Un Bon petit diable - Théâtre Montansier

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Un Bon petit diable - Théâtre Montansier
DOSSIER PÉDAGOGIQUE
Un Bon petit diable
Comtesse de Ségur
Yveline Hamon & Jean-Louis Martin-Barbaz
À partir de 8 ans
Au Théâtre Montansier
Vendredi 6 décembre à 14h00
Lundi 9 décembre à 10h00 et 14h00
Mardi 10 décembre à 10h00 et 14h00
Durée : 1h25
Théâtre Montansier
13 rue des Réservoirs - 78000 Versailles
www.theatremontansier.com
Distribution
Adaptation et mise en scène
Yveline Hamon et Jean-Louis Martin-Barbaz
Avec
Chantal Deruaz
Maroussia Henrich
Roman Kossowski
Harald Marlot
Clotilde Maurin
La Comtesse de Ségur
Madame Mac’Miche
Charles
Un homme / Le concierge / Mr Blackday
Juliette
Distribution en cours
Décors et scénographie
Antoine Milian
Costumes
Bruno Marchini
Maquillage et masques
Harald Marlot
Avec la collaboration artistique d’Audrey Millon
Lumière
Joël Adam
Création sonore
Ariane Blaise
Production Le Studio d’Asnières, avec la participation artistique du CFA des
comédiens
Recommandations
 Soyez présents 30 minutes avant le début de la représentation le
placement de tous les groupes ne peut se faire en 5 minutes !
 Le placement est effectué par les hôtesses, d’après un plan établi au
préalable selon l’ordre de réservation. Nous demandons aux groupes
scolaires de respecter ce placement.
 En salle, nous demandons également aux professeurs d’avoir l’amabilité de
se disperser dans leur groupe de manière à encadrer leurs élèves et à
assurer le bon déroulement de la représentation.
1 / L’Œuvre
Ch. 1. Charles, jeune orphelin, est enfermé dans un cabinet par sa cousine et
tutrice, l’avare et injuste Mme Mac’Miche. Il profite de sa crédulité et de sa peur
des fées pour échapper au châtiment. Il bénéficie de la complicité de Betty, la
gouvernante.
Ch. 2. Juliette - qui est aveugle – engage son cousin Charles à ne plus se venger de
Mme Mac’Miche ; mais les hostilités reprennent. Sous la menace de provoquer un
incendie, le garçon fait promettre à sa tutrice qu’elle se comportera mieux avec lui.
Ch. 3. À la suite d’une altercation avec un charretier qu’elle a malmené, Mme
Mac’Miche fait venir le juge de paix qui finit par lui donner tort.
Ch. 4 et 5. Suivant les conseils de Juliette, Charles se laisse fouetter sans résister,
mais il fait part au juge de son infortune. Betty s’apprête à lui confectionner une
protection pour amortir les coups de fouet.
Ch. 6 et 7. Marianne, la sœur aînée de Juliette, informe Charles qu’avant de
mourir son père lui a légué de l’argent qu’il a confié à sa tutrice.
Après avoir découvert le subterfuge de Charles pour parer les coups de fouet, Mme
Mac’Miche apprend que ce dernier est au courant du legs.
Ch. 8 et 9. Mme Mac’Miche, au moment où elle veut fouetter Charles, découvre
deux visages de diables collés par le garçon sous sa culotte. Elle le croit possédé par
les fées et décide de le placer dans un pensionnat où l’on est très sévère avec les
enfants. Betty suit son protégé.
Ch. 10. Au pensionnat, Charles affronte l’hostilité de Boxear, un surveillant.
Quand celui-ci veut le fouetter, il s’effraie des visages du diable que Charles a
conservés.
Ch. 11, 12, 13 et 14. Devenu le meneur des enfants, parfois aidé par Betty,
Charles joue plusieurs tours pendables à ses hôtes cruels sans se faire prendre.
Avant de se dénoncer, il fait signer au directeur, M. Old Nick, la promesse que le
coupable sera exclu. Ainsi part-il impunément du pensionnat, suivi par Betty.
Ch. 15, 16, 17 et 18. Mme Mac’Miche, contrainte de livrer au juge l’héritage de
Charles, se met à délirer. Betty accepte de s’occuper d’elle, non sans mal. Charles
prend soin de la malade.
Ch. 19 et 20. À la mort de Mme Mac’Miche, Charles devient son héritier.
Marianne est nommée tutrice. Betty rentre à son service et se marie avec Donald,
le charretier. Une ferme est acquise où tout le monde vit heureux, malgré quelques
épisodes fâcheux entre Charles et le chat de Juliette.
Ch. 21 et 22. Betty s’emporte violemment contre Charles, responsable d’un
accident de carriole. Plus tard, Donald est accusé à tort par Charles à qui il est
pardonné après ses excuses.
Ch. 23 et 24. Marianne veut épouser le juge mais doit marier Charles avant. Ce
dernier repousse tous les partis. Juliette et Charles se déclarent secrètement leur
flamme.
Ch. 25 et 26. Les mariages sont célébrés. Les deux couples ont des enfants et
vivent dans un bonheur complet.
Édition Hachette, Collection Livre de poche Jeunesse
2 / La Comtesse de Ségur, née Sophie Rostopchine (1799-1874)
Née au sein d’une puissante famille aristocratique d’origine
princière, Sophie Rostopchine est la troisième enfant de la
comtesse Catherine Protassova et du comte Fédor
Rostopchine, ministre des Affaires étrangères du tsar Paul
1er et gouverneur de Moscou. Elle passe son enfance au
domaine de Voronovo près de Moscou.
En 1817, sa famille se voit dans l’obligation de fuir la Russie.
Son père serait tombé en disgrâce pour avoir fait incendier
Moscou face à l'armée napoléonienne, empêchant le
ravitaillement de cette dernière. La famille Rostopchine
s’installe alors à Paris.
En 1819, elle épouse le comte Eugène de Ségur et c'est pendant son voyage de
noces qu'elle remarquera le château des Nouettes, du côté d'Aube, dans l'Orne,
entouré de bouleaux qui lui rappellent le parc de son enfance. Son père décide de
l'offrir au jeune couple pour qu'ils y vivent mais le comte se déplaît à la campagne
et passe beaucoup plus de temps sur Paris, délaissant quelque peu sa femme.
Préférant son château aux mondanités parisiennes, elle reporte toute son affection
sur ses enfants au nombre de huit et sur ses petits-enfants. C’est pour eux qu’elle
va véritablement commencer à écrire, notamment quand Camille et Madeleine,
héroïnes des Petites Filles modèles, partent à Londres où leur père est muté.
Le cas de la comtesse de Ségur montre qu’une vocation très tardive d’écrivain peutêtre particulièrement réussie : elle a en effet écrit son premier livre à cinquantehuit ans. Elle est l'auteur de vingt romans connus de tous, où le bien triomphe
toujours du mal, et où le plaisir ressenti à leur lecture prouve que ses histoires
traversent les générations.
Œuvres didactiques
La Santé des enfants 1855
Livre de messe des petits enfants 1858
L’Évangile d’une grand-mère 1866
Les Actes des Apôtres 1867
La Bible de Grand-Mère 1869
Romans
Nouveaux contes de fées pour les petits enfants 1857
Les Petites filles modèles 1857
Les Malheurs de Sophie 1858
Les Vacances 1859
Mémoires d’un âne 1860
La Cabane enchantée
Pauvre Blaise 1862
La Soeur de Gribouille 1862
Les Bons enfants 1862
Les Deux nigauds 1863
L’Auberge de l’ange gardien 1863
Le Général Dourakine 1863
François le Bossu 1864
Un Bon petit diable 1865
Jean qui grogne et Jean qui rit 1865
Comédies et proverbes 1866
La Fortune de Gaspard 1866
Quel amour d‘enfant 1866
Le Mauvais génie 1867
Diloy le chemineau 1868
Après la pluie, le beau temps 1871
3 / La pièce
« L’action se situe en Écosse, en 1842, Charles, orphelin, est élevé par une parente,
l’avare et méchante Mac Miche, qui le martyrise. L’enfant, loin d’accepter la
maltraitance sans se rebeller, répond aux misères et aux humiliations qu’il subit
par des stratagèmes insolites et malicieux, aidé en cela par la « bonne » Betty.
Ils convoqueront même les fées… Le petit garçon trouvera en Juliette, sa cousine
aveugle, un peu de réconfort et une autre voie pour conduire sa vie de façon plus
« sage »…
Chacun nourrit au fond de soi un jardin secret d’émotions lié à son enfance : une
bande-dessinée, un roman d’aventure, un conte de fée.
Madame de Ségur nous a souvent marqués au fer rouge. Les rêves sucrés de ses
adultes « bien-pensants », ses fantasmes pervers, ses coups de fouet et sa morale
enrubannée sont autant de ressorts qui ont bousculé notre sensibilité naissante.
Avec le recul, beaucoup de ses personnages sont devenus infréquentables. Et
pourtant, ils sont souvent restés tellement séduisants…
Comme beaucoup d’œuvres emblématiques du XIXe siècle, Un Bon Petit Diable
décrit l’enfance malheureuse et mutilée. Charles rejoint les héros de Dickens
(Oliver Twist), d’Erckmann-Chatrian, et les grands personnages de mélodrame tels
Les Deux Orphelines de d’Ennery et Cormon.
Cette filiation nous a séduits mais à quel niveau de lecture se situer ?
La divine Comtesse nous entraîne sur les chemins sulfureux de la cruauté et du
sadisme sans jamais y pénétrer vraiment. Elle s’arrête à la lisière du supportable,
tempère les excès, et barbouille de tendresse et d’humour ce que son imagination
délirante voulait nous suggérer. D’ailleurs, dans notre spectacle, elle est sur scène
et mène le jeu, souffre avec ses personnages pour mieux les bousculer. Elle nous
rend complices des pires atrocités afin de nous culpabiliser. Et le public réagit,
proteste, participe, devient moteur de l’action. Un public divers, de tous âges ! De
cinq à quatre-vingt-dix ans, tout le monde y trouve son compte, dans l’indignation
comme dans la jubilation.
Créée au Festival de Cormatin, pour un théâtre de verdure, en plein air et jouée à
cinq heures de l’après-midi, notre production retrouve les salles obscures et la
magie des éclairages. Peut-être notre histoire avait-elle besoin de la nuit. Le grand
soleil écrasait un peu les mystères de l’Écosse, faisant fuir les elfes, les fées et les
fantômes.
Néanmoins, cette première version nous a montré combien la Comtesse de Ségur
savait encore parler aux jeunes générations.
Jamais les enfants ne sont autant restés à rôder dans les coulisses après le
spectacle, à interroger les acteurs, à toucher les costumes, à poursuivre un rêve
éveillé que l’histoire et le jeu dramatique avaient provoqué en eux. Et les adultes
étaient aussi de la partie.
Un spectacle pour tous les âges, populaire, pour tous et avec tous. »
Yveline Hamon et Jean-Louis Martin-Barbaz
4 / Les personnages
Charles Mac’Lance
Jeune garçon au regard plein de facétie, il a un tempérament
bouillonnant et irascible, mais aussi un cœur bon : il est « le bon
petit diable ». Recueilli par sa vieille cousine à la mort de son père, il
ne pas manque une occasion de la faire enrager, aidé de Betty, pour
se venger de ses mauvais traitements. Quand il est triste, il trouve
réconfort et conseil auprès de Juliette.
Madame Mac’Miche
Veuve d’une cinquantaine d’années à l’air dur et repoussant. Elle ne
voit personne de peur de se retrouver entraînée dans quelque
dépense car elle est d’une avarice extrême. Elle est la dernière
parente et tutrice de Charles.
Betty
Cuisinière, bonne et femme de chambre au service de Madame
Mac’Miche, elle se prend d’affection pour le jeune Charles et l’aide à
déjouer les punitions de sa méchante cousine. Elle a un air enjoué et
une silhouette avantageuse.
Juliette
Jeune fille aveugle et sœur de Marianne. La journée, elle
tricote pour contribuer aux besoins de leur petit ménage. Sa
bonté, sa douceur, sa résignation et son humeur toujours
égale lui donne une bonne influence sur le jeune Charles.
Marianne
Jeune femme de vingt-cinq ans et grande sœur de Juliette. À la mort
de leurs parents, elle a pris la courageuse résolution de gagner, par
son travail, sa vie et celle de sa sœur aveugle.
Le juge de paix
Homme droit et impartial, il n’en cache pas moins un cœur tendre. Il s’applique à
faire respecter la justice dans son petit bourg en restant juste avec chacun et
toujours à la recherche de la vérité.
Donald
Charretier de profession, il n’a pas la langue dans sa poche, ni son fouet. Il est
tombé sous le charme de la jolie Betty.
Monsieur Blackday
Notaire et responsable testamentaire du défunt père de Charles.
Monsieur Oldnick
Redoutable directeur de la maison de correction de Fairy’s Hall, il prend les
enfants désobéissants et détestés de leurs parents.
William Athanase Boxear
Il enseigne l’orthographe et la discipline à coups de règle à Fairy’s Hall. Il ne se
déplace jamais sans son chat que les élèves ont baptisé Satanas.
Le Concierge
Sonneur, concierge à Fairy’s Hall, il est sourd à ne pas entendre le tonnerre. Il est
aussi chargé d’administrer le fouet aux enfants, ne pouvant être attendri par leurs
cris.
5 / Pistes d’exploitation pédagogique
Découverte du livre : Premières acquisitions / Premières questions
La couverture
L’illustration donne l’atmosphère du livre, sans vraiment être fidèle à ses
descriptions. On fera relever un certain nombre de détails. Quel mot du titre est
mis en évidence (Diable) ? Quelle couleur domine la couverture (le rouge) ?
Pourquoi (pour rappeler les flammes de l’Enfer dont la lumière dramatise la scène)
? Quels personnages distingue-t-on (Deux ; l’un de face, un garçon ; l’autre de
profil, en silhouette, une femme) ? Quelles sont les caractéristiques du garçon
(Visage caricatural ressemblant à un masque de diable avec des cornes. Position de
défi : les bras croisés, la bouche en coin. Costume écossais : kilt, spencer, cravate) ?
Celles de la silhouette (Mouvement agité, brandissant un balai ou une pelle contre
l’autre personnage) ? Lequel des deux domine l’autre (le garçon au visage éclairé,
beaucoup plus grand que la femme, petite, restée dans l’ombre) ?
Dans quelle catégorie l’éditeur a-t-il classé le livre (Onglet en haut de couverture :
“Classiques”) ? Quel en est le symbole (une plume) ? Pourquoi (c’est avec une
plume d’oie trempée dans l’encre que les écrivains du passé rédigeaient leurs
manuscrits) ?
Feuilletage
Le livre est divisé en vingt-six chapitres. Dans la table (pp. 381-382), on
s’intéressera aux titres – sans en connaître le contenu - en les qualifiant
(énigmatiques, ex. 11 ; explicatifs, ex. 23 ; brefs, ex. 1 ; etc.). À chaque page, les
noms des personnages apparaissent. Pour quelle raison (pour donner la parole à
chacun, comme au théâtre) ?
L’auteure
Son nom figure dix fois dans le livre : 1ère et 4ème de couverture, dos du livre, 1er
rabat (2 fois), pp. 4 (3 fois), 5 et 7. On se réfèrera à la présentation (p. 4) pour
replacer l’auteure dans son époque. Quel âge avait-elle quand elle fit paraître ses
histoires (entre 65 et 75 ans) ? D’autres titres de la Comtesse de Ségur ont été
adaptés au cinéma ou à la télévision. On citera quelques héros célèbres (Sophie,
Gribouille, etc.) pour décrire l’atmosphère générale de l’œuvre (décors, costumes,
langage, morale).
Premières lectures / Découverte du texte / Sensibilisation aux thèmes
En cours de lecture
On découvrira comment le comportement de Charles évolue en fonction de ses
interlocuteurs. Méchanceté, cruauté et avarice de Mme Mac’Miche et des Old Nick
entraînent les ripostes du “petit Diable”, alors que bonté, douceur et sagesse de
Juliette et de Marianne le rétablissent dans le droit chemin. Les lecteurs
remarqueront les oppositions entre les deux mondes (“rue des Combats”, adresse
de Mme Mac’Miche, “rue du Baume-Tranquille”, celle de Juliette et Marianne),
ainsi que dans les portraits et les agissements des protagonistes. Mais l’évolution
de Charles ne se fait pas sans difficultés. Après la mort de sa tutrice, se comporte-til bien envers Betty et Donald (Ch. 21 et 22) ou avec le chat de Juliette (Ch. 20) ?
Échanges / Argumentation et Débats
Plusieurs réflexions seront conduites en groupe, en fonction de la maturité des
lecteurs. Sur l’éducation (« S’il était mené moins durement, le bon l’emporterait
sur le mauvais… », p. 15 ; « La sévérité rend malheureux et méchant. La bonté
attire, adoucit et corrige. », p. 380 ; etc.). Les élèves fourniront des exemples.
La classe échangera sur les vertus annoncées de la religion. On aidera les élèves à
discerner le religieux des valeurs morales universelles.
Sur la conception du partage des richesses (« Si tous les riches […] il n’y aurait pas
beaucoup de pauvres. », p. 235), on s’interrogera sur l’actualité et si la solution
proposée correspond ou non aux réalités.
Activités en liaison avec la lecture
L’histoire se passe en Écosse, partie catholique du Royaume-Uni. Un aperçu sur
l’originalité des traditions écossaises constituera une approche documentaire utile.
On recherchera les équivalents en français ou les explications des anglicismes
(constable p. 17, post-office p. 128, et pp. 129, 163, 170, 208, 211, 379) ainsi que des
noms propres (ex. M. Killer, le médecin, M. Blackday, l’homme de confiance de
Mme Mac’Miche). Ces activités peuvent donner lieu à de courts exposés.
Dire / Quelques suggestions
De multiples épisodes de l’histoire, tous présentés sous forme de dialogues,
incitent à distribuer des rôles. On insistera sur les caractères typés des
personnages (rudesse de Mme Mac’Miche, douceur de Juliette, spontanéité de
Betty ou de Donald, sagacité du juge, etc.) pour déterminer le ton des répliques de
Charles.
Les élèves interpréteront les paroles de Mme Mac’Miche (« Malheureuse,
infortunée que je suis ! […] Oh ! rage et désespoir ! », pp. 223-224). On les
comparera avec le monologue d’Harpagon sur sa cassette dans L’Avare.
Écrire / Quelques propositions
Minet rédige ses mémoires. Il s’agira de raconter, à la première personne, ce que
ressent le chat de Juliette envers son “tourmenteur”, en choisissant quelques
épisodes marquants.
Édouard ressemble à son père Charles. On imaginera son tempérament : est-il
toujours sage ou se comporte-t-il parfois comme, jadis, son père, en petit diable ?
Édition Hachette, Collection Livre de poche Jeunesse
Adaptations des œuvres de la Comtesse de Ségur
Un Bon petit diable
A Good little devil, d’après la pièce de théâtre de Rosemonde Gerard
et Maurice Rostand, adaptée par Austin Strong, produite par David
Belasco à Broadway en 1913, réalisée par Edwin S. Porter, 1914.
Un Bon petit diable, dramatique en deux parties adaptées par Michel Subiela de
l'œuvre de la Comtesse de Ségur, réalisée par Jean-Paul Carrère, 1961.
Un Bon Petit Diable, film Français de Jean-Claude Brialy avec Paul
Courtois, Alice Sapritch, Bernadette Lafont, Michel Creton, Philippe
Clay, 1983.
Bande dessinée, par Louis-Michel Carpentier, chez Casterman, en
1979.
Les Malheurs de Sophie
Bande dessinée, par Louis-Michel Carpentier,
chez Casterman, en 1975.
Au cinéma par Jean-Claude Brialy, en 1980.
En une série de dessins animés par Bernard
Deyriès, en 1997.
Les Petites filles modèles
Court métrage par Eric Rohmer, en 1952.
Bande dessinée, par Louis-Michel Carpentier, chez Casterman, en
1976.
Mémoires d’un âne
Bande dessinée, par Louis-Michel Carpentier, chez Casterman, en
1977.
La Sœur de Gribouille
À la télévision (Théâtre de la jeunesse) par Yves-André Hubert en
1964.
Bande dessinée, par Louis-Michel Carpentier, chez Casterman, en
1984.
Les Deux Nigauds
À la télévision (Théâtre de la jeunesse), par René Lucot en 1966.
Bande dessinée, par Louis-Michel Carpentier, chez Casterman, en
1978.
L’Auberge de l’ange gardien
À la télévision (Théâtre de la jeunesse), par Marcel Cravenne en
1962.
Bande dessinée, par Louis-Michel Carpentier, chez Casterman, en
1980.
Le Général Dourakine
À la télévision (Théâtre de la jeunesse) par Yves-André Hubert en
1963.
Bande dessinée, par Louis-Michel Carpentier, chez Casterman, en
1981.
La Cabane enchantée
Bande dessinée, par Louis-Michel Carpentier, chez Casterman, en
1982.
La Comtesse de Ségur et Un bon petit diable sur Internet
http://pluneret.pagesperso-orange.fr/la_comtesse.htm
http://www.musee-comtessedesegur.com/
http://gallica.bnf.fr/Search?ArianeWireIndex=index&p=1&lang=FR&q=un+bon+
petit+diable
http://www.editions-quatreheures.com/PDF/Un_bon_petit_diable_Extrait.pdf
http://lacomtessedesegur.fr/
http://educalire.fr/Un_bon_petit_diable.php
https://boutique.ina.fr/edu/PACK699694338/un-bon-petit-diable.fr.html
http://www.cndp.fr/crdp-creteil/telemaque/comite/famille-bibli.htm
Contact écoles
Alix Crambert – 01 39 20 16 00
[email protected]
Tarif scolaire : 10 € (gratuité pour les accompagnateurs)

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