courrier-ESPE-Poitiers-16-03-15 - Observatoire FSU de la formation

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courrier-ESPE-Poitiers-16-03-15 - Observatoire FSU de la formation
Lettre ouverte à nos décideurs
Madame la Ministre de l'Éducation Nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche,
Monsieur le Recteur,
Messieurs les Présidents des universités de Poitiers et La Rochelle
Monsieur le Directeur de l’ESPE
Poitiers, le 16 mars 2015
Nous, formateurs, enseignants et enseignants chercheurs de l'ESPE de Poitiers, Niort, Angoulême et La
Rochelle, nous associons aux propos de nos collègues d'autres ESPE (Bordeaux, Nantes, Paris...) qui, par
lettres ouvertes, déclarations dans leurs instances ou au comité de suivi ont souhaité porter à votre
connaissance le grand désarroi d'une immense majorité des formateurs et des étudiants des ESPE devant
l'état très préoccupant dans lequel se trouve la formation des enseignants et des CPE 1.
Le 20 janvier dernier, Madame Vallaud-Belkacem, Ministre de l’Éducation, déclarait au parlement que ce
gouvernement avait « remis en place la formation initiale, à travers ces écoles supérieures du professorat et
de l’éducation qui se cherchent encore (.../...) »2.
Non, ce gouvernement n'a pas « rétabli » la formation des enseignants : elle n’a jamais été supprimée. Les
décisions ministérielles successives l'ont malmenée et dégradée, mais nous avons continué d'accompagner les
futurs enseignants, sans qu'il y ait de vacance entre les IUFM et les ESPE.
Aujourd’hui, la situation de la formation des enseignants et des ESPE est critique à plus d’un titre, entravant la
formation des étudiants et professeurs stagiaires et dégradant très fortement les conditions de travail des
enseignants.
Une formation revendiquée mais empêchée
En l’état actuel du cursus de master MEEF, avec le concours au milieu du parcours pour les étudiants et
l'utilisation comme moyens d'enseignement mi-temps des stagiaires inscrits en M2, que reste t-il d’une
formation universitaire de niveau master, d’une formation intégrative progressive ?
L'année de M1, consacrée essentiellement à la préparation au concours, ne permet ni de préparer les étudiants
à une pleine responsabilité dès la rentrée suivante, ni de les initier correctement à la recherche. En l'état, la
formation ne dispose pas du temps nécessaire pour aborder les principes d'inclusion et la prise en compte des
élèves à besoins éducatifs particuliers : la confrontation à ces publics sans préparation malmène fortement les
jeunes collègues qui y sont confrontés à la rentrée suivante.
L’année de M2 de ce master s’avère elle aussi totalement écartelée entre plusieurs exigences contradictoires
pour l’ensemble des étudiants et stagiaires PE PLC CPE : année trop lourde avec un mi-temps en
responsabilité pour les stagiaires lauréats mais largement vidée de son sens du point de vue de la formation ;
année inadaptée pour répondre aux besoins spécifiques de certains lauréats de concours dispensés ou déjà
titulaires d'un master, en fonction de leur cursus antérieur ; année trop lourde avec la préparation une nouvelle
fois du concours dans des conditions périlleuses pour les étudiants non-lauréats (effectifs non négligeables).
Forme-t-on correctement les étudiants au métier de professeur des écoles alors que :
- les professeurs des écoles doivent se former en didactique disciplinaire avec 15h de TD en français et
mathématiques (enseignement du français en M2 : 15h pour tous cycles, orthographe, lexique, grammaire,
production de textes, oral...)
- il arrive que deux Fonctionnaires Stagiaires se partagent la même classe
1
2
Lettre ouverte des enseignants et enseignants chercheurs de l’ESPE de Bordeaux à Madame N. Vallaud- Belkacen, Ministre de
l’Education nationale, en date du 21 janvier 2015.
http://www.najat-vallaud-belkacem.com/2015/01/20/questions-au-gouvernement-retablie-la-formation-desenseignants-serarenforcee/
1
- la mise en responsabilité ne permet pas une vision de l'ensemble des cycles de l'école, les fonctionnaires
stagiaires lauréats étant en stage dans une seule classe à l'année
- la recherche, dans le contexte de la surcharge de travail liée au mi-temps des étudiants et fonctionnaires
stagiaires, voit sa place minorée (46h de séminaire sur la totalité du master) et est vécue comme une contrainte
par les étudiants ;
- la continuité M1 /M2, affichée dans la maquette, est rendue impossible par les affectations hors académie de
certains lauréats de concours et la multiplicité des profils d'étudiants et de lauréats (dispensés de master,
parcours adaptés qui n'ont d'adaptation que le nom...)
- l'objectif inlassablement répété dans les textes officiels de construire une culture commune, de la
transdisciplinarité et du travail en équipe nécessite des formes concrètes et durables de coopération à l'ESPE,
notamment entre les formations (des futurs enseignants et des futurs CPE). La division classique du travail
enseignants / CPE (indissociable d'une hiérarchisation) pourtant éminemment problématique, est toujours
encouragée par notre institution.
L'exercice en pleine responsabilité à mi-temps dès le M2 ne permet pas une entrée progressive dans le
métier et met les fonctionnaires stagiaires en difficulté : le temps de l'exercice professionnel en M2 doit
être limité à un tiers temps pour les lauréats fonctionnaires stagiaires.
Nous nous félicitons de l'arbitrage annoncé au comité de suivi le 3 février concernant les étudiants devenant
lauréats du concours, déjà titulaires d’un M2 MEEF. Cette annonce doit être suivie d'action : les moyens
doivent être donnés pour que ces lauréats puissent disposer d’une alternance intégrative et d’un
accompagnement à l’entrée dans le métier. Ce dispositif de formation doit prendre appui sur leurs acquis et
développer leurs compétences par des dispositifs d’analyse de pratique, de l’activité, de situations
professionnelles éducatives. Formation ESPE et tutorat de terrain doivent se compléter pour étayer ces
enseignants novices. Des approfondissements thématiques sur la diversité des élèves, la difficulté scolaire, les
approches innovantes ... pourraient leur être proposés.
La formation continue elle aussi, comme la ministre l’a souligné, est à reconstruire, notamment la formation
des tuteurs en établissement mais aussi lors des premières années de pratique professionnelle (T1, T2, T3),
puis tout au long de la vie. Cela ne peut se limiter à quelques heures d'auto-formation du type magistère.
Un coût humain et social élevé
A Poitiers aussi, comme dans les autres ESPE, « fatigue, épuisement, arrêts maladie, accident de trajet,
absences récurrentes aux réunions de régulation diverses, témoignent des conditions de travail dégradées et de
charges de travail qui ne cessent d'augmenter » (Cf. Lettre Bordeaux).
Faute de temps et de lieu identifiés, les équipes plurielles ne sont qu'un affichage qui ne trompe personne.
Certes, on peut relever l'intervention de collègues des 1 er et 2d degrés, d'enseignants et enseignants chercheurs
de l'ESPE et des autres composantes universitaires dans les maquettes de formation initiale des masters
MEEF. Cela suffit-il pour parler d'équipe ? Quelle concertation ? Quelle cohérence ? Quelle collaboration ?
Les formateurs « de terrain », tuteurs des étudiants-fonctionnaires stagiaires pendant leur stage, sont en
première ligne pour constater les difficultés de ces stagiaires à faire face à toutes les exigences et parfois
même la violence, auxquelles cette formation bâclée les confronte. Ils sont aussi censés intervenir ou cointervenir sur les masters. Or la participation des professeurs des écoles maîtres-formateurs dans les masters
PE au sein d'équipes plurielles que tout le monde souhaite construire est largement empêchée. Parce que les
maquettes sont réduites et ne suffisent pas à proposer les contenus de formation nécessaires, parce que ces
interventions se font à la discrétion des DSDEN et du rectorat et de manière très disparate d’un lieu à l’autre,
selon la bonne volonté des équipes en place. Nous demandons que les moyens suffisants pour la constitution
des équipes plurielles soient attribués : co-animation, participation des collègues de terrain à des actions de
recherche... Enfin, l’absence de représentation de ces formateurs dans les instances décisionnaires de l’ESPE,
dans lesquelles les personnels dans leur ensemble sont déjà sous représentés, est inadmissible. Elle est
significative du peu de considération accordée au métier dans cette réforme.
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Les conditions de travail sont extrêmement dégradées, et malgré plusieurs interventions des enseignants, la
communication des tableaux de service prévisionnels en début d'année n'est pas effectuée, les limitations
d'heures de cours hebdomadaires pas appliquées, les choix pédagogiques ne sont pas discutés...
Les formateurs, enseignants et enseignants chercheurs subissent l'émiettement de leurs contenus
d'enseignement (interventions multiples sur de faibles volumes horaires) et de leurs activités (cours,
préparation, évaluation, visite de stage, suivi de portfolio, référent, direction de mémoire, encadrement
d'option...) qui démultiplie et alourdit les évaluations (comment envisager une évaluation à l'oral quand le
temps de passation serait supérieur au temps de cours ?), les responsabilités et finalement entrave le travail
d'équipe et la vie des sites (aucune réunion du conseil de site depuis 2 ans), chacun étant absorbé par des
tâches multiples mais sans cohérence.
La situation n'est pas meilleure pour les étudiants, particulièrement chez les fonctionnaires stagiaires. La
description qui en est faite par nos collègues de Bordeaux (brutalité de l'entrée dans le métier, sentiment
d'urgence, épuisement...) s'applique également aux étudiants et fonctionnaires stagiaires de Poitiers, qui pour
la première fois n'ont pas réussi à maintenir l'existence d'un foyer des étudiants. C'est anecdotique, mais
révélateur. Plus grave, certains ont démissionné ou sont dans une situation telle que leur santé est altérée.
Il faut aussi mentionner les conditions de travail et d'études des étudiants EAP de la Vienne. Malgré les textes
qui précisent que leur emploi du temps en établissement doit s'ajuster à leur emploi du temps universitaire, la
majorité des étudiants EAP M1 sont contraints à l'absentéisme universitaire parce qu'il est exigé d'eux un
temps et des modalités de présence incompatibles avec les conditions d'études du master M1 MEEF PE. C'est
le cas en particulier lorsqu'il leur est demandé d'être présents dans l'établissement une journée fixe par semaine
– toujours la même – ce qui supposerait que leur emploi du temps universitaire comporte une journée libre. Ce
qui n'est pas le cas. Cette situation n'est pas acceptable, elle nuit au bon déroulement des études, fragilise ces
étudiants dans une année de préparation au concours et dévalorise la formation. Contraints à être absents aux
cours de tel ou tel jour ou obligés de « choisir » les cours qu'ils vont manquer, les stratégies mises en œuvre
sont toujours problématiques.
Les enseignants et enseignants chercheurs de l'ESPE de Poitiers se sont étonnés qu'à Poitiers, contrairement à
ce qui se passait dans d'autres ESPE, ni les enseignants ni les étudiants n'aient été appelés par la direction à
réfléchir sur la place du principe de laïcité tant dans l'école que dans la formation. Ce manque de réactivité est
surprenant puisque le ministère a décrété une grande mobilisation pour les valeurs de la République à l'école
et discute avec les directions des ESPE et des associations disciplinaires de la future formation. Il contribue à
détériorer encore le climat de l'ESPE. Tardivement, un historien extérieur à l'ESPE a été sollicité sur cette
question. En tout cas il conviendrait que philosophes, historiens, sociologues, soient rapidement appelés à
contribution, pour poser les termes d'un débat concernant la laïcité et ses enjeux, et les questions d'éthique
d'une manière générale (y compris dans la perspective de modifications de maquettes). Si ces questions
délicates supposent l'éclairage de spécialistes, il va de soi que les autres formateurs, comme tout
enseignant, doivent également se sentir concernés afin de faire vivre la laïcité dans les instituts de formations
comme dans les écoles et les établissements.
Un étranglement budgétaire de la formation
Dans le contexte général de politiques imposant une austérité budgétaire à tout ce qui est public, la formation
initiale et continue des enseignants est sommée de réduire ses coûts, ses heures d'enseignement, ses actes
pédagogiques.
Une des conséquences en est que la prise en compte dans les services de missions indispensables à la réussite
des étudiants (encadrement des mémoires), à l’accompagnement des stagiaires dans leur entrée dans le métier
(les visites des tuteurs ESPE en établissement scolaire, le co-tutorat, la mission de référent), ou dans leurs
difficultés (moyens pour organiser des suivis différenciés) s’avère problématique et doit sans cesse être
renégociée.
Ainsi, en juillet 2014, les enseignants et enseignants chercheurs de l'ESPE de Poitiers se sont vu proposer par
la direction une (nouvelle) modification à la baisse du référentiel des activités (suivi de mémoire, visite de
stage en particulier) au motif, cette fois, qu'il fallait mettre en œuvre les nouvelles missions de référent et de
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co-tutorat sans augmenter le nombre d'heures total du référentiel. Suite à des négociations épuisantes, il a
finalement été ajouté au référentiel 2h TD pour la mission de référent. Comment se satisfaire de ce résultat,
lorsqu'on sait que certains collègues suivent jusqu'à 19 stagiaires (PE+PLC) et que la charge réelle de travail
dépasse largement la quinzaine d'heures par étudiant ? Ces conditions les empêchent d'assurer leur mission
comme ils le souhaiteraient.
Le budget de l'ESPE de Poitiers n'échappe pas à l'austérité ambiante : départs en retraite non remplacés, pans
entiers de la formation assurés par des personnels vacataires (arts visuels entre autre)...
Les budgets sont en baisse alors que les effectifs sont en hausse. Pour que les heures d'enseignement
effectuées en vacations et heures complémentaires continuent d'être assurées et rémunérées, les restrictions
portées sur l'UB-paie entraînent une très forte diminution des vacations recherche – ce qui fragilise la
dynamique de recherche de l'ESPE en limitant le soutien possible aux projets pourtant engagés et encouragés
(transcriptions, passation de tests...). Ces restrictions limitent aussi drastiquement les tentatives de coanimation dans des équipes plurielles.
La loi LRU impose de fait sa logique à la loi de Refondation de l'École : dans le cadre de l'autonomie des
universités et en l'absence de moyens fléchés et de budget propre, la mise en oeuvre de la formation des
enseignants comme priorité de l'État ne peut aboutir. Tel est le constat.
Que voulons nous ?
Comme le soulignent nos collègues de Bordeaux et de Nantes, « nous sommes des professionnels de la
formation, de l'éducation et de l'enseignement. Nous sommes surtout des citoyens de la République
démocratique, laïque et sociale et c'est à ce titre que nous attendons de vous une intervention politique pour
remettre la formation des enseignants et des CPE dans un cadre d'actions conforme à ses enjeux » et aux
missions du service public d’Education.
Pour cela, le parcours de formation des futurs enseignants et CPE doit être repensé en y intégrant tout ce qui
concourt à la construction des compétences professionnelles au sein d'un itinéraire comportant des éléments
de pré-professionnalisation et d'orientation plus étoffés dès la licence et prévoyant une entrée dans le métier
plus progressive, aux antipodes de la brutale immersion en responsabilité que subissent actuellement nos
jeunes collègues. De même le soutien des néo-titulaires par des dispositifs substantiels de formation est d'une
grande importance.
Il est urgent de prendre de nouvelles dispositions, en associant les personnels de la formation des enseignants
aux décisions.
Comme nos collègues de Nantes, nous pensons que les enseignants et enseignants – chercheurs de l’ESPE de
Poitiers et leurs collègues BIATSS sont dans l’impossibilité de remplir comme ils le voudraient leurs missions
de service public si les conditions suivantes ne sont pas réunies :
• Réduction à un tiers temps du stage en responsabilité des stagiaires afin de permettre une redéfinition
des parcours de formation et d'intégrer un temps de formation complémentaire en pratique
accompagnée dans divers contextes d'exercice (cycles, établissement, structure...)
• Réelle prise en compte, dans l'alternance, de la formation scientifique et professionnelle par les
formateurs de l'ESPE pour tous les futurs enseignants (PE, PLC, PLP) et CPE
• Moyens pour la constitution des équipes plurielles fédérées autour de projets de recherche
universitaire
• Prise en compte effective de l’ensemble des tâches pédagogiques (formation initiale et continue au
même titre), administratives et des responsabilités (de master notamment) dans les services des
enseignants et non simple décompte des heures d’enseignement de la maquette ; prise en compte dans
les évolutions de carrières de ces engagements (avancement),
• Respect des conditions légales de travail (maxima hebdomadaires, communication du service...)
• Fléchage d'un budget sécurisant l’effectivité des missions « hors maquette » prescrites pour la
formation initiale et l’accompagnement des professeurs stagiaires (visites, visites croisées, co-tutorat,
concertations, accompagnement individualisé, mémoire...), comme pour la formation continue,
indépendamment des moyens disponibles des universités par temps de rigueur,
4
•
•
Rétablissement d’une formation de formateurs ambitieuse, sur le temps de service,
Rétablissement de la démocratie dans les instances de gouvernance des ESPE, permettant aux
représentants des personnels et usagers de décider des orientations de leur composante.
Nous vous prions d'agréer, Madame la Ministre, Monsieur le Recteur, Monsieur le Président de l’Université de
Poitiers, Monsieur le Président de l'Université de La Rochelle, Monsieur le Directeur de l’ESPE, l'expression
de nos meilleurs sentiments républicains.
Signataires
Abiker Séverine, PRAG Lettres, master MEEF PE / PLC, ESPE Poitiers.
Ballara Laura, PRCE Français, master PE/PLC, ESPE Angoulême.
Baron Philippe, PE, Culture numérique, master MEEF, ESPE La Rochelle.
Blondeau Anne-Florence, PRAG Lettres modernes, master MEEF PE, ESPE La Rochelle.
Bodin Romuald, MCF Sociologie, master MEEF, IPHD, ESPE Niort.
Bonis Vincent, PRCE philosophie, ESPE Poitiers.
Candusso Laurent, enseignant du secondaire déchargé à 1/4 temps à l'ESPE, M1-M2 MEEF SVT.
Cart Isabelle, Master MEEF, ESPE La Rochelle.
Colantonio Laurent, MCF Histoire, master MEEF PE / PLC, ESPE Poitiers.
Coret Muriel, MCF Sciences du Langage, master PE, co-responsable du département de Français, élue au CA,
ESPE Poitiers.
Cornière Patrice, Enseignant EPS, master MEEF PE, ESPE La Rochelle.
Darthout Frédérique, PRAG Education musicale et Chant choral, master MEEF PE/PLC, ESPE Angoulême.
Daubry Valérie, PEMF Charente.
Demange Elisabeth, PRAG EPS, master MEEF, ESPE Niort.
Diaz Elvire, PU Espagnol, master PLC, LL, élue CE et CA, Poitiers.
Dilberman Henri, PRAG Philosophie, master PE / PLC, ESPE Poitiers.
Donadieu José, S.E.S., enseignant 2nd degré, intervenant en MEEF PLC, ESPE Poitiers.
Douat Etienne, MCF Sociologie, master CPE, ESPE Poitiers.
Dupont Franck, PRAG Mathématiques, master PE/PLC, co-responsable du master MEEF Mathématiques,
ESPE Poitiers.
Escorcia Dyanne, MCF Sciences de l’éducation – Psychologie, Master MEEF, ESPE Poitiers
Féroc Isabelle, MCF Information et Communication, master PE/PLC, ESPE Poitiers.
Févin David, PRAG E.P.S., master PE/PLC, ESPE Poitiers.
Figuet Véronique, Master MEEF, ESPE La Rochelle.
Gaudineau Fabienne, PRAG Histoire, master PE/PLC, ESPE Poitiers.
Gaulon Didier, PRCE Mathématiques, coordinateur pédagogique site 86, ESPE Poitiers.
Gourseaud Eric, Biatss, ESPE Angoulême.
Grignon Frédéric, PRAG histoire-géographie, master MEEF PE/PLC, ESPE La Rochelle.
Guerry Michèle, MCF Psychologie, master PE / PLC, ESPE Poitiers.
Jacques Marie-Hélène, Sciences de l'Education, master IPHD, ESPE Niort.
Lardeau Daniel, PRCE Sciences Physiques, mi-temps collège, master PE, ESPE Poitiers.
Lebot Bertrand, PRCE Mathématiques, master PE/PLC, élu au CE, ESPE Niort.
Levannier Elise, PRCE Documentation, master PE/PLC, ESPE Poitiers.
Lizé Wenceslas, MCF Sociologie, co-responsable master MEEF.
Manconi Frédéric, PRAG Mathématiques, master MEEF PE/PLC, ESPE La Rochelle.
Millogo Victor, MCF Psychologie, Master MEEF, ESPE site Angoulême
Moinard Christophe, PEMF ESPE Deux-Sèvres.
Montmasson-Michel Fabienne, PEMF ESPE Deux-Sèvres.
Neyrat Frédéric, MCF HDR sociologie Université de Limoges, membre du COSP de l'ESPE de Poitiers.
Nouviale Valérie, PRCE Documentation, master PE/PLC, élue au CE, ESPE Angoulême.
Perret Laetitia, MCF Lettres, master PE/PLC, ESPE Angoulême.
Puyelo Patrick, PRCE EPS, ESPE Angoulême.
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Quintana Cécile, responsable MEEF Espagnol à l'UFR LL.
Ramé Sébastien, MCF Sociologie, MEEF PE/PLC, ESPE Poitiers.
Renard Fanny, MCF Sociologie, master PE/PLC, élue au CE, ESPE Angoulême.
Rivière Laurence, PEMF, master MEEF PE, ESPE La Rochelle.
Sancet Pascale, PE, master PE/PLC, ESPE Angoulême.
Stevens Hélène, MCF Sociologie, master MEEF SES, Poitiers.
Talbot Lionel, PRCE, Culture numérique, master MEEF PE/PLC, ESPE La Rochelle.
Tempier Frédérick, PRAG Mathématiques, master PE/PLC, responsable du département Mathématiques,
ESPE Angoulême.
Vaquéro Stéphane, PRAG Sociologie, co-responsable master MEEF SES, Poitiers.
Volteau Stéphanie, MCF Sciences du Langage, master PE, ESPE Poitiers.
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