N°21 - avril 2002
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N°21 - avril 2002
La Lettre du Centre dEvaluation, de Documentation et dInnovation Pédagogiques N°21 - avril 2002 Réalisation du référentiel de ressources de chargé détudes. L e CEDIP a assuré une mission de conseil auprès d’une équipe projet (composée de consultants des différents CIFP), pour la réalisation des référentiels d’emploi-type et de compétences du chargé d’études dans les domaines de l’aménagement, de l’urbanisme et de l’habitat, ainsi que de l’exploitation et de la sécurité routière. A la suite de ce travail, le Directeur-adjoint du Personnel et des Services a demandé au CEDIP d’assurer le conseil auprès d’une nouvelle équipe chargée de la déclinaison, à partir des documents déjà rédigés, des référentiels de ressources de : • Chargé d’études expérimenté en DDE/DRE, « généralisteassemblier » dans le cadre de l’élaboration d’un Schéma de Coordination et d’Organisation Territoriale (SCOT), sur le positionnement des missions qui incombent à l’Etat ; • Chargé d’études expérimenté « expert » (au sens animateur technique) en CETE, sur le thème des déplacements dans le cadre de l’élaboration d’un SCOT. Piloté par la Mission du Développement des Compétences et des Qualifications (MIDECQ), ce travail participe à la qualification des équipes au sein du réseau formation sur ce type d’exercice. ■ Gilles Aymar - CEDIP ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ Chantiers Diagnostic de lUnité Locale de Formation de la Guadeloupe. A la demande du Président du Conseil de Perfectionnement de l’interrégion de Rouen et du Directeur du CIFP, le CEDIP a procédé au diagnostic de l’Unité Locale de Formation (ULF) de la Guadeloupe, structure mise en place pour conforter l’appareil de production de formation. Au-delà des résultats du diagnostic et des préconisations d’évolution proposées, l’intérêt présenté par ce dossier réside dans le champ concerné et la méthodologie utilisée. Si les évaluations relatives à des actions, des dispositifs ou des politiques de formation constituent des démarches connues des services, celles portant sur le fonctionnement d’un service ou d’une unité sont plus rares. Le diagnostic de l’ULF de la Guadeloupe constitue de ce point de vue un exemple intéressant. Il s’agissait, dans ce cas de figure, d’évaluer le fonctionnement d’une structure au regard des objectifs définis lors de sa création et des besoins actuels de ses utilisateurs. Ce diagnostic a permis d’analyser les principaux dysfonctionnements repérés et de mesurer la cohérence des procédures mises en œuvre pour atteindre les objectifs assignés à l’ULF. La méthode retenue pour la réalisation du diagnostic a consisté en une analyse du dispositif mis en œuvre depuis son origine (point de départ des réflexions, finalités, objectifs, conditions de mise en œuvre, etc.). L’intervention s’est articulée autour des modalités pratiques suivantes : • Analyse du dispositif et des représentations des différents acteurs au travers d’entretiens semi-directifs, individuels et collectifs (questionnement établi à partir d’une pré-enquête menée, avant l’intervention sur le terrain, auprès de quelques acteurs impliqués dans la création de l’ULF), • Mise en perspective des éléments recueillis, • Présentation et mise au débat des pistes d’évolutions possibles lors du bureau DOM du Conseil de Perfectionnement, • Élaboration du rapport final. Les principales préconisations ont porté notamment sur la mise en synergie et le pilotage des différentes activités de la cellule formation et concours, afin d’optimiser et étendre les missions de l’ULF. Pour toutes informations complémentaires, le personnes suivantes peuvent être contactées : Jean-Marie Colléony (CIFP de Rouen), Fabienne Ellul et Guy Panisse (CEDIP). Sommaire n Pages Chantiers : Réalisation du référentiel de ressources de chargé d’études / Diagnostic de l’Unité Locale de Formation de la Guadeloupe n Notes de lecture : Management des connaissances n Notes de réflexion : « L’économie du savoir ... l’information en connaissances » 2 / L’utilisation des forums de discussion à des fins de formation n Sur les écrans : Les TIC et la formation à distance : pour en savoir davantage n Signalés : Traité des sciences et techniques de la formation / Au sujet de l’apprentissage / réflexions sur la granularité et les « bases de savoirs » / Emplois et compétences : notions et éléments de terminologie l 1 2 et 3 3 4 Fiche n°21 : Conserver au sein d’un service les connaissances d’un partant En lignes N° 21 - avril 2002 - page 1 Notes de lecture Management des connaissances Résumé des idées de l’article « Exigences stratégiques et communicationnelles pour le knowledge management1 » - Didier Naud – revue Personnel n° 425 décembre 2001. U n projet de gestion des connaissances se heurte avant tout à deux difficultés : le manque de règles communes de communication et l’absence de stratégie locale ou globale. Une démarche méthodique et rigoureuse est donc nécessaire pour sortir de l’effet de mode et installer un tel projet. La gestion des connaissances dans l’entreprise demande la mise en place d’un réel débat professionnel. Pour cela, la définition d’un cadre de référence partagé par tous permet d’éviter les confusions et de construire une base de connaissances, ainsi qu’une mémoire d’entreprise. Les conditions d’obtention d’un consensus fort doivent être travaillées. Les outils existants de gestion des connaissances insistent sur ce préalable, mais ne proposent pas de solutions. C’est à l’entreprise d’organiser, en fonction de sa culture, les conditions de coopération professionnelle permettant la confrontation des points de vue et l’expression du débat. La mise en place réussie d’un projet de gestion des connaissances commence donc par l’analyse des règles communes de communication existantes ou envisagées. L’autre difficulté à laquelle se heurte le « knowledge management » est l’approximation ou l’absence de stratégie . Cette situation est due, en partie, à la difficulté pour les entreprises d’avoir une vision à moyen et long terme, entraînant une gestion au « coup par coup ». Pour l’auteur, il y a « appauvrissement du concept de stratégie ». On mélange le stratégique et le « jugé important ». Tout devient stratégie et le résultat est souvent la mise en place de simples plans d’actions. L’instauration réussie de la gestion des connaissances dans une structure s’inscrit dans une véritable stratégie. Dans le cas contraire, cela restera le résultat d’un phénomène de mode. ■ Valérie Debat - CEDIP (1) Knowledge Management (KM) = manager les connaissances, c’est-à-dire mettre en place et gérer des processus de formalisation, de partage et de valorisation du capital de connaissances du service. En lignes - N° 21 - avril 2002 - page 2 Notes de réflexion « Léconomie du savoir consiste à transfor mer linformation en connaissances » C ette affirmation tirée d’un ouvrage de Guy Le Boterf (« Construire les compétences individuelles et collectives » - Éditions d’organisation - Juin 2000.) nous renvoie à nos propres modes de gestion interne des savoirs, et plus largement de leur communication. Les obstacles au transfert de l’information sont nombreux et variés : • difficulté à trouver des sources d’information ; • difficulté à interpréter les éléments de réponse donnés par l’information ; • difficulté pour l’individu à définir clairement la nature de son besoin ; • difficultés techniques et/ou organisationnelles d’accès aux informations. Toutefois, un certain nombre de précautions peuvent être prises pour faciliter le transfert et l’appropriation de l’information. Il importe notamment de faire un tri parmi les informations à transférer ; il faut distinguer les informations inertes (celui qui les reçoit ne sait pas comment les utiliser) et les informations dynamiques (celles qui apportent une aide dans une situation donnée et conduisent à une action). En effet, l’appropriation de l’information dépend de son utilité ; elle doit déboucher chez l’usager sur de la décision pour l’action, de la résolution de problèmes ou de l’enrichissement de la réflexion. Communiquer c’est, en particulier, organiser l’information sélectionnée de façon à ce qu’elle soit attrayante et qu’elle permette de distinguer l’essentiel de l’accessoire. Ceci nécessite de déterminer de façon précise les besoins et de procéder à une analyse en amont de la communication pour notamment : • identifier, voire segmenter la population-cible ; • recenser finement les besoins et les attentes de chacune des populations ; • connaître leur culture, leurs modes de communication privilégiés, leurs réticences vis à vis des outils et des produits. Au-delà de la fonction de transfert d’informations ciblées et répondant à des besoins exprimés, la communication nécessite dans nos organisations, une fonction d’animation de l’information ; celle-ci renvoie à plusieurs préoccupations telles que : • satisfaire les besoins latents et « éveiller » l’attention de l’utilisateur sur de nouveaux champs de réflexion ; • privilégier la diffusion d’informations à caractère stratégique ; • repérer les grandes tendances et favoriser l’éveil à de nouvelles pistes de réflexion ; • trouver de nouvelles formes de transfert (réseau professionnel plus ou moins formel). Elle implique également : • une culture en partie commune des usagers ; • un souci du caractère exploitable des informations fournies ; • la capacité à assurer le conseil et la veille ; • la mesure de l’appropriation de l’information par ses destinataires, notamment quant à sa fonction de facilitation de l’apprentissage et/ou de son utilisation en situation professionnelle. Les connaissances sont de plus en plus considérées comme un capital immatériel des organisations ; c’est pourquoi, ces dernières en développent de plus en plus la gestion. Etre compétent nécessite de mobiliser non seulement ses propres savoirs, mais également ceux qui sont capitalisés dans des réseaux de ressources. ■ Fabienne Ellul - CEDIP Bibliographie : Guy Le Boterf (2000) « Construire les compétences individuelles et collectives ». Éditions d’organisation Christian Darvogne et Didier Noyé (1993) « Organiser le travail pour qu’il soit formateur ». Insep Éditions Éric Sutter (1997) « Communication ou animation de l’information ? ». Sciences de l’information n°34. Charles Bordères et Guy Panisse « Capitaliser une expérience :une méthode ? » En lignes n°10 :fiche technique n°10. Éric Gay et Guy Panisse « Organisons aujourd’hui la veille pour demain » En lignes n°17 : fiche technique n°17. Notes de réflexion (suite) Lutilisation des forums de discussion à des fins de formation (Pour accéder au document complet : http://intra.ente-aix.i2/ente-aix/ressources/reflex-pedago/reflex-pedago.htm) D epuis quelques années, l’utilisation des outils numériques dans les formations à distance connaît un essor considérable. Si les expérimentations se multiplient au sein des organismes de formation et si ces outils, à l’instar des plates-formes de formation, font l’objet de recherches de la part de nombreux concepteurs, il n’en demeure pas moins que de multiples obstacles restent à franchir. Les difficultés entrevues aujourd’hui concernent : • les possibilités technologiques des outils, • le niveau de maîtrise des apprenants confrontés à leur utilisation, • l’accompagnement des apprenants à distance. L’étude effectuée a pour objet d’éclairer l’utilisation du forum de discussion (outil numérique simple), pour la constitution d’une communauté d’intérêt : « le groupe formation ». Dans le cadre d’une démarche expérimentale, il semble pertinent d’analyser : • les caractéristiques de la communication sur le forum de discussion, • ses potentialités dans une visée formation. Les suites de cette étude consisteraient à mettre à l’épreuve les recommandations formulées au niveau de : • l’intégration du forum dans un dispositif, • l’architecture de l’espace de communication, • les différents rôles du formateur. Dans cette perspective, un travail en équipe pourrait être initié avec toute personne ou organisation désireuse d’expérimenter le forum de discussion dans le cadre de la formation partiellement à distance d’une c o m munauté d’intérêt : « le groupe formation ». ■ Jean-Paul Marx ENTE Aix-en-Provence En pratique, le contenu d’un forum de discussion a été analysé, puis le questionnement des participants et de l’animateur de ce forum a permis de recueillir des opinions sur les potentialités de l’outil utilisé à des fins de formation. Des pistes de réflexion ont été formulées à l’attention de ceux qui voudraient animer des formations principalement grâce à cet outil. « nécessite de structurer l’espace de communica- Il en ressort les éléments suivants : tion... et... que le formateur ◗ la communication observée sur les forums et celle qui est orientée vers clarifie avec le groupe les l’apprentissage nécessitent de struc- limites de son rôle...» turer l’espace de communication en plusieurs sous-espaces dont les objectifs et les modes de communication sont différents. L’étude distingue quatre composantes de l’espace de communication : • l’espace de socialisation pour satisfaire les besoins affectifs, • l’espace de l’organisation nécessaire aux travaux de groupes : règles de fonctionnement, délais, procédures, … • l’espace de travail en commun comme lieu de confrontation et de construction des connaissances, • l’espace de régulation pour une évaluation formative des apprentissages et une assistance technique. ◗ dans chacun de ces espaces, le formateur, accompagnateur des apprenants, devient tour à tour : modérateur, régulateur, facilitateur, animateur et évaluateur. Chacune de ces postures nécessite que le formateur clarifie avec le groupe les limites de son rôle : ce qu’il peut et ce qu’il ne doit pas apporter, en relation avec ce qu’il attend du groupe d’apprenants. Cette réflexion attire, par ailleurs, l’attention du formateur sur un certain nombre d’aptitudes et d’actions tant dans la préparation de l’utilisation du forum à des fins de formation que dans l’action d’accompagnement des apprenants à distance. Il ressort de cette étude que le forum de discussion recèle de nombreux atouts pour la formation à distance, mais qu’il doit être conçu comme un élément d’un dispositif pédagogique plus englobant basé sur « l’apprentissage collaboratif à distance ». Sur les écrans Les TIC et la formation à distance : pour en savoir davantage L es sites internet sur la formation et sur les technologies de l’information et de la communication sont nombreux. Certains traitent de la relation entre les deux sujets. Trois d’entre eux ont retenu notre attention par la diversité et la qualité des informations proposées, l’accès aisé à ces dernières et la gratuité importante des services offerts. • Tout d’abord, le portail des TIC créé pour « Promouvoir et soutenir l’intégration des TIC en enseignement » - Adresse : http://www.ntic.org • Ensuite, l’Institut francophone des nouvelles technologies de l’information et de la communication - Adresse : http:// intif.francophonie.org/ • Enfin, l’incontournable site ThoT sur les nouvelles de la formation à distance - Adresse : http://thot.cursus.edu En lignes - N° 21 - avril 2002 - page 3 Traité des sciences et techniques de la formation (Sous la direction de Philippe Carré et Pierre Caspar - DUNOD - 1999) Cet ouvrage intéressera tous ceux qui interviennent directement dans le champ de la formation pour adultes et/ou qui sont concernés par l’articulation entre compétences et formation. U ne trentaine d’auteurs reconnus ont été sollicités par Philippe Carré et Pierre Caspar, afin de faire un état des lieux des sciences et techniques de la formation. L’ambition de ce gros livre de 500 pages n’est pas d’être lu comme un roman, mais d’être le point de départ d’une recherche. Chaque chapitre de cet ouvrage est la synthèse d’un point particulier et débouche sur une série de lectures conseillées. La consultation de cet ouvrage pourra se faire à partir de deux index particulièrement détaillés : l’un sur les notions, l’autre sur les auteurs. Il est structuré en trois parties : • la première resitue la formation des adultes dans son contexte historique, économique et social ; • la deuxième approfondit les modalités et les motivations qui poussent un adulte à apprendre ; • la dernière se focalise sur l’élaboration et l’animation d’un dispositif de formation d’adultes. La conclusion, quant à elle, amorce une réflexion prospective sur l’évolution de la formation. ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ Signalés ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ Au sujet de lapprentissage V ous souhaitez des réponses aux questions Pourquoi et Comment apprendre ? Vous vous intéressez aux nouvelles manières d’apprendre, aux notions telles que savoirs, compétences, organisation apprenante, etc. ? Alors, consultez l’ouvrage « Apprendre autrement ». Cet ouvrage réunit des textes issus des 10e Entretiens de la Villette (1999), relatifs aux interventions de multiples spécialistes venus du monde de la formation, de l’entreprise ou de la recherche. Consultation et téléchargement (en intégralité ou par partie) à partir du lien ci-dessous. http://www.onlineformapro.com/espaces/commun/lettre/lettreinfo/ Eressourcetele/E28_02_2001_2.asp ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ Réflexions sur la granularité et les « bases de savoirs » L e savoir d’une discipline peut être segmenté en savoirs élémentaires bien délimités : les « grains » ou « micro conteneurs de savoir ». Le produit de l’organisation de ces grains constitue une « base de savoirs ». Vous souhaitez approfondir ces notions, ainsi que les réflexions menées sur leurs relations avec la mutualisation et le partage des connaissances ? Allez lire les documents rédigés par Jean-Paul Marx, sur le site de l’ENTE d’Aix-en-Provence, à partir du lien suivant : http://intra.ente-aix.i2/enteaix/ressources/reflex-pedago/reflex-pedago.htm En lignes - N° 21 - avril 2002 - page 4 Emplois et compétences : notions et éléments de terminologie L e CEDIP vous propose un document de présentation des différentes notions structurant le domaine emplois-compétences. En effet, dans le cadre du développement de la GPEC et de l’approche compétences dans la gestion des ressources humaines au quotidien, il paraît particulièrement important de partager des définitions et une logique communes d’utilisation. En suivant la trame des étapes successives d’une démarche de définition des compétences au sein d’un service ou d’une unité de travail, le document expose des termes d’abord définis, puis commentés et illustrés par des exemples. Vous y trouverez ainsi des informations relatives aux notions de missions, activités, emplois-types, postes, référentiels, compétences, ressources, etc. ainsi qu’aux liens entre ces différentes notions. Le document est consultable sur le RICF, rubrique « Prévoir ». Martine Ganter-Couderc, qui a réalisé ce document, se tient à votre disposition pour recueillir vos remarques et vos observations, ou pour tout renseignement complémentaire. Directeur de la publication Jean-René Legris Rédacteur en chef Guy Panisse Comité de rédaction Gilles Aymar Valérie Debat Martine Ganter-Couderc Comité de lecture Georges Armenoult Gilles Aymar Valérie Debat Patrick Duigou Martine Ganter-Couderc Jeanine Munoz Mise en page Jeanine Munoz Impression Atelier Six Ont également participé à la réalisation de ce numéro Fabienne Ellul, Myriam Marin, Danielle Mirouze, Simone Pernod (CEDIP). J.-M. Colléony (CIFP Rouen) J.-P. Marx (ENTE Aix-en-Provence) « En lignes » sur le réseau I2 : http://ricf.cedip.i2/ CEDIP - 327, rue du Moulin de Sémalen 34000 MONTPELLIER Tél. 04.67.15.76.60 - Fax. 04.67.15.76.61 E-mail : [email protected]