Inspection Report Food Safety

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Inspection Report Food Safety
July 2009
healthful
How to Understand a
Food Safety
Inspection Report
If a facility doesn’t follow
regulations, the public health
inspector can take a variety of
actions, including:
A food premises is a premises where food or milk is
manufactured, processed, prepared, stored, handled, displayed,
distributed, transported, sold or offered for sale, but doesn’t
include a private residence.
• serve an offence notice
(i.e. a “ticket”) to fine the
owner or operator
Risk Level
• seize and destroy food that
could put the public’s
health and safety at risk
• give a verbal order,
followed by a written one,
regarding a health hazard
(these orders tell the
operator to do or refrain
from doing something
regarding a health hazard)
032-0181b FS-6241D (09)
• serve a summons (a notice
to appear in front of a
provincial court)
• close a restaurant if a health hazard exists that
can affect the health of the public
•
Low Risk:
Low risk premises are those where food is rarely or never
being directly handled (e.g. the grocery section of a
supermarket, a food depot, a convenience store). These
premises are inspected once a year.
•
Moderate Risk:
Moderate risk premises are typically average-sized restaurants with moderate to high levels of food handling. These premises
are inspected twice a year.
•
High-risk :
High-risk premises serve a high-risk population (e.g. the
kitchen of a seniors’ home or hospital). High-risk
premises could also include restaurants with a history of repeated non-compliance, with cases of foodborne illnesses within the previous year, or one whose operations involve the handling of large quantities of food. These premises are
inspected three times a year.
Questions?
613-933-1375 or 1 800 267-7120
Ask for the Health Line.
Critical and non-critical items
•
Critical items mostly refer to the handling of
food (e.g. refrigeration, freezing, cooking, hot
holding, reheating, temperatures of food). These conditions are especially important
with potentially hazardous foods, which are
those capable of supporting the growth of
harmful microorganisms and/or the
production of their toxins (e.g. meats, rice
dishes, eggs, dairy products).
Other critical items refer to:
- whether food is covered
-
-
whether food
is stored off the floor
whether there
is a separate handwashing sink provided and used in the
food preparation areas
- whether a sneeze guard is used, where applicable
•
Non-critical items don’t pertain directly to food handling. They refer to conditions that
would slightly affect food safety. These include
the use of thermometers to verify food storage temperatures, the use of hairnets
or hats by food handlers, appropriate
dishwashing techniques and availability of
handwashing supplies in washrooms for staff
and customers.
In order to ensure that safe food is being served,
the operator must comply with the regulations
and meet requirements made by the Medical
Officer of Health. The public health inspector
ensures this through routine inspections, reinspections, complaints follow-ups and food
safety audits. Public health inspectors encourage
compliance mainly through education and
promotion. However, they may also use
enforcement.
Sometimes, operators correct infractions right
away. If this happens, the report will read
Corrected on site or Corrected during inspection
(CDI). If a problem can’t be corrected right away,
and doesn’t threaten the health and safety of the
public, or if a short-term measure can be put
into place, the inspector can give a time by which
the issue has to be fixed (e.g. provide a clearly
readable thermometer in the walk-in cooler
within two weeks).
An operator might choose to close his/her food
premises until a serious issue has been dealt with
(e.g. a rodent problem); this is called a “voluntary
closure”.
For more information, please contact the Eastern
Ontario Health Unit at 613-933-1375 or at
1 800 267-7120 and ask for the Health Line.
You can also visit our
website at
www.eohu.ca.
Éléments critiques et non critiques
•
Les éléments critiques concernent surtout la
manipulation des aliments (p. ex. réfrigération, congélation, cuisson, maintien à chaud,
rechauffage, température des aliments). Ces
conditions sont particulièrement importantes
lorsqu’on manipule des aliments
potentiellement à risque, c.-à-d. qui permettent
à la croissance de micro-organismes néfastes ou
à la production de toxines (p. ex. viandes, mets
à base de riz, œufs, produits laitiers). Il y
a parfois d’autres éléments critiques à
examiner :
- la nourriture est elle couverte?
-
-
la nourriture est-
elle bien
entreposée
(pas d’aliments
sur le plancher)?
y a-t-il un évier distinct pour se
laver les mains dans les aires de
préparation de la
nourriture; le personnel se sert-il de cet évier?
- le personnel porte-t-il un pare-haleine lorsque
la situation le justifie?
•
Les éléments non critiques ne concernent pas
directement la manipulation d’aliments. Il s’agit
de conditions qui pourraient affecter
légèrement la sécurité alimentaire, comme l’utilisation de thermomètres pour vérifier la température dans les aires d’entreposage, le port d’un filet à cheveux ou chapeau par les employés qui manipulent de la nourriture, le recours à des techniques appropriées de lavage de la vaisselle ou la présence de fournitures
pour se laver les mains dans les toilettes du personnel et des clients.
Afin d’assurer la sécurité des aliments qui sont
servis ou vendus, l’exploitant doit se conformer
aux règlements et aux exigences du médecinhygiéniste. L’inspecteur en santé publique vérifie
cette conformité en procédant à des inspections de
routine, des réinspections, en assurant le suivi des
plaintes et en contrôlant la sécurité des aliments.
L’inspecteur a surtout recours à l’éducation et
à la promotion de la sécurité alimentaire pour
encourager la conformité aux règles et exigences.
Cependant, il peut employer des mesures
coercitives.
Lorsque l’exploitant corrige la situation sur-lechamp, le rapport indique la mention Corrigé
sur place ou Corrigé pendant l’inspection (CPI).
S’il n’est pas possible de corriger un problème
immédiatement et que la santé et la sécurité du
public ne sont pas menacées, ou s’il est possible
d’appliquer une mesure corrective à court terme,
l’inspecteur peut imposer un délai pour régler le
problème (p. ex. installer un thermomètre facile à
lire dans la chambre froide au cours des prochaines
deux semaines).
Un exploitant peut aussi choisir de fermer son
dépot d’aliments jusqu’à la résolution d’un
problème grave (p. ex. présence de rongeurs); il
s’agit alors d’une « fermeture volontaire ».
Pour obtenir de plus amples renseignements,
communiquez avec le Bureau de santé de l’est de
l’Ontario au 613-933-1375 ou au 1 800 267-7120
et demandez pour Appel-santé.
Vous pouvez aussi
visiter notre site Web
à l’adresse
www.bseo.ca.
santé vous bien
juillet 2009
Comprendre un
Rapport d’inspection
des aliments
Dans le cas où un établissement
n’est pas conforme à la réglementation, l’inspecteur en
santé publique peut prendre
diverses mesures, notamment :
Le terme « dépots d’aliments » désigne des établissements où des
aliments ou du lait sont fabriqués, traités, préparés, entreposés,
manipulés, étalés, distribués, transportés, vendus ou mis en
vente, à l’exclusion d’une résidence privée.
• délivrer un avis d’infraction
(c.-à-d. une contravention) au
propriétaire ou à l’exploitant
Niveau de risque
• saisir et détruire les aliments
pouvant mettre en danger la
santé et la sécurité du public
032-0181b FS-6241D (09)
• émettre une ordonnance
verbale, suivie d’une ordonnance écrite, concernant un risque pour la santé (ce type
d’ordonnance somme
l’exploitant de faire ou d’arrêter
de faire quelque chose en rapport avec un danger à la santé)
• signifier une assignation à
comparaître (devant un tribunal
provincial)
• fermer un restaurant en raison
d’un danger pouvant affecter la
santé du public
•
Faible risque :
Ceci s’applique aux établissements où la nourriture est
rarement manipulée directement ou ne l’est jamais
(p. ex. épicerie, dépôt d’aliments, dépanneur). Ces
établissements sont inspectés une fois par année.
•
Risque modéré :
Ceci s’applique généralement aux restaurants de taille
moyenne où il y a une manipulation d’aliments modérée à
fréquente. Ces établissements sont inspectés deux fois par année.
•
Risque élevé :
Ceci s’applique aux dépots d’aliments qui servent une
population à risque (p. ex. cuisine d’un foyer pour personnes
âgées ou d’un hôpital). Il peut aussi s’agir d’un restaurant qui a
des antécédents de non-conformité, qui a été le foyer d’une
flambée de maladie d’origine alimentaire au cours de l’année
précédente ou qui exige la manipulation d’une grande quantité
de nourriture. Ces établissements sont inspectés trois fois par
année.
Questions?
613-933-1375 ou 1 800 267-7120
Demandez pour Appel-santé.

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