Programme de salle

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Programme de salle
Freiburger Barockorchester
Gottfried von der Goltz
Daniela Lieb / Sebastian Wienand
7 JUILLET 2016
THÉÂTRE DE L’ARCHEVÊCHÉ
7 JUILLET – 21H30 – THÉÂTRE DE L’ARCHEVÊCHÉ
DIRECTION MUSICALE / VIOLON FLÛTE CLAVECIN Gottfried von der Goltz
Daniela Lieb
Sebastian Wienand
GEORG FRIEDRICH HAENDEL (1685-1759)
Concerto grosso op. 6 n° 11 en la majeur, HWV 329
(1739-1740)
Andante larghetto e staccato
Allegro
Largo e staccato
Andante
Allegro
JEAN-SÉBASTIEN BACH (1685-1750)
Ouverture pour orchestre n° 2 en si mineur, BWV 1067
Ouverture
Rondeau
Sarabande
Bourrée I – Bourrée II
Polonaise & Double
Menuet
Badinerie
ENTRACTE
Retransmis le 13 juillet à 20h sur
(1738-1739)
JEAN-SÉBASTIEN BACH
Concerto Brandebourgeois n° 5 en ré majeur, BWV 1050
GEORG FRIEDRICH HAENDEL
(1720-1721)
Allegro
Affettuoso
Allegro
GEORG FRIEDRICH HAENDEL
Concerto grosso op. 6 n° 6 en sol mineur, HWV 324
Larghetto affettuoso
A tempo giusto
Musette (Larghetto)
Allegro
Allegro
Les Concertos grossos op. 6
(1739-1740)
Depuis 1711, Haendel endosse la double fonction de compositeur et d’entrepreneur musical dans
la ville de Londres, promue au rang de capitale musicale européenne. Chargé de l’organisation
des saisons d’opéra italien, ce dernier compose 36 opéras en l’espace de 26 ans. La saison
1739 / 1740 marque cependant un changement de cap dans la carrière du Saxon qui propose
de remplacer les opéras par des oratorios en anglais tout en les agrémentant d’intervalles
instrumentaux qu’il désigne – non sans fierté – comme des « Grands Concertos ». En réalité,
il s’agit ni plus ni moins de concertos grossos auxquelles les compositeurs italiens Stradella
et Corelli ont donné naissance avant de les répandre dans toute l’Europe. Ces concertos se
fondent sur l’alternance et le contraste entre le concertino ne comprenant qu’un petit groupe de
solistes (premier et second violons, violoncelle) et le ripieno (tutti) qui renvoie à un ensemble
instrumental plus large. C’est en 1707 qu’Haendel emploie pour la première fois cette forme
concertante dans l’introduction de son oratorio Il Trionfo del Tempo e del Disinganno. C’est
d’ailleurs dans ce contexte romain que le compositeur rencontre Arcangelo Corelli dont il
devient ici le principal héritier. La publication des Concertos Grossos op. 6 de Haendel apparaît
en effet à l’occasion du 25e anniversaire des Concertos Grossos op. 6 de Corelli, célèbres dans
toute l’Europe. À l’instar de l’opus 6 de Corelli, Haendel prévoit douze concertos dont le nombre
de mouvements varie au même titre que les tonalités. On est loin des concertos en trois
mouvements (vif-lent-vif) adoptés par Vivaldi et Bach. Haendel compose en un mois son cycle de
concertos, ce qui est assez long si l’on considère que vingt-quatre jours suffiront pour achever
l’oratorio Le Messie. Cette musique destinée à entrecouper les oratorios aurait-elle pour lui une
valeur artistique insoupçonnée ? Plus que d’un simple entracte, répondrait-elle à une quête
de musique absolue ? Toujours est-il que le nombre de publications témoigne de la réussite de
l’opération : trois publications voient le jour chez le seul éditeur londonien John Walsh entre 1740
et 1746. De même que le succès européen des concertos de Corelli peut être relié au recours
que les sociétés musicales réunissant amateurs et professionnels en font, ceux d’Haendel se
révèlent assez déchiffrables pour se mettre à la portée de musiciens dilettantes. Aussi, Haendel
remplit-il avec brio sa double mission de compositeur et d’impresario en proposant au public
londonien une formule inédite mêlant oratorio et musique instrumentale et en offrant à l’Europe
entière un brillant échantillon de ce patrimoine musical commun qui dédaigne les frontières
douanières, confessionnelles et monétaires.
Concerto grosso op. 6 n° 11 en la majeur, HWV 329
Bien que l’opus 6 comprenne douze concertos, le onzième a été composé en dernier par Haendel
qui, dans la précipitation, a choisi de reprendre une œuvre antérieure. C’est sur le modèle du
Concerto pour orgue n° 14 exécuté à Londres en 1739 qu’Haendel compose ce dernier concerto
et achève ainsi l’opus tant attendu. En réalité, les concertos pour orgue et les concertos grossos
d’Haendel ont la même finalité, celle de compléter les oratorios pour offrir au public londonien
un spectacle d’une durée convenable, équivalente à l’opéra. L’imprévisibilité domine le premier
mouvement qui se déploie de manière expérimentale. Les attaques ont de quoi surprendre
l’auditeur qui se laisse aisément séduire par cette complexité mesurée. Haendel fait preuve
d’économie quant à l’élaboration du matériau musical : une seule note peut servir à créer des
effets d’accélération débouchant parfois sur d’expressifs trémolos. Le second mouvement Allegro
accorde une place inédite aux basses qui apparaissent aussi ponctuellement qu’énergiquement
et tranchent avec le legato des parties supérieures. Le contraste entre l’âpreté des uns et
l’éclat des autres est alors saisissant. Le violon soliste peut laisser libre cours à sa virtuosité
dans l’Andante ainsi que dans l’Allegro conclusif où le dialogue, équitablement instauré entre le
concertino et le ripieno, rend le morceau particulièrement accessible et déchiffrable.
Concerto grosso op. 6 n° 6 en sol mineur, HWV 324
À la fois sombre et recueilli, le sixième concerto de l’opus 6 est certainement le plus célèbre de
tous. Il fait notamment office d’entracte musical pour l’Ode à Sainte Cecile d’Haendel présentée
en avril 1740. Bien qu’initialement composé pour cordes et continuo, Haendel ajoute pour
l’occasion des passages pour hautbois. Le concerto s’ouvre sur un mouvement lent à la fois
affettuoso et tragique qui n’est pas sans rappeler les lamenti plaintifs de certains oratorios.
Les échanges entre le tendre concertino et le grave ripieno se déploient alors jusqu’au second
mouvement Allegro, ma non troppo qu’une fugue caractérise. Le troisième mouvement intitulé
Musette constitue le point fort de ce concerto. Haendel lui-même y fera largement recours pour
ponctuer ses oratorios. Outre le titre, l’atmosphère solennelle voire pompeuse qui émane de
ce mouvement renvoie aux élégantes danses françaises dont regorgent les suites de Lully,
maître de chapelle à la cour de Louis XIV. Aisément mémorisable, le thème vif du quatrième
mouvement laisse place à des passages de violon solo et à de brillantes ornementations visant
à élargir l’espace sonore. C’est sur une délicate danse de cour, proche de la gigue, que se conclue
ce sixième concerto qui jongle adroitement entre la pureté du goût français et l’expressivité
italienne.
JEAN-SÉBASTIEN BACH
Ouverture pour orchestre n° 2 en si mineur, BWV 1067
Jean-Sébastien Bach intitule Ouvertures ses quatre suites pour orchestre s’ouvrant
uniformément sur une introduction solennelle qui puise ses origines dans la France dorée des
ballets de cour de Lully. C’est donc le goût français qui prévaut dans cette succession de danses
et de galanteries dont la date de création reste soumise à discussion. Pendant longtemps, on
a décrété que ces pages musicales remontaient à la période où Bach occupait la fonction de
Kapellmeister à la cour de Cöthen. Or, il est plus vraisemblable que la Suite en si mineur ait été
composée à Leipzig dans les années 1738/39 alors que Bach dirigeait le Collegium Musicum :
une société de concert constituée de musiciens amateurs et professionnels. Bien que la
version actuelle soit pour flûte traversière, cordes et continuo, cette suite a probablement
été initialement conçue dans une tonalité plus grave (la mineur) à destination d’un ensemble
à cordes. Si cet emploi primitif reste difficilement perceptible tant la flûte traversière occupe
un rôle privilégié tout au long de l’ouvrage, elle est inimaginable lors du morceau final intitulé
Badinerie. N’appartenant pas au domaine de la musique de danse à l’instar du mouvement final
de la Suite en ré majeur BWV 1069 dénommé Réjouissance, cette page n’en est pas moins la
plus célèbre de l’œuvre. Il s’agit d’une conclusion empreinte de gaieté et d’humour dans laquelle
la flûte traversière déploie avec une trompeuse facilité sa virtuosité et jouit d’une liberté sans
précédent. On ne peut pas en dire autant de l’ouverture où la flûte est amenée à suivre colla
parte la ligne mélodique du premier violon et tarde à s’en affranchir. Ce mouvement, caractérisé
par une structure tripartite lent-vif-lent à la française, ne comporte pas de reprise de la première
section mais offre plutôt in extremis un espace de liberté à la flûte traversière. Pour le rondeau
et la sarabande espagnole qui suivent, la flûte ne se détache guère du violon et répond
davantage à un souci de richesse timbrique qu’à une contribution mélodique. C’est à travers
deux bourrées pleines d’entrain – danse légère d’origine française – que le compositeur permet
à la flûte de gagner en autonomie avant de jouer la partie du violon à l’octave supérieure dans la
polonaise qui suit. On revient enfin sur une danse particulièrement en vogue sous le règne de
Louis XIV, celle du menuet qu’un rythme ternaire caractérise et qui, à la différence des autres
mouvements de danses traditionnelles, saura se frayer une place de choix dans la symphonie.
Concerto Brandebourgeois n° 5 en ré majeur, BWV 1050
Les six Concerts Brandebourgeois doivent leur nom au mélomane Christian Ludwig de
Brandebourg, oncle du roi de Prusse Frédéric Ier auquel Jean-Sébastien Bach choisit d’envoyer
les partitions. En témoigne la lettre que le compositeur adresse au margrave en 1721 :
Comme j’eus il y a une couple d’années, le bonheur de me faire entendre à Votre Altesse
Royalle, en vertu de ses ordres, & que je remarquai alors, qu’Elle prennoit quelque
plaisir aux petits talents que le Ciel m’a donnés pour la Musique, & qu’en prennant
Congé de Votre Altesse Royalle, Elle voulut bien me faire l’honneur de me commander
de Lui envoyer quelques pieces de ma Composition: j’ai donc selon ses très gracieux
ordres, pris la liberté de rendre mes très-humbles devoirs à Votre Altesse Royalle, par
les presents Concerts, que j’ai accommodés à plusieurs Instruments.
Il est possible que Bach ait voyagé à Berlin en 1719 pour suivre la fabrication d’un nouveau
clavecin pour la cour de Cöthen, où il occupe la fonction de maître de chapelle, et qu’il ait joué à
cette occasion face au margrave. Ceci explique peut-être la place inédite accordée au clavecin
qui règne en maître aux côtés du concertino (flûte traversière et violon) et du ripieno (ensemble
de cordes). On connaît le grand respect de Bach pour l’ordre et la discipline. On découvre ici
son sens de la subversion à travers la promotion audacieuse du clavecin au rang de soliste et
l’emploi de la flûte traversière, instrument importé de la cour de France qui, en 1721, fait son
entrée en Allemagne. Cette nouvelle répartition des rôles fait du Concert n° 5 en ré majeur
aussi bien une œuvre experimentale que le premier concerto pour clavecin de l’histoire. Dès
les premières mesures de l’Allegro, le clavecin domine les deux autres instruments. Cette
suprématie est d’ailleurs exacerbée lors de l’imposante cadence finale qui permet certainement
au compositeur de faire valoir ses talents d’interprètre virtuose. Le ritornello nous ramène
in extremis à la configuration initiale, nous redonnant par là-même le sens de la mesure. Le
deuxième mouvement n’est autre qu’un trio pour instruments solistes qui induit la disparition
du ripieno. Une gigue pleine d’entrain conclue le concert tout en abolissant les hiérarchies
établies jusqu’ici. Le clavecin est alors invité à partager les sections solistes avec les autres
instruments. Malgré le souci d’équité qui transparaît dans le finale, la partie du clavecin semble
tout de même garder une longueur d’avance. Déformation professionnelle oblige !
AURÉLIE BARBUSCIA
Gottfried von der Goltz
Diplômé de la Juilliard School de New York
et de la Hochschule für Musik de Fribourgen-Brisgau, Gottfried von der Goltz intègre à
l’âge de 21 ans l’Orchestre symphonique de
la NDR avant de fonder en 1987 le Freiburger
Barockorchester, dont il est aujourd’hui
encore le premier violon et directeur
artistique. Actif à la fois comme soliste,
chef d’orchestre et musicien de chambre, il
enregistre de nombreux disques et se produit
tant en Europe qu’à l’étranger aux côtés de
formations comme les Solistes baroques de
Berlin, l’Orchestre de chambre du Wurtemberg
de Heilbronn, l’Orchestre symphonique de la
Radio de Francfort et le Tafelmusik Baroque
Orchestra (Canada). Plusieurs années
durant, il assume également la fonction de
directeur artistique de l’Orchestre baroque
de Norvège, basé à Oslo. Spécialiste de la
musique baroque dresdoise et de l’œuvre
des quatre fils Bach, l’artiste n’en aborde
pas moins un vaste répertoire, allant jusqu'à
la musique contemporaine. Depuis 2004,
Gottfried von der Goltz enseigne le violon
moderne et baroque à la Hochschule für
Musik de Fribourg-en-Brisgau.
Daniela Lieb
Après avoir obtenu un diplôme d’État de
professeur de musique à la Berufsfachschule
für Musik de Dinkelsbühl (Allemagne), la
flûtiste Daniela Lieb intègre la Hochschule
für Musik und Darstellende Kunst de
Francfort-sur-le-Main, où elle étudie la
musique orchestrale mais aussi la pratique
historique sur instruments d’époque auprès
de Michael Schneider et Karl Kaiser. Elle se
perfectionne par ailleurs dans la classe de
Barthold Kuijken au Conservatoire royal de
La Haye et remporte en 2004 le Concours
Lenzewski de Francfort dans la catégorie
musique de chambre. En 1999, elle quitte
la Junge Deutsche Philharmonie (Jeune
Philharmonie allemande) après deux années
de collaboration pour entrer au Staatstheater
de Darmstadt. Aujourd’hui, elle se produit sur
scène et enregistre des disques avec des
orchestres comme le Balthasar Neumann
Ensemble, La Stagione, le Concerto Köln
et le Freiburger Barockorchester, sous la
direction de chefs tels que Gustav Leonhardt,
René Jacobs, Philippe Herreweghe, Thomas
Hengelbrock ou Pablo Heras-Casado. Daniela
Lieb a enseigné la flûte traversière à la
Hochschule für Musik de Francfort jusqu’en
2006.
Sebastian Wienand
Ancien élève de la Schola Cantorum de Bâle,
le claveciniste et pianofortiste Sebastian
Wienand se produit à travers le monde
comme soliste, musicien de chambre et
continuiste. Passionné de musique baroque,
il fonde en 2001 l’ensemble Ornamento, avec
lequel il remporte le Premier Prix et le Prix du
public du concours organisé par le Festival
de musique ancienne de Bruges (2003),
ainsi que le Prix du public du Festival de
Mecklenburg-Vorpommern (Allemagne). Il est
par ailleurs boursier du Conseil allemand de
la musique, de la Fondation allemande pour la
vie musicale, du Crédit Suisse, de la Société
Mozart de Dortmund et de la Fondation
pour l’art du Baden-Württemberg. L’artiste
collabore avec de nombreux ensembles, dont
l’Orchestre baroque de Fribourg, l’Akademie
für Alte Musik de Berlin, Les Musiciens du
Louvre Grenoble et le Millenium Orchestra,
mais aussi avec des musiciens tels que le
chef Pablo Heras-Casado, le flûtiste Maurice
Steger, le violoniste Gottfried von der Goltz,
le claveciniste Andreas Staier et la gambiste
Rebeka Rusó. Assistant musical du chef
d’orchestre belge René Jacobs durant
plusieurs années, il travaille au Theater an der
Wien ou encore au Théâtre royal de la Monnaie
à Bruxelles et tient notamment les parties
de pianoforte dans les enregistrements
d’Idomeneo (2009) et de La finta giardiniera
(2012) de Mozart parus chez Harmonia
Mundi. Sa discographie comprend également
plusieurs disques où il apparaît en formation
de chambre ou comme soliste. Il grave ainsi
les Concertos pour clavecin de la famille Bach
avec le Staatsorchester Brandenburg sous
la direction d’Howard Griffiths (2013), ainsi
que le Cinquième Concerto brandebourgeois
de Bach avec l’Orchestre baroque de Fribourg
(2014).
de recherche Emsemblehaus de Fribourg-enBrisgau. Ses enregistrements sont paru chez
Harmonia Mundi. Parmi les récompenses qu’il
reçoit, citons un Gramophone Award et un
ECHO Klassik Deutscher Musikpreis en 2011,
un ECHO Klassik Deutscher Musikpreis, un
Gramophone Award et un Edison Classical
Music Award en 2012 ; un ECHO Klassik
Deutscher Musikpreis et un Edison Classical
Music Award en 2013 ; le German Record
Critics Award de l’année 2009. En 2014 et
2015, il reçoit à nouveau un ECHO Klassik
Deutscher Musikpreis et, en 2015, le Prix de
la Deutschen Schallplattenkritik.
Freiburger Barockorchester
PREMIERS VIOLONS
CONTREBASSES
Gottfried von der Goltz
Petra Müllejans
Brian Dean
Martina Graulich
Kathrin Tröger
Eva Borhi
Dane Roberts
James Munro
Initialement orchestre de formation, le
Freiburger Barockorchester (FBO) devient
rapidement un orchestre internationalement
réputé. Il se produit régulièrement dans les
plus importantes salles de concert et d’opéra.
Sa sonorité particulière est fréquemment
louée, tout comme la variété de son
répertoire qui va de la musique baroque à
la musique contemporaine. Il est invité sur
les scènes internationales : de Fribourg-enBrisgau au reste de l’Europe ( Liederhalle
de Stuttgart, Philharmonie de Berlin ), en
passant par le Nord et le Sud de l’Amérique,
l’Asie et même l’Australie et la NouvelleZélande. Sous la direction artistique de ses
deux Premiers violons Gottfried von der Goltz
et Petra Müllejans et dirigé par des chefs
d’orchestre réputés, il donne une centaine
de représentations par an, en formation de
chambre et d’orchestre. Le FBO collabore
notamment avec René Jacobs, Andreas
Staier, Isabelle Faust, Kristian Bezuidenhout
et Christian Gerhaher. Depuis mai 2012, il
est en résidence à l’atelier musical et centre
DEUXIÈMES VIOLONS
FLÛTE
Daniela Lieb
HAUTBOIS
Katharina Arfken
Maike Buhrow
Beatrix Hülsemann
BASSON
Christa Kittel
Javier Zafra
Brigitte Täubl
CLAVECINS
Peter Barczi
Torsten Johann
Jörn-Sebastian
Sebastian Wienand
Kuhlmann
Annelies van der Vegt
ALTOS
Christian Goosses
Ulrike Kaufmann
Werner Saller
Annette Schmidt
VIOLONCELLES
Guido Larisch
Stefan Mühleisen
Ute Petersilge
Projet cofinancé par la commission européenne. Cette publication n’engage que son auteur et la Commission n’est
pas responsable de l’usage qui pourrait être fait des informations qui y sont contenues.
30 JUIN – 20 JUILLET 2016
CONCERTS
Dissonances - Mozart
Lauréat HSBC – Quatuor Van Kuijk
2 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD
Une Cigogne de nuit
Emmanuel Baily
6 JUILLET – HÔTEL MAYNIER D'OPPÈDE
Freiburger Barockorchester
Gottfried von der Goltz
Daniela Lieb / Sebastian Wienand
12 JUILLET – HÔTEL MAYNIER D'OPPÈDE
Quatuor Arcanto
14 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD
15 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD
Intégrale des Motets de Bach
Raphaël Pichon
Ensemble Pygmalion
17 JUILLET – CATHÉDRALE SAINT-SAUVEUR
Orchestre des jeunes de la Méditerranée
Raphaël Imbert / Jean-Guihen Queyras
18 JUILLET – HÔTEL MAYNIER D'OPPÈDE
Zoroastre - Rameau
Raphaël Pichon / Ensemble Pygmalion
7 JUILLET – THÉÂTRE DE L'ARCHEVÊCHÉ
18 JUILLET – GRAND THÉÂTRE DE PROVENCE
Les Péchés de Rossini
Lauréats HSBC – K. Melnikova / S. Conner / H. Vida
19 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD
7 JUILLET – THÉÂTRE DU JEU DE PAUME
Raphaël Imbert New Quintet invite
Marion Rampal
8 JUILLET – HÔTEL MAYNIER D'OPPÈDE
Philharmonia Orchestra - Stravinski
Esa-Pekka Salonen / Karole Armitage
9 JUILLET – GRAND THÉÂTRE DE PROVENCE
Mélodies Tziganes
Lauréats HSBC – Chloé Briot / Michalis Boliakis
Jean-Guihen Queyras invite Stéphane Degout
Orchestre des jeunes de la Méditerranée
Cairo Jazz Station / Ziryâb et nous
19 JUILLET – HÔTEL MAYNIER D'OPPÈDE
Quatuor Tana
Lauréat HSBC – Wilhem Latchoumia / Garth Knox
20 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD
Orchestre des jeunes de la Méditerranée
Marko Letonja
20 JUILLET – GRAND THÉÂTRE DE PROVENCE
9 JUILLET – THÉÂTRE DU JEU DE PAUME
Jean-Guihen Queyras / Alexander Melnikov
11 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD
RETROUVEZ TOUTE LA PROGRAMMATION SUR WWW.FESTIVAL-AIX.COM
Le Festival d’Aix-en-Provence s’est engagé depuis 2010 dans une politique de développement durable et invite
ses festivaliers à participer à cette démarche. Le présent document est réalisé par un imprimeur Imprim’vert,
qui garantit la gestion des déchets dangereux dans les filières agréées, avec des encres bio à base d’huile
végétale sur du papier FSC fabriqué à partir de fibres issues de forêts gérées de manière responsable.
Festival d’Aix-en-Provence / siège social Palais de l’Ancien Archevêché – 13 100 Aix-en-Provence
N° de licence entrepreneur du spectacle : 1- 1085 612 / 2- 1000 275 / 3- 1000 276
photo © Annelies van der Vegt / design graphique - Céline Gillier
FESTIVAL
D’AIX-EN-PROVENCE
Nuit de la création
Œuvres contemporaines et créations mondiales