Dossier de presse - Fondation Calouste Gulbenkian Paris

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Dossier de presse - Fondation Calouste Gulbenkian Paris
Exposition de photographies
Manuela Marques
La taille de ce vent est un triangle dans l’eau
30 avril - 26 juillet 2014
© Manuela Marques, Courtoisie de l’artiste et de la galerie Anne Barrault
Dossier de presse
Manuela Marques
La taille de ce vent est un triangle dans l’eau
30 avril - 26 juillet 2014
Commissaire : Sérgio Mah
© Manuela Marques, Courtoisie de l’artiste et de la galerie Anne Barrault
Communiqué de presse
L’exposition Manuela Marques, La taille de ce vent est un triangle dans l’eau réunit une partie significative du
travail photographique le plus récent de Manuela Marques. La trentaine de photographies présentées mettent
en relief quelques-uns des thèmes et sujets abordés par l’artiste dans sa production depuis le milieu des années
1990. A travers la photographie et la vidéo, l’artiste s’est investie dans un imaginaire fortement subjectif, poétique
et intimiste. Manuela Marques a l’habitude de travailler le portrait, la nature morte, le paysage et recourt à des
thèmes des plus variés (arbres, pierres, corps, objets, détails architectoniques...), et extrait de situations réelles
des détails qui dévoilent de nouvelles perceptions. Ainsi privées d’un contexte, d’un environnement, les images
revêtent un caractère mystérieux qui incite à de nouvelles interprétations. Les photographies invitent alors le
spectateur à s’interroger sur ce qu’il perçoit d’une réalité, et même à douter de ses propres perceptions.
L’exposition entend tracer un parcours physique et sensible, sans aucun mouvement narratif, où les images
s’articulent, dialoguent et permettent de nouvelles et multiples lectures.
Manuela Marques, née au Portugal en 1959, vit et
travaille à Paris. Elle a obtenu en 2011 le BES Photo
Prize. Son travail est régulièrement exposé en France
et à l’étranger. Elle est représentée par la galerie
Anne Barrault Paris, Caroline Pagès Gallery, Lisbonne
(Portugal) et la galerie Vermelho, São Paulo (Brésill)
Sergio Mah, né en 1970, vit et travaille à Lisbonne. Il
est commissaire d’exposition et critique d’art. Il a été
le directeur artistique de LisboaPhoto Biennial et de
Photo España ainsi que le commissaire de l’exposition
du pavillon portugais à la Biennale de Venise en 2011.
Fondation Calouste Gulbenkian - Délégation en France, 39 bd de la Tour Maubourg, 75007 Paris
Contacts presse :
Miguel Magalhães : [email protected] ; 01 53 85 93 76.
Clémence Bossard : [email protected] : 01 53 85 93 81
www.gulbenkian-paris.org / Facebook : Centre Calouste Gulbenkian
© Manuela Marques, Courtoisie de l’artiste et de la galerie Anne Barrault
MANUELA MARQUES – EXPOSITION À LA FONDATION GULBENKIAN / PARIS : LA TAILLE DE CE VENT EST UN TRIANGLE DANS L’EAU – SÉLECTION NON DÉFINITIVE
© Manuela Marques, Courtoisie de l’artiste et de la galerie Anne Barrault
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L’exposition
Manuela Marques
La taille de ce vent est un triangle dans l’eau
Commissaire : Sergio Mah
Le regard-relation. Avec le corps, avec les mains.
Extraits du texte du catalogue
Réunies sous le titre La taille de ce vent est un triangle dans l’eau, ces
images sont issues du récent travail photographique de Manuela Marques.
Elles soulignent les principales impulsions qui parcourent sa production
artistique depuis le milieu des années 1990, quand, au moyen de la photographie et de la vidéo, l’artiste investit un imaginaire fortement subjectif,
poétique et intimiste.
Sans qu’elles n’obéissent à aucun mouvement fut-il thématique, chronologique ou narratif, les photographies expérimentent des relations, des déplacements et des rapprochements entre la réalité et l’image, en explorant
un vaste éventail de sujets : arbres, pierres, matières organiques, visages,
mains, gestes, détails architecturaux et fragments de nature. Dans ces
images, le travail de proximité est palpable, comme autant d’indices d’une
relation haptique aux choses que l’artiste trouve et découvre dans le (son)
monde. [...]
On peut distinguer chez Manuela Marques deux manières d’envisager et
d’exercer sa pratique photographique. La première relève explicitement
du domaine de l’art, elle s’inscrit plus ou moins dans une culture préalable,
un savoir cultivé, réfléchi et conceptualisé qui convoque et projette des logiques et des sens dans les représentations. La seconde, pas forcément en
dehors de l’art mais dégagée d’une étiquette artistique, s’exerce comme
une pratique essentiellement instinctive et indisciplinée. Son inspiration
résulte des contingences et des opportunités de l’instant, comme autant
d’indices d’une cohabitation quotidienne, directe et informelle dont ces
images témoignent aussi singulièrement. [...]
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Les images de Manuela Marques ne sauraient se réduire aux thèmes représentés – pierres, bulles de savon, arbres, mains, verres, fragments de
nature…- de même qu’elles ne cherchent pas à souligner la technique et
l’originalité du cadrage ou sa maîtrise de la mise au point et de la profondeur de champ. C’est effectivement une photo qui ne prétend pas à une
innovation formelle mais à un rendu plus attentif, plus intense et plus créatif.
Ce sont des images qui ambitionnent d’être des opérations, des relations
entre le visible et le dicible, des façons de jouer avec l’avant et l’après, avec
la cause et l’effet.
Le travail de Manuela Marques s’inscrit bel et bien dans les pratiques
contemporaines de l’image qui sont fortement liées à l’expression poétique, à l’exercice spéculatif et fictionnel, qui font appel au caractère indé-
terminé des œuvres, à la réflexivité et au sensible. Il s’agit de formes et de
moyens légitimes (et nécessaires) de représenter et d’interpeller notre expérience de la réalité. Cette tendance préfigure, pourrait-on dire, la nécessité de libérer l’image d’une appréciation façonnée par « l’étalon de l’être »,
de la ressemblance et du vrai – simplement parce que l’image n’est jamais
vraie – pour intensifier son caractère fondamentalement dynamique, mobile et expressif. [...]
Chaque photographie présente une interruption temporelle, mais ici l’arrêt
n’est jamais soudain, inattendu et accidentel. Les instants semblent être le
corollaire d’une durée, d’une attente, d’une formation graduelle et lente.
On comprend jusqu’à quel point l’effet de suspension et de fixation, - l’une
des propriétés premières du « photographique» -, n’est pas une qualité fermée dans l’image (arrêtée et unique), car il n’exclut pas l’expérience d’une
certaine durée, surtout à partir de la projection imaginaire de l’image considérée comme une possibilité extrêmement créative. Par conséquent, la
photographie nous place devant ce double sens : d’un côté, elle suspend
le mouvement, en pétrifiant le réel ; d’un autre côté, elle montre que l’immobilité est une impossibilité relative, car l’instant est vivant en temps et
en mouvement, celui que l’œil et l’esprit expérimentent chaque fois que
la fixité les provoque. C’est la fatalité (ou la non plausibilité) de la photographie, une image qui penche vers l’aphasie mais qui, dans le même temps,
n’empêche pas la formation de mouvements (mentaux, fictionnels), de
sorte que l’image ne se ferme jamais et ne s’arrête pas à nouveau. [...]
Le statisme dans les photographies de Manuela Marques peut alors être
compris comme une exploration de l’impermanence des images, où audelà de leur qualité spécifique, elles remplissent une fonction heuristique,
à la recherche d’une autre compréhension de la nature des choses, privilégiant ce mouvement tâtonnant, où la vision se suspend et se libère à
la fois, pour stimuler l’imagination et la mémoire. Ainsi, la photographie
convoque l’art d’explorer la double poétique de l’image, en faisant de ses
images simultanément ou séparément deux choses : les témoins visibles
d’une cohabitation localisée avec les espaces, les objets et les corps ; et
de purs blocs de visibilité, imperméables à toute narration, à toute traversée du sens. Ces œuvres nous forcent à découvrir la nature et le dessein
de notre propre regard. Face aux choses, nous pourrons être le dispositif
qui reproduit un geste ou un événement quelconque. Mais nous pourrons
également comme le fait Manuela Marques accepter le défi de tout penser
encore une fois, en sachant par avance, que nous ne voyons pas seulement
(ni surtout) avec les yeux et que la pleine expérience du visible requiert la
mobilisation d’un corps et d’un esprit disponibles pour expérimenter une
réalité qu’on pressent mais qu’on ne voit pas pleinement mais à partir de
laquelle tout est imaginable.
Contacts presse :
Miguel Magalhães
01 53 85 93 76
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Clémence Bossard
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Biographie
Manuela Marques
née en 1959 au Portugal, vit et travaille à
Paris.
Représentée par
Galerie Anne Barrault (Paris)
Caroline Pagès Gallery (Lisbonne)
Galeria Vermelho, São Paulo, Brésil
Expositions personnelles
(sélection)
2014
Fondation Calouste Gulbenkian, Paris
(cat.)
Centre Régional de la photographieNord-Pas -de -Calais
2013
«Face à ce qui se dérobe», Le Granit Scène
Nationale, Belfort
«Backstage», Galerie Caroline Pages ,
Lisbonne
2012
«Entrelacs», Galerie Anne Barrault, Paris
(Mois de la photographie)
«Aparté» La Traverse-Les Ateliers de
l’Image, Marseille
2011
«Manuela Marques», Galeria Vermelho,
São Paulo, Brésil
«BES Photo Prize», Estaçao Pinacotecade
São Paulo , Brésil
«Temporada», Appleton Square, Lisbonne,
Portugal
«BES Photo Prize», Musée Collection
Berardo, Lisbonne, Portugal
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2010
«Cour Intérieure», Festival Photo Levallois,
Levallois-Perret
«Zone(s) de contact», Galerie Anne
Barrault, Paris
«O que o futuro foi», Laboratorio das
Artes, Guimaraes, Portugal
«In Situ», Caroline Pagès gallery, Lisbonne,
Portugal
«Manuela Marques», Galerie de l’École
Supérieure des Beaux-Arts, Valenciennes
2008
«Still Nox»,
Lisbonne
Caroline Pagès gallery,
2007
«Le Désespoir du Singe», Galeria
Vermelho, São Paulo (Brésil)
«Manuela Marques», Galerie Anne
Barrault, Paris
Grandes galeries de l’École des BeauxArts de Rouen
2006
«Manuela
Marques»,
Centre
Photographique d’Ile de France, PontaultCombault, France
2005
«Manuela Marques: 1997-2006» Galerie
Anne Barrault, Paris
2004
«Hora Aberta», Galeria Vermelho, São
Paulo, Brésil
2003
«Fragments», La Scène Watteau, Nogentsur-Marne
2002
«Margens da Solidão», Encontros da
Imagem, Braga (cat.)
«Manuela Marques-Photographies 19952002», Institut Camoes, Paris, (cat.)
2000
«Manuela Marques», Galerie Anne
Barrault, Paris
«Une Improbable Intériorité», Musée
Quesnel-Morinière, Coutances, France,
(cat.)
1998
«Manuela Marques», Agnès b.,Paris
Expositions collectives
(sélection)
2014
Musée Collection Berado- Lisbonne
2013
«Transferts ,dernières acquisitions du
FRAC Haute-Normandie»
Musée d’Art, Histoire et Archéologie,
Evreux,
«Sociétés Secrètes»,Collection FRAC
Haute-Normandie,
Musée
Alfred
Canel,Pont-Audemer
«A Portée de Regard», Eglise des
Trinitaires, Metz, France
«Sous l’Amazone coule un fleuve-40
artistes de la collection», FRAC Auvergne,
Clermont-Ferrand, France
«Savoir c’est pouvoir», PHotoEspaña, Real
Jardin Botanico, Madrid
2012
«Voir la vie» Galerie Duchamp, Yvetot
«Fonds Commun» Platine de la Cité du
design, Saint Etienne
«Odires Mlaszho & Manuela Marques»,
Galerie Anne Barrault, Paris
Anywhere Gallery, Paris
2011
«Dix Ans», Galerie Agart, Amilly,
France
«Les Territoires du Désir ou les
Métamorphoses d’un Musée Imaginaire»,
Musée d’Art Moderne André Malraux, Le
Havre, France (cat.)
«Laps, L’été Photographique de Lectoure»,
Centre de Photographie, Lectoure, France
«Silent Significance», Galerie LMD, Paris
2010
«Dans un Jardin», FRAC Haute Normandie,
Sotteville-lès-Rouen (cat.)
«Retratos de Cidades», Musée d’Art
Moderne Brasilia, Brésil
«Improvisation», Galerie Anne Barrault,
Paris
«Da Outra Margem do Atlántico», Hélio
Oiticica Art Centre, Rio de Janeiro, Brésil
2010 Images sur Commande, Musée d’Art
Moderne André Malraux, Le Havre, France
(cat.)
2009
«She is a Femme Fatale», Musée Collection
Berardo, Lisbonne, Portugal
«Retratos de Cidades», Musée d’art
contemporain, Niteroi, Brésil
La Nuit des Musées, Collection Lambert,
Avignon
«La Rose Pourpre du Caire – BandeAnnonce», Musée d’ Art et d’Archeologie,
Aurillac
«Lá Fora», Museu da Electricidade,
Lisbonne, Portugal (cat.)
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01 53 85 93 76
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Clémence Bossard
01 53 85 93 81
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2008
«Silêncio», Galeria Vermelho, São Paulo,
Brésil
«Verbo», Galeria Vermelho, São Paulo,
Brésil
«Unknown Land», Elastic Gallery, Malmö,
Suède
«Lá Fora», Edifício Arq. Fernando Távora
Viana do Castelo, Portugal
«Le Bruissement des Images», Centre
Photographique d’Ile-de-France, PontaultCombault, France
2007
«La Chute des Corps», FRAC Auvergne,
Clermont-Ferrand, France
«L’Ile de Morel», Centre Photographique
d’Ile-de-France,
Pontault-Combault,
France
«Singularités», Galerie Agart, Amilly
France (cat.)
«La Dimension Cachée», Forum d’Arts
Plastiques d’Ile-de-France, Les Ulis (cat.)
2006
«Empirismos», Musée de l’Image et du
Son, São Paolo, Brésil
«Empirismos»,
Espaço
Cultural
Contemporâneo (Ecco), Brasília, Brésil
«Grandes Vacances», Galerie Anne
Barrault, Paris
2005
«Empirismos»,
Palacio
da
Ajuda,
LisboaPhoto 2005 (cat.)
«A Table(s)», Domaine départemental de
Chamarande, France
«Apparemment Léger», Musée d’Art
Moderne André Malraux , Le Havre (cat.)
2004
«Vagues II- Hommages et Digressions»,
Musée d’Art Moderne André Malraux, Le
Havre, (cat.)
Schroeder/Romero Gallery, New York
2003
«Montagnes», Galerie Anne Barrault,Paris
2002
«Paris/Brooklyn Exchange», Schroeder/
Romero Gallery, New York
2000
«La Collection de Photographie d’Agnès
b.», Centre National de la Photographie,
Paris (cat.)
1996
«Photo Leurres», Galerie Agnès b., Mois
de la Photo, Paris [catalogue]
1995
Galerie de l’Uquam : Montréal, Québec
1994
Saint Mary’s University Art Gallery, Halifax,
Canada
1993
Musée de la Photographie Canadienne,
Ottawa, Canada
1992
Hôtel d’Albret, Mois de la Photo, Paris ,
(cat.)
Collections
Fonds national d’art contemporain, Paris
FRAC Auverge, Clermont-Ferrand, France
FRAC Haute Normandie, France
Musée d’Art Moderne André Malraux, Le
Havre
Fonds départemental d’art contemporain
de l’Essonne
Collection Agnès b., Paris
Banco Espirito Santo Art Collection,
Lisbonne, Portugal
Berardo Museum Foundation, Lisbonne,
Portugal
Banco Espirito Santo Investment, Brésil
Museu da Imagem, Braga, Portugal
Collection Institut Camoes, Paris
Museu da Imagem, Braga, Portugal
Wedge Collection, Toronto, Canada
Commandes et Prix
Résidence photoghraphique, Fondation
des Treilles, 2013
Lauréate du Prix BES , Lisbonne, Portugal,
2011
Allocation de recherche et de séjour
(CNAP), Sao Paulo, 2009
Commande Ville du Havre, 2008
Brasilia et São Paulo, Programme à la Carte
,Institut français, 2004 /2004
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MANUELA MARQUES – EXPOSITION À LA FONDATION GULBENKIAN / PARIS : LA TAILLE DE CE VENT EST UN TRIANGLE DANS L’EAU – SÉLECTION NON DÉFINITIVE
Visuels disponibles pour la presse
La reproduction de ces images est permise dans le cadre de l’illustration d’articles
concernant l’exposition Manuela Marques, La taille de ce vent est un triangle dans
l’eau. Tout recadrage ou modification de l’image est interdit.
Pour obtenir ces visuels en haute définition, merci de contacter Miguel Magalhães
ou Clémence Bossard.
© Manuela Marques
Courtoisie de l’artiste et de la galerie Anne Barrault
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Barrault
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La Fondation Calouste
Gulbenkian
La Fondation Calouste Gulbenkian est une institution portugaise privée, créée en
1956 par volonté testamentaire de son fondateur, financier d'origine arménienne
et de nationalité britannique, mort en 1955 à Lisbonne, son lieu de résidence depuis 1942.
Pionnier de l'industrie pétrolière, Calouste Sarkis Gulbenkian fut également un
grand collectionneur d'art. Le Musée Gulbenkian, inauguré en 1969 à Lisbonne,
accueille aujourd'hui l'intégralité de sa collection : antiquités égyptiennes, arts de
l'islam, art oriental et occidental du Moyen Age au XIXe siècle, mobilier français
des XVIIe et XVIIIe siècles, créations de René Lalique.
La Fondation mène des activités diversifiées dans les domaines des arts, de l'éducation, de la science et de la philanthropie. Le CAM (Centre d'art moderne) héberge la plus importante collection d'art portugais du 20e siècle. La Fondation
dispose également de l'Orchestre Gulbenkian et du Choeur Gulbenkian qui se
produisent régulièrement au Portugal et à l'étranger. La Fondation organise aussi
des cycles de conférences et des colloques internationaux. Elle dispose d'un Institut de biomédecine et attribue chaque année des bourses de recherche.
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La Délégation en France de la
Fondation Calouste Gulbenkian
Notre mission
. Réfléchir sur les grands thèmes de la société contemporaine dans tous les domaines de la culture, l’économie sociale et le monde des fondations ainsi que participer à la diffusion de la langue portugaise.
Nos objectifs
. Contribuer aux grands débats autour de la société civile, l’économie sociale, les
fondations, l’Europe et la culture en assurant un programme de conférences d’excellence.
. Assurer un programme d’expositions internationales de qualité.
. Soutenir la diffusion de la langue portugaise en France et dans le monde, en assurant l’importance des fonds de sa Bibliothèque et en proposant un programme
de conférences et débats en rapport avec les littératures et les sciences humaines
et sociales de langue portugaise, en partenariat avec les différents réseaux internationaux.
La Fondation Calouste Gulbenkian à Paris a pour vocation d’offrir une programmation artistique internationale d’excellence. Elle produit à cet effet trois à quatre
expositions par an ainsi que plusieurs projets artistiques, sous forme d’installations
ou de performances.
La Fondation Calouste Gulbenkian à Paris cherche, en collaboration avec des
commissaires internationalement reconnus, à présenter des artistes (en début de
carrière ou au parcours déjà bien établi) qui proposent des projets artistiques singuliers, indépendamment du support utilisé. Les artistes et leurs œuvres sont au
centre de sa programmation ainsi que les questions relatives à la création contemporaine. De la même manière, une attention bien particulière est donnée aux regards extérieurs à la création contemporaine occidentale.
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Les expositions réalisées à la Fondation Calouste Gulbenkian à Paris sont produites, aussi souvent que possible, conjointement avec d’autres institutions culturelles qui partagent les mêmes objectifs et valeurs. Au-delà de ces coproductions,
un autre vecteur de sa stratégie constitue en l’établissement de partenariats avec
d’autres institutions (écoles, fondations, galeries, musées, centres de recherches,
entre autres organisations). Une collaboration avec le siège de la Fondation Gulbenkian à Lisbonne et la Délégation à Londres a lieu régulièrement ; elle prolonge
la qualité du travail réalisé dans ces deux villes et les synergies et complicités qui
existent déjà entre les trois lieux.
De même, la Délégation à Paris de la Fondation Calouste Gulbenkian prête une attention particulière à l’édition de publications qui accompagnent les expositions.
Ces publications, au graphisme soigné, ont pour objectif d’illustrer l’exposition en
question et les œuvres des artistes exposés et ajoutent un cadre théorique au projet en y invitant des spécialistes de renom.
La Fondation Calouste Gulbenkian à Paris organise en outre des visites guidées
avec les commissaires et avec une équipe de médiateurs culturels. Ces visites
sont rigoureusement préparées et mettent en parallèle les contextes esthétique,
artistique et biographique de chacun des projets présentés. En complément, elle
organise, pendant la période d’exposition, un cycle de conférences où des spécialistes commentent les thèmes ou les artistes exposés à la Fondation.
Informations pratiques
Manuela Marques
La taille de ce vent est un triangle dans l’eau
Exposition ouverte du 30 avril au 26 juillet 2014
Fondation Calouste Gulbenkian - Délégation en France
39 bd de la Tour Maubourg
75007 Paris
Du lundi au vendredi de 9h à 18h
Le samedi de 11h à 18h
Fermeture les dimanches et jours fériés.
Visites guidées gratuites sur demande et dans la limite d’un nombre minimum de 10 participants (Tél : 01 53 85 93 81)
Tél : 01 53 85 93 93
www.gulbenkian-paris.org
Facebook : Centre Calouste Gulbenkian
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