dossier recrutement

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dossier secteur n°10 / mars 2009
Le recrutement
> DÉFINITION
HISTORIQUE
Une année noire, selon des experts, mais pas pour tout le monde
> HISTORIQUE
> ETAT DES LIEUX
p1
p1 et 2
> PERSPECTIVES
p3
> SECTEUR PAR REGION
p3
> L’OEIL DE L’EXPERT
p4
LE SECTEUR EN CHIFFRES
Au T3 2008, le taux de chômage
en France atteint 7,7%, soit
2,035 M (barre des 2 M franchie)
Fin T3 2008, 594.000 salariés
intérimaires en France
(-4,2%/T2)
De nov.2007 à nov. 2008 :
-17,9%
45.000 conseillers Pôle emploi
(ex-ANPE / Assedic)
17 régions ont signé des conventions
avec le Pôle emploi en 2007
En 2007, 33 entreprises sont
concernées par des accordscadres nationaux avec le Pôle
emploi, dont 7 nouvelles signatures
et 2 renouvellements
L'année 2008 a été marquée en France, dès le T2, par la diminution du PIB, le
repli de l'emploi, la hausse du nombre de chômeurs BIT et la baisse du pouvoir
d'achat. Le S2 2008 a confirmé cette conjoncture morose, amplifiée par la crise
financière. D'après les experts de l'Insee, le S1 2009 sera "meurtrier du
côté du chômage", en raison des nombreuses pertes d'emploi attendues. "Le
taux de chômage en France métropolitaine s'établirait ainsi à 8% en moyenne
au deuxième trimestre de 2009, retrouvant de ce fait les niveaux prévalant à la
mi-2007". Pour l'OCDE, la France va connaître en 2009 un recul de 0,4% de
son PIB et un taux de chômage de 7,5 à 8,2% de la population active. Des
prévisions qui font état d'une "crise globale et mondiale", selon Jean-François
Drouot-L'Hermine, directeur associé du cabinet Humblot Grant Alexander. Au S1
2009, 170.000 postes devraient être supprimés, après 100.000 au S1 2008. Les
secteurs touchés en première ligne devraient être l'industrie automobile, les
banques d'investissement, l'intérim, les sociétés de services et d'ingénierie en
informatique, le BTP ou des fonctions comme la communication.
Dans cette conjoncture de chômage renforcé, il apparaît néanmoins que les
cadres devraient moins souffrir que les autres, même si leur recrutement
devrait être effectué dans des volumes moins importants et que les entreprises
pourraient différer leurs décisions d'embauche. C'est en tout cas ce que prévoit
Maryvonne Labeille, présidente du Syntec Recrutement, le syndicat des cabinets
de recrutement, également dirigeante du cabinet de recrutement Labeille
Conseils. En effet, celle-ci précise que "de nombreux secteurs devraient toujours
recruter comme ceux de l'énergie, la santé, la recherche et développement, les
métiers de la qualité, ceux du contrôle de gestion. Les métiers des RH sont
aussi en croissance".
> ETAT DES LIEUX
CONJONCTURES
Le Pôle emploi, premier indicateur d'une décélération de l'offre
disponible
Au S1 2008, le Pôle emploi fait état d'une stabilisation du nombre d'offres
enregistrées, après une croissance continue entre 2003 et 2007
• Le nombre d'offres d'emploi recueillies par le Pôle emploi au S1 2008 (+0,7%)
tranche "avec la croissance observée au cours des années antérieures :
1.897.000 offres ont été enregistrées (contre 1.885.000 au premier semestre
2007)". Cette décélération traduit particulièrement la baisse du nombre d'emploi
dans les secteurs de la construction, les transports, les services collectifs et
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l'agriculture, et est aussi induite par le net recul des emplois aidés. Néanmoins,
si le nombre d'offres diminue, le Pôle emploi a intensifié, depuis 2007, ses
propositions alternatives de soutien aux demandeurs d'emploi, notamment les
formations dont le nombre atteint, sur cette période, 819 884. Par ailleurs,
depuis deux ans, le Pôle emploi a innové en mettant en place le Projet
Personnalisé d'Accès à l'Emploi (PPAE), soit un accompagnement ciblé en
fonction du profil du demandeur, avec à la clé une proposition de recherche
accélérée, active, accompagnée et de création d'entreprise. Un autre dispositif,
expérimental celui-ci, a vu le jour en 2007, c'est Cap Vers l'Entreprise (CVE).
Déployé dans 6 régions françaises, à savoir en Ile-de-France, Aquitaine,
Rhône-Alpes, Nord-Pas-de-Calais, Lorraine et Midi-Pyrénées, CVE (40.000
demandeurs d'emploi concernés à juillet 2008) prévoit un accompagnement
renforcé sur 6 mois aux demandeurs les plus en difficulté "mais ayant un projet
professionnel clair et réaliste".
L'INTERIM
Répartition par catégorie
socioprofessionnelle
• Du côté des entreprises, le Pôle emploi a continué son action en 2008. Ainsi,
l'organisme a poursuivi l'expérimentation du Contrat de Transition
Professionnelle (CTP), initiée en 2007 dans 7 bassins d'emploi en proie
à d'importantes difficultés économiques, soit à Charleville-Mézières,
Montbéliard, Morlaix, Saint-Dié-des-Vosges, Toulon, Valenciennes et Vitré. Ce
dispositif, qui a été étendu en 2008 à 18 bassins d'emploi, prévoit que les
entreprises (de moins de 1 000 salariés), qui licencient pour motif économique,
sont dans l'obligation de proposer aux personnes concernées un CTP de 12
mois, avec à la clé un accompagnement et des formations. En 2007, le nombre
d'entreprises clientes du Pôle emploi a progressé de 7% à 568 000. L'agriculture
arrive en tête (+11,2%), suivie des services marchands (+10%).
L'intérim, aux avant-poste de la crise
PÔLE EMPLOI
Depuis le 5 janvier 2009, la fusion
entre l'ANPE et les Assedic est
officielle et opérationnelle. Pôle
emploi, est le nom définitif de
cette "institution nationale publique",
fruit de deux années de travaux
d'approche sous le vocable provisoire
de France Emploi. Issu de la loi
relative à la réforme de l'organisation
du Service public de l'emploi,
votée par le Parlement le 31 janvier
2008, Pôle emploi a pour but de
"faciliter les démarches et rendre
davantage de services aux
personnes à la recherche d'un
emploi et aux employeurs à la
recherche de collaborateurs”,
comme
l'explique
son
Dg,
Christian Charpy. En pratique,
cette ambition se traduit par
l'instauration de guichets uniques,
"c'est-à-dire des endroits où un
demandeur d'emploi peut faire le
même jour son inscription au
chômage, son indemnisation et le
début de son parcours de placement…".
430 d'entre eux ont déjà vu le
jour en 2008. L'ensemble du
Fin T3 2008, l'emploi intérimaire concerne en France 594.500 personnes, soit
-4,2% par rapport au T2, dont -20.200 intérimaires dans l'industrie (-7,3%),
-2.300 dans la construction (-1,8%) et -3.100 dans le tertiaire (-1,5%) En
novembre 2008, la baisse atteint -4,5% et sur un an -17,9%. Avant de
réduire leur effectif, les entreprises ont, choisi de ne pas renouveler leurs CDD
et de réduire leur demande en salariés intérimaires, ce qui a vu l'activité de ce
secteur "drastiquement chuter". Adecco (5.500 salariés), le leader français, a
d'ailleurs annoncé la suppression au S1 2009 de 600 emplois, soit plus de 10%
de ses effectifs. Le ralentissement, qui a débuté en mars 2008 (-3,6%), a
atteint en septembre les -10%, avec une prédominance dans l'industrie (45,5%
des contrats), le BTP et l'automobile (-15 à 20% d'activité dans ces secteurs
depuis septembre).
Certains secteurs échappent néanmoins à la conjoncture
Corinne Cabanes, présidente du cabinet de recrutement Menway Sud-Ouest,
affirme que "certains secteurs se portent bien".
• l'informatique : 30.000 embauches prévues de cols blancs en 2009.
• l'énergie et l'aéronautique : EDF va recruter en 2009 de 700 à 800 cadres, et
Total environ 600. Areva prévoit aussi de recruter entre 2.500 et 4.000 cadres.
L'aéronautique se porte bien en raison de carnets de commandes pleins à 4/5
ans.
• la téléphonie mobile : grâce aux revenus récurrents issus des abonnements.
• l'eau, la gestion des déchets : en raison des contrats de concession avec les
collectivités.
• les niches porteuses : le marché des produits pour animaux, et dans un autre
registre, les maisons de retraite (directeur d'établissement et comptable).
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dispositif devrait être complet à
l'automne 2009, soit 956 agences
sur le territoire. "Des syndicats
ont indiqué, vendredi 16 janvier,
que cela entraînerait la suppression
de 586 sites, soit 38% de la totalité", représentant, selon Noël
Daucé, secrétaire général de
SNU-FSU, "un écart gigantesque
alors qu'il va y avoir une montée
du chômage". Il y a un an, le Dg
de Pôle Emploi, déclarait, à ce
sujet, au Sénat : "La couverture
du territoire ne serait pas moins
bonne à la suite de la fusion".
"Seuls les sites géographiquement
très rapprochés seraient fusionnés".
CE QUI A CHANGE AU
01/01/2009
• Extension des Contrats de
Transition Professionnelle (de 7 à
18 bassins d'emploi)
• Entrée en vigueur du statut
d'auto-entrepreneur (déjà 91.000
inscrits)
• Prolongement de l'activité des
salariés possible jusqu'à 70 ans
• Indemnisation du chômage partiel
à 60% du salaire horaire brut,
contre 50% auparavant
• Prime-transport étendue applicable
> PERSPECTIVES
En France, l'année 2009 s'annonce "frileuse" en terme de
recrutement
Et pourtant le besoin en personnels de haut niveau se fera sentir, comme
le prévoit, Jean-Pierre Scandella, associé du cabinet de recrutement Arrowman :
"En 2009, comme en 2008 et comme en 2010, la pyramide des âges fait et fera
qu'il y a et qu'il y aura de nombreux départs à la retraite. De plus, nous sommes
dans une période de rareté des compétences", notamment dans les hautes
technologies.
Pour Fabrice Lacombe, directeur de Michael Page, "si rien n'est fait", la pénurie
d'emploi et le chômage de haut niveau seront avérés. Enfin, pour Lacombe et
Robequain, il faut opter pour la fin du chômage de masse en réorientant les
salariés menacés vers des secteurs d'avenir comme l'aide à la personne,
le transport / logistique, la santé, la grande distribution, le développement
durable…
En Europe, au T1 2009, les prévisions les plus dynamiques en terme de
recrutement concernent la Roumanie (+16%), la Pologne (+12%), la Suisse
(+8%), les Pays-Bas (+8%), la Norvège (+6%) et la Belgique (+6%).
"Un net ralentissement de la dynamique sur le marché de l'emploi à travers le
monde se dessine". Seuls le Canada, les Etats-Unis et la Suisse enregistrent des
prévisions nettes d'emploi en hausse au T1 2009 / T4 2008 sur 33 pays
étudiés.
> DÉTAILS DU SECTEUR
PAR RÉGIONS
Paris / Centre / IDF
L'IDF enregistre la plus faible prévision de perspective d'emploi au T1 2009
depuis le T2 2005 (-3 points sur 1 an)
RA/ Auvergne / Bourgogne
En Auvergne, fin oct.2008, 39.272 demandeurs d'emploi indemnisés
(+0,9% / octobre 2007)
A VENIR
• Réforme de l'assurance chômage
(négociations du 23/12/2008) :
création d'une filière unique
d'indemnisation, contre 4
aujourd'hui, maintien de l'ARE
avec une rémunération.
Paca / Corse / LR
Dans le Sud, le solde net d'emploi est quasi stable au T1 2009 / T4 2008 à -1
point (-9 points sur 1 an)
Alsace / Lorraine/ FC
Dans l'Est, le solde net d'emploi recule en 2008 de 8 points (-7 points au T4
2008)
Nord / PDC / Norm. / Pic.
Au T3 08, dans le Nord, 29.188 intérimaires (-11,6%)
Bretagne / Pays de Loire
En Bretagne, -4,4% d'intérimaires sur 1 an à sept. 08
Aquitaine / Midi-Pyrénées / Poitou-Charentes / Limousin
L'Ouest est la région de France où la baisse annuelle du solde net d'emploi est
la + forte : -13 pts
SOURCES
www.pole-emploi.fr
www.travail.gouv.fr
www.sesame-emploi.org
http://info.assedic.fr/unistatis
www.insee.fr
www.sdtefp-paca.travail.gouv.fr
www.rhone-alpes.travail.gouv.fr
www.talentup.com
www.lefigaro.fr
www.idf-tech.net
Premières informations et
Premières synthèses éditées par la
Dares (ministère du Travail), février
2008 n°06.2 et n° 07.2, mai 2008
n°21.1, et juin 2008 n°23.2
Enquête BMO 2008 Assédic région
Centre
L’Essentiel novembre 2008,
Observatoire de l’ANPE
Rapport d’activité 2007 de l’ANPE
Stat’Intérim T3 2008, Assédic des
Pays du Nord
Regards Statistiques & Emploi en
Aquitaine, n°6 juin 2008
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> L’OEIL D’UN EXPERT
NEMROD
Entretien avec Denis Richard
Président de NEMROD Ressources Humaines
Comment analysez-vous la crise
actuelle ?
Le cabinet de recrutement NEMROD est
né dans la crise en 1993, ce qui nous a
permis d’adopter de bonnes pratiques
de gestion dès le départ ! J’ai connu les
crises de 1974, 1982, 1987, 1993 et
2001 : elles sont toutes différentes et
ont
toutes
beaucoup
apporté.
Aujourd'hui, l’environnement économique est particulier
car nous sommes dans une succession de trois crises :
l’effondrement du crédit hypothécaire (les fameux
subprimes) a entraîné l’assèchement des liquidités sur
les marchés (perte de confiance des banques qui ne se
refinancent plus entre elles) et enfin le ralentissement
économique que nous connaissons depuis le 4ème
trimestre 2008. Le seul avantage est que nous sortons
toujours d'une crise économique par le haut : chaque
acteur économique doit développer sa stratégie pour pouvoir
repartir sur des bases non seulement nouvelles mais
consolidées. En attendant, chacun se doit de réagir
rapidement dans cette crise violente pour pouvoir adapter
ses comportements et ses produits. Sans cette dernière
adaptation, nous ne pourrons faire l'économie de sérieux
problèmes. En tant que professionnel des ressources
humaines, nous sommes au fait des disparitions
d'emplois soudaines qui touchent les salariés et les
cadres. De ce point de vue, les jeunes sont atteints
mais les seniors retrouvent de nouvelles possibilités.
A nouveau, on peut observer qu’en période de crise la
solidarité des réseaux se met naturellement en place car
nous sommes tous concernés. Voilà encore des signes
positifs de la crise et j’en oublie certainement !
Cette crise touche-t-elle aussi le secteur du recrutement
et quel en sera l’impact ?
Nous observons une baisse générale de 20 % des
recrutements de cadres et ceci va continuer. Bien sûr,
nous avons connu dernièrement un marché particulièrement
dynamique et aujourd’hui, le remplacement des générations
devrait pouvoir servir d’amortisseur. D’une part, pour
la première fois dans une crise, le marché du recrutement
des cadres commerciaux est atteint alors que celui-ci se
stabilise à un bon niveau même dans ces périodes, justement
parce que cette fonction est stratégique pour l'entreprise.
D'autre part, les fonctions qui tirent ce marché comme les
informaticiens sont en nette baisse ainsi que les fonctions
supports. Il est à noter que celles liées au contrôle des
dépenses et à la mesure du retour sur investissement sont
stabilisées : contrôleurs de gestion, auditeurs, organisateurs.
Un espoir : la fonction recherche & développement
progresse. Au niveau des branches d’activité, la maîtrise
des risques, l’énergie, la santé, le nucléaire et certains
bureaux d’études orientés “automobiles de demain” sont
aussi stabilisés alors que le secteur de la banque, de
l’automobile et de la presse sont en forte baisse. Cette
dernière nous “assomme” littéralement de mauvaises
nouvelles comme si elle prenait un malin plaisir à souligner
que “nous ne sommes pas les seuls”. Il faut donc crier plus
fort pour dire que les recrutements ne sont pas arrêtés.
Faites vous partie des personnes qui considèrent que la
crise peut permettre d’assainir le marché ?
Il faut distinguer plusieurs types d’organisation dans notre
métier. Il y aura toujours, dans notre métier de recrutement
de cadres, certains grands réseaux anglo-saxons qui
savent s’adapter aux situations et qui le font sans états
d’âmes. Ils font “des allers et retours” selon l’état du marché.
Ces réseaux sont tenus à un niveau de rentabilité qui les
conduit en permanence à adapter leur structure au
volume du marché. Les méthodes utilisées par ces cabinets
ne correspondent pas aux fondamentaux du métier car
leur positionnement (faibles honoraires, volumes et
méthodes) est différent. Dans ce contexte, on “vend” un
CV, ce qui n’est fondamentalement pas notre marché. Là
est leur business model. Il existe ensuite des consultants
individuels, rémunérés à la commission, fédérés sous une
seule marque. Enfin, on trouve également des structures
moyennes “classiques” souples qui sont certifiées dans
leurs moyens et leurs équipes et qui disposent de département
de recherche. Il y a donc effectivement un assainissement…
mais temporaire. La frilosité des cadres au changement
est en forte augmentation. Cet état de fait exige un
travail beaucoup plus long et approfondi de la part des
chargés de recherche qui identifient et contactent les
experts potentiels : ce dernier point représente une réelle
préoccupation pour nous. En conclusion, les entreprises
reviennent davantage aux fondamentaux avec plus
d’exigences, d’analyses et d’approfondissement en
sachant bien que le droit à l’erreur n’est plus possible.
Comment garder les cadres les plus prometteurs ?
Mobilisation des compétences fortes et expérimentées,
réactivité accrue, rapidité de mise en oeuvre, variabilité
des coûts…, autant de facteurs clés de succès demandés
par les employeurs. On peut observer qu’il n’y a jamais eu
autant de vigilance pour garder, promouvoir, considérer
les “bons éléments” dans les fonctions dites stratégiques
qui sont bien identifiées par les Directions des Ressources
Humaines. Par exemple, NEMROD est associée dans
une société, ENAXION, qui développe le conseil, le
management de mission, le coaching…, et qui justement
n’a jamais autant travaillé dans ces domaines que
maintenant. Ceci est bien révélateur des besoins
actuels. En conclusion, même si la perte de confiance
actuelle conduit à repousser les créations de postes et
même les remplacements, la période actuelle nous
contraint à saisir la chance du changement pour consolider, approfondir et nous mettre en ordre de marche pour
demain.
NEMROD Ressources Humaines
3, Place Louis Pradel, 69001 LYON – Tél. : 04.72.74.44.30
4, Place Louis Armand, 75012 PARIS – Tél. : 01.72.76.80.36
www.nemrod.fr
Editeur : FLASH INFOS - Sarl au capital de 60 000 euros - 24, avenue Joannès Masset – CP 613 – 69258 LYON CEDEX 09 - tel : 04 72 00 26 47 / fax : 04 72 07 98 77
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