comment choisr "son" private banker
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comment choisr "son" private banker
018_GPV1QU_20100619_MARHP_00_Opmaak 1 15/09/2010 �������11:09 ����Pagina �����19 ��������������������������������������������������� ������������������������������������������������������������������� 018_GPV1QU_20100619_MARHP_00_Opmaak 1 15/09/2010 11:09 Pagina 18 DW • 14 DW • 15 EL A I N O M I R TAP N O I T S EG GESTION DISCRÉTIONNAIRE Un petit (ou un gros) héritage, une affaire qui tourne plutôt bien, une réussite professionnelle… Et vous voilà à la tête d’un certain patrimoine. Vous ne vous sentez cependant pas de taille à le gérer seul. Les «private bankers» vous tendent les bras. Avant de leur confier vos avoirs, voici quelques conseils pour baliser votre choix. TEXTE: STÉPHANE RENARD Avantages Inconvénients + suivi des marchés au jour le jour; � + vitesse de réaction dans les � Comment choisir «son» décisions à prendre, surtout en période de grande volatililité; private bankerr ? O Inleiding n peut se risquer à une distinction entre le «personal banking» en-dessous d’un million d’euros de patrimoine financier, le «private banking» entre 1 et 4 millions d’euros et le «wealth» au-delà. A chaque catégorie correspond en principe une gamme de services de plus en plus large. Mais tout cela reste fort théorique. Le marché de la banque privée, qui comptait autrefois d’honorables maisons et quelques grandes enseignes internationales s’est, lui aussi, démocratisé. Concurrence oblige, les banques généralistes ont développé un segment «private» tandis que nombre de banquiers privés ont revu à la baisse le seuil d’entrée des nouveaux clients. Le principe général reste cependant le même: la banque privée offre au client une gestion relativement personnalisée et lui attribue une personne de contact avec laquelle il a une relation privilégiée en termes de stratégie d’investissement. Dans une banque privée, le client n’est plus un numéro. Il se doit d’être choyé. Raison pour laquelle il a aussi accès, dans bien des cas, à un service juridique qui le conseillera d’un point de vue fiscal et patrimonial (planification sucessorale, par exemple). 18 mon argent samedi 19 juin 2010 Le gestionnaire qui vous convient en 6 étapes 1 A partir de quel seuil? Pas d’hypocrisie. La plupart des banquiers privés estiment qu’il vous faudra au minimum un million d’euros pour pouvoir bénéficier d’une gestion de fortune réellement personnalisée. BNParibas Fortis vient même de mettre la barre à 4 millions d’euros… Pourtant, un certain nombre d’institutions vous accepteront avec un montant nettement moindre. Sont-ils pour autant indignes de votre confiance? Certainement pas. Mais ne mélangeons pas tout. La gestion d’un « petit » portefeuille – autour des 150.000 ou 200.000 euros par exemple – s’appuiera davantage sur des fonds de placement, qui offriront une meilleure diversification et permettront surtout un meilleur suivi de votre portefeuille. Sauf, bien sûr, si le client est un adepte des portefeuilles «à la ligne». De toute façon, quel que soit le montant, les conseils restent ceux de professionnels des marchés. 2 Gestion discrétionnaire ou gestion conseil? C’est sur ce plan que se situe la principale différence avec la banque classique. re issod dossier GESTION PATRIMONIALE + accès à des produits inaccessibles � aux particuliers; + économies d’échelles en frais de � gestion et de commission; + confort mental: votre émotivité � face aux réactions des marchés est contenue; � Gestion discrétionnaire La plupart des banquiers privés privilégient en effet la gestion discrétionnaire. Vous déléguez donc au banquier la gestion intégrale de votre portefeuille. A charge pour lui de déterminer, sur la base de votre profil de risque et de l’entretien préalable que vous aurez eu, la stratégie de placement qui vous convient le mieux. Vous n’intervenez donc plus dans la gestion de vos avoirs. Cela ne signifie pas que vous n’ayez plus rien à dire: des entretiens réguliers doivent vous permettre de suivre (et de comprendre) les décisions de la banque. (Lisez l’encadré: avantages et inconvénients de la gestion discrétionnaire) � Gestion conseil A défaut de gestion discrétionnaire, reste la possibilité d’une gestion conseil, où vous restez maître à bord. Mais celle-ci, qui est la moins pratiquée, s’adresse surtout aux très gros portefeuilles, sauf dans les banques généralistes, comme chez KBC par exemple. 3 Quelle relation entretenir avec votre gestionnaire? Tel est le premier conseil – le seul disent même certains - à appliquer lorsque vous vous mettez en quête d’un banquier privé. Evident ? Pas si sûr. «Comme dans toute relation commerciale, il y a un vendeur et un client. Or, un banquier privé doit avoir pour qualité de base la capacité d’écoute. Un premier entretien devrait toujours être celui ‘de la feuille blanche’, où le banquier se contente de prendre des notes et de cerner la personne en face de lui», insiste Marc Molès le Bailly, directeur général de la Banque Privée Edmond de Rotschild Europe, succursale de Belgique. «S’il ne saisit pas la personnalité de son client, qui ne se découvre pas forcément du premier coup, il ne pourra pas le conseiller utilement.» - le sentiment (pour certains) d’être � dépossédé de la gestion de leurs propres avoirs; - une transparence qui n’est pas � toujours au rendez-vous dans le choix des investissements; - la difficulté (parfois) de se faire � entendre, comme nous l’a confié un client quelque peu échaudé: «Il y a un an, j’ai exprimé à mon gestionnaire le souhait de le voir investir un ou deux pour cents très faible en or. Il a refusé car ce n’était pas la stratégie de la maison. C’est moi qui avais raison…» A la tête d’ING Private Banking, Denis Gilliot tient le même langage: «Lors de vos entretiens, est-ce que l’on vous écoute? Ou est-ce que c’est vous qui écoutez ?». «Ce qui est primordial dans la banque privée, conclut René Havaux, administrateur délégué de la Banque Delen, c’est la relation qui va se développer entre le client et son gestionnaire. Un client qui se dit satisfait de ‘sa banque’ est souvent - sans toujours s‘en rendre compte-, satisfait de sa personne de contact. C’est une alchimie. Le private banking ne peut se construire que sur une relation durable.» Méfiez-vous donc des institutions où la politique du personnel se traduit par d’incessantes rotations. 4 Une gestion individualisée de votre patrimoine? Néanmoins, « faire croire à chaque client qu’il bénéficie d’une gestion strictement individualisée est mensonger», affirme René Havaux avec netteté. «Nous gérons 15.000 comptes. Estimer que tel client sera mieux servi avec une ligne d’UCB mais que tel autre client le sera avec Solvay l’est tout autant. Si chaque portefeuille devait être géré de manière totalement individualisée, cela entraînerait un coût extrême qui serait répercuté sur le client. Et surtout, cela se traduirait par une efficience déplorable. Prenons 100 gestionnaires: si chacun était libre de ses mouvements, nous aurions une sérieuse cacophonie. Il faut au contraire définir des stratégies globales, dont profite ensuite directement chaque client en fonction de son profil.» Autre atout: une centralisation stratégique, notamment par des fonds, permet de réagir très vite pour un ensemble de portefeuilles, ce qui est nécessaire dans les marchés actuels. Ceci serait impossible s’il fallait agir en individuel. ��� samedi 19 juin 2010 mon argent 19 ������������������������������������������������������������������� 018_GPV1QU_20100619_MARHP_00_Opmaak 1 15/09/2010 11:09 Pagina 24 dossier GESTION PATRIMONIALE dossier RUBRIEK GESTION PATRIMONIALE 1 million d’euros 8 C’est le seuil à partir duquel une banque privée vous attribuera un gestionnaire de patrimoine «personnel». ��� 5 6 Gestionnaire ou délégué commercial? Architecture ouverte ou pas? Sachant ce qui précède, et si l’on excepte le cas des très gros portefeuilles, à quoi sert dès lors un gestionnaire personnel? Pour René Havaux, le gestionnaire personnel doit «vérifier qu’au départ d’une mise en œuvre centralisée, source d’économie et d’efficacité accrues, la politique d’investissement définie pour un profil de risque respecte autant l’évolution personnelle – professionnelle, familiale…- du client que celle des marchés. Une double tâche bien plus délicate qu’il n’y paraît et qui ne peut se régler en quelques minutes à un guichet». Et le banquier de citer un exemple qu’il affectionne: «En période de hausse boursière, un nouveau client opte souvent pour un profil dynamique. Je lui pose alors toujours la même question: ‘Donc, vous acceptez l’idée que, d’ici un an, votre portefeuille aura peut-être reculé de 10 %?’ Souvent, on en revient alors à un profil plus neutre…». LISEZ AUSSI LE RAPPORT DE L’ECHO SUR LE PRIVATE BANKING À L’ADRESSE WWW.LECHO.BE/ PRIVATEBANKING FRANÇOIS MATHIEU RÉDACTEUR EN CHEF MON ARGENT Titel groot ��� Une grande banque, qui émet «Si chaque portefeuille beaucoup de fonds, ou un private devait être géré de façon banker qui a développé une politique totalement individualisée, de fonds propres, auront inévitable- cela entraînerait un coût ment tendance à garnir les portefeuilextrême et une efficience les de leurs propres fonds. déplorable.» Une banque qui n’en émet pas (ou RENÉ HAVAUX, peu) doit impérativement puiser les ADMINISTRATEUR-DÉLÉGUÉ CHEZ BANQUE DELEN meilleurs produits dans le marché. Inleiding Les private Bankers ont ainsi développé des services très pointus d’analyse du marché, afin de repérer les gestionnaires les plus performants parmi les milliers de fonds en circulation dans le monde. «In fine, le fil conducteur doit toujours être l'intérêt du client», insiste Marc Molès le Bailly. A vous dès lors de suivre attentivement, même dans le cas d’une gestion discrétionnaire, la politique de votre private banker en matière de fonds. Et si vous estimez que la part de ses propres fonds est trop importante, rien ne vous empêche d’en comparer les performances avec des produits similaires. Les comparaisons foisonnent sur les sites internet (voyez aussi notre site pour les comparaisons de produits). Avouons cependant notre préférence pour les banquiers privilégiant réellement l’architecture ouverte. Et faites-vous toujours expliquer ce que vous ne comprenez pas. TIP Mécontent de son private banker, ce client au profil très défensif découvrit Bodytekst tip ainsi, lors de son transfert chez un concurrent, qu’il possédait un fonds ina vesti dans du bois tropical. Périlleux… Si le contact personnel est important, concentrez-vous surtout sur la stratégie mise en place par la banque en matière d’architecture de placements. L’un des reproches qui fut longtemps (et est parfois encore) adressé aux banquiers privés était de privilégier leurs intérêts. Comment? En plaçant dans les portefeuilles des clients (un peu) trop de produits maison: fonds dont ils sont émetteurs, valeurs dont ils «tiennent le marché»… Cela ne signifie pas que ces produits soient mauvais. Mais nul ne peut aujourd’hui être le plus performant sur tous les marchés, dans tous les secteurs, dans toutes les niches. Pratiquer l’architecture ouverte consiste dès lors, pour un banquier, à acquérir pour son client des fonds émis par des banques tierces. Pour deux raisons: soit le private banker n’émet pas (ou peu) de fonds par lui-même, soit il trouve des produits plus performants que les siens auprès de la concurrence… La suite en page 24 Ce qu’en pense la rédaction ��� Pig Spender 1. Commissions de gestion Il faut compter en moyenne annuelle de 0,2% à 1% de la valeur du portefeuille. Quelques exemples: � Chez PuilatecoDewaay, la commission oscille entre 0,250% et 0,4% selon l’importance des avoirs. � Chez Petercam, la gestion discrétionnaire est facturée 0,30% des valeurs des avoirs confiés en gestion, et 0,50% en gestion conseil. � Chez Axa, la gestion discrétionnaire coûtera 1%. Selon l’importance des avoirs en gestion, les banquiers consentent des ristournes. Il n’est pas rare de tomber à 0,15% (hors tva) au-delà des 10 millions d‘euros; 2. Droits de garde Certaines institutions affirment détenir vos titres gratuitement. De quoi susciter quelque interrogation car tout service a un coût, même si la généralisation de l’informatique et la disparition progressive des titres au porteur a réduit les coûts de manutention et de conservation de vos valeurs. Alors soit les droits de garde sont ouvertement facturés selon un tarif très clair (à la ligne ou selon la valeur globale), soit «ils sont inclus dans les frais du mandat de gestion» comme le dit Dexia. Ne faites en tout cas pas de la «gratuité» des droits de garde un argument décisif dans le choix de votre private banker. Le coût global de la gestion devrait d’ailleurs être rarement l’élément principal. Ce sont les résultats qui comp- tent, en sachant qu’une gestion «private» passe par une relation de confiance qui s’inscrit le plus souvent dans la durée. Cela ne vous condamne pas à l’immobilisme. N’hésitez donc pas à demander un autre gestionnaire si vous n’avez pas d’atomes crochus avec le vôtre. Et si le désaccord persiste, changez de banque. Mais n’oubliez pas qu’une telle migration affectera cette année-là la performance de votre portefeuille. Il y aura un coût de transfert (qui peut dépasser les 40 ou 50 euros par ligne) et la redéfinition d’une stratégie de placements ne produira évidemment pas ses effets à très court terme. samedi 19 juin 2010 mon argent © ILLUSTRATION NICOLAS VADOT Les banquiers ne sont pas des philanthropes et toute gestion a un coût. La transparence n’est pas toujours parfaite: des «coûts cachés» liés aux frais internes de certains produits peuvent amoindrir le rendement final, sans que le client s’en aperçoive. Dans l’ensemble, cependant, les grilles tarifaires sont de plus en plus explicites. On retiendra deux types de coûts essentiellement: 21 24 mon argent samedi 19 juin 2010 Le prêteur et sa femme (1514), de Quentin Massys COMBIEN ÇA COÛTE? Déchirez ce papier glacé... D ans les salons feutrés des banques privées comme dans les salles aseptisées des banques généralistes, la crise est passée. L’institution «banque privée» a montré qu’elle ne pouvait pas être le roc face à la tornade que le client escomptait. Quand on vante «une gestion personnalisée» et un «suivi» 24h sur 24 des avoirs de ses clients, on peut légitimement s’estimer mieux armés que d’autres pour faire face à la crise. Eh bien non… Inadéquation Chaque banque se pose donc cette question: comment restaurer la confiance des clients sans mettre à mal sa rentabilité? L’équation n’est pas simple. Elle ne l’était pas il y a 5 ou 10 ans mais, au début des années 2000, le parti pris dans le monde de la gestion de fortune était clair: une compression des coûts couplée à une gestion de plus en plus standardisée et des seuils d’entrée «démocratisés». Le tout emballé «personnalisé». La vitrine a rapidement volé en éclats… En cause: l’inadéquation manifeste entre ce qui était annoncé et ce qui s’est avéré. Plus que jamais, le «relationnel» importe pour la survie de la banque privée. Pas le relationnel «papier glacé». Si l’on promeut les produits de tiers dans sa stratégie de gestion de portefeuille, on l’assume, et on ne fourgue pas les 6 ou 7 fonds «maison» à la première occasion venue. Ce type de comportement existe encore aujourd’hui. C’est se tirer une balle dans le pied… Transparence Par relationnel, on entendra donc un dialogue constructif sur les besoins du client en fonction de ses avoirs et de sa situation globale, et la mise en place d’une stratégie adéquate. Par relationnel, surtout, on entendra un suivi transparent de cette stratégie. Les clients sont aujourd’hui mûrs pour comprendre qu’une banque privée ne peut à la fois exceller dans la gestion de fonds, le private equity, les projets immobiliers, le conseil patrimonial, etc. Annoncer la couleur dès le départ, en toute transparence, c’est montrer patte blanche au client. Il ne veut pas plus. Juste pouvoir faire confiance… a Source : Mon argent ������������������������������������������������������������������� 018_GPV1QU_20100619_MARHP_00_Opmaak 1 15/09/2010 11:09 Pagina 21 022_GPV1QU_20100619_MARHP_00_Opmaak 1 15/09/2010 11:11 Pagina 23 ������������������������������������������������������������������� 022_GPV1QU_20100619_MARHP_00_Opmaak 1 15/09/2010 11:11 Pagina 22 DW • 18 DW • 19 OFFRE PRIVATE BANKING EN BELGIQUE MONTANTS MINIMUMS POUR UNE GESTION PERSONNALISÉE? PRINCIPAUX SERVICES GESTION PRIVILEGIÉE: DISCRÉTIONNAIRE OU CONSEIL? LE CLIENT PEUT-IL INTERVENIR DANS LA E? AIRE? GESTION DISCRÉTIONNAIRE? QUELS TYPES D'ACTIFS PRIVILÉGIEZ-VOUS? PRATIQUEZ-VOUS L'ARCHITECTURE OUVERTE ? SI OUI, JUSQU'À QUEL POURCENTAGE ? LE CLIENT A-T-IL UN GESTIONNAIRE PERSONNEL? FRÉQUENCE DES RENCONTRES PERSONNELLES? (1) SERVICE JURIDIQUE GRATUIT? DROITS DE GARDE? (2) ROTHSCHILD EUROPE Pas de minimum formel. Gestion d’actifs et structuration patrimoniale. Gestion discrétionnaire car permet davantage de réactivité. Les idées de nos clients sont discutées. Si elles s’écartent troppdes ères objectifs, les positions particulières inct. sont isolées sur un compte distinct. Pas de préférence. Varie selon clients, catégories d’actifs et opportunités. Oui depuis de nombreuses années. En moyenne, le pourcentage de fonds de tiers avoisine 85%. Jusqu’à 100%. Deux: un private banker et un gestionnaire d’actifs. Une fois par trimestre ou selon désirs du client. Oui. Oui. PETERCAM Pas de minimum. Gestion sicavisée en-dessous de 250.000 euros. Gestion discrétionnaire, conseils en placement, fiscaux et patrimoniaux. Gestion discrétionnaire car réactivité plus grande. Oui pour définir limites et orientations du portefeuille. Les fonds car ils permettent une meilleure diversification que les lignes individuelles. Utilisation limitée de hedge funds/produits dérivés. Oui. Cette approche permet d’être présent sur tous les segments de marché et de profiter des compétences de spécialistes externes. Un gestionnaire attitré. Au moins une fois par an, mais varie selon désirs du client. Oui en Oui. gestion discrétionnaire. Banque DEGROOF 250.000 euros. Gestion patrimoniale (Wealth Management), plus large que la gestion de portefeuille. Aucune. Gestion discrétionnaire toutefois préférée par les clients. A priori non. Si le client souhaite intervenir, mieuxx vaut opter pour un autre type de gestion. Pas de préférence particulière. Oui. Par le biais de «managements accounts» (mandats de gestion pour marché de niche) et par une sélection de fonds (limitée pour en vérifier la qualité). Jusqu'à trois: chargé de relation, gestionnaire et assistant. Très variable selon désirs du client. Oui. Oui. UBS Belgique 1 million d'euros (voire moins à titre exceptionnel). Gestion discrétionnaire et gestion conseil. Aucune. Varie selon le client. Certaines adaptations sont possibles. Analyse approfondie de l'offre disponible sur le marché. Oui. Plus de 2/3 tiers des fonds sont de tiers (100% possible). Un gestionnaire et un assistant. Quatre fois par an au minimum. Oui. Oui. BNP PARIBAS Fortis Private banking: de 100.000 à 4 millions d'euros. Wealth Management: plus de 4 millions. Gestion discrétionnaire et gestion conseil. Aucune. Varie selon le client. Oui, dans le segment «Wealth» à partir de 2 millions d'euros. Instruments traditionnels associés à des produits structurés et à des investissements alternatifs. Oui. Equipe d'experts en fonds (FundQuest). Un gestionnaire dédié à partir d'un million d'euros. Dépend du segment de clientèle. Au maximum 4 fois par an. Oui. Oui. ING Private Banking Personal banking: de 125.000 à 1 million d'euros. Private banking: 1 million. Gestion discrétionnaire et gestion conseil + banque au quotidien. Aucune. Varie selon le client. Oui, en optant pour la gestion formule de discrétionnaire personnalisée. isée. Lignes individuelles, fonds ING et de tiers, trackers, produits structurés… et selon desiderata. Oui pour certaines classes d’actifs, si les fonds de tiers sont plus performants que nos produits ou complètent notre gamme. En ce moment, 6,4% des fonds sont de tiers. Un private banker + un deuxième contact en cas de contrat de gestion. Rapport de gestion 4 fois par an + 2 visites personnelles. Oui. Service décentralisé. Oui. AXA PM 150.000 euros: gestion centralisée sur base de fonds en architecture ouverte. Personal Banking, gestion discrétionnaire, estate planning. Gestion discrétionnaire: la performance est meilleure et plus consistante. Oui dans la gestion personnalisée aliséee si stratégie d’AXA PM respectée ectée et si le fond demandé/proposé osé fait partie de l’univers prédéfini. éfini. Diverisfication axée sur des fonds. Oui à 100 %. A partir de 500.000 euros si le client le demande. Au minimum 2 fois par an, et plus si demandé. Oui. Non. DEXIA Gestion discrétionnaire à p.de 250.000 euros. Gestion conseil personnaliséee à p.de 1 million d'euros. Private banking + banque au quotidien. Gestion discrétionnaire de type «risque asyméyrique» pour réduire l'impact de la volatilité des marchés. A priori non, même si un client peut évidemmentt toujours disposer de ses avoirs. Toutes les classes d'actifs, y compris produits structurés. Intérêt particulier pour les fonds, sicav et trackers. Oui. En fonction du mandat, part plus ou moins significative investie en fonds externes. Un chargé de relation individuel. Selon désirs du client. Oui, via un private advisor. Non si mandat de gestion. Sinon oui. SOCIETE GENERALE Gestion discrétionnaire: 250.000 euros. Gestion conseil: 500.000 euros. Gestion de fortune et ingénierie patrimoniale. Aucune. Varie selon le client. Non. Possible cependant en «gestion plus» à partirr de 500.000 euros. Aucune préférence. Varie selon le client. Oui. Le centre SG Funds Research (Guernesey) est exclusivement dédié à l'activité private banking du Groupe SG. Oui en cas de «gestion plus». Au moins deux fois par an. Oui au-delà de 500.000 euros. Oui. DEUTSCHE BANK 1 million d'euros. Gestion discrétionnaire et gestion conseil + banque au quotidien. Aucune. Varie selon le client. Normalement non. Titres individuels en majorité, complété par des fonds/trackers. Oui. Jusqu'à 100%. Oui. Oui. Gestion dicsrétionnaire: varie selon client. Oui. Non. KBC Private Banking 1 million d'euros. Gestion «Core satellite» à partir de 2,5 millions d'euros. Gestion discrétionnaire et gestion conseil + banque au quotidien. La majorité des clients optent pour la gestion conseil. Non. Volume plus élevé ces derniers mois en actions, obligations et produits structurés avec protection du capital. Oui. Oui. Au moins quatre fois par an. Oui pour clients Private banking. Oui. Banque DELEN Pas de minimum pour la gestion discrétionnaire. Gestion conseil à partir de 2,5 millions d'euros. Gestion patrimoniale au sens large (crédit y compris). 80% des clients optent pour la gestion discrétionnaire. Non, même si le client peut exprimer des pistes avec son gestionnaire. Préférence pour valeurs individuelles. Fonds extérieurs spécialisés (Asie, etc.). Uniquement dans un cadre limité. Maximum 5% actuellement. Un gestionnaire de portefeuille en équipe avec un alter ego et un conseiller patrimonial. Une fois par trimestre. Oui. Oui. PUILAETCO DEWAAY 250.000 euros. Gestion patrimoniale au sens large. Les deux. Mais la gestion discrétionnaire offre de nombreux avantages. Suggestions possibles, mais décision finale du ressort de la banque. Tout instrument transparent qui amène valeur ajoutée dans le cadre du risque fixé. Oui. Sélection d'une centaine de fonds de tiers, dont 40 recommandés. Entre 20 et 40%. Un banquier privé. Selon désirs du client. Accessibilité 7/7 lorsque la situation le justifie. Oui. Oui. 50.000 euros. Gestion discrétionnaire et gestion conseil. Aucune. Varie selon client. Non. S’il le souhaite, ouverture d’un second compte «conseil ponctuel». Préférence pour les titres individuels, mais autres produits aussi traités. Oui. Peut aller jusqu'à 100%. Un chargé de clientèle dédié. Une fois par trimestre. Oui. Non. ACCURO (Antwerpen) 250.000 euros. Pas de minimum. Gestion conseil de patrimoine + Estate uniquement. Planning. Gestion discrétionnaire: Selon désirs du client. conseil à titre exceptionnel. Non, mais il y a des entretiens préalables et la communication est fréquente sur la gestion. Valeursdirectes cotées traditionnelles : Lignes + fonds actions, obligations, cash. En sélectionnés. Très peu toute transparence et pas de de produits structurés. spéculation. Seulement de manière limitée, Oui. Peut aller jusqu'à 100%. si un produit de tiers offre une réelle plus-value par rapport à notre offre. Un Oui.gestionnaire fixe et un manager assistant en relation clientèle. Régulièrement, les an. Au moins quatreselon fois par souhaits du client. Oui, / au-delà Oui. des 500.000 euros. MERIT CAPITAL (Antwerpen) Pas de minimum. Gestions discrétionnaire, conseil et «broker only». Selon désirs du client. Non, sauf exception. Lignes directes + trois «fonds de fonds». A 100 % + produits structurés d'autres institutions. Un Client Relation manager. Un Client Relation manager. / LELEUX Ass.brokers 22 mon argent samedi 19 juin 2010 Oui. (1) Indépendamment des contacts par téléphone ou par mail. (2) Même lorsque le service est payant, les banques ne facturent pas de droits pour leurs propres produits. Source : Mon argent dossier