LE TOUT-NUMERIQUE : PROGRES POUR L

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LE TOUT-NUMERIQUE : PROGRES POUR L
LE TOUT-NUMERIQUE :
PROGRES POUR L'HUMANITE ou ARME DE POUVOIR ?
Préambule :
La cible doit être malléable, consentante et prête à croire en sa capacité à changer son monde. Le formatage de cette
frange de l'Humanité pleine des plus grands espoirs en l'avenir et forte de son importance et de l'Amour de ses aînés,
est engagé à l'échelle mondiale. Tous les outils et moyens necessaires à l'accomplissement de cette opération de
lobotomisation de masse sont mis en oeuvre :
Le TOUT-NUMERIQUE en est UN.
La cible est nos enfants, petits-enfants et suivants.
De tous temps, l'être humain, doué de raison pour le plus grand malheur de l'HUMANITE, a cherché à dominer tous les
éléments de son espace de vie. Cette planète qui l'a vu naître, croître et se multiplier sans cesse, il ne la respecte pas car
son SAVOIR-ÊTRE semble se résumer à :
"Ce que j'ai, aujourd'hui n'est plus ! Ce que je n'ai pas encore, demain doit être mien !"
Observons, pour exemple, notre opérateur INTERNET / TELEPHONIE MOBILE et décryptons sa stratégie :
" Seuls les usagers qui ne sont pas ENCORE ses clients sont ciblés "
et les clients-abonnés, qui ne sont que des contrats (N° de comptes bancaires à prélever), sont fondus, dilués dans les
archives numérisées et déshumanisées.
On pourrait penser que seul l'appât du gain les guide ! Oui ! Mais pour en faire quoi ?
L'être humain est un dominateur*-né.
Que faut-il pour dominer : être "mieux-né" que ses semblables ? être plus grand physiquement ? être plus beau ?
être meilleur parleur ? être plus cultivé ?.............. OUI, mais cela ne suffit pas car ces quelques traits, qui permettent
parfois d'impressionner, ne contribuent pas à dominer ! Les sages, intelligents, reconnaissent les qualités de leurs
semblables, mais sans les jalouser.
* ("Dominer" du latin dominor (être maître, commander, régner) venant de dominus (Maître)
En 1845, Jules MICHELET écrit dans "Du prêtre, de la femme, de la famille" :
"Ce n'est rien d'ordonner des actes si au préalable, on n'est pas maître des pensées; Pour gouverner le monde des corps, il faut DOMINER
celui des esprits"
Il ya donc la notion d'ASSUJETTIR, de SOUMETTRE à sa domination et Voltaire, en 1739 dans "l'Anti-Machiavel", écrivait : "Quiconque
veut ASSUJETTIR ses égaux est toujours sanguinaire et fourbe")
La ou Le Dominateur (sans état d'âme) va amener ses semblables à faire ce qu'Elle ou Il veut qu'ils fassent. Pourquoi et
Comment ? Un petit schema vaut mieux que tout:
ACTIONS
pilotées pour....
Programmation
Des
comportements
Engranger
toujours +
d'ARGENT
Pour toujours
+
de POUVOIR
Afin de pouvoir
FORMATER
les pensées
Nous l'avons toutes et tous bien compris : le meilleur des outils de la Domination est l'ARGENT.
La finalité est LE POUVOIR, outil lui-même.
Ce schema, simplifié à l'extrême, est la négation complète de l'"être humain" qui devient un outil !
Cela est nécessaire dans cette stratégie.
Seul, celle ou celui qui possède le Pouvoir peut en déléguer quelques miettes ! Mais, Ô! grand jamais! des portions plus
importantes! Car le Pouvoir ne se morcelle pas et ne se partage pas !
Le POUVOIR est mille fois plus puissant que la plus puissante des drogues ! Addicte au POUVOIR conditionne celui
qui y est "accro" et l'absence apparente de toxicité physique est trompeuse. C'est la composition structurelle même de la
dépendance qui la renforce ! En effet, il y a des "petits" POUVOIRS et des "immenses" POUVOIRS et entre ces
extrêmes, aucune frontière ni péage! La route, une fois empruntée, est libre pour celui qui s'en donne les moyens! elle
n'est pas sans risques car rude est la bataille pour DOMINER.Une fois dans la cour du "très grand", l'élu domine alors
tous les niveaux inférieurs et peut ainsi en régenter la vie et la mort. Il a la quasi-totalité de l'HUMANITE à sa main!
Et cette Immense foule des lobotomisés va être programmée et activée pour satisfaire un seul besoin :
Augmenter le POUVOIR de ce "Dominateur"
TOUT sera donc mis en oeuvre dans ce SEUL but.
Mais, sans moyens, Ce POUVOIR n'est rien car la seule domination physique et psychologique ne suffit pas et le Troc
semble inadapté voire déconseillé car,...le TROC ! C'est-à-dire "l'échange sur la base de l'équivalence en utilité" ! Le
TROC était, est et sera toujours une "arme de l'Amour" ! Le Potlach (donner: en chinook), communément appliqué
consiste à échanger des dons "équivalents en importance ", cette importance étant évaluée par le "donnant". C'est la
valeur sentimentale appréciée qui fait référence. Nous sommes là dans le domaine affectif profond et nous parlons
d'AMOUR.
Le Potlach exclut donc toute transaction monétaire. Il implique pour chaque partie "l'obligation d'équivaloir et de
surenchérir" sur la valeur du cadeau reçu jusqu'au point où l'un des donnants s'en trouve incapable: Il est ainsi qualifié
d' "aplati", c'est-à-dire "dominé" et la relation se transforme progressivement en un rapport de type féodal. Ainsi dans
l'économie de DON, domine celui qui a donné plus qu'il n'a reçu: le POUVOIR revient à celui qui aime le plus.
L'Amour, dans le don, précède ainsi l'échange monétaire et le POUVOIR sur autrui n'a pas d'autre justification que
l'Amour.
Avec l'avènement du numéraire, cette signification va disparaître progressivement de la mémoire collective, oubliée,
pour ne laisser subsister que la procédure. Respecter la démarche l'emporte sur la nécéssité du sens. Alors s'installe le
"rite"!
Tous les architectes successifs de l'HUMANITE (financiers & politiques) se sont interposés en "entremetteurs
rémunérés" et ont codifié chacun de nos comportements dans le but de les classifier en "licite" et "illicite" en les vidant
de toute référence à l'AMOUR.
Et chacun des articles de ces 2 catégories, surtout la seconde, vous l'aurez compris, seront tarifés. Cette stratégie
"manichéiste" permet donc de supprimer tout irrationnel dans notre vie et ainsi de créer toute cette monstrueusement
tentaculaire pompe à "ARGENT" qui transforme en la dématérialisant la "sueur du producteur" en "jouet de sale gosse".
Enfin, c'est ce à quoi "ils" aspirent! Et cela semble fonctionner.
Le POUVOIR et l'ARGENT sont donc des résidus de l'absence de la "caresse partagée" (cf: René MAURY) et des
substituts de l'éradication de l'AMOUR. Entendons-nous bien, ce sont là des résidus et substituts voulus et non
accidentels. L'AMOUR est en passe d'être complèetement éradiqué de notre Société, comme une maladie honteuse, car
l'AMOUR est un "empêcheur de POUVOIR".
René MAURY, déjà cité, (28 janvier1928-21 janvier 2014) Professeur de Sciences Economiques, dans son "Etat
Maquereau" 1992 , avançait une hypothèse (utopique) en page 15 :
"Supposons une société idéale, paradisiaque, celle vers laquelle tendent précisément toutes les ambitions humaines. On
n'y connaît plus aucun crime ni aucun délit. Les gendarmes et les policiers disparaissent puisqu'ils n'ont, de ce fait,
aucune utilité. Dans cet Eldorado, les citoyens ne se disputent jamais : Plus de procès, plus d'appareil judiciaire, plus
de magistrats, tout au plus quelques arbitres !
Chacun, parmi les plus anciens et les plus savants, transmet affectueusement aux plus jeunes, ses connaissances et son
savoir-faire, il n'est donc plus besoin d'enseignants!
Tous les membres de cette société ne respectent qu'un seule loi, mais à la perfection : celle de l'AMOUR! Le plus fort
secourt le plus faible ! la charité remplace le transfert ! on se rassemble pour venir en aide aux malades...la Sécurité
Sociale n'a plus de raison d'être !...
Ne rêvons point, ce temps-là n'est pas encore venu. On peut même affirmer que notre Société, de type "SPONTEX",
semble avoir de l'avenir car le "CLUB des DOMINATEURS" poursuit, sans faiblir, son quadrillage de plus en plus
"constricteur"!
Depuis quelques décennies, le Grand Marché "SPONTEX" cible les tranches d'âge de 10 à 20 ans, voire 6 à 15 !
Le TOUT NUMERIQUE, nouvelle arme du lobby, cible la tranche 0 à 6 ! Les politiques et les enseignants, bien
conditionnés et activés par le même lobby se portent garants du résultat :
Des cerveaux formatés dans "LE TOUT et TOUT DE SUITE" avec éradication des mots comme : "libre-arbitre",
"reflexion", "choix", "argumentaire", "débat", et le plus important "AMOUR".
Ne nous y trompons pas, Cela ne perdurera que tant que nous le tolèrerons !
La machine à conditionner fonctionne et tout vélléitaire se voit marginalisé et sanctionné !
Rien ne pourra jamais supprimer l'AMOUR vrai, profond. Le museler pour le faire taire : Oui ! "Ils" le peuvent ! Mais
pour combien de temps ? La cage ne sera, ni jamais assez étanche ni jamais assez solide !
Un dernier exemple :
Observons DAESH, l'Etat Islamique, soucieux d'endoctriner, convertir, assujettir, massacrer tout ce qui ne veut pas
plier ! Que fait-il d'autre que proner que la religion n'est pas AMOUR ! Or, c'est un non-sens car la racine de Religion
est religare qui signifie "unir" ! Qui peut infirmer que ces monstres ne sont pas des soldats du Grand Dominateur ?
Il y a la stratégie de l'horreur qui fait peur et conduit à s'isoler (car l'AMOUR est dilué) et ainsi à plus facilement
s'exposer aux obligations et contraintes toujours taxées ! La désunion fait le lit de l'exploitation et de l'esclavage.
C'est l'action DAESH et autres.
Il y a la stratégie de l'apparente douceur qui tue dans l'oeuf (l'enfant) toute capacité à réagir ! La lobotomisation par
l'endoctrinement. L'enseignement par le vécu (les Aînés) est révolu car l'avenir appartient aux grands consommateurs
futurs que sont nos enfants. Quant aux peuples du Passé, les Retraités (à partir de 50 ans) et les Vieux, qui ont payé le
prix fort pour continuer à vivre, eh bien la survie a un prix et il suffit d'observer le coût pharamineux des Maisons de
Retraite (de 2400 à 4000€ mensuels), le coût de la protection sociale (Mutuelles) et le coût de la transmission de la
Propriété pour se rendre compte que le Grand Âge, comme l'Enfance, sont des cibles privilégiées du Grand Dominateur
(la Finance), aidé du Grand Maquereau (l'Etat et les politiques) et de l'apathie des moutons que nous sommes devenus.
Aucune cible ne passera au travers des mailles de Leurs filets.
Peuple, l'AMOUR est ta force ! C'est la seule arme capable de contrer le Pouvoir et l'Argent !
Alors, Réveille-toi ! Ne dis plus toujours OUI avant que la question te soit posée !
Ne laisse personne prendre en charge l'éducation de ta progéniture et refuse tout substitut !
Toi, l'Âiné, ton avenir est certain car il est celui du Grand Dominateur !
Mais, Que VEUX-tu pour tes enfants ?
Hommage à René MAURY
Par Maxime Maury (son fils ainé)
Papa était originaire de cette terre de Béziers et de Capestang où il va maintenant reposer auprès de ses parents Émile et
Henriette Maury, nos grands-parents bien aimés.
A Béziers au « Café Maury », il avait passé les moments les plus chaleureux de son enfance et de son adolescence près
de ses grands-parents et de sa tante originaires de l’Ariège. Il y avait commencé sa carrière d’avocat, spécialisé dans la
défense des prostituées.
Alors qu’il était apprécié comme avocat, Il est entré à 26 ans dans la carrière universitaire comme professeur agrégé
(économie politique), l’un des plus jeunes de France en 1954.
Il se sentait profondément lié à l’histoire de ce château de Capestang, où sa Maman avait été conçue.
Sa jeunesse a été profondément marquée par la recherche des origines d’Henriette, sa mère, et par sa volonté de la faire
reconnaître par son père Henri Rouanet, ancien propriétaire du château de Capestang qui repose ici avec sa fille.
Toute sa vie a été orientée par une quête incessante : quête boulimique de connaissance et quête de reconnaissance
comme auteur.
Du « Café Maury », où enfant il observait la société biterroise, jusqu’à l’Université de Montpellier, il a posé un regard
impitoyable sur la vie et sur les hommes, un regard sans concession, un regard lucide et parfois teinté de misanthropie
dans lequel se mêlaient un brin de génie et un zeste de folie tempéré par un solide bon sens. Cette qualité terrienne il la
tenait de son père, ariégeois, ouvrier devenu professeur de l’enseignement technique, Émile Maury.
Ce père dont il disait qu’il lui avait ouvert les portes de la connaissance en lui ouvrant celles de la Bibliothèque
Municipale de Montpellier dont il avait lu tous les livres un à un, là où est aujourd’hui le Musée Fabre, dont il
connaissait admirablement la peinture, une de ses grandes passions.
Il a fondé l’Institut de Préparation aux Affaires de Montpellier en 1956 quand ce type d’enseignement universitaire
n’existait nulle part. Il y a invité pour ses étudiants les plus grandes personnalités de l’époque. Il a introduit la
modernité à l’Université de Montpellier en se fondant sur ce qu’il avait appris en Amérique à la Harvard Business
School.
Il a marqué de son esprit sincère et original des générations d’étudiants. Pour l’avoir connu très jeune, je sais qu’il avait
la générosité des grands universitaires. Même si par la suite la souffrance de ses origines et ses choix personnels l’ont
endurci. Il ne laissait personne indifférent.
Il laisse une œuvre littéraire abondante et éclectique :
Européen convaincu, il publie son premier ouvrage en 1958 : « L’intégration européenne » au moment même de la
mise en œuvre du marché commun. Il restera toujours attaché à l’idée d’un fédéralisme européen centré sur les grands
enjeux géostratégiques.
De « L’homme mystifié » qui suivra en 1966, on retiendra qu’il ne voulait être dupe de rien ni de personne.
Il se méfiait des institutions qui lui apparaissaient hypocrites et conformistes. Il cherchait toujours la
créativité.
Des générations d’étudiants ont travaillé sur son manuel d’Économie politique.
Après le premier choc pétrolier de 1973, il a publié deux ouvrages qui ont fait autorité : « La société d’inflation » et «
Pour comprendre la crise » dont il pensait qu’elle durerait très longtemps.
Plus tard viendront ses philippiques lucides et féroces contre un État qu’il jugeait trompeur et néfaste. Sa pensée se
situait dans la pure tradition des libéraux français des dix-huit et dix-neuvième siècle comme Frédéric Bastiat auquel il
faisait penser : ainsi de « l’État-maquereau », son œuvre maîtresse, et de « J’accuse l’impôt sur le revenu, supprimonsle ! ». Au-delà de ses exagérations, il dénonçait une société française malade des rapports avec son État. Il croyait
profondément dans la liberté, dans la responsabilité personnelle et dans le talent. Il avait l’optimisme et l’intransigeance
des vrais libéraux.
Il refusait toutes les étiquettes et se voulait historien autant qu’économiste, sociologue autant que naturaliste ou
anthropologue. Il était bien en cela un universitaire épris d’universalité comme il y en avait autrefois : ainsi sa passion
profonde pour Napoléon, l’homme d’action par excellence à ses yeux, l’a amené à son extraordinaire enquête
historique sur l’empoisonnement de l’Empereur dont il fit plusieurs ouvrages dont « L’assassin de Napoléon ». Et de là
ses livres sur la Montpelliéraine Albine de Montholon dont il a fait largement connaître la personnalité. Puis de
Napoléon à Hannibal, il a poursuivi son aventure littéraire, et a publié au cours de sa vie plus d’une vingtaine
d’ouvrages que l’avenir jugera.
Son œuvre devra être conservée et protégée. Avec ses anciens étudiants, qui l’ont revêtu post mortem de sa toge
universitaire et créent en son honneur le Grand Prix entrepreneurial René MAURY, nous prendrons des initiatives pour
la faire connaître aux Montpelliérains.
Au-delà de son immense culture, son esprit était celui d’un homme indomptable, insoumis, rebelle, fort en gueule. Il
correspondait aux traits typiques des gens du biterrois, cette terre du vin et de l’insoumission, mais aussi cette terre de
lumière chantée par Trénet, Brassens et Valéry. Il se reposait de ses origines dans son amour des îles britanniques,
particulièrement en Irlande où il a chassé et enseigné. Il va maintenant retourner dans cette terre du Languedoc, près du
Canal du Midi, aux côtés de ses parents et son grand-père.
Il avait deux amours : la nature qu’il célébrait au travers de la pêche et de la chasse, et Marie-Hélène qui l’a soigné
jusqu’au bout de la maladie.
Il est mort lucide et sans souffrances.
Il était athée comme son père, mais interpellait sans cesse Dieu et le Pape, comme s’il avait voulu cessé de l’être. Il
m’avait appris cette citation de Goethe : « Je suis l’esprit qui toujours dit Non ». Mais je sais que sa Maman croyait
dans la rédemption des chrétiens et dans la grandeur du mystère de Noël. Puisse-t-elle maintenant m’entendre et prier
pour le salut de son fils. Puissions-nous nous unir à elle dans le secret de nos prières.
Biographie
René Maury
Universitaire, Consultant international
Décédé le 21/01/2014
Maury, René, Jean, Simon,
Universitaire, Consultant international.
Né le
29 janvier 1928 à Béziers (Hérault).
Fils d' Emile Maury, Professeur de collège technique, et de Mme, née Henriette Rouanet.
Divorcé
de Mme, née Geneviève Vialet (3 enfants : Maxime, Isabelle, Emmanuel).
Marié
en secondes noces le 15 juin 1981 à Mlle Marie-Hélène Le Baud.
Etudes
Lycée de Montpellier
Facultés de droit et des lettres de Montpellier
Business School de Harvard
Diplômes
Licencié ès lettres
Docteur en droit
Agrégé de sciences économiques
ITP (Harvard)
Carrière
Avocat à la cour d’appel de Montpellier (1949-51)
Chargé de cours à la faculté de droit de Lyon (1952-54)
Professeur à la faculté de droit de Montpellier (1954-97)
Directeur-fondateur de l’Institut de préparation aux affaires de l’université des sciences et techniques du Languedoc
(Montpellier-II) (1956-81) devenu IAE
Professeur invité à la Keio Business School de Tokyo-Yokohama (Japon) (1983-95)
Professeur adjoint à l'université de Limerick (Irlande) (1991-97)
Œuvres
Manuel d’économie politique (4e éd., 1974, 6e éd., 1980)
L’Intégration européenne (1958)
L’Homme mystifié (1966)
La Société d’inflation (1973)
Pour comprendre la crise (essai, 1975)
Marianne à l’école japonaise (1986)
Les Patrons japonais parlent (1989)
L'Etat maquereau (1992)
L'Assassin de Napoléon (1994)
J'accuse l'impôt sur le revenu (1996)
La Libération des pauvres (1997)
Albine, le dernier amour de Napoléon (1998)
L'Enigme Napoléon résolue (en coll., 2000)
Prodigieux Hannibal (2004)
Agnès Sorel assassinée (2007)
Pour vous faire rêver. Réflexions sur l'art de vivre (2008)
Pour que nos jeunes gagnent (2010)
L'impossible à votre portée (2009)
L'histoire imaginaire (2011)
Que votre cruauté soit faite (2011)
L'économie gouverne notre système éducatif (2012)
Décoration
Chevalier de l’ordre national du Mérite
Officier des Palmes académiques
Distractions : jeu d’échecs, bridge
Collection de tableaux
Sports : pêche, chasse, natation

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