Halifax County schools 4.pages corrigé
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Le comté dʼHalifax avant le fusionnement Lʼimmersion française dans le comté avant le fusionnement En 1985, les écoles du comté ont offert leurs premiers programmes dʼimmersion. Avant cette date, le comté nʼoffrait que le français de base qui débutait en quatrième année. En 1985, le seul programme dʼimmersion qui a été offert était lʼimmersion tardive, un programme où les élèves reçoivent la majorité de leur instruction en français dès la septième année. Le comté a introduit le programme dans quatre écoles pilotes: Bedford Junior High, G.P. Vanier, Tantallon et Timberlea. Lʼorganisme Canadian Parents For French (CPF) était très impliqué dans la mise en oeuvre du programme. Les premiers enseignants étaient Andrée Green, Annice Melanson, Édouard Doucette, Alain Boudreau et un autre M. Boudreau. Peu à peu, toutes les écoles du comté qui pouvaient soutenir le programme, basé sur la population de lʼécole et lʼintérêt, avaient le droit dʼoffrir le programme. En général, il fallait avoir au moins 30 élèves qui sʼintéressaient en immersion pour faire une classe. Le plus grand défi du comté en ce qui concerne lʼimmersion a été sa superficie géographique. Il y avait beaucoup dʼécoles à lʼélémentaire dans tout le comté. Ainsi, la commission scolaire a trouvé que ce nʼétait pas faisable dʼune perspective budgétaire dʼoffrir un programme dʼimmersion précoce. Donc, la commission scolaire (Halifax County-Bedford District) a choisi lʼimmersion tardive où les élèves de plusieurs endroits seraient centralisés dans une école. Le comté dʼHalifax avant le fusionnement Le comté était divisé en secteurs régionaux : Bedford-Sackville, Eastern Suburban Subsystem, Western Subsystem. Toutes les écoles, à lʼexception de Musquodoboit Rural High et Duncan MacMillan High, ont offert iʼmmersion tardive. Ces deux dernières écoles offraient le fançais intégré parce quʼil nʼy avait pas assez dʼélèves intéressés pour avoir de lʼimmersion tardive. Le français intégré est un programme où les élèves poursuivent un cours de contenu en français en plus du cours de français langue seconde. Les écoles intermédiaires du comté: Upper /Middle/ Lower Sackville H.T. Barrett, A.J. Smeltzer, Leslie Thomas, Sackville Heights N.B. Cavalier School, une école qui a des classes de la maternelle jusquʼà la 9e année) nʼoffre pas le programme à cause de sa proximité de Leslie Thomas. Les enfants qui habitent près de Cavalier School ont le choix dʼaller à Leslie Thomas pour avoir accès au programme dʼimmersion. Fall River G.P. Vanier Bedford Bedford Junior High N.B. Plus tard, quand lʼécole Madeleine Symonds a été construite, le programme dʼimmersion y a été introduit. Western Subsystem Tantallon Junior High, Timberlea Junior High, Brookside Junior High. N.B. Lʼécole Ridgecliff, comme lʼécole Madeleine Symonds, a été construite plus tard et a offert le programme à ce moment-là. Eastern Suburban Sir Robert Borden Junior High, Graham Creighton Junior High, Ross Road (de la maternelle à la 9ième année ), Eastern Passage Junior High, Gaetz Brook Junior High. N.B. Lʼécole Astral Drive Drive Junior High, construite plus tard, a offert le programme dès son ouverture. Le comté dʼHalifax avant le fusionnement Les joueurs importants à lʼintroduction de lʼimmersion tardive dans le comté: Lloyd Gillis: Le surindendant de la commission scolaire à lʼinception de lʼimmersion tardive (1978-1994) Don Trider et Orville Mombourquette: Les deux directeurs des quatre secteurs régionaux Patricia Douglas et après sa retraite, Donna Cashman et puis, Andrée Green: Coordonnatrices des programmes de français, langue seconde: CPF: Cet organisme a joué un rôle très important dans lʼétablissement dʼun programme dʼimmersion dans le comté, surtout dans les quatre écoles pilotes. Des fonds pour offrir lʼimmersion tardive Il y avait des argents du gouvernement fédéral du Patrimoine Canada, pour subventionner les programmes français. Ces fonds payaient le salaire de lʼenseignant dʼune classe débutante dʼimmersion tardive. Si une école voulait introduire une deuxième classe, cʼétait la responsabilité de la commission scolaire de payer le salaire de lʼenseignant de cette deuxième classe. Des défis du programme dans le comté Les premiers enseignants de lʼimmersion tardive dans le comté étaient formés comme enseignants du français de base. Ils ont reçu une brève formation en enseignement de lʼimmersion tardive lʼété qui a précédé lʼintroduction de lʼimmersion tardive dans le comté. En plus, il y avait un manque de ressources. Les enseignants se préparaient un jour à lʼavance dʼenseigner en classe. Souvent, il fallait traduire des livres écrits en anglais. 1Dʼaprès quelques enseignants des premières classes dʼimmersion tradive le comté dʼHalifax, le programme nʼétait pas offert de manière éqitable dans toutes les écoles. Par exemple, il y avait des écoles qui voulaient avoir plus dʼune classe dʼimmersion tardive et qui pouvaient soutenir ces classes avec leur population et lʼintérêt. Pourtant, la commission scolaire avait décidé de garder le programme à une classe. A Astral Junior High, il y avait assez dʼélèves pour soutenir trois classes dʼimmersion tardive mais cela a pris cinq ans avant que la deuxième classe soit offerte. Gaetzbrook, par contre a eu le droit dʼoffrir le programme à plus dʼune classe avant Astral Drive. 1 Lʼinformation fut recueillie pendant des entrevues informelles. Le comté dʼHalifax avant le fusionnement Les raisons possibles pour ces décisions: 1) Des professeurs qui enseignaient en anglais qui avaient de la séniorité auraient perdu leurs postes sʼil y avait plusieurs classes dʼimmersion. Donc, il fallait contrôler lʼaugmentation des classes dʼimmersion. 2) Une école “favorisée” (où les élèves viennent des situations familiales et économiques stables, où les cas de discipline nʼetaient pas sévères) nʼaurait pas reçu plus de classes comparée à une école marginalisée (où les élèves viennent des familles moins stables, où les cas de discipline étaient plus sévères) afin de répartir les élèves dans lʼécole dans lʼespoir de répondre aux problèmes disciplinaires. Au commencement de lʼimmersion tardive dans le comté, on faisait un effort de contrôler qui sʼinscrivait dans le programme. On demandait aux enseignants du français de base qui enseignaient les élèves en sixième année, leurs recommendations. Au début il y avait même des critères spécifiques à satisfaire avant dʼêtre accepté dans le programme. Par exemple, il fallait que lʼenfant soit organisé dans ses études et motivé à suivre le programme. On ne considérait que lʼélève qui réussissait dans ses études. De cette manière, il y avait de la discrimination dans la sélection des élèves pour le programme avec le résultat que lʼon remarquait quʼil y avait plus de filles que de garçons. Cette façon informelle de sélectionner les élèves contrôlait, jusquʼà un certain point, le nombre dʼélèves qui entraient dans le programme dʼimmersion tardive et “la sorte” dʼélève qui choisissait le programme. Plus tard, on a abandonné les critères de sélectionnement. Au début, le comté recrutait des enseignants des universités des autres provinces comme le Nouveau-Brunswick, le Québec et lʼOntario. Parce que ces jeunes enseignants venaient dʼune autre culture (par exemple, le Québec), il fallait quʼils sʼadaptent à une autre culture, ce qui nʼétait pas toujours facile. En plus, quelques enseignants ne parlaient guère lʼanglais et ne pouvaient pas bien communiquer avec les parents et leurs collègues anglophones. Par conséquent, la commission scolaire voulait trouver non seulement des enseignants avec des compétences langagières en français et une formation en enseignement mais aussi des compétences langagières en anglais. Parfois, des enseignants anglophones ont été déplacés de leur poste à cause de lʼintroduction de lʼimmersion dans une école. Une telle situation ne pouvait que provoquer des sentiments négatifs envers le programme par le personnel dʼune école. Le comté dʼHalifax avant le fusionnement La politique et lʼhistoire du comté et le fusionnement au temps de lʼintroduction de lʼimmersion tardive: John Buchanan (Progressive Conservative) était le premier ministre quand lʼimmerion tardive a été introduit dans les écoles dʼimmersion. Le comté dʼHalifax a été établi en 1908. Pour que le gouvernement du comté soit plus efficace, “the Municipality of the County of Halifax” a été incorporée en 1962. En 1993, le gouvernement provincial commençait à considérer sérieusement le fusionnement de Halifax, Bedford, Dartmouth et le comté. Les trois premières régions comptaient de grandes populations comparées au comté qui était moins peuplé et couvrait une plus grande superficie. En 1993, Don Cameron était le premier ministre. Il a embauché William Hayward comme consultant afin dʼétudier et dʼécrire un rapport sur la potentiel de faire des économies avec un fusionnement des régions. Mr. Hayward etait nommé Municipal Reform Commissioner. En juin 1993, “The Interim Report of the Municipal Reform Commission” était complété. En octobre 1994, le gouvernement a décidé de procéder avec le fusionnement. En décembre 1994, Hayward était nommé Coordinator, Municipal Amalgamation. Avec le défait du parti de Cameron dans une élection provinciale, John Savage a été élu. Dans le passé, John Savage ne supportait pas lʼidée de fusionnement mais en 1995, son gouvernment était en faveur du fusionnement du Cape Breton Regional Municipality (1995). Parce que ce fusionnement semblait répondre à certains besoins économiques à court - terme, le gouvernement a décidé dʼintroduire le fusionnement pour la région dʼ Halifax, Bedford, Dartmouth et le comté. William Hayward a été embauché afin de surveiller le projet. Dans son rapport, Hayard projetait que le gouvernement sauverait 20 millions de dollars par an en réduisant des services qui étaient “doublées”. Beaucoup de résidents dans le comté étaient contre lʼidée du fusionnement. Les populations à la campagne avaient peur quʼils payeraient plus de taxes sans recevoir les mêmes services que les populations dans la ville dʼ Halifax. En plus, on disait que les prédictions économiques ont été exagérées et déterminées arbitrairement. Les politiciens dans le temps étaient divisés. Plusieurs politiciens croyaient que le pouvoir de la circonscription électorale locale serait réduit dans une plus grande municipalité. Le débat public nʼétait pas fort...on croyait que le fusionnement était inévitable. En mai 1995 LʼActe pour incorporer Halifax Regional Municipality a reçu “Royal Assent” et en avril 1996, Halifax Regional Municipality a été établi avec un conseil régional.2 2 http:/www.answers.com/topic Le comté dʼHalifax avant le fusionnement Les programmes dʼimmersion après lʼamalgamation Après lʼamalgamation, les écoles qui se trouvaient dans le Halifax County Bedford District ont commencé à introduire des programmes dʼimmersion précoce. Pour ce faire, il fallait embaucher plus dʼenseignants qui pouvaient enseigner en immersion. En outre, il fallait procurer des ressources pour ces classes. Comme à lʼécole intermédiaire, il fallait aussi trouver des moyens de supporter les élèves en immersion ayant des troubles dʼapprentissage. A lʼélémenatire, il paraît que dans quelques écoles, il y a un effort de la part de lʼadministration de soutenir ces enfants en les gardant dans le programme. Dans dʼautres écoles, la solution semblerait être enlever lʼenfant du programme sans offrir de la rémédiation. Au présent, il y des discussions dʼannuler lʼimmersion précoce débutant à la maternelle et dʼintroduire le programme en quatrième année malgré les rechereches qui soulignent le succès de lʼimmersion précoce débutante à la maternelle ou en première année. Le comté dʼHalifax avant le fusionnement La bibliographie Halifax Regional School Board, The Late Immersion Program Information Session, 2007 Ministère de lʼÉducation , Document dʼencadrement du programme de français en immersion au Canada atlantique, 2003 Rubadeau, Ron, A Review of French Immersion and Recommendations Regarding Future Development in School District 72 (Campbell River) Wikipedia, The Free Encyclopedia, http:/www.answers.com/topic, Halifax County, Nova Scotia, Bedford, Precursors to Amalgamation, Incorporation and Dissolution, 2008 Fitzgerald, Ann and Noonan, Deb, Une entrevue avec Andrée Green, le 14 février, 2008 Fitzgerald, Ann, Une entrevue informelle avec Mary Jane Scott, le 4 février, 2008 Fitzgerald, Ann, Une entrevue informelle avec Deb Noonan, le 2 et le 9 février, 2008