Compte-rendu, cahier de laboratoire et feuille de résultats
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Compte-rendu, cahier de laboratoire et feuille de résultats
Comptes rendus de séances, cahier de laboratoire et feuilles de résultats Trois documents doivent être rédigés et/ou complétés au cours d’une séance de TP : 1. 2. 3. 1. Le cahier de laboratoire La feuille de résultats Le compte-rendu Cahier de laboratoire 6. Toute opération réalisée doit être consignée dans le cahier de laboratoire. Il s’agit d’un cahier aux pages numérotées où chaque expérience datée y est décrite et sur lequel on reporte toutes les valeurs mesurées et calculées (masses pesées, concentrations) et où l'on détaille les calculs. 2. a. Feuille de résultats a. Courbes. b. On y consigne les masses pesées, les volumes mesurés ou déterminés, ainsi que les concentrations exprimées avec leur précision, sans détail de calculs, sous forme de tableaux. Ex. : c. i. 1. Etalonnage du sulfate de cuivre m / mg 214,2 235,8 V / mL 12,25 13,35 Ne pas oublier d’indications sur le schéma le titre (titrage de X par Y par telle technique), les axes, les échelles, les unités, les volumes d’équivalences : mettre en évidence le résultat au milieu de la feuille, par exemple V1 = 10,75 mL. Chaque point expérimental doit être représenté par une croix, la courbe doit être lissée. Sur papier millimétré : ii. C/ mmol.L-1 122,4 123,1 d. Sur ordinateur : i. C = 122,8 ± 0,5 mmol.L . -1 b. Ne pas oublier de mentionner le numéro de flacon sur la feuille de résultat. ii. 7. 3. Mesures et calculs a. b. C’est le document où l’on répond aux questions posées dans l’énoncé du TP. Le CR doit être entièrement rédigé. Dans les parties rédigées, les molécules sont appelées par leur nom plutôt que représentées par leur formule. Autres recommandations 5. La détermination de l’équivalence se fera par une technique préprogrammée, et en aucun cas par l’utilisation d’un zoom + réticule. On n'oubliera pas les indications. Compte-rendu de TP a. 4. Le graphe doit occuper toute la page : on choisira pour ceci une échelle adaptée et facile à lire (éviter les fractions en tiers du type 3 cm pour 10 mL). La courbe doit être tracée minutieusement, avec un crayon à pointe fine. Etalonnage. Lors d’un étalonnage, les masses à peser (deux masses au minimum) doivent être distinctes d’au moins 10 %. Volume d’équivalence. Le volume d’équivalence (lors d’un dosage) doit être donné en mL à 10-2. b. Masse à peser. Dans le cas d’une masse approchée, on la définit avec deux chiffres significatifs maximums : m ≈ 0,4 g ou m ≈ 0,43 g et non m = 0,4286 g. Dans le cas d’une masse précise, on se limite à la précision de la balance utilisée. Masses molaires. Utiliser la masse molaire M(X) avec deux chiffres significatifs. 8. Précision et incertitude : si la précision n’est pas donnée, on choisit en général : 0,5 % pour un étalonnage et 1 % pour un dosage. 9. Il est impératif d’utiliser les notations du polycopié. A défaut, on représente par : Ei le volume de la prise d’essai et VE i, le volume d’équivalence lu sur la burette.