les noces de figaro - cinema LE REGENT Montrichard
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les noces de figaro - cinema LE REGENT Montrichard
« LES NOCES DE FIGARO » Opéra Bouffe Enregistré à l'Opéra de Paris Bastille de Amadeus MOZART d’après Le Mariage de Figaro de Beaumarchais –-3h06Dimanche 14/08/2016 à 16h30 Opéra bouffe de Wolfgang Amadeus Mozart (1786), d'après Le Mariage de Figaro de Beaumarchais en 4 actes -3h06- Une boisson est offerte par le cinéma Le Régent à l'entractePhilippe Jordan Direction musicale Giorgio Strehler Mise en scène lumière Humbert Camerlo Réalisation Orchestre et Choeur de l'Opéra national de Paris Des Noces qui résistent au temps ! Un évènement à ne pas manquer ! Ce premier des trois opéras écrit par Mozart avec Lorenzo da Ponte, marque une date dans l’histoire de l’opéra. La grande diversité et complexité de cette œuvre lyrique est soulignée par une succession de coups de théâtre mettant en exergue la psychologie des personnages et l’évolution de l’intrigue. Le livret est tiré de la pièce de Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, longtemps interdite par la censure au motif que ‘un valet se révoltait contre son maître’. Il fallait, donc, déplacer ce centre de gravité trop "révolutionnaire" et ce fut vers l’amour et les rapports humains. Une fois les traits de satire politique trop saillants éliminés, plusieurs années après, Mozart et son librettiste finirent par obtenir des autorités la permission d’en faire un opéra !... Ce chef d’œuvre est enregistré à l'Opéra de Paris Bastille et joué en costume d’époque. Philippe Jordan sublimement "entraîne son orchestre dans l‘action, sous ses doigts de magicien" ! -Forum Opéra, lyrique-. Critique : Le Forum Opéra recommande de ne pas manquer cet évènement- : …Dans la fosse, Philippe Jordan et l’Orchestre de l’Opéra de Paris se surpassent et nous dévoilent tout au long du parcours l’extraordinaire subtilité de cette partition….il collabore dés le début de la conception avec le metteur en scène, il a une "vision musicale claire de l’opéra, à laquelle la vision critique du texte dramatique est étroitement liée" ; il considère qu’il "fait partie du spectacle en tant qu’instrument scénique " et il "entraîne son orchestre dans l‘action ". Sous ses doigts de magicien, "tout (ce qui) est écrit : mouvements, pauses, attitudes extérieures et intérieures, couleurs de la situation, retournement dramaturgique, atmosphères" surgit de la fosse avec une évidence telle que nous avons l’illusion que Mozart lui-même est au pupitre. - Il ne faut pas manquer cet évènement.Le Monde montre l’effort apporté aux costumes : L'apparition de la comtesse Almaviva au deuxième acte dans la sublime nostalgie de son air "Porgi, amor" est un moment magique. Le costume doit être à l'avenant. Mais la robe en soie rose fleurie de broderies blanches, portée par Gundula Janowitz en 1973, a été fortement usée au fil des reprises, durant trente ans. Le vêtement a dû être refait. Pour le tissu, 18 mètres d'un somptueux satin duchesse rose commandé chez Taroni ont fait l'affaire. Mais ce fut une autre paire de manches pour les broderies. Elles ont été dénichées aux puces de Saint-Ouen. "Nous avons préféré les réinterpréter", explique Christine Neumeister, directrice des costumes à l'Opéra de Paris. "Nous avons lancé un appel d'offres : c'est un brodeur danois de Svendborg, Thomas Sjolander, qui a réalisé la meilleure proposition", ajoute-t-elle, désignant une merveilleuse brassée de fleurs rose pâle comme fraîchement cueillies. Coût estimé de ce petit miracle : 6 500 euros.