L`enquête publique : n`hésitez pas à faire part de - LE NICKEL

Une enquête publique sur la
nouvelle centrale électrique
de Doniambo est en cours du
4 mai au 5 juin 2015.
Destinée aux habitants du Grand
Nouméa, cette consultation vous
permet d'émettre un avis sur un
registre à votre disposition à la
mairie de Nouméa.
Afin de vous permettre de mieux
comprendre le projet, la SLN vous
invite à venir rencontrer son
équipe et dialoguer avec elle au
showroom de Doniambo, autour
de maquettes, de films et d'un
hologramme pédagogiques.
Pour nous rencontrer : tél. 24 55 07
ou par mail : [email protected]
- AVRIL 2015
L'enquête publique :
n'hésitez pas à faire
part de vos avis
ou suggestions
www.sln.nc
Enquête publique du 4 mai au 5 juin 2015.
La nouvelle centrale électrique
…en toute
transparence
Retombées économiques
du chantier pendant 4 ans
Directes
> 15 milliards CFP de travaux
locaux. En moyenne :
250 personnes «main d’œuvre
locale» (350 au pic)
Indirectes et induites
> De 5 à 10 milliards CFP
le remplacement de la centrale
électrique sln de Doniambo...
Fiche technique
Dans le triple objectif de :
Pérenniser son
activité pour les 40
prochaines années (un modèle
qui maximise les retombées
économiques de la SLN en
Nouvelle-Calédonie avec 60%
du chiffre d’affaires qui reste
au pays),
#1
#2
Améliorer la
compétitivité au plan
international (réduire de 1 US$
la livre de nickel métal produit
et ainsi dégager encore plus de
retombées pour le pays),
#3
Diminuer son impact
sur l’environnement
(25% du coût de la centrale
est dédié au traitement des
fumées).
la SLN investit dans le remplacement de sa centrale électrique.
Ce faisant, elle réalise un nouveau pas en avant dans l'optimisation de ses performances
environnementales, en choisissant d'intégrer les meilleures options de traitement
de fumées disponibles, en conformité avec les réglementations environnementales
les plus récentes et les plus sévères adoptées par la province Sud en 2014.
• P uissance : 180 MW net (2X90)
• C ombustible : charbon (origine
Australie)
• T echnologie : charbon pulvérisé
•M
ontant estimé de l'investissement :
100 milliards Fcfp
• Durée des travaux : 4 ans
• Mise en route 1ère tranche : début
2019 (2e tranche : 6 mois après la
première)
…Un projet
exemplaire
en 3
points-clés
Une centrale
d'utilité
publique ?
Le saviez-vous ? En moyenne,
chaque année, la SLN réduit
une quarantaine de fois la
puissance de ses fours afin
de délester une partie de
l'électricité produite par sa
centrale vers le réseau public.
Sans cet apport, l'activité
économique et les foyers de
Nouméa (et même au-delà)
connaîtraient plusieurs
black-out chaque mois !
La centrale SLN évite des
investissements coûteux au
pays et permet l’accès à une
électricité bon marché aux
Calédoniens.
#1
PLUS AUCUN
PIC DE SO2
Par la technologie choisie et
son système de désulfuration,
les émissions de SO2 (dioxyde
de soufre) de la future centrale
de Doniambo seront divisées
par un facteur supérieur à 10.
Ce qui mettra un terme,
en fonctionnement normal,
aux dépassements observés
dans l’air ambiant du fait
de la centrale électrique
actuellement en service.
#3
#2
MOINS 40 %
D'ÉMISSIONS
DE POUSSIÈRES
Par rapport à la centrale
actuelle, les émissions de
poussières seront divisées par
15. Ce qui signifie qu'au final,
la future centrale électrique
permettra de diminuer les
émissions de poussières de
Doniambo de 40 % !
Cet effort se situe dans la
continuité des autres actions
mises en œuvre par la SLN,
visant à réduire les rejets
atmosphériques d’année en
année.
RÉDUCTION DU
BILAN CARBONE
Avec ce projet, la SLN montre
l'exemple en réduisant son bilan
carbone et en participant à la
réduction de celui de la NouvelleCalédonie toute entière.
En effet, disposant des
technologies les plus récentes,
bien plus performantes que
celles de la centrale actuelle,
la future centrale de Doniambo
permettra à la SLN de réduire
de 13 % ses émissions de CO2, à
production d'énergie constante
pour l'usine (source Carbone 4).
D'autre part, la SLN a lancé
un programme d'étude de
réutilisation des cendres
volantes, du gypse et des scories
issues de ses fours DEMAG, afin
de fabriquer des matériaux de
construction. C'est ainsi qu'un
programme de 3 ans est en cours
avec des partenaires calédoniens
et australiens, et qu'un accord
avec le cimentier local Tokuyama
permettra de réutiliser environ 30
% des cendres et 50 % du gypse
dans la fabrication de ciments.