Biréli Lagrène

Transcription

Biréli Lagrène
ŒUVRES
CHOISIES
20/21
Programme_GP2014_150x210_Prod_V13.indd 20
© JC Pouget
2015 G
uitar Heroes,
avec Joscho Stephen /
2012 Mouvements /
2008 Electric Side /
2006 To Bi or not to Bi, solo /
2001 Gipsy Project /
1999 Duet, avec Sylvain Luc /
1998 B
lue Eyes, hommage à
Frank Sinatra, avec André
Ceccarelli /
1995 My favorite Django /
1992 Standards /
1988 Foreign Affairs /
20/11/2015 18:09
GRAND
PRIX
DU JAZZ
PRÉCÉDENTS
LAURÉATS
2014
2013
2012
2011
2010
Ibrahim Maalouf /
Romane /
Richard Bona /
Baptiste Trotignon /
Sylvain Luc /
— Biréli LAGRÈNE
Le manouche universel
Virtuose inclassable, improvisateur inspiré, touche-à-tout au toucher
unique, Biréli Lagrène est devenu une star internationale de la guitare
véloce. Sur les traces de Django, mais pas seulement…
Son jeu fluide, son phrasé agile ont séduit
les plus grands musiciens de jazz.
De Stéphane Grappelli à Didier Lockwood,
de Benny Carter à Larry Coryell, tous ont
croisé le fer ou le bois de leurs instruments
avec Biréli Lagrène.
Car ce natif d’Alsace, issu d’une famille de
tradition manouche, a la guitare qui le démange
depuis sa plus tendre enfance. À quatre ans,
il fait ses gammes sur les disques de Django
Reinhardt. Dix ans après, il remporte le premier
prix dans un festival de musique tzigane
à Strasbourg. Biréli, graine de prodige,
croise alors le grand Stéphane Grappelli qui,
impressionné par son talent, l’invite à le
rejoindre sur scène. Le début d’une carrière
aussi dense qu’éclectique. Car s’il est
désormais l’un des champions du style
manouche, Biréli s’intéresse aussi à d’autres
Programme_GP2014_150x210_Prod_V13.indd 21
genres de musique. Admirateur de Wes
Montgomery, de Jimi Hendrix ou de George
Benson, il se passionne pour la fusion entre
jazz, rock et funk. Armé d’une guitare
électrique, le voilà qui remplace Eric Clapton
le temps d’une reformation éphémère
du groupe Cream, avant de partir en tournée
avec le célèbre bassiste Jaco Pastorius. Pour
Biréli, la musique est le terrain idéal pour
multiplier les expériences et les collaborations.
Qu’il joue en solo ou en quartet, en compagnie
d’Al Di Meola ou de Sylvain Luc, du trio
Rosenberg ou de son Gispy Project,
qu’il interprète les standards de jazz ou ses
propres compositions, revisite le répertoire
de Django Reinhardt ou rende hommage
à Frank Sinatra, c’est avec la même fougue
et le même brio. Six cordes de guitare pour
un doigté bien singulier.
20/11/2015 18:09

Documents pareils