Juppé et Bayrou saluent le succès de la stratégie d`alliance large au
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Juppé et Bayrou saluent le succès de la stratégie d`alliance large au
Menu ALERTE ALERTEACTU ACTU Départementales 2015 : retrouvez notre carte interactive des résultats canton par canton Juppé et Bayrou saluent le succès de la stratégie d'alliance large au centre Home LE SCAN Les verbatims Par Marc de Boni Publié le 29/03/2015 à 23:15 François Bayrou et Alain Juppé LE SCAN POLITIQUE - Selon le maire de Pau, cependant, l'UMP et le centre ne doivent pas croire que la victoire du jour est le résultat d'un vote d'adhésion. Publicité «Le Parti socialiste et le gouvernement essuient un très sévère échec au deuxième tour des élections départementales», constate ce dimanche soir le maire de Bordeaux. En relative difficulté en Aquitaine pour faire reculer la gauche, le candidat à la primaire de 2016 a salué la victoire des militants, de l'UMP et de son président Nicolas Sarkozy. Et surtout de «la stratégie d'alliance de l'UMP de l'UDI et du MoDem». Selon lui, les résultats s'expliquent par le fait que «les forces de la droite et du centre s'étaient présentées unies face à une gauche qui était, elle, profondément divisée». Un point de vue partagé un peu plus tôt par Nicolas Sarkozy, réjoui par le fait que «jamais» la droite «n'avait gagné autant de départements»: «La victoire de ce soir revient à tous ceux qui ont fait le choix du collectif», a lancé le président de l'UMP, sans pour autant mentionner le MoDem, parti auquel il voue une certaine rancune depuis 2012. Ne pas «recommencer comme avant» Le président du parti centriste a pour sa part mis en garde son allié de l'opposition contre tout triomphalisme. Selon lui, le «vote sanction» subi par le PS, n'est «pas encore» un vote d'adhésion pour la droite et le centre, qui reste à «construire». Le scrutin ne peut pas être compris comme le désir d'un «retour au passé», assure-t-il. «Ce n'est pas: on va recommencer comme avant», insiste encore François Bayrou en direction du président de l'UMP. Pour le maire de Pau, les choses sont claires, c'est la maire de Bordeaux et non le patron de la rue de Vaugirard qui dispose de la stratégie gagnante: «Alain Juppé a défendu la thèse juste: on ne changera pas la situation politique uniquement par des affrontements, par des divisions». Il faut, martèle François Bayrou, «des ententes larges, des prises en compte de sensibilités politiques différentes». De son côté, Alain Juppé a renvoyé l'hommage en saluant le basculement à droite des PyrénéesAtlantiques, le département du président du MoDem. Avant de terminer son propos par la prochaine bataille qui s'annonce: les élections régionales de décembre 2015. «Et puis bien sûr les présidentielles...», ne manque pas de souligner Alain Juppé. La rédaction vous conseille : Départementales: huit points chauds à suivre dimanche Le Nord d'ores et déjà perdu pour la gauche Marc de Boni auteur 108 abonnés Suivre Journaliste politique et vidéo pour le Scan politique du Figaro.fr, traque la turpitude politique et l'image rare jusqu'aux confins de Navarre, retrouvez-moi sur Facebook et Twitter @Marc de Boni Ses derniers articles Au PS, le difficile choix des mots de la défaite Juppé et Bayrou saluent le succès de la stratégie d'alliance large au centre Les frondeurs profitent de la débâcle pour exiger un changement de cap Recommandés pour vous L'interminable poursuite entre une tortue géante et un reporter de National Geographic video.lefigaro.fr Sur le même sujet Alain Juppé Nicolas Sarkozy François Bayrou Bordeaux Pau Pyrénées-Atlantiques UMP En larmes, Céline Dion parle du combat de son mari contre le cancer La nouvelle blague sexy (mais hilarante) de Michel Cymes video.lefigaro.fr video.lefigaro.fr Le crash de l'A320 en images de synthèse video.lefigaro.fr La vague bleue balaie la gauche, aucun département pour le FN Pour l'UMP, l'alternance commence dimanche Alliance UMP-MoDem : «J'ai gagné», lance Juppé Départementales : Sarkozy satisfait de sa stratégie Thématique : Alain Juppé Suivre Les verbatims + récents + commentés + partagés Au PS, le difficile choix des mots de la défaite Les frondeurs profitent de la débâcle pour exiger un changement de cap Manuel Valls admet une victoire «incontestable» de la droite Nicolas Sarkozy : «L'alternance est en marche, rien ne l'arrêtera» Plus d'articles Les verbatims Réagir à cet article Pour commenter cet article, veuillez vous connecter avec votre compte Mon Figaro. Connexion Publicité 20 commentaires Abonné Khander Bayrou était de droite avant hier et de gauche hier, maintenant un peu à droite mais pas trop ni trop près de la gauche non plus... ce monsieur à l'air heureux ! Le 30/03/2015 à 04:55 AlerterRépondre sanspartipris belle brochette ! La France est sauvée ... Le 30/03/2015 à 03:43 AlerterRépondre ramsa Quelle honte ! Le modem et Bayrou ont appelé a voté hollande en 2012, et les voila qui sont désormais les meilleurs amis pour les départementales ? Demain l'UMP peut s'allier aussi au PS si c'est leur intéret ! Ils ne pensent qu'a cela, leur interet, et pas celui de la France, ni des français. Le 30/03/2015 à 01:48 AlerterRépondre boiteoutil les départementals c'est petit joueur à la présidentiel on va tapper dans dur avec des débats idéologiques et le centre ump va pas faire beaucoup. Le 30/03/2015 à 01:45 AlerterRépondre azerty8 Franchement c'est pitoyable, ils n'ont rien appris une fois de plus ! Ca fait 40 ans qu'on entend les mêmes salades ! Peut on se taper sur le ventre, se congratuler lorsqu'on a cette situation électorale ? A savoir (à toutes fins utiles): - Une droite et une gauche qui une fois de plus jouent au petit jeu de une fois toi, une fois moi, - Critique d'un bilan avec l'autre partie qui dit qu'il l'a hérité de la première, - L'ennemi d'hier qui est l'ami d'aujourd'hui (ex: Bayrou), - Des programmes "bidons" qui sentent l'ersatz du parti honni (RSA contre prestations aux étrangers et assoc.), mais qui, pense t-on, vont plaire aux plus radicaux du parti, - Et le plus grave finalement ( mais chut, pas un mot, ça casse un peu le style politicien pro à l'écoute de ses administrés) un nombre de voix exprimées plus ou moins le même pour l' UD et le FN, (avec un FN qui sort de terre) et avec 51% d'abstention ! Mais bon, on va pas casser l'ambiance, tout va bien, on a gagné et la France est bleue .... attention au réveil et aux leçons qu'il est vraiment temps de tirer ! Mais là encore, ça fait 40 ans qu'on y pense et qu'on oublie ... il semble que le politicard moyen aime a se faire peur avec le FN, cette fois ci vous avez senti le vent du canon, n'attendez pas trop que les 51% se réveillent avant vous ! Le 30/03/2015 à 01:37 AlerterRépondre Constanta vraiment pas de quoi etre fier.. décidement il y a un probleme avec le systeme électoral en France.. ou un candidat aux présidentielles qui recueillent 20% n'a que deux députés à l' assemblé et un parti qui fait 25% aux départementales n'obtient en fin de compte aucun département...... Le 30/03/2015 à 01:18 Lire la réponse à ce commentaire AlerterRépondre ramsa Complètement d'accord. La démocratie est muselée par des scrutins très arrangeants pour ceux qui se partagent le gateau et les postes depuis 50 ans.. Je ne vois pas pourquoi il y a plusieurs tours déjà ; un seul tour et que le meilleur gagne. Cela permettrait aussi de légitimer certains petits partis. Le 30/03/2015 à 01:50 AlerterRépondre ironic Bayrou, c'est pas celui qui disait qu'il fallait "faire bouger les lignes"? Ni droite, ni gauche? Il voulait sans doute dire qu'on pouvait passer de l'un à l'autre... 2011 à droite, 2012 à gauche, 2015 à droite et 2017 à gauche... Le 30/03/2015 à 01:06 AlerterRépondre Mouv Oui Mais Bordeau reste à Gauche Jupé devrait la jouer modeste Le 30/03/2015 à 00:55 Lire les 2 réponses à ce commentaire AlerterRépondre boiteoutil Mais jupé est de gauche. Le 30/03/2015 à 01:47 AlerterRépondre Moderato Cantabile Le 30/03/2015 à 00:55 Bien noté Mouv ! Le 30/03/2015 à 01:17 AlerterRépondre katana13 On va l'avoir notre primaire ouverte au ... centre! Le 30/03/2015 à 00:23 AlerterRépondre darcangeloraf Depuis des décennies, ce n'est plus la politique noble qui unit les hommes, mais la victoire et l'affirmation personnelle. Ce cheminement a détruit la politique économique et sociale en Italie et en Grèce et se poursuit désormais dans le reste de l'Europe. Le principal intérêt réside désormais sur les coalitions et les alliances, non plus les problèmes des citoyens, le chômage et la paupérisation de la population. L’on se remplit la bouche de belles paroles en affichant la reprise économique. En réalité, aucun politique ne dispose de sérieuses compétences en politiques innovantes et en l’organisation de processus capables de conduire une nation vers un nouvel essor. Ceux qui ont suivi la déchéance politique en Italie peuvent comprendre combien cette nouvelle approche est dangereuse pour la politique française. Le 30/03/2015 à 00:17 AlerterRépondre 1 2 > Afficher plus de commentaires Précédent Suivant Le Figaro dès 22h sur votre ordinateur Lire Apprenez une langue avec Babbel et le Figaro : simple et efficace! Démarrer Plus de 15 newsletters thématiques S'inscrire La boutique en ligne du Figaro Découvrir Testez vos connaissances ! Des cadeaux à gagner Jouer L'actu en temps réel avec Le Figaro Suivre Suivez l'évolution de vos conditions météo En savoir + Plus de 7 000 recettes de cuisine à décrouvrir Rechercher Votre nouveau job parmi 10 000 offres d'emploi Rechercher Plan du site Charte CG U CG V Infos cookies FAQ Contact Sitemap Abonnements Services Mentions légales Publicité