Sándor Albert

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Sándor Albert
DIANA PIGNARD
Sémiologie de la cuisine facile
My analysis is based on a survey of French cooking. Thanks to a contrastive
analysis of three "easy" cookbook covers, I will try to see which are the special
characteristics of easy cooking according to the pictures and the text.
Introduction
À partir d’un corpus homogène de bibles de la cuisine française comportant
une similitude de données constituant le corpus comprenant le léxème facile
présent et inscrit sur la première de couverture, nous proposons de faire une
analyse contrastive de trois couvertures de livres de cuisine facile à partir de la
sémiologie indice houdebinienne (HOUDEBINE-GRAVAUD, 2009 : 121-126).
Nous tenterons de voir s’il existe des traits distinctifs propres à la cuisine facile
et s’il est possible de la définir.
Présentation du corpus
Notre travail d’analyse s’appuie sur trois ouvrages de cuisine.
Recettes faciles
(Françoise Bernard)
Cuisine facile
(Éd. Marabout)
La cuisine facile
(Éd. First)
Revue d’Études Françaises  No 19 (2014)
Analyse
Description et explication du corpus
Les trois ouvrages soumis à l’analyse comportent le léxème facile dans le
titre. Nous avons respectivement les syntagmes Recettes faciles, Cuisine
facile et La cuisine facile. L’adjectif facile qualifie sur le premier visuel les
recettes qui sont contenues dans l’ouvrage. La thématique de la cuisine est
implicite et relayée par le visuel qui nous informe qu’il ne s’agit pas de recettes
ou de techniques de peinture, par exemple, ou d’ébénisterie. Les éléments
(torchons) et (gousses d’ail) nous permettent de contextualiser l’ouvrage. Le
nom de l’auteure (Françoise Bernard) et le titre (Recettes faciles) sont inscrits
au sein d’un cadre aux bords arrondis qui ressemble à une étiquette de cuisine,
celle que l’on cole souvent sur les pots de pâtes ou de riz, et sur les confitures.
Le second visuel reprend le procédé de l’icone au sein duquel est inscrit
également le titre de l’ouvrage Le Grand livre de la cuisine facile et son soustitre 900 recettes. Il ne s’agit plus d’une étiquette de cuisine, mais d’un tablier
blanc au sein duquel « cuisine facile » est inscrit en rouge. Le contexte est
différent puisqu’au second plan on peut voir des étagères en bois, des casseroles
en fonte et des assiettes blanches empilées en bas à droite. Les liens du tablier
blanc sont dessinés de manière stylisée, de façon souple, non stricte. Quand au
troisième visuel, le titre La cuisine facile est inscrit de manière stylisée, en
blanc, sur un fond de couleur gris foncé, ou granit. Le sous-titre, 1000 recettes
de cuisine testées, goûtées et appréciées est inscrit de couleur vert céladon.
Comme sur le second visuel, le nombre des recettes n’est pas inscrit en toutes
lettres. Plusieurs images apparaissent sur le dernier visuel que nous venons
d’évoquer. On peut voir des bâtonnets de bretzels, un potage orangé dans une
assiette creuse, une cocotte en fonte contenant de petites cuisses de poulet, puis,
en dessous, une pizza, des macarons de couleur rose et, enfin, une tarte aux
fraises présentée sur un plat. La cocotte en fonte est assortie au fond de couleur
granit. Au-dessus du titre, on remarque à gauche un radis stylisé, dessiné en
blanc et rose, ainsi qu’une petite maison dont la fumée sort de la cheminée. Sur
la petite maison dessinée en vert céladon (comme le titre), on peut lire
l’inscription « fait maison ». Entre le potage et la cocotte, un oignon stylisé est
représenté de manière graphique. Enfin, une cuillère de ménage au manche
rouge est représentée à droite du visuel de la tarte aux fraises.
Interprétation
Le premier visuel comprend divers éléments rustiques. La promesse de
l’ouvrage est telle qu’on imagine d’emblée des recettes réalisées avec des
ingrédients simples à trouver au jardin ou au marché : le persil et l’ail en
attestent. Les brins de l’aromate sont en nombre ; ils annoncent à la fois une
cuisine de saveurs, simple et saine. De saveurs, car l’ail est associé au persil ;
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DIANA PIGNARD : Sémiologie de la cuisine facile
simple, car les recettes de soupe s’y prêtent d’emblée ; saine, car le persil a des
vertus sur la santé. En effet, il protège le système cardio-vasculaire et possède
des propriétés antibactériennes et antivirales puissantes. On dit même qu’en
manger permettrait d’éviter le cancer. Quand à l’ail représenté, on distingue des
petites parties de la tête. Il est déjà présenté à moitié épluché. La présence du
persil fait référence à la cuisine régionale car cette plante aromatique est
originaire d’Europe méridionale. Le nom de l’auteure n’est pas inconnu. En
effet, il s’agit d’une gastronome française, née Andrée Jonquoy qui, après avoir
été employée dans les années 60 dans l’entreprise Unilevo, a vanté à la
télévision les bienfaits de la margarine Astra, très connue en France. Par la
suite, elle s’est fait connaître en vantant les matériels de cuisine SEB, d’où son
surnom « Madame Cocotte-minute ». Après sa notoriété publicitaire, elle s’est
fait remarquer à la radio (RTL) et a publié en 1963 son livre de recettes qui
concurrence celui de Ginette Mathiot, qui fait pourtant de ses livres des bestsellers. F. Bernard réédite son livre de cuisine avec le retour du plaisir de
cuisiner en France. Elle promet dans son ouvrage des recettes diverses : faciles,
rapides, minceur, campagnardes, régionales ou encore exotiques. Or, qui dit
recettes faciles, pense à son antonymie : recettes difficiles du chef ou de
l’expert(e). F. Bernard écrit dans la préface des recettes faciles que son dessein
premier est de nous aider le plus simplement et le plus efficacement possible.
Son index par liste alphabétique, ses recettes rapides en 15 ou 30 minutes, ses
recettes bon marché, sa volonté d’utiliser les restes et ses propositions de plats
du jour par produit font de son ouvrage une bible de référence pour la femme
qui vient de se marier, pour la ménagère et la nouvelle femme moderne des
années 60. F. Bernard précise : « il devrait être utile aussi bien aux néophytes –
débutantes, jeunes, mariées et célibataires débrouillards – qu’à la maîtresse de
maison expérimentée qui aurait envie de vérifier rapidement proportions ou
temps de cuisson de tel ou tel plat » 1. L’étiquette rose partageant d’un côté le
nom de l’auteure et de l’autre (plus en bas) le nom de l’ouvrage rappelle
directement les étiquettes de cuisine traditionnelle de nos grand-mères où tout
est clair, consigné, précis et simple.
Sur le second visuel, le titre est inscrit au cœur d’un tablier blanc. Cette
couleur est pertinente dans la mesure où dans l’histoire, le tablier blanc était
fabriqué en lin et était utilisé en semaine, contrairement au tablier noir qui était
porté uniquement par les femmes mariées (après 1830), les jours de fête et le
dimanche. Le port de cette pièce de tissu utilisée dans sa largeur, montée sur une
ceinture qui s’attache dans le dos, sert depuis toujours à protéger le vêtement (la
jupe ou la robe à l’origine) et à retirer la casserole ou le poêle à manche d’acier
du four. La forme du tablier est simple, rappelle les cuisinières des temps passés
et représente aujourd’hui l’un des accessoires de tout cuisinier, homme ou
1
BERNARD Françoise, Recettes faciles, Préface p.4.
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femme, chef ou débutant non confirmé. Le tablier a valeur de symbole et réfère
tout simplement à la cuisine avec un brin de fantaisie, comme les liens le
signifient. Les assiettes blanches, toutes simples, sans décor et la représentation
d’une cuisine constituée d’étagères de bois clair et de casseroles à demi
représentées dans la partie supérieure du visuel de la couverture représentent la
simplicité et la rusticité. Le logo circulaire en bas à droite, sur lequel on peut
lire « testé 3 fois2 », atteste de la facilité des recettes annoncée par le titre de la
couverture et les trois points de suspension interpellent déjà, semble-t-il, le
lecteur à poursuivre. Le nombre 900 associé à recettes témoigne de
l’importance de l’ouvrage qui en fait une bible de la cuisine facile, proposée au
plus grand nombre. La présence importante des pictogrammes que l’on retrouve
à la fois sur la 4e de couverture et dans les premières pages de l’ouvrage
montrent la clarté du livre et annoncent des recettes faciles à suivre et à réaliser.
De plus, l’éditeur, Marabout, est cité à la fois dans le titre et dans le nom de la
collection en haut, de manière centrée. La collection se nomme « Marabout
chef ». Elle suggère à la fois que les 900 recettes de cuisine facile ont été
réalisées par des Chefs, avec la promesse pour le lecteur de cuisiner « comme
un chef ». Les éditions Marabout ont par ailleurs édité toute une collection de
livres dont Le Grand livre Marabout de la cuisine facile fait partie. Tous
représentent en leur centre un tablier. Tels sont les titres de la collection que
nous pouvons citer à titre d’exemple : Le Grand livre Marabout de la cuisine du
monde ; Le Grand livre Marabout des grandes tablées ; Le Grand livre
Marabout de la cuisine facile des légumes ; Le Grand livre Marabout de la
cuisine des légumes. Une divergence peut être relevée sur ce corpus connexe : le
tablier est noir au cœur de la couverture du livre intitulé le Grand livre
Marabout des grandes tablées. Marabout, par ailleurs, a opté pour un cupcake
blanc pour symboliser son ouvrage de pâtisserie facile.
Le troisième visuel propose un titre inscrit de manière stylisée, en blanc, qui
rappelle à la fois la tradition des lettres ornées en calligraphie et dotées d’une
certaine modernité, comme le démontre le « s » de « cuisines ». La cuisine n’est
plus ce qu’elle était, elle n’est plus contraignante, mais un loisir non dénué de
fantaisie comme l’attestent le choix des lettres. Le nombre 1000 propose une
quantité de recettes de cuisine non négligeable qui fait de l’ouvrage une vraie
bible de cuisine. Le nombre est inscrit en vert céladon chiné, une couleur
originale qui annonce des recettes recherchées, raffinées. De plus, le nombre
vert céladon est inscrit de manière chinée, faisant penser que l’auteur de
l’ouvrage a chiné, recherché des recettes originales pour ses lecteurs, cuisiniers
en herbe. Le fond de la couverture est à la fois moderne et traditionnel.
Moderne, car il rappelle les ardoises vendues en guise d’assiettes chez les
décorateurs de la table, et traditionnel car il rappelle la couleur et la matière de
2
Marabout, Couverture du livre Cuisine facile.
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la fonte de la cocotte représentée sur la couverture. On retrouve par exemple
chez le restaurateur Léon ces cocottes en fonte pour présenter aux clients des
moules. Il faut savoir que cet ustensile de cuisine évoque le passé car la cocotte
remonte au début du XIXe siècle ; elle est la version moderne de la braisière,
adaptée à la cuisinière. Aujourd’hui, elle est de nouveau remise au goût du jour.
L’originalité est évoquée à travers le lexique (apéros craquants, entrées
veloutées, desserts adorés) qui interpellent le lecteur sur l’aspect gustatif de la
cuisine. Le salé (pizza, bretzels droits, poulet, potage) est représenté, tout
comme le sucré (macarons-mignardises, tarte aux fraises). La créativité
culinaire est suggérée par la présence d’un radis et d’un oignon stylisés. Ils sont
également colorés, d’où une suggestion de recettes à la fois traditionnelles,
créatives et ré-créatives. La cuillère présente à droite de la tarte aux fraises
suggère explicitement la gourmandise. Les macarons roses présents sur la
couverture témoignent de la démocratisation de la pâtisserie, alors considérée
comme un luxe. Ces mignardises ont été introduites en France par Catherine de
Médicis à l’occasion de son mariage avec le Duc d’Orléans, futur roi de
France3. Aujourd’hui, les macarons se sont diversifiés au fil du temps. On
trouve même des versions salées de cette gourmandise. Enfin, la petite maison
représentée avec son inscription « fait maison » fonctionne à la fois comme un
pictogramme et un label. Comme un pictogramme qui réfère au foyer, à la
famille, symbolisé par une petite maison de laquelle s’échappe de la fumée. Elle
représente également un label apparu en 2013 en France pour distinguer les
restaurants. C’est Alain Ducasse et Joël Robuchon qui ont porté le projet avec
quinze des plus grands chefs français pour « mettre en avant le fait-maison »4.
Ce label rappelle également les plaques millésimées en émail qui faisaient
référence aux licences d’autrefois. Le fait-maison est également un phénomène
de mode qui a donné naissance à une collection de livres aux Éditions Hachette,
ainsi qu’à de nombreux articles dans la presse (« le grand retour du « faitmaison5 », « le fait-maison, un bon plan anti-crise6 », etc.). Le « fait-maison »
signe, selon le CREDOC, un regain d’intérêt pour la cuisine7, au même titre, d’un
point de vue sociologique, que le jardinage ou le bricolage, mais aussi le désir
3
http://www.recettes-macaron.com/histoire-macaron
http://www.challenges.fr/economie/20130408.CHA8067 / restaurants-creation-d-unlabel-pour-reperer-le-fait-maison.html
5
http:// www. leparisien. fr / societe / le - grand - retour - du - fait - maison - 25 - 06 2010-977124.php.
6
http:// www .lefigaro .fr/ conso /2011 /11 /25/05007-20111125ARTFIG00790-le-faitmaison-un-bon-plan-anti-crise.php. Isabelle de Foucaud : « Le « fait-maison », un
bon plan anti-crise ».
7
http://www.credoc.fr/pdf/4p/217.pdf, Le retour du plaisir de cuisiner, Pascale Hébel,
Crédoc (Consommation et modes de vie).
4
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de réinvestir la cuisine, de connaître l’origine des produits, de vivre des
moments nouveaux et privilégiés autour de la table. Cet élément répond à la
fois, selon le Figaro, à une quête de lien social et un souci d’économie8.
Conclusion
À partir du dictionnaire électronique des synonymes9, nous avons relevé un
certain nombre de termes relatifs à ce qui est facile. Nous dirons ainsi de la
cuisine facile qu’elle est peu compliquée, possible (pour les débutants),
recherchée (les macarons restent faciles à réaliser, par exemple (visuel n°3),
abordable (tant d’un point de vue pécuniaire (recettes bon marché de Françoise
Bernard) et pour le plus grand nombre (tous les membres d’une même famille,
symbolisée par l’icône maison). La vulgarisation de la cuisine des chefs, par
exemple (Marabout), permet à toutes et à tous de commencer ou de parfaire des
mets, qu’ils soient raffinés, rustiques, traditionnels, créatifs ou qui semblent au
premier abord irréalisables.
La cuisine facile fait partie du domaine pratique et du savoir. La transmission
des recettes de cuisine facile par les livres s’adjoint au phénomène de mode
remettant au goût du jour la préparation de mets par le plus grand nombre
depuis les années 2000.
Assimilée à l’économie, la cuisine facile peut être également réalisée à partir
de restes, comme le suggère Françoise Bernard dans la réédition de son livrebible. Les mets les plus difficiles à réaliser deviennent accessibles et réalisables.
Chacun(e) peut espérer de cuisiner comme un chef ou son pâtissier, car les trois
livres de cuisine que nous avons analysés comprennent des recettes sucrées. La
cuisine englobe tous les plats, salés comme sucrés, et chaque auteur propose des
menus rapides, telle que la rapidité s’assimile indirectement à la facilité
d’exécution.
Les auteurs proposent de faciliter l’apprentissage de la cuisine à l’aide de
fiches synthétiques pratiques (préparer une volaille, préparer les coquillages et
les crustacés, décorer des gâteaux et des desserts, bien présenter vos plats, etc.
pour Marabout, par exemple). La connaissance est liée au domaine de la cuisine
8
http://www.lefigaro.fr/conso / 2011 / 11 / 25 / 05007-20111125ARTFIG00790- le- faitmaison-un-bon-plan-anti-crise.php Isabelle de Foucaud : « Le « fait-maison », un
bon plan anti-crise ».
9
http://www.crisco.unicaen.fr/ Dictionnaire électronique des synonymes, Université de
Caen
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DIANA PIGNARD : Sémiologie de la cuisine facile
facile, les astuces, la diététique, la maîtrise des ustensiles (Marabout10,
Françoise Bernard11) et son champ d’investigation s’élargit au « fait-maison ».
La cuisine facile se veut créative (fantaisie), visible à travers les visuels
colorés, légers. Les recettes sont conséquentes, on ne pense plus à l’omelette
facile à réaliser, mais les auteurs nous proposent entre 750 (Françoise Bernard),
900 (Marabout) et 1000 recettes (La Cuisine facile). Le lexique dépeint les
promesses faites par une cuisine facile : économique, familiale, rapide, élégante
(chapitre Dîner chic, La cuisine facile). Aujourd’hui, elle fonctionne comme un
syntagme figé, ouvert sur une multitude de mets. À chacun(e) de mettre la main
à la pâte.
Bibliographie
ADAM Jean-Michel (1997) , L’argumentation publicitaire. Rhétorique de
l’éloge et de la persuasion, Coll. « Fac linguistique », Paris, Nathan
Université, p. 36.
BARTHES Roland (1961), « Pour une psycho-sociologie de l’alimentation
contemporaine », Annales. Economies, Sociétés, Civilisations, N° 5, p. 977986.
BERNARD Françoise (2003), Recettes faciles, Paris, France Loisirs, (1re édition
1995).
BRUNET-HUNAULT Laurence (2009), Sémiologie des indices et Imaginaire
linguistique. Deux théories pour sémiotiser l’objet social alimentation à
partir d’un corpus de magazines de cuisine , Thèse de doctorat dirigée par
Anne-Marie HOUDEBINE, Université Paris Descartes, Faculté des sciences
humaines et sociales.
HOUDEBINE-GRAVAUD Anne-Marie (2009), « Sémiologie interprétative » ,
in Vocabulaire des études sémiotiques et sémiologiques (D. Ablali, D.
Ducard éds.), Paris Honoré Champion, Presses universitaires de FrancheComté, p. 121-126.
Le Grand livre Marabout de la cuisine facile, 900 recettes (2009), Coll.
« Marabout Chef », Hachette livre.
MARTEL Héloïse (2013), La cuisine facile, 1000 recettes testées, goûtées et
appréciées, Paris, First Editions.
http://www.credoc.fr/pdf/4p/217.pdf , Le retour du plaisir de cuisiner, Pascale
Hébel, Crédoc (Consommation et modes de vie) -[consulté le 25/04/2014] .
10
11
Le Grand livre Marabout de la cuisine facile, 900 recettes (2009), Coll. « Marabout
Chef », Hachette livre.
BERNARD Françoise (2003), Recettes faciles, Paris, France Loisirs, (1re édition
1995).
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http://www.lefigaro.fr/conso/2011/11/25/05007-20111125ARTFIG00790-lefait-maison-un-bon-plan-anti-crise.php. Isabelle de Foucaud : « Le « faitmaison », un bon plan anti-crise » (Consulté le 25/04/2014)
http://www.leparisien.fr/societe/le-grand-retour-du-fait-maison-25-06-2010977124.php (Consulté le 25/04/2014)
www://cuisinealafrancaise.com/fr/articles/23-au-xixe-siecle (Consulté le 25/04/2014).
http://www.cuisinealafrancaise.com (Consulté le 25/04/2014)
http://www.recettes-macaron.com/histoire-macaron/ (Consulté le 25/04/2014)
http://www.crisco.unicaen.fr/, Dictionnaire électronique des synonymes,
Université de Caen, basse-Normandie (Consulté le 25/04/2014)
http://www.challenges.fr/economie/20130408.CHA8067/restaurants-creation-dun-label-pour-reperer-le-fait-maison.html (Consulté le 25/04/2014)
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Université Paris Descartes
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