CCBCL INFO - Chambre de Commerce Belgo

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CCBCL INFO - Chambre de Commerce Belgo
CCBCL INFO
Contact
C/o UtexAfrica
Av. Colonel
Mondjiba 372 ,
Kinshasa Ngaliema
R.D.Congo
SOMMAIRE
Heures d’ouvertures
du secrétariat
Du lundi au vendredi
de 8 h 30 à 16 h 30
Actualité de la Chambre p. 1 – 2
Nouvelles de Lubumbashi p. 3
Téléphone
081 88 48 319
097 43 28 371
089 89 49 292
Courriel
Annonces p. 4 - 6
[email protected]
Site web
Affaires juridiques p. 7 - 8
www.ccbc—rdc.be
Dossier p. 9 - 14
Appels d’offres p. 15 - 16
Échos du Congo p. 17 - 22
Échos de l’Etranger p. 23 - 24
Ce bulletin est réalisé grâce à le soutien financier
du SPF Affaires Etrangères et des Régions
N° 101
Mai 2015
Actualité
ACTIVITÉS DU MOIS D’AVRIL
Visite – Présentation des activités de l’entreprise Sociétés de Communication et de
Services (SCS)
Le vendredi 03 avril, en présence de nombreux invités, Monsieur Jean-Robert Isifua, gérant, a
inauguré les nouveaux locaux de sa société, au n° 2 sur la Rue Adama (derrière l’Ambassade
de France).
Mission – Africa-Belgium Business Week 2015
Du 28 au 30 avril, a eu lieu la 2ème édition du Forum économique ABBW (Africa-Belgium
Business Week), au cœur de la très dynamique Province du Brabant Wallon. Ce Forum a
constitué un événement de grande envergure avec la participation de Chefs de Gouvernement,
de décideurs privés, d’autorités publiques, de représentants de Chambres de Commerce,
partenaires et sponsors du forum. Un seul objectif : développer les rencontres entre
professionnels.
Ce rendez-vous incontournable a été une véritable plateforme d’échanges, orientée vers des
partenariats sains et réciproques, des opportunités d’investissement dans l’espace francophone
Afrique – Europe – Québec.
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Annonces
PROGRAMME DES FOIRES ET SALONS 2015
ORGANISATION DES JOURNÉES DE RENDEZ-VOUS DU BUSINESS
Les rendez-vous du business sont des rencontres d’affaires organisées en soirée destinées à
mettre en présence les entreprises, organismes, et acheteurs publics et privés en vue de :
- Présenter son entreprise et son savoir-faire à des partenaires potentiels;
- Découvrir les projets et besoins de grandes entreprises privées et publiques ainsi que
des organismes internationaux.
L’organisation de ces rencontres d’affaires se fera en quatre temps :
- Présentation des besoins des donneurs d’ordre;
- Rendez-vous des donneurs d’ordre / PME;
- Speed dating business entre PME;
- Moment de conviabilité pour poursuivre les échanges
Lieu : à Kinshasa et à Lubumbashi
Organisation : Fédération des Entreprises du Congo (FEC)
Avenue des Aviateurs, 10, Kinshasa / Gombe
15/05/2015 et 24/05/2015
Frais de participation : 400 USD pour les grandes entreprises et 200 USD pour les PME
Tél. : +243 (0) 99 99 07 226
Email : [email protected]
REALTY 2015
Bâtir, Rénove, Immobilier
Lieu : Tour & Taxis
Avenue du Port 86C, 1000 Bruxelles, Belgique
Organisation : Artexis (Public & Trade Fairs), Maaltekouter 1, 9051 Gent, Belgique
19/05/2015 – 21/05/2015
Tél. : +32 (0) 9 241 92 11 – Fax : +32 (0) 9 241 93 25
Email : [email protected]
Site web : www.artexis.com
REALTY 2015
Bâtir, Rénove, Immobilier
Lieu : Tour & Taxis
Avenue du Port 86C, 1000 Bruxelles, Belgique
Organisation : Artexis (Public & Trade Fairs), Maaltekouter 1, 9051 Gent, Belgique
19/05/2015 – 21/05/2015
Tél. : +32 (0) 9 241 92 11 – Fax : +32 (0) 9 241 93 25
Email : [email protected]
Site web : www.artexis.com
KATANGA BUSINESS MEETING 2ème édition 2015
Le salon de l’entreprise à Lubumbashi : conférences et ateliers
7.000m² de stands avec 160 exposants, 9 secteurs dominants à savoir : Agriculture,
Automobile & Equipement, Banque & Finance, Infrastructure & Construction, IT & télécom,
Mines & Industrie, Services aux particuliers, Services aux professionnels et Transport &
Logistique
Lieu : Bâtiment du 30 juin, Lubumbashi / RDCongo
Sous le haut patronage de son excellence Monsieur le Gouverneur de la Province du Katanga
28/05/2015 – 30/05/2015
Tél. : +243 (0) 82 51 29 716
Email : [email protected]
Site web : www.katanga-bm.com
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Annonces
LIVING@SEA
Bâtir, Rénove, Immobilier
Lieu : Kursaal Oostende
Westhelling 12, 8400 Oostende, Belgique
Organisation : Unizo Noord-West-Vlaanderen
Wapenplein 10, 8400 Oostende, Belgique
Tél. : +32 (0) 4 754 45 873 – Fax : +32 (0) 9 241 93 25
Email : [email protected]
Site web : www.living-at-sea.be
05/06/2015 – 07/06/2015
SECOND HOME INTERNATIONAL 2015
Bâtir, Rénove, Immobilier
Lieu : Antwerp Expo (Artexis Group - Exhibition & Congress Centres)
Jan Van Rijswijcklaan 191, 2020 Anvers, Belgique
Organisation : Fairs Consult
Maaltekouter 1, 9051 Gent, Belgique
05/06/2015 – 07/06/2015
Tél. : +32 (0) 9 241 99 97 – Fax : +32 (0) 9 270 32 56
Email : [email protected]
Site web : www.fairsconsult.be
FORUM ECONOMIQUE RDC - RFA
Ce forum vise la promotion des investissements autour des projets faisables et intégrateurs
destinés à attirer des investissements directs allemands dans notre pays. Ci-après les
secteurs ciblés :
- Infrastructure
- Energie
- Agro-industrie et Manufacture
- Banque et Assurance
- Mines et Hydrocarbures
- Agriculture
- Pêche et Elevage
- Tourisme
- Santé
Lieu : Berlin, Allemagne
Organisation : Gouvernement de la RD Congo
08/06/2015 – 11/06/2015
Tél. : +243 81 24 88 909
FIKIN 2015
Cette édition foraine est placée sous le thème : «Le Congo débout sur la voie de
l’émergence»
Lieu : Dans l’enceinte de la FIKIN à Limet
11/07/2015 – 10/08/2015
Pour avoir le formulaire, veuillez contacter la Chambre au 081 88 48 319
Email : [email protected]
AGRICONGRESS EXPO RDC
Secteur de l’Agriculture, de l’Elevage et de l’Agroalimentaire en RDC et dans la région.
Près de 80% des Congolais vivent en milieu rural. L’Agriculture est le principal secteur de
l’économie et contribue pour 56% au PIB. Pour canaliser les investissements privés
internes et externes, le gouvernement a mis en place un programme national
d’investissement agricole (PNIA) et une stratégie basée sur les parcs agro-industriels (PAI),
qui devront intégrer aussi l’agriculture paysanne et mettre ensemble les acteurs du secteur.
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Pourquoi participer à ce salon de l'Agribusiness en RDC ?
Les bonnes raisons pour exposer au SALON AGRICONGRESS RDC 2015 :
• Obtenir le meilleur retour sur investissement en termes de marketing et du
développement des affaires
• Positionner vous comme leader du secteur
• Exposer vos produits et services devant les agriculteurs
• Garder une longueur d'avance sur l'innovation alimentaire
• Démonstrations des engins/équipements agricoles (nouvelles technologies)
• Rencontrer plus de 1500 professionnels de l'agrobusiness et de l’agro-alimentaire en
RDC
Lieu : Lubumbashi, RDC
28/07/2015 – 29/07/2015
Tél. : +32 (0) 4 754 45 873 – Fax : +32 (0) 9 241 93 25
Email : [email protected] - [email protected]
Site web : www.chezangeconnect.com
MATEXPO 2015
Bâtir, Rénove, Immobilier
Lieu : Kortrijk Xpo
Doorniksesteenweg 216, 8500 Kortrijk, Belgique
Organisation : Matexpo
President Kennedypark 31B, 8500 Kortrijk, Belgique
Tél. : +32 (0) 5 621 08 32 – Fax : +32 (0) 5 625 79 82
Email : [email protected]
Site web : www.matexpo.com
02/09/2015 – 06/09/2015
SÉCURISER ET CONSOLIDER LA POSITION DE VOTRE ENTREPRISE EN RDC
iPAD Mines et Infrastructures Indaba RDC se tiendra les 15 et 16 octobre à l’Hôtel du
Fleuve Congo (Kinshasa). iPAD RDC est une conférence et exposition internationale de
référence pour l’industrie minière et le secteur des infrastructures en RDC.
Le 15 octobre aura lieu la cérémonie de remise de prix aux acteurs de l’industrie minière.
Katanga Mining Week et Expo, qui se tiendra les 20 et 21 octobre à l’Hôtel Grand
Karavia (Lubumbashi) est un forum stratégique et technique de premier plan dans la région
du copperbelt, offrant aux parties prenantes du secteur minier (dont les activités principales
sont le cuivre et le cobalt) l’occasion d’examiner les questions pertinentes affectant
l’environnement des affaires au Katanga.
Tournoi de Golf : 18 octobre 2015 ; Visite de sites miniers : 19 octobre 2015.
Contactez Jean-Tite Oloumoussie, Directeur de l’Exposition et du Sponsoring
Tél. : +27 21 700 3508 / Mobile : +27 72 133 5600
Email : [email protected]
Site web : www.ipad-drc.com ou www.ipad-katanga.com
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Affaires juridiques
JOURNAL OFFICIEL
Veuillez noter que dans le cadre de notre abonnement 2014 et 2015, le Journal Officiel de la
République démocratique du Congo nous a transmis les numéros suivants :
Ière Partie
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n° 01/Ière partie/2014
n° 02/Ière partie/2014
n° 03/Ière partie/2014
n° 04/Ière partie/2014
n° 05/Ière partie/2014
n° 06/Ière partie/2014
n° 07/Ière partie/2014
n° 08/Ière partie/2014
n° 09/Ière partie/2014
n° 10/Ière partie/2014
n° 11/Ière partie/2014
n° 12/Ière partie/2014
n° 13/Ière partie/2014
n° 14/Ière partie/2014
n° 17/Ière partie/2014
n° 18/Ière partie/2014
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n° 19/Ière partie/2014
n° 20/Ière partie/2014
n° 21/Ière partie/2014
n° 22/Ière partie/2014
n° 23/Ière partie/2014
n° 24/Ière partie/2014
n° 01/Ière partie/2015
n° 02/Ière partie/2015
n° 03/Ière partie/2015
n° 04/Ière partie/2015
n° 05/Ière partie/2015
n° 06/Ière partie/2015
n° 07/Ière partie/2015
n° 08/Ière partie/2015
Les numéros spéciaux
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Loi n° 14/001 du 02 janvier 2014 portant ouverture des crédits provisoires pour le mois de
janvier 2014.
Loi de finances n° 14/002 du 31 janvier 2014 pour l’Exercice 2014.
Loi n° 14/006 du 11 février 2014 portant amnistie pour faits insurrectionnels, faits de guerre et
infractions politiques.
Loi n° 14/003 du 11 février 2014 relative à la conservation de la nature.
Loi cadre n° 14/004 du 11 février 2014 de l’Enseignement national.
Loi n° 14/011 du 17 juin 2014 relative au secteur de l’électricité.
Loi de programmation n° 15/004 du 28 février 2015 déterminant les modalités d’installation
de nouvelles Provinces.
Ainsi que les deux volumes spéciaux OHADA.
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Loi des Finances n° 14/027 du 31 décembre 2014 pour l’Exercice 2015.
Ordonnances n° 14/015 et n° 15/015 portant resp. organisation du Gouvernement et fixant les
attributions des ministres.
Loi organique n° 15/006 du 25 mars 2015 portant fixation des limites des Province et celles de
la Ville de Kinshasa.
Vous êtes les bienvenus à la Chambre si vous souhaitez consulter un de ces documents.
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Affaires juridiques
DIVERS
Communiqué officiel du Ministère des Finances – Par son communiqué du lundi 02 mars, Monsieur
Yav Muland, Ministre, a informé les opérateurs économiques œuvrant en République démocratique du
Congo et concernés par la production et la publication obligatoire des états financiers annuels
conformes au référentiel comptable OHADA, qu’il ne sera pas procédé, pour les bilans clos au 31
décembre 2014, à la réévaluation des actifs immobilisés des entreprises en raison du faible taux
d’inflation annuel (1,07%) affiché au titre de l’exercice comptable 2014.
Par conséquent, les agents économiques sont invités à maintenir, à leurs valeurs comptables
antérieures, les immobilisations acquises avant 2014 et à leurs valeurs d’acquisition, celles acquises au
cours de l’exercice comptable 2014.
Communiqué officiel du Ministère des Finances – Par son communiqué du mercredi 08 avril, la
Direction Générales des Impôts rappelle aux contribuables, personnes physiques et morales relevant
du régime de droit commun, placés sous la gestion de la Direction des Grandes Entreprises, des
Centres des Impôts ou des sièges modélisés et modernisés des Directions Provinciales des Impôts que
conformément à la Législation fiscale en vigueur, ils sont tenus de déposer, au plus tard le jeudi 30
avril 2015, leurs Déclarations de l’Impôt sur les Bénéfices et Profits afférentes à l’Exercice comptable
2014 et de s’acquitter du montant dû.
Veuillez noter que votre Déclaration devra être appuyée du Bilan, du Compte de Résultat, du Tableau
financier des Ressources et des Emplois, de l’État annexe et de l’État supplémentaire statistique
conformément à l’Acte uniforme OHADA du 24 mars 2000 ainsi que de toutes les autres pièces
justificatives jugées nécessaires.
8
Dossier
PLUSIEURS PAYS ET COMPAGNIES PÉTROLIÈRES
DÉCIDENT DE METTRE FIN AU TORCHAGE DE GAZ
SYSTÉMATIQUE
Source : www.worldbank.org du 17/04/2015 (Communiqué de presse)
Les entités qui soutiennent cette initiative représentent à ce jour plus de 40 % du volume
mondial de gaz torchés
Les dirigeants de grandes compagnies pétrolières se sont joints aujourd’hui aux hauts
responsables de plusieurs pays producteurs de pétrole pour prendre l’engagement, sans
précédent, de mettre fin d’ici 2030 au plus tard à la pratique consistant à brûler
systématiquement le gaz à la torche sur les sites de production pétrolière.
L’initiative Zero Routine Flaring by 2030 (élimination du brûlage systématique de gaz à la
torche à l’horizon 2030) — à laquelle neuf pays, dix compagnies pétrolières et six institutions
de développement ont déjà adhéré — a été lancée aujourd’hui par le secrétaire général des
Nations Unies, Ban Ki-moon, et le président du Groupe de la Banque mondiale, Jim Yong
Kim. Plusieurs autres personnalités se sont jointes à eux : Jorma Ollila, président de Royal
Dutch Shell, Eldar Sætre, directeur général de Statoil, Børge Brende, ministre norvégien des
Affaires étrangères, Étienne Dieudonné Ngoubou, ministre gabonais du Pétrole, et plusieurs
hauts fonctionnaires et autres dirigeants d’entreprises, ainsi que des représentants des banques
internationales de développement. Les entités participantes représentent collectivement plus
de 40% du volume de gaz torché dans le monde.
Chaque année, environ 140 milliards de mètres cubes de gaz naturel rejetés durant
l’exploitation du pétrole sont brûlés (« torchés »), donc gaspillés, dans des milliers de champs
pétrolifères à travers le monde. Cette pratique entraîne l’émission de plus de 300 millions de
tonnes de CO2 dans l’atmosphère, soit l’équivalent des émissions produites par quelque
77 millions de voitures. Si ce gaz était utilisé dans la production d’électricité, il fournirait une
quantité de courant (750 milliards de kWh) supérieure à la consommation actuelle de
l’ensemble du continent africain. Aujourd’hui, malheureusement, ce gaz est brûlé à la torche
pour diverses raisons de nature technique, réglementaire et économique, ou parce que
l’utilisation de ce produit n’est pas jugée hautement prioritaire.
« Le torchage de gaz nous rappelle de façon visible que nous émettons du CO2 dans
l’atmosphère tout en gaspillant des ressources », constate le président de la Banque
mondiale, Jim Yong Kim. « Nous pouvons y remédier. Ensemble, nous pouvons prendre des
mesures concrètes pour mettre fin au torchage de gaz et utiliser cette précieuse ressource
naturelle pour apporter la lumière à ceux qui n’ont pas l’électricité ».
En s’associant à l’initiative, les gouvernements, les compagnies pétrolières et les organismes
de développement participants reconnaissent que le brûlage systématique du gaz à la torche
9
Dossier
n’est une pratique viable ni au plan de la gestion des ressources, ni du point de vue de la
protection de l’environnement et conviennent de coopérer pour éliminer le torchage
systématique dès que possible et au plus tard en 2030. Chaque année, ils rendront compte
publiquement de l’évolution de leurs activités de torchage et des progrès accomplis vers
l’objectif fixé. Par ailleurs, le brûlage systématique sera banni des nouveaux projets de mise
en valeur des gisements pétroliers. Les gouvernements mettront en place un cadre
opérationnel propice aux investissements et au développement de marchés énergétiques
efficaces.
« Tandis que nous dirigeons vers l’adoption d’un nouvel accord international significatif sur
le climat à Paris en décembre, ces pays et ces entreprises font la démonstration d’une
véritable action climatique », déclare le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon. « La
réduction des gaz torchés peut contribuer sensiblement à l’atténuation du changement
climatique. J’invite toutes les sociétés et tous les pays producteurs de pétrole à se joindre à
cette importante initiative ».
La Banque mondiale travaille sur ce dossier depuis 15 ans en tant que membre fondateur du
Partenariat mondial pour la réduction des gaz torchés (GGFR). Elle collabore avec ses
partenaires au sein du GGFR et de l’initiative Énergie durable pour tous des Nations Unies
(SE4All) pour accroître l’utilisation du gaz associé en facilitant l’élimination des obstacles
techniques et réglementaires à la réduction du torchage de gaz.
Les gouvernements et compagnies pétrolières qui n’ont pas encore apporté leur soutien à
l’initiative procèdent actuellement à un examen complet de leurs activités de torchage de gaz.
On prévoit qu’un grand nombre d’entre eux adhéreront à l’initiative dans les mois à venir.
Les entités suivantes (classées selon la date à laquelle leur adhésion a été reçue) ont souscrit à
l’initiative Zero Routine Flaring by 2030.
COMMENT PLACER L’AFRIQUE AU CŒUR DES CHAÎNES
DE VALEUR MONDIALE
Source : www.worldbank.org du 18/04/2015 (article)
LES POINTS MARQUANTS
• Le 16 avril, une table ronde s’est intéressée aux solutions permettant de mieux
intégrer des entreprises africaines au commerce mondial.
• Un panel réunissant ministres des finances, entrepreneurs et professionnels du
développement a évoqué l’intégration régionale, les infrastructures, la responsabilité
sociale des entreprises et les investissements.
10
Dossier
• Les participants ont convenu qu’outre l’aide internationale, des solutions locales
étaient indispensables pour placer l’Afrique au cœur des chaînes de valeur mondiales.
Quels sont les freins à l’intégration des entreprises africaines dans un commerce mondial en
croissance ? Qu’attendre de cette intégration ? Tel était le thème de la conférence intitulée
« L’Afrique au cœur de la chaîne de production mondiale » organisée le 16 avril à
Washington, lors des Réunions de printemps du Groupe de la Banque mondiale et du Fonds
monétaire international.
Représentants gouvernementaux, chefs d’entreprises et autres acteurs des secteurs public et
privé se sont penchés sur de multiples enjeux, allant de l’intégration régionale à la nécessité
d’examiner avec attention les contrats commerciaux.
La conférence était animée par Hubert Danso, directeur général et vice-président d’Africa
investor (Ai), et dirigée par Anabel Gonzalez, directrice principale du pôle Commerce et
compétitivité du Groupe de la Banque mondiale.
Cette dernière a relevé le consensus sur le fait que l’Afrique devait s’intégrer dans l’économie
mondiale, tout en soulignant l’existence de trajectoires diverses pour y parvenir : « Certes,
nous partageons la même vision, mais la question de sa concrétisation est autrement plus
complexe ».
Mukhisa Kituyi, secrétaire général de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le
développement, a pour sa part recommandé aux pays d’investir dans le savoir et de favoriser
les partenariats public-privé, en insistant sur l’importance de la responsabilité sociale des
entreprises pour la croissance économique en Afrique, sur le plan des infrastructures mais
aussi en matière d’investissements.
Parmi les représentants des pouvoirs publics, le ministre malien des Finances et de
l’Économie, Mamadou Igor Diarra, a expliqué comment son pays était parvenu à structurer la
filière de production du coton dans l’optique d’améliorer les capacités et d’accroître la
production nationale.
La ministre capverdienne des Finances et de l’Administration publique Christina Duarte a
interpellé les participants sur la nécessité de « raconter autrement l’enjeu des chaînes de
valeur mondiales », en appelant ses homologues africains à faire montre d’initiative, de vision
et de responsabilité, et à veiller à ce que la création de valeur ajoutée reste sur le continent.
Selon elle, les États africains devraient nouer des partenariats plus équitables avec les
multinationales, ce qui exige du secteur public qu’il soit plus vigilant : « Combien de contrats
11
Dossier
ont-ils été mis en péril parce que nos personnels n’avaient pas étudié dans le détail toutes
leurs clauses ? ».
Solomon Asamoah, vice-président pour les infrastructures, le secteur privé et l’intégration
régionale à la Banque africaine de développement, a incité les États à œuvrer en faveur de la
constitution d’un secteur privé solide, tout en faisant preuve de discernement vis-à-vis de ses
sollicitations.
« Je dis toujours aux différents ministres que je rencontre : ‘Prêtez une oreille très attentive au
secteur privé. Ne leur donnez pas ce qu’ils réclament, mais ce dont ils ont besoin’ », a-t-il
précisé.
Du côté du secteur privé, le fondateur du Mara Group et de la Mara Foundation, Ashish
Thakkar, a souligné que la réussite d’une chaîne de valeur mondiale résidait dans l’association
de « ce qu’il y a de mieux au niveau mondial et au niveau local ». Ce « serial entrepreneur »,
qui a grandi au Royaume-Uni et en Ouganda, construit une usine de fabrication de vitres de
verre au Nigéria, qui deviendra seulement la deuxième sur le continent, après l’usine située en
Afrique du Sud. Il a exhorté les pays à remédier aux faillites récurrentes chez les petites
entreprises et à utiliser ce vivier pour la création d’emplois formels.
En guise de conclusion, Anabel Gonzalez a insisté sur l’importance de développer des
solutions conçues sur le terrain. Selon elle, le rôle du Groupe de la Banque mondiale et des
autres institutions de développement est d’aider les dirigeants nationaux à mettre en œuvre les
mesures à leur portée pour stimuler et conserver la création de valeur ajoutée en Afrique.
« Notre rôle primordial est de soutenir des modèles de développement locaux », a-t-elle
conclu.
L’URBANISATION, SOURCE DE CROISSANCE ET DE
PROSPÉRITÉ PARTAGÉE EN AFRIQUE
Source : www.worldbank.org du 22/04/2015 (article)
LES POINTS MARQUANTS
• L’Afrique subsaharienne est l’une des régions les plus dynamiques au monde
• L’urbanisation est une composante essentielle de la croissance de la région
• Un séminaire récent s’est intéressé aux défis et opportunités découlant de ce
phénomène pour des villes africaines en plein essor
Lors d’un récent séminaire, des experts se sont penchés sur l’opportunité gigantesque qu’est
l’urbanisation pour l’Afrique tout en insistant sur la nécessité de bâtir des villes résilientes et
12
Dossier
adaptées au contexte africain sachant que, dans dix ans à peine, 600 millions d’Africains
seront des citadins, soit l’équivalent de la population actuelle du Nigéria.
La session « L’urbanisation, source de croissance et de prospérité partagée en Afrique »,
organisée pendant les Réunions de printemps du Groupe de la Banque mondiale et du FMI, a
été conduite par la Région Afrique de la Banque mondiale en concertation avec le pôle
Développement social, urbain et rural, et résilience des Pratiques mondiales. La présentation
des conclusions de travaux de recherche récents, étayée notamment par des images satellites
diurnes et nocturnes, a permis d’ouvrir un dialogue et d’informer les décideurs politiques sur
le phénomène de l’urbanisation.
« L’Afrique est la région du monde où l’urbanisation est la plus rapide », a souligné Makhtar
Diop, vice-président de la Banque mondiale pour l’Afrique. « Notre capacité à profiter de
cette opportunité dépend de notre efficacité à résoudre les problèmes. »
Ede Ijjasz-Vasquez, chef au pôle Développement social, urbain et rural, et résilience des
Pratiques mondiales, a rappelé qu’« aucune économie n’était passée du statut de pays à faible
revenu à celui de pays à revenu intermédiaire sans une phase d’urbanisation. L’urbanisation
est une composante essentielle de la croissance et la clé pour extraire des populations et des
pays entiers de la pauvreté. »
Les membres du panel ont fait part de leur expérience sur la question, à commencer par JeanPierre Mbassi, secrétaire général de l’Organisation panafricaine Cités et gouvernements
locaux unis d’Afrique (CGLUA), Abdourahmane Cissé, ministre du budget de Côte d’Ivoire,
ou Mukhisa Kituyi, secrétaire général de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et
le développement, rejoints par des intervenants comme Ede Ijjasz-Vasquez, Paul Collier,
professeur d’économie à l’université d’Oxford ou Marianne Fay, économiste en chef pour le
changement climatique à la Banque mondiale.
Les discussions ont tourné autour d’enjeux clés, depuis la création d’emplois dans le secteur
commercial au financement des immenses besoins en services et infrastructures. Les
interventions ont souligné la nécessité d’améliorer l’aménagement du territoire, pour
rapprocher les individus des emplois, grâce à des logements financièrement accessibles et des
systèmes de transport efficaces.
Forte d’un taux d’urbanisation de 40 %, l’Afrique n’en est qu’au début de sa transformation
urbaine — même si certains habitants évoquent les difficultés du quotidien dans une
vidéo présentée pendant l’événement. Il s’agit d’un extrait d’un documentaire à venir sur
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Dossier
l’urbanisation en Afrique produit par l’organisation caritative Discovery Learning Alliance
pour de jeunes étudiants.
« Aucune économie n’était passée du statut de pays à faible revenu à celui de pays à revenu
intermédiaire sans une phase d’urbanisation. L’urbanisation est une composante essentielle
de la croissance et la clé pour extraire des populations et des pays entiers de la pauvreté. »
Ede Ijjasz-Vasquez, Chef au pôle Développement social, urbain et rural, et résilience
des Pratiques mondiales
L’événement a fait salle comble, avec plus de 200 participants représentant des
gouvernements de pays développés et en développement, des instituts de recherche et des
organisations internationales. Une retransmission en direct sur le web, en anglais et en
français, et un fil sur Twitter ont permis à des individus du monde entier de prendre part à un
débat qui a suscité énormément d’intérêt.
La gestion de l’urbanisation est un défi particulièrement complexe, du fait de son rythme et de
son ampleur - mais particulièrement en Afrique où ce phénomène touche des pays ayant des
niveaux de revenu inférieurs aux régions qui sont passées par là avant le continent.
Cet événement s’inscrit dans une volonté de la Banque mondiale de mieux comprendre l’essor
des villes en Afrique à travers de nouvelles recherches et d’évaluer les décisions politiques
susceptibles d’assurer une saine gestion de cette urbanisation au service d’une croissance
durable et sans exclus.
Actuellement, la Banque mondiale prépare des études régionales sur le développement spatial
urbain, le logement et l’environnement des villes, parallèlement à huit travaux consacrés à
l’urbanisation en Afrique. Ces analyses viendront informer et orienter les choix des décideurs,
à l’échelle des pays et des villes, qui doivent appréhender de manière stratégique les
opportunités découlant de l’urbanisation et surmonter les obstacles liés à ce phénomène.
La Banque mondiale soutient les gouvernements africains dans cette entreprise.
À Nairobi comme Accra, la Banque mondiale contribue à l’amélioration de la gestion urbaine
et de la délivrance des services, à travers une série de projets consacrés à l’aménagement des
villes et aux transports, aux systèmes de collecte et d’enfouissement des déchets solides, à la
distribution de l’eau et aux réseaux et équipements d’assainissement.
En Tanzanie et en Ouganda, elle soutient l’essor des villes secondaires grâce à des
programmes couvrant plusieurs villes et plusieurs secteurs afin de contribuer à des
investissements pour renforcer la productivité et les institutions et optimiser les capacités de
gouvernance, de prestation de services et de responsabilité.
14
Appels d’offres
Avis d’appel d’offres pour pré qualification des bureaux de consultant pour le suivi et
contrôle des travaux de réhabilitation et modernisation du Poste de dispersion d'Inga
(PDI)
Financement : Gouvernement allemand
Responsable : BCECO
Date d’ouverture : 22 mai 2015
Tél. : +243 81 70 05 428
Email : [email protected] - [email protected] - [email protected] [email protected]
Site web : www.kfw.de
Adresse : 2831, Avenue de la Justice, Kinshasa / Gombe
Avis d’appel d’offres pour fourniture de quatre (04) véhicules Jeep 4x4 pour les
Coordinations Provinciales
Financement : IDA et DFID
Responsable : COREF
Date d’ouverture : 25 mai 2015
Tél. : +243 81 31 92 957 – +243 97 56 40 114 – +243 84 44 79 320
Email : [email protected] - [email protected]
Adresse : 6, Avenue Comité Urbain, Kinshasa / Gombe
Avis d’appel d’offres pour monitorage tierce partie dans la mise en œuvre du
programme «Villages et Ecoles assainies »
Responsable : UNICEF
Date d’ouverture : 25 mai 2015
Email : [email protected][email protected]
Adresse : 372, Avenue Colonel Mondjiba, Concession Immotex, Kinshasa / Ngaliema
Avis d’appel d’offres pour travaux de reconstruction et de modernisation de l’Ecole
primaire Kabinda
Financement : PRRIS
Responsable : COREF
Date d’ouverture : 25 mai 2015
Tél. : +243 81 31 92 957 – +243 97 56 40 114 – +243 84 44 79 320
Email : [email protected] - [email protected]
Adresse : 6, Avenue Comité Urbain, Kinshasa / Gombe
Avis d’appel d’offres pour travaux de reconstruction et de modernisation de l’Ecole
primaire Kabinda
Financement : PRRIS
Responsable : BCECO
Date d’ouverture : 26 mai 2015
Tél. : +243 81 51 36 729 – +243 15 12 64 50
Email : [email protected] - [email protected] - [email protected] - [email protected]
Adresse : 372, Avenue Colonel Mondjiba, Concession Utexafrica, Galeries Saint Pierre,
Local 301, Kinshasa / Ngaliema
Avis d’appel d’offres pour acquisition de soixante (60) motos pour les Régies financières
Financement : IDA et DFID
Responsable : COREF
Date d’ouverture : 28 mai 2015
Tél. : +243 81 31 92 957 – +243 97 56 40 114 – +243 84 44 79 320
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Appels d’offres
Email : [email protected] - [email protected]
Adresse : 6, Avenue Comité Urbain, Kinshasa / Gombe
Avis d’appel d’offres pour fourniture de matériels informatiques pour les cinq (5) stades
municipaux en construction
Financement : PRRIS
Responsable : BCECO
Date d’ouverture : 28 mai 2015
Tél. : +243 81 51 36 729 – +243 15 12 64 50
Email : [email protected] - [email protected] - [email protected] - [email protected]
Adresse : 372, Avenue Colonel Mondjiba, Concession Utexafrica, Galeries Saint Pierre,
Local 301, Kinshasa / Ngaliema
Avis d’appel d’offres pour travaux de réhabilitation de la Direction Générale de
l’Institut National de la Statistique et du Centre Provincial de Production des
Statistiques (CPPS)
Financement : FAD
Responsable : PAI-STATFIN
Date d’ouverture : 29 mai 2015
Tél. : +243 81 604 81 81 - +243 97 50 17 275
Email : [email protected]
Adresse : 14, Avenue Milambo, Q/Socimat, Kinshasa/Gombe, (réf. : Rond-point Safricas)
Avis d’appel d’offres pour fourniture de matériels et équipements médicaux pour les
cinq (5) stades municipaux en construction
Financement : PRRIS
Responsable : BCECO
Date d’ouverture : 28 mai 2015
Tél. : +243 81 51 36 729 – +243 15 12 64 50
Email : [email protected] - [email protected] - [email protected] - [email protected]
Adresse : 372, Avenue Colonel Mondjiba, Concession Utexafrica, Galeries Saint Pierre,
Local 301, Kinshasa / Ngaliema
Avis d’appel d’offres pour fourniture d'un minibus de quinze (15) places assises pour le
Ministère de la Jeunesse, Sports et Loisirs
Financement : PRRIS
Responsable : BCECO
Date d’ouverture : 28 mai 2015
Tél. : +243 81 51 36 729 – +243 15 12 64 50
Email : [email protected] - [email protected] - [email protected] - [email protected]
Adresse : 372, Avenue Colonel Mondjiba, Concession Utexafrica, Galeries Saint Pierre,
Local 301, Kinshasa / Ngaliema
Avis d’appel d’offres pour fourniture de mobiliers de bureau pour les cinq (5) stades
municipaux en construction
Financement : PRRIS
Responsable : BCECO
Date d’ouverture : 28 mai 2015
Tél. : +243 81 51 36 729 – +243 15 12 64 50
Email : [email protected] - [email protected] - [email protected] - [email protected]
Adresse : 372, Avenue Colonel Mondjiba, Concession Utexafrica, Galeries Saint Pierre,
Local 301, Kinshasa / Ngaliema
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Echos du Congo
KATANGA : AVEC LE VENT DE MONOPOLE SUR LE
CIMENT ET LA CHAUX QUI MENACE DE SOUFFLER SUR
LA PROVINCE CUPRIFÈRE, LE CLIMAT DES AFFAIRES
MENACÉ
Source : www.mediacongo.net (Forum des As, via mediacongo.net – 22/04/2015)
Au Katanga, dans les milieux proches des investisseurs miniers, on tire déjà la sonnette
d’alarme. Car, indique-t-on, le climat des affaires est sérieusement menacé. En cause, un
monopole sur le ciment et la chaux en faveur de la cimenterie de Kakontwe, près de la ville de
Likasi. D’ailleurs, confient des sources, une réunion devrait se tenir peut-être ce jour entre
l’un des actionnaires de cette cimenterie, Philippe de Moerloose, et les acteurs miniers. On
craint surtout même qu’au centre de la rencontre, la mauvaise nouvelle ne soit au rendezvous. D’où, l’alerte. On s’interroge, dès lors, sur la position du Premier ministre Augustin
Matata Ponyo sur la question, ainsi que celle de la FEC (Fédération des Entreprises du
Congo), de l’Assemblée provinciale du Katanga …
Mais, que se passe-t-il donc ? A en croire nos sources, la cimenterie de Kakontwe, où la
Gécamines détiendrait 30%, tandis que les 70% seraient répartis entre Philippe de Moerloose,
le patron du groupe Bazano et un troisième partenaire qui agirait comme couverture, avait
promis de produire 5.000 à 10.000 tonnes par mois. Après avoir repris la cimenterie, ces
investisseurs se seraient engagés à mettre en jeu près de 300 millions USD, dont 30 millions
USD immédiatement.
En échange, ils auraient réclamé le monopole de livraison du ciment et de la chaux aux
entreprises minières du Katanga. Mais, déplore-t-on, jusqu’ici, c’est seulement 250.000 USD
qui ont été investis. Déjà, à ce niveau, des observateurs se rendent compte que des millions
USD promis dans l’immédiat ne sont toujours pas au rendez-vous.
DU MONOPOLE DE PRODUCTION À CELUI DES IMPORTATIONS DU CIMENT
ET DE LA CHAUX
Mais, là où le bât blesse, c’est lorsque dans les milieux des investisseurs miniers, on avance
que le ciment de la cimenterie de Kakontwe serait plutôt de mauvaise qualité. Ce qui,
logiquement, pousserait à s’approvisionner ailleurs. Surtout que la cimenterie porte une
certaine coloration identitaire et ce, au profit de l’étranger jusqu’à ce que les emplois revenant
aux Congolais soient pris par d’autres. Et, chose curieuse, poursuivent nos sources, Philippe
de Moerloose et compagnie souhaiteraient alors que toute importation des produits (ciment et
chaux) passe par eux.
Dès lors, pas question pour les entreprises minières de s’approvisionner ailleurs, comme
l’exige la concurrence en la matière. Or, le besoin de la province du Katanga, renseigne-t-on,
est de 30.000 tonnes par mois.
Pourtant, avec le monopole, on l’a déjà vu à plusieurs reprises en RDC, les opérateurs font
monter les prix à leur guise, surtout lorsqu’on connaît le besoin en ciment et chaux des
entreprises minières du Katanga comme Glencor, Tenke Fungurume mining, Sicomines,
Mutanda mining … C’est donc là que la communication de Philippe de Moerloose est très
redoutée.
On suppose qu’il serait en fait question d’annoncer la pilule amère pour les entreprises
minières du Katanga. Ce genre d’investissement, craint-on, risquerait de prendre la vie des
17
Echos du Congo
entreprises en otage là où le secteur minier constitue, jusqu’à preuve du contraire, le premier
contributeur au budget de l’Etat en RDC. Ce qui porterait un coup fatal au climat des affaires
et des investissements en RD Congo. A cette allure, s’interrogent bon nombre d’observateurs,
où est passée la transparence et qui veut réellement s’attirer la faveur de l’Etat ?
LE GOUVERNEMENT CENTRAL, L’ASSEMBLÉE PROVINCIALE DU KATANGA,
LA FEC … INTERPELLENT
Ce monopole du ciment et de la chaux, se demandent les observateurs, ne naviguera-t-il pas à
contrecourant de l’assainissement du climat des affaires et des investissements pour lequel le
chef de l’Etat et le Premier ministre s’investissent tant afin d’améliorer l’image de la RDC en
la matière ? Car, il est question de rassurer les investisseurs qui se consacrent au Congo afin
de pousser d’autres à leur emboîter le pas. Or, lorsque le climat des affaires et des
investissements est menacé, cela peut ouvrir la voie à une mauvaise publicité. Car, le
monopole n’a plus du tout droit de cité avec le vent de la libéralisation qui souffle déjà dans
presque tous les secteurs de la vie. Qui encourage la cimenterie de Kakontwe dans cette voie ?
Voilà qui préoccupe les entreprises minières de la Province du Katanga.
C’est là que le Gouvernement central, dirigé par le Premier ministre Augustin Matata Ponyo,
le seul à délivrer un arrêté dans ce sens, l’Assemblée provinciale qui devrait veiller, grâce à
son contrôle à côté du gouvernement provincial, au climat des affaires et des investissements
dans la province cuprifère et aux différentes tensions pouvant découler d’une mauvaise
approche, ainsi que la FEC (Fédération des Entreprises du Congo) et le syndicat devraient
s’investir pour prévenir tout mauvais climat en RDC.
En Namibie, des entreprises ont fermé leurs portes. On ne peut pas imposer aux entreprises
minières alors que l’heure est à la libéralisation. Le patron de la FEC et par ailleurs président
du Conseil d’administration de la Gécamines, n’ignore pas ce b.a.-ba du libéralisme et donc
de la liberté d’entreprendre.
MINERAIS DU SANG EN RDC : NÉGLIGENCE
ENTREPRISES AMÉRICAINES, SELON UN RAPPORT
DES
Source: www.mediacongo.net (AFP / MCN, via mediacongo.net – 23/04/2015)
Les entreprises américaines négligent leurs obligations destinées à éviter qu'elles ne financent
les parties en conflit dans l'Est de la République démocratique du Congo en commercialisant
des produits fabriqués à partir de minerais du sang, selon un rapport publié mercredi 22 avril.
La plupart des entreprises semblent préférer agir comme si de rien n'était plutôt que de
combattre véritablement le risque de voir leurs achats de minerais financer des groupes armés,
écrivent l'organisation de défense des droits de l'homme Amnesty International et Global
Witness, ONG de lutte contre le pillage des ressources naturelles des pays pauvres, dans un
communiqué accompagnant cette étude.
C'est alarmant, ajoutent les deux ONG, qui ont entrepris de vérifier l'application d'un des
volets de la loi américaine de réforme de la finance promulguée en 2010 (Dodd-Frank Act).
Cette section sur les minerais du sang (or, étain, coltan, tungstène) est entrée en vigueur en
2014 et impose aux sociétés cotées aux États-Unis de divulguer aux autorités de régulation
18
Echos du Congo
boursière américaines si elles emploient ces matières premières, et, le cas échéant, de leur
notifier si elles ont utilisé de tels matériaux extraits de la RDC ou de ses neuf pays voisins.
Les entreprises doivent dévoiler les mesures de contrôle qu'elles prennent pour s'assurer, à
terme (la réglementation leur donne deux à quatre ans pour le faire en fonction de leur taille),
que les minerais à risque qu'elles utilisent ne sont pas liés au conflit en RDC.
Selon Amnesty International et Global Witness, plus de mille sociétés américaines sont
concernées par ces nouvelles règles. Les deux organisations en ont retenu cent, dont elles ont
passé au crible les déclarations déposées en 2014 à la commission des opérations de bourse
américaine (SEC).
Leur rapport estime que 79% de ces entreprises n'ont pas répondu aux exigences minimales de
la loi américaine sur les minerais du sang, et que 16% seulement sont allées enquêter plus loin
que leurs fournisseurs directs pour entrer en contact ou tenter d'entrer en contact avec les
fonderies ou les entreprises de raffinage qui traitent ces minerais.
L'Est de la RDC est déchiré depuis plus de vingt ans par des conflits ethniques, fonciers ou
identitaires auxquels se mêlent des considérations ou des intérêts politiques d'ordre national
ou régional.
La plupart des belligérants tirent profit de l'exploitation ou du trafic des minerais dont regorge
la zone.
Ceux visés par la loi Dodd Frank sont des composants essentiels des produits électroniques
modernes, comme les téléphones portables.
Les dispositions de ce texte sur les minerais du sang ont été combattues fermement par les
milieux d'affaires aux États-Unis, qui se sont élevés contre des mesures qu'ils présentaient
comme trop coûteuses ou trop lourdes à mettre en œuvre.
AU CONGO, LA LOI EST À L’ORIGINE D’UNE POLÉMIQUE
Dans une lettre ouverte publiée en septembre, 70 chercheurs, hommes politiques ou
responsables d'ONG, estiment qu'au lieu d'arranger les choses, la loi Dodd-Frank a eu un
certain nombre de conséquences non intentionnelles et dommageables.
Entre autre travers, la loi Dodd-Frank a poussé selon eux certains acheteurs internationaux à
se conformer à la législation en se retirant du Congo du fait de l'absence de système de
traçabilité fiable. Conséquence écrivent-ils : des milliers de mineurs se retrouvent sans gagnepain, ce qui en fait des recrues de premier choix pour des groupes armés.
Contre les partisans de la loi, pour qui celle-ci ferait déjà sentir ses effets bénéfiques, ils font
valoir que les minerais aident à perpétuer les conflits mais qu'ils n'en sont pas la cause.
LA RDC SE CLASSE 17ème EN AFRIQUE POUR LE WORLD
HAPINESS REPORT 2015 DEVANT CERTAINS PAYS LES
PLUS DÉVELOPPÉS DU CONTINENT
Source: www.mediacongo.net (Agence Ecofin / MCN, via mediacongo.net – 27/04/2015)
Directeur du Earth Institute, conseiller spécial à l’ONU, professeur à la Columbia University
et auteur à succès, Jeffrey D. Sachs vient de produire son 3e Rapport sur le bonheur mondial
avec ses partenaires John Helliwell et Richard Layard.
19
Echos du Congo
158 pays ont été sondés selon une série de critères relativement objectifs tels que le revenu
par habitant, la santé, les services sociaux, les libertés, la générosité ou encore le niveau de
confiance dans les autorités. D’autres critères plus subjectifs ont été pris en compte tels que
le sentiment de sécurité, l’inquiétude, le stress, la colère, etc.
L’étude porte sur la période de 2012 à 2014. Certes, la méthode, voire le principe de mesurer
le bonheur, reste discutable. Mais dès lors que cette étude a appliqué, pour chaque pays, les
mêmes outils de mesure, les comparaisons ne sont pas dénuées d’intérêt et les résultats sont
souvent aux antipodes des idées reçues.
Ainsi, sur les 45 pays africains étudiés, le peuple le plus heureux, selon le rapport, serait la
Libye, que l’actualité présente chaque jour comme un pays à feu et à sang. En seconde
position vient l’Algérie, suivie de Maurice. Le Maroc, en dépit de ses incontestables progrès
économiques ne figure qu’en 7e position, juste derrière l’état non-reconnu du Somaliland.
Le pays le plus développé du continent, l’Afrique du Sud ne se classe qu’en 12e place. La
Côte d’Ivoire et le Rwanda, dont on célèbre sans réserves le miracle économique, sont en
queue de peloton, respectivement 40e et 42e. Le Bénin, le Burundi et le Togo ferment la
marche africaine.
Au niveau international, sur les 158 pays sondés, la Suisse se classe en tête, suivie de
l’Islande, du Danemark, de la Norvège et du Canada. Les USA sont 15e, la France 29e, la
Chine 84e.
CLASSEMENT DES 45 PAYS AFRICAINS MESURÉS PAR LE WFR 2015 :
1. Libya (5.754)
2. Algeria (5.605)
3. Mauritius (5.477)
4. Nigeria (5.268)
5. Zambia (5.129)
6. Somaliland region (5.057)
7. Morocco (5.013)
8. Mozambique (4.971)
9. Lesotho (4.898)
10. Swaziland (4.867)
11. Tunisia (4.739)
12. South Africa (4.642)
13. Ghana (4.633)
14. Zimbabwe (4.610)
15. Liberia (4.571)
16. Sudan (4.550)
17. Rép. Dém. du Congo (Kinshasa) (4.517)
18. Ethiopia (4.512)
19. Sierra Leone (4.507)
20. Mauritania (4.436)
21. Kenya (4.419)
20
Echos du Congo
22. Djibouti (4.369)
23. Botswana (4.332)
24. Malawi (4.292)
25. Cameroon (4.252)
26. Egypt (4.194)
27. Angola (4.033)
28. Mali (3.995)
29. Congo (Brazzaville) (3.989)
30. Comoros (3.956)
31. Uganda (3.931)
32. Senegal (3.904)
33. Gabon (3.896)
34. Niger (3.845)
35. Tanzania (3.781)
36. Madagascar (3.681)
37. Central African Republic (3.678)
38. Chad (3.667)
39. Guinea (3.656)
40. Côte d’Ivoire (3.655)
41. Burkina Faso (3.587)
42. Rwanda (3.465)
43. Benin (3.340)
44. Burundi (2.906)
45. Togo (2.839)
BOUIS HOWART DE HARVEST À KINSHASA POUR
TRAITER DES QUESTIONS AGRICOLES
Source : www.mediacongo.net (ACP / MCN, via mediacongo.net – 30/04/2015)
Bouis Howarth, directeur et membre du comité exécutif Harvest séjourne depuis mercredi 29
avril à Kinshasa, ou il s’entretiendra avec le Premier ministre Augustin Matata Ponyo sur des
questions liées aux volets alimentaire et nutritionnel des populations congolaises, indique la
représentation de Harvest Plus dans la capitale congolaise.
M. Howarth va rencontrer également les partenaires nationaux et internationaux qui œuvrent
dans les secteurs de l’agriculture et de la santé humaine, durant son séjour de deux jours à
Kinshasa. Son programme prévoit aussi des rencontres avec L’Agence américaine pour le
développement international (USAID), l’ambassade de Canada et de la Belgique en RDC.
M. Howarth, indique-t-on, jouit d’une expérience avérée en économie agricole et détient une
maitrise et un doctorat de l’Institut de recherche alimentaire de l’Université de Stanford, aux
USA.
21
Echos du Congo
Depuis 1993, il s’est lancé dans la promotion de la bio fortification de certaines denrées
alimentaires, en vue de la sécurité. Ses recherches ont porté sur la compréhension de la façon
dont les facteurs économiques influent sur les résultats de la demande alimentaire et de
nutrition en Asie.
Harvest Plus est programme mondial qui mène ses activités, en collaboration avec des centres
de recherche agricole nationaux et internationaux, sur le développement des variétés bio
fortifiées des principales cultures vivrières.
La bio fortification est une des stratégies intégrées et multisectorielles pour améliorer la
nutrition et le bien-être des populations. Harvest Plus est, en outre, membre du Groupe
consultatif pour la recherche agricole internationale (CGIAR) et est coordonné par le Centre
international d’agriculture tropicale (CIAT) et l’Institut international de recherche sur les
politiques alimentaires (IFPRI).
En RDC, les travaux de Harvest Plus sont actuellement concentrés sur le manioc riche en
provitamine A et le haricot riche en fer. Ces variétés bio-fortifiées de manioc et de haricot
sont inscrites dans le catalogue national publié par le ministère de l’Agriculture, de la Pêche et
de l’Elevage. Elles sont en cours de dissémination auprès des bénéficiaires, en partenariat
avec les organisations locales.
22
Echos de l’Etranger
LA BELGIQUE VA SPONTANÉMENT COMMUNIQUER SES
RULINGS FINANCIERS
Source : www.lalibre.be (BELGA du 19/04/2015)
La Belgique va échanger spontanément les informations qui concernent les rulings financiers
conclus depuis le 1er janvier 2015, a décidé le ministre des Finances Johan Van Overtveldt,
indique mercredi De Standaard. « La Belgique échangera les informations concernant tous ses
rulings, mais uniquement à la demande d'un autre Etat membre de l'Union européenne »,
indique le ministre. « Il est temps de donner un coup d'accélérateur. C'est pourquoi j'ai pris
l'initiative d'autoriser l'échange spontané de rulings, à la demande d'un autre Etat membre. »
Un ruling est un accord conclu entre une entreprise et une administration fiscale. M. Van
Overtveldt a demandé à son administration de mettre en place d'ici la fin septembre une
instruction modèle à propos de l'échange spontané.
Le Commissaire européen Pierre Moscovici avait édicté en mars dernier une proposition de
directive prévoyant une obligation pour les Etats membres de partager leurs informations avec
leurs collègues européens sur tous les rescrits fiscaux (tax rulings) qu'ils concluent avec des
entreprises. Ces rescrits fiscaux sont des informations fournies aux entreprises qui le
demandent sur la manière dont leurs transactions seront traitées fiscalement à l'avenir.
Ces traitements favorables font partie des techniques d'optimisation fiscale pour diminuer le
montant d'impôts payé, des techniques légales, contrairement à l'évasion et à la fraude fiscale,
mais qui engendrent une concurrence fiscale entre les Etats et augmentent la pression fiscale
sur d'autres bases fiscales moins mobiles.
LE PIB BELGE EN CROISSANCE TRIMESTRIELLE DE 0,3%
Source : www.lalibre.be (BELGA du 29/04/2015)
Le produit intérieur brut (PIB), en volume et corrigé des variations saisonnières et des effets
de calendrier de la Belgique, a connu une croissance de 0,3% au premier trimestre 2015 par
rapport au trimestre précédent, selon une estimation « flash » publiée mercredi par l'Institut
des comptes nationaux (ICN). A un an d'écart, la croissance du PIB atteint 0,9%. Lors du
dernier trimestre de 2014, l'activité économique avait progressé de 0,2% par rapport au
trimestre précédent et d'1% à un an d'écart.
Au quatrième trimestre, par rapport au trimestre précédent, la valeur ajoutée s'est accrue dans
la construction (+0,6%) et dans les services (+0,3%) mais elle s'est repliée dans l'industrie (0,3%).
La demande intérieure (hors stocks) a baissé de 0,9% alors que les exportations nettes de
biens et de services ont contribué positivement à la croissance du PIB (+1,2 point de
pourcentage).
Sur l'ensemble de l'année 2014, le PIB en volume corrigé des effets de calendrier a finalement
affiché une croissance d'1,1% (contre 1% estimé précédemment), après avoir enregistré une
hausse de 0,3% en 2013 et de 0,1% en 2012, poursuit l'ICN.
23
Echos de l’Etranger
Dans le détail, la valeur ajoutée dans l'industrie a progressé d'1,9% en 2014, contre une baisse
de 0,7 % en 2013. Un revirement positif a également été observé dans la construction, avec
une augmentation de 3,2% en 2014, contre un recul d'1,3% en 2013. La valeur ajoutée des
services a aussi présenté une croissance positive de 0,7%, comparable à celle enregistrée en
2013, indique encore l'ICN.
La demande intérieure hors stocks a augmenté d'1,9% en 2014. Quant aux exportations nettes
de biens et de services, elles ont apporté une contribution de 0,2 point de pourcentage à la
croissance du PIB en 2014. Enfin, la contribution des variations des stocks à la croissance du
PIB s'est chiffrée à -1,0 point de pourcentage en 2014, contre -0,7 point de pourcentage en
2013.
En 2014, l'emploi a progressé de 0,4% (+17.700 personnes), après avoir diminué de 0,3% (12.400 personnes) au cours de l'année précédente.
L’INFLATION POSITIVE POUR LA PREMIÈRE FOIS EN 6
MOIS
Source : www.trendse.be (Trends Tendances / BELGA du 29/04/2015)
En avril, l'inflation est passée de -0,40 à 0,29%, renouant avec des valeurs positives pour
la première fois en 6 mois. L'indice santé, lui, progresse de 0,39 point et atteint 101,12
points, annonce mercredi la SPF Economie.
Cette forte hausse est « principalement la conséquence de la dissipation de l'effet de la
réduction de la TVA sur l'électricité (de 21 à 6% en avril 2014) sur l'inflation. L'augmentation
des prix des légumes avec le début de la nouvelle saison joue aussi un rôle », précisent les
autorités.
Par ailleurs, l'indice des prix à la consommation s'élève, en avril, à 100,70 points, en progrès
de 0,38%, l'inflation sur base de l'indice santé passant de -0,06 à 0,68%.
« La hausse de l'indice s'explique principalement par l'augmentation des prix des légumes
(+12%), des voyages à l'étranger (+6,4%), des fruits (+8,1%), des séjours en villages de
vacances (+7,3%) et des livres (+4,2%). La baisse des prix du gaz naturel (-3,5%), de
l'électricité (-1,7%) et du gasoil de chauffage (-1,5%) a permis de compenser partiellement
ces différentes hausses de prix », poursuit le SPF Economie qui rappelle par ailleurs qu'en
vertu de la loi votée le 23 avril dernier, qui organise concrètement le saut d'index, l'indice
santé lissé est bloqué au niveau de mars 2015 (100,66 points) et le restera « tant que la
moyenne arithmétique des indices santé des 4 derniers mois, multipliée par un facteur de 0,98,
ne dépasse pas le niveau de mars 2015 ».
Enfin, l'indice-pivot pour la fonction publique et les allocations sociales, fixé à 101,02 points,
n'est pas dépassé ce mois-ci, son dernier dépassement remontant à novembre 2012.
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