Résumé Rapport de stage

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Résumé Rapport de stage
Xavier MOUTON
22, rue du Sagittaire
44470 Thouaré sur Loire
[email protected]
Promotion 45 (Novembre 2007)
TITRE :
GESTION DU STRESS EN SSII
THEME :
Gestion du stress en milieu professionnel, in situ.
MOTS CLES :
Stress, évacuer ses tensions, présence au corps, respiration, relaxations
dynamiques, expérience.
Stage effectué du 20 novembre 2008 au 02 février 2009 au Centre Inter Régional de
Traitement de l’Information (CIRTI), 2-4 rue de Coulongé 44000 NANTES.
Signature de convention : le 16 septembre 2008
Au cours de mes précédentes activités professionnelles, j’ai constaté à plusieurs reprises
les effets du stress, sur moi et sur mon entourage : d’un « simple » état de fatigue ou de
nervosité avec pertes de capacités, jusqu’aux actes définitifs. C’est donc dans cette
orientation que j’ai décidé d’orienter mes services de sophrologue. Avec l’aide d’un
médecin du travail, c’est dans le service informatique d’une grande administration sociale
que j’ai réalisé ce stage de mise en application.
Le but de ce stage était d’apprendre à identifier les effets du stress mais surtout de
mettre en place des méthodes pour faire face à ces effets. J’ai choisi des pratiques de
relaxation dynamique du premier et second degré, essentiellement, avec l’intention de
renforcer le schéma corporel et d’améliorer la présence à soi. D’autres techniques de
sophronisation (SDN, SPP, PSL) ont ponctué le parcours des participants pour l’acquisition
de techniques de récupération rapides utilisables à tout moment selon leurs besoins. Au
final, les membres du groupe ont rapporté une plus grande aptitude à pouvoir prendre du
recul dans les situations intenses et à canaliser ainsi les accès émotionnels, limitant les
effets de stress.
D’un point de vue personnel, ce stage m’aura permis de constater les difficultés d’exercice
de la sophrologie en entreprise : le volontariat des participants est rapidement émoussé du
fait de la contrainte d’un cursus long sur douze séances – qui plus est quand le
sophronisant n’est pas le « payeur ». Il m’est aussi apparu impératif de capter toute
l’attention des participants sur un parcours plus court et très démonstratif : si les
bénéfices de la relaxation dynamique ne sont plus à prouver, le lien avec le quotidien du
personnel participant, j’allais dire la rentabilité du parcours, n’est pas perçu comme
évident de suite.

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