Le service L`effet groupe La proximité

Transcription

Le service L`effet groupe La proximité
la proximité
Avec son banc de contrôle mobile,
Ecoreglage propose un service de proximité
à coût maîtrisé.
L’association privilégie le regroupement
des pulvérisateurs à contrôler par secteur,
en organisant les contrôles le même jour en
un même point.
l’effet groupe
Vous êtes un groupe d’agriculteurs,
un groupement de producteurs,
une organisation professionnelle, une cuma,
une coopérative, un négociant,
un concessionnaire, Ecoréglage vous
propose un service adapté à vos besoins.
Le conseil
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L’association régionale Ecoréglage rassemble les fédérations
des cuma du Tarn-et-Garonne, du Tarn et de Haute-Garonne,
les Chambres d’agriculture de l’Aveyron, du Tarn et du Tarnet-Garonne, et l’établissement public local d’enseignement et
de formation professionnelle agricole de Moissac.
Les acteurs membres de l’association réalisent des contrôles
de pulvérisateurs « sous licence Ecoreglage »,
chacun avec leur inspecteur agréé.
Ils bénéficient de la mutualisation du banc de contrôle et de
la formation des inspecteurs que pilote l’association sous
contrôle du Gip (groupement d’intérêt public national).
Le service
L’association propose, en plus de son activité de contrôle,
et avec l’intervention de ses membres, des services de conseil et
d’intervention auprès de groupes d’agriculteurs, de techniciens
ou de jeunes en formation, sur les bonnes pratiques (Corpen) :
local phyto, récupération des eaux de rinçage, aménagement
de locaux pour la sécurité, choix des matières actives.
Le spécialiste du contrôle pulvé
Le contrôle
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La loi
La loi sur l’Eau du 31/12/2006, article 41,
a instauré le contrôle obligatoire des pulvérisateurs à
partir du 1er janvier 2009. 60 points font l’objet d’une
vérification systématique, de l’état général aux jets et
porte-jets, en passant par la pompe,les manomètres,
les flexibles, les filtres et la soufflerie.
Le contrôle se fait à l’initiative du propriétaire.
Un pulvérisateur doit être contrôlé tous les 5 ans.
Pour organiser les premières années de contrôle,
la loi prévoit les premières échéances en fonction
du numéro Siren du propriétaire (1) du pulvérisateur.
Pour les matériels neufs, le contrôle intervient
5 ans après la date d’achat, puis tous les 5 ans.
Le matériel contrôlé est immatriculé par une plaque
d’identification, et la date du prochain contrôle est
mentionnée sur la vignette verte.
8e et 9e
00 à 19
20 à 39
40 à 59
60 à 79 80 à 99
Année de
contrôle
2009
2010
2011
2012
chiffres du
n° SIREN
ou pas de
n° Siren
2013
(1) le n° Siren est composé des 9 premiers chiffres du n° Siret
lui-même composé de 14 chiffres, que l’on retrouve en bas de la
première page de la déclaration Pac. La date de contrôle varie en
fonction des 8e et 9e chiffres du n° Siren.
le type d’appareil
concerné
La clé de la performance
La maîtrise de la pulvérisation permet de contenir
la pression parasitaire en utilisant le moins possible de
produit. Le risque de contamination de l’environnement
est réduit, et la sécurité de l’utilisateur améliorée.
Le volume et la valeur des produits passant annuellement
dans le pulvérisateur incitent à prendre au sérieux
l’entretien de l’appareil et le niveau d’usure de ses
composants. La performance, la précision et la sécurité
sont à ce prix. Sans compter l’incidence de l’échec
d’un traitement sur le volume et la qualité d’une récolte.
✔ Les pulvérisateurs portés, traînés, automoteurs,
ayant une rampe d’au moins 3 mètres de large
✔ Les appareils de puvérisation pour arbres et
arbustes, portés, traînés ou automoteurs.
Le spécialiste du contrôle pulvé
L’organisation
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d’u
Avant
Dès l’inscription, une fiche de préparation
du contrôle vous est transmise.
Elle vous permet, après avoir passé
en revue le matériel, de présenter
un pulvérisateur apte au contrôle et
vous évite les frais de la contre-visite.
Pendant
Les exigences minimum
✔ Le pulvérisateur doit être en état de fonctionnement, attelé au tracteur
✔ Le pulvérisateur doit être parfaitement nettoyé et rincé ✔ La cuve doit être remplie d’eau propre à la moitié de sa capacité ou au moins
contenir 500 litres d’eau
✔ Les filtres doivent être propres et en bon état
✔ Le pulvérisateur ne doit pas présenter de fuites
✔ Les parties en mouvement (cardan, chaîne, courroies et ventilateurs) doivent être
munies d’une protection fonctionnelle
✔ La solidité du matériel ne doit pas être compromise : châssis, soudure, éléments
du pulvérisateur doivent être maintenus fermement solidaire du châssis.
✔ L’agriculteur ou l’utilisateur du matériel doit être présent au moment du contrôle
✔ Le point d’attelage, les connections hydrauliques, électriques, doivent être en bon état.
Après le contrôle
A l’issue du contrôle, le matériel est répertorié avec sa plaque.
Si l’appareil est conforme, il vous est remis un rapport d’inspection
attestant du bon état du matériel, et la vignette est apposée sur l’appareil.
L’inspection du travail ou l’administration peuvent exiger le rapport.
La discussion avec le technicien vous apporte des conseils personnalisés
sur le choix des buses, le réglage de l’appareil, l’utilisation du pulvérisateur,
le choix du matériel…
Le spécialiste du contrôle pulvé

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