avoine et grains uniques : compte rendu de la recherche
Transcription
avoine et grains uniques : compte rendu de la recherche
ÉTÉ 2012 AVOINE ET GRAINS UNIQUES : COMPTE RENDU DE LA RECHERCHE Au fil des années, de nombreuses études se sont penchées sur les bienfaits potentiels de l’avoine et des grains uniques sur la santé cardiovasculaire. Le rôle bénéfique du bêta-glucane, des fibres solubles présentes dans le son d’avoine, est d’un intérêt capital. Des études sur l’avoine et le diabète, la gestion du poids et la satiété ainsi que les propriétés antioxydantes continuent de paraître. D’autres grains potentiellement bénéfiques, comme le blé de Khorasan (aussi appelé le blé de Khorasan Kamut®), l’épeautre, le quinoa, l’orge, le maïs et le lin, continuent de susciter de l’intérêt car ils sont de plus en plus présents sur le marché canadien. LES BIENFAITS DE L’AVOINE SUR LA SANTÉ CARDIOVASCULAIRE Selon le rapport sur la santé des Canadiens 2011 produit par la Fondation canadienne des maladies du cœur, sont perdues au Canada en raison des maladies cardiovasculaires1. La section suivante passe en revue des études et la réduction des risques associés à la maladie du cœur. Des analyses d’ouvrages scientifiques ont récemment été effectuées; la première, qui englobe les années 1995 à 2006, porte sur 36 études sur l’être humain, alors que la seconde, qui couvre les années 2001 à 2010, se penche sur 30 essais cliniques2, 7. Ces deux analyses documentaires ont révélé une relation positive entre la consommation quotidienne de 3 à 6 grammes de fibres d’avoine ou de bêta-glucane et la réduction du cholestérol total et du cholestérol à lipoprotéines de faible densité (LDL)2, 7. Les sujets de ces études ont consommé du bêta-glucane ajouté aux aliments en tant qu’ingrédient additionnel ou contenu dans des produits de l’avoine. Plus précisément, les sujets en bonne santé présentaient une réduction considérable du cholestérol total et des triglycérides après avoir consommé 102 grammes de son d’avoine par jour3. Chez les sujets de poids normal et ceux ayant de l’embonpoint, la consommation de deux portions de son d’avoine par jour a entraîné une baisse importante du taux de cholestérol LDL et de cholestérol total4, 5, 6. LE SAVIEZ-VOUS? Le bêta-glucane réduit le cholestérol de deux façons : d’abord en prévenant l’absorption de cholestérol alimentaire, puis en contribuant à éliminer le cholestérol La solidité des preuves associant le rôle des fibres d’avoine à la réduction des risques de maladie du cœur a incité bon nombre de pays, dont les États-Unis et le Canada, à permettre que les produits alimentaires qui respectent les exigences en fibres bêta-glucane de l’avoine affichent une allégation santé selon laquelle ils contribuent à réduire le risque de maladie du cœur 7, 32. En 2010, Santé Canada a approuvé et formellement reconnu une allégation santé sur le lien entre la consommation de fibres bêta-glucane de l’avoine et la réduction du cholestérol sanguin7. Exemple : 1/3 tasse (30 g) de gruau Quaker fournit 40 % de la quantité quotidienne de fibres dont l’efficacité est démontrée lorsqu’il s’agit de contribuer à réduire le cholestérol. Pour pouvoir porter l’allégation, un aliment doit bêta-glucane de l’avoine par quantité de référence. La consommation quotidienne de trois grammes de fibres bêta-glucane de sanguine en cholestérol total et LDL7. Les sources de fibres bêta-glucane de l’avoine d’avoine/le gruau et la farine d’avoine entière. Laura Pasut, M.Sc., D. A., Nutridata Consulting Auteure : Révisé par : Koushik Seetharaman, Ph. D., professeur agrégé et titulaire de la chaire sur les céréales, département des sciences de l’alimentation, Université de Guelph AVOINE ET SANTÉ : RECHERCHE ÉMERGENTE Un nombre de plus en plus élevé d’études porte à croire que l’avoine a un effet positif sur le diabète, la gestion du poids, la satiété et les antioxydants. DIABÈTE Plus de neuf millions de Canadiennes et Canadiens sont aux prises avec le diabète ou une glycémie élevée8. L’avoine est réputée pour avoir une influence sur la glycémie et la réponse insulinique, car on croit que la viscosité produite par le bêta-glucane retarde l’absorption du glucose, ce qui entraîne une réduction de la réponse glycémique9. En fait, 16 des 29 études cliniques portant sur des sujets en santé ont révélé chez eux une baisse de la glycémie et de la réponse insulinique après la consommation d’un repas contenant de l’avoine ou du bêta-glucane comparativement aux sujets témoins2. L’étude de Weickert et coll. s’est penchée sur l’effet de la consommation d’avoine sur l’insulinosensibilité chez les femmes faisant de l’embonpoint et obèses; elle a montré une amélioration de 8 % de l’insulinosensibilité10. Lors de deux études portant sur des personnes aux prises avec le diabète de type 2, la consommation de produits d’avoine entière ou enrichis de bêta-glucane a entraîné une baisse de la réponse glycémique qui semble liée à la dose11, 12. De la même façon, tant chez les sujets en bonne santé que ceux aux prises avec l’hypercholestérolémie, la réponse glycémique après avoir mangé était plus faible lorsque les produits consommés contenaient de l’avoine ou étaient enrichis de bêta-glucane9, 13. GESTION DU POIDS ET SATIÉTÉ Plusieurs études ont mesuré les effets de l’avoine ou du bêta-glucane sur la perte de poids ou l’accroissement de la sensation de satiété. Par exemple, Liatis15 et Reyna-Villasmil16 ont intégré du pain contenant respectivement 3 et 7 grammes de bêtaglucane au régime alimentaire de personnes diabétiques et obèses; ils ont découvert que les participants des groupes consommant du bêta-glucane ont perdu davantage de poids que ceux des groupes témoins. Deux autres études ayant utilisé de 2,5 à 3 grammes de bêta-glucane n’ont révélé aucun effet sur le poids corporel ou l’apport en énergie13, 14. On a découvert que les gens qui démarrent la journée en prenant un petit-déjeuner riche en fibres d’avoine, comme un bol de gruau, éprouvent une plus grande sensation de satiété que ceux qui mangent d’autres types de grains entiers36. La texture visqueuse du bêta-glucane dans l’abdomen pourrait jouer un rôle dans le temps de vidage gastrique, la dilatation de l’estomac et/ou la libération de peptides régulateurs de l’appétit dans l’intestin33, 34. Six études sur la satiété ont montré une amélioration de la satiété ou certaines modifications aux hormones liées à la satiété, comparativement à cinq études qui n’ont découvert aucun changement, lorsque leurs sujets respectifs ont consommé des aliments ou boissons contenant de l’avoine ou du bêta-glucane2. Certaines données laissent entendre que le bêta-glucane pourrait avoir un effet positif dans la gestion du poids et la satiété; or, des études supplémentaires sont nécessaires. L’AVOINE COMME ANTIOXYDANT Le stress oxydatif a été associé à diverses maladies chroniques telles que les maladies cardiovasculaires, les accidents vasculaires cérébraux, le diabète et certains cancers. Les antioxydants sont des substances qui protègent contre les effets des radicaux libres, tels que les dommages et l’inflammation cellulaires. L’avoine contient un groupe unique de phénols considérés comme des antioxydants appelés avénanthramides. Bien que peu d’études aient été effectuées dans ce domaine, une recherche ayant utilisé des extraits d’avénanthramides provenant de l’avoine ajoutés à du lait écrémé a montré une augmentation de la concentration de glutathion réduit dans le plasma, qui sert à mesurer la capacité antioxydante, comparativement au groupe témoin35. Des études supplémentaires sont nécessaires pour en apprendre davantage sur les antioxydants contenus dans l’avoine et leur effet sur la santé. LE SAVIEZ-VOUS? L’avoine a une teneur plus élevée en protéines, en calcium et en fer que le blé. AUTRES GRAINS UNIQUES L’intérêt croissant porté aux saines habitudes de vie, à la qualité des aliments et à la diversité culinaire incite les Canadiennes et Canadiens à porter davantage d’attention aux grains anciens et uniques. Les grains constituent une source de nombreux éléments nutritifs, dont les vitamines B, le fer, l’acide folique, les protéines et les fibres. En outre, on a montré que les grains entiers, qui contiennent des composés phytochimiques, réduisent le risque de coronaropathie, de diabète et de certains types de cancer26, 27, 28. Bien manger avec le Guide alimentaire canadien recommande aux adultes de consommer quotidiennement de six à huit portions de produits céréaliers, dont la moitié sous forme de grains entiers17. Voici quelques types de grains et graines, les éléments nutritifs qu’ils contiennent et leurs bienfaits potentiels pour la santé. BLÉ DE KHORASAN ET ÉPEAUTRE Le blé de Khorasan, également appelé blé de Khorasan Kamut®, et l’épeautre sont des variétés de blé29, 31. Tous deux sont considérés comme des grains anciens car leur apparition remonte à la préhistoire. Leur teneur en protéines est supérieure de 17 % à celle du blé ordinaire, et ils sont réputés plus faciles à digérer que ce dernier par les personnes aux prises avec des allergies29, 30. De nos jours, ces grains sont utilisés dans davantage d’aliments comme le pain, les céréales et les collations. QUINOA Le quinoa est un pseudograin, car, s’il ne pousse pas comme une céréale, il est utilisé comme telle20. Comme il ne contient pas de gluten, il convient aux personnes aux prises avec la maladie coeliaque21. Comparativement aux autres grains (p. ex., blé, riz, orge), le quinoa présente une teneur en protéines supérieure à la moyenne, y compris davantage de lysine, un aminoacide qu’on ne retrouve pas en concentration élevée dans les aliments d’origine végétale20. Le quinoa peut être consommé comme le riz, dans des céréales à déjeuner chaudes, éclaté comme du maïs soufflé ou moulu sous forme de farine et intégré à la préparation de barres collations, pain et biscuits. ORGE L’orge est une source de fibres alimentaires, de bêtaglucane (fibres solubles) et d’antioxydants22. Des études ont montré que les propriétés hypocholestérolémiantes du bêta-glucane de l’orge sont similaires à celles des fibres solubles de l’avoine. Une étude utilisant trois différents taux de bêta-glucane provenant de l’orge (soit sous forme d’orge brassicole, de farine d’orge entière ou de farine d’orge entière enrichie d’extraits de bêta-glucane) dans les aliments servis aux sujets a provoqué chez ceux-ci une amélioration des réponses glycémique et insulinique après consommation, les réponses les plus satisfaisantes étant liées au taux le plus élevé de bêta-glucane23. On a observé des résultats similaires chez des volontaires en bonne santé après leur avoir servi des biscuits et craquelins fabriqués avec de la farine d’orge enrichie de bêta-glucane24. MAÏS Le maïs est offert sous forme de maïs sucré, consommé comme légume, ainsi que sous forme de maïs céréalier, utilisé comme grain dans certains produits alimentaires comme les tortillas, les céréales à déjeuner et les barres collations. Le maïs céréalier a une teneur élevée en vitamines A, C et E, glucides, fibres et minéraux essentiels, et contient 9 % de protéines25. LE SAVIEZ-VOUS? Cinquante-neuf pour cent des Canadiennes et Canadiens désirent ajouter des grains entiers et des multigrains à leur régime alimentaire37. GRAINE DE LIN La graine de lin est un oléagineux, dont on utilise l’huile comme supplément. L’importance de cette petite graine est attribuable à sa teneur en acide alpha-linolénique, un acide gras polyinsaturé du groupe des oméga-3, en fibres et en lignane, un phytoestrogène18. Plusieurs études sur ces composés ont montré que la graine de lin peut contribuer à réduire le risque de maladies cardiovasculaires, d’ostéoporose, de polyarthrite rhumatoïde et de cancer18, 19. Pour en tirer les bienfaits nutritionnels optimaux, les graines de lin doivent être écrasées ou moulues; toutefois, cela peut en accroître la rancidité18. À RETENIR La recherche soutient le rôle bénéfique des fibres d’avoine sur la santé cardiaque, et plus particulièrement sur la réduction du cholestérol total et du cholestérol LDL. Des études ont également montré que les fibres d’avoine contribuent à la maîtrise du diabète, diminuant la réponse glycémique postprandiale et améliorant l’insulinosensibilité. Bien que le rôle des fibres d’avoine dans la satiété et la gestion du poids demeure encore incertain, leurs propriétés physico-chimiques pourraient contribuer à la gestion du poids en augmentant la sensation de satiété. Ces résultats indiquent que l’intégration des fibres d’avoine à l’alimentation des Canadiennes et Canadiens pourrait être profitable pour leur santé. Les grains, graines et pseudograins uniques font l’objet d’études par la recherche émergente, tant sous l’angle de leur composition nutritionnelle que celui de leur effet sur la santé. Bon nombre d’entre eux sont des sources d’agents phytochimiques, qui possèdent des propriétés antioxydantes clés. En outre, l’accroissement de la consommation de grains entiers — de diverses sources — peut réduire le risque de plusieurs maladies chroniques. Finalement, l’ajout des grains et graines uniques susmentionnés à l’alimentation des Canadiennes et Canadiens peut avoir un effet positif sur leur santé. Par PepsiCo Canada. ÉTÉ 2012 DANS LE CADRE DE VOTRE PRATIQUE 1. 2. Pour accroître la consommation de produits de l’avoine et profiter des bienfaits du bêta-glucane, recherchez l’allégation santé sur les fibres d’avoine sur le panneau avant des emballages alimentaires. Les produits affichant cette allégation aideront vos clients à absorber la quantité quotidienne de trois grammes de bêta-glucane qui contribue à abaisser le cholestérol total et le cholestérol LDL. Recherchez des produits comprenant les termes « grains entiers », « multigrains » ou « grains anciens » ainsi que le logo des « Grains entiers » pour identifier la quantité de grains entiers par portion. La recherche émergente indique que ces grains offrent des bienfaits nutritionnels et des bienfaits sur la santé. SUR LE MARCHÉ PepsiCo s’engage à offrir aux Canadiennes et Canadiens une variété de choix alimentaires nutritifs. Bon nombre d’aliments offrent les bienfaits de l’avoine, des grains uniques et des grains entiers sur la santé. Voici un aperçu des options pour le petit-déjeuner et la collation. CHOIX ALIMENTAIRES GRAINS ENTIERS TYPES DE GRAINS PAR PORTION Gruau Quaker à 100 % de grains entiers en sachets 30 g/portion de 30 g • Flocons d’avoine Quaker à 100 % Barre Gruau sur le pouce Avoine et miel de Quaker 20 g/portion de 40 g • Avoine • Blé entier Gruau multigrain instantané Mélange bien-être de Quaker 14 g/portion de 36 g • Avoine • Seigle Barres tendres Grains anciens de Croque Nature de Quaker Cannelle, pommes et amandes 9 g/portion de 35 g • • • • Avoine Orge Quinoa Épeautre • Blé de Khorasan Kamut® • Riz brun • Graines de lin Chips tortilla Tostitos Recettes artisanales Ail rôti et haricots noirs 14 g/portion de 50 g • • • • Avoine Blé Seigle Orge • • • • Collations multigrains – Original de SunChips 33 g/portion de 50 g • Avoine • Blé • Maïs • Riz Céréales Life 18 g/portion de 30 g • Avoine Quaker • Maïs • Blé • Riz RÉFÉRENCES 1. Fondation canadienne des maladies du cœur. Rapport annuel sur la santé des Canadiens. Sur Internet : http://www.fmcoeur.com/atf/cf/%7B3cb49e24-0fb7-4cee-9404-67f4cee1cbc0%7D/ HSF_REPORTNOV2011_FR_LR.PDF (consulté en mars 2012). 2. E. L. Sohns, T. M. Rains et K. C. Maki. A scientific review of the health benefits of oats: 2001-2011. Rapport interne préparé par PepsiCo, 2012. 3. M. Kristensen et S. Bügel. Eur J Clin Nutr, vol. 65, 2011, p. 1053-8. 4. T. M. Wolever et coll. Am J Clin Nutr, vol. 92, 2010, p. 723-32. 5. P. Tighe et coll. Am J Clin Nutr, vol. 92, 2010, p. 733-40. 6. K. C. Maki et coll. J Am Diet Assoc, vol. 110, 2010, p. 205-14. 7. Santé Canada. Résumé de l’évaluation d’une allégation santé au sujet des produits d’avoine et de la diminution du taux de cholestérol sanguin, 2010. Sur Internet : http://www.hc-sc.gc.ca/fn-an/ label-etiquet/claims-reclam/assess-evalu/oat-avoine-fra.php (consulté en mars 2012). 8. Association canadienne du diabète. Sur Internet : http://www.diabetes.ca/diabetes-and-you/ (consulté en mars 2012). 9. A. Regand et coll. J Agric Food Chem, vol. 57, 2009, p. 8831-8. 10. M. O. Weickert et coll. Diabetes Care, vol. 29, 2006, p. 775-780. 11. N. Tapola et coll. Nutr Metab Cardiovas Disease, vol. 15, 2005, p. 255-261. 12. A. L. Jenkins et coll. Eur J Clin Nutr, vol. 56, 2002, p. 622-628. 13. M. Biörklund, J. Holm et G. Onning. Ann Nutr Metab., vol. 52, 2008, p. 83-90. 14. C. Cugnet-Anceau et coll. Br J Nutr, vol. 103, 2010, p. 422-8. 15. S. Liatis et coll. Diabetes Metab, vol. 35, 2009, p. 115-20. 16. N. Reyna-Villasmil et coll. Am J Therapeut, vol. 14, 2007, p. 203-212. 17. Santé Canada. Guide alimentaire canadien. Sur Internet : http://hc-sc.gc.ca/fn-an/food-guidealiment/choose-choix/grain-cereal/need-besoin-fra.php (consulté en mars 2012). 18. K. K. Singh et coll. Crit Rev Food Sci Nutr, vol. 51, 2011, p. 210-22. 19. 20. 21. 22. 23. 24. 25. 26. 27. 28. 29. 30. 31. 32. 33. 34. 35. 36. 37. 1 sachet (30 g) fournit 40 % de la quantité quotidienne de fibres dont l’efficacité est démontrée lorsqu’il s’agit de contribuer à réduire le cholestérol7 1 barre (40 g) fournit 30 % de la quantité quotidienne de fibres dont l’efficacité est démontrée lorsqu’il s’agit de contribuer à réduire le cholestérol7 • Blé entier • Orge Millet Sarrasin Riz brun Triticale J. Peterson et coll. Nutr Rev, vol. 68, no 10, 2010, p. 571-603. M. Jancurová et coll. Czech J Food Sci, vol. 27, no 2, 2009, p. 71-79. A. Vega-Gálvez et coll. J Sci Food Agric, vol. 90, 2010, p. 2541-7. N. P. Ames et C. R. Rhymer. J Nutr, vol. 138, 2008, p. 1237S-43S. K. M. Behall et coll. Nutr Res, vol. 26, 2006, p. 644-650. M. C. Casiraghi et coll. J Am Coll Nutr, vol. 25, 2006, p. 313-320. K. K. Adom et R. H. Lui. J Agric Food Chem, vol. 50, 2002, p. 6182-87. L. M. Steffen, et coll. Am J Clin Nutr, vol. 78, 2003, p. 383-90. M. K. Jensen et coll. Am J Clin Nutr, vol. 80, no 6, 2004, p. 1492-9. J. Montonen et coll. Am J Clin Nutr, vol. 77, 2003, p. 622-9. G. Sacks. Gastronomica: J Food Culture, vol. 5, no 4, 2005, p. 95-98. G. F. Stallknecht, K. M. Gilbertson et J. E. Ranney. p. 156-170, dans : J. Janick (éd.), Progress in new crops, ASHS Press, Alexandria, VA. Sur Internet: www.hort.purdue.edu/newcrop/ proceedings1996/V3-156.html#Table%201 (consulté en février 2012). Ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation et des Affaires rurales de l’Ontario. Sur Internet: http:// www.omafra.gov.on.ca/french/crops/field/news/croptalk/2003/ct_0903a2.htm (consulté en février 2012). United States Food and Drug Administration. Food Labeling Guide, révisé en octobre 2009. Sur Internet : http://www.fda.gov/Food/GuidanceComplianceRegulatoryInformation/ GuidancDocuments/FoodLabelingNutrition/FoodLabelingGuide/default.htm (consulté en février 2012). M. Kristensen et M. G. Jensen. Appetite, vol. 56, 2011, p. 65-70. A. J. Wanders et coll. Obes Rev., vol. 12, 2011, p. 724-39. C.-Y. O. Chen et coll. J Nutr, vol. 137, 2007, p. 1375-82. S. E. Holt, J. C. Brand Miller et E. Farmakalidis. Eur J Clin Nutr, vol. 49, 1995, p. 675-690. Étude de PepsiCo auprès des consommateurs, janvier 2011. Ce document vous est offert par les diététistes de PepsiCo Nutrition Canada. Pour plus de renseignements, visitez le site www.pepsiconutrition.ca