMO Marchés des capitaux • Boralex (BLX) 15 valeurs vedettes canadiennes à faible capitalisation de BMO Marchés des capitaux Rend. global c. ind. BMO des actions à faible cap., pondéré (période terminée le 29 février 2016) 1 400 • Canfor (CFP) • Colliers (CIGI) 1 200 • Computer Modelling Group (CMG) • Genworth MI Canada (MIC) • Kinaxis (KXS) 15 valeurs vedettes 1 an 5 ans Janv. 02 -4,28 % 11,72 % 18,73 % Ind. BMO act. faible cap. -16,31 % -4,53 % 6,33 % 1 000 800 • Linamar (LNR) • Pure Industrial REIT (AAR.UN) 600 • Services financiers Élément (EFN)* • ShawCor (SCL) • Sleep Country Canada (ZZZ) • Summit Industrial Income REIT (SMU.UN) • Toromont Industries (TIH) • Tricon Capital Group (TCN) • WestJet Airlines (WJA) * Actions sujettes à restrictions. Sources : BMO Marchés des capitaux, IHS Global Insight 400 15 valeurs vedettes 200 Ind. BMO act. faible cap. 0 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 Recherche sur les actions – Point de vue Liste des 15 valeurs vedettes nordaméricaines à revenu Sélectionnées parmi les titres couverts par BMO Marchés des capitaux • Banque Scotia (BNS) • Banque TD (TD) • BCE (BCE) • Brookfield Infrastructure (BIP) • CIBC (CM) • Cineplex (CGX) • Coca-Cola (KO)** Page 7 15 valeurs vedettes nord-américaines à revenu de BMO Marchés des capitaux Rendement global c. indice Aristocrates de dividendes S&P/TSX^ (période terminée le 29 février 2016) 600 500 5 ans Janv. 02 6,37 % 11,11 % 12,93 % Dividendes^ -13,48 % 5,34 % 10,06 % 400 300 • Great-West LifeCo (GWO) • Johnson & Johnson (JNJ)** 15 valeurs vedettes 1 an 15 valeurs vedettes 200 • MAA (MAA)** • NextEra Energy (NEE)** 100 Indice Aristocrates de dividendes S&P/TSX^ • Rayonier (RYN)** • RioCan REIT (REI.UN) • Rogers Comm. (RCI.B) 0 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 • Thomson Reuters (TRI) * Actions sujettes à restrictions. ** Actions suivies par BMO Capital Markets Corp. ^ Indice Aristocrates de dividendes S&P/TSX; indice BMO revenu avant septembre 2008. Sources : BMO Marchés des capitaux, IHS Global Insight Page 8 Recherche sur les actions – Point de vue DÉCLARATIONS IMPORTANTES Attestation de l’analyste Je, Aine O’Flynn, CFA, certifie par la présente que les opinions exprimées dans ce rapport sont le reflet fidèle de mon avis personnel concernant les titres ou les émetteurs cités. Je certifie par ailleurs que ma rémunération n’a été, n’est ou ne sera aucunement liée, directement ou indirectement, aux recommandations ou aux opinions exprimées dans ce rapport. Les analystes qui ont préparé le présent document sont rémunérés en fonction (entre autres) de la rentabilité globale de BMO Marchés des capitaux et de ses sociétés affiliées, ce qui inclut la rentabilité globale des services bancaires d’investissement. La rémunération des analystes se fonde sur l’efficacité avec laquelle ces derniers trouvent de nouvelles idées et les communiquent aux clients, sur la qualité des recommandations, sur la précision des prévisions de bénéfices et sur le service à la clientèle. Les analystes employés par BMO Nesbitt Burns Inc. ou BMO Capital Markets Ltd. ne sont pas des analystes de recherche inscrits en vertu des règles de la FINRA (à l’exception de Alex Arfaei et Brodie Woods). Ces analystes ne sont pas nécessairement associés à BMO Capital Markets Corp. et, par conséquent, ne sont pas forcément assujettis à la règle 2711 de la NASD et à la règle 472 de la Bourse de New York (NYSE) qui portent sur les restrictions en matière de communications avec une société couverte, d’apparitions publiques et de négociation de titres détenus dans le compte d’un analyste. Informations sur les sociétés Vous trouverez des informations importantes sur les actions dont il est question dans le présent document à l’adresse http://researchglobal.bmocapitalmarkets.com/Public/Company_Disclosure_Public.aspx. Répartition des notes (au 31 décembre 2015) Catégorie de note Note de BMO Titres couverts par BMOCM aux É.-U.* Acheter Surperformance 42,0 % 20,9 % Conserver Performance marché 54,6 % Vendre Sous-performance 3,4 % Clients des SBI Clients des SBI de BMOCM de BMOCM aux É.-U.** aux É.-U.*** Titres couverts par BMOMC**** Clients des SBI de BMOMC***** Titres couverts par Starmine 53,7 % 44,1 % 53,8 % 55,6 % 13,5 % 45,1 % 52,3 % 45,6 % 39,4 % 5,9 % 1,2 % 3,6 % 0,5 % 5,1 % * Reflète la répartition des notes de toutes les sociétés suivies par les analystes d’actions de BMO Capital Markets Corp. ** Reflète la répartition des notes de toutes les sociétés qui ont rémunéré BMO Capital Markets Corp. pour des services bancaires d’investissement, selon le pourcentage représenté dans chaque catégorie de note. *** Reflète la répartition des notes de toutes les sociétés qui ont rémunéré BMO Capital Markets Corp. pour des services bancaires d’investissement, selon le pourcentage des clients des SBI. **** Reflète la répartition des notes de toutes les sociétés suivies par les analystes d’actions de BMO Marchés des capitaux. ***** Reflète la répartition des notes de toutes les sociétés qui ont rémunéré BMO Marchés des capitaux pour des services bancaires d’investissement, en pourcentage des clients des SBI. Système de notation (au 5 avril 2013) Nous utilisons le système de notation suivant : SU = Surperformance – Devrait surclasser les titres couverts par l’analyste sur une base de rendement global; PM = Performance marché – Devrait afficher un rendement conforme à celui des titres couverts par l’analyste sur une base de rendement global; SO = Sous-performance – Devrait afficher un rendement inférieur à celui des titres couverts par l’analyste sur une base de rendement global; (S) = Placement spéculatif; N. N. = Titre actuellement non noté; R = Restriction - La diffusion de la recherche fait l’objet d’une restriction. La note Meilleur choix a été remplacée par les sept listes des 15 valeurs vedettes de BMO Marchés des capitaux, qui présentent aux investisseurs nos meilleures idées en fonction de différents objectifs (actions canadiennes à forte capitalisation, actions canadiennes à faible capitalisation, actions américaines à forte capitalisation, actions américaines à faible capitalisation, actions à revenu, actions canadiennes sélectionnées par analyse quantitative et actions américaines sélectionnées par analyse quantitative). Anciens systèmes de notation de BMO Marchés des capitaux (4 janvier 2010 – 4 avril 2013) http://researchglobal.bmocapitalmarkets.com/documents/2013/prior_rating_system.pdf Autres informations importantes Vous trouverez des informations importantes sur les actions dont il est question dans le présent rapport à l’adresse http://researchglobal.bmocapitalmarkets.com/Public/Company_Disclosure_Public.aspx. Vous pouvez également les obtenir en écrivant à l’adresse Editorial Department, Recherche sur les actions – Point de vue Page 9 BMO Capital Markets, 3 Times Square, New York, NY 10036 ou Service de la rédaction et de l’édition, BMO Marchés des capitaux, 1 First Canadian Place, Toronto (Ontario) M5X 1H3. Diffusion de la recherche La recherche sur les actions de BMO Marchés des capitaux est disponible sur notre site Web (https://research-ca.bmocapitalmarkets. com/Public/Secure/Login.aspx?ReturnUrl=/Member/Home/ResearchHome.aspx). Les clients institutionnels peuvent recevoir notre recherche par l’intermédiaire de Thomson Reuters, de Bloomberg, de FactSet et de Capital IQ. Les rapports de recherche et autres commentaires doivent être distribués en même temps à l’interne et à l’externe à nos clients. Déclaration générale « BMO Marchés des capitaux » est une dénomination commerciale utilisée par le groupe Services d’investissement BMO, qui inclut les services de vente en gros de la Banque de Montréal et de ses filiales, BMO Nesbitt Burns Inc., BMO Capital Markets Ltd. au RoyaumeUni et BMO Capital Markets Corp. aux États-Unis. BMO Nesbitt Burns Inc., BMO Capital Markets Ltd. et BMO Capital Markets Corp. sont des sociétés affiliées. La Banque de Montréal ou ses filiales (« BMO Groupe financier ») offrent des services de prêt ou d’autres services rémunérés à de nombreuses sociétés couvertes par BMO Marchés des capitaux. Les opinions, estimations et projections contenues dans ce document ont été établies par BMO Marchés des capitaux à la date indiquée et sont sujettes à changement sans préavis. Tous les efforts sont faits pour assurer que le contenu du présent document est tiré de sources considérées comme fiables et que les données et les opinions sont complètes et précises. Cependant, BMO Marchés des capitaux ne peut donner aucune garantie, expresse ou implicite, à cet égard et ne peut être tenue responsable des erreurs ou omissions éventuelles, ni des pertes découlant de l’utilisation de ce document ou de son contenu. BMO Marchés des capitaux ou ses sociétés affiliées peuvent, en outre, disposer d’information n’y figurant pas. Les informations présentées dans ce rapport ne doivent pas servir de ressource principale pour prendre des décisions de placement et, chaque client ayant ses propres objectifs, ne doivent pas être considérées comme des conseils visant à répondre aux besoins de placement particuliers des investisseurs. Ce document n’est fourni qu’à titre d’information et ne constitue pas une offre de vente ni une sollicitation d’achat de titres. BMO Marchés des capitaux ou ses sociétés affiliées peuvent acheter de leurs clients ou leur vendre des titres d’émetteurs mentionnés dans le présent document à titre de contrepartiste. BMO Marchés des capitaux ou ses sociétés affiliées, administrateurs, dirigeants ou employés peuvent détenir des positions acheteur ou vendeur sur de nombreux titres dont il est question dans le présent document, sur des titres connexes ou sur des options, contrats à terme ou autres produits dérivés desdits titres. Le lecteur doit supposer que BMO Marchés des capitaux ou ses sociétés affiliées peuvent se trouver en situation de conflit d’intérêts et ne doit pas s’appuyer sur ce seul document pour évaluer s’il est pertinent de vendre ou d’acheter des titres des émetteurs mentionnés dans celui-ci. Autres sujets Aux résidents du Canada : BMO Nesbitt Burns Inc. fournit ce document aux résidents du Canada et endosse la responsabilité de son contenu, sous réserve des conditions énoncées ci-dessus. Tout résident du Canada désirant effectuer une opération sur les titres mentionnés dans ce document doit le faire par l’intermédiaire de BMO Nesbitt Burns Inc. Le paragraphe qui suit s’applique si les présents travaux de recherche ont été préparés en totalité ou en partie par Alexander Pearce, David Round, Edward Sterck ou Brendan Warn : Les présents travaux de recherche ne sont pas préparés en fonction des critères de divulgation de la recherche canadienne. Ils sont préparés par BMO Capital Markets Limited; ils sont donc assujettis à la réglementation de la Financial Conduct Authority (FCA) du Royaume-Uni. La réglementation de la FCA exige qu’une entreprise fournissant des travaux de recherche divulgue sa participation dans l’émetteur qui fait l’objet de la recherche si elle-même et ses sociétés affiliées détiennent 5 % ou plus des capitaux propres de ce dernier. La réglementation canadienne exige qu’une entreprise fournissant des travaux de recherche divulgue sa participation dans l’émetteur qui fait l’objet de la recherche si elle-même et ses sociétés affiliées détiennent 1 % ou plus des capitaux propres de ce dernier. Par conséquent, BMO Capital Markets Limited divulguera uniquement sa propre participation et celle de ses sociétés affiliées dans l’émetteur qui fait l’objet de la recherche si cette participation dépasse 5 % des capitaux propres de ce dernier. Aux résidents des États-Unis : BMO Capital Markets Corp. fournit ce document aux résidents des États-Unis et endosse la responsabilité de son contenu, sauf en ce qui concerne les titres de la Banque de Montréal. Tout résident des États-Unis désirant effectuer une opération sur les titres mentionnés dans ce document doit le faire par l’intermédiaire de BMO Capital Markets Corp. Aux résidents du Royaume-Uni : Au Royaume-Uni, ce document est publié par BMO Capital Markets Limited, autorisée et réglementée par la Financial Conduct Authority. Le contenu de ce rapport est uniquement destiné à l’usage (I) des personnes ayant une expérience professionnelle en matière de placements comme il est indiqué à l’article 19(5) du Financial Services and Markets Act 2000 (Financial Promotion) Order 2005 (l’« Order ») ou (II) des entités fortunées mentionnées aux alinéas 49(2)(a) à (d) de l’Order (toutes les personnes appelées collectivement « personnes admissibles »), et ne peut être publié ou remis qu’à celles-ci. Le contenu de ce rapport n’est pas destiné à l’usage des particuliers, et ne peut être publié ou remis à ceux-ci. Il est strictement interdit de reproduire, de distribuer, de transmettre ou de publier ce document sans l’autorisation préalable écrite de BMO Marchés des capitaux. Cliquer ici pour consulter la mention concernant les références aux données du fournisseur dans un document de recherche de BMO Marchés des capitaux. Page 10 Recherche sur les actions – Point de vue RENSEIGNEMENTS SUPPLÉMENTAIRES DISPONIBLES SUR DEMANDE BMO Groupe financier (NYSE, TSX : BMO) est un fournisseur intégré de services financiers qui offre tout un éventail de produits dans les domaines des services bancaires aux particuliers, de la gestion de patrimoine, des services de banque d’affaires et des services aux sociétés. Au Canada, BMO sert les particuliers par l’intermédiaire de BMO Banque de Montréal et de BMO Nesbitt Burns. Aux États-Unis, elle sert les particuliers et les entreprises par l’intermédiaire de BMO Harris Bank N.A. (membre de la FDIC). Les services de banque d’affaires et les services aux sociétés sont fournis au Canada et aux États-Unis par l’intermédiaire de BMO Marchés des capitaux. BMO Marchés des capitaux est un nom commercial utilisé par BMO Groupe financier pour les services de vente en gros de la Banque de Montréal, de BMO Harris Bank N.A. (membre de la FDIC), de BMO Ireland Plc et de Bank of Montreal (China) Co. Ltd. et les services de courtage auprès des clients institutionnels de BMO Capital Markets Corp. (membre de la SIPC) aux États-Unis, de BMO Nesbitt Burns Inc. (membre du FCPE) au Canada, en Europe et en Asie, de BMO Capital Markets Limited en Europe et en Australie et de BMO Advisors Private Limited en Inde. « Nesbitt Burns » est une marque de commerce déposée de la Corporation BMO Nesbitt Burns Limitée, utilisée sous licence. « BMO Marchés des capitaux » est une marque de commerce de la Banque de Montréal, utilisée sous licence. « BMO (le médaillon contenant le M souligné) » est une marque de commerce déposée de la Banque de Montréal, utilisée sous licence. MD MC Marque de commerce déposée de la Banque de Montréal aux États-Unis, au Canada et partout ailleurs. Marque de commerce de la Banque de Montréal. © BMO CAPITAL MARKETS CORP., 2016.